the special tour - The Company Deracinemoa

Rien à Voir - création 2012
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tour
The Company Deracinemoa
visite décapitante des joyaux de la couronne
Déracinemoa,
détournement de patrimoine since 2003
Voilà près d’une décennie que Deracinemoa se spécialise dans les parcours-spectacles
décalés autour du patrimoine et de la grande et petite histoire.
Un concept simple : regarder l’histoire autrement et transmettre au
public ce qu’elle a de meilleur, au cours d’un parcours avec fautes,
ou chaque intervention sera une raison de plus d’aiguiser le
regard critique et la curiosité du spectateur…
Sous l’appellation générique depuis 2011 «Rien à Voir»,
et un sous-titre spécifique, le spectacle est construit
sur le mode d’un pamphlet contemporain.
«Rien à voir» emmène le spectateur dans un
parcours où tout peut arriver, pourvu que rien ne
puisse à un seul moment se prévoir.
Les guides sont pourtant réels, les figurants et
autres intervenants font tous partie d’un monde
connu, il n’y a que les situations qui dévient
laissant une place de choix à l’absurde, arme de
distraction massive britannique.
«Rien à voir» est une comédie contemporaine ou
l’écrin est un site historique, le langage l’absurde,
le but est commun à toutes les comédies : Rire de
soi, détruire les mythes, les légendes, les héros, pour
s’approcher au plus prêt d’une raison universelle.
Entre absurde et Dada,
une rencontre franco-britannique
Si le mot humour vient de la langue anglaise, ce n’est pas sans effet. Il est une composante fondamentale
de la culture anglaise. L’humour anglais est un humour humaniste, dépourvu de toute notion de
classe, fait d’auto-dérision laissant une part éclatante au « non-sens »… l’absurde y a une place de
choix, le comique de situation, la noirceur, la dérision jouent un rôle essentiel dans la vie culturelle,
mais surtout politique. Les anglais ne se prennent pas au sérieux, c’est d’ailleurs ce qu’ils ont toujours
reproché à la France... n’en déplaise à François Premier.
Relation faite, Deracinemoa acte toutes ses créations sur cette base fondamentale qu’est l’absurde,
une façon de parler de tout, d’être irrévérencieux, d’être de toutes les polémiques, pourvu que ce soit
drôle, car en Angleterre, on peut rire de tout, sauf bien entendu, de la Reine !
The Special Tudor Tour est le parfait prétexte, parler de l’histoire de l’Angleterre, avec un humour
anglais… s’approcher au plus prêt d’une réalité sociale, politique, et Shocking ! si les choses se gâtent,
prendre une tasse de thé !
Des Monty Python’s à Chaplin en passant par le music hall, la tragédie shakespearienne, et la
Worcestershire Sauce… tout est prétexte à sympathiser avec l’ennemi et à vous donner la définition
la plus précise de cette fameuse « Entente cordiale » Honni soit qui mal y pense.
Des Tudors au château d’Hardelot
Dans le cadre de l’exposition «Henry VIII et le Camps du Drap d’Or» nous nous
proposons de créer un parcours spécifique relatant sous un prétexte historique l’histoire
de la dynastie complexe d’une famille anglaise : Les Tudors.
Après avoir renoncer à partir en car faire une excursion de 3 jours sur les traces des
Tudors, (le chauffeur du bus ayant été abattu quelques minutes auparavant par le front
de libération de la branche Plantagenet, dynastie concurrente) le groupe se résout à
faire tout de même une visite, à pied, celle du château d’Hardelot…
Mais à la grande surprise du visiteur, ici, tout sera prétexte à rejouer la grande histoire
épique de la dynastie des Tudors… avec les moyens du bord !
Et ça tombe bien ! Test de remise à niveau sur la monarchie britannique, automates en
costume, audio-guides, highlights, reconstitution historique, voire même : son et lumière.
Une overdose sur le thème du monde du tourisme et des attractions culturelles, une
critique acerbe de l’industrie du spectacle et des mécaniques muséographiques, le tout
dans un but ultime : tout savoir sur les Tudors, ne rien manquer du château d’Hardelot
et donner envie au spectateur de poursuivre ses recherches, de partager son expérience,
le tout dans un grand éclat de rire.
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Un spectacle accessible à tous !
- « Rien à voir » est une visite qui permet d’intégrer entre 20 et 50 spectateurs maximum,
aux limites des accès publics du site, et selon son règlement intérieur.
- Le parcours est tout public, le spectacle est conçu en multipliant les
niveaux de lecture, les références, afin que toutes les générations s’y
identifient.
- Le spectacle est joué un maximum de 3 fois
par jour.
- Le parcours est construit pour durer
approximativement 1h10, chaque représentation
est espacée au minimum d’1h.
- L’âge minimum requis est de 6-8 ans. Les enfants
en bas âge pouvant être effrayé notamment par
les coups de feu, et autres artifices.
- Le spectacle étant construit sur un second
degré de rigueur, la violence mesurée de certaine
scène doit être compréhensible par tous.
Public scolaire et médiation.
- Les représentations sont ouvertes et spécialement conçues pour intégrer
un public scolaire, particulièrement apprécier par les jeunes qui découvrent
l’histoire de façon ludique.
-
A
destination des scolaires, un dossier pédagogique
d’accompagnement à la représentation est réalisé par
l’auteur et aborde la thématique de l’humour
anglais, conseillant des références et films à
étudier en classe en amont.
- Un atelier ou des interventions en
milieu scolaire peuvent être envisagés
en amont des représentations sur la
thématique de l’autodérision, de l’absurde
et de l’intervention artistiques dans l’espace
public.
Thématique et visites spectacles depuis 2003 :
- Au cœur de la grande guerre de 1870, Bitche, une citadelle imprenable.
« Légendes en chantier Episode 1 » Citadelle de BITCHE (57) 2004
« Légendes en chantier Episode 2 » Citadelle de BITCHE (57) 2005
- Sarreguemines, cité faïencière, au cœur d’une des plus grandes usines du XIXème siècle.
« De Geiger à Marie Faïencière » Musée de Sarreguemines (57) 2003-2004
« Suivez les Guides ! » Musée des Techniques Faïencières Sarreguemines (57) 2004
« Court Circuit » Circuit de la Faïence Sarreguemines (57) 2005
- Le Château de Malbrouck entre patrimoine et grandes expositions (CG57)
« Légendes en chantier Episode 3, Le Millionième Visiteur » Château de Malbourck (57) dans le cadre de
l’Exposition d’Art Contemporain « Le Merveilleux ». 2008
« Légendes en chantier Episode 4, l’An Pire Contre Attaque »
Château de Malbrouck (57) dans le cadre de l’Exposition
« Napoléon, Splendeur de l’Empire » 2009
- Autour du Musée Georges de la Tour, les Beaux Arts (CG57)
« Veni Vidi Vici ou Is it la Joconde ? » Musée Georges de la Tour,
Vic-sur-Seille (57) 2010
- Le parc du Haut Fourneau U4, patrimoine sidérurgique en
lutte.
« Rien à Voir Episode 1 » Haut fourneau de Uckange (57)
2010
« Rien à Voir Episode 2 » Haut fourneau de
Uckange (57) 2011
Résidence et exploitation de l’œuvre.
Le spectacle est préparé et répété sur une période de résidence de deux semaines dans
le lieu, il implique l’hébergement de toute l’équipe artistique et technique allant de 5 à
6 personnes maximum.
Le spectacle a pour objectif de n’influer en rien sur la muséographie et les espaces qui
l’accueille, si il y a des mises en place spécifiques, celles-ci sont réalisées en harmonie
totale avec le lieu.
Une fois la création faite, l’exploitation du spectacle se fait à loisirs du site, le spectacle
étant disponible sur une période de 5 ans maximum, en cas de ré-exploitation de
l’œuvre sur les saisons suivantes, des adaptations et améliorations sont réalisées sans
coût supplémentaire, laissant à l’exploitant uniquement la cession des représentations
à sa charge.
Les adaptations de «Rien à Voir» relèvent d’un dépôt à la SACD. Les droits d’auteurs
sont à la charge de l’organisateur exploitant soit 13% de la cession incluant les frais
d’approche.
La dynastie Deracinemoa :
Auteur & metteur en scène :
Laurent-Guillaume DEHLINGER
Directeur artistique et fondateur de la compagnie Deracinemoa en 2004, Laurent invente, manage, drive, calcule,
compte et saoule le programmateur jusqu’à l’épuisement. Tombé dans les sons et lumières amateurs de son papa
quand il était petit, entraîné au Grand Théâtre classique au parisien Cours Florent, aguerri à l’administration et la
diffusion de compagnie au Théâtre de Marionnettes de Metz, échauffé à la manipulation dans la cie La Ballestra,
une voix lyrique, des accents entraînés, de la poésie plein la tête… très rural et très urbain, européen par nature
frontalière… ce grand échalas a des choses à dire… et des rencontres à faire… Il défene théâtre de rue parce qu’il
y a plus de rues que de théâtres, et aime aller chercher son public.
Laurent n’est d’aucun milieu… sinon celui de son bled lorrain… c’est de là que lui vient sa passion pour
l’absurde, le comique de situation, au cœur de la vie des gens simples… là où le spectacle vivant s’est éteint il y a
bien longtemps… là ou il y a tout à reconstruire.
Avec :
Cathy ROHR
Formée au studio Pygmalion et au théâtre populaire de Lorraine Cathy Rohr, Cathy à une formation classique tout
à fait intéressante et vraiment très bien faîte. Cela étant, il est des moments dans la vie où il faut choisir son camp
et c’est bien le dilemme de cette comédienne surprenante, elle ne l’a jamais choisi, et tant mieux !
Que ce soit au sein de la Cie qu’elle dirige, le Théâtre du petit pois où elle créé des petites formes pour les
enfants, qu’en aveugle conteuse pour camion bio à propulsion à huile de frites, pour La chose Publique, ou
encore en guide bien frappée pour Deracinemoa, Cathy serait de tous nos projets, si Cathy ne serait pas de tous
les projets, grand bien lui fasse ! Nous en tous cas, on est super content quand elle a le temps de jouer avec nous,
car au delà de ses qualités de diseuse de bonne aventure, elle nous fait bien marrer.
Note importante: Cathy est la petite fille de François et Antoinette Rohr, épiciers à Gros-Rederching et la cousine
de Frédéric Philippi, pompier à Singling. CQFD !
Mathilde DUFFILLOT
Formée elle aussi au cours Florent, parisienne de souche et de cœur, elle cultive le paradoxe de son personnage
dans la vie et en scène… Qualifiée de résolument « folle » par notre metteur en scène, elle reprend le rôle difficile
de la Reine d’Angleterre, et transfigure la monarque en un personnage totalement décalé et infiniment comique…
ce qui lui vaudra de fameuses critiques jusque dans les salons théâtreux parisiens. Auteur et comédienne, elle
crée « un compartiment pour deux », une comédie décapante pour deux comédiennes névrosées coincées dans
un moment ferroviaire, et part à la conquête des théâtres parisiens. Elle rejoint naturellement la compagnie sur sa
nouvelle création, la promesse est devenue nécessitée, et la rue une seconde nature.
Morgan BIETRY
Féru de chanson française, (Damned !), accro aux comédies musicales et au karaoké, (God bless him !), Morgan
n’avait rien pour bien commencer dans la vie, et pourtant… Une voix cristalline, un grain de folie bien placé, un
sens aigu de l’image et du son, et un rire communicatif à faire pâlir la reine elle-même.
Excellent photographe, infographiste de talent, Morgan prend les reines de notre plate-forme virtuelle, de notre
identité visuelle, et de tout ce qui s’apparente de près ou de loin au mot «communication». Il partage notre activité
avec la plate-forme relation auditeur de France Bleu Lorraine Nord, un chargé de communication tout trouvé…
on en avait bien besoin !
Et si le désir de le voir et de le toucher en vrai vous envahit, voici le nouveau régisseur technique de « Garden » et
de « The Queen » .
Morgan sait presque tout faire… et ce qu’il ne sait pas encore faire il va l’apprendre parce qu’on n’est pas là pour
déconner ! Bordel de merde !
Production : The Company Deracinemoa
Hôtel de Gournay
9 rue du Grand Cerf
57000 Metz
Tel : 00 33 (0)6 66 85 82 64
Courriel : [email protected]
The Company Deracinemoa
www.deracinemoa.eu