VOUS CONSERVEZ). Q.C.M. Q.C.M. EXERCICES CHRONOLOGIE
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VOUS CONSERVEZ). Q.C.M. Q.C.M. EXERCICES CHRONOLOGIE
ÉCOLE SUPÉRIEURE DE MASSEURS KINÉSITHÉRAPEUTES et PÉDICURES Samedi 31 mars 2007 CORRIGE Instituts Privés de formation 17, rue de Liège 75009 PARIS ÉPREUVE DE BIOLOGIE 1 durée 1H 30 (IL N’Y A PAS DE POINTS NÉGATIFS) LIVRET Q.C.M. – Q.C.M. EXERCICES et CHRONOLOGIE (QUE VOUS CONSERVEZ). Q.C.M. LES RÉPONSES SONT À REPORTER À LA PAGE 13. Q.C.M. EXERCICES LES REPONSES SONT À REPORTER À LA PAGE 14. CHRONOLOGIE LES RÉPONSES SONT À REPORTER À LA PAGE 14. EXERCICES SUJETS et REPONSES PAGES 15 et 16. QUESTIONS DE COURS SUJETS et RÉPONSES PAGES 17 et 18. E.S.M.K.P. 17, rue de Liège 75009 PARIS 1 I/ Q.C.M. INSCRIVEZ LA ou LES BONNES REPONSES DANS LE TABLEAU PREVU A CET EFFET, PAGE 13 (IL PEUT Y AVOIR AUCUNE BONNE REPONSE DANS CE CAS, NOTEZ « O »). 0,2 points par Q.C.M. 1) Le brassage de l’information génétique au cours de la méiose : a) Résulte du crossing-over en prophase 2. b) N’affecte que les gènes non liés. c) Se réalise au cours de la première division de la méiose. d) Conduit à des associations originales et nouvelles des allèles. 2) La fécondation : a) Amplifie le brassage génétique assuré par la méiose. b) Assure une séparation indépendante des allèles de chaque gène. c) Contribue à la réalisation d’un organisme présentant une association des allèles de l’espèce qui est unique. d) Ne crée pas de nouveaux allèles de gènes mais crée de nouveaux assortiments d’allèles. 3) Un test-cross : a) Permet de connaître directement les divers types de gamètes produits par les hétérozygotes. b) Consiste à croiser deux individus de race pure. c) Sert à déterminer si les gènes sont liés ou indépendants. d) Utilise un homozygote récessif pour les gènes étudiés. 4) La deuxième division de la méiose : a) Assure la séparation des deux chromatides de chaque chromosome. b) Est caractérisée par la réduction chromatique. c) Aboutit à une quantité d’ADN divisée par deux par rapport à celle de la cellule diploïde initiale. d) Permet des échanges de chromatides entre tous les chromosomes. 5) Les lymphocytes cytotoxiques (LT8 ) : a) Possèdent des récepteurs T qui reconnaissent tous les antigènes. b) Participent à la réponse immunitaire non spécifique. c) Coopèrent avec les lymphocytes LB. d) Provoquent la transformation des LB en plasmocytes. 6) Il existe plusieurs phases de l’infection par le VIH : a) La durée de la primo-infection est de plusieurs mois. b) La phase asymptomatique est caractérisée par une augmentation de la charge virale. c) La phase symptomatique est déclarée quand le nombre de LT4 augmente. d) La phase asymptomatique est caractérisée par la présence dans le sang d’anticorps anti-VIH. 7) Les caractères embryonnaires homologues chez les vertébrés : a) Ont le même plan d’organisation. b) N’ont pas toujours la même fonction chez l’adulte. c) Dérivent d’une même structure commune à un stade plus précoce de développement. d) Sont hérités d’un ancêtre commun. E.S.M.K.P. 17, rue de Liège 75009 PARIS 2 8) Dans un segment double brin d’un gène, on a pu dénombrer en tout 30 cytosines et 15 adénines. L’ARNm correspondant à ce gène renferme 20 cytosines et 7 adénines : a) Le brin transcrit d’ADN comporte 10 cytosines. b) Le brin transcrit d’ADN comporte 8 adénines. c) L’ARNm comporte 20 guanines. d) L’ARNm comporte 6 uraciles. 9) Les allèles d’un gène : a) Codent toujours pour des protéines différentes. b) Peuvent différer par leur longueur. c) Diffèrent toujours par leur séquence de nucléotides. d) Codent toujours pour des protéines fonctionnelles. 10) Une mutation : a) Modifie toujours la séquence d’un gène. b) A obligatoirement son origine sur l’ADN. c) Peut ne pas modifier la structure primaire d’un polypeptide. d) Donne toujours naissance à un nouvel allèle. 11) On appelle homozygote pour un gène : a) Des individus ayant le même phénotype déterminé par ce gène. b) Des individus ayant un même allèle du gène en deux exemplaires. c) Des individus ayant au moins un allèle récessif du gène. d) Des individus présentant une seule forme allèlique du gène. 12) Les innovations génétiques : a) Défavorables, confèrent un avantage sélectif aux individus qui en sont porteurs et ont une probabilité plus grande à se répandre dans la population. b) Favorables, ne confèrent pas d’avantage sélectif aux individus qui en sont porteurs mais se répandent dans la population. c) Neutres, confèrent un désavantage sélectif aux individus qui en sont porteurs et peuvent disparaître de la population. d) Peuvent permettre d’augmenter les combinaisons allèliques. 13) La délétion d’un nucléotide : a) Entraîne un décalage du cadre de lecture. b) Peut provoquer l’apparition d’un codon-stop anticipé dans la séquence du gène. c) A le plus souvent des conséquences sur l’activité biologique du polypeptide codé par le gène. d) Peut avoir des conséquences sur le phénotype. 14) Les familles multigéniques : a) Sont formées de gènes ayant des séquences d’ADN communes. b) Dérivent d’un gène ancestral par accumulation de mutations géniques. c) Sont le témoin d’innovations génétiques survenues dans le passé de l’espèce, voire des espèces ancestrales. d) Dérivent d’un gène ancestral par duplication, transposition et mutation génique. E.S.M.K.P. 17, rue de Liège 75009 PARIS 3 15) A propos de l’encéphale : a) Le cortex cérébral est la couche la plus externe des hémisphères cérébraux. b) On y trouve des interneurones. c) La plasticité neuronale ne caractérise que les périodes embryonnaires et néo-natale de la vie. d) Le cortex somato-sensoriel occupe toute la périphérie des hémisphères cérébraux. 16) A propos du diabète : a) Lors d’un diabète de type 1, les injections d’insuline sont vitales. b) La richesse de l’alimentation en lipides est sans influence sur le développement d’un diabète de type 2. c) Le développement d’un diabète de type 2 chez des individus issus d’une même population initiale est indépendant de leurs conditions de vie. d) Placés dans un même environnement, tous les individus présentent une même prédisposition à développer un diabète de type 2. 17) Le génotype est : a) L’ensemble des gènes d’un individu. b) Les différentes combinaisons alléliques qu’un individu possède pour chaque gène. c) Les différents allèles d’un même gène chez un individu donné. d) Un type de gène donné. 18) Le phénotype : a) Le phénotype macroscopique peut correspondre à plusieurs génotypes. b) L’électrophorèse est une technique d’analyse des protéines. c) Le phénotype macroscopique dépend étroitement des protéines. d) Les protéines sont des polymères de nucléotides. 19) Une mutation : a) A pour origine la modification de la séquence d’acides aminés de la protéine. b) Provoque l’apparition de nouveaux allèles. c) Ne touche que les cellules germinales. d) Peut avoir lieu pendant la traduction. 20) Les mutations touchant les gènes homéotiques peuvent : a) Avoir des répercussions sur la chronologie et la durée relative de la mise en place des caractères morphologiques. b) Avoir des conséquences phénotypiques importantes. c) Aider à comprendre l’apparition d’espèces nouvelles au cours de l’évolution. d) Avoir des conséquences sur la synthèse des polypeptides au sein d’une espèce. 21) Un chromosome à 2 chromatides : a) Contient 2 brins d’ADN. b) Contient autant d’adénine que de thymine. c) Peut posséder plusieurs centromères. d) Possède 2 allèles identiques par gène à l’issu de la replication. 22) Une protéine : a) Est un polymère d’acides aminés. b) Se forme dans toutes les cellules sur le réticulum endoplasmique. c) Se forme lors de la transcription. d) Sa structure primaire repose sur l’établissement de liaisons peptidiques. E.S.M.K.P. 17, rue de Liège 75009 PARIS 4 23) LH et FSH : a) Sont des hormones posthypophysaires. b) Sont sous contrôle hypothalamique. c) Sont produites à taux constant. d) Ont pour cible les cellules de Sertoli des tubes séminifères. 24) Les hormones ovariennes, oestrogènes et progestérone : a) Sont responsables du pic de LH b) Agissent par rétrocontrôle sur le complexe hypothalamo-hypophysaire. c) Sont sécrétées de façon cyclique. d) Sont sécrétées par la zone pellucide. 25) Le gène SRY : a) Est situé sur les chromosomes X et Y. b) S’exprime tout au long de la vie embryonnaire. c) Code la protéine TDF. d) Induit l’évolution de la gonade indifférenciée en testicules par l’intermédiaire d’une protéine. 26) Le cycle ovarien : a) Entraîne l’expulsion du follicule mûr. b) Débute dans un follicule primaire. c) Permet une reprise de la méiose. d) S’achève par l’ovulation. 27) L’utilisation des pilules combinées, c’est-à-dire formées d’une association d’oestrogènes et de progestérone, prise de façon continue pendant 21 jours : a) A une action négative sur la sécrétion des gonadostimulines. b) Empêche l’ovulation. c) N’a pas d’action sur le mucus cervical. d) N’agit pas sur la croissance folliculaire. 28) Les synapses neuro-neuroniques chez l’homme : a) Présentent un élément postsynaptique non nerveux. b) Sont des structures présentant une organisation polarisée. c) Se retrouvent dans la plaque motrice. d) Se situent essentiellement dans un centre nerveux. 29) Le potentiel de repos : a) Correspond à une ddp de 0mV. b) Se mesure à l’échelle d’un nerf. c) Caractérise un milieu intra-cellulaire relativement électro-négatif. d) Indique une polarité de la membrane du neurone. 30) Le réflexe myotatique : a) A pour stimulus une variation de longueur du muscle. b) Est un réflexe médullaire. c) Est un réflexe monosynaptique. d) Entraîne un étirement du muscle concerné. E.S.M.K.P. 17, rue de Liège 75009 PARIS 5 31) Un neurotransmetteur : a) Est stocké dans l’élément post-synaptique. b) Pénètre dans l’élément post-synaptique. c) Se fixe sur la membrane du bouton synaptique. d) Engendre toujours en se fixant, un potentiel d’action. 32) Une enzyme : a) Est dénaturée par les basses températures. b) Est saturée quand il n’y a plus de molécules de substrat. c) A une structure primaire modifiée lors de la formation du complexe enzyme-substrat. d) Résulte de l’expression du génome. 33) L’activité enzymatique : a) Dépend uniquement du site catalytique. b) Peut être conditionnée par la température du milieu. c) Dépend essentiellement de la concentration en substrat. d) Se mesure en fonction de la vitesse de la réaction. 34) Le follicule ovarien de De Graaf, chez la femme : a) Est une structure endocrine. b) Peut être observé classiquement chez une femme de 40 ans prenant régulièrement une pilule oestro-progestative normo-dosée. c) Produit des hormones stéroïdes. d) Présente une cavité, l’Antrum, remplie de liquide folliculaire. 35) L’embryon puis le fœtus humain normal et de sexe génétique XY : a) Sécrète de la testostérone à l’origine du développement de ses canaux de Müller. b) A ses testicules qui migrent généralement dans les scrotums au cours du premier trimestre de la grossesse. c) Sécrète une hormone anti-müllérienne (AMH) à l’origine de la régression de ses canaux de Müller. d) A sa naissance, présente un appareil génital en place mais incapable de produire des gamètes. 36) Un codon : a) Code toujours pour un acide aminé. b) Est un triplet de nucléotides. c) Est porté par l’ADN. d) Peut coder pour le même acide aminé qu’un autre codon. 37) Le message nerveux à l’échelle du neurone : a) Est codé en fréquence. b) Est codé en amplitude. c) Est automatiquement déclenché dès qu’il y a stimulation. d) Est toujours de nature électrique. 38) Une espèce haploïde : a) Possède des paires de chromosomes homologues. b) A une méiose formant des gamètes. c) Ne peut avoir de brassage inter-chromosomique. d) La méiose précède la fécondation dans sa reproduction sexuée. E.S.M.K.P. 17, rue de Liège 75009 PARIS 6 39) A propos de la glycémie : a) La glycogénogenèse hépatique entraîne une augmentation de la glycémie. b) L’insuline et le glucagon sont deux polypeptides sécrétés par le foie en réponse à des variations de la glycémie. c) Lors d’une hyperglycémie consécutive à un repas, la concentration plasmatique en glucagon augmente. d) Le muscle contient du glycogène qu’il peut restituer au sang sous forme de glucose. 40) Homo Habilis : a) Homo Habilis est antérieur à Homo Erectus. b) Se caractérise par la maitrise du feu. c) A un ancêtre commun avec les australopithèques. d) A migré en Asie. E.S.M.K.P. 17, rue de Liège 75009 PARIS 7 II/ Q.C.M. EXERCICES INSCRIVEZ LA ou LES BONNES REPONSES DANS LE TABLEAU PREVU A CET EFFET, PAGE 14 (IL PEUT Y AVOIR AUCUNE BONNE REPONSE DANS CE CAS, NOTEZ « O »). – 0,5 points par Q.C.M 1/ L’évolution moléculaire : Les vertébrés possèdent tous des molécules d’hémoglobine ; c’est la molécule qui assure le transport de l’oxygène dans les hématies. Cette molécule est une protéine formée de deux types de chaînes : alpha et bêta. Les séquences partielles d’acides aminés de la chaîne bêta sont indiquées ci-dessous, chaque acide aminé étant représenté par une lettre. La séquence est complète pour l’hémoglobine de chat ; les autres séquences sont alignées : les tirets indiquent un acide aminé identique à celui de la séquence du chat à la même position. On compare des portions de séquences d’acides aminés chez plusieurs mammifères. a) Le crocodile est plus proche, phylogénétiquement, du crapaud que de l’autruche. b) Plus le nombre de différences entre les séquences d’acides aminés de deux molécules est grand, plus l’ancêtre commun des deux animaux est récent. c) Chez les vertébrés, les molécules d’hémoglobine sont qualifiées d’homologues, car semblables dans leur structure et leur fonction, et très proches dans leur séquence peptidique. d) Les molécules du chimpanzé et de l’homme sont identiques : cela permet d’affirmer que le chimpanzé est l’ancêtre commun de l’homme. E.S.M.K.P. 17, rue de Liège 75009 PARIS 8 2/ Immunologie. On utilise deux lignées de souris, qui diffèrent par un gène d’histocompatibilité : les souris H2-k et H2-d, et qui n’ont jamais été en contact avec les virus A et B avant l’expérience. Première étape : on réalise trois cultures de fibroblastes (cellules de la peau) de souris H2-k et H2-d et on les infecte par un virus A ou B. Deuxième étape : on inocule le virus A à une souris H2-k. Troisième étape : sept jours après l’inoculation, on prélève les lymphocytes T de cette souris H2-k et on les introduit dans les trois cultures. Expérience Première étape Culture 1 Trois cultures de Fibroblastes fibroblastes (cellules de de souris H2-k la peau) de la souris + virus A Deuxième étape Culture 2 Fibroblastes De souris H2-k + virus B Culture 3 Fibroblastes de souris H2-d + virus A Culture 2 + lymphocytes T de H2-k Culture 3 + lymphocytes T De H2-k Pas de lyse Des fibroblastes Pas de lyse Des fibroblastes Injection du virus A à une souris H2-k Troisième étape 7 jours après, les lymphocytes T de la Culture 1 souris sont prélevés et + lymphocytes T introduits dans les de H2-k cultures Résultats a) b) c) d) Lyse des fibroblastes La lyse des fibroblastes est une réaction immunitaire. Les lymphocytes de H2-k sont toujours efficaces pour les souris de cette souche. La réaction immunitaire est spécifique d’un virus. L’immunité par les lymphocytes T peut être transférée d’une souche à l’autre. E.S.M.K.P. 17, rue de Liège 75009 PARIS 9 3/ évolution des hormones au début de la grossesse. Pour comprendre l’évolution des hormones au début de la grossesse, on réalise des mesures de concentrations plasmatiques de progestérone et de HCG chez une femme sur deux cycles successifs, le second étant caractérisé par une fécondation suivie d’un début de grossesse. La courbe ci-dessous traduit ces résultats : a) b) c) d) La progestérone et l’hormone chorionique de grossesse (HCG) sont sécrétées par les follicules ovariens. La sécrétion de progestérone débute après l’ovulation car elle est due à l’activité des cellules lutéales qui se développent dans le follicule transformé en corps jaune. L’hormone HCG exerce directement un rétrocontrôle négatif sur le complexe hypothalamushypophysaire, ce qui bloque les cycles ovariens et utérins. L’hormone HCG est responsable du maintien et du développement du corps jaune pendant le début de la grossesse. 4/ étude d’une électrophorèse. Le document ci-dessous représente une électrophorèse des chaînes de l’hémoglobine humaine de 7 individus. Cette électrophorèse indique : a) L’existence de 3 allèles différents. b) Une homozygotie possible chez l’individu 1. c) Une trisomie chez l’individu 6. d) L’existence de 7 phénotypes différents. E.S.M.K.P. 17, rue de Liège 75009 PARIS 10 III/ CHRONOLOGIE. REPLACER et REPORTER LA REPONSE DANS LE TABLEAU PREVU PAGE 14 A CET EFFET PAR ORDRE CHRONOLOGIQUE LES DIFFÉRENTS ÉVÈNEMENTS PROPOSÉS (A L’AIDE DES LETTRES DE A à F). 0,5 points par chronologie. 1) La spermatogenèse : a) Formation de spermatides. b) Formation de spermatogonies. c) Brassage interchromosomique. d) Fin de la division réductionnelle. e) Formation des spermatocytes 1. f) Brassage intrachromosomique. 2) Le réflexe myotatique : a) Passage d’un influx dans la racine ventrale de la moelle épinière. b) Etirement du muscle. c) Intégration neuronale. d) Action du neurotransmetteur au niveau de la plaque motrice. e) Conduction de potentiels d’action afférents. f) Contraction du muscle. 3) La réponse immunitaire : a) Macrophage devenant CPA (Cellule Présentatrice d’Antigène). b) Phagocytose. c) Clonage des Lymphocytes T4. d) Action de la perforine. e) Action de l’interleukine. f) Fixation du lymphocyte T8 sur la cellule infectée. 4) La régulation de la glycémie : a) Activation de la glycogénogenèse. b) Sécrétion d’insuline. c) Mesure de la glycémie par les cellules du pancréas. d) Absorption de glucose par les cellules hépatiques . e) Absorption intestinale. f) Repas. E.S.M.K.P. 17, rue de Liège 75009 PARIS 11 ÉCOLE SUPÉRIEURE DE MASSEURS KINÉSITHÉRAPEUTES et PÉDICURES Samedi 31 mars 2007 CORRIGÉ Instituts Privés de formation 17, rue de Liège 75009 PARIS ÉPREUVE DE BIOLOGIE 1 durée 1H 30 (IL N’Y A PAS DE POINTS NÉGATIFS) Inscrivez en premier lieu vos NOM-PRÉNOM et NUMÉRO dans la partie à rabattre en haut à droite. RABATTEZ le coin noir et CACHETEZ. QUESTIONS Lisez attentivement chaque question et donnez les réponses dans les cadres prévus à cet effet. NE DÉGRAFEZ PAS la liasse de votre copie anonyme (page 12 à 18) VOUS NE POURREZ PAS ÊTRE CLASSÉ si vous n'indiquez pas votre nom et numéro comme il est demandé ou si vous avez dégrafé la liasse de la copie anonyme. Ce document est numéroté de 12 à 18. Q.C.M. LES RÉPONSES SONT À REPORTER À LA PAGE 13. Q.C.M. EXERCICES LES REPONSES SONT À REPORTER À LA PAGE 14. CHRONOLOGIE LES RÉPONSES SONT À REPORTER À LA PAGE 14. EXERCICES SUJETS et REPONSES PAGES 15 et 16. CHRONOLOGIE SUJETS et RÉPONSES PAGES 17 et 18. E.S.M.K.P. 17, rue de Liège 75009 PARIS 12 TABLEAU DE RÉPONSES I/ Q.C.M. (0,2 points par Q.C.M.) Q.C.M. n° RÉPONSES Q.C.M. n° RÉPONSES 1 C–D 21 B–D 2 A–C–D 22 A–D 3 A–C–D 23 B 4 A–C 24 A–B–C 5 A–C-D 25 C–D 6 D 26 C 7 A–B–C–D 27 A–B 8 A-B 28 B–D 9 B–C 29 C-D 10 A–B–C-D 30 A–B–C 11 B–D 31 O 12 D 32 D 13 A–B–C-D 33 B-D 14 A–B–C–D 34 A–C-D 15 A-B 35 C-D 16 A 36 B-D 17 B-C 37 A 18 A–B-C 38 O 19 B 39 O 20 A–B–C-D 40 A-C E.S.M.K.P. 17, rue de Liège 75009 PARIS 13 TABLEAU DE RÉPONSES II/ Q.C.M. EXERCICES (0,5 points par Q.C.M.) Q.C.M. n° RÉPONSES 1 C 2 A–C 3 B-D 4 A–B-C TABLEAU DE RÉPONSES III/ CHRONOLOGIE. (0,5 points par chronologie). Q.C.M. n° RÉPONSES 1 B–E–F–C–D-A 2 B–E–C–A–D-F 3 B–A–C–E–F–D 4 F–E–C–B–D-A E.S.M.K.P. 17, rue de Liège 75009 PARIS 14 IV/ EXERCICES . 1/ Un homme et une femme qui ne présentent sur leurs hématies ni le marqueur A ni le marqueur B, ont été classés dans le groupe sanguin O. Ce couple a eu deux enfants légitimes, l’un de groupe sanguin A, l’autre de groupe sanguin B. Le gène gouvernant ce caractère est sur le chromosome 9. Pour expliquer le phénotype de ces enfants, il faut s’appuyer sur la connaissance de la nature des marqueurs membranaires et sur le mécanisme de leur synthèse. Cette synthèse s’effectue par étapes (document). DOCUMENT : Etapes de la synthèse des marqueurs membranaires du système ABO. L’avant-dernière étape est gouvernée par un gène non localisé sur le chromosome 9. L’allèle H de ce gène permet la fixation du fucose sur un précurseur, ce qui conduit à la synthèse du marqueur H. L’allèle récessif h ne permet pas la fixation de ce fucose. La dernière étape est gouvernée par le gène du système ABO. L’allèle A permet la fixation de la N-acétylgalactosamine sur le marqueur H. L’allèle B permet la fixation du galactose sur le marqueur H. L’allèle O ne permet de fixer ni la N-acétylgalactosamine ni le galactose sur la substance H. Donner les génotypes possibles des 2 parents et des 2 enfants (sans les justifier). Reponse (2 points) Parent Parent Enfant A Enfant B Génotypes possibles E.S.M.K.P. 17, rue de Liège 75009 PARIS 15 2/ On étudie chez la souris la transmission de 3 caractères différents : - la longueur des poils la couleur des poils l’aspect des oreilles. 1 ère série de croisements : On croise 2 souris de race pure : - l’une à poil long et aux oreilles normales - l’autre à poil court et aux oreilles atrophiées. On constate que les descendants sont tous à poil long et aux oreilles normales. En croisant ces descendants avec des souris à poil court et aux oreilles atrophiées, On obtient : - 70 souris à poil long et oreilles normales - 68 souris à poil court et oreilles atrophiées - 72 souris à poil long et oreilles atrophiées - 69 souris à poil court et oreilles normales. 2ème série de croisements : On croise 2 souris de race pure : - l’une à poil long et de couleur grise - l’autre à poil court et de couleur blanche. Tous les descendants sont de couleur grise et à poil long. En croisant ces descendants avec des souris de couleur blanche et à poil court, on obtient : - 120 souris de couleur grise à poil long - 20 souris de couleur grise à poil court - 115 souris de couleur blanche à poil court - 18 souris de couleur blanche à poil long. Proposer une illustration chromosomique rigoureuse de ces trois gènes pour un individu hétérozygote. Réponse ( 2 points) E.S.M.K.P. 17, rue de Liège 75009 PARIS 16 V/ QUESTIONS DE COURS 1/ Faire un schéma fonctionnel montrant la chronologie de la transmission synaptique chimique d’une synapse neuroneuronique excitatrice. Réponse – 2 points E.S.M.K.P. 17, rue de Liège 75009 PARIS 17 2/ Représenter sous la forme d’un schéma fonctionnel la sécrétion et l’action du glucagon sur la glycémie. Réponse – 2 points E.S.M.K.P. 17, rue de Liège 75009 PARIS 18