Robert Fonte niellé »• >• UNE PETITE FERME 1A
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—— L'INDICATEUR I L'avoir de la Société au 31 d é c e m b r e 1916 comprend donc une s o m m e d i s p o n i ble do 7,520 fp. 02. <J07 fr. d e renies 3 % s u r l'Etat légués par MM. Klio, Barbey et Beaupoil, et par M"" Verdier, 100 Ir. de rente ii % s u r l'Etat. La nue-propriété d'une r e n t e de 200 fr. léguée par M. Joret et soumise à un usufruit. Une s o m m e de 2.000 léguée par Mme veuve Jules Marie. Un capital de 33.742 fr. 80 nflectô aux retraites pour la vieillesse. La moyenne de la dépense par malade a été de 34 fr. 31 en 1010. Cette dépense r é partie e n t r e tous les m e m b r e s participants donne une moyeune de 1G fr. 97 par sociétaire. M. Fâcheux termine ainsi son r a p p o r t : » A notre assemblée générale de 1916, n o u s formions le vœu de voir cette a n n é e r é u n i s autour de nous, dans une atmosphère de paix , nos bravos Sociétaire*, q u i , depuis trois ans, défendent avec énergie le sol de.la France. Il n'en esi rien malheureusement et n o u s voyons se c o n t i n u e r cette terrible tragédie dont nus ennemis sont seuls responsables. te Ils cherchent par tous les moyens possibles a en provoquer la fin, mais a leur avantngo, lis n'y arriveront pas et notre conviction est que la victoire définitive a p partiendra a u x troupes alliées qui c o m b a t tent pour le Droit et la J u s t i c e . » L'assemblée déuide q u ' u n e s o m m e de 1.000 fr. sera placée au fonds inaliénable de retraites do la Société. Elle attribue une pension do 30 francs a quatre de ses m e m b r e s a partir du l"1' janvier 1918. Cos pensions leur seront acquises à la condition d'acquitter leur cotisation jusqu'au 31 décembre 1917. P r i x d e la f a r i n e e t d u pain l*nr un arrêté en date du 23 août, le Préfet du Calvados a llxé a 61,90 le nouveau prix du quintal do tarine du froment et a 0.!>£!> lu prix du kilogramme do pain à livrer rassis dans les conditions fixées par los décrets des 9 février et 8 avril 1917, avec une tolérance de II % au maxlnîum s u r le poids ; soit : ïiO g r a m m e s par un kilo au m a x i m u m . Ainsi q u e nous le disions vendredi, le nouvonu prix du pain n'est pas on relation avec l'augmentation relativement c o n s i d é rable du prix de la farine. En conséquence une r i s t o u r n e fixée, dans te Calvados, a 11.65 par 100 kilos do farine boulangée, sera accordée par l'Etat aux boulangers. Cet a r r ê t é d o n n e satisfaction à la population qui réclamait à juste litre contre los Uerniôrcs prétentions des boulangers donnant M;iii g r a m m e s au lieu d'un kflbg de pain. On r e m a r q u e r a également que la noie qui nous est officiellement c o m m u n i q u é e parle toujours do tolérance ut non de droit. Décès Hior matin avaient lieu on l'église Kaint-l'nlriee de notre ville, los obsèques do M. Charles Le Templier, ancien t a n n e u r , décédé en sun domicile, route do l'oit, vendredi, d a n s sa GO année. — Ou annonce la mort à Paris de M. Paul J o u r d a i n , fils do M. J o u r d a i n qui (ut p e n dant do louguos annéos rédacteur au Journal dé Caen. Le mauvais t e m p s Une tempête sud-ouest s'est a b a t t u e s u r Bayeux et sa région hier. Elle a atteint son m a x i m u m dans la soirée et s'est continuée pondant la nuit, augmentée d'éclairs , de g r o n d e m e n t s de touuorro et do fortes a v e r ses'. C'est un nouveau désastre p o u r los r e cul tos. Ce malin, à onze heures, sous un rayon do soleil, lu Ihurmométre marquait Mi d e grés. Ce n'est pas île trop pour un 28 août. Aux Armées M. le capitaine du cavalerie Savare, actêllèinonl détaché dans l'infanterie, (ils de l'ancien conseiller général du Calvados, a Caen, a été cité eu ces t e r m e s : « Le 2 mars 1917. a conduit sa compagnie avec u n e maîtrise r e m a r q u a b l e sous un bombardement incessant, et, malgré le-t plus grandes difficultés, a réussi à fran chir un canal et à progresser sous buis jusqu'à l'objectif qui lui était assigné ». Le capitaine aviateur tïuynemer, neveu de M. do Saint-Quentin, sénateur du Calvados, vient d'être n o m m é ollicior de la Légion d ' h o n n e u r . Capitaine et officier do la Légion d'honneur à 22 ans c'est un fait unique dans l'hisloiru de la France. Le soldat Joseph Ledard, do Saint Marttn-des* Besaces i a été cité pour la seconde fois a l'Ordre du J o u r de son régiment pour avoir, par la précision de sou tir, contribué à refouler complètement l'adversaire et a assurer la progression du son onilô vers les lignes adverses. M. Louis Colombe, dont les parents habitent à Isigny, déjà cité plusieurs fuis à l'Ordre du J o u r , décuré do la Croix de g u e r r e , blessé lu 12 juillet 1916, a été cité à nouveau, à la date du 29 juillet d e r n i e r pour avoir fait preuvu le 29 mai, à un poste avancé avec la chienne Itaaée, d'une vigilance et d'une activité qui ont permis d'éventer u n e tentative e n n e m i e ut d'éviter une surprise. _ M. Jules Allard, do Pbrl-eh-Bessin, caporal de génie, vient d'être décoré de la Méj dn)lie militaire et de recevoir l'étoile d'or ; à sa Croix de guerre. Déjà Cité pour sa huile conduite au feu, sa dernière citation mentionne qu'il a été grièvement blessé en traversant, avec sa section, un village violemment b o m b a r d é par l'ennemi. M. Allard a été umpuié de la jambe gaucho. Le soldat Sylvain Taissun, du régiment d'infanterie coloniale a été cité à l'Ordre de sou régiment dans les te- me-, suivants : u Très itou soldat, courageux ni dévoué* s'est fait r e m a r q u e r par sa belle altitude pondant le combat du 6 mai 1917, et au cours des contre attaques faites par l'enn e m i du 5 au 8 mai ». Avant d'être mobilisé, M. Taisson était sellier à Noron. M. Désiré Liélot, de la classe 1903, sold a t d'artillerie, Rendre do M. Lecourt qui habile rue de la Bretagne, a été cité pour la troisième fois à l'Ordre du J o u r . Sa citation dit que ce militaire a fait preuve do décision et de courage en voulant à toute force sauver des obus d e 155 meoacés par un incendie. N'a consenti à se retirer que s u r l'ordre formol de son capitaine. Un service sera célébré on l'église des Oubeaux jeudi prochain, 30 août, à 9 heures du malin (heure ancienne) pour le r e pos de l'âme d e M. Léopold Osmont, mort pour la France, à Tahure, le 29 septembre 1915, à l'âge de 28 uns. On annonce In mort du capitaine Audry, décoré d e la Croix de g u e r r e , tué devant Verdun le 14 août. Il était le g e n d r e de M. Jousset, directeur du Haras de Pompndour et était allié à plusieurs familles de la région de Caen. Prises à midi jugées e t mises en prison à quatre heures Celte aventure, arrivée samedi, à doux [brames do Ver sur Mer, rappelait la légendaire hunnu femme des e n v i r o n s do Dorafront, qui se plaignait un jour qu'elle avait fraudé sur le marché de cotte localité, d'avoir été prise à midi, jugée à u n e heure, mise eu prison à deux, sans avoir eu le t e m p s de d î n e r 1 Les doux femmes on question, la rumine Audré, née Eugénie Martin, âgée de 54 nus, dentellière à yer-sur-Mer, et sa Hllo Henriette, brodeuse, âgée de 18 ans, ont élé pincées samedi s u r le marché de llaycux par M. Clara, marchand forain à Caen, au moment où la femme André venait de couler dans un sac qu'elle tenait, un gil»l de coton d'une valeur do 6 fr. 95. M. Clara ayant a r r a c h é lu sac des mains du la femme André, y trouva, en plus de son gilet, dus chaussettes de colon et une chemise. Le brigadier de police, M.'Jnn, qui était s u r le marché apprit aussitôt q u e les chaussettes avaient été volées à l'étalage de la veuve Kallwassur et la chemise à celui do M. Maylin. La femme André ayant reconnu les vols dont ollo venait de se r e n d r e coupable, fut hmbnéeavec sa fille, au bureau de police et, vers trois h e u r e s , elles faisaient leur entrée devant le tribunal qui siégeait à ce moment. L'affaire fut appelée à la reprise do l'audience, mais, la femme André, qui avait reconnu avoir c o m m i s lu vol , un accusa sa lillo en disant qu'elle était malade et a t teinte du la manie du vol. La fille André ayant f d t une semblable déclaration, le tribunal, sur la d e m a n d e do M. le Procureur do la itépublique, (il mettre les lieux femmes en élal do dépôt à la prison et délégua M. le docteur Dansac pour étudier la maladie dont le fille André se déclarait atteinte. Bains mortels Lu jeune Roger Hault, 12 ans, dactylog r a p h e à Paris, qui HO trouvait en villégiature à Iliva-Bolla avec sou patron, M. Trintinlàb, industriel à P a r t s , s'est noyé en prenant uu bain. — Un parisien, M. Georges Ilickel, Agé do 48 ans, en villégiature à Saint-Aubin, se disposait à p r e n d r e son bain, lorsqu'uu p é nétrant d a n s l'eau, il fut frappé de congestion et expira aussitôt. — Un employé do commerce do Paris, M. Joseph de Hudvicki, venu à Grayo-surMer pour y rejoindre sa femme, était aller se baigner avec elle et avec sa nièce, Mlle Genoux , habitant à Issy los-Mouliueaux, auxquelles il voulait a p p r e n d r e à nager. La jeune fille ayant perdu pied se cramponna à sou oncle q u i , n'étant plus maître do ses mouvements, fut roulé par la m e r en même temps que les doux femmes. Doux jeunes gens de Caen, M. Roger De-barreaux, fils du lieutenant-colonel, et son amt, M. Jean Revers, su j e t è r e n t tout habillés à la mer ; à leur tour, ils faillirent se noyer. Des trois autres personnes, Mme do Muduicki fut seule retirée de l'eau encore vivante. Triste récolte Uu batteur de grains des onvirons de Bayeux était demandé l'autre semaine dans u n e c o m m u n e dos environs de Trôviùres pour battre 2.200 gerbes do blé laissées eu meule, depuis l'année dernière, par s u i t e de la mobilisation du fermier. Ce blé était, il est vrai, de qualité inférieure, mais un espérait néanmoins en retirer une certaine quantité de grain. liais et suuris s'étanl pondant une a n n é e logés dans la moulle, lu battage a à peine produit deux sacs de blé. ' Accident à l'entrée d e la g a r e d e C a e n Vendredi, le courrier do Parla et de toute la ligne jusqu'à Bayeux, nu fut distribué on ville que dans l'après midi à cause d'un accident qui s'était produit le matin à 6 heures 26 à l'outrée do la gare do Caen prés do la Demi-lune. Lu train d e voyageurs 611 venant do Paris avait tamponné te train de marchandises 3.125, venant du Mans, arrêté au signal d'entrée. A cet endroit so trouve uue courbe très prononcée qui n'a pas p e r m i s au mécanicien du traiu do voyageurs d'apercevoir les derniers Wagons du train de marchandises; Bien que le signal d'arrêt fut, dit-nu, 1 formé, dit le Journal de Caen, le mécanicien continua sa rbute à une vitesse d'environ AD kilomètres à l'heure ut la locomotive alla se juter s u r le fourgon do queue du train du marchandises. Le choc fut si violent que ce wagon fut soulevé de lerro et la locomotive lu défonça ; il so produisit aussi dos r u p t u r e s d'attelage el d e u x wagons du train de marchandises lurent projetés au bas du r e m blai. D E BAYEUX 1 Onze voyageurs du train t a m p o n n e u r furent légèrement blessés. La voie fot obstruée p e n d a n t plusieurs h e u r e s ce qui occasionna u n e certaine perturbation d a n s le service des traius, celui du Mans, en autres, ne put p a r t i r à l'heure réglementaire. ^ _ ^ _ _ _ _ Recel de déserteur ANCTOVILUÎ. •— Deux personnes d'Auctoville, la d a m e Latné, cultivatrice, p r e n a i t chez elle en journée un j o u r n a l i e r qui lui certifia être eu permission régulière q u i couchait depuis quelques jours chez une j o u r n a l i è r e , la d a m e Allai». Cet h o m m e , dont la permission était expirée depuis un certain t e m p s , a été arrêté et procès-verbal a été dressé p o u r recel de déserteur contre les dames Lalné et Allain. Epilogue du drame de Fontenay-le-Pesnel Le conseil de g u e r r e , siégeant à Rouen, vient de juger l'affaire do Fontenny-le-Pesnet. Nos lecteurs se souviennent que deux soldats de la c o m m u n e , venus eu permission, s'étaient introduits une n u i t dans la forme de M. Mulot pour le voler. A la suite d'uno lutte avec eux, M. Mulot avait été frappé d'un coup de couteau dont il mour u t 36 heures a p r è s . Féron, qui avait porté le coup de couteau a été c o n d a m n é à 20 ans do travaux forcés. Son complice, Aslhasio, qui a été blessé deux fois et décoré de la Croix de g u e r r e , s'est vu inlliger la peine do dix ans de réclusion. Une agression dans un train M. Marchand, courrier-convoyeur, fais a n t le service de Caon-Lisioux, était monté, c o m m e d'habitude, en g a r e de Caen, dans le c o m p a r t i m e n t réservé uu service de la poste. Le train venait do quitter la gare de Mesnil-Maugur lorsque la portière s'ouvrit b r u s q u e m e n t el un individu se jeta s u r le courrier, essayant de lo terrasser. Une lutte s'engagea outre les deux hommes et, fiualeuient, M. Marchand ont le dessus. Il tira le signal d'alarme ; le train sloppn et on vint au secours du courrier. L'individu fut a p p r é h e n d é , placé sous bonne g a r d e et, à l'arrivée à Lisieux, r e m i s à la police. Interrogé, l'agresseur déclara qu'il voulait « flanquer une raclée » au c o u r r i e r ; mais, commo M. Marchand ne lo connaît pas el ne l'avait j a m a i s tant vu, on doit plutôt croire que le vol élnil le mobile do l'agression. Vous êtes priés d'assister à une.Messe nui sera célébré on l'Église de Saint-Patrice, lu lundi ^septembre, n s heures du malin, à la mémoire de M o n s i e u r Louis GUESNON soldat touillé au Champ îl'lionnour lu il septembre mit;. E t a t - c i v i l d e la Ville d e Bayeux NllIsNIlIICCN Du 19 août. — Yvonne-Marguerite Locrosnier, r u e des Boucliers. Du 20. — Mauricc-Alberl-Paul Léon Langlois, ruo Montfiquet. Du 2 1 . — Claire-Jeahne-Françoiae Barbier, rue des Cbauoines. Du 25. — Pîerre-Francois Mario, r u e Saint-Loup. uîebs Du 19 août. — Gabriel-Joseph Alphonse Delauge. •> ans 6 mois, rue Saint-Patrice. Dudit. — M. Raymond-François-Marcel Angor, boulanger, lu ans 2 mois, ruo Larcher. Du- 22. — Mme veuve Le Comte, née Marie-Flavio-Alexandrino Le Charlier, blanchisseuse, 75 ans 3 mois, rue Monlfiquat. Dudit. - M. Charles-Alexandre Le Templier, propriétaire, ancien t a n n e u r , 66 a n s , 9 mois, route do Porl-en-Bossin. Du 23. — M. Eugène-Jacques Robert, sans profession, 73 ans 9 mois, rue S a i n t Jean. PiililiciiUoiiM «le Blarlti^o Du 24 août. — M. Léon Désiré Catherine, marin d e s équipages de ta llolte, majeur, à Arromancbes-les Bains el Mlle J o a n n e Aline-Léonie Soyer, blanchisseuse, majeure rue Larchur. Dudit. — M. Roné-Marcol-Gormain Eléonoro, bourrelier, majeur, à Evroux, actuellement mobilisé et Mlle Aimée Anna Le Pieux, domestique, majeure, ruo F r a n c h e . La Revue Hebdomadaire Sommaire (lu numéro du 26 août Gabriel Ilnnotaux. — Les Socialistes el lu guerro Abbé Sortillongos. — Los Forces do lu France. — IX. Nos Sanctuaires, Maurice Làjibïro. — Extraits do lu correspondance d'un Town-Mojor — Lo Khâmclrï. l-'iruiiii t|oz. — L'âge iritonjmo (IV). Jours d'hôpital, Fernand l.uudci. — La reprise des relations entre lu Franco et lu Saint-Siège. Foires de S e p t e m b r e d a n s le C a l v a d o s . I Coililé-S-N. (S j.) (m. lav.) ; 4 l*ont-l'urcy ; G Saint-lulieii-de-M., l.ivuroi ; 7 Douvres ; il Divos <:t j.> ; 11) Suinl-l'inrre-siir-l). ; 11 Vussv ; 13 ItéuyItoeuge ; 14 Baveux, Plessia-Gr. ; 15 Falaise ; fs Sa|nt-Ju|ion-lp-F. : I!» Uoznlé, Blangy-le-Cli. ; 20 Trouville (cliov). ; 2ï Tliury-llrre. (2j.) ; 28 N.-D. dô-Frosnay (le ttiiloi), Saint-Sovor : 27 Tortlouel ; 29 Caen (m. lu v.), Vire ; :it) Poiil-l'Kveque. Etude'du M* A n a t o l e M a r i e , avoué à Bayeux, ruo dos Houchors, n° 37. LE JEMBLE Suivant procôa-vorbal d'adjudication ro. en par M' VALENCY, notairo a La Cambo, le 20 mars 1917 cl contrat do vente devant lo mémo notaire du 4 avril 1917 ot aux ternies d'un cahier dos chargos drossé par lo dît M" Valoncy, lo 20 murs 1917 ; 1° M. Tranquille BENOIT; propriétaires cullivntcur, demeurent el domicilié à Cnrdonvillo ; 2° Madame Lnurontino-Irma LE RENARD; cultivatrice; demeurant a Monl'réville , votive do M. Eugônc-AugUoto ROPTIN cl 3° M, Albert-Joan DEBEIIT, propriélniro-uullivatcur, demeurant ot domicilie" à Monfrôville ont élé proclamés adjudicataires moyennant les prix ci-aprôs, savoir : M. BENOIT, 4.000 IV. du \" lot-du cahier des charges, sis commune do Monfrévillc,' compose d'un licrbago, appelé la Pièce Mcssiro Hoult ou Pièce Mieheraux, porté uu cudnslro sous lo numéro 135 do la soulion A, pour une contenance do 96 aros 10 eenliares. Madame HOPTIN, 5.800 fr. dos •!• et BB lots dadit cahier des charges , sis commune do Monfrôville comprenant : le 4" loi uno pièce do terre autrefois on labour; actiicllumonl en herbu, .nommée los Viviers, contenant environ I hcclnru 20 ares 80 eonllaros ; le 5» lot, uno aulro pièce nommée également les Viviers, autrefois on • labour, actuellement en herbe, plantée do pommiers, contennnL environ 80 ures 88 conllaros. M. DEBEnT, 7.500 francs : 1° Un pré, appelé In Coinnumctlc ou Grosso Herbe, figurant uu cadastre numéros 1 et 2 do tu section C, pour une contenance de 2 hoclnres 10 ares 70 eontiares ; 2" un autre pré, contigu au précédent, eudaslré numéioÏÏ p do In section C, contununt 89 ares .'10 centiares. Les immeubles dont s'agit étaient mis en vente u In rbquele de : M. Pierre-Jules LE JEMBLE, propriétaire-cultivateur, demeurant et domicilié u Monfiévllle. Kn vertu d'ordonnance rendue pur M. lo Président du Tribunal civil do Bayeux, lo îi Juin 1917, enregistrée, mise nu pied do In reipiôlo à lut présentée le îi dudit mois, il a été donna neloa M. Benoit, .Madame veuve Roplln el M. Peberl de In présentalion cle leur requête el dit que colle requête serait nolilléu conformément nu décret du 17 juin 1910, aux parties intéressées, par lollres rocnmniundées, avec accusé de réception eu a défunt piir oxploit d'Iiuissicr, sursoyant a stalûor sur In demande do reprise du cours des délais do lu purge d'hypothèque légale jusqu'après l'accomplissement iiu ces formalités. A la date du 24 Août 1917 il est intervenu une ordonnance de M. le Président du Tribunal civil de linveux, enregistrée a Bayeux; le 24 août lfU7, laquelle est ainsi conçue : « Nous, Président du Tribunal civil do « llaycux, n Vu la requête qui précède, les pièces « a l'appui cl notamment lus notilicalions « de la demande fuites aux parties intorcs« sées et le conseuiumenl formel dos par» lies intéressées mobilisées, notamment de « M. Charles-Auguste Bquland , agent gé« néral d'assurances a Ihigny-sur-Mcr, ot « du M. Jules-Albert Thiboul, propriétaire a u La Cambe, el 'attendu qu'aucune d'elles • no s'opposo a la reprise du cours des .. délais île la purge do l'hypothèque le* gale au profil de Madame Angèlc-Muria <( Toslain, épouse do M. Piorro-Julos Lo « Jemble, avec lequel elle demeure aMon« Trévilte. •< Autorisons le cours desdils délais do c purge légale militant au profit de ladite (t dame Le Jetable sur les immeubles cotn« pris aux adjudication et vente au profit « des exposants suivant procès-verbal cl v contrat du ministère do Me Valoncy, no» taire a La Cambe, en date des 28 mars « et l avril 1917. « Disons toutefois que ledit délai nu « prendra cours qu'à l'expiration du mois « qui suivra l'insertion de la présente dans <( lu Journal d'annonces légales Ulndica» (eue de Uaycux ot s'il n'est survenu « d'opposition dans le cours dudit mois. Réservons aux exposants do nous en référer au cas où il surviendrait une opposition. Donnée en nuire cabinet, au Palais do' Justice do llaycux, lo 24 AotH 1917. Signé : BERLET. Enregistré on forme. La présente insertion est faite en exécution de ladite ordonnance, pour faire prendre cours, a dater île ce jour au délai d'un mois pendant lequel les Intéressés pourront notifier leur opposition motivée a la reprise du cours îles délais de la purge d'hypothèque légale militant au profit do Mme Angelo-Maria TOSTAIN, épouse de M. Pierre-JUlos Le Jemble , sur les adjudications et vente dont s'agit, par lettre recommandée atlressée à M. le Oreiller du Tribunal civil île Bayeux. Etant déclaré qu'on conformité du Décret du 17 Juin I9lti si, à l'expiration dudit mois, uucunc opposition n'a élé formulée, lo délai do In purge de l'hypothèque légale dont il s'agit sur lostlltès adjudications cl vente prendra cours de plein droit pour nue durée égale au délai ordinaire. A Bayeux, lo 25 AotH 1917. A. MARIE. Etude de P o u n a s c , avoué à Bayeux (Calvados) Succession TRÉMOULET Vente en 11 lots Robert F o n t e niellé <•>»• >• de ta Société de l'Ecole et IH s pensa ires Dentaires de Paris 33, Hue des Boucliers, 33 A BAVKHX C o n s u l t a t i o n s : Tous les jours do 10 heures à midi L-t de 2 à IL, Jeudi el Dlmancho exceptés. I m p r i m e r i e de L'iwlirntcur dû llaycux. O'. Gaston COLAS, Le itérant responsable, Cu. LAIU Commune d'Arromuisfeas-lfls-Baliis Sixième Lot Cabino on Bois, place do In Petite Cale. Miso à prix. . . . . . . & 0 O fr. Septième Lot Maison, ruo do Bayoux, en fnce l'avenue do In gare. Miso n prix SS.OOO.fr. Huitième Loi Maison è, la suite (La Fourmi). Mise a prix. . . . . . î . C i O O Tr. Nouvièmo Lot Maison a In suite (Place do la Potîlo Cale). Miso a Prix l ' o O O fr. Enchère générale sur les prix de ces 4 lots. Dixième Loi BÛtimonl et Jardin, route du Caon. Miso a prix. . . . . 2 . 0 0 0 rr. Communs â'AsnellBS-la-BallB-Plaga Onzième Lot Parcelle do Marais nu bord do la Mer. Mise û prix; loorr. Frais en sus y\ VENDRE' le Snincdi 1" Septembre 1917, a midi précis par le conimissairu-prisGur sur la Place du marché à Buyeux Un Bon TRICYCLE Cultivateur Canadien. Au comptant. A LOUER pour In Snini-Michcl 1917 comprenant: uno cuisine, 2 chambres, une cavo el un jardin siliiéts à I t y t i s S'udrossor a Mme vouvo lltiol, h Maisons ou n M. Lerenard, propriétaire ft Ryes. A LOUER DK SUITE GRANDE CAVE r u e S a i n t - L a u r e n t , ^ i bis 2 Chambres et 1 Grenier rue Saint-Jean, 25 S'ndrossor u M. Lofôvro, a Ellon, par Juuye-Mundayo. 1174-2 \ LOUER pour Saint-Michel ot Noël 1917 UNE PETITE F E R M E sttuéo h T o r t e v i i l (aux Ourailles) cl par extension sur lo Q u e e n a y - G u e s n o n contenant !» hectares donl îîO u. on labour Très beau plant eo pommiers cl eau dnns les herbages S'adresser a M. Louis Plcy, cultivateur a Jiiayù-Monduyo; ou è M. Duhamel, régisseur de biens a Bayeux, 20, ruo des Bouchers. A LOUER pour Sainl-MIcliol m NoSI 191? La FERRIE de La Héberdièrc située ;'t Gaatillon contenant ii^k hectares S'adresser h M. Duhamel, régisseur do biens à Bayeux, 20, ruo dos Bouchers; A LOUER pour SaitU-MIcliol 0 l Noël 1917 1A FERME DE L'ÉGLISE siso eu . M a n o i r S'adresser, pour visiter el traiter, si M. Aboi Lo Pôtlerin, àdminjslratour d'immeubles, 10, ruo Echo; Bayoux. ISS c. ni. LÉON HAMEL Bourrelier, rue Montfiquet DEMAMffi DE SUITE Un Ouvrier Bourrelier et un Fort Apprenti nourri tt nuhi " ON DEMANDE Un OUVRIER typographe à l'Imprimerie de L'Indicateur de Bayeux CERCUEILS erp^r"-01* ' La maison so chnrgo de luules démarches pour transferts et fournitures complètes. I». U E U G O I ' , Boulevard Oariiol, ItAYHUX. — Tel. 7. 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ISIGNV — 21 Août Blé »»,»» — Orge Hî(.».>— Sarrasin 35,»» Avoine 24,>»•— Seigle »».»». Beurre, l " q. 11.41), 2" q. 0.18, :> q. 0.00 OEllfs, In douzaine, 2.75. Pain, 2.70 les (i lui. 8ALLEHOV 7 AuUl nié u»...i.» — Orgo n».u» — Sarrasin "».»'. Avoine n»',»» — Seigle »».»». Beurre, l rp q. 0.20, 2* a. Ii.».., 3< q. 5.80 OKufs, lu douzaine, 2.40. CAUWIONT— &1 AOÛt Blé >..i.»» — Orgo »>...i» — Sarrasin »».»» Avoine t,T»».»» los 60 Idl. — Seigle nu,»» Bourre, l 0,0.30* 2«q. 5.80, > q. >..»> /Œufs, lu douziiino. 3.20, Voluillus . . . 8..... n ....... id. grasses. »..»» a »...»».