IntImIté, SexuAlIté EN INSTITUTION :

Transcription

IntImIté, SexuAlIté EN INSTITUTION :
Intimité, Sexualité
en institution :
La romance des possibles ?
Réponse
Le règlement doit être
effectué à l’ordre
du Trésor Public.
Institut de Formation
de Santé de l’Ouest
Z.A. Saint Ernel
29800 Landerneau
Tél. : 02 98 21 55 60
Fax : 02 98 85 05 03
[email protected]
Pour les règlements
par mandat administratif :
Il est indispensable
d’indiquer la référence
qui figurera sur la facture.
Si votre règlement n’est
pas parvenu sur le compte
du Trésor Public le jour
du colloque, un chèque
de caution sera exigé.
Vous serez prévenu de son
encaissement deux mois
après la manifestation si
le mandat n’a pas été perçu.
14
Jeudi
Modalité
de réglement
À retourner à :
2013
Intimité, Sexualité
en institution :
colloque De 8h30 à 17h30
Intimité, Sexualité
en institution :
La romance des possibles ?
La romance des possibles ?
tarifs
40 € la journée
repas compris
Pour les étudiants :
15 € la journée
Aéroport de
Brest - Bretagne
repas compris
N12
D167
Pour les règlements
par virement bancaire :
E50
D712
Code banque : 30001
Code guichet : 00228
N° de compte : D2920000000
Clé RIB : 62
Domiciliation :
Trésorerie de BREST banlieue
IBAN : FR05 3000 1002 28D2
9200 0000 062
BIC : BDFEFRPPXXX
D712
Salle de l’Alizé
D67
90 rue du commandant
Challe - guipavas
Réponse à retourner avant le 07 février 2013
Établissement / Service /
Adresse / Code postal / Ville / Tél
Jeudi
Prénom : ..........................................
J e règle par mandat
administratif à réception
de facture (*)
septembre 2012
Nom : ...............................................
J e règle par chèque
ci-joint et désire recevoir
une facture (*)
(*) cochez la case de votre choix
Bulletin d’inscription
14
colloque De 8h30 à 17h30
Salle Alizé – GUIPAVAS
PRéAMBULE
Programme
En 2005, J. Pellissier posait la question suivante :
Notre société veut-elle vraiment des vieux vivants ?
Intimité, Sexualité
en institution :
La romance des possibles ?
Une telle question interpelle. Elle nous renvoie en tant qu’humain
à la question du « sens » : qu’est-ce que être vivant ?
Nous avons tous notre représentation de ce qu’est « être vivant »,
représentation empreinte de notre histoire, représentation
qui évolue au gré du temps et de nos rencontres …
La réflexion de J. Pellissier touche particulièrement les professionnels
en EHPAD : comme soignants (futurs « vieux ») voulons-nous vraiment
des « vieux vivants » que nous pourrions accompagner en respectant
leur désir, leur volonté … que nous pourrions regarder comme des
vivants et non comme des objets de soin ? Voulons-nous des « vieux
vivants » que nous pourrions considérer comme des personnes ayant
des désirs, des besoins … ? Pouvons-nous entendre non seulement
l’expression des besoins fondamentaux tels qu’être propre, être
nourrie … mais aussi l’expression des besoins d’affection, d’intimité,
de sexualité, droit inaliénable de toute personne ?
L’accompagnement quotidien des vieillards, en situation de grande
dépendance ou en perte d’autonomie, demande aux soignants
une grande vigilance pour respecter les désirs de ces personnes.
Ces désirs d’affectivité, désirs d’intimité, désirs de sexualité,
souvent fragiles, vacillants demandent que la sensibilité soignante
soit en veille. Mais ces désirs demandent aussi à être reconnus,
pris en compte … alors qu’ils sont souvent niés, cachés, malmenés ...
en bousculant les représentations soignantes, ils surgissent
et réveillent les tabous.
Ces besoins d’intimité, d’affectivité et de sexualité, sont nettement
identifiés dans les différentes recommandations et orientations
réglementaires. Pour autant leur respect est régulièrement questionné
dans les pratiques soignantes au sein des structures.
C’est pourquoi éric Seguin, directeur du SIVU, et les équipes des professionnels du SIVU continuent leur réflexion autour de leurs pratiques
professionnelles à partir des questions suivantes :
La sexualité est-elle un tabou ?
Pourquoi parler de la sexualité et plus particulièrement
celle des personnes âgées, peut faire peur ?
Est-ce une peur ou une honte ?
Comment introduire le respect de la sexualité dans l’accompagnement institutionnel ? Et faut-il instaurer des limites ?
Ce colloque sera une nouvelle fois l’opportunité
de s’interroger sur l’accompagnement quotidien
respectueux tout autant du bien-être intime,
que de l’expression de la vie affective et sexuelle
des « vieux vivants » qui résident dans les établissements.
éric séguin :
Directeur du SIVU
Anne-Marie frances :
Chargée de mission IFSO
8h30 :
Accueil des participants
9h00 :
Ouverture du colloque :
Alain QUEFFELEC,
Président du SIVU
Modérateur de la journée :
Bertrand COIGNEC :
Président de la FNADEPA 29
9h15 :
Introduction de la journée
Paolo Doss
9h45 :
« Intimité – sexualité
en institution : la romance
des possibles » :
La place de l’affectivité
et de la sexualité dans une vie
d’humain : il n’y a pas d’âge,
il n’y a pas de lieux pour désirer
et vivre sa sexualité jusqu’au
bout de la vie.
Au-delà du tabou de l’âge,
désirer, aimer, vivre sa sexualité
en institution est-il possible ? Et l’homosexualité du grand âge ?
Gérard RIBES : Enseignantchercheur Université Lyon 2 10h30 :
12h15 :
15h15 :
« Intimité – Sexualité
en Institution : entre droit
des personnes et tabou social. » Synthèse de la matinée
et débats avec la salle.
Table ronde à partir de
témoignages et de questions
d’équipes soignantes, éclairages-échanges, animée par :
Gérard RIBES,
Jean-Jacques AMYOT,
Angélique QUIQUANDON,
Jérôme PELLISSIER
La sexualité en institution n’est
rien moins que le prolongement
et l’exacerbation du traitement
qui en est fait en dehors.
Il est donc nécessaire de présenter les représentations que
nous avons de ce drôle de couple
– vieillesse et sexualité – avant
de l’institutionnaliser.
Gérard RIBES : Enseignantchercheur Université Lyon 2
12h45 :
Pause-déjeuner
14h00 :
Au-delà des représentations
sociales en général, comment
les professionnels considèrentils l’intimité et la sexualité
en institution ?
Un temps pour penser …
avec Paolo Doss
Artisan du rire et semeur
d’espérances
Comment peuvent-ils garantir l’intimité des personnes
accueillies ?
14h30 :
Comment les représentations
et le regard des professionnels
peuvent favoriser ou non
ce sentiment de respect du droit
à l’intimité et à la sexualité ?
Jean-Jacques AMYOT :
Psychosociologue
11h15 :
Pause
11h30 :
« Du droit de choisir au consentement pour des personnes
âgées présentant des troubles
cognitifs » Le besoin d’intimité et de sexualité ne disparaît pas lorsque
des personnes âgées présentent
des troubles cognitifs : dans
le quotidien des établissements
comment comprendre ce besoin
d’intimité et de sexualité,
mais surtout comment discerner
ce qui relève du libre arbitre
et du consentement dans certaines situations ?
Comment gérer les situations
où le consentement d’un
des partenaires n’est pas sûr, tout en respectant les désirs
des personnes ?
« Le corps vieux :
impossible objet du désir ?
Le vieux parent :
impensable amant ? »
Réflexions autour des troubles
que provoquent en nous,
proches ou soignants,
l’affectivité et la sexualité
de nos parents ou/et patients
âgés ? Comment nos représentations
personnelles peuvent-elles
induire notre comportement
soignant face à cette question
du respect de la sexualité
des aînés (qui sont l’image
de nos parents) ?
En tant que professionnel
comment aider et accompagner
les familles face à des situations
mal vécues par les familles
(rencontres, amours partagés,
demande de vie en couple …)
L’incompréhension
des familles face à la vie
affective de leurs parents
âgés, accueillis en EHPAD.
L ’intimité en institution :
réalité ou injonction ?
Soigner et respecter la vie
affective et sexuelle des
personnes âgées présentant
des troubles cognitifs ?
être professionnels et gérer
ses émotions dans une
relation soignante confrontée
à la sexualité ?
Synthèse de la table ronde :
Gérard RIBES
16h30 :
Allocution finale :
Bertrand COIGNEC
17h00 :
Clôture de la journée :
Président du SIVU
Jérôme PELLISSIER :
Docteur en psychologie et écrivain
Questions
A
vez-vous des questions particulières en lien
avec le thème évoqué ?
C
es questions seront adressées à l’intervenant concerné.
En tant que soignant quelle légitimité peut-on accorder à l’expression d’une forme de sexualité et quelle posture peut-on
adopter ?
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Angélique QUIQUANDON :
Psychologue Clinicienne
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