Jean Christophe NINET
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Jean Christophe NINET
Jean Christophe NINET Conseiller municipal, candidat lors des dernières élections municipales de 2008 à Saint-Ismier, Conseiller intercommunal du Grésivaudan, Président de l’association l’Ismérusien, vous rend compte de l’action politique de son groupe au Conseil Municipal et évalue l’action en 2011 de l’équipe municipale en place. Saint-Ismier Les réponses aux questions que vous vous posez : •• Combien le fiasco d’Isiparc va-t-il coûter aux habitants ? •• Pourquoi la multiplication des constructions d’immeubles est-elle due à la seule volonté du Maire ? •• Comment mettre l’environnement au coeur de la politique locale ? •• Quelle démocratie et quelle transparence ? Retrouvez nos documents précédents sur : http://www.jean-christophe-ninet.fr/ Les élus de notre groupe Joëlle TONAIND Jean Claude GENEVOIS http://w w w. jean- c hr istop he -ninet. fr / Geneviève PICARD 1 Isiparc La vérité sur ce fiasco financier Les mauvais choix de la mairie sont la cause de cet échec La friche d’Isiparc La zone d’Isiparc se situe aux Plantées au dessus de l’autoroute. Madame Ferradou a décidé de créer cette zone industrielle telle qu’elle était définie au schéma directeur. Pour ce faire, elle a acheté le terrain pour partie à l’hôpital de Grenoble et le reste à des habitants de Saint-Ismier en les menaçant d’expropriation. Contrairement aux affirmations du Maire, cette acquisition a été réalisée sans réflexion, bien avant l’arrivée de Territoires 38 • à un prix qui n’a absolument pas tenu compte du défaut d’infrastructures, des perspectives économiques de la zone et du marché. • sans qu’aucune entreprise ne se soit engagée fermement à l’achat à un prix défini. • sans faire réaliser les habituelles études de sols approfondies alors que l’association «Avenir Buttit les Plantées» avait signalé que construire des bâtiments industriels sur ces terrains gorgés d’eau relevait de la gageure et entraînerait des surcoûts très importants. La municipalité a pourtant, après ce constat, engagé 1 200 000 euros supplémentaires pour la réalisation d’infrastructures ! • en envisageant des prix de cession irréalistes. Selon Territoires 38, entreprise d’aménagement de référence en Isère, le projet Isiparc serait déficitaire de 1 380 000 euros par rapport au bilan prévisionnel initial, sans compter les subventions déjà engagées de 1 516 000 euros ! Pour véritablement développer l’activité dans notre commune, nous avions proposé l’achat, à un prix raisonnable, des terrains situés en contrebas de l’autoroute, de qualité optimale, qui pouvaient être renégociés dans le cadre du futur SCOT et qui étaient contigus à la zone d’activité existante. Nous n’avons pas été écoutés ... Ces pertes devront être réglées par les contribuables de Saint-Ismier 2 Isiparc Les pertes d’Isiparc coûteraient 1 150 euros à chaque famille La rupture du contrat avec Territoires 38 Le Maire a décidé de ne pas prolonger le contrat qui lie la commune à Territoires 38 pour la commercialisation de la zone alors que cette société, filiale de la caisse des dépôts et des consignations, est un acteur majeur du secteur. C’est une façon pour l’équipe municipale de se dédouaner, mais, comme nous l’avons vu, cet échec est essentiellement lié à une suite d’erreurs de la municipalité. Reprocher à Territoires 38 de ne pas avoir fait d’étude de sol dès son arrivée alors que le terrain était déjà acheté par la mairie est une tromperie. L’échec d’Isiparc perturbe le calendrier de notre développement économique et aggrave le déséquilibre emplois - logements Les emplois attendus d’Isiparc n’ont pas été créés à temps et la croissance accélérée du nombre de logements à Saint-Ismier déséquilibre le ratio activités / logements. Cela va à l’encontre des lois du Grenelle 2 de l’environnement et de la loi SRU qui prônent un développement économique en harmonie avec la création de logements. En effet, seuls les gens travaillant loin de notre commune pourront venir y habiter. Selon nos analyses, cela accroîtra encore le trafic sur les voies d’accès de Saint-Ismier avec l’inévitable augmentation des embouteillages que cela implique. Le fiasco d’Isiparc va coûter très cher aux contribuables de Saint-Ismier et perturber nos grands équilibres urbains et financiers Il faut donc, dès aujourd’hui : • réévaluer sa gestion opérationnelle et stratégique, • se poser la question de l’étendue de la zone, de sa redéfinition éventuelle et de son devenir, • agir en concertation pleine et entière avec les habitants. Pour bien comprendre et aller plus loin : synthèse du rapport annuel de Territoires 38 Dans son compte rendu annuel 2010, Territoires 38 annonce un déficit supplémentaire de l’opération Isiparc de 1 380 000 euros pour la réalisation du projet. Dès l’instant où les déficits sont couverts par notre commune, ils prennent pudiquement le nom de « participations». Participation de remise d’ouvrage, et participation d’équilibre, même en coupant la poire en deux, elles n’en restent pas moins indigestes et à la charge des ismérusiens. La lecture du rapport, éclaire sur plusieurs points. Les investigations géotechniques menées sur la zone, imposent des contraintes non seulement aux fondations en occasionnant des surcoûts, mais aussi une nouvelle configuration de l’implantation des bâtiments. Aucun des acheteurs potentiels n’a donné suite à sa promesse d’achat, et aucune nouvelle demande n’est enregistrée. Territoires 38 d’après ses analyses propose donc une baisse de 662 000 euros HT sur les prix de vente précédemment fixés. Sur les 53 995 m², seuls 12 325 m² seraient vendus à 60 euros le m² le reste à 35 euros, et un lot de 6 645 m² à 50 euros ! La modification de l’implantation des bâtiments, engendrerait un coût supplémentaire d’environ 167 000 euros, mais surtout il est proposé d’allonger la durée de la commercialisation de NEUF ANNEES supplémentaires ! Ce qui entraînerait un surcoût des frais financiers, des frais de suivi opérationnel de l’aménageur et divers … pour 243 000 euros. Les « participations » demandées à notre commune s’élevant pour finir à 925 000 euros payés pour remise d’ouvrage plus 1 323 416 euros de « participation d’équilibre » soit un total de 2 248 416 euros HT, soit 719 888 euros HT de plus par rapport à la convention initiale. Le déficit est donc bien de 719 888 euros HT de participation supplémentaire augmenté de 662 000 euros HT de baisse des prix de cession des lots, soit un total de 1 380 000 euros ! On peut comprendre le désappointement des élus de la majorité, puisqu’ils se faisaient fort de commercialiser le tout en 4 ans, avec tout de même déjà 1 516 000 euros de subventions initiales qui se rajoutent aujourd’hui au déficit de 1 380 000 euros, soit un total de 2 896 000 euros réglés par nous, contribuables ! Autrement exprimé, 1 150 euros pour chaque famille ! Actuellement, la commune a déjà versé une subvention de 591 664 euros plus une participation de remise d’ouvrage de 300 000 euros sans qu’aucun lot n’ait encore été vendu. 3 Urbanisme Faire une autre politique du logement Aucune loi n’oblige le Maire de Saint-Ismier à construire autant d’immeubles Evergreen Le Code de l’Urbanisme laisse toute liberté aux Maires pour accélérer ou freiner le rythme des constructions de logements dans une commune. L’esprit de la loi est de limiter l’étalement urbain sans dicter aux municipalités leur mode de croissance. Les orientations des Maires s’expriment dans le cadre d’instances supra-communales, SDAU, aujourd’hui SCOT et PLH, où ils ont tout le loisir de négocier leur vision pour leur commune. Lorsque le Maire a fait une modification spéciale du PLU pour rendre constructible le terrain du programme Evergreen sous l’Agora puis a augmenté fortement son droit à construire en spécifiant les distances par rapport aux voiries, aucune loi supra-communale ne l’y obligeait (Art L110 et L121-1 du Code l’Urbanisme). Comment peut-elle dire en réunion publique sur le PLU qu’elle n’est pas responsable des programmes immobiliers sortant actuellement de terre ? En réalité, elle les a tous autorisés et facilités par des modifications successives du PLU de 2005 qu’elle a, elle-même, réalisé. Fallait-il construire, à l’entrée de notre commune, des bâtiments aussi imposants construits à moins d’un mètre de la route départementale RD 1090 ?... Au-delà des problèmes de sécurité que cela peut créer pour les habitants, le ton est donné : Saint-Ismier s’enlaidit Une entreprise-conseil en urbanisme va être missionnée pour tenter de limiter les dégâts sur notre entrée de ville. Mais à nouveau à quel prix et pour quels résultats ? Nous aurions préféré que nos propositions de constructions, moins hautes, mieux intégrées et respectant les riverains aient été retenues. Le Maire s’était engagé en 2008 à sauvegarder notre cadre de vie, c’est l’inverse qui se produit. Nous pesons de tout notre poids pour que le nouveau PLU soit moins désastreux que le précédent et qu’il prévoit de nombreux espaces verts. Evergreen Les villas sous le programme Evergreen sont désormais surplombées par des immeubles Répondre autrement à l’obligation de construire des logements sociaux Le résultat de la politique de croissance rapide et de fort pourcentage de logements sociaux de la municipalité va aboutir à une ghettoïsation de certains quartiers. La vision du Maire est assurément de transformer la commune en une banale banlieue périurbaine Cela peut se produire près de chez vous ... Route de Lancey Autoroute L’environnement des futurs logements sociaux de la Batie Silo de la Batie Cette vision nous paraît erronée. Saint-Ismier est un lieu de vie privilégié qui doit conserver son identité et dont le cadre de vie doit être respecté. Les logements sociaux doivent être construits avec un ratio de 20 % dans les nouveaux programmes et leur construction doit se faire en tendance. Faire 100 % de logements sociaux dans le programme Dauphilogis trahit l’esprit de la mixité sociale voulue par la loi SRU. Quant au positionnement de ce programme, il est tout simplement indécent. Il faut, d’une façon générale, arrêter de construire de façon débridée et frénétique. C’est une vraie fuite en avant qui ne fait qu’augmenter nos obligations et qui aboutit à ce genre de programmes de rattrapage, positionnés dans un environnement inacceptable. Environnement 4 Mettre l’écologie au coeur de la politique municipale Où sont les pistes cyclables ? Cela se passe comme cela à Saint -Ismier pour les vélos sur la RD 1090 ! RD 1090 La commune de Saint-Ismier ne tient pas compte du développement du vélo. Aucun plan de sécurisation des itinéraires cyclables pour accéder aux trois écoles primaires et au collège n’a été mis en place. L’écologie à Saint-Ismier n’est-elle pas trop souvent un effet d’annonce ? Mettons en place un vrai plan de déplacement pour les vélos. Le devenir de la cave coopérative La commune et l’intercommunalité du Grésivaudan ont aidé par des subventions le projet de reprise de la cave coopérative par un groupe d’agriculteurs menés par Monsieur Bernard Jay, adjoint aux travaux. Il est question de faire un marché de fruits et légumes pour les producteurs de la commune. Nous suggérons que l’activité de la cave coopérative soit consacrée à la vente de produits biologiques. Prévenir les risques écologiques La chrysomèle a colonisé les champs de maïs de Saint-Ismier Entretenir nos voiries Chemin du Pratel La Protection Biologique Intégrée (PBI) qui utilise en priorité des agents biologiques. Exemple : traitement au Bacillus thuringiensis contre la chenille processionnaire. Les techniques mécaniques : désherbeur à brosses rotatives sur les surfaces imperméables, balayeuse mécanique, désherbage thermique à gaz, le désherbage thermique à flamme directe, le désherbage thermique à eau chaude. La suppression des désherbants est une mesure écologique que nous approuvons mais il n’est pas normal de laisser nos voiries se dégrader. Il est parfaitement possible de les entretenir en utilisant des moyens respectant notre environnement. La chrysomèle apparue en France en 2002 s’est très vite répandue, c’est un insecte dangereux pour les cultures de maïs. Si la deltaméthrine, le pesticide utilisé pour l’éradiquer a l’avantage de tuer efficacement les larves d’insectes, il pourrait être nocif pour la santé humaine. Nous aimerions connaître les mesures prises par la municipalité pour protéger la santé des habitants, en particulier les enfants, les cultures de maïs étant souvent enclavées au milieu de nos zones résidentielles. Une antenne téléphonique relais très mal placée ... Une antenne relais téléphonique est installée en haut de la commune sur un terrain appartenant à une adjointe au Maire. Cette adjointe loue son terrain aux opérateurs. Pourquoi pas ! ... Mais cette antenne est selon nous trop proche des habitations et un autre choix eut été préférable. Le Maire et son groupe ont été questionnés par plusieurs élus sur l’effet éventuel de ces installations pour la santé des habitants. La municipalité a produit en réponse une étude diligentée par un autre élu du groupe majoritaire. Nous ne pouvons que nous interroger sur l’objectivité et la qualité scientifique de celle-ci. Nous pensons au contraire que les antennes téléphoniques doivent être beaucoup plus éloignées des habitations. Le Maire avait le pouvoir de refuser par arrêté municipal l’installation d’antennes de relais téléphoniques à proximité des zones de résidences. Cela n’a pas été fait. Par mesure de précaution, nous suggérons d’interdire dans le futur PLU l’installation d’antennes relais à moins de 300 mètres des habitations. Le Chaboud Démocratie et transparence 5 Un constat très lourd La vérité sur le fonctionnement du Conseil Municipal • • • • Le rapport annuel de Territoire 38 sur le projet Isiparc, accablant pour le Maire, n’a été remis qu’à quelques personnes en commission «Finances» et surtout n’a pas été communiqué en note de synthèse aux élus de l’opposition lors du dernier Conseil Municipal. Pire ! Une des élues s’est vue refuser une photocopie de ce rapport 3 heures avant le Conseil. En l’absence de ces informations, les débats n’ont pas pu être conduits en connaissance de cause. Ces méthodes sont illégales, et nous avons déposé un recours au Tribunal Administratif (Art L.2121-13 CGCT). • Des permis de construire instruits en petit comité. Un plan de prévention des risques occulté. La démocratie et l’équité ne sont pas respectées à Saint-Ismier. Les autres communes fonctionnent de façon beaucoup plus transparente et plus éthique. Aucun document de travail sur le PLU n’a été spontanément adressé à l’opposition. Après deux demandes par courrier, un document de 16 pages nous a été envoyé, assorti de menaces, avec des cartes trop petites, illisibles et inexploitables (cf courrier sur http:// www.jean-christophe-ninet.fr/), alors que dans les autres communes, le travail est collégial et les élus d’opposition reçoivent tous les détails du projet consignés sur 200 pages ... Il y a 2 ans, par notre action en justice, nous avions fait reculer l’équipe majoritaire sur sa décision prise dans la plus grande opacité de vendre à un adjoint un terrain municipal de 5 000 m au prix de 1,50 euro/m. Nous constatons que l’absence de transparence se perpétue à Saint-Ismier : Urbanisme Rétention d’information et opacité • Cartes d’entrée en mairie réservées aux seuls élus de la majorité, l’an dernier. Date du Conseil et documents communiqués au dernier moment aux élus de l’opposition. Absence de documents essentiels pour les délibérations sensibles. Les documents de travail du PLU inaccessibles à l’opposition. • • Les permis de construire, qui sont de la compétence du Maire, sont instruits, contrairement à l’usage, par le Maire et son adjointe à l’urbanisme, sans concertation. Certains d’entre eux soulèvent pourtant selon nous de réelles questions. Pour une véritable équité, nous demandons une fois de plus au Maire qu’elle accepte un examen collégial et ouvert des permis de construire au sein de la Commission Urbanisme. Dans un autre domaine, le Maire et son adjointe ont nié pendant plusieurs mois l’existence du plan de prévention des risques naturels (PPRN) remis en mars 2011 à la commune. Nous avons fini par le découvrir et avons relevé un élément surprenant : le Maire a demandé au commissaire enquêteur par écrit le 31 janvier 2011 que la mutation en zone non dangereuse des terrains classés à risque d’une habitante soit considérée “avec bienveillance” (p.13). Ce plan correspond à des analyses poussées sur les trajectoires de chutes de pierre, sur les risques d’inondation ... Comment peut-on envisager d’évaluer ces risques avec bienveillance ? Nous aimerions comprendre ... i 6 Démocratie et transparence L’éthique politique en question Urbanisme • Atteinte aux droits de la propriété privée • Des habitants inégaux devant le PLU. Atteinte aux droits de propriété privée Dans le passé, pour accéder aux projets de promoteurs ou de particuliers, le Maire n’a pas hésité à essayer de municipaliser des chemins privés (Capri ou dans le haut du village). Aujourd’hui, certains habitants apprennent, par lettre recommandée de la mairie, l’existence de chemins piétonniers dans leur propriété. Dans le cadre du nouveau PLU, des chemins piétonniers tracés en dépit du bon sens finissent en impasse ou ont un tracé aberrant ! Le PLU, source d’inégalités Dans le futur PLU, nous nous élevons contre l’idée que certains habitants «doivent être sacrifiés», pour assurer la qualité de vie des autres habitants. Nous maintenons que tous les habitants de la commune, sans exception, ont droit à des espaces verts et à un cadre de vie agréable. Désinformation sur les ralentisseurs Le Maire a fait fixer sur les voiries de la commune une vingtaine de ralentisseurs qui ont épuisé nos vertèbres lombaires et abimé nos amortisseurs. Pourquoi a-t-elle dit en réunion que l’ensemble de la population y était favorable selon une enquête dont personne n’a vu le résultat alors qu’une pétition de plus de 200 personnes contre ces installations a mobilisé tout le quartier du clos marchand ? On comprend en tout cas pourquoi elle les a fait enlever dans cette zone ... Le tour de passepasse du Centre Hippique des Alpes Le Maire a empêché l’homologation du CHA en 5ème catégorie, pénalisant profondément les finances du club selon son Président. Pourquoi publie-t-elle ensuite dans le Lien un courrier de rattrapage où elle demande au Conseil Général d’épargner le CHA ? Reproduction de l’article du Dauphiné Libéré du 10/9/2011 Reproduction de l’article du Dauphiné Libéré du 10/9/2011 Il parle de son “affaire” en serrant les dents pour éviter que l’émotion rattrape ses paroEthique & Politique les. Il en a « gros sur le cœur », l’ancien adjoint au maire. Accusé en 2006 de favoritisme Madame le Maire se pose habituellement en victime ... Ildans parlel’attribution de son “affaire” en serrant les dents de marchés publics, il vientpour éviter que l’émotion rattrape ses paroles. Il en a « gros sur le cœur », l’ancien adjoint au les maire. Accusé en 2006 de favoritisme dans l’attribution de marchés publics, il vient d’être relaxé. d’être relaxé. Mais traces sont visibles. Mais les traces sont visibles. L’affaire couvait depuis quelque temps. Une histoire de profonds désaccords entre lui et Lucile Ferradou, maire. « Une L’affaire depuis quelque temps. Unelui. histoire profonds désaccords entre lui et Lucile Ferradou, maire. « Une façon decouvait m’éliminer politiquement » selon Ils sontdedu même bord, pourtant. façon de m’éliminer politiquement » selon lui. Ils sont du même bord, pourtant. « C’était un acharnement politique » « C’était un acharnement politique » Placé en garde à vue pendant deux nuits (25 et 26 septembre 2006) puis déféré au parquet de Grenoble et présenté Placé en garde à vue pendant deux nuits« (25 septembre 2006)».puis déféréau autribunal parquetcorrectionnel de Grenoble et à un juge d’instruction qui lui demande 100et00026euros de caution Convoqué (enprésenté octobre Michel Colin à un juge d’instruction qui lui demande « 100 000 euros de caution ». Convoqué au tribunal correctionnel (en octobre 2009) qui le relaxe. Appel du parquet. Jugé en seconde instance au printemps dernier, Michel Colin est à nouveau MichelAncien Colinadjoint aux travaux 2009) relaxé.qui le relaxe. Appel du parquet. Jugé en seconde instance au printemps dernier, Michel Colin est à nouveau Ancien adjoint aux travaux de Madame Ferradou relaxé. « La mairie s’est portée partie civile à deux reprises, c’est dur à digérer ». Contacté hier, Lucille Ferradou n’a pas soude Madame Ferradou «haité La mairie st portée partie deux reprises, c’est dur à digérer ». Contacté hier, Lucille Ferradou n’a pas soufaire des’ecommentaire surcivile cetteàdécision de justice. haité faire de commentaire sur cette décision de justice. Paul Belot, un ancien directeur des services techniques de la commune avait lui aussi été déféré au parquet, mais finalement sans être poursuivi par la justice. Belot, un ancien services de la commune avaitSeluiretrouver aussi étéen déféré sans poursuivi parvielaprivée justice.exami« Paul Lui, comme moi, avonsdirecteur vécu desdes choses que techniques nous ne souhaitons à personne. gardeauàparquet, vue avecmais toutefinalement l’humiliation quiêtre va avec, voir sa « Lui, comme moi, avons vécu des choses que nous ne souhaitons à personne. Se retrouver en garde à vue avec toute l’humiliation qui va avec, voir sa vie privée examinée née de fond en comble, voir les regards d’amis se détourner, se retrouver en Une de journaux, voir sa famille salie... C’était un acharnement politique, j’étais quelqu’un de fond en comble, voir les regards d’amis se détourner, se retrouver en Une de journaux, voir sa famille salie... C’ é tait un acharnement politique, j’ é tais quelqu’un de de populaire ». populaire Michel Colin».l’est toujours quand même populaire. Il n’est plus élu mais il est président du club de boules Lyonnaises. Tout roule. Michel Colin l’est toujours quand même populaire. Il n’est plus élu mais il est président du club de boules Lyonnaises. Tout roule. La rédaction du du Dauphiné libéré. La rédaction Dauphiné libéré. Commission élargie Spéciale PLU du 26/09/2011 - 7 Notre action en 2011 Commissions, Conseils Municipaux, Conseils Intercommunaux Notre équipe est présente dans tous les Conseils Municipaux, Conseils Intercommunaux et commissions. Jean Christophe Ninet pour les commissions «Urbanisme et Développement Urbain», les Commissions «Culture» du Grésivaudan et les Conseils Intercommunaux du Grésivaudan. Geneviève Picard pour les Commissions «Travaux», «Culture» et les commissions «Habitat» du Grésivaudan. Joelle Tonaind pour les commissions «Finances», Conseils d’administration du CCAS et commissions économiques du Grésivaudan. Jean Claude Genevois pour les commissions «Scolaire» et «Attribution des marchés». Voici quelques interventions marquante durant cette année dans les commissions, les conseils municipaux et intercommunaux en 2011. Commission PLH à l’intercommunalité du Grésivaudan du 12/01/2011 - Nous dénonçons l’indécence du programme de la Batie à Saint-Ismier. Conseil intercommunal du Grésivaudan du 14/03/2011 - Nous intervenons dans le Débat d’Orientation Budgétaire. Conseil Municipal du 20/02/2011 - Nous mettons en évidence une anomalie dans le versement de la TVA par la commune issue du bail concédé à la « Société Nouvelle Le Square », le Maire ayant choisi un régime de TVA inapproprié. Par ailleurs, la révision du loyer à la hausse n’a pas été faite en 2010. Nous donnons notre accord après étude pour le projet d’achat à la société ADI (Alpes Dauphiné Informatique), du lot cadastré AV 9, en zone UBe du plan local d’urbanisme, comprenant un terrain de 1 460 m2, sur lequel est édifié un local d’environ 530 m2. Nous demandons des informations sur l’éventuelle installation d’un chenil susceptible de gêner la tranquillité de tout le quartier du haut Manival. Commission Culture plénière du Grésivaudan du 17/03/2011 à Crolles - Nous nous étonnons d’un projet de musée du squelette avancé par le Maire de Saint-Ismier et contestons le refus de la subvention au PGHM. Commission travaux du 31/03/2011 - Nous mettons en évidence le manque de pertinence de la politique de sécurité routière de la majorité et l’exaspération de la population vis-à-vis des ralentisseurs. Conseil Municipal du 11/04/2011 - Nous exigeons le cumul des garanties d’emprunt accordées non présenté au budget. Nous proposons d’obliger les promoteurs à mettre en place des pass-fonciers dans les programmes de logements. Nous proposons de créer des zones réservées au PLU. Nous suggérons que le DOB soit présenté par missions en ventilant les dépenses et les recettes. Nous rappelons une nouvelle fois la nécessité de sécurisation de la dette et faisons part de nos inquiétudes sur l’évolution des taux. Nous demandons, sans obtenir de réponse claire, l’état des ventes d’Isiparc et exigeons des informations sur ses résultats compte tenu des engagements financiers pris par la commune. Nous relevons le coût de 120 000 euros pour la zone 20. Nous affirmons que la politique démographique va engendrer des difficultés notamment au niveau de la circulation, de la capacité d’accueil des écoles ou du collège. Nous rappelons que la commune n’a pas de gymnase. Nous demandons qu’un transport soit mis en place pour l’accès aux équipements sportifs mutualisés. Nous nous inquiétons une fois de plus de la prolifération des coussins berlinois et indiquons que la pétition a manifesté un véritable mécontentement. Nous proposons que la commune se mobilise pour créer des places de parking à Pampre. Commission « Urbanisme et Développement Urbain» du 13/04/2011 - Nous rédigeons un Plan d’Aménagement et de Développement Durable Alternatif qui sera finalement celui retenu par l’équipe majoritaire. Conseil Municipal exceptionnel du 20/04/2011 - Vote d’une motion sur l’élaboration du futur Schéma Départemental de Coopération Intercommunale. Nous avons voté contre l’intégration de SaintIsmier à la METRO. Bureau élargi spécial PLH du Grésivaudan du 13/05/2011 - Nous demandons à la présidente une diminution des engagements à construire avancés par Madame Ferradou. Atelier Révision du Plan Local d’Urbanisme des 27/05/10, 31/05/10 et 09/06/2011 - Participation aux débats en soulignant l’impératif de respecter l’identité de notre commune et de ne pas céder à la tendance actuelle d’uniformisation des paysages urbains. Conseil Municipal du 09/06/2011 - Nous demandons que l’agence de communication Exalta et les divers bureaux d’études missionnés présentent un rapport de leurs actions. Nous proposons que les libellés soient plus explicites sur le relevé des dépenses. Nous demandons que les dépenses recettes relatives à l’Agora soient isolées du relevé général puisqu’il existe un budget séparé. Nous nous étonnons de l’importance des frais d’études. Nous proposons que tous les projets soient affichés dans le hall de la mairie et que les habitants soient interrogés par quartier. Nous déplorons lors de la révision de la charte des associations que les relations avec les associations soient de plus en plus réglementées. Conseil intercommunal du Grésivaudan du 27/06/2011 - Courrier aux élus sur l’indécence de la situation géographique du programme de la Batie. Jury de concours de maitrise d’oeuvre de la RD 1090 du 28/06/2011 - Nous nous élevons contre le manque d’esthétique et le positionnement disharmonieux des nouveaux immeubles d’Evergreen. Conseil intercommunal du Grésivaudan du 12/09/2011 - Nous travaillons pour une amélioration des transports. Audit des marchés publics de travaux du 14/09/2011 réalisé à notre demande avec les services de la mairie et l’adjoint aux travaux. Commission « Urbanisme et Développement Urbain» du 22/09/2011 - Nous demandons plus d’impartialité dans l’attribution des coupes affouagères. Commission élargie spéciale PLU du 26/09/2011 - Nous analysons les futures contraintes réglementaires du PLU pour le centre village. Réunion publique sur le PLU à l’Agora - Nous intervenons sur les aspects réglementaires du PLU et leurs incidences sur les divisions parcellaires absurdes. Analyse de l’intérêt de définir de façon très précise le coefficient d’emprise au sol. Conseil Municipal du 03/10/2011 - Nous sollicitons des informations sur les travaux programmés à l’Agora. Nous étudions la cartographie du bruit près de l’autoroute et signalons l’impact pour les logements qui vont être édifiés à proximité. Nous analysons les modalités d’application de la taxe d’aménagement. Nous donnons notre accord sur le tableau des effectifs du personnel, sur la création de postes et sur la participation de la collectivité au contrat prévoyance pour le maintien des salaires en cas de maladie. Nous demandons que les syndicats intercommunaux soient transférés le plus rapidement possible à la Communauté de Communes pour éviter la multiplication des systèmes administratifs. Nous exigeons de disposer des informations et particulièrement des rapports d’activités concernant Isiparc. La copie du CRACL rapport de l’activité d’Isiparc nous a été refusée. Le groupe anime un long débat sur la pertinence de la zone, son devenir, sur l’absence de Territoires 38 pour expliciter son rapport et sur le manque total d’information. Il nous paraît fondamental de déterminer les vraies responsabilités dans cette affaire qui pèsera sur le contribuable et demandons une véritable concertation entre élus. Référé suspensif - Suspension de la délibération n° 2011-099 « Concession d’aménagement pour la réalisation de la ZAC Isiparc à Territoires 38 envoyé au tribunal administratif le 04/11/2011. Toute notre équipe vous souhaite d’excellentes fêtes de fin d’année ! ADHEREZ OU RENOUVELEZ VOTRE ADHESION A L’ISMERUSIEN POUR L’ANNEE 2011 ! Pour adhérer à « L’Ismérusien », soutenir notre action, participer à nos réunions et aux évènements que nous programmons, merci d’envoyer le présent bulletin avec votre participation de 15 € pour une personne, 20 € pour un couple, 10 € pour un étudiant, à : Association L’ismérusien, 66 allée des renoncules - 38330 - Saint-Ismier. Nom(s) : ............................................................................................................................. Prénom(s) : ............................................................................................................................................ Adresse : ................................................................................................................................................................................................................................................................................................. Téléphone : ........................................................................................... E-mail (important pour l’envoi d’informations) ................................................................................................... Vos souhaits et remarques concernant la politique communale : .................................................................................................................................................................................... .................................................................................................................................................................................................................................................................................................................... .................................................................................................................................................................................................................................................................................................................... ............................................................................................................................................................................................................................................. ...................................................................... Remarque : l’inscription à l’ismérusien est anonyme et les noms de nos soutiens ne sont jamais divulgués. Impression sur papier écologique PEFC - Encres végétales - Ce tract est réalisé sur papier écologique. Il est financé par notre équipe et ne fait appel à aucun parti politique.
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