Dossier de presse - Janvier 2013-Juin 2013 11.01 MB

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Anodajay: le rappeur des bois | Émilie Côté | Musique
13-01-24 13:10
Publié le 20 janvier 2013 à 18h00 | Mis à jour le 20 janvier 2013 à 18h00
Anodajay: le rappeur des bois
Émilie Côté
La Presse
Il a toujours porté le numéro 7 au basketball
et son étiquette de disque s'appelle 7e Ciel.
Normal: il est né le 7-7-1977! Professeur
d'éducation physique de formation et rappeur,
Anodajay est l'imprésario de Koriass et
Samian.
Anodajay
Photo fournie par les Francofolies de Montréal
C'est un fier habitant de l'Abitibi et un des
pionniers du rap au Québec. Adolescent, il
faisait des «petits shows à Rouyn-Noranda
sur des intrus américains». En juin 2003, il a
attiré l'attention avec son premier album, mais
le succès est venu avec son deuxième album
Septentrion, propulsé par sa reprise du grand
classique québécois rebaptisé Le beat à Ti-bi,
en duo avec Raôul Duguay.
«J'ai compris comment la game se jouait»,
dit-il.
Anodajay a toujours eu un esprit rassembleur dans un milieu compétitif. Le 7 avril 2007, il a organisé l'événement HHD HipHop Dépendant, au Club Soda, réunissant Loco Locass, L'Assemblée, Sans Pression, etc. «C'était audacieux de ma part,
car il y avait des guéguerres et peu de shows rap dans des grandes salles, explique-t-il. Ç'a été un succès. On a refusé 300
personnes à la porte et on a refait le show à Québec et aux Francos [...] Je pense que ça a changé des mentalités et montré
à l'industrie qu'on se prenait en main.»
En raison de la langue, le rap québécois est le style le plus difficile à faire apprécier à l'étranger. Cela se fait à petits pas.
Koriass partage par exemple la scène avec le rappeur français Orelsan. Ce genre de collaborations peut porter ses fruits.
«L'idée est de trouver des gens qui s'entendent bien. Il faut des affinités naturelles», dit Anodajay.
http://www.lapresse.ca/arts/musique/201301/19/01-4612998-anodajay-le-rappeur-des-bois.php
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Samian : le hip-hop engagé | Émilie Côté | Musique
13-01-24 13:10
Publié le 21 janvier 2013 à 08h50 | Mis à jour le 21 janvier 2013 à 08h50
Samian : le hip-hop engagé
Émilie Côté
La Presse
(Rimouski) Quand Samian entre dans la salle
de spectacle du cégep de Rimouski, un
groupe de décrocheurs l'attend. Partout où il
va, le rappeur d'origine algonquine a un rôle
qui dépasse la musique. Samian projette
l'image d'un jeune autochtone inspirant et
engagé.
«C'est touchant quand tu arrives dans une
école et que 200 élèves t'attendent», dit celui
qu'on verra bientôt au cinéma aux côtés de
Roy Dupuis dans le film Roche Papier
Ciseaux.
Photo: Marco Campanozzi, La Presse
Nous sommes le 7 novembre. Les yeux de
Samian brillent, car il vient d'apprendre que le
projet de studio ambulant Wapikoni Mobile
(créée par Manon Barbeau pour initier les jeunes autochtones au cinéma et auquel il a participé) a obtenu une subvention de
450 000$ du gouvernement provincial.
Samian est l'un des rares rappeurs du Québec à se produire souvent en France. «Nous sommes aussi allés en Chine, en
Indonésie, en Finlande, en Suisse, en Allemagne...», énumère-t-il.
Grâce à des festivals, mais aussi aux consulats du Canada qui lui demandent de représenter le pays en tant que membre
des Premières Nations. «Je porte un message avec moi qui me permet de ne pas avoir de limites artistique et politique.»
En mars 2012, Samian a mis en ligne une chanson pour dénoncer le Plan Nord. Il collabore régulièrement avec Florent
Vollant, qu'il décrit comme un sage et un mentor. «Peux-tu croire que j'ai rencontré Florent pour la première fois en France!
C'est aussi en France que j'ai dormi dans un tipi pour la première fois.»
Samian craint-il les étiquettes, d'être l'«Amérindien de service»? «Ben non, il faut en profiter! lance-t-il. Je ne suis pas cave
non plus. Si je fais un show devant la reine d'Angleterre, c'est que je fais partie de la subvention. Mais moi, je me fais
entendre. Les autochtones doivent être représentés.»
Selon Samian, le rap est le véhicule parfait pour faire passer un message. «C'est une prise de position sociale. Ça donne
une voix à ceux qui n'en ont pas.»
De la cuisine au rap
Né le 11 juillet 1983 à Amos, près de la réserve de Pikogan, où il a grandi avant de déménager à Sherbrooke avec sa mère,
Samian se destinait à une carrière en cuisine. Mais entre deux plats, il écrivait de la poésie.
Le rap est arrivé plus tard, il y a six ans, grâce aux rythmes de DJ Horg (voir capsule), son collaborateur de longue date,
avec qui il partage toujours la scène. Samian a rencontré DJ Horg et Anodajay grâce à Loco Locass. «Biz a aimé ce que je
faisais avec Wapikoni Mobile», dit-il.
http://www.lapresse.ca/arts/musique/201301/21/01-4613258-samian-le-hip-hop-engage.php
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Samian : le hip-hop engagé | Émilie Côté | Musique
13-01-24 13:10
Étrangement, Anodajay et Samian ne se connaissaient pas, même s'ils viennent tous deux de l'Abitibi. Aujourd'hui, Anodajay
est l'imprésario de Samian et le patron du label 7e Ciel. Son protégé a sorti deux albums, et sa carrière pourrait prendre un
nouvel envol avec son rôle au cinéma.
Dans son prochain album, À coeur ouvert, Samian veut parler de son rôle de père de famille. «Il est dur à écrire», laisse-t-il
tomber.
Extrait de la chanson Plan Nord
Le gouvernement a décidé de perdre le Nord
Pour des diamants, de l'argent et de l'or
Il prétend vivre dans un pays libre
Mais ils ignorent que la nature est notre parfait équilibre
http://www.lapresse.ca/arts/musique/201301/21/01-4613258-samian-le-hip-hop-engage.php
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Artistes 7/Écologistes 6: Artistes et anciens joueurs de la LNH jouent au hockey pour protéger nos hivers - Environnement - Québec Hebdo
13-02-07 20:06
Artistes 7/Écologistes 6: Artistes et anciens joueurs de la LNH jouent au hockey pour protéger
nos hivers
Publié le 3 Février 2013
Pascal Huot
La population était au rendez-vous dimanche
pour voir et encourager les artistes,
écologistes et anciens joueurs de la LNH qui
participaient à la 3ime édition de la classique «
Protégeons nos hivers ».
Sujets : LNH , Fondation David Suzuki , Carnaval de Québec , Porte Saint-Louis
L’événement, organisé par la Fondation David Suzuki dans le cadre du Carnaval de Québec, vise à sensibiliser les
citoyens aux impacts des changements climatiques sur la saison hivernale et sur la culture québécoise.
Les Cowboys Fringants, Loco Locass, Daniel Savoie alias Patrice Lemieux, Georges Laraque, Dave Pichette, André «
Moose » Dupont, Réal Cloutier, Pierre Lacroix et Alain Côté des anciens Nordiques ont montré leurs savoirs-faires sur
la patinoire de L’Esplanade, près de la Porte Saint-Louis. Bien sûr, Bonhomme est venu faire aussi un rapide tour, le
temps d’une photo officielle.
En plus de disputer un match amical, les artistes et joueurs ont pris le temps de signer des autographes et de se faire
prendre en photos.
Le public a également pu participer à des jeux d’habileté sur la glace et remporter des prix de présence.
Membre du Groupe Québec Hebdo
http://www.quebechebdo.com/Societe/Environnement/2013-02-03/articl…iens-joueurs-de-la-LNH-jouent-au-hockey-pour-proteger-nos-hivers/1
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Sportifs et artistes réunis pour la cause de l'hiver | Québec | Radio-Canada.ca
13-02-07 20:04
Sportifs et artistes réunis pour la cause de l'hiver
Mise à jour le dimanche 3 février 2013 à 18 h 34 HNE
Sportifs et artistes réunis pour la cause de l'hiver à Québec
Un match de hockey opposant d'ex-joueurs et des artistes a eu lieu dimanche dans le Vieux-Québec,
au profit de la Fondation David Suzuki. L'événement était organisé en marge du Sommet de l'hiver,
qui se tenait ce week-end dans la capitale.
Pour l'occasion, Georges Laraque, Alain Côté et Réal Cloutier ont chaussé les patins. Des membres
du groupe Les Cowboys fringants et le groupe Loco Locass étaient aussi présents.
Sportifs, artistes, environnementalistes : tous les joueurs étaient réunis dimanche sur la patinoire
extérieure près de la porte Saint-Louis afin de soutenir la même cause : la protection de
l'environnement et la préservation de l'hiver québécois.
« Mon pays, c'est l'hiver! S'il n'y a plus d'hiver, il n'y a plus de Québec. C'est notre identité, c'est notre
façon de vivre », a lancé Chafik, membre du groupe Loco Locass.
http://www.radio-canada.ca/regions/Quebec/2013/02/03/004-match-hockey-fondation-david-suzuki-dimanche.shtml
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Forum sur la chanson québécoise - Problèmes de «transmission» | Le Devoir
13-02-07 20:05
Forum sur la chanson québécoise - Problèmes de
«transmission»
4 février 2013 | Antoine Robitaille | Actualités culturelles
Encore une fois, l’état de la chanson québécoise inquiète. D’ailleurs, «diffuseurs», «créateurs» et
«producteurs» se réuniront en un Forum ce lundi et mardi « pour ausculter le malade, tenter des
diagnostics et concocter des remèdes », selon la métaphore utilisée dans nos pages la semaine
dernière. L’angle mort de ce « sommet » : l’école. Bref la « transmission ».
La chanson est un des signes vitaux d’une communauté linguistique. Comme l’écrivait avec raison
André Gaulin, expert en la matière : on peut difficilement séparer la chanson québécoise de «
l’histoire du Québec moderne ». Elle fut l’« expression […] de sa redécouverte de soi après un long
hiver historique ».
Aujourd’hui, un autre « long hiver » menace. Le document de présentation du Forum, organisé par le
CALQ et la SODEC, parle pudiquement d’un « essoufflement, alors qu’on perçoit une croissance du
nombre d’artistes choisissant de s’exprimer artistiquement en langue anglaise ». Il n’y a pas que les
artistes professionnels qui optent pour la langue de Spears (Britney). Dans les nombreuses émissions
consacrées à cet art à la télé québécoise, on observe les artistes amateurs mordre dans l’anglais
avec des accents plus américains que celui des Américains ; les mêmes ont bien souvent du mal à «
connaître la chanson » lorsqu’elle est en français. Les airs de famille ont souvent les mêmes
résonances non francophones. Dans les spectacles de fin d’année, à l’école, on ne chante presque
jamais en français. « Vivre en ce pays, c’est comme vivre aux États-Unis » : ce que chantait
Charlebois n’a jamais paru si juste.
L’industrie a des succès qui ne sont pas à négliger : ceux de Coeur de pirate, de Fred Pellerin, de
Loco Locass, des Hommes rapaillés, etc. Mais ces hirondelles font-elles un printemps ? Dans le
document présentant le Forum, on met en relief les principales causes des « défis » actuels :
révolution numérique, mondialisation, entre autres. Il faut assurément trouver des manières de faire
du judo avec ces phénomènes massifs.
L’ennui est que le Forum se concentrera sur la chanson d’abord en tant qu’« industrie culturelle » ;
non comme réel pan de la culture. Normal, il est organisé par deux organismes dont c’est le mandat.
L’aspect manquant à ce sommet, Robert Jasmin et Marie Fradette l’exposent en quelque sorte dans
notre page Idées : chante-t-on suffisamment le patrimoine chansonnier francophone dans les écoles
du Québec ? Cette transmission se fait-elle comme elle le devrait ? Dans nos écoles, lorsqu’il est
http://www.ledevoir.com/culture/actualites-culturelles/369967/forum-sur-la-chanson-quebecoise-problemes-de-transmission
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Forum sur la chanson québécoise - Problèmes de «transmission» | Le Devoir
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question de culture, trop souvent met-on l’accent sur l’expression de l’élève alors qu’il faudrait
insister sur la fréquentation des grandes oeuvres. Avant même que l’élève ait acquis quelque
connaissance sur les mille et un grands poèmes, chansons, romans, essais qui ont été écrits ici avant
qu’il naisse, on lui intime de s’exprimer lui-même. On le voudrait « créateur », selon le mot à la
mode. Cela conduit dans la quasi-totalité à des exercices de simples resucées de ce que les industries
culturelles déversent en quantités industrielles dans toutes les plateformes auxquelles ce même élève
s’abreuve. Un cercle vicieux s’installe : les professeurs concluent que c’est ce que les étudiants
veulent et ils finissent souvent par le leur donner.
En somme, en plus des problèmes de « diffusion » et de « création » (propres aux « industries
culturelles »), la chanson québécoise souffre actuellement aussi d’un sérieux problème de «
transmission » auquel il faudrait s’attaquer d’urgence.
http://www.ledevoir.com/culture/actualites-culturelles/369967/forum-sur-la-chanson-quebecoise-problemes-de-transmission
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Les artistes des Francouvertes vous font une scène! | QuébecSpot Média
13-02-07 20:03
L'équipe de QuébecSpot Média met en lumière les talents du Québec en assurant, par le biais de nos chroniques et photoreportages, la couverture
médiatique d'une foule d'événements et de faits artistiques de l’heure. Nous demeurons constamment à l’affût de l’évolution du monde culturel et
événements divers. Pour vous. Avec vous.
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4 février 2013 | Par QuébecSpot Média
Les artistes des Francouvertes vous font une scène!
SiriusXM et Les Francouvertes dévoilent, en compagnie des porte-parole Louis-Jean Cormier et
Dany Placard et avec la complicité musicale des sœurs Boulay, lauréates de la 16e édition, les 21 artistes et groupes qui composeront la cuvée 2013 du
concours-vitrine de toutes les musiques. Cellos On Fire, D-Track, Dead Obies (18 février) – Gratte-Ciel, Les Hay Babies, Lazy Lovers (25 février)
– Marie-Félixe, Sophie Chen, Leela (4 mars) – Félix Lafrance, KPLR, Olivier Bélisle (11 mars) – Marcie, Maxime Lefebvre, Sylvia (18 mars) –
Babylones, MAUDE, Ludo Pin (25 mars) – Propofol, Le Globe, Les RétroRockets (1er avril). Ils sont rock, ils sont rap, ils sont pop, ils sont folk, ils
sont électro. Ils sont paroles et ils sont musique. Du lundi 18 février au lundi 13 mai, ils vous font une scène! À vous de les écouter et de les
découvrir.
Récemment, Les Francouvertes ont remporté le très convoité Félix dans la catégorie Événement de l’année 2012. Cette incroyable marque de
reconnaissance de nos pairs nous encourage à poursuivre notre travail afin d’offrir aux artistes, au public, aux nombreux représentants de l’industrie
musicale et aux médias un concours-vitrine de haut niveau et toujours aussi ouvert à tous les styles musicaux. Tout est en place pour permettre aux
artistes de vivre une expérience significative pour leur carrière. Ils et elles seront vus et entendus par un public qui aime la chanson d’expression
française, la diversité musicale et l’originalité. Ce sera également pour eux l’occasion de se faire voir et entendre par les médias et par les divers
représentants de l’industrie du disque et du spectacle. Une opportunité rêvée d’aller à la rencontre de nouveaux publics et d’établir des contacts
professionnels.
Mais un concours est un concours, et qui dit concours dit prix. Plus de 50 commanditaires sont au rendez-vous pour offrir plus de 60 000 $ en prix,
tels que des heures de studio, du soutien promotionnel et professionnel, des spectacles rémunérés chez des diffuseurs reconnus, des prestations dans le
cadre d’événements majeurs, du mentorat et de nombreuses bourses. Depuis sept ans, Les Francouvertes peuvent compter sur l’indispensable appui de
http://www.quebecspot.com/2013/02/les-artistes-des-francouvertes-vous-font-une-scene-02042013/
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Les artistes des Francouvertes vous font une scène! | QuébecSpot Média
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leur présentateur officiel, SiriusXM, qui contribue non seulement au fonctionnement et à la réalisation du concours-vitrine, mais qui offre également
une bourse de 10 000 $ au grand gagnant ainsi que 1 000 $ pour le Prix du public.
Tous les participants aux Francouvertes, peu importe l’étape où ils se rendent, ont la chance de remporter des prix offerts par : SiriusXM, Bande à part
– Espace Musique, MusiquePlus, MusiMax, CIBL, SODEC, Transcontinental Ross-Ellis, SOCAN, SODRAC, Cirque du Soleil, Festival de musique
émergente en Abitibi-Témiscamingue, Coup de cœur francophone, FrancoFolies de Montréal, Francofolies de Spa, LOJIQ, Festival de la chanson de
Tadoussac, ChantEauFête de Charlevoix, Festival de l’Outaouais Émergent, Festival Diapason, M pour Montréal, Union des artistes (UDA), Théâtre
Hector-Charland, Café culturel de la Chasse-Galerie, Le Zaricot, Salle Jean-Marc-Dion, coop Aux berges du lac Castor, Tractr.net – communications
web design, Michel Pinault Photographe, Artisti, Société professionnelle des auteurs et des compositeurs du Québec, ROSEQ, Studio Plasma, maison
de la culture Maisonneuve, Révèle la relève, Studio CME, Studio Outside Music, Iconoclaste.ca, Scène 1425, OFF Québec, Théâtre de Verdure, Ville
de Mont-Tremblant, Musicopratik, salle Désilets du Cégep Marie-Victorin. Les nouveaux commanditaires : J’imagine Consultant, BRBR, Studio Le
Nid, Studio Wild, le Centre culturel francophone de Vancouver et Believe Numérique.
Soutien à l’organisation du concours : SiriusXM, SODEC, SOCAN, SODRAC, UDA, Artisti, Cirque du Soleil, Transcontinental Ross-Ellis, Espace
musique, Bande à part, MusiquePlus, MusiMax, CIBL – 101,5 Montréal, Bang Bang, Scène 1425, Coup de cœur francophone, Believe Numérique,
DEP, Les Brasseurs du Nord (Boréale) et les salles hôtes – le Lion d’Or et le Club Soda.
Des dates à retenir : Au Lion d’Or : les préliminaires les lundis du 18 février au 1er avril 2013 – les demi-finales les lundi 15, mardi 16 et mercredi
17 avril 2013. Au Club Soda : la grande finale le lundi 13 mai 2013.
Pour les mordus : Nouveauté cette année, les mordus de musique et de découvertes pourront se procurer la carte AMIS DES FRANCOUVERTES.
Pour seulement 65 $, la carte donne droit à 11 entrées tout au long de l’événement. À utiliser seul ou à partager avec les amis, la carte pouvant être
utilisée pour plus d’une personne la même soirée. En prime, les détenteurs de la carte pourront obtenir 20 % de réduction à l’achat de billets pour la
prochaine édition de Coup de cœur francophone et un verre de vin offert par le Petit Extra en guise d’apéro lors d’un souper consommé à cet
établissement les lundis des préliminaires des Francouvertes.
Suivez les Francouvertes : Tout au long des préliminaires des Francouvertes, le public est invité à suivre l’évolution du palmarès au
www.francouvertes.com, à écouter tous les lundis les artistes de la semaine au 4@6 de CIBL – 101,5 Montréal et à commenter leur expérience ou lire
les commentaires sur le blogue de Bande à part au www.bandeapart.fm.
Ouvert à tous les styles musicaux, le concours Les Francouvertes a présenté sur scène des artistes tels que : Damien Robitaille, Loco Locass, Karkwa,
Gatineau, Alfa Rococo, Dobacaracol, Les Breastfeeders, Caféïne, WD-40, Les Cowboys Fringants, Émilie Proulx, David Marin, Benoit Paradis, Ariel,
Mad’MoiZèle Giraf, Francis d’Octobre, Hôtel Morphée, Violett Pi, Philémon chante, Monogrenade, La patère rose, Bernard Adamus, Alex Nevsky,
Chloé Lacasse, Karim Ouellet, Gazoline, Francis Faubert, les sœurs Boulay et bien d’autres.
Soyez aux premières loges pour découvrir les participants de cette 17e mouture des Francouvertes. En attendant, visitez notre site web pour entendre
des extraits des 21 participants et consultez le programme en ligne. Ils vous font une scène… écoutez-les.
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Voir aussi : Babylones, Cellos On Fire, Club Soda, D-Track, Dany Placard, Dead Obies, Félix Lafrance, Gratte-Ciel, KPLR, Lazy Lovers, Le Globe,
Leela, Les Francouvertes, Les Hay Babies, Les RétroRockets, Lion d'Or, Louis-Jean Cormier, Ludo Pin, Marcie, Marie-Félixe, Maude, Maxime
Lefebvre, Olivier Bélisle, Propofol, SiriusXM, Sophie Chen, Spectacles, Sylvia
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Les Francouvertes 2013 : c'est parti! (PHOTOS)
13-02-07 19:54
7 février 2013
Les Francouvertes 2013 : c'est parti! (PHOTOS)
Huffington Post Québec | Par Myriam Lefebvre
Publication: 05/02/2013 07:33 EST | Mis à jour: 05/02/2013 07:37 EST
Les amateurs de musique francophone en auront plein les oreilles à partir du 18 février
prochain puisque débutera officiellement la 17e édition des Francouvertes. Les 21 groupes et
artistes sélectionnés par le jury ont d’ailleurs été dévoilés lundi soir, au Cabaret Lion d’Or.
Et les finalistes sont…
(Crédit photo: Myriam Lefebvre/Huffington Post
Québec)
Ce sont Dany Placard et Louis-Jean Cormier, les deux porte-parole de l’édition qui ont
présenté les finalistes. Ils ont d’abord pris quelques instants pour souligner l’importance d’un
concours comme celui-là au Québec. « J’ai fait les Francouvertes il y a 15 ans et je pense que
je suis arrivé vingtième! […] Ce que je dis souvent, c’est que ce n’est pas juste un concours,
c’est une vitrine », s’est exclamé Dany Placard. « Ce qui me plait vraiment, c’est d’encourager
la musique, mais non seulement la musique…la musique en français parce qu’on en a besoin
et parce que ça nous garde en vie », a-t-il ajouté.
Beaucoup de folk, de country, un peu de rock, une touche de rap ainsi qu’un brin de metal classique : voici ce qui décrit la cuvée 2013.
Les noms de certains artistes ne semblaient pas du tout méconnus du public, entre autres pour le trio électro-punk-pop Propofol que
l’on a pu voir cet été aux FrancoFolies, les Lazy Lovers qui ont participé au FAST l’été dernier et Les Hay Babies, qui ont récemment
joué en première partie de Lisa Leblanc à l’Olympia.
À cela s’ajoute quelques formations rock: Les RétroRockets, Babylones, KPLR, Le Globe et Gratte-ciel. Dead Obies et le rappeur
outaouais D-Track défendront leur place en rap, tandis que les membres de Cellos on Fire se déchaîneront sur du metal classique.
Plusieurs auteurs-compositeurs-interprètes féminines seront aussi de la partie : Marie-Félixe, Leela, Marcie, Sylvia, MAUDE et Sophie
Chen, une artiste canado-chinoise qui combine sa voix à des rythmes électro. Chez les hommes, Ludo Pin, un Français installé au
Québec depuis trois ans sera à surveiller. Il a entre autres travaillé avec Navet Confit pour son disque Paris-Montréal. Félix Lafrance,
Olivier Bélisle et Maxime Lefebvre complètent la liste des 21 finalistes.
Où et quand?
Les soirées préliminaires auront lieu les lundis du 18 février au 1er avril. Les 9 semi-finalistes remonteront ensuite sur scène pour la
seconde ronde qui se tiendra les 15, 16 et 17 avril prochain au Lion d’Or. Quant à la grande finale, elle se déroulera le 13 mai au Club
Soda. Les mordus des Francouvertes pourront se procurer la carte Amis des Francouvertes qui donne droit à 11 entrées tout au long
de l’événement. La carte peut être utilisée par plus d’une personne et ce, la même soirée.
Plusieurs artistes du paysage québécois sont passés par les Francouvertes depuis ses débuts en 1995, dont les Loco Locass, les
Cowboys Fringants, Damien Robitaille, Alex Nevsky, Bernard Adamus et Karim Ouellet. L’an dernier, ce sont Les sœurs Boulay qui ont
été couronnées gagnantes, devant Gazoline et Francis Faubert. Ces dernières ont par ailleurs présenté quelques chansons de leur
disque lors du dévoilement. L’album sera lancé le 26 mars prochain.
Pour plus de détails sur les participants ou les passes, cliquez ici.
LE LANCEMENT EN IMAGES:
http://quebec.huffingtonpost.ca/2013/02/05/lancements-francouvertes-2013_n_2621295.html?utm_hp_ref=divertissement
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Une autre Francofête diversifiée! - Culture - Info07 - La Revue
13-02-14 17:41
Une autre Francofête diversifiée!
Patrick Voyer
Divers partenaires réunis par Impératif français
se donnent encore une fois la main du 16 au 24
mars pour célébrer la culture francophone lors
de la Francofête.
Sujets : Théâtre de l’Île , Théâtre de l'Île
La Maison de la culture, la salle Jean-Despréz, le cabaret La Basoche, le Théâtre de l’Île, la Galerie Montcalm et
l'Espace Pierre-Debain ouvriront leurs portes pour souligner la Francofête et la Journée internationale de la
francophonie.
De l’humour, de la chanson, du théâtre pour les jeunes et les adultes, des arts visuels, un déjeuner et une causerie, on
promet tout un mix de genres!
Claire Pelletier, Hugo Lapointe, Karim Ouellet, Loco Locass, Damien Robitaille, Jamil et Les Petites Tounes assureront
le volet chanson.
L’humoriste Guillaume Wagner sera seul dans sa ligue durant la Francofête, mais il déplace de l'air!
Enfin, vous aurez droit à du théâtre (L’amour est aveugle au Théâtre de l'Île et Les conjoints à la Maison de la culture),
à un concours de poésie et à des arts visuels (Les quatre-vingts printemps de Marthe Sirois à Pierre-Debain et
Repérage, programme d’expos-ventes de la Collection Loto-Québec)…
De la région, on pourra entendre le poète Michel-Rémi Lafond (en première partie de Claire Pelletier) et les artistes
émergents Joanie Michaud (première partie d'Hugo Lapointe) et William Lamoureux (première partie de Karim Ouellet).
Le déjeuner et la causerie du dimanche 24 mars au Château Cartier se dérouleront en compagnie du très médiatisé
Gabriel Nadeau-Dubois, qui a été invité à venir partager son regard sur la culture québécoise et francophone, à travers
son engagement pour l’éducation. Sa conférence intitulée "Et si on faisait autre chose?" traitera de l'éducation et la
culture comme refus de l'économisme.
L'artiste-peintre Diane Fontaine exposera aussi durant l'événement.
Toutes les infos à imperatif-francais.org
http://www.journallarevue.com/Culture/2013-02-05/article-3170924/Une-autre-Francofete-diversifiee!/1
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Impératif français | Impératif français - Le Québec célèbre la Journée internationale de la francophonie, avec l'édition 2013 de cette Francofête!
5 février 2013 12:41 - Affaires générales - Culture - Avis aux médias - Arts
- Éducation - Divertissement - Études supérieures - Arts de la scène
- Arts visuels
Impératif français - Le Québec célèbre la Journée
internationale de la francophonie, avec l'édition 2013 de cette
Francofête!
GATINEAU, QC, le 5 févr. 2013 /CNW Telbec/ - Impératif français présente l'édition 2013 de la Francofête et de la
Journée internationale de la francophonie.
Venez y voir : Claire Pelletier, Hugo Lapointe, Karim Ouellet, Loco Locass, Damien Robitaille, Jamil, Guillaume
Wagner...
S'ajoute à ce beau panorama : les pièces de théâtre, la poésie, les expositions d'arts visuels, les prestations d'artistes
13-02-07 19:55
PROFIL DE
L'ORGANISATION
Impératif français
Derniers communiqués
L'école française - C'est beaucoup plus
que la salle de classe!
Impératif français - L'Anglais à la STM Une rétractation s'impose!
Impératif français - Nous mettons les
lecteurs en garde - Les propos ...
émergents…
Un déjeuner et une causerie clôtureront avec brio cette édition 2013, avec Gabriel Nadeau-Dubois, invité pour
Renseignements sur cet
organisme
partager son regard sur la culture québécoise et francophone, à travers son engagement pour l'éducation.
DÉCOUVREZ TOUTE LA PROGRAMMATION SUR LE SITE INTERNET
WWW.IMPERATIF-FRANCAIS.ORG
SOURCE : IMPERATIF FRANCAIS
Renseignements :
Jean-Paul Perreault
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Pour une chanson… | Le Devoir
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Pour une chanson…
9 février 2013 | Isabelle Paré | Musique
Photo : Victor Diaz Lamich Francopholies
« Il faut chanter ce que l’on ressent, chanter dans la langue dans laquelle on rêve », croit Louis-Jean Cormier, ex-membre de
Karkwa.
Réuni au forum La chanson québécoise en mutation, le milieu québécois de la chanson s’est livré
cette semaine à un auto-examen difficile, parfois douloureux. Réactions à vif, cris du coeur :
plusieurs disent la chanson québécoise, surtout francophone, en perte de vitesse. Mal réel ou
perception tronquée d’une réalité en plein changement ?
Au Québec, la chanson a acquis un statut quasiment sacré, porte-voix d’une identité, d’une culture
francophone en Amérique. Magnifiée par la musique, chaque époque clé de l’histoire du Québec a été
bercée par un refrain : la Révolution tranquille par les mots de Félix Leclerc, l’éveil nationaliste par le
pays chanté par Vigneault et le retour à la terre par la guitare des Séguin et autres chantres d’un
nouvel âge qui puisait allègrement dans l’ancien.
http://www.ledevoir.com/culture/musique/370473/pour-une-chanson
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Aujourd’hui, on s’inquiète de voir la chanson francophone perdre du terrain au profit d’une soupe
anglophone mondialisée, omniprésente à la radio, au petit écran et sur Internet. « J’ai mal à ma
chanson, ma chanson est malade », disait cette semaine Alan Côté, directeur du Festival en chanson
de Petite-Vallée et administrateur du Conseil des arts et des lettres du Québec (CALQ), organisateur
de ce forum. Mais au-delà des craintes verbalisées par certains diffuseurs et auteurs-compositeursinterprètes, que disent les chiffres ?
L’air ne fait toujours pas la chanson
Le déclin de l’assistance aux spectacles de chanson francophone, qui se faisait épisodique depuis
2004, a atteint un creux historique en 2011. Le recul a été de 24 % par rapport à 2010, tandis que la
chanson anglophone connaissait une embellie de 42 %. De quoi semer la panique chez tous les
promoteurs de la chanson d’expression française. « Il semble y avoir une tendance à la baisse. Mais
huit ans, c’est très court comme recul. Le succès de la musique anglophone est surtout dû au
passage d’artistes étrangers qui ont rempli de très grandes salles. La venue de U2, à elle seule,
compte pour 10 % de l’assistance aux spectacles de musique anglophone en 2011. On risque de voir
la même chose en 2012, avec les prestations données sur les Plaines par Madonna et Roger Waters
avec The Wall », soutient Claude Fortier, chargé de projet à l’Observatoire de la culture et des
communications du Québec (OCCQ).
Difficile de dire si cette tendance à la baisse va se maintenir, car les chiffres font du yo-yo, à la
faveur d’épiphénomènes annuels. Ce qui semble clair par contre, c’est que le ressac vécu dans le
secteur de la chanson (1,1 million de spectateurs en 2004 versus moins de 700 000 en 2012) est
plus marqué que celui subi par tous les autres arts de la scène.
Reste à voir si la popularité récente des Arcade Fire, Simple Plan, Patrick Watson et autres chanteurs
anglophones québécois contribue, comme le disent certains, à gruger l’assistance francophone. « Ce
ne sont pas nécessairement des vases communicants. Mais c’est sûr que la présence de shows
anglophones de très grande ampleur, venus de l’étranger, pourrait avoir un impact sur la présence
aux spectacles francophones. Ça reste à vérifier », avance de façon prudente, le statisticien.
Une théorie que Laurent Saulnier, programmateur des Francofolies de Montréal et ex-chroniqueur
musical, ne craint pas d’affirmer. À son avis, il est clair que les efforts redoublés d’Evenko pour
remettre Montréal sur la route des stars internationales de la pop jouent sur l’offre culturelle,
particulièrement dans la région métropolitaine. « Quand, dans la même saison, on regarde tous les
artistes étrangers qui défilent au Centre Bell, cela crée une concurrence très vive. Si quelqu’un sort
300 $ de sa poche pour une soirée, on peut penser qu’il lui en restera moins pour voir autre chose »,
estime-t-il.
Changement de gamme
Mais la vraie question, relance Laurent Saulnier, est de savoir de quoi on parle exactement quand on
affirme que la « chanson » québécoise se porte mal. « Est-ce qu’on parle du chanteur traditionnel qui
arrive en scène en grattant sa guitare ? Est-ce que la chanson, ça inclut le rock, le hip-hop, la soul ?
Parce que si on élargit la notion de chanson à tous ces genres musicaux, on peut dire que la chanson
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québécoise se porte assez bien », insiste-t-il, rappelant les succès de nombreux groupes hip-hop,
comme Manu militari, Alaclair Ensemble, et rap, comme Loco Locass et Samian. « Oui, il faut
sauvegarder la culture d’ici, mais il faut peut-être redéfinir la chanson en des termes plus
contemporains », croit Saulnier.
Les modèles ont changé, et dans la foulée, les genres musicaux se sont multipliés, diversifiés, pour
répondre aux goûts éclatés des amateurs de musique, estiment d’autres observateurs de la scène
musicale. Outre les grands succès populaires, le marché s’est tourné vers les publics de niche, très
fidèles mais plus réduits. Une réalité économique que renforcent les nouveaux modes de
consommation de la musique sur les réseaux sociaux et les sites spécialisés sur le Web.
« Je sourcille quand on dit que la chanson est en crise. Dans les réseaux émergents, il y a des
groupes francophones très intéressants, comme Philippe B, Avec pas d’casque ou Les Trois Accords.
Avec Internet, les succès sont extrêmement nichés et les auditoires réduits. Il n’y a plus 100 000
personnes qui vont se retrouver sur le mont Royal pour écouter un groupe », estime Félix B.
Desfossés, historien de la musique et recherchiste à l’émission Bande à part de Radio-Canada.
À son avis, la présence de groupes anglophones québécois et de francophones chantant en anglais a
toujours été une particularité du paysage musical québécois. « On oublie le succès qu’ont eu Men
Without Hats et The Box dans les années 80, ceux de Bran Van 3000. C’est vrai qu’il faut s’inquiéter
du recul français. Mais, à part Simple Plan, peu de francophones le font [chanter en anglais] et c’est
accorder beaucoup d’importance à quelque chose qui a toujours existé », dit-il.
Au forum, cette semaine, le témoignage senti de Pascale Picard, auréolée de deux Félix en plus de
300 000 copies vendues de son premier album Me, Myself Us, est venu à ce titre remettre les
pendules à l’heure. « Au Québec, il y a un préjugé négatif contre ceux qui chantent en anglais. À
mon deuxième album, j’ai vendu 30 000 copies, et tout juste 10 000 pour le dernier, en 2011. »
Les enfants d’un siècle fou
En plus de facteurs économiques, des facteurs démographiques pourraient expliquer en partie les
secousses vécues par la chanson francophone. Au micro, lors du forum La chanson québécoise en
mutation, les têtes grises étaient plus nombreuses à décrier la perte de vitesse de la chanson
francophone. Les jeunes, moins alarmistes, se montraient heureux du succès de leurs comparses
anglophones et plus préoccupés par la difficulté de pouvoir vivre de la chanson. On parle de chanson
en mutation, ne serait-ce pas la société tout entière qui vit cette mutation ?
Les jours heureux où les Beau Dommage et les Harmonium de ce monde ralliaient la jeunesse entière
sont du passé, estime le chroniqueur de Bande à part. « Il y a 30 ans, la masse critique des jeunes
qui écoutaient ces groupes avait le plus fort poids dans la population. Aujourd’hui, les jeunes sont
moins nombreux et sont devant une offre musicale hyperdiversifiée », croit-il.
Avec seulement 52 % de francophones dans la population montréalaise, il ne faut pas s’étonner que
cela se répercute sur l’assistance aux spectacles d’expression française, ajoute Laurent Saulnier. Les
maux de la chanson sont le reflet des changements qui bousculent la société québécoise tout entière.
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« Les chansons de la Révolution tranquille ont été consacrées par le peuple. La chanson chantait le
pays, elle chantait les passages de la vie. Il y a une correspondance entre celui qui chante la chanson
et celui qui l’écoute. Si on chante plus en anglais, c’est peut-être qu’on est en train de changer de
langue », s’inquiète André Gaulin, professeur émérite à l’Université Laval et auteur d’une anthologie
de la chanson québécoise.
Ce spécialiste rappelle que la « chanson à texte », même dans ses plus belles années, n’a jamais
réussi à rallier plus que 5 % du public. « On oublie que la musique la plus populaire, c’était celle des
Classels et d’autres groupes. Si la chanson à texte a marqué l’histoire du Québec, c’est qu’elle était
portée par une cause politique », dit-il, déplorant que les institutions du savoir, comme les
universités, aient délaissé l’étude de la chanson.
Pour un Michel Rivard qui faisait vingt fois le Spectrum dans les années 80, on retrouve peu
d’équivalent dans les années 2000, sinon les Marie-Mai et rares autres star académiciens qui
réussissent à remplir le Centre Bell et les arénas en région. « Est-ce moins glorieux de voir Marie-Mai
remplir le Centre Bell trois soirs de suite ? Quand je vois son impact sur la jeune génération, je ne le
pense pas. C’est un peu grâce à elle que certains jeunes continuent d’écouter de la musique en
français », pense Laurent Saulnier, qui croit qu’on erre en minimisant l’importance de la pop
francophone dans la culture en général.
Le nerf de la guerre
Chose certaine, à l’ère d’Internet, la diffusion est le nerf de la guerre. Et l’industrie de la musique
québécoise peine à ajuster ses pendules et à rejoindre ses publics. La popularité se mesure encore
trop souvent au nombre de disques vendus et des palmarès des radios commerciales qui, frileuses,
continuent de diffuser ce qui plaît à « Brault Martineau », comme le disait un intervenant cette
semaine. Autre problème, seulement 10 % des spectacles de chanson prennent les routes du
Québec, soit 27 l’an dernier sur la masse des 270 spectacles de chanson produits.
La débandade du marché du disque, passé de 13 millions de CD vendus en 2004 à 7,2 millions en
2012, affecte au surplus davantage les produits québécois que le reste de l’offre musicale.
Contrairement au reste du pays, encore 70 % de la musique achetée au Québec l’est sous forme de
CD ou d’autres supports physiques. Les produits québécois représentent encore la moitié des ventes
de disques, mais seulement le tiers des ventes de produits numériques et 8 % des pistes achetées
individuellement. Ce retard à embrasser la réalité numérique pourrait être fatal pour la chanson
québécoise. « Dans l’optique d’une chute constante du nombre de CD vendus, cela place les produits
québécois à risque pour l’avenir », explique Claude Fortier, de l’OCCQ.
Lors du forum, Louis-Jean Cormier, membre de Karkwa, et Guillaume Déziel, gérant de Mister
Valaire, ont martelé l’importance de prendre le virage numérique pour donner des ailes à la
production musicale québécoise. « En 2013, la diffusion joue un rôle crucial dans l’avenir de la
chanson. Internet offre des possibilités incroyables ; il reste à trouver comment en tirer des revenus.
Piquer la curiosité des jeunes, c’est assurer un avenir à la chanson d’ici », estime Louis Jean Cormier.
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Sur la façon de rejoindre les jeunes, les avis sont plus que partagés. Pour une Monique Giroux,
animatrice de radio et pasionaria de la chanson, qui plaide pour l’inclusion au plus vite de chansons
francophones dans les cursus scolaires, d’autres expriment de gros doutes. « Si on le fait dans une
perspective historique, comme on parle de Samuel de Champlain dans l’histoire du Québec, je ne
préfère pas, dit Laurent Saulnier. Est-ce que la chanson du groupe hip-hop Manu militari a moins de
valeur que celle de Richard Desjardins ? Il faut parler aux jeunes de chansons qui les touchent. Il
faut vivre avec le son de 2013 ! »
Louis-Jean Cormier, qui poursuit une carrière autant en français qu’en anglais, notamment aux côtés
de Patrick Watson, a diplomatiquement répondu cette semaine à ce délicat dilemme. « Il faut chanter
ce que l’on ressent, chanter dans la langue dans laquelle on rêve. »
Le problème est peut-être, justement, que l’on rêve de moins en moins en français…
***
La chanson en quelques chiffres
Part de la chanson francophone dans l’ensemble des spectacles de chanson au Québec:
54 % en 2005
45 % en 2009
33 % en 2011
Assistance aux spectacles (nombre total de spectateurs)
Chanson francophone: 953 000 en 2004, 664 000 en 2011
Chanson anglophone: 1,1 million en 2007, 1,34 million en 2011
Vente de produits musicaux québécois
50 % sous forme de CD et d’autres supports physiques
33 % sous forme d’albums numériques
8 % sous forme de pistes numériques
Vente de CD
50% des cd vendus sont des produits québécois
Part du marché francophone dans l’ensemble des produits musicaux québécois
84 % en 2004
58 % en 2010
73 % en 2012
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Guillaume Déziel: Réalité 2.0: la chanson du Québec en péril
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14 février 2013
Réalité 2.0: la chanson du Québec en péril
Publication: 12/02/2013 14:55
Récemment, lors du Forum sur la chanson québécoise organisé par le CALQ, j'ai eu l'occasion d'assister à une vraie séance
de lavage de linge sale en famille. De fait, le milieu de la chanson au Québec s'est enfin réuni après de trop longues années,
pour parler tous ensemble.
Comme la dernière politique culturelle du numérique datait de 1992 (le web a été inventé en 1991...), il était devenu vital que
les gens du domaine de la chanson québécoise se rencontrent pour faire face à la musique. De l'auteur au compositeur, à
l'interprète, en passant par le producteur, le distributeur, les syndicats et les sociétés de gestion collective; tout le monde y
était...à part les radios commerciales qui brillaient par leurs absences.
Durant ce forum, plusieurs artistes d'ici dont Pierre Bertrand (Beau Dommage), Marie-Claire Séguin, Catherine Leduc (Tricot
Machine), Guy-Philippe Wells ont dénoncé, sans retenue, la situation précaire que vivent les créateurs et artistes en chanson.
Un problème est criant : notre chanson d'ici rejoint de moins en moins d'oreilles au Québec. Lynda Thalie a comparé la
situation de notre chanson d'ici au printemps arable; les artistes et créateurs de chansons québécoises, les enfants pauvres de
notre industrie, se réveillent enfin. D'autres ont dénoncé un establishment qui s'en serait mis plein les poches au fil des
années, trop souvent en dépouillant les artistes de leurs droits et de leurs produits (éditions et bande maîtresse). Aussi, on a
eu droit à plusieurs semi-vérités, dites de part et d'autre, souvent fondées sur l'incompréhension de la nouvelle réalité
omniprésente au sein de notre culture : le Web. La Société des professionnels des auteurs et compositeurs du Québec
(SPACQ) a d'ailleurs témoigné publiquement de son incompréhension de ce qu'est le Creative Commons, lors d'un atelier
portant sur la chanson à l'ère numérique.
Une déchirure marquante
Ce qui a fortement marqué ce forum, c'est que le clan «artistes» semblait divisé de celui des « producteurs ». L'envie, chez
certains, que la culture soit portée en tête de liste des priorités de notre société - bien avant les priorités du monde des affaires
qui exploite la culture - a vraiment provoqué une déchirure idéologique et polarisé les débats.
Solange Drouin, directrice générale de l'ADISQ, a d'ailleurs lancé un appel à l'unité entre les créateurs et les producteurs; pour
elle, le fait d'avoir une industrie divisée n'aidera en rien le combat que tous devraient mener contre les géants de la
technologie. Ces derniers, armés de gros et riches lobbies, dictent vraisemblablement les lois à Ottawa et se servent du
contenu culturel d'ici pour générer des profits astronomiques. On parle des fournisseurs d'accès internet (FAI), entre autres.
On ne peut qu'être d'accord avec elle. Je rajouterais toutefois que, sans un gouvernement fédéral qui perçoit la valeur de notre
culture québécoise, il deviendra peu à peu impossible de la monnayer.
De fait, la télécommunication (CRTC) et la monétisation (droit d'auteur canadien) sont de juridiction fédérale. Ils sont les bijoux
de famille de notre culture qui reposent actuellement entre les mains de Harper. Sans le rapatriement de ces champs de
compétences, notre culture est vouée à disparaître lentement, mais sûrement.
Mme Drouin a aussi ajouté que l'enjeu n'est pas de savoir ce qui est plus important entre la business ou la culture, mais bien
que les deux soient complémentaires. Techniquement, elle a raison. Mais la réalité tend à démontrer le contraire; en analysant
les dix dernières années, où les lois du libre marché de l'ère numérique se sont confortablement installées, on a remarqué que
notre culture s'est sournoisement assujettie au service de l'économie. Notre culture est désormais le sang qui circule dans les
veines des fournisseurs d'accès internet; elle est le produit d'appel d'une certaine compagnie convergente d'ici, pour vendre
ses périodiques, ses émissions de télé et ses autres produits dérivés. Chez nos radios commerciales, on tourne platement aux
55 minutes les mêmes chansons provenant des multinationales; chaque chanson doit nécessairement ressembler le plus
possible à la précédente, dans un « format radiophonique ». On truque les quotas du CRTC pour éviter que le contenu d'ici ne
prenne trop de place, entre une pub de meubles et de fast-food. Tout cela pour ne pas déplaire aux annonceurs qui alimentent
les énormes profits des radios, plus que jamais concentrées en réseaux.
http://quebec.huffingtonpost.ca/guillaume-d/realite-2-0-la-chanson-du-quebec-en-peril_b_2671556.html?utm_hp_ref=divertissement
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Bref, si vous me suivez, la chanson d'ici ne se porte pas si bien, lorsque la culture est à la remorque de la business. L'inverse
demeure donc une piste à explorer, logiquement.
Une crise d'adolescence pour notre chanson
Ce forum aura permis de mettre un gros doigt sur le bobo : les créateurs souffrent aujourd'hui des effets pervers d'une
infantilisation qui date de l'âge d'or du « record ». Leur incompréhension du système, dans lequel ils œuvrent, m'est apparue
évidente au terme de ces 48 heures de discussions. On ne peut cependant pas leur en tenir rigueur, car le manque de
transparence de leur industrie a, durant de trop longues années, fait d'eux les victimes d'un système créé vraisemblablement à
leur désavantage. D'ailleurs, on s'en rend mieux compte aujourd'hui, maintenant que les profits sont moins au rendez-vous. Je
m'explique :
Jadis, alors que les ventes de disques généraient un déluge d'argent, toute une industrie s'est formée, composée
d'intermédiaires utiles et indispensables, prenant tous leur « cut » au passage. Malgré les nombreux intermédiaires, l'artiste
réussissait à bien vivre et à se payer une Beetle, pendant que ses producteurs, son fabricant de disques, son distributeur et les
patrons des détaillants roulaient en Porsche ou en Mercedes.
Aujourd'hui, et depuis l'invention de Napster en 1998 (l'équivalent du 11 septembre 2001 pour le milieu de la musique), tous
les revenus fondés sur la vente de la musique s'effondrent, lentement, mais sûrement : 60 % des revenus générés par la vente
de musique en moins; les fournisseurs d'accès internet sont maintenant milliardaires depuis qu'ils font impunément leur beurre
sur le dos des créateurs, avec le consentement légal de leurs amis les conservateurs (article 31.1). Conséquemment, la même
part, celle qui revient aujourd'hui aux créateurs, leur permet à peine de survivre! Et cela, pendant que leurs producteurs
d'antan roulent encore avec leur vieille Mercedes, payée depuis fort longtemps. Bref, jadis, l'idée d'avoir un petit pourcentage
d'une très grosse somme ne provoquait évidemment pas le désir de revendication chez les artistes. Maintenant, depuis que les
revenus sont fuyants, les créateurs se réveillent en plein cauchemar souvent endettés et dépouillés de leurs bandes
maîtresses et de leurs droits d'éditions. Je ne dis pas que tous les producteurs ont abusé de leurs artistes; je dis que les
artistes qui ont été abusés s'en rendaient moins compte, avant. Aujourd'hui, la plupart des producteurs d'antan ont vendu leurs
actifs et sont déjà partis, peinards, à la retraite. Et le pire : à regarder la courbe des ventes de musique piquer du nez depuis
2000, tout ça était fichtrement prévisible. Heureusement, d'autres producteurs, plus jeunes et innovateurs, sont aujourd'hui
beaucoup plus justes et équitables envers les créateurs.
Dans le même ordre d'idées, une grande ironie a aussi été soulevée durant ce forum : La SOCAN, cette société qui perçoit
l'argent au nom des auteurs et compositeurs lorsqu'une chanson est jouée en public (radios, télés, spectacles, restaurants,
bars, etc.) offre des fonds de retraite à ses employés, tandis que ceux qui créent les chansons et qui font vivre l'organisme n'en
ont pas! À ce titre, Geneviève Côté, nouvellement membre du conseil d'administration de la SOCAN, s'est engagée à soulever
cette question d'iniquité devant le prochain C.A.
Seul ensemble
Durant ces 48 heures, on a pu remarquer que le milieu de la chanson n'est pas du tout uni. Plusieurs clochers défendent des
intérêts bien précis et le milieu est ultra complexe. Des exemples : les interprètes sont représentés par l'Union des artistes, par
la Guilde des musiciens et par Artisti; les auteurs et compositeurs sont représentés à la fois par la SOCAN, la SPACQ et
SODRAC; les producteurs de disques, de spectacles et de vidéos sont représentés par l'ADISQ et la SOPROQ; les diffuseurs
et agents de spectacles réunis à RIDEAU... Vous, lecteurs profanes, n'avez évidemment pas besoin de comprendre toute cette
réalité. Il faut seulement retenir que c'est complexe, sans plus. Le grand problème est donc qu'aucun regroupement de ces
diverses entités n'existe, afin de parler d'une seule et unique voix. Aucun Messie n'a, à ce jour, été assez charismatique pour
réunir tout le monde. Pourtant, du côté de la Danse, il existe le Regroupement québécois de la danse qui est très efficace
auprès des politiciens et qui parle d'une seule et unique voix.
Et bien au-delà du fait que tous dans le milieu de la musique doivent d'abord s'entendre, avant d'en arriver à une
représentation forte pour faire face aux problèmes, il faut aussi savoir écouter son marché...
À cet égard, une dame nommée Nathalie Courville, professeur en marketing à HEC-Montréal, est venue souligner dans un
atelier à quel point le milieu de la chanson « résiste » face à son nouvel écosystème qu'est celui du Web. Elle a parlé des
nouvelles manières de consommer la musique; du fait que les jeunes ont des habitudes de consommation différentes. Elle a
notamment parlé d'impliquer davantage le public (les fans) dans le financement des artistes.
Si les modèles traditionnels s'effondrent depuis dix ans, d'autres doivent rapidement naître; les programmes de subvention de
la culture devront nécessairement stimuler tout cela.
Le défi de l'Alzheimer culturel
Enfin, une des grandes problématiques liées à la pérennité de notre culture est le fait que l'archivage de nos produits culturels
(chanson, vidéo, livres, etc.) soit présentement entre les mains du privé. Sachant bien qu'iTunes possède une discothèque
assez complète de la culture mondiale, qu'adviendrait-il si ce monstre de la technologie en arrivait à perdre la confiance de ses
actionnaires; s'il perdait la popularité que lui confèrent ses consommateurs? Est-ce responsable, en tant que société, de
laisser le sort des bandes maîtresses originales de Soldat Lebrun, La Bolduc, Harmonium ou Loco Locass entre les mains
d'entreprises corporatives? L'avantage de l'ère du papier était que les créations laissaient des traces. À l'ère numérique, notre
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culture devient, par défaut, la proie d'une amnésie collective potentielle, si rien n'est fait pour la sauvegarder.
Des problèmes, mais des pistes de solutions
Le but de la rencontre organisée par le CALQ était de parler de problèmes et, certes, de trouver des solutions à envoyer au
ministre de la Culture, M. Maka Kotto. Tellement de problèmes ont été soulevés qu'on a eu l'impression pendant un moment
qu'on ne sortirait jamais vivant de cette crise! Mais, heureusement, voici quelques solutions qui ont été proposées :
À l'ère numérique, où des millions de disques durs éparpillés dans le monde stockent notre contenu québécois, l'archivage
national et l'identification standardisée sont devenus cruciaux pour identifier notre culture, la rassembler, la retrouver, la
consommer et, surtout, lui assurer une immortalité. Un standard d'étiquetage (tags ou métadonnées) de la chanson, de même
qu'un système national de sauvegarde en temps réel de nos données culturelles devraient être mis sur pied sans attendre.
Aussi, les créateurs semblent éprouver d'énormes difficultés à joindre les deux bouts. Souvent, ils doivent avoir un autre travail
pour subvenir à leurs besoins. Or, dans le but de créer de la richesse dans cette industrie en perte de vitesse, l'investissement
sur un programme soutenant des projets pilotes exploratoires, proposant d'autres pratiques et modèles économiques,
devrait être envisagé. À ce titre, les détails des projets retenus et leurs résultats devraient être rendus publics, en toute
transparence. Selon plusieurs, l'argent public devrait invariablement générer des données publiques, accessibles à tous.
Devant leur écran, les élèves du primaire d'aujourd'hui ont - par défaut - accès à toute la pop culture mondiale; bien avant de
savoir qui sont Félix Leclerc, Gilles Vigneault, Daniel Bélanger, Richard Desjardins, Jean Leloup ou Lisa Leblanc, ils
découvrent sans détour les Lady Gaga et les Gangnam Style de ce monde. La solution? Les connecter à leur culture en bas
âge; les sensibiliser, à même leur éducation, en intégrant la chanson québécoise à leur programme; stimuler des tournées
de spectacles destinées à la sensibilisation de la chanson en milieu primaire et secondaire. Ces mesures sont d'autant plus
nécessaires, que les radios relèguent les chansons de nos artistes d'ici aux heures de petite écoute en soirée, quand les
enfants sont couchés!
Puisque le milieu complet de la chanson ne se rencontre à peu près pas, un forum similaire devrait avoir lieu chaque année.
Mieux encore : la création d'un blogue de discussion, sur les enjeux culturels et économiques liés à la chanson, stimulerait une
conversation en temps réel et de façon continuelle. Dans le même ordre d'idées, le groupe de réflexion musiQCnumériQC a
présenté, lors du Forum a déposé au CALQ, des documents proposant, entre autres, la création d'un Comité consultatif
numérique de la culture. Ce comité, constitué de professionnels du numérique issus de divers secteurs, bénévoles,
indépendants et libres de tout conflit d'intérêt commercial, serait annexé au ministère de la Culture et assurerait une vigie
permanente sur les enjeux numériques liés à notre culture. La mise sur pied d'un tel comité contribuerait à éviter une perte de
direction générale sur nos politiques culturelles, au gré du vent électoral. Au même titre, un ministère du numérique
transversal (ou Autorité permanente du numérique) devrait assurer une cohérence d'un ministère à l'autre, quant aux enjeux
du numérique, en général : démocratie ouverte, modèles économiques et systémiques dans tous les secteurs (appels d'offre,
octrois de contrats, tourisme, culture, environnement, développement économique, finances, émigration, éducation, emploi,
etc.). Il y a autant d'enjeux liés au numérique, qu'il y a de champs de compétences gouvernementales.
Ensuite, l'assouplissement des tarifs établis (cachets minimums de la Guilde des musiciens, de l'Union des Artistes, les
droits de reproduction mécanique de la SODRAC ou l'exécution publique de la SOCAN) devrait se faire momentanément, et
ce, afin de permettre à tous de tenter de nouvelles avenues, de tester le marché sur de nouveaux concepts et de développer
du public. Plutôt que de rester accrochés aux tarifs à cachets miniums garantis (tarifs fixes), nous devrions envisager la voie du
partage de revenus (tarifs variables). Cette direction devrait être momentanément imposée par le ministre de la Culture, afin
de dénouer une situation de marché sclérosée, causée par plusieurs acteurs campés sur leurs positions en négociation.
De plus, il devrait y avoir une intervention ministérielle, afin de rendre accessible notre culture du passé. Par exemple : les
producteurs des films produits au dernier siècle n'auraient jamais imaginé qu'Internet prendrait une telle place dans notre vie
de tous les jours; à l'époque, ces producteurs n'ont tout simplement pas pu négocier - avec les acteurs et artisans - le droit de
diffuser leurs films sur Internet. Voilà pourquoi vous ne trouverez pas de si tôt « Le déclin de l'empire américain » sur TOU.TV
ou Netflix... Parce que certains syndicats demandent des tarifs actuellement irraisonnables, fondés sur une réalité économique
d'antan. Bref, pour des raisons syndicales, on assiste au déclin de l'empire culturel québécois, au détriment de tous. Il serait
donc extrêmement logique que, pour le bien de la survie de notre culture ancestrale, le ministre Kotto intervienne pour rendre
notre culture du passé immédiatement accessible sur le Web. Le fait de laisser cette situation sclérosée à la merci des
négociations entre les syndicats, les sociétés de gestion collective et les producteurs n'aura pour effet secondaire que de faire
disparaître à terme notre culture du Web, là où, justement, nos consommateurs de culture de demain se forgent, chaque
minute, les yeux rivés sur YouTube. Pour l'avenir, les producteurs sauront certainement négocier d'entrée de jeu avec les
artistes et artisans des droits inhérents à la diffusion sur le Web.
Préconisant l'unité, l'ADISQ divise malgré elle
Il a été soulevé, durant le Forum sur la chanson québécoise, que l'ADISQ n'inclut pas l'opinion ni la réalité des artistes
autoproduits dans son processus décisionnel... En fait, ce genre de réalité est techniquement banni. Selon les règlements
généraux de l'ADISQ, l'artiste autoproduit est considéré comme l'étaient les femmes avant la dernière guerre mondiale,
comme le sont encore aujourd'hui les autochtones et comme le sont les mineurs au sens légal : des « incapables ».
Incapables de décider du sort de leur industrie, puisqu'ils n'ont tout simplement pas le droit de vote. Pire encore, ces
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membres, non-votants, n'ont pas le droit de se présenter aux élections du conseil d'administration de l'ADISQ. Comme si les
artistes représentaient un « danger » pour les producteurs qui ont le privilège de décider à l'ADISQ... Alors que, sans ces
artistes, les producteurs n'ont que le silence à produire. Ironique.
Il devient donc indispensable que notre industrie se branche sur la réalité du numérique, l'embrasse et s'en serve, plutôt que
de la nier ou de lutter contre. L'establishment, trop occupé à sauver ses meubles depuis Napster, n'a malheureusement ni su
ni eu le luxe d'innover. Pour prendre de grands risques, il faut d'abord n'avoir rien à perdre. Et devant la disparition potentielle
de notre culture sur la surface du Web, croyez-moi, on n'a vraiment rien à perdre.
Depuis 1978, les choses ont bien changé dans le décor entourant l'ADISQ : les technologies d'enregistrement studio sont
rendues accessibles aux artistes émergents; il ne coûte désormais plus 1000 $ par jour pour enregistrer un album. La
distribution de la musique d'un artiste peut aujourd'hui s'opérer à partir de sa table de cuisine, à l'aide d'un ordinateur à 800 $
et une connexion internet de base. Il existe plus de 900 artistes catégorisés « québécois » sur Bandcamp.com, distribuant
directement leur musique à leur public. 74% de ces artistes flirteraient avec la gratuité des contenus. Les nouveaux
consommateurs de musiques préfèrent l'accessibilité des peer-to-peer ou du streaming sur YouTube, à l'expérience en
magasin. À ce titre, HMV fermera 60 succursales au Royaume-Uni. cette année; le Virgin Megastore sur les Champs-Élysées
vient de fermer; la FNAC en France est dans la tourmente... Bref, autour de l'ADISQ, l'écosystème s'est véritablement
métamorphosé depuis les 10 dernières années. L'autoproduction fait non seulement partie de la réalité de notre industrie; elle
surpasse en nombre les producteurs « établis et reconnus » par l'ADISQ; ceux avec un droit de vote.
Fatalement, en n'incluant pas les artistes autoproducteurs à son processus décisionnel, l'ADISQ abandonne par défaut ces
derniers; ils demeurent isolés et laissés à eux-mêmes. Comment éviter qu'un nouveau joueur, non expérimenté, définisse de
nouveaux précédents désavantageux en matière de pratiques commerciales? Comment donc, si ce dernier est isolé, mal
informé, laisser à lui-même, en proie à la libre économie? En tant que producteur d'aujourd'hui, pour obtenir gain de cause
devant les géants technologiques de ce monde qui abusent de notre contenu culturel, il faut être fort et ne parler que d'une
seule voix.
Or, à défaut d'inclure tous les types de producteurs, l'ADISQ divise, malgré elle. Sachant que tel n'est pas son but, voilà l'effet
pervers de ses politiques et règlements internes qui servent de moins en moins de gens dans cette industrie.
D'ailleurs, parlant de nouvelle réalité, comment se fait-il que le nombre de « ventes » d'albums soit encore la seule unité de
mesure officielle déterminant quel artiste aura droit à un Félix? Qu'en est-il des écoutes sur les services de streaming? Des
visionnements sur YouTube, des amis sur Facebook, des tweets, des retweets? Allez savoir. Demandez à l'ADISQ...
En espérant que le ministre de la Culture Maka Kotto pourra mettre en branle des solutions concrètes pour assurer la survie,
voire la santé de notre chanson d'ici, mon seul souhait est que ma culture québécoise se porte mieux. Je souhaite que tous, du
milieu de la chanson, puissent trouver le moyen de s'unir, plutôt que de demeurer dans la vulnérabilité que confère par défaut
l'isolement.
Le constat est clair : nous sommes actuellement « seuls ensemble » (comme disait Daniel Bélanger). L'effort doit donc être fait
sans délai pour se rassembler, « tous ensemble ».
Suivre Guillaume Déziel sur Twitter: www.twitter.com/guillaumedeziel
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Le retour de Loco Locass - Arts et spectacles - L'Action
13-02-21 15:39
Le retour de Loco Locass
gracieuseté
Geneviève Geoffroy
Le Centre culturel de Joliette prendra des airs
de nationalisme en faisant place au rap engagé
et engageant de Loco Locass, dans un tout
nouveau spectacle, inspiré de leur plus récent
album, Le Québec est mort, vive le Québec!, le
vendredi 22 février, dès 21 h, en formule
Cabaret Telus.
Sujets : Centre culturel de Joliette , Le Québec , Québec , Joliette
Véritables piliers de la scène hip-hop, Loco Locass occupe depuis plus de dix ans une position inégalée dans le
paysage musical québécois. Beaucoup d’encre ayant coulé sous les ponts depuis la parution de leur dernier album en
2004, Biz, Chafik et Batlam brûlaient d’envie de partager un nouveau discours avec le public.
« Notre nouveau discours, celui du disque, est effectivement un peu plus personnel qu'avant. Ce sont des chansons qui
traitent de problématiques sociales, par exemple de l'intimidation dans la chanson Secondaire, un Sourire en coin ou
même Kevin et Gaétan qui traite de la transmission de la misère, de père en fils », expose Biz en entrevue. Cependant,
ajoute-t-il, ces expériences personnelles dont il est question dans certaines pièces trouvent leur écho au sein de la
société et vice-versa. « Quand on parle de suicide, c'est personnel, mais c'est aussi collectif : nous avons un des plus
hauts taux de suicide au monde. L'intimidation a pris une proportion collective elle aussi. Même quand on pense des
lois et à leur pertinence, des questions se posent sur les répercussions éventuelles pour les citoyens, collectivement et
individuellement. »
En abordant des thématiques à saveur plus personnelle, Locos Locass n'a pas pour autant délaissé son noyau
principal, son filon originel, son message premier : la fierté d'être des Québécois. « En s'ouvrant au monde, forcément,
avec la langue anglaise par exemple, le danger c'est de s'oublier. Notre principal défi, c'est de manger dans le buffet de
toutes les cultures, mais d'apporter du pâté chinois et du sirop d'érable. » Il prend pour exemple la chanson Le but, un
hymne à la Sainte Flanelle, à cette équipe de hockey montréalaise qui rassemble et qui insuffle une certaine fierté à
certains Québécois.
Avec Windigo, dont le nom est celui d'une créature surnaturelle, maléfique et cannibale, issue de la mythologie des
Amérindiens algonquiens du Canada, le trio aborde les tensions qui règnent au sein de la province. « Nous vivons dans
http://www.laction.com/Culture/Arts-et-spectacles/2013-02-14/article-3177478/Le-retour-de-Loco-Locas/1
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Le retour de Loco Locass - Arts et spectacles - L'Action
13-02-21 15:39
une nation écartelée. Le Windigo, c'est l'image des Québécois qui tournent en rond et qui se dévorent entre eux, que ce
soit les tensions gauche-droite ou anglo-franco que lorsqu'il est question de notre destin national. […] Notre objectif,
c'est donner assez de fierté et de confiance aux Québécois pour s’occuper de nous-mêmes sans péréquation. Arrêter
d'être l'adolescent qui vit chez papa et maman. »
Une expérience manifestive
En spectacle, Biz, Chafik et Batlam promettent une expérience toujours aussi manifestive que celle à laquelle leurs
admirateurs sont habitués.
« Peu importe les chansons, le plaisir se trouve dans la beauté de l'art de la musique. Une idée peut être grave ou non,
sociale ou non, comme M'accrocher : que l'on traite d'un sujet qui soit terrifiant ou non, ça devient une œuvre d'art. Par
la musique, il est possible de contempler des sujets terrifiants et hideux, comme le suicide, on peut regarder le démon
en pleine face. »
Joliette, le bastion de notre culture
Biz dit avoir hâte d'être de passage à Joliette, une ville que le groupe a trop peu visitée selon lui. Avec ses yeux, il voit
un peuple, dans Lanaudière, qui est fier d'être Québécois et il dit sentir que les propos des Locos Locass résonnent
pour les Lanaudois.
Que ce soit avec les différents groupes de musique traditionnelle ou les divers festivals soulignant les joies de l'hiver, il
admire en quelque sorte cette fierté du folklore québécois. « On sent instinctivement que ce qu'on dit, ça résonne. Ça
manifestif à souhait. »
http://www.laction.com/Culture/Arts-et-spectacles/2013-02-14/article-3177478/Le-retour-de-Loco-Locas/1
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«Aujourd'hui pour moi, demain pour toi»: le printemps érable vu par l'École de la montagne rouge (VIDÉO)
13-03-01 10:40
1 mars 2013
«Aujourd'hui pour moi, demain pour toi»: le printemps
érable vu par l'École de la montagne rouge (VIDÉO)
Le Hufffington Post Québec | Par Marie-Josée Roy
Publication: 25/02/2013 15:28 EST
Pendant huit mois, alors que battait son plein le printemps érable, le réalisateur Maël Demarcy-Arnaud a braqué sa caméra sur l’École
de la montagne rouge, un collectif d’étudiants en design graphique de l’UQAM qui s’est mobilisé en imaginant des slogans et des
œuvres visuelles donnant ainsi une couleur particulière à la grève étudiante. Ce qui se voulait à l’origine un simple exercice de
mémoire et un processus de documentation de l’un des chapitres les plus importants de l’histoire du Québec, s’est finalement avéré
une véritable aventure cinématographique pour le jeune cinéaste, qui a tiré de son épopée un film titré Aujourd’hui pour moi, demain
pour toi. Le long-métrage pourra être visionné en primeur à l’auditorium de la Grande Bibliothèque, ce soir, dans le cadre des Rendezvous du cinéma québécois.
«En fait, je n’avais jamais pensé faire un film avec ça», explique Maël. «Au début, je voulais seulement immortaliser le cheminement de
création et de politisation de l’École de la montagne rouge. Je savais que c’était un bon timing et qu’il fallait trouver une façon de filmer
ce mouvement-là sans le prendre de haut. Jamais je n’aurais pu prétendre qu’on se rendrait à une grève de huit mois, que j’allais
enregistrer 90 heures d’images et finalement en faire un film d’une heure quarante. Jamais ça ne m’avait traversé l’esprit. Mais, au bout
de cinq ou six mois, je me suis bien rendu compte que ça allait durer.»
Aujourd’hui pour moi, demain pour toi est un document qui restera à coup sûr dans les archives de la Belle Province. À travers les
activités de l’École de la montagne rouge, on y revit, un à la fois, les moments marquants qui ont jalonné cette prise d’assaut des rues
d’ici par une population excédée. Des images de quelques-unes des plus importantes manifestations étudiantes, de Jean Charest se
moquant des contestataires à la conférence d’ouverture du Salon du Plan Nord, du spectacle de Loco Locass aux dernières
FrancoFolies, de l’élection du gouvernement péquiste de Pauline Marois le 4 septembre, de même que plusieurs témoignages des
représentants du regroupement artistique de l’UQAM façonnent l’ensemble.
«L’École de la montagne rouge est un groupe d’individus qui se sont associés pour essayer de repenser le bien commun et de
travailler collectivement», illustre Maël Demarcy-Arnaud. Et cela pendant une période où le temps s’est arrêté et où on a pensé à
recréer des liens sociaux, retrouver un tissu social qu’on avait perdu. Très vite, ils ont réussi à conceptualiser leur art et à le faire parler
au service de la cause.»
«J’avais vraiment envie de suivre des gens qui étaient peu politisés et qui allaient connaître une transformation pendant ce
mouvement», continue-t-il. «J’avais envie de comprendre et de retranscrire le processus de politisation et de radicalisation qu’un
groupe pouvait vivre à ce moment-là. Je ne voulais pas partir avec des gens qui étaient déjà rendus loin dans leur pensée politique.
Moi, j’ai voulu mettre un présent sur ce moment-là, filmer les événements pendant qu’ils se produisaient.»
La gratuité, un concept à définir
Fait intéressant, Aujourd’hui pour moi, demain pour toi est projeté le même jour que débute le Sommet sur l’enseignement supérieur ce
qui, l’espère à voix haute Maël Demarcy-Arnaud, devrait relancer le débat sur la gratuité scolaire, la question n’ayant été selon lui
qu’effleurée en surface dans la dernière année.
«On n’est absolument pas là où on espérait être après les élections», tranche le jeune homme. «Le débat est revenu à la case départ,
aux mêmes questions qui étaient soulevées pendant que les libéraux étaient là. On s’interroge sur les montants, sur combien ça
pourrait coûter… On enlève toute la partie réflexive là-dedans. On ne se demande pas dans quelle direction on veut aller, où on veut
que l’éducation s’en aille… On parle de la gratuité scolaire sans se demander quelle en est l’accessibilité. Moi, je pense qu’on devrait
d’abord se demander quel est notre projet à long terme, le définir et parler de la forme.»
Montréalais d’origine, Maël Demarcy-Arnaud a fait ses études en cinéma à Paris où il a découvert le cinéaste Pierre Perreault, qui l’a
grandement influencé dans son parcours. Revenu au Québec en 2011, le créateur a fondé sa boîte de production, Davaï, à l’origine
d’Aujourd’hui pour moi, demain pour toi. Maël et ses collaborateurs sont maintenant à la recherche d’un distributeur afin de faire
http://quebec.huffingtonpost.ca/2013/02/25/printemps-erable-ecole-montagne-rouge_n_2760539.html?utm_hp_ref=divertissement
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Entrevue avec Biz - Arts et spectacles - Le Canada Français
13-03-01 10:39
Entrevue avec Biz
Gracieuseté
Marie-Pier Gagnon
Loco Locass de retour sur scène
Loco Locass s'arrêtera, le 1er mars, au
Cabaret-Théâtre du Vieux-Saint-Jean dans le
cadre de sa toute nouvelle tournée Le Québec
est mort, Vive le Québec!. Un retour dans la
région après huit ans d'absence.
Sujets : Le Québec , Québec , Saint-Jean-sur-Richelieu
Il s'est écoulé huit années entre la sortie des albums Amour oral et Le Québec est mort, Vive le Québec! de Loco
Locass. Entre les deux, bien qu'elle se soit fait plus rare sur les scènes de la province, la formation n'a jamais
réellement cessé d'être d'actualité.
Comment l'aurait-elle pu alors que son plus grand succès revenait sans cesse à l'esprit des gens. À n'en point douter, la
pièce Libérez-nous des Libéraux a marqué l'imaginaire collectif, devenant bien souvent la chanson de ralliement des
manifestants et des contestataires du parti de Jean Charest.
«Cette chanson-là est devenue plus grande que nous. Elle ne nous appartient plus. Elle n'est d'ailleurs pas dans le
nouveau spectacle. Au début, on a eu peur que ça manque au public parce que ça demeure une chanson énergique.
Ça nous a forcés à brasser les cartes et finalement, personne ne nous en parle», affirme Biz.
Nouveau disque, nouveau spectacle
La nouvelle tournée, qui ralliera des dizaines de villes au Québec au cours de la prochaine année, est plutôt axée sur le
dernier opus de la formation. Le public a également droit à quelques succès tirés du répertoire antérieur du groupe,
dont des pièces de l'album Manifestif qui remonte à 2000.
«On s'en parlait justement la semaine dernière avec Batlam et Chafiik, nous n'avons jamais eu autant de plaisir sur
scène. Peut-être à cause de la nouveauté. Les gens n'ont jamais autant chanté nos paroles. Ils se sont complètement
approprié l'album et pour nous, il n'y a rien de plus jouissif», explique Biz.
Et c'est pour le mieux puisque les personnes qui se présentent à un spectacle de Loco Locass sont bien plus que de
simples spectateurs. Ils font carrément partie de la production et sont régulièrement appelés à jumeler leur voix à celles
des chanteurs. Leur participation ajoute de la couleur.
http://www.canadafrancais.com/Culture/Arts%20et%20spectacles/2013-02-27/article-3185829/Loco-Locass-de-retour-sur-scene/1
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Entrevue avec Biz - Arts et spectacles - Le Canada Français
13-03-01 10:39
Un groupe engagé
À Saint-Jean-sur-Richelieu, les admirateurs du groupe peuvent d'ailleurs se compter chanceux. Certains diffuseurs ont
carrément refusé d'inscrire Loco Locass à leur programmation en raison des positions politiques de ses membres qui
ont entre autres appuyé les revendications du mouvement étudiant.
«Afficher nos opinions aussi fortement nous ferme des portes, assurément. Nous sommes dans la censure politique
plus que jamais au Québec! Mais on assume», de dire Biz.
Ironiquement, Loco Locass constate que son public est de plus en plus diversifié et rejoint maintenant autant les jeunes
que les grands-parents. «Il n'y a jamais eu autant d'enfants de 6 à 10 ans dans nos spectacles. Ça commence à être un
peu Tintin notre affaire, de 7 à 77 ans», mentionne Biz.
Ce qui n'est pas pour déplaire à la formation. Au contraire. Tous ces spectateurs réunis et chantant à l'unisson des
pièces engagées. Voilà une image qui en dit long sur le Québec d'aujourd'hui.
La représentation du 1er mars débutera à 20 heures. Les billets sont en vente au coût de 31,50$ via le site Internet de
la SPEC au www.spec.qc.ca.
http://www.canadafrancais.com/Culture/Arts%20et%20spectacles/2013-02-27/article-3185829/Loco-Locass-de-retour-sur-scene/1
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Pas de séparation pour Loco Locass
13-02-07 20:04
7 février 2013
Pas de séparation pour Loco Locass
Par Marie-Josée Roy
Publication: 31/01/2013 19:26 EST | Mis à jour: 31/01/2013 19:29 EST
Que les admirateurs du trio se rassurent : les membres de Loco Locass ne songent nullement à se séparer et à poursuivre leur route
chacun de leur côté.
Plusieurs se sont questionnés sur l’avenir du groupe après le passage de ce dernier à l’émission Tout le monde en parle, le 25
novembre. Biz, Batlam et Chafik avaient alors paru en désaccord sur quelques questions posées par l’animateur, Guy A.Lepage. Il
avait notamment été question d’un article publié par Le Huffington Post Québec, en octobre, dans lequel Sébastien Ricard (Batlam)
décriait l’absence de Loco Locass au spectacle-bénéfice en hommage aux victimes de l’attentat perpétré le soir des élections
provinciales. Mais les trois comparses poursuivent en ce moment la tournée dérivée de leur album Le Québec est mort, vive le
Québec!, lancé au printemps dernier, et comptent bien continuer de faire de la musique ensemble.
« On ne parle pas de se séparer, du moins, pas à ce que je sache, a rigolé Sébastien Ricard, rencontré lors du dévoilement des
nominations de la prochaine Soirée des Jutra, jeudi matin. Je ne sais pas pourquoi certaines personnes ont parlé de séparation. En
fait, c’est rare qu’un groupe dure aussi longtemps que le nôtre, ici. C’est très rare. Et on dirait que, quand ça va bien, il y a toujours des
gens qui ne voudraient pas que ça continue. »
« Mais, pour moi, Biz et Chafik sont de grands amis, des amis de création, a poursuivi l’artiste. On vient de sortir notre dernier disque et
on le tourne un peu partout. Les derniers spectacles qu’on a faits à Montréal étaient, sans blague, parmi les meilleurs qu’on a donnés
dans notre vie. »
Loco Locass se produira à Châteauguay, Joliette, Saint-Jean-sur-Richelieu et Trois-Rivières au cours des prochaines semaines. Quant
à Sébastien Ricard, il est cité parmi les finalistes aux prix Jutra dans la catégorie Meilleur acteur de soutien pour sa prestation dans le
film Avant que mon cœur bascule, de Sébastien Rose.
Publié par Myriam Lefebvre |
http://quebec.huffingtonpost.ca/2013/01/31/rumeur-separation-loco-locass_n_2594365.html?utm_hp_ref=divertissement
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Biz: «il faut arrêter de voir la frontière comme quelque chose de rétrogade» - Politique - Le Trait d'Union
13-03-08 10:25
Biz: «il faut arrêter de voir la frontière comme quelque chose de rétrogade»
Publié le 1 Mars 2013
Baptiste Zapirain
Le chanteur de Loco Locass a raconté son parcours de militant et proposé ses arguments en faveur de la
souveraineté
Le Comité souverainiste du Cégep régional de
Terrebonne a organisé une semaine de la
souveraineté dans l'établissement, du 25 février
au 1er mars. Quoi de mieux, pour sensibiliser
les étudiants à la cause souverainiste, qu'une
conférence menée par Biz, le chanteur de Loco
Locass, groupe engagé s'il en est?
Sujets : Comité souverainiste du Cégep régional de Terrebonne , ADQ , PQ , Québec , Loco Locass , Canada
Le rappeur est venu le mardi 26 février, pour s'exprimer dans une caféteria pleine à craquer. «Je ne refuse jamais ce
genre de conférence, car la souveraineté est un sujet qui intéresse les jeunes, contrairement à ce que disent les vieux»,
a-t-il commencé. Le parolier n'a pas failli à sa réputation de brillant orateur. À l'aise dans son bonnet et ses vêtements
amples, affublé d'un chandail «Vive le Québec», il a mis sa décontraction et son sens de la formule au service d'un
discours argumenté et farci d'anecdotes personnelles.
Biz a introduit son propos en racontant son parcours personnel, celui qui a fait de lui un militant de l'indépendance du
Québec. Ce natif de Québec a été fasciné par la question au moment du premier référendum de 1980. Il avait huit ans.
En 1995, lors de la nouvelle campagne référendaire, il vibre sur les débats qui nourrissent l'alliance tripartite entre Mario
Dumont (ADQ), Jacques Parizeau (PQ) et Lucien Bouchard (Bloc).
En grandissant, Biz a constaté qu'il n'y avait qu'au Québec qu'il se sentait véritablement chez lui. «Il y a évidemment la
langue. À huit ans, je ne parlais pas anglais. C'est difficile de se sentir chez soi là où on ne comprend pas la langue».
L'idée de fonder Loco Locass est venue au lendemain du deuxième référendum. «Avec Batlam (autre membre du
groupe, NDLR), on s'est demandé ce qu'il manquait aux Québécois. On s'est dit qu'ils n'avaient pas assez confiance en
eux. On a donc eu l'idée de faire du rap pour promouvoir la souveraineté, avec un propos moderne. On voulait parler
d'amour, de fierté, de beauté, du sentiment d'être chez soi».
Les moyens pour développer ce sentiment? Pour Biz, l'éducation, la culture, le sport, sont autant de facteurs (plus de
détails dans notre entretien vidéo, à consulter sur le site Internet du Trait d'Union).
http://www.letraitdunion.com/Actualites/Politique/2013-03-01/article…eter-de-voir-la-frontiere-comme-quelque-chose-de-retrogade%26raquo/1
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Biz: «il faut arrêter de voir la frontière comme quelque chose de rétrogade» - Politique - Le Trait d'Union
13-03-08 10:25
Le chanteur engagé suggère également un moyen très simple de développer un sentiment d'appartenance au Québec:
«payer à tous les Québécois un voyage dans l'ouest canadien! Les gens verraient que ce n'est pas chez nous. Pas
parce que ce n'est pas beau ou que les gens ne sont pas fins. C'est juste que ce n'est pas chez nous».
«Est-ce que tu as encore envie de supporter ta mère?»
Biz a également expliqué ses raisons de vouloir la souveraineté. S'adressant à un parterre de jeunes, il n'a pas manqué
de faire le parallèle avec le moment où l'on quitte le foyer familial pour s'installer dans un appartement. «Ben oui, il faut
faire la vaisselle soi-même, il faut faire à manger soi-même. Mais qu'est-ce que c'est, à côté de la liberté de faire la
vaisselle quand on veut… Et puis, franchement», rigole-t-il, «est-ce que tu as encore envie de supporter ta mère?»
À ceux qui craignent les conséquences économiques d'une séparation avec le Canada, Biz rappelle que «85% des
exportations se font avec les États-Unis*. Ça ne changerait pas». Et si le Québec reçoit actuellement de l'argent de la
péréquation, le chanteur rappelle que d'un autre côté, la province s'épargnerait des dépenses, par exemple celles liées
à la double administration. «On est dans le temps des impôts: je fais les miens, ceux de Loco Locass, au fédéral et au
provincial. J'ai l'impression de faire ça à plein temps. Et après on se demande pourquoi on met huit ans à sortir un
disque», plaisante-t-il.
Et surtout, argument ultime pour Biz, le Québec deviendrait maître de ses décisions. «Ce qui me tue, c'est de ne pas
être responsable de ce qui se passe chez nous. Et actuellement, on a des décisions qui viennent d'ailleurs». Le fait que
le Canada soit hostile à l'idée de se séparer du Québec est pour lui «la meilleure preuve qu'on a tout à gagner à se
séparer».
Biz a conclu en affirmant que «notre plus grande richesse, au Québec, c'est notre créativité. On rayonne partout à
travers le monde», dit-il avant de citer Céline Dion, le Cirque du Soleil ou Ubisoft (entreprise française mais basée à
Montréal).
*Selon l'institut de la statistique du Québec, il s'agit plutôt de 68%.
http://www.letraitdunion.com/Actualites/Politique/2013-03-01/article…eter-de-voir-la-frontiere-comme-quelque-chose-de-retrogade%26raquo/1
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13-03-01 10:39
Loco Locass en supplémentaire au Théâtre Petit Champlain, samedi 23 mars à 20h | PatWhite.com
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Loco Locass en supplémentaire au Théâtre
Petit Champlain, samedi 23 mars à 20h
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Patwhite.com 28 février 2013 - 22:39
Musique Spectacles Capitale-Nationale
Début de l'événement: 23 mars 2013 - 20:00
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Paru en juin 2012, Le Québec est mort, vive le Québec !, tout dernier opus de Loco Locass,
témoigne de la plus récente actualité socio-politique de notre pays. Le spectacle qui en découle
sera présenté au Théâtre Petit Champlain, en supplémentaire, le samedi 23 mars 2013 à 20 h.
Entouré de quatre musiciens chevronnés, Batlam, Biz et Chafiik promettent une expérience
manifestive unique, qui a fait leur renommée sur les scènes du Québec et d’ailleurs ! Ce
spectacle s’inscrit dans le cadre de la série Scène 1425 du Petit Champlain, une coprésentation
du Théâtre Petit Champlain et de la salle Albert-Rousseau.
Le dernier album du groupe datait de 2004. Beaucoup d’encre ayant coulé sous les ponts
depuis, il fallait renouveler le discours. Avec le Québec est mort, vive le Québec !, le rap de
Loco Locass y est toujours aussi engagé et engageant, mais avec la nuance que permet
l’expérience. Après toutes ces années, le trio est affamé. Il brûle de partager leurs nouveaux
mots et leur plus récent son avec le public.
PAGES LES PLUS VUES
« (…) les trois rappeurs ont été fidèles à eux-mêmes en mettant davantage de l'avant leur côté
festif, dans une ambiance résolument rock. Ils se donnent à fond, sautent partout, savent
entraîner leur public dans une énergie à laquelle il est difficile de résister. » Le Soleil
TEND ANCES D U JO UR
« Ce groupe concocte de très bonnes chansons, avec du rythme et des grooves qui font taper
du pied. La présence de musiciens ajoute un élément de puissance qui serait difficile à obtenir
avec uniquement des claviers et des boîtes à rythme. » Journal de Québec
Loco Locass-Le Québec est mort, vive le Québec!
Supplémentaire, Samedi 23 mars 2013, 20 h
au Théâtre Petit Champlain
35$ taxes et frais de service inclus – Admission générale, debout au parterre
Étudiant : 25$
Réservations (418) 692-2631 ou sur le Réseau Billetech
Partys du Jour de l'an 2013
à Montréal et à Québec
(174,886)
Béatrice Martin alias Coeur
de pirate fait le point sur
ses photos érotiques
(92,959)
Le Festival d'été de Québec
2012: un 45e anniversaire
éblouissant (63,712)
Quoi faire à Berlin si vous
avez quelques jours de
vacances (41)
Une nouvelle BD de Rachel
Beaupré-Duclos (35)
En métro, en bus ou en
navette, la STM vous
promet une Nuit blanche
peu reposante (33)
Danse
Mystique
25 % de rabais!
VID ÉO S D E PATWHITE.TV
-Source: Communications Paulette Dufour
Crédit photo: Loco Locass
http://patwhite.com/node/15695
Page 1 sur 3
Le mémoire de Loco Locass - Arts et spectacles - L'Hebdo Journal
13-03-08 10:17
Le mémoire de Loco Locass
Photo, courtoisie.
Publié le 2 Mars 2013
Marie-Ève Bourgoing-Alarie
Après plusieurs années d'absence, Loco
Locass présente du nouveau matériel sur
scène. Le rendez-vous est lancé le 9 mars au
Théâtre du Cégep de Trois-Rivières.
Sujets : Le titre , Commission Charbonneau , Le Québec , Québec , île de Montréal
Avec les années, Biz, Chaflik et Batlam ont dû troquer leur Libérez-nous des libéraux pour Le mémoire de Loco Locass,
le premier hit tiré de leur plus récent album «Le Québec est mort, vive le Québec»
«On arrive avec un nouveau spectacle, de nouvelles tounes. Avis à ceux qui sont curiez de voir comment l'album sonne
sur scène, c'est l'occasion ou jamais, surtout que les derniers spectacles de la tournée sont ceux qui nous ont procuré
le plus de plaisir depuis qu'on en fait», affirme Biz.
«Pourquoi on a du fun? Parce qu'on est ennuyé? Dur à dire, mais c'est sûr que c'est plaisant de chanter de nouvelles
chansons. Peut-être aussi parce qu'on n'a jamais vu le public chanter autant nos tounes pendant le spectacle. On sent
que nos fans se sont rapidement approprié l'album. C'est trippant quand le public participe autant. Il y a une sorte de
connivence extraordinaire», précise-t-il.
Quelques modifications ont été apportées au spectacle depuis le début de la tournée en décembre de sorte à
maximiser l'impact des différentes chansons. Bien que la majorité du spectacle soit consacrée au nouvel album,
quelques pièces des précédents disques s'immisceront dans le spectacle.
«On couvre un bon éventail de ce qu'on a fait depuis nos débuts, lance Biz. On s'est rendu compte que les chansons du
dernier album passent bien sur scène. Il y a plus de mélodies dans nos chansons et peut-être que c'est ce qui enrichit
le spectacle, sans compter que pour le public, ça se chante mieux.»
Musique simplifiée, propos toujours graves
La musique de Loco Locass s'est simplifiée, au fil des albums, afin de laisser place aux textes. L'objectif: que leur
musique soit chantée par le plus grand nombre de personnes possible.
http://www.lhebdojournal.com/Culture/Arts-et-spectacles/2013-03-02/article-3189147/Le-memoire-de-Loco-Locass/1
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Le mémoire de Loco Locass - Arts et spectacles - L'Hebdo Journal
13-03-08 10:17
«Le mémoire de Loco Locass et Le but ont notamment des mélodies facilement reconnaissables et accrocheuses. Les
textes sont plus aérés mais ils ont conservé leur gravité: on parle de suicide, d'aliénation, de la cohabitation difficile
entre les anglophones et les francophones sur l'île de Montréal», explique Biz.
Cela a permis au groupe d'attirer différents publics lors de leurs spectacles, autant de jeunes enfants que leurs grandsparents. Le public commence à se renouveler par la base.
Le Québec est mort
Le titre est éloquent: «Le Québec est mort, vive le Québec». Quand le Québec est-il mort aux yeux de Loco Locass?
«Je suis très perplexe avec ce qui se passe au Québec. Il y a des forces divisionnaires et on n'est pas capable de faire
des choix. Je pense qu'on assiste à la fin d'un règne: on assiste au départ des babyboomers. Ils ont fait beaucoup pour
le Québec, mais il est temps qu'ils laissent leur place à la génération montante. (…) Mais on voit qu'ils le font dans la
disgrâce lorsqu'on porte attention à la Commission Charbonneau. En plus de leur nom, ce qu'on remarque, c'est que
les personnes qui témoignent ont tous le même âge, tous ou presque des babyboomers», commente Biz.
«Il y a des lignes de fracture très grandes au Québec. Ça témoigne de la mort d'une idée, d'un état. Un jour, sur cette
forêt incendiée, il poussera des bleuets. Ces bleuets sont les jeunes qui prendront leur place», conclut-il.
Loco Locass dans l'actualité: le groupe est en nomination au prochain gala des prix Juno dans la catégorie «Pochette
de disque de l'année» pour son album «Le Québec est mort, vive le Québec». Le gala sera présenté le 21 avril sur les
ondes de CTV.
Loco Locass: Le Québec est mort, vive le Québec! | Théâtre du Cégep de Trois-Rivières | 9 mars, 20h | Billets:
819-380-9797 ou www.enspectacle.ca
http://www.lhebdojournal.com/Culture/Arts-et-spectacles/2013-03-02/article-3189147/Le-memoire-de-Loco-Locass/1
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Une poésie qui vieillit plutôt bien | Valérie Lessard | Arts et spectacles
13-03-14 16:01
Publié le 13 mars 2013 à 06h01 | Mis à jour le 13 mars 2013 à 06h01
Loco Locass sur la scène de la Maison de la culture
Une poésie qui vieillit plutôt bien
Valérie Lessard
Le Droit
Les membres de Loco Locass ont lancé Le
Québec est mort, vive le Québec ! en plein
printemps érable, l'an dernier. Leurs
nouvelles chansons, dont certaines étaient
pourtant écrites depuis longtemps, ont alors
trouvé un écho « inattendu ». Mais s'ils ont «
terminé l'écriture de l'album en pleine grève
étudiante », l'intemporalité de leurs pièces
leur permet aujourd'hui de « les défendre
avec aplomb » sur scène et ce, même si « le
contexte a changé » depuis, soutient
fièrement Sébastien Ricard, alias Batlam.
Le groupe Loco Locass sera en spectacle à Gatineau, samedi.
Archives, LaPresse
« Comme on n'avait pas écrit des titres pour
ponctuer le moment, ils résonnent encore
dans le contexte actuel, fait valoir le principal
intéressé. Notre art poétique et politique vieillit
plutôt bien, donc. »
Plus sombre que leurs précédents disques, leur plus récente offrande n'en demeure pas moins, de l'avis de Sébastien
Ricard, « plus pop et plus accessible à plusieurs égards », malgré le « propos assez grave ». Qu'ils abordent la maladie
mentale ou le jeu compulsif, ils veulent faire réfléchir tout en faisant danser. C'est pourquoi, ils seront huit sur les planches
de la salle Odyssée, samedi soir. « Parce qu'on tient toujours ce pari un peu fou de faire de la musique avec des vrais
musiciens ! » clame-t-il.
À la base du disque, il y avait cette « exigence artistique assez haute » de persister à signer des chansons engagées. Avec
Biz et Chafiik, avec qui il forme le noyau dur des Loco, Batlam y aura mis le temps nécessaire. Le Québec est mort, vive le
Québec ! est ainsi atterri dans les bacs des disquaires après huit ans d'attente pour les fans des rappeurs.
« On avait besoin de prendre notre temps et du recul pour justement respecter cette exigence que nous avons envers nousmêmes. Pour nous respecter nous, aussi. Il était clair qu'aucun d'entre nous ne voulait faire du Loco pour faire du Loco.
Nous devons d'abord être fiers de ce que nous faisons si nous voulons assumer. »
Et puis, chacun a mené ses projets solos, pendant cette période. Pendant que Chafiik continuait à explorer et expérimenter
sur le plan musical (il a d'ailleurs « tout mis » dans Wendigo, assure Batlam), Biz a lancé deux romans, soit Dérives et La
Chute de Sparte, couronné du Prix du livre jeunesse des bibliothèques de Montréal, en 2012.
Sébastien Ricard, lui, a fait du cinéma : en plus de jouer dans Avant que mon coeur bascule, il a incarné André Fortin dans
Dédé à travers les brumes, pour lequel il a remporté le Jutra du meilleur acteur, en 2010. Il a également fait de la télévision
(En thérapie, à Séries +) et, surtout, du théâtre : Woyzeck, La nuit juste avant les forêts et L'opéra de Quat'sous, tous sous la
férule de la directrice artistique du Théâtre français (TF) du Centre national des arts et metteure en scène Brigitte Haentjens.
« Je suis un homme de scène et les deux que j'ai la chance de fréquenter, soit celles du théâtre et de la musique,
s'influencent l'une l'autre, souligne le comédien et chanteur. L'aller-retour entre les deux genres me permet d'habiter l'espace
http://www.lapresse.ca/le-droit/arts-et-spectacles/201303/13/01-4630461-une-poesie-qui-vieillit-plutot-bien.php
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Une poésie qui vieillit plutôt bien | Valérie Lessard | Arts et spectacles
13-03-14 16:01
autrement, par exemple dans mon rapport avec le public entre deux chansons. Ça me permet également d'interpréter
autrement : j'ai apporté au théâtre, je crois, l'art du moment présent qu'on vit beaucoup en musique. Ce sont des vases
communicants. »
Sébastien Ricard sera d'ailleurs de retour dans la région, du 14 au 18 mai, au TF, pour reprendre son rôle dans La nuit juste
avant les forêts. « Mais je ne sais pas encore où Brigitte choisira de m'installer », mentionne celui qui a récemment joué ce
solo dans un garage désaffecté, à Québec. Il y a une dizaine d'années, James Hyndman avait interprété la pièce dans une
chambre d'un môtel de la rue Eddy, dans le Vieux-Hull. « Voilà qui pourrait être intéressant... » murmure Sébastien Ricard, à
l'autre bout du fil.
http://www.lapresse.ca/le-droit/arts-et-spectacles/201303/13/01-4630461-une-poesie-qui-vieillit-plutot-bien.php
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Loco Locass en supplémentaire au Théâtre Petit Champlain le 23 mars | QuébecSpot Média
13-04-03 11:57
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22 mars 2013 | Par QuébecSpot Média
Loco Locass en supplémentaire au Théâtre Petit Champlain le 23 mars
Paru en juin 2012, Le Québec est mort, vive le Québec !, tout dernier opus de Loco Locass, témoigne de la plus récente
actualité socio-politique de notre pays. Le spectacle qui en découle sera présenté au Théâtre Petit Champlain, en supplémentaire, le samedi 23 mars
2013 à 20 h. Entouré de quatre musiciens chevronnés, Batlam, Biz et Chafiik promettent une expérience manifestive unique, qui a fait leur renommée
sur les scènes du Québec et d’ailleurs ! Ce spectacle s’inscrit dans le cadre de la série Scène 1425 du Petit Champlain, une coprésentation du Théâtre
Petit Champlain et de la Salle Albert-Rousseau.
Le dernier album du groupe datait de 2004. Beaucoup d’encre ayant coulé sous les ponts depuis, il fallait renouveler le discours. Avec le Québec est
mort, vive le Québec !, le rap de Loco Locass y est toujours aussi engagé et engageant, mais avec la nuance que permet l’expérience. Après toutes ces
années, le trio est affamé. Il brûle de partager leurs nouveaux mots et leur plus récent son avec le public.
« (…) les trois rappeurs ont été fidèles à eux-mêmes en mettant davantage de l’avant leur côté festif, dans une ambiance résolument rock. Ils se
donnent à fond, sautent partout, savent entraîner leur public dans une énergie à laquelle il est difficile de résister. » Le Soleil
« Ce groupe concocte de très bonnes chansons, avec du rythme et des grooves qui font taper du pied. La présence de musiciens ajoute un élément de
puissance qui serait difficile à obtenir avec uniquement des claviers et des boîtes à rythme. » Journal de Québec
LOCO LOCASS – LE QUÉBEC EST MORT, VIVE LE QUÉBEC!
Supplémentaire, Samedi 23 mars 2013, 20 h
au THÉÂTRE PETIT CHAMPLAIN
http://www.quebecspot.com/2013/03/loco-locass-au-theatre-petit-champlain-le-23-mars-03222013/
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Biz aime sa langue | Spectacles | Spectacles | Le Journal de Montréal
13-04-05 12:58
SPECTACLES | SPECTACLES
Biz aime sa langue
VÉRONIQUE LAUZON @
JOURNAL DE MONTRÉAL, PUBLIÉ LE: JEUDI 04 AVRIL 2013, 21H15 | MISE À JOUR: JEUDI 04 AVRIL 2013, 21H19
PHOTO LE JOURNAL DE MONTRÉAL, CHANTAL POIRIER
L’auteur-compositeur défend le français avec passion et rigueur.
«Des émissions comme La Voix font beaucoup plus pour le français au Québec que des fonctionnaires maladroits de l’Office de la langue française», nous dit Biz,
porte-parole du spectacle J’aime ma langue dans ta bouche.
Ce spectacle-marathon de huit heures se veut un rassemblement où une quarantaine d’artistes monteront sur la scène du Lion d’or pour célébrer notre langue. Du nombre, Isabelle
Blais, Lynda Johnson, Gilles Bélanger, et aussi, des immigrants qui ont appris le français.
L’espoir
À propos de ces derniers, le porte-parole de l’événement, Biz, dit être toujours ému de les voir parler, défendre, et aussi chanter notre langue: «Ça donne espoir». Il a ainsi parlé
des candidats de La Voix comme Maria Janice Galvez, originaire des Philippines et qui parle français seulement depuis un an et demi, qui a eu le courage et l’envie d’interpréter de
grandes chansons, dont Un peu plus haut de Jean-Pierre Ferland.
«Ça me touche énormément, ça m’émeut au bord des larmes. Parce qu’il faut aussi le dire, c’est une langue difficile à apprendre, plus difficile que l’anglais. Quand les immigrants et
les Anglais disent que c’est difficile et que ça les décourage, je les comprends.»
Celui qui a été professeur d’expression orale à Star Académie ajoute: «Donc quand je les vois qui chantent cette langue-là, avec toutes leurs tripes et qui y mettent tout leur cœur, je
trouve ça extrêmement émouvant».
L’exemple américain
En entrevue, le chanteur de Loco Locass a partagé ses craintes de voir sa langue perdre des plumes au profit de l’anglais: «Je ne suis pas le seul qui le dit. À Tout le monde en
parle, Adam Cohen, qui est limpide sur cette question-là, a répondu sans aucune hésitation que le français recule assurément à Montréal. Donc ce n’est pas juste moi et la Société
Saint-Jean-Baptiste qui sommes paranos et qui essayons de faire peur au monde».
À tous les détracteurs de la loi 101 et des futures lois que le Québec pourrait adopter pour protéger le français, Biz prend comme exemple nos voisins du Sud qui ont eux aussi des
lois linguistiques dans quelques États: «Des lois linguistiques, il y en a même aux États-Unis, dont en Arizona et en Floride. Parce qu’ils sont confrontés à la montée de l’immigration
sud-américaine qui parle espagnol et donc, dans certains États, ils ont décrété que la langue officielle était l’anglais.»
Il poursuit: «Si les Américains ont besoin de protéger l’anglais, à plus forte raison les Québécois ont besoin de le faire avec le français.»
Opération séduction
http://www.journaldemontreal.com/2013/04/04/biz-aime-sa-langue
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Biz aime sa langue | Spectacles | Spectacles | Le Journal de Montréal
13-04-05 12:58
Le spectacle présenté samedi n’en sera pas un politique. C’est réellement un rassemblement culturel où la langue française sera célébrée. Le porte-parole de cette deuxième
édition compare le spectacle à une conjointe de longue date que nous avons trop longtemps négligé et que nous retenterons de reconquérir au Lion d’or.
«Et c’est rare que je fasse ça, mais je fais vraiment une invitation sincère à tous ceux qui disent qu’on n’a pas besoin de resserrer la loi 101 et qu’il nous faut plutôt des mesures
incitatives. Et bien, lorsqu’il y en a, soutenez-les. Le spectacle en est une mesure incitative au français, donc j’espère que des libéraux, des caquistes et des anglophones seront
là.»
Le spectacle marathon J’aime ma langue dans ta bouche est présenté ce samedi de 14 h à 18 h et de 20 h à minuit au cabaret Le Lion d’or.
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Hommage à la langue française, version scolaire - Éducation - Hebdo Rive Nord
13-04-05 12:59
Hommage à la langue française, version scolaire
gracieuseté
Publié le 4 Avril 2013
Valérie Houle
Parce qu'ils sont fiers de vivre dans un monde
francophone, parce que leur langue de demain
est menacée, parce qu'ils ont à cœur de faire
honneur à leur français, les élèves du Collège
de l'Assomption ont rendu hommage à leur
langue natale en organisant une panoplie
d'activités dans le cadre de la Semaine de la
francophonie, qui se déroulait du 18 au 22
mars.
Sujets : Collège de l'Assomption , Groupe Loco Locass
C'est le département de français qui a accepté de mettre en place une série d'activités visant à encourager la langue
française, à bien la parler et à bien l'écrire. C'est ainsi que des divertissements pour tous les goûts ont lieu au courant
de la semaine.
Le comité de la Semaine de la francophonie a commencé fort dès le lundi midi en accueillant une personnalité surprise,
mais connue de tous. Le comédien et humoriste, Emmanuel Bilodeau, a accepté de partager sa passion de son métier
en présentant un spectacle conçu spécialement pour les quelque 1000 élèves du Collège de l'Assomption qui ont
assisté à la conférence en avant-midi, dans le but d'en inspirer plusieurs sur la façon de prendre soin de sa langue
d'origine.
Par la suite, un match d'improvisation enlevant a mis en vedette l'équipe des Gilets, l'équipe d'improvisation du Collège
de l'Assomption, qui affrontait quelques enseignants volontaires. Activité ludique, dynamique et inspirante, le match
d'improvisation a suscité un haut taux de participation chez les élèves.
Le mardi midi, un concept intéressant s'est mis en place au Collège de l'Assomption : un échange de livres gratuits à la
bibliothèque. Pour donner une deuxième vie à un livre, les élèves avaient la chance de fournir un de leurs livres et d'en
obtenir un de quelqu'un d'autre, vieux pour le donneur, mais nouveau pour l'acquéreur. « Cette activité a été très
populaire, ça prouve que les jeunes lisent encore de nos jours, et utilisent encore des livres en papier », s'enchante
Danielle Lacroix, directrice générale du Collège de l'Assomption.
En plus de l'échange de livres, les élèves ont pu vivre leur propre Salon du livre, grâce à une variété de livres proposés
par la librairie Buro PLUS Martin. Lors de cet événement, qui se déroulait pendant les cours de français, quelques
auteurs de la région sont venus partager leur expérience d'écriture et donner quelques autographes, tels que Luc
Gélinas, Corinne de Vailly et Sylvie-Catherine de Vailly.
http://www.hebdorivenord.com/Societe/Education/2013-04-04/article-3213577/Hommage-a-la-langue-francaise,-version-scolaire/1
Page 1 sur 2
Hommage à la langue française, version scolaire - Éducation - Hebdo Rive Nord
13-04-05 12:59
Les élèves de cinquième secondaire ont réalisé une activité particulière le mercredi midi, car certains se sont portés
volontaires pour partager des monologues, qu'ils avaient préparés dans le cadre de leur cours de français.
Pour les cinéphiles aguerris, deux films francophones étaient à l'affiche durant la semaine, dans le cadre d'une activité
spéciale « projection et maïs soufflé », sur l'heure du midi. Pour le premier cycle, le film L'Odyssée d'Alice Tremblay de
Denise Filiatrault (2002) était présenté, tandis que les élèves du deuxième cycle ont pu profiter du film Les Choristes de
Christophe Barratier (2003).
Finalement, à chacune des pauses entre les cours, tous les jours de la semaine, à l'entrée des élèves, des « coups
d'éclat » ont surpris les élèves et les enseignants. Que ce soit une danse continentale sur la chanson Langage-toi du
groupe Loco Locass, une « statue/lecture/émotion », un mime collectif à la lecture d'un texte, la lecture collective d'un
poème à la manière d'un chœur grec ou la lecture collective d'un extrait de roman, chacun des niveaux a surpris avec
des mouvements rassembleurs, qui illustre bien l'esprit de participation dans lequel a été plongé le Collège de
l'Assomption lors de cette Semaine de la francophonie.
http://www.hebdorivenord.com/Societe/Education/2013-04-04/article-3213577/Hommage-a-la-langue-francaise,-version-scolaire/1
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25es FrancoFolies : hommages à Félix Leclerc et Claude Léveillée | Jean Philippe Angers | FrancoFolies
13-04-11 16:34
Publié le 09 avril 2013 à 15h03 | Mis à jour le 09 avril 2013 à 16h44
25es FrancoFolies : hommages à Félix Leclerc et Claude
Léveillée
Jean Philippe Angers
La Presse Canadienne
Montréal
Les 25es FrancoFolies multiplieront les hommages - celui à
Félix Leclerc en ouverture et celui à Claude Léveillée pour
clore le festival, et les autres aux Colocs, à Jacques Brel, à
Robert Charlebois et Serge Lama.
De plus jeunes artistes établis se font plaisir aussi en invitant
sur la scène avec eux plusieurs collègues, comme Bernard
Adamus, qui propose un menu alléchant avec Lisa LeBlanc,
Fred Fortin et Avec pas d'casque.
Le leader de Karkwa, Louis-Jean Cormier, qui se promène
cette année avec son aventure solo, adopte aussi la formule
avec invités. Rien n'est confirmé, mais Cormier avance les
noms de Daniel Bélanger, Martin Léon, les Soeurs Boulay faisant partie de sa «wish list».
Dominic Champagne mettra en scène Les chants d'amour de Félix, un
spectacle hommage à Félix Leclerc (notre photo).
Photo: archives La Presse
«Je ne voulais pas trop dénaturer le show en tournée, mais
amener des invités qui sont moins attendus que d'autres, que
je connais moins», a expliqué Louis-Jean Cormier, évoquant
aussi au passage le nom de Paul Daraîche.
Louis-Jean Cormier, maître d'oeuvre des Douze Hommes
rapaillés, s'était fait offrir la direction musicale du spectacle hommage à Félix Leclerc. Cette fois, l'horaire était déjà trop chargé, et la
commande «imposante». Il y interprétera une ou deux pièces, aux côtés d'une imposante distribution comprenant Gilles Vigneault, Michel
Rivard, Betty Bonifassi, Bernard Adamus, Laure Waridel, Hugo Latulippe et plusieurs autres.
C'est le metteur en scène Dominic Champagne qui tiendra les rênes des Chants d'amour de Félix, en ouverture des FrancoFolies pour
souligner les 25 ans de sa disparition.
Pour clore cette édition anniversaire, le Salut à Claude Léveillée réunira notamment Mario Pelchat, Marie-Denise Pelletier, Jean-Pierre
Ferland et Nicola Ciccone.
Une célébration de l'oeuvre de Jacques Brel - un spectacle mis en scène par Luc De Larochellière, déjà présenté à l'hiver 2012 -, et puis le
coup de chapeau aux Colocs pour les 20 ans de leur premier album sont aussi au menu.
Le vice-président programmation et production, Laurent Saulnier, a fait valoir mardi, lors de l'annonce des spectacles en salles, un heureux
mélange entre vétérans, hommages aux disparus et belles découvertes.
«Pour la 25e, on a l'impression d'arriver avec une programmation assez équilibrée entre des hommages à des gens importants - Leclerc,
Brel, Léveillée, sans oublier les 50 ans de carrière de Robert Charlebois et de Serge Lama -, et aussi beaucoup d'artistes qui font les Francos
pour la première fois. Je pense à certains Français comme Fauve, et les talents d'ici que sont les Soeurs Boulay, Karim Ouellet et d'autres»,
a fait valoir Laurent Saulnier.
Le président fondateur Alain Simard a parlé d'un nombre inégalé d'artistes en salles, avec 150 chanteurs et chanteuses - sans compter les
musiciens - et beaucoup de premières.
Ainsi, les festivaliers pourront entendre à ces Francos, du 13 au 22 juin, notamment Karim Ouellet, Peter Peter, Lisa LeBlanc, Yann Perreau,
Le Vent du nord, Mononc Serge et Loco Locass.
La France sera encore bien représentée, avec IAM, Benjamin Biolay, Alexis HK, 1995 et Keny Arkana, entre autres.
Les FrancoFolies investissent la salle du Gesù pour une première fois, y apportant une série toute féminine, avec Jorane, Coeur de Pirate,
Ingrid St-Pierre, la Tunisienne Emel Mathlouthi et la Française Daphné, qui chante Barbara - et qui marie «extrêmement bien» son propre
style à une «fidélité à cette grande voix de la chanson», selon M. Saulnier.
http://www.lapresse.ca/arts/festivals/francofolies/201304/09/01-4639135-25es-francofolies-hommages-a-felix-leclerc-et-claude-leveillee.php
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25e des Francofolies : découvrez la programmation en salles ! - Actualités musicales et potins sur vos vedettes | MusiquePlus
13-04-10 14:19
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25E DES FRANCOFOLIES : DÉCOUVREZ LA
PROGRAMMATION EN SALLES !
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9 avril 2013 par Laure Anne Lafrenière
Du 13 au 22 juin, la 25e édition Francofolies de Montréal offrira aux mélomanes une foule de spectacles extérieurs,
mais également une vaste sélection de concerts en salles, dont nous découvrons la liste des événements aujourd'hui.
Au menu : plusieurs soirées-hommage à la Place des Arts, dont Les chants d'amour de Félix (jeudi 13 juin, 20h), Salut
à Claude Léveillée (samedi 22 juin, 20h) et 50 ans ! Robert Charlebois (samedi 15 juin, 20h) et Hommage à Jacques
Brel (mercredi 19 juin, 20h). Notons aussi Les Colocs pour la vie (samedi 15 juin 21h) au Métropolis.
Parlant du Métropolis, la série Les Nuits Ford, qui débutera à 21h, rassemble Marc Dupré, Bernard Adamus, IAM,
Benjamin Biolay, Lisa LeBlanc, Louis-Jean Cormier et Oxmo Puccino.
Les Katakombes sera l'hôte des Folles nuits dès 23h, où se produiront Mardi Noir, Possession Simple, Les
Abdigradationistes, Mononc' Serge, Les Anticipateurs, Sèxe Illégal, Violett Pi, Smash Hit Combo, O Linea,
http://www.musiqueplus.com/sur-le-fil/25e-des-francofolies-decouvrez-la-programmation-en-salles-1.1209562
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25e des Francofolies : découvrez la programmation en salles ! - Actualités musicales et potins sur vos vedettes | MusiquePlus
13-04-10 14:19
Charlie Foxtrot, On A Créé Un Monstre, Karma Atchykah, Marco Volcy, Cobna et plusieurs autres !
Les soirées Tendances, qui se dérouleront au Club Soda dès 19h, mettront en vedette Keny Arkana, Loco Locass,
Karim Ouellet, Raphael, 1995, Peter Peter, Les soeurs Boulay et Yann Perreau.
Pour sa part, le Gèsu - Centre de créativité, accueillera la série Paroles de Femmes à 20h30, qui réunit les artistes
Emel Mathlouthi, Ingrid St-Pierre, Jorane, Coeur de Pirate (avec Fanny Bloom en première partie) et Daphné, en
hommage à Barbara.
Consultez le site officiel des Francofolies de Montréal pour obtenir la programmation complète en salles.
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stéphane fournier Il y a 3 heures
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Errances, l’allez-retour en pays trad : pieuvre.ca
13-04-11 16:45
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Errances, l’allez-retour en pays trad
Hugo Prévost | 09 avr 2013 | Aucun commentaire
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Hugo Prévost
@HugoPrevost
Fort d’un premier disque bien reçu par la critique en 2009, les membres de Bon Débarras lancent un nouvel album, Errance,
intéressant mélange de musique folk et traditionnelle, avec quelques touches cajun, voire même du rock et du blues
saupoudrés sur le tout.
Photo: Le Devoir
Essentiellement festif, ce nouvel opus comprend également des pièces plus douces, comme la touchante Lettre à mon père, ou
encore Bercitude, qui pose un regard doux-amer sur le monde qui nous entoure.
En choisissant de mélanger dans de genres en un seul disque, il existait évidemment le risque de s’emmêler les pinceaux, et de
produire une bouillie indigeste tenant davantage du capharnaüm; rien de cela dans Errances, qui offre un surprenant melting-pot
musical où l’on peut déceler un certain conflit entre le désir d’offrir une musique plus traditionnaliste, semblable à La veillée d’castors,
ou encore à La bottine souriante, et celui de présenter un courant plus moderne, tel que représenté par Mes Aïeux, ou même Les
Cowboys fringants.
Un amateur de musique à l’oreille bien entraînée serait même porté à croire que des anciens membres des Colocs, ou encore de
Loco Locass ont donné un coup de main à l’écriture et à l’interprétation des 12 pistes du nouvel album.
Au-delà des comparaisons de styles musicaux, le disque lui-même tient-il la roue? Tout à fait: les pièces sont accrocheuses, les
styles sont suffisamment variés pour éviter une éventuelle impression de monotonie, et les textes, très bien travaillés, font d’Errances
http://www.pieuvre.ca/2013/04/09/culturel-musique-errances/
Page 1 sur 3
Errances, l’allez-retour en pays trad : pieuvre.ca
13-04-11 16:45
– et de Bon Débarras – de dignes représentants de cette langue québécoise qui peut parfois adopter un idiome tenant du vieux
français, ou carrément emprunter à l’anglais pour former un patois délicieusement complexe.
Errances trouvera donc sans doute preneur auprès des amateurs du genre: une sorte de point milieu entre la véritable musique
traditionnelle, le néo-trad, le folk, le rap, le blues, le rock… bref, un beau bordel musical qui fait du bien par où il passe. À se procurer,
donc, pour l’apprécier sans tarder.
Bon Débarras - Errance TEASER 2013
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Dans la catégorie: Culturel
Mots-clef: album, blues, bon débarras, bottine souriante, colocs, critique, culture, Culturel, disque, errances, folk, influences,
lancement, lancement d'album, loco locass, mes aïeux, musique, musique trad, musique traditionnelle, néo-trad, rock, trad, volée
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Infodimanche.com - Loco Locass en «Espace Rock» à Rivière-du-Loup
Jeudi 11 avril 2013
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11 avril 2013 à 15h41
Loco Locass en «Espace Rock» à
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Batlam, Biz et Chafiik sont affamés.
Rivière-du-Loup - Soyez les premiers à avoir les précieux billets pour voir les
Loco Locass jeudi le 26 septembre prochain en Espace Rock, c’est-à-dire
debout sur la scène du Centre culturel avec service de bar.
« Le Québec est mort, vive le Québec ! » témoigne de la plus récente actualité
sociopolitique de notre pays avec le rap de Loco Locass qui est toujours aussi
engagé et engageant.
Batlam, Biz et Chafiik sont affamés. Ils brûlent de partager leurs nouveaux mots et
leur plus récent son avec vous.
Les billets sont en vente maintenant au coût de 28$ via le
www.centreculturelrdl.com, à la billetterie au 85, rue Ste-Anne ou au 418 8676666.
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pour les infirmières dans des situations
déterminées permettrait d'améliorer l'accès aux
soins de santé et diminuerait les temps d'attente
dans les urgences et les cliniques médicales?
Oui
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Sean Paul dans la nacelle des Montgolfières | Yves Bergeras | Festivals
13-04-26 13:40
Sean Paul dans la nacelle des Montgolfières
Yves Bergeras
Le Droit
Sean Paul, Garou, Mes Aïeux et Loco Locass
embarqueront dans la nacelle du festival de
Montgolfières (FDM) cet été. Le comédien et
animateur Patrice Bélanger, porte-parole de
l'événement depuis cinq ans - et déguisé en «
DJ Pat » arborant capuche orange et bijoux «
bling-bling » et scratchant à l'occasion - a
scandé hier devant la presse le nom des têtes
d'affiche de cette 26e édition. Celle-ci
déclinera, du 30 août au 2 septembre, des
tons reggae, folkloriques, R'n'B et hip-hop.
Guy Leblanc, président du festival; Sylvie Saint-Pierre Babin, du Mouvement
Desjardins; Patrice Bélanger, porte-parole du festival; et la directrice
générale Brigitte Michaud.
Sylvain Marier, Festival de Montgolfières
La supervedette jamaïcaine Sean Paul
montera sur la scène principale du parc la
Baie le vendredi soir, en ouverture du festival.
Son passage à Gatineau survient trois ans
après qu'il eut avorté à la dernière minute la
prestation qu'il devait donner dans la capitale
canadienne. C'était en août 2010, dans le cadre du Ottawa reggae festival, alors aux prises avec d'importantes difficultés
financières. Le chanteur de reggae-dancehall s'était excusé sur Twitter auprès de ses fans, rejetant au passage la
responsabilité du fiasco sur les promoteurs.
Normand D'Aoust, qui est directeur de la programmation du FDM depuis 12 ans, dit toutefois n'avoir eu aucune difficulté à
convaincre l'artiste de participer à l'événement.
« Grâce au travail incroyable des milliers de bénévoles », la bonne réputation du festival se propage non seulement au
Québec mais dans le monde, souligne M. D'Aoust. « Les agents de Sean Paul au Canada connaissent notre portfolio et
savent que l'organisation » ne laisse rien au hasard, laisse-t-il entendre.
Au détour, il partage la satisfaction ressentie, il a quelques années, lorsque l'équipe de tournée de Kenny Roger - un artiste
qui arrivait précédé par sa réputation d'être très exigeant, souligne M. D'Aoust - a reconnu avoir été impressionnée par
l'organisation sur le site du FDM.
Sean Paul vient cette fois avec son cinquième album studio, Tomahawk Technique, paru l'an passé. Lui qui a vendu plus de
10 millions d'albums de par le monde a également enregistré Summer Paradise en duo avec Simple Plan, qui était l'une des
têtes d'affiche du FDM l'été dernier.
Le lendemain, Garou prendra la relève pour donner un aperçu de son dernier cédé, Le Jour se lève, florilège de reprises
dans l'esprit rythm'n'blues des années 1960 et 1970.
Le Québécois est déjà venu jouer au milieu des montgolfières, mais il sera accompagné de deux invités spéciaux, a précisé
M. D'Aoust. Il révélera leur nom ultérieurement, mais il garantit que « ce sera un trio qu'on n'a jamais vu ensemble
auparavant ».
« Depuis sept, huit ans, poursuit-il, on cherche à offrir des spectacles qui ne sont pas forcément disponibles ailleurs au
http://www.lapresse.ca/le-droit/arts-et-spectacles/festivals/201304/24/01-4644060-sean-paul-dans-la-nacelle-des-montgolfieres.php
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Sean Paul dans la nacelle des Montgolfières | Yves Bergeras | Festivals
13-04-26 13:40
Québec. On veut des spectacles 'clin d'oeil - comme on l'a fait [l'an dernier] avec Éric Lapointe, qui est venu avec des invités
- et on essaie que ces surprises soient un peu la signature du festival. D'ailleurs on essaie de fignoler la soirée d'ouverture
avec Sean Paul, pour qu'il se passe quelque chose d'autre, pendant ou avant son spectacle ». Mais ce ne serait pas Simple
Plan : « On va être plus original que ça », sourit M. D'Aoust.
Toujours dans cette perspective, « on va examiner ce genre d'avenue » collaborative avec Mes Aïeux, indique le directeur
artistique. Fraîchement élu groupe de l'année au 34e Gala de l'ADISQ, en octobre dernier, le quintette québécois revient au
FDM où il promet un spectacle endiablé, le dimanche 1er septembre.
En clôture du festival, les festivaliers auront droit aux rimes sociopolitiquement engagées du trio phare du hip-hop québécois,
Loco Locass. Batlam, Biz, et Chafiik seront entourés de quatre musiciens.
Le groupe est revenu l'an passé sur le devant de la scène avec le disque Le Québec est mort, vive le Québec !. En première
partie, le Franco-Ontarien Damien Robitaille fera sa première apparition au FDM, avec les rythmes latins et dansants
d'Omniprésent.
Une soirée à l'énergie contagieuse en perspective. Au cours de laquelle, « sans chercher à brimer la liberté artistique de nos
invités, on est très ouvert et on les encourage » à conjuguer leurs forces sur scène.
Le reste de la programmation sera annoncé au cours de l'été.
http://www.lapresse.ca/le-droit/arts-et-spectacles/festivals/201304/24/01-4644060-sean-paul-dans-la-nacelle-des-montgolfieres.php
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Les temps modernes de Cargo Culte - Actualités musicales et potins sur vos vedettes | MusiquePlus
13-04-26 13:47
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LES TEMPS MODERNES DE CARGO CULTE
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22 avril 2013 par Laure Anne Lafrenière
Cargo Culte, c'est un trio composé de Eric Brousseau alias Seba (Gatineau), Alex Mc Mahon (Plaster, Yann
Perreau, Catherine Major) et Jean-François Lemieux (Jean Leloup, Pascale Picard, Daniel Bélanger). La
formation hip-hop lancera son premier album, Les temps modernes, le 30 avril prochain et sera en prestation dans le
cadre de Top Musique ce mardi dès 18h !
Voyez ci-dessous le clip de la pièce titre de la parution, aux influences de rap old school, de rock et d'électro. Consultez
également son calendrier de concert ! Cargo Culte assurera la première partie du spectacle de Loco Locass dans le
cadre des FrancoFolies de Montréal le 15 juin au Club Soda.
Mardi 30 avril 2013 – Les Katacombes à Montréal – Spectacle de lancement
Vendredi 6 septembre 2013 – Le Zaricot à Saint-Hyacinthe
Vendredi 27 septembre 2013 – Le Pub O’Callaghan à Sorel
Vendredi 4 octobre 2013 – Le Sous Bois à Chicoutimi
Samedi 5 octobre 2013 – Le Vox Populi à Dolbeau
http://www.musiqueplus.com/sur-le-fil/les-temps-modernes-de-cargo-culte-1.1217418
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Les temps modernes de Cargo Culte - Actualités musicales et potins sur vos vedettes | MusiquePlus
13-04-26 13:47
Samedi 26 octobre 2013 – Le cabaret l’Ange Vagabond à Saint-Adolphe-d’Howard
Samedi 23 novembre 2013 – Le Trou du Diable à Shawinigan
Vendredi 29 novembre – La Chasse Galerie à Lavaltrie
Samedi 7 décembre – Auberge Petite Nation à Saint-André-Avellin
Photo : Sandra Raymond
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End of The Weak : 26 avril au Cabaret Underworld
Le coeur en boule de Maude
Nouveauté musique : Chloe (You're The One I Want) d'Emblem3
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«La 20e édition du FestiVoix sera mémorable» - FestiVoix - L'Hebdo Journal
13-04-26 14:12
«La 20e édition du FestiVoix sera mémorable»
Marie-Ève Bourgoing-Alarie
Dévoilement des Voix Populaires et Multiples
L'organisation du FestiVoix de Trois-Rivières a
dévoilé ce matin la programmation de la scène
des Voix Populaires et des Voix Multiples de sa
20e édition.
Sujets : Société des transports de Trois-Rivières , Tourisme Pascal Bérubé , Québec , Trois-Rivières , Blou
Grosse programmation du côté de la scène des Voix Populaires.
«Il y a beaucoup de spectacles concepts pour le 20e. La programmation sera relevée. Je crois que la 20e édition du
FestiVoix sera mémorable», assure Stéphane Boileau, directeur général de l'événement.
Robert Charlebois ouvrira le bal le 27 juin en revisitant les chansons marquantes de ses 50 ans de carrière. Éric
Lapointe prendra d'assaut la scène le lendemain en formule big band.
Jael Bird Joseph assurera la première partie du spectacle des Colocs le 29 juin. Ce spectacle mettra en vedette les exColocs Mike Sawatzky, El Hadj Diouf et André Vanderbiest ainsi que Mara Tremblay, Éric Goulet, Marc Déry et Yann
Perreau.
«Les Colocs ont marqué l'industrie de la musique au Québec. C'est un spectacle concept qui devrait être magique et
qui nous rappellera plusieurs souvenirs», note M. Boileau.
La revue musicale Showtime reviendra à Trois-Rivières le 30 juin, tandis que Lisa Leblanc sera sur scène le 1er juillet
avant la prestation des Trois Accords. Cœur de pirate sera quant à elle en spectacle le 3 juillet.
Diane Dufresne sera en spectacle sur la grande scène le 4 juillet avec les Violons du Roy. Il s'agit d'un spectacle
exclusif au festival. La chanteuse revisitera ses grands succès.
La soirée sera occupée le 5 juillet: Karim Ouellet, Random Recipe et Loco Locass fouleront la scène des Voix
Populaires.
Lez Zeppelin Experience (6 juillet) et Richard Desjardins (7 juillet) concluront la programmation des Voix Populaires.
Ingrid St-Pierre, Bears of Legend et Jorane
http://www.lhebdojournal.com/Culture/FestiVoix/2013-04-23/article-…25889/%26laquoLa-20e-edition-du-FestiVoix-sera-memorable%26raquo/1
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13-04-26 14:12
«Le comité de la programmation travaille depuis le mois d'août sur cette programmation. On essaie toujours d'arriver
avec un certain équilibre pour que tout le monde y trouve son compte. Je pense qu'on a atteint cet équilibre cette
année. On aura droit à des spectacles de très haut calibre sur la scène des Voix Multiples», affirme Stéphane Boileau.
Au programme: Louis-Jean Cormier (27 juin), les sœurs boulay (08 juin), Ingris St-Pierre (29 juin), Blou (30 juin), les
Crooners (1er juillet), Salomé Leclerc (3 juillet), Bears of Legend (4 juillet), Jorane (5 juillet) Émilie-Claire Barlow (6
juillet) et Anuna (7 juillet). La scène des Voix Multiples, située dans la cour du monastère des Ursulines, peut accueillir
jusqu'à 4500 spectateurs.
Passeport en vente
Le passeport du FestiVoix est en vente jusqu'au 16 juin au coût de 39$ dans les épiceries Metro de la Mauricie, Jean
Coutu, au centre Les Rivières, chez Rona l'Entrepôt, Rona H. Matteau et sur le site du FestiVoix au www.festivoix.com.
Le passeport donne accès à l'ensemble des spectacles et permet d'utiliser le service de la Société des transports de
Trois-Rivières gratuitement tous les soirs du festival.
Le bracelet journalier est en vente aux bureaux du FestiVoix et à l'entrée des sites lors de l'événement au coût de 22$.
Aide gouvernementale de 93 880$
Le FestiVoix bénéficiera d'une aide financière gouvernementale de 93 880$.
«Des événements tels que le FestiVoix de Trois-Rivières qui ont le potentiel d'attirer en région la clientèle touristique et
ainsi générer des retombées substantielles démontrent l'importance de l'industrie touristique comme moteur
économique. C'est pourquoi il importe de soutenir les festivals et les événements, car c'est tout le Québec qui en
bénéficie. Par le fait même, encourager le tourisme permet à notre destination de demeurer attrayante dans un marché
où la concurrence est forte», fait savoir le ministre délégué au Tourisme Pascal Bérubé.
Rappelons que la 20e édition du FEstiVoix se déroulera du 27 juin au 7 juillet.
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Programmation relevée pour le 20e FestiVoix | Linda Corbo | Arts & Spectacles
13-04-26 13:47
Programmation relevée pour le 20e FestiVoix
Linda Corbo
Le Nouvelliste
(Trois-Rivières) C'est à une programmation
relevée que le FestiVoix convie le public cette
année à l'occasion de son 20e anniversaire.
Diane Dufresne fait partie des invités du FestiVoix.
Photo: La Presse
Du 27 juin au 7 juillet, Diane Dufresne et les
Violons du Roy, Richard Desjardins, Coeur de
Pirate, Loco Locass, Robert Charlebois, Les
Trois Accords, Éric Lapointe en formule Big
Band, Lisa Leblanc et Jael Bird Joseph, pour
ne nommer qu'eux, se succéderont sur la
grande scène Loto-Québec, en plus d'un
spectacle hommage aux Colocs, un autre
dédié à Led Zeppelin et la reprise de la revue
musicale Showtime.
Ceci dit, la scène des Voix multiples ne sera
pas à dédaigner non plus, dans la cour des
Ursulines, si l'on considère que parmi les
artistes invités, on y accueillera notamment Louis-Jean-Cormier, Ingrid St-Pierre, Jorane, Bears of Legend et Émili-Claire
Barlow.
Tous les détails dans Le Nouvelliste du 24 avril.
http://www.lapresse.ca/le-nouvelliste/arts-spectacles/201304/23/01-4643731-programmation-relevee-pour-le-20e-festivoix.php
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13-04-24 16:02
«Le comité de la programmation travaille depuis le mois d'août sur cette programmation. On essaie toujours d'arriver
avec un certain équilibre pour que tout le monde y trouve son compte. Je pense qu'on a atteint cet équilibre cette
année. On aura droit à des spectacles de très haut calibre sur la scène des Voix Multiples», affirme Stéphane Boileau.
Au programme: Louis-Jean Cormier (27 juin), les sœurs boulay (08 juin), Ingris St-Pierre (29 juin), Blou (30 juin), les
Crooners (1er juillet), Salomé Leclerc (3 juillet), Bears of Legend (4 juillet), Jorane (5 juillet) Émilie-Claire Barlow (6
juillet) et Anuna (7 juillet). La scène des Voix Multiples, située dans la cour du monastère des Ursulines, peut accueillir
jusqu'à 4500 spectateurs.
Passeport en vente
Le passeport du FestiVoix est en vente jusqu'au 16 juin au coût de 39$ dans les épiceries Metro de la Mauricie, Jean
Coutu, au centre Les Rivières, chez Rona l'Entrepôt, Rona H. Matteau et sur le site du FestiVoix au www.festivoix.com.
Le passeport donne accès à l'ensemble des spectacles et permet d'utiliser le service de la Société des transports de
Trois-Rivières gratuitement tous les soirs du festival.
Le bracelet journalier est en vente aux bureaux du FestiVoix et à l'entrée des sites lors de l'événement au coût de 22$.
Aide gouvernementale de 93 880$
Le FestiVoix bénéficiera d'une aide financière gouvernementale de 93 880$.
«Des événements tels que le FestiVoix de Trois-Rivières qui ont le potentiel d'attirer en région la clientèle touristique et
ainsi générer des retombées substantielles démontrent l'importance de l'industrie touristique comme moteur
économique. C'est pourquoi il importe de soutenir les festivals et les événements, car c'est tout le Québec qui en
bénéficie. Par le fait même, encourager le tourisme permet à notre destination de demeurer attrayante dans un marché
où la concurrence est forte», fait savoir le ministre délégué au Tourisme Pascal Bérubé.
Rappelons que la 20e édition du FEstiVoix se déroulera du 27 juin au 7 juillet.
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Qualité, diversité et équilibre pour le 46e Festival d’été de Québec | QuébecSpot Média
13-04-26 13:39
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23 avril 2013 | Par QuébecSpot Média
Qualité, diversité et équilibre pour le 46e Festival d’été de Québec
Le suspense est maintenant terminé! Le Festival d’été de Québec lève le voile sur ses spectacles extérieurs,
une programmation riche où se côtoie un large éventail de styles musicaux. Des artistes de l’heure aux légendes, en passant par des découvertes et des
étoiles montantes, les festivaliers auront l’embarras du choix. The Black Keys, Bruno Mars, Tiësto, Wu-Tang Clan, Def Leppard, Weezer, Rush, Wiz
Khalifa, MGMT, Foreigner, Bad Religion, Bassnectar, Belle & Sebastien, Emmylou Harris & Rodney Crowell, Passion Pit, Lisa Leblanc et des
dizaines d’autres feront vibrer les sites du Festival.
« Une fois de plus, et nous sommes fiers de le dire, le Festival d’été de Québec confirme sa position de leader. Avec une programmation d’une telle
profondeur, notre évènement se classe certainement parmi les plus grands », a déclaré Daniel Gélinas, le directeur général.
Pour Louis Bellavance, le directeur de la programmation, « cette profondeur s’exprime à travers le nombre élevé de soirées qui affichent un alignement
d’artistes forts de la première à la dernière partie, peu importe le style et la scène, qu’il s’agisse d’artistes internationaux ou francophones. L’affiche
de ce côté est d’ailleurs particulièrement séduisante cette année. »
ElectroFEQ
Surprise de 2012 : la soirée ElectroFEQ sur les Plaines! Un succès inattendu qui a rallié les mordus du genre comme les curieux. Fort de ce succès, le
Festival reprend le concept dans une formule amplifiée. L’ElectroFEQ s’étendra cette année sur quatre scènes, un crescendo de quatre soirs
consécutifs, de l’Impérial jusqu’aux Plaines!
L’aventure commencera donc à l’Impérial le 8 juillet avec Le Matos, Keys N Krates et Austra. Elle se poursuivra le lendemain sur la scène Hydrohttp://www.quebecspot.com/2013/04/qualite-diversite-et-equilibre-pour-le-46e-festival-dete-de-quebec-04232013/
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13-04-26 13:39
Québec de place d’Youville, qui gardera un son world en accueillant Mexican Institute of Sound, 3Ball MTY et A Tribe Called Red. Sur la scène LotoQuébec du parc de la Francophonie, le mercredi 10 juillet, c’est le style dubstep qui prévaudra avec Zeds Dead et Bassnectar comme têtes d’affiches.
Et pour l’apothéose de l’ElectroFEQ sur les Plaines, le jeudi 11 juillet, tout un cocktail : Madeon, Martin Solveig, Wolfgang Gartner et, comme point
culminant, la méga star Tiësto. Cette soirée dédiée à l’électro house sera soutenue par l’un des plus grands déploiements techniques de l’histoire du
Festival.
Scène Bell des plaines d’Abraham
4 juillet : Tel qu’annoncé il y a quelques semaines, le Festival s’ouvrira en français avec le spectacle à grand déploiement Quand le Québec chante.
Cinq piliers de la chanson québécoise, Paul Piché, Daniel Lavoie, Richard Séguin, Michel Rivard et Laurence Jalbert, accompagnés de 400 choristes,
offriront leurs succès et quelques classiques du répertoire québécois.
5 juillet : Une soirée hip-hop qui pourrait être historique! Le groupe mythique Wu-Tang Clan performera pour la première fois à Québec. Le collectif
d’artistes américains sera précédé du célèbre rappeur Wiz Khalifa ainsi que de Classified, que l’on connait pour son succès radio Inner Ninja. En début
de soirée, on verra Anodajay, Dramatik, Koriass, Manu Militari et Samian, qui offriront un pot-pourri hip-hop pour célébrer les 10 ans des Disques 7e
Ciel.
6 juillet : On se rappelle encore de la soirée magique passée en compagnie des Black Keys au Festival, en 2011. Depuis ce passage, une collection de
prix Grammys et un nouvel album en poche, leur renommée internationale a explosé. Au sommet de leur art, ils nous font l’honneur de s’arrêter à
nouveau sur les Plaines. Eagles of Death Metal et Father John Misty lanceront la soirée.
7 juillet : On plongera dans l’univers absurde des Trois Accords et de leur plus récent album J’aime ta grand-mère avec le spectacle concept Les Trois
Accords avec plein de filles, une grosse fanfare et des explosions de feu. Des invités et plusieurs surprises sont à prévoir! Juste avant, place à la star
française M, qu’il faut absolument voir sur scène pour saisir pleinement l’essence du personnage et l’incroyable énergie qui se dégage de chacune de
ses performances. C’est Caféïne qui débutera cette soirée francophone prometteuse.
8 juillet : L’annonce de la venue de Bruno Mars, un des grands noms de la planète pop actuelle, a provoqué un bel emballement. Ses fans devraient
aussi apprécier la prestation d’Ellie Goulding, dont la pop électro est en train de faire le tour du monde, et celle des Torontois Diamond Rings.
9 juillet : Passion Pit, MGMT, Weezer, le Festival frappe fort avec cet enchaînement qui devrait satisfaire les plus exigeants. Soulignons qu’il s’agit
d’un premier passage à Québec pour MGMT.
10 juillet : Rush s’amènera avec son nouveau et déjà mémorable spectacle, le Clockwork Angel Tour. On peut s’attendre à une production imposante
avec projections et effets spéciaux pour cet unique spectacle au Québec.
11 juillet : ElectroFEQ
13 juillet : Le groupe légendaire Def Leppard se passe de présentation et on peut affirmer sans se tromper qu’il s’agira d’une soirée incontournable
pour les amateurs de bon vieux rock. C’est la formation américaine Foreigner, forts de ses nombreux succès rock, qui jouera en première partie.
Scène Loto-Québec du parc de la Francophonie
Lieu de bien des découvertes et coups de cœur durant le Festival, la scène Loto-Québec a un je-ne-sais quoi qui favorise les moments forts en
émotions. La musique francophone y sera à l’honneur, avec certains des artistes québécois les plus appréciés. Coeur de pirate présentera son seul
spectacle en formule band de l’été. En début de soirée, on verra la jeune auteure-compositrice-interprète Chloé Lacasse ainsi que l’artiste de Québec
qui a le vent dans les voiles, Karim Ouellet. La colorée Lisa Leblanc, dont le premier album a été certifié disque d’or, sera judicieusement précédée de
Bernard Adamus et de Keith Kouna. Une superbe soirée est à prévoir avec Richard Desjardins, Ingrid St-Pierre, accompagnée d’un quatuor à cordes, et
Gaële. En clôture du Festival, Robert Charlebois interprètera les succès qui ont marqué ses cinquante ans de carrière avec, en premières parties, David
Giguère et Hôtel Morphée.
Pour son premier passage à Québec, le groupe phare de la scène indépendante Belle & Sebastian attirera certainement de nombreux fans. Here We Go
Magic et Born Ruffians donneront le ton à cette soirée indie pop. Place ensuite au punk rock avec Bad Religion, dont le nouvel album bat des records
de vente. Le groupe sera précédé de The Hunter, The Balconies et du gagnant du concours Clic ton band. Il faudra arriver tôt!
Pour les amateurs de metal, c’est sur cette scène que ça se passe! En exclusivité au Canada et pour la première fois à Québec, les 15 musiciens du
groupe allemand Avantasia s’amèneront avec leur metal mélodique, dans un opéra rock grandiloquent. Voivod viendra célébrer ses 30 ans d’existence,
tout de suite après Never More than Less. Le Festival aura également la chance d’accueillir la grande dame du folk Emmylou Harris et son guitariste
Rodney Crowell, alors qu’elle interprétera les pièces de leur album duo country-folk Yellow Moon. La formation de Trois-Rivières Bears of Legend
débutera la soirée. Le site promet aussi d’être bien rempli pour la venue du groupe pop rock canadien Marianas Trench, fraîchement récipiendaire du
prix Juno groupe de l’année. Down With Webster ainsi que Final State, de Québec, réchaufferont la foule.
Scène Hydro-Québec de place Metro à place d’Youville
Des rythmes du monde, bien sûr, mais également du blues, de la soul, du reggae, de la pop et de l’électro, enflammeront la scène Hydro-Québec.
Plusieurs soirées festives s’annoncent!
Les amateurs de musique world pourront danser à satiété avec la venue d’artistes tels que Amadou et Mariam, Kassav’, Fatoumata Diawara et Locos
for Juana et, valeur sûre du genre, Balkan Beat Box. L’Afrobeat est également bien représenté avec Femi Kuti & The Positive Force, une grosse
pointure dans le style afrofunk, et The Souljazz Orchestra.
http://www.quebecspot.com/2013/04/qualite-diversite-et-equilibre-pour-le-46e-festival-dete-de-quebec-04232013/
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L’atmosphère décontractée du reggae planera à quelques reprises sur place d’Youville avec Danakil, Reggae Meta and The Cornerstones, et la
référence du reggae franco Alpha Blondy & The Solar System.
Les amateurs de soul seront heureux de voir à l’horaire la légende du soul funk Booker T. Jones, The Dynamite featuring Charles Walker ainsi que
Sharon Jones & the Dap-Kings, elle qui met le feu à chacun de ses passages sur une scène. On découvrira aussi le gospel soul avec The Relatives et
Naomi Shelton & The Gospel.
Du côté blues, on verra James Hunter, The Slide Brothers, de même que Dr. John, the Night Tripper qui, venu directement de Nouvelle-Orléans, sera le
rendez-vous incontournable de la scène Hydro-Québec.
La musique francophone ne sera pas en reste! Il devrait faire chaud à place d’Youville en compagnie des Loco Locass, qui viendront présenter le
spectacle issu de leur plus récent album, Le Québec est mort, vive le Québec! Performeront également le même soir, les groupes Noir Silence et
Canailles. Habitué du Festival, Daran viendra également faire son tour, tout juste avant Zaz, en tête d’affiche.
Cette belle scène tout au cœur de Québec accueillera également : Socalled, Nomadic Massive, Nick Waterhouse, Charly Yapo, Sagapool, Coyote Bill,
Kodiak, Gotta Logo Project, William Sevigny, Jeanphilip et les artistes de l’Ampli de Québec : Juliel, Maude, Équinoxe et The Seasons.
« Année après année, le FEQ assume avec vigueur son rôle de moteur de développement économique et contribue à la saine santé financière de notre
région. Non seulement le Festival rapporte-t-il des millions de dollars mais il contribue aussi au développement d’une expertise technique sans pareil
», constate Mario Girard, le président du conseil d’administration.
Geneviève Borne, présidente des 25e Prix Miroir
Les Prix Miroir, parrainés par la SODEC et remis en conclusion du Festival d’été de Québec, honorent les talents d’ici et d’ailleurs. Pour leur 25e
anniversaire, Geneviève Borne s’est vue confier le rôle de présidente du jury. Animatrice dans le milieu culturel depuis plus de 20 ans, notamment
comme co-animatrice de l’émission Belle et Bum, elle est avant tout une passionnée de musique et ce, depuis toujours. Elle est également une « fille de
Québec » qui n’hésite pas à dire sur toutes les tribunes que le Festival d’été de Québec est son festival préféré! L’organisation des prix Miroir est
heureuse de pouvoir compter sur cette communicatrice hors-pair comme porte-parole de la 25e édition.
Pour une deuxième année, le Festival est à la recherche d’un mélomane pour faire partie du jury des Prix Miroir! Pour poser leur candidature, les
personnes intéressées sont invitées à consulter le site internet du Festival afin de connaître la procédure. Une expérience exceptionnelle!
La 46e édition du Festival d’été de Québec se tiendra du 4 au 14 juillet 2013.
Le Festival d’été de Québec est présenté par Bell en collaboration avec Molson Dry.
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Voir aussi : 3Ball MTY, A Tribe Called Red, Alpha Blondy & The Solar System, Anodajay, Austra, Avantasia, Bad Religion, Balkan Beat Box,
Bassnectar, Bears of Legend, Belle & Sebastien, Bernard Adamus, Booker T. Jones, Born Ruffians, Bruno Mars, Canailles, Charly Yapo, Chloé
Lacasse, Classified, Coeur de pirate, Coyote Bill, Danakil, Daniel Gélinas, Daniel Lavoie, Daran, David Giguère, Def Leppard, Diamond Rings,
Down With Webster, Dramatik, Eagles of Death Metal, ElectroFEQ, Ellie Goulding, Emmylou Harris, Emmylou Harris & Rodney Crowell, Équinoxe,
Father John Misty, Femi Kuti & The Positive Force, FEQ, Festival d'été de Québec, Festivals, Final State, Foreigner, Gaële, Geneviève Borne, Gotta
Logo Project, Here We Go Magic, Hôtel Morphée, Impérial de Québec, Ingrid St-Pierre, Jeanphilip, Juliel, Karim Ouellet, Keith Kouna, Keys N
Krates, Kodiak, Koriass, Laurence Jalbert, Le Matos, Les Trois Accords, Lisa Leblanc, Loco Locass, Louis Bellavance, Madeon, Manu Militari,
Mariana's Trench, Mario Girard, Martin Solveig, Maude, Mexican Institute of Sound, MGMT, Michel Rivard, Naomi Shelton & The Gospel, Nick
Waterhouse, Noir Silence, Nomadic Massive, Passion Pit, Paul Piché, Quand le Québec chante, Reggae Meta and The Cornerstones, Richard
Desjardins, Richard Séguin, Robert Charlebois, Rodney Crowell, Rush, Sagapool, Samian, Sharon Jones & the Dap-Kings, Socalled, Spectacles, The
Balconies, The Black Keys, The Dynamite featuring Charles Walker, The Hunter, The Relatives, The Seasons, The Souljazz Orchestra, Tiësto, Voïvod,
Weezer, William Sévigny, Wiz Khalifa, Wolfgang Gartner, Wu-Tang Clan, Xavier Cafeïne, Zaz, Zeds Dead
Nom (requis)
Site Internet
http://www.quebecspot.com/2013/04/qualite-diversite-et-equilibre-pour-le-46e-festival-dete-de-quebec-04232013/
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FestiVoix de Trois-Rivières 2013 | Lisa Leblanc, Les Trois Accords, Coeur de Pirate et plus annoncés | Sors-tu.ca
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http://www.sorstu.ca/festivoix-de-trois-rivieres-2013-lisa-leblanc-les-trois-accords-coeur-de-pirate-et-plus-annonces/
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FestiVoix de Trois-Rivières 2013 | Lisa Leblanc, Les Trois Accords, Coeur de
Pirate et plus annoncés
Publié le 23 avril 2013 @ 17h20
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Marie-Kim Dupuis-Brault
Adjointe à la rédaction
Nouvelle Alors que le Festival d’été de Québec dévoilait sa programmation extérieure ce matin, le FestiVoix a aussi annoncé
les composantes de la programmation de sa 20e édition, qui aura lieu du 27 juin au 7 juillet prochain.
Le festival mise sur une programmation diversifiée qui met en vedette autant des vétérans locaux que des artistes au futur
prometteur. Parmi les têtes d’affiches, on retrouve entre autres Lisa Leblanc, les Trois Accords, Coeur de Pirate, Loco Locass et
Random Recipe, mais aussi Robert Charlebois, Diane Dufresne et Éric Lapointe.
C’est d’abord Louis-Jean Cormier qui donnera le coup d’envoi de cette édition anniversaire le 27 juin, suivi dans la soirée de
Robert Charlebois.
Les Soeurs Boulay débuteront la soirée du vendredi 28 juin et seront suivies plus tard en soirée par Éric Lapointe qui présentera son
spectacle en formule Big Band.
Le premier samedi, soit le 29, c’est Papagroove qui lancera les festivités suivi d’Ingrid St-Pierre puis de Jael Bird Joseph, auteurcompositeur-interprète et participant à La Voix. La soirée culminera avec le spectacle des Colocs, mettant en scène des invités
spéciaux tels que Éric Goulet, Mara Tremblay, Marc Déry et Yann Perreau.
Le 1er juillet, pour célébrer la fête du Canada, Lisa Leblanc et les Trois Accords seront au rendez-vous sur la scène principale.
Après relâche d’une journée, le festival reprendra du service le 3 juillet, avec le quatuor Valérie Carpentier, la grande gagnante de La
Voix, suivie de Salomé Leclerc et de Coeur de Pirate en soirée. L’extravagante Diane Dufresne se produira le jeudi 4 juillet en
compagnie des Violons du Roy.
Le vendredi 5 juillet promet une soirée rythmée avec Karim Ouellet, Random Recipe et Loco Locass.
Le samedi 6 juillet, le festival accueillera le Jason Bonham’s Led Zeppelin Experience avant de se conclure le dimanche 7 juillet
avec Richard Desjardins.
Dance Laury Dance, We Are Wolves et Nicolas Pellerin et les Grands Hurleurs semblent également être de la programmation 2013,
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mais le moment de leur prestation reste à confirmer.
Le FestiVoix propose au total une centaine de spectacles sur 13 scènes.
Événements à venir
Louis-Jean Cormier
20h00
Jean-Marc-Dion
Sept-Îles
25 avril 2013
Richard Desjardins
20h00
Salle Louis-Fréchette
Québec
25 avril 2013
Muse
avec We Are Wolves
19h00
Colisée Pepsi
Québec
26 avril 2013
Yann Perreau
20h00
Café-Théâtre Côté-Cour
Jonquière
26 avril 2013
We Are Wolves
20h00
Moulin-Neuf
Terrebonne
26 avril 2013
Ingrid St-Pierre
20h00
Théâtre Palace Arvida
Saguenay
26 avril 2013
Les Soeurs Boulay
20h00
Richard Desjardins
20h00
Ingrid St-Pierre
20h00
Chasse-Galerie
Lavaltrie
26 avril 2013
Salle Philippe-Filion
Shawinigan
26 avril 2013
Salle Dolbeau-Mistassini Desjardins
Maria-Chapdela
Dolbeau-Mistassini
27 avril 2013
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Au FMG, Patrice Bélanger présentera Sean Paul, Garou… | QuébecSpot Média
13-04-26 13:44
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24 avril 2013 | Par QuébecSpot Média
Au FMG, Patrice Bélanger présentera Sean Paul, Garou…
Une 26e édition aux couleurs de reggae, de folklore, de rhythm’N’blues et de Hip-Hop!
Du 30 août au 2 septembre prochain, le 26e Festival de montgolfières de Gatineau, présenté par Loto-Québec en collaboration avec Desjardins,
animera encore le parc de la Baie. Patrice Bélanger, porte-parole du Festival depuis cinq ans, dévoilait ce matin le nom des artistes qui feront vibrer
la scène Loto-Québec cet été.
Tout d’abord, une heureuse nouvelle! Comme vous avez été à même de le constater ci-dessus, un partenaire de la première heure atteint cette année un
plus haut niveau de partenariat. En effet, le Festival, présenté depuis 2005 par Loto-Québec, le sera maintenant en collaboration avec Desjardins. La
grande famille du Festival salue la grande fidélité de Desjardins, qu’elle est fière de souligner!
Scène Loto-Québec
Le vendredi 30 août sur la scène Loto-Québec, le célèbre Sean Paul lancera le bal avec sa musique reggae et dancehall. Nul doute qu’il fera lever la
foule! Après tout, il a vendu plus de 10 millions d’albums de par le monde. Cet artiste jamaïcain mondialement reconnu a de nombreux prix à son actif.
En 2005, il remportait un prestigieux American Music Award pour la chanson (When you gonna) Give it up to me et plus récemment, en 2012, on lui
attribuait la Best Caribbean Performance et la récompense MOBO (Music of Black Origin) du meilleur artiste reggae de l’année. Toujours en 2012, il
lançait son cinquième album studio, Tomahawk Technique.
Le samedi 31 août, Garou qui sait rocker, groover et fredonner, et dont la voix âpre peut se faire suave, nous rendra une deuxième visite, en compagnie
http://www.quebecspot.com/2013/04/festival-de-montgolfieres-de-gatineau-04242013/
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Au FMG, Patrice Bélanger présentera Sean Paul, Garou… | QuébecSpot Média
13-04-26 13:44
d’invités spéciaux que nous dévoilerons ultérieurement. Il nous revient donc après un septième album studio, le premier signé chez Universal Music,
Le Jour se lève, une collection de reprises en français et en anglais entièrement dédiée à l’esprit du rhythm’n’blues des années soixante et soixante-dix.
Les amateurs du genre découvriront sous un nouveau jour certains classiques rhabillés de manière inédite. Que l’on pense au sublime I put a spell on
you enrobé de cordes en volutes, à mi-chemin entre la rugueuse masculinité de Creedence Clearwater Revival et la féminité indolente de Nina Simone,
ou à l’étonnant If I ain’t got you d’Alicia Keys, accéléré et forcément virilisé pour l’occasion. Récipiendaire de plusieurs Félix et autres récompenses, il
remporte en 2012 la chanson de l’année, désignée par le public français, avec Le jour se lève. Rappelons qu’il est de l’équipe de coachs à TF1 (France)
de l’émission The Voice, la plus belle voix.
Le groupe de l’année au 34e Gala de l’ADISQ, Mes Aïeux, nous proposera des chansons tant festives qu’endiablées le dimanche 1er septembre. Après
15 années de complicité et plus de 600 spectacles, le groupe célèbre en chansons la rencontre du peuple que nous avons été avec celui que nous
sommes devenus… et cet autre en devenir. La maturité acquise par le groupe, alliée au souci de toujours se renouveler, donne un spectacle avec une
touche d’autodérision et de joyeux délire.
Pour clore ce 26e Festival, le lundi 2 septembre, les Loco Locass, piliers du hip-hop québécois, réchaufferont la scène et la foule. Paru au printemps
2012, le CD Le Québec est mort, vive le Québec! témoigne de la plus récente actualité sociopolitique de notre pays. Le rap de Loco Locass demeure
très engagé et engageant, avec la nuance de l’expérience accumulée. Après toutes ces années, Batlam, Biz et Chafiik sont affamés. Ils brûlent d’envie
de partager leurs nouveaux mots et leur plus récent son avec le public. Entouré de quatre musiciens chevronnés, le trio promet une expérience unique,
dans la veine de celles qui établissent sa réputation enviable au Québec et à l’étranger.
En première partie, le singulier Damien Robitaille sera sous les projecteurs et saura captiver les festivaliers par l’énergie contagieuse de ses rythmes
latins, chauds et dansants. Celui dont le style musical est décrit, par l’Association des professionnels de la chanson et de la musique, comme « une
musique groovy aux accents funk, rocksteady, pop et soul, avec un petit côté rétro-kitsch 70 chic et chaud », a récolté de nombreux prix, dont son tout
premier Félix en 2010, et de multiples statuettes au Gala des prix Trille Or.
Du 30 août au 2 septembre, joignez-vous aux milliers de festivaliers pour la 26e édition du Festival de montgolfières de Gatineau!
Pour plus de renseignements, il suffit de visiter notre site Internet (www.montgolfieresgatineau.com) ou de se joindre à nous sur Facebook
(www.facebook.com/superfmg).
Notre site Web permet aussi de profiter des avantages de la vente éclair du bracelet-passeport et du duo passeport-manèges, entre le 30 avril et le 5 mai.
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Voir aussi : Damien Robitaille, Festival de Montgolfières de Gatineau, Festivals, FMG, Garou, Loco Locass, Mes Aïeux, Patrice Bélanger, Sean Paul,
Spectacles
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Festival de montgolfières de Gatineau 2013 | Mes Aieux, Loco Locass, Damien Robitaille, Garou et… Sean Paul ! | Sors-tu.ca
13-04-25 16:59
Festival de montgolfières de Gatineau 2013 | Mes Aieux, Loco Locass, Damien
Robitaille, Garou et… Sean Paul !
Publié le 24 avril 2013 @ 8h27
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Marc-André Mongrain
Rédacteur en chef
Nouvelle Le Festival de montgolfières de Gatineau lançait ce matin la programmation pour sa 26e édition, qui se déroulera
du 30 août au 2 septembre 2013, au Parc de la Baie, à Gatineau. En plus des ballons qui émerveilleront petits et grands
comme à chaque année, Loco Locass, Mes Aieux, Damien Robitaille, Garou et Sean Paul seront les principales têtes d’affiche
musicales.
Le festival débutera le vendredi 30 août avec la présence de la star du reggae-pop Sean Paul (prononcé « Shawn-A-Pôle »). Le
samedi 31 août, au tour de Garou de faire son petit tour de chant sur la scène principale.
Le dimanche 1er septembre, Mes Aieux proposera les chansons de son répertoire, alors que Loco Locass assurera le show de clôture
le lundi 2 septembre, avec Damien Robitaille en première partie.
BILLETS ▶ Les bracelet-passeports seront mis en vente le 30 avril prochain par ici. Il en coûtera 30$ du 30 avril au 5 mai, 36$ du 6
mai au 25 août et 64$ à partir du 26 août. Des duo passeport-manèges et des bracelets quotidiens seront également disponibles.
Événements à venir
Mes Aieux
20h00
Damien Robitaille
20h00
Shenkman Arts Centre
Ottawa
2 mai 2013
Théâtre Granada
Sherbrooke
24 mai 2013
Mes Aieux
avec l'OSM. Invité : Plume Latraverse
20h00
Maison Symphonique de Montréal
Montréal
5 juin 2013
Mes Aieux
avec l'OSM. Invité : Plume Latraverse
20h00
Maison Symphonique de Montréal
Montréal
6 juin 2013
Loco Locass
Francofolies - avec Cargo Culte
19h00
Club Soda
Montréal
15 juin 2013
http://www.sorstu.ca/festival-des-montgolfieres-de-gatineau-2013-mes-aieux-loco-locass-damien-robitaille-garou-et-sean-paul/
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Le Festival de montgolfières de Gatineau dévoile quelques gros noms
13-04-26 13:44
26 avril 2013
Le Festival de montgolfières de Gatineau dévoile quelques
gros noms
Le Huffington Post Québec | Par Samuel Larochelle
Publication: 24/04/2013 16:14 EDT | Mis à jour: 24/04/2013 16:19 EDT
Le 26e Festival de montgolfières de Gatineau vibrera aux rythmes du reggae, du folk, du hip-hop et du rhythm'n'blues du 30 août au 2
septembre prochain.
La plus grosse prise des organisateurs est sans contredit Sean Paul, qui se chargera d'offrir le spectacle d'ouverture. Ayant vendu plus
de 10 millions d'albums à travers le monde, l'artiste jamaïcain a remporté l'an dernier un American Music Award pour la chanson (When
you gonna) Give it up.
Au lendemain de sa prestation, Gatineau accueillera le rocker-crooner Garou, quelques mois après le lancement de son album aux
sonorités définitivement plus blues et groovy que par le passé, Le Jour se lève. Afin de redonner vie à plusieurs classiques en français
et en anglais, le chanteur sera accompagné d'invités spéciaux qui seront dévoilés au cours des prochaines semaines.
Nommé groupe de l'année au dernier Gala de l'ADISQ, Mes Aïeux transportera son sens de la fête dans l'ouest de la province le 1er
septembre, afin de présenter le fruit de ses 15 années de spectacles et de complicité. Au programme : messages politisés,
déhanchements et plaisir.
Le festival se conclura avec la formation hip-hop Loco Locass, qui viendra présenter les chansons de l'album qu'ils ont lancé au
printemps 2012, Le Québec est mort, vive le Québec!. Batlam, Biz, Chafiik seront précédés par Damien Robitaille en première partie.
http://quebec.huffingtonpost.ca/2013/04/24/le-festival-de-montgolfie…devoile-quelques-gros-noms_n_3149442.html?utm_hp_ref=divertissement
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Le culte du cargo | Actualité | Weekend | Le Journal de Montréal
13-04-26 13:46
WEEKEND | ACTUALITÉ
CARGO CULTE
Le culte du cargo
VÉRONIQUE HARVEY
PUBLIÉ LE: JEUDI 25 AVRIL 2013, 17H34 | MISE À JOUR: JEUDI 25 AVRIL 2013, 17H38
Vos
commentaires
Parce qu'un des points figurant sur sa liste exhaustive de «choses à faire avant 30 ans» consistait à produire un album hip-hop, Alex Mc Mahon a finalement pris les
PHOTO COURTOISIE
choses en main, l’an dernier, voyant le jour J approcher dangereusement. C'est ainsi qu'est né le tout nouveau projet Cargo Culte, mettant aussi de l'avant le génie
créatif de Seba et de Jean-François Lemieux.
En fait, lorsqu'il s'est posé la question à savoir qui serait le collaborateur idéal pour ce projet hip-hop, le premier nom qui lui vint en tête est Éric Brousseau, alias Seba. «J’avais déjà
joué avec Gatineau sur leur premier album et je trouve que Seba a de la dégaine en français», explique le musicien qui évolue également au sein de la formation électro-rock
Plaster.
Alex Mc Mahon décide donc de contacter le chanteur et, à sa grande surprise, il découvre que ce dernier a déjà entamé un tout nouveau projet solo avec Jean-François Lemieux.
En moins de deux, Alex se joint donc au groupe et l'addition de leurs forces respectives aboutit à un produit résolument hip-hop, mais tout de même habité d'une énergie rock.
«C’est un beau mix de hip-hop, de rock et d’électro. Selon moi, c’est très 90s à la Beastie Boys et parfois même à la Rage Against the Machine. Il y a beaucoup d’influences de rap
plus old school que de rap à la Kanye West.»
Ainsi, le premier album de la formation Cargo Culte, Les temps modernes, paraîtra le 30 avril prochain, sur la nouvelle étiquette montréalaise La meute.
Musicien polyvalent
Alors qu’on l’a plutôt associé à la scène rock ou même électro par le passé, Mc Mahon a toujours été un grand fan de hip-hop. «J’ai toujours affectionné ce style-là, j’en écoute
beaucoup et j’adore ça, mais je n’avais jamais eu de projet où je pouvais l’exploiter à fond», précise-t-il.
Mais ce temps est révolu et Mc Mahon semble prêt à rattraper les années perdues avec Cargo Culte. «Il n’y a jamais un album dans lequel je me suis autant impliqué. Dans un
band, c’est toujours une question de compromis entre l’un et l’autre et malgré tout, je trouve que cet album-là est celui qui me ressemble le plus. Je me suis impliqué dans la
composition, la réalisation et l’enregistrement, alors c’est un des albums qui me rejoint le plus dans le trip musical.»
Bande à part
Et ce «trip musical» dont il est question propose un son original et frais, sur lequel sont couchées les paroles percutantes de la plume de Seba. Ce dernier propose d’ailleurs un
heureux mélange entre le «je» et les petites chroniques du quotidien, évitant habillement les clichés du monde du hip-hop.
«Seba n’embarque pas dans le pattern des rappeurs habituels qui profitent du fait d’avoir un micro pour déballer leur sac sur les chars, la drogue et les filles. Seba est dans une
bande à part de par sa prose et sa façon d’être conteur.»
http://www.journaldemontreal.com/2013/04/25/le-culte-du-cargo
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Le culte du cargo | Actualité | Weekend | Le Journal de Montréal
13-04-26 13:46
Les temps modernes, en magasin le 30 avril. Lancement-spectacle le soir même, à 20 h, aux Katakombes.
Cargo Culte se produira en première partie de Loco Locass, le 15 juin prochain, au Club Soda, dans le cadre des FrancoFolies de Montréal.
http://www.journaldemontreal.com/2013/04/25/le-culte-du-cargo
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Biz à Barthélemy-Joliette - Actualité régionale - L'Action
13-04-26 13:46
Biz à Barthélemy-Joliette
Photo:Jean Chevrette
Julie Turcotte
Sujets : école secondaire Barthélemy-Joliette , Joliette , Chute de Sparte
« À chaque jour de ma vie, je vais dans le dictionnaire pour mieux comprendre ma langue extrêmement riche et
complexe », explique Biz de Loco Locass lors d’une conférence donnée à l’école secondaire Barthélemy-Joliette. Dans
le cadre de la semaine de lecture, le 24 avril, il a rencontré 200 élèves du troisième secondaire et une trentaine d’élèves
du club de lecture de l’école.
Biz qui est connu pour son amour de la langue française est un auteur significatif pour les jeunes. Les thèmes abordés
dans les chansons comme M’accrocher? ou son roman La chute de Sparte touchent les jeunes du secondaire. C’est
justement pour cette raison qu’en secondaire 3, les professeurs de français utilisent ce qu’il fait.
Les thèmes abordés dans la conférence
« J’ai bien aimé qu’il insiste sur le fait de commencer quelque chose et de le terminer. Souvent nos jeunes ne sont pas
conscientisés à ça. S’ils ne voient pas la motivation tout de suite, ils abandonnent », raconte Stéphanie Bellemare,
enseignante en français.
En plus de parler de son amour pour la langue et de persévérance, il a invité les jeunes à relativiser les événements
vécus. Même si un événement apparaît comme étant une catastrophe, il faut réaliser que bien souvent ce n’est pas le
http://www.laction.com/Actualites/Actualite-regionale/2013-04-25/article-3227338/Biz-a-Barthelemy-Joliette/1
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Biz à Barthélemy-Joliette - Actualité régionale - L'Action
13-04-26 13:46
cas. Par contre, l’intimidation, qui a pris une ampleur incommensurable avec Internet, n’est pas à prendre à la légère.
Suicide
Un autre sujet qui lui tient à cœur est évidemment le suicide chez les jeunes. Pour la personne qui souffre, il s’agit d’une
solution définitive à un problème qui s’avère être temporaire. « La principale solution par rapport au suicide ou au mal
de vivre vient de la prise de parole. Mettre des mots sur le magma qu’on a dans la tête », explique Biz. Il invite les
jeunes à prendre la parole pour se faire entendre, mais surtout comprendre.
Les élèves attendaient sa venue avec impatience et beaucoup d’enthousiasme. Évidemment, ils n’ont pas été déçus. «
C’est surprenant de voir à quel point il peut venir toucher nos jeunes avec ce qu’il fait », conclut Madame Bellemare.
http://www.laction.com/Actualites/Actualite-regionale/2013-04-25/article-3227338/Biz-a-Barthelemy-Joliette/1
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NunatsiaqOnline 2013-04-25: NEWS: Truth and Reconciliation Commission holds national Quebec event in Montreal
NEWS
FEATURES
JOBS
LETTERS TO THE EDITOR
TENDERS
TAISSUMANI
NOTICES
NEWS TIPS
Truth and Reconciliation Commission holds national
Quebec event in Montreal
THIS WEEK’S ADS
EDITORIAL
COMMENTARY
NEWS: Around the Arctic April 25, 2013 - 8:32 am
13-04-26 13:45
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"Part of a collectively determined drive to make reconciliation a reality"
NUNATSIAQ NEWS
With a welcome to the
traditional Mohawk
Kanien’kehá:ka territory, the
Truth and Reconcilation
Commssion opened its Quebec
national event in Montreal April
24.
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“Today’s event is part of a
collectively determined drive to
make reconciliation a reality,”
said Andrew Saranchuk,
assistant deputy minister for
resolution and individuals
affairs, at the opening.
“Testimony is an important
element of reconciliation.
Though we cannot experience
Sewing and mending at St. Phillip's residential school in Fort George.
what former residential school
(PHOTO FROM THE ANGLICAN ARCHIVES P75-103-57-300)
inmates went through, we must
listen attentively to those former students, who thus become our instructors.”
Romeo Saganash, MP for Abitibi–James Bay–Nunavik–Eeyou, said he would appear before the
commission April 26, to share his experience of the residential school era.
Saganah said he planned to talk about reconciliation and propose a plan of action.
“The work of the Truth and Reconciliation Commission is very important,” Saganash said. “I invite
people to listen to the testimonies in order to understand and share a part of our experience, but also
to reflect on ways to begin the healing process and achieve reconciliation between Canada’s
peoples.”
The TRC’s Quebec national event takes place in downtown Montreal at the Queen Elizabeth Hotel
until April 27.
In the lead-up to this event, the commission held public hearings in six Quebec communities: two in
Nunavik in March 2011 by the TRC’s Inuit sub-commission, and four others that began in January
2013.
The TRC events, intended to provide a forum for those affected by the residential school system,
also serve to educate the Canadian public about Canada’s 150-year history of residential schools.
No registration is required, and the Montreal event is free. Everyone is invited to attend the event,
which includes sharing circles, commissioners sharing panels, private statement gathering, films and
events.
The induction of honourary witnesses takes place April 26, at 9 a.m. These are prominent public
figures who “bear witness to the truths of the residential school Survivors and share what they have
heard and learned with others,” according to the TRC.
For Quebec, these honorary witnesses include former governor-general Michaëlle Jean, Éloge
http://www.nunatsiaqonline.ca/stories/article/65674truth_and_reconciliation_commission_holds_national_quebec_event_in_mon/
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NunatsiaqOnline 2013-04-25: NEWS: Truth and Reconciliation Commission holds national Quebec event in Montreal
13-04-26 13:45
Butera, a survivor of the genocide against Tutsis in Rwanda and human rights activist, Joé Juneau,
former National Hockey League player now with the Nunavik Youth Hockey Development Program,
former prime minister Paul Martin, and documentary filmmaker Alanis Obamsawin.
Nunavik filmmaker Jobie Weetaluktuk’s film, Kakalakkuvik: Where the Children Dwell, about the Inuit
experience of residential school will be screened April 26 at 1 p.m. in the St. Francois Room.
Also on April 26, at 7 p.m. in the Grand Salon, Innu singer-songwriter Florent Vollant, Richard
Seguin, Elisapie Isaac, Fort George Rockers, Willie Dunn, Biz Loco Locass, Keepers of the Eastern
Door, Mohawk Singers and Dancers will perform in a free concert.
Go here for the complete schedule.
(1) Comments:
#1. Posted by aliva tulugak on April 25, 2013
I do remember trying to read a letter written, in Inuktitut syllabics, to my late cousin Josie as he
couldn’t read.It was from his mother who is alive today. I felt the pain she had missing him,
expressing her love for him, the yearning to see him again. The bullying we had to cope with &
Nakurmiik Phillip Levi Nungak for standing up for us smaller kids when we needed protection.
Atsut
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Florent Vollant et les pensionnats autochtones : passer à autre chose | Jean-Christophe Laurence | Arts
13-05-02 16:19
Florent Vollant et les pensionnats autochtones : passer
à autre chose
Jean-Christophe Laurence
La Presse
Ancienne victime du réseau des pensionnats,
Florent Vollant espère que les siens sauront
tourner la page.
«On a subi des violences. On a subi des
agressions. On a été violés au plus profond
de l'être. C'était une tentative d'anéantir notre
culture. Ils voulaient tuer l'Indien dans
l'enfant...»
Florent Vollant
Photo: Martin Chamberland, La Presse
Florent Vollant ne mâche pas ses mots quand
il parle de la tragédie des écoles
résidentielles. Le ton est doux, mais les
propos tranchent comme un couteau. Colère?
Peut-être pas. Mais le sentiment d'un énorme
gâchis, ça oui.
Avec raison. Car le chanteur innu, qui se
produira ce soir à l'hôtel Reine-Elizabeth, dans le cadre de la Commission de vérité et réconciliation, est lui-même une
victime de l'ancien réseau des pensionnats. Et son souvenir reste douloureux.
«J'avais 4 ans, raconte-t-il. Ils sont venus nous chercher au fin fond du Labrador, moi et mes six frères et soeurs. Ils ont dit à
mes parents qu'on n'aurait plus jamais faim ni froid. Mais je n'avais jamais eu faim ni froid! Puis, ils nous ont mis dans le train
pour Sept-Îles. J'ai pleuré pendant trois jours. Jusqu'à ce que mon frère vienne me voir et me dise: ''Papa et maman, c'est
fini...'' J'y suis resté pendant sept ans.»
Florent Vollant, 53 ans, admet qu'il s'en est bien sorti. Après le pensionnat, il est retourné chez lui, pour reconnecter avec
ses racines. Il est tombé dans la drogue et la délinquance (sa période «de perdition», dit-il), mais pas autant que ceux qui ont
choisi de rester à Sept-Îles et qui se sont perdus pour vrai.
«Retrouver mes gestes, ma langue, mes rituels, ça m'a sauvé.»
Collectivement par contre, il est clair que les plaies ne se sont toujours pas refermées. Pas besoin de revenir sur tous les
maux qui affligent les communautés autochtones du Canada. Entre la drogue, la violence, le taux de suicide alarmant, la
disparition des langues ancestrales et le dysfonctionnement parental, les séquelles sont innombrables. «On a hérité d'une
violence extraordinaire. Ça, c'est l'héritage des pensionnats», résume le chanteur.
Nécessaire guérison
Est-ce que la Commission de vérité et réconciliation sera suffisante pour guérir les traumatismes des écoles résidentielles?
Vollant hésite. Selon lui, cette vaste opération de lavage, de pardon et de rédemption devrait permettre «d'identifier» les
cicatrices et de mettre des mots dessus. En ce sens, il s'agit bel et bien d'un processus de guérison nécessaire, quelque
chose qui devait être fait. «Un passage obligé», lance l'Innu.
http://www.lapresse.ca/arts/201304/26/01-4644803-florent-vollant-et-les-pensionnats-autochtones-passer-a-autre-chose.php
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Florent Vollant et les pensionnats autochtones : passer à autre chose | Jean-Christophe Laurence | Arts
13-05-02 16:19
Cela dit, il croit que la «réconciliation» doit aussi venir de l'intérieur. Une fois que les erreurs auront été reconnues, avouées
et pardonnées, les autochtones devront tourner la page. «On ne peut pas rester éternellement des victimes, dit-il. À un
moment donné, il faut passer à autre chose.»
L'espoir est là, conclut-il, en parlant des nouvelles générations, qui sont passées du repli à la fierté, comme on a pu le
constater l'hiver dernier avec le mouvement Idle No More. «Il y a quelque chose qui se passe. Les résultats ne sont pas
encore concrets. Et je ne sais pas comment ça va se traduire dans les années futures. Mais c'est encourageant. Si je n'y
croyais pas, je ne serais pas ici...»
_________________________________________________________________________
Florent Vollant est en spectacle ce soir avec Richard Séguin, Biz (Loco Locass), Elisapie Isaac, Fort George Rockers, Willie
Dunn et les Keepers of the Eastern Door Mohawk Singers and Dancers. Au Grand Salon de l'hôtel Reine-Elizabeth. 19h.
http://www.lapresse.ca/arts/201304/26/01-4644803-florent-vollant-et-les-pensionnats-autochtones-passer-a-autre-chose.php
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Cargo culte: power trio hip-rock aux Katacombes de Montréal
13-05-02 16:18
2 mai 2013
Cargo culte: power trio hip-rock aux Katacombes de Montréal
Le Hufffington Post Québec | Par Jean-François Cyr
MONTRÉAL – Sur la couverture de l’album du nouveau power trio québécois Cargo Culte intitulé Les temps modernes, des caisses de
bois estampées «CC» sont parachutées du ciel. Pourtant, ce n’est pas un hasard si le claviériste Alex Mc Mahon (Plaster, Catherine
Major, Yann Perreau), le chanteur Éric Brouseau (ancien membre de Gatineau aussi connu pour son travail sous le pseudonyme de DJ
Seba) et le bassiste Jean-François Lemieux (Jean Leloup, Daniel Bélanger, Pascale Picard, Les Jedi Electro et bien d’autres) se sont
réunis: ces artistes établis manifestent tous les trois un faible pour le hip-hop.
«Reste dans la lumière», est le clin d’œil envoyé au chanteur par Mc Mahon (il se débrouille également très bien avec les baguettes
sur ce disque) et Lemieux quand Brousseau se laissait trop transporter en studio par leur énergique musique, qui allie à la fois le rock
et le rap des années 1980 et 1990.
«Éric a gardé un peu le côté sombre et à fond de son époque avec Gatineau», raconte en souriant Alex Mc Mahon.
«Disons qu’on pouvait l’échapper quelques minutes avant qu’il revienne avec nous deux dans quelque chose de moins intense»,
renchérit Jean-François Lemieux avec complicité.
«C’est vrai que j’avais tendance à plonger dans les atmosphères de mes textes. J’ai toujours l’impression de ne pas en donner assez.
Grâce à eux, j’ai appris à nuancer un peu mon approche. Rage Against The Machine, oui, mais pas tout le temps…»
Il y a aussi quelque part une touche de punk (on effleure notamment des groupes comme Nirvana)», poursuit celui qui a écrit les
paroles. Je pense aussi aux Beastie Boys. C’est évident que, pour nous, c’est une source d’inspiration incontournable.»
Dans la foulée viendra aussi des rapprochements avec le travail de Loco Locass, dont le phrasé et l’utilisation de certaines couleurs
locales québécoises peuvent ressembler quelque peu au joual poétique d’Éric Brouseau. Or, ici s’arrête les comparaisons avec l’autre
trio de rappeurs montréalais, puisque Cargo Culte donne davantage dans le mordant musical rock avec une basse à plein régime
(Watch out on t’watche! ou encore le groove de Le chien de madame) et une batterie qui frappe la cadence (La bandaison).
Un beat positif
«Le moral des troupes a toujours été très bon», explique Mc Mahon. «Que ce soit pendant ou après l’enregistrement (été 2012), qui a
été fait en quasi-totalité dans le studio [L Gros Montréal], que je partage avec Jean-Phi [Goncalves]. Une nouvelle amitié est née. On
se connaissait avant ce projet, mais l’envie de faire un son comme ça, assez unique au Québec, nous a définitivement rapprochés. Il
n’y avait pas beaucoup d’égo en studio. On trouvait les beats assez vite. Le vrai défi était de garder une énergie générale positive
malgré l’intensité et la hargne des compositions.»
Bref, un carré de sable musical hautement fréquenté ces dix dernières années, mais dans lequel trois habiles garçons se sont plu à
ajouter leur propre sauce old school-rentre-dedans peu revendiquée chez nous. D’autant plus originale que cette partie de plaisir a le
mérite d’être rehaussée par une plume réfléchie, en français de surcroit, ce qui n’est pas toujours chose facile avec le genre. Au chant,
le tout est aussi assez bien livré.
Bon, il y a bien quelques bémols comme ce bruitage plus ou moins nécessaire à certains endroits (issus de la programmation faite par
Lemieux et McMahon). La voix un peu nasillarde et agressive de Brousseau peu, par ailleurs, agacer à l’occasion une oreille sensible.
Pour le reste, la mélodie tempère de belle façon la fougue hip-rock de ces messieurs qui, franchement, ne sont que de sympathiques
durs à cuire.
Le disque sera en magasin le 30 avril.
Un spectacle-lancement aura également lieu le même jour aux Katacombes de Montréal.
http://quebec.huffingtonpost.ca/2013/04/30/cargo-culte_n_3184848.html?utm_hp_ref=divertissement
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Plusieurs vedettes attendues au Théâtre Desjardins - Salle Jean-Grimaldi - Le Messager LaSalle
13-05-02 16:18
Plusieurs vedettes attendues au Théâtre Desjardins
Magalie Dagenais
Publié le 2 Mai 2013
Pierre Boulanger
Sujets : Théâtre Desjardins , Centre Bell , Auberge
Rachid Badouri, Jean-Marc Parent, Mario Jean, Michel Barrette, Roch Voisine, Sylvain Cossette, Lise Dion, Laurent
Paquin et autres vedettes fouleront les planches du Théâtre Desjardins au cours de la saison 2013-2014.
La plus grande salle à l’ouest du Centre Bell présentera des figures de proue du milieu de la chanson et de l’humour
mais aussi une relève prometteuse.
Dès l’automne, la bête de scène Rachid Badouri présentera son nouveau spectacle «Badouri rechargé» alors qu’André
Sauvé, toujours aussi fasciné par le fonctionnement humain, vous invite à voyager à travers vos travers. Guy Nantel est
de retour au sommet de sa forme avec «Corrompu», un spectacle intelligent, engagé et hilarant. Sans oublier les Michel
Barrette, Mario Jean, Lise Dion, Claudine Mercier, Laurent Paquin, François Morency, Sylvain Larocque et autres.
La relève sera nombreuse cette année. Billy Tellier, Jérémy Demay, P.A Méthot, François Bellefeuille, Adib Alkhalidey
et Sugar Sammy fouleront tous les planches du Théâtre Desjardins pour leur premier spectacle solo.
En chanson, l’excellence est au rendez-vous avec une brochette d’artistes de premier plan: Roch Voisine, Sylvain
Cossette, Nicole Martin, Loco Locass, Marc Hervieux et Paul Daraîche. Sans oublier la venue de Martin Levac,
personnificateur du chanteur-batteur britanique Phil Collins et l’hommage au célèbre «Fab Four» de Beatles Story.
Outre «12 hommes en colère», «L'Auberge des morts subites» et «Vivement Lundi» dont il est question dans un autre
texte, les amateurs de théâtre auront aussi droit à «L'Emmerdeur», «Les Fourberies de Scapin» et «Bienveillance».
http://www.messagerlasalle.com/Arts-et-spectacles/Salle-Jean-Grimaldi…/article-3232110/Plusieurs-vedettes-attendues-au-Theatre-Desjardins/1
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Loco Locass : Le but devient l'hymne officiel du Canadien de Montréal (VIDÉOS)
13-05-07 16:09
7 mai 2013
Loco Locass : Le but devient l'hymne officiel du Canadien de
Montréal (VIDÉOS)
Huffington Post Québec | Par Marie-Josée Roy
Les membres du groupe Loco Locass espéraient depuis longtemps que leur chanson Le but, lancée en 2009 pour soutenir le Canadien
de Montréal, devienne l'hymne officiel de la Sainte-Flanelle. C'est maintenant chose faite. Biz, Batlam et Chafik ont eu la confirmation,
jeudi, que Le but allait retentir dans le Centre Bell après chaque but compté par nos Glorieux, et ce, pendant toute la durée des séries
éliminatoires. C'est le propriétaire de l'équipe, Geoff Molson, qui a fait parvenir un courriel à la directrice de tournée de Loco Locass
pour leur annoncer la nouvelle. Les partisans qui ont été applaudir les matchs de jeudi et vendredi ont d'ailleurs déjà pu constater le
changement.
« La chanson avait été écrite et n'avait pas encore eu la diffusion qu'on souhaitait au Centre Bell, a expliqué Sébastien Ricard, alias
Batlam, en entrevue téléphonique, vendredi. C'est un temple qui n'est pas facile à percer! Mais la chanson était très appréciée par les
fans du Canadien et de Loco Locass. Alors, c'est maintenant officiel, elle jouera après chaque but du Canadien. Le message de
Monsieur Molson était court, mais vraiment éloquent! »
La fièvre des séries ayant déjà gagné les amateurs de sport depuis quelque temps, Le but était remontée dans le top 10 des morceaux
francophones les plus téléchargés sur iTunes dans les deux dernières semaines, comme quoi les Québécois perçoivent vraiment dans
ce texte un message capable de motiver les troupes.
« L'idée, pour nous, c'était de trouver une mélodie pour en faire un hymne de sport, a continué Sébastien Ricard. Il n'y en avait jamais
vraiment eu pour le Canadien jusqu'ici. Et je pense qu'on a réussi. Même nous, quand on écoute les parties chez Chafik, quand le
Canadien compte, on met la chanson à fond de train dans l'appartement ! J'imagine que les fans ont beaucoup demandé à
l'organisation du Canadien de la jouer, et celle-ci devait être consciente qu'on voulait l'entendre davantage. »
Sébastien Ricard admet que ses camarades et lui n'ont jamais manqué une occasion de dire publiquement que Le but devrait devenir
le cri de ralliement de l'équipe montréalaise.
« Grosso modo, on voulait que le Centre Bell soit plus un reflet de la vitalité de la musique québécoise, qui est quand même bien réelle,
a-t-il précisé. Jusqu'ici, c'était juste de grosses tunes américaines. En même temps, la question de la pièce de Loco était soulevée.
Mais de là à ce que les dirigeants se décident à faire le pas... C'est vraiment cool! »
« Le Canadien de Montréal est un symbole très fort, historiquement, au Québec. C'est l'un des rares lieux, des rares symboles, où il y a
une communion de toutes les communautés de la province. D'entrer au Centre Bell, avec cette chanson-là, c'est une grande chance et
une grande réussite pour Loco Locass », a conclu Sébastien, arguant que cette victoire en est une à la fois pour le Tricolore et pour la
langue française.
http://quebec.huffingtonpost.ca/2013/05/04/le-but-loco-locass_n_3214655.html
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Infodimanche.com - Rythmick : un ensemble vocal vraiment pas comme les autres
Jeudi 9 mai 2013
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5 mai 2013 à 05h00
Rythmick : un ensemble vocal vraiment pas comme les
autres
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Le spectacle annuel de l’ensemble vocal Rythmick est
prévu le vendredi 10 mai prochain au Centre culturel de
Rivière-du-Loup à compter de 20 h.
Photo: Guy Dionne
Rivière-du-Loup - L’ensemble vocal Rythmick s’affaire aux derniers
préparatifs en vue de son spectacle annuel prévu le vendredi 10 mai
prochain au Centre culturel de Rivière-du-Loup à compter de 20 h.
Ce sera le cinquième spectacle sous ce nom puisque l’Ensemble vocal Rythmick,
c’est la fière continuité du Choeur St-Louis, avec une touche de modernisme qui
s’inscrit au coeur de la ville dont elle est issue, fidèle à ses origines et à son
attachement aux gens d’ici. Grâce aux efforts des pionniers qui lui ont donné vie,
grâce aux talents de l’ensemble des voix qui depuis 50 ans ont forgé cette chorale,
à travers tous ceux et celles qui ont intégré la chorale au fil des années, c’est
aujourd’hui un ensemble plein de ressources et de richesses qui donne vie à la
musique.
Météo
Formé de 40 choristes et de quatre musiciens sur scène, Rythmick plonge son
auditoire dans un répertoire tout à fait unique. Ils sont dirigés depuis 2008 par Julie
Boudreau qui a reçu une formation en chant et en piano. Elle prépare même
souvent ses propres harmonisations, ce qui
Conditions actuelles
Rivière-du-Loup
19 °C
Plus d'infos
permet d’apprécier la richesse des chansons interprétées par 40 voix. Au cours
des dernières années, les Rihanna, Coldplay, Lady Gaga, Marie-Mai, Loco Locass
et bien d’autres sont venus enrichir l’expérience musicale dans des spectacles très
animés et aux chorégraphies surprenantes.
Rythmick est même souvent invité à donner des prestations comme celles offertes
dans le cadre du Gala des Prestiges et du Rassemblement des 50 ans et plus
tenus l’an dernier à Rivière-du-Loup. Encore cette année, l’ensemble vocal
interprètera des chansons connues des artistes tels que Marc Dupré, Adèle, Mika,
Madonna, Vincent Vallières, Simple Plan, Brigitte Boisjoli et même la chanson de
l’année aux Grammys « We are Young » du groupe Fun.
On peut se procurer les billets en prévente au coût de 18 $ pour adultes et de 12 $
pour les 17 ans et moins en se présentant au kiosque du Centre commercial le
samedi 4 mai ou en composant le 418 862-2201. Des billets seront en vente
également le soir du spectacle au prix de 20 $.
Sondage
Tirant de l'arrière 3-1 dans leur série, croyez-vous
que les Canadiens de Montréal vaincront les
Sénateurs d'Ottawa?
Oui
Non
Répondre
http://www.infodimanche.com/index.asp?s=detail_actualite&id=151250
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FrancoFolies de Montréal: un spectacle-marathon pour le 25e anniversaire
13-05-24 15:37
24 mai 2013
FrancoFolies de Montréal: un spectacle-marathon pour le 25e
anniversaire
Huffington Post Québec | Par Marie-Josée Roy
Les FrancoFolies de Montréal célébreront leur 25e anniversaire avec faste. Fort d’un
partenariat récemment bouclé avec Bell, l’événement jouit désormais d’une stabilité financière
renouvelée et se dote d’une signature visuelle rafraîchie pour marquer le tournant. Et le coup
d’envoi de cette nouvelle association sera donné le 17 juin prochain, avec un spectaclemarathon historique retraçant 25 ans d’histoire à travers 25 chansons interprétées par 25
artistes.
Alain Simard, président et fondateur des FrancoFolies, était on ne peut plus excité de dévoiler
aux journalistes ce « cadeau » que Bell offrira aux festivaliers, en conférence de presse, mardi
après-midi. Et la fête risque en effet d’attirer un large public. Sur la grande scène de la Place
des festivals – rebaptisée du nom du nouveau commanditaire -, sous la direction de Mouffe, se
Quelques-uns des artistes qui seront présents lors
côtoieront des chanteurs chouchous d’ici, tant des monstres sacrés que des créateurs
de l'événement. (Crédit photo: Myriam Lefebvre)
émergents. On y applaudira ainsi Mes Aïeux, Loco Locass, Les Respectables, Pierre Lapointe,
Karim Ouellet, Vincent Vallières, Yann Perreau, Isabelle Boulay, Richard Séguin, Corneille,
Daniel Lavoie, Luc De Larochellière, Michel Rivard, Damien Robitaille, Dumas, Paul Piché, Daniel Boucher, Stefie Shock, Dan Bigras
et Éric Lapointe. Ces personnalités ont toutes, à leur façon, marqué le parcours des FrancoFolies au fil des ans et feront vivre de belles
émotions aux spectateurs en poussant la note sur des airs qui ont marqué notre mémoire collective et en se remémorant des souvenirs
de ce rendez-vous devenu incontournable.
Simplement intitulée 25 ans, 25 artistes, 25 chansons, la prestation durera plus de deux heures, a estimé Alain Simard, et s’entamera
sur le coup de 21h.
Avec Bell
Les FrancoFolies de Montréal ont connu, ces dernières années, des difficultés financières, qui n’ont toutefois affecté d’aucune façon
l’achalandage sur le site, la popularité du concept s’avérant sans cesse grandissante, surtout chez les jeunes. Mais l’implication de Bell
est néanmoins perçue comme une bénédiction au sein de l’équipe Spectra, en ce sens qu’elle permettra d’offrir des concerts de plus
grande envergure dans les éditions à venir. L’entente annoncée mardi s’étale pour l’instant sur une période de quatre ans, soit de 2013
à 2016.
« Bell nous permettra de bénéficier de moyens de diffusion qui profiteront à tous les artistes, a fait valoir Alain Simard. Depuis que les
FrancoFolies se tiennent en juin, entre le Grand Prix et le Festival de jazz, on a de nouvelles opportunités de croissance et de tourisme.
Bell est un partenaire de prestige, et son arrivée tombe à point nommé pour le 25e anniversaire. »
Martine Turcotte, vice-présidente exécutive pour le Québec chez Bell, s’est elle aussi réjouie de la collaboration. L’entreprise était déjà
engagée, avec Spectra, dans les bannières Montréal en lumière et le Festival international de jazz.
« Les FrancoFolies sont une belle réussite, a-t-elle soutenu. Ça prend beaucoup de passion, d’énergie et de détermination pour mener
un tel succès pendant 25 ans. Et de la détermination, il y en a eu dans les négociations », a-t-elle laissé tomber en souriant.
« Les Francos créent un point de rencontre pour les artistes d’ici. La grande scène Bell va accueillir de grands noms de la chanson,
pour qu’on puisse partager notre culture avec le plus de gens possible. »
À titre de présentateur officiel, Bell chapeautera notamment la série Les Grands spectacles, déclinée à la Salle Wilfrid-Pelletier et au
Théâtre Maisonneuve de la Place des arts.
http://quebec.huffingtonpost.ca/2013/05/21/francofolies-montreal-2013-spectacle-marathon_n_3314872.html?utm_hp_ref=divertissement
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Loco Locass célèbrera le Québec à La Sarre - Festivals et événements - Abitibi Express
13-05-31 13:14
Loco Locass célèbrera le Québec à La Sarre
Myriam Grenier
Abitibi Express
Pour la fête régionale de la Saint-Jean-Baptiste,
le trio de rappeurs Chafiik, Batlam et Biz
débarqueront à La Sarre le 23 juin.
Sujets : Le Québec , Groupe À , Québec , Abitibi-Ouest
Dans la région, 28 activités se tiendront pour fêter le Québec. Mais le grand rassemblement régional aura lieu en
Abitibi-Ouest cette année avec l’un des groupes les plus nationalistes, qui embarquera sur la scène vers 20h30.
Loco Locass présentera certainement son incontournable Libérez-nous des libéraux, et divers succès de son dernier
album, Le Québec est mort, vive le Québec!.
Suivront le feu d’artifice à 23h15 et le spectacle du groupe À suivre à 23h30.
http://www.abitibiexpress.ca/Culture/Festivals-et-evenements/2013-05-23/article-3257823/Loco-Locass-celebrera-le-Quebec-a-La-Sarre/1
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Trois anciens Colocs en tournée avec Mara Tremblay, les Loco Locass et Yann Perreau | Musique | Spectacles | Le Journal de Montréal
13-05-31 13:12
SPECTACLES | MUSIQUE
«LES COLOCS POUR LA VIE»
Trois anciens Colocs en tournée avec Mara
Tremblay, les Loco Locass et Yann Perreau
AGENCE QMI
Publié le: jeudi 23 mai 2013, 10H47 | Mise à jour: jeudi 23 mai 2013, 10H51
PHOTO ARCHIVES / AGENCE QMI
Dédé Fortin lors d'un spectacle.
Trois anciens membres des Colocs, Mike Sawatzky, El Hadj Diouf et André Vanderbiest, se réunissent pendant la saison chaude pour offrir huit spectacles dans le
cadre du 20e anniversaire de la sortie du premier album du groupe.
Pour la tournée Les Colocs pour la vie, ils s’entoureront d’amis qui se relaieront lors de leurs différents rendez-vous avec le public. Tous ces spectacles seront un prétexte parfait
pour rendre hommage au défunt Dédé Fortin, leader des Colocs, qui est décédé en l’an 2000.
Ainsi, Mara Tremblay, Jason Hudon, les Loco Locass, Marc Déry, Damien Robitaille, Éric Goulet, Sébastien Plante et Yann Perreau prendront part à certains concerts et
réinventeront les chansons Julie, La rue principale, Passe-moé la puck avec Sawatzky, Diouf et Vanderbiest.
Les anciens Colocs et leurs invités seront en concert au Festival franco-ontarien d’Ottawa (14 juin), aux FrancoFolies de Montréal (15 juin, Métropolis), au Festivoix de TroisRivières (29 juin), au Musique fest de Rivière-du-Loup (6 juillet), au Festivalma d’Alma (12 juillet) et au Festif! de Baie-Saint-Paul (27 juillet).
D’autres dates seront annoncées sous peu.
Vos commentaires
http://www.journaldemontreal.com/2013/05/23/trois-anciens-colocs-en-tournee-avec-mara-tremblay-les-loco-locass-et-yann-perreau
Page 1 sur 1
Trois anciens Colocs en tournée avec Mara Tremblay, les Loco Locass et Yann Perreau | Musique | Spectacles | Le Journal de Montréal
13-05-24 15:17
SPECTACLES | MUSIQUE
«LES COLOCS POUR LA VIE»
Trois anciens Colocs en tournée avec Mara
Tremblay, les Loco Locass et Yann Perreau
AGENCE QMI
Publié le: jeudi 23 mai 2013, 10H47 | Mise à jour: jeudi 23 mai 2013, 10H51
PHOTO ARCHIVES / AGENCE QMI
Dédé Fortin lors d'un spectacle.
Trois anciens membres des Colocs, Mike Sawatzky, El Hadj Diouf et André Vanderbiest, se réunissent pendant la saison chaude pour offrir huit spectacles dans le
cadre du 20e anniversaire de la sortie du premier album du groupe.
Pour la tournée Les Colocs pour la vie, ils s’entoureront d’amis qui se relaieront lors de leurs différents rendez-vous avec le public. Tous ces spectacles seront un prétexte parfait
pour rendre hommage au défunt Dédé Fortin, leader des Colocs, qui est décédé en l’an 2000.
Ainsi, Mara Tremblay, Jason Hudon, les Loco Locass, Marc Déry, Damien Robitaille, Éric Goulet, Sébastien Plante et Yann Perreau prendront part à certains concerts et
réinventeront les chansons Julie, La rue principale, Passe-moé la puck avec Sawatzky, Diouf et Vanderbiest.
Les anciens Colocs et leurs invités seront en concert au Festival franco-ontarien d’Ottawa (14 juin), aux FrancoFolies de Montréal (15 juin, Métropolis), au Festivoix de TroisRivières (29 juin), au Musique fest de Rivière-du-Loup (6 juillet), au Festivalma d’Alma (12 juillet) et au Festif! de Baie-Saint-Paul (27 juillet).
D’autres dates seront annoncées sous peu.
Vos commentaires
http://www.journaldemontreal.com/2013/05/23/trois-anciens-colocs-en-tournee-avec-mara-tremblay-les-loco-locass-et-yann-perreau
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Les Colocs pour la vie : tournée 20e anniversaire cet été - Actualités musicales et potins sur vos vedettes | MusiquePlus
13-05-31 13:12
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Les Colocs pour la vie : tournée 20e anniversaire cet été
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LES COLOCS POUR LA VIE : TOURNÉE 20E
ANNIVERSAIRE CET ÉTÉ
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23 mai 2013 par Laure Anne Lafrenière
Cet été, Mike Sawatzky, El Hadj Diouf et André Vanderbiest, anciens membres des Colocs, se réunissent à
nouveau pour une tournée de huit concerts, soulignant les 20 ans du premier album de la formation.
Au cours de ces spectacles, certains artistes seront également de la partie d'une date à l'autre, dont Mara Tremblay,
Jason Hudon, Loco Locass, Marc Déry, Damien Robitaille, Éric Goulet, Sébastien Plante ou Yann Perreau.
Le concept de ces concerts rappellera celui de Poussières d’étoiles avec Les Colocs, présenté lors des Francofolies de
Montréal en 2009, qui fait également office de vibrant hommage au défunt chanteur du groupe, Dédé Fortin.
Consultez la liste des spectacles annoncés ci-dessous et consultez la page Facebook des Colocs pour plus de détails.
14 juin au Festival Franco-Ontarien d'Ottawa
http://www.musiqueplus.com/sur-le-fil/les-colocs-pour-la-vie-tournee-20e-anniversaire-cet-ete-1.1233558
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2013 : la programmation
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TEND ANCES D U JO UR
Les anciens membres des Colocs, Mike Sawatzky, El Hadj Diouf et André Vanderbiest, se
réunissent à nouveau cet été pour une série de huit concerts afin de célébrer les 20 ans de la
sortie du premier album des Colocs en 1993. Des amis les rejoindront sur scène afin de revivre
les beaux jours de la formation et de rendre hommage à la mémoire de Dédé Fortin.
Dépendamment des dates et des scènes, le public pourra voir Mara Tremblay, Jason Hudon,
Loco Locass, Marc Déry, Damien Robitaille, Éric Goulet, Sébastien Plante ou Yann Perreau se
joindre au groupe, et ainsi devenir Colocs temporaires, le temps de quelques morceaux.
Une tournée de huit spectacles s’apprête à parcourir la province, afin de ré-inventer et célébrer
un album qui a marqué le Québec. Dans un concept similaire au spectacle Poussières d’étoile
(Francofolies de Montréal, 2009), Sawatzky, Diouf et Vanderbiest inviteront amis et
collaborateurs à se joindre à eux pour revisiter leurs chansons.
Difficile, même aujourd’hui, de ne pas se souvenir des mélodies accrocheuses de Julie, La rue
principale et Passe-moé la puck. Ces succès ont été joués dans les tapes à cassette, les radios
d’auto et les systèmes de son hifi des années 90 et ce, jusqu’à ce que la province entière
Du 3 au 6 juillet 2013,
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Les colocs pour la vie : Tournée 20e anniversaire | PatWhite.com
13-05-31 13:13
connaisse les paroles par cœur. Et quel réalisateur en herbe n’avait pas alors tenté de réaliser
son propre vidéo en stop-motion ? L’affection des Québécois pour Les Colocs est toujours bien
vivante et une telle tournée permettra à tous de célébrer et revivre à nouveau les beaux jours
de la formation.
14/06/2013
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Christian Morin Maude McConnell-Legault Mariève Vautrin
Plus de dates à venir.
CO MMENTAIRES RÉCENTS
Surveillez la page Facebook des Colocs pour tous les détails. Pour connaître les artistes invités
à
chaque
spectacle,
cliquez
sur
les
sites
web
des
festivals
:
https://www.facebook.com/LesColocs2116?fref=ts
super concert il y a 5 jours 14 heures
Superbe spectacle! il y a 6 jours 19 heures
clip violen il y a 1 semaine 4 jours
J'y retourne tellement j'ai adoré! il y a 2
semaines 21 heures
Une exposition très intéressante il y a 3
semaines 3 jours
Bravo il y a 3 semaines 4 jours
Commanditaire il y a 1 mois 1 jour
-Source: Grosse Boite
Crédit photo: Grosse boite
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Une trentaine de shows et des gros noms
13-05-24 15:55
LA CENTRALE
ACTUALITÉS
Une trentaine de shows et des gros noms
Pierre-Luc Turgeon
Infos Réseau des Appalaches
24/05/13
(Victoriaville) – Diffusion Momentum présentera plus d’une trentaine de spectacles lors de sa
programmation 2013-2014.
Le Cinéma Laurier accueillera surtout des humoristes, dont Michel Barrette et Peter Macleod, mais
aussi les touts petits auront la chance de voir Arthur l’Aventurier avec son nouveau spectacle
Arthur l’Aventurier en Afrique.
Du côté du Pavillon Arthabaska, l’organisme a confirmé la venue du duo Andréa Lindsay et Luc de
Larochellière, des Cowboys Fringants, de Michel Rivard, et de Vincent Vallières. Du côté, des
humoristes, François Léveillée, Mario Jean et P.-A. Méthot seront présents.
De grands noms sont aussi à l’affiche pour la programmation de la Scène 1425. On y retrouve
entre autres Bernard Adamus, Loco Locass et Pierre Lapointe.
Voir la liste des nouvelles
100 000 MATINS
LE MEILLEUR DE LA MUSIQUE AM
LES GRANDS BAZOUS
LE MEILLEUR DE LA MUSIQUE PM
LA CENTRALE
LES HITS
http://www.o973.com/actualite15380.aspx
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Un Salon du livre toujours plus régional - Festivals et événements - Abitibi Express
13-05-31 13:16
Un Salon du livre toujours plus régional
Patrick Rodrigue
Patrick Rodrigue
Abitibi Express
Au fil des années, le Salon du livre de l’AbitibiTémiscamingue a permis à la région de
demeurer ouverte sur le reste du monde, mais
aussi et encore plus aux auteurs de la région
de se faire connaître, comme en fait foi le bilan
de la 37e édition.
Sujets : Éditions Z’Ailées , La Folie , Télé-Québec , Amos
La présence d’une cinquantaine d’auteurs de l’Abitibi-Témiscamingue sur les quelque 120 que l’événement a
rassemblés à La Sarre, du 23 au 26 mai, ou encore les kiosques de pas moins de quatre maisons d'édition ou groupes
d’auteurs régionaux, soit les Éditions du Quartz, les Éditions Z’Ailées, L’ABC de l’édition et le Cercle des écrivains de
l’Abitibi-Témiscamingue, aurait été impensable il y a quelques années seulement.
L’intérêt du public ne se dément pas non plus. Le bilan réalisé par l’organisation fait état de quelque 13 000 visisteurs
sans compter les 3000 enfants qui ont franchi les portes dans le cadre de visites scolaires. Tout un exploit pour une ville
qui ne compte que 7650 habitants!
Des activités à n’en plus finir
Au programme, plus d’une trentaine de confidences avaient été proposées avec des auteurs tels que Bryan Perro, qui
agissait à titre de président d’honneur, Biz de Loco Locass, Patrick Sénécal, Normand Brathwaite, Sylvie Brien, Louise
Desjardins, Mathieu Dupuis ou encore Amy Lachapelle.
Parmi les activités spéciales, les enfants ont été nombreux à se présenter aux trois spectacles de la souris Geronimo
Stilton, dont celui du samedi, où ils ont pu célébrer son 10e anniversaire en partageant un énorme gâteau en forme de
fromage, une création de La Folie du gâteau de La Sarre. Avec des files d’attente de plus d’une heure et demie, le
célèbre rédacteur en chef de L’Écho du rongeur de Sourisia peut d’ailleurs se vanter d’avoir été l’auteur le plus couru de
tout le salon.
Les deux passages du scientifique Martin Cali, de l’émissionGénial! à Télé-Québec, ont eux aussi attiré bon nombre de
jeunes – et de moins jeunes – à l’Espace jeunesse, qui pour l’occasion s’était transformé en laboratoire de savant un
peu fou.
http://www.abitibiexpress.ca/Culture/Festivals-et-evenements/2013-05-27/article-3261574/Un-Salon-du-livre-toujours-plus-regional/1
Page 1 sur 2
Un Salon du livre toujours plus régional - Festivals et événements - Abitibi Express
13-05-31 13:16
Quelque 75 bénévoles ont contribué à cette 37e édition, sans compter le travail acharné des 10 personnes qui
composaient le comité organisateur. L’édition 2014 se tiendra à Amos, dans le cadre du 100e anniversaire de la ville.
http://www.abitibiexpress.ca/Culture/Festivals-et-evenements/2013-05-27/article-3261574/Un-Salon-du-livre-toujours-plus-regional/1
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Loco Locass, Richard Desjardins et Groovy Aardvark à Jonquière en musique – Nouvelles – Musique – Voir.ca
Saguenay/Alma
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Loco Locass, Richard Desjardins et
Groovy Aardvark à Jonquière en
musique
Une dernière fin de semaine s’annonce pour Jonquière en musique, avec de grosses pointures.
Pour l’occasion, le trio rap Loco Locass, l’un des auteurs-compositeurs-interprètes favoris des
Québécois Richard Desjardins, de même qu’une bonne dose de rock avec Groovy
Aardvark viendront tapisser les trois derniers soirs de concerts.
Ce jeudi 11 juillet, place à Loco Locass et Sang 9, dès 20h30. Vendredi 12 juillet, au tour de
Richard Desjardins de fouler la scène, avec le talentueux Philippe Brach en première partie, dès
20h30. Enfin, les gars de Groovy Aardvark monteront sur la scène et feront tout pour faire
bouger la foule amassée, dès 21h30, avec Aly The Band, en première partie, dès 20h30. Ouf!
http://voir.ca/nouvelles/actualite-musicale/2013/07/11/loco-locass-richard-desjardins-et-groovy-aardvark-a-jonquiere-en-musique/[2013-07-11 16:54:45]
SALLES
Loco Locass au Club Soda dans le cadre des FrancoFolies de Montréal: le trio rap est loin d’être mort | Bible urbaine
Loco Locass au Club Soda dans le cadre des
FrancoFolies de Montréal: le trio rap est loin
d’être mort
Publié le 16 juin 2013 par Sophie Boileau
Tous
ceux
présents l’année
dernière
se
souviendront
de
l’atmosphère
particulière dans
laquelle
s’est
déroulée
le
spectacle de Loco
Locass
sur
la
Place
des
Festivals. Un fond
de
printemps
érable, un groupe
qui n’a pas peur des mots et de l’engagement, des
étudiants sur le pied d’alerte prêt à sortir casserole et
slogan pour scander «Libérez-nous des Libéraux». À
cette époque, le trio de rap venait tout juste de faire
paraître son troisième album, Le Québec est mort, vive le
Québec!
Presque un an jour pour jour, le public était toujours au rendez-vous
au Club Soda. Après avoir été pratiquement absent de la scène
musicale pendant huit ans, on peut comprendre que certains
admirateurs étaient impatients de voir Biz, Chafiik et Batlam. Dès
leur arrivée sur scène, la foule s’est mise à crier «Olé, olé et Loco,
loco». Il n’en fallu pas plus pour que s’ouvre le rideau et laisse ainsi
la place aux rythmes et aux rimes de Loco Locass.
Alors qu’en 2012 le public découvrait les chansons de l’album tant
attendu Le Québec est mort, vive le Québec, samedi soir, dès la
première chanson, la foule reprenait en chœur le refrain.
Majoritairement composé des chansons du dernier opus, nous
avons eu droit à «[Wi]», «Keven et Gaétan», «Tous les jours»,
«Maccrocher?» et «Du joufflu», notamment.
http://labibleurbaine.com/...loco-locass-au-club-soda-dans-le-cadre-des-francofolies-de-montreal-le-trio-rap-est-loin-detre-mort/[2013-06-20 09:41:11]
Évidemment, le groupe engagé a tôt fait de faire référence à
l’actualité. En début de spectacle, ils ont demandé s’il y avait des
étudiants dans la salle, avant d’entonner «Secondaire». Toujours
avec en tête les événements du printemps 2012, Batlam a tenu à
souligner l’éveil du peuple que les manifestations ont soulevé, tout
en lançant un appel pour que l’on ne s’endorme plus.
Parmi les moments forts, Biz a invité son fils Louis à venir interpréter
avec lui la chanson «Wendigo». Nous avons aussi eu droit au talent
d’acteur de Batlam, ou devrait-on dire Sébastien Ricard, qui a livré
le texte a capella de «Priapée la p’tite vite» comme si on assistait
véritablement à la scène de sexe décrite dans la chanson, avant
d’être reprise avec les musiciens. La pièce «Antigone» s’est
terminée en mash up, si vous me permettez l’emprunt à l’anglais, en
y intégrant quelques bout de «L’Assaut» et pour notre plus grand
étonnement, «Bamboula» des Trois Accords.
Gilles Vigneault n’étant pas disponible, c’est François Parenteau qui
fût invité sur scène pour le remplacer, nous donnant par la même
occasion un cours sur «comment se mettre dans la peau du célèbre
auteur-compositeur québécois». Il a chanté avec les Loco Locass
«Tout le monde est malheureux».
Loco Locass n’a pas manqué de critiquer le gouvernement Harper,
de même que l’attitude des politiques quand vient le temps de
financer les services publics. Biz est allé de sa propre solution pour
ce qui est de la gratuité scolaire avant de débuter «Bonzaïon».
L’esprit était à la fête au Club Soda. Le trio de rap a su faire chanter
et danser la foule présente. De gauche à droite, en avant comme en
arrière, les bras levés dans les airs battaient la mesure. Les
membres de Loco Locass ont salué le travail de leurs musiciens
d’une belle façon. Une fois présenté, ils arrêtaient de jouer, tout ça
pour marquer le poids de leurs absences. Sans eux, Loco Locass ne
pourraient être sur les planches à soulever la foule comme ils l’ont
fait ce soir. Si le Québec est mort, Loco Locass, eux, sont bien en
vie. Par leurs mots, leurs rythmes et leur énergie, ils ont tôt fait de
réveiller même les morts.
Premier contact pour Cargo Culte
Formé de Alex Mc Mahon, Éric Brousseau, alias Séba, et JeanFrançois Lemieux, Cargo Culte se sont rapidement fait remarquer
malgré leur jeune existence en tant que groupe. Le mélange de ces
trois artistes provenant d’univers bien différents teinte
inévitablement leur musique, leur donnant une dose d’originalité. Le
flow de Séba rappelle celui de Biz de Loco Locass, on ne s’étonne
donc pas de les voir programmer de pair.
On sentait que le public découvrait l’univers du groupe. Malgré
l’énergie débordante de Séba, on a senti qu’il avait de la difficulté à
aller chercher la foule. Ces interventions avec la salle tombaient un
peu à plat. Les spectateurs n’ayant pas encore totalement
apprivoiser la bête ont tout de même été très attentifs à leur
prestation.
Cargo Culte a livré une solide performance. Le groupe de hip-hop
flirtant avec le rock et l’électro a interprété les chansons de son
premier album, Les temps modernes, paru en avril. Ce premier
contact fût certainement une belle vitrine pour le groupe qui a pu
sans aucun doute piquer la curiosité des gens présents.
Les membres de Loco Locass seront au Festivoix de
Trois-Rivières le 5 juillet prochain et au Festival d’été
de Québec le 10 juillet. Le cercle à Québec accueillera
Cargo Culte le 8 juillet prochain dans le cadre du
Festival d’été et le trio participe au spectacle pour la
dernière de Bande à part au National le 21 juin.
Appréciation: ****
Crédit photo: Frédérique Ménard Aubin, Audiogram
Écrit par: Sophie Boileau
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Une rencontre avec Biz de Loco Locass | infodimanche.com
16 juin 2013 - 07:28
Une rencontre avec Biz de Loco Locass
Par Hugues Albert, Journaliste
1
Photo: Hugues Albert
A A
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Cacouna – Biz sera à Cacouna le samedi 6 juillet prochain de 12 h à 18 h dans le cadre d’une journée
conférence organisée par le Centre-Jeunes de Cacouna. Sébastien Fréchette de son vrai nom, membre du
groupe hip-hop Loco Locass, est connu pour la défense du français et ses prises de position politique.
Sa conférence sera présentée de 15 h à 16 h 15. Il y abordera des sujets tels que la dépression, la dépendance et divers problèmes
auxquels doivent faire face de nombreux jeunes dans leur cheminement.
L’horaire de cette journée est passablement rempli. De 12 h à 13 h 15 est prévu un atelier d’information sur les boissons sucrées et
énergisantes sucrées. Une exposition suivra de 13 h 30 à 14 h 45 portant sur les abus vécus durant les premières relations de
couple. On pourra visiter des kiosques portant sur une saine alimentation et sur l’art de bien équilibrer son budget, deux volets
s,adressant aux jeunes qui entrent en appartement.
Un buffet sera servi de 17 h à 18 h au coût de 5 $ par personne.
Le coordonnateur du Centre-Jeunes de Cacouna, Pascal Morin, est l’instigateur de cette journée conférence dont ce sera le premier
jet. Il indique que des gens de partout en région seront présents. L’admission est gratuite. Il faut s’y inscrire avant le mercredi 3 juillet
en communiquant au 418 868-7576 .
http://www.infodimanche.com/actualites/actualites/91388/une-rencontre-avec-biz-de-loco-locass[2013-06-20 09:38:14]
Loco Locass @ Club Soda (Montréal) | Thorium Magazine
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15 juin 2013 - Les Francofolies ont toujours été
l’occasion pour plusieurs groupes de musique de se faire
connaitre par le grand public. Ce fût notamment le cas
du groupe rap Québécois Loco Locass qui fit son
apparition sur la scène des francos pour la première fois
en 1999. 14 ans et 3 albums plus tard, le groupe formé
par Batlam, Biz et Chafiik était encore sur la scène
des Francofolies de Montréal samedi au Club Soda.
Le spectacle commence en force avec les chansons [wi]
et La trahison des marchands. Les rimes s’envolent
et la foule devient de plus en plus énergique. La salle
étant remplie de spectateurs de tous âges, un rapide
sondage sur les niveaux de scolarités actuelles de la
foule donne l’occasion au groupe d’enchainer ensuite
Secondaire.
Étant des militants reconnus pour défendre les intérêts
de la langue française et du peuple québécois, Loco
Locass en a profité pour rappeler aux Québécois et
Québécoises de la salle le pouvoir d’un peuple qui s’unit
http://www.thoriumphoto.com/loco-locass-mtl-2013/[2013-06-26 10:34:55]
Loco Locass @ Club Soda (Montréal) | Thorium Magazine
dans une cause en rappelant les évènements de la grève
étudiante qui sont survenus l’année passée. Également
engagé auprès des jeunes Québécois vivant dans des
milieux défavorisés, le groupe de Québec a poursuivi
enchainant coup sur coup Kevin et Gaétan, Tous
les jours et M’accrocher?.
Le beat accélère et on assiste à la performance d’un
artiste invité surprise : Louis, le jeune fils de Biz! Celui
accompagné de son père et des autres membres de la
formation a interprété Wendigo avant de laisser place
au groupe pour Du joufflu.
De plus, comme si les beat enivrant les rimes franches
n’étaient pas assez, Batlam, aka Sébastien Ricard,
nous a fait l’honneur d’interprété a capella la chanson
Priapée la p’tite vite, un véritable poème orgasmique
pour nos oreilles avant d’être reprise en version intégrale
par les musiciens. En somme, un concert fort et franc à
l’image des artistes présents sur scène.
Auteur: Jonathan
Crédit photo: Loco Locass
Plus d’info: Loco Locass
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2
All images © 2008-2013 Thorium Magazine
468 ad
http://www.thoriumphoto.com/loco-locass-mtl-2013/[2013-06-26 10:34:55]

Dossier de presse - Janvier 2013-Juin 2013 11.01 MB

Transcription

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