Marie Barbottin - Mélanie Perrier

Transcription

Marie Barbottin - Mélanie Perrier
Dernier volet du triptyque autour de la relation
amoureuse, Mélanie Perrier pose la figure du nœud au
centre du dispositif. Aimantés au sol, deux femmes
oscillent entre attachement et détachement.
Le spectacle module les liens entre danse, musique,
lumière et costume; il emmène vers un glissement des
horizons d’attente de la perception. Par ces partis pris
radicaux, l’écriture chorégraphique nous convie à une
expérience sensorielle inédite.
Partir d’un nœud et défaire ce lien entre deux corps féminins,et osciller entre le détachement et l’attachement
Partir du sol et ne plus en sortir, afin d’adopter l’horizontalité comme paysage de départ
pour la danse et des points de vue.
Partir d’une musique live résolument électronique et techhouse, afin que la danse elle
même se défasse de cet environnement sonore particulièrement entêtant.
Partir d’une lumière plastique et en mouvement pour réévaluer l’espace du plateau et les
temps de visibilité de la danse au point d’en troubler notre perception.
Pour cette nouvelle création, Mélanie Perrier poursuit son travail autour du modelage
du mouvement dans la géométrie du duo articulée à une nouvelle stratégie lumineuse et
musicale. Cette nouvelle pièce fait suite aux deux précédentes, la première sur le désir et
le mouvement retenu, la seconde sur l’état amoureux et la vibration intérieure, concluant
ainsi un triptyque sur la relation amoureuse. Pour ce 3e opus il s’agit ici d’évoquer la difficulté viscérale de la séparation en jeu dans une relation à 2.
Approfondissant le travail d’écriture combinée engagé depuis plusieurs années, la
chorégraphe s’intéresse ici à une réécriture des relations entre la danse, la lumière, musique
et costumes soucieuse de maintenir en son centre, le vivant du spectacle.
LES BORDS DU VISIBLE
Considérer la lumière, non pas comme un artifice, mais comme un agent plastique et
chorégraphié, matière vivante et visuelle, partenaire autonome. La collaboration entre lumière
et danse sera articulée autour des troubles de la perception et d’un «corps de la lumière» qui
pourrait lui être associé. De là, il s’agira de s’attacher davantage non plus à comment rendre
visible, mais bien à combien de temps faire disparaitre et réapparaître les corps des danseuses.
Commencer alors par la luminosité de la peau elle-même, pour une lumière déjà là qui viendra
rencontrer une seconde plus spatiale mais tout aussi mouvante.
FIGURE DU NOEUD ET SOL
Partir d’un noeud et construire le langage du mouvement à partir d’un lien entre deux corps,
entre l’attachement et le détachement.
Tout le vocabulaire engagé se concentrera sur l’adhérence d’un contact entre deux corps, deux
peaux, deux chairs. Comment le mouvement peut être à l’intérieur du contact (réelle ou suggéré)
entre les deux interprètes. Comment maintenir ou resaisir chacune des individualités à l’intérieur
d’un lien indéfectible? Osciller entre la sensualité de l’attachement, l’irréprésible du désir, et la
difficulté viscérale de l’éloignement et de la séparation dans un duo à nouveau féminin.
C’est placer la tension, pression et tonicité comme principes et moteurs du mouvement dansé.
La peau portera son propre costume, avec un maquillage spécifique, témoin des gestes et
tensions multiples tout au long de la pièce.
Cette nouvelle pièce fait suite aux deux précédentes, la première sur le désir et le mouvement
retenu, la seconde sur l’état amoureux et la vibration intérieur, concluant ainsi un triptyque
dramaturgique sur la relation amoureuse.
RELATION DANSE/ MUSIQUE
Pour cette nouvelle création, la musique donnera l’espace de départ, décalée des créations
qui habituellement accompagnent les projets de danse, pour une coloration résolument
électronique.
Ici la chorégraphie s’ouvre en se concentrant sur une nouvelle relation entre le mouvement et
l’univers musicale avec un duo de musiciens et DJ.
Face à ce dessaisissement du lien, de quelle musique avons nous le plus de difficulté à nous
défaire si ce n’est l’ électronique qui précisément organise ses pulses dans l’unique objectif de
faire monter l’énergie de la danse? Choisir la musique électronique ancré dans l’univers clubbing,
c’est poser alors l’empathie kinesthésique du spectateur dans ce rapport séduisant, immédiat
qu’elle porte et tenter de s’en défaire. Cette musique sera travaillée en amont du temps de
studio, pour se poser comme point de départ et partenaire de jeu à partir duquel la danse se
construira.
Il s’agira de construire un dialogue entre la danse et la musique et de travailler à même cette
difficulté de ne pas rentrer dans l’ énergie de la pulse ou pour d’y succomber peut être parfois?
Une autre façon d’inventer une physicalité propre tant pour les danseurs que pour le public.
Du lien, de la colle,
de ce qui tient ensemble,
de ce qui fait le lien,
de ce qui fait le liant,
de ce qui fait un pont, une attache,
de ce qui enchaîne,
de ce qui ne laisse pas tout seul,
qui fait un groupe, qui fait un lien,
qui fait un lien collant, de l’entrée en matière,
du fait d’être déjà entré en matière,
du fait de ne pouvoir pas être entré en matière,
du fait d’être déjà collé, du fait des rencontres,
du fait d’un produit qui passe de l’un à l’autre du fait d’un pont qui se
crée entre les têtes,
du fait d’une onde qui ondule les corps ensemble,
du fait d’un corps qui regroupe les corps ensemble,
du fait d’un corps gras qui graisse les ponts qui passent d’un corps à
l’autre,
du fait d’un graissement des dents,
du fait d’un pont graisseux attaché d’entre les dents des gens,
de l’ensemble des colles qui ne laissent pas de réveiller,
de laisser dans l’état de réveillé,
qui ne laisse pas de tenir en éveil de regarder à ce que tous les liés
tiennent liés les corps aux autres ;
les corps aux ondes et les ondes aux ondes,
qui ne laisse pas de laisser en éveil les éveillés pour qu’ils tâchent
de tenir tête à tous les liens collants qui se rattachent au lien collant
graissé qui couvre tous les corps de tous leurs engraissements en
faisant l’onde géométrique grossière, broyée, amplifiée, sphérique,
énorme collante, assourdissante, inéluctable, soumise.
Christophe Tarkos
La Compagnie 2minimum
a été fondée par Mélanie Perrier
La Compagnie développe un travail autour du geste et d’une écriture partitionnelles, avec un
rapport fort entre la danse et l’image qu’elle (dé)produit. Mélanie Perrier y mène une recherche
autour du modelage du mouvement et de l’articulation que celui-ci entretient avec l’image. Elle
apporte une attention toute particulière à l’articulation entre la danse et la lumière. Lorsque la
lumière peut faire mouvement et le mouvement peut faire lumière. L’écriture chorégraphique suit
ainsi une géographie du corps dans une conscience intime du temps et sur les bords du visible.
Redéfinissant les relations en jeu dans une forme spectaculaire, celles entre la danse, la lumière et
la musique, chaque création part avant tout de la mise en relation de deux personnes, et du duo
en particulier, là où le trio possède une personne en trop et le solo une personne qui manque, avec
pour seule question : Que vient-on déposer et faire advenir sur un plateau?
La Compagnie est en résidence en 2015 sur le département de l’Essonne soutenue par le CG
91et la DRAC Ile de France.
2015: LACHE
2015: Pas de contact sans écart(performance amateurs)
2014 : Nos Charmes n’auront pas suffi ( solo pour Julie Guibert)
2013 : Imminence
2011-2012 : Jeux de promenades 1 & 2 Mélanie Perrier & Julie Laporte
2010 : Solo pour un Tube réactivable
2010 : Following / 5 bascules dans un jardin étenduMélanie Perrier & Julie Laporte
2009 : Arrondir les angles
Mélanie Perrier
Après une décennie, où elle articule performances, gestes et vidéo, Mélanie Perrier se déplace de l’image à
la chorégraphie et de la performance à la danse, pour travailler autour de l’élaboration du mouvement et de
l’épure du geste en affirmant une radicalité à partir de la forme du duo.
En 2009, elle entame une collaboration avec la danseuse Julie Laporte. Ensemble, elles développent ensemble
les Partitions de promenades, dispositif chorégraphique pour groupe ou duo, en extérieur (Biennale de Lyon,
Montpellier, Sète, Paris, Montréal).
Elle fonde la Compagnie 2minimum en 2010 et conçoit dès lors des projets pour le plateau. Chacune de
ses propositions s’inscrit dans une recherche autour de la mise en relation de deux personnes, « là où
le trio possède une personne en trop et le solo une personne qui manque ». Son parcours artistique est
marqué par des rencontres déterminantes: Deborah Hay, Lisa Nelson, Anna Halprin, Laurent Pichaud, Mark
Tompkins, Antonia Baehr, Christine Gérard. Elle a collaborée aussi avec Catherine Contour, Véronique Albert,
Jean-Paul Thibeau.
En 2011-2012, Mélanie Perrier fait partie des chorégraphes sélectionnés de Transforme à la Fondation
Royaumont, Programme International de Recherche et Composition Chorégraphique. En 2012, elle reçoit
une mention spéciale du Jury à Danse Élargie/théâtre de la Ville/Musée de la danse, pour Imminence.
La question de la relation à l’autre est ce qui caractérise son travail depuis maintenant quinze ans. Chaque
création renferme ainsi une rencontre mise en jeu. Cela a permis ainsi de travailler avec Erik Houllier, Julie
Guibert, Silvia Borzelli et bien d’autres à venir.
Sa compagnie a été très rapidement soutenue par plusieurs CCN en France (LePhare CCN du Havre, le Musée
de la Danse, CCNRB de Rennes, CCNT deTours) ainsi que par Rencontres Chorégraphiques Internationales
de Seine Saint Denis, qui continuent depuis de l’accompagner.
Au sein de la compagnie, soucieuse des enjeux contemporains liés à la médiation et à la transmission,
elle mène et développe, workshops et ateliers de création alliant Arts Plastiques et danse (principalement
autour des questions d’image et de relation à la lumière) auprès de publics diversifiés allant des scolaires
aux personnes hospitalisées ou handicapés, ainsi qu’au sein des universités, écoles d’art, tout comme des
danseurs professionnels et ce depuis 2003.
INTERPRETES
Marie Barbottin
Après une enfance en terre bretonne, Marie entame en 1999 le cursus de danse contemporaine du
CNSMD de Paris. Elle rejoint en 2005, en tant que stagiaire, la Ririe Woodbury Dance Company à Salt
Lake City (USA) où elle collabore avec Charlotte Boye-Christensen, et y rencontre Murray Louis et
Alberto del Saz, et danse dans Imago (Nikolaïs, 1963) au Capitol Theater.
De retour en France, elle est interprète pour les chorégraphes Laurence Marthouret, puis Emilio
Calcagno (notamment dans le projet Nouvelle Vague/Génération Bagnolet dans des pièces de
Preljocaj, Bagouet et Galotta ayant été primées au concours de Bagnolet dans les années 80) .
Elle travaille aussi avec les metteurs en scène Nirupama Nityanandan, le poète Julien Marcland, le
pianiste David Greilsammer, le vidéaste Julien Paumelle, les réalisateurs Ludivine Large Bessette et
Etienne Aussel, la créatrice de vêtements Marie Labarelle. Elle a collaboré avec les metteurs en scène
Hélène Cinque, Alexandre Zloto, Rafaël Biancetto et Nicolas Vallet et mené auprès d’eux une réflexion
sur le travail du corps de l’acteur.
Plus récemment, elle danse pour les chorégraphes Claire Jenny, Olivier Bioret, Martin Chaput et
Martial Chazallon, Frederike Unger et Jérôme Ferron, Carlo Locatelli , Nans Martin, Johanna Lévy. En
juin 2013, elle se frotte au jeu d’auteur en co-signant et co-interprétant avec Pierre Pontvianne un
Vif du Sujet commandé par la SACD, «Punkt», créé lors de June Évents. Professeur diplômée depuis
2007, Marie a a coeur d’explorer des manières de lier ses expériences artistiques et pédagogiques, et
de diversifier ses collaborations dans le désir sans cesse renouvelé de rencontrer l’altérité.
Véronique Laugier
Formée en danse classique à l’Académie Chaptal , Véronique inte gre le Conservatoire National
Supérieur de Paris de 1999 à 2004 en section contemporaine. Elle interpre te au sein du Junior Ballet
du CNSM différentes pie ces de chorégraphes tels que : Angelin Preljocaj, Mark Tompkins, Hervé
Robbe, Pedro Pauwels.
A l’issue de sa formation, elle rencontre Odile Duboc dans le cadre d’un Opéra et danse par la suite
pour : Laurence Marthouret, Marie Claude Pietragalla, Isira Makuloluwe. David Drouard, Willi Dorner
à Berlin, Cie du Nouveau Jour ( Sophie Girod et Alexandra Luyat ), le Théâtre de la Canaille ( Denis
Buquet ), Yoshi Oïda. Depuis 2012, elle collabore avec Sylvain Groud, ou elle intervient aussi dans
les écoles, les hôpitaux, avec Catherine Dreyfus, Benoît Bar, Gaëtan Brun Picard, et Olivier Dubois
pour une reprise de rôle dans la pie ce : Révolution. Passionnée de musiques électroniques, elle
commence à mixer dans divers soirées en paralle le de sa carrière de danseuse.
Nathalie Schulmann (Consultante mouvement AFMD)
Nathalie Schulmann est danseuse, professeur diplômée de danse contemporaine et spécialisée dans
l’analyse du corps dans le mouvement dansé. Elle élabore un enseignement théorico-pratique où se
mettent en lien l’empirisme artistique et les bases scientifiques de l’apprentissage du mouvement.
Sa démarche propose des critères d’observation et d’analyse pour saisir et évaluer les coordinations
spécifiques à l’art de la danse (facteurs physiques, perceptifs et symboliques). Cette recherche
souligne les interactions entre le développement moteur des enfants et l’expertise du geste dansé
pour préserver la santé du danseur, sa cohérence biologique et son intentionnalité artistique. Elle
collabore notamment avec les chorégraphes des compagnies ensemble l’Abrupt (Alban Richard) et
Absolutamente (Jésus Sevari). Elle intervient également dans la formation des ostéopathes sur la
posture et les gestes thérapeutiques.
COLLABORATEURS
YES SOEUR (Alexandre Bouvier + Grégoire Simon)
Duo franco berlinois, composé d’Alexandre Bouvier et de Grégoire Simon. Sans cesse en aller-retour
entre matière sonore contemporaine et travail formel issu de la culture du mix electro, les deux
musiciens après un parcours musical classique, naviguent entre le champ de la musique contemporaine
orchestrale ( L’ensemble Intercomporain, ANDROMEDA MEGA EXPRESS ORCHESTRA, Boram Lie..) et
la scéne électronique contemporaine en Europe. (Clubs, festivals). Leur esthétique musicale se déploit
plutot vers une techno minimale. Leur ouverture artistique leur ont déjà permis de collaborer avec le
monde du spectacle vivant, notamment de la danse ( Gaetan Brun Picard, Eric Minh Cuong Castaing..)
Jan Fedinger
Jan Fedinger est un artiste lumière et designer-lumière qui a débuté dans le monde du théâtre . Formé à
Amsterdam et Helsinki , il a travaillé en collaboration avec des artistes à travers l’Europe comme Jefta van
Dinther, Rodrigo Sobarzo, Joao Evangelista, Dennis Deter & Anja Müller, modulorbeat et Aitana Cordero,
entre autres.
Il a développé sa propre façon de communiquer grâce à la lumière avec le public, étant toujours intrigué
par comment la manière dont nous regardons les choses influence ce que nous voyons. Son travail a
depuis été décrit comme vivacité et vitalité de la lumière (liveliness and aliveness of light), précisément
parce qu’il considère la lumière comme un corps qui peut être façonné et chorégraphié comme le corps
d’un danseur . Il a participé récemment Les jours de canicule sont terminés par Jan Martens, l’animation
de Lea Martini et les Dialogues Karaoke par Daniel Linehan. Sa démarche artistique s’aventure dans de
nombreuses autres formes d’art comme la photographie et le cinéma , le design pour et la conception
des espaces, aussi pour d’autres soupapes dans des installations autonomes, dans le contexte des arts
visuels. Récemment, ces installations ont été exposées dans des expositions de groupe à Enschede [NL],
Helsinki [FI], Paris [F] et Schiedam [NL]. Actuellement, il développe la série d’installation “land[e]scape“
qui vise à créer une prise de conscience des phénomènes de la lumière naturelle dans un monde en
numérisation afin de créer une archive d’expériences .
Dans les champs du théâtre et de l’art (avec ses installations), Jan Fedinger cherche à déplacer sa
perception du public grâce à l’utilisation de la lumière à un niveau conscient et inconscient . Et ce pour
créer des environnements qui finalement n’ont pas encore été perçus, mais seulement rêvé.
Sylvain Dufour
Il scénographie les créations de la Compagnie Un Soir Ailleurs depuis 2009 (dispositif de 48° qui mêle
paysage, photos, danse à l’Espace d’Art Contemporain Camille Lambert ainsi que la scénographie « Le
Jardin Oublié » et une scénographie-installation en mouvement “Territoires Imaginaires” dans le Centre
Culturel de Beaulieu à Poitiers).
Depuis 2007, il travaille avec le maquillage et sur la métamorphose du visage. Il mène actuellement un
travail sur la notion de démaquillage-remaquillage qui peut âtre assimilé à un travail “pictural”. Il en fait
un élément partitionnel pour Noces-quatuor chorégraphie d’Aurélien Richard donné au Centre National
de la Danse en avril 2013.
Il travaille à un cycle de performances axées sur le quotidien données dans l’espace public, et est
invité par Aurélien Richard pour la performance Limen donnée à la Ménagerie de Verre. Pour nourrir
la corporalité de son travail théâtral, Il suit des stages de danse contemporaine avec Toméo Vergès,
Fabienne Mentjuck, Mié Coquempot ou même Alban Richard.
Il danse pour Pierre Cottreau et Geisha Fontaine dans Les yeux dans les yeux présenté cette année à
Buenos Aires, puis au CND en février.
Conception et chorégraphie : Mélanie Perrier
Interprétes: Marie Barbottin, Véronique Laugier
Création musicale : yes soeur (Alexandre Bouvier & Grégoire Simon)
Création lumière : Jan Fedinger
Création maquillage/costume: Sylvain Dufour
Consultante mouvement AFMD : Nathalie Schulmann
PREMIERE : 12 & 13 JUIN 2015
Rencontres chorégraphiques internationales de Seine-Saint-Denis
2015
+ Rencontre avec Gérard Mayen, le 13 juin à 18h
avec Mélanie Perrier (avant la représentation
Coproductions:
Rencontres chorégraphiques internationales de Seine-Saint-Denis, SACD Beaumarchais
(bourse écriture), DRAC Ile de France (Aide au projet), Conseil Général de l’Essonne/
Culture en Essonne
Avec le soutien de
Pavillon Noir, Ballet Prejlocaj CCN Aix en Provence, Centre Chorégraphiques National
de Basse Normandie, Caen, CDN Haute Normandie, CND, Théâtre Louis Aragon, Scène
conventionnée danse, Tremblay en France, Théâtre de l’Agora, Scène Nationale d’Evry,
Nouveau Théatre de Montreuil/ CDN, la Faïencerie, (Scène nationale en prefiguration) Creil
Compagnie 2minimum / Mélanie Perrier
147, rue de Clignancourt 75018 Paris
06 61 45 31 52
www.cie2minimum.com
Diffusion :
Julie Trouverie
[email protected]
06 81 53 15 03