Pythie, Martyre de l`Olympe
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Pythie, Martyre de l`Olympe
Neccy Pythie, Martyre de l'Olympe Publié sur Scribay le 21/11/2015 Pythie, Martyre de l'Olympe Soyons Honnête Depuis cette nuit là, Hélias et moi nous ne nous quittions plu. Mais notre histoire avait fais des ravages au village. C'était passé comme une tornade, c'est-à-dire très mal. Du jour au lendemain lorsque je marchais dans la rue les regard s'arrêtaient sur moi alors qu'avant ils glissaient sans s'accrocher. Mais là, le regard des gens était tranchant. Pour qui se prenaient-ils pour me juger, mon amant et moi ? N'ont ils jamais eu affaire à Éros ? Notre dieu de l'amour si bon envers les couples mais si incompris dans le commun des mortels. Je regarde ce ciel bleu foncé à travers la fenêtre comme si j'esperais y voir Athéna ma déesse et je me mis à sourire. Aaaaah tant pis pour tout c'est gens. Il faut profiter de la vie puisqu'elle est si courte ! Je ferme mes yeux et me prépare à passer une bonne nuit de sommeil. Le lendemain, le père d'Hélias avais voulu me voir, pour me parler de la relation avec son fils, bien sur j'ai accepté ! Je parlais donc avec distinction et j'essayais de m'approprié sa sympathie. Il me parlait de son fils jeune, de son caractère et de la carrière qu'il envisagé parmi les plus grand. Mais tout ça je le savais déjà ! Mais je n'écoutais plus Monsieur Nova, le père d'Hélias au moment ou j'avais remarquer un forme bizarre dans l'eau qui passait sous le pont sur lequel nous étions Quelle est cette chose informe dans l'eau ? ça me faisait penser à quelque chose pourtant mais je suis incapable de savoir quoi. Monsieur Nova barbouille des mots derrière moi mais je suis tellement concentrée sur la forme que je l'entend à peine. En fait je décide même de l'ignorer. Hélias mais bien sur ! Mon cerveau eu une illumination soudaine, d'un seul coup je vois des bras, des jambes un torse. Un visage, son visage, dans l'eau et immobile. Sans expression. Je suis prise de panique et je me met à courir à en perdre mes poumons. Mais qu'est ce qu'il fait dans l'eau, pourquoi est-il la bas ? Est ce qu'il est mort ? Pourquoi ne bouge t-il pas ! Ma vision deviens floue car mes larmes coules. Je n'en fait rien et je dégringole sur la rive et plonge les mains dans l'eau prête à récupérer le corps de mon amant, vivant ou mort. Penser à ma vie sans lui ne se résumé qu'a une fresque dénudée de couleurs, à un temple qui ne serais voué à aucun Dieu. Mais au moment de mettre les mains dans l'eau... C'est avec un sursaut que je me réveille, l'esprit retourné. J'ai des sueurs froides, je panique et je suis soulagée en même temps. Je ne sais même pas ce qu'il m'arrive c'était quoi ce truc? Un rêve ? Un cauchemar ? ça ça ne s'est pas vraiment passé hein ? c'est pas possible. Oh déesse j'ai tellement de questions dans la tête si seulement tu pouvais me répondre. Un son innommable sort de ma bouche, c'est à mi chemin entre un cri de frayeur et un hocket. J'ai le sentiment d'une brûlure dans le dos comme une griffe qui cours le long de ma colonne vertebrale. Mes yeux se revulsent sous la douleurs, mon cœur bat à sortir de ma poitrine et mon corps ce crispe. J'essaye de m'accrocher à quelque Pythie, Martyre de l'Olympe chose, de ne pas perdre la tête mais c'est si fort, si intense que j'ai l'impression d'exploser. Mais d'un seul coup la douleurs évanouie aussi vite qu'elle était apparu. En passant mes doigts la ou le tartare* même avait du me transpercer. Je ne sentais absolument rien. Je comprend rien, tout cela me fatigue dès le matins alors je vais à la rivière non loin de chez moi pour me passer la tête sous l'eau. J'ai l'impression que l'eau fraîche éclaircie mes idées noire. Je respire un bon coût et je décide de chasser mes penser, mes rêves tout de ma tête Aujourd'hui j'ai aucune envie de réfléchir à tout ça et je préféré aller travailler avec mon frère Aleck. « Théa ! Quel mauvaise mine, je sais bien que tu ne veux pas te faire belle pour travailler mais tout de même ! » « Que t'importe ma beauté du jours Aleck hum ? Tu veux peut être qu'on parle de la tienne » Mon frère commença à rigoler de ma légère riposte, mais cela ne nous détourna pas de notre but: récolter ce que nous avons semer. Les heures commencent à devenir longue et dure et nos ventre se creusent. Ainsi Aleck et moi décidons de rentrer, de prendre une pause bien méritée car nos mains sont sèches, notre dos hurles sous la douleur et nos jambes grelottent. Nous marchons en file-indienne avec nos matériaux pour pouvoir le ranger. Je suis toujours derrière Aleck car si je me mettait devant lui il se plaindrait que je marche trop lentement, ou trouverais la situation inconfortable et finirais tout de même par me dépasser. Le matériel que nous sommes entrain de porter sur notre dos dans un dernière effort coûte très cher, il ne serais pas envisageable de se le faire voler ou de les abîmer, ainsi on les pose en sécurité dans la petite cabane prévu à cet effet collée à la maisonnette que nous avons au bout du terrain. « Hé Aleck marche plus vite franchement, sinon demain on sera toujours pas rentré et j'ai faim ! » Bien sûr c'était un pique, Aleck ne marche pas du tout lentement, nous allons à peut près à la même allure, bien que je reste derrière lui. Aleck c'était retourné pour me faire face, mais son visage nu pas le temps de s'apercevoir de ma proximité avec lui et je reçu la pelle qu'il porter sur son dos sur le côté de mon crane. Dans un premier temps une douleurs assez importante c'était logé dans mon crâne, mais rapidement j'eus la vision flou et mon cerveau semblait brouillé. Ce fut le noir complet en quelque seconde et puis plus rien. Plus rien jusqu'à ce qu'avec un mal de crâne horrible je me réveille sur le sol. Dans l'herbe. Je ne saurais dire si elle est fraîche ou moisis. Verte ou noir car mes sensations était minimisées « bon sang que m'arrive t il ? » Malgré la pénombre qui régnait autour de moi, mes yeux avaient bien du mal à obéir et à rester ouvert. Chose qui ne m'arrangeait point. « Pourquoi faisait il si noir ? Et qu'est ce que je fais dehors à cet heure si tardive ? » Puis me revient en tête la pelle d'Aleck rencontrant mon crane, et mon corps qui rencontre le sol. Mais ne m'avaitil pas ramenée ? Il m'avait vraiment laisser là, toute seule comme ça à la merci de tout ce qui pourrait passer ? Un pincement me venait au cœur, mon propre frère qui malgré nos chamailles est censé m'aimer n'a pas jugé bon de me ramener à la maison. Déçue plus que jamais par la notion d'amour, de Famille et de Fraternité, je tente de me lever tant bien que mal avec mes articulation qui me semble rouillées et mes os 3 Pythie, Martyre de l'Olympe en miettes. Mais au moment de replier ma jambe et de relever mes bras sur mes genoux, je me rendis compte d'une part que ma jambe resta bloqué à un certain niveaux et que quelque chose mordait mon poignet lorsque je bougeais celui ci. « C'est quoi ce truc ! Pourquoi, suis-je attachée comme ça ! » Prise de panique je commençais à tirer sur mes chaîne, mais plus je tirais, plus mes poignet avais mal, plus mes jambes se fatiguaient et finalement épuisée je laissais retomber mes membres le long de mon corps. Des larmes commencèrent à couler de mes yeux. Pourquoi suis-je là... mais pourquoi ? c'est quoi cet endroit et pourquoi je suis attachée? Je suis fatiguée,. J'ai envie de fermer les yeux mais la peur de l'inconnu me force à les laisser ouverts. La ????? (phobos) peur à ce pouvoir de nous prendre par les tripes sans ménagement. J'avais l'impression que mon âme s'affolait dans mon corps épuisé Comme si celle-ci était encore prête à gravir des montagne et à décrocher la lune. Mais plus celle ci s'affolait et plus le vent qui avant me caressait le visage, me le fouette maintenant. Mes cheveux s'entremêlent, vont dans mes yeux, ma bouche comme si j'assistais à une véritable tempête. Mais celle ci, qui me heurtait jusqu'à présent s'arrêta soudain, laissant les feuilles d'arbres retomber au sol dans un son léger et harmonieux et ce fut le silence. Ce silence fut brutalement stoppé par un cris. 4