T. S. F.
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T. S. F.
» B pour U r u m l r . » de 1 euulpe 1 B »v« d e Sttde MadaMMOU 1 A « . l'apres-nldl I U t I u «rmnd» rancoeur* S.C. d e Douai «t 4a» licencies B A noter «me r*o*B» « A « i «a dépiarataent a viraux pour N a e o a t r e r le»_cbam pion» Jet LES enaMPIONt 0 1 PARIS * t l t L B Noos rappelons qu» c a n demi il au aura lieu l'inaueurailon da la i.vLson au tarn n d*» ruivrapiuue Lillois s d» I O L ont sollid >» la e o n e o a n :h Français oui la. saison dei-nlère. fit on» si belle Impression au terrain da l a i e n u e da Don Le» rnamitou» de Parts annoncent 1 équipe mil. I in,- inernanonaj' : arrières i Parkas '«/iivtionne' Hivter international : de-electionné* Hndrv ce ertlonnél tuants Plutôt 'International nn4 reltre Mercier (sél<rtinnn<! Rom >.nt»rn.iu .nal) r,™ rdon (International). Larret (international milita'Ta). LE OtSUT 0 1 SAISON 0 1 L'IRIS CLUB LILLOIS M 31 sont 1 Iris » iuh Ll Loi» réonvrlri ni sa «aivw à Lll>. Il a courte a cet I - Tvnqueo r (In Tonmol ! tu l'i anfit e» er rien rhamptin de Be'r qne Le» Bru «soi» Tiendront a Lille arer • eq'uie >*e rhamp nnnat « n i fête* de la Braderi» an Sorhsnv qui vie rjdra, à Lille <toaM» la repique a II CL. Sortiao» riendr» av-v . . SH . oui son, L'res, acitler. Wartel l>hmJ»n. L^ur»nt GiJland Leslte. L. Lanrehi • K-an*r et De James soit orne Jou«u-s nç»1« et etraiwrer-» de (Tienre sa <7 ie la f ad» dn Ovtrasas trara-Tx. Le terrain - DEMANDES est antlsTiiRSRi DE cetnTtrr* M1TCHCI de «radins et la r-elouse * fié rendue tont équipe» â fait L» Sa»rtin«.Ciuk a» «Varier» p o c r ses IA et 1B ; par des soin, spéciaux. • \ Tout le mois d » «entembr» : ••> 18 novamnr» 9n lanrl»"- et âpre» 1» 1- ' r--.- -r.nt g» r « t » de !» «a'«on S'adresser au " i r - i-hei Braban; Francol». 1. r-i» d» i Unlen S e e r t l » a» Wnauehal. — lïqmtp» 1B <ur terrain arivers» les ?,i aom et 7 sept :mbr* Equipa Juniors sur terrain adverse les 7 et 1* septembre. sar «in t ' T i i les tl <•• (a septem I-TO a S h. M. M lia M . ri» r<» Wavriietia • t^l L L» Ctuk Athlétique Lin»»» fin u.'.i.nonl pour ses équipe» ire le 31 août a 9 h. et 10 h 30 sur son tarraui ; le ? septemnr» a 10 b 30 sar son terrain ; 4 lu a sur terrain lverse : l a U septembre : ) h. 30 sur son terrain. — P ur son • rtembr» à lu b. sur lerram adverse, ou a 9 b. s u r son terrain. Reionse A M. J. Koolen, ».'. ras Hûyale à LU a ttiépnon» »USS a ao 77. . ESCRIME LE ORAMO TOURNOI DE HALO- LES-BAINS 0"»tt :a 31 a;ût qu'aura lieu S MJ-o-les-Bain» :e • or ( :n ;e l a r ia kM Jean-But. De très nombreux eoncurrânts doivent *y présenter. .. J.ra que le Tour i o l d Escrime. c*c:e anute aura un très rit eslat et que ses orjra. B> attons larjfcinent recom- . MARCHE LE GRAND PRIX DE MERICOURT Le 31 a eut aura Heu a i l encourt- sous Lens uns Epreuve de marcne dite • Grand l'rix de Mén. ir .e Club des Mar cbeurs « L Espoir • at= cla concours do :a Muni,upaiité et des commerçant.,. reura sa courra sur. une rlstance de -A 1 ourer^ s tous l e s licenciés de reux et beaux p n x indlrld: tels récompenseront . e , arrivants. 11 rf-aseiiznements. s'sires »er au Secrétaire du C.U.M . Café Lefebrre-Mjinet ». place . Méricourt-scus-Lens. UNI BELLE EPREUVE A L EVAL Tjne £ranuô r.;.reure de marclbe se déroulera . 1 Lenai .rgani-Cs a 1 ccasion lu M a r i e r tiu Pet;t-Maubeu«e et Cayenc e L» Uatatnoa du Nord, c e s t de ccf.e épreuve :e d.spuiei-a SUT le P^rsera - i - n é a midi ; i u [ a i s a s e A gnne • r.i promis leur c:n ours • C J t A u l u o e . le P C Hautmont. Lille CM. Maur.e i«e. :.'.M Marpent. .- Landrecies. Cambrai 1 trson Le Ca .-.UTic-n, e i c . ei parmi h -s cou urreuts ai • Louis Godart vainqi..eur de Paris• - Mar-eau d'H nlnnqueur de 13 sitrm épr»uv» cetie an- -a mue en comté -.it:cn et -stflii L'.F.il roit de 2 fr. ! .-i le- t.'ols pour le» «utra» cucurrtnts t n s . . « m 9 n t t irra TIR A L'ARC le grand tir des Francs Archers de Calais r SPORT COLOMBOPHILE Notes d'actualité Les concours d'Angoulème du 30 août, organisés l'un par le Club Colomboi...ile Tourquennois, l'autre pur le Local Unique Coumbophiia de Uenain, clâtureront dans la région du Nord la saison colombophile 1930, du moins en tant qu'épreuves au delà de P a n s . Quelques «Chantilly». «Creil» et «Clermont» orneront les programmes de septembre et la clôture définitive sonnera après les traditionnels concours B toute petite distance : 20 ou 3u kilomètres, qui. le beau temps aidant, se jouent Jusqu'à la fin d'octobre, principalement dans les gros centres, la où on peut réunir dans un peut rayon un nombre suffisant de pigeons. Ces concours d'Angoulême. que l'on donne chaque année en fin de saison, connaissent généralement un certain succès. Ils sont, en quelque sorte, le dernier banc d'épreuve ou bien des colombophiles aiment essayer les pigeons, et les pigeonneaux principalement, qui ne paraissent pas leur offrir suffisamment de garanties pour l'avenir. Ceux qui ont la bonne fortune d'avoir encore des sujets suffisamment en plumes cherchent aussi à en tirer parti à l'occasion de ces dernières joutes à portée sérieuse. Enfin, les amateurs abondamment pourvus de pigeonneaux v participent fréquemment. et. disposant d'éléments de choix, ne sont pas les concurrents les moins redoutables de ces sortes d'épreuves. Cette année, tout fait présumer qu'elles seront volées dans des conditions atmosphériques assez faciles, comme bien d autres épreuves précédemment disputées au cours de la saison. Lorsque les pigeonneaux font au moins du 1.250 mètres par minute, comme ce fut le cas dans de nombreux concours de juillet et et d'août, les gagnants se rencontrent généralement parmi les sujets les mieux préparés et les mi 3 ux entraînés C'est le triomphe des jeunes accouplés, couvant et nourrissant comme des vieux. Mais par grande chaleur, vent contraire. l«-s qualités de race arrivent souvent à s'affirmer sans préparation spéciale. Aussi, est-il permis de regretter que 1930 se soit montré aussi' avare de soleil et de vent sec d'i Nord-Est. La journée du 15 août a fourni des épreuves sans histoire, même pour les portées de Blois oui se sont volées dans les arrondissements de Lille et de Valenciennes. épreuves qui groupèrent un respectable nombre de pigeonneaux. Beaucoup de ceux-ci ont pu. sans Inconvénient, être reenlogés le soir même pour un autre concours. Le vent frais oui soufflait de l'O. S.-O. permit, en effet, des rentrées suivies, sans mettre grandement à contribution les forces physiques des concurrents. Le 17 août, une nappe de brume qui s'étendit sur la région du Ndrd. et n'était pas encore dissipée à l'heure d arrivée des pigeons de concours, provoqua un certain désarroi dans 'es concours de jeunes. A part c?ttt difficulté finale, les parcours étaient favorises par le vent, qui semble tnen ne plus vouloir souffler que des secteurs Ouest ou Sud. E. CAILLE. 23. à 20 h. 30. au siège. Café du Jeu de Balle. 9, rue de L::ie. A MAUBEUQR Dimanche a août : SJlsnles (CanOnean) Lad e u » (ipverland). Résultat de la lutte dn 17 août 1 Wasmes : 15 jeux ; Sous-leBois [Couvreur) : 9. HIPPISME COURSES A DEAUVILLE PREMIERE COURSE. — 1. Roi Galant (Trémeau) S 1-2. DEUXIEME COCHSE — 1. Valens-ole (Bonarentaal r tlJE : D1. SJO. — s. Tire d Aile (Monta lant) pi. 16.50. ÏKOIsllÇUE COURSE. — 1 Queyras (KaUey> f 1, ; ;!. i i j a - 8. Beaumarchais (Bcdeloup. p . 18. QUATRIEME COURSE. — I. Triomphale (Hugon) x u>' : pi. to.50 — -'. Addy Ohé ( P e c k e c pi. li.50 1 h avec le Stade Marieleinots 1 A et l'après-midi CINQUIEME COURSE. — 1. Féch°tte (Luc; g. 10 SIXIEME COURSE. — Marjeroli %» N'extra) g. 1î ; pi. 6. •— 2. Diirnac (Thom-Moret) pi. 1. BLÉS VILMORIN Jrr^TZ~ mombes. Exigez partout la marque >fe « n o t r e aom V1LMORLVA.NDRIEUX * « t , P a n s - t " . par on terni? . . 1 =<nion. M l'accuei 1 tout cordial 1 ncours d» 1 cette société • bars. Ceu t-ci. venus des • • re partis enthou. . lestatton ue tir a learc. :—ce lent dans les .criblé de J oie les organl1 - qi 11. après avoir • été A l'nonneur. U faut adresser ... 1 1 1. a Lavoye. le ..;. .>.n'. de la soelétii, qui ne mé-. ni «a peine poui' ia prospérité ' eile-ci. p. r-innali ' es présentes. i Artbur Mjnborfen. vii-e-présln des Ai bers e t président de d Dunlienjue; M. Paul 1 ntaiteur. etc.bues et trois oiseaux été tires au sort. - donneurs : 11 i : \w fr. et une médaille c a Prey. sénateur : M. n : 100 fr. et une médaille M. t'enet Jules, de lire n. 4 : 73 fr. et un coffret de . t par I Ceiésrasniaa » : M. Guiln 5 : 50 fr. et tir..3 médaille ofRéret] du Nord « : M. Maison. • fr. et une médaille offerte par le - Petit Journal » : M. Dedryver. de •nement a été attribuée A la . r m e t oiseau . Kpertscqtsas. rve ,1115 rr «mbres actifs •aura lieu le dimancne tire, a lu heures. ANIIN ET CMARLEROI SERONT AUX PRISES DIMANCHE A ORCHIES I or nies i'éqcilne d'An. cr.gcr 1 ùonneur ft-ançais cantr» thaner- l. lundi Va.enciennes ayalt da «'incliner .juipe bc-lgj;. dans le championnat ce JEU DE BALLE 7.1 ! f t e qui aura lien sor le bair drame orcjiesien sera la plus importante depuis \rès lonïtemp» EIIJ s avère comme 'levant être très; intéressante au point d» ru» sport:f. A VALENTIENNES Diman'"he 2i août, à 13 h. 30. aura l'eu, place 19 une rencontre entre Florennes et • s-Bees. ct*\ï> d'envoi à t l h. 3Q. •'' di»s Blancs-Becs se réunira samedi F.' ILLETON' DU 23 AOUT 193Q. — N° S5 *^f/ MtVvMtMVMI r%UI»A0« — Peutêtre, intervint Chris tiane, étant rîonné qu'elle a'eat fait une loi de ne trahir personne... rien ne dit qu elle ne s e r a pas ter*'" icuit, un jour, heureuse t t ' u a a réhahiJitatiori. — l'.ile l'aura. — Si j'en étais capable j'y contrQraeraia Vie toutes mes forces. Comme tout à l'heure, le jeune treeeailiit yioiemmeiit. Le vieillard heurta son bâton au aal : _ Reste donc tranquille ; de quoi veux-tu (e mêler?... Tu es plus malin que la Justice peu-être î — Certainement, dit Mme V&ratmiez, une enefuête serait bien difficile... D'un autre côté, si Chérie s'est tue, ce n ' e s t pas pour défaire plus tard ea q i elle n f,-,it. R tranmiilles. Ai! n-\ je T. S . F. R\DIO P.T.T. NORD A LILLE (265 m ). — Samadl 23 a 19 h. Si : Sirad.Ua ouverture : E=tudlaniiii; La cocarde Mimi pinson ; La chanson des , Sous les t.ueuli ; Valse nuptiale. — 13 h. 35 • Cours ; informations ; produits agricoles — 15 h.: Kelais de .'Ecole pour la T.S.F. A l'Hontal. — 19 h. 13 : DUques. — 19 h. 30 Cour-; communique;» : miormations. — B» h. Dl-ques — ._-' n IJ : s are* ihéâtrale organisée par l'Associatu ti de Ridiopriou-e du Nord, — Vers 21 h. • Tirage des primes. » •tes b o n s PHONOGRAPHES ftLECTRIÇUBS sont éefuipés avec ICFTHC CCMBINAISCN P1CK UP-AMPU ' HAUT-PARtEUR R . U J I O - P V R I S U.7J4 m. 1). — 12 h. 30 : Disques Uansei) — 15 h. 45 r-Concert. — 19 h. 30 : Octetie en fa maieur do Schubert. - » H. « ' Concert Art et Pensée. TOUR EIFFEL (1.4.5 m. S). — 18 ll. 45 J urnal parlé. — 'M h. 30 i Au Télc-hone. drame. TOULOUSE (345 m.). — 13 h. : SaxOUtlina. — 13 h. Musiaue de danse 18 h. 25 : orchestre argentin. — 19 h : Orchestre» divers. - 30 a. 15 i Chansons espagnoles. — 21 h. : Opéra. LANGEN'BERG 1471 m. 4). — 7 h. 05 : Concert ' Auber Jensen. Lehar. FaU. Raymond. — i h 30 Concert de la station thermale diOcynhausen. — 10 t, 15 • Concert de disques. _ 1î h. 10 : Concert d* disques. — 13 h 05 : Marche nuptiale du S nge d une nuit d'été, ouverture de Ruy Blas ; Accélération, valse : Les lafcle^ de La Fontaine, suite ; Cne petite musique nocturne, sérénade : Dans le iardln d'un temple chinois : Marche de» enomes. — 16 h • Aulerfluir. marche ; Discours. préférable... Elle peut être si heureuse avec vous, vous si heureux avec elle. — Vous croyez donc, madame Christiane, qu'elle voudra de moi ? — Je n'ai aucune raison pour ne pas le croire, mon ami. — Elle est riche, à présent. — Ce o est pas cela qui changera son sentiment. — Possible... Mais moi, j ' a u r a i s un scrupule à la demander. — Un scrupule bien exagéré... Il est dans l'c-rdre. pour ainsi dire, que la femme donne l'argent, i h o m m e le travail matériel ; qu'il prenne la responsabilité de la maison, de la famille... Avec la dot de Chérie, vous achè. terez à votre tour de- la terre, des vignes... Vous earderez, si vous le voulez, cette dot, et vous gérerez nos vignobles, a nous... Enfin, à votre gré... Le jeune homme prit sa tête dans ses deux marins. Ah 1, oui. si elle veut... si elle v e u t . . _ Elle vous aime î Elle me l a (fli _ Alors... Ah I je ne sais pas... je ne sais pas... j'ai de m a u v a i s pressentiments. j e r ' n è t e qu'il perd la boulei gronda <• ufre la Bique. c h ' bien siir que nous serions heu- LE REVEIL DU CINEMA PATHÉ CLr, 1 T I U M ?!NEMA présente : SHIRLEY MASON, W I L L I A M OOLLIN et JOHNIE WALHER dans JOHN GILBERT Ernest TORRENCE Mary .40LAN dam Un Punch à l'es tonne Hilda Jenson. la jolie 1 charcutière, éprouvait pour le champion de boxe Splke Mufti ns une grande admiration, qui ne demandait qu'à se ebanger en amour. Une seule personne admirait Mullins plus qu'Hllda ei c'était... Mullins lui-même. Le boxeur, fier Jerry, maladroit, avait encalaae terriblement... Les Nuits du Désert \ la mine de diamants située aux confins du désert de Calar.an. le directeur Rend vient de recevoir un télégramme l'informant de l'arrivée du président de la société. Lord Stonebi-i, et de sa fille Lad y Diana et l'imagination du jeune homme se représente la voyageuse énoncée comme la beauté suprême. Elle est. en fiet, ravissante : et lui. qui n'a pas vu de femmes depuis trois ansaest tout de suite sous le charme. Elle n'a pas besoin de le prier beau'• 'tip pour qu'il soit prêt e I accompagner A une partie de chasse que son père a fait organiser En attendant le départ. U lui montre la gloire de la mine : douze millions de diamants bruts. A ce moment une nouvelle dépêche lui est apportée. Elle dit que Lord Stonehill et sa fuie ont reiardé leur voyage. Que sont alors es deux imposteurs venus sous leur nom T Un coup d'oeil le renseigne. Ce sont deux aventuriers, deux voleurs en train d'empocher les liamants laissés sur la table. Le couple a fort bien, d'ailleurs, machiné le coup. Rand a beau actionner la sonnerie qui alerte les hommes de garde. Steve, le faux lord, lui montre son automobile recelant une mitrailleuse dans ses flancs, qui les faucherait comme de l'herbe. Que Rand en prenne donc son parti et qu'il se laisse gentiment emmener a la chasse afin de n'être pas tenté de les poursuivre. C'est alors la course dans le désert. Mais bientôt Steve. Diana et Rand v restent, seuls I les au'.res complices s'étant séparés d'eux après • de sa force et de ses succès, se voyait promu aux plus hautes destinées pugilistiques et manifestait en tout lieu un orgueil démesure. Il y avait ussl le petit dessinateur Jerry Mac ciuire, qui travaillait dans un magasin voisin de celui de la charcutière et adorait cette dernière. Le bal annuel donne par les boxeurs eut lieu à cette époque. Jerry reçut deux billets de son patron. If. Katz, et les accepta avec lespoir qu'il pourrait en faire profiter Hilda Jenson. Toute joyeuse à l'idée qu'elle verrait Spike Mullins, la jolie charcutière accepta et, le soir même, les jeunes gens entraient dans la salle de danse. Au Ijout d'un moment. Mullins s'etant aperçu qu Hilda le regardait d'un air encourageant, abandonna sa danseuse et, séparant Hilda de Jerry Mae Guire, il l'entraina. à son tour, dans le pai tourbillon. Une fois la danse finie, il l'emmena dans un salon voisin et se mit a lui faire la cour, tandis que le pauvre Jerry cherchait sa cavalière de tous cotés. Il la découvrit enfin, au moment' où le boxeur dc-venait très pressant. — .Ne vous gênez pas, dit-il, c'est mon amie. — Ah ! c'est votre amie, dit le boxeur, eh bien, voila pour vous ; et il abattit le jeune homme d'un coup de poing en plein visage. puis, le saisissant par le fond de son pantalon, il lui lit traverser toute la salle de bal et le jeta dehors. Ahuri, humilie et souffrant. Jerry Mac Uuire rezagna sa chambrt et se mit à pleurer. Tandis qu'il tâtait son visage endolori. Hilda entra. La brutalité de Mullins avait éclaité la jeune fille sur ses veritat.les sentiments et elle fuyait la brute aux allures dangereuses, pour vetiir secourir le brave jeune homme. Dans la chambre de Jerry, elle découvrit de nombreux portraits à sa ressemblance. Elle en fut très émue et Jerry lui avoua timidement qu'il l'aimait. Au même instant, Mullins ouvrit la porte et demanda à Hilda de le suivre ; elle refusa. Alors le boxeur s'avança vers sa vie i — Dis à la petite qu'elle revienne danser avec moi ou sans cela... et déjà il levait le poing. Jerry ne voulait pas céder, mais pour lui éviter une nouvelle correction, Hilda prit le bras du boxeur et parti, avec lui. Un voisin de Jerry, entraîneur de boxe, avait involontairement assisté a la scène ; 11 entra chez le jeune homme et lui fit honte de sa faiblesse : — Vous laissez enlever votre amie sans vous baure. lui dit-il, vous n'êtes pas un homme. — Je ne sais pas boxer, répliqua piteusement Jerry. — Eh bien I vous apprendrez. En un mois, je ferai de vous un champion. Et voila comment, par amour, Jerry Mac Guire abandonna le dessin pour le ring. A diverses reprises, i! avait rencontré Mullins, mais il manquait encore de courage et e et il n'osait se frotter a son ns'al. Enfin, quelques semaines plus tard, un soir que Mulins devait combattre,» Jerry apprit que son adversaire venait d'être blessé. Son entraîneur lui proposa aussitôt de le remplacer, et pour ne pas paraître lâche, il accepta ; mais, au font, de lui-même, U tremblait, bien certain d'être terriblement mini par Mullins. Hilda. mise au courant de la nouvelle, se demanda comment elle pourrait • "nir en aule à celui qu elle aimait. Elle alla voir Spike Mullins dans sa loge et, comme ce dernier se plaignait n'être mis a la diète avant le combat, elle lui dit : — Patientez un instant, je cours chez mol, et je vous rapporte de quoi diner. Elle revint bientôt, chargée d'un panier dans lequel elle avait accumulé à peu près tous les alimenta capables de provoquer une sérieuse indigestion. Elle gava de son mieux -*e champion, lui faisant avaler tour a tour du jambon, des saucisses, d" lait, des corni- et ténor. - • Disques — bal masqué. 30 : Concert W PILE HYflRR BRUXELLES (509 m.). — A partir de 5 h., puis te uies les deux heures et si les pigeons ont été lâches a Anjioulème et au-delà, a 12 h. radiflu-i-^n de ren-eurnemenu relatifs aux concours de pigeons aux étapes suivantes : Momlgnles. Solresur-Sambre Qulévraln St Quentin. Arras Paris reux 1 même s a n s . . . m ê m e s a n s que l'assassin... — Ne t'occupe de ça que si elle te le dit... Ne v a p a s contre elle, ça te porterait malheur I Albéric laissa tomber ses m a i n s . 11 r e g a r d a Mme Varagnriez. — Vous êtes bonne, m a d a m e ; vous, Mlle Marie-Thérèse ; on vous a u n e a u Val-Roee, on ne dit que du bien de vous. — C'est vrai ? t a n t mieux... Il es* meilleur de se sentir des affections que d'eng e n d r e r la haine comme notre malheureuse tante... Mais celui qu'on aime surtout, et nous n'en sommes point jalouses, c'est mon m a r i — M. Claude 1 exclama le vieux, c'est-àdire que tout le monde, s'il lui a r r i v a i t quelque chose, en prendratit le deuil... C'est l'enfant du pays... Le petit-fils de feu l a mère Soucaud g a r d a encore le silence. Le front se plissa. La bouche était serrée sous l a fine moustache d ' u n noir d'encre. On approchait de la ferme. Le Jeune homme se redressa. Je suivrai vos conseils : elle l'a voulu ainsi, je n e détruirai p a s ce qu'elle 0 fait. — Et vous aurez raison, prononça de sa voix sympathique Mme Varagniez. Elle leur tenant la m a i n » D' John GILBERT et Mary NOLA.N dans c Les Nuiu da Désert • partage et les porteurs noirs les ayant abandonnés. ils ne tardent pas a s'égarer. Rand. délié, est obligé de leur servir de guide, car il connaît le pays. Cependant. Steve a empoisonné les sources derrière lui uirce que le manque d'eau rond les poursuites impossibles. Il ne faut donc plus passer par la piste jalonnée de puits. C'est un détour immense et daneereux à faire. La soif les torture horriblement. Pour une gorgée deau qu'il possède en sa gourde. Diana se Sonnerait à Rand. La mort les guette : les vautours planent en rond déjà au-dessus de leurs corps épuisés, les hyènes rôdent au loin. Diana, maintenant, iure de se conPertir si elle en réchappe. Et bientôt, un ravin apparaît, on entend le bruit d'un source, un ruisseau bouillonne la sous des arbres. Diana s'v précipite : Rand l'empêche de boire trop avidement, car elle pourrait en mourir. L'aime-t-il donc f On ne sait. Cette belle fille attire cet homme qui a trop vécu dans l'isolement. S'eve s'en arjerooit : il va en profiter pour une transaction : que Rand lui redonne le sac de diamants dont 11 .s'est emparé et il lui abandonnera Diana. Le jeune homme acquiesce. Le bandit s'éloigne, mais il se Perd dans l'oasis. Pendent deux jour; i! erre à l'aventure. Enfin des sentinelles de la mine qu'il avait voulu piller l'aperçoivent et l'emmènent au bureau du directeur : c'est Rand qui l'accueille. Il l'attendait, car 11 l'avait habilement rapproché de son point de départ : si Steve n'avait pas empoisonné lés puits, il l'v aurait conduit denuis longtemps. Quan' à Diana .le vrai Lord Stonehill. qui est arrivé, laisse Rand disposer de son sort. r-hons et. en fin de compte, elle lui offrit a fumer un superbe cigare. Mullins se lardai' faire tranquilement. — Je n'ai pas à me gêner avec un adversaire tel que Mac Guire. disait-il ; au premier coup de poing, j'en aurai iini avec lui. En sorte que. lorsqu'il monta sur le ring. 11 était assez mal en point ; il se passait, dans son estomac, des- événements qui l'inquiétaient beaucoup. Les premiers rounds furent néanmoins complètement à son avantage, et Jerry Mac Guire. très maladroit, encaissait terriblement. Cependant, le repas de Mullins refusait complètement de passer e quand le boxeur eut reçu enfin de son novice un t punch » à l'estomac, il tomba vaincu. Hilda Jenson. folle de joie, grimpa sur le ring pour embrasser le vainqueur, qui ne se doutait pas qu'ii devait la victoire à celle qu'il aimait. Orléans, Tours. Angoulème. — n h. : Séance TrlErgon. — 18 h. Cours d'histoire de Belgique. — 18 h. 15 : Court d'histoire de la mu-lque. — 18 h. 30 - Disques. — 19 h. 30 : Journal parlé — 20 h. t5 : Marche d'Athalie. — 20 h. 20 Chronique de l'actualité ; Fantaisie sur Cocorico : La voix des cloche»; Ballet des quatre saisons. 21 h. t Radiodiffusion dn grand concert symphonique donén au Kursaai d Ostende. NATIONAL (1.554. 4 et * 1 J m.). — 13 h. : Musique légère. — 17 h. 15 : Solos de xylophone et vibraphone. — 18 b.: Interlude musical.— 18 h. 45 : Les base» de la musique. Musique d» piano. — 19 h. 30 : Concert. — 23 h. 20 : Musique de danat. MIDLAND REGIONAL (47». 2 m ). - 15 h. 30 : Relal du Jephson Oarden Pavillon. Royal Leamuurton Spa. — lé h 15 : Musique de danse. — 1« h. 45 : Reglnald New. à l'Orgue — 18 h : Programme de Londre». — 18 h. 15 Nouvelle». — -8 h. 45 : concert. — 19 h 30 Récital d'orgue. — Yi b. Concert. — 22 h• : Quatuor pour voix d'hommes : musique de Wemer, Nacy. V. Williams, German. Bridge, Cady. Lohr. — Au revoir, mon a m i . a u revoir, mon* brave la Bique... Il faut venir m a n g e r a u château... Nous ne vous vovons p l u » . . Je suis allée à la maison de Mamette ca matin. — P a u v r e Mamette 1 m u r m u r a le petitfils. Et en p r o n o n ç a n t ces deux mots, il pensait, ainsi que cela lui a r r i v a i t bien souvent, à l'improviste, à ce souvenir évoqué p a r un mot, surprissent de lui-même, s a n s provocation à ce désir « in extremis n de sa g r a n d ' m è r e . ne voulant p a s mourir, sans avoir parlé à Chérie. Qu'avait-elle pu lui dire, p e n d a n t le temps rna'il allait, lui, chercher le curé 1 Il pensait plus d'une fois qu'il s'agissait du secret de s a n a i s s a n c e . L a Mamette était a u c h â t e a u a u moment où Mme Agathe reoeuillait l'abandonnée. Y avait-il d a n s cette action u n mystère qu'elle seule connaissait ? Il fallait bien qu'elle lui eût r e n d u quelque service p o u r que la maîtresse se "mont r â t d'une générosité à son égard, nui ass u r a i t son existence. Saurait-il, u n jour, quelque chose î Lorsque C h é r i : serait s a femme... Si elle voulait... Si elle l'arimaii.... BIEN-VIVRE û/®Ot_>r*OjQ â GROS LOTS IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIHIIIillllllimBWWlTMIimHIHIIIIIHIHimHlllllltl — n h. m • onatinl mandolines •20 h. : soirée recréatlre. STUTTGART (300 -m). — 12 h. 15 15 h, 30 : Concert. — 19 h. 30 : Un o i t r a en 5 actes. — 33 h. a 24 h. iccréatif. Fatigue... Surmenage... Qui n'a éprouve cette lassitude, cet abattement preuve d une vitalité amoindrie, d'un état de santé que la moindre cause, le moindre microbe transformera en maïadje aiguè. Cuirassez vous... Buvez St-CALMIER-BASOIT. • Ca typa précieux de l'eau bi-carbonatée calcique » (D> Ferrter) rétablira l'équilibre de vos fonctions organiques et par l'effet bienfaisant de ses sels de chaux, fortifiera et cuirassera votre organisme. J'ai fait sur elle une brochure intitulée • L'Eau et notre Santé >. Demandez-ia a la Source BADOIT, a St-GALMIU (Loire), qui vous l'enverra gracieusement VILLE DE PARIS 191» Le N° 3.108.392 est remboursé par 200.000 fr. : le N° 3.015.567 est rembourse par lOu.uûu (r. es deux N°» suivants sont remboursés chacun par ôO.uOO fr. : 740.902 — 2.111.473 ; les quaU* \»« suivants sont remboursés a . a c u n oar 1 ':• . 90.774 — 136.349 — 2;5S2.53'J - 2.856.700 les six N 0 " suivants sont remboursés chacui t*T 5.1*0 fr. ; 1.054.439 — 1.512.351 - IJ - • " - 2.151.780 — 2.332.195 — 3.015.727. «05 \ • -ont remboursés chacun par l.oûO il. ; Z.Ô.M N15* sont remboursables au pair. COMMUNALES 190C Le N« 1.194.074 e s t remboursé par 200.000 îr.. l e . N» 1.176.110 est remboursé par 25.UJU h*. 01 les huit N suivants sont remboursés chacui. par S.'JOO fr. : 40.651 — 281.082 550.308 769.299 — 865.517 1.055.269 1.1190.963 ; 100 N°* sont remboursés chacun Dar t.OOO fr. COMMUNALES 1912 Le N" 114.364 est remboursé pu KM.000 ti le N 9 1.427.803 est remboursé pai lO.Oûo Ir. les douze N°" suivant! sont rett bourses cha cun par l.tiuO Ir. : 323.434 - 329 ^43 - 474.791 — 743.562 —. 754.552 - 79C.999 - 885.567 1.179.906 - 1.448.498 - l.«B.0u5 - 1.970.274 1.935.928 : 100 N M sont remboursés chacun par 500 fr. FONCIERES ET COMMUNALES 1921 Le N» 1.622.227 est remboursé par 250.000 fr. . T e N» 1.616.430 est remboursé par 100000 fr. : l« N» 7C.26.J est remboursé bar 50.0m 'r. V00 N M sont remboursés chacun par 1.000 Ir. l i a i T D t t a f î D ( t l r M l l ? dans le? 500 000 ohii1111 • I f C O U l f b A w l l C s m o n s non réclamées lu Crédu Mauonai. Créou Foncier. Ville de Pans 'anami. Ch. fer. etc. publiées avec IOU» les Tlrapes 1:1 it fer»). Abonnez-vous I an, 6 rrancs J o u r n a l M e n s u e l Amm Tirautes. a* 6. Fa Montmartre. Fan». ACRSCULTURE .CO/tAtERCE . « _ INDUSTRIE PABIS «2. — Vlano»» 1 Boeufs : quartier derrière 12.M 1 devant 8.50 ; aloyau 15.25 ; cuisse» vi 50 1 Veaux ; ire quai- 14.7 Oi -2e quai. i3.co -. 3e quai 11.50 ; Mouton» : ire quai, n ; 2e quai 14 90 3e quai. 12.66 . gigots 17.50 ; carre, parés ••&; Porcs' : ire quai. 12.25 ; 2e quai. 9.95 ; met» 1575 ; jambons li.9u. , Beurres 1 lermier lsigny manque ; Centrifuge Normandie 15 ; Bretagne 14.75 1 Charante Poitou 15.50 ; marchand Normandie 13.» : Bretagne 12 W: salé ou tondu manque. Œut» : Normandie extra 700 : ch.ix eas 1 Bretagne choix 565 ; autre» 430 ; conserves manque : étrangers 430. Fromages : Camembert Normandie î.05 ; divers 1.35 ; Lisieux Gournay ou Neufchâtel manque • Pont l'Eveque' 2-25 1 Port Salut 9 25. Volaille» : canards Rouennau 16 ; Nantais 16 : fermes ll."S i dindonneaux manque : poulet» Nan. tais 17 ; Caen ou Bretagne manque -. poules •« Bretagne 13.50. poissons : oarbues 11 ; bars 24 ; hareng» français pleins * ; vides manque : homard» 25 . nier .ans brûlant, manque . ordinaires 4 ; langous'es •H • maquereaux grûs 3 ; petits 7 ; morues salées manque ; raies 3 25 : sardine» Bretagne 3A 1 fraîches 27.50 : soles 31.50 . huîtres Cancale ou Portugaises manque ; moule» lsigny 1. PARIS, 22. — Sucres. — Clôture (Marché à terme). — Courant 21650 à 216 payés : prochain .>co i 20450 payés : octobre 19950 à 200 : 3 d'octobre >0U a 200.50 ; 3 de novembre 200.50 à 201 payés. Tendance lourde ; cote officielle 216 a 216.50. LE HAVRE. 23. — Calé». — Ouverture. — reudance calme : ventes 1500 . août 223 1 sept. 211"5 oct. «10.25 ; uov. 203.» ; déc. 197 ; Janv. 107 ; tév. 196.M 1 uiar« 19250 : avrU 190.50 : mai 190.25 1 Juin 139.25 ; Juillet 189.75. Clôture. — Tendance a peine soutenue ; vente» 2.750 sacs : août Î21 50 ; sept.. 210.25 ; oct. 30875 : HJT. 201.75 ; déc. 195.75 : Janr. 195.75 : févr. 195.50 mars 191 50 ; avril 189.50 ; mal 189.25 ; Juin 18825 Juillet 138.50. la Timidité VAINCUE EN QUELQUES JOURS iMUosl. oÙroaMBt «woe»» ¥ o o m m lllueti» qui ee> «n-fc , MARCHES DE LA REGION Beurre». — La Bassée 26 en-Artois. 18 à 19 fr. le k Ardre» 16 à u fr. le k. 22 fr. le k.. en pièce» 90 16 à 17 fr. le k. ; Uesdlu a 28 fr. 1» kilo ; Peines; Estai,"» 22 fr. la k. ; i Cassel. en olocs. 20 a a3 lfr. le k. : ishergin-.164 17.50 le k. ; Hucque Mme Varagniez s'était retournée, les m a i n s tendues vers la Bique. — A bientôt, venez... Nous vous demandons tous... Mais pourquoi ne déjeuneriezvous pas a u j o u r d ' h u i tous les deux î... Tenez, Six-Sous vous donne l'exemple... le voilà déjà à la cuisineE n effet, le barbet, filait, la queue entre les pattes, c r a i g n a n t quelque appel péremDtoire. du coté des casseroles de la Pétéloune. Et son maître de rire à se tenir les côtes. — Il est si goulu I Six-Sous 1 L'animal p a r u t s u r la plus h a u t e marche de pierre, u n os énorme au trawers de la gueule. Il eut l'air de dire : je suis là, et il r e n t r a à l'intérieur. Mme Varagniez r i a i t Vovons, entrez la Bique, et vous aussi, Soucaud, j ' a i u n meuble à vous faire réparer. — Non, nous avons notre soupe qui nous attend. Nous ne raffolons p a s n o u s , de la viande. — Entrons seulement voir le meuble, fit Albéric. Je vais vous conduire d a n s la chambre de mon m a r i . * Christiane p a s s a l a première : on t r a versa la cuisine. — Pétéloune. voilà deux entêtés, qui ne veulent p a s déjeuner avec vous... Cherchez MM 16 à 16.50 le k. : Auchei 20 a 23 fr. 1« k. i Avrtiit.-ie-Comie. 19 fr. le k. S u i s . — La Ba»see Jo fr. les 26 ; Pernes-en-4rx 17 tr. ie& -Ai ; E - t a i i a is fr. ie> 26 ; Hes. i I7.M lat m Arires 16 i 17 fr. les 38 : i 15 (r. tes 36 i Cassai is i M tr les M : lsbergues. 16.50 a 17.50 le* 38 lu.qjeiiers 19 tr. les 26 ; Auschei 16 a 16-50 les ÇA. Pommes d» terre. - La Bassée 55 a 80 tr. le» ' fr. tee lu) k ; Cassel 0.1a Hucqueuers u 75 i t 25 le k. , Auchei «jôa i u 7c .e k. . Peiii-stni-Artois 0.65 le k. Htddla 050 a 060 la k. . Avesnes-ieComte. 040 le kilo. volailles. — La Bassee poulets 35 à 40 Ir. la ouol» lapins ts a 20 tr. piec» . Kstair«. pouiti» . 13 tr le k. . lapins vivant* 13 Tr le k. ; Ardra». poulets 35 a 50 fr. la couple ; lapins i; i ' M ir uie^e . ^assel 25 a 30 fr. la couple ; l a p i n J 1 -J tr pioce ; Hucqueuers, poulets « a 35 fr. U couple lapins 10 à 32 fr. pièce : Auenei p-nneta 32 a 45 tr. la -ouple : lapin» 13 a 38 fr. ciece i pernes en-Artois, poulets 22 à 43 fr 'a couple : lapin* 10 a 30 fr. pièce . Hesdln. poulet» 9a M tr : . c e lapin» 6 » 2 «fr. pièce . A ? N M > .le-Conite louieii •-.> i 47 fr. la couple ; Lapins M » ."S fr QBAUtS A Hoedin. — Tendance a la Dusse tu ri» Die jui cote 154 fr. suivant poids suéciriqua le 74 mlOB et un franc en plus selon la densité ; avoine Planche <i6 fr. ; Jaune 64 fr. . escourgeon, -eigle et pameile so fr ; mais 110 à 114 fr. Ce» ctx s'entendent u r M kilos. A Saint-Quentin — Bourse du Commerça : uto îo-ca N C: . hK ottraaa 16O : avoine» 75 : M I . aie i9-:o 90 -•- | i « nouveau 85 : orges et escoux„• ns s C A Avosnes-le-Comt*. — Le» MO kilos : DM 15» i 153 tr . avoine es fr. ; seigle » 8 484 fr. escourgeon ÙS 4 70 tr. -. mais 110 fr BESTI u ' x - A air» m M ma, veaux U1 kilo V.» 1 7 fr. .e A Ossvree. — nu e kiio . -« ans d.vers. k.lp.- 1.48 . 1 vendu vc.iiiit de le 7 a9 50 a joo fr La této porcs gras s A Pern»*-*n.Art»is. - Cours Jours élevé parmi les va.-Des était de : porcelets len ,1 250 de bonne qualité, 400 fr. l'un — •• peut» veaux gras 7 a 1040 1 3^0 L» kilo : 6 00160 veaux gras da ê Ift de 400 » 550 fr » le kilo. â 8 75 le kUo ccatloonalr» ,1 usa. Le cours de. ports fr. : porc* n m i w i i porcs ?'ras 7.75 ]*> Industriels et Commerçants III Faites-vous inscrire dans l'Edition 1981 da f ANNUAREGR4TUIT Dictionnaire de linduslrte. dn Commerce, e t t , • OLI CLASSE Toute la France par Professions tirgune de DÉCENTRALISATION par excetleoca Organe de U l l T l SrON IVTESSE QUI FM0R!Sfr,A VOS AFFAIRES LCB1\1£Z S A N S l'AHDER A 1' ANNU (IRE GRATUIT >.<. Hue Bleue, 9. PARIS (9«) lllllllllllllllllllllillllllllllllllllllllllllllllllUrfll MARCHE KEULbMEiNTE Avoine blanche et 0,1 Jaune, 47 kilo», poids aatu, rel. Lille ou p..nt* Les 100 kilos nets, comptant 3J.1CS e^omp'.e. — Première cote : août 84.50 V j i i l :1101e sfi.jO V aenenibre-ocioûr» 87Ja T ; « derniers sa A. 89.50 V. liera .ère oote . août so.75 A, 85 V : septemor* S6.50 V , septemoro-ociobre S7.50 N ; 4 danuara se :-J M• ' clôture : août S350 . septembre 86 : septembre» octobre t>7 : * derniers 8&50. • ai» 76 kilos, poids naturel. Lille ou parité. Laa 100 kilos nets c.iu;,tanr sans escompte. — Premièrej cote : août M) N : M-, tembre 163 V ; septemhreocloDre 16J V : « derniers 167 V. Dernière cote : aoû; Kl N ; septembre 188 N ; SéptembreoctoDre itiJ N : 4 dernier» 160 A, 10840 V. Clôture : août 162.50 ; septembre 162.50 ; septem. bre-ociobre 162.50 ; 4 derniers 163.50. Mais Jaune Piaua. magasin Dunkerque, acquis}». Les 100 kilos Drues, loges, comptant sans «scorapia, — Première cote : août 87 50 F - septembre 87 N; i derniers 88.50 v : « de novembre «9 v" 1 4 premiers 90 A. 92 v. Dernière c.ie . août 87.50 A M T 1 s e p t e m m S7.50 V , t dernier^ ss v 1 4 de novembre 91.30 Y.; i premiers 90 A. 91.50 V. CiOture août M . s septemere 87. ; 4 derniers 87.50 ; 4 de novembre 91 ; 4 premiers 91. Orge Algérie-Tunisie .magasin Dunkeivjaa, L M a u moins une bouteille de c a r t h a g è n e , qu'ils videront a v a n t de partir. Le vieux claqua la langue. — Ah I de ce vin-là. jamais de refus I Il s'assit près de la huche p e n d a n t que son compagnon montait avec l a maîtresse de la maison. Il était la depuis quelques minutes, lors. que, d a n s 1 encadrement de la fenêtre da la cuisine, une tête p a r u t : des bandeaux noirs, autour d'un visage du plus i»ur ovale, animé p a r deux longs yeux sombres. — Mlle, Marie Thérèse ! — Vous, mon nun la Bique ! '^ue le suis contente de vous voir I Et tout » coun. s u r !e seuil de la g r a n d e i pièce, M Varavmiez et M. Silvère. en costume de chasse • — Tenez, Pétéloune. un lièvre 1 • _ Voyez, Pétéloune. trois perdreaux I Les deux hommes montraient d e r r i è r e eux, le Pétélou qui leur servait r!» >ortecarnier et qui se débarrass-i* de s a c a r - nasstere. — Tiens, c'est vous, mon brave, M» M. Varaeriez, ercevant le vi . a r d et talt e n d a n t la main. — Rcnjour. lui disait Marie-Thérèse qui. venait d'entrer d a n s ia cuisina p a r l'office. n