Pringtemps, 2012
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Pringtemps, 2012
BULLETIN DU GROUPE DE TRAVAIL SUR LES QUESTIONS FRONTALIÈRES DE TRANSPORT (GTQFT) CANADA-ÉTATS-UNIS Édition – Automne 2012 De la part du coprésident Ted Mackay : En tant que coprésident canadien du Groupe de travail sur les questions frontalières de transport (GTQFT), j’aimerais saluer les membres et les autres personnes qui s’intéressent aux questions relatives à la frontière canado-américaine. Je suis très satisfait des réalisations de ce Groupe en ce qui a trait à une vaste gamme de questions relatives à la frontière canadoaméricaine depuis notre première réunion qui a eu lieu à Vancouver il y a près de dix ans. Je tiens particulièrement à remercier les participants de notre séance plénière, qui a eu lieu en novembre dernier à Niagara Falls (Ontario), grâce auxquels l’événement s’est avéré un succès. L’excellent tour des passages frontaliers de la région de Niagara qui a été organisé par Ron Rienas de l’administration des ponts publics de Buffalo et Fort Erie et Lew Holloway de la Commission du pont de Niagara Falls fait partie des événements marquants. Leur expertise et leurs connaissances approfondies relatives aux divers passages ont rendu cette excursion très intéressante. Les relations entre le Canada et les États-Unis ont fait l’objet de progrès importants au cours des derniers mois, et elles permettront de déterminer le programme visant à gérer notre frontière commune dans les années à venir. Le 7 décembre de l’année dernière, le premier ministre Stephen Harper et le président Barack Obama ont publié le plan d’action sur la sécurité du périmètre et la compétitivité économique (www.actionplan.gc.ca). Le plan d’action contient 32 initiatives qui seront axées sur quatre domaines de coopération : l’élimination des menaces le plus rapidement possible; la facilitation du commerce, de la croissance économique et de l’emploi; l’intégration transfrontalière en matière d’application de la loi, et l’amélioration des infrastructures essentielles et de la cybersécurité. Transports Canada et l’Agence des services frontaliers du Canada ont tous deux joué un rôle important en présentant des initiatives relatives à l’infrastructure, à la technologie et à la sûreté des frontières. Ils ont également participé activement à la négociation des détails des initiatives proposées avec leurs homologues américains, tels que le Department of Transportation, la Federal Highway Administration, le United States Customs and Border Protection et la Transportation Security Administration. En élaborant ce plan d’action, le gouvernement du Canada s’est engagé directement auprès des Canadiens à entendre le point de vue du plus grand nombre d’intervenants possible, y compris les représentants des autres ordres de gouvernement, les entreprises, la main-d’œuvre, la société civile, les collectivités frontalières, les groupes autochtones, les groupes de réflexion, le milieu universitaire et les citoyens. Nous invitons ces intervenants ainsi que les provinces et états concernés à formuler des commentaires supplémentaires à mesure que nous mettons en œuvre ces initiatives puisque cela nous aide à évaluer nos progrès. À l’heure actuelle, nous travaillons avec nos voisins des États -Unis afin de mettre en œuvre ce plan d’action ambitieux, mais réalisable qui contribuera grandement à améliorer l’efficacité, le commerce et la sûreté à la frontière des deux pays. Je vous invite à participer à la prochaine séance plénière du GTQFT qui aura lieu à Seattle en avril. Nous discuterons des initiatives du plan d’action, y compris du plan d’investissement dans l’infrastructure frontalière et de l’initiative de la technologie de mesure du temps d’attente à la frontière. Comme la région de Niagara, la région du nord‑ouest du Pacifique est un chef de file en ce qui concerne la coopération et les liens transfrontaliers essentiels, et nous sommes privilégiés et heureux de nous joindre à nos hôtes américains à Seattle. De la part du coprésident Jim Cheatham: « Comment le dossier législatif sur la nouvelle autorisation routière progresse-t-il? » Voilà l’une des questions qui me sont le plus fréquemment posées à titre de directeur du bureau de la planification de la Federal Highway Administration (FHWA). La procédure législative sur cette nouvelle législation a été longue et compliquée. La Chambre des représentants des États-Unis et le Sénat continuent d’avoir des points de vue différents sur les montants de financement et la durée de la nouvelle législation. Point positif cependant, en attendant qu’ils trouvent un terrain d’entente, nous nous attendons à ce que la législation SAFTEA-LU soit prolongée. Cela signifie que nos partenaires de transport des villes et des États peuvent poursuivre leurs programmes d’infrastructures de transport sans interruption ou perte de financement. Cela signifie également que le Fonds sur l’infrastructure frontalière continuera de recevoir des fonds préétablis supplémentaires pour financer des projets de transport qui faciliteront l’efficacité des déplacements de marchandises et de passagers des deux côtés de la frontière. Il s’est écoulé plus d’un an depuis que le président Obama et le premier ministre Harper ont signé la déclaration Par-delà la frontière. Depuis l’annonce de cette entente historique, notre groupe de travail a consacré beaucoup de temps et d’efforts pour asseoir les fondations sur lesquelles reposera cette entente. Comme plusieurs de nos participants du Groupe de travail sur les questions frontalières de transport (GTQFT) le savent déjà, le processus de mise en œuvre n’a pas toujours été aussi rapide que nous l’espérions, mais nous mettons maintenant la dernière touche au plan d’action et le programme de notre prochaine rencontre à Seattle consistera en grande partie à consulter nos partenaires des provinces et des États qui seront présents. La ville de Seattle est un merveilleux endroit pour la réunion du GTQFT. Le Red Lion Inn est l’hôtel qui a été sélectionné pour la rencontre, car il est situé près d’une ligne de tramway qui permet un accès facile au centre-ville de Seattle à partir de l’aéroport SeaTac. Le Red Lion Inn est à moins de deux coins de rue de la station Westlake, dernière station sur la ligne de tramway Central Link. Nos participants pourront facilement monter à bord du tramway Central Link à la station SeaTac et arriver près de l’hôtel où a lieu la réunion en moins de 40 minutes pour la modique somme de 2,75 $US. Non seulement pourrez-vous vous déplacer de l’aéroport à l’hôtel en moins de temps, mais vous économiserez sur les frais de taxi et aurez l’occasion d’admirer des quartiers historiques de Seattle en tout confort le long de la ligne de tramway. Je vous recommande fortement de prendre un peu de temps pour visiter plusieurs des sites historiques qui sont à distance de marche ou accessibles par la ligne de tramway Central Link. Le meilleur conseil que je puisse donner à quelqu’un qui visite Seattle est d’apporter un parapluie. La ville de Seattle est reconnue pour ses orages fréquents et il est sage de toujours avoir un parapluie à portée de main pour éviter d’être surpris par la pluie. Je souhaite à tous les membres du GTQFT qui seront présents un bon voyage et j’espère vous rencontrer dans la « ville Émeraude »! Le bulletin du GTQFT est une publication coopérative de la Federal Highway Administration et de Transports Canada à l’intention des membres du GTQFT, des intervenants et de la collectivité frontalière canado-américaine PAGE UN Vues des points d’entrée du pont Peace et de Queenston Ron Rienas, directeur général du Buffalo and Fort Erie Public Bridge Authority, agissant à titre de guide touristique pour les visites guidées sur le pont Peace Une semi-remorque passe par le point d’entrée du pont Peace lors de la visite guidée du GTQFT. Les membres du GTQFT examinant le tarmacadam au point d’entrée du pont Peace. Gregory Bennett, chef des affaires publiques du CBP au point d’entrée du pont Peace s’adressant aux membres du GTQFT. David Berardi, directeur du district de Niagara Falls de l’Agence des services frontaliers du Canada (ASFC) s’adresse aux membres du GTQFT lors de l’arrivée au point d’entrée de Gregory Bennett, chef des relations publiques du CBP répondant à une question d’un des participants durant la visite guidée du point d’entrée du pont Peace. La photo ci-dessus montre les installations de traitement pour véhicules de passagers au point d’entrée du pont Peace. Les membres du GTQFT ont fait une ballade guidée des installations. Lew Holloway, directeur général de la Commission des ponts de Niagara Falls, agissant à titre de guide touristique pour les visites en autocar du point d’entrée de Queenston. Les membres du GTQFT ont fait une promenade guidée des installations récemment achevées de l’ASFC au point d’entrée de Queenston. Les participants du GTQFT sont attentifs durant la visite guidée du point d’entrée de Queenston. Le point d’entrée de Queenston était la deuxième étape de la visite guidée. On voit ci-dessus les installations de traitement des véhicules de passagers récemment construits. www.thetbwg.org PAGE TWO Scènes de la réunion du GTQFT Greg Nadeau, administrateur adjoint de la FHWA faisant une présentation à la rencontre du GTQFT. Annette Gibbons, directrice générale, Politiques des transports terrestres à Transports Canada faisant une présentation lors de la séance de mise à jour Washington‑Ottawa. Lew Holloway, directeur général de la Commission des ponts de Niagara Falls posant une question lors d’une des séances de la deuxième journée de la réunion du GTQFT. Rob Tardif faisant une présentation lors de la séance du sous-comité sur les échanges commerciaux et les données. Garrett Wright du CBP faisant une présentation lors de la séance de mise à jour Washington-Ottawa. Jay LaFrance, Relations Canada‑ÉtatsUnis (ASFC), lors de la séance de mise à jour Ottawa-Washington. Fred Eberhard répondant à une question lors d’une des séances de travail du GTQFT. DHS’s Neema Khatri presenting during the Session on Supply Chain Security. Kris Wisniewski, directeur exécutif de la Coalition des transports à la frontière de l’Est, faisant une présentation lors de la séance de travail sur les perspectives régionales sur la question des frontières. La photo ci-dessus est une photo panoramique prise lors de la réunion du GTQFT. Il s’agit de plusieurs photos collées ensemble par ordinateur. www.thetbwg.org PAGE TROIS Athena Hutchins, de la Niagara International Transportation Technology Coalition, faisant une présentation lors de la séance sur les perspectives régionales sur la question des frontières. Fin de l’étude sur les autocars canadiens En 2009, l’Association des autocaristes canadiens a fait une présentation à la réunion plénière d’automne du GTQFT à Winnipeg. L’industrie a fait part des difficultés rencontrées aux frontières : problèmes d’accès et retards; incohérence dans les règles; manque de communication. En réponse à ces préoccupations, Transports Canada a engagé l’entreprise RTR Technologies pour étudier de plus près les défis et les occasions actuels pour le transport transfrontalier des passagers par autocar. Il y a généralement quatre types de transport transfrontalier des passagers par autocar : horaire fixe; sous contrat d’affrètement; visites guidées et navette. Les services à horaire fixe sont des voyages d’autocar avec des points d’origine et de destination fixes qui se font sur une base régulière (Greyhound par exemple). Les services sous contrat d’affrètement sont des services d’autocar offerts à des groupes aux fins de voyages particuliers (voyages d’une équipe de hockey par exemple). Les services de visites guidées sont similaires aux services à horaire fixe, mais ils offrent des options de divertissement et d’hébergement dans le cadre du forfait (un voyage à New York ou la visite d’une destination d’achat populaire par exemple). Enfin, les services de navette desservent une clientèle transfrontalière voyageant entre des hôtels ou des La réaction de la part de l’industrie du transport par autocar a été positive. Lors de la stations, des terminaux et des aéroports. plénière d’automne du GTQFT, Peter Pantuso de l’American Bus Association et L’étude consistait en un sondage qualitatif dans lequel quatorze organisations et les Doug Switzer de l’Association des autocaristes canadiens ont présenté leurs obseragences frontalières des deux côtés des sept passages frontaliers canado- vations. M. Pantuso a mentionné que les gens qui voyagent par autocar disent qu’ils américains les plus fréquentés ont été interviewées. Les passages frontaliers étaient ne se sentent pas traités aussi bien que ceux qui prennent l’avion et que les gens les suivants : Autoroute du Pacifique; Tunnel Détroit-Windsor; Pont Ambassador; âgés se sentent parfois menacés par les agents frontaliers. Il a rappelé à l’auditoire l’importance de traiter les gens comme des clients, puisqu’il s’agit souvent de touPont ristes et d’acheteurs. M. Switzer a signalé que les défis auxquels fait face l’industrie Peace; du transport par autocar aux frontières sont similaires à ceux rencontrés il y a sept Pont Queens- ans par les camionneurs traversant la frontière. Bien qu’il a constaté que les besoins d’amélioration sont considérables, il a indiqué que les coûts de chaque solution potonLewiston; tentielle devaient être examinés avec attention et comparés aux bénéfices. Les deux se sont entendus pour dire que l’époque des projets pilotes était révolue et que chaPont Rainbow cun devait maintenant s’efforcer de mettre en place des systèmes avancés d’inforet poste mation aux voyageurs. ChamplainLacolle. Un certain nombre de difficultés ont été notées, notamment : infrastructures routières et points d’entrée faisant en sorte que les autocars se retrouvent dans les voies de circulation des automobiles et manque d’installations (parfois un seul autocar à la fois peut être traité); temps d’attentes à la frontière et informations sur la situation; horaires non flexibles que les autocars ne peuvent pas toujours respecter en-dehors des heures de pointe; arrivées simultanées d’autocars entraînant des files d’attentes; manque de communication. Voici quelques-unes des solutions proposées : Système de réservations (réserver une place au moment de l’inspection primaire) Approbation préalable (ou traitement préalable) Autres voies d’accès (permettant l’utilisation des voies FAST et NEXUS) Amélioration des politiques d’inspection (p. ex distribution de formulaires de déclaration avant l’arrivée; normalisation des politiques et des procédures de préapprobation des passagers avec un système de billetterie électronique similaire à celui utilisé pour les avions) Adaptation technologique (p. ex. informations de voyage à l’avance; transpondeurs de manifeste de cargaison permettant la lecture des informations des passagers à l’arrivée des autocars; inscription des chauffeurs d’autocars au programme FAST et utilisation potentielle d’appareils portatifs pour inspecter les autocars au lieu de faire débarquer les passagers) Davantage de consultation entre l’industrie du transport par autocar et les agences frontalières Increased engagement between bus industry and border agencies Le rapport complet est disponible sur le site web du GTQFT : http://www.thetbwg.org/ downloads/bus_study.pdf. President of the Border – Passenger Numbers (2010) L’automobile occupe toujours la première place à la frontière. En 2010, le transport automobile dépassait de loin tous les autres modes de transport entre le Canada et les États-Unis. Les vols étaient, de façon surprenante, loin en deuxième place. Le graphique suivant présente une répartition visuelle. Passenger Volumes (Round Trips) Le nombre total d’aller-retour pour tous les modes de transport de passagers s’est chiffré à environ 59,8 millions de personnes voyageant entre le Canada et les ÉtatsUnis en 2010. Les passagers automobiles arrivent en tête avec 46,5 millions, les passagers aériens 9,6 millions, les passagers par autobus (autocars) 1,6 million, les passagers maritimes 1,1 million, les autres catégories (p. ex. piétons) 700 000 et les passagers par chemin de fer arrivent en dernier (150 000). Deux tiers des voyages sont vers les États-Unis et l’autre tiers vers le Canada. www.thetbwg.org PAGE QUATRE Une rencontre productive entre la Vermont Transportation Agency et le ministère des Transports du Québec Par Dave Henry, ministère des Transports du Québec et Karen Songhurst, VTrans C’est à Saint-Jean-sur-Richelieu que s’est tenue le 17 novembre 2011 une rencontre de travail officielle entre la Vermont Transportation Agency (VTrans) et le ministère des Transports du Québec (MTQ). M. Brian Searles, secrétaire de la VTrans, et M. André Meloche, sous-ministre adjoint aux politiques et à la sécurité en transport du MTQ, coprésidaient la rencontre. Ils étaient accompagnés de spécialistes de leurs équipes respectives. Parmi les sujets abordés, notons les infrastructures routières aux frontières et le développement d’une liaison ferroviaire entre le Québec et les États-Unis. Le partenariat entre le Vermont et Cette photo a été prise près du projet du MTQ qui vise à prolonger l’autoroute 35 entre Saint-Jean-sur-Richelieu et Saint-Armand à la frontière du le Québec repose d’abord sur Vermont. une économie fortement intégrée et des échanges économiques stables : en 2010, la valeur de ces (23.5 miles) permettra de compléter le tronçon d’autoroute entre Monéchanges s’est élevée à près de 3,5 milliards de dollars canadiens, tréal et Boston. Les ingénieurs du MTQ ont indiqué que les travaux dont environ 90 % a été transportée par camion. Le transport routier de construction ont débuté en 2009 et que l’autoroute pourrait être est d’ailleurs celui pour lequel la demande croît le plus rapidement achevée et ouverte à la circulation vers 2017. En somme, en plus pour le commerce entre le Canada et les États-Unis. Il s’avère donc d’améliorer la fluidité de la circulation et la sécurité routière dans l’axe important que la communauté exportatrice et l’industrie du transport de l’autoroute 35 et de l’Interstate 89, le MTQ et la VTrans anticipent routier des marchandises bénéficient d’infrastructures routières effi- que la nouvelle autoroute améliorera l’efficacité globale du système de transport et des chaînes logistiques du Québec et de la Noucaces, sûres et sécuritaires dans la région. velle Angleterre. Chaque année, près d’un million de véhicules, dont Le projet du MTQ de prolonger l’autoroute 35 entre Saint-Jean-sur- 20 % de camions, utilisent ce poste pour traverser la frontière entre le Richelieu et Saint-Armand à la frontière du Vermont a été au cœur Canada et les États-Unis. des discussions. Une visite du chantier a permis au secrétaire Searles et à son équipe d’apprécier l’avancement des travaux, aux- Par ailleurs, la collaboration entre la Vtrans et le MTQ à la frontière ne quels Transports Canada contribue financièrement. L’implantation de se limite pas aux corridors de commerce majeurs : les deux États cette infrastructure routière d’une longueur de plus de 37,9 kilomètres partagent en tout 15 postes frontaliers. Bien que le débit de circulation soit moindre pour la plupart de ces postes, ils jouent tout de même un rôle fort structurant pour le fonctionnement de collectivités installées de part et d’autre de la frontière. La rencontre a permis d’échanger sur les prochaines étapes en vue de la restauration du pont international de Sutton-East Richford, construit en 1918. Près de 15 000 véhicules y circulent chaque année, principalement pour des raisons récréotouristiques. Compte tenu que cet ouvrage présente une valeur patrimoniale, il a été décidé conjointement de le restaurer plutôt que le remplacer. Également, des comités bilatéraux pour le partage d’information en matière de sécurité routière et d’infrastructures seront mis en place au cours de la prochaine année. Le pont ci-dessus est le pont Sutton-East Richford. La collaboration entre le MTQ et Vermont VTrans pour la reconstruction de ce pont a été abordée lors de la réunion du 17 novembre. Ces rencontres de coordination entre la VTrans et le MTQ se tiennent chaque année au Vermont ou au Québec, et permettent de maintenir la collaboration fructueuse et active entre les deux agences. Sur le plan des transports, la VTrans et le MTQ sont des partenaires de longue date, et ce partenariat s’est officialisé en 2003 par la signature de l’Accord de collaboration multisectoriel entre le gouvernement de l’État du Vermont et le gouvernement du Québec. Avec cet accord, les parties prévoient encourager la collaboration du plus large éventail possible d’intervenants publics et privés en vue d’améliorer la sécurité, la sûreté et l’efficacité des systèmes de transport et d’accroître le développement économique de la région. www.thetbwg.org PAGE CINQ
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