Doc de Ref 2008 30 janvier 2009 - Info
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Document de Référence 2008 Le présent Doc ument de Référence a été déposé auprès de l’Autorité des Marchés Financiers le 30 janvier 2009, conformément à l’article 212-13 du Règlement Général de l’AMF. Il pourra être utilisé à l’appui d’une opération financière s’il es t compl été par une note d’opération visée par l’Autorité des Marchés Financiers. 2 Document de Référence 2008 DOCUMENT DE REFERENCE 65- Rapport des Commissaires aux Comptes sur le contrôle interne PRESENTATION DU GROUPE 66- Honoraires des Commissaires aux C omptes 4- Bref historique 67- Rapport s ocial et environnemental 5- L’année 2008 en c hiffres 6- Comité de Direction Général e 7- Bourse et Acti onnariat 81- COMPTES CONSOLIDES 8- Définitions et carac téristiques de l’acti vité Villages 128- Rapport des Commissaires aux Comptes s ur les c omptes consolidés 131- Comptes s ociaux 12- RAPPORT DE GESTION 158- Rapport des Commissaires aux Comptes s ur les c omptes annuels 13- Anal yse de l’acti vité 25- Facteurs de risques 27- Calendrier 2009 de la communication financière 159- INFORMATIONS COMPLEMENTAIRES 28- Rens eignements généraux 29- concernant la soci été Club Méditerranée 160- Rapport des Commissaires aux Comptes s ur les Conventions Réglementées 32- concernant le capital 164- Rapport du Conseil d’ Administration s ur les Rés olutions 36- concernant le marché des titres Club Méditerranée 174- Projet de R ésolutions 38- Gouvernement d’ entreprise et rémunérati ons des dirigeants 185- T able de conc ordance 51- Rapport du Président du Cons eil d’Admi nistration Document de Référence 2008 3 HISTORIQUE 1950 1985 2003 Création du Club Méditerranée par Gérard Blitz sous forme Ouvertur e du Village de Farukolufushi aux Maldi ves et de Ouvertur e du Village de Trancos o au Brésil et du Village de l a d’association à but non lucratif mis e en œuvre par Gilbert Trigano. Phuket en T haïlande. Palmyre-Atlantique en Franc e. 1989 2004 Ouvertur e du Village d’Opi o dans Ouvertur e du premi er Village « 3 en l’arrière-pays niçois. 1 » à M arrakech, vitrine du nouveau Club Med haut de gamme, convi vial et multiculturel. Ouvertur e du premier Alcudia, aux Baléares . Village, 1957 Transformation du Club Méditerranée en s ociété anonyme. 1963 1990 Lanc ement de Club Med 1, l e pl us grand voilier du monde. 2005 Introduction à la Bous e de Paris Serge Trigano est nommé Président-Directeur Général. Transformation du Club Méditerranée en soci été anonyme administrée et gérée par un Conseil d’Administration dont Henri Giscard d’Estaing prend la présidence. Ouvertur e du Village de PeiseyVallandry en Savoie. Reconstruc tion c omplète du Village des Bouc aniers en M artinique. 1968 1997 2006 Ouvertur e du pr emier Village aux Antilles franç aises (Fort Royal en Guadeloupe) et acc ès au marché américain. Transformation de la Société en Société anonyme à Directoire et Conseil de Sur veillance. Philippe Bourguignon es t nommé Président du Directoire. Réouverture du Village de Cancun Yacatan en 4 Tridents au Mexique et du Village de Kani aux Maldi ves . Rénovation du Village de La Caravelle en Guadeloupe. Gilbert Trigano devi ent Pr ésidentDirecteur Général. L’entreprise poursuit s on développement essentiellement sur l e marché européen. 1966 1973 1992 Lanc ement de Club M ed 2 et ouverture du Village de Columbus Isle aux Bahamas. 1995 2007 Impl antation commerciale au J apon 1979 1999 e Développement du parc de Villages en Asie (Cher ating en Malaisie, Château Royal en N ouvelle Calédonie) et en Amérique du Sud (Itaparica au Brésil). Acquisition de Jet tours, 4 opérateur franç ais tour 2001 Acquisition de Gymnase Club, qui deviendra Club Med Gym 2002 Henri Giscard d’Estaing devient Président du Directoire 4 Ouvertur e du premi er Tridents (la Plantati on l’Ile Maurice) et commercial du concept Club Med. Village 5 d’Albion à lanc ement des Villas 2008 Cession de Jet tours et de Club Med Gym. Rec entrage s ur le cœur de métier, les Villages haut de gamme. Document de Référence 2008 L’ANNEE 2008 EN CHIFFRES (1) CHIFFRE D’AFFAIRES CHIFFRE D’AFFAIRES PAR ZONE EMETTRICE ET ACTIVITE (en millions d’euros et en %) (en millions d’euros) IFRS 5 As ie 165 1 1% 1 494 1 410 1 370 Amé rique s 181 1 2% 06 07 ROC LOISIRS (en millions d’euros) France 7 28 49% Re ste Europe 41 0 28% 08 RESULTAT NET (en millions d’euros) 5 -8 2 43 ENDETTEMENT NET ET CAPITAUX PROPRES 514 294 490 336 494 295 25 16 06 07 08 06 07 08 06 07 08 Endettement net Capitaux propres (1) Chiffres présentés hors J et tours et Club Med Gym (IFRS5) Le chiffre d’ affaires du Club Méditerranée s’ est él evé à 1 494M€ pour l’exercice cl os le 31 octobre 2008, et s’inscrit en forte hausse (+ 6 % à données publiées). L’exercice 2008 a connu une forte accél ération de l a rentabilité opérationnelle avec un Rés ultat Opérationnel Courant (ROC) Loisirs en progression de 69% à 43M€ c ontre 25M € en 2007. Le ratio d’ endettement est de 59,7% contre 68,6% en 2007, grâce aux efforts de réduction de la dette déployés pendant l’exercice et à l’impact des cessions de J et tours et de Club Med Gym. Le résultat net pour l’exercice 2008 s’établit à 2 M€. Document de Référence 2008 5 COMITE DE DIRECTION GENERALE HENRI GISCARD D’ESTAING Président-Directeur Général CAROLINE PU ECHOULTRES (*) Directeur Général Asie-Pacifique MICHEL WOLFOVSKI Directeur Général D élégué Financ e SYLVAIN RABU EL (*) Directeur PATRICK CALVET (*) Directeur Général Génér al Commercial et Marketi ng Nouveaux Marchés EuropeAfrique Villages Europe- Afrique OLIVIER SASTRE (*) Directeur Général R essourc es Humaines JANYCK DAUDET (*) Directeur Général Amérique Latine ANNE YANNIC (*) Directeur KATIA HER SARD (*) Directeur Marketing Général Mar keting Stratégique et Qualité (*) Non mandataires sociaux 6 et Commercial Franc e, Belgique et Suiss e Document de Référence 2008 BOURSE ET ACTIONNARIAT LES RELATIONS INVESTISSEURS ET ACTIONNAIRES INDIV IDUELS actionnaires » pour répondre à toutes les questions d’ordre Le Club Méditerranée infor me s es acti onnaires de faç on pratique s ur l’action du Club Méditerranée ou pl us ciblées s ur régulière et homogène sur l’évol ution de s es résultats et ses orientations stratégiques, en confor mité avec l’actualité du Groupe, le 0 810 186 186 (prix d’un appel local). les réglementations boursières . Le Directeur des Dans le but d’informer r égulièrement l’ens emble de ses investisseurs et actionnaires, le Club Méditerranée dispose Relations Investiss eurs informe plus spécifiquement l es investisseurs institutionnels du site Internet institutionnel et financier www.clubmed.com, et les très riche en informations sur le Groupe, celles-ci étant mises anal ystes fi nanciers, s ur la s tratégie du Groupe, s es rés ultats à jour régulièrement. Les ac tionnaires peuvent y c ons ulter les et ses développements significatifs. derniers c ommuniqués de presse, les prés entations aux Le Club actionnaire a pour but de fidéliser l’actionnariat anal ystes financiers lors de la publication des rés ultats du indivi duel du Club Méditerranée en entretenant des relations Groupe, les rapports annuels et s emestriels, l’évol ution du personnalisées actionnaires cours de l’action du Club Méditerranée ainsi que la « Relations retrans mission en vidéo des rés ultats annuels et semestriels. indivi duels avec s es bénéficient adhérents. Les ainsi d’une ligne Evolution du cours de bourse en euros du 01/01/2008 au 31/12/2008 Club Med SB F1 20 indexé V olume 50 300000 45 250000 40 35 200000 30 25 150000 20 100000 15 10 50000 5 0 02 /01 23 /20 0 /01 8 13 /20 0 /02 8 05 /20 0 /03 8 28 /20 0 /03 8 18 /20 /0 08 4 12 /20 0 /0 5 8 02 /20 0 /06 8 23 /20 0 /06 8 14 /20 0 /07 8 04 /20 0 /08 8 25 /20 0 /08 8 15 /20 /0 08 9 06 /20 0 /10 8 27 /20 0 /10 8 17 /20 0 /11 8 08 /20 0 /12 8 31 /20 0 /12 8 /20 08 0 Fiche signalétique des titres Club Méditerranée OCEANE ISIN FR0000180184 Nombre d'obligations émises Échéanc e Nominal de l'obligation Coupon Taux ac tuariel Parité de c onversion Prix de remboursement ISIN FR0010130732 2 404 733* 3 092 783 1er novembre 2008 1er novembre 2010 58 € 48,50 € 3% 4,38% 5,25% 4,38% 1 acti on Club Méditerranée pour 1 obligation (sous r éser ve de clauses d'ajustement) Au 31.10.2008 Au 01.11.2010 116,94% du pri x d'émission Au pair *Au 30 avril 2006, c es obligations ont fait l’objet d’ un remboursement anticipé à hauteur de 211 002 titres, s oit un total de 12,2 M€ en nominal et 13,6 M€ (y compris coupons c ourus et prime de remboursement). *Le 3 novembre 2008, l’OCEANE 2008, venant à éc héance, a été remboursée pour un montant de 152 M€. Document de Référence 2008 7 DEFINITIONS ET CARACTERISTIQUES DE L’ACTIVITE VILLAGES JOURNEES HOTEL IERES V ENDUES VOLUME Une journ ée hôt elière es t la ve nte do nc On ent en d par « effe t volu me », l’impac t Villag es q ui pra tiq uent l’utilisation d’un lit et de l’e nse mbl e d es sur le chiffre d’af faires o u sur le résulta t différe nts liés ; installatio ns p ar un client pe nd ant un e d’e xploit atio n d e la h auss e o u de l a journé e. C’est le meilleur indicat eur d e baisse vol ume puisq u’il combin e le no mbre d e hôt elières clients e t leur duré e d e s éjour. principale me nt - la rép artition d es ven tes en tre l es du no mbr e de ven du es. la - la jo urné es Il reflèt e se nsibilité catég orie de positio nne ment d es t arifs co nfort d es ou au ven tes du Group e s ur l’an né e (h au te saiso n / de basse saiso n). l’indicate ur a u x varia tions q uan titati ves TAUX D’OCCUPATION, CAP ACITE Le t au x d’occu pati on est le ra pport , exprimé en p ource ntag e , entr e de l’acti vit é d es Villag es. REVPAB MIX/PRIX Indica teur clé de la mon té e e n g amme , le le prendr e en co mp te à la f ois l’é vol utio n représe nte le no mbr e t otal de jo urné es - l’évol utio n p our un Villag e do nn é e t du t au x d’occ up atio n et d u pri x mo yen. Il hôt elières o u vertes à la ve nte s ur un e sur u ne p ériode fi xé e, d u prix d e s’ag it commercialisati on d’u n s éjour et d u compara ble Villag es hors ta xes e t h ors transp ort corresp on da nt ; transp ort di visé par la ca pacit é e n lits. u ne an née . Le ta u x d’occu patio n é valu é e n n ombre d e lits permet d’ appr écier l’opti misatio n l’e ffe t Be d » combiné de q uatre ph én omèn es : ou de A vailable et la cap acité g lob ale. saison pro vie nt Per L’eff et La ca pacit é Mix/Prix « Re ven ue no mbre de jo urné es h ôtelières ven du es (reve nu par lit disp onible) per met d e du chif fre d’aff aires tot al du - l’influenc e de la ré partitio n des clien ts remplissag e des Villag es. adult es / en fa nts dans les Villag es sur le re ven u mo yen ; EVOLUTION DU RE VPA B NOMBRE DE JOURNEES HOTELIERES VENDUES (en milliers) cumulé à fin octo bre Comp arabl e e n € /JH 200 6 200 7 200 8 Var 0 8/0 7 Var 0 8/0 6 Europ e 83, 5 89, 7 96, 7 +7,8% +15,9% Amériq ues 75, 8 76, 7 82, 7 +7,8% +9,1% Asie 62, 9 77, 8 81, 4 +4,6% +29,4% Total Villag es 78, 9 85, 0 91, 4 +7,5% +15,8% 04 9 251 05 EVOLUTION D E L A CAP ACITE HOTE LIERE PAR NI VEAU DE CONFORT 8 948 06 8 560 07 8 536 en % de la ca pacit é t otal e 200 6 200 7 200 8 Cases e t 2 Trid ents 7 4 3 Triden ts 61 54 2 51 4 et 5 Tride nts 32 42 47 Total 100 100 100 08 8 870 TAUX D’OCCUPATION en % 04 68,9 05 68,9 EVOLUTION D E L A CAP ACITE HOTE LIERE PAR ZONE GEO GRAPHIQU E en milliers de j ourn ées hôt elières 200 6 % 200 7 % 200 8 % Europ e 8 1 84 65 7 8 05 62 7 9 29 63 Amériq ues 2 5 78 21 2 8 31 23 2 7 49 22 Asie 1 8 17 14 1 8 74 15 1 8 33 15 Total 12 579 100 12 510 100 12 511 100 06 07 08 68,0 68,2 70,9 DISTRIBUTION Les Villag es so nt ve nd us à tra vers le rése au direct du Grou pe (site in tern et, ag e nces en propre et call-cen ters) ainsi q ue p ar l’intermé diaire d’un rése au indirect d’ag e nces d e vo yag es. A u ni vea u mon dial, la ré partitio n est d’en viro n 50 % distrib utio n directe, 50 % distrib utio n in directe. E n Franc e, la distribu tion directe représ ent e 62 % d es ve ntes tot ales de c e march é. 8 Doc um ent de Référenc e 2008 DEV ELOPPER L ES FLUX INT ERZONES, UNE PRIORIT E Flux interzones Flux intrazones Evolution du nom bre de clients par pays et par zone En milliers 2004 2005 2006 2007 2008 France 581 582 568 560 594 Le Club Méditerranée distingue deux sources de chiffre d’affaires : les zones Belgique 101 100 100 101 107 émettrices et les zones réceptrices. Italie 79 76 68 63 59 Suisse 34 32 29 30 32 Les zones émettrices sont les zones de chiffres d’affaires et de coûts Grande-Bretagne 27 28 27 28 31 commerciaux (ex : Royaume-Uni, Belgique, Canada). Hollande 32 27 24 26 28 Israël 17 20 23 21 23 Allemagne 28 24 21 20 19 Afrique du Sud 6 5 7 7 13 La caractéristique du Club Méditerranée est de créer des flux interzones, en Russie 6 6 8 9 11 particulier de l’Europe vers l’Asie et la zone Amériques. En général, la plupart des T urquie 13 11 10 8 9 clients partent dans les Villages de leur zone d’origine. Portugal 10 10 9 6 6 Pologne 1 2 3 3 6 Espagne 2 5 4 7 5 Amériques mais ceux-ci représentent 25 % de la clientèle de cette zone. De la Grèce 7 5 4 5 4 même façon, 2 % des Européens se rendent en Asie et représentent 10 % de la Irlande 2 2 2 2 clientèle de cette zone. Autriche 3 3 2 2 2 1 Autres 1 1 1 2 5 EUROPE 950 939 910 900 955 Etats-Unis - Canada 150 137 122 119 118 Brésil 79 79 64 68 70 Argentine 12 13 12 15 15 Mexique 23 25 20 11 5 Autres Les zones réceptrices sont essentiellement les zones de chiffres d’affaires locaux et de coûts opérationnels (ex : Maroc, Polynésie, Mexique). Les principaux flux interzones sont les suivants : 8 % des Européens vont en zone Modes d’exploitation des Villages en 2008 en nb de lits P ropriétés Locataires Managés Total Europe 6 048 30 135 4 163 40 346 Amériques 7 344 569 0 7 913 Asie 3 119 1 600 635 5 354 Total 16 511 32 304 4 798 53 613 4 5 4 4 3 268 259 222 217 211 Asie du Sud-Est 57 54 74 82 88 Japon 102 86 81 82 60 en Villages P ropriétés Locataires Managés Total Australie 22 17 21 23 27 Europe 10 42 5 57 Corée du Sud 19 12 17 19 17 Amériques 10 1 0 11 Autres 3 3 3 1 3 Asie 5 3 1 9 Total 25 46 6 77 AMERIQUE ASIE T OT AL CLUB MED 203 172 1 421 1 370 196 207 1 328 1 324 195 1 361 Document de Référence 2008 9 Villages et bateau exploités en 2008 Ψ Nbre Lits Capacité Aime l a Plagne 3 1 529 66 654 Location Alpe d’Huez l a S arenne Arcs Altitude Avoriaz 3 2 3 1 1 1 778 457 526 98 028 57 582 66 276 Location Propriété Location Cargèse Chamoni x La P almyre Atlantique 3 4 3 1 1 1 942 531 1 135 138 474 144 831 239 485 Propriété Location Location La Pl agne 2100 Les Arcs E xtrême Les Deux Al pes 4 3 3 1 1 1 590 576 579 78 472 72 576 72 959 Location Location Location Les Ménuires Méribel Ant ares + Chalet Méribel Aspen 3 4 4 1 1 1 612 218 128 72 828 25 942 24 704 Location Location Location Opio en Provence Peisey-Vallandr y Pompadour 4 4 2 1 1 1 921 708 480 337 248 148 710 131 448 Location Location Location Sant’ Ambroggio Serre Chevalier 3 3 1 1 735 991 128 625 208 110 Location Location Tignes Val Claret Val d’Is ère Val Thorens 4 4 3 1 1 1 486 512 360 74 844 72 704 52 920 Location Location Location Vittel Er mitage Vittel le Parc France 4 3 1 1 23 197 939 13 930 69 574 175 337 2 558 331 Location Location Cervinia Kamarina Metapont o 4 3 3 1 1 1 470 1 615 1 056 101 990 345 900 121 414 Location Location Location Napitia Otrant o Sestrières 3 3 3 1 1 1 1 350 848 569 176 850 115 328 60 883 Location Location Propriété Italie Djerba la Douce Djerba la Fidèle 3 3 Djerba Méridiana Hammamet Nabeul 3 3 3 6 1 1 1 1 1 5 1 1 1 1 1 5 1 1 1 1 5 908 1 263 1 120 702 801 750 4 636 856 367 762 795 621 3 401 946 506 944 1 703 922 365 415 166 146 720 65 988 169 812 106 539 904 225 313 212 134 322 278 200 89 040 70 794 885 568 187 308 68 365 166 144 341 632 4 1 1 2 1 1 4 099 1 075 814 1 889 535 281 763 115 102 217 195 102 2 1 1 2 816 415 648 1 063 298 656 79 265 119 880 199 145 Villages Tunisie Agadir Marrakec h la M edina Marrakec h la Pal meraie / le Riad Smir Yasmi na Maroc Beldi Bodrum Kemer Palmi ye Turquie Athenia Gregolimano Grèce El Gouna Mer Rouge Louxor Eg ypte Cap S kirring Les Al madies Sénégal 10 3 3 4 3 3 3 3 3 4 2 4 3 3 4 3 449 068 564 632 810 846 Mode d'exploitation Location Location Location Location Location Location Location Location Location Location Location Managé Propriété Managé Location Propriété Managé Propriété Propriété Managé Document de Référence 2008 Ψ Nbre Lits Capacité Mode d'exploitation Coral Beach Israël 3 1 1 771 771 282 186 282 186 Managé St-Moritz Roi-Soleil Villars-sur-Ollon Wengen 4 4 3 1 1 1 599 488 449 81 464 96 116 50 288 Propriété Location Location Suisse Da Balaïa Portugal 4 3 1 1 1 536 703 703 227 868 160 260 160 260 Location 1 1 2 633 567 1 200 203 847 171 666 375 513 56 1 1 39 952 394 394 7 795 198 133 566 133 566 57 1 1 40 346 689 708 7 928 764 252 174 240 720 Villag es La P oint e aux Canonniers La Pl ant ation d’Al bion Ile Maurice Villag es Europe-Afriqu e Club Med 2 Bateau Villag es et Bateau Europe Itaparica Rio das Pedras 4 5 4 3 4 Propriété Location Propriété Propriété Propriété Trancoso Brésil 4 1 3 562 1 959 205 532 698 426 Propriété Les B ouc aniers La Caravelle Les Antilles fran çaises 4 4 1 1 2 641 604 1 245 212 812 221 064 433 876 Propriété Propriété Cancun Ixt apa Mexique 4 4 1 1 2 853 679 1 532 312 198 213 952 526 150 Propriété Propriété Punt a Cana République Dominicaine Sandpiper Etats-Unis Turquoise Turks & Caïcos Columbus Isl e Bahamas Villag es Am ériques Kabira Sahoro Japon Bali Ria Bintan Indonésie Cherating Malaisie Phuket Thaïlande Lindeman Island Australie Kani Maldives Bora B ora Polynésie Villag es Asie 3 1 1 1 1 319 1 319 760 410 235 410 235 278 160 Propriété 1 1 1 1 1 11 1 1 2 1 1 2 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 9 760 569 569 529 529 7 913 550 575 1 125 922 635 1 557 696 696 661 661 540 540 475 475 300 300 5 354 77 53 613 Villag es et bateau exploités en 2008 3 3 4 4 3 4 4 4 4 3 4 4 278 205 205 189 189 2 742 201 140 341 281 232 513 254 254 241 241 197 197 173 173 109 109 1 833 160 805 805 985 985 637 300 300 600 210 410 620 736 736 926 926 640 640 850 850 800 800 172 Propriété Location Propriété Location Location Propriété Managé Propriété Propriété / Location Propriété Location Propriété 12 504 573 Document de Référence 2008 11 SOMMAIRE RAPPORT DE GESTION AN AL YSE DE L’ACTIVITE__________________________________________________________________13 FACTEURS DE RISQUES___________________________________________________________________25 CALENDRIER 2009 DE LA COMMUNICATION FINANCIERE______________________________________27 RENSEIGNEMENTS GENERAUX CONCERNANT : - LA SOCIETE CLUB MEDITERRANEE________________________________________________________29 - L’EVOLUTION DU CAPITAL ET DE L’ACTIONNARIAT__________________________________________32 - LE MARCHE DES TITRES CLUB MEDITERRANEE_____________________________________________36 GOUVERNEMENT D’ENTREPRISE ET REMUNERATION DES DIRIGEANTS_________________________38 COMPOSITION DU CONSEIL D’ADMINISTRATION______________________________________________43 RAPPORT DU PRESIDENT DU CONSEIL D’ADMINISTRATION SUR LA COMPOSITION, LES CONDITIONS DE PREPAR ATION ET D’ORGANISATION DES TRAV AUX DU CONSEIL D’ADMINISTRATION ET LES PROCEDURES DE CONTROLE INTERNE ET DE GESTION DES RISQUES MISES EN PLACE PAR L A SOCIETE ________________________________________________________________________________51 RAPPORT DES COMMISS AIRES AUX COMPTES SUR LE RAPPORT DU PRESIDENT DU CONSEIL D’ADMINISTRATION SUR LA COMPOSITION, LES CONDITIONS DE PREPAR ATION ET D’ORGANISATION DES TRAV AUX DU CONSEIL D’ADMINISTRATION ET LES PROCEDURES DE CONTROLE INTERNE ET DE GESTION DES RISQUES MISES EN PLACE PAR LA SOCIETE ___________________________________65 HONORAIRES DES COMMISSAIRES AUX COMPTES___________________________________________66 COMPTES CONSOLIDES___________________________________________________________________81 COMPTES SOCIAUX 12 ____________________________________________________________________131 Document de Référence 2008 RAPPORT DE GESTION 1. FA ITS MARQUANTS Le chiffre d’affair es du Groupe s’ élève à 1 494 M€, soit une progression de 6, 0 % en données publiées, r etraitées IFRS 5. - Amélioration cons tante de la rentabilité en 3 ans A données c ompar ables, le chif fre d’ aff aires progresse de 7,7%, avec une croissanc e de 10,6 % sur le premi er - Poursuit e du gain de cli ents en 4 et 5 Tridents semestre, et de 4,9 % au s econd. - Consolidation de la montée en gamme avec : - un effort massif d’inves tissement pour la finalisation L’EBITDAR Loisirs augmente de 17,3 % et passe de 219M€ de la mont ée en gamme ; à 257 M€, soit 17,2 % du c hiffre d’affaires, en progression de - la concentration sur l’acti vité Villages et le près de 2 poi nts par rapport à 2007. renforcement de la struct ure financièr e avec l es cessions de Jet t ours et de Club Med G ym. Pour pl us d’inf ormations sur les cessi ons du Groupe, voir la Le ROC Loisirs pr ogresse de 69 % à 43 M€, progression enregistrée s ur les deux semestres , malgré une fi n d’ année Note 6 de l’annexe aux c omptes cons olidés . affec tée par les chocs pétroliers et fi nanci ers. 2. ANALYSE DES COMPTES Remarque prélimi naire Le ROC Patrimoin e* est de (8) M€ contre 2 M€ en 2007. Il Les c omptes consolidés au 31 octobre 2008 ont ét é établis conf ormément aux nor mes IFRS (I nter national Financi al Reporting S tandards) telles qu’approuvées par l’Union Européenne à cet te date, sans c hangement de mét hode par rapport aux compt es au 31 oct obre 2007. tient compt e d’une part des c oûts liés à la fer met ure de Villages pour rénovation, et d’ autre part de quelques cessions s ur l’année. * défi nition Note 2.1.3. de l’annex e aux c omptes consolidés Confor mément à l a norme IFRS 5, l’impact positif de 31 M€ Le Groupe a pris la décision fin avril 2008 de s’ engager dans lié à la cession de Jet tours et de Club Med G ym figure s ur des projets de cessi on des acti vités Club Med G ym et Jet une ligne séparée du compt e de résult at et ne bénéficie donc tours qui ont été réalisées r espec tivement en juillet et août pas au rés ultat opérati onnel. 2008. En application de la norme IFRS 5, le résult at net de ces acti vités a ét é r eclassé sur une ligne séparée du c ompte de résult at, et les données comparati ves ont été retrait ées L’ Autre Résu ltat Op érationnel , qui regroupe l e coût des suivant une présentati on i dentique. cartes de crédit et les c oûts de restruc turati on, est de (25) M€ contre (19) M€ en 2007. Il ti ent c ompt e de cert aines 2.1. LES CHIFFRES CLES (en millions d'euros) (1) DE L’ANNEE 2008 2007 restructurati ons et opti misations dans les organisations. 2008 Chiffre d'af faires c ons olidé Le Résultat Op érationnel du Groupe est en progression, Publié (retr aité IFRS 5) 1 410 1 494 +6,0% passant de 8 M€ en 2007 à 10 M€ c ette année et provient de Comparabl e 1 387 1 494 +7,7% l’améliorati on du résult at de l’ac tivit é Loisirs limitée par le EBITDAR Loisirs (2) En % du c hiffre d’affaires ROC Loisirs ROC Patrimoine Autre Résultat Opérationnel Résultat Opér ationnel Résultat Net Free Cash Flo w Dette Nette (1) (2) 219 257 15,5% 17,2% 25 43 2 (8) (19) 8 (25) 10 (8) 2 (30) 50 (336) (295) C onformém ent à la norm e IFRS5 (Jet tours et Club Med Gym cédés en 2 008) EBITDAR Loisirs : ROC Loisirs avant amortissem ents, loyers et variations de provisi ons niveau du ROC P atrimoi ne et de l’Autre Rés ultat Opérati onnel sur l’année. Le Résultat Net s’ét ablit à 2 M€ contre (8) M€ en 2007. Grâce à l’amélioration de la rentabilité opér ationnelle et s uite aux opérations de c essions de J et t ours et de Club M ed G ym, la det te di minue de 336 M€ à 295 M€ et le Free Cash Fl ow s’améliore fort ement , passant de (30) M€ en 2007 à 50 M€ cette année. Document de Référence 2008 13 - les dépenses suppl ément aires liées aux coûts de 2.1.1. COMPTE DE RESULTAT l’énergie dans les Villages (chauff age en hi ver, (en millions d'euros) 2007 2008 Chiffre d'affaires 1 410 1 494 25 43 2 (8) ROC Loisirs ROC Patrimoine Autre R ésultat O pérati onnel climatisati on en été). La hauss e est de 12, 7 % à la Journée Hôt elière, ce qui représente un impact de 3 M€ sur l’été ; - l’augmentati on des coûts de c arburant du Club Med 2. (19) (25) 8 10 Les premiers ef fets de la crise éc onomique ont provoqué un (24) (33) ralentissement marqué des vent es à partir de la fin du mois Sociét és mises en équivalenc e 1 1 de juin. Les r éser vati ons, qui étaient à +7,7 % le 31 mai, Impôts 3 (11) n’étai ent plus qu’à +3,9 % le 4 oct obre. L’impact direct de la Résultat des acti vit és non c ons ervées* Résultat de cession des acti vités non conser vées 4 4 crise de l’énergie se chif fre à environ 6M€ et l es impacts - 31 (8) 2 (10) 1 Résultat Opérationnel Résultat Financier Résultat net Dont part du Gr oupe directs s ur les réser vations ont pri vé le Groupe d’une diz aine de millions d’ euros s upplémentaires. Variations des réser vations (hors transport) Eté 08 vs Et é 07 * Jet tours et Club Med Gym 2.1.2. CHIFFRE D’ AFFAIRES CO NSOLIDE Change et périmètre Club M ed 31 mai +7,7% 28 jui n +5,5% 2 août +4,7% 30 août +4,1% 4 oct obre +3,9% Mix/prix Club Med +0, 7 Vol ume Club Med Vari ation Cl ub Med World - 23 2.2. L’ANAL YSE DE L’ACTIVITE VILLAGES + 63 + 43 1 494 1 410 2007 2008 Var Clients Club Med ( en milliers) 1 324 1 361 +2,8% JHs vendues ( en kJH) 8 536 8 870 +3,9% 117,7 € 121,8 € +3,5% 1 378, 0 1 483, 9 +7,7% 12 510 12 511 0,0% 68, 2% 70, 9% +2,7pt 85, 0 € 91, 4 € +7,5% Chiffre d'af faires c omp. Séjour/JH Chiffre d'af faires c omparable 2007 (M€) 2008 A périmètre comparable et taux de change constants, le chiffre d’aff aires de l’année 2008 est en aug mentati on de 7,7% alors que le chiffr e d’af faires publié est en progression Capacit é ( kJH) Taux d'occ upation RevPAB de 6,0 %. (1) La variation publiée sur l’année intègre un ef fet de change de (2) (23) M€ lié à la f ois à la force de l’euro mais aussi à la faibless e du dollar et des monnaies qui lui sont liées, ai nsi qu’à une faibless e de la livre s terling plus marquée s ur le deuxi ème semes tre. (1) (2) par JH comparable Capacité 2007 recalculée – Méthode comparable à 2008 Revenue per Available Bed : T otal CA comparable Villages HT hors transport / capacité en lits Les Villages du Club Méditerranée ont accueilli 1 361 000 clients en 2008, soit une croiss ance de 2,8 % . Il s’agit de la premièr e progression nette de clientèl e sur une année Pour la première fois cett e année, la croissanc e est plus forte complète depuis 2001. La croissanc e du nombre de clients en Volume qu’en Mix/ prix, respecti vement 63 M€ et 43 M€ de sur le haut de gamme se poursuit avec un gain de 61 000 la croissanc e du chif fre d’ aff aires du Groupe. clients en 4 et 5 Tridents en 2008. Le gain s’élève à 194 000 Cette croissance de volume significati ve de 63 M€ sur deux ans. mat érialise la poursuit e des gains de clients, particulièr ement Le c hiffre d’affaires comparable à la j ournée hôtelière sur les 4 et 5 Tridents. augment e de 3, 5 %, avec une progression enregistrée dans chacune des zones. Le Mi x-Prix a augment é de 6% en hi ver 2.1.3. IMPACTS DIRECTS DE LA CRISE SUR L’ ETE 2008 La crise pétrolièr e a eu les effets sui vants : - l’impact des hausses brutales et répétiti ves de carburant s ur la marge trans port, de l’ordre de 2M€; 14 et de 0,7 % en été, lié à l a perf ormance des ventes Europe. Deux points s ont à souligner concernant cette évolution du Mix-Prix de l’E urope : - la nouvelle of fre de gratuit é pour les enf ants de moins de 4 ans a connu un franc succès sur l’été. Elle Document de Référence 2008 constit ue un él ément fort de recrutement avec cependant un eff et temporairement dilutif s ur le Mi x-Prix. Le nombre de J ournées Hôtelières vendues s’ét ablit à 8 870 000, en progression de 3,9% par rapport à 2007. - si l’on exclut cet impact dilutif, dont l es eff ets sont le rapide développement de la clientèl e famille, la hausse du Mi x-Prix moyen de l’ét é en Europe a été limitée à 2% . Cela provient du f ait not amment du ral entissement des vent es long courrier en raison des surcharges carburants sur l es billets d’avion. La c apacité du Club Médit erranée est res tée st able et int ègre les effets de la réouverture d’I xtapa Pacific après travaux, de l’ouverture du Village de la Plantation d’Al bion, mais aussi de la fermetur e des Almadies au Sénégal et des villas archéol ogiques mexicaines. 2006 Europe Capacité 2007 2008 8 184 7 805 7 929 Taux d'occ upation Amér iques Capacité 71, 9% 73, 2% 76, 8% 2 578 2 831 2 749 Taux d'occ upation Asi e Capacité 67, 2% 62, 4% 64, 3% 1 817 1 874 1 833 Taux d'occ upation 51, 8% 56, 2% 55, 4% Total Par c atégorie de c onf ort, l a c apacité 4 et 5 Tridents qui Capacité 12 579 12 510 12 511 représentait 32% du tot al en 2006 et 42% en 2007, Taux d'occupation 68, 0% 68, 2% 70, 9% représente 47% en 2008. Le t aux d’occupati on, exprimé en lits, se sit ue à 70,9%, soit 2.2.1. JOURNEES VILLAGES HOTELIERES – ACTIVITE près de 3 points de plus qu’en 2007. Le taux d’ occupation s ur les 4 et 5 Tridents a augment é et pass e de 65,5% en 2006 à 67, 2% en 2007, pour s’établir à 68, 4% en 2008. Journées hôt elières - zones émet trices Les zones émettrices sont les zones de commercialisati on et 2.2.3. REVPAB (REVENUE PER AVAILABLE BED) cumulé à fin octobre de c oûts c ommerciaux (ex : France, Royaume-Uni, Belgique, Canada…). (en milliers de JH vendues) 2006 2007 2008 Var 08 vs 07 Comparabl e en €/JH 2006 2007 2008 Var 08/ 07 Var 08/ 06 Europe 83, 5 89, 7 96, 7 +7,8% +15,9% 75, 8 76, 7 82, 7 +7,8% +9,1% Europe 6 511 6 450 6 812 +5,6% Amériques Amériques 1 290 1 253 1 233 -1,7% Asie 62, 9 77, 8 81, 4 +4,6% +29,4% Asie 759 833 825 -0,9% Total Villages 78, 9 85, 0 91, 4 +7,5% +15,8% Total 8 560 8 536 8 870 +3,9% Journées hôt elières - zones réceptrices RevP A B : total chi ffre d’ affai res Vi ll ages hors taxes hors trans port / Capac i té en li ts di s poni bl es . Le RevPAB, le revenu par lit dis ponible, est l’indicat eur clé de Les zones réceptrices sont les z ones d’i mplantation des Villages (ex : Franc e, Mar oc, Pol ynési e, Mexique…) (en milliers de JH Var 08 vs 2006 2007 2008 vendues) 07 Europe 5 885 5 717 6 086 +6,5% Amériques 1 733 1 766 1 768 +0,1% Asie 942 1 053 1 016 -3,5% Total 8 560 8 536 8 870 +3,9% l’activité, c ar il mesure l’adhésion des clients à la str atégie en prenant en compte l’ef fet prix et le t aux d’occupati on. Il correspond au r atio s ui vant : au numérateur, le chiffre d’aff aires s éjours (hors trans port), et au dénominateur, la capacit é t otale. Il est en cr oissanc e de 7, 5 % c ette année à 91€ à la journée hôt elière. Ce RevPAB a d’ailleurs ét é en croissance c hac un des trimes tres ème not amment ét é sur le 4 de l’année. Il l’a trimestre, d’août à octobre, à hauteur de +6,2 %, période pourt ant déjà marquée par les crises pétrolière et financière. 2.2.2. TAUX D’ OCCUPATION PAR TRIDENT Après avoir progressé de 6€ par journée hôtelière entre 2006 et 2007, il augmente du même mont ant entre 2007 et 2008. JH (k) par desti nati on Taux d'occ upation 2007 2008 2007 2008 2 Tridents 266 228 75, 8% 74, 9% 3 Tridents 4 698 4 619 69, 4% 73, 1% 4 et 5 Tridents 3 511 4 022 67, 2% 68, 4% 61 1 38, 0% 17, 5% 8 536 8 870 68, 2% 70, 9% Autres Total Cette cr oissanc e du RevPAB est due à l’ens emble des initiatives menées dans le cadre de l a mont ée en gamme et se matérialise dans l’ensemble des zones géographiques. Doc um ent de Référenc e 2008 15 à 13, 0 % en 2008. Si l’on regarde la t otalit é des c oûts 2.3. COMPTE DE RESULTAT commerciaux et mar keting, incluant ce qui est fi xe et variable (les commissions), ils représ ent aient 21,2 % du chiffre 2.3.1. ANALYSE DU ROC LOISIRS VILLAGES d’aff aires en 2006, 20, 2 % en 2007 et 18, 2 % en 2008, ce qui est conforme aux objec tifs de pr oducti vité mar keting et comparable en millions d'euros 2007 2008 1378,0 1483,9 Indemnité de pert e d'exploitation 1,9 0,0 Autres revenus 7,9 8,0 Total revenus 1387,8 1491,9 832,1 895,0 60, 2% 60, 3% Frais fixes commerciaux & mar keti ng (194, 7) (193, 6) Frais fixes opérati ons (432, 5) (455, 3) Coûts i mmobiliers (157, 7) (177, 0) Coûts de s upports (22,8) (24,2) 24, 5 44, 9 Chiffre d'af faires Marge sur coûts variabl es % Chiffre d'affaires * ROC Loisirs commerciale pour f aire baisser ces coûts en rel atif et les stabiliser en val eur absolue. Les frais fi xes opérationnels ont augmenté de 23 M€, qu’il faut ramener à l’évol ution de la capacit é. Le coût moyen s’élève alors à 40,4€ à la jour née hôt elière c apacité, soit une hauss e de 3,9% par rapport à 2007. Deux raisons principales expliquent c ette évolution : - la période de mont ée en gamme du parc de Villages n’est pas achevée. La c apacité 4 et 5 Tridents a progressé de près de 13% en 2008. - l’augmentation résiduelle s’élève à 5,4% et intègre la hauss e de 5 M€ des c oûts d’énergie ainsi qu’une augment ation de la masse sal ariale dont 3 M€ sont dus aux effets de la l oi TEPA en France. Sans ces deux éléments, l’augmentati on 2008 des coûts fi xes opér ations s’él ève à ROC Loisirs 2007 c omparable 25 Impact volume 40 Impact Perte d’exploitation (2) Mix-Prix 25 Cette modificati on a eu un impact très significatif dans la Variation Marge s/ c oûts variabl es 63 mes ure où la majorité de notre pers onnel Village es t en Frais fixes commerciaux et mar keting 1 Frais fixes opérati ons (23) Frais immobiliers (20) Coûts de s upports (1) ROC Loisirs 2008 45 * Chi ffre d’ affai res retraité des i ndemni tés d’ as s uranc es 3,7%. La loi TEPA d’oct obre 2007 a modifié l a mét hode de calcul des réductions bas sal aires (Fillon) et exclut ainsi les indemnit és compens atrices de c ongés payés de l’allégement. contrat saisonnier. Les c oûts immobiliers (loyers et amortissements) ont quant principalement sous l’ef fet d’ouverture de Villages (la Plantation d’Albi on) ou la réouvert ure de Villages après travaux (Gregolimano, La Point e aux Canonniers, I xtapa Pacific). à eux aug menté de 19M€, Le ROC Loisirs Villages s’est donc fort ement amélioré Une revue détaillée de l’affect ation des coûts par des tinati on, passant de 25 M€ en 2007 à 45 M€ en 2008, en c omparable. en particulier les c oûts de s upport, a donné lieu à des Cette amélioration a également été enregistrée en été ajustements dans la présentation du c ompt e de résult at s ans puisqu’il est passé de 8, 7 M€ en 2007 à 18 M€ en 2008. tout efois modifi er le ni veau du ROC Loisirs. Certai ns c oûts figurant auparavant en c oûts de support ont été réaff ectés soit en frais c ommerciaux, s oit en frais opérationnels. A titre d’exempl es : 2.3.2. ANALYSE DU ROC LOISIRS VILLAGES PAR ZONE ANALYSE DU ROC LOISIRS EUROPE - les coûts marketing produits ou ceux conc ernant les bases de données clients s ont dorénavant aff ectés en c oûts commerciaux. Comparabl e en millions d'euros Chiffre d'af faires - les primes d’ assurance res ponsabilité ci vile s ont aussi imputées en c oûts commerciaux al ors que les primes relatives aux dommages et pertes d’ exploit ation s ont 1 039, 5 1 137, 2 10, 4 12, 4 1049,9 1149,6 Autres revenus (dt revenus interzones) Total revenus 577,9 624,2 55,0% 54,3% Frais fixes commerciaux & mar keti ng (137, 3) (136, 8) Frais fixes opérati ons (283, 1) (298, 2) Coûts i mmobiliers (121, 7) (137, 5) Coûts de s upports (15,7) (17,2) 20, 1 34, 6 % Revenus Malgré la baisse de la marge transport liée aux hausses de carburants, l a marge sur coûts variables est r estée st able auHors i mpact de la marge transport, elle a progressé de près de 0,5 poi nt. Les coûts c ommerciaux fi xes sont st ables en valeur absol ue mais passent de 14,1 % du c hiffre d’aff aires en 2007 16 2008 Marge s/ coûts variabl es affec tées en coûts fi xes opérations. dessus de 60% du chif fre d’af faires. 2007 ROC Loisirs Doc um ent de Référenc e 2008 En Asie c’ est principal ement l’impact Mi x/Pri x qui engendre ROC Loisirs 2007 c omparable 20, 1 Impact volume 40, 0 Mix/pri x 6,3 Impact Perte d'expl oitati on 0,0 Variation Marge s/ c oûts variabl es l’améliorati on de l a rentabilité. ANALYSE DU ROC LOISIRS AMERIQUES 46, 3 Frais fixes commerciaux & mar keti ng (15,1) Coûts i mmobiliers (15,8) Coûts de s upports 2008 178,4 181,5 1,9 0,0 59, 4 68, 7 Total revenus 239,7 250,2 Marge s/ coûts variabl es 152,2 64,0% 163,3 65,3% (31,5) (31,5) Autres revenus (dt revenus interzones) (1,5) ROC Loisirs 2008 2007 Chiffre d'af faires Indemnité de pert e d'exploitation 0,6 Frais fixes opérati ons Comparabl e en millions d'euros % revenus* 34, 6 Frais fixes commerciaux & mar keti ng Le ROC Loisirs de l’Europe progress e fortement, Frais fixes opérati ons principalement grâce à sa cr oissanc e en volume avec 55 000 clients de pl us en 2008. ANALYSE DU ROC LOISIRS ASIE (102, 3) (110, 1) Coûts i mmobiliers (18,5) (21,1) Coûts de s upports (3,9) (3,9) ROC Loisirs (4,0) (3,3) Comparabl e en millions d'euros 2007 2008 ROC Loisirs 2007 c omparable Chiffre d'af faires 160,1 165,2 Impact volume 28, 3 27, 9 188,3 193,1 102,1 54,2% Frais fixes commerciaux & mar keti ng Autres revenus (dt revenus interzones) Total revenus (4,0) 3,2 Mix/pri x 9,7 Impact Perte d'expl oitati on (1,9) 107,5 55,7% Vari ation Marge s/ coûts variabl es 11, 1 (25,8) (25,4) Frais fixes opérati ons (7,8) Frais fixes opérati ons (47,2) (47,0) Coûts i mmobiliers (2,6) Coûts i mmobiliers (17,5) (18,5) Coûts de s upports (0,0) Coûts de s upports (3,2) (3,1) ROC Loisirs 2008 (3,3) 8,4 13, 6 Marge s/ coûts variabl es % revenus ROC Loisirs Frais fixes commerciaux & mar keti ng 0,0 * Revenus retrai tés des i ndem ni tés de perte d’expl oi tati on En Amérique, et malgré l’absence de 2 M€ d’indemnités de ROC Loisirs 2007 c omparable 8,4 pertes d’exploit ation perçues en 2007 et la baisse de 3% des (3,0) capacit és avec les f ermetures temporaires de 2 Villages Mix/pri x 8,5 phares (I xtapa Pacific et Punt a Cana) pour travaux et Impact Perte d'expl oitati on 0,0 Vari ation Marge s/ coûts variabl es 5,5 Frais fixes commerciaux et mar keting 0,4 Frais fixes opérati ons 0,1 Impact volume Coûts i mmobiliers (0,9) Coûts de s upports 0,1 ROC Loisirs 2008 13, 6 passage en 4 Tridents , le ROC Loisirs est stable grâce à l’impact favorable du Mi x/Pri x. A t aux de change c omparable, le ROC Loisirs de l’Amérique s’est même l égèrement amélioré. 2.3.3. RENTABILITE OPERATIONNELLE Publié - retraité IFRS5* Activit é Villages (hors indemnités Pert e d’exploit ation) En % du c hiffre d’affaires Indemnités de Pert e d’exploit ation Activit é Villages EBITDAR Loisirs ROC Loisirs 2006 2007 2008 var 07 2006 2007 2008 var 07 184 217 257 18% (3) 25 45 77% 13,5% 15,5% 17,3% -0,2% 1,8% 3,0% 20, 8 1,9 - 20, 8 1,9 - 205 219 257 18 27 45 * hors J et t ours et Club Med G ym Doc um ent de Référenc e 2008 17 La rent abilité opér ationnelle s’es t significativement améliorée 2.3.4. TAUX DE TRANSFORMATION grâce à l’évolution du business model et ce, malgré un été Un autre indicat eur permettant de mesurer l’améliorati on de déjà aff ecté par l es deux crises . la rentabilité opérati onnelle consiste à compar er la Au ni veau de l’activit é Villages, la rent abilité opérationnelle croissance de l’EBITDAR Villages à la croissance du chiffre se mes ure pl us précisément au ni veau de l’EBITDAR qui se d’aff aires. situe avant les coûts immobiliers et permet de juger la perfor manc e opérationnelle des Villages, quel que soit leur ∆ 07/08 de l’EBITDAR Villages c omparable mode de dét ention. ∆ 07/08 du c hiffre d’aff aires Villages c omparable +106 M€ L’EBITDAR du Groupe représente 17,3% du chiffre d’ affaires , Taux de transf ormation* +46 M€ 43% soit une améliorati on de 1, 6 point entre 2007 et 2008, après * [∆ EBITDAR Villages hors Perte d’exploitation comparabl e / une améliorati on équivalente entre 2006 et 2007. ∆ du chiffre d’affaires Villages comparable] L’augment ation de 106 M€ du chif fre d’af faires c ompar able a généré un supplément de 46 M€ d’EBITDAR, soit un t aux de transfor mati on proche de 43%, équi valent à cel ui de 2007. 2.3.5. ANALYSE EBITDAR / ROC LOISIRS PAR ZONE GEOGRAPHIQUE ET PAR ACTIVITE Publié – retr aité IFRS5 (en millions d'euros) EBITDAR Loisirs ROC Loisirs 2006 2007 2008 2006 2007 162 166 196 21, 4 19, 8 34, 6 Amériques 23 21 25 (1,6) (2,3) (3,3) Asie 20 32 36 (1,6) 9,9 13, 6 Europe Sous-total Vill ages % Chiffre d'affaires 2008 205 219 257 18, 2 27, 3 44, 9 15,1% 15,7% 17,3% 1,3% 2,0% 3,0% Autres acti vités -0,2 0,0 0,2 (2,0) (1,9) (2,0) Total Groupe 205 219 257 16, 2 25, 4 42, 9 15,0% 15,6% 17,2% 1,2% 1,8% 2,9% % Chiffre d'affaires * hors J et tours et Cl ub Med Gym L’EBITDAR de c hacune des zones géographiques s’es t significati vement amélioré entre 2007 et 2008 avec des croiss anc es respecti ves de près de 18% pour l’Europe et l’Amérique et de 12% pour l’Asie. comprend près de 9 M€ d’impact c ompt able dû au trait ement 2.3.6. RESULTAT FINANCIER (en millions d'euros) OCEANES 2008 & 2010 des normes I AS 32 et 39 sur les OCEAN ES 2010 et 2008. 2007 2008 (21) (22) Cette derni ère ayant ét é remboursée pour un mont ant de 152 M € le 3 novembre 2008, le rés ultat financier 2009 sera méc aniquement amélioré de l’ordre de 5 M €. Autres c harges d'int érêt (10) (8) Intérêts (31) (30) 1 0 (30) (30) 6 (3) (24) (33) Dette net te moyenne (376) (383) Coût de la dette "compt able" 8,3% 7,8% (hors impac t IFRS) ou c ash qui s’ élève à 5,6% s ur Coût de la dette hors impact IFRS 6,3% 5,6% 2008 contre 6,3% en 2007. Il s’est amélioré de 70 Autres éléments Résultat financier hors change Ecarts de conversion et de change Résultat financier Afin de tenir compte de l’impac t compt able, deux indic ateurs du c oût de la dett e s ont anal ysés : - un c oût de la dette calc ulé par rapport à la c harge du compte de résult at pour tenir c ompte de l’impact IFRS des OCEANES - un coût de la dett e calculé s ur le coût éc onomique points de base. Le rés ultat fi nancier du Groupe représente une charge de 33 M€, à c omparer à 24 M€ pour 2007. L’écart provi ent uniquement du résult at de change. La c harge d’intérêt 18 Doc um ent de Référenc e 2008 2.3.7. AUTRES RESULTAT POSTES DU COMPTE DE Passif 31. 10. 07 31. 10. 08 490 494 Provisions 51 49 Impôts différés nets 34 31 BFR 257 229 immobilières qui sont d’un mont ant équi val ent en 2007 Dette financière net te 336 295 et 2008 ; Total du passif Capitaux propres et I ntérêts minoritaires ROC PATRIMOINE Le ROC Patrimoi ne, qui s’élève à (8) M€, comprend principalement deux éléments : - les - les plus- val ues coûts des sur c essions Villages d’ actifs fer més de nature défi nitivement ou Gearing 1 168 1 098 68, 6% 59, 7% temporairement pour reconstruction. C ett e charge est en croissanc e en 2008 c ar un nombre i mportant de Villages (Tignes Val Claret, I xt apa Pacific, Punta Cana, Les fonds propr es, à près de 500 M€, s ont en légère Gregolimano, Bali…) ét aient concernés. croissance par rapport au 31 octobre 2007. Enfin, le ROC Patrimoi ne 2007 incluait une reprise de Le Bes oin en Fonds de Roulement, qui est une ressource au provisions pour impairment de l’ordre de 7 M€, élément non Club Médit erranée, s’él ève à 229 M€, soit 15% du chiffre récurrent en 2008. d’aff aires 2008, c ette proportion ne variant pas par rapport à 2007. AUTRE RESULTAT OPERATI ONNEL Les i mmobilisati ons s’ élèvent à 1 138 M€. Suit e aux c essions L’Autre Rés ultat O pérationnel comprend le coût des cartes de J et t ours et de Club Med G ym, et donc des marques et de crédit et des c oûts de restruc turati on. C’est l’augmentation goodwill, les i mmobilisations inc orpor elles di minuent, pass ant de c e dernier post e, dans le c adre d’acti ons de producti vité de 191 M€ à 85 M€. Le montant des immobilisations déjà corporelles représ ent ent désor mais près de 85% du total des engagées, qui fait passer cet Autre Rés ultat Opérati onnel de (19) M€ à (25) M€. immobilisations. Grâce à l’amélioration de la rent abilité opérationnelle et à RESULTAT O PERATIONNEL l’impact des cessions de J et tours et de Club Med G ym, la Le Résult at Opérationnel du Groupe comprenant le ROC dett e s’él ève à 295 M€, en baisse par rapport à oct obre 2007, Loisirs en fort e pr ogression, l e ROC Patrimoine et l’Autre et le ratio d’endet tement s’établit à 59, 7%. Résultat O pérationnel, s’élève à 10 M€ en 2008 c ontre 8 M€ l’an dernier. 2.5. TRESORERIE ET CAPITAUX IMPOTS 2.5.1. TABLEAU DE FINANCEMENT La c harge d’impôt nette s’élève à 11M€ en 2008 contre un (1) (1) produit net de 3 M€ en 2007 qui intégrait des produits (en millions d'euros) d’impôts dif férés de l’ordre de 10 M€ non réc urrent. Marge brute d'aut ofinanc ement 24 34 Variation du BFR (2) 7 Variation des provisions (9) 2 RESULTAT NET Le rés ultat net s’élève à 2 M € contre (8) M€ en 2007. Fonds dégagés par l'expl oitation Actif 31. 10. 07 31. 10. 08 Immobilisati ons C orporelles 928 964 Immobilisati ons Incor porelles 191 85 86 89 1 205 1 138 (37) (40) 1 168 1 098 Immobilisati ons Financi ères S/T immobilisations Subventi ons Total de l'actif 13 43 (128) 65 135 Free Cash Flow (30) 50 Change et autres (12) (9) Variation de l'endett ement net (42) 41 Cessions (en millions d’euros) 2008 (108) Investiss ements 2.4. BILAN 2007 (1) Y compris les flux J et t ours et Club Med G ym Doc um ent de Référenc e 2008 19 de Gregolimano ( 20 M €), Punt a Cana (20 M€), La Pointe aux (en millions d'euros) Canonniers (14 M€), I xt apa Pacific (8 M€), Tignes (5 M€), 2006 2007 2008 (130) (90) (113) participati on de 16% dans la Financière Club Med G ym. Les Incorporels (9) (10) (7) cessions qui s’élèvent à 135M€ comprennent principal ement Financiers (12) (8) (9) la cession de Club Med G ym et J et tours pour 109 M€. (151) (108) (128) Investiss ements nets* Corporels Total investissements nets* Club Med 2 (7 M€) et Bali (4 M€). Ils int ègrent également le réinvestissement de 4 M€ c orrespondant à l a prise de Le Free Cas h Flow es t positif à 50 M€ contre (30) M€ en 2007, et ce, grâce à la performanc e opérationnelle et aux * (des s ubventi ons ) (en millions d'euros) cessions de J et tours et de Club Med G ym. 2006 2007 2008 Au 31 octobre, les liquidités totales disponibles du Groupe Cessions Sorties de périmètre 70 17 129 Cessions de murs et location simple 63 39 0 Autres 10 9 6 Total cessi ons 143 65 135 La marge brut e d’ aut ofinanc ement et les fonds dégagés par s’élevaient à 288 M€. Le rapprochement entre les fonds dégagés par les opérations du tableau page 19 et les flux liés aux opérations d’exploit ation du t ableau de flux consolidés page 84 est le suivant : (en millions d’euros) l’expl oitati on sont en fort e croissanc e, ce qui reflète une 2007 2008 Fonds dégagés par l’exploitation (t ableau de fi nanc ement) 13 43 par l’actif éc onomique. Il se compose des fonds dégagés par Frais financi ers payés 16 24 l’expl oitati on et des investissements nets de cessi ons. Autres 2 3 Les investissements nets de subventions se sont él evés en Flux nets de trés orerie liés aux opérations d’exploitation 31 70 évoluti on significati ve de la perf ormance opérationnelle. Le Free Cas h Flow, ou flux de trésor erie disponible après impôt et frais financiers, mes ure le fl ux de trésorerie généré 2008 à 128 M€ et concernent principalement les rénovations 2.5.2. INFORMATION SUR L’ ENDETTEMENT NET DU GROUPE La struc ture de l’endett ement financier net au 31 oc tobr e 2008 est la s uivante : 31. 10. 2006 31. 10. 2007 31. 10. 2008 Trésorerie 165 108 152 Empr unts et det tes financières non courant 346 408 259 Empr unts et det tes financières c ourant 109 36 188 4 0 0 Total emprunts et d ettes finan cièr es 459 444 447 Endettement net 294 336 295 en M€ Passifs relatifs aux immobilisations destinées à être cédées La maturité de la dette brut e, de 32 mois au 31 oc tobre 2008, 10/ 06 10/ 07 10/ 08 3,4x 3,5x 2,7x 1,3 1,4 1,5 8,1x 9,2x 12x est en f ait de 39 mois si l’on exclut l’OCEANE 2008 remboursée le 3 novembr e 2008. Dette net te / EBITDA Loisirs Le c alcul des covenants présentés dans le tableau ci- EBITDAR Loisirs / (loyers + (2) intérêts) dessous f ait apparaitre une amélioration de la struct ure financi ère ( pour inf ormation, les niveaux de rati o à respecter figurent dans l a N ote 19. 5.2 de l’annexe aux compt es EBITDAR Loisirs / Frais (3) Financiers ajustés consolidés : Risque de liquidité sur la dette financièr e et (1) covenants). (2) (3) Chi ffres publi és E B IT DA R Loi si rs 2006 et 2007 retrai té par s ouc i de c om parabi li té Frai s fi nanc iers OCE A NE S 20 (1) aj us tés du trai tem ent com ptabl e Doc um ent de Référenc e 2008 IFRS des Il convient également de not er que le Groupe peut être 2.5.3. INFORMATION SUR LES CONDITIONS D’ EMPRUNT ET LA STRUCTURE DE FINANCEMENT Au c ours de l’exercice 2008, le Club M éditerranée n’a procédé à auc un refinancement. L’OCEANE 2008 a ét é remboursée le 3 novembre pour un mont ant de 152,5 M€ (incluant 21, 6 M€ de prime de remboursement et 3, 8 M€ d’intérêts) grâce aux produits des c essions de Jet tours et de soumis ponct uellement à cert aines restrictions légales ou économiques limitant ou restreignant les fl ux financiers vers la Sociét é-Mère. Néanmoins , l'impact de c es restrictions est jugé peu significatif. 2.5.5. LIQUIDITE ET SOURCES DE FINANCEMENT ATTE NDUES NECESSAIRES POUR HO NORE R LES ENGAGEMENTS DU GROUPE Club Med G ym et un tirage sur la ligne de crédit s yndiqué à Après remboursement de l’OCEANE 2008 le 3 novembre échéanc e juin 2010. Le Club Médit erranée a également 2008, procédé en s ept embre 2008 au remboursement anticipé d’un (disponibilités et lignes banc aires mobilisables) pour faire emprunt localisé au Brésil pour 3,6 M €. face à s on c ycle d'exploitation et son plan d'investissements l e Groupe dispose des liquidités néc essaires (50 M€ prévus) des 12 mois à venir. 2.5.4. INFORMATION CONCERNANT TOUTES RESTRICTIONS A L’UTILISATION DES CAPITAUX ET AYANT INFLUE SENSIBLEMENT OU POUVANT INFLUER SENSIBLEMENT DE MANIERE DIRECTE OU INDIRECTE SUR LES OPERATIONS DU GROUPE. Les lignes banc aires ou le crédit s yndiqué peuvent c ontenir des claus es de remboursement anticipée not amment en c as de non res pect des covenants ou de cessions. Les covenants (les plus res trictifs) sont donc détaillés dans la 2.5.6. ENGAGEMENTS HORS BILAN Les engagements hors bilan du Groupe sont décrits en Not e 29 de l’annexe aux c ompt es consolidés (Engagements). 2.5.7. OBLIGATIONS CONTRACTUELLES Voir la Note 18 de l’annexe aux compt es consolidés : Empr unts et Dett es financi ères, Anal ys e de la dette brute par échéanc e de remboursement. not e 19.5. 2 de l’annexe aux comptes consolidés (Risque de liquidité sur la dett e fi nancière et covenants). 2.6. ETAT DU PATRIMOINE IMMOBILIER VILLAGES (V ALEUR NETTE COMPTABLE, EN M€) 2.6.1. ACTIFS CORPORELS VILLAGES ET MODES D’ EXPLOITATION ACTIFS CORPORELS Villages Superficie Ha Lits Chambres VNC (31/10/08) France 4 61 2 098 984 61 Europe 6 102 4 878 2 262 134 Afrique 3 99 1 329 662 74 Amériques 10 235 7 344 3 127 373 Asie 5 288 3 119 1 303 112 Sous-total Vill ages en propri été 28 785 18 768 8 338 754 788 34 018 15 127 155 Villages en propriét é (totale ou partielle) Villages managés 5 Immobilisati ons s ur Villages en loc ation 48 4 150 Autres i mmobilisati ons (bureaux, mac hines) TOTAL VILLAG ES 13 81 1 573 56 936 23 465 922 Les i mmobilisati ons corporelles du Groupe, nettes de s ubventi ons, s’élèvent à 922 M€; le montant principal, 754 M€, concerne les 28 Villages dont le Groupe es t propriétaire. Une partie des c es immobilisations concernent des Villages sur l esquels le Groupe est en part enariat. Doc um ent de Référenc e 2008 21 VNC* 31. 10. 07 I. Actifs à s ortir de la capacité (non stratégiques et non néc essaires à l'expl oitation) VNC* 31. 10. 08 68 51 II. Actifs adossée à une ligne de crédit 118 133 III. Ac tifs potentiellement refinançables à courtterme 124 152 IV. Autres actifs Villages 402 418 Total Ac tifs corporels Villages en propriét é 712 754 * Net de s ubventions 2.6.2. VILLAGES EN PROPRIETE (TOTALE OU PARTIELLE) Villages Tridents Superficie Ha Lits Chambres VNC 31/ 10/ 2008 Commentaires Arcs Altitude 1 2 0 457 191 9,1 - Cap Skirring 1 4 87 415 205 12, 2 - Cargese 1 3 21 942 439 17, 2 - Cefalu 1 Fermé 14 1072 536 6,9 - Club Med 2 1 5 0 394 196 29, 8 - Dieulefit 1 Fermé 40 305 158 4,7 - Gregolimano 1 4 21 814 382 47, 8 (5) Kemer 1 3 40 944 461 7,8 (3) Kos 1 En travaux en 08 22 880 305 29, 4 - La Point e aux Canonniers 1 4 11 633 319 48, 1 (3) (4) Louxor 1 3 1 281 138 13, 5 (1) Sestrière 1 3 2 569 267 12, 2 - St Moritz Roi-Soleil 1 4 2 599 311 30, 8 (1) Cancun Yucat àn 1 4 9 853 376 55, 2 - Colombus Isl e 1 4 32 529 236 25, 3 - Ixt apa Pacific 1 4 15 679 298 37, 4 - La Caravelle 1 4 19 604 250 28, 2 (2) (5) Les Bouc aniers 1 4 23 641 293 30, 7 (2) (5) Punt a Cana 1 3 30 1319 433 76, 7 - Sandpiper 1 3 16 760 337 37, 3 - Itaparica 1 3 33 689 330 28, 3 (1) Rio das Pedras 1 4 31 708 324 28, 4 (1) Trancoso 1 4 27 562 250 25, 4 (1) Bali 1 4 14 922 393 29, 8 (3) Bora Bora 1 4 29 300 100 24, 5 - Cherating Beac h 1 4 85 696 297 19, 4 (3) Lindeman Island 1 3 136 540 214 13, 4 (3) Phuket 1 4 24 661 299 25, 1 (3) 28 _ 785 18 768 8 338 754 TOTAL VILLAGES (1) (2) (3) (4) (5) 22 En partenariat 50/50 Défiscalisation Terrain en concession Participati on de minoritaires inf érieure à 20% Net de subventions Doc um ent de Référenc e 2008 chiffre d’aff aires, est en rec ul de 2, 4% par rapport à l’hi ver 3. PERSPECTIVES 2009 2008. Par z one géographique, c ett e t endanc e est de - 3,4% sur l’Europe, de - 2,4% sur la zone Amérique, et de +4, 9% s ur Les phénomènes obser vés au ni veau des comportements de l’Asie. réservations sur l’été 2008 se retrouvent s ur l’hiver 2009 bien que plus marqués s ous l’ef fet de la crise éc onomique : une L’année dernière à la même date, 70% des prises de premièr e phase de démarrage rapide des réser vations s ous commandes de l’hi ver 2008 avaient été enregistrées ; c elles- l’effet d’une politique délibérée d’earl y booki ng, une phase ci étaient en hausse de près de 15% par rapport à l’hiver d’att entis me particulièrement marquée, et un phénomène de 2007. Malgré la conj onct ure économique, l’acti vité est en late booki ng. croissance par rapport à l’hi ver 2007. 3.1. NIVEAU DE RESERVATIONS POUR L’HIVER 2009 (VS HIVER 2008) AU 6 DECEMBRE 2008 3.2. LES ACTIONS POUR FAIRE FACE EN 2009 (en CA c omparable) Dans le context e de crise éc onomique, le budget 2009 a été revu en prenant en compt e un cert ain nombre d’hypothèses Cumul é, au 6 décembre 2008 prudent es. Et pour f aire fac e à cet te sit uati on, des mesures Europe -3,4% opérationnelles ont été prises : Amériques -2,4% - réduc tion des c apacités : la capacit é hôtelière a ét é ajust ée Asie +4,9% Total Club Med -2,4% Capacité Hiver 2009 -3,1% à la baisse de près de 3%. - revue à l a baisse des investissements, ramenés à environ 50 M€ contre les 90 M€ initialement envis agés, réduits de 60% par rapport à 2008. - mise en pl ace de mes ures de producti vit é portant s ur les coûts de s tructur e pour un montant de l’or dre de 31 M€. Sur la bas e d’une c apacit é de l’hiver 2009 en baisse de 3,1% , le ni veau des réser vations au 6 décembr e, exprimées en 3.2.1. REDUCTION DE LA CAPACITE HIVER 2009 Hiver 07 Hiver 08 Hiver 09 ∆ Hiver 09 vs 08 5,0% 2,0% 1,0% -1,0pt 3 Tridents 47, 0% 44, 0% 37, 0% -7,0pt 4 et 5 Tridents 48, 0% 54, 0% 62, 0% +8,0pt TOTAL 100% 100% 100% +0,0pt Europe 2 962 3 184 2 965 - 6,9% Amériques 1 467 1 393 1 490 + 6,9% 937 944 895 - 5,2% 5 366 5 521 5 350 - 3,1% (en milliers de JH) 2 Tridents et autres Asie TOTAL MONDE La réfl exion autour de la c apacité a donné lieu à deux actions : - diminuer l es ouvert ures de Villages 2 et 3 Tridents en basse 3.2.2. REDUCTION DES INVESTISSEMENTS 2009 saison quand, en ret enant des hypot hèses de fréquentati on Les prévisions d’inves tissements ont ét é réestimés à 50 M€ plus f aible, l a contribution dégagée paraissait i nsuffis ant e ; (contre 90 M € envisagés en j uin), en-deç à du ni veau des - travailler sur les périodes creus es des Villages permanents, souvent liées aux aléas climatiques, et prendre des décisions de f ermeture en cas de risque de contributi on ins uffis ant e. La c apacité de l’hi ver 2009 est en baisse de 3,1% par rapport amortissements (de près de 70 M €). Avec près de 400 M€ investis sur trois ans s ur les Villages, l’essenti el des rénovations a été eff ectué. Cett e réduction se fait essentiellement par le décalage des mont ées en gamme des Villages de Kos, et de Sandpiper. à l’hi ver 2008, avec principalement une baiss e de 6,9% sur l’Europe. Cet te baiss e, liée en parti e à la s ortie du Village des Almadies à l a fin de l’hi ver 2008, et qui porte principalement sur les 2 et 3 Tridents, pourra atteindre jusqu’à -10% sur les périodes creus es. Doc um ent de Référenc e 2008 23 Gagner des parts de marché à travers : 3.2.3. PROGRAMME STRUCTURE S DE PRODUCTIVITE DES - l’accélération du recrut ement d’ une client èle à hauts revenus par une politique mar keting ciblée et relati onnelle ; En M€ s ur 2009 - l’accélération de la croissance d’I nter net : +20% c ette année Dépenses c ommercial mar keting 6 et qui devrait pr ogresser jusqu’à +50% ; Achats 3 - l’appui sur les marchés rel ais de croissance : c’est Produc tivit é des organisations 22 2008, elle c onnaît un pot enti el très important, puisqu’on y Total 31 compte 12 millions de Top 12, et le fait que 74% des C hinois not amment l e c as de l a Chine. Avec déjà 18 000 clients en à hauts r evenus déclarent aimer énormément le Club Med ; Le c hangement de strat égie avec le repositionnement sur le haut de gamme a néc essité la mise en place d’organisations : - le lanc ement du programme de fidélisation : « Club Med Great Members ». Ce programme, l anc é en janvier 2009, - dépens es mar keti ng et c ommerciales pour repositi onner la sera déployé au c ours de l’année à l’échelle mondiale. marque ; - simplification des organisati ons (optimisation Ress ources Préparer l’avenir Humai nes en Villages…) ; L’opti misation du business model passera en 2009 par deux - achats : c ontrats renégociés. axes prioritaires : Enfin, un c ertain nombre d’investissements technol ogiques - dével opper des c apacités flexibles , pr éfinancées et à f orte dans les s yst èmes d’infor mati on permet de délivrer une rentabilité : les villas et l es chalets. 20 villas s ont act uellement meilleure prest ation à un moindre coût. en c ours de cons truction à Al bion et des chalets sont en projet à Valmor el, Villars-sur-Ollon ou Sahoro, ainsi que des Ce programme, intégré au budget 2009, représ ent e des villas à la Caravelle, Marrakech ou enc ore Lindeman. économi es de 31 M € par rapport à 2008. D es actions ont été mises en plac e pour faire f ace à l a conj onct ure. Le cas - privilégier le développement des Villages en management. échéant , ces ac tions pourraient être renforcées dans chaque Avec Taba, O man, Buzi os (condominium) et le Sénégal, la domaine : la c apacité, les investissements et les coûts, avec proporti on devrait sensiblement augment er. Le management des opportunités possibles sur les coûts de l’énergie du fait concerne aujourd’hui 6% de l a capacit é. de la baiss e des pri x du pétr ole. Par ailleurs, l e proj et Magellan se poursuit. Un poi nt d’ étape est donné en page 69. 3.2.4. POURSUITE DE LA STRATEGIE SUR LE HAUT DE GAMME Grâce à sa strat égie de montée en gamme, l e Club Med 3.3. EVENEMENTS POSTERIEURS A LA CLOTURE bénéficie de plusieurs at outs : Néant - une bas e de client èle à hauts revenus : l’essentiel de la substit ution est finalisée ; 3.4. INFORMATIONS DIVERSES - un positionnement haut de gamme avec un exc ellent rapport compris Club Med » très riche en contenu ; 3.4.1. DEPENDANCE DE L’ EMETTEUR A L’ EGARD DE CERTAINS BREVETS OU CONTRATSAPPROVISIONNEMENTS - un parc de Villages rénovés dans des sit es exc eptionnels, Néant qualité / prix grâce à l’of fre « tout c ompris » qui per met une meilleure maîtrise des budgets des clients et un « tout avec notamment à desti nati on de l a clientèl e la plus aisée un choi x de Villages prestigieux 4 et 5 Tridents à travers le 3.4.2. FAITS EXCEPTIONNELS ET LITIGES monde (c’est la « collec tion Particulière ») qui représ entera Il n’y a pas eu, plus de la moitié des c apacités en 2009 (55%) ; gouvernement ale, judiciaire ou d’ arbitrage qui pourrait avoir - une implantati on mondiale qui of fre des opportunit és de ou a eu réc emment des effets significatifs s ur la sit uati on croissance sur de nouveaux marchés et qui favorise la financi ère ou la r ent abilité de la Sociét é et/ou du Groupe. sur l’exercice 2008, de procédure multicult uralité. Sur la bas e de c es at outs , les priorités pour 2009 s ont de gagner des parts de marché et de c onti nuer à préparer l’avenir. 24 Doc um ent de Référenc e 2008 réguliers permettent de maîtriser les risques liés aux 3.4.3. ELEMENTS SUSCEPTIBLES D’ AVOIR UNE INCIDENCE EN CAS D’ OFFRE PUBLIQUE (ARTICLE 225-100-3 DU CODE DE COMMERCE) installations t echniques traditionnellement présent es sur un Il n’exist e pas d’élément susceptibl e d’ avoir une incidenc e sur comptabilisé aucune provision, la Société en c as d’offre publique. d’environnement s ur l’exercice 2008. En l’absence de risques significatifs , le Club Médit erranée n’a ni garantie en matière Pour pl us d’inf ormations s ur les pratiques du Groupe en 3.5. TRANSACTIONS AVEC LES PARTIES LIEES mati ère Il n’existe pas de tr ansac tions entre parties liées autres que celles décrites village de vac anc es. de développement durable, voir partie « Dével oppement durabl e » du prés ent doc ument. en Not e 28 de l’annexe aux comptes consolidés. Matières premières /énergie Les différents projets déployés dans le c adre de la politique de dével oppement durabl e du Groupe permettent de réduire 4. FACTEURS DE RISQUES progressivement la consommation en énergie des Villages Le Club Méditerranée c onduit une politique de gestion des risques de l’entreprise afin de res pect er au mieux la défense des intérêts de ses actionnaires , de ses clients et de s on environnement. Cet te politique s’appui e sur une cartographie des risques opérationnels majeurs qui permet de hiérarchiser not amment à travers le s ys tème de reporting « Tec h Care » permett ant un pilot age des s yst èmes d’éc onomies d’énergies par village. Carburants les problématiques en fonc tion de leur niveau d’occurrence et Le Groupe n’ét ant de leur impact économique pour le Groupe. Après avoir d'expositi on directe au risque pétrole. procédé à une revue de ses risques, le Club Méditerranée considère qu’il n’ y a pas d’ autres risques significatifs hormis ceux présentés ci-après. L’acti vité d’expl oitati on de villages de vacances du Groupe est particulièrement sensible aux c ycles économiques et au Les Le risque indirect, lié à l’impact des hauss es du pétrole sur les achats transports (ac hat/ vente de billets d'avi on) es t li mité par la répercussion aux clients des éventuelles hausses 4.1. RISQUES LIES AU CLIMAT, A LA CONJONCTURE ECONOMIQUE ET AUX ENJEUX POLITIQUES climat. pas tr ansporteur aérien il n'a pas risques climatiques majeurs que s ont les carburants, prévues par les c onditions général es de vente. Le Club Méditerranée n'a donc pas rec ours à des opérati ons de marché pour c ouvrir ce risque. Confor mité réglementaire Au titre de l’exercice 2008, aucune i ndemnité liée à catastrophes naturelles (ouragans, c ycl ones…) sont couverts l’application par d’environnement n’a été enregistrée par Club Méditerranée nos polices d’ass uranc es. T out ralentissement conjoncturel dans les zones d’acti vité du Groupe i mpac te d’une décision judiciaire en matière SA. négati vement l a demande de l oisirs de manière générale et celle des voyageurs en particulier. C ett e fl uctuation de la demande provoque d’importantes variations du ni veau d’acti vité qui est réduit par la variabilisati on du modèl e du Groupe en t ermes de coûts d’expl oitation. D e plus , la présenc e du Club Méditerranée dans plus de 40 pays renforce son exposition aux risques géopolitiques à travers le monde. Pour limiter son exposition aux zones particulièrement à risques, le Groupe privilégie l es modes d’exploit ation plus flexibles, c omme les contrats de management. Objectifs que la Société assigne à ses filiales A l’étranger, Club Méditerranée SA exige de s es filiales qu’elles appliquent la politique générale, f avorisent l e retour d’expérience et économiques, le partage des environnemental es bonnes et pratiques s ociales . Club Méditerranée SA s’ass ure égal ement du respect par ses filiales des réglement ations local es. 4.3. RISQUES JURIDIQUES La nature de l’acti vité et l’implant ation dans de nombreux pays 4.2. RISQUES LIES A L’ENVIRONNEMENT opérationnelles et avec peuvent l es diff érentes être et quelquefois sourc es de diffic ultés conduire à des sit uati ons fournisseurs, les propriét aires, le personnel, voire les administrations local es. Prévention et maîtrise des risques environnement aux Les acti vités du Club M édit erranée n’ engendrent pas de sur réglementati ons peuvent litigieuses Prévention et c onf ormit é risques spécifiques aux contradictoires, l’environnement. Des Une esti mation des risques identifi és et avérés fait l’objet de provisions qui tiennent compt e des conditions particulières contrôles Doc um ent de Référenc e 2008 25 (nature de l’acti vité et implantati on internationale), dès lors couvrent la marge brut e ac tualisée des s ociét és du Gr oupe, qu’ils peuvent être évalués avec un degré de fiabilité s uffisant. en c onf ormit é avec l’anal yse du Sinistr e Maximum Possible et pour une couvert ure d’assurance maximum de 100M€ par 4.4. ASSURANCE – COUVERTURE DES RISQUES La politique de gestion des risques du Club Méditerranée s’inscrit dans une démarche dynamique : de l’identificati on syst ématique et c entralisée des risques à la mise en plac e et à la coor dinati on des ass uranc es dans le cadre de programmes mondiaux, en pass ant par l’organisati on de la prévention et protec tion des biens et des personnes, et le dépl oiement d’un dis positif de gesti on de crise s ur le pl an international. Nous n’avons pas identifié de risques particuliers non c ouverts par les polices d’assur ances . Le dis positif global de couvert ure financière s’ appuie principalement s ur le trans fert de ces risques aux marchés de l’assurance à des conditions fi nancières rais onnabl es, dans le cadre de l’offre disponibl e sur c es marchés en termes de garanties et de limites de c ouverture, en dehors de toute structure de c aptive d’ assurance ou de réass uranc e. Les franc hises à la charge des soci étés du Groupe répondent not amment à une opti misation du rapport couverture / coût global du risque. L’absence de sinistr e majeur non garanti permet de valider la pertinence et l’adéquation des couvert ures souscrites. La solidit é financière différents sit es aux principaux risques d’inc endie et de catastrophes natur elles, menées avec les outils de modélisation utilisée par les grands réassureurs mondiaux, et à la mise en avant de la politique de préventi on et de protecti on des actifs du Club Médit erranée, le r enouvellement er de ce pr ogramme au 1 mai 2008 a permis la mise en pl ace de fr anchis es spécifiques, l’achat de c apacités suppl ément aires, notamment pour les événements naturels, avec un budget de prime réduit de près de 20%. - au-del à de l a couvert ure des risques propr es au Groupe, le Club Méditerranée f ait bénéficier l’ens emble de ses clients dans le monde d’une large c ouvert ure d’assistance souscrite auprès d’Europ Assist ance. 4.5. GESTION DES RISQUES FINANCIERS De par ses ac tivit és, le Groupe est exposé à différents t ypes de risques financiers t els que des risques de marché (notamment risque de change, risque de t aux), des risques de crédit et de liquidité. Le Groupe peut être amené à utiliser des instruments des partenaires assur eurs est régulièrement vérifiée et c ertains arbitrages ont ét é ef fect ués à l’occasion des renouvellements menés en 2008. Au global, les principaux act eurs mondiaux participent aux programmes d’assurances maj eurs du Groupe, t ouj ours en partenariat avec Marsh, leader mondial du courtage d’assurances . Les assureurs de réf érenc e res tent G enerali pour le programme RC et ACE ainsi que le marc hé de Londres pour le programme Dommages. financi ers déri vés pour limit er son exposition aux risques de change liés à son acti vité et au risque de taux d’int érêt afférents à s on endett ement à t aux variable et réduire s on expositi on à c es risques. Ces ins truments sont essentiellement mis en plac e pour couvrir son expositi on au risque de change sur des transac tions f utures . Le département Trés orerie du Groupe identifie, éval ue, gère et couvre les risques financiers de manière c entralisée, conf ormément aux politiques approuvées par l e Comité d’Audit . Les principales couvertures d’assurance mondiales s ont les suivant es : La not e 19 de l’annexe aux compt es consolidés sur les instruments financi ers prés ent e de manière détaillée la - programme mondial de Res ponsabilité Civile à l’égard de ses sinistre. Suite à une analys e approfondie de l’expositi on des clients et des tiers er renouvellement du pr ogramme au 1 en général. Le politique de gestion des risques financiers. Dans un souci de concordanc e pl usieurs renvois s ont donc f aits à cet te not e. novembre 2008 a permis au Club d’augmenter son plafond de garanti e de 114 à 133 M€, de réduire ses franchis es par sinistre et par an, tout en bénéficiant d’une baisse de prime c onséquent e. C ela a été possible grâce au ni veau élevé de qualité et de séc urité du Groupe dans l e pilotage de ses opérati ons, étant précisé que le programme RC n’ a pas f ait l’objet d’une sinistralité significative. Pl usieurs outils per mett ent au Club Méditerranée de réduire s on exposition aux risques et c e dans l’int érêt de 4.5.1. RISQUE DE MARCHE La Not e 19 de l’annexe aux comptes c onsolidés sur les instruments financiers c ouvre : - le risque de c hange (Not e 19.1) - le risque de taux (Note 19.2) - le risque marc hé actions (Note 19.3) ses clients , notamment un reporting dét aillé et s ynt hétique par Village, pays et zone, des nombres, coûts et circonstances des réclamations, per met tant des actions immédiat es sur les mes ures de pr évention et s écurit é. garanties T ous Dommages Sauf s ont délivr ées à haut eur des 26 La Note 19. 4 de l’annexe aux compt es c ons olidés trait e du risque de crédit - programme Dommages / Pertes d’ exploit ation : Les capitaux ass urés et les garanties 4.5.2. RISQUE DE CREDIT ET DE CONTREPA RTIE Pertes et de c ontrepartie sur l’exploitati on commerciale, s ur les plac ements financi ers et les instruments dérivés. d’exploitati on Doc um ent de Référenc e 2008 4.5.3. RISQUE DE LIQUIDITE Le risque de liquidité est géré par la mise en plac e de s ources SOCIETE MERE Club Méditerranée SA est la Soci été-Mère du Groupe Club de fi nanc ement di versifiées. Méditerranée. Elle es t à la fois la s ociét é holding du Groupe Au 31 octobre 2008, l e Club M éditerranée disposait de 288M€ de liquidité tot ale dis poni ble (y c ompris lignes de crédit tirées et la sociét é commerciale et exploit ant e de plusieurs Villages tant en Franc e qu’à l’étranger, sous la marque Club Med. début novembre), permett ant d’ass urer le rembours ement de l’OCEANE venant à échéance en novembre 2008. De ce f ait, les rés ultats sociaux de Club M éditerranée SA et leur évolution d’ une année sur l’autre ne traduisent que La N ote 19.5 de l’annexe aux comptes consolidés pr ésente de mani ère détaillée l es disponibilités du Gr oupe, les passifs partiellement la perf ormance du Groupe et ne reflèt ent pas les mêmes tendances que les compt es c onsolidés. financi ers du Gr oupe par éc héance et les covenants attac hés L’exercice social se clôt par un résultat net de (1) M€ contre aux différents fi nancements. un rés ultat de (38) M€ pour l’exercice cl os le 31 octobre 2007. Ceci provient principalement de la variation du résult at exc eptionnel qui pass e de (1)M€ à 28M€ s uite à l a cessi on des s ociétés Club Med G ym et SIM. CA LENDRIER 2009 DE LA COMMUNICATION FINANCIERE 20 février 2009 : Assemblée G énérale des actionnaires er Mars 2009 : C hiffre d’aff aires 1 trimestre 2009 12 j uin 2009 : Rés ultats semestriels 2009 e Septembre 2009 : Chiffr e d’affaires 3 trimestre 2009 11 décembr e 2009 : Résult ats annuels 2009 Doc um ent de Référenc e 2008 27 RENSEIGNEMENTS GENERAUX 29 – RENSEIGNEMENTS GENERAU X CONCERNANT LA SOCIETE CLUB MEDITERRANEE 32 – RENSEIGNEMENTS GENERAU X CONCERNANT LE CAPITAL 36 – RENSEIGNEMENTS GENERAU X CONCERNANT LE MARCHE DES TITRES CLUB MEDITERRANEE 38 – GOUVERNEMENT D’ENTREPRISE 28 Doc um ent de Référenc e 2008 RENSEIGNEMENTS GENERAUX CONCERNANT LA SOCIETE CLUB MEDITERRANEE logo ou emblème nouveau que la Société pourrait dét enir ou DENOMINATION SOCIALE déposer. Club Médit erranée La Société peut assist er les filiales de son Groupe par tous moyens not amment en leur accor dant tous prêts, avanc es et SIEGE SOCIAL crédits dans l e respect des l ois et règlements en vigueur. 11, rue de Cambrai – 75957 Paris Cedex 19 D’une manière générale, la Soci été peut eff ectuer tout es opérations i ndustrielles, c ommerciales ou financières , FORME JURIDIQUE ET LEGISLATION mobilières et i mmobilières et not amment t oute prise de APPLICABLE A LA SOCIETE dét ention ou ges tion de participati ons dans t out e s ociét é La société Club Méditerranée (la « Soci été ») est une s ociét é anonyme de droit fr ançais régie par les lois et règlements en vigueur, et notamment par les articles L. 225- 17 à L. 225-56 du Code du commerce. industrielle ou commerciale, se ratt achant directement ou indirectement à l’objet ci-dessus, ou à tous autres objets similaires ou connexes. REGISTRE SOCIETES DATE DE CONSTITUTION - DUREE La Sociét é a été c onstit uée le 12 novembre 1957. Sa durée est fi xée de mani ère à expirer le 31 octobre 2095 sauf l es c as COMMERCE ET DU DES 572 185 684 RCS PARI S - Code APE 5520 Z. CONSULTAT ION décidés par l’Assembl ée Générale à la maj orité prévus pour DES RELATIFS A LA SOCIETE les modificati ons s tat utaires. Les documents relatifs à la Sociét é (not amment les statuts , de pr orogation ou de dissoluti on anticipée, notamment OBJET SOCIAL (ARTICLE 2 DES STATUTS) La Sociét é a pour objet principal, en France et dans t ous l es pays, l a création et l’exploit ation, directement ou i ndirect ement, DOCUMENTS les rapports, les compt es) s ont consult ables au si ège soci al du Club Médit erranée, 11 r ue de Cambrai – 75957 Paris Cedex 19. d’hôt els ou de c entres de vacances et/ ou de loisirs et/ ou de DOCUMENTS ACCESSIBLES AU PUBLIC divertissement et tout es acti vit és s’ y rapport ant direct ement ou Les documents et leurs historiques sont disponibl es sur indirectement, et notamment la pr ospec tion, l’achat et/ ou l a simple vent e et la l ocation, de quelque manière que ce soit , de tous communication demande ou accessi bles financi ère du sur le Club site de la Méditerranée terrains, de tous meubl es et i mmeubles ; la création et www.clubmed.com : l e document de réf érenc e dépos é aupr ès l’entretien de bur eaux d’ études ; l a c onstruc tion, l’équipement , de l’Aut orité des Marchés Fi nanci ers ; le rapport fi nancier la gestion et l’entreti en d’hôtels, rest aurants et centres de semestriel ; la l ettre du Club acti onnaire adress ée deux f ois vac anc es et/ou de loisirs et/ou de di vertissements ; l a par an comprenant un message ac tualisé du Prési dent- promotion, l’organisation ou la réalisation de voyages ; Directeur Général et qui prés ent e les nouveaut és du Groupe l’hébergement, l a rest auration et le trans port des participants ; ainsi que l’évolution du c ours l’organisation de tous circuits, t ours, excursions ; l’organis ation d’opérations financières enregistrées auprès de l’Aut orité des et la mise en œuvre de toutes acti vités sporti ves, éduc ati ves , marchés financiers ; touristiques, c ulturelles ou artistiques ; les organis ations l’Assembl ée G énér ale adress é s ystématiquement à tous l es événementielles, s pec tacles, animation et tout c ons eil s’ y actionnaires nominatifs. de bourse ; les not es ainsi que l’avis de c onvocati on à rapport ant ; la créati on ou l’acquisition et l’exploitation de tous équipements, de tout es organisati ons et réalisations à but ou objet s portif, éducatif, touristique, c ulturel ou artistique ; l’établissement et l a c onclusi on de tous c ontr ats ayant l es Toutes les ac tualités financi ères et tous les doc uments d’information publiés par l e Groupe figurent s ur le site int ernet institutionnel et financier www.clubmed.c om. mêmes buts ; la créati on ou l’acquisition et l’expl oitation de Les tous fonds ou établissements ayant les mêmes acti vités ; l a retrans mises en direct et en dif féré ( vidéo). Le cours de participati on de la Société par t ous les moyens et sous bourse est disponibl e en direc t et un espace es t dédié aux quelque forme que ce soit, à toutes entreprises et à tout es actionnaires i ndi viduels et aux membres du Club actionnaire. prés entations de résult ats aux anal ystes s ont sociétés créées ou à créer ; la c onc eption, la création, l a fabrication, la c ommercialisation - direct e ou indirec te par l’intermédiaire not amment de tout licencié - de tous pr oduits et de tous ser vices pouvant être distribués s ous les marques , Enfin, le Club Méditerranée dif fuse par voi e él ectronique l’informati on réglementée par le biais d’un diff useur professionnel qui s atisfait aux critères fixés par l e règlement logos ou emblèmes lui appartenant, ou sous toute marque, Doc um ent de Référenc e 2008 29 général de l’Aut orité des marchés financiers et met en ligne Lorsqu’un bilan établi au c ours ou à la fin de l’exercice et sur son site int ernet l’infor mati on réglement ée dès sa diff usion. certifié par un Commissaire aux C omptes fait apparaître que la Société, depuis la clôture de l’exercice préc édent, apr ès EX ERCICE SOCIAL constit ution des amortissements et provisions néc essaires , L’exercice social débute le 1er novembre de c haque année et s’achève le 31 octobre de l’année s ui vante. REPARTIT ION BENEFICES déduction f aite s’il y a lieu des pertes antérieures, ainsi que des s ommes à porter en réser ve en application de l a loi ou des stat uts et c ompte t enu du report bénéficiaire, a réalisé un STATUTAIRE DES bénéfice, il peut être distribué des acompt es sur divi dendes avant l’approbati on des compt es de l’exercice. Le montant de ces ac ompt es ne peut excéder le montant du bénéfic e ai nsi L’article 36 des st atuts prévoit que sur le bénéfic e de c haque exercice diminué, le cas échéant, des pertes antérieures, s ont tout d’abord prélevées les s ommes à porter en réser ve en application de la loi. Ainsi, il est prélevé cinq pour c ent pour constit uer l e f onds de rés erve l égal ; ce prél èvement cess e d’être obligatoire lorsque ledit fonds att eint le dixi ème du capital s ocial ; il reprend s on cours l orsque, pour une c aus e quelconque, la rés er ve l égale es t descendue en dess ous de cette fracti on. Le bénéfice distribuable es t constitué par l e bénéfice de l’exercice diminué des pertes ant érieures et des défini. PART ICIPATION GENERALES AUX ASSEMBLEES 1 - Tout ac tionnaire a le droit de participer, dans les c onditions prévues par la loi, aux Ass emblées G énérales et aux délibérations personnellement ou par mandataire, quel que soit le nombre de s es acti ons, s ur simple justific ation de son identit é. sommes portées en réser ve en applicati on de l a l oi ou des 2 - T out actionnaire peut voter par corres pondance au moyen statuts, et augmenté du report bénéficiaire. d’un f ormul aire dont il peut obtenir l’envoi dans les conditions Sur ce bénéfic e, l’Assemblée Générale prél ève ens uite l es indiquées par l’avis de c onvocati on à l’Assembl ée. sommes qu’elle juge à propos d’af fect er à la dotation de tous 3 - Un acti onnaire ne peut se faire r eprés ent er que par son fonds de r éser ves fac ultati ves, ordinaires ou extraordinaires , conjoint ou par un autre actionnaire justifiant d’un mandat. ou de report er à nouveau. 4 - Dans les conditions prévues par les lois et règlements, l e Le solde, s’il en exist e, es t réparti entre t outes les ac tions . droit Hors le cas de r éduc tion de c apit al, aucune distribution ne correspondance est justifié par l'enregistrement compt abl e de participer aux Assembl ées ou de vot er par peut être f aite aux actionnaires lorsque l es c apitaux propr es des titr es dans les c onditions réglement aires, soit au troisième sont ou deviendrai ent à la s uite de celle-ci inférieurs au jour ouvré précédant l'Assemblée à z éro heure, heure de montant du capital augment é des réser ves que la l oi ou l es Paris. L'actionnaire qui a déjà exprimé s on vot e à distance, statuts L’Ass emblée envoyé un pouvoir ou demandé sa c arte d'admission ou une Générale peut décider la mise en distributi on de s ommes attes tation de participation dans les conditions réglement aires prélevées sur l es rés erves f acult ati ves s oit pour fournir ou peut à tout moment céder tout ou partie de ses ac tions . compléter distribution Cependant, si l a c ession int er vient avant le troisième jour exc eptionnelle ; en c e cas , la décision i ndique express ément ouvré préc édant l'Assemblée à zéro heure, heure de Paris, l a les post es de rés erve sur lesquels les prélèvements sont Sociét é invalide ou modifie en conséquenc e, sel on le c as, l e effec tués . T out efois, les di videndes s ont distribués par priorit é vote exprimé à dist ance, le pouvoir, la cart e d'admission ou sur le bénéfice distribuable de l’exercice. l'attestation de participation. Aucune c ession ni aucune autr e ne per met tent un pas divi dende, de distribuer. soit à titre de Les pertes , s’il en existe, sont, après approbation des c ompt es par l’Assemblée G énérale, inscrites à un compte spécial pour être imput ées sur les bénéfices des exercices ultérieurs jusqu’à extinc tion. opération réalisée après l e tr oisième j our ouvré préc édant l'Assemblée à z éro heure, heure de Paris, quel que soit l e moyen utilisé, n'est notifiée par l'inter médi aire habilité ou prise en c onsidération par la Sociét é, nonobs tant t out e convention contraire. L’Assemblée Général e stat uant sur les c omptes de l’exercice a la f acult é d’accorder à c haque actionnaire pour tout ou partie du di vidende mis en distribution, une option entre l e paiement du divi dende en numéraire ou en actions. La même 5 - Les tit ulaires d’ac tions nominatives sont admis sur simpl e justification de leur identité, les propriét aires d’ac tions au porteur sur justific ation du dépôt prévu ci-dessus. option peut être ouverte dans le cas du paiement d’ac ompt es L’accès de l’Assemblée est ouvert à s es membres sur simpl e sur di videndes. Les modalit és de mise en pai ement des justification de leur qualité. Le Conseil d’Administration peut dividendes tout efois, s’il le juge utile, remettre aux ac tionnaires des cart es en numéraire sont fi xées par l’Assemblée Générale, ou à déf aut , par le Conseil d’ Administration. d’admission nominati ves et personnelles. Toutefois, la mise en pai ement des di videndes doit avoir lieu DROIT DE VOTE DOUBLE dans un délai maximal de neuf mois après la clôt ure de l’exercice, sauf prolongation de ce délai par autorisation de L’article 8 des s tat uts prévoit qu’un droit de vot e double es t justice. attribué à toutes les ac tions entièrement libérées pour 30 Doc um ent de Référenc e 2008 lesquelles il sera justifié depuis 2 ans au moins et sans Pour la déter minati on des pourcentages de détention prévus à interrupti on, au nom du même ac tionnaire. l’alinéa précédent, il ser a tenu compt e des actions ou droits de En cas de transfert des titres ou de l eur conversion au porteur, le droit de vot e double s era perdu. Néanmoins , le droit de vot e double n’est pas interrompu en c as de transf ert par suite de vote poss édés ainsi que c es t ermes s ont définis par les dispositions des articles L. 233-3, L. 233-9 et L. 233-10 du Code de c ommerce. succession, de liquidation de biens de c ommunauté entr e A déf aut d’ avoir été déclarées ainsi qu’il est dit aux alinéas époux ou de donation entre vifs, au profit d’ un c onjoi nt ou d’un précédents, les acti ons exc édant l a fraction qui aurait dû êtr e parent de degré succ essible. déclarée s ont privées du dr oit de vote dans l es Ass emblées d’actionnaires , dans les c onditions prévues par la loi si, à FRANCHISSEMENT DE SEUIL – LIMIT ES STATUTA IRES – DECLARAT ION A LA CHARGE DES ACTIONNAIRES INT ERMEDIA IRES ET DES l’occasion d’une Ass emblée, le déf aut de décl aration a ét é consigné dans un pr ocès- verbal et si un ou plusieurs actionnaires détenant ensemble 5% au moins du capital ou des droits de vote de la Société en font la demande l ors de cette Assembl ée. Outre l’obligation légale de l’article L. 233-7 du Code de commerce d’inf ormer la Sociét é de la détention de c ertaines fractions du capital ou des droits de vot e ( vingtième ; di xième ; trois vingtièmes ; cinquième ; quart ; tiers ; moitié ; deux tiers ; TITRES AU PORT EUR IDENT IFIABLES dix-huit vingtièmes ou di x-neuf vingtièmes), l’article 7 des Les st atuts prévoient que la Sociét é peut demander à t out statuts met à la c harge de tout e personne, physique ou moment à l’organisme chargé de l a compens ation des titres , morale, qui, agissant s eule ou de c oncert , vient à détenir, l’identificati on directement ou indirect ement, un pourcentage du capital, de immédiat ement, ou à ter me, l e droit de vot e dans l es droits de vote ou de titres donnant accès à terme au c apit al de Assemblées d’acti onnaires ainsi que la quantit é des titr es la Sociét é, égal ou supérieur à 1% ou à un multipl e de c e dét enus par c hacun d’eux dans les conditions fi xées à l’article pourcent age, l’obligation d’en inf ormer l a Sociét é par lettr e L.228-2 du C ode du commerce. Il es t f ait us age chaque année recommandée avec demande d'avis de r éception en indiquant de c ette disposition. des dét ent eurs de titr es c onf érant le nombre de droits de vote et de titres , donnant acc ès immédiat ement ou à t erme au capital, qu'elle poss ède ainsi que les droits de vote qui y sont att achés, dans l e délai de cinq jours de bourse à compt er du franchiss ement de chacun Club Médit erranée SA, Société-Mère, assure, pour s es filiales , de c es seuils. Cette i nfor mation est égal ement participati on PRESTATION DE LA SOCIETE-MERE POUR SES FILIALES devi ent mentionnés ci-dessus . i nférieure requise lorsque l adit e à chacun des seuils les f onctions de direction générale et les f oncti ons supports classiques : administration et financ es, juridique, communication, mar keting, ressources humaines, f ormation, informatique et commercial. Ces pr estati ons sont f act urées au coût réel. Doc um ent de Référenc e 2008 31 RENSEIGNEMENTS GENERAUX CONCERNANT LE CAPITAL CA PITAL SOCIAL Ces dél égations et autorisati ons venant à échéance en mai 2009, il sera demandé aux ac tionnaires lors de l’Ass emblée Au 31 oct obre 2008, le capital s ocial est de 77 511 620 euros , Générale du 20 f évrier 2009 de les c onf érer à nouveau à la divisé en 19 377 905 actions de 4 euros c hac une enti èrement Sociét é. libérée. Les actions nomi nati ves au nom du même titul aire CA PITAL POTENT IEL depuis deux ans (541 551 au 31 oc tobre 2008) bénéficient d’un dr oit de vote double. Par rapport au 31 oct obre 2007, l e capital s ocial a augment é d’ un montant de 28 800 eur os Le c apit al potentiel théorique de Club Méditerranée SA, si résultant de la levée d’ options de s ouscription d’ac tions ayant tout es les options étaient l evées et les bons exercés, serait de donné lieu à la création de 7 200 actions nouvelles. 104 029 964 euros corres pondant à 26 007 491 actions, s oit une dilution de 34,2 % . Ces chif fres tiennent c ompt e de CA PITAL AUTORISE NON EMIS l’ensemble des valeurs mobilières rest ant en circul ation au 31 L’Assemblée Générale Extraordinaire du 8 mars 2007 a capital dans le fut ur. octobre 2008 s usceptibles d’entraî ner des augmentations de conf éré au Conseil d’Admi nistration di verses délégations de 19 377 905 actions exist ant es au 31. 10. 2008 : compét enc e l’aut orisant à aug menter le capital soci al, avec facult é de s ubdélégati on dans les conditions prévues par la l oi + 2 193 731 OCEANE* (échéance 01.11.2008) et par les stat uts de la Sociét é, dans le c adre des articles + 3 092 783 OCEANE (échéance 01. 11.2010) L.225-127 et s uivants du Code du c ommerce. + 1 305 667 options de s ouscription d’ actions au 31.10. 2008 L’objec tif de ces délégati ons es t de permettre à la Sociét é de + 37 405 actions gratuit es à at tribuer procéder à toute émission de val eurs mobilières lui permett ant = 26 007 491 actions potentielles au 31.10.2008 de r éunir avec rapidité et soupl esse les moyens financi ers qui *OCEANE r emboursée le 3 novembre 2008. Suite à c e lui seraient nécess aires. remboursement, le c apital pot enti el est réduit à 23 813 760 actions , représ entant un t aux de dilution de 22, 9%. Autorisations Montant maxi mum Utilisations 2006/2007 Durée Échéanc e 26 mois 7 mai 2009 Non utilisée Utilisation t otale sur la durée de la délégation (1) Emission de valeurs mobilières avec acc ès à une quotit é de capital s ocial avec DPS Capital: 20 M € Empr unt: 300M€ Emission de valeurs mobilières avec acc ès à une quotit é de capital s ocial avec DPS Capital: 20M€ Empr unt: 300M€ 26 mois 7 mai 2009 Non utilisée Emission de valeurs mobilières en en fi xant librement le prix d'émission 10% de c apit al social par an 26 mois 7 mai 2009 Non utilisée Augmentation de capital par inc orporati on de réserve, primes ou bénéfic es Capital: 32M€ (1) 26 mois 7 mai 2009 Non utilisée Emission de valeurs mobilières en cas d'offre publique i nitiée par l a Sociét é Capital: 20M€ (2) 26 mois 7 mai 2009 Non utilisée Emission de valeurs mobilières en vue de rémunérer des apports en nat ure 10% du c apit al social 26 mois 7 mai 2009 Non utilisée Augmentation du nombre de titr es à émettr e en c as d'augmentation de capit al avec ou sans DPS en vue d'une suralloc ation 15% de l'émission initiale et au même prix 26 mois 7 mai 2009 Non utilisée Augmentation de capital rés ervée aux salariés du Groupe 3M€ 26 mois 7 mai 2009 Non utilisée Options de souscription et /ou d'ac hat d'actions - salariés et mandat aires sociaux 10% du c apit al social 26 mois 7 mai 2009 125 000 options 125 000 options Attributi on gratuit e d'actions 1% du capital social 26 mois 7 mai 2009 46 600 acti ons gratuites 46 600 acti ons gratuites (1) (1) (1) (2) e Montant qui s’impute s ur le montant de plafond global aut orisé : 75 M€ (40 rés olution de l’Assemblée Générale du 8 mars 2007) (2) Montant commun au montant de 20M€ relatif à l’émission de valeurs mobilières avec acc ès à une quotité de capital s ocial s ans DPS (3) Limites légales de l’Article L. 225-182 du Code de Commerce et D. 174- 17 : le t ot al des options cons enti es non encore levées ne peut exc éder le tiers du capit al 32 Doc um ent de Référenc e 2008 EVOLUTION DU CAPITAL DEPUIS LE 31 OCTOBRE 2002 Capital Primes liées aux Nombre d’ac tions Nature de l’opération opérations de l’année K eur os K eur os 31. 10. 2002 77 432 - 19 358 005 31. 10. 2003 77 432 - 19 358 005 31. 10. 2004 77 432 - 19 358 005 31. 10. 2005 77 432 - 19 358 005 31. 10. 2006 77 432 - 19 358 005 50 31. 10. 2007 412 12 700 77 482 29 31. 10. 2008 19 370 705 195 7 200 77 511 OPERATIONS AFFERENTES AUX ACTIONS DE LA SOCIETE Exercice d’ options Exercice d’ options 19 377 905 rachat et/ ou de ceux des Assembl ées ant érieures et que c es plafonds ne seront applicables qu’en cas de régularisation de cours. Le 11 juillet 2007, le Club M éditerranée (ISIN FR0000121568) RACHAT D’ACTIONS PROPRES avait c onfié à Natixis Sec urities l a mise en œuvre d’un contrat L’Assemblée Général e Mixt e du 11 mars 2008 a, aux t ermes e de liquidité c onforme à la Charte de déontologie de l’AFEI tell e de l a 17 rés olution, aut orisé le Cons eil d’Admi nistration à qu’approuvée par l’Aut orité des Marchés Financiers par procéder ou faire procéder à l’ac hat par la Société de s es décision du 22 mars 2005. Pour les besoins de s a mise en propres prévues dans l es œuvre, 2.000. 000 euros ont ét é initi alement aff ectés à c e dispositions des articles L.225-209 et sui vants du C ode de contrat de liquidité. La Soci été a proc édé à un apport commerce et du Règlement n°2273/2003 de la C ommissi on complémentaire de 1.000.000 euros l e 2 oct obre 2008. actions dans les c onditions Européenne. Pour la période du 11 mars au 31 oc tobr e 2008, 254 858 Cette autorisati on est val able pour une durée de 18 mois, s oit actions ont été achetées à un pri x moyen de 31, 30 eur os et jusqu’au 10 s ept embre 2009. 197 500 actions ont été vendues à un prix moyen de 33,08 L’Assemblée G énérale a décidé que le nombre d’ actions euros. pouvant être acquises ne devr ait pas dépasser 10% du tot al Enfin, au 31 octobre 2008, la Sociét é dét enait 274 837 actions du nombre d’acti ons c ompos ant le c apital de la Sociét é. propres. Les objec tifs de c e pr ogramme de r achat sont, par ordre de Une nouvelle aut orisation ser a demandée aux actionnaires priorité, les s ui vants : lors de l’Ass emblée Générale du 20 f évrier 2009. - l'animati on du marché au travers d'un contrat de liquidit é conf orme à la Chart e AFEI ; - la mise en œuvre de pr ogrammes d’achat d’actions par les salariés et/ ou l’octr oi d’options d’ac hat d’ac tions aux EVOLUTION DE LA REPARTITION DU CAPITAL AU COURS DES 3 DERNIERS EX ERCICES salariés ; - la remise d’actions à titre d’échange ou de pai ement dans le cadre d’opérations de croiss ance ext erne ; - l’annul ation évent uelle de ses actions. Le prix unit aire maximum d’ac hat est de 70 euros. La r épartiti on du capital a c onnu les modifications sui vant es sur les trois derniers exercices : 2006 – Le 18 avril 2006, Richelieu Financ e a inf ormé l a Sociét é qu’elle avait porté sa participation à 4 895 369 actions, soit 25,28% du c apital. Le prix unitaire mini mum de vente est de 30 euros, ét ant précisé que c e prix minimum s’appliquera en c as de revent e Dans le c adre de s a strat égie de recentrage de ses acti vit és des actions acquises dans le cadre du pr ésent programme de sur l’hôtellerie et les ser vices, Accor a décidé, le 9 jui n 2006, de céder l a maj eure partie de s a participation dans le Club Doc um ent de Référenc e 2008 33 Méditerranée, soit 22, 9 % du capital s ur un total de 28, 9 % . Méditerranée à haut eur de 18, 72 %, ont c onclu un prot ocol e Accor a cédé dans un premier t emps 16 % du capital du Club d’accord s ur l’acquisition à 100% de Richelieu Finance. Méditerranée à un groupe d’investiss eurs liés par un pact e d’actionnaires auquel Acc or fait parti e (cf ci après) ; suite à cette cession, Fipar Holding, filial e de la C aisse de Dépôt et de Gestion (Maroc), détient 10 % du c apit al du Club Méditerranée , Icade, 4 % et l e Groupe Air France-KLM, 2 % . Après avoir cédé 1,5 % des actions du Club Médit erranée à Generali Franc e, Acc or devait encore c éder 5, 4 % de s a participati on. Le 16 avril, KBL European Pri vat e Bankers a déclaré avoir franchi directement et i ndirect ement en hauss e, l e 9 avril 2008, les seuils de 5 % du c apit al et des droits de vot e, et dét enir directement et indirect ement 1 227 267 actions Club Méditerranée repr ésentant autant de droits de vote, s oit 6,34% du capital et 6,10 % des droits de vot e. Depuis le 29 août 2008, en rais on de c es différent es Le 7 août 2006, Richelieu Financ e a port é sa participation à 5 107 492 acti ons, soit 26, 38% du capital. opérations de restruct urati on, l a soci été KBL Franc e G estion a adopté la nouvelle dénomi nation s ociale de KBL Richelieu Gestion. Les f onds communs de plac ement gérés par l a 2007 – Le 23 janvier 2007, Accor a franchi à l a baisse, par société de gestion Richelieu finance Gesti on Privée s ont suite d’une c ession d’ actions sur le marché, les s euils de 10% désor mais gérés par la s ociété de gestion KBL Richelieu du capital et des droits de vot e et a déclar é détenir à titr e Gestion. indivi duel 1 912 349 ac tions du Club Méditerranée représentant 9,88 % du c apit al et 9, 78 % des droits de vot e. Dans les communiqués des 12 et 17 avril, Ic ade a confirmé Le 31 oc tobre 2008, KBL Richelieu dét enait 5,76 % du c apit al et 7, 35 % des droits de vot e et KBL Luxembourg 6, 34 % du capital et 6,09 % des droits de vot e. qu’il avait proc édé à la c ession de sa participation de 4 % dans Club Méditerranée. CONVENT IONS D’ACTIONNAIRES Le 17 avril, Acc or a inf ormé la Société avoir, s uite à des Dans le cadre de la rec ompositi on du capital du Club cessions de titres, réduit sa participation à 6 % du c apit al et Méditerranée, un pacte d’ actionnaires portant s ur 18 % des 5,76 % des dr oits de vote, c onf ormément aux dis positions du actions a ét é conclu le 9 jui n 2006 entr e Accor (qui conser ve pact e d’ac tionnaires du 9 jui n 2006. 6% du capital), la Caisse de Dépôt et de G estion du Maroc à Par courrier du 20 jui n 2007, Richelieu Financ e a déclaré avoir franchi, suit e à la c ession d’ actions sur l e marché le 14 jui n 2007, les s euils de 25 % du c apital et des droits de vot e et de travers sa filiale Fipar Holding (qui a acquis une participation de 10 %) et Air France Fi nance (qui a acquis une participation de 2 %). 20 % du capit al et détenir 3 377 978 acti ons représ ent ant Par la signature de ce pacte, ces actionnaires ont s ouhait é 4 147 467 droits de vot e, soit 17,45 % du c apital et 20, 18 % inscrire leur pr ésenc e au capital du Club Médit erranée dans des de vote. Cette cessi on a donné lieu au une perspecti ve de long terme afin de permettre à c e der nier renforcement de GLG Partners, un f onds d’investiss ement la poursuit e de la mis e en œuvre de sa strat égie t out en basé à Londres, dont l a participati on est pass ée de 3,5 % à bénéficiant d’ un actionnariat st able. droits 8,5% ainsi qu’à l’entrée du f onds Susquehanna Ireland Ldt. Le pacte a été c onclu pour une durée de trois ans Le 30 oc tobr e 2007, GLG Partners a déclaré auprès de l’AMF renouvelables pour des périodes s uccessi ves d’ un an s auf avoir franchi à l a hausse l e s euil de 10 % de c apit al et dét enir dénonciation par l’une des parties trois mois avant l’éc héanc e 2 006 249 ac tions Club Méditerranée représ ent ant 10,36 % du de la période en c ours. Le pact e c onti nue de subsist er t ant capital et 9,87 % des droits de vot e. que les actions c onc ernées représentent au moins 15 % du A la même date, Richelieu Finance, ayant poursui vi s es capital. achats, détenait 3 615 730 acti ons (18,67 % du capital) Le pact e pr évoyait une clause de "loc k-up" et de "standstill" de représentant 4 385 219 droits de vot e (21, 58 % des droits de deux ans qui a expiré le 8 juin 2008. A l’issue de la durée de vote). cette cl ause, toute c ession par l’une des parti es au pact e es t 2008 – Le 23 janvier 2008, KBL European Private Bankers, filiale de KBC Groupe spéci alisée dans le métier de l a Banque Privée, et Richelieu Finance, alors actionnaire du Club soumise à un droit de préemption c ons enti aux autres parti es dudit pac te. A la c onnaissance de la Société, il n’existe pas d’ autr e convention liant les actionnaires. 34 Doc um ent de Référenc e 2008 REPARTIT ION DU CAPITAL ET DES DROITS DE VOTE 2006 Nombre de titres Droits de vote Au 31.10.06 % Au 31.10.06 Fipar International (Caisse de D épôt et de Gestion - Maroc) 1 935 801 10,0 Accor 2 212 349 Rolaco 2007 Nombre de titres Droits de vote % Au 31.10.07 % Au 31.10.07 1 935 801 9,9 1 935 801 10,0 11,4 2 212 349 11,3 1 162 630 909 577 4,7 909 577 4,7 Nippon Life* 769 731 4,0 769 731 Total Conseil d’Administration 5 827 458 30,1 Autodétention 277 305 Salariés Richelieu Financ e 2008 Nombre de titres Droits de vote % Au 31.10.08 % Au 31.10.08 % 1 935 801 9,5 2 081 140 10,7 2 081 140 10,4 6,0 1 162 630 5,7 1 162 630 6,0 1 162 630 5,8 909 577 4,7 909 577 4,5 909 577 4,7 909 577 4,6 3,9 769 731 4,0 769 731 3,8 769 731 4,0 769 731 3,9 5 827 458 29,8 4 777 739 24,7 4 777 739 23,5 4 923 078 25,4 4 923 078 24,7 1,4 277 305 1,4 201 588 1,0 201 588 1,0 274 837 1,4 274 837 1,4 31 241 0,2 58 591 0,3 27 591 0,1 54 741 0,3 25 691 0,1 25 691 0,1 5 107 492 26,4 5 012 299 25,6 3 615 730 18,7 4 385 219 21,6 1 115 478 5,8 1 468 456 7,4 1 230 680 6,4 1 230 680 6,2 KBL Air France Financ e 387 160 2,0 387 160 387 160 2,0 387 160 1,9 387 160 2,0 387 160 1,9 GLG Partners LP 2 047 573 10,6 2 047 573 10,1 2 306 796 11,9 2 306 796 11,6 Susquehanna Ireland Ltd 993 666 5,1 993 666 4,9 907 252 4,7 907 252 4,6 Institutionnels français 2 682 116 13,9 2 749 939 14,1 2 177 177 11,2 2 235 000 11,0 2 626 017 13,5 2 686 356 13,4 Institutionnels étrangers 2 259 401 11,7 2 269 421 11,6 3 219 791 16,6 3 229 811 15,9 3 856 203 19,9 3 944 808 19,8 Public et di vers 2 775 832 14,3 2 969 817 15,2 1 922 690 9,9 2 007 800 9,9 1 724 713 8,9 1 764 342 8,9 Total 19 358 005 100,0 19 551 990 100,0 19 370 705 100,0 20 320 297 100,0 19 377 905 100,0 19 919 456 100,0 * représenté au Conseil d’Administration par un censeur sans voi x délibér ati ve. Droits de vote simpl e 18 836 354 Droits de vote doubl e 1 083 102 Total des droits de vote 19 919 456* * Y compris 274 837 actions détenues par la Société avec droits de vote non exerçables Document de Référence 2008 35 RENSEIGNEMENTS GENERAUX CONCERNANT LE MARCHE DES TITRES C LUB MEDITERRANEE L’action Club Méditerranée est cotée à la bourse de Paris (Euronext Paris) sur le premier marché depuis l’année 1966. Club Méditerranée est l’un des 120 titres entrant dans la position de l’indice SBF 120 ; s a pondération dans l’indic e était de 0,021% au 31 déc embre 2008. L’action Club Méditerranée est admissibl e au Servic e de Règlement Différ é (SRD). émises pendant c ett e période et qui ne port ent j ouissance qu’à compt er du début de l’exercice en cours. Depuis plusieurs années, l’action Club Médit erranée es t le support de covered warrants émis par di verses banques. Afin de permettre aux actionnaires, anal yst es fi nanci ers, sociétés de bourse, gérants de portef euille et particuliers de sui vre les événements du Groupe, l e Club Médit erranée diff use ses Les actions ordinaires portent le c ode I SIN FR 0000 121568 ; communiqués de presse et l es publie dans différents j ournaux cependant entre le début de l’exercice et l a dat e de ainsi que s ur inter net. dét achement du di vidende aff érent à l’exercice précédent, une deuxième ligne est régulièrement ouvert e sur le marché au c omptant pour la négociation des ac tions nouvellement Les t ableaux ci-après indiquent l’évolution des cours des transacti ons pour l’ac tion et l’obligation c onvertible échangeable en actions nouvelles ou exist ant es (OCEAN E). DIV IDENDES Nb de titres rémunérés Années Dividendes versés au titre de l'exercice fiscal Net Avoir fiscal Cours extrêmes de l'action Total + haut + bas 31. 10 2006 19 358 005 - - - 48, 39 35, 90 42, 21 2007 19 370 705 - - - 56, 11 39, 75 46, 35 2008 19 377 905 - - - 43, 97 11, 10 15, 60 TRANSACTIONS SUR LES T ITRES CLUB MEDITERRANEE Actions Cours mens uel Moyenne mensuelle des transacti ons j ournalières (code I SIN FR 0000 121568) (en euros) Plus haut (1) Plus bas (2) (en nombre de titr es et milliers d'euros) Cours moyen (3) Volume moyen mensuel (titres) Volume en c apit al sur le mois (milliers d’ euros) Janvier 2008 43, 97 25, 26 33, 863 94 127 3 187 Février 2008 33, 49 30, 55 32, 011 46 246 1 480 Mars 2008 34, 48 30, 15 32, 788 67 975 2 229 Avril 2008 35, 17 32, 52 33, 856 24 759 838 Mai 2008 37, 70 32, 72 34, 353 33 690 1 157 Juin 2008 37, 35 28, 01 32, 417 47 332 1 534 Juillet 2008 31, 32 24, 94 28, 223 33 425 943 Août 2008 30, 99 26, 69 29, 249 23 494 687 Sept embre 2008 31, 24 23, 48 27, 504 52 247 1 437 Octobre 2008 24, 80 12, 15 17, 916 68 211 1 222 Novembre 2008 18, 28 12, 90 15, 364 30 738 472 Décembre 2008 14, 50 11, 10 12, 623 40 075 506 36 (1) Plus haut att eint en intraday s ur la période (2) Plus bas atteint en intr aday sur la période (3) Moyenne arithmétique des cours de cl ôture Source : Euronext Doc um ent de Référenc e 2008 Obligations Convertibl es 3% (nominal 58 euros) (code I SIN FR 0000 180184) Moyenne mens uelle des transacti ons j ournalières (en nombre de titres et milliers d'euros) Cours mens uel (en euros) Plus haut (1) Plus bas (2) Moyen (3) Titres Capitaux Octobre 2007 67, 30 66, 56 66, 84 99 7 Novembre 2007 67, 99 63, 50 66, 19 339 22 Décembre 2007 68, 00 65, 00 65, 97 143 9 Janvier 2008 66, 80 61, 00 65, 18 234 15 Février 2008 65, 85 65, 20 65, 50 154 10 Mars 2008 68, 50 65, 92 66, 38 188 12 Avril 2008 66, 90 66, 05 66, 39 211 14 Mai 2008 67, 31 66, 75 67, 02 85 6 Juin 2008 67, 50 67, 01 67, 31 327 22 Juillet 2008 67, 31 61, 85 66, 01 284 18 Août 2008 68, 60 67, 01 67, 80 239 16 Sept embre 2008 67, 84 67, 50 67, 78 255 17 Octobre 2008 67, 80 67, 40 67, 52 183 12 Obligations Convertibl es 4,375% (nominal 48,50 euros) (code I SIN FR 00 10130732) Cours mens uel Moyenne mensuelle des (en euros) transac tions journalières (en nombre de titres et milliers d'euros) Plus haut (1) Plus bas (2) Moyen (3) Titres Octobre 2007 55, 00 47, 92 53, 33 116 6 Novembre 2007 51, 95 46, 41 50, 61 508 26 Décembre 2007 51, 75 48, 50 49, 58 1 142 56 Janvier 2008 51, 50 46, 00 48, 42 270 13 Février 2008 47, 00 46, 00 46, 60 356 17 Mars 2008 47, 50 44, 51 46, 76 135 6 Avril 2008 47, 00 44, 10 45, 52 119 5 Mai 2008 49, 75 46, 11 48, 11 103 5 Juin 2008 50, 12 44, 51 47, 82 140 7 Juillet 2008 48, 80 45, 10 46, 06 238 11 Août 2008 47, 00 42, 00 45, 31 106 5 Sept embre 2008 47, 50 38, 05 44, 75 203 9 Octobre 2008 42, 50 32, 00 37, 68 690 26 Novembre 2008 38, 50 34, 60 37, 16 703 26 Décembre 2008 40, 90 35, 50 38, 12 934 36 (1) Plus haut atteint en intr aday sur la période (2) Plus bas att eint en i ntraday s ur la période (3) Moyenne arithmétique des cours de clôt ure Capitaux Source: Euronext Doc um ent de Référenc e 2008 37 GOUVERNEMENT D’ ENTREPRISE La rémunération variable due au titre de l’exercice 2008 a ét é La Soci été se confor me aux principes de gouvernement d’entreprise en vigueur en Franc e. La rémunération variable due au titre de l’exercice 2007 et Lors de sa r éuni on du 10 déc embre 2008, l e Cons eil d’Administration a déci dé que la Sociét é se c onf ormer a au code de gouvernement d’entreprise AFEP-MEDEF complét é des recommandations du 6 octobre 2008 sur la rémunér ation des dirigeants mandataires s ociaux des sociétés c otées. rémunération des dirigeants mandataires s ociaux de détermi nati on sont arrêtées par l e C onseil d’Administr ation chaque année sur la bas e des recommandations émises par le Comit é des Nominations et des Rémunérati ons. Montants bruts en € Henri Giscard Montants exercice d'Estaing 2007 Président Directeur Dus Versés Général Total Giscard d’Est aing en sa qualit é de Président-Directeur Général, d’une part des r ésultats de l’entr eprise et, d’ autr e part, de l’attei nte de ses objec tifs personnels ; le poids de chaque critère représentant respecti vement 70% et 30% du Pour M. Michel Wolfovs ki, Directeur Général Délégué non comprend une partie fixe et une partie variabl e dont les règles Rémunération fixe Rémunération variable Jetons de présenc e Avant ages en nat ure vers ée en janvier 2008 dépendait , pour c e qui est de M. H enri bonus cible. REMUNERATION La vers ée en j anvier 2009. administrat eur, la part variabl e de s a rémunération dépend, d’une part, des résult ats de l’entreprise et, d’ autre part , de l’atteint e de s es objec tifs personnels ; le poi ds de c haque critère représ ent ant res pecti vement 60 % et 40 % du bonus cible. Le montant du bonus versé en janvier 2008 au titre de Montants exercice 2008 l’exercice 2007 à M. Franç ois Salamon, Directeur Général Dél égué, ayant anciennement démissionné le 27 sept embre 2007, s’él ève à 100 000 euros. Dus Versés Les avantages 640 020 640 020 640 020 640 020 354 000 354 000 503 000 354 000 25 315 25 315 30 352 30 352 23 909 23 909 37 502 37 502 1 043 244 1 043 244 1 210 874 1 061 874 en nat ure corres pondent à la mise à disposition de voitur es de fonc tion et aux s éjours pass és dans des Villages du Club Méditerranée. Il n’exist e pas de prêt ou Rémunération variable cibl e 544 017 dirigeants mandataires s ociaux. Les dirigeants mandat aires s ociaux bénéficient de régimes de retraite complémentaire à c otisations défi nies ; l e mont ant de ces cotis ations s’élève à 8% de l eur rémunérati on brut e. Le 10 déc embre 2008, le Cons eil d’Admi nistration de l a 640 020 Sociét é s’es t prononcé, confor mément à l’article L. 225-42- 1 Montants bruts en € Michel Wolf ovs ki Directeur Général Délégué garantie acc ordé ou constitué par la Sociét é en faveur des du Code de commerce tel que modifi é par la loi n°20 07-1223 Montants exercice 2007 Dus Versés Montants exercice 2008 du 21 août 2007, sur l’indemnit é due en cas de c essati on des Dus d’Estaing, et du Direct eur Général D élégué, M. Michel Versés foncti ons du Président-Directeur Général, M. Henri Giscar d Wolfovs ki ainsi que sur les conditions de perfor mance dont Rémunération fixe Rémunération variable Rémunération (1) exc eptionnelle Avant ages en nat ure 352 430 352 430 366 900 366 900 167 000 132 640 196 000 167 000 - 150 000 - 12 721 12 721 17 797 17 797 532 151 497 791 730 697 Rémunération variable cibl e 213 630 551 697 222 030 Il a été attribué une rémunération exceptionnelle en t ant qu’acteur principal des négociations et de la réalisation des cessions J et t ours et Club Med G ym. La rémunération variable due au titre de l’exercice 2007 a ét é vers ée en j anvier 2008. 38 pour décider de l’attribution de cette i ndemnité. L’indemnit é qui serait due en cas de cess ation (i) des - Total (1) l’atteint e devra être const atée par le Cons eil d’Administr ation foncti ons (hors cas de licenci ement , pour faute grave ou lourde), serait d’ un montant équi valent à deux années de rémunérati on brute. Elle est s ubordonnée à l’at teint e de critères de perf ormance. (i) La cess ation de fonction à l’initiati ve du Président-Directeur Général et/ ou Direct eur G énér al Délégué ne rentre pas dans le champ d’applicati on de cett e disposition. Le critèr e de perfor mance auquel es t subor donnée c ett e indemnit é c orrespond au pourcent age moyen du bonus annuel ef fecti vement versé (« Bonus ») sur le bonus cibl e servant de calcul au bonus versé. Le pourcentage moyen es t Doc um ent de Référenc e 2008 calculé s ur une période de réf érenc e i dentique à c elle de l a - 100% de l’indemnité est versée si le pourcent age durée des mandats , soit 3 ans. moyen des Bonus s ur les bonus ci bles cons tat é s ur la période de r éférence att eint 70%. Les modalités d’appréci ation et d’applicati on du critère de perfor manc e s ont l es sui vant es : - - Entre aucune indemnité n’ est versée si le pourcent age - ces deux bornes, la pr ogression du pourcent age de l’indemnité à vers er est linéaire. moyen des Bonus s ur les bonus ci bles cons tat é s ur Dans le cas où l es indemnit és de départ s eraient versées aux la période de r éférence est i nférieur à 40%. mandataires soci aux, l e bénéfice des stoc k- options ser a maintenu après l e départ de la Société. 50% de l’indemnité est versée si l e pourcent age moyen des Bonus s ur les bonus ci bles cons tat é s ur la période de r éférence att eint 40%. Dirigeants Mandataires Sociaux Oui Henri Giscard d'Estaing Président Directeur Général Date début Mandat : 16. 03. 2005 Date fi n Mandat : 11. 03. 2008 Régime de retrait e suppl ément aire Contrat de Travail Non Oui Non Oui Indemnités rel ati ves à une clause de non conc urrenc e Non Oui Non X (pages 38 et 39 du présent document de référenc e) X (p 38 du présent document de référenc e) X (Contrat de travail suspendu) Indemnités ou avantages dus ou s usceptibles d'être dus à raison de la cessation ou du changement de fonc tions X INFORMATION RELATIVE AUX S AL ARIES NON MANDATAIRES SOCIAUX: Options de sou scription ou d’ ach at d’action s consenties au x premier s sal ariés non mand atair es soci aux attributaires et options levées par ces dern ier s Nombre total d’options attribuées / d’actions souscrit es ou achet ées Prix mo yen pondéré Plan Options consenties, durant l’exercice, par l’émet teur et t oute société comprise dans le périmètre d’attribution des options, aux dix s alariés de l’émetteur et de tout e société c omprise dans ce périmètre, dont le nombr e d’ options ainsi consenties est le plus élevé 74 000 32, 38 M Options détenues sur l’émetteur et les soci étés visées précédemment , levées, durant l’exercice, par les 9 sal ariés de l’émet teur et de c es soci étés , dont le nombre d’options ainsi achetées ou souscrites es t le plus élevé 7 200 31, 03 I L’information rel ati ve aux plans d’options et d’ actions gratuit es en c ours au 31 oc tobre 2008 est donnée en note 14.1 de l’annexe aux c omptes cons olidés . AUTRES ELEMENTS ET ENGAGE MENTS Des options de souscription d’acti ons ont ét é acc ordées aux dirigeants mandataires s ociaux au cours de l’exercice 2008 (pl an M). Nom et date du plan Nature des options Valori sation des options * Nombre Prix d'exer cice Période d'exer cice Henri Giscard d'Estaing plan M (11 mars 2008) options de souscription 355 600 € 35 000 32, 38 € jusqu'au 10 mars 2016 Michel Wolf ovs ki plan M (11 mars 2008) options de souscription 152 400 € 15 000 32, 38 € jusqu'au 10 mars 2016 Nom * Options val orisées au pri x unit aire de 10,16 € s elon mét hode IFRS 2 retenue pour les comptes consolidés , avant ét alement de la charge. Doc um ent de Référenc e 2008 39 Il n’y a pas eu de plan d’actions gratuit es au cours de l’exercice. Les dirigeants mandataires s ociaux ont l’obligation, conformément à la loi, de conser ver au nominatif j usqu’à la c essation de leurs foncti ons, une partie de leurs options de souscription et d’ac tions correspondant à 30% de la plus- val ue de cessi on pour les options ou d’acquisition définiti ve pour les actions gratuit es. Cette disposition s’applique à compt er des plans attribués depuis 2007. Au 31 octobre 2008, l es dirigeants mandat aires soci aux déti ennent les opti ons s ui vantes : OPTIONS DE SOUSCRIPTI ON D’ACTIONS ACCORDEES AU COURS DES EXERCICES PRECEDENTS ET NON ENCORE EXERCEES : Plan G Point de départ d'exercice 07. 02. 05 Prix de s ouscription (en euros) 111,11 Henri Giscard d’Estai ng 25 000 Michel Wolf ovs ki Plan H Plan I Plan J Plan K Plan L Plan M 06. 02. 05 01. 03. 06 Plan G 3 15. 01. 07 11. 01. 08 14. 03. 09 08. 03. 10 11. 03. 11 35 31, 03 35 42, 67 43, 07 32, 38 121 500 33 000 40 000 30 000 31 500 35 000 7 500 10 000 25 000 20 000 16 000 15 000 92, 78 5 000 5 000 ACTIONS GRATUITES (SOUMISES A CRITERES DE PERFORMANCE) ACCORDEES AU COURS DES EXERCICES PRECEDENTS ET NON ENCORE ACQUISES : Plan L 08. 03. 10 + interdiction de revent e avant le 07. 03. 12 Point de départ de période d'acquisition Henri Giscard d’Estai ng 3 600 Michel Wolf ovs ki 1 850 Il n’a été l evé auc une option au cours de l’exercice. SYNTHESE DES REMUNERATIONS, OPTIONS ET ACTIONS ATTRIBUEES A CHAQUE DIRIGEANT MANDATAIRE SOCIAL Montants bruts en € Henri Giscard d'Estaing Prési dent Directeur Général Rémunérations dues Valorisation des options attribuées (1) Valorisation ac tions gratuites attribuées (1) (2) Total Montants au titr e de l'exercice 2007 Montants au titr e de l'exercice 2008 1 043 244 1 210 874 357 840 355 600 85 712 0 1 486 796 1 566 474 Montants au titr e de l'exercice 2007 Montants au titr e de l'exercice 2008 532 151 730 697 181 760 152 400 44 046 0 757 957 883 097 Montants bruts en € Michel Wolf ovs ki Directeur Général Dél égué Rémunérations dues Valorisation des options attribuées (1) Valorisation ac tions gratuites attribuées Total (1) (2) (1) Options et acti ons gratuit es val orisées s elon méthode IFRS 2 ret enue pour les comptes c ons olidés, avant ét alement de la charge. (2) Ces actions gratuit es sont s oumises à critère de perf ormance du cours de l’action Club M éditerranée par rapport au SBF 120. 40 Doc um ent de Référenc e 2008 REMUNERATION DES MEMBRES DU COMITE DE DIRECTION GENERALE Le t ableau s uivant r appelle les jet ons de présence versés au titre des exercices 2007 et 2008. Le montant brut des rémunérations globales versé pendant l’exercice 2008 aux membr es du Comit é de Direction Générale, en ce c ompris les dirigeants mandataires s ociaux, Membres du Cons eil s’est élevé à 3 787 K€. Ph. Adam En 2007, c e montant était de 4 106 K€. Jetons de prés enc e vers és au cours de l’exercice 2007 2008 21 858 27 737 M. Bakkoury 7 625 18 597 Les membres du Comit é de Direction Générale, autres que S. Al Sulai man 19 317 18 573 les dirigeants mandataires sociaux, bénéficient de régimes de E. Bertier* 15 250 Y. Caillière* 10 167 D. Dautres me 21 147 39 066 T. de La Tour d'Artaise 25 417 30 424 retraite c omplémentaires à cotis ations définies ; le montant de ces cotis ations s’élève à 6, 29 % de leur rémunér ation brut e. J.M. Espalioux* 5 083 REMUNERATION DES AUTRES MANDATAIRES SOCIAUX – JETONS DE PRESENCE H. Giscard d'Es taing 25 315 30 352 P. Jeanbart 28 975 23 380 L’Assemblée G énérale du 11 mars 2008 a fi xé à 305. 000 A. Langlois-Meurinne 1 525 16 506 P. Lebard 29 382 34 703 T. Miyagawa 17 792 30 352 V. Morali* 21 858 4 880 G. Pelisson* 10 167 S. Ragozin* 5 083 euros le montant des jetons de présence alloués aux membres du Conseil d’Administration (admi nistrateurs et censeurs) au titre de l’exercice 2008. C e mont ant ét ait inchangé par rapport à l’exercice précédent. Sur la bas e des rec ommandations du Comit é des Nominations et des Rémunérati ons du 10 décembre 2007, l e Conseil d’Admi nistration a déci dé la r épartiti on des jetons de J. Ster n* 2 440 présenc e en fonction de la présence eff ecti ve des membr es P. Todorov* 20 333 aux réunions du Conseil et des Comit és spéci alisés qui se K. Ujihara* 5 083 A.C. Taitti nger 11 183 30 424 Total 305 000 305 000 sont tenues au cours de l’exercice 2007. Le mont ant de 305. 000 euros qui a ét é versé en j anvier 2008 a été réparti à haut eur de 244.000 euros pour les réuni ons du Conseil d’Administration et à haut eur de 61. 000 euros pour l es * Administrat eurs ayant démissionné réunions des Comités spéci alisés. Pour l’exercice 2009, l e Cons eil d’Administrati on, s ur propositi on du Comité des Nominations et des Rémunér ations du 10 décembre 2008, a également décidé de modifi er les règles de répartition des jet ons de prés enc e avec une parti e fixe pour chaque Conseil et ou Comité. La partie fi xe représente 35% et la parti e variable 65%. Le montant de l’enveloppe sera répartie à l’identique pour chaque Cons eil et/ou Comité. Doc um ent de Référenc e 2008 41 Enfin, le règlement intérieur rappelle les règles applicables en LE CONSEIL D’A DMINISTRATION mati ère de trans actions sur les titr es de l a Société telles que ces règles s ont énoncées aux t ermes de l’article L. 621-18- 2 du C ode Monét aire et Financier et des articles 222-14 et 222- G ENERALITES Confor mément aux dispositions de l’article L. 225- 35 du Code de commerce, le Cons eil d’Administration détermi ne les orientations de l’acti vité de la Sociét é et veille à leur mise en œuvre. Sous réser ve des pouvoirs express ément attribués aux Ass emblées d’ac tionnaires et dans la limit e de l’obj et social, il s e s aisit de toute question i ntéress ant la bonne marche de la Sociét é et règle par ses délibérations les affaires qui l a concernent . Le Conseil d’Administrati on est composé de 3 membres au moins et de 18 membres au plus, nommés par l’Assemblée Générale Or dinaire. A l a date de dépôt du prés ent doc ument, il est composé de neuf administrateurs et d’un censeur. Il ne comprend pas d’ élu par les s alariés. 15 du Règlement G énéral de l’AMF. Q UALIFICATION D’INDEPENDANCE DES MEMB RES DU CONSEIL D’ADMINISTRATION AU REGARD DES PRINCIPES RESULTANT DU CODE DE G OUVERNEMENT D’ENTREPRISE DES SOCIETES COTEES AFEP / MEDE F D’OCTOB RE 2003 Le C onseil d’Administration a rappelé, lors de sa s éance du 28 s ept embre 2006, l’anal yse fait e de la qualification ou non d’indépendance des membr es du Conseil d’Admi nistration au regard des critères du c ode du gouvernement d'entreprise des sociétés c otées AFEP/MEDEF d’oct obre 2003 (représ ent ant d’actionnaire ayant pl us de 10% du capit al s ocial, lien familial, Confor mément à l’article 14 des st atuts , t out membre du contrat de travail, mandat commun avec la Sociét é dans une Conseil doit être propriét aire d’au moi ns 50 ac tions de la société ti ers, durée du mandat, absence de mission d’ audit Sociét é. durant les cinq années précédentes, absence de rel ations Confor mément aux dis positions légal es, la direc tion générale d’aff aires significati ves avec l a Sociét é). est ass umée soit par le Président du Conseil d’ Administration, Il résulte de c ett e anal ys e que 7 des 9 administrat eurs actuels soit par une autre personne physique nommée par le Conseil doi vent être considérés c omme indépendants, s oit plus de l a d’Administration et portant le titre de Direct eur G énéral. moitié, répondant ainsi aux rec ommandations du rapport Lors de sa réunion du 11 mars 2008, le Conseil Bout on. d’Administration a r econduit M. H enri Giscar d d’Estai ng dans Mention ses fonc tions de Président-Directeur général pour la durée communiquée ci-après pour c hac un des administrateurs. de c ett e qualification d’indépendance es t de son mandat d’administrateur, s oit jusqu’à l’Assemblée Générale appelée à stat uer s ur les comptes de l’exercice clos le 31 oc tobre 2010. Le C ons eil d’Admi nistration a également rec onduit M. Davi d Dautres me dans s es f onc tions de Vic e-Président du Cons eil EVOLUTIONS INTERVENUES AU SEIN DU CONSEIL D’ADMINISTRATION DEPUIS LA DERNIERE ASSEMB LEE G ENERALE DU CLUB MEDITERRANEE DU 11 MARS 2008 d’Administration ainsi que M. Michel Wolf ovs ki dans celles de Lors de sa séanc e du 10 déc embre 2008, l e Cons eil Directeur Général D élégué. d’Administration a pris acte de la démission en dat e du 3 Au cours de l’exercice 2008, l e Cons eil d’Administrati on s’es t réuni 6 fois, la participation des membres ayant ét é novembr e 2008 de M. Philippe Adam de s es fonctions d’administrat eur. respecti vement de 9/10 (11.12.2007), 9/10 (11.03.2008), 10/ 10 (06.06.2008), 8/10 (12.06.2008), 7/10 (30. 06.2008) et 6/10 (29.10.2008), soit un taux de participati on de 80 %. Les règles d’organis ation et de fonc tionnement du Cons eil d’Administration sont not amment régies par s on règlement intérieur qui, outre les compétences et l es pouvoirs du Cons eil, prévoit les règles de fonctionnement des Comités s pécialis és établis en s on sei n, édicte le principe de confidenti alité des informations dont les membres ont connaissanc e en leur qualité et d’exercice du mandat d’administrat eur dans l e respect des règles d’indépendance, d’éthique et d’int égrité. En outre, le règlement rappelle l’obligation pour c hac un des administrat eurs d’inf ormer le Conseil de t out conflit d’intérêt réel ou potentiel dans lequel il pourrait êtr e impliqué direc tement ou indirect ement ; il doit, dans un t el cas , s’abstenir de participer aux débats et à la prise de décisions sur les sujets concernés. 42 Doc um ent de Référenc e 2008 Club Med M anagement Asia Ltd. (Hong Kong) COMPOSITION DU CONSEIL D’ADMINISTRATION Au 31 octobre 2008, l e Cons eil d’Admi nistration comptait di x administrat eurs dont s ept indépendants ainsi qu’un c ens eur. Il réunit des personnalités aux expériences et compét enc es complémentaires. Chairman of the Board d e : Club Med Ser vices Singapore Pte Ltd (Singapour) Admini strateur de : Holiday Hôt els AG (Suisse) LISTE DES MEMBRES DU CONSEIL D’ADMINISTRATION AVEC INDICATION DE LEURS FONCTIONS DANS D’AUTRES SOCIETES : Carthago (Tunisie) AUTRES FONCTIONS HORS DU GROUPE Admini strateur de : MONSIEUR HENRI GISCARD D’EST AING Casino, Guichard-Perrachon Président-Directeur Général Membre du Conseil de Surveill ance de : Né le 17 oc tobre 1956 Vedior (Pays-Bas) Nationalité française Adresse prof essionnell e : Club Méditerranée, 11 de Cambrai 75019 Paris Nommé le 16 mars 2005 Dernier renouvellement : 11 mars 2008 LISTE DES AUTRES MANDATS EXERCÉS DURANT LES 5 DERNIÈRES ANNÉES (AUTRES QUE LES MANDATS CIDESSUS) Président du Directoire d e : Club Médit erranée Echéanc e : Ass emblée Générale appel ée à stat uer s ur les comptes cl os le 31 oct obre 2010 Président de : Première nomination au s ein de la Soci été : 17 juillet 1997 Hôteltour Critère d’indépendanc e : non Club Med M arine Nombre d’ac tions de la Sociét é : 50 CM U.K Ltd (G-B) Vice-Président de : Nouvelle Sociét é Vict oria (Suiss e) Biographie : Diplômé de l’I nstitut d’Etudes Politiques de Paris et titul aire d’une maî trise de scienc es éc onomiques , M. Représentant Giscard d’Est aing a commenc é sa carrière à la Cofremc a, de administrat eur de : Hôt eltour 1982 à 1987 où il a ét é Directeur ass ocié, s pécialisé dans permanent de Club Méditerr anée SA, Admini strateur de : SECAG C araïbes l’étude des changements de consommation aliment aire et de leurs cons équences mar keting et strat égiques. MONSIEUR DAVID DAUTRESME Au sei n du Groupe D anone qu’il a rejoint en 1987, il a successi vement exercé les f onc tions de Directeur du Développement, de Directeur Général de la filiale britannique HP Food Lea and Perrins, de Directeur Général d’ EvianBadoit et enfin de Direct eur de l a branche eaux minérales. Admini strateur d’Admini stration et Vi ce-Pr ésid ent du Conseil Né le 5 janvier 1934 De nationalité français e Adresse prof essionnelle : Laz ard Frères & C ompagnie - 121, M. Giscard d’ Estaing a rejoint le Club Méditerranée en 1997 boul evard H auss mann - 75008 PARI S où il a occupé succ essi vement les res ponsabilités de Directeur Général Adj oint, c hargé des Financ es, du Nommé le 16 mars 2005 Développement et des R elations int ernati onales (1997-2001), Dernier renouvellement : 11 mars 2008 Directeur G énér al (2001-2002), Pr ésident du Directoire (2002- Echéanc e : Ass emblée Générale appel ée à stat uer s ur les comptes l e 31 oc tobre 2010 2005) avant d’être nommé Président-Directeur Général. Premier mandat au s ein de l a Société : 23 avril 1997 AUTRES FONCTIONS DANS LE GROUPE Nombre d’ac tions de la Sociét é dét enues : 1 591 Président du Consei l d’ Administr ation de : Critères d’indépendanc e : oui Club Med World Holding Jet t ours (jusqu’au 4 août 2008) Biographie : Officier des aff aires algériennes (1958-1960) et ancien élève de l’ENA, M. Dautres me a ét é auditeur puis Président et adm inistrat eur-fondateur de : Fondation d’entreprise Club Médit erranée conseiller référendaire à la C our des c omptes et c hargé de mission au c abinet du Ministre de l’Economie et des Financ es Michel Debré. En 1966, il est nommé Contrôleur général de l a Director de : Caisse des dépôts et consignations . Il rejoint le Crédit Doc um ent de Référenc e 2008 43 Lyonnais en 1968 en qualité de Sous-direct eur où il deviendr a Directeur génér al adj oint. D e 1982 à 1986, il sera Prési dentDirecteur Général du Crédit du Nord. Associ é-gérant de l a Banque Lazard Frères et Cie de 1986 à 2000, il es t nommé MONSIEUR PHILI PPE ADAM (**) Admini strateur Né le 1er mai 1957 Senior Advis or en 2001. Depuis 2006, il est également Senior De nationalité français e Advisor de Barclays Capital Franc e. Adresse professi onnelle : ACCOR - Immeubl e ORSAY - 100, avenue de France - 75210 PARIS C edex 13 Fonction principal e exer cée en dehors d e l a So ciété : Senior Advisor - Laz ard Fr ères Senior Advisor - Bar cl ays Capital France AUTRES FONCTIONS ET MANDAT S HORS DU GROUPE Gérant unique d e : DD Financ e (France) Nommé le 16 mars 2005 Dernier renouvellement : 11 mars 2008 Echéanc e : Ass emblée Générale appel ée à stat uer s ur les comptes cl os le 31 oct obre 2010 Nombre d’ac tions de la Sociét é dét enues : 50 Critère d’indépendanc e : non Admini strateur de : Fimalac (Franc e) LISTE DES AUTRES MANDATS EXERCÉS DURANT LES 5 DERNIÈRES ANNÉES (AUTRES QUE LES MANDATS CIDESSUS) Biographie : Dipl ômé de l’Ins titut d’Et udes Politiques de Strasbourg et tit ulaire d’un Mas ter of Busi ness Administration, M. Adam a démarré s a c arrière en 1984 c omme anal yst e Executi ve Deput y Chairman de : Crédit Agricole - Lazar d financi er. M. Adam r ejoint en 1986 le Groupe Accor puis en Financial Products Bank 1993, Compass Group, n°1 mondial de l a res taur ation Vice-Président et Administrateur de : Fonds - Part enaires Gestion (F.P.G .) collective. En c harge de la Strat égie et du D éveloppement hôt elier au s ein du Groupe Accor entre 2006 et 2008, s es respons abilités port ent depuis septembre 2008 s ur un nouvel Censeur d e : - Eurazeo ensembl e qui regroupe : Innovation et Design, la Direction Technique de l'Hôtellerie, et pour la totalité du Groupe, l a Direction des Ac hats et l e Développement Dur able. - Groupe Go Sport - Lazard Frères Banque Fonction principal e exer cée en dehors d e l a So ciété : Président de : Directeur Général I nnovation, Design et Construction, Ac hats - Parande D éveloppement SAS et Développement Durable – Groupe Acc or Membre du Conseil de Surveill ance: - AXA - Club Médit erranée - Casino Associ é - Gérant de : AUTRES FONCTIONS ET MANDAT S HORS DU GROUPE Président-directeur génér al d e : Devimc o Admini strateur de : - NLD (Adagio) Membre du Cons eil de Surv eillance - RISMA - Lazard Frères - Maison Lazard LISTE DES AUTRES MANDATS EXERCÉS DURANT LES 5 DERNIÈRES ANNÉES (AUTRES QUE LES MANDATS CIDESSUS) - Partena Admini strateur de : - Sociét é I mmobilière Mars eillaise Managing Director de: Carlson Wagon Lit Travel( mis fin le 8 août 2006) - Axa I nvest ment Managers - Lazard Frères Banque - Crédit Agricole Laz ard Financial-Produc ts Lt d (**) M. Adam a démissi onné de s es f oncti ons d’administrateur, de membre du Comit é d’Audit et du Comité Str atégique en dat e du 3 novembre 2008. - Rue I mpériale Représentant perman ent de : - Lazard SA, administr ateur de la Compagnie de Crédit 44 Doc um ent de Référenc e 2008 MONSIEUR SAUD AL SULAIMAN MONSIEUR MUSTAPHA BAKKOURY Admini strateur Né le 8 déc embre 1961 Admini strateur De nationalité s aoudienne Né le 20 décembr e 1964 Adresse prof essionnelle : Contractrind C/ o : Rol aco Tradi ng and Madina Road, Al Sulai man Villa - P.O. Box: 222 - Jeddah21411 - ARABI E SAOUDITE De nationalité maroc aine Adresse prof essionnelle : Caiss e de Dépôt et de Gestion Place Moulay Al Hassan - B. P. 408 - RABAT - MAROC Nommé le 28 septembr e 2006 Nommé le 16 mars 2005 Dernier renouvellement : 11 mars 2008 Dernier renouvellement : 11 mars 2008 Echéanc e : Ass emblée Générale appel ée à stat uer s ur les comptes l e 31 oc tobre 2010 Echéanc e : Ass emblée Générale appel ée à stat uer s ur les comptes l e 31 oc tobre 2010 Premier mandat au s ein de l a Société : 28 s ept embre 2006 Premier mandat au s ein de l a Société : 12 déc embre 2003 Nombre d’ac tions de la Sociét é dét enues : 250 Nombre d’ac tions de la Sociét é dét enues : 50 Critères d’indépendanc e : non Critères d’indépendanc e : oui Biographie : Diplômé de l’Ecole N ationale des Ponts et Biographie : Diplômé en Finance (Uni versit é de New York ; Chauss ées de Paris et en Banque & Finances, M. Bakkour y a Etats-Unis), M. Saud Al Sulai man a exercé, depuis le début de passé une dizaine d’ années sa c arrière, différentes res ponsabilités de directi on au s ein du (notamment BNP-Paribas en Franc e et l a BMCI au Maroc) Groupe Rol aco Trading & C ontrac ting, dét enu en parti e par l a avant d’être nommé, en août 2001, Directeur Général de l a famille Al Sulai man. Il a ai nsi participé au développement du Caisse de Dépôt et de G estion du Maroc. O utre s es fonctions Groupe dans diff érents sect eurs tels que l’indus trie, la finance, au s ein de la Caisse de Dépôt et de Gestion, M. Bakkoury es t le développement i mmobilier, l e tourisme... également Vice-Chanc elier de l’Uni versité d’Al Akhawayn, Fonction principal e exer cée en dehors d e l a So ciété : Associ é et Dir ecteur Gén éral - Rolaco Trading et toutes dans le sect eur banc aire membre de la Fondation Mohammed VI pour les œuvr es sociales et la promoti on des ens eignants et Co-Président du Groupe d’I mpulsion Economique France-Maroc. ses filiales (Jeddah - Ar abie Saoudite) AUTRES FONCTIONS ET MANDAT S HORS DU GROUPE Membre du Conseil d’ Admini stration de : - Arabian Cement Company (Arabie Saoudite) Fonction principal e exer cée en dehors d e l a So ciété : Directeur Général de la Caisse de Dépôt et de G estion du Maroc - Saudi Arabi an R efineries Company (Arabie Saoudit e) AUTRES FONCTIONS ET MANDAT S HORS DU GROUPE - Capital Finance Company SAL. (Liban) Président du Consei l d’ Administr ation de : - Rolaco Holdi ng SA (Luxembourg) - Fipar Holding (Maroc) - Hadhan Hol ding SA (Luxembourg) - CDG Capital (Maroc) - Oryx Finance Lt d. (Grand C ayman) - Sociét é I mmobilière de l a Mer (Maroc) - Semiramis I ntercontinent al Hot el (Egypte) - Sociét é d’Aménagement R yad (Maroc) - Sharjah National Lube Oil Company (Emirats Arabes U nis) - Massira Capital Management (Maroc) - This Wor ks (UK) - CDG Développement (Maroc) - Muzun I nter national Aviation Fund (Bahamas) Président du Consei l de Surveill ance de : LISTE DES AUTRES MANDATS EXERCÉS DURANT LES 5 DERNIÈRES ANNÉES (AUTRES QUE LES MANDATS CIDESSUS) - Crédit Immobilier et H ôtelier (Maroc) Membre du Conseil de Surveill ance de : - MEDZ - Club Médit erranée (France) Membre du Conseil de Surveill ance de : - Compagnie G énérale I mmobilière - TMSA (Agence Spéciale T anger Med) Doc um ent de Référenc e 2008 45 - Banque Marocai ne pour le Commerce et l’Indus trie (Maroc) AUTRES FONCTIONS ET MANDAT S HORS DU GROUPE Admini strateur de : - Méditéléc om (Maroc) Président de : - SEB SA (Franc e) - SEB I nt ernati onal e (France) - Ciments du Maroc Représentant perman ent de : - Air Liquide (Maroc) Sofinaction, administr ateur de la Lyonnaise de Banque (France). - Fonds d’Equipement C ommunal (Maroc) Admini strateur de : - Poste Maroc - Plastic O mnium (Franc e) - Compagnie d’ Assurance Atlanta - Legrand (France) - Crédit Eqdom - Zhejiang SUPOR (Chi ne) - Médi 1 Sat (Maroc) LISTE DES AUTRES MANDATS EXERCÉS DURANT LES 5 DERNIÈRES ANNÉES (AUTRES QUE LES MANDATS CIDESSUS) MONSIEUR THIERRY DE LA TOUR D’ARTAISE Président de : Admini strateur - Groupe SEB Moulinex (Franc e) Né le 27 oc tobre 1954 Président du Consei l de Surveill ance de : De nationalité français e - Rowenta Werke (Allemagne) Adresse professi onnelle : GROUPE SEB - Chemin du Petit Bois - Les 4 M - B.P. 172 - 69134 ECULLY Cedex - France Membre du Conseil de Surveill ance de : Nommé le 16 mars 2005 - Groupe SEB Deutschl and (Allemagne) Dernier renouvellement : 11 mars 2008 - Rowenta Invest BV (Pays Bas) Echéanc e : Ass emblée Générale appel ée à stat uer s ur les comptes cl os le 31 oct obre 2010 Représentant perman ent de : Nombre d’ac tions de la Sociét é dét enues : 100 - SEB I nter national e chez Groupe SEB UK (G B) Critère d’indépendanc e : oui - SEB I nter national e chez Groupe SEB I berica (Es pagne) - SEB I nter national e chez Rowent a Franc e Biographie : Diplômé de l’Ecole Supérieur e de Commerce de - SEB I nter national e chez Calor (Franc e) Paris, M. de La Tour d’Art aise rejoint le Groupe Chargeurs comme res ponsable de l’audit interne (1983-1984), puis Directeur Administr atif et Financier (1984-86) et Directeur - SEB I nter national e chez Tefal (Franc e) Admini strateur de : Général (1986-1993) de Croisères Paquet . En 1994, il rejoint le Groupe SEB aux f oncti ons de Directeur G énér al puis de Président-Directeur G énéral de CALOR SA (1996). En 1998, il - T-Fal Corp (USA) - T-Fal de Mexico (Mexique) est à la têt e de la présidence de la Division "Equipement de l a Maison" du Gr oupe. En 1999, il est nommé Vic e-Président et Directeur Général du Groupe SEB dont il assume depuis 2000 - Rowenta Inc (USA) - Groupe Seb Col ombia (Colombi e) sa Présidenc e et Direction Général e. - Seb Benrubi (Grèc e) - Groupe Seb J apan (Japon) Fonction princip ale exer cée en d ehors d e la Société : Président-Directeur G énéral du Groupe SEB - Groupe Seb Mexic ana (Mexique) - Tefal UK (Grande-Bretagne) Gérant de : - Rowenta Deus tchland GmbH (Allemagne) - Krups G mbH (Allemagne) 46 Doc um ent de Référenc e 2008 LISTE DES AUTRES MANDATS EXERCÉS DURANT LES 5 DERNIÈRES ANNÉES (AUTRES QUE LES MANDATS CIDESSUS) MONSIEUR PAUL J EANBART Admini strateur de : Admini strateur - Orfèverie Christofle SA Né le 23 août 1939 De nationalité c anadienne Membre du Conseil de Surveill ance de : Adresse professi onnelle : ROLACO GROU PE SERVICES SA - 28, boulevard du Pont d'Arve - 1205 G ENEVE - SUISSE - Club Médit erranée Nommé le 16 mars 2005 Dernier renouvellement : 11 mars 2008 Echéanc e : Ass emblée Générale appel ée à stat uer s ur les comptes cl os le 31 oct obre 2010 MONSIEUR AIMERY LANGLOIS-MEURINNE Premier mandat au s ein de l a Société : 23 avril 1997 Admini strateur Nombre d’ac tions de la Sociét é dét enues : 50 Né le 27 mai 1943 Critère d’indépendanc e : oui De nationalité français e Adresse pr ofessi onnelle : Pargesa Hol ding SA - 11, GrandRue - CH 1204 GENEVE - SUI SSE Biographie : Diplômé en ingéni eur ci vil (Uni versité d’ Alep Syrie), M. Paul Jeanbart est c o-fondateur du Groupe Rolac o Trading & Contracting (1964-1982) qui est à l’origine une société de négoce de matériaux de c onstruc tion, d’équipements roul ants et de trans port routier et maritime Nommé le 28 septembr e 2006 Dernier renouvellement : 11 mars 2008 Echéanc e : Ass emblée Générale appel ée à stat uer s ur les comptes l e 31 oc tobre 2010 ainsi qu’une entreprise de cons truction. Dès 1982, M. Premier mandat au s ein de l a Société : Jeanbart a développé à partir de Genève les participati ons du 28 s ept embre 2006 Groupe Rolaco Hol ding SA (Luxembourg), dans des s ecteurs d’acti vités variés tels que le tourisme, l’hôtellerie, la finance, les assurances et le domaine maritime (armateur et opérat eur). Fonction principal e exer cée en dehors d e l a So ciété : Admi nistrateur Délégué - Rolac o Holdi ng SA (Luxembourg) Nombre d’ac tions de la Sociét é dét enues : 1 000 Critères d’indépendanc e : oui Biographie : M. Langlois-Meurinne est diplômé de Sci enc es Po (1965), doct eur en droit (1966) et di plômé de l’Ecol e Nationale d’Administrati on (1970). Après avoir pass é 12 ans au sei n du Groupe Paribas (1971-1983), il devi ent Managing AUTRES FONCTIONS ET MANDAT S HORS DU GROUPE Director successi vement de G. Bec ker Paribas (New Yor k) puis Merrill Lync h Capit al Président-Directeur Général d e : Markets (New York). Entre 1987 et 1998, il rejoint Parfinanc e - Oryx Finance Li mited, Grand C ayman Paris comme Directeur Général puis Vice-Président Directeur Général. En 1998, il devient Président du Conseil de - Hôtels Intercontinent al Genève SA Surveillanc e puis, Admini strateur délégué de : d’Administration de I mer ys. En parallèle, il est depuis 1990 Admi nistrateur - Rolaco Holdi ng S.A , Luxembourg et de toutes ses filiales depuis Direct eur 2005, Général Pr ésident de du Cons eil Pargesa H olding (Genève). Admini strateur de : - Sodexo Alliance SA Fonction principal e exer cée en dehors d e l a So ciété : - Luxur y Br and Devel opment SA Admi nistrateur-Directeur Général de Pargesa Holding SA - Semiramis Hôt el Co, Egypt (Genève) AUTRES FONCTIONS ET MANDAT S HORS DU GROUPE Admini strateur de : - Groupe Bruxelles Lambert SA (Belgique) Admini strateur et Président de : - Pargesa Luxembourg SA ( Luxembourg) Doc um ent de Référenc e 2008 47 - Pargesa Net herlands BV (Pays-Bas) Président du Consei l de Surveill ance de : - Imer ys (Franc e) - Antalis SAS Admini strateur de : LISTE DES AUTRES MANDATS EXERCÉS DURANT LES 5 DERNIÈRES ANNÉES (AUTRES QUE LES MANDATS CIDESSUS) - LISI (Paris) - SGS (Genève) Admini strateur de : - Greys ac (ex-Domaines Codem) - Eiffage (Franc e) - Safic Alcan - PAI Management (France) Liquidateur de : - Pascal I nvest ment Advisers SA (Suisse) - Financière Wor ms SA (Genève) - Corporation Financière Power (Canada) - Axis Capital Management (Grande-Bretagne) LISTE DES AUTRES MANDATS EXERCÉS DURANT LES 5 DERNIÈRES ANNÉES (AUTRES QUE LES MANDATS CIDESSUS) Président du Consei l de Surveill ance de : - Club Médit erranée MONSIEUR PASCAL LEBARD - MICEL (Saint-Chamond) Admini strateur Né le 15 mai 1962 Directeur Génér al d e : De nationalité français e - Exor SA (Paris) Adresse prof essionnelle : 19, avenue Montaigne - 75008 PARIS Président-Directeur Général : Nommé le 16 mars 2005 - Domaines Codem (Begadan) Dernier renouvellement : 11 mars 2008 Admini strateur de : Echéanc e : Ass emblée Générale appel ée à stat uer s ur les comptes cl os le 31 oct obre 2010 - Domaines Codem (Begadan) Premier mandat au s ein de l a Société : 23 avril 1997 - Européenne de Financement (Paris) Nombre d’ac tions de la Sociét é dét enues : 54 - Soficol (Paris) Critère d’indépendanc e : oui - Exint. (Paris) Membre du Directoire d e : Biographie : Diplômé de l’EDHEC, M. Lebard a débuté s a carrière comme c hargé d’aff aires auprès du Crédit - Worms & Cie (Paris) Commercial de France (1986-1989), puis Directeur Associ é au s ein de 3i SA (1989- 1991). Il devient Direct eur d’Ifint devenu Exor Group (Groupe Agnelli). En 2003, il rejoint Worms & Cie (devenu Sequana Capit al en 2005) en t ant que membre du Conseil de Sur veillanc e (2003-2004), membre du Directoire (2004-2005) puis Directeur G énéral Délégué (20052007). MADAME ANNE-CLAIRE T AITTINGER Admini strateur Née le 3 novembr e 1959 De nationalité français e Nommée le 14 mars 2006 Dernier renouvellement : 11 mars 2008 Fonction principal e exer cée en dehors d e l a So ciété : - Admi nistrateur - Directeur G énéral de Sequana Echéanc e : Ass emblée Générale appel ée à stat uer s ur les comptes cl os le 31 oct obre 2010 Premier mandat au s ein de l a Société : 12 jui n 2003 AUTRES FONCTIONS ET MANDAT S HORS DU GROUPE Nombre d’ac tions de la Sociét é dét enues : 400 Président de : Critère d’indépendanc e : oui - Boccafi n (ex-Per mal Group SAS) - ArjoWiggins SAS Biographie : Mme Taittinger est dipl ômée de l’I nstitut d’Études Politiques de Paris (IEP), tit ulaire d’une maî trise en sociologie 48 urbai ne et d’un DESS en Doc um ent de Référenc e 2008 Urbanis me et Aménagement du Territoire, et HEC - C PA Centre de Perfecti onnement aux Affaires. Après 4 ans passés au sein de filiales départ ementales d’aménagement urbai n de l a Caiss e des D épôts et Consignations (1976-1979), Anne-Claire Taittinger a ass umé, j usqu’en 2006, di verses res ponsabilit és de directi on opérationnelle parallèlement à des mandats de Président, de holding au sein du Groupe du Louvr e, et du Groupe Taitti nger. Admini strateur de : - DIXIA Président de : - SAS du Riffray II MONSIEUR TETSUYA MI YAG AWA Censeur Né le 6 avril 1955 Fonction principal e exercée en dehor s de la Soci été: WEFCOS-WOMEN’S FORUM - Seni or Advisor AUTRES FONCTIONS ET MANDAT S HORS DU GROUPE De nationalité japonaise Adresse pr ofessionnelle : Nippon Lif e I nsurance Company London R epres ent ati ve Of fice 20 Lit tle Britain - London EC1A 7DH Nommé le 14 mars 2006 Admini strateur de : - Carrefour Biographie : Diplômé d’économie de l’Université de Tokyo - Planet Finance (Japon), M. T estsuya Mi yagawa rejoint en 1978 Nippon Lif e Insurance Company. En 2001, il devi ent General Manager en - Financité charge de l’International Invest ment Department et depuis - Tocqueville Finance et Tocqueville Finance Holding 2005, il es t le représent ant de Nippon Life à Londres. - Etablissement Public du M usée d'Orsay Président de : Fonction principal e exer cée en dehors d e l a So ciété : - SAS Le Riffray II Chief Representative de Ni ppon Life Ins uranc e Company au - SAS DFT I mmobilier bureau de Londres Gérant de : AUTRES FONCTIONS ET MANDAT S HORS DU GROUPE - SARL Le Riffray I Director of : LISTE DES AUTRES MANDATS EXERCÉS DURANT LES 5 DERNIÈRES ANNÉES (AUTRES QUE LES MANDATS CIDESSUS) : - Nippon Life Ins uranc e I nternational PLC Président du Directoire d e : - Nippon Life Ins uranc e Company - Groupe Taitti nger Member of the Supervisor y Board of : Directeur Génér al d e : - Union PanAgora Ass et Management G mbH - Nippon Life Ins uranc e I nvest ments Europe Ltd. - Sociét é du Louvre – Gr oupe du Louvre AUTRES MANDATS EXERCÉS DURANT LES 5 DERNIÈRES ANNÉES (AUTRES QUE LES MANDATS CIDESSUS) : - Groupe du Louvre Président de : Néant -Louvre H ôtels SAS Président-Directeur G énér al pui s Président pui s Admini strateur de : - Baccarat Chairman & Dir ector de : - Baccarat Inc . (USA) - Baccarat Pacific KK (Japon) Représentant Perm anent du Groupe Taittinger d ans : - Sociét é Hôt elière Lut étia C oncor de - Taittinger CCVC Doc um ent de Référenc e 2008 49 A la connaiss ance de la Sociét é, il n’existe pas de lien familial M. Henri Gi scard d’Estaing est assi sté d’un dir ect eur général dél égué : entre l es mandataires s ociaux. A la connaissance de la Soci été, auc un des mandat aires sociaux n’a, au cours des cinq derni ères années, fait l’objet d’une incrimination ou d’une c ondamnation prononcée pour fraude ou été ass ocié à une faillite, mis e sous s équestre ou MICHEL WO LFOVSKI liquidation. Directeur Génér al D élégué En outre, Non administrateur officielle n’a ét é prononc ée à leur encontre par une autorit é Né le 3 avril 1957 Nationalité française auc une incrimination et/ ou s anc tion publique statutaire ou réglementaire et aucun tribunal ne les empêchés d’agir a en qualité de membre d’un organe d’administrati on, de direction ou de sur veillanc e d’un émetteur, Adresse professionnelle : Club M éditerranée, 11 rue de Cambrai 75019 Paris ni d’inter venir dans la gestion ou la conduite des aff aires d’un AUTRES FONCTIONS DANS LE GROUPE Il n’exist e pas, à la connaissanc e de la Société, d’intérêt émetteur. personnel de c es mêmes mandataires sociaux pouvant entrer Représentant permanent de : Club Méditerranée SA dans en c onflit avec l es int érêts s ociaux. Club Med World Holding (Paris) Enfin, à la connaiss anc e de l a Sociét é, il n’exist e pas de Admini strateur de : Jet tours SA (I vr y) (jusqu’au 4 août 2008) contrat de ser vices entre l a Société et les mandat aires sociaux autres que ceux mentionnés dans l e rapport spéci al AUTRES FONCTIONS HORS GROUPE Membre du Conseil de Surveill ance : - Adenclassifieds Membre du Conseil de : - Euronext Paris LISTE DES AUTRES MANDATS EXERCES AU COURS DES 5 DERNIERES ANNEES Membre du Directoire : Club Méditerranée SA (Paris) Admini strateur de : Club Med G ym (Paris) des Commissaires aux Comptes s ur les conventions réglementées . COMITES SPECIALISES D’ADMINISTRATION Lors de sa séance du 16 DU mars 2005, CONSEIL l e Cons eil d’Administration a instit ué 3 c omit és spécialisés : - un Comité Stratégique un Comité d’Audit un Comité des Nominations et des Rémunérations La c omposition, l es missions et l’acti vit é au c ours de l’exercice 2008 des Comités spécialisés s ont décrits dans le Rapport du Président du Conseil d’Administrati on s ur la c omposition, l es conditi ons de pr épar ation et d’organisation des travaux du Conseil d’Administration et les procédures de contrôle int erne et de gestion des risques mises en plac e par la Sociét é. 50 Doc um ent de Référenc e 2008 RAPPORT DU PRESIDENT DU CONSEIL D’ADMINIST RATION SUR LA COMPOSITION, L ES CONDITIONS DE PREPARATION ET D’ORGANISATION DES TRAVAUX DU CONSEIL D’ADMINIST RATION ET L ES PROCEDURES DE CONT ROL E INT ERNE ET DE GESTION DES RISQUES MISES EN PLACE PAR LA SOCIET E Confor mément aux dispositi ons de l’article L. 225-37 alinéa 6 Monsieur Philippe Adam a démissionné de son mandat du Code de commerce t el que modifi é par la loi n° 2 005- 842 d’administrat eur le 3 novembre 2008. du 26 juillet 2005 et de la loi n° 2008-649 du 3 ju illet 2008, le présent rapport a pour objet de rendre compte aux actionnaires des conditions de préparati on et d’organis ation des tr avaux du Conseil d’Admi nistration (le “Cons eil”) ainsi que des proc édur es de contrôle int erne mises en place par l a La list e des mandats et fonctions exercés par les membres du Conseil de la Soci été est Renseignements Généraux dét aillée dans le chapitr e du présent document de référenc e. société Club Méditerranée SA (la “Société”). Ce rapport a été préparé par le Président avec l’assistance de Confor mément aux dispositi ons de son règlement intérieur, le la Direction de l’Audit Int erne Groupe et prés ent é au Comit é Conseil d’audit lors de sa r éuni on du 8 décembre 2008. Il c ouvr e indépendants sel on les critères en vigueur en mati ère de l’ensemble “gouver nement des filiales de la Société, contrôlées veille à c ompter en son s ein des d’entreprise”. Le Conseil a membr es procédé à majoritairement, entrant dans le périmètr e de c ons olidati on du l’éval uati on du c aractèr e indépendant des admi nistrateurs en Groupe (le “Groupe”). faisant application des critères énoncés dans les rapports Le présent r apport s’appuie également s ur le guide de mis e en œuvre pour les valeurs moyennes et petit es du c adre de référenc e sur le c ontr ôle int erne publié par l’Autorit é des AFEP/MEDEF s ur le gouvernement d’ entreprise, et défi ni comme inc ompatibles avec la qualification d’admi nistrateur indépendant les situations sui vant es : marchés financiers l e 9 j anvier 2008. - être admi nistrateur de la Société depuis plus de 12 ans ; I. CONDIT IONS DE PREPARATION ET D’ORGANISATION DES TRAVAUX DU CONSEIL - être salarié ou mandataire social de la Sociét é, s alarié ou Les c onditions de préparation et d’organis ation des travaux du - être mandataire social d’une société dans laquelle la Sociét é Conseil sont défi nies par la loi, les stat uts de la Sociét é, l es détient dispositions du règlement i ntérieur du C ons eil et les Comit és d’administrat eur ou dans laquelle un s alarié désigné en t ant spécialisés i nstitués en son s ein. que t el ou un mandataire soci al de la Soci été (act uel ou administrat eur de la Soci été mère ou d’ une société qu’ell e consolide et ne pas l’avoir ét é au cours des 5 années précédentes ; direct ement ou indirect ement un mandat l’ayant été depuis moins de 5 ans) détient un mandat 1. PREPARATION DES TRAVAUX DU CONSEIL d’administrat eur; 1.1.1. COMPOSITION DU CONSEIL - être client, fournisseur, banquier d’aff aire, banquier de financ ement significatif de la Sociét é ou de s on Groupe ou L’article 14 des stat uts de la Société prévoit que “la Société pour lequel la Sociét é ou son Groupe représ ente une part est admi nistrée par un Conseil d’Administration composé de significative de l’acti vité ; trois à dix-huit membres” . Au 31 oct obre 2008, l e Cons eil se compose de di x administrat eurs et d’un c ens eur : - M. Henri Giscard d’Estai ng (Président) M. David Dautresme (Vice-Prési dent) M. Philippe Adam M. Saud Al Sulai man M. Mustapha Bakkour y M. Paul J eanbart M. Aimer y Langlois-Meurinne M. Pascal Lebard Mme Anne-Claire Taittinger M. Thierry de la Tour d’Artaise M. Kiyoshi Miyagawa (censeur) - avoir un lien f amilial proche avec un mandataire social ; - avoir été auditeur de l’entreprise au cours des 5 années précédentes ; - représenter un actionnaire important de la Soci été participant au contrôle de la Soci été ; au-delà d’un s euil de 10 % du capital ou des droits de vot e, l e Cons eil se prononc e en t enant compte de l a composition du capital et de l’existence d’un conflit d’intérêt potentiel. En applicati on de c es critères, s ept administrat eurs s ur di x composant le Cons eil de la Soci été doi vent être considér és comme i ndépendants : M me Anne-Claire Taitti nger ainsi que MM. Saud Al Sulai man, David Dautres me, T hierry de la Tour Doc um ent de Référenc e 2008 51 d’Artaise, Paul J eanbart , Aimery Langlois-Meurinne et Pasc al TENUE DES REUNIONS DU CONSEIL Lebard. Délais moyens d e convo cation du Conseil 1.1.2. ORGANISATION D’ UN CONSEIL Le c alendrier pr évisionnel des réunions du Conseil et des Comités spécialisés est communiqué à chaque admi nistrateur EXISTENCE D’UN REGLEMENT INTERIEUR au début Lors de sa séanc e du 16 mars 2005, le Conseil a adopt é son règlement int érieur qui regroupe et précise l es règles d’organisation et de fonctionnement qui l ui sont applicables en de l’exercice social. Les dél ais moyens de convoc ation sont de huit jours environ. Présidence des séan ces du Conseil vert u de la loi, des st atuts de l a Soci été mais également des Les séances du Cons eil sont présidées par le Pr ésident du principes de “gouvernement d’ entreprise” t els que r ésult ant du Conseil ou, en son absence, par le Vice-Président ou par Code c ons olidé du gouvernement d’entreprise des s ociét és l’administrateur qui aurait pu êtr e délégué provisoirement dans cotées AFEP/MEDEF publié en oc tobr e 2003. ces f oncti ons ou désigné par s es c ollègues. Au c ours de Le text e i ntégral du règlement intérieur tel que modifié lors de la séance du Conseil du 14 mars 2006 est disponibl e sur l e l’exercice 2008, le C onseil a t oujours ét é pr ésidé par l e Président du Conseil. site int ernet du Groupe www.clubmed.com. Information des administr ateurs Aux t ermes de ce r èglement intérieur, le Conseil se r éunit Le Président du C ons eil communique à c haque admi nistrateur, aussi souvent que l’intérêt de la Société l’exige. dans un délai s uffisant, tous les documents et l es inf ormations Outre les c ompétenc es et les pouvoirs du Cons eil, l e nécess aires à l’accomplissement de s a mission. règlement intérieur prévoit les règles de fonctionnement des Au c ours de l’exercice 2008, le Conseil s’es t réuni si x f ois. Le Comités spécialisés instit ués en son sei n, édict e le principe de taux moyen de présence s’ est él evé à 80% et la durée confidenti alité des moyenne des s éances a été de 1h30. connaissanc e ai nsi informations que dont c elui les membres d’exercice du ont mandat d’administrat eur dans l e res pect des r ègles d’indépendance, d’éthique et d’intégrité. En outre, l e règlement rappell e l’obligation pour chacun des administrat eurs d’infor mer l e Conseil de t out conflit d’intérêt réel ou potentiel dans lequel il pourrait être impliqué directement ou indirectement ; il doit , dans un t el cas, s’abst enir de participer aux débats et à l a prise de décisions s ur les suj ets c onc ernés. Le r èglement intérieur rappelle les règles applicables en mati ère de tr ans actions s ur les titres de la Société tell es qu’énonc ées aux t ermes de l’article L.621-18- 2 du C ode Le Direct eur G énéral Délégué de la Soci été en fonction a assisté à l’ens emble des s éances du Cons eil. 1.2. MISSIONS ET FONCTIONNEMENT DU CONSEIL ET DE SES COMITES SPECIALISES 1.2.1. ROLE DU CONSEIL Confor mément à l’article L. 225-35 du C ode de commerce, l e Conseil dét ermine les orientati ons de l’acti vité de la Société et veille à leur mis e en œuvre. Monét aire et Financier et des articles 222- 14 et 222-15 du Sous réser ve des pouvoirs express ément attribués aux Règlement G énér al de l’Aut orité des Marchés Financiers. Assemblées d’actionnaires et dans l a li mite de l’objet social, il Le r èglement i ntérieur prévoit l a rémunération des membr es du Cons eil et du Prési dent du Conseil au titre de leur mandat sous la for me de jet ons de prés enc e. Ceux-ci sont détaillés , se saisit de t out e questi on int éressant la bonne marche de l a Sociét é et règle par ses délibérati ons les af faires qui l a concernent. pour l’exercice 2008, en page 41 du prés ent doc ument de A cet égard, l e Conseil veille à la qualité de l’inf ormation référenc e. fournie aux actionnaires ainsi qu’au marché à travers l a Enfin, le règlement int érieur de la Société pr évoit la possibilit é pour les administrat eurs de participer aux délibérati ons du Conseil par des moyens de visioconf érenc e ou de télécommunication (conférence téléphonique ou tout autr e moyen moderne et int eractif de t élétrans mission) permett ant leur identific ation et garantissant leur participation eff ecti ve, et ce dans les conditions dét erminées par la r églementation en vigueur. Les administrateurs qui participent ainsi aux publication des c omptes ou à l’occasion d’ opér ations import ant es. N otamment lors de chaque arrêté des c ompt es semestriels, il ent end la Direction Général e qui (a) lui explique la for mation du résult at, l a pr ésentati on du bilan, la situation financi ère, les natur es de variations de trés orerie et d’endett ement financier net et (b) lui rappelle les princi paux principes compt abl es retenus qui ont un i mpact significatif s ur la présent ation des ét ats financiers. délibérations du C onseil par ce moyen sont réput és prés ents De plus, le C ons eil est infor mé de l’évol ution des princi paux pour l e calc ul du quorum et de l a majorit é, s auf pour ce qui indicat eurs s uivis par le Contrôle de G estion dont les données concerne les séances du Cons eil relatives à l’établissement sont périodiquement rapproc hées de l’information financièr e des compt es sociaux et consolidés ainsi que du rapport de publiée. gestion. Enfin, le Cons eil d’Administration, sur proposition du Comit é des Rémunérations, arrêt e la politique de rémunération des 52 Doc um ent de Référenc e 2008 membres de la Direction G énérale sur les él éments fi xes et Les membres du Comit é d’Audit sont MM. David Dautres me, variables auxquels s’ajoutent les engagements de tout e Philippe Adam et Pasc al Lebard. La présidence du Comit é nat ure pris par la Sociét é. * est assurée par M. Dautres me. Il est à not er qu’aucun Au titre de l’exercice 2008, le C ons eil a notamment : examiné les compt es consolidés et sociaux de l’exercice clos le 31 octobre 2007 ; arrêt é les rapports et les rés oluti ons à l’Assembl ée Générale Mixt e du 11 mars 2008 ; dirigeant mandat aire social n’ est membre de ce Comit é conf ormément aux règles de bonne “gouvernanc e d’entreprise”. pris Les règles d’organisati on et de fonctionnement ainsi que l es connaissanc e de l’acti vit é et des rés ultats à l’issue de c haque missions et les attributions du C omit é d’Audit s ont décrit es trimestre ; revu le budget et le plan strat égique ; examiné l es dans une Charte approuvée à l’unanimit é des membres du comptes consolidés et soci aux à l’issue du 1er s emestre de Comité l ors de sa réunion du 8 juin 2005. Le Comit é d’ Audit l’exercice 2008 ; attribué un plan d’options de souscription est l’une des composantes du dis positif de “gouvernement d’actions à cert ains s alariés et dirigeants mandataires s ociaux d’entreprise” mis en place par la Société. Ce Comité es t et autorisé les investiss ements (ex : acquisition ou rénovation chargé d’apport er son assistance au Cons eil dans s a mission d’actifs) ou les désinves tissements (ex : cessi on de Jet tours relative à l’examen et à l’arrêté des c ompt es annuels et et de Club Med G ym ou refinanc ement d’actifs) dès lors que semestriels, ai nsi qu’à l’occasion de t out e opér ation ou les mont ants concernés étaient s upérieurs au seuil défini dans événement pouvant avoir un impac t significatif sur la situation le règlement intérieur du C ons eil. du Gr oupe ou de s es filiales en t ermes d’engagement et/ ou de Le Cons eil a pris connaiss ance des c omptes rendus des différents Comités spécialisés instit ués en son sei n. EVALU ATION DU FONCTIONNEMENT DU risque. Le Comité d’Audit a pour missions de : CONSEI L D’ADMINISTRATION A la suit e du travail mené au cours de l’exercice 2008 par le Comité des Nomi nati ons et des Rémunérations , le Conseil a - procéder à l’examen annuel et semes triel des c ompt es consolidés et soci aux et des rapports y affér ents ; - s’assurer de la cohérence de ces ét ats financiers avec l es informations dont il a par ailleurs connaissance ; procédé lors de sa s éance du 10 décembre 2008 à une - s’assurer de la perti nenc e et de la permanenc e des évaluation de son mode de fonc tionnement à travers un mét hodes comptables adopt ées pour l’établissement de c es questionnaire des tiné à recueillir aupr ès de c haque membr e comptes ; du Conseil son appréciation s ur la composition et l e foncti onnement du Cons eil, la tenue des réunions , l’organisation des débats, la qualité de l’inf ormation remise au Conseil ai nsi que le fonctionnement des Comités s pécialisés . - vérifier que les procédures int ernes de collect e et de contrôl e des informations garantissent celles-ci ; - examiner les évolutions réglementaires récentes et en appréhender les impac ts sur les ét ats fi nanciers. CONFORMITE A UN CODE DE GOU VERNEMENT D’ENTREPRISE Pour mener à bien s a mission, le Comité d’Audit a acc ès à tout doc ument compt abl e et financier ; il entend l es Lors de c ett e même réunion du 10 décembre 2008, le Cons eil respons abl es de l’établissement des comptes ainsi que l es d’Administration a déci dé que la Sociét é se c onf ormer a au Commissaires aux Comptes afin d’obtenir l’assurance que c es code de gouvernement d’entreprise AFEP-MEDEF complét é derniers des recommandations du 6 octobre 2008 sur la rémunér ation nécess aires à l’exercice de leurs diligences, notamment des dirigeants mandataires s ociaux des sociétés c otées. s’agissant des filiales c ons olidées, et qu’ils ont suffisamment ont eu accès à l’ens emble des inf ormations avanc é leurs travaux au moment de l’arrêté des comptes pour 1.2.2. ROLE DES COMITES SPECIALISES être en mes ure de c ommuniquer t out e remarque significati ve. Le Conseil a constitué, lors de s a s éance du 16 mars 2005, Dans ce c adre, le C omit é revoit l es diligences effec tuées par trois Comit és s pécialisés permanents en vue de l’assist er et les Commiss aires aux C omptes . Il examine et for mule un avis de concourir efficacement à l a préparation de ses décisions : sur les candidat ures aux f onc tions de Commissaires aux le Comité d’Audit, le Comité des Nominations Comptes et des de l a Société, ou le c as échéant sur leur Rémunérations et l e Comité Strat égique. renouvellement lors des échéanc es de leurs mandats . Les Comit és spécialisés s ont composés de membres du Au c ours de l’exercice 2008, le Comité d’Audit s’est réuni à Conseil. Le C ons eil désigne les membres et le Président de deux reprises. Le taux de participation a attei nt 100%. chacun de c es Comités. LE COMITE D’AUDIT Au cours de ces 2 réunions portant s ur l’arrêté des c ompt es annuels et semes triels, le Comité a vérifié le déroulement de la clôtur e des comptes et a pris connaissance des conclusions Le Comité d’ Audit est composé de 3 membres dont 2 indépendants, désignés pour la durée de leur mandat d’administrat eur. * Dém i ss i on du Com i té d’ Audi t au 3 novem bre 2008 Doc um ent de Référenc e 2008 53 des Commissaires aux Compt es à l’issue de leurs travaux de En vue d’exercer au mieux s a mission de dét ermination et de contrôle. Le Comit é a également examiné les contrôl es fixation des rémunérations et avantages des mandat aires fiscaux en cours dans le Groupe, la poursuite de l a di minution sociaux, le Comité des Nominati ons et des Rémunér ations du nombre de soci étés f aisant partie de l’organigramme s’appuie s ur l’expertise d’ un cabinet de conseil i ndépendant juridique du Groupe, les couvert ures financières et l’évol ution spécialisé ai nsi que s ur les inf ormations de marchés qui l ui du programme Assurances. sont four nies chaque année. Par ailleurs, le Comit é d’Audit a pris connaissanc e du rapport Les d’acti vité de l’Audit Int erne au titre des différentes missions rémunérati ons et avantages des mandataires sociaux s ont réalisées présentés en page 39 du prés ent document de réf érenc e. au c ours de l’exercice 2008 ainsi que des évaluations qui en ont rés ulté en matière de c ontrôle interne et s’est prononcé s ur le cal endrier des proc haines missions. LE COMITE DES NOMINATIONS ET principes et règles arrêt és pour déter miner l es Au cours de l’exercice 2008, le Comité des Nomi nati ons et des R émunérations s’es t réuni deux f ois avec un t aux de DES REMUNERATIONS présenc e de 83%. Le C omit é a notamment proposé au Conseil d’Administr ation l es modalités d’attributi on, à certai ns salariés et dirigeants mandataires soci aux, d’ un plan de Le C omit é des Nomi nati ons et des Rémunérations es t 245.000 opti ons de s ouscripti on d’acti ons et a émis une composé de 3 membres, t ous indépendants. recommandation s ur la c ompositi on du conseil (âge et Les membres du Comit é des Nominations et des Rémunérations s ont Mme Anne-Claire Taittinger ai nsi que MM. indépendance). Le conseil, lors de la s éanc e du 11 mars 2008 a adopté l’ensembl e des pr opositi ons du c omité. Thierry de La Tour d’Artaise et Saud Al Sulaiman. La Le C omit é des Nominations présidence du Comité est assurée par M. de La Tour d’Artais e. également Il est à noter qu’aucun dirigeant mandataire social n’es t perfor manc e auxquelles doi vent être s oumises les indemnit és membre de c e Comité c onf ormément aux r ègles de bonne forfaitaires de rupt ure des mandataires s ociaux dirigeants en “gouver nanc e d’entr eprise”. vert u de la loi TEPA du 21 août 2007. Les recommandations Le C omit é des N omi nati ons et des Rémunérati ons a pour missions : et des R émunérations travaillé sur la définition des a conditions de formul ées s ur les critères de performanc e ret enus par le Comité s eront soumises à la validation du Cons eil lors de s a séanc e du 10 décembre 2008 et à l’approbation des - à son initiative ou à la demande du C onseil, d’examiner les actionnaires l ors de l’Assemblée G énérale du 20 février 2009. candi dat ures aux fonctions d’administrat eurs, au regard de leur expérience de l a vie des af faires, de leur compét enc e et de leur représ ent ati vité éc onomique, social e et cult urelle ; LE COMITE STRATEGI QUE Le Comité Str atégique est c ompos é de 7 membres, dont 4 - d’examiner l es candi dat ures aux fonctions de Directeur indépendants. Général et , le c as éc héant , de Directeur Général D élégué ; - de procéder à l’examen et de proposer la composition des Comités spéci alisés du Conseil d’ Administration ; Les membres du Comité Str atégique sont MM. Henri Giscard d’Estaing, Philippe Adam, Must apha Bakkour y, Paul J eanbart , - de pr opos er les modalit és de fi xation de la rémunérati on (fi xe Aimer y et variable) et des avant ages s ociaux du Président du Cons eil Miyagawa (censeur). La pr ésidence du Comité est ass urée Langlois-Meurinne, Pascal Lebar d et Tetsuya d’Administration, du Vice-Prési dent et du Directeur G énér al et , par M. Giscard d’Est aing. le cas échéant et s ur proposition du Président du Cons eil d’Administration, de c elle des Direct eurs G énéraux D élégués ; - de procéder à l’examen des projets d’attribution de plans Le Comité Stratégique a pour at tribution d’examiner : d’opti ons de s ouscripti on d’actions ou d’ actions gratuites aux - les grandes orient ations stratégiques et de développement salariés ou aux dirigeants de la Sociét é et des sociétés du Groupe, que ce s oit du Groupe ( y c ompris les mandataires s ociaux) ; not amment dans le domaine financier ou c ommercial, pl us - de proposer au Cons eil les modalités de c alcul de l a perfor manc e globale de l’entreprise pour l a déter mination du pourcent age d’attei nte de la part entreprise des bonus ; particulièrement, sur l e produit et s on évolution, en c ohér enc e avec l’image et l’esprit de la Soci été ; - le pl an à trois ans prés enté annuellement par le Directeur - d’obtenir communicati on de t out e infor mati on utile relati ve Général. aux rémunérations et aux stat uts des c adres dirigeants du Le Comité bénéficie, par ailleurs, de l a collaboration et de l a Groupe ; participati on de l’ens emble des directions fonc tionnelles du - de formuler t oute proposition et t out avis sur les jet ons de présenc e ou autres rémunérati ons administrat eurs et des censeurs. et avantages des Groupe. Lors de l’exercice 2008, l e Comité Stratégique s’est réuni deux f ois avec un t aux de prés ence de 71 % en vue d’examiner, notamment, l’act ualisati on du plan strat égique 54 Doc um ent de Référenc e 2008 2008-2010 tenant c ompte du projet d’entreprise “Magellan” - tout e trans action et tout c ompromis en c as de litige d’un ayant pour obj ectif de poursui vre la transf ormation du Club montant s upérieur à 6 100 000 €. Méditerranée pour en f aire le s pécialiste mondial des vac anc es t out compris, haut de gamme, c onvi viales et REGLES multicult urelles. Le Comit é Strat égique s’est également réuni COMMUNICATION REGULIERE ET SPECIF IQUE pour ét udi er les projets de cession de Jet tours et de Club Med G ym et a donné un avis f avorable à la r éalisati on de c es opérations . APPLIC ABLES EN MATIERE DE Le Direct eur Général rend compte au Conseil de manièr e régulière de l’utilisation des autorisations qui lui ont ét é octroyées : mise en œuvre du programme de rac hat d’ actions 1.3. LIMITATIONS APPORTEES P AR LE CONSEIL D’ADMINISTRATION AUX POUVOIRS DU DIRECTEUR GENERAL de la Soci été ; utilisation des cautions , avals et garanti es,... Le Direct eur G énéral fait par ailleurs des poi nts s pécifiques au Conseil sur des suj ets t els que l’évolution de l’actionnariat et des partenariats strat égiques. LIMITATIONS R ESULTANT DE REGLES INTERNES Lors de s a première réunion du 16 mars 2005, le Conseil s’es t 1.4. ACTIONNARIAT prononcé en faveur du cumul de la f onction de Prési dence du Tout actionnaire a le droit de participer aux ass emblées Conseil et de l a fonction exécuti ve de Direct eur G énér al et a générales dans les conditions prévues par la loi. Les désigné M. Henri Giscard d’Es taing comme Prési dent- modalités relatives à cet te participati on sont détaillées dans Directeur Général. Le Cons eil a, en eff et, jugé plus approprié les dispositions de l’article 28 des st at uts et f ont l’obj et d’un de réunir les deux f onc tions sur une seule personne pour l a rappel en page 30 du document de référence. bonne réussit e de la mis e en œuvre de la strat égie de montée en gamme. Par ailleurs, il n’exist e pas d’élément relatif à la str ucture du capital de la soci été s usceptible d’ avoir une incidence en c as Confor mément aux dispositions de l’article L.225-56 du C ode d’offre publique. de commerce, le Directeur G énér al es t i nvesti des pouvoirs les plus étendus pour agir en t out es circonstances au nom de II. LES PROCEDURES DE CONTROLE la Soci été. Il exerce ces pouvoirs dans la li mite de l’objet INT ERNE MISES SOCIETE social et sous réser ve de ceux que la loi at tribue EN PLACE PAR LA expressément aux Ass emblées d’actionnaires et au Cons eil d’Administration. Il représente la Sociét é dans ses rapports avec les tiers. 2.1. DEFINITION DES OBJECTIFS DU CONTROLE INTERNE À titre de mes ure d’ordr e interne, l e Conseil a déci dé que son RAPPEL DES OBJECTIFS DU CONTROLE INTERNE aut orisation préalable es t néc essaire pour cert aines opérations compt e t enu de leur nature et/ ou de leur montant : Aux t ermes des tr avaux établis s ous l’égide de l’AMF (Autorit é des marchés financiers) publiés le 31 oct obre 2006, l e • arrêter et approuver le budget annuel de l a Sociét é ; contrôle int erne est un dispositif de la Société, défini et mis en • arrêter et approuver le plan strat égique à 3 ans ; œuvre s ous s a res ponsabilité, qui vise à ass urer : • procéder aux opér ations s uivant es, lorsqu’elles dépass ent , - la conf ormit é aux lois et règlements ; pour c hac une d’entre elles, l e montant ci-après défini : - l’applicati on des i nstructions et des orient ations fixées par l a - tout engagement d’inves tissements ou de Direction Général e ; désinvestissements non prévu au budget annuel et d’un - le bon fonctionnement des process us i nternes de la Soci été, montant global supérieur à 9 200 000 € ; not amment c eux c onc ourant à la s auvegarde de s es actifs ; - tout achat, c ession, s ouscripti on, apport ou échange de - la fiabilité des infor mati ons financières ; biens incorporels et c orporels, mobiliers et i mmobiliers, de droits ou de valeurs, t out e création de s ociét é ou d’entité sous - et qui, d’une f açon général e, contribue à l a maîtrise de s es quelque forme que c e soit, d’un montant s upérieur, ou activit és, à l’efficacit é de ses opérations et à l’utilisation impliquant une mise de f onds s upérieure à 15 300 000 €, à efficiente de s es ress ources. l’exception Club En c ontribuant à prévenir et maîtriser les risques de ne pas Méditerranée SA et les s ociét és qu’elle contrôle direct ement attei ndre l es objectifs que s’ est fi xés la Société, le dispositif de ou indirectement, ou entre l esdites s ociét és contrôlées, et ne contrôle int erne joue un r ôle clé dans la c onduite et le pilot age relevant pas de l’article L.225-38 du Code de c ommerce ; de s es diff érentes acti vités. - tout act e en vue de c ons entir ou d’obtenir t ous prêts , Toutefois, le contrôle int erne ne peut f ournir une garanti e emprunts y c ompris obligataires, cr édits ou avanc es de absol ue que les objec tifs de la Société s eront at teints. des opérations inter venant entre trésorerie d’ un mont ant s upérieur à 45 800 000 € ; Doc um ent de Référenc e 2008 55 Au cas particulier, le dispositif de contrôle i nterne du Club Humai nes de tout événement ou situation envisagé par l e Méditerranée repose, dans un cadr e de déc entralisation des Code qui le concerne. foncti ons et des r esponsabilités, sur un ensembl e de règles d’organisation, de politiques, de procédures et de pratiques visant à s’assur er de la mise en œuvre des mesur es nécess aires pour maîtriser les risques susceptibl es d’avoir un impac t significatif sur le patrimoine ou la réalisati on des objectifs du Groupe. de l’exercice 2008, un groupe de travail pluridisciplinaire a f ait évoluer c e c ode ét hique vers une c hart e éthique destinée à l’ensembl e des c ollaborateurs du Club Méditerranée. Cett e c hart e éthique a été prés entée au Comit é d’entreprise le 09/ 10/ 2008 et a reçu un avis favorable. Apr ès transmission à l’Inspection du tr avail, cett e chart e va êtr e Les procédures en vigueur au s ein de la Société et de l’ensemble de ses Au cours filiales, détaillées ci-après dépl oyée au ni veau mondial à compt er du 01/01/09. dans l e paragraphe 2.2, ont pour objet de : La Charte de l’Audit Int erne - veiller à c e que les actes de gestion ou de réalisation des La Chart e d’Audit a pour but de définir et de délimiter le rôle, opérations , ainsi que les c omportements les obj ectifs et les responsabilités de l’Audit Int erne du Groupe du personnel s’inscrivent dans le cadr e des orientations données aux et de garantir les conditions d’exercice de s a f oncti on. activit és de l’entreprise défini par l es organes sociaux, les l ois et réglement ations applicables, l es valeurs, normes et règles internes à l’entreprise ; Procédures Les proc édur es c omptables et financi ères et les procédur es - protéger son patrimoine ; générales détaillées par principaux métiers s ont dif fus ées aux - vérifier que les infor mati ons comptabl es, financières et de gestion c ommuniquées aux organes s ociaux de la Sociét é reflètent avec sinc érité l’acti vit é et la sit uati on de l’entreprise. Pour par venir à c es objectifs , l e c ontrôl e interne du Groupe s’articule au sei n de chaque “Busi ness Unit”, sous la respons abilité des directions opérationnelles et fonc tionnelles , différents respons ables et à leurs équipes . Elles sont aussi centralisées à l’Audit Int erne. Les proc édur es c onc ernant l es Villages sont mises à jour régulièrement s ur l’intranet du Groupe. Le manuel de gestion des situations sensibles et des crises à tous les ni veaux de l’organisation. Chaque act eur du Ce manuel a pour but de définir les proc édures à appliquer et contrôle i nterne au s ein de l’organisation est donc informé de à respecter en cas de sit uations sensi bles ou de crises son rôle et de ses res ponsabilités. auxquelles l es équi pes du Club Méditerranée pourraient êtr e confrontées. L’ENVIRONNEMENT DE CONTROLE Ce document réalisé par l a Direction Sécurité, H ygiène et Référentiels intern es utilisés Sant é, dans un but à la fois préventif et c uratif, contient de nombreuses fiches de situations t ypes (crises sanit aires ou Code d’ét hique et de bonnes pratiques médicales, c onflits, c at astrophes nat urelles) susceptibl es de Le Groupe a mis en plac e à l a suit e d’une décision du Directoire du 23 juin 1997 un Code d’ét hique afin de survenir au s ein de nos i nstallations ou dans les pays dans lesquels elles s ont situées. sensibiliser le personnel et lui faire prendre conscienc e du f ait Le manuel de ges tion des situations s ensibl es et des crises que certains t ypes d’ac tivit és et de relations sont s ujets à de sert également de s upport à t out es les formations int ernes à l a strictes limitations ou doivent êtr e absolument évités . Ce C ode gestion et la c ommunicati on de crise. couvre notamment les conflits d’intérêts pot enti els, la politique du Groupe en matièr e de c adeaux, avantages, invitations et paiements en faveur de s es employés, l’utilisation 2.2. MISE EN OEUVRE DES CONTROLE INTERNE OBJECTIFS DE d’informations c onfi dentielles, le respect des lois applicabl es dans tous l es pays dans lesquels le Groupe exerce une activit é, le r espec t de la politique du Groupe. À c et égard, chaque employé est t enu de r épondr e par oui ou par non à un questionnaire portant s ur : 2.2.1. IDENTIFICATION RISQUES ET EVALUATION DES Un proc essus de cart ographie des risques a été initié en 2005 au ni veau Groupe par l’Audit I nter ne avec pour objec tif - un certai n nombre de situations en vue de dét erminer s’il es t d’identifier les risques potentiels, de définir et mettre en plac e susceptible les mes ures pour les li miter et promouvoir un environnement d’avoir des int érêts directs ou indirec ts contradictoires avec c eux du Groupe ; de maî trise des risques. - et, son souhait de se confor mer à tous les aspects du C ode Les principaux risques liés à l’acti vité du Groupe ont ét é d’éthique, à prendre t out es les mesures nécess aires pour recensés par des entreti ens avec la Direction Générale, s’assurer que ses proches agissent de même, et à aviser certains membres des Comités de Directi on des Business dans l es plus brefs délais la Direction des Ress ourc es Units et l es membres de directi ons f onc tionnelles du Siège, en 56 Doc um ent de Référenc e 2008 prenant égal ement en considération l’expérience passée du papi er ou par int ernet (“e-Feedbac k”). Le taux de retour Groupe en mati ère de risques. s’élève à 49% en France et 46% en Suiss e et res te très élevé Le proc essus de cartographie des risques couvre les champs stratégiques attac hés aux process us opérationnels du Groupe, à son environnement économique et à s es f onc tions supports , soit les principaux risques liés à : la conj onct ure éc onomique et les enjeux politiques, l’environnement, le juridique et les assurances, le financier . même au sein de client èles plus éloignées comme aux Ét atsUnis avec 44%, en N ouvelle Z élande avec 36% ou à H ong Kong avec 31%. Ce t aux de retour est tr ès haut pour la pr ofession et au vu de la longueur du questi onnaire. Il démontre l’at tac hement des clients pour la marque Club Med ainsi que la hauteur de leurs attentes vis à vis d’elle. D’un poi nt de vue st atistique, il assur e la fiabilité et la représent ati vité des rés ultats obt enus. Cel a Cette c artographie opérationnels des concernés, risques est, régulièrement avec l’aide des mise à jour à permet d’ajust er au plus près la prest ation et de mener des actions de progrès prioritaires . l’occasion des missions réalisées par l’Audit I nterne. Outre les rapports par Village, s ont publiés également des 2.2.2. LES PROCEDURES DE CONTROLE INTERNE RELATIVES AU CONTROLE OPE RATIONNEL ET AU RESPECT DES LOIS ET REGLEMENTS résultats par BU, pays opér ationnel et par nationalité des GM. Le GM F eedbac k es t dif fus é sur une base large allant du Chef de Village au Comit é de Direction G énérale en passant de manière trans versale par les directions opérationnell es CONTROLE OPERATIONNEL concernées . Le c ontrôl e opérati onnel passe par la satisf action des clients Le r ythme de dif fusion des données es t élevé puisque l es et le sui vi qualit é ainsi que par la pérennit é et l a sauvegarde résultats sont publiés une semaine s ur deux : ce qui permet des s yst èmes informatiques mondi aux du Groupe. d’alerter quand les indicat eurs sont en baisse, de sui vre l a prestati on et les progrès réalisés de façon quasi cons tante. La qualité Quand des Villages sont identifiés c omme étant en dif ficulté, La r echerc he de l’améliorati on de la qualité a toujours ét é une des pl ans d’ actions s ont demandés aux opérati onnels avec préoccupation maj eure de l a Soci été. C’est pourquoi l a l’aide des directions trans versal es (Prest ations, RH) qui Direction de la qualité s’est struct urée, ces dernières années , soutiennent le Village. en vue de mettre en pl ace une démarche organisée, afi n Ce GM Feedbac k est un outil très riche de pilotage, de d’accompagner l e développement de l’entreprise, de s es progrès, et de benchmark interne, dont les rés ultats s ont produits et de ses marc hés. anal ys és et pris en compte tant dans le management La Qualité au Club est composée d’une Direction Q ualit é quotidien du Village que dans des c hoi x à pl us long t erme. Corporat e et de Relais Q ualit é dans l es BU. Les st andards de qualité Cette démarche repose en particulier sur un s ystème rigoureux d’écoute des clients du Club Med (“GM”) et de Il fallait au produit Club Med un c adre ass ez précis pour définiti on et de s uivi du produit. assurer la régularité de la pres tation dans le t emps et l’harmonie d’un Village à l’autr e, mais assez souple aussi pour Les ret ours clients laisser toujours l es équi pes donner cours à l eur s pontanéité et leur créati vit é. La satisf action client au Club M ed est rec ueillie de f açon centralisée au travers d’un ques tionnaire de s atisf action Ces st andards (autrement dénommés “ Quali Signs”) ont ét é envoyé à chaque f oyer de GM dans le monde (« l e GM rédigés par plus de 600 GO® dans le monde entier. Un manuel Feedbac k »), par l’analys e des courriers des clients, mais a été créé pour c haque ser vice du Village dont la diff usion es t aussi de f açon décentralisée au travers du cont act quotidien assurée par l’intranet. Chaque personne a ainsi acc ès à et permanent des GO avec leurs GM grâce à des t abl es l’informati on qui lui es t nécess aire pour mener à bien son rondes / foc us groupes en village et la veille permanent e dans travail quotidi en. tous l es ser vices du Village. Les Quali Signs décrivent en t ermes de s avoir-faire et de savoir être la prestation Club Med voulue. Ils s ont organis és Le « GM » Feedbac k selon le parcours du client dans c hac un des s ervic es Il s’agit d’une enquête de satisf action adressée à t ous l es (Hébergement, Table, Réc eption, Bar, ..). Chaque saison ( 2 foyers de GM dans le monde qui obti ent un taux de ret our de fois par an) ils sont mis à jour sel on les retours d’expérienc es 43%. Le Club demande à ses clients de juger l’intégralité de l a des Villages et les évolutions de la prest ation. prestati on en Village au travers d’une cent aine de questi ons : Les Quali Signs sont adapt és à c haque Village : composés de de l’inf ormation / réser vation avant son s éjour, en pass ant par standards Monde, puis de standards s pécifiques à leur BU, l’arrivée, l es GO , la c hambre,… jusqu’au départ du Village. gamme de trident, t ype de « bonheurs », client èles accueillies Plus de 350. 000 questionnaires sont envoyés dans le monde, et acti vités proposées. Ils contiennent environ 700 it ems tous en 10 langues dif férentes et les GM peuvent répondre par services confondus . Doc um ent de Référenc e 2008 57 Ce sont les managers du Village (Chef de Village, Responsabl es de ser vice) qui s ont en c harge de veiller à l’application des l’accompagnement formations standards dans le Village et à des équipes pour y par venir. Lors des de managers, l’utilisation des standards es t syst ématiquement rappelée. Les Quali Signs s ont direct ement en f ormat « aut ocontrôles » afi n que les Managers du Village puissent évaluer les st andards non appliqués et mettre en place des actions pour l es points à améliorer. Il exist e aussi des Quali Signs pour les Agenc es Club Med et pour le Club Med World. des acti vités du Groupe, dans un s ouci d’homogénéis ation des données comptables s ociales et c ons olidées . Afin de garantir la correct e utilisation de c es outils et donc l a pertinence de l’infor mati on, une doc umentati on fonc tionnelle, appropriée aux besoins des utilisat eurs, a été f ormalisée et cette documentation es t accessible à t out utilisateur des syst èmes d’informations financi ers vi a un portail web. Le Groupe a également mis en pl ace des dispositifs destinés à ass urer la séc urité du s ystème d’infor mation c ompt able et financi er et l’int égrité des données inf ormatiques (pr ocess us de s auvegardes périodiques, mise en plac e de contrôl es Afin de res pec ter la qualité de ser vice att endue par nos clients aut omatiques desti nés à prévenir la sur venance de données et décrit e dans les Quali Signs, le « c omment f aire » a ét é erronées, conser vati on des inf ormations et des données élaboré pour t ous les métiers du Club Med. Ainsi l es informatiques, …). procédures, modes opératoires et bonnes pratiques ont ét é écrits pour plus de 110 méti ers du Club M ed. Ces standards s ont dénommés les “Pro Signs”, ils ont ét é rédigés par les experts méti ers et par les Chefs de s er vice l es plus c onfir més. Les Directions des R essourc es Humaines , des Achats, de l a Sécurité ont collaboré à la rédaction des Pr o Signs. En outre, l e s ystème d’inf ormation compt abl e et financier f ait l’objet d’adaptati ons régulières afin d’évoluer avec les besoi ns spécifiques du Groupe. En 2008, s ous l’impulsion de l a Direction des Risques et Assuranc es et la Direction des Syst èmes d’infor mati on, un état des lieux des informatiques pour risques les concernant as pects l es métiers, s ystèmes opérationnels, Ces outils métiers doi vent ai der nos G O®/GE® à être t oujours techniques, juridiques et ass uranc es a ét é mené dans une plus professionnels. démarche d’amélioration continue du c ontr ôle int erne des départements de la Soci été. Les « visites myst ère » Le s yst ème de r éser vati on, ainsi que les données ass ociées , Des visit eurs mystère neutres mesurent le res pec t des Quali et le s ys tème compt able du Club Médit erranée, s ont des ac tifs Signs en Village. Ils sont recrut és et briefés par une s ociét é majeurs du Club Médit erranée. Afin de prendre en compt e c es spécialisée sur des critères précis de recrutement définis par impératifs et le Club (sérieux éprouvé, profils c orrespondant à la clientèl e disponibilité des s ys tèmes (pannes Club Med, comportement neutre et non piégeur). destructi on la Direction Munis de la grille des Q uali Signs du Village, ils viennent minimis er les risques associés à la non du site, (...), majeures, i ncendie, des Systèmes d’Inf ormation a mis en pl ace l es éléments s ui vants : contrôler l eur mise en plac e à toutes les étapes de leur séjour : - tous l es composants matériels et logiciels sont r épartis s ur de l’arrivée à l’aér oport au départ du village. deux sites distants int erconnec tés ; Le « GM mystèr e » se présente à la fin du séjour au Chef de - les données s ont répliquées en t emps réel entre l es deux village et lui fait un premier débriefing oral afi n que celui-ci sites et accessi bles indifféremment par les applications s ur puisse corriger les anomalies s ur les points identifi és. Puis un chaque sit e ; rapport écrit est restit ué au Chef de Village, au Directeur de pays et à la Direction de la pr estati on sous une dizaine de jours. Selon le score obtenu, le Chef de Village enverra à l a Direction Qualité s on plan d’ actions correctrices. Les outils de l a Direction de la qualité : les standards (Quali Signs, Pro Signs) et la mesur e (retours clients, GM myst ère) permett ent de mettre en plac e un s yst ème d’amélior ation permanent e afi n de f aire vivr e à nos GM l’expérience Club Med voulue et de les fidéliser. Les systèmes informatiques Le s ys tème d’inf ormation comptabl e et fi nancier, dépl oyé au sein du Groupe, a pour objec tif de s atisfaire aux exigences de sécurité, de fiabilité, de disponibilité et de traçabilité de l’informati on. Il s’articul e autour d’un outil de reporti ng et d’un - un Plan de Reprise des acti vités a été rédigé afi n de remet tre en ser vice au plus vite les applications s ensibl es (réservation, compt abilité, ...). À chaque f ois que possible, les applications moins s ensibl es (Gestion des ressources, Décisionnel, .. .) bénéficient de c ett e organisation. Chaque utilisateur de l a bureautique dis pos e d’un es pac e de stoc kage s ur des s er veurs s écurisés. C eci garantit l a pérennité des données jugées s ensi bles par les utilisateurs. L’accès à ces moyens infor matiques s e f ait par l’intermédi aire d’un rés eau de téléc ommunicati on int ernational déployé s ur les cinq conti nents. Le risque d’intrusion sur le réseau et/ ou dans une application centralisée es t évalué et test é périodiquement. syst ème de cons olidati on int erfac és, couvr ant la quasi-t otalit é 58 Doc um ent de Référenc e 2008 La gestion des utilisateurs et de leurs droits d’acc ès aux - tout pr ojet syst èmes fi nanci ers fait l’objet d’ une revue annuelle sur l a respons abilité illimitée ; base des inf ormations communiquées par les managers des différentes Business Units en vue de garder un lien très étr oit entre l es acc ès et les personnes pr ésentes dans l’entreprise. RESPECT DES LOIS ET DES REGLEMENTS : LA prévoyant la constitution d’ une entit é à - tout e affaire pouvant, à ter me, impact er les opér ations courantes du Groupe ou s oul evant des questions de principe relative à son fonctionnement ; - toutes opérations entre la Sociét é et l’une de ses filiales ou DIRECTION JURIDIQUE ET DES ASSURANCES entre filiales ou entre s ociét és ayant des dirigeants communs ; Son organisation - La Direction J uridique, rat tac hée au Secrét ariat G énéral, a pour missions de : - veiller à ce que le Club Méditerranée res pect e le cadre légal et réglement aire qui s’impose à l ui partout où il est prés ent, - protéger le patrimoine et les acti vités du Groupe dans son ensembl e, tout e aff aire jugée nécess aire d’ être port ée à la connaissanc e de la Direction G énérale car pouvant porter attei nte à l’image du Groupe et à s on ét hique. De plus, l’ensemble de l’encadrement du Groupe a ét é sensibilisé au res pect des l ois et r èglements à travers la mis e en plac e d’un sys tème de délégation de pouvoirs décliné jusqu’au ni veau des Villages. Enfin, la Direction Générale reçoit régulièrement une - et déf endre les int érêts de ce dernier, de ses mandat aires information sur la nature des princi paux risques du Groupe sociaux et des s alariés dans le c adre de leurs f oncti ons. (couvertures en plac e, assurances , montant des garanties…). Les Busi ness Units Amériques et Asie ont un Directeur juridique qui veille à la protec tion et à la déf ens e des intérêts LA DIRECTION SECURITE HYGI ENE SANTE (SHS) du Club M éditerranée dans leur zone. Dans la Business U nit La Directi on SHS ratt achée au Secrét ariat G énéral Europe-Afrique, c e rôle revient à la Direction J uridique Groupe. chargée de mettre en œuvr e les proc édures destinées à La Direction des Assurances qui dépend hiérarchiquement du Secrét aire Général a pour mission de veiller à l’adéquation des c ouvertures d’ass uranc es par rapport aux risques encourus par le Groupe. Le Club Méditerranée conduit s a politique de maîtrise des risques et de s ouscripti on des couvert ures d’ass uranc e au niveau cons olidé. Des programmes d’assur ance mondiaux ont ét é mis en place en partenariat avec des pools d’ass ureurs de premier pl an ; des assuranc es particulières s ont souscrites loc alement. Les procédures mises en place Les Directeurs juridiques des Business Units ont l’obligation d’informer la Direction J uridique Groupe sur des matièr es es t anticiper et faire fac e de f açon appr opriée aux risques liés à l a Sécurité, à l’Hygiène et à la Santé auxquels le Groupe es t expos é. Elle doit aussi définir les pl ans d’acti ons visant à améliorer la prévention et déci der si néc essaire des mesur es d’urgence exigées par une situation de crise. Son organisation La Direction SHS compt e 4 personnes. L’organisati on repos e sur des relais i mpl ant és dans chaque zone et dans l es Business Units. Les f oncti ons s upport et communication s ont centralisées au Siège. Enfin, la Direction SHS est en rel ation régulière avec les Minist ères des Aff aires Etrangères et du Tourisme. sensibles dont l a liste leur es t rappelée régulièrement. Ses missions Il s’agit not amment des matières s ui vantes : - La gestion des risques qui consiste en une veille politique, - tout e proc édure d’arbitrage ou j udiciaire significati ve ; sociale, sanitaire et mét éorologique, aboutissant à une cartographie c omplèt e des risques SHS par Village, - tout e poursuite pénal e contre le Club Méditerranée ou l’un complétée par un historique, et ayant pour obj ectif d’adapt er de s es direct eurs ou employés ; les proc essus de gesti on des risques à l’évoluti on de - en relati on avec l’ac tivit é de dével oppement du Club l’environnement ext erne du Groupe. Méditerranée, t out projet nécessit ant une autorisation du - La gestion d es cri ses est f acilitée par l’exist enc e du manuel Conseil d’ Administration ou présent ant un risque particulier de gestion de crise disponi ble dans chaque village. Une sall e pour l’entreprise (cont enti eux, exposition financièr e) ; de gesti on de crise est disponibl e en permanence au Siège, et - tout engagement de c auti on, d’aval ou de garanti e au nom des si mulati ons s ont régulièrement organis ées. de l a Sociét é et/ou de ses filiales et toute constituti on de - La gestion du ri sque sanitair e et médi cal au travers sûretés s ur les biens sociaux ; d’audits effect ués régulièrement par des médecins hygiénist es. - tout achat, c ession, s ouscripti on, apport ou échange de - La gestion des accidents et mal adies des GM et GO / GE biens incorporels et c orporels, mobiliers et i mmobiliers, de droits ou de valeurs, t out e création de s ociét é ou d’entité sous quelque for me que ce soit ; - La gestion de la Sécurité / Sûreté qui se mat érialise par une chart e de s écurité r épert oriant les consignes à sui vre pour minimis er les risques en Village. Doc um ent de Référenc e 2008 59 Fonctionnement et procédures mises en place La c artographie des risques SHS per met et le contrôle de l’information fi nancière qui remonte de d’en s uivr e l’ensemble des pays . l’évol ution et de hiérarchis er les risques majeurs par village. Ces contrôles effec tués mens uellement par l’ensemble des Des documents d’ aut ocontrôle s ont par ailleurs régulièrement inter venants de l a Direction Financière aux ni veaux pays , exigés pour en esti mer le degré de maîtrise. Business U nit et Groupe permettraient d’identifier d’ éventuels Une réunion H ygiène et Sécurité pilot ée par l e Chef de Village se tient c haque mois dans c haque Village afin de lister les problèmes et de met tre en place les pl ans d’ac tions c orrectifs ou préventifs. Des formations et préventions autour des enj eux de s écurit é sont organisées de faç on r écurrent e et s ont sui vies d’ audits et d’enquêtes ponctuelles. dys fonctionnements. LA DIRECTION DE LA COMPTABILITE ET D E LA FISCALITE COMPTABILIT E Son organisation Le Groupe pr ocède à une cl ôture mens uelle de s es c omptes . 2.2.3. LES PROCEDURES DE CONTROLE INTERNE RELATIVES A L’ ELABORATION ET AU TRAITEMENT DE L’ INFORMATION COMPTABLE ET FINANCIERE A cet égard, la Direction de la Compt abilité organise et planifi e l’ensemble des travaux compt ables afin d’obt enir une consolidation fi able et cohérente des données ; ceci ét ant L’information financière du Gr oupe est direct ement iss ue du largement f acilité par l’utilisation d’un plan de c omptes normes progiciel intégré de compt abilité et de gestion, repos ant Groupe, de not es de procédures c ompt ables Groupe et d’un techniquement sur une base de données unique mondi ale. processus for malisé d’instructi ons de cl ôture. Le pr ocess us Cette tec hnologie qui per met de sui vre l’évoluti on de l a comptabilité dans les nombreux endroits de saisie dans l e monde (Villages, bureaux de pays, Business Unit) en temps d’arrêté des compt es du Groupe es t donc applicabl e à tout es les compos ant es du périmètre de consolidation sans exc eption. réel, est int erfacée une fois par mois de f açon automatique Chaque Village est ainsi piloté par un R esponsable fi nancier vers l e progiciel de gestion et de consolidation. garant de l a gesti on du site et de la maîtrise du contrôl e La publicati on des informations financières du Groupe s e fonde s ur le f ormat de Reporting int erne de l’entr eprise. interne. Le bureau de pays auquel est rattac hé le village s’occupe des particul arités locales et ass ure le contrôl e comptable. Il en rés ulte que la Direction de l a Compt abilité a L’élaboration de l’inf ormation fi nancière et c omptable es t un accès complet aux i nfor mati ons néc essaires à l’él abor ation assurée des c omptes . par la Direction Financière dont dépendent not amment l a Direction de la Comptabilité et de la Fiscalit é, l a Direction du Contr ôle de Ges tion, la Direction de l a Trésor erie et des Financ ements , la Direction de l’Audit I nter ne et l a Direction de la Communication Financière qui exerce une compét enc e trans verse de c ontr ôle sur l’ensemble des Un organigramme f onc tionnel des f oncti ons clés de l a Direction Compt abl e a ét é f ormalisé en vue d’identifier l es ressources nécess aires au bon f onc tionnement de la fonction comptable. activit és et des fl ux de l’entreprise. Les procédures mises en place Chaque Business U nit a son Direct eur G énéral et s a Direction Les principaux c ontrôles mens uels eff ectués en comptabilit é Financière/Contr ôle de Gesti on dont l e responsable dépend sont l es sui vants : foncti onnellement du Direct eur G énéral Délégué en charge des Financ es. - fournisseurs : la correct e interfac e entre les diff érents syst èmes (sol de fournisseur/ bal ance âgée et s olde L’un des obj ectifs principaux du contrôle int erne est de fournisseur / c omptabilité général e) est vérifiée. Un contrôl e contribuer à l’ass uranc e que les compt es consolidés et est effect ué sur les four nisseurs débiteurs ; sociaux reflètent de faç on sinc ère et objecti ve la situation patrimonial e et l’acti vité du Groupe et f ourniss ent une appréci ation raisonnable des risques éventuels de tout e nat ure auxquels il es t susc epti ble de f aire f ace. - créances clients : l a c omptabilité clients du Siège et l es Responsabl es Administratifs et Fi nanciers contrôlent, grâc e au s yst ème de comptabilité auxiliaire clients, la justific ation par les ser vices commerciaux des déri ves évent uelles par Une série de contrôles a été mise en pl ace s ur chac une des rapport aux c onditi ons génér ales de ventes (exemple : retar ds unités afin de vérifier l es principaux risques inhérents à de paiement) ; l’exercice de l’acti vité pouvant aff ecter le pr ocess us d’établissement des comptes et les incidenc es financières qui en rés ultent. Il s’agit not amment de contrôles sur l’enregistrement du chiffr e d’aff aires mensuel, le sui vi des investiss ements , le sui vi du - l’équilibre et le cont enu des c omptes c ourants entre Club Méditerranée SA et les autres entités du Groupe s ont vérifiés par la c omptabilité du Siège ; - les rapproc hements bancaires ; recouvrement, l’étude de l a fisc alité l ocale, le sui vi des ac hats 60 Doc um ent de Référenc e 2008 - chiffre d’aff aires pays : les diff érentes entit és valident par type de struc ture (revendeur ou agent), le c orrect enregistrement du c hiffre d’aff aires et des créanc es et l e déversement de l’outil de rés ervation dans la comptabilité ; aut omatiques pour l e s ui vi des immobilisations. La génér ation des dot ations aux amortissements automatiques grâce à l’outil de gestion des i mmobilisations est c ontrôl ée c haque mois. principaux c ontrôles eff ectués niveau mondial à coordonner les problématiques fiscal es internationales, à assurer la cohérence des décisions fiscal es prises au ni veau des “Business Unit” et le sui vi de l’ensembl e des c ontrôles fiscaux. Au ni veau de la Société mère, ell e assure le respect de l’ensembl e des obligations fiscal es par l e Département de la Consolidation sont les sui vants : déclarati ves du Groupe int égré, ainsi que l e s uivi des contrôles fiscaux des soci étés franç aises et la gestion des - la réciprocité des comptes courants à un ni veau Groupe es t vérifiée ; cont entieux fiscaux. Au s ein des Busi ness Units, c es missions sont dévolues au Responsable financier de la BU ou du pays en lien avec la Direction de l a Fiscalité. - le résultat du Groupe est analys é mens uellement : Rés ultat Opérati onnel C ourant Loisirs, Résult at Opérationnel Courant Patrimoine, Autre Rés ultat Opérationnel, Rés ultat financier ; afin const atati on d’en des vérifier flux l’équilibre. (augmentation, La Les procédures mises en place La Direction de la Fiscalit é assure une veille t echnique aupr ès - le logiciel de gestion des i mmobilisati ons est rapproché de l a comptabilité Son organisation Les missions de la Direction de la Fiscalité consistent au - mise en place d’une s tructur e de contrôle des int erfac es Par ailleurs, les FISCALITE correct e des personnes en charge de l a fisc alité dans c haque pays/Business Unit. di minution, Elle réalise également un reporting semestriel destiné au reclassement...) par les entités fait l’objet d’un contrôl e Comité d’Audit fais ant un point précis sur les contrôles et aut omatique dans l’outil de c ons olidati on ; cont entieux fisc aux en c ours. - des anal yses plus complètes du bilan s ont ef fect uées en mars et sept embre. Lors des arrêtés semestriels et annuels, respecti vement en avril et oct obre, une anal ys e approfondi e de t ous l es postes du bilan, hors bilan et t abl eau de financ ement est réalisée et publiée ; LA DIRECTION DU CONTROLE DE G ESTION Son organisation La Direction du Contrôle de Gestion est l’organe de - anal yse par couple de devis es du résult at de c hange. coordination du C ontr ôle de Ges tion dans le monde. C haque En c ollaboration avec les Directions du Contrôle de G estion et zone possède s on départ ement qui s’appuie s ur des de la Trésorerie et des Financ ements, les c ontrôles s uivants contrôleurs en poste local ement dans les pays. sont effect ués mensuellement en vue d’ass urer la préser vati on des actifs : - rapprochement c hiffre d’affaires avec le récapitul atif des vent es ; - rapprochement du Rés ultat Opér ationnel Courant Loisirs avec le résult at de gestion ; - anal yse des inves tissements ; - anal yse du résult at fi nancier et du résult at de c hange ; - anal yse de l’endet tement net. Enfin, le Départ ement de la Cons olidati on réalise une veille normati ve sur tous les s ujets susceptibl es d’avoir des impac ts sur les comptes c ons olidés et centralise, à son ni veau, l es Les procédures mises en place Un Plan strat égique à 3 ans L’élaboration d’un Plan stratégique à 3 ans, tant qualitatif que quantitatif, per met à l a Direction G énérale de fixer les grandes évoluti ons et leurs impacts financiers. La partie qualitati ve du plan i ntègre l’ensemble des études mar keting réalisées sur l es pays stratégiques et l es pl ans d’actions qui en déc oul ent. La partie quantit ati ve modélise les i mpacts fi nanciers résult ant des actions mises en œuvre et de l’environnement macroéconomique (croissance du sec teur touristique, change, inflation...). sujets remontés par les bureaux de pays pour anal ys e Ce plan est élaboré c haque année. En déc oulent un c ompt e technique et prise de décision s ur le trait ement compt abl e. de rés ultat prévisionnel, un bilan et un t ableau de financ ement. Depuis 2006, la tr ansition aux normes IFRS est achevée. Les comptes sont désormais tenus localement sui vant les normes comptables internationales. Un process budgét aire Le Proc ess budgét aire est coordonné par la Direction du Contrôle de G estion. I nitié au ni veau des Villages et bur eaux commerciaux, il est ens uite consolidé au ni veau des Business Units avant de remont er au ni veau du Groupe. Le Proc ess budgét aire est un bon outil de contrôle int erne permett ant l’anal ys e de l’ens emble des flux fi nanciers. Doc um ent de Référenc e 2008 61 Le budget est présenté au Conseil d’Administrati on pour Afin d’ass urer ses missions, la Direction de la Trésorerie et approbation c haque année au mois d’oc tobr e. des Financements a défini des règles et proc édur es Groupe. À titre d’exemples, afin de limit er les risques de fraude, une Un reporti ng mensuel détaillé procédure relative aux signat ures autorisées sur les c ompt es Une cl ôture est réalisée à c haque fin de mois et f ait l’objet d’un reporting à l a Direction Générale. Au c ours d’ un Comit é de Direction Générale, chaque Business Unit présent e banc aires ainsi qu’une procédure sur l a signat ure et l’ envoi de fichiers de lots de règlements f ourniss eurs ont ét é mises en place. l’activité du mois. Une c ons olidation du résult at au ni veau Des reportings hebdomadaires Groupe est égal ement réalisée. Ces informations extrait es du d’informer la Direction G énérale du ni veau d’endettement et et mens uels permett ent progiciel de gestion du Groupe s ont issues de la comptabilité. de liquidité du Gr oupe (actuel et prévisionnel), du sui vi des risques, du dét ail des opérations de couvertures , de l’état de La réalisation d’une prévision la relation banc aire (répartition des flux et engagements , Sur la bas e du réalisé des 2 premiers mois et sur l es évoluti on des c ompt es, conditi ons bancaires), etc. prévisions act ualisées de l’ac tivit é, la Direction du Contrôle de L’équipe Trés orerie s’appuie s ur un s yst ème de gestion de Gestion élabore une prévision pour la fin de saison. C e trésorerie permett ant le s uivi des principaux indicateurs de process per met de mes urer l’impact éventuel des évol utions liquidité et de l’ens emble des instruments fi nanciers utilisés au de l’acti vité. Cet te proj ection est r évisée après chaque cl ôtur e niveau central. mensuelle jusqu’à la fin de la sais on. En matière d’opérations de marché, les t âches sont Les principaux c ontrôl es eff ect ués par le Département du segmentées : l’ordonnancement, l’exécuti on et le contrôle s ont Contrôle de Gesti on s ont les s uivants : effec tués par trois personnes diff érent es. - anal yse détaillée de l’acti vité par pays de vente et L’ens emble des opérati ons de couverture de c hange es t destination ; présenté s ys tématiquement en Comité d’Audit. - anal yse dans le dét ail de la rent abilité de c haque axe opérationnel (marges trans ports, marges opérations, contrôl e des c oûts Villages et Sièges) ; LA DIRECTION DE LA COMMUNICATION FINANCIERE - contrôle des ef fectifs. Son organisation Le département de la Communicati on Financi ère es t centralisé au siège du Club Méditerranée et est en c harge de LA DIRECTION DE LA TRESORERIE ET DES communiquer aux marchés financiers la stratégie et l es FINANCEMENTS résultats de la Sociét é. Son organisation Les procédures mises en place La Direction de la Trésorerie et des Financ ements du Club La Direction de la Communication Financi ère établit c haque Méditerranée a pour mission de garantir la séc urité, l a année un éc héancier récapitulant l’ensembl e des obligations transparenc e et l’efficacit é des opérati ons de trés orerie et de périodiques de la Soci été en matière de communic ation financ ement. financi ère au marché et Cette Direction est en c harge de : - gérer les ressources financièr es (financ ement et pl acement) afin d’assurer la liquidité du Gr oupe, Cet éc héancier pr écise : • la nat ure et l’échéance de chaque obligation périodique ; • - assurer le c ontrôl e des charges financières , • - gérer les flux (cash management), - quantifier et couvrir les risques financiers (notamment de change et de taux), - assurer le s uivi de la relation bancaire, - inter venir comme support auprès des filiales dans leur choi x de gestion et auprès du D éveloppement pour le financ ement des nouveaux pr ojets. Les procédures mises en place 62 aux instit utions réglement aires Boursières. les personnes respons ables de l’établissement des comptes ; les text es de réf érenc es y aff érent. Cet éc héancier est diff usé en int erne aux équipes tr availlant plus spécifiquement sur la communic ation financière. Les procédures r elati ves au contrôle de l’inf ormation financi ère et comptabl e reposent s ur : • les contrôles financiers mensuels de l’ens emble des informations compt ables et financières par les contrôleurs de gestion et la trésorerie ; • la vérification des c omptes par l es Commiss aires aux Compt es des inf ormations données dans l e rapport semestriel et le rapport annuel . Doc um ent de Référenc e 2008 De plus, le départ ement de l a Communicati on Financièr e Controllers, Res ponsabl es financiers et des Respons abl es identifi e les obligations l égales et réglementaires applicabl es financi ers plus c onfir més . ..). en matière de communic ation s ur les risques en collabor ation avec la Direction J uridique. Fonctionnement et procédures mises en place La Direction de l’Audit I nterne él abor e un programme d’ audit annuel et un calendrier permett ant de c ouvrir l’ensembl e des LA DIRECTION DE L’AUDIT INTERNE activit és du Groupe et d’identifi er, de c orriger les principal es La Direction de l’Audit I nter ne est c hargée de c ontr ôler que l es faibless es du dispositif de gestion des risques mis en plac e procédures du Groupe s ont connues, diff usées et res pec tées par la Société. Ce pr ogramme d’audit es t cons truit à partir de au ni veau du Groupe et vérifie leur application au s ein des la cartographie des principaux risques recens és au ni veau du différents s ervices . Groupe par pays et par t hèmes (Ressources Humaines , Le rôl e de l’Audit Int erne est aussi de contribuer à améliorer l a perfor manc e et le f onc tionnement de l’entreprise en éclairant la Direction dans ses décisions. À cet égard, une synt hès e Achats , Juridique/Fiscalité/Patrimoine, Vent es, Compt abilité, Trésorerie,Syst èmes d’informations, G éopolitique / Qualité / Sécurité). des travaux réalisés par l’Audit Interne est diff usée deux f ois Ce programme d’ audit, son ét at d’ avanc ement et l a synt hès e par an sous la f orme d’un rapport d’ acti vité aux membr es du des missions réalisées s ont présentés deux fois par an au Comité de Direction Générale. Comité d’Audit. Son organisation Les missions de l’Audit Int erne s’articul ent autour de quatr e Le département de l’Audit Int erne est c entr alisé au Siège du Club Méditerranée et exerce une c ompétenc e trans versale de contrôle sur l’ensembl e des acti vités et des fl ux de l’entreprise. phas es : - recueil des informations relatives à l’entit é ou au s ujet audité ; - intervention s ur le terrain en équipe, afi n de s’ass urer que L’équipe est composée de 6 personnes. L’Audit Int erne les zones de risques i dentifiées dans la c artographie s ont dépend direct ement du Directeur Général Délégué en charge maî trisées et évaluer les dispositifs de contrôle inter ne mis en des Financ es. place ; Ses missions - rédaction de rapports de s ynt hèse sur les princi paux L’Audit I nterne inter vient pour examiner une fonction ou une activit é du Groupe, au Siège, dans les Bureaux de pays et dans l es Villages. Il coordonne ses travaux avec ceux des Commissaires aux Comptes. L’Audit I nterne procède à des travaux qui s’articul ent autour de trois t ypes de missions : l’examen des s ystèmes et règles établis en vue d’ assurer l a fiabilité des i nfor mati ons fi nancières ; ces contrôles permett ent de s’ assurer que les principes et le manuel des principes comptables s ont r espec tés. rapports afi n d’infor mer la Direction G énér ale, l es s ervic es audit és et les fonc tions support ; - suivi des missions et accompagnement des audités dans l a mise en plac e des plans d’acti on permett ant de maî triser ces En 2008, l’Audit I nter ne a réparti équitablement ses heur es travaillées entre les audits de Villages, de bureaux de pays et les missions au Siège. Dans le cadre d’une démarche progressive d’ évaluation du - L’audit opérati onnel qui comprend la revue des diff érents de l’entreprise (commercial, des risques et proposition de plans d’ action. Diff usion des risques. - L’audit fi nancier qui consiste en l a revue des ét ats financi ers, cycles dys fonctionnements const atés, mise à jour de la cart ographi e achats, ress ourc es humaines...) et l’évaluation du contrôle int erne afin de s’assurer que l’organisation en plac e permet de maî triser les risques et d’ attei ndre l es objectifs fi xés ; - Les missions s péciales : il s’agit de missions ponc tuell es contrôle int erne de l’entreprise, l’exercice 2008 a ét é consacr é à la diffusi on d’une matrice d’auto- évaluation du contrôl e interne pour les Villages en vue de contribuer à l’amélior ation de la perf ormance de chaque s ervic e par : - une mesur e régulière du respect des process et des procédures en place ; diverses comme le soutien aux opérati onnels, des missions - une appréciati on objecti ve et réaliste de la qualité du de diagnostics ou d’organis ation pour le compt e de l a contrôle interne ( mét hodologie uniforme aboutiss ant à une Direction Général e. not ation mathématique) ; Par ailleurs, l’Audit I nterne permet l a diffusion d’une c ulture de - la mise en plac e de plans d’ac tions sui vis dans le temps . contrôle et impulse les c hangements pour un meilleur Cette matrice a été tes tée auprès d’un groupe de travail avec environnement de c ontrôle i nterne et de gesti on des risques succès et a ét é déployée au cours de l’exercice 2008 aupr ès au ni veau de l’organisati on (inter vention lors des séminaires de la tot alité des Villages. financi ers et participation aux f ormations des nouveaux Cos t Doc um ent de Référenc e 2008 63 Cet outil représ ente une réelle avancée dans l’optique d’un compter de février 2006 en vue d’ opti miser l’affec tation des contrôle i nterne fiable et efficient dans le monde entier. A cet GO égard, l’Audit I nterne veille à faire évoluer cet outil tous l es affec tation a permis de réduire sensiblement l e t urnover des semestres en vue de répondre aux exigenc es de maîtrise des GO 1 risques et des fraudes. et en dimi nuer l e t urnover. Ce pôle recrutementère sais on. Par ailleurs, la f oncti on de “Cost Controller” dépendant Enfin, chaque mission en Village ou en bureau de pays donne hiérarchiquement du Res ponsabl e financier en Village a ét é lieu au c alcul d’ une note s ur 10, per met tant d’évaluer le créée. Le “Cost C ontroller” est en c harge précisément du s ui vi contrôle int erne mis en pl ace, de comparer les entit és du compte d’exploit ation et du c ontrôle de l’application des audit ées entr e elles ainsi que l eur progression dans le c adr e procédures dans le Village. d’un s ui vi d’audit. La cr éation de ce poste au s ein de la nouvelle organis ation vient ainsi renf orcer les moyens du Res ponsabl e fi nancier LES COMMISSAIRES AUX COMPT ES dans sa mission de garant du dispositif de c ontrôle inter ne du Les Commissaires aux Compt es certifient les c ompt es Village. sociaux de Club Médit erranée SA et de ses filiales et l es comptes c onsolidés du Groupe s ur une bas e annuelle et procèdent également à l’examen des rés ultats consolidés 2.3.2. AUTRES ACTIONS MISES EN PLACE EN VUE DE RENFORCER LE CONTROLE INTE RNE semestriels de l a Soci été et à la vérificati on des inf ormations données dans le rapport semestriel. Par ailleurs ils s ont consult és très régulièrement sur le traitement c ompt able des opérations en cours. Ils participent aux réunions du Comit é d’Audit et se tiennent inf ormés des missions réalisées par l’Audit Int erne. À c et égard, ils sont destinataires des rapports d’acti vité de l’Audit Int erne. INNOVATIONS PRODUITS Le Groupe poursui vant comme objectif la meilleure maî trise de ses recettes a décidé, en vue de li miter la circul ation d’argent liquide dans les Villages, de généraliser : - le Bar & Snac king inclus dans t ous les Villages depuis l’ét é 2006 ; 2.3. UNE DYNAMIQUE DE SENSIBILISATION AU CONTROLE INTERNE 2.3.1. DEPLOIEMENT DE LA NOUVELLE ORGANISATION MISE EN PLACE DANS LES VILLAGES EN VUE DE RENFORCER LE CONTROL E INTERNE Dans le c adre de l a poursuit e de la mise en œuvre de l a stratégie de montée en gamme du Gr oupe, le déploiement de la nouvelle organisation test ée dans 10 Villages en 2005 et dépl oyée en 2006 dans 13 Villages a été pér ennis é en 2007 et 2008. - la Club Med Pass qui permet c ontre un dépôt de garantie de régler les boissons non comprises dans la f ormul e Bar & Snac king (Champagne, VSO P, ...) ainsi que les ser vices avec suppl éments (Spa). ORGANISATI ON ACHATS Le Groupe poursui vant comme objectif la meilleure maî trise de ses c oûts s’ est dot é d’une Direction des Achats Monde dépendant du Directeur Général Dél égué en charge des financ es. Cette Direction ass ure, grâce à un s ystème d’inf ormation Cette nouvelle organis ation qui permet de dot er les Villages d’une organis ation simple et cohérente autour du Chef de Village avec un management resserré (le nombr e de s es d’achat centralisé, un sui vi en temps réel des ac hats, dif fus e aux utilisateurs les réf érenc ements négociés par les acheteurs de f amille de produits et s uit les actions et les gains achats. reports direc ts ét ant limité à 5 contre une moyenne de 15 Ce sys tème d’infor mation permet de vérifier la bonne auparavant) a pour obj ectif, notamment , d’améliorer la gestion utilisation des contrats négociés par les utilisat eurs et donc du compte d’exploitati on du Village par l’optimis ation des l’optimisation de nos ac hats . ressources et des produits mis à s a disposition. Cette nouvelle organis ation, t ournée vers l e client, contribue également à renforcer les compétences des G O CONCLUSION par des En 2008, le Groupe a poursuivi s a politique de sensibilisation actions de développement des compétences méti ers et l a aux risques i nhérents à ses acti vités et au dispositif de création de nouveaux métiers. contrôle int erne associé. La nouvelle organisation Villages a amené le Groupe à s e dot er d’un pôle r ecrutement-af fect ation pour 1 saison à 64 Doc um ent de Référenc e 2008 RAPPORT DES COMMISSAIRES AUX COMPTES SUR LE CONTROLE INTERNE Rapport des commissai res au x comptes sur l e r apport du Celle-ci requiert la mise en œuvre de diligences desti nées à président du conseil d’ admini stration de la soci été Club appréci er la sincérité des infor mati ons cont enues dans le Méditerranée, rapport du pr ésident, c onc ernant l es pr océdures de contrôle étab li en appli cation de di spositions interne légal es relati ves l’informati on à l’élaboration c ompt able et et au financière. traitement Ces de diligences consistent not amment à : • prendr e connaiss anc e des proc édur es de contrôle interne rel ati ves à l’élaborati on et au trait ement de l’informati on comptable et fi nancière sous-tendant les Mesdames, Messieurs les Actionnaires, informations présentées dans le rapport du président En notre qualit é de commiss aires aux c ompt es de la société ainsi que de l a documentation existant e ; Club Méditerranée et en application des dispositions de l’article L. 225-235 du Code de c ommerce, nous vous présentons notr e rapport s ur le rapport établi par le président de votre société c onf ormément aux dispositions de l’article L. 225-37 du Code de commerce au titr e de l’exercice clos le 31 octobre 2008. Il appartient au pr ésident de rendre c ompt e et de soumettre à l’approbation du c onseil d’administration un rapport portant • prendr e c onnaissance des travaux ayant permis d’élaborer ces informations et de l a documentati on exist ante ; • dét erminer si les déficiences maj eures du contrôle interne relatif à l’élaboration et au traitement de l’informati on c omptable et financière que nous aurions relevées dans le cadr e de notre mission font l’objet d’une information appropriée dans le rapport du pr ésident. not amment s ur la composition, les c onditions de préparati on et d’organisation des travaux du c ons eil ainsi que s ur les Sur la bas e de ces travaux, nous n’avons pas d’obser vation à procédures de contrôle int erne et de gestion des risques formul er sur les infor mations concernant les procédures de mises en place au sein de la s ociét é. contrôle interne de la soci été relatives à l’élaborati on et au traitement de l’inf ormation c omptable et financière c ont enues Il nous appartient de vous communiquer les obser vati ons dans le rapport du prési dent du c ons eil d’administr ation, établi qu’appellent de notre part les inf ormations c ont enues dans le en applicati on des dispositions de l’article L. 225-37 du Code rapport du pr ésident, c onc ernant l es pr océdures de contrôle de c ommerce. interne relati ves à l’élaboration et au traitement de l’informati on comptable et financière, ainsi que d’ attes ter que Par ailleurs, nous att estons que ce rapport comporte les ce rapport comporte les autres inf ormations requis es à autres informations requises à l’article L. 225-37 du Code de l’article L. 225-37 du Code de commerce. commerce. Nous avons effec tué nos travaux c onf ormément à la nor me d’exercice professi onnel applicable en France. Neuilly-sur-Seine et Paris-La Déf ens e, l e 29 janvier 2009 Les Commissaires aux Comptes DELOITTE & ASSOCI ES Dominique J umauc ourt ERNST & YOUNG AUDIT Pascal Macioc e Doc um ent de Référenc e 2008 65 HONORAIRES DES COMMISSAIRES AUX COMPTES en Milli ers d' euros Réseau Ernst & Young 2008 (1) Commissariat aux comptes, certification, exam en des comptes individuel s et consolidés - Emetteur - Filiales intégrées globalement Autres diligen ces et prestations di rect ement li ées à la mission du com missair e aux comptes - Emetteur - Filiales intégrées globalement Sous-total Autres prest ations rendu es par le réseau aux filiales intégrées global ement - Juridique, fiscal, s ocial Montant HT Réseau Deloitte 2007 2008 % Montant HT Montant HT % 525 44, 34% 472 42, 58% 361 546 46, 11% 521 47, 08% 383 95 8,02% 3 0,27% 1 166 98, 48% 996 89, 93% 18 1,52% 112 10, 07% 2007 % Montant HT 47,94% % 328 47, 81% 50, 86% 348 50, 73% 744 98, 80% 676 98, 54% 9 1,20% 10 1,46% - Autres Sous-total Total des honoraires 18 1,52% 112 10, 07% 9 1,20% 10 1,46% 1 184 100,00% 1 108 100,00% 753 100,00% 686 100,00% (1) y compris honoraires r elatifs à Club Med Gy m, Jet tours et leurs filiales 66 Doc um ent de Référenc e 2008 DEVELOPPEMENT DURABLE En 2006, la Direction du Dével oppement Durable avait mené plusi eurs ét udes de fond, dont une ACV (Anal yse des C ycles de Vie), afin d’ass eoir les c hoi x de priorités sur des bases s olides . Ces travaux ont débouché sur l’él abor ation d’une « f euille de route » reposant sur 10 axes, sur les plans environnemental, social et sociét al ; depuis lors, chacun de c es axes f ait l’objet de démarches de progrès en trans versalité avec toutes l es directi ons c onc ernées. En 2008 les avancées not ables de la f euille de route ont été l es sui vant es : Clients Développer plus largement l'ouvert ure des Villages vers le pays d'accueil Développer l'accessi bilité des Villages aux personnes handic apées - Elaboration et diff usion de la c harte du touriste res ponsabl e - Redynamisation des ventes de circuits Découvert e - Poursuit e du partenariat avec l'association T erre d'Equilibre Communautés - Poursuit e du partenariat avec ECPAT : Lutt er contre le tourisme s exuel impliquant les enfants - diffusion des dépliants - Club Med - ECPAT Définir des i ndicateurs pour mieux évaluer la contribution au développement local - Poursuit e de l'élaboration de l'outil In Situ - soutien d'ac tions de prévention s ur le t errain au Maroc et au Sénégal - Lanc ement d'un partenariat s ur 3 ans / 6 sites avec AGRISUD Favoriser le réf érenc ement de f ournisseurs locaux - Poursuit e de l'action sur la préventi on de l a contref açon avec l'UNIFAB et AGRISUD - Développement des achats de produits maraîc hers bio loc aux au C ap Skirring Collaborat eurs Confort er et part ager le savoir-faire en mati ère de di versité et de multi c ulturalité - Anal yse de l'étude patronymique et de pr opositi ons d'actions par le groupe de travail dans le cadr e du pr ojet AVERROES - Lanc ement des acti ons de la Mission H andic ap s ur les volets recrutement, communication, f ormation, et ac hats Fournisseurs - Déploiement des c hartes ac hats bois et poissons Développer les achats éco-res pons abl es sur les filières sensibles - Déploiement de la politique d'achats de produits phyt osanitaires en EuropeAfrique - Première ét ape du dépl oiement de la c ertification pour les papiers et impressions - Choix des tenues GO en cot on bio équitable Environnement Accroître l'intégration de la démarche HQ E dans les constructi ons et rénovations de Villages - Diffusion de l'expertise HQ E sur les nouveaux projets (élaborati on d'un c ontrat cadre de part enariat) - Lanc ement de la c onc epti on des "G uidelines Constructi on Environnement ale Club Med" - Certification " Ecolabel Européen pour les hébergements t ouristiques" décer née au Village d'Opio en Provence - Lanc ement d'une démarche de c ertification Green Globe 21 pour 4 Villages de la zone Amérique du Nord Amélior er nos proc essus de ges tion des déchets / Struc turer la fonction Environnement - Création d'un Post e Res ponsable Energie Europe-Afrique - Poursuit e du dépl oiement de l'outil Tec h Car e de pilotage et reporting environnemental - Elaboration d'une premi ère version des Ec o-Signs et tes t en Village Pilote - Compens ation de 50% des émissions de CO 2 liés au dépl acement des G O des sièges de Paris et de Lyon, et lien i nternet vers un site de c ompensation en fin de réservation int ernet Doc um ent de Référenc e 2008 67 Ces avancées s e reflètent au tr avers de l’évaluation non s ollicitée qui a été menée par l’agenc e de notati on extra financière Vigeo en oct obre 2008, et qui montre une progression c onti nue de l a perfor mance en res pons abilité soci ale et environnement ale sur trois ans et demie, sur l’ensembl e des t hématiques sauf une. Performanc e par rapport au sect eur Score par rubrique Fev-05 Oct-06 Oct-08 Oct-08 Human Res ources 39 51 58 ++ Environment 19 33 38 + Business Behavi our (cons umers & suppliers) 37 46 47 + Corporat e Governance 26 46 41 - Communit y invol vment 30 44 54 = Human Rights 34 47 55 + - étendu le modul e de pr évention Alcool à tous les Villages des z ones Eur ope-Afrique + Amérique QUALITE ET SECURITE : LES BASES D’UNE CONFIANCE DURABLE - appuyé la campagne de préventi on Sida sur les Villages du Maroc par une inter vention en direct de l’Associ ation Aides LA QUALITE AU QUOTIDIEN - lancé une c ampagne ciblée sur les enf ants s ur la La démarche Q ualité du Club Méditerranée repose s ur une prévention sol eil dans tous les Villages Europe-Afrique, culture ancienne et sur des outils ancrés dans les pratiques de Antilles et Ile Maurice chaque métier, comme les Quali-Signs et les Pro-Signs, l e GM Feedbac k, l es GM Mys tères, ou encore les enquêtes à chaud « Dîtes-nous tout »…* * de pilotage au travers de c es outils, ainsi que la for mati on des COLLABORATEURS : EMPLOYABILITE équipes des Villages et des équi pes commerciales en mett ant Depuis 2006, le C ampus T alents est devenu un r endez- vous l’accent s ur la personnalisation de la rel ation clients . incont ournable pour le développement des G O et des G E du En outr e, l’acc ès au questionnaire GM Feedbac k en ligne a Club Médit erranée. L’édition 2009 s’est dér oulée, c omme été développé, pour recouvrir auj ourd’hui 24 pays , et l e d’habitude, dans l e village-écol e de Vittel (France). D eux axes nombre de nati onalités des GM M ystère a été étendu. Enfin, majeurs de la politique de développement des Ress ourc es des Q uali Signs propr es aux sit es « 5 Tridents » ont ét é Humai nes ont ét é prés entés : En 2008, l a Direction de la Qualité a poursui vi s a démarche RESPONSABILITE, élaborés. Forte mobilisati on aut our du projet Magellan SECURITE – HYGIENE – SANTE Cette 3 En 2008, au-delà de l a gestion des process us déjà en plac e et GO et G E. Elle a ét é l e t héâtre d’actions de développement et de l a rec onducti on des actions de formation / préventions d’une forte mobilisation aut our du projet Magellan sous f orme lancées les années préc édent es*, la Direction Sécurit é d’ateliers d’échanges et de part age. ème édition du Campus Tal ents a réuni près de 1600 Hygiène Santé a en partic ulier : Présentation et partage des Principes de Management - réalisé un nouveau film de formation, sous for me de clip vidéo, des tiné à être diffus é en ouverture dans t ous l es Talent, innovation, décentralisation, résult ats, succ ès : 5 mots Villages auprès des GO pour résumer l’avenir du Club Médit erranée. Ils émanent de nos - lancé le projet de mise en pl ace de défibrillateurs 5 valeurs : gentillesse, esprit pi onni er, liberté, respons abilité, multicult uralité. aut omatiques sur l’ensemble des Villages de la z one EAF avec f ormation de GO réf érents dans c haque village Ils correspondent aux cinq Principes de Management et de (60 médecins ont reçu l a for mati on de for mat eurs) foncti onnement du Club Médit erranée. Ils concernent l’ensemble des GO et des GE et doi vent les guider au - lancé l’ét ude pour la mise en place d’un s ystème d’échanges d’infor mations avec l es Villages quotidien. Ils ont pour voc ation de clarifier les priorités , d’accompagner la transfor mati on et celle des équipes et d’accroître la réacti vit é dans un monde en perpétuel mouvement. * Plus d’informations sur www.clubmed. net/corporat e 68 Doc um ent de Référenc e 2008 GO CLES Cette année, le programme de développement des G O-clés a mis l’accent sur : - des f ormations linguistiques ; - l’expériment ation de nouveaux modes de travail innovants au travers d’un rés eau soci al baptis é « GO s phèr e », un espace excl usif d’éc hange, de travail et d’innovati on dédié à la communauté des GO Clés ; - N - des f ormations de management Tableau 1- Formation en 2008, périmètre monde 2006 Nombre de stagiaires Heures 2007 Heures / stagiaire Nombre de stagiaires 2008 Heures / stagiaire Heures Nombre de stagiaires Heures Heures / stagiaire EuropeAfrique 6 549 124 664 19, 04 8 048 158 454 19, 69 8 871 219 469 24, 74 AM Nord 8 200 64 123 7,82 8 109 58 046 7,16 9 303 71 387 7,67 Asie 2 596 31 565 12, 16 1 747 16 642 9,53 1 342 10 064 7,50 AM Lati ne 5 004 21 405 4,28 1 719 15 029 8,74 2 128 15 852 7,45 22 349 241 757 10, 82 19 623 248 171 12, 65 21 644 316 772 14, 64 Total MAGELLAN : POINT D’ETAPE A l’issue de cet te étude, malgré un contexte éc onomique mondial difficile, il es t apparu que : Le pr ojet Magellan accompagne notre ambiti on de devenir le spécialiste mondi al des vac anc es tout compris, haut de - 99% des gamme, convi viales et multicult urelles. Lancé en jui n 2007, il Méditerranée. Ce résult at est à c omparer à celui de l a GO sont fiers de travailler pour le Club est maint enant entré dans sa phase opérationnelle. moyenne des autres entreprises qui s e sit ue en retrait de presque 10 points. Près de 2000 idées issues de « bulles de créativit é » organisées dans les bureaux et les Villages ont été remontées - plus de 90% des GO sont c onfi ants dans l’avenir du Club au début de l’année 2008. Les plus innovantes ont été tes tées Méditerranée. dans des pays et Villages « pilotes ». L’objectif en 2009 est de Ces résultats sont très satisfaisants et t émoignent du f ort généraliser le déploiement des acti ons les plus en phase avec engagement des équipes. En c es t emps dif ficiles, c’est un les att ent es de nos act uels et f uturs GM. atout majeur. Ce projet ambitieux axé s ur l’innovation permet d’impliquer l’ensemble des G O et GE à différ ents ni veaux en s’appuyant LE DIALOGUE SOCIAL EN 2008 sur la déc entralisation des unités opérationnelles (Business Un acc ord collectif, signé en juin 2008, s ur l’organisation et l a Unit). durée de travail des GE (Gentils Employés) tr availlant dans pilot ée par la Direction de la C ommunicati on les Villages français est venu c omplét er le stat ut collectif du Interne pendant l’été 2008 a fait apparaîtr e l’efficacit é du personnel GE mis en pl ace en 2006. Par ailleurs, un c ertai n dispositif de c ommunication mis en œuvre en int erne pour nombre de négociations ont été engagées s ur l’année, s’assurer de l’adhésion et la compréhension des GO-GE au not amment sur la G PEC (Gestion Prévisionnelle des Empl ois projet : magazine i nterne « Profession GO », Blog Magellan, et Panneaux Magellan en village, points d’étape (« Escal es »). personnels des aéroports. De même, une prol ongati on de Une ét ude * des Compétences) et l’organisation du travail des l’accord sur l a mobilité des G E dans l a zone Eur ope-Afrique est également en discussion avec les s yndicats européens et internationaux, l’EFFAT et l’UITA. L’accord initial dat ant de * Cabi net Oc currenc e. E nquête réal is ée auprès d’ un éc hanti ll on de près de 400 GO vi l l ages et bureaux 2004 avait per mis d’initi er une mobilité de GE originaires de l a Turquie vers l a France durant les sais ons d’hi ver. Le retour Doc um ent de Référenc e 2008 69 très positif de c ett e initiative de mobilité trans nationale a conduit l’entreprise à envis ager sa pérennit é et son extension éventuelle à des GE originaires d’autres pays de l a z one Europe-Afrique. Tableau 2- LES ACTIONS DE LA MISSION HANDICAP Créé en 2007, l a Mission Handicap a une fort e implication dans le pr ocessus de recrut ement. Mobilité géographique des popul ations extracommunautaires (acc ueillies en France) Sur le s eul crit ère des compét enc es, 4 salariés recrut és en 2007 sont t oujours avec nous et 17 recrut ements ont ét é f ait pour l’année 2008. Pays d'origine des GE extra c ommunautaires La Mission Handicap s’est at tac hé à être visible en interne par Hiver Eté des actions de for mati ons mais aussi de sensibilisations 2007 2008 2007 2008 (expositions, La terre vue du ciel déclinée en braille grâce à l a Turquie 100 120 0 0 collaboration de Yann Art hus Bertrand-phot ographe et Alai n Tunisie 27 47 0 0 MIKKLI-lunetier, Maroc 68 104 45 46 Les D églingués de l’ass ociation Argos- dessinateurs humoristiques de di vers pays dessi nant l e handicap. Réalisation d’une newsletter mensuelle). Cette visibilité passe également par la création d’un l ogo Pays d’ origine des GO extracommunautaires Maroc spécifique Mission Handicap utilisé pour notre communication. 2007 2008 9 29 Sénégal 11 14 Tunisie 6 16 Canada 3 6 Etats-Unis 1 1 Suisse 10 Israël 7 Turquie 2 En externe, une prés ence renf orcée sur les s alons de recrutement dédiés aux personnes en sit uati on de handicap ou non avec une affiche (« t op image ») inf ormant de notr e engagement pour l e recr utement de personnes en situation de handic ap. Pr ésenc e dans di vers es revues , émissions de radio (« vi vre FM »), participati on à des réunions hors Club LUTTE CONTRE LES DISCRIMINATIONS : LE PROJET AVERROES EN VOIE DE FINALISATION Méditerranée pour parler de nos actions. Collaborati on accrue avec le ser vice ac hats pour trouver des actions pér ennes avec des ESAT /EA. Depuis 2005 le Club Méditerranée participe au projet Averroes, qui cherche à f aire avanc er la r éflexion s ur les pratiques de Tableau 3- Emploi et ins ertion des travailleurs en situation de non discrimination au s ein des entreprises et collecti vit és handicap publiques. Dès le lancement, les organisati ons s yndical es représentati ves du Club Méditerranée ont été ass ociées aux groupes de travail. Deux ét udes ont ét é menées au sein du Club Med, l’une port ant sur la discrimination potentielle liée au sexe, l’autre sur l’impac t de l’origine, réelle ou supposée, des 2006 2007 Nombres d'unités bénéficiaires 20, 2 32, 82 2008 48 Montant versé à AGEF IPH (K€) 529 639 580 salariés dans les parcours pr ofessionnel. Le sec ond volet a Le c hiffre de 2008 correspond à la prévision pour fi n consisté en une étude patr onymique, s ur la base d’un décembr e au 29/10/08. Le Club M ed ayant signé un accor d classement des prénoms « potentiellement discriminants» ou sur le handicap en 2007, pour 3 ans, les montants des tinés à non, afin de mes urer l’écart entre ces 2 catégories en matièr e l’AGEFIPH es t gardé c omme budget pour la mission Handicap. de rémunérati on Si au bout de ces 3 ans , le budget n’ a pas été t otal ement et d’évolution de carrière. Le Club Méditerranée est la première entreprise française à avoir utilisé, le c omplèt ement sera reversé à l’AG EFIPH. engagé une étude d’une telle ampleur, ce qui a d’ ailleurs nécessit é l’aut orisation de la CNIL. Le rapport fi nal des travaux du projet Averroes a ét é rendu public fin 2008. DONNEES SOCIALES Tableau 4- Masse s alariale en M€ Charges de pers onnel 2006 2007 2008 148 156 167 La masse s alariale de Club Méditerranée SA augment e de façon const ant e depuis ces dernières années (+5% de 2006 à 2007 et +6% de 2007 à 2008) . Ce s ont principal ement l es saisonniers (GO et G E) qui ont connu les plus fort es augment ations en ter mes de masse s alariale. 70 Doc um ent de Référenc e 2008 Tableau 5- Rémunérations hommes / femmes (hors Comit é exécutif) Salaires brut mensuel moyen 31/ 10/ 2007 31/ 10/ 2008 Hommes Femmes Hommes Femmes Cadres siège et bureaux 3991,62 3322 4 125, 07 3 401, 22 Empl oyés si ège et bur eaux 1915,75 1830,2 2 003, 77 1 873, 60 Cadres permanents village 2865,02 2590,4 2 906, 06 2 639, 81 Agents de maîtrise permanents village 2055,95 1896 2 111, 20 1 965, 53 Empl oyés per manents village 1741,06 1636,1 1 793, 78 1 683, 33 1914,5 1941 1 990, 67 1 730, 50 Empl oyés s aisonniers village (GO) 1417,18 1379,2 1 509, 96 1 431, 54 Empl oyés s aisonniers village (GE) 1428,58 1433,5 1 480, 46 1 490, 33 Agents de maîtrise sais onni ers village L’écart des rémunér ations entre les hommes et l es f emmes a diminué pour les c adres et les agents de maî trise Village. Tableau 6- Evolution des ef fectifs et i mpacts économiques sur l’empl oi du 01/ 11/ 06 au 31/10/07 du 01/ 11/ 07 au 31/10/08 4 035 4 266 433 544 428 553 243 1753 732 222 1863 863 Agents de maîtrise permanants village Agents de maîtrise sais onni ers village Cadres village 167 11 152 159 7 171 Nombre d'embauch es CDI Cadres Agents de maîtrise Empl oyés 85 31 12 42 149 58 25 66 Nombre d'embauch es CDD Cadres Agents de maîtrise Empl oyés 10 449 11 28 7 442 12 556 14 21 9 037 GE Effectif Moyen CMSA et GO détachés hors Fr ance Empl oyés si ège Cadres siège Empl oyés per manents village Empl oyés s aisonniers village GO Empl oyés s aisonniers village GE 2 968 3 484 Licenciem ents économiques Cadres Agents de maîtrise 3 1 0 0 0 0 Empl oyés GE 2 0 0 0 Licenciem ents pour autres causes Cadres Agents de maîtrise 218 37 6 246 37 5 Empl oyés GE 93 82 102 102 Main d'œuvre extéri eure à l a so ciét é Prestat aires inf ormatiques 51 49 Intérimaires (en équi val ent temps plein) 10 9,9 Les données s ociales et sociétales publiées dans les t abl eaux de ce doc ument c onc ernent la soci été Club Médit erranée SA 25% de l’ef fectif mondial et plus de 50% de l’effec tif permanent mondi al. en Franc e (y compris les GO dét achés et expatriés hors Le nombre d’embauc hes a f ortement augment é : +75% en France) pour la période du 01/ 11/07 au 31/10/08 (sauf si CDI et +20% en CDD. Cela a donc i mpac té l’ef fectif moyen mentionné). Ce périmètr e représente au plus fort de la s aison mensuel qui a augmenté de 6% entre 2007 et 2008. Doc um ent de Référenc e 2008 71 COMMUNAUTES : RESPECTER, CONTRIBUER, FAIRE AIMER Tableau 7- Acti vités s ous-trait ées Principaux pos te de s ous-trait anc e en 2008 (supérieurs à 1000K€) Total 2008 (Villages CMSA, filliales et siège) en K€ En 2008, les Club Méditerranée a poursui vi sa politique envers les communaut és d’accueil. Ecole de s ki (ESF) 12 883 Hébergement 4 778 Lingerie 4 484 Prestati ons extérieures 2 671 Sous-trait anc e fi xe + s écurité 2 785 Maintenanc e 9 352 Spa 1 822 Prestati ons informatiques 5 400 Les f aits marquants de l’année s ont les sui vants : RESPECT ET INVITATION AU RESPECT Par la lutte contre l’exploitati on s exuelle des enf ants dans l e tourisme - avec D’une année s ur l’autre, le Club s ous-trait e t ouj ours l es mêmes t ypes d’ac tivit és. C elles qui Le part enariat avec ECPAT a été reconduit en 2008, l’envoi de 116 000 dépliants conjoints Club Méditerranée – ECPAT au domicile des clients franç ais à représ ent ent destination des pays s ensibl es, entre oct obre 2007 et traditionnellement les plus grosses dépenses sont : L’ école de sept embre 2008 ski, la maint enance, l’hébergement et la lingerie. - Tableau 8- Organisation du tr avail En matière de préventi on sur le t errain, le soutien à deux associati ons d’ assistanc e aux enfants des rues, à Marrakec h au Mar oc et à Thiès au Sénégal, a ét é poursui vi. Horaire hebdomadaire moyen en vigueur depuis le 1er janvier 2000 Avec la C harte du touriste res ponsable Siège de Paris, Lyon 35h Agences de voyages 35h Villages en France 35h - En 2008 a ét é réalisée une charte s ensi bilisant au respect des hôtes, de la culture de l’environnem ent, et de l’économi e locales ; depuis l’été 2008, l’Es pac e Découverte du village l’affiche et l a distribue à tous l es GM partant en excursion, et ce dans tous les Villages Les sièges de Paris, Lyon et les agences bénéfici ent d’un d’Afrique et d’Europe. Elle ser a étendue en 2009 à l’Asi e accord sur le t emps de travail depuis 1999. Les sièges de et à l’Amérique. Paris et Lyon appliquent un horaire de 37h30 et bénéficient de 12 j ours RTT et de 2 ponts dans l’année. On ne c ompt e - Plusieurs versions ont été r édigées, en fonction des pratiquement pas d’heures s upplémentaires s ur ces sites . spécificités des pays d’acc ueil, des c ultures et des Dans les Villages de Franc e, les G O et GE bénéficient de problématiques ; elles exist ent , pour chaque version, en repos c orrespondant aux maj orations acquis es pour l es français et en anglais. heures ef fect uées entre 35 et 39h. CONTRIBUTION AU DEVELOPPEMENT LOCAL Par l’emploi loc al La grande maj orité des emplois créés au Club M éditerranée sont loc aux. Proportion des emplois loc aux en Village 2005 Au 31 août 2006 2007 2008 Empl ois locaux GO /GE 73, 30% 74, 70% 73, 60% 74, 64% Empl ois int ernati onaux G O/GE 26, 70% 25, 30% 26, 40% 25, 36% 72 Doc um ent de Référenc e 2008 Par le dével oppement de l’empl oyabilité : f ormation et mobilité et des GE La mont ée en compét ences et le développement de l’employabilité des collaborat eurs locaux (en majorité des GE, qui évoluent principalement dans les métiers de l’hôtellerie, de l a maint enanc e et de la res tauration) est une priorité du Groupe. Développement des GE Evaluations r éal isées en Vill age 2005 2006 2007 2008 Nombre d'évaluati ons GE réalisées 12476 12228 11804 9548 71% 70% 68% 52% % des pos tes G E évalués Formation des GE affectés % des GE f ormés Mobilité professionnell e 2005 2006 2007 2008 16, 20% 19, 10% 20, 40% 21, 88% 2005 2006 2007 2008 5,30% 4,70% 5,20% 11, 70% 10, 40% 8,90% % des GE ayant changé de ser vice % des GE ayant travaillé dans un autre pays que leur pays d'origine 10% Par les achats loc aux Par des transferts de s avoir-faire La très grande majorité des biens matériels achetés tout au A titre d’exempl e, la station d’épuration écol ogiques par long de l’année pour un village l’est auprès de fournisseurs du « Jardins filtrants » mise en plac e avec la sociét é Phyt orestor e pays où il est implanté (le t aux est rest é st able aut our de 90% à Albion à l’Ile Maurice, en 2007, a pu être vu en acti vité par en moyenne entre 2007 et 2008). nombre d’entreprises et de c ollecti vités, ce qui a contribué à Si une partie des ces ac hats , qu’il n’es t pas possibl e d’ évaluer ce que cett e tec hnique essai me rapidement, en particulier en pour le moment, c onsiste en i mportati ons réalisées par l e Asie. fournisseur loc al, ce taux t émoigne néanmoi ns de la volont é du Club Med de travailler aut ant que possible avec des Par l’aide à la créati on des très petites entreprises : signatur e partenaires locaux, producteurs ou si non distribut eurs. C ett e du partenariat avec AGRI SUD vol ont é es t un axe f ort de la politique achats. En 2008, la volonté du Groupe de jouer un rôle actif dans l e dével oppement économique des régions où il s’es t i mplant é Par la prévention de la c ontr efaç on s’est à nouveau concrétisée en juillet, avec l a signature d’ une Parce qu’il pense que l a contref açon s’oppose t ot alement à un convention de part enariat entre le Club Médit erranée et dével oppement loc al sain et durable, en enc ourageant l e AGRISUD, Association de Solidarité I nt ernati onal e qui agit travail clandestin, ét ouf fant l’essor éc onomique du pays , pour le développement durabl e dans les pays du Sud depuis freinant la créati on loc ale et éc happant à toute norme social e 1986, en lutt ant c ontr e la pauvret é par la création de tr ès et environnement ale, l e Club Méditerranée a choisi de petit es entreprises (TPE) familiales. s’impliquer dans la l utte c ontre c e fléau, en signant en jui n Ce partenariat vise à favoriser le lien économique et soci al 2007 un partenariat avec l’UNIFAB (Union des F abricants), entre les Villages Club Med et leur environnement, par l’aide à organisme français de lut te anti-contrefaç on regroupant pl us la création de très petit es entreprises viables et dur ables à de 400 entreprises. proximité du Villages du Club Médit erranée dans des pays du En 2008, il a ainsi été lancé une opérati on pilot e s ur le village Sud. de Marrakec h, c omprenant deux volets : d’études et d’acc ompagnement dans 6 Villages s ur 3 ans , - Le Club Méditerranée s’engage à financer des projets pour un mont ant de 180 000 euros. sensibilisation des équipes et des clients aux diff érents enjeux de la c ontr efaç on Au-del à de l a c ontribution : la s olidarité avec la Fondation phas e 1 de l’étude sur les possibilités de développer des Club Médit erranée activit és économiques de s ubstit ution. C e s econd volet a La Fondation Club Méditerranée, dont la vocation es t de été mené conj oint ement avec l’ONG AGRI SUD. favoriser le bénévolat des salariés pour des missions solidaires ainsi que le rec yclage de tout le matériel du Club Med® utile aux ass ociations, a fêté ses 30 ans en 2008. 2 037 G. O® bénévoles œuvrent, à c e jour, sous son égide et leur implication représ ent e 17 118 heures de bénévolat dont Doc um ent de Référenc e 2008 73 10 963 sur le t emps de travail. Ces c hiffres sont en baisse en raison d’ un s ys tème de déc ompt age diff érent et de l’adaptation des gestionnaires à cette nouvelle application Organisation et R eporting En 2008 : - informatique. Un poste de Chargé de Mission Energie a été créé au sein de la Direction Tec hnique Europe-Afrique afi n Cette année anni versaire a été marquée par le huitième d’opti miser les actions dans l es domaines goûter pl anétaire, qui a accueilli 5 000 enfants dans le monde, - la réédition de la journée au profit de l’ass ociation Petits L’outil de reporting et de pilotage environnement al Tec h Princes , qui a permis de collect er 40 000 euros de dons , Care a vu s on déploi ement s’accél érer ; à fin oc tobr e il l’ouverture d’ une école du s port destinée à des enf ants concernait : orphelins à Agadir, ainsi que la poursuite du développement - 80 sites ( 100% des Villages) et 110 utilisateurs des Es pac es Fondations, t ournés vers l es GM. actifs pour les campagnes de c ollecte d’inf ormation OUVERTURE SUR LE PAYS ET INVITATION A LA DECOUVERTE - 1000 c ompt eurs eau- énergie s ur 50 Villages pour l e module de gestion des c ompt eurs (développement propre En 2008 l a r efonte du produit Découverte a porté ses fruits : des circuits plus personnalisés, une offr e de voyages dédi és aux f amilles, une s egmentation plus claire et attrayant e, ont, entre autres , permis d’aug menter de 22% le nombre de au Club Médit erranée, permett ant un pilotage au plus fi n des c onsommati ons) Eco-labellisation de sites GM partis à l a découvert e des pays hôtes en circuit, dans des Le Village Club M ed d’O pio, dans les Alpes M aritimes, a groupes ne dépass ant j amais 24 personnes. obt enu en mars 2008 « l’Ecolabel Européen pour l es Même tendance dans les excursions au d épart des Vill ages, les excursions à la carte ont été développées, les actions d’invit ation des GM à la déc ouverte ont été pours uivi es, et renforcées au travers de la diff usion de la Charte du Tourist e hébergements touristiques ». Il es t aujour d’hui l e seul village de vac anc es en Franc e à avoir reçu cett e certific ation, qui repose s ur pl us de 80 critères s tricts de performanc e et de gestion de l’environnement. † Responsabl e (cf Respec t et invit ation au res pect – Avec l a Cet écolabel Charte du touriste r esponsable). La tendanc e au départ des l’échelle de l’Europe et certifi é par un organisme indépendant GM est elle aussi à la hauss e, avec un rés ultat net par jour née (en France : l’AFNOR). Il certifi e que l’ét ablissement es t hôt elière en croissance de 6% s ur les Villages d’Europe – engagé dans la préser vati on de l’environnement et, en Afrique–Antilles, mais aussi une hauss e du niveau de particulier à travers une politique de gesti on effic ace de satisfacti on, les exc ursions ét ant l‘acti vité qui enregistre l a l’énergie, de l’eau et des déchets, de mise en valeur du site, et plus belle pr ogression de s atisfac tion s ur l’été 08. de s ensibilisation du personnel et des clients . ENV IRONNEMENT : PRESERVER, METTRE Par ailleurs, quatr e Villages de l a zone Amérique du Nord s e EN VALEUR est le s eul label environnemental valable à sont engagés, en 2008, dans un proc essus de certific ation Green Globe 21. 2008 a vu la poursuit e de la politique générale du Club Méditerranée et des ac tions lancées les années précédent es SENSIBILISATION DES CLIENTS * en mati ère d’environnement . Les f aits marquants ont été l es suivants : « Par mi tous les bonheurs du Monde, il y a celui de l e préser ver… » : c’est l’accroc he ret enue pour s’adresser aux CONSTRUCTION ENVIRONNEMENTALE La diff usion d’ une Assist anc e M aîtrise d’Ouvr age HQE s’es t GM dans l es Villages et les invit er à des gest es éc ologiques au l ong de leur s éjour. Parmi l es réalisations dans le domaine en 2008 : poursui vie sur t ous l es nouveaux proj ets de c onstruc tion, et un - contrat c adre de partenariat a été élaborée pour la struct urer. des équipes et clients et de normes et st andards visant à Un proj et de c onc eption de guidelines de c onstr uction ancrer l es gest es écologiques chez c hac un ont ét é environnemental e propres au Club Med a ét é lancé avec l e élaborés et tes tés en 2008 et sont mai ntenant en cours cabinet Green Aff air. de dépl oiement. Le Club Méditerranée a poursui vi s a participation à des projets d’innovation (dés alinisation par - énergie solaire, chapitre Communautés , accessible s ur le site commercial du Club Med, une place i mport ant e es t consacrée à des recommandations GESTION ENVIRONNEMENTALE 74 Déc ouverte ( voir paragraphe « R espect et invit ation au res pect »), et dessous) Plus d’infor mations sur l e site www.clubmed.net/corporate Dans la chart e du t ouriste res ponsabl e diff usée dans les Espac es économi es d’eau s ur les golfs : voir paragraphe ‘Eau’ ci- * Les Ec o signs, un ensembl e d’outils de sensibilisation † En s avoir plus sur l’écol abel : www.ec o-label.c om Doc um ent de Référenc e 2008 sur les comportements - à tenir pour prés er ver au Beac h) Un parc ours pédagogique sur les « jar dins filtrants » Pépini ère de cor ail et ré-implantation de bébés c oraux lors de (station d’ épur ation des eaux éc ologique) d’Al bion ser a plongée avec les clients (Bora Bora) implanté en 2009. - Présentation photo, vi déo avec explications sur bi odi versit é Un part enariat avec l’associ ation Médit erranée 2000 a été noué, après une expérience s ur O pio en Provence, afin de f ormer les GO Mini Club Med à l’él abor ation d’acti vités de découvert e de la nat ure et de l’environnement à desti nati on des enfants. - Programme de protec tion des tort ues (Canc un, Cher ating maxi mum les ress ources et l’écos yst ème du pays visit é. marine et sa fr agilité (Kani) Infor mati on s ur les essences d’arbres et cult ure bi ologique pratiquée dans la gestion du parc (Vittel) Propositi on de participation à l’opération de nett oyage de l a A Columbus et Turquois e, un programme de pl ongée axé sur la prot ection des es pèc es et le respect de l a nat ure a ét é monté en part enariat avec Beautiful Oceans. plage voisine (Kabira, Kani) Création d’un jardin des sens (Opio, Sahoro…) Cartes explicati ves s ur le c omport ement à t enir vis-à- vis des singes présents s ur le site (Cherati ng Beach) Exemples d’actions de s ensibilisati on des clients Sensibilisati on du public, et travaux avec l’uni versité sur l a biodi versité de la forêt Atlantique du Brésil composées d’espèces protégées : c èdr es, frutta pao, jaqueira (I xtapa) E AU Programme de plongée en partenariat avec Beautiful Oc eans Des équipements comme les régul ateurs de débit ou l es axé s ur la protec tion des es pèc es, l e respect de la nat ure et l a syst èmes d’ arrosage goutte à goutte, ai nsi que la pratique sensibilisation des clients (Columbus, T urquoise) d’un sui vi quotidi en des consommations, font partie des standards qui opti misent la c ons ommation d’eau. Eau : équipements Tableau 1 : équipement des Villages en s ystèmes d’éc onomi es d’ eau en 2008 Périmètre : 90% des Villages monde exploités (en % de Villages conc ernés) Europe-Afrique Asie-Pacifique Amériques Monde Régulateurs de débit 83% 78% 60% 79% Réduct eurs de pression 70% 56% 70% 68% Programmateurs d'arrosage 73% 67% 50% 67% Arrosage goutt e à gout te 74% 44% 40% 62% Economis eurs sur c hass e d'eau 60% 33% 30% 52% Lave-batt erie à granules 38% 0% 10% 29% Villag es ayant 2 d e ces équipem ents 94% 78% 70% 88% Recyclage des eaux usées sur sit e 19% 67% 40% 29% Réutilisation eau rec ycl és par STEP 89% 100% 100% 95% source: r ecens ement auprès de 67 Villages s ur 74 Villages ouverts en hi ver 2007/2008 ou en été 2007 base: données 2008 pour 64 Villages et données 2007 pour 3 Villages Doc um ent de Référenc e 2008 75 Eau : consommations Tableau 2 : Consommati on d’eau (golfs compris) en 2008 Périmètre : 97% des Villages monde exploités Présentation s elon l es rec ommandations de l’IPD Environment Code Consommation d'eau (m3) Europe-Afrique Eau Froi de achetée (m3) Asie-Pacifique Amériques Monde var 08/ 07 2 408 381 488 822 1 018 789 3 915 992 19 946 10 505 16 324 46 775 2 003 387 225 688 382 177 2 611 252 87 762 150 991 - 238 753 4 519 476 876 006 1 417 290 6 812 772 Eau prim aire / JHE* 0,576 0,568 0,586 0,577 -5% Eau r ec yclée achetée (m3) 4 500 58 090 72 477 135 067 non compt abilisé non compt abilisé Eau C haude ac het ée ( m3) Eau forée / pompée ( m3) Eau os mosée / dés alinée (m3) Eau prim aire Eau r ec yclée CM (m3) Eau totale 304 342 227 206 112 065 643 613 4 828 318 1 161 302 1 601 832 7 591 452 0,615 0,752 0,662 0,643 Eau totale / JHE* +2% -2% *JHE : Journées hôt elières t otal es (clients + personnel résidant s ur plac e) touc hés par une pénurie de la ressource. Il participe à l a Eau : rejets conception du s ys tème depuis l’origine du projet. En Le recyclag e de l’ eau es t une pratique courante dans l es 2008, il a offert un terrain d’expérimentation au premier Villages, not amment ceux qui sont dot és d’es pac es verts, qui protot ype, dans s on village d’Opi o en Provenc e. réutilisent l a quasi t ot alité des eaux épurées pour l’arrosage. - Gestion d’éc onomies d’eau : en 2008, de nouvell es Des stations d’épur ation sont s yst ématiquement construit es procédures lorsqu’il n’y a pas de filière de traitement d’eau local ement sensibilisation des clients au lavage des s erviettes de satisfaisante, en particulier pour les Villages situés dans des toilett es, ainsi que des dr aps pour les s uites , ont ét é zones is olées et dépour vues d’infr astruct ures. Près d’un testées dans le village d’O pio et sont appelées à êtr e Village sur trois poss ède s a propre st ation d’épuration, et généralisées . de for mation des équipes et de parmi eux 95% la rec yclent. La politique de restriction d’utilisation de pr oduits ENERGIE phyt osanit aires et d’ engrais ( voir paragraphe Biodi versité pl us A l’été 2008, une acti on de sensi bilisation des équipes aux bas) contribue aussi à un contrôle des r ejets dans les nappes . économi es d’énergie, bas ée s ur des mesur es et gest es concrets, a été l anc ée s ur l’Europe-Afrique puis ét endue aux Eau : des ac tions pilot es menées en 2008 - autres z ones, avec, en Asie et en Amérique, des c hallenges Economi es d’ eau sur des golfs en pays arides : à Agadir, afin de mobiliser les équipes. après avoir investi depuis 2006 dans l a modernisation de Le s ys tème de reporting Tec h Care, dont le déploiement a ét é ses s ystèmes d’arros age, le Groupe mène depuis 2008 dével oppé en 2008, permet un pilotage plus efficac e, ai nsi une expérience pilote : différents t ypes de s emenc es, de que le calc ul des émissions de CO2. compositions du s ol et de positionnements du rés eau - d’irrigation sont en trai n d’ être t est és, afin de mettre en De plus, un test a été lancé dans trois Villages de la z one place un s yst ème de gestion de l’arrosage de dernièr e Amérique en vue d’amélior er l’efficacit é des key tags. génération permett ant d’optimis er les apports d’eau. Enfin, un audit avec recensement exhaus tif des s ourc es Désalinisation par énergie solaire : le Club Méditerranée lumineuses des Villages en vue d’ une optimis ation des est également part enaire, depuis 2007, d’ un projet de équipements a ét é entamé ; il s’étendra s ur deux ans au recherche Européen s ur la désalinis ation d’eau de mer moins . par énergie solaire (programme DeSoL), visant à trouver des s ources d’ appr ovisionnement durables pour les pays 76 Doc um ent de Référenc e 2008 Energie : équipements des Villages en s ystèmes d’éc onomi es d’ énergie en 2008 Tableau 3 : Equipement des Villages en s ystèmes d’éc onomi es d’énergie en 2008 Périmètre : 92% des Villages monde exploités (en % de Villages conc ernés) Europe-Afrique Asie-Pacifique Amériques Monde Utilisation d'ampoul es de basse c ons ommation 88% 100% 100% 91% Régulateurs de vit esse sur climatisati on 69% 100% 100% 76% Sys tèmes de ges tion i nfor matis ée GTB/GTC Réseaux séparés d'éclairage extérieur de séc urité et paysager 61% 33% 50% 56% 51% 67% 60% 55% Utilisation de " key tags" dans l es chambres des GM 37% 89% 70% 49% Eclairage temporisé 33% 67% 70% 46% Récupération de chaleur des climatis eurs 19% 44% 40% 28% Contac ts de f euillure s ur le chauffage électrique (1) 33% 0% 0% 25% Détect eur de pr ésenc e (zone c ommune) 18% 22% 20% 21% Récupération de chaleur sur rejet air 27% 0% 0% 19% 18% 0% 22% 15% 10% 0% 0% 7% 70% 47% Contac ts de f euillure s ur les climatiseurs (1) Récupération de la c hal eur des groupes froi d des cuisines Villages ayant 5 de ces équipements 47% 67% (1) Coupure automatique de cli matisation ou chauff age en c as d'ouvertur e de f enêtre source: r ecens ement auprès de 68 Villages s ur 74 Villages ouverts en hi ver 2007/2008 ou en été 2007 Base: données 2008 pour 65 Villages et données 2007 pour 3 Villages Energies : c ons ommations Tableau 4 : Consommati on d’énergie et émission de CO 2 en 2008 Périmètre : 97 % des Villages monde exploités Présentation s elon l es rec ommendations de l'IPD Environment Code Prise en compt e des f acteurs d'émission recommandés par l'Ademe (Hors EDF) Prise en compt e dell'intensit é car bone des productions d'él ectricité par pays du CAIT (dont la France) Consommation d'énergi e Electricité ac het ée (kWh) Fuel (litre) Fuel lour d (kg) EAF ASI E AMERIQUE MONDE 134 495 794 37 660 732 61 643 125 233 799 651 2 734 050 4 201 185 495 810 7 431 045 évol /2007 622 704 - - 622 704 gaz nat urel (m3) 2 743 230 - 86 480 2 829 710 gaz GPL ( kg) 1 887 970 328 203 1 360 242 3 576 415 énergie non électrique (c haleur urbaine en kWh) 2 083 072 - - 2 083 072 219 534 549 86 256 513 85 202 968 390 994 030 0% 28 56 35 33 -3% 69 137 36 936 34 532 140 605 -2% 9 24 14 12 -5% Totale én ergie consomm ée (kW h) Totale én ergie consomm ée (kW h) / JHE (1) Total equivalent CO 2 (tonne) Total equivalent CO 2 (kg) / JHE (1) (1) JHE = Journées hot elières t ot ales (clients + pers onnel résidant sur pl ace) (1) JHE : Journées hôt elières t ot ales (clients + personnel résidant s ur plac e) La consommation énergétique mondiale absol ue rest e stable, mais rapportée au nombre de journées hôtelières elle est en diminution, ai nsi que les émissions de CO2. Doc um ent de Référenc e 2008 77 Energies alt ernati ves Tableau 5 – Energies alternati ves en 2008 Périmètre : 89% Villages monde expl oités Typ e d'énergie (en nombre de villag e) EuropeAfrique Asi e-Pacifique Amér iques Monde Evol/2007 Récupération de la c hal eur des groupes froi d et climatiseurs 11 4 4 19 = 11 2 0 13 = 4 1 0 5 +2 1 -1 Solaire t her mique Pompes à c haleur 1 Géot her mie surface de panneau sol aire (m2) énergie f ournie par l e sol aire thermique ( kWh) 4 011 142 - non comptabilisé 195 600 - 4 153 non comptabilisé non comptabilisé source : recensement aupr ès de 66 Villages s ur 74 Villages ouverts en hi ver 2007/ 2008 ou en ét é 2007 base : données 2008 pour 63 Villages et données 2007 pour 3 Villages 50 % des Vill ages ont une én ergie alternative La baisse s ur la géothermie s’explique par la non exploit ation du Village de Kos en 2008. DECHETS Le déploiement du tri sél ectif s’ est poursuivi en 2008 ; et un eff ort d’identification des filières de c ollect e a en particulier ét é mené en z one Amérique. Tableau 6 – C ollecte sélec tive, rec ycl age et valorisati on des déc hets Périmètre : 93% Villages monde % de Villages concernés utilisant la filière quand l a filière est c onnue type de déc hets Europe-Afrique Asie-Pacifique Amériques Monde Graisses de cuisine 96% 100% 89% 95% Batt eries automobiles 89% 100% 80% 89% Déchets "spéci aux" 83% 100% 75% 84% Verre 84% 100% 50% 81% Restes alimentaires ( plats, assiet tes) 79% 100% 67% 81% Piles électriques 73% 100% 100% 78% Lampes à économie d'energie 75% 100% 50% 76% Carton 75% 100% 25% 73% Consommabl es inf ormatiques 77% 60% 50% 72% Déchets d'équipements électriques et électroniques 65% 100% 33% 64% Bout eilles pl astiques 61% 83% 20% 60% Boît es et canet tes métalliques 47% 100% 67% 55% Déchets aliment aires compost ables (épluc hures ..) 58% 67% 25% 53% Papier de bureau 36% 80% 40% 42% Déchets "verts" (branc hes , f euilles) 31% 56% 50% 39% 17% 39% Journaux et magasines 36% 80% source : recensement aupr ès de 69 Villages s ur 74 Villages ouverts en hi ver 2007/ 2008 ou en ét é 2007 base : données 2008 pour 62 Villages et données 2007 pour 7 Villages 78 Doc um ent de Référenc e 2008 - la politique achats : vis ant à protéger les es pèc es BIODIVERSITE menacées (voir charte achats poissons), et La politique en f aveur de la prés ervation de la biodi versité du favoriser le bio - Club Médit erranée repose sur : - à la sensibilisati on des clients à la découverte et à l a une gesti on des es pac es verts raisonnée ( voir protecti on de la nat ure : les ac tions menées dans c e tableau ci-dessous) domaine s ont décrites dans le par agraphe « sensibilisation des clients ». Tableau 7 – Préser vation de la biodi versité Périmètre : 84% Villages monde Europe-Afrique Asi e-Pacifique Amér iques Monde % d'emprise au s ol indicateur s 17% 8% 23% 16% % d'espace mai ntenu naturel 31% 24% 19% 27% % Villages n'utilisant pas d'engrais azotés 70% 78% 90% 74% % Villages n'utilisant pas de pesticides c himiques en ext érieur 79% 56% 90% 77% source : recencement aupr ès de 62 Villages s ur 74 Villages ouverts en hi ver 2007/ 2008 ou en ét é 2007 bas e : 100% des Vi ll ages = données 2008 Actions menées dans la g estion des espaces verts Choix d'es pèces végét ales appr opriées (prioritairement local es, et non i nvasi ves) Contributi on à ré-implanter des espèc es endémiques Suppression des trait ements phytos anit aires préventifs , et int erventi on uniquement en traitement c uratif dans les c as graves Suppression des engrais chimiques au profit des apports de matières organiques Interdicti on des traitements herbicides, au profit de traitement t her miques en Europe ou d'arrachage manuel dans les pays à main d'œuvre pl us acc essible Réducti on des volumes de déc hets végét aux par broyage et rec ycl age sur pl ace Incorporation des f euilles dans les massifs et développement de l a pratique du mulsc hing (épandage des rés ultats du broyage de la coupe des végét aux) : apport organique, économie d'eau par limitation de l'évaporation, et limit ation des mauvaises herbes Suppression de l'utilisation des sacs plastiques par dépos e direc te dans les tr acteurs Agriculture raisonnée pour l'oliveraie d'Opio en Provence qui produit une huile d'oli ve classée AOC TRANSPORTS - d’invit er ses clients à c ompenser les émissions liées à leur voyage au moment de leur réser vati on par internet En travaillant avec des c ompagnies perf ormant es sur le plan environnemental, en proposant des sol utions alternati ves au Pour l’acc ompagner dans s a démarche, il a choisi pour transport routier sur l’ensemble de ses Villages acc essibles en partenaire train, en recherchant une occupati on optimale des avions qu’il l’association GoodPl anet.org, prési dée par Yann Arthus- Action soutenue par programme lanc é par affrèt e , le Club Médit erranée s’ef force de limiter l es impac ts Bertrand, liés au trans port des vacanciers et des collaborat eurs. l’Environnement et de la maîtrise de l’Energie). Action * et Carbone, Carbone s électionne et l’ADEME (Agence acc ompagne des de projets Mais s’il peut mener une politique volontariste de di minution concrets de réduc tion des gaz à effet de serre dans l es des émissions de CO2 sur la partie du produit qu’il maîtrise, pays du Sud. Il permet aux particuliers c omme aux l’expl oitati on de ses Villages, le Groupe est conscient qu’il ne entreprises de c alculer leurs émissions et de verser le peut en être de même s ur les trans ports, et c’es t pourquoi il a montant corres pondant à l a compensation de c es choisi aussi : émissions, au travers de ces projets. - de compenser la moitié des émissions de CO 2 liées au dépl acement des G O des sièges de Paris et de Lyon * Taux d’occ upation des avions s upérieur de 10 points à c elui utilisé par l’éco-comparateur SNCF, par ex emple Doc um ent de Référenc e 2008 79 FOURNISSEURS : ANIMER PARTENARIAT RESPONSABLE UN était s aluée par la prof ession au travers de son Directeur, En 2008, le Groupe a pours uivi sa politique d’ac hats respons abl es ent amée en 2006 * A fin oc tobre 2008, la politique Achats du Club Méditerranée et a vu se c oncrétis er Wafi k Azmi-Salib, nominé aux Trophées Décision Ac hats ; c es trophées s’ adress ent à l’ens emble des entreprises ayant mis en oeuvr e une politique d’ac hat exempl aire dans l es domaines certaines avancées : des ac hats durables, de la gestion de la relati on f ournisseurs LE CHOIX DE RESPONSABLES PRODUITS PLUS ECO- et innovation, de la qualité ac hats et s atisfac tion clients internes et de la promotion de la fonction ac hats . La « charte ac hats Poiss ons », vis ant à dér éférencer l es espèc es de poisson en danger et à limit er les ac hats d’espèces s urpêc hées, a vu s on déploiement s e poursui vre, et est maintenant appliquée dans la grande majorit é des pays . De même pour la « c hart e achats Bois », visant à développer les bois c ertifiés et à rechercher des alter nati ves aux bois tropicaux non c ertifiés. Les papi ers retenus pour tout es les brochures 2009 des z ones Europe, U S et Canada sont 100% rec ycl és ou c ertifiés (PEFC pour l’Europe). Une politique r estrictive d’achats de produits phytos anit aires a aussi ét é poursui vie (cf paragraphe Environnement , Biodi versité). Sur les produits t extiles, outre la mont ée en puissanc e dans les boutiques des produits de grandes marques (Agnès B, Sonia Ryki el, Ralph Lauren…) aux c onditions de fabrications plus sûr es (de 0% en 2004 à plus de 40% en 2007), le c hoi x a été f ait de réaliser un ti ers des tenues GO 2009 en cot on bi o et équit able (certification ECOCERT). Dans les ac hats de rest aurati on, la rec herche de produits bi o est f avorisée ; un t est de buffet de légumes bio est en cours à Vittel. Objectif pour 2009 : 3% de l’assiet te des achats éco l abellisés SENSIBILISATION DES EQUIPES En 2008, l es ac tions de f ormation aux ac hats durables se s ont poursui vies , avec des st ages avancés pour les respons abl es de la démarche, des ac tions de s ensibilisati on et de mis e en objectifs pour l’ensemble des ac het eurs, ainsi que l’acquisition de 22 fiches par filières, sensibilisant les acheteurs aux enjeux essentiels de développement durabl e dans leurs f amilles de produits respecti ves. En outre, un outil de s ensibilisation des ac het eurs aux risques sociaux et environnement aux spécifiques à chaque pays fournisseur a ét é élabor é. Privilégier les achats locaux, limiter l es fl ux de marchandis e inter zones est un axe toujours réaffir mé de l a politique Ac hats du Club Médit erranée, tant pour renforc er la contributi on au dével oppement économique local que pour li miter l es pollutions liées au transport. * Plus d’infor mations sur l e site www.clubmed.net/corporate 80 Doc um ent de Référenc e 2008 COMPTES CONSOLIDES 82 – COMPTE DE RESULTAT CONSOLIDE 83 – BILAN CONSOLIDE 84 – TABLEAU DES FLUX DE TRESORERIE CONSOLIDE 109 – Note 15 – Retraite et autres avantages long terme 110 – Note 16 -- Provisions 110 – Note 17 -- Impôts 84 – VARIATION DE L’ENDETTEMENT CONSOLIDE 112 – Note 18 – Emprunts et dettes financières 85 – CAPITAUX PROPRES CONSOLIDES 115 – Note 19 – Instruments financiers 86 – ANNEXE AUX COMPTES CONSOLIDES 118 – Note 20 – Autres dettes 86 – Note 1 – Informations générales 86 – Note 2 – Règles, méthodes et périmètre 94 – Note 3 – Mouvements de périmètre 95 – Note 4 – Information sectorielle 97 – Note 5 – Ecarts d’acquis ition et regroupements d’entreprises 98 – Note 6 – Activités cédées 100 – Note 7 – Immobilisations incorporelles 101 – Note 8 – Immobilisations corporelles 102 – Note 9 – Actifs financiers non courants 104 – Note 10 – Immobilisations destinées à êtres cédées 104 – Note 11 – Autres créances 105 – Note 12 – Trésorerie et équiv alents de trésorerie 105 – Note 13 – Capital et réserves 106 – Note 14 – Paiement en actions 118 – Note 21 – Charges de personnel et effectifs 118 – Note 22 – Résultat opérationnel courant – Activité gestion de patrimoine 119 – Note 23 – Autre résultat opérationnel 119 – Note 24 – Résultat financier 119 – Note 25 – Part des sociétés mises en équivalence 119 – Note 26 – Résultat par action 120 – Note 27 – Notes sur le tableau des flux de trésorerie consolidé 121 – Note 28 – Transactions avec les parties liées 122 – Note 29 – Engagements 124 – Note 30 – Périmètre de consolidation au 31 octobre 2008 128 – RAPPORT DES COMMISSAIRES AUX COMPTES SUR LES COMPTES CONSOLIDES 129 – ORGANIGRAMME SIMPLIFIE AU 31 OCTOBRE 2008 Doc um ent de Référenc e 2008 81 COMPTE DE RESULTAT CONSOLIDE (en millions d’euros) Notes 2007 2008 4.2 1 410 1 494 9 8 Total des produits d’exploitation 1 419 1 502 Achats (574) (602) Servic es extérieurs (300) (300) (295) (312) Impôts et t axes (31) (31) EBITDAR Loisi rs 219 257 (136) (148) (59) (65) 1 (1) 25 43 Chiffre d’affaires Autres produits Charges de pers onnel 21 Loyers Dotations aux amortissements Dotations aux provisions (nett es de reprises) Résultat opér ationnel cour ant - Loisir s 4.2 Résultat opér ationnel cour ant - Patrimoin e 22 2 (8) Autre r ésultat opérationnel 23 (19) (25) Résultat opér ationnel 4.2 8 10 (29) (29) 5 (4) (24) (33) Intérêts et assi milés sur endett ement net Autre rés ultat financier Résultat financier 24 Résultat avant impôts (Charge) produit d'impôts Part des soci étés mises en équi val enc e (16) (23) 17. 1 3 (11) 9.1 et 25 1 1 (12) (33) 4 4 Résultat net des activités poursu ivies Résultat des acti vit és non c ons ervées 6.2 Résultat de cessions d'ac tivit és 6.2 Résultat net - dont part at tribuable aux actionnaires de la s ociét é mère - dont int érêts minorit aires 13. 2 31 (8) 2 (10) 1 2 1 (en euros) Résultat de base par ac tion 26 (0,55) 0,04 Résultat dilué par action 26 (0,55) 0,04 Résultat de base des acti vités poursui vies 26 (0,76) (1,77) Résultat dilué par action des acti vités poursui vies 26 (0,76) (1,77) Confor mément à la norme IFRS 5 « Actifs c ourants dét enus en vue de la vente et ac tivit és abandonnées », le compte de résult at consolidé de 2007 a ét é retraité des ac tivit és c édées en 2008. Le résult at net de c es ac tivit és est présent é sur une ligne distinc te du c ompte de résult at « résult at net des acti vit és non c ons ervées ». 82 Doc um ent de Référenc e 2008 BILAN CONSOLIDE ACTIF (en millions d’euros) Notes 31. 10. 07 31. 10. 08 108 32 Écarts d’ acquisition 5 Immobilisati ons i ncorporelles 7 83 53 Immobilisati ons c orporelles 8 841 919 Actifs financiers non courants 9 86 89 1 118 1 093 Total immobili sations Impôts différés actifs 17. 2 Actif non cour ant Stoc ks Clients et compt es rat tachés 30 30 1 148 1 123 22 33 86 58 Autres créanc es 11 142 116 Trésorerie et équi valents de trésorerie 12 108 152 358 359 87 45 1 593 1 527 31. 10. 07 31. 10. 08 Actif cour ant Immobilisati ons desti nées à être cédées 10 Total de l’ actif PASSIF (en millions d’euros) Notes Capital Primes d’émission Réserves consolidées Résultat cons olidé de l’exercice 77 77 563 563 (201) (206) (10) 1 Capitaux propres part du Groupe 13. 1 429 435 Intérêts minor itaires 13. 2 61 59 490 494 Capitaux propres Avant ages au personnel 15 27 26 Empr unts et det tes financières 18 408 260 20 43 54 17. 2 64 61 542 401 24 23 Autres det tes Impôts différés passifs Passif non courant Provisions 16 Empr unts et det tes financières 18 Fournisseurs Autres det tes 187 145 186 157 Clients - avances et r emises 131 120 Passif cour ant 561 632 1 593 1 527 Total des capitau x propres et du p assif 20 36 184 Doc um ent de Référenc e 2008 83 TABLEAU DE FLUX DE TRESORERI E CONSOLIDE (en millions d’euros) Notes Flux nets d e trésoreri e li és aux opération s d'exp loitation Résultat net de l’ens emble cons olidé Eli minati on des c harges et produits sans incidenc e sur la trésor erie, 2007 2008 (8) 2 des i mpôts et des frais fi nanciers: Amortiss ements et provisions 56 74 Quot e-part dans le r ésultat des s ociétés mis es en équi val enc e Plus et moins values de cession Produits et c harges fi nanci ers 27. 1 (1) (11) 26 (50) 34 Impôts Autres Variation du besoin en f onds de roul ement (3) (2) (20) 11 4 9 (1) Flux nets d e trésoreri e li és aux opération s avant impôts et frai s financier s 37 84 Impôts s ur les bénéfices payés (6) (14) Flux nets d e trésoreri e li és aux opération s d'exp loitation 31 70 27. 2 27. 2 (104) (4) (127) (1) 27. 3 27. 3 65 107 26 Flux nets d e trésoreri e li és aux opération s d'investissem ents (2) Investiss ements (3) Acquisition de participati ons, nette de la tr ésorerie acquise (4) Cessions d'acti vités, nettes de la trés orerie Cessions ou diminutions de l’actif immobilisé Flux nets d e trésoreri e li és aux opération s d'investissem ents (43) 5 Fonds dégagés (utilisés) par les opér ations (12) 75 94 (127) (16) 9 (17) (24) 5 2 4 1 (42) (27) (3) (4) Flux nets d e trésoreri e li és aux opération s de fin ancem ent Encaissements de nouveaux emprunts Remboursements d'emprunts (5) Frais financi ers payés Variation des concours bancaires cour ants Dividendes et autres Flux nets d e trésoreri e li és aux opération s de fin ancem ent Incidence du change s ur la trés orerie et autres Vari ation de trésoreri e (57) 44 Trésorerie à l'ouverture 12 165 108 Trésorerie à l a clôt ure 12 108 152 (1) Y compris dotations (reprises) des provisions courantes c onsidérées comme des c harges à payer. (2) Net de subventions . (3) Dont trés orerie acquise 4 M€ en 2007. (4) Dont trés orerie c édée 24 M€. (5) A compt er de l’exercice 2008 l es frais financiers sont pr ésentés dans l es flux liés aux opér ations de financement. Le tableau des flux de trésorerie 2007 a été r etraité afin de prés ent er des données comparabl es. VARIATION DE L’ ENDETT EMENT CONSOLIDE (en millions d’euros) Endett ement net à l'ouvert ure Notes 2007 2008 18. 1 (294) (336) (42) 41 (336) (295) Diminution (Aug mentati on) de l'endet tement Endettement net à la clôture 84 18. 1 Doc um ent de Référenc e 2008 CAPITAUX PROPRES CONSOLIDES (en millions d’euros) Au 31.10. 06 Nombre d’actions 19 358 005 Capital Primes d’émission et de fusion Actions propres Réserves consolidées et résult at 77 562 (10) (170) 459 (4) (4) (4) 10 10 10 Couvertur e de flux fut urs Réévaluation des titres disponibles à la vent e Ecarts de conversion Capitaux propres Intérêts Part du minoritaires Groupe 55 Total capitaux propres 514 (31) (31) 2 (29) Variation de résultat reconnue directement en capitaux pr opres (25) (25) 2 (23) Résultat de l'exercice (10) (10) 2 (8) Total des charg es et des produits comptabilisés (35) (35) 4 (31) Paiement en actions 2 Actions propr es Levée d'options d'ac hat Augmentation de capital 12 700 2 2 (1) (1) (1) 3 3 1 1 Dividendes Au 31.10. 07 19 370 705 77 563 (8) Couvertur e de flux fut urs Réévaluation des titres disponibles à la vent e Ecarts de conversion 3 3 4 (1) (1) 61 490 (203) 429 1 1 1 (8) (8) (8) 12 12 (2) 10 Variation de résultat reconnue directement en capitaux pr opres 5 5 (2) 3 Résultat de l'exercice 1 1 1 2 6 6 (1) 5 2 2 2 (2) (2) Total des charg es et des produits comptabilisés Paiement en actions Actions propr es Augmentation de capital (2) 7 200 Dividendes Au 31.10. 08 19 377 905 77 563 (10) (195) 435 Doc um ent de Référenc e 2008 (1) (1) 59 494 85 ANNEXE AUX COMPTES CONSOLIDES AU 31 OCTOBRE 2008 NOTE 1. INFORMATIONS GENERALES - Constat ation des écarts act uariels non amortis à la date de La Société Club Médit erranée SA est une s ociét é anonyme terme. transition sur les engagements relatifs aux avant ages long de dr oit franç ais dont l e siège s ocial est sit ué au 11 rue de Cambrai – 75957 Paris Cedex 19. L’ac tion Club Méditerranée est cot ée à la bourse de Paris au pr emier De nouveaux text es ou amendements adopt és par l’Union Européenne s ont entrés en vigueur pour l’exercice ouvert à er compter du 1 novembre 2007 : marché. Le titr e de la s ociét é f ait partie du SBF 120. Les états financi ers cons olidés de Club Médit erranée reflètent la situation comptabl e de l a sociét é Club Médit erranée SA et - l’amendement à IAS 1 portant sur les inf ormations à fournir sur le capital ; de s es filiales désignées ci-apr ès c omme le Groupe ainsi que - la norme IFRS 7 « instruments fi nanciers, inf ormations à ses intérêts dans les entreprises associées. L’exercice social fournir » ; de douze mois clôt ure le 31 octobre de chaque année. Les états financiers des filiales sont préparés sur l a même période de réf érenc e que ceux de la s ociét é mère, sur la base de mét hodes c ompt ables homogènes . - l’interprétati on IFRIC 11 « acti ons pr opres et transacti ons intra-groupe ». Ces nouveaux t extes applicables à l’exercice 2008 n’ ont pas Le Groupe est un des l eaders mondiaux des vacances tout compris et s’est di versifié dans des acti vit és c omplémentaires (tour opérateur, salles de remis e en forme et c omplexe de eu d’incidence significati ve sur les comptes du Groupe. Les incidenc es en matière d’inf ormation de la norme IFRS 7 sont données en not e 18 et 19. loisirs et de divertissements). Les acti vités tour opérat eur et Le salles de remise en f orme ont été cédées en 2008 (cf note 6). amendements de normes ou i nterpr étations par anticipation, Les comptes consolidés annuels du Groupe au 31 oct obre 2008 ont été arrêt és par le Cons eil d’Administration du 10 décembr e 2008. Ils sont exprimés en millions d’euros sauf indication contraire. NOTE 2. et Groupe plus n’a pas c hoisi particulièr ement , les d’ appliquer normes de normes, et i nterpr étati ons suivant es dont la date d’application obligatoire es t post érieure au 31 octobre 2008 : er Applicati on obligatoire à c ompter du 1 novembre 2008 : REGLES, METHODES ET PERIMETRE - L’interprét ation IFRIC 12 « Accords de concessions et de services » - L’interprétation IFRIC 13 « Trait ement des pr ogrammes de 2.1. BASE DE PREPAR ATION FINANCIERS CONSOLIDES DES ETATS - L’interpr étati on IFRIC 14 « I AS 19-limit ation de l’actif au titre En application du règlement européen n°1606/2002 du 19 juillet 2002, les compt es c ons olidés du Groupe Club Méditerranée au titre de l’exercice clos le 31 oct obre 2008 sont établis confor mément aux nor mes internationales d’information financière ou « I nternational Financial R eporting Standards » (IFRS) en vigueur au sein de l’Union Européenne à c ett e dat e. Les options prises par Club Méditerranée, c onf ormément à la norme IFRS 1, dans le cadre de la préparati on de s on bilan er d’ouverture IFRS au 1 novembre 2004 (date de transiti on aux IFRS) s ont les sui vant es : - Non retraitement des fidélité » des prestations définies » er Applicati on obligatoire à c ompter du 1 novembre 2009 : - La norme IFRS 8 : « Segments opérationnels » - La norme IAS 1 révisée : « Prés ent ation des ét ats financi ers» - L’amendement I AS 23 : « C oûts d’emprunts » - L’interprét ation IFRIC 15 « Contrats de cons truction » Le Groupe ayant déjà pris l’opti on de comptabiliser les coûts d’emprunts at tribuables à la c ons truction dans l e coût des regroupements d’entreprises ant érieurs à la dat e de transition - Reclassement en rés erves cons olidées des écarts de er conversion cumul és au 1 novembre 2004 actifs, l’amendement I AS 23 « Coût d’emprunts » s era s ans incidenc e s ur les principes du Groupe. Les i nterpr étati ons IFRIC 12 et 14 ne sont pas applicables aux opérations du Groupe. Le Groupe mène act uellement des anal ys es sur les conséquenc es pr atiques et l’effet de l’applicati on des autres - Rééval uation de cert aines immobilisations c orporelles à leur normes sur ses ét ats financi ers cons olidés et not amment de juste valeur à la dat e de tr ansition. la nor me IFRS 8. 86 Doc um ent de Référenc e 2008 2.1. 1. BASES D’EVALUAT ION UTILISEES POUR L’ETABLISSEMENT DES COMPT ES CONSO LIDES 2.1. 2. COMPARABI LITE DES ET ATS FINANCIERS Au c ours de l’exercice 2008, le Groupe a cédé les acti vités Les comptes c onsolidés du Groupe sont ét ablis selon le Jet t ours et Club Med G ym. Confor mément aux dispositi ons principe du coût hist orique, à l’exc epti on des instruments de la norme IFRS 5 « ac tifs non courants dét enus en vue de financi ers dérivés et des ac tifs financiers disponibles à la la vent e et acti vit és abandonnées », le rés ultat net de ces vent e, qui Le Club activit és réalisé depuis le 1 novembr e 2007 jusqu’à la date Méditerranée a réévalué, excl usivement à la date de de cession fin juillet 2008 es t présent é s ur une ligne distinc te transition, cert ains t errains et constructi ons à leur juste valeur. du c ompte de rés ultat « rés ultat net des acti vités non sont évalués à l a jus te valeur. La préparation des ét ats financiers conf ormément aux IFRS er conser vées ». nécessit e l a prise en c ompt e par l es dirigeants d’un c ertain Confor mément à la norme IFRS 5, le r ésultat de cessi on de nombre d’esti mati ons et d’hypot hès es. Ces hypot hès es sont ces acti vités est également prés enté sur une ligne distinc te dét erminées sur la base de l a c ontinuité d’ exploit ation en du c ompte de résult at. foncti on des inf ormations disponibles à la date de leur établissement . A chaque cl ôtur e, c es hypothèses et estimations peuvent être révis ées si les circonst ances sur lesquelles elles étai ent f ondées ont évolué ou si de nouvelles Afin de présenter des données c omparables, le c ompte de résultat 2007 a également été retrait é s uivant les mêmes principes. informations sont à disposition des dirigeants . Il es t possible Les i mpacts de la sortie des acti vit és Jet tours et Club Med que les résult ats f uturs diffèrent de c es es timations et Gym sur le bilan ai nsi que le dét ail du résult at net des hypothès es. Dans le c ont ext e ac tuel, l’exercice de prévision activit és c édées par r ubriques de r ésultat s ont donnés en d’acti vité et de pl anificati on à moyen ter me est rendu plus not e 6. difficile, aussi le Groupe a précisé dans l’annexe aux comptes consolidés les hypothèses utilisées et a enc adré les résult ats obt enus par des calc uls de sensi bilité aux fluc tuations de ces estimations . Celles-ci sont not amment s ensi bles : En application de la norme IFRS 5, le Groupe a c hoisi de donner en annexe ( not e 6.3) l’impact des acti vités abandonnées s ur le tableau de flux de trés orerie qui n’a pas fait l’obj et d’ un recl assement s pécifique. - dans l’exéc ution des t ests de pert e de valeur des actifs immobilisés (« i mpair ment ») puisqu’ils sont f ondés s ur des flux fut urs estimés, des hypot hès es de taux de croiss anc e et d’actualisation. Le context e éc onomique particulièrement difficile de c ett e clôture ne permet pas de s e r éférer à l a jus te val eur dimi nuée des c oûts de vente. Les val eurs d’utilité sont 2.1. 3. PRESENTATI ON DES ETATS FIN ANCIERS Le c ompte de résult at est présenté par nat ure. A) PRODUITS DES ACTIVITES ORDINAIRES fondées sur des flux f ut urs estimés, des hypothèses de t aux Les produits des acti vités ordinaires s ont compt abilisés de croissance et de taux d’act ualisation. D ans un contexte lorsqu'il est probable que l es avant ages économiques f uturs d’incertitude sur l’évolution de l’économie, pl usieurs scénarii iront au Groupe et que ces produits peuvent être évalués de d’évolution des flux de tr ésorerie ont été élaborés et des t ests façon fiable. Ils comprennent notamment : de s ensibilité aux variati ons des hypothèses de taux de croissance et de c oût moyen pondéré du capit al (WACC) ont été menés (not es 5.3 et 8.2) : Le c hiffre d’aff aires Le c hiffre d’af faires c omprend l es pres tati ons de ser vices et - dans l’es timation des provisions pour litiges ; des ventes de produits liées aux acti vités ordinaires des - dans la dét ermination des i mpôts diff érés et notamment lors sociétés cons olidées par int égration globale. de l’appréci ation du c aract ère rec ouvrable des impôts dif férés - les prest ations de ser vices : le c hiffre d’aff aires « séjours » actifs. est c omptabilisé au prorat a de l a consommati on du séjour. Le - par ailleurs, cert aines valorisations qui peuvent avoir soit des i mpac ts directs sur les c omptes ou sur l’infor mati on communiquée en annexe étai ent établies sur la base de données ou de valeurs direct ement obs ervables s ur les chiffre d’aff aires « trans ports » es t comptabilisé en f onction de la date eff ecti ve du voyage. Les autres prestations sont enregistrées au compte de rés ultat dans la période où les prestati ons s ont réalisées. marchés. La crise fi nancière a nécessité des adaptati ons de - les vent es de produits : le revenu est comptabilisé lors de la certaines livraison et du trans fert de propriét é. données ou des i nfor mations particulièr es en annexe. Les domaines l es pl us sensibles pour le Groupe sont la valeur de marché des actifs et passifs financiers communiquée en annexe en note 19 et le calc ul du coût moyen pondér é du capital (not es 5. 3 et 8.2). Les autres produits Les autr es produits comprennent not amment les i ndemnités d’assurance couvrant des pertes d’ exploit ation ainsi que les produits des s ubventions reconnus sui vant les principes énoncés en note 2. 18. Doc um ent de Référenc e 2008 87 B) EBITDAR LOISIRS: 2.2. METHODES DE CONSOLIDATION Afin d’anal yser l a perf ormance des Villages quel que soit leur Toutes mode de dét enti on (locati on ou propriét é), l e Groupe suit Méditerranée SA exerce, directement ou indirec tement, le cette perfor mance sur la bas e du ROC Loisirs avant contrôle exclusif, sont consolidées par intégration globale. Le amortissements , contrôle exclusif est le pouvoir direct ou indirect de diriger les pr ovisions et loyers, qui est appelé « EBITDAR Loisirs ». l es sociét és dans lesquelles l a sociét é Club politiques financièr es et opérationnelles d’ une entreprise afin de tirer avantage de s es acti vités. C) RESULTAT OPERA TIONNEL : Les sociétés dans lesquelles le Groupe exerce une influence Le r ésultat opérationnel est ventilé en trois cat égories au s ein not able (entreprises ass ociées) sont cons olidées par mis e en du c ompte de résult at : équivalenc e. - Le Résultat Op érationnel Courant – Loisirs (ROC La s ociét é Holiday Villages of Thaïland, détenue à 49,21%, et Loisirs) : il compr end l’ens emble des produits et des charges la sociét é Recreational Villages détenue à 21%, sont directement liés à l’exploitation des acti vités . En applicati on consolidées par intégration globale, le Club Médit erranée en d’IFRS 5, dans l e c adre des cessions de Jet tours et de Club ayant le c ontrôl e au regard des critères de la nor me IAS 27. Med G ym, le ROC Loisirs ne c omprend plus que l’exploitati on des Villages et de Club Med World. La Sociét é Martiniquaise des Villages de Vacances, dét enue à 10%, f ait l’objet d’une i ntégration global e, l’essentiel des - Le Résult at Opér ationnel Courant – Patrimoine (ROC Patrimoine) : il comprend l es résult ats de la gestion du patrimoine immobilier ; not amment les plus ou moins- val ues sur cessions d’ actifs y compris les titres portant sur les actifs immobiliers de nos Villages, les coûts associ és aux projets risques étant ass umé par le Groupe. Le Groupe exerçant une i nfluence not abl e sur la société Financière CMG qu’elle détient à 16, 3%, les titres de cet te société sont mis en équi val ence. d’ouverture de sites et de développement, les coûts de Les fermetures de sites définiti ves ou temporaires dans le c adre d’acquisition, correspondant à l a dat e à laquelle le Groupe en de rénovations . Lorsque le village f ermé pour rénovation est a obtenu le c ontrôle, et ce j usqu’à la date à laquelle l’exercice un village sais onnier, les c oûts encourus pendant la période de ce contrôle c esse. Les rés ultats des filiales consolidées de fer met ure habit uelle du village restent en ROC Loisirs. Le acquises ou c édées au cours de l’exercice sont i nclus dans le Roc Patrimoi ne comprend également les charges et les résultat consolidé à compter de la date de leur acquisition, ou produits rés ultant des tests d’i mpair ment ainsi que les jusqu’à la dat e de cessi on s elon le c as. résultats de la pr omotion immobilière. filiales sont c onsolidées à compt er de l a date Tous l es sol des et transactions i ntra-groupe ainsi que les - L’Autre Résultat Opér ationnel ( ARO) : il comprend les produits , les charges et les résult ats lat ents qui sont c ompris coûts dans la valeur c omptable d’ac tifs provenant de transacti ons relatifs aux restruc turati ons, aux litiges, aux conséquenc es d’événements natur els ainsi que le coût des cartes de crédit (commissions versées s ur les encaissements via c e mode de pai ement). D) RESULTAT FINA NCIER Les produits et charges financiers compr ennent : - les charges et pr oduits d’int érêt liés aux ac tifs et passifs financi ers constitutifs de l’endett ement net prés ent é s ur une ligne distincte du compte de r ésultat ; Les autres charges ou produits fi nanci ers comprennent : internes , sont éliminés en t otalit é. La list e des s ociét és incl uses dans l e périmètre de consolidation ainsi que les méthodes utilisées sont données en not e 30. 2.3. METHODES DE CONVERSION TRANS ACTIONS EN DEVISES ET 2.3. 1. CONVERSION DES ETAT S FINANCIERS Les états fi nanci ers cons olidés sont présentés en euros. Les comptes des filiales aut onomes dont la monnai e f onc tionnelle - l’effet de l’act ualisati on des provisions pour retraites et n’est pas l’euro sont convertis en eur os s elon la méthode dite autres avantages long t erme ; du c ours de clôt ure : - les pert es et gains sur i nstruments dérivés ; - Le bilan est converti au c ours de cl ôture de la période ; - le résultat de change ; - Le compte de rés ultat et l e t abl eau des flux de trésorerie - les di videndes reçus des participations non consolidées ; - les dépréciations d’actifs fi nanciers ; - les cessions de titres de s ociét és sans lien avec nos villages. 88 sont c onvertis au taux moyen de l a période. Les écarts de c onversion en rés ultant s ont compt abilisés en réserves de conversion dans une rubrique séparée des capitaux pr opres. Doc um ent de Référenc e 2008 Les compt es des sociét és non autonomes par rapport à la des ac tifs, passifs et passifs éventuels identifiables à l a date société mère Club Méditerranée S.A. sont convertis en euros de prise de contrôle. selon l a mét hode du c ours historique : Dans l e c adre de r egroupement d’ entreprises en une seule - Les immobilisations et l a dot ation aux amortissements opération, la part des minoritaires dans les actifs et passifs correspondant e sont enregistrées au c ours hist orique de la acquis est également évaluée à la jus te valeur. transacti on ; - Les actifs et les passifs monétaires sont c onvertis au cours de clôture ; - Le c ompt e de rés ultat (hors dotati on aux amortiss ements) et les flux de trésorerie s ont c onvertis au c ours moyen de la période. L’écart de conversion en rés ultant est enr egistré en résult at financi er. MONNAIE FONCTIONNELLE Les différences de change relatives à un él ément monétaire faisant partie intégrant e de l’investiss ement du Groupe dans une entreprise étrangère cons olidée sont inscrites dans les capitaux propres jusqu’à la cession ou la liquidati on de cet investissement. DES VARIATI ONS D’INTERETS En c e qui concerne le trait ement des variati ons d’int érêts minoritaires , le Gr oupe a choisi d’adopter le traitement suivant : Lors de l’acquisition d’intérêts minorit aires complémentaires, l’écart entre le coût d’acquisition et la quot e-part réévaluation des actifs et passifs acquis à c ett e dat e, est enregistré en éc art d’ acquisition. Corrélativement , les opérations qui conduisent à une diminution des intérêts du Groupe (sans perte de contrôle) sont tr aitées comme des cessi ons d’intérêts aux mi noritaires dont l’impact est enregistré en rés ultat. La norme IFRS 3 r évisée, « R egroupement d’entreprises » Le tr aitement est identique pour l es dett es et créanc es long terme int ernes au Groupe, libellées en monnaie étrangère dont le règlement n’est ni planifié ni s usceptible d’inter venir dans un avenir prévisible. Ces éléments f ont partie de l’investiss ement net du Groupe. OPTI ON TRAIT EMENT MINORITAIRES complémentaire dans l’actif net de l’entit é acquis e, s ans 2.3. 2. TRANSACTIONS EN MONNAIE AUTRE QUE LA 2.3. 3. 2.4. 2. qui devrait f aire l’objet d’une adoption par la Commission Européenne a précisé que les variations d’int érêts minoritaires ser aient enregistrées en c apit aux propres et seraient donc s ans i ncidence s ur le rés ultat . 2.4. 3. IMMOBILI SATIONS INCORPORELLES RETENUE LORS DE LA PREMIERE ADOPTION DES IFRS Les éléments c ompt abilisés en immobilisations incor porelles comprennent principalement la marque Jet tours c édée en Le Gr oupe a ret enu l’option offert e par les nor mes IFRS de met tre à zéro les éc arts de c onversion résult ant de la conversion des comptes des filiales en devises étrangères er inscrits en c apit aux propres au 1 novembre 2004 en les 2008, l es dr oits au bail et les immobilisations inf ormatiques. Les immobilisations inc orporelles acquis es figurent au bilan à leur coût d’acquisition diminué du cumul des amortissements et des pertes de valeur. reclassant dans les rés er ves s ous la r ubrique résult ats Le Gr oupe appr écie si la durée d’utilité d’une i mmobilisati on accumulés. Les résult ats de cessions f utures des entités incorporelle est finie ou i ndéter minée. Le Gr oupe a qualifié la consolidées ne prendront pas en compte les éc arts de marque J et tours et les droits au bail français comme des er conversion antérieurs au 1 novembr e 2004. immobilisations à durée de vie indéter minée. Ces immobilisations ne s ont donc pas amorties, elles font l’objet 2.4. REGROUPEMENT D’ENTREPRISES, ECARTS D’ACQUISITION ET IMMOBILISATIONS INCORPORELLES d’un test de valeur une fois par an et lors de la sur venance d’événements susc eptibles de remettre en c aus e leur valeur conf ormément aux principes décrits au paragraphe 2.7 « Dépréci ation d’ac tifs immobilisés ». 2.4. 1. REGROUPEMENTS D’ENTREPRISES ET ECARTS D’ACQUISITION Les autres immobilisations inc orpor elles ont été qualifiées d’immobilisations i ncorporelles à durée de vie fini e (logiciels er Les regroupements d’ entreprises antérieurs au 1 novembre et licences) ; elles sont amorties s ur la durée d’utilité prévue. 2004 n’ont pas été retrait és rétrospecti vement sui vant les Les durées d’amortissement général ement r etenues sont les principes IFRS. Les regroupements d’entreprises réalisés suivant es : depuis c ette dat e s ont comptabilisés sui vant la méthode de l’acquisition. Les actifs , passifs et passifs évent uels acquis par le Groupe s ont c omptabilisés à l eur juste valeur à la date du regroupement d’entreprises. Sys tème d'infor mations fi nanci ères 3 à 15 ans Sys tème c ommercial 3 à 24 ans Autres programmes i nfor matiques Autres i mmobilisati ons inc orpor elles 3 à 8 ans 3 à 10 ans Les écarts d’acquisition repr ésentent la diff érenc e entre le coût d’ acquisition des titres et l’évaluation à la juste valeur Doc um ent de Référenc e 2008 89 Ces durées d’utilité s ont revues à c haque clôture annuelle et modifiées si nécess aire, ces changements d’esti mation étant comptabilisés de mani ère pros pec tive. 2.6. CONTRATS DE LOCATION Selon la réalité de l a transacti on, les contrats de loc ation sont classés soit en contrat de loc ation-fi nanc ement, soit en Les i mmobilisati ons i ncorporelles à durée de vie finie font contrat de location simpl e. l’objet d’un test en cas d’ existence d’indices de perte de val eur (cf paragraphe 2. 7 «Dépréci ation d’ actifs i mmobilisés»). LES CONTRATS DE LOCA TION-FINA NCEMENT Les contrats de loc ation-financement, qui transfèr ent au 2.5. IMMOBILISATIONS CORPORELLES Groupe la quasi-tot alité des risques et avantages inhérents à er A la date de transition (1 novembre 2004), certains terrains la propriété de l'actif l oué, s ont compt abilisés au bilan au et c onstr uctions ont ét é r éévalués à leur just e valeur commencement du contrat de location à la just e valeur du (confor mément à l’opti on proposée par la norme IFRS 1). bien l oué ou, si c elle-ci est inf érieure, à l a val eur actualisée Les immobilisations c orporelles s ont évaluées sel on la mét hode du coût historique. Elles s ont compt abilisées au coût diminué du c umul des amortissements et du c umul des pertes de val eur. Le coût des immobilisations incl ut les coûts d’acquisition ou les coûts de production ainsi que c eux des paiements mi nimaux au titre de la l ocati on. Les paiements au titr e de la location s ont ventilés entre la charge financi ère et l'amortiss ement de l a det te de manière à obtenir un taux d'intérêt périodique constant. Les c harges financières sont enregistrées direct ement au compte de rés ultat. directement at tribuables pour dispos er du bien dans son lieu Les ac tifs faisant l'obj et d'une loc ation-financement sont et dans s es c onditi ons d’exploitation. Les coûts de producti on amortis sur l a plus c ourte de l eur durée d'utilité et de la durée comprennent les coûts de matériels utilisés, la main d’œuvre du contrat si le Groupe n’a pas une c ertitude raisonnable de directe ainsi que les c oûts d’emprunts liés au financement devenir propriétaire de l’actif à l a fin du contrat de l ocati on. d’investissement pendant la période de constructi on. Les amortissements s ont pratiqués selon l e mode linéaire sur LES CONTRATS DE LOCA TION SIMPLE la durée d’utilité des biens . Le Gr oupe prévoyant d’ utiliser ses Les contrats de location qui ne transf èrent pas la quasi- Villages sur toute leur durée d’utilité, il n’a pas été ret enu de totalit é des risques et avantages inhérents à la propriét é de val eur rési duelle. C es durées d’utilité sont revues à chaque l'actif sont classés en t ant que contr ats de location simple. clôture ces Les loyers à payer s ont c ompt abilisés en charges dans le changements d’estimation étant compt abilisés de manière compte de résult at de faç on linéaire sur la durée du contrat prospec tive. de loc ation corres pondant. annuelle et modifi ées, si nécess aire, Les différents c ompos ants d’une i mmobilisation cor porelle sont comptabilisés séparément lorsque leur durée d’utilité estimée est différente. 2.7. DEPRECIATION D’ACTIFS IMMOBILISES 2.7. 1. Les durées d’amortissement général ement r etenues sont les suivant es : IMMOBILISATI ONS CORPORELLES ET IMMOBILISATIONS INCORPORELLES AMORTISSABLES Des tests de dépréciation sont eff ect ués sur ces actifs dès Terrassements , fondations, struc tures 50 ans Charpente, toit ure 30 ans Maçonnerie, clois onnement 25 ans lors qu’il existe un indic e qu’un actif puisse avoir perdu de sa val eur. Les i ndices de pertes de valeurs s ont notamment : - la dégradation physique non prévue au pl an Installations tec hniques ( plomberie, élec tricité, chauffage, …) 20 ans d’amortissement, Equipements hôteliers fixes 15 ans - les plans d’abandon ou de res tructuration du sec teur Aménagements ( menuiserie, r evêt ements, vitrerie, …) 10 ans Autres d’acti vité auquel l’actif appartient, 3 à 10 ans Un tes t de valeur es t eff ectué lorsque des événements indiquent que la valeur comptable d’une i mmobilisati on - les perf ormances i nférieures aux prévisions, - une modification de l’environnement économique ou légal entraî nant une di minution significative de la valeur de marché. corporelle pourrait ne pas être rec ouvrée (cf . paragraphe 2. 7. Le Groupe a déter miné que chaque Village constituait une « Dépréci ation d’ac tifs immobilisés »). Unité G énératrice de Trésorerie ( « UGT »). Les t ests de Les i mmobilisati ons corporelles exploit ées dans le cadre de contrats de loc ation-financement ou de location à long ter me qui transfèr ent la quasi-t otalité des risques et avantages inhérents à la propriét é s ont inscrites à l’actif. dépréci ation sont donc réalisés Village par Village dans le cas où il exist e un risque que la val eur nette comptable soit supérieure à sa valeur rec ouvr able. La valeur rec ouvrable c orrespond au montant le plus élevé de la valeur de marché net te des frais de cession ou de sa val eur d’ utilité. 90 Doc um ent de Référenc e 2008 La valeur de marché est es timée s ur la base de rapports Les évaluations eff ectuées l ors de c es tests de valeur d’experts ou de multiples de résult ats. La val eur d’utilité est dépendent des hypot hès es r etenues en matière de taux de dét erminée par ac tualisation des flux f uturs de trésorerie remplissage des Villages, taux d’investiss ement normatif, directement attribuables aux Villages, esti més s ur la durée taux de croissanc e de l a zone ou de l’acti vité, taux de attendue de l’utilisation du bien. Les flux f uturs s ont esti més croissance à l’infini et t aux d’ac tualisation. sur la bas e d’un plan opérationnel à trois ans , avec application d’une croissance pour les exercices s uivants et d’une valeur termi nale actualisée à la date de fi n d’utilisati on du bien. 2.8. TITRES DISPONIBLES A LA VENTE AUTRES ACTIFS FINANCIERS ET Confor mément à l a norme IAS 39, l es actifs fi nanciers sont Le taux d’ actualisation retenu est détermi né selon la mét hode du c oût moyen pondéré du c apit al (WACC). Il s’agit d’un t aux après impôt appliqué à des flux f uturs après impôt. Leur utilisation aboutit à la dét ermination de valeurs rec ouvrables identiques à celles obtenues en utilisant des taux avant impôt appliqués à des flux f uturs avant impôt tel que demandé par anal ys és et classés en quatre cat égories : - les actifs dét enus à des fins de trans action ; - les actifs dét enus jusqu’à l eur échéanc e ; - les prêts octroyés ; la nor me IAS 36. - les actifs disponibles à la vente. Si la valeur nette compt abl e des actifs d’un Village est Les actifs financiers s ont enr egistrés à l’origine au coût, supérieure à s a val eur rec ouvrable, une pert e de valeur est correspondant à la jus te valeur du prix payé auquel s’ajoutent const atée pour l’exc édent de l a valeur nett e c ompt able sur la les frais de trans action direct ement at tribuables. L’évaluati on val eur recouvrable, celle-ci pouvant être reprise lorsque les ultérieure dépend de l a cat égorie dans l aquelle ils ont été conditi ons qui classés. ont conduit à sa c ompt abilisation sont modifiées. Les actifs dét enus à des fins de tran saction sont cl assés 2.7. 2. ECARTS D’ACQUISITI ON ET IMMOBI LISATIONS INCORPORELLES NON AMORTISSABLES Confor mément aux dis positions de la nor me IAS 36 « Dépréci ation d’ac tifs », l a valeur des écarts d’acquisition et des immobilisations inc orpor elles à durée de vie indéfini e est testée c haque année ou dès lors qu’il s urvient un indice de perte de valeur. en actifs c ourants et s ont évalués à la just e valeur. Les variations de valeur s ont enregistrées en rés ultat financier. Les i nstruments dérivés s ont classés dans c ett e c atégorie sauf pour la partie efficac e de l’opération de couverture à laquelle ils sont ass ociés. Les pl acements détenus avec l’intention d e l es con server j usqu’à leur éch éan ce et l es pr êts et cr éances sont comptabilisés au coût amorti s elon la mét hode du t aux Pour les bes oins de c e t est, les éc arts d’acquisition sont d’intérêt effec tif à l’origine des pl acements, dimi nué des affec tés aux unités génératrices de trés orerie (UGT). L’UGT pertes de val eur. Les gai ns et les pert es s ont compt abilisés correspond au ni veau de regroupement des actifs auquel le en rés ultat. Ces actifs sont c onstit ués de titres à revenus Groupe organise s es acti vités et anal yse leurs résult ats. Ainsi dét erminés ou déter minables et à échéanc e fi xe. A chaque les écarts d’acquisition liés à l’ac tivit é Villages sont affec tés et clôture, le car actère recouvrable des prêts es t appréci é et une anal ys és par zone géographique (voir not e 4 « I nfor mati on dépréci ation est cons tat ée lorsque la valeur c omptable sectorielle »). Les éc arts d’acquisition af fect és aux autres exc ède la valeur recouvr able. activit és (Tour opér ateur, Club Med G ym) sont éval ués au niveau de ces acti vités jusqu’en 2007. Les autres investissements sont class és c omme actifs disponibles à l a vente et sont évalués à leur jus te valeur par Pour l a mise en œuvre de c e t est, le Groupe combine une contrepartie des capitaux propres jusqu’à leur c ession. La approc he par multipl es de marché (esti mation de l a jus te juste valeur correspond au prix de marc hé pour les titres val eur net te des frais de cession) et une approc he par cotés ou à une esti mati on de la val eur d’utilité pour les titres actualisation des flux f uturs de trés orerie es timés (valeur non c ot és, déter minée en f oncti on des critères financiers les d’utilité). Pour l’approc he de la valeur d’utilité, les flux f uturs plus appropriés à la sit uation particulière de c haque titre. En sont estimés sur une dur ée de cinq ans sur la bas e du pl an cas de perte de valeur durabl e, la perte cumulée en capit aux opérationnel à trois ans avec application d’un t aux de propres es t enregistrée en rés ultat . Les titres de participati on croissance à l’infini pour les exercices s uivants et d’une non cons olidés sont class és dans c ett e catégorie. val eur t erminale actualisée. Lorsque les val eurs ainsi dét erminées se révèlent inf érieures à la valeur nett e comptabl e des actifs de l’UGT, ces actifs 2.9. ACTIFS NON COURANTS DETENUS EN VUE DE LA VENTE sont dépréciés , afin de ramener la valeur de l’UGT à sa Confor mément à la nor me IFRS 5, les ac tifs non courants et val eur recouvrable. Celle-ci est définie comme la pl us élevée les groupes d'ac tifs détenus en vue de la vente s ont cl assés de la valeur d’utilité et de la just e val eur nett e. La dépréciati on comme tels lorsqu’il est jugé que l eur valeur compt able sera est affect ée en priorité s ur la valeur de l’éc art d’ acquisition. recouvrée au tr avers d’une transacti on de vente plut ôt que par leur utilisation c ontinue. Cet te c onditi on est considérée Doc um ent de Référenc e 2008 91 comme remplie lorsque la vent e est hautement probable dans ressources représentative d'avant ages éc onomiques sera un horizon raisonnable, que l'actif (ou l e groupe d’actifs) nécess aire pour éteindre l'obligation, et que le montant de destiné à être cédé est disponi ble en vue de sa vente l'obligation peut être esti mé de manière fiable. immédiat e dans s on état act uel et si un plan de vente de l’actif a été engagé par les dirigeants . Lorsque l e Groupe att end le remboursement partiel ou t otal de la provision, par exemple du fait d'un contrat d'ass uranc e, Les actifs non cour ants ( et les groupes d’ac tifs) classés le remboursement est comptabilisé comme un actif distinct comme dét enus en vue de la vente s ont évalués au montant uniquement si le remboursement est quasi-certain. La charge le plus bas entr e leur val eur c ompt able avant leur classement liée à la provision est prés ent ée dans le c ompte de résult at, et leur just e valeur di minuée des coûts de la vente. Ils ne font nett e de t out remboursement. Si l'effet de la valeur t emps est plus l’obj et d’ amortissement à compt er de cette date. significatif, les provisions sont act ualisées sur la base d'un Les actifs non c ourants destinés à être c édés ainsi que les dett es ass ociées sont pr ésentés s ur des lignes distinc tes du bilan. taux avant impôt qui refl ète, le cas échéant, les risques spécifiques du passif. Lorsque la pr ovision est ac tualisée, l'augment ation de la provision liée à l'écoulement du temps est comptabilisée en rés ultat financier. 2.10. STOCKS Les st oc ks sont comptabilisés au plus fai ble du coût, c alculé selon la mét hode du « coût moyen pondéré », et de l a valeur nett e de réalisation. La valeur nette de réalisati on est le prix de vente esti mé dans le cours normal de l’acti vité, diminué des coûts estimés pour leur achèvement et des coûts nécess aires pour réaliser la vent e. 2.14. RETRAITES ET AUTRES AV AN TAGES LONG TERME En acc ord avec les lois et pratiques de chaque pays dans lequel il est implanté, les salariés du Groupe bénéficient de différents régimes de retrait e compl ément aire, d’indemnités de fin de c arrière et autres avant ages long terme. U ne description des princi paux régimes du Groupe est donnée en Dans le cadr e de l’acti vit é de promotion immobilière, l es coûts not e 15. engagés af fect ables au pr ojet de construction sont constatés en st oc k de promoti on i mmobilière et pris en rés ultat, après AVANTAGES POSTE RIEURS A L’ EMPLOI commercialisati on, au fur et à mesure de l’avanc ement des phas es de c onstruc tion. Régimes à c otisations définies Dans le c as où la pr évision à la fi n d’un contrat fait ress ortir Pour les régimes de base et autr es régimes à c otisati ons un rés ultat déficit aire, la perte à t erminaison est c ons tat ée défini es, le Groupe c ompt abilise en charges les cotisations à immédiat ement payer lorsqu’elles s ont dues et aucune provision n’est i ndépendamment de l’avanc ement du chantier. comptabilisée, le Groupe n’étant pas engagé au-del à des cotisations vers ées. 2.11. CLIENTS ET AUTRES DEBITEURS Les créanc es clients s ont reconnues et comptabilisées pour Régimes à prest ations définies le mont ant initial de la fac ture. Une pr ovision est constituée Les régimes à prest ations défini es sont évalués s uivant une lorsqu’il existe des él éments objectifs i ndiquant que le Groupe mét hode ac tuarielle dite des unités de crédits projet és. Cet te ne sera pas en mes ure de recouvr er ces créances. Les mét hode créances irrécouvrables s ont c onst atées en pert e lorsqu'elles actuarielles long terme s ur les données démographiques sont i dentifiées comme t elles. (rotation du personnel, mortalit é) et financièr es (augmentati on néc essite l a prise en compt e d’ hypothèses des s alaires, taux d’act ualisation). C es paramètres sont revus 2.12. TRESORERIE TRESORERIE ET EQUIVALENTS DE chaque année. L’incidence des changements d’ hypothèses actuarielles s ur le montant de l’engagement est enregistrée Les équi valents de trésorerie s ont détenus dans le but de faire f ace aux engagements de trés orerie à c ourt t erme : ils en éc arts actuariels. Ces écarts constit uent des actifs ou des passifs à amortir. comprennent la trésor erie en banque, la caiss e, les dépôts à L’augment ation de l’engagement liée au passage du temps court t erme ayant une éc héance initiale de moins de trois est enregistrée en rés ultat financier. mois et des SICAV monétaires f acilement convertibl es en trésorerie. Ils s ont très liquides, f acilement c onvertibles en un montant de trésor erie connu et s oumis à un risque négligeable de c hangement de valeur. 2.13. PROVISIONS Traitement des écarts act uariels Les écarts actuariels des avantages post érieurs à l’emploi sont cons tat és en r ésultat sel on la méthode du corridor appliquée plan par plan. Les éc arts ac tuariels (gains et pertes) sont comptabilisés en produit ou en charge lorsque les gains Les provisions s ont comptabilisées lorsque le Groupe a une et pertes act uariels cumulés non rec onnus exc èdent 10% de obligation à l’égard d’un tiers (légale ou implicite) résultant la valeur la plus élevée de l'obligation et de l a just e valeur des d'un événement passé, qu'il est pr obable qu'une s ortie de actifs du régime. Cet exc édent est amorti s ur la durée 92 Doc um ent de Référenc e 2008 d’acti vité moyenne résiduelle du personnel bénéficiant du 2.16.1. régime. ACTIONS NOUVELLES OU EXIST ANTES) Confor mément à l’option of ferte par la norme IFRS 1, les er écarts actuariels non amortis au 1 novembre 2004 ont été const atés par les capitaux propres. OCEANEs (OBLIG ATIONS CONVERTIBLES EN La dett e du Club Médit erranée compr end deux emprunts obligataires de t ype OCEANE. Ces instruments financiers contiennent à la f ois une composante de dett e financière et une c ompos ant e optionnelle de conversion en acti on qui est Coûts des s ervic es passés Les variati ons des enregistrée en c apit aux propr es. à une La « composant e det te » c orrespond à la valeur ac tuelle des modification de régime s ont des coûts des ser vices pass és. engagements c ons écuti ves flux de trés orerie c ontrac tuels fut urs (incluant les c oupons , les Ils sont enregistrés immédiat ement en résult at lorsque les primes de remboursement et l e remboursement in fine), droits sont acquis ou ét alés s ur la période d’acquisition des actualisés au t aux de marché en vigueur à la dat e d’émission, droits. pour des ins truments de dette obligataire présentant des caractéristiques identiques de mat urité et de flux mais s ans Réducti on de droits ou liquidation de régime option de conversion en actions. La valeur de la composante Les ef fets de la réduction de droits ou de liquidation de régime sont c onst at és en rés ultat à la dat e où s e produit la réduction ou l a liquidati on. Le résult at enregistré c orrespond à optionnelle enregistrée en c apitaux pr opres est dét erminée par diff érence entre le montant nominal à l’émission et la jus te val eur de la composante dette. l’éval uati on de l’obligation qui est réduit e, éval uée à la date Les frais d’ émission s ont affect és à c haque c ompos ant e au de réducti on ou de liquidati on, ainsi que de l a rec onnaissance prorata de leur valeur res pecti ve. La différence entre les frais immédiat e des écarts actuariels et du c oût des ser vices financi ers détermi nés s elon la méthode du t aux d’int érêt passés correspondant. effec tif et les montants eff ecti vement décaissés vient augment er la valeur de la c ompos ant e dett e afin qu’à 2.15. IMPOTS DIFFERES l’échéance s a valeur corresponde au prix de remboursement Confor mément à l a norme IAS 12 « I mpôts sur le rés ultat », des i mpôts dif férés s ont constat és s ur toutes les dif férences temporaires entre l es valeurs compt ables des ac tifs et des dû aux porteurs en cas de non c onversion des obligations. 2.16.2. AUTRES PASSIFS FIN ANCIERS passifs et leurs bases fisc ales, ainsi que sur les déficits Les autr es passifs financiers s ont compt abilisés au coût fiscaux, selon l a méthode du report variable. Les actifs amorti selon la mét hode du coût effectif global incluant les d’impôts différ és ne s ont comptabilisés que dans la mesure frais d’émission, les pri mes de rembours ement et d’émission. où il est probable qu’un bénéfic e impos abl e ser a disponible sur lequel ces éléments pourront être imput és. La valeur comptable des actifs d’impôt différé est revue à c haque date 2.17. INSTRUMENTS FINANCIERS DERIVES ET INSTRUMENTS DE COUVERTURE de clôture. Les actifs et passifs d’impôt s ont c ompensés lorsqu’il est légalement possible de compens er les actifs avec les passifs 2.17.1. PRINCIPES D’EVALUATION DES INSTRUMENTS DERIVES d’impôt exigibles, qu’il s’agit d’impôt s ur le r ésultat pr élevé par Les instruments financi ers dérivés sont initial ement rec onnus la même autorit é fiscale et que le Groupe a l’int enti on de à la just e valeur à la dat e à l aquelle les c ontrats sont entrés procéder au règlement de c es actifs et passifs d’impôts en vigueur. Ils sont ultérieurement évalués à la just e valeur et exigibles s ur la base du montant net. sont compt abilisés en t ant qu’actifs lorsque la just e valeur est La c harge d’impôt est cons tat ée au c ompte de rés ultat sauf si elle conc erne des él éments qui ont ét é compt abilisés directement en capitaux propres. Dans ce cas , elle est comptabilisée en c apit aux propres . positi ve et en tant que passifs lorsqu’elle es t négati ve. 2.17.2. COMPTABI LITE DE COUVERTURE Le Gr oupe a rec ours à l’utilisation d’ins truments financiers pour optimiser l e coût de l’endettement et couvrir les flux 2.16. EMPRUNTS FINANCIERS ET AUTRES PASSIFS Les emprunts et autres passifs financiers s ont initialement enregistrés à la just e valeur, aj ustée des coûts de transacti on directement at tribuables. Ils sont éval ués ultérieurement au coût amorti, en utilisant l a mét hode du taux d'int érêt eff ectif. financi ers nets en devis es sur l a base des prévisions budgét aires. Les instr uments dérivés s ont utilisés par le Groupe dans le cadre d’une s tratégie de couvert ure de flux futurs de trésorerie. Les instruments dérivés sont des instruments qui couvr ent l’expositi on au risque de change. Par ailleurs, aucune c ouverture de t aux n’est mise en pl ace et auc une str atégie de c ouverture de jus te valeur n’est retenue. Une c ouverture de flux f uturs c orrespond à des opérations de couvert ure qui couvrent l’exposition aux variations de flux de Doc um ent de Référenc e 2008 93 trésorerie attribuables, soit à un risque particulier ass ocié à d’exercice. un actif ou à un passif c omptabilisé, soit à une transacti on d’IFRS 2, s euls les plans mis en place apr ès le 7 novembre Confor mément aux dispositions transitoires future prévue ou à un engagement f erme. 2002 et dont les droits n’ét aient pas t ot alement acquis au 1 er Les variations de juste val eur des instruments éligibles à la couvert ure de fl ux futurs sont c omptabilisées directement dans les capitaux propres pour la parti e efficac e de la couvert ure puis rec yclées en rés ultat financier dans la période novembr e 2005, ont ét é évalués et enregistrés à la dat e de transition. 2.21. ACTIONS AUTO-DETENUES sur laquelle l’engagement f erme ou l a transac tion future Les ac tions Club Médit erranée détenues par le Groupe, quel couvert e affect e le r ésult at. que soit l’objet de leur dét ention, sont compt abilisées en La partie i nef ficace est enregistrée en rés ultat financier. déduction des c apit aux propres c ons olidés à leur coût Si la transac tion prévue ne s e réalise pas, les montants précédemment reconnus en capitaux propres sont comptabilisés en résult at financier. Si l’instrument dérivé ne respect e plus l es critères de la comptabilité de couverture et que la transacti on sous-jacente es t touj ours prévue, les montants précédemment reconnus en c apit aux propres y sont d’acquisition. Aucun profit ni perte n’est c omptabilisé dans le compte de rés ultat lors de l’ac hat, de la vent e, de l’émission ou de l’annul ation d’instruments de capitaux propr es du Groupe. 2.22. RESULTAT P AR ACTION maintenus jusqu’à la réalisation de l’engagement couvert. Le résult at de bas e par action est obtenu en di visant le Dans ces deux cas , l’instrument dérivé est classé dans la résultat net part du Groupe par le nombre moyen pondéré catégorie i nstruments dét enus à des fins de transacti on et les d’actions en circulation au cours de la période, après variations de just e valeur ultérieures s ont comptabilisées en déduction des ac tions auto-détenues. résultat financier. Le rés ultat dilué par ac tion prend en c ompte l es instruments La politique de gestion des risques financiers est prés ent ée pot entiellement dilutifs. Pour le Groupe, ces instruments sont en not e 19. les options de s ouscripti on et d’achat d’ actions ainsi que les obligations c onvertibles. 2.18. SUBVENTIONS PUBLIQUES Le nombre moyen d’actions potentielles diluti ves résultant Les s ubventi ons publiques s ont reconnues quand il existe des st oc k-options est dét erminé par la méthode du rachat une assurance rais onnabl e qu'elles seront reç ues et que d’actions. Seules l es options dont le prix d’ exercice est tout es les à leur obtention sont inférieur au c ours moyen de l’action Club Méditerranée s ur la satisfait es. Lorsque la s ubvention est reçue en compensati on période considér ée s ont r etenues pour le c alcul. Le prix d'un élément de charge, elle est compt abilisée en produit sur d’exercice est augment é de la juste valeur des ser vices une base s yst ématique s ur les exercices nécessaires pour la restant à rendre, déter minée s elon IFRS 2. conditions attac hées rattacher aux c oûts qu'elle c ompense. Lorsque la s ubventi on est liée à un actif, la jus te valeur est c ompt abilisée en produits différés (autres dett es non c ourantes) et rapport ée au compte de rés ultat en autres produits s ui vant la durée de vie des composants qu’elle financ e. Pour les obligations convertibl es, le résult at net du Groupe est c orrigé de la charge d’int érêt, nett e d’impôt. Ce résult at corrigé est alors di visé par le nombre moyen d’ actions qui résulterait de l a c onversion des obligations . Les acti ons pot entielles rés ultant de la c onversion des obligations ne sont 2.19. COUT DE PUBLICITE ET DE PROMOTION prises en c ompt e dans le c alcul que dans la mes ure où leur impac t est dilutif . Les c oûts de publicité et de promotion sont pris en charge : - pour les broc hures, à la mis e à disposition du Groupe - pour les films publicitaires, à la li vraison - pour les achats d’espaces , à la pr emièr e diff usion 2.20. PAIEMENTS EN ACTIONS Confor mément à la norme IFRS 2, l’avant age octr oyé aux NOTE 3. MOUVEMENTS DE PERIMETRE Nombre de sociétés consolidées Périm ètre de consolidation au 31. 10. 07 salariés dans le cadre des pl ans d’ opti ons de souscription et Entrées d’achat d’actions est constat é en charge sur la période Liquidations d’acquisition des droits (soit jusqu’au début de la période Cessions d’exercice des options). Le montant enregistré en c harges de Fusions personnel en contrepartie d’une augment ation des c apit aux Changement de mét hode de c onsolidation propres c onsolidés correspond à la j uste valeur des ser vices reçus dét erminée selon le modèl e de valorisation des opti ons « Blac k & Sc hol es ». Ce montant est ajust é du nombre eff ectif d’opti ons qui sont exerçables au début 94 de la période Périm ètre de consolidation au 31. 10. 08 Intégration globale Mise en équivalenc e Total 115 7 122 4 1 5 (12) (1) (13) (7) (7) 1 (1) 101 6 Doc um ent de Référenc e 2008 107 Cinq sociétés sont entr ées dans le périmètre de consolidation : - La sociét é Club Médit erranée Sout h Africa (Propriet ary) Ltd a ét é constit uée le 18. 01. 2008. - La soci été Club Med Ser vices India Pri vat e Limit ed a été constit uée le 28. 08. 2008. - La société Club Med Villas et Chalets Management a été constit uée le 16. 10. 2008. - Club Med C ôte d’I voire a été c édée le 30. 10. 2008. Changement de mét hode de consolidation : - Un protoc ole d’acc ord et une option d’achat sur 75% des titres de la s ociét é Albion D evelopment Limit ed (ADL) ont été signés fin j uillet 2008 et confèrent au Groupe le contrôle de la société ADL qui est c ons olidée par intégration global e à compter de c ett e date (cf. Not e 5.2. 1). NOTE 4. INFORMATION SECTORIELLE - La s ociét é Club Méditerranée Ser vices a ét é constit uée le 30. 10. 2008. 4.1 DESCRIPTION DES SECTEURS - Prise de participati on dans la Financière CMG à hauteur de Suite à l a c ession de Jet t ours et de Club M ed G ym, l’anal yse 16, 3 % le 25.07.2008. La s ociét é est consolidée par mise en par acti vité n’est pl us perti nente. En conséquenc e, la zone équivalenc e, le Groupe ayant une infl uenc e not able sur la géographique devi ent le s ect eur d’analys e primaire au s ens société. d’IAS 14 « I nfor mati on s ect orielle ». Ces variations de périmètre n’ ont pas eu d’eff et significatif sur Les trois z ones géographiques s ont les sui vant es : les compt es consolidés du Groupe. - La zone Europe-Afrique c omprenant les pays d’Europe, du Sept sociétés ont ét é f usionnées : Moyen-Orient et de l’Afrique ; - Les sociét és Sun Cancun I, Sun Cancun II, Sun I xtapa I et - La z one Amériques c omprenant les pays d’Amérique du Sun I xtapa II ont fusionné dans CM Sales l e 05.11. 2007. Nord et d’Amérique du Sud ainsi que les Antilles ; - La sociét é Prof otur SA de CV a fusionné dans I xtapa Srl le - La zone Asie c omprenant les pays d’Asie et d’Océanie. 27. 11. 2007. Les s ecteurs géographiques peuvent correspondre, s oit à la - La sociét é Club Médit erranée Croisières et Tourisme a localisation des clients et donc à la commercialisati on des fusionné dans Club Médit erranée SA le 30.11.2007. séjours : - La sociét é Sunport Propert y Corporation a fusi onné dans Sandpiper Resort Propert y le 17.03.08. Treize sociét és ont été cédées : c es sect eurs sont alors qualifiés de zones émettrices ; soit à la loc alisation des actifs : ils s ont alors qualifiés de zones réc eptrices. Les actifs sect oriels s ont composés des écarts d’ acquisitions, des i mmobilisations incor porelles et cor porelles, des actifs - Club Med G ym ainsi que s es filiales Club Med G ym non c ourants destinés à être cédés, et des autr es actifs Corporat e et Edifit ont été c édées à 100% le 25. 07. 2008. courants à l’exception de la trés orerie et des créances - Jet tours ainsi que s es filiales J et Marques, J et Loisirs, Jet fiscales. Eldo, Jet Eldo Tunisie, FST , Jet Eldo Maroc et Aus tral Lagons Les passifs s ectoriels s ont composés des provisions à ont été cédées à 100% le 05.08.2008. l’exception des pr ovisions de nat ure fiscal e et - Jet Sti m a ét é cédée le 05.06.2008. des autres dett es à l’exc epti on des dett es financières qui sont comprises dans l’endett ement net. 4.2. INFORMATION PAR SECTEUR GEOGRAPHIQUE CHIFFRE D’ AFFAIRES (ZONES EMETTRICES) (en millions d’euros) Europe-Afrique Amériques Asie Total 31. 10. 07 31. 10. 08 1 055 1 148 188 181 167 165 1 410 1 494 Le c hiffre d’af faires Europe-Afrique comprend les refact urations aux acti vités cédées pour 35 M€ en 2007 et 26 M € en 2008 ainsi que le chif fre d’ aff aires de Club Med World pour 9 M€ en 2007 et 10 M€ en 2008. Le c hiffre d’aff aires réalisé en Franc e s’élève à 728 M€ au 31 oct obre 2008 contre 668 M€ au 31 octobre 2007. Doc um ent de Référenc e 2008 95 (en millions d’euros) 31. 10. 07 ROC Loisirs Résultat opérationnel Amortiss ements et dépréci ations d’ac tifs Europe - Afrique 17 13 (29) Amériques (2) (16) (17) Asie 10 11 (6) Total 25 8 (52) (en millions d’euros) Europe - Afrique 32 14 Amortiss ements et (1) dépréci ations d’ac tifs (38) Amériques (3) (13) (21) Asie 14 9 (11) Total 43 10 (70) 31. 10. 08 (1) ROC Loisirs Résultat opérationnel Les amortissements et dépréciations ne compr ennent pas les amortissements des acti vités c édées dont l’inf ormation est donnée en not e 6. INFORMATION SECTO RIELLE EN CONTRIBUTION (LOCALISATION DES ACTIFS ET DES PASSIFS) (en millions d’euros) 31. 10. 07 31. 10. 08 Actifs sect oriels Passifs sectoriels Investiss ements corporels et (1) (2) incorporels Europe-Afrique 765 449 66 651 380 80 Amériques 445 111 33 446 108 33 Asie Total Actifs sectoriels Passifs sectoriels Investiss ements corporels et (1) (2) incorporels 159 35 8 158 37 9 1 369 595 107 1 256 525 122 (1) Hors subventi ons (2) Les inves tissements corporels de l'Europe-Afrique ne comport ent pas les acti vités Club Med G ym et Jet t ours qui s’élèvent à 5 M€ sur 2007 et 2 M€ s ur 2008 RAPPRO CHEMENT DES ACTIFS ET PASSIFS SECTO RIELS AVEC LES ETATS FINANCIERS : (en millions d’euros) Actifs sect oriels Actifs financiers non courants Impôts différés actifs 31. 10. 07 31. 10. 08 1 369 1 256 86 89 30 30 108 152 1 593 1 527 Passifs sec toriels 595 525 Capitaux propres 490 494 Empr unts et det tes financières 444 447 Trésorerie et équi valents de trésorerie Total actif Impôts différés passifs Total passif et capitaux propres 96 64 61 1 593 1 527 Doc um ent de Référenc e 2008 NOTE 5. ECARTS D’ACQUISIT ION, REGROUPEMENTS D’ENTREPRISES ET TESTS DE DEPRECIATION 5.1. ANAL YSE DES VARIATIONS (en millions d’euros) 31. 10. 07 31. 10. 08 Valeur net te Valeur net te Villages Europe-Afrique 20 26 Tour operat eur (Jet tours) 39 - Club Med G ym 43 - 102 26 2 2 Europe Afrique Villages Amériques Villages Asie TOTAL 4 4 108 32 Les variations des éc arts d’acquisition s’anal ysent c omme suit : (en million d’euros) Valeur nette Au 31/10/ 06 103 Variations de périmètre Autres (1) Au 31 octobre 2007 (2) Activit ées c édées (3) Autres variations de périmètres Au 31 octobre 2008 6 (1) 108 (82) 6 32 (1) Goodwill Quotidien Voyages (2) Le descriptif des c essions des ac tivit és J et t ours et Club Med G ym ainsi que les i mpacts s ur les c omptes du Groupe sont donnés en note 6 (3) Goodwill ADL cf. note 5. 2.1. 5.2. REGROUPEMENTS D’ENTREPRISES 5.2. 2. ACQUISITION S 2007 5.2. 1. ACQUISITION S 2008 Fin juillet 2008, le Groupe a signé un pr otoc ole d’acc ord avec ACQUISITION DE QUOTIDIEN VOYAGES (AUSTRAL LAGONS) son partenaire dans la soci été Albion D evelopment Limit ed Au début du s econd semes tre 2007, Jet t ours avait pris le (« ADL ») lui conférant le contrôle ainsi que la majeure partie contrôle à 100% de la s ociét é Le Q uotidi en Voyages qui des risques et avantages économiques fut urs de c ette société. exploit e sous le nom commercial d’Aus tral Lagons et qui est Le Gr oupe dispos e en eff et d’une option d’achat s ur 75 % des spécialiste des îles. titres de c ette soci été que le Gr oupe détenait à hauteur de 25 % moyennant le paiement de 4 M € et d’une clause Les actifs, passifs et passifs éventuels acquis en 2007, d’ajust ement de pri x de 2 M €. La val eur ac tualisée des étaient les sui vants : montants à payer au titre de l’option (5 M€) a été c ons tat ée (en millions d’euros) dans le coût d’acquisition des titres par c ontrepartie d’une Clients 5 dett e. La société ADL a été consolidée par intégration globale Autres créanc es 1 Trésorerie et équi valents de trésorerie Fournisseurs et autr es passifs courants Juste val eur des actifs et p assifs acquis 4 à 100% à compt er du 1er août 2008 et le Goodwill dégagé lors de l’acquisition s’est élevé à 6 M€. Les actifs et passifs acquis à la date d’acquisition ét aient peu significatifs . (8) 2 Ecart d'acquisition 6 Coût d'acquisition 8 Coût d'acquisition, net de la trésoreri e acquise 4 Doc um ent de Référenc e 2008 97 significatifs ont été aff ect és a ét é dét erminée selon l’approc he 5.3. TESTS DE DEPRECIATION SUR LES ECARTS D’ACQUISITION ET INCORPORELS A DUREE DE VIE INDEFINIE de l a val eur d’utilité. La valeur d’utilité est déter minée s elon la Les éc arts d’acquisition s ont aff ectés aux unités génératrices Suite à la cessi on des acti vités Club Med G ym et J et tours la de trésor erie que c onstit uent l’acti vité Villages par zone val eur des actifs inc orporels à test er a di minué de façon très géographique (et aux acti vités J et tours et Club Med G ym significative pass ant de 140 M€ en 2007 à 41 M€ en 2008. jusqu’en 2007). Les t ests sont réalisés de mét hode des fl ux de trésorerie fut urs act ualisés décrite en not e 2. 7 « Dépr éciation d’ actifs i mmobilisés ». manière syst ématique une fois par an. Les principes appliqués pour la Les hypothèses ret enues pour la mise en œuvre des tes ts de mise en œuvre de c es tests s ont décrits en note 2.7 val eur s ur les U nités « Dépréci ation d’ac tifs immobilisés ». lesquelles ont été aff ectés l es éc arts d’ acquisition et les Génératrices de Trés orerie sur immobilisations inc orporelles non amorties sont l es s uivant es : La valeur recouvrable des principal es Unités Génératrices de Trésorerie (UGT) sur lesquelles des écarts d’acquisition (en millions d'euros et %) 2007 2008 Valeur (1) nett e Taux d’actualisation Taux de croissance à l’infini Valeur (1) nett e Taux d’actualisation Taux de croissance à l’infini 29 7,00% 2,20% 35 7,50% 2,20% Villages Amériques 2 7,00% 2,20% 2 7,50% 2,20% Villages Asie 4 7,00% 2,20% 4 7,50% 2,20% Tour operat eur (Jet tours) 62 7,00% 2,20% NA NA NA Club Med G ym 43 7,00% 2,20% NA NA NA UGT Villages Europe - Afrique Total actifs à évaluer (1) 140 41 Valeur nette des éc arts d'acquisition et actifs incorporels à durée de vi e indéfini e affect és à L'UGT. Compte t enu du context e éc onomique spécifique, les t ests 2008 ont ét é réalisés pour chacune des zones Europe-Afrique, Asie et Amériques s ur la base : - d’un budget 2009 révisé qui prend en compt e les eff ets attendus de la dégradation du c ontext e éc onomique et financi er et les princi pales actions mises en œuvre par le management. - et d’une hypot hès e de reprise éc onomique permettant d’att eindre, à l’horizon du business pl an, les prévisions à moyen ter me réalisées par l e Groupe avant l a s urvenanc e de la crise. effec tué des tests de sensibilité de ces val eurs aux variati ons des hypot hès es de t aux d’actualisation (+ 1%) et de croissance à l’infini (- 1%). Les valeurs d’ utilité r ésultant de c es analys es de sensibilité restent supérieures à l a val eur des ac tifs t estés. Les t ests réalisés en 2007 n’ avaient pas non plus mis en évi dence l a nécessit é de déprécier la val eur des écarts d’acquisition ou des actifs i ncorporels à durée de vie indéfinie. NOTE 6. ACTIVIT ES CEDEES 6.1. DESCRIPTIF DES CESSIONS Les t aux de croissance à l’infi ni sont c eux appliqués à la val eur t erminale. 6.1. 1. CESSION D E L’ACTI VITE CLU B MED GYM Le taux d’act ualisati on 2008 a été dét erminé s ur la base d’ un Le 25 juillet 2008, le Groupe a cédé s a participation dans coût moyen pondéré du capital prenant en c ompte un ratio Club Med G ym SA à la soci été Financière CMG pour un prix d’endett ement, un beta et un risque ac tion moyen s ur la base de 74 M€. A l a dat e de cession, l e Groupe Club Med G ym de données hist oriques. dispos ait d’ une trésor erie et équi valent de trésorerie de 12 M€. Les tests réalisés en 2008 sur les unités génér atrices de Le Club Méditerranée a c ons enti à l a soci été Financière CMG trésorerie sur lesquelles des écarts d’ acquisitions ont été un crédit vendeur de 13 M€ rémunéré à un taux de 6% affec tés n’ont pas conduit à cons tat er de dépréciation sur la jusqu’en novembr e 2016. base des hypot hès es ret enues et s elon l es scenarii tes tés. Le Groupe, souhaitant conser ver une i nfluence notabl e dans Le Groupe a mené des analys es de sensibilité des valeurs l’activité Club Med G ym, a pris une participation à hauteur de d’utilité à dif férents sc enarii d’ évoluti on des flux fut urs pour les 16, 3% dans le capital de la soci été Financière CMG pour exercices 2010 à 2014, c onsidérant not amment la probabilité 1 M€ et a s ouscrit à un emprunt obligataire convertible en que la reprise économique int er vienne de manièr e plus actions de la s ociété Financière CMG pour 3 M€. progressive que dans un sc énario de bas e. Il a également 98 Doc um ent de Référenc e 2008 La quote- part de pl us value de c ession nett e des frais d’acquisition c orrespondant au pourcentage d’intérêt dans Financière CMG, s oit 16, 3%, a ét é dif férée en produit const até d’avanc e pour un mont ant de 4 M€. La plus value de cession nette de fr ais d’acquisition et de la quot e-part diff érée s’élève à 17 M€. 6.1. 2. CESSION D E L’ACTI VITE J ET TOURS Le 5 août 2008, le Groupe a cédé les titres de la s ociét é Jet tours SA pour un prix de 70 M€. La tr ésorerie nett e à la date de cession s’élevait à près de 10 M€. La pl us value nette de frais de c ession s’est élevée à 14 M€. 6.1. 3. ACTIFS ET PASSIFS DES ACTI VITES CEDEES A LA DAT E DE CESSION (en millions d’euros) Jet tours Club Med G ym Total Ecarts d'acquisition 39 43 82 Immobilisati ons i ncorporelles 26 2 28 3 21 24 Impôts différés actifs (4) 6 2 Clients et compt es rat tachés 27 7 34 5 3 8 12 12 24 108 94 202 Autres i mmobilisati ons Autres créanc es Trésorerie et équi valents de trésorerie Total actifs d es activités cédées Passifs non cour ants Fournisseurs 1 35 Empr unts et det tes financières 2 Autres det tes 4 Clients - avances et r emises Autres passifs c ourants 1 6 41 36 40 2 11 11 1 2 3 Total passifs des activités céd ées 54 44 98 Actif net cédé 54 50 104 Prix de c ession 70 74 144 Frais (2) (3) (5) (4) (4) 17 31 Plus value différée Plus Value de cession 14 6.2. RESULTAT NET DES ACTIVITES NON CONSERVEES Confor mément à la norme IFRS 5, l e rés ultat net des ac tivit és non cons er vées comprend : - le rés ultat réalisé par c es acti vités sur l a période, soit du 1er novembre 2007 à l a dat e de leur cession fin j uillet pour l’exercice 2008 et sur l’ensemble de la période pour 2007. - Les pl us et moins values de cessi on réalisées au cours de l a période lors de la c ession des ac tivit és. (en millions d’euros) 2007 Chiffre d'affaires 2008 317 278 (191) (174) Servic es extérieurs (61) (52) Charges de pers onnel (37) (30) (3) (2) Achats Impôts et t axes EBITDAR Loisi rs Loyers Dotations aux amortissements Résultat opér ationnel cour ant - activité Loi sirs Autre r ésultat opérationnel Résultat opér ationnel Résultat financier Résultat net des activités non conservées 25 20 (12) (10) (5) (4) 8 6 (2) 6 6 (2) (2) 4 Résultat de cession d es activités non conservées 4 31 Doc um ent de Référenc e 2008 99 6.3. IMPACTS DES ACTIVITES NON CONSERVEES SUR LES FLUX DU GROUPE Confor mément à IFRS 5, l’impact des acti vit és c édées sur les flux de l a période comprenant les flux jusqu’à la date de cession, par nature de flux, est le s uivant : (en millions d’euros) 2007 2008 Flux nets de trés orerie générés par l'exploit ation 17 (2) Flux nets de trés orerie liés aux opérations d'inves tissement (9) (2) Flux nets de trés orerie liés aux opérations de financ ement (4) Impact de variation de trésor eri e des activités non con servées 8 (8) NOTE 7 . I MMOBILISAT IONS INCORPORELLES (en millions d’euros) Marques et licences Immobilisati ons informatiques Droits au bail Autres immobilisations incorporelles Immobilisati ons en c ours 4 Valeur brute au 31/10/06 28 112 18 6 Amortiss ements cumulés (3) (80) (3) (3) Valeur nette au 31/10/06 25 32 15 3 Acquisitions 5 Amortiss ements Total 4 79 4 9 (7) Impairment 1 Reclassements et autres 5 (7) 1 (4) Valeur brute au 31/10/07 28 119 18 6 Amortiss ements cumulés (3) (83) (3) (3) Valeur nette au 31/10/07 25 36 15 3 Acquisitions 2 Amortiss ements 168 (89) 4 4 (1) 83 6 (8) Cession acti vité J et t ours Cession acti vité Club Med Gym Reclassements et autres (23) (3) 0 Valeur brute au 31/10/08 4 117 17 6 4 148 (3) (85) (3) (4) 0 (95) 1 32 14 2 4 53 Amortiss ements cumulés Valeur nette au 31/10/08 (2) 175 (92) 4 (7) 1 (1) (1) (1) (26) (2) 3 Le mont ant des i mmobilisations inc orpor elles, dont l a durée de vi e a été jugée comme indétermi née, est de 9 M€ en 2008 contre 32 M€ en 2007. En 2007, ces actifs ét aient essentiellement composés de la marque J et t ours (23 M€) acquise dans le cadr e d’ un regroupement d’ entreprises. Les tests de dépréciation c onduits annuellement n’ont pas mis en évidence l a nécessit é d’ en dépréci er la val eur (cf. not e 5.3) Le montant des dot ations c omprend les dot ations de Club Med G ym et de Jet tours jusqu’ à l eur dat e de cessi on pour (1) M€. 100 Doc um ent de Référenc e 2008 NOTE 8. IMMOBILISATIONS CORPORELLES 8.1. ANAL YSE DES VARIATIONS (en millions d’euros) Terrains Constructions aménagements Matériel Autres immobilisations corporelles Immobilisati ons en c ours Total 224 858 150 130 48 1 410 Amortiss ements cumulés (1) (377) (94) (79) Valeur nette au 31/10/06 223 481 56 51 48 34 20 8 39 (30) (12) (2) (1) (45) (33) (13) (9) (55) Valeur brute au 31/10/06 Acquisitions Cessions Amortiss ements Reprise impairment Ecarts de conversion (551) 6 (6) Reclassements 859 101 6 (14) (2) 37 8 1 (46) (3) 38 Valeur brute au 31/10/07 188 846 158 132 Amortiss ements cumulés (1) (347) (91) (82) Valeur nette au 31/10/07 187 (25) 1 362 (521) 499 67 50 38 841 Acquisitions 32 14 5 67 118 Cessions ou diminutions (2) (2) Variations de périmètre Activit és cédées (16) (3) (1) Amortiss ements (39) (15) (9) Reprise impairment Variation des immobilisations destinées à être cédées Ecarts de conversion 4 3 5 57 13 1 (71) 223 934 177 130 32 Amortiss ements cumulés (1) (394) (99) (83) Valeur nette au 31/10/08 222 540 78 47 Valeur brute au 31/10/08 (21) (63) 32 Reclassements 1 (1) (1) 2 36 10 1 496 (577) 32 919 EXERCICE 2008 Les principaux investissements de l’exercice ont ét é réalisés sur les Villages de Grégolimano (20 M€), de Punt a Cana (20 M€), de La Point e aux Canonniers (14 M€), d’I xtapa Pacific (8 M€), du Club Med 2 (7 M€), de Tignes Val Claret (5 M€) et de Bali (4 M€). Le mont ant des dot ations c omprend les dotations de Club Med G YM et Jet t ours pour (3) M€ et les dotati ons sur Villages fer més en ROC Patrimoine pour (2) M€. L’augment ation de la valeur des actifs rés ultant des écarts de c onversion est principal ement due au dollar US et au peso dominicain. EXERCICE 2007 Les principaux investissements de l’exercice avai ent été réalisés sur les Villages de la Point e aux Canonniers (16 M€), d’I xtapa Pacific (11 M €), de La Plagne 2100 (6 M€), de Cancun Yuc atan ( 6 M€), de La Caravelle ( 5 M€), d’O pio en Provence (5 M €), de Villars-sur-Ollon (4 M€) et de Punt a Cana (4 M€). Fin avril 2007, l e Village de D a Balaïa avait ét é c édé puis repris en loc ation simple. L’amélioration des indicat eurs Villages nous avait conduit à r éaliser des t ests de valeur sur c ertains Villages dépréci és et à const ater un profit de 6 M€ de reprise d’impairment dans le ROC Patrimoine. Doc um ent de Référenc e 2008 101 La di minution de la val eur des actifs résult ant des éc arts de c onversion ét ait ess enti ellement due au dollar US et au peso mexicai n. 8.2. AUTRES INFORMATIONS La répartition des immobilisations cor porelles par acti vité et par zone géographique est la sui vant e : (en millions d’euros) 31. 10. 07 31. 10. 08 Valeur brute Amortiss ements et provisions Valeur net te Europe- Afrique 633 (295) 338 649 (287) 362 Amériques 480 (110) 370 595 (176) 419 Asie 182 (74) 108 237 (101) 136 1 295 (479) 816 1 481 (564) 917 Sous-total Vill ages Tour opérat eur (Jet tours) Valeur Amortiss ements brute et provisions Valeur net te 5 (3) 2 0 0 0 Club Med G ym 48 (28) 20 0 0 0 Club Med World 14 (11) 3 15 (13) 2 1 362 (521) 841 1 496 (577) 919 Total Compte tenu de résult ats 2008 contrast és sur certai ns ac tifs de l a z one Amériques, des t ests de dépréciation ont été réalis és sur certains Villages de c ett e z one. Le taux d’act ualisati on retenu est de 7,5 % il correspond au coût moyen pondéré du capital dét erminé sui vant l a mét hode décrite en 5. 3. Les flux de trés orerie ont été déter minés sur la bas e d’un budget 2009 r évisé et d’un plan opérationnel 2010 infl até jusqu’à la fin de la dur ée de vi e du bi en, la val eur t erminale ret enue n’incluant pas de taux de croiss ance à l’infi ni. Les t ests réalisés n’ ont pas conduit à c ons tat er de dépréciation s ur ces Villages. Les actifs immobilisés dét enus dans le cadre de contrats de loc ation-financement s’ élèvent à 4 M€ au 31 octobre 2008 tout comme au 31 oct obre 2007. La dett e résiduelle correspondante est de 3 M€ au 31 oct obre 2008 contre 4 M€ au 31 octobre 2007. Les actifs donnés en garantie sous f orme d’hypot hèque ou de nantissement s’él èvent à 133 M€ au 31 octobre 2008 contre 113 M€ au 31 oct obre 2007. L’augmentati on correspond aux travaux réalisés sur l e village de la Poi nte aux C anonni ers et s ur le Club Med 2. Les dett es corres pondant es s’élèvent à 101 M€ en 2008 et 95 M€ en 2007. Les actifs s écurisés par des hypothèques ou des nantissements sur les titres des s ociét és propriétaires des actifs s ont l e Club Med 2, le village de Canc un Yucat an et c elui de la Pointe aux Canonniers. Les coûts d’emprunts liés au fi nancement des investissements pendant la période de cons truction enregistrés en coûts des immobilisations sur l’exercice 2008 s’est élevé à 0, 5 M€. NOTE 9. ACTIFS FINANCIERS NON COURANTS (en millions d’euros) 31. 10. 07 31. 10. 08 Titres mis en équi valenc e 27 29 Titres disponibles à la vente Autres i mmobilisati ons fi nancières 18 41 7 53 Total 86 89 9.1. SOCIETES MISES EN EQUIVALENCE (en millions d’euros) Sviluppo Turistico per Met aponto (It alie) SPFT - Carthago Club Med Albion Res orts Financière CMG Autres Total 102 31. 10. 07 Résultat 7 11 1 Variation de périmètre et autres 7 12 4 1 4 1 5 1 29 5 27 1 31. 10. 08 Doc um ent de Référenc e 2008 Fin juillet 2008, le Groupe a pris une participation à haut eur de 16, 3 %, dans les titres de la s ociété Financièr e CMG qui détient les titres de Club Med G ym. Le Groupe ayant une i nfluence notable sur l a société, les titres ont été mis en équivalenc e. Au c ours du mois d’oct obre 2007, l e Gr oupe avait cédé 7, 28 % de sa participation dans la Société I mmobilière de la Mer portant sa participation à 17 %. Le pr ofit de cession a été enregistré en Résult at O pérati onnel Patrimoine (cf note 22). La participati on résiduelle avait ét é reclass ée pour sa j uste valeur en titres disponibles à la vente. 9.2. TITRES DISPONIBLES A LA VENTE (en millions d’euros) 31. 10. 07 31. 10. 08 5 18 3 (11) er Au 1 novembr e Variations de périmètre Réévaluation des titres disponibl es à la vent e 10 Au 31 octobre 18 7 Au c ours du mois d’oc tobr e 2008, le Groupe a cédé 14, 5 % de s a participation dans la Sociét é Immobilière de la Mer portant sa participati on à 2,5 %. Suit e à la c ession parti elle de 2007, l es titres avaient ét é class és en titres dis ponibles à la vente et valorisés à leur juste valeur en contrepartie des capitaux propres. Au titre de la cession 2008, la réser ve de réévaluation des actifs financi ers disponibles à l a vente a été rec yclée en Résult at Opér ationnel Patrimoine pour 8 M€ (cf. note 22). Les titres disponibles à l a vent e s ont des titres de soci étés non cot ées. Le montant des titres non c otés maint enus au coût est de 5 M€. En 2007 et en 2008, il n’ y a pas eu de provision pour dépréciation d’actifs fi nanciers. 9.3. AUTRES ACTIFS FINANCIERS NON COURANTS (en millions d’euros) 31. 10. 07 Prêts Dépôts et c autionnements 31. 10. 08 16 31 28 Prêts aux organis mes de construction 8 7 Autres 2 2 Total 41 53 En 2008, les prêts non c ourants comprennent l e crédit vendeur sur la cession Club Med G ym pour un montant de 13 M€ et le prêt obligataire à la Financi ère CMG pour un montant de 3 M€. Doc um ent de Référenc e 2008 103 NOTE 10. I MMOBILISAT IONS DESTINEES A ETRES CEDEES Les actifs et passifs attribuables à cert ains Villages is olés du Groupe ont été class és en t ant que groupe d’él éments dét enus en vue de l a vente et prés ent és au bilan sous une rubrique disti ncte dans l a mesure où leur cession es t hautement probable dans un délai de 12 mois à c ompter de l eur dat e de classification. Des c ontrai ntes de marché peuvent nous conduire à dépass er ce délai. (en millions d’euros) Terrains Constructions aménagements Matériel Autres immobilisations corporelles 53 112 11 5 181 (77) (9) (3) (89) 35 2 2 Valeur brute au 01.11.06 Amortiss ements cumulés Valeur nette au 01.11.06 53 Immobilisati ons en-cours 92 Augmentations 1 Impairment (1) 1 (1) Ecarts de conversion (3) (2) Valeur brute au 31.10.07 50 106 11 5 (74) (9) (3) 2 2 Amortiss ements cumulés Total Actif (5) 1 173 (86) Valeur nette au 31.10.07 50 32 Cessions ou diminutions (1) (2) (3) (3) (3) Impairment Classement en immobilisations destinées à être cédées (32) Valeur brute au 31.10.08 (4) 17 Amortiss ements cumulés Valeur nette au 31.10.08 17 1 (1) 1 2 53 10 2 (30) (8) (1) 23 2 1 87 (36) 84 (39) 2 45 Ces actifs desti nés à être cédés ne constituent pas des ac tivit és abandonnées au sens de la nor me IFRS 5. En 2008, les difficult és du marché immobilier mondial ont c onduit l e Gr oupe à r evoir le caract ère haut ement probable de cessi on des actifs des tinés à être c édés . Suite à cette revue, certai ns ac tifs ont été cl assés en ac tifs desti nés à être cédés pour un montant de 22 M€ et d’ autres ont été r eclassés en immobilisations corporelles pour une val eur nett e à la dat e du recl assement de 58 M€. Le montant des ajust ements de la valeur de c es actifs à la date du reclassement a été enregistré en impairment dans le ROC Patrimoi ne pour 3 M€. Il correspond au rat trapage des amortissements des villages anciennement classés en IFRS 5 et reclassés au c ours de l’exercice. En 2007, la c omparaison des prix de vent e es timés nets des coûts de cessi on avec la valeur nett e c ompt able des actifs desti nés à être cédés avait c onduit à c onst ater une dépréciation de valeur de 1 M € enregistrée en ROC Patrimoine. NOTE 11. AUTRES CREANCES (en millions d’euros) 31. 10. 07 Valeur brut e Capital non appel é auprès de minoritaires Créances fiscales Provisions 31. 10. 08 Valeur net te Valeur brut e Provisions Valeur net te 3 3 0 0 42 42 31 31 Produits à rec evoir 1 1 5 5 Avanc es f ournisseurs 9 9 8 8 Créances s ur cessions d'immobilisations 9 9 10 10 1 1 1 1 Comptes c ourants débit eurs vis à vis de MEE Créances s ociales (avances au personnel, …) Autres débiteurs di vers Charges cons tat ées d’avance Total (1) 1 31 1 1 (9) 22 17 54 52 (9) 142 125 54 151 1 (9) 8 (9) 116 52 (1) MEE : Sociét és c onsolidées par mise en équi valence. 104 Doc um ent de Référenc e 2008 Les créanc es sont d’échéance i nférieure à un an. Au c ours de l’exercice 2008, il n’ y a pas eu de dépréciati on significative de créanc es. L’anal yse des risques est présent ée en note 19. Les c harges c onst atées d’avance sont c onstit uées pour l’essentiel de prest ations avant voyage (transport, c ommissions …) et de loyers payés d’avance. NOTE 12. TRESORERIE ET EQUIVALENTS DE TRESORERIE Sur l’exercice 2007, la s ociété avait acquis, 333 752 titres au prix moyen de 47, 58 euros et vendu 327 969 titres au prix moyen de 48, 09 eur os. (en millions d’euros) Valeur mobilières de placement Instruments dérivés Disponibilités Total 31. 10. 07 31. 10. 08 31 41 1 2 76 109 108 152 Compte t enu des l evées d’options d’achat d’actions et des mouvements sur le c ontr at de liquidité, les actions autodét enues s’él èvent à 274 837 titres au 31 oc tobr e 2008 contre 201 588 au 31 oct obre 2007. RESERVES DE CO NVERSION Les val eurs mobilières de pl acement sont constituées de Les réser ves de conversion s’él èvent à (9) M€ au 31 oct obre SICAV monét aires et de dépôts à moins de trois mois. 2008 (dont (13) M€ pour la part Groupe) c ontre (19) M€ au 31 octobre 2007 ( dont (25) M€ pour la part Groupe). En 2008, NOTE 13. CAPITAL ET RESERVES 13.1. VARIATION CONSOLIDES DES CAPITAUX l’augmentati on conversion PROPRES est des réser ves résult ant principal ement des imputable éc arts à la de f orte appréci ation du dollar par rapport à l’euro. La di minution des réserves de conversion enregistrée en 2007 était principalement due à la dépréciation du dollar US et du peso CAPITAL SOCIAL mexicai n par rapport à l’euro. Suite à la l evée de 7 200 opti ons de souscription, l e capital a RESERVES DE REEVALUATION INSTRUMENTS FINA NCIERS été porté au 31 oct obre 2008 à 19 377 905 ac tions d’une val eur nomi nale de 4 euros . Le nombr e tot al d’acti ons DES (en millions d’euros) ordinaires émises et int égralement libérées au 31 oct obre Couvertur e de fl ux futurs Actifs financiers disponibles à la vent e 0 0 Variations de just e val eur (4) 10 Au 31 octobre 2007 (4) 10 2 (8) 2007 était de 19 370 705 acti ons. ACTIONS AUTO-DE TENUES Au cours de l’exercice 2008, aucune opti on d’ achat d’acti ons n’a été levée. Au c ours de l’exercice 2007, 81 500 options d’achat d’acti ons er Au 1 novembr e 2007 avaient été levées pour un mont ant total de 2, 9 M€. Les Montants rec yclés en résultat actions auto-détenues avaient ét é affect ées à cette l evée se Variations de just e val eur traduisant par une augment ation des capitaux propr es de Activit és non cons er vées 3 M€. Au 31 octobre 2008 Dans le cadre de programmes de rac hat d’action autorisés par les assemblées du 8 mars 2007 et du 11 mars 2008, la Sociét é a acquis, au c ours de l’exercice 2008 et au travers d’un c ontrat de liquidité, 504 982 titres au prix moyen de (1) 2 (1) 2 En 2007, l a variati on de just e val eur des titres disponi bles à la vent e c orrespond aux titres de la Société Immobilière de la Mer. En 2008, suit e à la c ession de 14,5%, l a réser ve de réévaluation a ét é rec yclée en rés ultat (cf . note 22) 33, 71 euros et vendu 431 733 titres au prix moyen de 34, 63 euros. Les informations relati ves aux plans de st oc k options sont données en not e 14. Doc um ent de Référenc e 2008 105 13.2. INTERETS MINORITAIRES (en millions d’euros) 31. 10. 07 Itaparica (Brésil) Résultat 2008 Dividendes Change 31. 10. 08 (1) 19 20 Holiday Villages Thailand 5 5 Belladona Company f or H&T (Eg ypt e) 4 4 Holiday Hot els AG (Suisse) 7 Taipe Trancos o (Brésil) 9 (1) Sté Village Hôtels des C araï bes (Franc e) 7 11 1 Covifra (Ile Maurice) 2 1 Autres 3 Total 61 13.3. GESTION DU CAPITAL (1) (1) 7 11 3 3 1 (1) (2) 59 Les pl ans de st oc k options en cours attribués j usqu’en 2004 ont une durée totale contract uelle de 10 ans. Depuis 2005, L’objec tif de la politique du Groupe en matière de gestion du les plans s ont octroyés pour une durée c ontr actuelle de 8 ans. capital es t d’optimiser l’utilisation des f onds propres. Le Groupe gère la struct ure de s on c apit al en t enant c ompte de Au c ours de l’exercice 2008, les pl ans F2 et F3 s ont arrivés à l’évol ution de l’environnement éc onomique dans le c adre expiration sans qu’aucune levée d’options n’ait ét é effec tuée. d’une politique financièr e prudente et rigoureuse. Au c ours de l’exercice 2007, l e plan F était arrivé à expirati on Par ailleurs, l e Gr oupe s’att ache à maintenir des ratios sans qu’aucune levée d’options n’ ait ét é effec tuée. financi ers lui permettant un accès s ouple au marc hé de Au titre de l’aut orisation donnée par l’Ass emblée Général e du capitaux en opti misant le c oût de ses financements. 11 mars 2008, le C onseil d’Administration du même jour a octroyé aux dirigeants ainsi qu’à certains s alariés, 244 970 options de souscription d’acti ons à un prix d’exercice de NOTE 14. PAIEMENT EN ACTIONS 32, 38 €. Ces options sont exerçables à c ompt er du 11 mars 14.1. DESCRIPTION DES PRINCIPALES CAR ACTERISTIQUES DES PLANS DE STOCK OPTIONS ET D’ACTIONS GRATUITES possibilité de règlement en trés orerie. Le prix d’exercice des Les plans de stoc k options octroyés aux dirigeants ainsi qu’à certains employés permanents du Gr oupe sont des pl ans d’opti ons de souscription d’ actions à l’exception du plan H qui est un plan d’ac hat d’acti ons. Les plans ne prévoi ent pas de possibilité de règlement en trés orerie et l es c onditi ons d’acquisition des droits ne sont pas liées aux conditions de marché ou de perfor mance. 2011 et jusqu’au 10 mars 2017. Ce plan M ne prévoit pas de options c orrespond à la moyenne des 20 derniers c ours de bourse préc édant l a dat e d’attributi on. En 2007, 125 000 options de souscription d’acti ons à un prix d’exercice de 43,07 € et 46 600 actions gratuit es (plan L) avaient été octroyées par le C ons eil d’Administration du 8 mars 2007. L’acquisition des droits des acti ons grat uites attribuées aux membres du C omit é de Direction Générale et aux membres du Comit é Exéc utif (17 705 actions au 8 mars 2007) es t soumise à des crit ères de perf ormance du c ours de l’action par rapport au SBF 120. 106 Doc um ent de Référenc e 2008 Les principales caractéristiques des pl ans de s ouscripti on et d’achat d’actions en c ours au 31 octobre 2008 s ont présentées ci-après : 1999 Plan F 4 2000 Plan F 5 Plan G 2001 Plan G2 Plan G3 Plan G4 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 Plan G5 Plan H Plan I Plan J Plan K Plan L Plan M Date d’Assemblée 23.04.97 23.04.97 23.04.97 23.04.97 23.04.97 23.04.97 23.04.97 29.03.02 17.03.03 17.03.03 16.03.05 08.03.07 11.03.08 Date du Directoire / Conseil d’Administration 17.02.99 29.07.99 07.02.00 26.07.00 06.02.01 24.07.01 05.02.02 28.02.03 15.01.04 11.01.05 14.03.06 08.03.07 11.03.08 Nombre d’options attribuées Dont nombre d’acti ons pouvant être souscrites ou achetées par les membres du Comité de Direction Général e (dans s a composition au 31 oct 2008) Nb de dirigeants concernés 21 000 46 000 258 400 21 815 212 530 37 400 127 000 283 000 272 000 300 000 250 000 125 000 244 970 1 000 - 35 000 - 8 900 - 4 800 132 000 57 500 88 300 75 400 77 600 114 000 1 - 5 - 3 - 3 3 7 8 8 8 8 15.01.07 + interdiction de revente avant le 14.01.08 11.01.08 + interdiction de revente avant le 10.01.09 14.03.09 + interdiction de revente avant le 13.03.10 08.03.10 + interdiction de revente avant le 07.03.11 11.03.11 + interdiction de revente avant le 10.03.12 Point de départ d’exercice des opti ons 50% au 17.02.04 + solde 17.02.05 50% au 23.07.04 07.02.05 26.07.04 06.02.05 + solde 23.07.05 24.07.05 05.02.06 01.03.06 + interdiction de revente avant le 28.02.07 Date d’expirati on 16.02.09 22.07.09 06.02.10 25.07.10 05.02.11 23.07.11 04.02.12 27.02.13 14.02.14 10.01.13 13.03.14 07.03.15 10.03.16 Prix d’ exercice (en euros) Nombre d’options au 31 oct 2008 Nombre d'options levées en 2008 Durée de vie résiduelle 81,13 92,79 111,11 136,13 92,78 63,99 44,74 35 31,03 35 42,67 43,07 32,38 7 000 2 000 77 842 5 700 69 415 11 400 55 500 153 500 170 350 211 800 190 750 106 560 243 850 4,3 5,5 6,4 7,4 Document de Référence 2008 107 7 200 0,3 0,8 1,3 1,8 2,3 2,8 3,3 4,3 5,3 Les c aractéristiques du plan d’ actions gratuites en cours au 31 oct obre 2008 sont les s ui vantes : 2007 Plan L Date d’Assemblée 08. 03. 07 Date du Conseil d’Administrati on 08. 03. 07 Nombre d’ac tions attribuées 46 600 Dont nombre d’acti ons attribuées aux membres du Comité de Direction Général e (dans s a composition au 31 oct 2008) 9 150 Nombre de dirigeants concernés 8 08. 03. 10 + interdiction à la revent e avant le 07. 03. 12 Point de départ de période d'acquisition Nombre d’ac tions grat uites au 31 oct 2008 37 405 14.2. INFORMATIONS RELATIVES AUX OPTIONS EN CIRCULATION 2007 2008 Nombre Prix moyen de l’option (en euros) Nombre Prix moyen de l’option (en euros) 1 437 420 49, 64 1 197 207 48, 22 Options octr oyées 125 000 43, 07 244 970 32, 38 Options exercées (94 200) 35, 19 (7 200) 31, 03 Options annulées (271 013) 57, 92 (129 310) 53, 38 Options non exercées au 31 octobre 1 197 207 48, 22 1 305 667 44, 83 626 404 56, 14 764 507 49, 58 er Options non exercées au 1 novembre Options exerçables au 31 oc tobre 14.3. DETERMINATION DE LA JUSTE VALEUR DES OPTIONS ET ACTIONS GRATUITES ATTRIBUEES La volatilité attendue est dét erminée sur la bas e de la vol atilité historique du titre. Le taux de rendement sans risque Les j ustes val eurs ont été détermi nées aux dates d’attributi on correspond au rendement act uariel des OAT sur une maturité respecti ves équivalent e à la durée de vie de l’opti on. des diff érents plans en utilisant le modèle d’évaluation des options de « Blac k & Schol es ». Les actions gratuit es at tribuées dans le c adre du pl an L ont Les principales données et hypot hèses retenues pour été valorisées s ur la bas e du cours de l’ac tion à la date dét erminer les just es val eurs des plans attribués en 2007 et d’attribution. en 2008 s ont l es sui vant es : perfor manc e du titre ont ét é prises Plan L Plan M Cours du sous-jacent à l a dat e d'attributi on (euros) 41, 77 33, 00 Prix d'exercice (euros) 43, 07 32, 38 Volatilité att endue (%) 22, 70 26, 00 5 5 Durée de vie de l'option es timée (année) Taux de rendement sans risque (%) Juste val eur des options 108 3,97 3,50 11, 36 10, 16 Les c onditions d’attribution liées à la en c ompt e dans l’estimati on de l a just e val eur. La charge comptabilisée au titre des paiements en acti ons s’élève à 2 M€ en 2008 et en 2007. A compter de l’exercice 2008, une c ontribution soci ale es t appliquée s ur la base des stoc k-opti ons octroyées. Doc um ent de Référenc e 2008 Les obligations du Groupe sont c ons tat ées en charge dans la NOTE 15. RETRAITES ET AVANTAGES LONG-T ERME AUTRES période au cours de laquelle elles s ont engagées. Régimes à prest ations définies 15.1. DESCRIPTION DES PRINCIPAUX REGIMES DU GROUPE Dans le c adre de c es régimes, le Groupe s’engage à verser Les s alariés du Groupe bénéficient d’ avantages c ourt ter me retraite. Les régimes du Gr oupe ne sont pas préfi nancés et (congés payés, e 13 mois, c ongés mal adie, mutuelle, assuranc es c hômages en France …) une pr estati on, soit au ter me de l’empl oi, s oit pendant la font l’objet d’une provision dans l es comptes. Les princi paux régimes à prest ations définies du Groupe Les avant ages post érieurs à l’emploi acc ordés par le Groupe correspondent à des i ndemnités de fi n de carrière en Franc e, varient en fonction des obligations légales dans c haque pays en Grèce et en Turquie, et des i ndemnités de cess ation de ainsi que des politiques de r émunération de ses filiales. Les service en It alie et au Japon. régimes d’avantages long ter me peuvent pr endr e la f orme de régimes à cotisations définies ou de régimes à pr estati ons défini es. 15. 2.1. PRINCIPALES HYPOTHESES ACTUARIELLES Régimes à c otisations définies Ces 15.2. REGIMES A PRESTATIONS DEFINIES régimes Les engagements sont déter minés sui vant un calcul ac tuariel se c aract érisent par le versement par utilisant la mét hode des unités de crédits projet és. Cet te l’employeur de c otisati ons à un organisme ext érieur qui mét hode assure le versement des prest ations qui sont dues. Le actuarielles long terme s ur les données démographiques vers ement de ces c otisati ons libère l’employeur de toute (rotation du personnel, mortalit é) et financièr es (augmentati on obligation ultérieure envers s es salariés. Les principaux des s alaires, taux d’act ualisation). C es paramètres sont revus régimes à cotis ations défi nies couvrent les régimes vieillesse chaque année. L’incidence des changements d’ hypothèses de retraite actuarielles s ur le montant de l’engagement est enregistrée de pensi on à en éc arts actuariels. Ces écarts act uariels sont pris en cotisations définies en Amérique du Nord. Les mandataires compte sel on la mét hode du corridor décrite en Not e 2.14. sociaux bénéficient de régimes de retrait e complément aire à « Retrait es et autres avantages l ong ter me ». la s écurité s ociale, des complémentaire en Europe, des régimes fonds de néc essite l a prise en compt e d’ hypothèses cotisations défini es. Les hypothèses retenues par le Groupe sur les principaux plans sont les s ui vantes : 2007 2008 Japon Europe Japon Europe Taux d'ac tualisation 2,0% 5,04% 2,0% 6,00% Hypothèse de progression des salaires à long ter me 1,5% 3,60% 1,5% 4,30% 15. 2.2. SITUATION DES REGIMES A PREST ATIONS DEFINIES POSTERI EURS A L’EMPLO I 15. 2.3. EVO LUTION DES REGIMES A PREST ATIONS DEFINIES (en millions d’euros) (en millions d’euros) 2007 2008 Valeur actualisée de l’obligation non financée 19 13 Ecarts ac tuariels non reconnus 8 13 Dette nette au bil an 27 26 (Gains)/Pert es act uariels liés aux effets d’expérience (1) (Gains)/Pert es act uariels liés aux modifications d’ hypothèses (1) (5) 2007 Dette actuarielle à l’ouverture 2008 21 19 Coût des s ervic es rendus 1 1 Coût fi nanci er (eff et ac tualisation) 1 1 Pertes et (gains) ac tuariels générés dans l’exercice (2) (5) Réducti on de régime (2) (1) Régimes à prest ations définis des activit és c édées (1) Prestati ons payées (1) Dette actuari ell e à la clôture 19 13 La r evue des taux de tur nover de Club Médit erranée SA, sur la bas e des moyennes historiques, et l’évolution du t aux d’actualisation expliquent la majeure partie des écarts actuariels générés sur 2008. Doc um ent de Référenc e 2008 109 15. 2.4. ANALYSE DE LA CHARGE ENREGI STREE EN RESULTAT (en millions d’euros) Coût des s ervic es rendus 2007 2008 (1) (1) 1 2 1 1 Amortiss ement des pertes et gains act uariels Réducti on de régimes Total coût du personnel 2 1 Effet act ualisati on (1) (1) Total résult at financi er (1) (1) Total (charge) /produit 1 0 15.3. REGIMES A COTISATIONS DEFINIES Le montant des c otisati ons versées au titre des r égimes à cotis ations définies s’est élevé à 15 M € en 2008 et en 2007. NOTE 16. PROVISIONS (en millions d’euros) 31. 10. 07 Provisions pour si nistres / pour respons abilité civile 6 1 14 1 Provisions pour res tructur ations Provisions pour litiges Provisions fisc ales Autres provisions Reprises avec objet Dotations 2 8 Reprises sans objet (1) (1) (3) (1) Variation de périmètre (3) 31. 10. 08 (2) 6 0 14 1 2 1 (1) 2 Total 24 11 (5) (4) (3) 23 - dont courant 24 11 (5) (4) (3) 23 Les provisions pour litiges regroupent di vers cont enti eux commerciaux, prudhommaux et administratifs. Une esti mation des risques identifi és fait l’objet de pr ovisions dét erminées s elon les principes décrits en not e 2.13 « Provisions ». La nat ure de l’ac tivit é et l’implantati on dans de nombreux pays aux réglement ations dif férentes et quelquef ois contradict oires, sont sourc es de difficult és opérationnelles et peuvent conduire à des situations litigieuses avec les fournisseurs, les propriét aires, le personnel, voire même les administrations locales . Il n’existe pas de litige qui, pris isolément, s oit significatif. NOTE 17 . I MPOTS 17.1. ANAL YSE DE LA CHARGE D’IMPOT Les impôts sur exercices ant érieurs comprennent not amment L’analys e de la charge d’impôt par nat ure es t la s ui vante : une provision pour impôt sur des filiales étr angères. (en millions d’euros) 2007 2008 Impôts s ur exercice Impôts s ur exercice antérieurs (14) (5) (9) Impôts courants (14) (14) Impôts différés sur dif férences temporaires 8 Impôts différés résult ant des changements de taux 3 2 Réestimation des ac tifs d’i mpôts différés 6 1 17 3 3 (11) Impôts différés Total En 2007, la c harge d’impôt c ourant comprenait l’impôt sur la cession du Village de Da Bal aïa pour 8 M€, les impôts différés sur différ ences t emporaires comprenaient un pr ofit de 7 M€ correspondant à la reprise de l’impôt différé passif ant érieurement rec onnu s ur ce même Village. Sur la base de prévisions de bénéfices f uturs, des actifs d’impôts diff érés avaient ét é constatés s ur le Groupe d’intégration fiscale Nord américain et sur c ertaines sociétés asiatiques. En 2007, des baisses de t aux avaient été enregistrées en Grèce et au Mexique. 20 filiales franç aises font l’objet d’une int égration fiscale avec En 2008, des baisses de t aux ont principalement en Grèce et en Indonésie. ét é enregistrées Club Méditerranée SA. Le groupe fiscal nord américain, dont la sociét é mère est Club M ed Sales, se c ompos e de 5 sociétés . 110 Doc um ent de Référenc e 2008 Anal yse du taux effec tif d’i mpôt des acti vités poursuivi es Pour l es exercices 2007 et 2008, les t aux d’impôt ret enus pour l a réc onciliation avec l e t aux eff ectif d’impôt sont les taux en vigueur en France, soit 34,43%. (en millions d’euros et en %) Montant d’impôt 2007 Résultat avant i mpôts des acti vités poursui vies Taux d’impôt 2008 (16) 2007 2008 34, 43% 34, 43% 17, 50% NA (23) Taux cour ant d’impôts en France Impôt au taux courant en vigueur 5 8 Différence de taux d’imposition à l’étranger 9 10 Modification de t aux d’imposition 3 2 Impôt s ur exercice antérieur (9) Actifs d’impôts diff érés non reconnus sur déficits de l’exercice (32) (30) Activation de déficits ant érieurs 6 1 Utilisation de déficits ant érieurs 12 8 Différences permanentes et autres (1) Total Impôt effectif du Groupe (2) (19) 3 (11) 17.2. ACTIFS ET PASSIFS D’IMPOTS DIFFERES 17.3. SUIVI DES DEFICITS REPORTABLES Ventilation des i mpôts différ és par nat ure de poste de bilan Les déficits reportables et amortissements réputés diff érés en les ayant générés : bases fiscales au 31 oc tobre 2008 par échéanc e sont présentés ci-après : (en millions d’euros) 31. 10. 07 Immobilisati ons c orporelles 31. 10. 08 (en millions d’euros) 3 3 50 43 2009 Total actif 53 46 2010 à 2014 Immobilisati ons i ncorporelles (8) Déficits report ables Immobilisati ons c orporelles 5 106 Au-del à (77) (76) (2) (1) Total passif (87) (77) Impôts différés passifs, net (34) (31) Dettes financières 31. 10. 08 Des impôts diff érés actifs liés aux déficits report ables ont été reconnus sur les groupes d’intégration fiscale en Franc e et 88 Déficits report ables sans limitation de délai 444 Total déficits reportabl es 643 Le montant des impôts diff érés actifs corres pondant à ces déficits reportables, ventilé par zone géographique est le suivant : (en millions d’euros) 31. 10. 08 aux Etats-Unis, au M exique et s ur c ertaines soci étés en Asie. Leurs caract ères r ecouvr ables ont ét é dét erminés s ur la base des prévisions de bénéfice fiscal de ces entités. En 2008 l es cessions d’acti vit és ont entraîné France intégration fiscale Reconnu Non reconnu Total 17 55 72 75 75 130 147 une Autres Europe - Afrique augment ation du passif net d’impôts diff érés de 2 M€ (cf Note Total Europe - Afrique 17 Intégration fiscal e US 18 6). Ce mont ant se compose de 10 M€ de baiss e des impôts différés actifs s ur les déficits reportables et 8 M€ de baisse des d’impôts différés passifs sur la marque Jet tours. Le montant des impôts dif férés c onst até en c apit aux pr opres n’est pas significatif . 18 Autres Amériques 4 19 23 Total Am ériques 22 19 41 4 3 7 43 152 195 Asie Total des impôts différés actifs l iés à d es reports déficitair es Au 31 oc tobr e 2007, les i mpôts dif férés actifs corres pondant aux déficits reportabl es s’élevaient à 190 M€ dont 140 M€ étaient non reconnus. Doc um ent de Référenc e 2008 111 NOTE 18. EMPRUNTS ET DETTES FINANCIERES 18.1. ENDETTEMENT NET (en millions d’euros) Rubriques de bilan 31. 10. 07 31. 10. 08 Trésorer ie et équival ents de tr ésor erie 108 152 Empr unts et det tes financières, non c ourant 408 260 Empr unts et det tes financières, cour ant 36 187 Total emprunts et d ettes finan cièr es 444 447 Endettement net 336 295 18.2. COMPOSITION DE LA DETTE BRUTE (en millions d’euros) 31. 10. 07 31. 10. 08 OCEANEs 279 142 Empr unts bancaires part à pl us d’ un an 115 115 Tirages sur lignes de cr édits 10 Dette de l ocati on-financ ement 4 3 408 260 10 159 Empr unts bancaires part à moins d’un an 8 8 Tirages sur lignes de cr édit - - 14 17 Total emprunts et d ettes finan cièr es, non courant OCEANEs Concours bancaires c ourants Valeur de marché des i nstruments dérivés Total emprunts et d ettes finan cièr es, cour ant Total 4 2 36 187 444 447 L’OCEANE 2008 arrivant à éc héanc e au 1er novembre 2008, figure en courant au 31 octobre 2008. 18.3. CAR ACTERISTIQUES DES PRINCIPAUX EMPRUNTS Montant au 31.10. 08 Taux nominal Taux effectif Echéance OCEANE 2008 t aux fixe 153 5,25% 8,40% nov-08 OCEANE 2010 t aux fixe 148 4,38% 7,39% oct-10 Total emprunts oblig ataires 301 Tirages sur ligne de cr édit s yndiquée 120 M€ - Euribor + (a) Empr unt hypothécaire sur Club Med 2 26 Euribor + (b) 6,24% avr-18 Empr unt hypothécaire adossé à Cancun 50 6,58% 6,90% mai-17 Empr unt La poi nte aux Canonniers 25 6,15% 6,24% janv-18 Autres 45 Total emprunts et d ettes finan cièr es juin-10 447 Les marges (a) et (b) dépendent du niveau du rati o Dett e nett e / Ebit da (a) entre 1, 2 % et 0,8 % (b) entre 1, 75 % et 1, 35 % 112 Doc um ent de Référenc e 2008 18. 3.1 OCEANEs La det te du Club Méditerranée comprend deux emprunts obligat aires convertibles de t ype OC EANE dont les caract éristiques sont les sui vantes : OCEANE 2008 OCEANE 2010 139 474 514 149 999 976 2 404 733 3 092 783 Date de jouissance 30. 04. 02 03. 11. 04 Date d'échéanc e 01. 11. 08 01. 11. 10 3,00% 4,375% Montant des titr es émis en € Nombre d'obligations Coupon Parité de c onversion à l'échéanc e 1 pour 1 1 pour 1 TRI 5,25% 4,375% Taux effec tif 8,40% 7,39% Club Méditerranée a procédé le 3 novembr e 2008 au remboursement de l’OCEANE 2008 (2 193 731 titres) pour un mont ant de 152,5 M€ incl uant 21, 6 M€ de prime de remboursement et 3,8 M€ de coupons (coupon couru). L’OCEANE 2008 a été remboursée grâce aux produits des c essions de Jet tours et Club Med G ym et un tirage sur la ligne de crédit s yndiqué à échéanc e juin 2010. Pour rappel au 30 avril 2006, l e remboursement de 211 002 titres avait ét é effec tué pour un mont ant de 13,6 M€ ( y compris coupon c ouru). (en millions d’euros) OCEANE 2008 2010 Valeur nominale à l’émission 140 150 Frais d’émission (3) (3) Composante capit aux propres (21) (18) Valeur de l a dett e à l’émission 116 129 Intérêts comptabilisés 48 19 Intérêts payés (14) (7) Remboursement s uite à l’exercice de l’option en avril 2006 (13) Dette au 31.10.06 137 141 Intérêts comptabilisés 2007 11 10 Intérêts payés 2007 (4) (7) Dette au 31.10.07 145 145 Intérêts comptabilisés 2008 12 10 Intérêts payés 2008 (4) (7) Dette au 31.10.08 153 148 4 7 - dont coupon c ouru 18. 3.2 AUTRES EMPRUNTS LONG TERME Les travaux du Village de la Poi nte aux C anonni ers sont financ és par un emprunt dédié d’un montant de 26 M€ conclu En avril 2007, l’emprunt sécurisé par une hypothèque sur les en jui n 2007. Cet emprunt es t séc urisé par un nantissement actifs du Club Med 2 avait ét é renégocié. Un financement sur les titres de l a soci été qui détient le Village. complémentaire de 13, 5 M€ avait été obtenu portant l’emprunt à 30 M€ et prol ongeant l’éc héance de c et emprunt Le mont ant des det tes garanties par des hypothèques ou des amortissable jusqu’en avril 2018. nantissements s’élève à 101 M€ au 31 oct obre 2008 contre 95 M€ au 31 oct obre 2007. Une ligne amortissable adossée au Village de Canc un Yucat an pour un mont ant de 50 M € à éc héanc e 2017 avait Au 31 octobre 2008, le Club Méditerranée dispos e de trois également ét é conclue fin mai 2007. emprunts séc urisés par des hypot hèques pris s ur les actifs de Cancun Yuc at an, du bat eau Club Med 2 et un nantissement des titres de la s ociét é détenant la Poi nte aux Canonniers. Doc um ent de Référenc e 2008 113 18.5. JUSTE VALEUR DE LA DETTE 18.4. ANAL YSE DE LA DETTE BRUTE Le tabl eau ci-après prés ent e l a val eur c omptable et la jus te val eur des ins truments financiers au 31 oct obre 2008 : 18. 4.1 PAR ECHEANCE DE REMBOURSEMENT (en millions d’euros) (en millions d’euros) 31. 10. 07 Échéances à moins d ’un an ( y compris concours bancaires) 36 187 (a) Échéanc es à plus d’un an 2008-2009 152 2009-2010 17 7 2010-2011 145 149 2011-2012 6 7 2012-2013 12 12 Au-del à 76 85 408 260 Total éch éances à plu s d’un an Total Valeur nette comptable 31. 10. 08 444 447 Dérivés de c hange Trésorerie et équi valents de trésorerie 2 2 150 150 Actifs 152 152 Empr unts obligataires 301 257 Autres emprunts et dett es long terme Taux fi xe 85 64 Autres emprunts et dett es long terme Taux variabl e 41 29 Concours bancaires c ourants 17 17 2 2 447 369 Dérivés de c hange Passifs er (a) comprend l’OCEAN E 2008 à éc héance 1 Juste valeur Novembre Les déri vés de change sont c ompos és de contrats de change 2008 pour 153 M€ à terme et d’options . Pour les instruments qualifiés de Les principales éc héances de remboursement de det tes couvert ure de flux de trés orerie, la part ef ficace des après c elui de l’OCEANE 2008 sont les s ui vantes : couvert ures est enregistrée en di minution des c apit aux - Novembre 2010 : OCEANE 2010. En cas de non c onversion, le montant du remboursement à la dat e d’échéance serait de propres pour 1 M€, la part inefficac e des c ouvertures enregistrée en produit fi nanci er est non significati ve. 157 millions d’eur os (incluant 7 millions d’euros liés au Le cours l’Océane 2010 au 31 oc tobre 2008 a été fortement coupon) impac té par les problèmes de liquidit é rencontrés par les - Au-delà du 31 octobre 2013, les 85 millions d’ euros dett e de s ont principalement constitués des montants non encore amortis des emprunts de C ancun (Mai 2017), de la Point e aux C anonni ers (Janvi er 2018) et du Club Med 2 (Avril investisseurs. Le c ours de l’Océane 2010 au 31 octobre 2008 était de 35, 05 euros à c ompar er à un c ours de conversion de 48, 50 euros . Bien que le c ours de marché ne reflèt e pas parfait ement l’appréciation du risque de crédit du Club Méditerranée, c’est la réf érenc e qui a ét é retenue pour 2018). Cf. 18. 3 carac téristiques des principaux emprunts . val oriser l’Océane 2010 au 31 octobre 2008 dans l e t ableau ci-dessus. 18. 4.2 PAR NATURE DE TAUX Les autres éléments compos ant la dett e ont ét é valorisés en (en millions d’euros) 31. 10. 07 Taux fi xe Taux variable Total 372 72 444 considérant un écart ement des marges de crédit de 3% 31. 10. 08 84% 16% 388 59 447 87% 13% compte tenu des derni ères évolutions de marché. Néanmoins, cette hypot hèse ne saurait refl éter la qualité de crédit intrinsèque du Club Méditerranée. Après remboursement de l’OCEANE 2008, la répartition Une variation de plus ou moins 1% du taux ou de la marge de fixe/ variabl e de la dette brute devrait s’établir à environ : 60% crédit a un impact de plus ou moins 10 M€ s ur la just e valeur taux fixe / 40% taux variable. de la dette (hors OCEANE). 18. 4.3 PAR MONNAIE 18.6. CREDIT SYNDIQUE La dett e du Groupe Club Méditerranée est libell ée à 95% en Le Club Méditerranée dispos e d’une ligne de crédit s yndiqué euros et est portée à plus de 90% par Club Méditerranée SA. (LCS) de 120 M€ c onclue l e 31 mai 2007 à échéanc e juin 2010. C ette ligne es t ass ortie de c ovenants banc aires (cf. (en millions d’euros) 31. 10. 07 Euro Dollar américain 411 31. 10. 08 426 11 12 Real brésilien 17 7 4 2 444 447 Total 114 Risque de liquidit é s ur la dett e fi nanci ère et covenants ») Au 31 oc tobre 2008, cette ligne ne f aisait l’objet d’auc un 1 Franc suisse Instruments dérivés 19. 5.2 « tirage. Doc um ent de Référenc e 2008 - le risque de change s ur les i nvestissements nets à l’étranger NOTE 19. GEST ION DES RISQUES FINANCIERS dont les impacts sont enr egistrés en variation des capit aux propres c ons olidés. De par ses ac tivit és, le Groupe est exposé à différents t ypes Risque de c hange transactionnel de risques financiers t els que des risques de marché (notamment risque de c hange, risque de t aux), des risques La politique du Groupe vise à s e prémunir contre les de crédit et de liquidité. incidenc es des fluctuations de c hange sur s on résult at net par rapport à s on budget. Le Groupe peut être amené à utiliser des instruments financi ers déri vés pour limit er son exposition aux risques de Sur la base de prévisions budgétaires, le Groupe couvre, change liés à son acti vité et au risque de taux d’int érêt pour afférents à s on endett ement à t aux variable et réduire s on « commerciales » (li vre st erling, yen, dollar canadi en, dollar expositi on australien, won c oréen,…) et l’exposition du Groupe en à c es risques. Ces ins truments sont change sur des transac tions f utures . Le Les département Trés orerie du Groupe identifie, éval ue, gère et couvre les risques financiers s ui vant, les principales monnaies dollars US, monnaie de vente et d’exploit ation. essentiellement mis en plac e pour couvrir son exposition au risque de l’exercice autres monnaies des pays opérationnels (zones réceptrices) (dirham marocain, livre t urque, dinar tunisien, de manière c entralisée, roupie indonésienne, baht thaïlandais,…) ne f ont pas l’objet conf ormément aux politiques approuvées par l e Comité de c ouvert ure s yst ématique. d’audit. Pour couvrir les expositions au risque de change, le Groupe utilise des i nstruments déri vés : s waps de change, options de 19.1 RISQUE DE CHANGE change, change à t erme, non deli ver y f orward (NDF). 19. 1.1. EXPOSIT ION AU RISQUE DE CHANG E Risque de c hange bilantiel De par son ac tivit é int ernationale, l e Groupe est exposé aux fluctuations des t aux de c hange qui peuvent impact er ses Le Groupe est peu expos é au risque de change sur sa det te résultats ou ses c apit aux propres . externe. Les financ ements intra-groupe s ont libellés dans la devise de la filiale. Lorsqu’ils constituent une couverture d’ un Plusieurs t ypes de risque peuvent être distingués : investissement net à l’étranger, l es fluct uati ons latentes de change s ont enregistrées en c apit aux propres . - le risque de change transacti onnel lié aux acti vités commerciales ( « zones émettrices ») et aux acti vités Par ailleurs, le Groupe détient des investissements dans des opérationnelles ; activit és à l’étranger, et es t à ce titre exposé au risque de - le risque de change lié aux fi nancements c ontr actés dans fluctuation des devises étrangères par rapport à l’euro s ur ces une devis e dif férente des monnaies fonctionnelles ; investissements nets à l’étranger. L’impact des fluct uati ons sur les filiales aut onomes est enregistré sur une ligne distincte des capitaux propres (cf. note 13. 1). 19. 1.2. DERIVES DE CHANG E EN COURS AU 31 OCTOBRE 2008 A. ANALYSE PAR NATURE ET PAR DEVISE (en millions d’euros) 2007 2008 Total Valeur de marché USD MXN CAD Autres Total 56 (1) 3 11 4 1 19 Valeur de marché Ach ats/Pr êts de monnai es étrangèr es Contrats à t erme Swaps c ambistes à c ourt t erme Swap de devises Options de change : - Ac hat de call : 5 13 - Vent e de put : 5 13 TOTAL TOTAL VALEUR DE M ARCHE 66 (1) 29 2 13 4 11 8 1 17 1 49 (1) Doc um ent de Référenc e 2008 1 1 115 (en millions d’euros) 2007 2008 Total Valeur de marché USD CAD GBP JPY 41 (2) 1 8 7 5 6 27 - Ac hat de put : 10 4 5 5 2 26 1 - Vent e de c all : 10 14 (2) 67 (1) Autres Total Valeur de marché Ventes/ Emprunts de monnaies étrangères Contrats à t erme Swaps c ambistes à c ourt t erme Swap de devises Options de change : TOTAL 41 (2) TOTAL VALEUR DE M ARCHE 4 21 12 (1) 1 12 14 8 (2) 1 (1) Tous les i nstruments dérivés de c ouverture en c ours à la clôture ont une échéance i nférieure à 12 mois. B. ANALYSE PAR CATEGORIE COMPTABLE (en millions d’euros) Valeur de m arch é 2007 2008 (3) - (3) - Couvertur es de just e val eur Couvertur es des flux de trésor erie Instruments non qualifiés de c ouverture TOTAL 19.2 RISQUE DE TAUX Le risque de t aux comprend deux notions : - le risque de variation de la just e valeur sur l’endett ement net à taux fi xe. Le Gr oupe n’ayant pas couvert ce t ype de risque, les actifs et passifs financiers sont maint enus à leur valeur initiale en cas de fluc tuation des t aux d’intérêts. Le risque de valeur est donc un risque de coût d’opport unité en cas de baisse des t aux. - le risque de fl ux f uturs s ur l’endettement net à taux variable ; une fluc tuation des t aux d’int érêts ayant une inci denc e s ur le résultat financier. L’endett ement net à taux variable étant c onsidéré c omme peu significatif, auc une couvert ure du risque de flux futurs de tr ésorerie n’a été mise en plac e. La dett e du Groupe es t composée de dett es à taux fi xe et à t aux variable. Sur l’année 2008, l’endett ement net moyen à t aux variable ne représent ant que 13 % de la dett e brute tot ale, auc une c ouvert ure du risque de taux n’a ét é mise en place. L’exposition au 31 oc tobre 2008 au risque de taux d’int érêt par échéanc e est la s ui vante : (en millions d’euros) Trésorerie et équi valent de trésorerie Empr unts à t aux variable * Total Moins d’un an (152) (152) De un à cinq an s Plus de cinq ans 59 22 17 20 Endettement net à taux vari able (93) (130) 17 20 Empr unts à t aux fixe 386 163 158 65 2 2 295 35 175 85 Instruments dérivés Total endettement net * y compris concours bancaires c ourants Les c aractéristiques de nos principaux emprunts sont dét aillées dans la not e 18. 3 Après remboursement de l’OCEAN E 2008, une augment ation de 1% des taux c ourt ter me appliquée sur l’endett ement brut moyen à t aux variable aug menterait l a charge d’int érêt de 1,7 M€. 116 Doc um ent de Référenc e 2008 19.5. RISQUE DE LIQUIDITE 19.3. RISQUE MARCHE ACTIONS Le Groupe ne détient pas de titres de s ociét és cot ées autres 19. 5.1. NIVEAU DE LIQUIDITE que les acti ons d’autocontrôle (au 31 octobre 2008, 274 837 Le t ableau ci-après présente la liquidité du Groupe : titres) qui sont déduites des capitaux propres . Il n’est donc pas expos é au risque de fl uctuation des pri x des marchés (en millions d’euros) actions . 31. 10. 07 31. 10. 08 108 152 - dont CMSA 56 102 - dont filiales 52 50 Lignes de crédit non tirées : 126 136 - dont LCS 110 120 Disponibilités : 19.4. RISQUE DE CREDIT ET DE CONTREPARTIE 19. 4.1. GESTION DU RISQUE Les trans actions qui sont susceptibl es de générer pour le Groupe un risque de c ontrepartie sont ess entiellement : - dont lignes non c onfir mées - les placements financiers t emporaires Total 16 16 234 288 - les instruments dérivés - les compt es clients 19. 5.2. • Les plac ements financiers sont diversifiés. Ils conc ernent des titr es de premi er rang (certificats de dépôts ou en sicav monét aires) et sont négociés avec des banques ellesmêmes de premi er rang (dispos ant d’un rating mi nimum attribué par Moody’s ou Fitch de A2/A/A). RISQUE DE LIQUIDITE SUR LA DETTE FINANCIERE ET COVENANTS Le risque de liquidité est géré par la mise en plac e de s ources de financement financ ements di versifiées . Par ailleurs, du Groupe contiennent des c ertains clauses de remboursement anticipé not amment en cas de non respect • Les transacti ons du Gr oupe sur les produits dérivés ont de c ovenants ou de c ession d’ actifs. Les cessions réalisées pour s eul objet de réduire son expositi on globale aux au c ours de l’exercice n’ ont pas engendré de remboursement risques de c hange et de taux naissant de s es acti vités anticipé ni de modificati on du pl afond de la ligne de crédit normales. Elles sont limit ées aux marchés organis és ou à syndiqué. des opérations de gré à gré avec des opérat eurs de remboursement dans s a globalité si le mont ant des actifs premier plan. Le Groupe est expos é au risque de crédit sur cédés , en dehors du c adre de l’ac tivit é or dinaire du Gr oupe, les instruments financiers déri vés si une c ontreparti e fait dépassait 252 M€. déf aut à s es engagements . Cette ligne pourrait faire l’objet d’ un Les covenants bancaires (les pl us restrictifs) conc ernent la Pour limiter ce risque, les ins truments déri vés sont contract és auprès de c ontreparties de premier rang et de façon di versifiée. ligne de crédit s yndiquée de 120 M € : - Engagements hors-bilan donnés < 200 M€ - Gearing (det te net te / capitaux propres) < 1 • Le risque de c ontr eparti e lié aux c omptes clients es t limité du fait du nombr e i mportant de clients c ompos ant le - Leverage ratio ( det te net te / Ebitda Loisirs suivants : (1) ) < aux ratios portef euille et de leur dis persion géographique. Aucune contrepartie ne repr ésente plus de 10% du c hiffre d’affaires. 19. 4.2. EXPOSIT ION MAXIMALE AU RISQUE DE CREDIT 31-oct 2008 3,5 2009 et au-del à 3,0 (en millions d’euros) 2007 2008 41 53 86 58 88 64 1 2 Valeurs mobilières de placement 31 37 Disponibilités 76 109 Garanti es financièr es et engagements hors bilan 10 18 333 341 Autres actifs fi nanciers (1) Créances clients et c omptes ratt achés Autres actifs (2) Instruments financi ers déri vés actifs Exposition maxi male au risque de crédit (3) (1) cf note 9.3 (2) cf note 11 hors c harges constatées d’avanc e (3) Ne concerne que des i nstruments financiers déri vés de change - « Fixed charge cover » (Ebit dar Loisirs / (loyers + intérêts nets) > aux r atios s uivants : 31-oct 2008 1,35 2009 et au-del à 1,45 Au 31 octobre 2008, l es covenants ont ét é res pect és : - Engagements hors-bilan donnés < 200 M€ Gearing < 1 (1) Leverage (det te net te / Ebitda Loisirs ) < 3,5 ”Fixed c harge c over” > 1, 35 121 M€ 0, 60 2,72 1, 51 (1) ROC Loisirs avant déduction des dotati ons amortissements et aux provisions nett es des reprises. Doc um ent de Référenc e 2008 aux 117 Les autr es dett es non courant es c orrespondent à la det te 19. 5.3. RISQUE DE LIQUIDITE SUR LES DERIVES DE actualisée sur l’ac hat des titres Al bion Devel opment Limit ed CHANGE ET LES PLACEMENTS (ADL). Compte tenu de l a crise en vigueur sur l es marchés financiers, L’impact de la baisse lié aux acti vit és c édées s’ élève à 40 M€ la trésorerie est inves tie s ur un horizon de pl acement c ourt, (valeur à l a date de cession). sur des pr oduits hautement liquides , ess entiellement en Les produits c onst at és d’avance comprennent 4 M€ au titre OPCVM monét aires et certificats de dépôts (cf. Note 19. 4 : de la quote-part de pl us value de cession Club Med G ym risque de crédit et de contrepartie). correspondant au pourcentage d’int érêts réinvestis dans la Le port efeuille de déri vés de change n’est constit ué que de Financière CMG (cf note 6). produits si mples et liquides. Le portef euille des dérivés fait NOTE 21. CHARGES DE PERSONNEL ET l’objet d’une val orisation régulière. EFFECT IFS NOTE 20. AUTRES DETTES (en millions d’euros) (en millions d’euros) Subventi ons reç ues Loyers linéarisés 31. 10. 07 31. 10. 08 37 40 6 9 Autres det tes 5 Total autres dettes non courantes Charges à payer 43 54 9 7 Dettes s ociales 50 47 Dettes fiscales 35 27 Fournisseurs d'immobilisati ons 13 13 Produits cons tat és d’ avance 71 50 8 13 186 157 Autres det tes Total autres dettes courantes Traitements et s alaires 2007 2008 (221) (233) Charges sociales (52) (56) Cotisations retrait e (14) (14) Paiement en actions (2) (3) Autres avantages au personnel (6) (6) (295) (312) (8) (7) (303) (319) Charges d e per sonnel ROC loisir s Charges de pers onnel ROC patrimoine Total coût du personnel Résultat Opér ationnel Courant EFFE CTIFS : équivalent temps plein 2007 Villages équivalent temps dont saisonniers & CDD plein 2008 2007 14 594 14 874 dont saisonniers & CDD 2008 7 580 8 068 Tours Opérat eurs 335 29 Club Med G ym 407 Club Med World 129 128 25 26 Effectif Groupe 15 465 15 002 7 674 8 094 40 Les s alariés de Club Médit erranée SA ont c umulé 111 850 heures de Droits Indi vi duels à la Formation au 31/10/ 2008. NOTE 22. RESULTAT OPERATIONNEL COURANT – PATRIMOINE (en millions d’euros) 2008 10 4 5 11 Fermet ures de Villages/sites (4) (14) Ouvertur es de Villages (7) (2) 7 (3) (9) (4) 2 (8) Cessions de titr es Impairment Autres c oûts Total Résultat Op érationnel Courant Patrimoine 118 Le rés ultat sur cessi on de Villages est essentiellement constit ué par la vente des villas mexicai nes et d’un t errain en 2007 Cessions de Villages et autres actifs immobilisés EXERCICE 2008 France. La ligne impairment c omprend l’aj ustement de valeur const até sur les Villages précédemment cl assés en actifs destinés à être cédés (cf note 10). Les pr oduits de c ession de titres rés ultent de la cessi on des titres de l a société qui détenait l es actifs du village d’Assinie en Côt e d’I voire et de la cession de 14, 5 % c omplémentaires du capital de la Société I mmobilière de la Mer. Suite à cet te cession, la participation rési duelle dét enue par le Groupe s’élève à 2, 5 %. Le c ontrat de cessi on c omporte une clause Doc um ent de Référenc e 2008 de révision de prix par le méc anis me de laquelle le Groupe reste engagé dans le cadr e de garanti es de passif accordées NOTE 26. RESULTAT PAR ACTION à haut eur de s a participation i nitiale de 24 %. 26.1. CALCUL DU NOMBRE MOYEN PONDERE D’ACTIONS EXERCICE 2007 La cession du Village de Da Balaï a, fin avril 2007, et la cession de terrains au Mexique et en Gr èce ont per mis de (en milliers d'ac tions) réaliser un profit de 10 M€. Les produits de c ession de titres résult ent ess entiellement de la cession de 7 % du capit al de la Soci été I mmobilière de la Mer. La participation détenue par le Groupe est ai nsi pass ée de 24 % à 17 % (cf note 9. 1.). NOTE 23. OPERATIONNEL 26. 1.1. RESULT AT DE BASE AUTRE Nombre d’ac tions au 1er novembre 2007 2008 19 358 19 371 (277) (202) 30 (24) 4 4 19 115 19 149 2007 2008 19 115 19 149 er Nombre d’ac tions propr es au 1 novembr e Acquisition/cessi on pondérée d’actions propres s ur la période RESULTAT Nombre pondéré d’actions émises sur la période Nombre mo yen pondéré d’actions au 31 octobre (en millions d’euros) 2007 2008 Restructurations (6) (12) Tsunami et C yclones (1) (1) Litiges (3) (2) Cartes de Crédit (9) (10) (19) (25) Autre Résultat Opérationnel 26. 1.2. RESULT AT DILUE (en milliers d'ac tions) Nombre moyen pondéré d’actions Effet dilutif des stoc ks options 7 Effet dilutif des acti ons grat uites Nombre moyen d’ actions - dilué 9 19 115 19 165 Le nombre de st oc k options ou actions gratuites exclues du NOTE 24. RESULTAT FINANCIER calcul parc e que leur eff et n’est pas dilutif est de 1 241 697 (en millions d’euros) en 2007 et de 1 149 528 en 2008. 2007 2008 3 5 la conversion en acti ons des emprunts convertibl es OCEANE Charge d’int érêts s ur OCEANEs (21) (22) (5 287 milliers d’acti ons en 2008 et 2007) n’ont pas été prises Autres c harges d’intérêts (11) (12) en compte dans l a mesure où leur effet aurait ét é anti-dilutif. Total charg es n ettes sur endettement net (29) (29) 6 (3) (1) (1) (24) (33) Produits d’int érêts Résultat de change Autres Total résult at financi er Par ailleurs, les actions or dinaires susc epti bles de résult er de Par ailleurs, l’OCEANE 2008 représ ent ant 2 194 milliers d’actions a été remboursée l e 3 novembre 2008 s ans conversion. 26.2. RESULTAT P AR ACTION (en euros) NOTE 25. PART DES SOCIETES MISES EN EQUIVALENCE 2008 Résultat par action (0,55) 0,04 Résultat dilué par action (0,55) 0,04 Il n’ y pas eu d’opération post érieure à la clôt ure s usceptible (en millions d’euros) Part des soci étés mises en équi val enc e 2007 d’avoir un impac t significatif sur le calcul du résult at dilué par 2007 2008 1 1 action. Le détail de la part des sociét és mis es en équi valenc e est donné dans la note 9 « Actifs financiers non c ourants ». Doc um ent de Référenc e 2008 119 Développement Limit ed (AD L) pour un montant net payé de 26.2. RESULTAT P AR POURSUIVIES ACTION – ACTIVITES 1 M€. Les principaux investissements c orporels de l’exercice ont été (en euros) décrits en note 8. 2007 2008 Résultat par action des ac tivit és poursui vies (0,76) (1,77) Résultat dilué par action des activit és pours uivi es (0,76) (1,77) NOTE 27 . NOTES SUR LE TABLEAU DES FLUX DE TRESORERIE CONSOLIDE Les flux des ac tivit és c édées ont ét é c onser vés pour l’établissement du tableau de fl ux consolidé jusqu’à la dat e de 27.3 CESSION IMMOBILISE OU DIMINUTION L’ACTIF (en millions d’euros) 2007 2008 Cessions de villages et autres actifs immobilisés (55) (20) Remboursements de prêts et de dépots (10) (6) Prix de vent e des ac tivit és c édées cession, confor mément à IFRS 5. Les flux nets s ur les Trésorerie à l a date de cession opérations , les investissements et les financ ements sont Cession s et dim inution de l'actif immobilisé donnés en note 6. 3. DE (1) (131) 24 (65) (133) (1) Net du crédit vendeur acc ordé à la Financière CMG 27.1 AMORTISSEMENTS ET PROVISIONS pour (13) M€ (en millions d’euros) Amortiss ements et provisions sur immobilisations inc orporelles 2007 2008 6 7 46 Provisions (1) Amortissem ents et provision s Les cessi ons de Villages et autres actifs i mmobilisés correspondent principal ement aux pri x de c ession de Club Amortiss ements et provisions sur immobilisations corporelles Amortiss ements et provisions au titre des acti vités non conser vées EXERCICE 2008 (1) 63 Med Côte d’I voire (3 M€), des villas mexic aines (4 M€), de terrains en France (2 M€) ainsi qu’à l’encaiss ement du pri x de vent e de cessi ons réalisées en 2007 (10 M €). 5 4 56 74 EXERCICE 2007 Les cessi ons (1) y c ompris amortissements en ROC Patrimoine pour 2 M€ de Villages et autres actifs i mmobilisés correspondent principal ement aux prix de cession du Village de D a Balaï a 27.2 INVESTISSEMENTS (39 M€) et de t errains ( 5 M€) et à l’encaissement de c essions réalisées en 2006. (en millions d’euros) 2007 2008 Acquisition d’i mmobilisations incorporelles (8) (6) Acquisition d’i mmobilisations corporelles (98) (116) Subventi ons et trés orerie acquise 11 5 Acquisition d’i mmobilisations financi ères (4) (9) Investiss ements des acti vit és non (1) conser vées Investissements 27.4 ANAL YSE DES VARIATIONS DE BESOIN EN FONDS DE ROULEMENT (en millions d’euros) (9) (108) (2) (128) (1) y compris acquisition de participations Austral Lagons, 2007 2008 Stoc ks (1) (11) Clients (1) (3) Avanc es sur inscriptions 21 2 Fournisseurs 11 1 Autres créanc es (39) 7 (1) 11 Provisions c ourantes (10) 2 Total (20) 9 Autres det tes nett e de la trésorerie acquise pour (4) M€ sur l’exercice 2007 Les investissements financiers de l’exercice correspondent à la prise de participation à haut eur de 16, 3 % dans les titres de La variation de stoc k 2008 c omprend l’impact des s toc ks de l’activité de promotion immobilière. la société Financière CMG pour un montant de 1 M€ ainsi qu’au prêt obligataire qui lui a ét é acc ordé pour un montant de 3 M€, à des dépôts de garantie pour un mont ant de 3 M€ et à l’opti on d’ac hat de 75 % des titres de la s ociét é Albi on 120 Doc um ent de Référenc e 2008 Le montant des loyers versés aux sociét és mises en NOTE 28. TRANSACTIONS AVEC LES équivalenc e pour l’expl oitation de cert ains villages s’est él evé PARTIES LIEES à 15 M€ en 2008 et 23 M€ en 2007. Le montant des engagements de l oyers mini mum au titre des c ontrats de 28.1. RELATIONS ENTRE LA SOCIETE MERE CLUB MEDITERRANEE SA ET SES FILIALES location s’élève à 211 M€ au 31 oct obre 2008. 28.4. REMUNERATION DES DIRIGEANTS La soci été Club Médit erranée SA, sociét é mère, assure pour ses filiales, les fonctions de direction générale et l es f oncti ons Les inf ormations relati ves aux dirigeants c onc ernent les de supports classiques : administrati on et financ e, juridique, membres du Comité de Direction Générale (CDG) ainsi que communication, mar keting, ressources humaines, for mation, les membres du Conseil d’ Administrati on. informatique et commercial. Les financements s ont levés, sauf exception j ustifiée, par la s ociét é mère et l es exc édents de trés orerie s ont c entralisés. AVANTAGES COURT TERME Les rémunérations brutes et avantages assimilés vers és (y compris les jetons de présence versés aux membres du La liste des principales filiales est prés ent ée en note 30. Conseil d’Administrati on) s e s ont élevés à 4,4 M€ en 2007 et Les trans actions entr e la s ociét é mère et s es filiales, qui sont 4,1 M€ en 2008. des parties liées, ont été éliminées dans l es comptes consolidés. AVANTAGES POSTE RIEURS A L’ EMPLOI 28.2. TRANSACTIONS AVEC LES PRINCIPAUX ACTIONNAIRES OU AVEC DES SOCIETES AYANT DES DIRIGEANTS COMMUNS Les dirigeants bénéficient d’un régime de retraite complémentaire à c otisati on défini e géré par un organis me extérieur ; le mont ant des c otisati ons r eprés ent e 6,29% à 8 % de leur rémunération brut e. Le mont ant des cotisations versé Le Groupe a conclu des contrats de bail ou de locati on pour l’expl oitati on de cert ains de ses Villages avec des s ociét és de à ce régime au titre des membres du CDG s’ est élevé à 0,3 M€ en 2008 et en 2007. groupes qui peuvent être considér és comme partie liée au sens de la nor me IAS 24. Il s’ agit notamment des Groupes PAIEMENT EN ACTIONS Rolaco et Caisse de Dépôt et de G estion ainsi que de la Au c ours de l’exercice 2008, un plan d’ options de s ouscripti on société Carthago. d’actions a ét é attribué aux dirigeants et s alariés du Club Le mont ant des loyers c onst atés en c harge dans les comptes s’est élevé à 22 M€ en 2008 et 21 M€ en 2007. Le montant des engagements de l oyer minimum au titre des contrats de location s’élève à 312 M€ au 31 oct obre 2008. Méditerranée au prix d’exercice de 32, 38 €. 114 000 opti ons ont ét é attribuées aux dirigeants . La valorisation global e de ces options, détermi nées s elon les principes de la nor me IFRS 2 est de 0,8 M €. Le Groupe a cédé au Groupe C aisse des Dépôts et de Gestion des titr es pour un mont ant de 11 M€ en 2008 et 5 M€ Au c ours de l’exercice 2007, un plan d’ options de s ouscripti on en 2007. d’actions avait ét é attribué aux dirigeants et s alariés du Club 28.3. TRANSACTIONS AVEC LES SOCIETES MISES EN EQUIVALENCE Méditerranée au prix d’ exercice de 43, 07 €. 84 100 opti ons avaient été attribuées aux dirigeants. Par ailleurs, un pl an d’actions gratuites, assortie de conditions de perfor mance (en millions d’euros) 31. 10. 07 Actifs financiers non courants 31. 10. 08 16 Autres créanc es 3 1 Autres det tes 1 1 avait également ét é attribué, dont 10 250 aux dirigeants. La val orisation globale de ces options et des actions gratuit es, dét erminée sel on les princi pes de la norme IFRS 2 est de 0,9 M€. La c harge enregistrée au titre des dirigeants s ur l’ens emble Dans le c adre de la c ession de Club Med G ym à la Financière des pl ans en c ours val orisés selon la norme IFRS 2 s’est CMG et de l a prise de participation dans l e capital de cet te élevée à 1 M€ en 2008 et à 0,8 M€ en 2007. dernière, les financements s ui vants ont ét é mis en place fin juillet 2008 : - Un crédit vendeur rémunéré de 13 M€ à éc héanc e du 30 novembre 2016. - Un prêt obligataire c onvertible de 3 M € à échéanc e du 31 déc embre 2016. Le montant des produits d’intérêts sur l’exercice est peu Les dirigeants avaient levé 76 000 options au c ours de l’exercice 2007 et 1 400 au cours de l’exercice 2008. Les dirigeants mandat aires sociaux ont l’obligation, conf ormément à l a loi, de c ons erver au nominatif jusqu’à la cessation de leurs fonctions, une partie de leurs options de souscription d’actions et d’acti ons gratuites corres pondant à 30% de la plus- value dégagée lors de l a levée des options ou significatif. Doc um ent de Référenc e 2008 121 lors de l’acquisition défi nitive des acti ons gratuit es. Cet te bonus cibl e ser vant de c alcul au bonus versé. Le pourcentage disposition s’applique aux plans at tribués à c ompt er de 2007. moyen est c alculé sur une période de réf érenc e identique à celle de la durée des mandats, s oit 3 ans . INDEMNITES DE FIN DE CONTRA T Les modalit és d’appréciati on et d’ application du crit ère de Les engagements de retrait e comptabilisés au titre des dirigeants s’élèvent à 0, 4 M€ en 2007 et 0,2 M € en 2008. perfor manc e s ont l es sui vant es : - aucune indemnit é n’ est versée si le pourcentage moyen des Le montant des indemnités de fin de contrat versé à des Bonus s ur les bonus ci bles c ons tat é s ur la période de dirigeants s’ét ait él evé à 0,9 M € en 2007. référenc e es t inf erieur à 40%. - 50% de l’indemnit é est versée si le pourcentage moyen des ENGAGEMENTS OU GARANTIES Bonus s ur les bonus ci bles c ons tat é s ur la période de Le 10 déc embre 2008, le Cons eil d’Admi nistration de la société s’es t prononcé, c onf ormément à l’article L. 225- 42-1 du code de commerce tel que modifié par la loi n°20 07-1223 du 21 août 2007, sur l’indemnit é due en cas de cessati on (1) des f onctions du Président-Directeur Général et du Directeur référenc e attei nt 40%. - 100% de l’indemnit é est versée si le pourcentage moyen des Bonus s ur les bonus cibles constaté sur la période de référenc e attei nt 70%. Général Délégué, ainsi que sur les conditions de perfor mance Entre c es deux bornes, la progression du pourcentage de dont l’indemnité à verser est linéaire. l’attei nte devra d’Administration pour être décider cons tat ée par le Cons eil de l’attributi on de cet te indemnit é. L’indemnit é ser ait due en c as de cess ation (1) des f oncti ons (hors cas de licenciement pour f aut e grave ou lourde), et serait d’un (1) La cessation de fonction à l’initiati ve du PrésidentDirecteur G énéral ou du Directeur G énéral D élégué ne rentre mont ant équi valent à deux années de rémunérati on brut e. Elle est subordonnée à l’att eint e de critères de perf ormance. Le critèr e de perfor mance r etenu est le pourcent age moyen du bonus annuel ef fecti vement versé (« Bonus ») s ur le pas dans le c hamp d’application de c ett e disposition. Dans le cas où les i ndemnités de départ serai ent versées aux dirigeants mandataires soci aux, le bénéfice des st oc k-opti ons sera maint enu après le départ de la Sociét é. Aucun prêt ou garanti e n’a été acc ordé à des mandataires sociaux. NOTE 29. ENGAGEMENTS 29.1. ENGAGEMENTS HORS BILAN AU 31 OCTOBRE (en millions d’euros) 2007 2008 Total < 1 an 1 à 5 ans > 5 ans Total Europe - Afrique 74 24 24 31 79 Amériques 34 7 21 5 33 9 10 117 41 45 36 121 10 7 5 6 18 Engagements donnés Cautions données (1) Asie Total engagem ents donnés Engagements reçus (2) 10 Engagements réciproques Montant des lignes de cr édit non utilisées 118 120 6 7 7 124 127 127 Garanti es de loyers Total engagem ents r éciproques 120 (1) Les cautions sont données dans le cadre des licences agences de voyages et des trans ports (24 M€), ai nsi qu’en garantie de loyers (18 M€), dans le cadre de garanti es de passifs (35 M€), pour le s ystème de paiement par carte de crédit (15 M€) ou de garantie de bonne fin ( 14 M€). (2) Les engagements reçus au ni veau du Groupe au titre des agences de voyage s’ élèvent à 8 M€. D ans le c adre de travaux de rénovation des Villages (contrats Marc hés Privés), les cautions reç ues des entr epreneurs de travaux s’élèvent à 10 M€. Des hypothèques et des nantissements ont ét é pris sur les actifs de Club Med II, Canc un Yuc atan et de La Point e aux Canonniers en garantie des emprunts. (cf notes 8.2 et 18.3). 122 Doc um ent de Référenc e 2008 29.2 ENGAGEMENTS DE LOYERS Le Groupe occupe des bureaux et des agenc es dans le c adre de c ontrats de l ocati on non résiliables. Des c ontrats de locati on sont également contract és pour c ertains matériels de bureau ainsi que pour l’équipement téléphonique et vi déo des Villages. Dans le cadre de s a politique de financ ement de ses ac tifs et pl us particulièrement de certai ns de s es Villages, le Groupe a contract é des c ontrats de l ocati on si mple non résiliables. Le tableau ci-dessous détaille l es engagements mi nimum au titre de ces contrats de location simple non résiliables. Les mont ants s ont convertis au t aux de change de clôt ure, non ac tualisés et i ndexés au dernier t aux connu. (en millions d’euros) Total loyers à payer 2009 2010 2011 2012 2013 2014 à 2016 2017 à 2026 2027 et au-del à 1 337 116 117 117 117 115 323 403 29 54 3 4 4 3 3 11 23 3 116 11 10 10 10 10 29 36 - 1 507 130 131 131 130 128 363 462 32 2 1 1 - - - - - - 1 509 131 132 131 130 128 363 462 32 Europe - Afrique Amériques Asie Sous-total Vill ages Club Med World Total lo yer s à payer La charge de loyer c onst atée en rés ultat des acti vités c onser vées au titr e des contrats de l ocati on simple s’ est élevée à 151 M€ en 2008 c ontre 136 M€ en 2007. Doc um ent de Référenc e 2008 123 NOTE 30. PERIMETRE DE CONSOLIDATION AU 31 OCTOBRE 2008 Seule la sociét é mère Club Médit erranée SA, dont les c omptes f ont l’objet d’ une publicati on, représ ente une part significative des actifs et du chif fre d’ affaires du Groupe. GROUPE Intégration fiscale Club Méditerranée SA Société-m ère • % contrôle % d’intérêt Méthode Club Aquarius ( ex. SECAG) 100,00% 100,00% IG • Club Med C entre d’Appels Eur opéen 100,00% 100,00% IG • Club Med Événements 100,00% 100,00% IG • Club Med Ser vices 100,00% 100,00% IG Club Med M arine 100,00% 100,00% IG • Hoteltour 100,00% 100,00% IG • Loin SAS 100,00% 100,00% IG • SAS du D omaine de Dieulefit 100,00% 100,00% IG • SCI Edomic 100,00% 100,00% IG Sociét é de G estion Hôt elière et de Tourisme SA - SGHT 100,00% 100,00% IG • Sté I mmobilière des Résidenc es Touristiques - S.I .R.T. 100,00% 100,00% IG • Sté des Villages de Vac anc es 100,00% 100,00% IG • Club Med Villas et Chal ets Holdi ng 100,00% 100,00% IG • Club Med Villas et Chal ets 100,00% 100,00% IG • Club Med Villas La Caravelle 100,00% 100,00% IG • Club Med Villas et Chal ets Management 100,00% 100,00% IG Financière CMG 15, 05% 16, 28% MEE Vacances (Pt y) Lt d 100,00% 100,00% IG Club Médit erranée Sout h Africa (proprietar y) Lt d 100,00% 100,00% IG 100,00% 100,00% IG 100,00% 100,00% IG 100,00% 100,00% IG 50, 00% 50, 00% IG Club Médit erranée SA Es pagne 100,00% 100,00% IG Hoteles y Campament os - HOCASA 100,00% 100,00% IG Servicios Auxiliares del Club Mediterraneo - SACM Grande-Bretagne 100,00% 100,00% IG Club Médit erranée UK Ltd 100,00% 100,00% IG Club Médit erranée Servic es Europe Ltd 100,00% 100,00% IG Club Médit erranée Hellas 100,00% 100,00% IG Funhotel Ltd (Ermioni) 100,00% 100,00% IG SECTEUR EUROPE France Afrique du Sud All emagne Club Médit erranée Deutschl and Belgique Club Médit erranée SA Belge Croatie Club Médit erranée O dmaralista Ég ypte Belladona Hot els & T ourisme Espagne Grèce 124 Doc um ent de Référenc e 2008 % contrôle % d’intérêt Méthode 100,00% 100,00% IG Compagnie des Villages de Vac anc es de l’Isle de France - COVIFRA 84, 43% 84, 43% IG Club Médit erranée Al bion R esorts Ltd 22, 50% 22, 50% MEE 100,00% 100,00% IG 100,00% 100,00% IG 100,00% 100,00% IG Sta Alberghiera Porto d’Ora - S.A.P.O . Spa 40, 52% 40, 52% MEE Sviluppo Turistico per Met aponto 38, 00% 38, 00% MEE 100,00% 100,00% IG 60, 00% 60, 00% IG Sociedade Hot eleira Da Balaïa SA 100,00% 100,00% IG Club Med Viagens lda 100,00% 100,00% IG 100,00% 100,00% IG 100,00% 100,00% IG 50, 00% 50, 00% IG 100,00% 100,00% IG 49, 00% 49, 00% MEE 100,00% 100,00% IG 37, 43% 37, 43% MEE 100,00% 100,00% IG 100,00% 100,00% IG Intégration fiscale Ile Mauri ce Holiday Villages Management Ser vices Ltd Albion D evelopment Lt d Israël Club Médit erranée Israël Lt d Italie Centrovac anz e Kamarina Sol e e s abbia di Sicilia Spa Pays-Bas Club Médit erranée Holland BV CM Middle East BV Portugal Sénégal Sociét é I mmobilière et de Gesti on H ôtelière de Cap Skirring Suisse Club Médit erranée Suisse Holiday Hot els AG Nouvelle Société Victoria Tunisie Club Médit erranée Voyages Club Med Basic T unisie SPFT – C arthago Turquie Akdeniz Turistik Tesisler A. S. Ukraine Club Médit erranée U kraine Doc um ent de Référenc e 2008 125 % contrôle % d’intérêt Méthode Intégration fiscale SECTEUR AMERIQU E DU SUD France Club Med Amérique du Sud 100,00% 100,00% IG • Vacati on R esort 100,00% 100,00% IG • Club Med F erias 100,00% 100,00% IG • 100,00% 100,00% IG Club Med Brasil SA 100,00% 100,00% IG Club Médit erranée do Br asil Turismo Lt da 100,00% 100,00% IG Itaparica SA Empreendiment os Turisticos 51, 60% 51, 60% IG Argentine Club Med Argentina SRL Brésil Taipe Trancos o Empreendiment os SA 50, 00% 50, 00% IG 100,00% 100,00% IG 100,00% 100,00% IG 53, 91% 53, 91% IG Sociét é Hôt elière du Chabl ais 100,00% 100,00% IG Sociét é Martiniquaise des Villages de Vacances 100,00% 10, 00% IG Club Médit erranée (Bahamas) Lt d 100,00% 100,00% IG Columbus Isl e Casino 100,00% 100,00% IG Holiday Village (Columbus Island) 100,00% 100,00% IG Shippi ng Cruise Ser vices Lt d 100,00% 100,00% IG 100,00% 100,00% IG Club Med M anagement Ser vices Inc. 100,00% 100,00% IG • Club Med Sales Inc . 100,00% 100,00% IG • Holiday Village of Sandpiper 100,00% 100,00% IG • Sandpiper Resort Properties I nc/srp 100,00% 100,00% IG • Vacati on Wholesal er Inc 100,00% 100,00% IG • Cancun Propert y SRL 100,00% 100,00% IG Ixt apa Propert y SRL 100,00% 100,00% IG Operadora de Aldeas Vac acionales SA de c v 100,00% 100,00% IG Vacati on Properties de Mexic o SA de c v 100,00% 100,00% IG Villa Playa Blanca SA 100,00% 100,00% IG 100,00% 100,00% IG 100,00% 100,00% IG Club Med Brasil Boutiques Lt da SECTEUR AMERIQU E DU NORD France Club Med Amérique du Nord • Antilles Fr ançaises Sociét é Villages Hôtels des Car aïbes – SVHC • Bahamas Canada Club Med Sales Canada I nc. Etats-Unis Mexique République dominicaine Holiday Village of Punt a Cana (ex Newco) Turks & Caï cos Holiday Villages Pr ovidenciales T urks & Caic os Ltd 126 Doc um ent de Référenc e 2008 % contrôle % d’intérêt Méthode Intégration fiscale SECTEUR ASIE Luxembourg Club Med Asie 100,00% 100,00% IG Club Med M anagement (Australia) Pt y Ltd 100,00% 100,00% IG Club Med Austr alia Pt y Lt d 100,00% 100,00% IG Holiday Village (Australia) Pt y Lt d 100,00% 100,00% IG 100,00% 100,00% IG Club Médit erranée Hong Kong Ltd 100,00% 100,00% IG Club Médit erranée Management Asi a Lt d 100,00% 100,00% IG 100,00% 100,00% IG 100,00% 100,00% IG 100,00% 100,00% IG Club Médit erranée KK 100,00% 100,00% IG SCM leisure development Co Ltd 100,00% 100,00% IG Holiday Villages of Malaysi a sdn bhd 100,00% 100,00% IG Recreational Villages s dn bhd 100,00% 21, 00% IG Vacances (Malaysi a) sdn bhd 100,00% 100,00% IG Club Med Ser vices Singapore pte Lt d 100,00% 100,00% IG Vacances (Si ngapore) pt e Lt d 100,00% 100,00% IG 100,00% 100,00% IG Australie Corée Club Med Vac anc es (Korea) Lt d Hong Kong Maldives Maldivian Holiday Villages Ltd Inde Club Médit erranée Servic es I ndia Private Lt d Indonésie PT Bali Holiday Village Japon Malaisie Singapour Taï wan Club Med Vac anc es (Taiwan) Ltd Thaïlande Holiday Villages Thaïland Lt d 49, 21% 49, 21% IG Vacances Siam Club M ed Ltd 100,00% 100,00% IG 99, 94% 99, 94% IG Club Med World Holding 100,00% 100,00% IG • Club Med World France 100,00% 100,00% IG • CM World Montréal I nc 100,00% 100,00% IG CM World Montréal Hol ding Inc 100,00% 100,00% IG Pol ynésie et Nouvelle-Cal édonie Sociét é Polynési enne des Villages de Vac anc es SECTEUR CLUB MED W ORLD France Canada IG : intégration globale MEE : mise en équivalence Doc um ent de Référenc e 2008 127 RAPPORT DES COMMISSAIRES AUX COMPTES SUR LES COMPTES CONSOLIDES conditi ons sont décrites dans l es not es 2.1.1 et 5. 3 de Mesdames, Messieurs les Actionnaires, l’annexe aux c omptes consolidés . En exécution de l a mission qui nous a été confiée par votre assemblée générale, nous avons pr océdé au c ontrôle des comptes consolidés de l a s ociét é Club Méditerranée relatifs à l'exercice clos le 31 oct obre 2008, t els qu'ils sont joints au présent rapport. Les c omptes c ons olidés ont ét é arrêt és par le c ons eil d'administration. Il nous appartient, sur la base de notre audit, d'exprimer une opinion sur c es comptes. avons professionnelles eff ectué notre applicables audit en à nos propres appréciations dont nous portons à votre connaissanc e les éléments sui vants , en applicati on des dispositions de l’article L 823-9 du Code de c ommerc e : - La note 2. 7 « D épréci ation d'ac tifs i mmobilisés » expose les règles et mét hodes compt ables relati ves à la dépréciation des actifs immobilisés. Nous avons vérifié le caract ère approprié des I. OPINION SUR LES COMPTES CONSOLIDES Nous C’est dans ce contexte incert ain que nous avons dû proc éder sel on Franc e ; mét hodes c ompt ables visées ci-dessus et des informations données dans les notes de l'annexe, examiné la cohérence des données et des hypot hès es ret enues ainsi les nor mes que la document ation disponible, et proc édé sur ces bas es à ces nor mes l'appréciation du c aract ère raisonnable des esti mati ons requièrent la mise en œuvr e de diligences permettant réalisées. Par ailleurs, comme précisé dans la not e 5. 3, des d'obt enir l'assurance raisonnabl e que les compt es cons olidés tests de sensi bilité ont été c onduits afi n d'enc adrer les ne comportent pas résultats obtenus. d'anomalies significatives. Un audit consiste à examiner, par sondages, les éléments pr obants justifiant les données c ont enues dans ces comptes. Il consiste également à apprécier les principes c omptables suivis et les estimations significati ves retenues pour l'arrêté des compt es et à apprécier leur prés ent ation d'ens emble. Nous esti mons que nos c ontr ôles fournissent une base raisonnable à l'opi nion expri mée ci-après. mét hodes comptables r elati ves à la dét ermination du caractère r ecouvr able des i mpôts diff érés actifs. Nous avons vérifié l e caract ère appr oprié des mét hodes c omptables visées ci-dess us, exami né la c ohérenc e des données et des hypothès es r etenues ainsi que la documentation dis poni ble, et procédé s ur ces bas es à l'appréciation du carac tère Nous certifi ons que les c ompt es consolidés de l'exercice sont, au regard du réf érentiel IFRS t el qu'adopté dans l'Union européenne, réguliers et sinc ères et donnent une image fidèle du patrimoi ne, de la situation fi nancière, ai nsi que du résult at de l'ensemble constitué par les - La not e 2. 15 « Impôts diff érés » expos e les règles et personnes et entités comprises dans la consolidation. II. JUSTIFICATION DES APPRECIATIONS Le contexte économique act uel entraî ne pour les entreprises un manque de visibilité s ur le f ut ur, not amment au plan de leur acti vité et de leur financ ement . Cela crée des c onditi ons spécifiques cet te année pour la pr épar ation des compt es, raisonnable des esti mati ons r éalisées . Les appréci ations ainsi portées s'inscrivent dans le c adre de notre démarc he d'audit des comptes c ons olidés, pris dans leur ens emble, et ont donc contribué à la formation de notre opinion exprimée dans la premi ère partie de c e rapport . III. VERIFICATION SPECIFIQUE Nous avons égal ement proc édé, c onformément aux nor mes professionnelles applicables en France, à la vérification des informations relati ves au groupe, données dans le rapport de gestion. particulièrement au regard des estimations c omptables qui Nous n'avons pas d'obs er vation à f ormul er sur leur si ncérité sont requises en application des principes c omptables. Ces et leur conc ordance avec les c omptes cons olidés . Neuilly-sur-Seine et Paris-La Déf ens e, l e 29 janvier 2009 Les Commissaires aux Comptes DELOITTE & ASSOCIES Dominique J umauc ourt 128 ERNST & YOUNG Audit Pascal Maci oce Doc um ent de Référenc e 2008 ORGANIGRAMME SIMPLIFIE AU 31 OCTOBRE 2008 Sociétés commer cial es Sociétés de services Sociétés immobilièr es CM Centre d’Appels Européen SAS Domaine de Dieulefit Sociétés immobilièr es et de services Autres EUROPE France CMSA Club Aquarius SVV CM Événements Hoteltour Loin SAS CM Villas et Chalets SIRT Sté Ci vile Edomic CM Marine CM Villas La Caravelle SGHT CM Villas et Chalets Holding CM Services CM Villas et Chalets Management Financière CMG Afrique du Sud Vacances Pt y All emagne CM Sout h Africa Lt d CM Deutschland Belgique CM Belgique Croatie CM Odmar alista Belladona Hot els & tourisme Ég ypte Espagne CM Espagne Grande-Bretagne SACM Hocasa CM UK CM Services Grèce CM Hellas HV Management Servic es Ile Mauri ce Covifra Funhotel Albion Development Ltd CM Albion Res orts Israël CM Israël Centrovac anz e Kamarina Ste Alberghiera Porto d’Ora Sviluppo Turistico per Met apont o Italie Pays-Bas CM Holland Portugal CM Middle East Sociedade Hot eleira da Balaï a CM Viagens Sociét é Immobilière de Gestion Hôt elière de Cap Skirring Sénégal Suisse CM Suisse Holiday Hot els Nouvelle Société Victoria Tunisie SPT - Carthago Club Med Voyages CM Bazic Tunisie Akdeniz Turistik Tesisler Turquie Ukraine CM Ukraine AMÉRIQUE DU SUD France Vacati on R esort CM Amérique du Sud CM Ferias Argentine Brésil CM Argentina CM do Brasil Turismo Itaparica CM Brasil Boutiques Taipe Trancos o CM Brasil Empr edimentos Doc um ent de Référenc e 2008 129 Sociétés commer cial es Sociétés de services Sociétés immobilièr es Sociétés immobilièr es et de services Autres AMÉRIQUE DU NORD France CM Amérique du Nor d Sté Martiniquaise des Villages de Vacances Antilles fran çai ses Bahamas SVHC Sté Hôtelière du Chablais Holiday village CM Bahamas (Columbus Island) Columbus Isl e Casino Shippi ng Cruise Servic es Canada CM Sales Canada I nc. États-Unis CM Sales CM Management Servic es Vacati on Sandpiper Resort Properties Holiday Village of Sandpiper Whol esaler I nc Operadora de Aldeas Vacacional es Mexique Villa Playa Blanca Ixt apa SR L Vacati on Properties de Mexico Cancun SRL Rép. dominicaine HV of Punta C ana Turks & Cai cos HV Providenciales ASI E Luxembourg CM Asie Australie Corée CM Australie CM Management Holiday Village Australia Australia CM Vacanc es Korea Pol ynésie et Nelle-Calédonie SPVV Hong Kong CM Hong Kong Maldives CM Management Asia Maldivian HV Indonésie Inde PT Bali HV CM Services India Privat e Ltd Japon Malaisie Singapour Tai wan Thaïlande CM KK SCM Leisure Development C o Vacances (Malaysia) CM Services (Singapore) CM Vacanc es (Taiwan) Vacances Siam CM HV Malaysia Recreational Villages Sdn Bhd Vacances (Si ngapore) HV (Thaïland) CLUB MED W ORLD France Canada 130 CM World Franc e CM World Holding CM World Montréal CM World Montréal Doc um ent de Référenc e 2008 ____________CLUB MEDITERRANEE SA COMPTES SOCIAUX Doc um ent de Référenc e 2008 131 BILAN DE LA S OCIET E M ERE ACTIF 31. 10. 07 (en millions d'euros) Notes (*) 31. 10. 08 Valeur nette Valeur brute Amortissem ents et Valeur nette provisions Frais de rec herche et développement 1 2 2 - Concessions, brevets , droits similaires 33 109 78 31 8 9 - 9 Fonds c ommercial Autres i mmobilisati ons inc orpor elles Immobilisations in corporelles 3-1 3 4 - 4 45 124 80 44 8 - 8 Terrains 8 - Constructions 13 33 20 13 Constructions s ur sol d'autrui 71 153 72 81 27 86 58 28 Installations tec hniques, matériel et outillage 11 37 25 12 Immobilisations corporelles Autres i mmobilisati ons c orporelles 3-2 130 317 175 142 Immobilisations corporelles en cour s 3-2 6 11 355 846 422 424 96 95 2 93 Titres de participations Créances r attac hées aux participations Prêts et autres i mmobilisations fi nancières Immobilisations finan cièr es 3-3 Total de l' Actif Immobi lisé Stoc ks 11 27 43 478 984 424 560 43 659 1 436 679 757 7 8 Créances Clients et comptes r attac hés 3-4 49 48 3 45 Autres créanc es 3-5 423 344 22 322 Valeurs mobilières de placement 3-6 37 47 4 43 Comptes de dépôts et disponibilités 3-6 26 64 542 511 Actif circul ant 8 64 29 482 Charges cons tat ées d'avance 3-13-1 33 39 39 Charges à répartir sur pl usieurs exercices 3-13-5 3 2 2 1 237 1 988 Total de l' Actif (*) 708 Le changement de mét hode Cf . note 2. 1 n’i mpac te que le passif du bilan 132 Doc um ent de Référenc e 2008 1 280 PASSIF (en millions d'euros) Notes 31. 10. 07 Capital s ocial Primes d'émission, de f usion et d'apport 31. 10. 07 Pro Forma (*) 31. 10. 08 77 77 77 563 563 563 Réserve légale 7 7 7 Autres rés er ves 22 22 27 (281) (281) (323) (38) (38) (1) 350 350 27 34 27 31 54 65 287 288 Report à nouveau Résultat de l'exercice Capitaux propres 3-7 350 Provisions pour risques 27 3-8 Empr unts obligataires 54 84 84 91 2 74 76 167 373 74 447 546 60 60 50 103 103 106 Empr unts et det tes financières di vers 3-10 Avances clients Fournisseurs Dettes fiscales et s ociales Dettes d'explo itation 3-11 33 33 46 136 136 152 6 6 7 Dettes s ur immobilisations et c ompt es rattachés Autres det tes Dettes diverses 3-12 Total dettes Produits cons tat és d'avanc e Total du passif - 287 Empr unts auprès des établissements de crédit Emprunts et dettes financières - 27 Provisions pour c harges Provisions pour risques et charges (*) Impact changem ent (*) de méthode 223 (74) 149 67 229 (74) 155 74 798 - 798 822 35 43 1 237 1 280 3-13-2 35 1 237 - Le changement de mét hode Cf . note 2. 1 n’i mpac te que le passif du bilan Doc um ent de Référenc e 2008 133 COMPTE DE R ESULTAT DE LA SOCIET E M ERE (en millions d'euros) Notes Séjours - circuits - tr ansports Prestati ons de s ervic es et ventes de marchandis es Chiffre d'affaires 4-1-1 Produc tion i mmobilisée Autres produits Reprises de provisions et transf erts de charges 4-3 Total des produits d'exploit ation (*) 2008 966 1 046 58 66 1 024 1 113 4 4 19 19 12 8 1 059 1 144 2007 Achats 4-2-1 (506) (531) Servic es extérieurs 4-2-2 (316) (331) (15) (15) (182) (200) (22) (25) (5) (12) (8) (6) (1 054) (1 120) Résultat d'exp loitation 5 24 Produits de participation 43 11 5 6 Autres i ntérêts et produits assimilés 15 20 Reprises sur provisions 51 25 Différences positives de c hange 11 36 Total des produits financi ers 125 98 Dotations aux amortissements et provisions (98) (64) Intérêts et charges assimilées (22) (25) Différences négatives de c hange (10) (36) Autres c harges financi ères (36) (16) (166) (141) (41) (43) (36) (19) (1) 28 (1) (10) (38) (1) Impôts et t axes Charges de pers onnel Dotations aux amortissements Dotations aux provisions 4-3 Autres c harges Total des charg es d'exploitation Produits d'autres val eurs mobilières et créances de l'actif immobilisé Total des charg es finan cières Résultat financier 4-4 Résultat cour ant avant impôt Résultat exceptionnel Impôts Résultat net (*) 4-5 Le changement de mét hode Cf . note 2. 1 n’i mpac te que le passif du bilan 134 Doc um ent de Référenc e 2008 TABL EAU DE VARIATIONS DE L’ ENDETT EMENT (en millions d'euros) Notes 2007 2008 (38) (1) Flux li és à l'activité Résultat net de l'exercice Eli minati on des éléments s ans i ncidence s ur la trés orerie et non liés à l'activité Amortiss ements et provisions sur immobilisations 11-1 79 50 Autres mouvements 11-2 31 (11) 72 38 (43) (16) 29 22 (8) (6) Acquisitions d'immobilisations corporelles (28) (27) Acquisitions d'immobilisations financières (16) (44) 11-4 (52) (77) Prix de c ession des immobilisations 11-5 12 75 Diminution des autres immobilisations financières 11-6 Marge brute d'autofinancement Variation du besoin en f onds de roul ement lié à l'acti vit é 11-3 Flux net li é à l'activité (A) Flux li és aux opérations d'investissement Incidence de la variation des décalages de trésorerie s ur les opérations d'investissements Acquisitions d'immobilisations incor porelles Total des investissem ents Incidence de la variation des décalages de trésorerie s ur les opérations de désinv estissements 6 2 18 77 (34) - - (151) - (151) (5) (129) Endett ement à l’ouvertur e (305) (310) Endett ement à la clôt ure (310) (439) Total des cession s ou diminutions d e l'actif immobil isé Flux nets liés au x opér ations d'investi ssements (B) Flux li és aux opérations d e financement Autres flux d'endett ement (1) Flux nets liés au x opér ations de financement (C) Vari ation de l’ endettement ( A) + (B) + (C) (1) Reclassement des c ompt es courants financiers créditeurs en dettes financières Doc um ent de Référenc e 2008 135 RESULTATS DE LA SOCIET E M ERE AU COURS DES CINQ EXERCICES (en millions d'euros) 2004 2005 2006 2007 2008 77 77 77 77 77 Nombre d'acti ons émis es 19 358 005 19 358 005 19 358 005 19 370 705 19 377 905 Nombre d'acti ons rémunérées (pondéré) 19 358 005 19 358 005 19 358 005 19 370 705 19 377 905 934 968 1 006 1 024 1 113 Résultat avant i mpôts, participation des sal ariés et dot ations aux amortissements et provisions 26 29 121 18 73 Impôts s ur les bénéfices (2) (1) (1) (1) (10) (78) 94 (14) (38) (1) 1,24 1,45 6,20 0,88 3,25 (4,03) 4,86 (0,72) (1,96) (0,05) - - - - - 8 791 8 177 8 679 8 631 8 442 162 166 175 182 200 I - CAPIT AL EN FIN D'EXERCICE Capital s ocial II - OPER ATIONS ET RESULTATS DE L'EXERCICE Chiffre d'af faires hors t axes Résultat apr ès impôts , participati on des s alariés et dot ations aux amortissements et provisions III - RESULT ATS PAR ACTION (en euros) Résultat apr ès impôts , participati on des s alariés, mais avant dotations aux amortissements et provisions Résultat apr ès impôts , participati on des s alariés et dot ations aux amortissements et provisions Dividende at tribué à c haque ac tion (jouissanc e entière) IV - PERSONNEL Nombre de salariés Montant de la masse s alariale globale et des avantages s ociaux 136 Doc um ent de Référenc e 2008 ANNEXE AUX COMPTES SOCIAUX La s ociét é Club Méditerranée SA est une s ociét é anonyme de droit français dont l e siège social est sit ué au 11, rue de Cambrai – 75957 Paris Cedex 19. Les informations ci-apr ès constituent l’annexe aux états financi ers de l’exercice s ocial de 12 mois clôt urant le 31 octobre 2008. Les comptes sont exprimés en millions d’eur os (M€) sauf indication contraire. 2.1. CHANGEMENT DE METHODE COMPAR ABILITE DES EXERCICES ET Au 31 octobre 2008, les compt es courants financiers ont ét é présentés en emprunts et dett es financières di vers et non en autres dett es. Cet te prés entation vise à donner une meilleur e lisibilité sur la s tructure financièr e du bilan et n’a aucun impac t sur le compt e de rés ultat . Le bilan passif pr ésente l’impact du 1. FA ITS MARQUANTS DE L’EXERCICE changement de mét hode sur les c omptes 2007 (comptes pr o 1.1. EVENEMENTS SIGNIFICATIFS Les not es 3.10.1 et 3.12. s ont ét ablies à partir des c ompt es Le 25 j uillet 2008, la Société a cédé s a participati on dans Club Med G ym SA à la société Financière CMG pour un pri x de 74 M€. La Sociét é a c ons enti un crédit-vendeur de 13 M € rémunéré à un t aux de 6% jusqu’en novembre 2016. La Sociét é, s ouhait ant conser ver s on influence notable dans l’activité Club Med G ym, a pris une participation à haut eur de 16, 3% dans le capital de la société Financière CMG pour 1, 5 M€ et a s ouscrit à un emprunt obligataire convertibl e en actions de la s ociété Financière CMG pour 2, 7 M€. forma). pro for ma 2007 2.2. METHODES D’EVALUATION La Soci été applique le règlement CRC n. 2002-10 du 12 décembr e 2002 rel atif à l’amortissement et à l a dépréci ation des actifs et le règlement CRC n. 2004-06 du 23 novembr e 2004 r elatif à la définition, l a c omptabilisation et l’évaluation des actifs. 2.3. OPERATIONS EN DEVISES Le 4 août 2008, la s ociét é Hôteltour, filiale à 100% de Club Méditerranée SA, a c édé s a participation dans le capital de Jet t ours SA. 1.2. EVENEMENTS POSTERIEURS A LA CLOTURE Aucun événement postérieur à la clôt ure 2. REGLES ET METHODES COMPTABLES A) ETABLISSEMENTS EXPLOITES A L’ ETRANGER Les comptes des établissements exploit és à l'étranger sont convertis en euros selon la méthode du cours hist orique : - pour l es i mmobilisations et les dotations aux amortissements correspondant es, application du taux hist orique, - pour les actifs et l es passifs monét aires, application du taux de clôture, Les c onventi ons général es c omptables ont été appliquées , dans le res pect du principe de prudenc e, c onf ormément aux - dispositions l égales et réglementaires applicabl es en Franc e amortissements), application du t aux moyen de l'exercice. et aux hypot hès es de base qui ont pour objet de four nir une pour le compte de résult at (hors dot ations aux L'écart de c onversion es t affect é au rés ultat de l'exercice. image fidèle de l’entreprise : - continuité de l’exploit ation ; B) SIEGE ET VILLAGES FRANÇAIS - permanence des méthodes comptabl es d’ un exercice à Les opérations en devises af fect ant les éléments d'ac tif ou de l’autre ; passif s ont compt abilisées en c ours d'exercice sur l a base des cours moyens mens uels et les éc arts avec le c ours réel du - indépendance des exercices ; et confor mément aux r ègles général es d’ établissement et de présentati on des c ompt es annuels. jour des tr ans actions s ont port és au compte de résult at dans les charges ou les produits financiers. Les écarts de c onversion à la clôt ure de l'exercice résult ant de La Sociét é s uit les règles édictées par les plans compt abl es la différ ence entre le cours moyen mens uel et le cours de professionnels des i ndus tries hôtelièr es (avis CNC 27 du 21 clôture ont ét é inscrits au rés ultat . janvier 1984) et des agences de voyages (avis CNC 34 du 12 mars 1984). Doc um ent de Référenc e 2008 137 Le f onds commercial est cons titué de fonds de c ommerce et 2.4. IMMOBILISATIONS CORPORELLES INCORPORELLES ET L'évaluation des éléments inscrits en c ompt abilité a ét é droits au bail d’agences c ommerciales (note 3.1.1.). 2.4.2. IMMOBILISATIONS CORPORELLES pratiquée par réf érenc e à la méthode dite des c oûts Les immobilisations corporelles sont évaluées s elon l a historiques, s auf en c e qui conc erne les immobilisations ayant mét hode du c oût hist orique qui inclut les coûts d’acquisition ou fait l'objet de réévaluation dans l e cadre de la loi du 29 de production. décembr e 1976. Les coûts de production c omprennent les coûts des mat ériels Les c oûts d’ emprunts liés au financ ement d’investissement ne utilisés et la main d’œuvre directe ainsi que le c oût du s ervic e sont pas i ntégrés au c oût d’acquisition des immobilisations. Construction et Développement. Le montant des coûts de développement immobilisés es t Les amortissements pour dépréciation sont calc ulés s uivant constit ué par les charges engagées à compt er de la prise de le mode linéaire, en fonc tion de la durée d’ utilité des biens décision de la s ociété de mener le projet. revue à chaque clôture annuelle et modifiés si néc essaire. Ces changements d’esti mati on sont c omptabilisés de manièr e 2.4.1. IMMOBILISATIONS INCORPORELLES prospec tive. Les immobilisations inc orpor elles sont c omptabilisées à leur Les différ ents composants d’une i mmobilisation c orporell e coût d'acquisition ou de production (frais acc essoires incl us), sont c ompt abilisés s éparément lorsque l a durée d’utilit é au cours de l'exercice durant l equel elles ont ét é acquises . estimée est différente. Les amortissements pour dépréciation sont c alculés sui vant l e mode linéaire, en fonction de la durée de vie prévue : o module de gestion des transports 3 ans o syst ème d'inf ormations financières 3 à 15 ans o autres programmes infor matiques 3 à 8 ans o syst ème commercial 3 à 24 ans o autres i mmobilisati ons i ncorporelles 3 à 10 ans Les dur ées d’amortiss ements généralement retenues s ont l es suivant es : o Terrassements , fondations et struct ures 50 ans o Charpente, toit ure 30 ans o Maçonnerie, clois onnement 25 ans o Installations chauffage…) tec hniques (plomberie, o Equipements hôteliers fixes Ces durées d’ utilité sont revues à chaque cl ôture annuelle et modifiées si néc essaire, ces c hangements d’es timation ét ant comptabilisés de mani ère pros pec tive. Les durées d’amortissement des logiciels électricité, 20 ans 15 ans o Aménagements (menuis erie, revêt ements, Vitrerie, …) 10 ans o Autres 3 à 10 ans du s ystème commercial ai nsi que du s ys tème d’infor mations financièr es sont rallongées quand le développement de ces applications Lorsque la valeur d'utilité ou de marché pour des villages mis modifie leur dur ée de vi e. en vente ou devant être fer més est inf érieure à la valeur nett e Les i mmobilisati ons incorporelles non amortissabl es f ont l’objet d’un tes t de valeur. Pour la mis e en œuvre de c e t est l a comptable, une provision exceptionnelle est enregistrée pour ramener les actifs à leur valeur de réalisation. société combine une approc he par ac tualisation des flux fut urs En c as de c onstruc tion ou rénovati on des villages, les c oûts de tr ésorerie estimés ( valeur d’ utilité) et une approche par engagés figurent en immobilisations en c ours jusqu’à la dat e multipl e de marché (estimation de la juste valeur nett e des d’ouverture du village, poi nt de départ de l a mise en s ervic e frais de c ession). de c es immobilisations. Les flux fut urs sont estimés s ur la base d’une projec tion sur l a durée fut ure du bail, des données historiques sur trois ans et du budget, avec application d’une valeur termi nale act ualisée. Le taux d’act ualisati on ret enu est détermi né selon l a méthode du c oût moyen pondéré. Les titres de participation s ont inscrits au bilan à leur coût d’acquisition, di minué des éventuelles provisions les actifs sont dépréci és afin de l es ramener à l eur valeur recouvrabl e. C elle-ci est défini e c omme Les coûts des titres inscrits au bilan ne comprennent pas l es frais liés à leur acquisition. la plus élevée entre la valeur d’utilité et la juste valeur nette. 138 pour dépréci ation constit uées dès l ors que l a valeur d’utilité devient inférieure à la valeur compt abl e. Lorsque les valeurs ainsi déter minées se révèlent inférieur es à la valeur c omptable, 2.5. IMMOBILISATIONS FINANCIERES Doc um ent de Référenc e 2008 La valeur d’utilité est dét erminée par réf érenc e à l a quote-part Les actifs de trés orerie s ont comptabilisés à leur valeur des capitaux propres que les titres représentent, au c ours de historique. Lorsque la valeur liquidati ve de c es valeurs de change de clôt ure pour les sociét és étrangères, ajust ée l e c as placement est supérieure à leur prix d’ acquisition, elle ne peut échéant pour tenir compt e de la valeur intrinsèque des être retenue comme val eur au bilan ; dans le cas c ontraire l a sociétés . Les critères retenus s ont : moins- val ue — les él éments hist oriques ayant ser vi à apprécier la valeur d’origine des titres ; latente éventuelle donne lieu à la comptabilisation d’une provision pour dépréci ation. 2.9. PROVISIONS POUR RISQUES ET CHARGES — les éléments ac tuels tels que l a rentabilité de l’entreprise ou la valeur réelle des actifs s ous-jac ents ; — les éléments futurs correspondant aux perspec tives de rentabilité ou de réalisation et aux t endances Les provisions s ont compt abilisées lorsque l a Société : - de l a - conjoncture économique. qu’il est probabl e qu’une s ortie de ress ourc es représentati ve L’appréciation de l a valeur des titres tient compt e en d’avantages éc onomiques ser a nécess aire pour éteindre l’obligation, et particulier de la mat urité de l’ac tivit é (par exemple si l’acti vit é est dans une période de lancement, aucune provision n’es t a une obligation à l’égard d’un tiers (légale ou implicite) résult ant d’un événement passé, - constit uée si la rentabilité f utur e est ass urée). que le mont ant de l’obligation peut être esti mé de manière fi able. La dépréciation est enregistrée sur les titres puis s ur les prêts , Les provisions pour sinistres correspondent à l’esti mati on fait e les comptes c ourants et ensuite, si néc essaire, une provision par un c ourtier d’ass uranc es des risques liés aux litiges de pour risques est c onstit uée. respons abilité ci vile et bagages déclarés aux 31 octobre de chaque exercice. 2.6. STOCKS Les st oc ks sont c omptabilisés au pl us fai ble du c oût, calcul é selon la mét hode du « c oût moyen pondéré », et de la valeur 2.10. RETRAITES ET AUTRES LONG-TERME AV AN TAGES A nett e de réalisation. La valeur net te de r éalisati on est le pri x En acc ord avec les lois et pratiques de c haque pays dans de vente estimé dans le cours normal de l’acti vité, dimi nué lequel la société est impl ant ée, les s alariés de la s ociét é des c oûts esti més pour leur achèvement et des c oûts bénéficient de différents régimes de retraite c omplémentaire, nécess aires pour réaliser la vent e. d’indemnit és de fin de carrière et autres avantages long t erme. La sociét é applique en la matièr e la rec ommandation n°2003- 2.7. CREANCES R01 du CNC. Une description des principaux régimes de l a Les créanc es clients s ont reconnues et compt abilisées pour l e montant initi al de la f act ure, déduction f aite des provisions pour dépréciation des montants estimés non recouvrables . Une provision est c onstit uée lorsqu’il existe des él éments objectifs indiquant que la sociét é ne s era pas en mesure de recouvrer c es créances. Le montant de la provision varie en foncti on des possibilités réelles de recouvrement de l a créance, évaluée avec prudenc e sur l a bas e de la situation patrimonial e du débit eur, de l a compl exité de l’ac tion de recouvrement et de la sit uati on générale du marché. Les créances irrécouvrabl es sont constatées en pert e lorsqu’elles sont i dentifiées comme t elles. société est donnée en note 3.9. AVANTAGES POSTE RIEURS A L’ EMPLOI REGIMES A COTISAT IONS DEFINI ES Pour l es régimes de bas e et autres régimes à cotis ations défini es, la s ociét é c omptabilise en charges les cotisations à payer lorsqu’elles sont dues et aucune provision n’es t comptabilisée, la s ociét é n’étant pas engagée au-delà des cotisations vers ées. REGIMES A PREST ATIONS DEF INIES Les régimes à prestations définies sont évalués s ui vant une 2.8. TRESORERIE TRESORERIE ET EQUIVALENTS DE Les équivalents de trés orerie s ont détenus dans le but de f aire face aux engagements de tr ésorerie à c ourt t erme : ils comprennent la trés orerie en banque, la caiss e, les dépôts à court t erme ayant une échéance i nitiale de moins de trois mois et des SICAV monétaires f acilement c onverti bles en trésorerie. Ils sont très liquides, f acilement c onvertibles en un montant de tr ésorerie c onnu et s oumis à un risque négligeabl e de c hangement de valeur. mét hode actuarielle dit e des unités de crédits projetés. C ett e mét hode néc essite la prise en compt e d’hypot hès es actuarielles long t erme sur les données démographiques (rotation du pers onnel, mortalité) et financi ères (augment ation des salaires, t aux d’ actualisation). Ces paramètres s ont revus chaque année. L’incidenc e des changements d’hypot hès es actuarielles sur le mont ant de l’engagement est enregistrée en écarts actuariels. Ces éc arts constituent des actifs ou des passifs à amortir. L’augment ation de l’engagement liée au passage du temps est enregistrée en rés ultat financier. Doc um ent de Référenc e 2008 139 TRAITEMENT DES ECARTS ACTUARIELS Les obligations émises le 3 novembre 2004 ont une éc héanc e Les écarts act uariels des avant ages post érieurs à l’empl oi finale au 1er novembre 2010. constit uent des actifs ou des passifs à amortir. Ils s ont Elles portent intérêt à un taux de 4,375% l’an soit 2,12 eur os const atés en rés ultat selon la méthode du corridor appliquée par obligation et en l’absence de c onversion et /ou d’éc hange plan par plan. Les éc arts ac tuariels (gains et pertes) s ont en actions , la s ociét é remboursera les porteurs au pair. comptabilisés en produit ou en c harge lorsque les gains et pertes act uariels cumul és non rec onnus excèdent 10% de l a val eur la plus élevée de l'obligation et de la j uste valeur des actifs du régime. Cet exc édent es t amorti sur la durée d’acti vité moyenne résiduelle du personnel bénéficiant du Les frais liés à l’émission de l’OCEANE 2004 pour 3, 2 M€ s ont étalés en c harges à repartir, sur la durée de vi e des obligations. régime. 2.11.2. LIGNE DE CREDIT CONFIRMEE ET AUTRES EMPRUNTS COUTS DES SERVICES PASSES La s ociété dispose au 31 oct obre 2008 : Les variations des engagements c onséc uti ves à une d’une ligne de crédit s yndiquée de 120 M€ à modification de régime sont des c oûts des ser vices passés. Ils échéanc e 2010. Sur 2008, la s ociét é a eff ect ué des sont enregistrés immédiat ement en rés ultat l orsque les dr oits tirages ponct uels d’éc héanc e 1 mois sur la ligne de sont acquis ou ét alés s ur la période d’acquisition des droits. crédit s yndiquée. Au 31 oct obre 2008 c ette ligne ne fait l’objet d’aucun tirage. Le 3 novembre 2008, l a REDUCTION DE DROITS OU LI QUIDATION DE R EGIME Sociét é a proc édé à un tirage de 120 M€ afin de financ er le remboursement de l’OCEANE. Les eff ets de l a réduction de droits ou de liquidation de régime sont constatés en r ésultat à l a date où s e produit la réduction ou l a liquidation. Le résult at enregistré c orrespond à l’éval uati on de l’obligation qui es t réduite, évaluée à la date de réduction ou de liquidation, ainsi que de l a reconnaiss anc e immédiat e des éc arts act uariels et du coût des s ervic es passés correspondant. d’une ligne amortissable adossée au village de Cancun pour un mont ant de 50 M€ à éc héanc e 2017 conclue fin mai 2007. d’un emprunt dédié aux travaux du village de l a Point e aux Canonniers pour un montant de 26 M € conclu en juin 2007. Cet empr unt est séc urisé par un nantiss ement s ur les titres de la sociét é qui 2.11. DETTES FINANCIERES détient le village. 2.11.1. OBLIGATIONS CONVERTIBLES ECHA NGEABLES EN ACTIONS NOUVELLES OU EXISTANTES (OCEA NE) Les c ovenants assortis à ces emprunts au 31 oct obre 2008 sont l es sui vants : Covenants à res pect er Situation au 31/ 10/ 2008 Au 31 octobre 2008, la dette de la soci été incl ut 277, 2 M€ Engagements hors-bilan donnés < 200M€ d’obligations convertibles dont l a date de jouiss anc e est - pour 127,2 M € le 30 avril 2002 - pour 150 M€ le 3 novembre 2004. 121M€ Gearing ratio < 1 0,60 Dette net te / Ebitda < 3, 5 2,72 Fixed charge cover > 1,35 1,51 Les obligations émises le 30 avril 2002 ont une éc héanc e Les ratios sont c alculés sur la bas e des c omptes consolidés finale au 3 novembre 2008. au 31 octobre 2008 du Groupe Club Médit erranée. Elles port ent int érêt à un t aux de 3% l’an. De plus, en Les c ovenants sont res pect és au 31 octobre 2008. l’absenc e de conversion et /ou d’éc hange en acti ons, l a société réglera aux porteurs une prime de remboursement. D e ce fait, le taux de rendement actuariel tot al à maturité ser a dans ce c as porté à 5,25 %. En complément, la partie des intér êts comprise entre 3 % et 5,25 % est provisionnée chaque exercice prorat a temporis, jusqu'au 3 novembre 2008. Les frais liés à la mis e en place de la ligne amortissabl e adoss ée au village de Cancun (1 M€) sont étalés en charges à repartir sur 10 ans. Les frais liés à l a mise en plac e de l’emprunt s ur l e village de la Point e aux Canonniers ( 0,2 millions d’euros) sont ét alés en charges à repartir sur 10, 5 ans. Le 3 novembre 2008, la société a proc édé au r emboursement des 127,2 M € d’obligations c onvertibles arrivées à éc héanc e (date de jouissance le 30 avril 2002). Ce remboursement a été assorti d’une prime de remboursement s’ élevant à 21, 6 M€ et d’un c oupon de 3,8M €. 140 Doc um ent de Référenc e 2008 Le périmètre au 31 octobre 2008 s e décompose comme suit : 2.12. INSTRUMENTS FINANCIERS er ⇒ Sociét és prés entes au 1 Novembre 2007 - Club Aquarius, - Club Med Amérique du Nord, - Club Med Amérique du Sud, - Club Med C entre d’Appels Eur opéen, - Club Med Evénements, - Club Med M arine, 2.13. ACTIONS AUTO-DETENUES - Club Med World Holding, Les actions Club Médit erranée dét enues par la sociét é, s ont - Club Med World France, - Hôteltour, - Loin Voyages, - Sas du Domai ne de Dieulefit , - Sociét é I mmobilière des Résidences Touristiques, - Sociét é des Villages de Vac anc es, - Sociét é Hôt elière du Chabl ais, - Sociét é de G estion Hôt elière et de Tourisme, - Vacati on R esort ⇒ Sociét és ayant opté à c ompter du 1 novembre 2007 - Club Med F erias, - Club Med Villas et Chal ets Holdi ng, - Club Med Villas et Chal ets, - Club Med Villas La Caravelle, La société a rec ours à l'utilisation d'instruments fi nanciers pour couvrir le risque de taux s ur la parti e variable de l’endettement et c ouvrir les flux fi nanci ers nets en devis es pour des échéances i nférieures ou égal es à un an. Les couvertur es ét ant aff ectées à des événements devant s e réaliser l'exercice s ui vant, les pert es et l es gains non réalisés , résultant de l a réévaluation des instruments de couvertur e sont différ és lors de la s ur venanc e de la trans action. comptabilisées en val eurs mobilières de plac ement . Les profits ou pertes réalisés lors de l a vent e de ces actions propres s ont compt abilisés en résult at financi er. 2.14. STOCK OPTIONS La sociét é a mis en plac e des plans d’options de souscription et d’ac hat d’actions au bénéfice de certains membres du personnel et des dirigeants. Les plans de s ouscription d’actions prévoient l’émission d’actions nouvelles qui ne sont comptabilisées en augment ation de c apit al que lorsque l es paiements s ont reç us. Le dernier plan mis en œuvre (pl an M) a été consenti par l e Conseil d’Administration du 11 mars 2008. Les plans d’ achats d’actions ne prévoient pas l’émission d’actions nouvelles. Il s’agit d’actions aut o-dét enues. 2.15. CHIFFRE D’AFFAIRES Les prestations de ser vices : - - le chiffre d'affaires "séj ours" est c omptabilisé au prorata de la c onsommati on du séjour. - le chiffre d'af faires "transports" est comptabilisé en ⇒ Sociét és sorties du Groupe au 1 novembr e 2007 - CM Croisières et Tourisme, - Jet t ours, - Jet Eldo, - Jet Loisirs foncti on de l a date ef fecti ve de déplac ement. - er les autres prestations sont enregistrées au compt e de rés ultat dans la période où elles s ont réalisées. Les ventes de produits : le revenu est c omptabilisé lors de l a livraison et du trans fert de propriét é. 2.16. INTEGRATION FISCALE er Les conventions fiscal es liant la société mère aux filiales sont tout es i dentiques et pr évoient que l’impôt soci été dû par l e La Sociét é a opt é pour le régime de l’int égration fisc ale et groupe fiscal soit entièrement pris en charge par la sociét é s’est constituée têt e de groupe de 20 de ses filiales . mère, sans reversement des économies d’impôt aux filiales. Doc um ent de Référenc e 2008 141 3. NOTES SUR LE BILAN 3.1. IMMOBILISATIONS INCORPORELLES 3.1.1. VALEURS BRUTES Valeur s brutes au Acqui sitions 31. 10. 07 (en millions d'euros) Frais de rec herche et développement 2 Concessions, brevets , licenc es, marques , droits et valeurs similaires Fonds c ommercial 2 105 (1) 2 8 Autres i mmobilisati ons inc orpor elles et immobilisations en cours Total des i mmobilisations inc orporelles brut es (1) Valeur s brutes au 31. 10. 08 Mises en service 2 109 1 9 3 4 (3) 4 118 6 - 124 Fonds de commerce et droits au bail d’ agences commerciales 3.1.2. AMORTISSEMENTS ET PROVISIONS POUR DEPRECIATION Amortissem ents et provisions au Dotations (1) 31. 10. 07 (en millions d'euros) Frais de rec herche et de dével oppement Reprises Amortissem ents et provisions au 31. 10. 08 1 1 - 2 Concessions, brevets , licenc es, marques , droits et valeurs similaires 72 6 - 78 Total des amortissements et provisions des immobilisations inc orporelles 73 7 - 80 (1) Les augment ations de l’exercice port ent principalement sur les développements liés au site Internet 3.2. IMMOBILISATIONS CORPORELLES 3.2.1. VALEURS BRUTES (en millions d'euros) Terrains Acqui sitions (1) Cession s et autres diminutions (2) Reclassements et autres (3) Valeur s brutes au 31. 10. 08 8 Constructions, Inst allations tec hniques, mat ériel et équipements Autres i mmobilisati ons c orporelles et i mmobilisations en c ours Total des immobili sations corporel les brutes (1) Valeur s brutes au 31. 10. 07 8 247 17 (5) 13 272 42 10 (4) - 48 297 27 (9) 13 328 Les principaux investissements de l’exercice ont ét é réalisés s ur les villages de Tignes Val Claret (5 M€), des Deux Al pes (2 M€), d’Avoriaz (2M €), et dans les agenc es Club Médit erranée en France (2 M€). (2) Les principal es di minutions de l’exercice c onc erne l e village d’Al H oceima (4 M€) et le mat ériel inf ormatique du siège ( 2 M€). (3) Les reclassements et autres correspondent - pour 11 M€ aux immobilisations intégrées s uite à la f usion par transmission uni verselle de Patrimoine de la s ociét é Club Med Croisières et Tourisme - pour 2 M€ à des éc arts de c onversion. 142 Doc um ent de Référenc e 2008 3.2.2. AMORTISSEMENTS ET PROVISIONS POUR DEPRECIATION (en millions d'euros) Amortissem ents et provisions au Dotations 31. 10. 07 Constructions, Inst allations tec hniques, mat ériel et équipements des villages Autres i mmobilisati ons c orporelles et immobilisations en cours Total des amortissem ents et provisions des immobil isation s corporell es (1) Reprises (1) 136 16 (10) 25 3 (3) 161 19 (13) Reclassements Amortissem ents et provisions au (2) et autres 31. 10. 08 8 150 25 8 175 Les principales reprises de l’exercice concernent les villages d’Al Hocei ma (4 M €), de D a Bal aia (4 M€) et l e matériel informatique du si ège (2 M€). (2) Les reclassements et autres s ont constitués princi palement des amortissements int égrés suite à l a f usion par trans mission uni verselle de patrimoine de l a société Club Med Croisières et Tourisme ( 6 M€). 3.3. IMMOBILISATIONS FINANCIERES 3.3.1. VALEURS BRUTES Les principales variations des valeurs brutes s’anal ysent de la manière sui vante : Valeur s brutes au 31. 10. 07 Acqui sitions et autres (1) augmentations Participati ons 746 19 (63) 144 846 Créances r attac hées à des participati ons 105 25 (7) (25) 98 27 - 13 40 878 44 132 984 (en millions d'euros) Prêts et autres i mmobilisations fi nancières Total des immobili sations fin anci ères Cession s et Reclassements autres (3) et autres (2) diminutions (70) Doc um ent de Référenc e 2008 Valeur s brutes au 31. 10. 08 143 Détail des mouvements par titre : (2) (3) Acqui sitions Cessions et autres diminutions Reclassements et autres 19 - - - 158 (1) (en millions d'euros) Augmentations d e capital par apport en numér air e CM Hellas 11 Financière CMG 2 Albion D evelopment 6 Augmentations d e capital par in corporation de créan ces CM Amérique du Nor d - (5) 149 CM Amérique du Sud 9 Cession s de titres - CM Gym (63) CM Côte d'I voire (6) Sociét é I mmobilière de la Mer (1) Fusion par tran smission univer sell e de patrimoin e Club Med Croisières et Tourisme - - (4) Prêts Covifra 19 (63) 144 25 - 12 14 Albion D evelopment 8 Financière CMG 3 Augmentations d e capital par in corporation de créan ces - 12 - (5) (37) (28) CM Amérique du Sud (9) Abandons d e cr éan ces - CM Côte d'I voire (7) - (7) Créances r attachées à des participation s 25 Financière CMG (crédit vendeur) (7) - Prêts et autres immobil isations financièr es Var iations Immobili sations fin anci ères (4) (14) (14) Particip ations CM Amérique du Nor d - (56) (25) 13 0 - 13 44 (70) 132 La société Club Med Croisières et T ourisme SA a été abs orbée par transmission universelle de patrimoi ne au cours de l’exercice 2008. Le mali de conf usion s’ élève à (1 M€) : (en millions d'euros) Valeur brut e des titres (14) Valeur des apports 13 Mali de confusion (1) (5) L’augmentation de capital de Club M ed Amérique du N ord de 149 M€ a été réalisée par inc orpor ation de créanc es de prêt pour 28 M€ et de c ompt e courant à haut eur de 121 M€ (Cf. not e 3. 5). 144 Doc um ent de Référenc e 2008 3.3.2. PROVISIONS POUR DEPRECIATION Les principales variations des provisions pour dépréci ations des immobilisations financières s’anal ysent de la manière sui vante : (en millions d'euros) Provisions au 31. 10. 07 Dotations (1) Reprises Provisions au 31. 10. 08 391 45 (14) 422 (7) 2 (21) 424 Participati ons Créances r attac hées à des participati ons 9 Total des provisions des immobi lisations finan cièr es (1) 400 45 Les dotati ons aux provisions s'expliquent par la dégradation des sit uations net tes des filiales (impact s ur le rés ultat financier cf. 4-4). 3.4. CREANCES CLIENTS Valeur s nettes Valeur s brutes au 31.10.07 au 31.10.08 (en millions d'euros) Provisions Valeur s nettes au 31. 10. 08 Créances clients 49 48 (3) 45 Total des créances cli ents 49 48 (3) 45 3.5. AUTRES CREANCES Valeur s nettes au 31.10.07 (en millions d'euros) Fournisseurs débiteurs, avanc es versées et avoirs à rec evoir Valeur s brutes Provisions au 31.10.08 Valeur s nettes au 31.10.08 4 3 389 311 Créances s ociales et fiscales 18 15 Autres créanc es 12 15 3 12 423 344 22 322 Comptes c ourants débit eurs (1) Total des autres cr éances (1) 3 19 292 15 La diminution du post e Compt es courants est principalement due à l’augmentation de c apital par inc orporation de créances (compt es c ourants) réalisée c hez Club Med Amérique du N ord pour 121 M€. 3.6. TRESORERIE 31. 10. 07 (en millions d'euros) Valeurs Mobilières de placement Actions propr es Valeur s nettes Valeur s brutes 29 38 (1) (2) Banques / Caiss es (3) Total trésorerie (1 ) 31. 10. 08 8 9 26 64 63 111 Provisions Valeur s nettes Valeur liquidative au 31. 10. 08 38 38 4 5 64 4 107 Les valeurs mobilières de plac ement s ont cons tituées de SICAV monét aires. La val eur liquidati ve c orrespond à la valeur de marché au 31 octobre 2008. (2) Les acti ons propres ont été dépréciées à partir du cours moyen d’ octobre 2008 (17,9 €). Actions propr es Nombre au 31. 10. 07 Nombre au 31. 10. 08 201 588 274 837 Nbre d'actions rach etées Nbre d'actions vendues Nombre Prix mo yen (€) Nombre Prix mo yen (€) 504 982 33, 71 431 733 34, 63 Acquisitions réalisées au travers d’ un c ontrat de liquidité dans le cadre de programmes de r achat d'actions autorisés par les assemblées générales du 8 mars 2007 et du 11 mars 2008. (3) L’augmentati on du pos te « Banques / Caiss es » est liée à la trés orerie générée par les opérations de cession. Doc um ent de Référenc e 2008 145 3.7. VARIATION DES CAPITAUX PROPRES Au 31. 10. 07 Affect ation avant du rés ultat affec tation de du rés ultat l'exercice de l'exercice 2007 (en millions d'euros) Nombre d'actions d e (1) 4 euros Augmentation de c apital Au 31. 10. 08 avant affec tation du rés ultat de l'exercice 7 200 19 377 905 19 377 905 77 77 77 563 563 563 Résultat de l'exercice 19 370 705 Capital s ocial Primes d'apport, d'émission ou de fusion Réserve légale 7 Autres rés er ves Report à nouveau 22 5 (281) (43) Résultat de l'exercice (38) 38 (1) TOTAL 350 - (1) (1) Projet d'affec tation du rés ultat Au 31. 10. 08 après Projet d'affec tation du rés ultat 7 7 27 27 (323) (1) (324) (1) 350 (1) - 350 Le nombr e d'acti ons res tant à émet tre au 31 oc tobre 2008 es t, au titre des options de souscription d'actions et d'attributi on d'actions gratuites en faveur du personnel, de 1 189 572. 3.8. PROVISIONS POUR RISQUES ET CHARGES (en millions d'euros) Engagements de r etraite (1) Responsabi lité civile Risques fin anci ers (prime d e rembour sem ent des "Océane") Risques fin anci ers (provisions situations nettes fi lial es) 31. 10. 07 Dotations de l'exercice Reprises de l'exercice (provision utilisée) 19 2 (1) 6 3 (2) 19 3 3 4 2 3 Reprises de l'exercice 31. 10. 08 (provision non utilisée) 20 (1) 6 22 (1) 6 Provisions pour ri sques exceptionnels - provisions pour risques j uridiques et fiscaux - restructurati ons (2) (3) Total des provisions pour ri sques et ch arges 5 5 4 (2) (1) 6 54 19 (6) (2) 65 (6) Les modalités de calc ul de la provision liée aux engagements de retrait e s ont énoncées en 2.10. Le dét ail de calc ul est énoncé en 3.9. (7) Risques opér ationnels liés à la nat ure de l’acti vit é touristique et au context e administratif et juridique de certai ns pays où la société est présent e. (8) Risques essentiellement dus aux res tructurations et aux fer met ures de villages. actuarielles sur le mont ant de l’engagement est enregistrée en 3.9. ENGAGEMENTS DE RETRAITE : REGIMES A PRESTATIONS DEFINIES écarts act uariels. Ces éc arts actuariels sont pris en compt e selon la méthode du c orridor décrite en not e 2.10. « R etrait es et autres avantages l ong t erme ». 3.9.1. PRINCIPALES HYPOTHESES ACTUARIELLES Les hypothèses ret enues s ur la soci été sur l es princi paux Les engagements s ont déter minés sui vant un calc ul plans s ont les s uivant es : actuariel utilisant la méthode des unit és de crédits proj etés . Cette méthode néc essite la prise en compt e d’hypot hès es 2007 2008 actuarielles long t erme sur les données démographiques Taux d'ac tualisation 5,04% 6,00% (rotation du pers onnel, mortalité) et financi ères (augment ation Hypothèse de progression des salaires à l ong ter me 3,60% 4,30% des salaires, t aux d’ actualisation). Ces paramètres s ont revus chaque année. L’incidenc e des changements d’hypot hès es 146 Doc um ent de Référenc e 2008 3.9.2. SITUATION DES REGIMES A PRESTATIONS DEFINIES POSTERIEURES A L’ EMPLOI 3.10. DETTES FINANCIERES 3.10.1. EMPRUNTS ET DETTES FINANCIERES (en millions d'euros) Valeur actualisée de l'obligation non financ ée Ecarts ac tuariels non reconnus Dette nette au bil an 3.9.3. EVOLUTIONS PRESTA TIONS DEFINIES DES 2007 2008 13 9 6 11 19 20 REGIMES A 31. 10. 07 (1) Pro Forma 31. 10. 08 287 288 84 91 Empr unts 68 75 Ligne de crédit s yndiquée 10 - DETTES (en millions d’euros) Emprunts obligatai res Emprunts et dettes auprès des établissem ents de cr édit à 2 ans m aximum à l'origine : (en millions d'euros) 2007 2008 13 13 Coûts des s ervic es rendus 1 1 Coût fi nanci er (eff et actualisation) 1 1 (Gains) / Pertes actuariels générés dans l'exercice (1) (5) Réducti on de régime (1) (1) 0 0 13 9 Dette actuarielle à l'ouvert ure Prestati ons payées Dette actuari ell e à la clôture Intérêts courus 2 2 Concours bancaires 4 15 76 167 Dépôts et c autionnements reçus 1 1 Autres emprunts et dett es assimilées 1 1 74 165 447 546 Emprunts et dettes financi ères divers Comptes c ourants créditeurs Total emprunts financièr es (1) et dettes Au 31 oct obre 2008, les c ompt es courants fi nanciers créditeurs sont prés ent és en « Emprunts et det tes financièr es 3.9.4. ANALYSE DE LA CHARGE ENREGISTREE EN RESULTAT divers » et non en « autres dett es ». Les c ompt es pro f orma 2007 pr ennent en compte c e reclass ement (pour 74 M€). Cf not e 2.1 c hangement de mét hode (en millions d'euros) 2007 2008 (1) (1) Amortiss ements des pertes et gains actuariels 1 1 Réducti on des régimes 1 1 Total coût du personnel 1 1 Effet act ualisati on (1) (1) Total du résult at financi er (1) (1) Total (charges) / produits 0 0 Coûts des s ervic es rendus 3.9.5. RETRAITE DIRIGEANTS COMPLEMENTAIRE DES 3.10.2. ANALYSE GLOBALE PAR DEVISE Les emprunts et les dettes financièr es sont principal ement libellés en Euro. 3.10.3. EMPRUNTS ET DETTES FINA NCIERES : ANALYSE PAR TAUX D’ INTERETS 31. 10. 07 Pro Forma 361 en millions d'euro s Dettes financières à t aux fi xe Dettes financières à t aux variable Les dirigeants bénéficient d’un régime de 31. 10. 08 364 86 182 447 546 retrait e complémentaire à cotis ation définie géré par un organisme extérieur ; le mont ant des c otisati ons repr ésente 6,29% à 8% Total emprunts financièr es et dettes de leur rémunération brute. Le mont ant des cotis ations vers ées à c e régime s’es t élevé à 0, 3M€ en 2007 et 0,3M€ en 2008. Doc um ent de Référenc e 2008 147 3.11. DETTES D’EXPLOITATION (en millions d'euros) 31. 10. 07 31. 10. 08 Fournisseurs 70 71 Fournisseurs - fact ures non par venues 33 35 103 106 Personnel 14 16 Organismes s ociaux 13 14 6 16 33 46 136 152 Total Fournisseurs et comptes rattachés Impôts et t axes Total Dettes fiscal es et so ciales Total Dettes d'exploitation (en millions d'euros) 31. 10. 07 31. 10. 08 Achats de transports 11 16 Loyers 11 15 Forfaits séj ours, pensi ons, circuits et autres prest ations hôtelières 5 4 Achats de marchandis es et de mati ères premières 2 2 Assuranc es 1 - Autres Prestations de ser vices 3 2 Total des charg es constatées d'avance 33 39 3.13.2. PRODUITS CONSTATEES D’ AVANCE 3.12. DETTES DIVERSES Les pr oduits c ons tat és d'avanc e compt abilisés en fi n d'exercice s’él èvent à 43 M€. Ils corres pondent principal ement à la quote-part des séj ours consommés s ur l'exercice sui vant . (en millions d'euros) 31. 10. 07 (1) Pro Forma 31. 10. 08 Fournisseurs d'immobilisati ons 3 3 (en millions d'euros) Fournisseurs d'immobilisati ons - factures non par venues 3 4 Le siège s ocial - ac tivit é commerciale Total Dettes sur immobilisations et comptes rattachés 6 7 (1) 144 54 5 13 Total Autres dettes 149 67 Total Dettes diver ses 155 74 Comptes c ourants Créditeurs divers (1) Au 31 oct obre 2008, les c ompt es courants fi nanciers 31. 10. 07 31. 10. 08 32 41 Les s uccursales et l es villages 3 2 Total des produits constatés d'avance 35 43 31. 10. 07 31. 10. 08 3.13.3. PRODUITS A RECEVOIR (en millions d'euros) créditeurs sont prés ent és en « Emprunts et det tes financièr es Intérêts courus s ur créanc es rattachées à des participations 1 1 divers » et non en « autres dett es ». Les c ompt es pro f orma Clients - fact ures à établir 3 2 2007 pr ennent en compte c e reclass ement (pour 74 M€). Fournisseurs - avoirs à recevoir 1 1 Cf note 2.1 changement de mét hode Créances fiscales et s ociales 4 1 Autres produits à recevoir 1 2 10 7 31. 10. 07 31. 10. 08 3.13. COMPTES DE REGULARISATION 3.13.1. CHARGES CONS TATEES D’ AVANCE Total des produits à r ecevoir 3.13.4. CHARGES A PAYER Les c harges c ons tat ées d'avanc e c omptabilisées en fi n d'exercice s’ élèvent à 39 M€. Elles correspondent, par nature, aux éléments indiqués ci-dessous qui c onc ernent les ac hats (en millions d'euros) de biens ou de ser vices dont la fourniture ou la pr estati on doit Intérêts courus s ur Océane 10 10 inter venir ultérieurement. Fournisseurs - fact ures non par venues 33 35 3 4 18 20 1 10 Fournisseurs - fact ures non par venues sur immobilisations Personnel et autres organis mes sociaux Etat Autres c harges à payer Total des charg es à payer 148 1 1 66 80 Doc um ent de Référenc e 2008 3.13.5. CHARGES A REPARTIR SUR PLUSIEURS EXERCICES Il s’agit des honoraires et frais d'engagements liés à l a souscription d'empr unts et de lignes de crédit s yndiquées. en millions d'euros 31. 10. 07 31. 10. 08 3 2 Charges à répartir sur plusieurs exercices 3.14. ECARTS DE CONVERSION Il n'y a pas au 31 oct obre 2008 d'écart de c onversion. 4. NOT ES SUR LE COMPTE DE RESULTAT 4.2.2. CHARGES EXTERIEURS D’ EXPLOITATION : SERVICES (en millions d'euros) 2007 2008 Locations i mmobilières 103 113 Entreti en et maintenanc e 18 20 Commissions 60 62 Publicité, promotion 31 28 Assuranc es 13 10 Honoraires 16 21 Autres s ervic es extérieurs 75 77 316 331 31% 30% Total des Services exteri eurs % du chiffre d'affaires 4.1. CHIFFRE D’AFFAIRES 4.1.1. CHIFFRE D’ AFFAIRES PAR CATEGO RIES D’ ACTIVITES (en millions d'euros) Séjours - circuits - tr ansports 2007 2008 966 1 047 Prestati ons de s ervic es 43 50 Vent es de marchandises 15 16 1 024 1 113 Total du Chiffre d'affaires 4.3. DOTATIONS ET REPRISES DE PROVISIONS D’EXPLOITATION (en millions d'euros) PA R MARCHE S 1 (3) (2) (1) 8 - 7 (4) Provisions s ur clients et c omptes rattachés (1) Total des dotations et repr ises d'exploitation (1) (en millions d'euros) 2008 Provisions pour risques et charges Transferts de c harges 4.1.2. CHIFFRE D’ AFFAIRES GEOGRAPHIQUES 2007 En 2007, les transf erts de charge correspondent aux coûts 2007 2008 salariaux des villages f ermés. En 2008, aucun transf ert de France Métr opolit aine 584 664 charges n’a ét é ef fect ué vers les él éments exceptionnels Etranger 440 449 (limités aux événements Total du Chiffre d'affaires 1 024 1 113 inhabit uels, anormaux et peu fréquents) 4.2. CHARGES D’EXPLOITATION 4.4. RESULTAT FINANCIER 4.2.1. CHARGES D’ EXPLOITATION : ACHATS (en millions d'euros) (en millions d'euros) Achats de marchandis es et de mati ères premières 2007 2008 63 67 189 183 Achats de transports 203 228 28 30 Autres achats Total des Achats % du chiffre d'affaires 2007 2008 (19) (20) Résultat de change 1 Provisions s ur actions pr opres Forfaits séj ours, pensi ons, circuits et autres prest ations hôt elières Prestati ons de s ervic es Intérêts 23 23 506 531 49% 48% (4) Provisions s ur primes de remboursement des "OC EANE" et charges liées aux financements (5) Provision retr aite (9) (1) Impact Hol ding : coûts des filiales (18) (9) Total résult at financi er (41) (43) Doc um ent de Référenc e 2008 149 4.5. RESULTAT EXCEPTIONNEL (en millions d'euros) 2007 2008 Cessions i mmobilisations inc orporelles , corporelles et fi nancières (1) 28 Total résult at exceptionnel (1) 28 Le rés ultat exceptionnel 2008 s'explique principal ement par l e résult at de c ession des titres de : - CM Gym pour 18 M€ - Sociét é I mmobilière de la Mer pour 10 M € - CM Côte d’I voire pour (3 M€) et par la régularisati on de la cessi on du Village de da Balaï a de 2007 pour 4 M€. 4.6. IMPOTS SUR LES SOCIETES 4.6.1. CHARGES D’ IMPOTS Le groupe fisc al dispose, au 31 oc tobre 2008, d'un déficit d'ens emble report able de 197 millions d'euros. La c harge d’impôt sur les bénéfices est ess entiellement composée de l’impôt s ur les s uccursales étrangères. 4.6.2. CREANCES ET DE TTES D’ IMPOTS DIFFERES NON COMPTABILISES 31. 10. 07 (en millions d'euros) Actif Déficits report ables 177 Variation Passif (1) (1) Calcul sur résultat fiscal t héorique au 31/10/2007 (2) Ajustement sur base r ésultat fiscal r éel au 31/ 10/ 2007 (3) Calcul sur résultat fiscal t héorique au 31/10/2008 31. 10. 08 Actif Passif Actif (2) (3) 197 33 13 Passif 5. INFORMATIONS DIVERSES 5.1. CREANCES ET DETTES PAR ECHEANCE CREANCES Montants à un an à plus d'un an Créances r attac hées à des participati ons 95 1 94 Prêts 12 12 Autres i mmobilisati ons fi nancières 31 31 en millions d'euros De l'actif i mmobili sé Total des créances d e l'actif immobil isé 138 1 Créances clients et c omptes ratt achés 48 48 Créances fiscales et s ociales 15 15 311 127 137 De l'actif circu lant Groupe et ass ociés Fournisseurs débiteurs, avanc es versées et avoirs à rec evoir Autres créanc es Total des créances d e l'actif cir culant Charges cons tat ées d'avance Charges à répartir Total des créances 150 3 3 15 15 392 208 39 39 2 2 571 250 Doc um ent de Référenc e 2008 184 184 321 DETTES Montants à un an de 1 à 5 ans 288 138 150 91 17 7 en millions d'euro s Empr unts obligataires Empr unts et det tes auprès des établissements de crédit A plus de cinq ans 67 à 2 ans maximum à l'origine Empr unts et det tes financières di vers 167 Total emprunts et d ettes finan cièr es 546 Avanc es et ac omptes clients 167 155 50 50 106 106 46 46 7 7 Groupe et ass ociés 54 54 Autres det tes 13 13 Total dettes 276 276 Fournisseurs et c ompt es ratt achés Dettes fiscales et s ociales Dettes s ur immobilisations et c ompt es ratt achés Produits cons tat és d'avanc e Total des d ettes 43 43 865 474 157 234 157 234 5.2. ENGAGEMENTS HORS BILAN DONNES OU REÇUS CATEGORI ES D'ENG AGEMENTS Total Divers (Prêts, cessions…) Stés c ons olidées par Intégration globale Autres (dt adm. Douanières fisc ale, A.Voyages 181 51 107 23 Amérique du Nord 46 40 6 Asie/Pacifique 10 9 1 237 100 114 1 1 128 128 2 2 (en millions d'euros) Engagements/Cautions données Europe-Afrique Total engagem ents / cautions donnés 23 Engagem ents/cautions r eçues Reçus Agences de voyages Abandon de créanc es (claus e ret our à meilleur fortune) Construction - Travaux Chanti ers Hedging 7 7 138 138 120 120 Achats ventes de devis es à ter me 8 8 Total Engagem ents r éciproques 128 128 Total engagem ents r eçus Engagements réciproques Montants non utilisés d'un cr édit c onfirmé Doc um ent de Référenc e 2008 151 5.3. OPERATIONS DE CREDIT-BAIL Dotations aux amortissements (en millions d'euros) Coût d'entrée Ensembl e I mmobilier Valeur N ette 2008 cumulées 0 3 5 Redevances payées Redevances restant à payer (en millions d'euros) en 2008 Engagements de Crédit Bail cumulées 0 A 1 an au plus 3 + 1 an à 5 ans 0 +5 ans 2 Total à payer 1 2 Prix d'achat résiduel 3 Engagement Total 2 5 5.4. ENGAGEMENTS DE LOYERS Détail des engagements mi nimum au titre de c ontrats de l ocation simple non résiliables. Les montants sont indexés au dernier taux c onnu. (en millions d'euros) Total des lo yer s à payer 2009 2010 2011 2012 2013 2014 à 2018 2019 à 2028 2029 et au-delà Loyers res tants dus 1 291 109 110 110 110 111 494 227 20 6. EFFECT IF MOYEN 2007 2008 708 725 Empl oyés 7 923 7 717 Total 8 631 8 442 Cadres et empl oyés per manents (siège, bureaux de pays et G.O® villages) 2 310 2 331 Autres personnels villages 6 321 6 111 Cadres qui peut se déc ompos er en : Effectif moyen mens uel l e plus important de l’exercice. Les s alariés ont c umulé 111 850 heures de Droits Indi viduels à la F ormation au 31.10. 2008. 7 . FILIALES ET PARTICIPATIONS Club Médit erranée SA proc ède à la c ons olidation de s es filiales directes 152 Doc um ent de Référenc e 2008 (en millions d'euros) Devise Cours au 31.10.08 devise contre euro % détenu Capitaux propres ** (en millions d'unités locales) Valeur comptable des titres Provisions sur prêts et avances Valeur nette comptable des titres, prêts Montant des cautions et avals Résultat du dernier exercice clos (en millions d'unités locales) C.A. du dernier exercice clos en (millions d'unités locales) Dividendes perçus pendant l'exercice - - 8 - 1 1 2 Provisions sur titres Créances rattachées aux participations *** Filiales Club Aquarius EUR 100,00 9 10 2 Club Med Amérique du Nord EUR 100,00 57 341 216 - - 125 - 7 - - Club Med Amérique du Sud EUR 100,00 (4) 22 12 5 - 15 - (11) - - Club Med Centre d'Appel Européen EUR 100,00 2 13 11 - - 2 - (2) 9 - Club Med Evènement EUR 100,00 - 1 1 - - - - (1) 4 - Club Med Marine EUR 100,00 23 27 6 - - 21 - (1) 26 - Club Med Villas et Chalets Holding EUR 100,00 - - - - - - - - - - Club Med World Holding EUR 100,00 (2) 55 55 - - - - 1 - - Domaine de Dieulefit EUR 100,00 13 8 - - - 8 - - - - Hoteltour EUR 100,00 81 77 - - - 77 - 11 - 4 Loin voyages EUR 100,00 1 11 10 - - 1 - - - 1 Société Civile Edomic EUR 95,00 1 - - - - - - 1 - - Société de Gestion Hôtelière et de T ourisme EUR 100,00 1 5 4 - - 1 - - 7 - Société Immobilière des Résidences T ouristiques EUR 99,99 - 3 3 - - - - - - - 573 320 5 258 - TOTAL FILIALES FRANCAISES Document de Référence 2008 7 153 (en millions d'euros) Devise Cours au 31.10.08 devise contre euro % détenu Capitaux propres ** (en millions d'unités locales) Valeur comptable des titres Provisions sur titres Créances rattachées aux participations *** Provisions sur prêts et avances Valeur nette comptable des titres, prêts Montant des cautions et avals Résultat C.A. du du dernier dernier exercice exercice clos (en clos en millions (millions d'unités d'unités locales) locales) Dividendes perçus pendant l'exercice Akdeniz T uristik T esisler T RY 1,991 100,00 17 40 26 - - 14 - 3 37 - Belladona Company for Hotel and T ourism EGP 7,069 50,00 16 5 1 - - 4 - 5 6 - Centro Vacanze Kamarina EUR 100,00 15 13 - - - 13 - - 4 - Albion Development EUR 100,00 (6) 6 - 8 - 14 17 (48) - - Club Med Asie EUR 99,99 (4) 5 - 51 - 56 - 9 - - Club Med Deutschland EUR 100,00 (6) 3 3 - - - 1 (3) 18 - Club Med Holland EUR 100,00 1 1 - - - 1 2 - 9 - Club Med Odmaralista HRK 7,170 100,00 (1) - - - - - - - - - Club Med Ukraine UAH 7,507 100,00 (2) - - - - - - (1) 11 - Club Med Services EUR 100,00 - - - - - - - - - - Club Med viagens EUR 100,00 (1) - - - - - - (1) 2 - Club Med Belgique EUR 100,00 2 6 5 - - 1 7 - 17 - Club Med Espagne EUR 100,00 1 3 2 - - 1 - - 3 - Club Med Hellas EUR 100,00 41 99 36 2 - 65 2 (9) 12 - Club Med Israël ILS 4,685 100,00 (11) 6 6 - - - 2 2 52 - Club Med Services Europe GBP 0,787 99,90 - - - - - - - - 2 - Club Med Suisse CHF 1,469 100,00 3 9 7 - - 2 1 1 34 - Club Med UK GBP 0,787 100,00 2 2 - - - 2 3 - 7 - CM Bazic T ND 1,746 99,00 (3) - - - - - - - - Covifra MUR 40,768 76,18 715 6 - 26 - 32 44 193 - Holiday Villages Management Services MUR 40,768 100,00 (146) 1 1 - - 0 - (218) 956 - Hoteles y Campamentos Hocasa EUR 100,00 (2) 5 5 - - - - - - - EUR 50,00 - 1 1 - - - - - 100,00 5 - - - - - - - - - Immobiliaria Binigaus (1) Nouvelle Société Victoria CHF Servicios Auxiliares del Club Méditerranée EUR 100,00 6 7 1 - - 6 - - - - Sociedade Hoteleira Da Balaïa EUR 100,00 33 13 - - - 13 - 1 - - (1 673) 1 1 3 2 1 - 181 2 965 - Société Immobilière et de Gestion Hotelière du Cap Skirring Club Med South Africa 1,469 XOF 655,957 100,00 ZAR 12,838 100,00 - - - - - - - - - - ZAR 12,838 100,00 6 - - - - - - 2 203 - TOTAL FILIALES ETRAN GERES 232 95 90 2 225 35 - TOTAL FILIALES 805 415 95 2 483 35 7 Vacances proprietary ltd 154 Document de Référence 2008 (en millions d'euros) Devise Cours au 31.10.08 devise contre euro % détenu Capitaux propres ** (en millions d'unités locales) Valeur comptable des titres Provisions sur titres Créances rattachées aux participations *** Provisions sur prêts et avances Valeur nette comptable des titres, prêts Montant des cautions et avals Résultat du dernier exercice clos (en millions d'unités locales) C.A. du dernier exercice clos en (millions d'unités locales) Dividendes perçus pendant l'exercice Participations Sem Pompadour EUR 19,90 2 - - - - - - - - - Financière Club Med Gym EUR 16,28 7 1 - 3 - 4 - (2) - - 1 - 3 - 4 - (2) T OT AL PART ICIPAT IONS FRANCAISES - Club Med Albion Resort EUR 22,50 17 5 - - - 5 - (2) 4 - Club Med Voyage T ND 1,746 49,00 - - - - - - - - - - CHF 1,469 49,84 23 3 - - - 3 6 - 2 - Holiday hotels Immobiliaria Challenger (1) EUR 33,33 - 1 1 0 - - - - Societa Alberghiera Porto d'Orra EUR 40,52 10 3 - - - 3 - - - - Société de Promotion et de Financement T ouristique Carthago T ND 1,746 37,43 48 13 1 - - 12 9 2 - - Société d'Etudes et de Promotion T ouristique (1) Bekalka T ND 1,746 19,00 4 1 1 - - - - (2) - - Société d'Etudes et de Promotion T ouristique Hammamet T ND 1,746 18,50 7 2 1 1 - 1 3 - EUR 15,00 10 1 1 - - - - EUR 38,00 19 10 3 - - 7 - - - - T OT AL PART ICIPAT IONS ET RANGERES 39 7 - - 32 15 T OT AL PART ICIPAT IONS 40 7 3 - 36 15 845 422 98 2 519 50 Société Torré d'Otrante Spa (1) Sviluppo T uristico Metaponto T OT AL GENERAL - 7 * Les filiales sont les sociétés dont le pourcentage de détention est de 50% au moins et des participations les sociétés dont le pourcentage de détention est compris entre 10 et 50% du capital. ** Capitaux propres y compris résultat de l'exercice *** Y compris intérêts sur prêts (1) Bilans et comptes de résultat au 31/10/08 non disponibles. Document de Référence 2008 155 8. ELEMENTS CONCERNANT LES ENTREPRISES LIEES ET LES PART ICIPATIONS Montants bruts concern ant les entrepri ses (en millions d'euros) liées en participation Actif Titres de Participations 808 Créances r attac hées à des participati ons Autres créanc es 37 95 3 299 11 52 - 165 - Passif Autres det tes Groupe Autres det tes financières Résultat Produits de participation (dividendes) Autres produits financi ers Charges financières (1) (1) (1) 7 - 37 4 63 - y compris dotations et reprises de provisions s ur filiales 9. REMUNERATION DES MEMBRES DES ORGANES D’A DMINISTRATION ET DE DIRECT ION DE LA SOCIET E-MERE (en milliers d'euros) 2007 2008 Rémunérations globales allouées aux membres du C onseil d'Admi nistration (jetons de présence versés aux administrat eurs et censeurs) 305 305 Montant brut des rémunérations globales des membres du C omit é de Direction G énér ale y c ompris les dirigeants mandataires sociaux acquises au titr e de l'exercice 4 106 3 787 10. PART ICIPATION Aucune rés er ve de participation n’a ét é dégagée au titre de l’exercice dans l e cadre de l’acc ord dérogatoire du Groupe. 11. NOTE SUR LE TABLEAU DE VARIATION DE L’ENDETTEMENT 11.1. AMORTISSEMENTS ET PROVISIONS en millions d'euros Amortiss ements et provisions sur immobilisations inc orporelles Amortiss ements et provisions sur immobilisations cor porelles Amortiss ements et provisions sur immobilisations financi ères Amortissem ents et provision s (1) (1) 2007 2008 6 7 16 19 57 24 79 50 La variation entre 2008 et 2007 s’explique par la f orte baiss e des dotations aux provisions s ur titres, en particulier s ur les titres de Club Med Amérique du Nor d. 156 Doc um ent de Référenc e 2008 11.2. AUTRES MOUVEMENTS (en millions d'euros) (Plus) ou moi ns-values de cession Abandons de créanc es (1) (2) 2007 2008 1 (28) 30 12 Mali de f usion CMCT 1 Impact t aux historique et c hange lat ent (3) Provision prime rembours ement Océane 3 Provisions pour risques (situations nett es filiales) 4 Autres mouvements (1) 31 (11) Les plus ou moins values de c ession sont réalisées s ur les cessi ons des titres de : - Club Med G ym pour 18 M€ - Sociét é I mmobilière de la Mer pour 10 M € - Club Med C ôte d’I voire pour (3 M€) et sur la régularisation de la cession du village de da Balaï a de 2007 pour 4 M€ (2) Abandons de créanc e au profit de Club Med Côt e d’I voire pour 12 M€ 11.3. VARIATION DU BESOIN EN FONDS DE ROULEMENT La variation est essentiellement due : - au financ ement par la soci été de la z one américaine via le compte c ourant de CM Amérique du Nord pour (30 M€), - à un remboursement de crédit de TVA pour 3 M€ - à l’augment ation des pr oduits constat és d’avance pour 8 M€. 11.4. INVESTISSEMENTS (en millions d'euros) Acquisition d'immobilisations incor porelles 2007 2008 8 6 Acquisition d'immobilisations corporelles (1) 28 27 Acquisition d'immobilisations financières (2) 16 44 52 77 Investissements (1) Les principaux inves tissements cor porels 2008 s ont énonc és en not e 3. 2. 1. (2) Les principaux inves tissements financi ers 2008 s ont énoncés en not e 3.3. 1. 11.5. CESSIONS OU DIMINUTIONS DE L’ACTIF IMMOBILISE Il s’agit essentiellement des prix de c ession des titres : - de Club Med G ym pour 74 M€ ( diminués d’un crédit vendeur de 13 M€) - de la Soci été Immobilière de l a Mer pour 11 M€ - et de Club Med Côte d’I voire pour 3 M€. 11.6. DIMINUTION DES AUTRES IMMOBILISATIONS FINANCIERES En 2008, les 2 M€ correspondent à des remboursements de dépôts s ur loyers, principalement en It alie. Doc um ent de Référenc e 2008 157 RAPPORT DES COMMISSAIRES AUX COMPTES SUR LES COMPTES ANNUELS particulièrement au regard des estimations c omptables qui sont requis es en application des principes comptabl es. Mesdames, Messieurs les Actionnaires, En exécution de l a mission qui nous a été confiée par votre assemblée générale, nous vous prés ent ons notre rapport relatif à l'exercice clos le 31 oct obre 2008, sur : - le contrôl e des compt es annuels de la s ociét é Club Méditerranée, tels qu'ils sont joints au prés ent rapport, - la justification de nos appréciati ons, - les vérifications s pécifiques et les i nfor mati ons pr évues par la loi. Les c ompt es annuels ont été arrêtés par le c ons eil d'administration. Il nous appartient, sur la base de notre audit, d'exprimer une opinion sur c es comptes. I. OPINION SUR LES COMPTES ANNUELS Nous avons eff ectué notre audit sel on les nor mes professionnelles applicables en Franc e ; ces nor mes requièrent la mise en œuvr e de diligences permettant d'obt enir l'assurance raisonnable que l es comptes annuels ne comportent pas d'anomalies significati ves . Un audit consiste à examiner, par s ondages, les él éments probants jus tifiant les données contenues dans ces compt es. Il consiste également à apprécier les principes comptables sui vis et les esti mati ons significatives retenues pour l'arrêté des compt es et à appréci er leur présentation d'ensembl e. Nous es timons que nos c ontrôl es f ournissent une base raisonnable à l'opini on exprimée ci-apr ès. Nous certifions que les compt es annuels sont, au regard des règles et principes compt abl es franç ais, réguliers et si ncères et donnent une image fidèle du résult at des opérations de l'exercice écoulé ainsi que de la sit uati on financière et du patrimoine de la s ociété à l a fin de cet exercice. Sans remet tre en c aus e l'opinion exprimée ci-dess us, nous attirons votre at tention sur le point exposé dans l a not e 2. 1 de l'annexe conc ernant le c hangement de mét hode c omptable relatif à la présentati on des c omptes c ourants financiers : ces derniers s ont désormais prés entés en emprunt et det tes diverses et non plus en autres dettes . Ce reclassement n'impac te ni le rés ultat , ni les réser ves de la s ociét é. II. JUSTIFICATION DES APPRECIATIONS Le contexte un manque leur acti vité spécifiques économique act uel entraî ne pour les entreprises de visibilité s ur le f ut ur, not amment au plan de et de leur financ ement . Cela crée des c onditi ons cet te année pour la pr épar ation des compt es, C’est dans ce contexte incert ain que nous avons dû proc éder à nos propres appréciations dont nous portons à votre connaissanc e les éléments sui vants , en applicati on des dispositions de l’article L. 823-9 du Code de c ommerce : La val eur nett e comptable des titres de participation a fait l'objet d'un examen par votr e soci été, comme décrit dans la not e 2.5 de l'annexe. Nous avons appr écié le bien-fondé de la mét hodologie mise en œuvre, examiné en t ant que de bes oin, la doc umentati on préparée dans c e c adre, appréci é la cohérence des données ret enues et r evu l es calc uls ef fect ués par votre s ociét é. N ous avons, sur c es bas es, procédé à l'appréciation du c aractèr e raisonnable de ces estimations. Par ailleurs, nous nous sommes ass urés du bien-fondé du changement de mét hode décrit en not e 2.1 de l'annexe relatif à la pr ésentati on des c omptes courants financiers au regard des règles et méthodes applicables et de la pertinence de l'information fi nanci ère pr ésentée. Les appréci ations ainsi portées s'inscrivent dans le c adre de notre démarc he d'audit des comptes annuels, pris dans leur ensembl e, et ont donc contribué à la f ormation de notre opinion exprimée dans la premi ère partie de c e rapport . III. VERIFICATIONS SPECIFIQUES ET INFORMATIONS Nous avons égal ement proc édé, c onformément aux nor mes professionnelles applicables en France, aux vérificati ons spécifiques prévues par la loi. Nous n'avons pas d'obs er vation à for muler s ur : la sincérité et la concordanc e avec les comptes annuels des informations données dans le rapport de ges tion du c ons eil d'administration et dans les doc uments adress és aux actionnaires sur la situation fi nancière et les c ompt es annuels, la sincérité des infor mati ons données dans le rapport de gestion relati ves aux rémunérations et avant ages versés aux mandataires sociaux concernés ainsi qu'aux engagements consentis en leur f aveur à l'occasion de l a prise, de la cessation ou du changement de fonctions ou post érieurement à celles-ci. En applicati on de la loi, nous nous s ommes assurés que les diverses informations rel ati ves aux prises de participati on et de contrôle et à l'identit é des détenteurs du c apit al et des droits de vot e vous ont été communiquées dans le rapport de gestion. Neuilly-sur-Seine et Paris-La Déf ens e, l e 29 janvier 2009 Les Commissaires aux Comptes 158 DELOITTE & ASSOCI ES ERNST & YOUNG Audit Dominique J umauc ourt Pascal Maci oce Doc um ent de Référenc e 2008 ____INFORMATIONS COMPLEMENTAIRES 160RAPPORT SPECIAL DES COMMISSAIRES AU X COMPTES SUR LES CONVENTIONS REGLEMENTEES 164 – RAPPORT DU CONSEIL D’ADMINISTRATION SUR LES RESOLUTIONS 174 – PROJET DE RESOLUTIONS Doc um ent de Référenc e 2008 159 RAPPORT SPECIAL DES COMMISSAIRES AUX COMPTES SUR LES CONVENTIONS ET ENGAGEMENTS REGLEMENTES les conditi ons expos ées ci-dess us, s era subordonné à l’atteint e de critères de performanc e définis ci-dessous . Mesdames, Messieurs les Actionnaires, En notre qualité de commissaires aux comptes de votre société, nous vous prés entons notre rapport s ur les conventions et engagements réglement és. En application de l'article L. 225-40 du Code de commerce, nous avons été avisés des conventions et engagements qui ont f ait l'objet de l'autorisation préalabl e de votre c ons eil d'administration. Il ne nous appartient pas de rec hercher l'existence évent uelle d'autres conventions et engagements mais de vous communiquer, sur la bas e des inf ormations qui nous ont été données, les caract éristiques et les modalités ess entielles de ceux dont nous avons ét é avis és, s ans avoir à nous prononcer s ur leur utilité et leur bi en-fondé. Il vous appartient, selon l es t ermes de l'article R. 225-31 du Code de commerce, d'appréci er l'intérêt qui s'attachait à la c onclusi on de ces conventions et engagements en vue de leur approbation. Nous avons effec tué nos travaux sel on les professionnelles applicabl es en France ; c es requièrent l a mise en œuvre de diligences des tinées la concor danc e des infor mati ons qui nous ont ét é avec les doc uments de base dont elles s ont iss ues. 1. AVEC M. HENRI PRESIDENT-DIRECTEUR SOCIETE GISCARD GENERAL nor mes nor mes à vérifier données D'ESTAING, DE VOTRE Nature et obj et Indemnités de c essation de fonctions. Modalités Le c ons eil d’administration du 10 décembre 2008 a, conf ormément aux dis positions de l’article L. 225-38 et de l’article L. 225- 42-1 du Code de c ommerce t el que modifié par la loi n° 2007-1223 du 21 août 2007 dite « loi TEPA », déci dé de défi nir l’indemnit é qui serait due à M. Henri Giscard d’Estaing en cas de cessation de ses f oncti ons de présidentdirecteur général s elon les c onditi ons exposées ci-après : (i) La c essati on de f onction à l'initiati ve du présidentdirecteur génér al ne rentre pas dans le c hamp d'applicati on de c ette disposition. (ii) Montant de l’indemnité : Les i ndemnités de départ, dont bénéficiera le présidentdirecteur général en cas de cess ation de fonctions (hors cas de licenciement pour f aut e grave ou lourde), seraient d'un montant équi valent à deux années de rémunération brute comprenant le s alaire de bas e brut annuel, les bonus annuels ainsi que les avant ages en nat ure. (iii) Cas de versement de l’indemnit é : Le versement du mont ant de l’indemnité due à rais on de la cessation de fonc tions du prési dent-directeur général dans 160 Le critèr e de perfor mance r etenu est le pourcent age moyen du bonus annuel ef fecti vement versé (« Bonus ») s ur le bonus cibl e ser vant de c alcul au bonus versé. Le pourcentage moyen est c alculé sur une période de réf érenc e identique à celle de la durée des mandats, s oit trois ans. Les années r etenues pour la dét ermination de la période de référenc e sont les trois dernières années corres pondant aux bonus annuels versés au titr e des exercices clos. Les modalit és d’appréciati on et d’ application du crit ère de perfor manc e s ont l es sui vant es : - Aucune indemnité n’est versée si l e pourcent age moyen des bonus sur les bonus cibles const até sur la période de référenc e es t inf érieur à 40 %. - 50 % de l’indemnité est versée si l e pourcent age moyen des bonus sur les bonus cibles const até sur la période de référenc e attei nt 40 %. - 100 % de l’indemnité est versée si l e pourc ent age moyen des bonus sur les bonus cibl es cons tat é sur la période de référenc e attei nt 70 %. - Entre ces deux bor nes, la progression du pourcent age de l’indemnité à verser est linéaire. Dans le cas où les indemnit és de départ s eraient versées à M. Giscard d’Est aing, le bénéfice des stoc k-options serait maintenu après s on départ de votre sociét é. 2. AVEC M. MICHEL WOLFOVSKI, DIRECTEUR GENERAL DELEGUE DE VOTRE SOCIETE Nature et obj et Indemnités de c essation de fonctions. Modalités Le c ons eil d’administration du 10 décembre 2008 a, conf ormément aux dis positions de l’article L. 225-38 et de l’article L. 225- 42-1 du Code de c ommerce t el que modifié par la loi n°2007-1223 du 21 août 2007 dit e « loi TEPA », déci dé de définir l’indemnit é qui serait due à M. Michel Wolf ovs ki en cas de cessation de s es fonctions de direct eur général délégué selon les c onditions expos ées ci-après : (i) La cess ation de fonction à l'initiati ve du direct eur général délégué ne rentre pas dans le c hamp d'application de cette disposition. (ii) Montant de l’indemnité : Les indemnit és de départ, dont bénéficier a le direc teur général délégué en cas de cess ation de ses fonctions (hors cas de licenci ement pour f aute grave ou lourde), s eraient d'un montant équi valent à deux années de rémunération brute comprenant le s alaire de bas e brut annuel, les bonus annuels ainsi que les avant ages en nat ure. Doc um ent de Référenc e 2008 (iii) Cas de versement de l’indemnit é : Le versement du mont ant de l’indemnité due à rais on de la cessation de fonc tions du direct eur général dél égué dans les conditi ons exposées ci-dessus , s era s ubordonné à l’atteinte de cession comporte une clause de révision de pri x par le méc anisme de laquelle votre société r este engagée dans le cadre de garanties de passif accordées à hauteur de sa participati on i nitiale de 24 %. de critères de performanc e définis ci-dessous . Le contrat d’ acquisition et de cession d’acti ons a été signé le 31 octobre 2008. Le critèr e de perfor mance r etenu est le pourcent age moyen du bonus annuel ef fecti vement versé (« Bonus ») s ur le bonus cibl e ser vant de c alcul au bonus versé. Le pourcentage moyen est c alculé sur une période de réf érenc e identique à celle de la durée des mandats, s oit trois ans. Par ailleurs, en application du Code de c ommerce, nous avons ét é inf ormés que l'exécuti on des c onventi ons et engagements s ui vants, approuvés au cours d'exercices ant érieurs, s'est poursui vie au c ours du dernier exercice. Les années r etenues pour la dét ermination de la période de référenc e sont les trois dernières années corres pondant aux bonus annuels versés au titr e des exercices clos. Les modalités d’ appr éciation et de d’ application du critère de perfor manc e s ont l es sui vant es : - Aucune indemnité n’est versée si l e pourcent age moyen des bonus sur les bonus cibles const até sur la période de référenc e es t inf érieur à 40 %. - 50 % de l’indemnité est versée si l e pourcent age moyen des bonus sur les bonus cibles const até sur la période de référenc e attei nt 40 %. - 100 % de l’indemnité est versée si l e pourc ent age moyen des bonus sur les bonus cibl es cons tat é sur la période de référenc e attei nt 70 %. - Entre ces deux bor nes, la progression du pourcent age de l’indemnité à verser est linéaire. Dans le cas où les indemnit és de départ s eraient versées à M. Wolfovs ki, le bénéfice des st oc k-opti ons serait mai ntenu après s on départ de votre s ociét é. 3. AVEC LA CAISSE DE DEPOT ET DE GESTION 1. AVEC LA FONDATION D'ENTREPRISE CLUB MEDITERRANEE Nature et obj et Contributi ons à la F ondati on d'Entreprise Club Médit erranée. Modalités Le c ons eil de s urveillance a, lors de sa séance du 13 décembr e 2004, autorisé votre soci été à faire bénéficier la Fondation d’Entreprise Club Méditerranée de di verses contributions pour pouvoir exercer s on acti vité. Ces contributions sont ainsi c onstit uées de : - mise à dispositi on de personnels ( prise en c harge du salaire de l a déléguée général e et de son assistante, des i ndemnités vers ées aux stagiaires et de la quote- part du salaire de la comptable pour le temps c ons acré aux compt es de la fondation) ; - locaux (pror ata du loyer et des c harges loc ati ves) ; - mat ériel et mobilier. Au titre de l’exercice clos l e 31 octobre 2008, contributions ont repr ésenté l es montants sui vants : ces Admi nistrateur concernée : M. Must apha Bakkour y Montants exprimés en KEUR Nature et obj et Cession de titres de participation de la Soci été Immobilière de Bénévolat sur t emps travaillé (mécénat de compétence) 100 la Mer (SIM). Bénévolat sur t emps libre 117 Salaires et charges social es 170 Modalités Loyers Le c ons eil d’admi nistration du 29 oct obre 2008 a autorisé votre s ociét é à conclure un c ontrat d’ acquisition et de cessi on 37 Frais divers 18 Total 442 d’actions avec la Caisse de Dépôt de G estion aux ter mes duquel votre s ociét é céderait à l a Caisse de Dépôt de Gesti on, à travers sa filiale Madaef, une partie de la participati on qu’elle détient dans l a SIM, l a s tructur e développée en partenariat avec la C aisse de D épôt et de Gesti on et qui regroupe les actifs maroc ains exploit és par le Club 2. AVEC LA SOCIETE JET TOURS a. Nature et obj et Contrat de pr estati ons de ser vices portant s ur des pr estati ons de production et de conception de circuits Méditerranée au M aroc. Modalités Cette cession a porté sur 66.665 acti ons r eprés ent ant 14,5 % du c apital et des droits de vot e, ce qui a pour cons équence de ramener la participati on de votre soci été de 17 % à 2,5 % du c apital. Le conseil de sur veillance a, en date du 13 déc embre 2004, aut orisé votre soci été à c onclure avec la soci été J et tours un contrat de prestations de s ervices , par lequel Jet t ours assure, pour l e c ompte de votre s ociét é, les pres tati ons de producti on et c onc epti on des circuits Club Med Déc ouvert e et ef fect ue les achats des prest ations y aff érent es aupr ès des tiers prestat aires qui s’avèrent néc essaires à la mise en œuvre desdits circuits. Le prix i nitial de cessi on, égal à un mont ant de KMAD 119.330, a été fi xé sur la base d’une valorisation de l a SIM identique à la valorisati on retenue lors de la précédente cession i nter venue en 2007, soit KMAD 823.000. Le contrat Doc um ent de Référenc e 2008 161 La soci été J et t ours est s eule signataire des contrats et engagements avec les dits tiers prest ataires et de ce f ait, acquitte les paiements correspondants, votre société demeur ant libre de définir la strat égie commerciale desdits circuits ainsi que la strat égie en matière de distribution et de commercialisati on. Au titre de l’exercice clos le 31 octobre 2008 et jusqu’ au 4 août 2008 (dat e de la cession de Jet t ours), J et tours a perçu au titre de ce c ontrat une rémunération égale à KEUR 9.402. société et l a s ociét é J et tours ass urent l a gesti on des vols de leurs clients res pectifs dans le cadre de la mut ualisation des équipes exploitation et en vue de l’optimis ation du t aux de remplissage s ur les vols affr étés c onj oint ement par l es deux sociétés . Il est c onvenu aux termes du contrat que c hacune des parties prend en charge les c oûts c ommuns de la struct ure rel ati ve à la prestation exploit ation, constitués par les salaires, les frais de t éléphone et l e loyer des locaux. b. Nature et obj et Au titre de l’exercice clos le 31 octobre 2008 et jusqu’ au 4 Contrat de prest ations de ser vices relatif à l'ani mati on des équipes c ommercial es communes. août 2008 (date de la c ession de Jet t ours), votre soci été a pris à sa charge la somme de KEUR 317 c orrespondant aux Modalités coûts de l a gestion aérienne. Le conseil de s urveillance a, en date du 29 mars 2003, aut orisé votre soci été à concl ure avec s a filiale, Jet tours, un contrat de prest ations de s ervices aux ter mes duquel J et tours ass ure l’ani mati on des équipes commerciales communes aux deux s ociét és et la promotion des produits des deux marques dans son réseau de ventes i ndirect es. De son côt é, J et t ours a pris à s a c harge les frais sui vants : Réciproquement, votre s ociété ass ure la promoti on des produits Jet tours dans s on propre réseau de distributi on. Ces prestations réci proques f ont l’objet d’ une fact uration, sur la base d’une répartition au prorata du c hiffre d’affaires généré par l e réseau indirec t de c hac une des s ociét és, des coûts de commercialisati on globalisés (salaires, frais généraux, etc .). Le mont ant des coûts refac turés par J et tours à votre société au titre de l’exercice cl os l e 31 oc tobr e 2008 et jusqu’au 4 août 2008 (dat e de l a cession de Jet tours), s’est élevé à KEUR 1. 436 au titre des frais des équi pes vent es indirectes. c. Nature et obj et Contrat de prest ations de promotion et de c ommercialisati on des produits Jet tours auprès des collecti vités . - KEUR 730 au titre de la struc ture trans port. - KEUR 568 au titre de la struc ture aér oport . 3. AVEC LE GROUPE ROLACO a. Nature et obj et Contrat de s upport commercial et d'assist anc e au dével oppement de nouveaux villages dans la zone du M oyenOrient. Modalités Suite à l'aut orisation du conseil de s urveillance du 25 juin 2001, votre s ociét é a c oncl u, le 28 septembre 2001, avec le groupe Rolaco un contrat de s upport commercial et d’assistance au développement de nouveaux villages dans la zone du Moyen-Orient. Ce contrat , d’ une durée de quatre ans renouvelable, est rémunéré : - pour le support commercial par une commission ( 2 % les deux pr emièr es années et 3 % les deux années sui vantes) sur la base des vent es des pr oduits Club Med sur l a z one du Moyen-Orient ; Modalités Le conseil d’admi nistration a, en date du 21 oct obre 2005, aut orisé votre soci été à c onclure avec la soci été J et tours un contrat aux termes duquel la s ociét é Jet tours confie à votre société la mission de promouvoir, de vendre et de - pour l’assistanc e au développement de nouveaux villages par des honoraires de EUR 650 par nouveau lit off ert à la commercialisati on dans cet te z one. Cette c onvention n’ a pas donné lieu à application au titre de l’exercice clos le 31 oct obre 2008. commercialiser, auprès des collecti vit és ayant généralement le statut de comité d’entreprise et par l’inter médiaire du service « Club Med Collec tivit és » de votre s ociét é, les produits Jet tours aux conditions et aux prix des broc hures J et b. Nature et obj et Contrat de loc ation de l'ens emble immobilier de Villars-surOllon. tours. Modalités Au 31 oct obre 2008, cet te c onvention n’ét ait pas signée et n’a donc pas donné lieu à application. d. Nature et obj et Contrat de prestations de ser vices port ant s ur la gestion des vols pour les clients Club Médit erranée et Jet t ours. Modalités Le conseil d’admi nistration a, en date du 11 décembre 2006, aut orisé votre soci été à c onclure avec la soci été J et tours un contrat de pres tati ons de ser vices aux termes duquel votre 162 Suite à la cession du village de Villars-sur-Ollon (Suisse) par votre s ociét é au profit de la Nouvelle Sociét é Villars Pal ace dont l’actionnaire principal est indirect ement le groupe Rol aco, votre s ociété s’ét ait engagée, aux ter mes d’une c onvention de bail, à l ouer cet ensembl e i mmobilier pour une durée de vingt er ans, à compt er du 1 mai 1999, sur la base d’un loyer annuel de KCHF 1.500, indexé s ur le prix des s éjours. Le c onseil d’administration a, lors de s a séanc e du 8 juin 2006, approuvé la concl usion d’un avenant à la c onvention de bail précit ée qui prévoit l es modifications sui vant es : Doc um ent de Référenc e 2008 - Un vas te programme de rénovation du village de Villars-surOllon en vue de son pass age en 4 tridents pour un budget estimé à MCHF 13,2. - La prise en c harge du montant des travaux à hauteur de MCHF 10 par Nouvelle Sociét é Villars Pal ace, le solde des travaux devant être financé directement par votre société en sa qualité de maître d’ouvrage délégué. - L’augment ation du l oyer pour un montant c orrespondant à 7 % du mont ant de l’investissement financé par Nouvelle Sociét é Villars Palace. Le loyer pris en c harge au c ours de l’exercice clos le 31 octobre 2008 s’élève à KCHF 2. 867. 4. AVEC LA CAISSE DE DEPOT ET DE GESTION a. Nature et obj et Travaux de construction entrepris avec la Soci été I mmobilière de la Mer (SIM). Modalités Le conseil d’administration du 7 jui n 2007 a autorisé votre société à concl ure avec la SIM un contrat aux t ermes duquel votre s ociété se voit c onfier l a maîtrise d’ouvrage déléguée du programme de r énovation et d'extension (150 c hambres) du village Club Med de Smir. La rémunérati on de votre société est fi xée à 3 % du montant hors taxes des travaux qui s’él ève à un montant maximum de MEUR 20 financ é par la SIM. L’avenant au c ontr at de bail du village de Smir des tiné à couvrir cette extension et prévoir les nouvelles modalités de loyer n’ét ait pas signé au 31 oc tobr e 2008. 5. CAUTIONS ET GARANTIES DONNEES Sociét é cautionnée Devise Montant en principal restant dû au 31 octobre 2008 SPVV (crédit-bail) MEUR 7,0 6. AVEC M. HENRI GISCARD PRESIDENT DIRECTEUR GENERAL D'ESTAING, Nature, obj et et modalités Le c ons eil d’administration du 11 décembr e 2006 a autorisé votre sociét é à entreprendre les trois projets s uivants avec la SIM, la s tructur e développée en partenariat avec la C aisse de Dépôt et de Gesti on et qui a pour obj ectif de regrouper les actifs maroc ains exploit és par le Club Méditerranée au Maroc : - Village Club Med de Yasmi na : construction aménagement de c hambres GO et de vestiaires . et - Village Club Med de Marrakec h la Pal merai e: constructi on et aménagement du nouveau si ège du Club Med (précédemment sit ué à Cas ablanca). - Village Club Med d’Agadir : réaménagement laborat oires et des chambres froides des cuisines. des Les dépens es des travaux de constructi on s ont engagées et payées par votre société en s a qualité de maître d’ ouvrage délégué et s ont ens uite ref actur ées à l’identique à la SIM au terme des travaux. Votre sociét é s e voit f acturer un loyer complémentaire de 8, 5 % du mont ant défi nitif et hors TVA des travaux, s oit sur une base identique aux c ontrats de bail en c ours. Compte t enu de c e qui précède, le loyer pris en charge pour l’ensemble des villages expl oités par le Club Médit erranée au Maroc s’est él evé à MMAD 126 au c ours de l’exercice clos le 31 octobre 2008. b. Nature et obj et Contrat de maîtrise d'ouvrage déléguée du pr ogramme de rénovation et d'extension du village de Smir concl u avec la Sociét é I mmobilière de la Mer (SIM). Le c onseil d’administration du 16 mars 2005 a aut orisé la suspension du c ontrat de travail de M. Henri Giscard d'Estaing du f ait de sa nomi nation comme président-direc teur général et a approuvé l es aménagements à apporter à ce contrat , not amment pour définir l es conditi ons de sa reprise éventuelle, en cas de cess ation des fonctions de présidentdirecteur général. La s uspension du contrat de travail M. Henri Giscard d'Estaing qui a ét é confirmée lors du c ons eil d’administrati on du 11 mars 2008 ayant renouvelé M. Giscard d'Estaing dans ses fonctions de prési dent-direct eur général, s’est par conséquent poursui vie pendant l’exercice clos l e 31 oct obre 2008. 7. AVEC LES DIRIGEANTS DE VOTRE SOCIETE ET LES MANDATAIRES SOCIAUX DES FILIALES Lors du conseil de sur veillance du 11 déc embre 1997, votre société s’es t engagée à indemniser ou à compléter l’indemnisation de cert ains de ses dirigeants ou mandataires sociaux des filiales et participati ons dans le c as d’une mise en cause de leur res ponsabilité : - qui ne serait pas c ouvert e par la police d’ assurance souscrite du fait de l’excl usion de certai nes sit uati ons ; - qui serait partiellement c ouverte de part l’exist enc e d’une franchise. Cette c onventi on n’a pas eu d’ effet au c ours de l’exercice clos le 31 oct obre 2008. Modalités Neuilly-sur-Seine et Paris-La Déf ens e, l e 29 janvier 2009 Les Commissaires aux Comptes DELOITTE & ASSOCIES Dominique J umauc ourt ERNST & YOUNG Audit Pascal Maci oce Doc um ent de Référenc e 2008 163 RAPPORT DU CONSEIL D’ADMINISTRATION SUR LES RESOLUTIONS Nous vous avons convoqués en Assemblée G énér ale mi xt e afin de soumettre à votre approbation 21 résolutions dont l’objet est pr écisé et commenté ci-après. Directeur Général Délégué ainsi que s ur les c onditions de perfor manc e dont l’att eint e devra être c ons tat ée par l e Cons eil d’Administration pour décider de l’attributi on de c ett e indemnit é. I - RESOLUT IONS RELEVANT DE LA COMPETENCE DE L ’ASSEMBLEE L’indemnit é, qui s erait due en c as de licenciement, hors c as GENERALE ORDINAIRE équivalent à deux années de rémunération brute. Confor mément aux dis positions légales , nous vous avons Le réunis dans les six mois de la clôture de notre exercice soci al, l’attribution de c ett e indemnit é, c orrespond au pourcent age afin d’examiner et de s oumettre à votre approbation l es moyen du bonus annuel effec tivement versé ("Bonus") sur le comptes de la Sociét é et les opérations qui y s ont traduites . bonus cibl e s ervant de c alcul au bonus versé. Le pourcent age Par ailleurs, d’ autres décisions relevant de la c ompét enc e de moyen est calcul é sur une période de réf érenc e identique à l’Assembl ée Générale ordi naire des actionnaires vous s ont celle de la durée des mandats, s oit 3 ans . également prés ent ées. Les modalités d’appréci ation et d’applicati on du critère de Nous vous pr opos ons d’en pr éciser ci-après l a portée. perfor manc e s ont l es sui vant es : de faute grave ou de f aut e l ourde, serait d’un mont ant critère de perf ormance, auquel est subordonnée - auc une indemnit é n’est vers ée si le pourcentage moyen des 1° APPROBATION DES COMPTES DE L’EXERCICE CLOS LE 31 OCTOBRE 2008 ET AFFECTATION DU RESULTAT Bonus sur les bonus cibles c onst até s ur la période de référenc e es t inf érieur à 40%. - 50% de l’indemnité es t versée si le pourcentage moyen des Les trois premières rés olutions conc ernent l’examen et Bonus sur les bonus cibles c onst até s ur la période de l’approbation des comptes s ociaux et c ons olidés du Club référenc e attei nt 40%. Méditerranée au 31 oct obre 2008 l’affec tation du rés ultat social ai nsi que le quit us à donner au C ons eil d’Administr ation. - 100% de l’indemnité est versée si le pourcentage moyen des Bonus sur les bonus cibles c onst até s ur la période de Nous soumettons par conséquent à votre approbation l es référenc e attei nt 70%. comptes sociaux de Club Méditerranée SA au 31 oct obr e 2008 ainsi que le quitus au Conseil d’Administrati on (1 - Entre c es deux bornes, la progression du pourcentage de résolution), l’examen et approbation des c omptes consolidés l’indemnité à verser est linéaire. e e du Groupe (2 rés olution) ainsi que l’affec tati on du rés ultat Les engagements, obj ets de cet te décision, ont égal ement f ait social, soit une perte de 1.230.475 euros que nous vous l’objet d’un rapport spécial des C ommissaires aux Compt es propos ons d’af fect er en imput ation partielle du report à communiqué à l’Assemblée G énérale. nouveau déficitaire qui s’ét ablirait désor mais à (297.476. 281) ème euros (3 Il est aujourd’hui propos é à l’Assemblée G énérale d’approuver rés oluti on). les engagements dont le Président-Directeur Général, M. 2° APPROBATION REGLEMENTEES DES CONVENTIONS e e Henri Giscard d’Est aing (5 résol ution), et le Direct eur G énéral e Délégué, M. Michel Wolfovs ki (6 rés oluti on) sont l es bénéficiaires. La 4 résol ution port e sur les conventions dites réglementées de l’article L. 225-38 du Code de c ommerce dont vous avez pu prendr e connaissanc e dét aillée au tr avers du rapport spéci al 4° CONSEIL D’ADMINISTRATION : MONTANT DES JETONS DE PRESENCE des Commissaires aux Comptes. Nous vous proposons de rec onduire, au titre des jetons de 3° APPROBATION DES ENGAGEMENTS BENEFICIANT A MM. HENRI GISCARD D’ESTAING ET MICHEL WOLFOVSKI, PRIS EN APPLICATION DE L’ARTICLE L-225-42-1 DU CODE DE COMMERCE présenc e alloués aux membres du Cons eil d’Administr ation er pour l’exercice courant du 1 novembre 2008 au 31 oct obr e 2009, le mont ant que votre ass emblée avait approuvé au titr e des précédentes assembl ées, soit l a somme de 305. 000 euros, le Cons eil d’ Administration r épartiss ant librement l adit e e somme entre ses membres (7 rés olution). Le 10 déc embre 2008, le Cons eil d’Admi nistration de l a Sociét é s’est pr ononcé, conformément à l’article L. 225-42- 1 du Code de commerce tel que modifi é par la loi n°20 07-1223 du 21 août 2007 dite "loi TEPA", sur l’indemnit é due en cas de cessation des fonctions du Président-Directeur Général et du 164 Doc um ent de Référenc e 2008 et, à c es fins , conser ver les actions rachet ées, les c éder ou 5° AUTORISATION D’OPERER SUR LES ACTIONS DE LA SOCIETE e La 8 rés olution c onc erne l’aut orisation que nous vous demandons de conf érer au C ons eil d’Admi nistration à l’effet d’opérer sur les actions de la Sociét é conformément aux articles L.225-209 et sui vants du Code de c ommerc e, du Règlement n°2273/2003 de la C ommission européenne d u 22 décembr e 2003 pris en applicati on de l a directi ve 2003/6/C E les transf érer par t ous moyens t els que décrits ci-après dans le respect de la réglement ation en vigueur, et not amment par cession en bourse ou de gré à gré, par offre publique de vent e ou d’éc hange, par l’utilisation de mécanismes optionnels ou instruments dérivés, et/ ou annuler les actions ai nsi acquis es ainsi que celles acquises dans l e c adre d’autorisati ons de rachat antérieur es sous rés erve d’une aut orisation donnée par l’Assembl ée Générale s tat uant dans sa forme extraordi naire. du 28 janvier 2003 et des articles 241-1 à 241-6 du Règlement Le prix unitaire maxi mum d’achat est fi xé à 70 euros, ét ant Général de l’Autorité des marchés financiers ou de tout e précisé que ce prix ne sera pas applicable aux opérations à disposition qui viendrait s’ y s ubs tituer. terme concl ues en vertu d’aut orisations données par une Cette aut orisation serait donnée pour une durée de 18 mois. e Elle mettrait fin et remplacerait c elle acc ordée par la 17 résolution de l’Assembl ée Générale du 11 mars 2008. précédente assemblée et prévoyant des acquisitions ou cessions post érieures à la date de la présente assembl ée, ni aux rac hats d'ac tions utilisées pour satisf aire des l evées d'options (ou l'attribution grat uite d'actions aux sal ariés). Confor mément à la loi, vous êt es amenés à définir les finalit és et les modalit és de l’opération ainsi que s on plaf ond. Il est proposé que le mont ant maximum des fonds que l a Sociét é pourra consacrer à l’opérati on est de 135.645. 370 Le C ons eil d’Admi nistration, avec f acult é de subdél égation euros, tel que calculé sur la bas e d’un nombre d’acti ons de dans les c onditi ons prévues par la loi, pourrait procéder ou 19. 377.905 actions au 31 octobre 2008. faire proc éder à des achats: - par l’intermédiaire d’un L’achat, la cession ou le transf ert des actions pourront êtr e prest ataire de s ervic es effec tués et payés par t ous moyens , y compris par utilisation d'investissement int er venant au nom et pour le compte de l a de méc anis mes optionnels ou d’ins truments dérivés ou de Sociét é en toute indépendanc e et s ans être infl uenc é par l a bons , et not amment l’ac hat d’options d’achat, dans l es Sociét é, dans le c adre d'un contrat de liquidit é confor me à une conditi ons prévues par les autorit és de marché et que la part charte de déontologie rec onnue par l'Autorité des marchés maxi male du capital pouvant être trans férée sous forme de financi ers ou toute autre disposition applicable, blocs de titres pourra attei ndre la t otalit é du pr ogramme de - dans le c adre de la participation des salariés aux fruits de rachat d’acti ons. l’expansi on ou en vue de l’at tribution d’ac tions aux sal ariés La Soci été et/ou mandat aires s ociaux de la Soci été et/ou de s on Groupe poursui vre l’exéc ution de s on programme de rachat même en not amment pour le s ervic e d’options d’ac hat ou au titr e de cas d’offres publiques portant sur l es acti ons, titres ou valeurs plans d’épargne ; mobilières émis par la Société ou initiées par la Soci été dans - pour la remis e d’actions ou l’échange en particulier à pourra utiliser la présente autorisati on et les conditions prévues par les textes applicables. l’occasion d’émission de titres ou val eurs mobilières donnant Nous vous demandons également de donner tous pouvoirs au accès immédiat ement ou à t erme au capital ou dans le cadr e Conseil d’Administration, avec facult é de s ubdélégati on dans d’opérations de croissance ext erne ; les conditions prévues par l a loi et par les s tat uts de l a Sociét é, - pour la cons er vation et la remise ultérieure ou l’éc hange dans le c adre (i) d’opérations de croissance ext erne, (ii) dans la limite de 5% du nombre d’actions c ompos ant le c apit al social de la Soci été à quelque moment que c e s oir soit à titr e indicatif 19.370.705 acti ons au jour de la c onvocation de la présente Ass emblée, d’opérations de f usion, scission ou apport ; - pour annuler les actions ai nsi acquises, ainsi que le c as échéant celles acquises dans le c adre d’aut orisations de rachat d’actions ant érieures, c ett e sol ution impliquant une aut orisation donnée par l’Assemblée G énérale s tat uant dans pour mettre en œuvre la prés ent e résolution, pour en pr éciser si nécess aire les ter mes et arrêt er les modalités et pour réaliser le programme et pour passer t ous act es, c onclur e tous acc ords, eff ect uer t outes décl arations et for malités et d'une mani ère générale faire le néc essaire pour l'application de la prés ent e résol ution. 6° POUVOIRS LIES A RESOLUTIONS ORDINAIRES ème La 9 L’ADOPTION DES résolution c onc erne les pouvoirs à conf érer pour la mise en application des résol utions ordi naires. sa for me extraordinaire ; et/ou, - pour t out autre but aut orisé ou qui viendrait à être aut orisé par la loi ou par la réglement ation en vigueur, dans une tell e hypothès e, l a Sociét é inf ormant ses actionnaires par le bi ais d’un c ommuniqué ou par t out autre moyen prévu par l a réglementation en vigueur ; Doc um ent de Référenc e 2008 165 II. RESOLUTIONS RELEVANT DE LA COMPETENCE DE L’ASSEMBLEE GENERALE EXTRAORDINA IRE Douze rés olutions relevant de la compét enc e de l’Ass emblée Générale Extraordinaire sont égal ement s oumises à votr e approbation. être opérée soit en espèces, s oit par compens ation de créances ét ant précisé que la présent e dél égation pourra permettre une ou plusieurs émissions en application de l'article L.228-93 du Code de commerce (c'est-à- dire des émissions de valeurs mobilières donnant acc ès au c apit al de la sociét é qui possède direct ement ou indirectement plus de l a moitié de son capit al ou de la société dont elle poss ède directement ou indirectement plus de l a moitié du capit al). En eff et, nous vous avons réunis en Assemblée Général e Extraordinaire pour solliciter de votre part l’octroi au Cons eil d’Administration d’autorisati ons et délégations de compét enc e not amment en matière d’émission de valeurs mobilières, c es Il vous est précisé que l’émission d’acti ons de préf érenc e ai nsi que l’émission de t ous titres ou valeurs mobilières donnant accès à des ac tions de préf érenc e est excl ue. délégations devant remplacer les préc édent es délégations et Il vous es t demandé de décider que l e mont ant nominal aut orisations fi nancières conférées régulièrement par votr e d'augment ation de capital i mmédi at ou à t erme rés ultant de Assemblée au Conseil l'ensemble des émissions réalisées en vertu de l a dél égation d’Admi nistration. En eff et, c es aut orisations venant à éc héance en mai 2009, nous vous donnée au Conseil d’ Administration au titr e de la présent e demandons résolution ne pourra être s upérieur à cinquant e (50) millions desdit es de prendre ac te que, le cas échéant, la parti e Cons eil d’euros ou sa contre valeur dans t out autre monnaie autorisée, d’Administration es t pri vée d’effet à c ompter du jour de votr e autorisations non utilisée par le étant précisé que (i) ce mont ant est fixé compt e non tenu des Assemblée et de les renouvel er pour la même durée de vingt conséquenc es sur le montant du c apit al des ajust ements six (26) mois. susceptibles d'être opérés , conformément aux dispositions Votre Ass emblée a régulièrement donné dans le passé l es aut orisations permett ant à la Sociét é de réunir les moyens de financ ement utiles au dével oppement du Groupe en fonction des opportunités off ertes par l es marchés financi ers. Nous législatives et réglement aires en s uite de l'émission des titr es ou valeurs mobilières donnant accès à ter me au capital, et que (ii) ce mont ant s’i mputera sur le mont ant du plafond global e de s oixante quinz e (75) millions d’euros fi xé à l a 19 résol ution. vous demandons par c onséquent de conf érer à nouveau l es Il vous est demandé de per met tre au C onseil d’Administration, délégations néc essaires au Conseil d’Administration pour qu'il d’instituer au profit des actionnaires un droit de souscription à puisse procéder à toute émission s usceptible de permettre à titre réductible aux acti ons, titres ou valeurs mobilières qui la Sociét é de réunir avec rapidit é et souplesse l es moyens s'exerc era proportionnellement à leurs droits et dans la limit e financi ers qui lui seraient néc essaires. de leur demande. Si les souscriptions à titre irréducti ble et , le Le t ableau réc apit ulatif figurant en page 32 du prés ent document de réf érenc e f ait apparaî tre, l e cas éc héant , l’utilisation f aite des aut orisations et délégations en vigueur votées par votre Assembl ée. Nous vous propos ons de préciser ci-après l a port ée de chacune des aut orisations et délégations financières ai nsi sollicitées. cas échéant, à titre réducti ble n'ont pas abs orbé la t ot alité de l'émission, le Cons eil d’Admi nistration pourra dans l'ordre qu'il dét erminera, utiliser l'une ou l'autre des fac ultés ci-après (ou plusieurs d’entre elles): - soit limit er, confor mément et dans les conditions prévues par la loi, le mont ant de l'opérati on au montant des souscriptions reçues, sous l a c ondition que cel ui-ci att eigne au moi ns l es 3/4 de l’émission décidée ; 1° DELEGATION DE COMPETENCE A L ’EFFET DE DECIDER L’EMISSION D’ACTIONS, TITRES OU DE V ALEURS MOBILIERES DIVERSES AVEC MAINTIEN DU DROIT PREFERENTIEL DE SOUSCRIPTION : e La 10 résolution vise à déléguer au Conseil d’Administr ation la compétenc e de l’Assemblée Générale Extraor dinaire, pour une durée de 26 mois, à l'effet de déci der, sur ses s eul es décisions , en une ou plusi eurs fois, dans les pr oportions et - soit répartir librement t out ou partie des titres non s ouscrits ; - soit les offrir au public en tout ou partie. La première des fac ultés menti onnées ci-dess us per met , s auf décision c ontraire de l’Assemblée Général e Extraordinaire, d’adapt er l’aug mentati on de c apit al à la demande effec tive du marché boursier, pour aut ant que l’augment ation de c apital ne soit pas inf érieure aux 3/ 4 de l’aug mentati on de capit al décidée. aux époques qu’il appréciera, t ant en Franc e qu'à l'étranger, Il vous est demandé de r econnaître que, c onf ormément à l a en eur os ou monnaie étrangère ou unité de compt e fixée par loi, l’émission de val eurs mobilières donnant acc ès au c apit al référenc e à plusieurs monnaies, l'émission, avec mai ntien du emporte renonciation des ac tionnaires à leur droit préf érenti el droit préf érenti el de souscription des acti onnaires, d’ac tions , de souscription aux titres de c apit al auxquels ces titres ou titres de capital ou titres ou valeurs mobilières - y compris de val eurs mobilières pourront donner droit . bons de s ouscription émis de manière autonome à titre grat uit ou onér eux ou de bons d'acquisition - donnant accès ou pouvant donner acc ès au capital ou donnant droit à l’attribution de titres de créance, dont la souscription pourra 166 Par ailleurs, il vous es t demandé de décider que l a s omme revenant ou devant revenir à la Soci été pour chac une des actions émises ou à émettre dans l e cadre de la dél égation Doc um ent de Référenc e 2008 susvis ée, après prise en c ompte, en cas d’émission de bons Il aut onomes de s ouscripti on ou d’attribution d’ actions , du pri x d’Administration, avec f aculté de s ubdélégati on dans l es d’émission des dits bons , s era au moins égale au pri x conditi ons prévues par la loi et par les stat uts de l a Sociét é : minimum prévu par les dispositions légales et /ou réglementaires applicables au jour de l'émission et c e, que l es val eurs à émettr e de mani ère immédiat e ou diff éré s oient ou non assimilables aux titres de c apit al déj à émis. Les titres ou valeurs mobilières ai nsi émis pourront c onsist er en des titres de créanc es et not amment obligations ou titr es vous est demandé de décider que le Cons eil - devr a dét erminer, dans les conditions légales, les modalit és d'ajustement des conditions d'accès à ter me au capital des titres ou valeurs mobilières, y compris des bons. - pourra, en cas d’attribution gratuite notamment de bons de souscription, décider librement du sort des rompus ; assimilés ou ass ociés, ou encore en per met tre l'émission - pourra prévoir t out e dispositi on particulière dans le contrat comme titres int ermédiaires . Ils pourront revêtir notamment la d'émission ; forme de titres subordonnés à durée dét erminée ou non. La durée des emprunts ne pourra excéder vingt ans. Le mont ant nominal maximal de c es titres de créances ne pourra exc éder 300 millions d'euros , étant entendu que c e mont ant es t commun à l'ensembl e des titr es de créance dont l'émission est déléguée au Conseil d’Administrati on. enc ore avec capitalisati on et f aire l’obj et d’un remboursement avec ou s ans prime ou d’un amortissement , les titres pouvant en outr e f aire l’objet de rac hat en bourse ou d’offre d’éc hange par la Sociét é. aura t ous légales et r églementaires applicabl es ; souscription autonomes et dét erminer les modalit és d’ac hat en bourse ou d’éc hange des titres, val eurs mobilières et /ou bons de souscription ou d’attributi on c omme de remboursement de c es titres ou valeurs mobilières ; - pourra dét erminer les modalités d'ac hat en bourse ou En c as d'émission de titr es de créanc es, le Cons eil d’Administration pouvant excéder le délai maximum prévu par les dispositions - pourra fi xer l es c onditi ons d'attribution gratuit e de bons de Ils pourront être ass ortis d’ un int érêt à t aux fi xe et/ou variabl e ou - pourra prévoir la f aculté de sus pendre éventuellement l'exercice des droits attac hés à c es titres pendant un délai ne pouvoirs avec f acult é de d'échange, à tout moment ou à des périodes dét erminées , des titres émis ou à émet tre ; subdélégation dans les conditi ons prévues par la l oi et par l es - pourra proc éder à tout es imput ations s ur les primes et statuts de la Société, not amment, pour décider de leur not amment c elles des frais entraî nés par la réalisation des caractère subordonné ou non, fi xer leur t aux d'intérêt, leur émissions. durée, le prix de rembours ement fixe ou variable, avec ou sans prime, des modalités d'amortiss ement et les c onditions dans l esquelles ces titr es donneront droit à des actions de l a Sociét é. - aura t ous pouvoirs afin d’ assurer la prés ervation des dr oits des tit ulaires de titres ou valeurs mobilières donnant à t erme accès au c apit al de la Société et c e, en c onformit é avec l es dispositions légales et r églement aires Le C ons eil d’Admi nistration aura tous pouvoirs, avec f acult é de s ubdélégati on, dans les c onditions prévues par la l oi et par les stat uts de la Société, pour mettr e en œuvre, la présent e délégation à l'ef fet de procéder aux émissions, en fi xer les conditi ons, c ons tat er la réalisation des augment ations qui en résultent et procéder à la modificati on corrélative des statuts , et not amment pour arrêter les dates , les conditions et l es modalités de toute émission ainsi que l a for me et l es caractéristiques des titres ou valeurs mobilières à créer, conclure tous accor ds et prendre pl us généralement tout es dispositions pour par venir à la bonne fin des émissions envisagées et à la cot ation et au ser vice financier des 2° DELEGATION DE COMPETENCE A L ’EFFET DE DECIDER L’EMISSION D’ ’ ACTIONS, TITRES OU DE VALEURS MOBILIERES DIVERSES AVEC SUPPRESSION DU DROIT PREFERENTIEL DE SOUSCRIPTION : Le C onseil d’Administration peut être c onduit, dans l’int érêt de la Soci été et de s es actionnaires , à proc éder sur c ertai ns marchés et dans certai nes circonstances , à des émissions d’actions, titres ou de valeurs mobilières di verses sans que puisse s’ exercer le droit préfér enti el des acti onnaires. e instruments émis. N otamment, il fixera l es montants à émettr e, Aussi, nous vous demandons , par le vot e de la 11 résolution, les prix d'émission et de s ouscription des acti ons, titres ou de déléguer val eurs mobilières, avec ou sans prime, leur dat e de Extraordinaire au Conseil d’Administrati on, pour une dur ée de jouissanc e éventuellement rétroacti ve, le mode de libération, vingt si x ( 26) mois, à l'effet de décider, sur ses s eul es ainsi que, le cas éc héant , la durée et le pri x d'exercice des décisions , en une ou plusi eurs fois, dans les pr oportions et bons de aux époques qu’il appréciera, t ant en Franc e qu'à l'étranger, remboursement, ou d'attributi on de toute autre manière de en euros ou en monnaie étrangère ou unité de c ompte fi xée titres de capital ou donnant accès au capit al. par référence à plusi eurs monnaies, l'émission, sans mai ntien ou l es modalit és L’attribution des d'échange, titres de capital de c onversion, auxquels l es valeurs mobilières pourront donner acc ès, pourra s’effect uer par tous moyens et pourra s’exercer pendant tout délai ou durée fi xés par le Conseil d’Administrati on. la compétence de l’Assemblée Général e du droit préférentiel de s ouscripti on des actionnaires, d’ actions, titres de capital ou titres ou valeurs mobilières - y compris de bons de s ouscripti on émis de manière aut onome à titr e onéreux ou de bons d'acquisition - donnant acc ès ou pouvant donner accès au c apit al ou donnant droit à l’attribution de Doc um ent de Référenc e 2008 167 titres de créance, dont la s ouscription pourra être opérée s oit délégation sus visée, en espèces, soit par compens ation de créanc es, ét ant précis é d’émission de bons autonomes de souscription ou d’attribution que la présente délégati on pourra permettre une ou plusieurs d’actions, du pri x d’émission desdits bons , s era au moi ns émissions en application de l'article L.228-93 du Code de égale au prix mini mum prévu par l es dis positions légales et /ou commerce (c'est-à-dire des émissions de valeurs mobilières réglementaires applicabl es au jour de l'émission et c e que l es donnant val eurs à émettr e de mani ère immédiat e ou diff éré s oient ou accès au capit al de la société qui poss ède directement ou indirect ement plus de la moiti é de son c apit al ou de la société dont elle possède direct ement ou indirectement plus de la moitié du c apit al). après prise en compte, en c as non assimilables aux titres de c apit al déj à émis. En fonction de c es éléments, votr e Conseil d'Administr ation pourra fixer le prix d'émission au mieux des int érêts de l a Il est pr écisé que l’ émission d’actions de préférence ai nsi que Sociét é et de ses actionnaires et t enant compte de tous l es l’émission de t ous titr es ou valeurs mobilières donnant acc ès paramètres à des acti ons de préf érenc e es t excl u. tendanc es des marchés boursiers). Le montant nominal d'aug mentati on de capital immédiat ou à Sur ces bas es, il vous es t demandé de décider que : terme rés ultant de l'ensembl e des émissions réalisées en vert u de la dél égation données au titre de l a présent e résolution ne pourra êtr e s upérieur à vi ngt (20) millions d'euros ou de s a contre-valeur dans t oute autre monnai e aut orisée ét ant précis é que (i) ce mont ant es t c ommun à l a trente-cinquième résolution, (ii) qu’il est fixé c ompt e non t enu des conséquences s ur le montant du capital des ajust ements susceptibles d'être opérés , conformément aux dispositions législatives et réglement aires en s uite de l'émission des titr es ou valeurs mobilières donnant accès à ter me au capital et que (iii) ce montant s’i mputera sur le montant du pl afond global de e soixant e quinz e (75) millions d’euros prévu à la 27 résol ution. Nous vous demandons de déléguer au Cons eil d'Admi nistration la fac ulté d'apprécier s'il y a lieu de prévoir un délai de priorité irréductibl e et/ou réducti ble de souscription en faveur des acti onnaires dont la durée mini male est fi xée par décret et de fi xer ce délai et ses modalités et ses c onditions d'exercice, conf ormément aux dispositions de l’article L. 225135 du Code de c ommerc e. appropriés (nat ure des titres, émissions , - les titres ou valeurs mobilières ai nsi émis pourront consist er en des titr es de créances notamment titres obligataires ou êtr e associés à l'émission de tels titres, ou enc ore en permettr e l'émission comme titres int ermédiaires. Ils pourront revêtir not amment la for me de titres subordonnés à durée dét erminée ou non. La durée des emprunts ne pourra exc éder vingt ans. Le mont ant nominal maximal de ces titres de créances ne pourra exc éder 300 millions d'euros , ét ant précisé que ce montant est c ommun à l'ensemble des titr es de créance dont l'émission es t dél éguée au Cons eil d’Administration. - en c as d'émission de titr es de créanc es, le Cons eil d’Administration aura t ous pouvoirs, not amment pour décider de leur carac tère subordonné ou non, fi xer leur taux d'intérêt , leur durée, le prix de remboursement fixe ou variabl e, avec ou sans prime, des modalités d'amortiss ement et les c onditions dans l esquelles ces titr es donneront droit à des actions de l a Sociét é. - le Conseil d’Administrati on aura tous pouvoirs pour mettre en œuvre, la prés ente délégation à l'ef fet de procéder aux Par ailleurs, il vous est demandé de décider si l es émissions, fixer leurs conditions, c ons tat er la réalisati on des souscriptions n'ont pas abs orbé la t otalit é de l'émission, l e augment ations qui en rés ultent et procéder à la modific ation Conseil d’Administrati on pourra, dans l'ordre qu'il détermi nera, corrélative des st atuts, et not amment arrêter les dat es, l es utiliser l'une ou l'autre des f acult és ci-après (ou plusieurs conditi ons et les modalit és de toute émission ainsi que l a d’entre elles): forme et les carac téristiques des titres ou val eurs mobilières à - soit limit er, confor mément et dans les conditions prévues par la loi, le mont ant de l'opérati on au montant des souscriptions reçues, sous l a c ondition que cel ui-ci att eigne au moi ns l es 3/4 de l’émission décidée ; - soit les offrir au public en tout ou partie. vous est également tout es dispositi ons pour par venir à la bonne fin des émissions envisagées et à l a cotati on du s er vice fi nanci er des instruments émis. N otamment, il fixera l es montants à émettr e, les prix d'émission et de s ouscription des titres ou valeurs - soit répartir librement t out ou partie des titres non s ouscrits ; Il créer, conclure t ous accor ds et prendre plus général ement demandé mobilières, avec ou s ans prime, leur date de jouiss anc e éventuellement rétroacti ve, le mode de libération, ainsi que, l e cas échéant, la durée et le pri x d'exercice des bons ou l es de reconnaître que, modalités d'éc hange, de conversion, de remboursement, ou conf ormément à la l oi, l’émission de valeurs mobilières d'attributi on de tout e autre manière de titres de c apital ou donnant accès au capital emporte renonciation par l es donnant accès au c apit al. actionnaires à l eur droit préférentiel de souscription aux titr es de c apit al auxquels c es titres ou valeurs mobilières pourront donner droit. En c e qui c onc erne le prix, il vous est propos é de déci der que la somme revenant, ou devant revenir, à la Sociét é pour chacune des actions émis es ou à émettre dans l e c adre de l a 168 L’attribution des titres de capital auxquels l es valeurs mobilières pourront donner acc ès, pourra s’effect uer par tous moyens et pourra s’exerc er pendant tout e la durée fi xée par l e Conseil d’Administration. Doc um ent de Référenc e 2008 Il vous est enfin demandé de décider que le Cons eil d’Administration, avec f aculté de s ubdélégati on dans l es conditi ons prévues par la loi et par les stat uts de l a Sociét é : - devr a dét erminer, dans les conditions légales, les modalit és 4° DELEGATION DE COMPETENCE A L ’EFFET DE DECIDER L’EMISSION D’ACTIONS, TITRES OU V ALEURS MOBILIERES DIVERSES EN CAS D’OFFRE PUBLIQUE INITIEE PAR LA SOCIETE d'ajustement des conditions d'accès à ter me au capital des e Nous vous demandons par le vot e de la 13 résol ution de titres ou des valeurs mobilières, y compris les bons ; déléguer au Conseil d’Administrati on, pour une durée de 26 - prévoir toute disposition particulière des c ontrats d'émission ; mois, la c ompétenc e de l’Assemblée Général e Extraordinaire - pourra prévoir la f aculté de sus pendre éventuellement à l'eff et de décider, sur s es seules décisions, l'émission l'exercice des droits attac hés à c es titres pendant un délai ne d’actions, de titres de c apit al ou titres ou valeurs mobilières pouvant excéder le délai maximum prévu par les dispositions diverses - y compris de bons de souscription émis de manièr e légales et r églementaires applicabl es; aut onome - donnant acc ès ou pouvant donner accès au capital de l a Société, ou donnant droit à l'at tribution de titr es - pourra dét erminer les modalités d'ac hat en bourse ou de créanc e en rémunération des titres apport és à toute offr e d'échange, à tout moment ou à des périodes dét erminées , publique comportant une c ompos ant e échange initiée par l a des titres émis ou à émet tre ; Sociét é sur les titres d'une autre soci été inscrite à l'un des - pourra proc éder à tout es imput ations s ur les primes et marchés réglementés visés par l'article L.225-148 du Code de not amment c elles des frais entraî nés par la réalisation des commerce, et décide, en tant que de besoi n, de s upprimer, au émissions. profit des porteurs de c es titres , le dr oit pr éférentiel de souscription des actionnaires à c es ac tions , titres ou valeurs -aura tous pouvoirs afin d’ass urer la prés ervation des dr oits mobilières. des tit ulaires de titres ou valeurs mobilières donnant à t erme accès au c apit al de la Société et c e, en c onformit é avec l es L’émission de valeurs mobilières donnant acc ès au c apit al dispositions légales et r églement aires. emporte renonciati on par les actionnaires à l eur dr oit préférentiel de souscription aux titres de c apital auxquels c es 3° AUTORISATION DE PROCEDER A L ’EMISSION D’ ’ ACTIONS, TITRES OU VALEURS MOBILIERES DIVERSES EN EN FIXANT LIBREMENT LE PRIX D’EMISSION titres ou valeurs mobilières pourront donner droit. En matière d'émission par appel public à l'épargne s ans dr oit délégation donnée au Conseil préférentiel Général e présente rés olution ne pourra être s upérieur à vingt (20) Extraordinaire a la possibilité, dans l a limit e de 10% du c apit al millions d'euros ou s a c ontre-valeur dans toute autre monnai e social par an, de déléguer au Conseil d'Administration l a aut orisées, ét ant pr écisé que c e montant est (i) fixé c ompt e fixation du prix d'émission selon des modalit és qu'elle aur a non tenu des c onséquenc es sur le mont ant du c apit al des dét erminées. Il s'agit là de la possibilité d'ef fect uer des ajustements susc epti bles d'être opérés, confor mément aux augment ations de c apit al dite "en continu" quel que soit l'état dispositions du marché boursier. l'émission des titres ou valeurs mobilières donnant accès à de souscription, l'Assemblée e Le montant nominal d'aug mentati on de capital immédiat ou à terme rés ultant de l'ens emble des émissions d’actions, de titres ou valeurs mobilières di verses réalisées en vertu de l a législatives et d’Administration, réglement aires par l a en suit e de terme au c apit al, (ii) que ce montant, qui est commun au Nous vous demandons par le vot e de la 12 résol ution plafond de vingt (20) millions d’euros pr évu à la 11 résolution, d’aut oriser, pour une durée de 26 mois, et dans la limite de et (iii) qu’il s’imputera sur l e mont ant du plafond global de 10% du capital s ocial par an, l e Cons eil d'Administrati on à soixant e quinz e (75) millions d’euros prévu à la 19 résol ution. e e émettre t out es acti ons, titres de capital ou titres ou valeurs mobilières di verses, donnant ou pouvant donner accès au Nous capital de la Sociét é ou donnant droit à l'attribution de titres de d’Administration tous les pouvoirs néc essaires à la réalisation vous demandons créance en en fi xant le pri x d’émission en c as d'émission par des of fres publiques vis ées ci-dess us et de procéder aux appel public à l'épargne sans droit préférentiel de souscription, émissions en fonc tion des opportunités du marché s ous la s eule limit e rémunérant les actions , titres ou val eurs mobilières apportés , que les sommes à percevoir pour chaque acti on s oient au étant entendu que le Cons eil d’Administration aura à fixer les moins égales à la valeur nominale. parités d'éc hange et à c ons tat er le nombre de titres apport és d'acti ons ou de titres c onf érer ou au valeurs Cons eil mobilières à l'échange. Doc um ent de Référenc e 2008 169 5° DELEGATION A L ’EFFET DE PROCEDER A L’EMISSION D’ACTIONS, DE TITRES OU VALEURS MOBILIERES DIVERSES EN VUE DE REMUNERER DES APPORTS EN NATURE CONSENTIS A LA SOCIETE Il existe la possibilité pour l’Assembl ée Général e Extraordinaire de déléguer au Conseil d’Administr ation l es pouvoirs néc essaires pour proc éder, sous cert aines c onditions, à une augment ation de c apit al par apport en nature, limit ée à 10% du c apit al social. Cette autorisation emport e renonci ation, de votre part au profit des bénéficiaires de c es options , au droit préf érenti el de souscription des ac tionnaires aux actions à émettre. Le prix de souscription ou d’ac hat des acti ons sera fi xé par l e Conseil d’Administrati on à la date à laquelle l es options s eront consenties, dans l es limit es et selon les modalités prévues par la loi. Les options pourront être exercées par les bénéficiaires dans e Ainsi, nous vous demandons par le vote de la 14 résol ution de déléguer, pour une durée de 26 mois, au Cons eil un dél ai de di x (10) ans à c ompter du j our où elles auront ét é consenties. d'Admi nistration les pouvoirs nécessaires à l’eff et de proc éder Les ac tions issues de la levée des options port eront à l’émission d’ actions, titres de capital ou titres ou valeurs jouissanc e au premi er jour de l’exercice de la l evée. mobilières di verses not amment donnant ou pouvant donner accès au capital de la Sociét é au moment de l'émission, dans la limite de 10 % du capit al social, en vue de rémunérer des apports en nat ure c ons entis à la Soci été et constitués de titr es de capital ou de valeurs mobilières donnant acc ès au c apit al, lorsque les dispositions de l’article L. 225-148 du Code de commerce ne sont pas applic ables. Il est précisé que le Conseil d’Admi nistration aur a tous Il vous est également demandé de c onf érer au Cons eil d’Administration, dans l es limites fi xées ci-dess us ainsi que celles des dispositions st atutaires, avec fac ulté de subdélégation dans les conditions pr évues par la loi et par l es statuts de la Société, les pouvoirs néc essaires pour mettre en œuvre l a prés ent e aut orisation, et notamment pour : - fixer les dates auxquelles ser ont c ons enti es des options ; pouvoirs notamment pour appr ouver l’évaluation des apports - dét erminer les dat es de chaque attribution, fi xer l es et concernant lesdits apports, en c onst ater l a réalisation, conditi ons dans l esquelles seront c onsenties l es options (c es imputer t ous frais, charges et droits sur les pri mes, le s olde conditi ons pouvant recevoir toute af fect ation décidée par le Cons eil d’interdiction de revente i mmédiate de tout ou partie des titres), d’Administration, augmenter le capit al soci al et proc éder aux arrêter la list e des bénéficiaires des options et décider du modifications corrélatives des st at uts. nombre d’ac tions auquel c hac un pourra s ouscrire ou acquérir ; SOUSCRIPTION ET/ OU D’ACHAT D’ACTIONS EN FAVEUR DES MEMBRES DU PERSONNEL ET/ OU MANDATAIRES SOCIAUX DES SOCI ETES DU GROUPE e durée de 26 des cl aus es Conseil d’Administration pourra prévoir la fac ulté de suspendre t empor airement les levées d’options dans l es conditi ons légal es et réglement aires ; - décider des c onditions dans lesquelles le prix et le nombr e Nous vous demandons , par le vot e de la 15 résolution, une c omporter ou l es périodes d’exercice des opti ons, ét ant précisé que l e 6.1. AUTORISATION DE CONSENTIR DES O PTIONS D E pour notamment - fixer les c onditions d’exercice des opti ons et not amment l a 6° ACTIONNARIAT DU PERSONNEL d’aut oriser pouvant mois le Cons eil d’actions à souscrire ou ac het er seront ajust és dans les c as prévus par la l oi ; d’Administration à consentir, en une ou plusieurs fois, aux - dét erminer, sans qu’il puiss e exc éder di x (10) ans, le dél ai membres du personnel salariés ainsi qu’ aux mandat aires pendant lequel les bénéficiaires pourront exercer leurs options sociaux, ou à certai ns d’entre eux, de la Société et des ainsi que les périodes d’exercice des options, sociétés ou groupements d’intérêt éc onomique qui lui sont li és dans les conditions visées à l’article L. 225-180 du Code de commerce, et dans la limite des textes en vigueur, - des opti ons donnant droit à l a souscription d’ actions nouvelles de la Sociét é à émettre à titr e d’augmentation de capital et/ ou, - accomplir tous act es et formalités à l’effet de rendr e définiti ves la ou les augmentati ons de capital qui pourront êtr e réalisées en vertu de l’autorisation faisant l’objet de l a présente rés oluti on ; - modifier l es st at uts en conséquence et général ement f aire tout ce qui s era nécess aire. - des options donnant droit à l’achat d’acti ons acquises par l a Sociét é dans l es conditi ons légal es, le nombre tot al des options ai nsi attribuées ouvertes et non encore levées ne pouvant donner droit à souscrire à un nombre d’acti ons s upérieur aux li mites l égales et au plaf ond e 6.2. DELEGATI ON DE COMPETENCE A L’ EFFET D’AUGMENTER LE CAPITAL SOCIAL EN FAVEUR DES SALARI ES DU GROUPE e Le vote de la 18 résol ution s’inscrit quant à elle dans le c adr e global prévu par la 19 résolution de la présent e Ass emblée des Générale. commerce articles L. 225-129-2 et qui stipulent L. 225-129-6 du Code de que, lors de t out e décision d’augment ation de c apit al, l’Assemblée Générale doit s e 170 Doc um ent de Référenc e 2008 prononcer s ur une augment ation de capital rés ervée aux - dét erminer que les émissions pourront avoir lieu direct ement salariés eff ectuée dans les conditions prévues à l’article au profit des bénéficiaires ou par l’inter médi aire d’ organismes L.443-1 et s uivants du Code du travail. collectifs ; - dét erminer les conditi ons et modalités des émissions qui Ainsi, il vous es t propos é de déléguer au Cons eil d’Administration, pour une durée de 26 mois, l a compét enc e de l’Ass emblée Génér ale Extraordi naire à l’ef fet de décider de seront réalisées en vertu de la prés ent e autorisati on et not amment de jouiss ance, les modalit és de libération des actions procéder, en une ou pl usieurs fois (i) à l’émission d’ actions - fixer le prix de s ouscripti on des actions dans les c onditions nouvelles ou d’autres titres réser vées aux s alariés de l a légales; Sociét é et/ou des s ociétés liées à la Société au s ens des dispositions de l’article L. 225-180 du Code de commerce, qui sont, le cas éc héant , adhérents - fixer les dates d’ouverture et de clôt ure de s ouscriptions d’un plan d’ épargne - fixer le délai de libér ation des actions qui ne s aurait exc éder d’entreprise ou d’un plan partenarial d’ épargne salarial e le délai maxi mum prévu par les dispositions l égales et vol ont aire, et /ou de tous fonds communs de placement par réglementaires l’intermédiaire desquels les actions nouvelles ai nsi émis es l’anciennet é des s alariés exigée pour participer à l’opération et seraient souscrites par eux, et (ii) à l’at tribution grat uite aux l’abondement de l a Sociét é ; dits sal ariés d’actions ou d’autres titres donnant accès au capital de la Société l es limit es prévues par les articles L.3332- 21 et s uivants du Code du travail. applicables ainsi que, le cas éc héant , - apporter aux st at uts l es modifications néc essaires et généralement faire l e nécess aire et s’il le j uge opportun imputer l es frais d’ augment ation de capital s ur le montant des Le montant nominal d'aug mentati on de capital immédiat ou à primes af férentes à c es augment ations et prélever s ur c e terme rés ultant de l'ens emble des émissions d’actions, de montant les sommes néc essaires pour port er la rés erve légal e titres de capital ou valeurs mobilières diverses réalisées en au dixi ème du nouveau capital après chaque augment ation. vert u de la délégation donnée au Conseil d’Administration par la prés ent e rés olution est de cinq (5) millions d’ euros ou de s a 6.3. contre- val eur dans toute autre monnaie aut orisée ét ant D’ADMINISTRATION précisé que (i) ce plaf ond est fi xé compt e non t enu des L’ATTRIBUTION GRATUITE D’ACTION S conséquenc es sur le montant du c apit al des ajust ements susceptibles d'être opérés , conformément aux dispositions législatives et réglement aires en s uite de l'émission des titr es ou valeurs mobilières donnant accès à ter me au capital et que (ii) le mont ant nominal d’ augment ation de capital réalisée en application de la pr ésente délégation s’imputera sur l e montant du pl afond global de soi xant e quinze ( 75) millions e d’euros prévu à l a 19 résol ution. AUTORISATION A A DONNER L’EFFET AU DE CONSEI L PROCEDER A e La 17 rés olution vis e à dél éguer au Conseil d’Administration, dans les conditi ons prévues à l’article L.225-197-1 du C ode du c ommerce, la compét ence de l’Assemblée Général e Extraordinaire, pour une durée de 26 mois, à l'eff et de procéder à son choi x, en une ou plusieurs fois au profit des bénéficiaires qu’il déter miner a parmi l es membres et /ou certains d’entre eux du personnel salarié et/ ou des mandataires soci aux de la Sociét é qui répondent aux Le prix de souscription des acti ons émis es en vert u de l a conditi ons fi xées par la loi et/ ou des s ociét és ou groupements présente délégation de c ompétence s era dét erminé dans l es qui lui sont liés au s ens de l’article L. 225-197-2 du Code de conditi ons prévues par les dis positions de l’article L. 443-5 du commerce, à des attributions gratuit es d’acti ons existant es Code du travail. et/ou à émet tre de la Soci été. Cette délégation i mplique de votre part renonciation à votr e Il appartiendra au C onseil d’Administration de dét erminer droit préf érenti el de souscription en f aveur de ces s alariés ou l’identité des bénéficiaires des attributi ons d’ actions gratuites , anciens salariés adhér ents à un pl an d’ épargne entreprise ou le nombre d’actions pouvant plan part enarial d’épargne s alariale volontaire de la Soci été ou bénéficiaire, les conditi ons d’attributi on et, le cas éc héant, l es des s ociét és ou groupements qui lui s ont liés au s ens de critères d’attributi on des ac tions et disposera de la f acult é l’article L.225-180 du Code de commerce et de l’article d’assujettir l’attribution des actions à c ertains critères de L.3344- 1 et sui vants du C ode du travail. perfor manc e indi viduelle ou c ollecti ve. Nous vous demandons de donner tous pouvoirs au Cons eil Il est précis é que le nombre tot al d’actions attribuées d’Administration, avec f aculté de s ubdélégati on dans l es gratuitement en vertu de c ett e rés olution ne pourra pas conditi ons prévues par la loi et par les s tat uts de la Soci été, représenter plus de 1% du c apit al s ocial de la Soci été t el que pour mettre en œuvre, en une ou plusieurs fois, la présent e const até à l’issue de l’ass emblée, c ompte non tenu des délégation de compét enc e, dans le res pect des c onditions qui actions s uppl ément aires à émet tre ou à attribuer pour viennent d’être arrêtées et, notamment t ous pouvoirs pour préser ver les dr oits des bénéficiaires en c as d’opérations s ur dét erminer les conditions de la ou des émissions réalisées en le capit al de la Sociét é au cours de la période d’ acquisition ; vert u ce montant venant s’imputer sur le montant du plafond global de la not amment : présente délégation de compétence, et être at tribuées à c haque e de s oi xante quinze (75) millions d’euros prévu à la 19 résolution. Doc um ent de Référenc e 2008 171 Il est également précisé que l’attribution des actions à leurs bénéficiaires sera définiti ve au t erme d’une période d’acquisition mini mal e de 2 ans mais ne pouvant exc éder 4 ans, l a durée de l’obligation de conser vati on des actions par les bénéficiaires ét ant fixée à 2 ans mini mum sans pouvoir exc éder 4 ans, à c ompt er de l’attribution définiti ve des actions. 8° PLAFOND MAXIMUM GLOBAL DU MONTANT NOMINAL D’AUGMENTATION DE CAPITAL IMMEDIAT OU A TERME RESULTANT DES DELEGATIONS DE COMPETENCE L'article L. 225-129-2 du C ode de c ommerc e pr écise que lorsque l'Assemblée G énérale Extraordinaire délègue s a Nous vous demandons également d’aut oriser le Cons eil compét enc e pour décider l'augment ation de c apital, elle fi xe l a d’Administration à procéder, le c as éc héant, pendant l a durée, qui ne peut exc éder 26 mois pendant laquelle c ett e période d’ acquisition, aux ajust ements du nombre d’ actions délégation peut être utilisée et le plafond global de c ett e attribuées gratuitement en fonction des éventuelles opér ations augment ation. sur le c apital de la Société de mani ère à prés er ver le droit des bénéficiaires. Confor mément au texte précit é et afin d'offrir l'information l a plus c omplèt e aux actionnaires, nous vous demandons , par l e e Il vous es t également demandé de prendre act e de ce que en vote de la 19 rés olution, de fi xer, c onf ormément à l'article cas d’ attribution gratuite d’ actions à émettre, la présent e L.225-129-2 du Code de commerce, le pl afond global aut orisation emport era, à l’issue de la période d’acquisition, d'augment ation de c apital i mmédiat ou à ter me qui pourrait augment ation de c apit al par incorporation de réser ves , résulter de l'ens emble des émissions d'actions, titres de bénéfices ou primes d’ émission au profit des bénéficiaires capital ou titres ou valeurs mobilières di verses réalisés en desdit es acti ons et renonciati on corrélative des actionnaires vert u de la délégation donnée au Cons eil d'Admi nistration, au au profit des attributaires à la partie des rés erves, bénéfic es et titre des dél égations de compétence prévues par les 10 , 11 , e e primes ainsi inc orporés. e e e e e e 12 , 13 , 15 , 16 , 17 et 18 résol utions à un montant nominal Enfin, il vous es t demandé de déléguer t ous pouvoirs au global de soi xante quinze (75) millions d’ euros. Conseil d’Administr ation, avec f acult é de s ubdélégati on, dans Ce plaf ond, qui serait l e même que celui précédemment les conditi ons fi xées par la loi, pour met tre en œuvre c ett e aut orisé, est détermi né compt e non tenu des conséquenc es aut orisation, à l’eff et notamment de dét erminer les dates et sur le montant du capital des ajus tements susc epti bles d'êtr e modalités des attributi ons, fi xer en c as d’attribution d’actions à opérés , émettre le montant et la nature des réser ves , bénéfices et /ou réglementaires en s uite de l'émission des titres ou valeurs primes à i ncorporer et prendre génér alement toutes l es mobilières donnant acc ès à ter me au c apit al. dispositions utiles et conclure tous acc ords pour par venir à la bonne fin des at tributions envisagées, c onst ater la ou les c onf ormément aux dispositions législati ves et Par ailleurs, dans la li mite de c e plaf ond : augment ations de c apital résult ant de t out e attributi on r éalisée a) les émissions avec mainti en du dr oit préf érentiel de par l’usage de cett e autorisati on et modifier corrélati vement souscription, obj ets de la 10 rés oluti on, après prise en les stat uts. compte de l’augmentati on du nombre d’acti ons, titres ou e e val eurs mobilières émises en application de la 16 résolution, 7° AUGMENTATION DU NOMBRE D ’ACTIONS, DE TITRES OU VALEURS MOBILIERES A EMETTRE EN CAS D’AUGMENTATION DE CAPITAL AVEC OU S ANS DROIT PREFERENTIEL DE SOUSCRIPTION DES ACTIONNAIRES e ne pourront avoir pour cons équenc e d'augmenter le c apit al d'un montant s upérieur à ci nquante ( 50) millions euros ; b) les émissions avec s uppression du droit préfér entiel de e e e souscription, objets des 11 , 12 et 13 r ésoluti ons, apr ès prise en c ompt e de l’augmentation du nombre d’ac tions , titr es e Le vot e de la 16 résoluti on s’inscrit dans le cadre de l’article ou valeurs mobilières émis es en application de la 16 L.225-135-1 du C ode de commerce qui permet de faciliter l a résolution, ne pourront avoir pour c ons équenc e d'augment er pratique des options de s ur-allocati on dans l es augment ations le capit al d'un montant supérieur à vingt ( 20) millions euros ; de c apital. c) les émissions en vue de rémunér er des apports en natur e e Dans c e cadre, nous vous demandons d’aut oriser, pour une consentis à la Société, objets de la 14 rés olution, ne pourront durée de 26 mois, le C onseil d’Administrati on, si il vient à pas donner lieu à une augmentation de capital s upérieure aux const ater une demande excédentaire, à augment er, s ur s es limites légales ; seules décisions, dans la limite du plafond global fixé par l a e 19 rés oluti on, le nombre d’ac tions, titres ou valeurs mobilières à émettre en c as d’ augment ation du capital soci al de la Sociét é avec ou sans droit préf érentiel de souscription, dans des délais et limit es prévus par la réglement ation d) les émissions d'actions pour ser vir les options de e souscription d'actions, objets de la 15 résolution, ne pourront pas donner lieu à une augmentation de capital s upérieure aux limites légales, fi xées indépendamment du b) ; e applicable au jour de l’émission (soit à c e jour dans les 30 e) les attributions gratuit es d’actions, objets de la 17 jours de l a clôture de la souscription et dans l a limit e de 15 % résolution, ne pourront pas donner lieu à une augmentation de de l’émission i nitiale) et ce au même prix que cel ui retenu pour capital s upérieure aux li mites l égales ; l’émission i nitiale. 172 Doc um ent de Référenc e 2008 e f) les émissions en f aveur des sal ariés, objets de la 18 Il vous est demandé de conférer t ous pouvoirs au Cons eil résolution, ne pourront avoir pour conséquenc e d’ augment er d’Administration, avec fac ulté de s ubdélégation pour : le capit al d’un montant s upérieur à cinq (5) millions euros ; - procéder à l’annulation des acti ons et à la ou aux réductions de c apital en résult ant ; l'ensemble de ces montants est établi compt e non tenu des - en arrêt er le montant défi nitif, en fi xer les modalit és et en conséquenc es s ur le mont ant du capital des aj ustements const ater la réalisati on ; susceptibles d'êtr e opérés, confor mément aux dispositi ons législatives et r églementaires en suit e de l'émission des titres ou valeurs mobilières donnant acc ès à ter me au capit al. 9° AUTORISATION A DONNER AU CONSEIL D’ADMINISTRATION DE REDUIRE LE CAPITAL SOCIAL PAR ANNULATION D’ ’ ACTIONS e La 20 rés olution vise à autoriser, pour une durée de 18 mois, - imput er la différ ence entre la valeur comptabl e des actions annulées et leur montant nominal sur tous post es de réser ves et primes ; - procéder à la modific ation corrélative des stat uts et , généralement, faire le néc essaire, le t out conf ormément aux dispositions l égales en vigueur lors de l’utilisati on de l a présente aut orisation. le Conseil d’Administration, c onf ormément aux dispositions des articles L.225-209 et s ui vants du C ode de c ommerce, à réduire le capital soci al, en une ou plusieurs fois, dans l es proporti ons et aux époques qu’il décidera, par annulation de tout ou partie des actions dét enues ou acquises par l a Sociét é e Enfin la 21 et dernière rés olution concerne les pouvoirs pour la mise en applicati on de ces rés oluti ons rel evant de l a compét enc e de l’Assembl ée Générale Extraordinaire. elle-même qu’il décider a dans l es limit es autorisées par l a l oi, soit à ce j our, dans la limite de 10 % du capital s ocial de l a Sociét é par période de 24 mois, étant précisé que cet te limit e s’applique à un montant du capital de l a Soci été qui sera, l e cas éc héant , ajusté pour prendre en compte des opér ations Si les propositions du Conseil d’ Administration vous agréent , nous vous demandons de bi en vouloir les approuver par le vote des r ésoluti ons qui vous s ont soumis es. affec tant le capital social post érieurement à la présent e Assemblée Général e. Le Conseil d’ Administr ation Doc um ent de Référenc e 2008 173 PROJET DE RESOLUTIONS A. RESOLUTIONS A TITRE ORDINAIRE PREMIERE RESOLUTION EXAMEN ET APPROBATION DES OPERATIONS ET DES COMPTES SOCIAUX DE L’EXERCICE CLOS LE 31 OCTOBRE 2008 L'Assemblée Générale, statuant aux conditions de quorum et de maj orité requises pour les assembl ées général es ordinaires, après avoir pris connaissanc e des rapports du Conseil d’Administrati on, d’Administration sur du Pr ésident la composition, les du Cons eil conditions de TROISIEME RESULTAT RESOLUTION - mises en plac e par la Soci été et des Commiss aires aux Comptes, ainsi que des compt es soci aux qui lui ont ét é présentés par le Cons eil d’Administr ation, approuve les compt es de l'exercice clos l e 31 oct obre 2008 tels qu’ils lui ont ét é présentés par le Conseil d’Administration, qui font apparaî tre un résult at net après impôts déficit aire de 1.230. 475 euros ainsi que l es opér ations traduit es dans c es comptes et rés umées dans c es rapports . DU L'Assemblée Générale, statuant aux conditions de quorum et de maj orité requises pour les assembl ées général es ordinaires, sur proposition du Conseil d’Administrati on, décide l’affect ation de la perte de l’exercice clos l e 31 oc tobr e 2008 de 1. 230.475 euros au report à nouveau qui s’établit désor mais à (297.476.281) euros. L'Assemblée G énér ale rappelle, conf ormément à la loi, l es dividendes distribués au titre des trois derniers exercices : prépar ation et d'organis ation des travaux du C ons eil et sur l es procédures de contrôle interne et de gestion des risques AFFECTATION Nombre d'acti ons rémunérées 2004/05 2005/06 2006/07 19 358 005 19 358 005 19 370 705 Dividende net distribué - - - Avoir fiscal - - - QUATRIEME RESOLUTION - APPROBATION DES CONVENTIONS REGLEMENTEES L’Assemblée Général e, statuant aux conditi ons de quorum et de maj orité requises pour les assembl ées général es En c ons équence, l'Assemblée Générale donne quitus au ordinaires, après avoir entendu la lect ure du rapport spéci al Conseil d’Administration pour l edit exercice. des Commissaires aux Compt es sur les conventi ons visées aux articles L.225-38 et sui vants du Code de commerce et DEUXIEME RESOLUTION EXAMEN ET APPROBATION DES OPERATIONS ET DES COMPTES CONSOLIDES DE L’EXERCICE CLOS LE 31 OCTOBRE 2008 L'Assemblée Générale, statuant aux conditions de quorum et de maj orité requises pour les assembl ées aux articles L.225-86 et sui vants du Code de commerce pour ce qui c oncer ne les c onventi ons pass ées sous le préc édent régime d’administration et de gesti on de la Société, appr ouve les opérati ons et les conventions conclues ou exéc ut ées au cours de l'exercice clos le 31 octobre 2008. général es ordinaires, après avoir pris connaissanc e des rapports du Conseil d’Administrati on, d’Administration sur du Pr ésident la composition, les du Cons eil conditions de prépar ation et d'organis ation des travaux du C ons eil et sur l es procédures de contrôle interne et de gestion des risques mises en plac e par la Soci été et des Commiss aires aux Comptes, et des compt es cons olidés qui lui ont ét é présent és par le Conseil d’Administrati on, CINQUIEME RESOLUTION - APPROBATION D’UN ENGAGE MENT VISE A L’ARTICLE L.225-42-1 DU CODE DE COMMERCE RELATIF A MONSIEUR HENRI GISCARD D’ESTAING L’Assemblée Général e, statuant aux conditi ons de quorum et de maj orité requises pour les assembl ées général es ordinaires, après avoir entendu la lect ure du rapport spéci al des C ommissaires aux Comptes sur l es engagements visés à approuve les c ompt es cons olidés pour l’exercice clos le 31 octobre 2008 tels qu’ils lui ont été pr ésentés par le Cons eil d’Administration, qui f ont apparaître un rés ultat net part du Groupe bénéficiaire de 1 million d’euros, ainsi que l es opérations traduit es dans ces comptes et rés umées dans c es rapports . 174 l’article L.225-42-1 du Code de c ommerce, prend acte des conclusions dudit rapport et approuve les engagements qui y sont visés et relatifs aux éléments de rémunération, indemnit és ou avantages dus ou s usceptibles d’être dus à raison de la c essation ou c hangement des f oncti ons de Monsieur Henri Giscard d’Est aing dont il est f ait ét at dans c e rapport . Doc um ent de Référenc e 2008 L’Assemblée G énérale décide que le C ons eil d’Administration, SIXIEME RESOLUTION - APPROBATION D’UN ENGAGE MENT VISE A L’ARTICLE L.225-42-1 DU CODE DE COMMERCE RELATIF A MONSIEUR MICHEL WOLFOVSKI avec f acult é de s ubdélégation dans les conditions prévues par L’Assemblée Général e, statuant aux conditi ons de quorum et prestat aire de s ervic es d'inves tissement int er venant au nom et de maj orité requises pour le c ompt e de la Sociét é en toute indépendanc e et sans être influenc é par la Société, dans le c adre d'un c ontrat de des C ommissaires aux Comptes sur l es engagements visés à liquidité conf orme à une c harte de déontologie rec onnue par l’article L.225-42-1 du Code de c ommerce, prend acte des l'Autorité des Marchés Financiers ou t out e autre disposition conclusions dudit r apport et approuve les engagements qui y applicable, et relatifs assembl ées - l’animati on ou la liquidité de l’action par l’intermédiaire d’un Ordinaires, après avoir entendu la l ecture du rapport spéci al visés les procéder à des achats : général es sont pour la loi et l es statuts de l a Société, pourra procéder ou f aire aux éléments de rémunération, indemnit és ou avantages dus ou s usceptibles d’être dus à raison de la c essation ou c hangement des f oncti ons de Monsieur Michel Wolf ovs ki dont il est fait état dans c e rapport. SEPTIEME RESOLUTION - FIXATION DU MONTANT ANNUEL DES JETONS DE PRESENCE L'Assemblée Générale, statuant aux conditions de quorum et de maj orité requises pour les assembl ées général es ordinaires, après avoir pris connaiss ance du rapport du Conseil d’Administrati on, décide de fixer le montant global er annuel des jet ons de prés ence, pour l'exercice courant du 1 novembr e 2008 au 31 oct obre 2009, à la somme de 305. 000 euros. - l’attribution ou la cession d’acti ons dans le cadre de la participati on des salariés aux fruits de l’expansi on ou en vue, selon t out e for me permise, de l’at tribution ou de l a cession d’actions aux s alariés et/ou mandataires sociaux de la Sociét é et/ou de son Groupe notamment pour tout plan d’options d’achat ou au titre de plans d’épargne entreprise ou Groupe ou d’attributions gratuites , - pour la remis e d’acti ons à titre de pai ement , de li vraison ou autres ou l’échange en particulier à l’occ asion d’émission ou de l’exercice de droits att achés à des titres ou valeurs mobilières donnant accès i mmédi atement ou à ter me au capital ou dans le cadre d’ opérations de croissance ext erne, d’opération de f usion, scission ou apport et/ ou, - pour annuler les actions ai nsi acquises, ainsi que le c as HUITIEME RESOLUTION - AUTORISATION A DONNER EN VUE D'UN NOUVEAU PROGRAMME DE RACHAT P AR L A SOCIETE DE SES PROPRES ACTIONS échéant celles acquises dans le c adre d’aut orisations de rachat d’actions ant érieures, c ett e sol ution impliquant une aut orisation donnée par l’Assemblée G énérale s tat uant dans sa for me extraordinaire, L'Assemblée Générale, statuant aux conditions de quorum et - pour t out autre but aut orisé ou qui viendrait à être aut orisé de général es par la loi ou par la réglement ation en vigueur, dans une tell e ordinaires, après avoir pris connaiss ance du rapport du hypothès e, l a Sociét é inf ormant ses actionnaires par le bi ais Conseil d’Administration, et c onformément aux dispositions d’un communiqué ou de tout autre moyen prévu par l a des articles L.225-209 et sui vants du Code de c ommerc e, du réglementation en vigueur, maj orité requises pour les assembl ées Règlement n°2273/2003 de la C ommission européenne d u 22 décembr e 2003 pris en applicati on de l a directi ve 2003/6/C E du 28 janvier 2003 et des articles 241-1 à 241-6 du Règlement Général de l’Aut orité des Marchés Financiers ou de tout e disposition qui vi endrait s’y s ubstit uer, aut orise le Cons eil d’Administration, avec f aculté de s ubdélégati on dans l es conditi ons prévues par la loi et par les statuts de la Soci été à procéder ou faire procéder à l’ac hat par la Société de s es propres ac tions représentant jusqu'à 10% du nombre des actions composant le capit al s ocial de la Soci été à quelque et, à c es fins , conser ver les actions rachet ées, les c éder ou les transf érer par t ous moyens t els que décrits ci-après dans le respect de la réglement ation en vigueur, et not amment par cession en bourse ou de gré à gré, par offre publique de vent e ou d’éc hange, par l’utilisation de mécanismes optionnels ou instruments dérivés, et/ ou annuler les actions ai nsi acquis es ainsi que celles acquises dans l e c adre d’autorisati ons de rachat antérieur es sous rés erve d’une aut orisation donnée par l’Assembl ée Générale s tat uant dans sa forme extraordi naire. moment que ce s oit, s oit à titre indicatif , 19.377. 905 ac tions au L’Assemblée Général e déci de que le pri x unitaire maximum jour de la c onvocati on de la pr ésente Ass emblée ou d’achat est fi xé à 70 eur os, ét ant précisé que c e prix ne ser a représentant jusqu’à 5% du nombre d’ actions compos ant l e pas applicable aux opérations à t erme concl ues en vert u capital s ocial de l a Sociét é à quelque moment que c e s oit, s oit d’aut orisations données par une précédent e assembl ée et à titre indicatif 19.377. 905 ac tions au jour de la convocation de prévoyant des acquisitions ou c essions post érieures à la dat e la prés ent e Assembl ée s’il s’agit d’acti ons acquises en vue de de l a présente ass emblée, ni aux rachats d'acti ons utilisées leur cons ervation et de leur remise ult érieure en paiement ou pour s atisfaire des l evées d'options (ou l'attribution gratuit e en éc hange dans le cadre d’une opér ation de f usion, de d'actions aux s alariés ; le montant maxi mum des f onds que l a scission ou d’apport. Sociét é pourra consacrer au programme de rac hat d’ actions aut orisé aux t ermes de l a présent e résoluti on es t de Doc um ent de Référenc e 2008 175 135.645. 370 euros s ur la base d’ un nombre d’actions de 19. 377.905 actions au 31 octobre 2008. L’Assemblée Générale délègue au C ons eil d’Admi nistration l e pouvoir d’ajus ter ces prix et mont ant afin de tenir compte de B - RESOLUTIONS D’ASSEMBLEE GENERALE EXTRAORDINAIRE d’amortissement du c apit al ou de t oute autr e opération port ant DIXIEME RESOLUTION - DELEGATION DE COMPETENCE A L’EFFET DE DECIDER L’EMISSION D’ACTIONS, TITRES OU VALEURS MOBILIERES DIVERSES AVEC MAINTIEN DU DROIT PREFERENTIEL DE SOUSCRIPTION DES ACTIONNAIRES sur les capitaux propres. L'Assemblée Générale, statuant aux conditions de quorum et l’incidence d’ éventuelles opérations s ur la valeur de l’ac tion, not amment en cas de modification du nominal de l’action, de division ou de r egroupement des acti ons, d’augmentation de capital par inc orporati ons de rés er ves et d’ attribution gratuit es d’actions, de distributi ons de réser ves ou de tout autre actif , L’Assemblée Général e décide que l’achat, la c ession ou l e transfert des actions pourront être effec tués et payés à t out moment et par tous moyens , y c ompris par utilisation de méc anismes optionnels ou d’instruments déri vés ou de bons , et notamment l’achat d’ options d’ achat, dans les c onditions prévues par les autorités de marché et que la part maxi mal e de majorité requises pour les Assemblées Général es Extraordinaires, après avoir pris connaiss ance du rapport du Conseil d’Administr ation et du rapport spécial des Commissaires aux C omptes , dans le c adre des articles L. 225127, L. 225- 129, L. 225-129-2, L.225-132 et L.228-91 et suivants du Code de c ommerc e du c apital pouvant être transférée s ous f orme de blocs de 1°) pr end acte que la délégation prive d’eff et à co mpter de c e titres pourra att eindre l a tot alité du programme de rac hat jour, à haut eur le cas éc héant , de la partie non utilisée par le d’actions. Conseil L’Assemblée Générale décide que la Soci été pourra utiliser l a présente résol ution et poursui vre l’exécution de son d’Administr ation, la délégation donnée par l’Assembl ée Général e Mixte du 8 mars 2007 par l e vote de s a e 17 résol ution, programme de rachat en c as d’offres publiques port ant sur l es 2°) délègue au Conseil d’Administration, avec fac ul té de actions , titres ou val eurs mobilières émis par la Société ou subdélégation, pour une dur ée de vingt si x (26) mois à initiées par la Société, confor mément aux dispositions de compter de la présente Assemblée, sa compétence, à l'effet l’article 232-17 du Règlement Général de l’Autorité des de décider, s ur ses seul es décisions , en une ou plusieurs f ois, Marchés Financiers (ou toute autre disposition légale, dans l es proportions et aux époques qu’il appréciera, t ant en réglementaire ou autre applicable ou qui vi endr ait s’ y France qu'à l'étranger, en euros ou monnaie(s) étrangère(s) substit uer). ou unité de c ompt e fi xée par référence à pl usieurs monnaies , L'Assemblée G énérale donne tous pouvoirs au Cons eil d’Administration, avec f aculté de s ubdélégati on dans l es conditi ons prévues par la loi et par l es st atuts de la Sociét é pour mettre en œuvre la prés ent e résolution, pour en pr éciser si nécess aire les ter mes et arrêt er les modalités et pour réaliser le programme et pour passer t ous act es, c onclur e tous acc ords, effec tuer t out es for malités et d'une manièr e générale faire le nécessaire pour l'application de la présent e l'émission, avec maintien du droit préférentiel de souscription des actionnaires, d’acti ons, titres de c apit al ou titres ou val eurs mobilières - y c ompris de bons de souscription émis de manière autonome à titre gratuit ou onéreux ou de bons d'acquisition - donnant acc ès ou pouvant donner accès au capital ou donnant dr oit à l’attribution de titres de créance, dont la s ouscripti on pourra être opérée soit en es pèc es, s oit par compens ation de cr éanc es étant précis é que la présent e délégation pourra permettre une ou pl usieurs émissions en résolution. application de l'article L. 228- 93 du C ode de commerce. La présente aut orisation est donnée pour une durée de di xhuit (18) mois. Elle met fin et remplac e c elle précédemment accordée par la quinzième résol ution de l’Ass emblée Il est pr écisé que l’ émission d’actions de préférence ai nsi que l’émission de t ous titr es ou valeurs mobilières donnant acc ès à des acti ons de préf érenc e es t excl u. Générale de la Soci été du 11 mars 2008. 3°) déci de que l e montant nomi nal d'augmentation de c apit al NEUVIEME RESOLUTION - POUVOIRS immédiat ou à ter me résult ant de l'ensemble des émissions L'Assemblée Générale, statuant aux conditions de quorum et de maj orité requises pour les assembl ées général es ordinaires, après avoir pris connaiss ance du rapport du Conseil d’Administrati on, donne tous pouvoirs au porteur de copies ou d'extraits du proc ès-verbal des présent es délibérations pour faire toutes déclarati ons et remplir tout es formalit és d'enregistrement, de dépôt, de publicité ou autres . réalisées en vert u de la délégati on donnée au Cons eil d’Administration, au titr e de la présente rés oluti on, ne pourra être supérieur à cinquant e (50) millions euros ou sa c ontr e val eur dans t oute autre monnaie ou unité aut orisée, ét ant précisé que (i) c e mont ant es t fixé c ompt e non tenu des conséquenc es sur le montant du c apit al des ajust ements susceptibles d'être opérés , conformément aux dispositions législatives et réglement aires en s uite de l'émission des titr es ou valeurs mobilières donnant accès à ter me au capital, et que (ii) ce mont ant s’i mputera sur le mont ant du plafond global e de s oixant e quinz e (75) millions euros fi xé à la 19 rés olution. 176 Doc um ent de Référenc e 2008 4°) déci de que le Conseil d’Admi nistration, avec f a culté de En c as d'émission de titr es de créanc es, le Cons eil subdélégation, pourra décider que les titres ou valeurs d’Administration mobilières non souscrits à titre réductible s eront attribués aux subdélégation dans les conditi ons prévues par la l oi et par l es actionnaires qui auront souscrit un nombre de titres s upérieur statuts de la Société, not amment, pour décider de leur à celui auquel ils pourraient s ouscrire à titre préf érenti el caractère subordonné ou non, fi xer leur t aux d'intérêt, leur proporti onnellement à leurs droits et dans la limit e de leur durée, le prix de rembours ement fixe ou variable, avec ou demande. Si les s ouscripti ons à titre irréductible et , le c as sans prime, des modalités d'amortiss ement et les c onditions échéant , à titr e réducti ble n'ont pas abs orbé la tot alité de dans l esquelles ces titr es donneront droit à des actions de l a l'émission, le Cons eil d’Administr ation, avec f aculté de Sociét é. subdélégation, pourra dans l'ordre qu'il dét erminera, utiliser l'une ou l'autre des fac ultés ci-après (ou plusieurs d’ entr e elles): aura t ous pouvoirs avec f acult é de L'Assemblée G énérale décide que le Conseil d’Administr ation aura tous pouvoirs, avec f acult é de subdél égation, dans l es conditi ons prévues par la loi et par les s tat uts de la Soci été, - soit limit er, confor mément et dans les conditions prévues par pour mettr e en œuvre, la prés ent e résol ution à l'effet de la loi, le mont ant de l'opérati on au montant des souscriptions procéder aux émissions, en fi xer les conditions et modalités , reçues, sous l a c ondition que cel ui-ci att eigne au moi ns l es const ater la réalisation des augment ations qui en rés ultent et trois-quarts de l’émission déci dée ou tout autre seuil qui ser ait procéder fixé par la loi ; not amment pour arrêt er les dat es, les mont ants , les c onditions - soit répartir librement t out ou partie des titres non s ouscrits ; - soit offrir au public en t out ou partie des titr es non s ouscrits. 5°) reconnaît que l’émission de titres ou de valeur s mobilières donnant acc ès au capital emporte renonciation des actionnaires à l eur droit préférentiel de souscription aux titr es de c apit al auxquels c es titres ou valeurs mobilières pourront donner droit. à la modification corrélative des stat uts, et et les modalités de t out e émission ainsi que l a f orme et l es caractéristiques des titres ou valeurs mobilières à créer, conclure tous accor ds et prendre pl us généralement tout es dispositions néc essaires ou utiles pour parvenir à l a bonne fi n des émissions envis agées et à la c ot ation au s er vice fi nancier des ins truments émis. Notamment , il fi xera l es montants à émettre, l es pri x d'émission et de s ouscription des ac tions , titres ou val eurs mobilières, avec ou sans pri me, leur dat e de jouissanc e éventuellement rétroacti ve, le mode de libération, 6°) déci de que la somme revenant ou devant revenir à l a ainsi que, le cas éc héant , la durée et le pri x d'exercice des Sociét é pour chacune des ac tions émis es ou à émettre dans bons le cadre de la délégation s us visée, après prise en compt e, en remboursement, ou d'attributi on de toute autre manière de cas d’ émission de bons aut onomes de s ouscription ou titres de capital ou donnant accès au capit al. d’attribution d’actions, du prix d’ émission des dits bons, ser a au moins égale au pri x mini mum prévu par les dispositions légales et/ou réglement aires applicables au jour de l'émission et ce, que les valeurs à émettre de mani ère immédiat e ou différé s oient ou non assimilables aux titres de capit al déj à émis. ou l es modalit és d'échange, de c onversion, de L'Assemblée Général e précis e notamment que l e Cons eil d’Administration, avec f aculté de s ubdélégati on dans l es conditi ons prévues par les dis positions légales , réglementaires ou st at utaires applicables : - devr a dét erminer, dans les conditions légales, les modalit és Les titres ou valeurs mobilières ai nsi émis pourront c onsist er en des titres de créanc es et not amment obligations ou titr es d'ajustement des conditions d'accès à ter me au capital des titres ou valeurs mobilières, y compris des bons ; assimilés ou ass ociés, ou encore en per met tre l'émission - pourra, en cas d’attribution gratuite notamment de bons de comme titres int ermédiaires . Ils pourront revêtir notamment la souscription, décider librement du sort des rompus ; forme de titres subordonnés à durée détermi née ou non, et être émis soit en euros, soit en devises étrangères , ou en autres unit és monét aires ét ablies par réf érenc e à plusieurs - pourra prévoir t out e dispositi on particulière dans le contrat d'émission ; devises. La durée des emprunts à durée dét erminée ne - pourra prévoir la f aculté de sus pendre éventuellement pourra excéder 20 ans. Le mont ant nominal maximal de c es l'exercice des droits attac hés à c es titres pendant un délai ne titres de créanc es ne pourra excéder trois c ent (300) millions pouvant excéder le délai maximum prévu par les dispositions euros ou leur contre-valeur à la dat e de la décision d'émission, légales et r églementaires applicabl es ; étant entendu que c e mont ant est c ommun à l'ensembl e des titres de créance dont l'émission est déléguée au Cons eil d’Administration c onf ormément aux prés ent es. - pourra fi xer l es c onditi ons d'attribution gratuit e de bons de souscription autonomes et dét erminer les modalit és d’ac hat ou d’éc hange des titres, valeurs mobilières et/ ou bons de Ils pourront être ass ortis d’ un int érêt à t aux fi xe et/ou variabl e souscription ou d’attribution comme de remboursement de c es ou titres ou valeurs mobilières ; enc ore avec capitalisati on et f aire l’obj et d’un remboursement avec ou s ans prime ou d’un amortissement , les titres pouvant en outr e f aire l’objet de rac hat en bourse ou d’offre publique par la Sociét é. - pourra déter miner l es modalités d'ac hat ou d'éc hange, à t out moment ou à des périodes dét erminées , des titr es émis ou à émettre ; Doc um ent de Référenc e 2008 177 - pourra proc éder à tout es imput ations s ur les primes et monnai e ou unit é aut orisée étant précisé que (i) ce mont ant not amment c elles des frais entraî nés par la réalisation des est commun à l a 13 résolution, (ii) qu’il est fixé compte non émissions ; tenu des conséquenc es sur l e montant du c apit al des - aura t ous pouvoirs afin d’ assurer la prés ervation des dr oits des tit ulaires de titres ou valeurs mobilières donnant à t erme accès au c apit al de la Société et c e, en c onformit é avec l es dispositions légales et r églement aires. e ajustements susc epti bles d'être opérés, confor mément aux dispositions législatives et réglement aires en suit e de l'émission des titres ou valeurs mobilières donnant accès à terme au capital et que (iii) ce mont ant s’imput era s ur l e montant du pl afond global de soi xant e quinze ( 75) millions e ONZIEME RESOLUTION - DELEGATION DE COMPETENCE A L’EFFET DE DECIDER L’EMISSION D’ACTIONS, TITRES OU VALEURS MOBILIERES DIVERSES, AVEC SUPPRESSION DU DROIT PREFERENTIEL DE SOUSCRIPTION DES ACTIONNAIRES. L'Assemblée Générale, statuant aux conditions de quorum et de maj orité requises pour les assembl ées général es euros fi xé à la 19 résol ution. 5°) conformément à la loi, délègue au Cons eil d’Adm inistr ation, avec fac ulté de subdél égation, la f acult é d'apprécier s'il y a lieu de prévoir un délai de priorité irréductible et/ ou réductibl e de souscription en faveur des ac tionnaires dont la durée minimale est fixée par décret et de fi xer ce délai et s es modalités et ses c onditions d'exercice, c onformément aux dispositions de l’article L.225-135 du Code de c ommerce. extraordi naires, apr ès avoir pris c onnaissance du rapport du Si les s ouscripti ons n'ont pas absorbé la t otalité de l'émission, Conseil des le Conseil d’Administrati on, avec fac ulté de s ubdélégation, Commissaires aux C omptes , dans le c adre des articles L. 225- pourra, dans l'ordre qu'il détermi nera, utiliser l'une ou l'autr e 127, L. 225- 129, L. 225-129-2, L. 225-135, L. 225-136, L.228-91 des f acult és ci-après (ou plusieurs d’entre elles) : d’Administr ation et du rapport spécial et sui vants du Code de c ommerce, - soit limit er, confor mément et dans les conditions prévues par 1°) pr end acte que la délégation prive d’eff et à co mpter de c e la loi, le mont ant de l'opérati on au montant des souscriptions jour, à haut eur le cas éc héant , de la partie non utilisée par le reçues, sous l a c ondition que cel ui-ci att eigne au moi ns l es Conseil trois-quarts de l’émission décidée ; d’Administr ation, la délégation donnée par l’Assembl ée Général e Mixte du 8 mars 2007 par l e vote de s a e 18 résol ution, 2°) délègue au Conseil d’Administrati on sa c ompét en c e, avec - soit répartir librement t out ou partie des titres non s ouscrits ; - soit les offrir au public en tout ou partie. facult é de subdélégation, pour une durée de vi ngt six (26) 6°) reconnaît que l’émission de val eurs mobilières donnant mois à compter de la prés ent e Ass emblée, à l'effet de décider, accès au c apit al emporte r enonciati on par les acti onnaires à sur ses s eules décisions, en une ou plusieurs fois, dans l es leur droit préf érentiel de s ouscription aux titres de capit al proporti ons et aux époques qu’il appréciera, t ant en Franc e auxquels c es titres ou val eurs mobilières pourront donner dr oit. qu'à l'étranger, en euros ou en monnai e(s) étrangère(s) ou unité de compt e fi xée par réf érenc e à plusieurs monnaies , l'émission d’actions, titres de c apit al ou titres ou valeurs mobilières - y compris de bons de souscription émis de manière aut onome à titre onér eux ou de bons d'acquisition donnant acc ès ou pouvant donner acc ès au capit al ou donnant droit à l’attributi on de titr es de créance, dont l a souscription pourra êtr e opérée s oit en espèces , soit par compens ation de créanc es, étant précisé que l a présent e délégation pourra permettre une ou pl usieurs émissions en application de l'article L. 228- 93 du C ode de commerce, 7°) décide que la somme revenant, ou devant revenir , à la Sociét é pour chacune des ac tions émis es ou à émettre dans le cadre de la délégation s us visée, après prise en compt e, en cas d’ émission de bons aut onomes de s ouscription ou d’attribution d’actions, du prix d’ émission des dits bons, ser a au moins égale au pri x mini mum prévu par les dispositions légales et/ou réglement aires applicables au jour de l'émission et ce, que les valeurs à émettre de mani ère immédiat e ou différée soi ent ou non assi milables aux titres de capital déj à émis. 3°) décide de supprimer le droit préf érenti el de so uscription des actionnaires à c es actions, titres de c apit al ou titres ou Les titres ou valeurs mobilières ai nsi émis pourront c onsist er val eurs mobilières di verses . en des titr es de créances notamment titres obligataires ou êtr e Il est pr écisé que l’ émission d’actions de préférence ai nsi que l’émission de t ous titr es ou valeurs mobilières donnant acc ès à des acti ons de préf érenc e es t excl u. associés à l'émission de tels titres, ou enc ore en permettr e l'émission comme titres int ermédiaires. Ils pourront revêtir not amment la for me de titres subordonnés à durée dét erminée ou non, et être émis soit en euros, soit en devis es étrangères ou en autres unités monétaires établies par 4°) déci de que l e montant nomi nal d'augmentation de c apit al immédiat ou à ter me résult ant de l'ensemble des émissions réalisées en vertu de la délégati on données au titre de l a présente rés olution ne pourra être s upérieur à vingt (20) millions euros ou de sa c ontre- valeur dans toute autr e 178 référenc e à pl usieurs devis es. La durée des emprunts à durée dét erminée ne pourra exc éder vingt ( 20) ans. Le mont ant nominal maximal de c es titres de créances ne pourra exc éder trois cent (300) millions euros ou leur contr e-valeur à la dat e de la décision d'émission, étant précisé que ce mont ant es t Doc um ent de Référenc e 2008 commun à l'ensembl e des titr es de créance dont l'émission accès au c apit al de la Société et c e, en c onformit é avec l es est déléguée au Conseil d’Administration confor mément aux dispositions légales et r églement aires. présentes. En c as d'émission de titr es de créanc es, le Cons eil d’Administration aura t ous pouvoirs avec f acult é de subdélégation dans les conditi ons prévues par la l oi et par l es statuts de la Sociét é, not amment pour décider de leur DOUZIEME RESOLUTION - AUTORISATION DE PROCEDER A L’EMISSION D’ACTIONS, TITRES OU V ALEURS MOBILIERES DIVERSES EN EN FIXANT LIBREMENT LE PRIX D’EMISSION caractère subordonné ou non, fi xer leur t aux d'intérêt, leur L'Assemblée Générale, statuant aux conditions de quorum et durée, le prix de rembours ement fixe ou variable, avec ou de sans prime, des modalités d'amortiss ement et les c onditions extraordi naires, apr ès avoir pris c onnaissance du rapport du dans l esquelles ces titr es donneront droit à des actions de l a Conseil Sociét é. Commissaires aux Comptes , dans le c adre de l’article L. 225- maj orité requises pour d’Administr ation et les du assembl ées rapport général es spécial des 136 1° du Code de c ommerce et dans l a limit e de 10% du capital s ocial par an, Le C ons eil d’Admi nistration aura tous pouvoirs, avec f acult é de subdél égation, dans l es c onditions prévues par l es dispositions légales , réglement aires ou st atutaires applicables , pour mettr e en œuvre, la prés ent e résol ution à l'effet de procéder aux émissions , fi xer leurs conditions, c onst ater l a réalisation des augmentations qui en résult ent et proc éder à l a 1°) pr end acte que la délégation prive d’eff et à co mpter de c e jour, à haut eur le cas éc héant , de la partie non utilisée par le Conseil d’Administr ation, la délégation donnée par l’Assembl ée Général e Mixte du 8 mars 2007 par l e vote de s a e 19 résol ution, modification corrélative des st at uts, et not amment arrêter l es 2°) aut orise, pour une durée de vi ngt-six ( 26) mois , le Cons eil dat es, les c onditions et les modalit és de toute émission ai nsi d’Administration, avec f aculté de s ubdélégation, à émettr e que la forme et les c aractéristiques des titres ou valeurs tout es actions, titres de capital et/ ou titres et/ ou valeurs mobilières à créer, concl ure tous accords et prendre pl us mobilières di verses, donnant ou pouvant donner accès au généralement tout es dispositions pour parvenir à la bonne fi n capital de la Sociét é ou donnant droit à l'attribution de titres de des émissions envis agées et à la c ot ation au s er vice fi nancier créance en en fi xant le prix d’émission sel on les modalit és des ins truments émis. Notamment , il fi xera l es montants à qu’il détermi nera en c as d'émission par appel public à émettre, les prix d'émission et de souscripti on des titres ou l'épargne s ans droit préférentiel de s ouscripti on, en fonction val eurs mobilières, avec ou sans prime, leur dat e de des opportunit és du marché s ous la s eule li mite que l es jouissanc e éventuellement rétroacti ve, le mode de libération, sommes à percevoir pour chaque ac tion s oient au moi ns ainsi que, le cas éc héant , la durée et le pri x d'exercice des égales à l a valeur nomi nale . D ans ce cas , c onf ormément à l a bons de loi, le C ons eil d’Administr ation devra ét ablir un rapport remboursement, ou d'attributi on de toute autre manière de complémentaire, c ertifié par les C ommissaires aux Comptes , titres de capital ou donnant accès au capit al. décrivant les c onditi ons définiti ves de l’opération et donnant ou l es modalit és d'échange, de c onversion, L'Assemblée G énér ale précise que le Cons eil d’Administr ation, avec f acult é de s ubdélégation dans les conditions prévues par la loi et par l es statuts de la Sociét é : - devr a dét erminer, dans les conditions légales, les modalit és d'ajustement des conditions d'accès à ter me au capital des titres ou des valeurs mobilières, y compris les bons ; - pourra prévoir toute disposition particulière des contrats d'émission ; - pourra prévoir la f aculté de sus pendre éventuellement l'exercice des droits attac hés à c es titres pendant un délai ne pouvant excéder le délai maximum prévu par les dispositions légales et r églementaires applicabl es ; - pourra dét erminer les modalités d'ac hat en bourse ou d'échange, à tout moment ou à des périodes dét erminées , des titres émis ou à émet tre ; des éléments d’appréci ation de l’incidence effec tive s ur l a situation de l’acti onnaire. TREIZIEME RESOLUTION - DELEGATION DE COMPETENCE A L’EFFET DE DECIDER L’EMISSION D’ACTIONS, TITRES OU VALEURS MOBILIERES DIVERSES EN CAS D'OFFRE PUBLIQUE INITIEE PAR LA SOCIETE L'Assemblée Générale, statuant aux conditions de quorum et de maj orité requises pour les assembl ées général es extraordi naires, apr ès avoir pris c onnaissance du rapport du Conseil d’Administr ation et du rapport spécial des Commissaires aux C omptes , dans le c adre des articles L. 225148, L. 225-129 à L. 225-129-6 du Code de commerce, 1°) pr end acte que la délégation prive d’eff et à co mpter de c e jour, à haut eur le cas éc héant , de la partie non utilisée par le Conseil d’Administr ation, la délégation donnée par e - pourra proc éder à tout es imput ations s ur les primes et l’Assembl ée Générale Mixte du 8 mars 2007 dans sa 21 not amment c elles des frais entraî nés par la réalisation des résolution, émissions ; 2°) délègue au Conseil d’Administration, avec fac ul té de - aura t ous pouvoirs afin d’ assurer la prés ervation des dr oits subdélégation, pour une dur ée de vingt si x (26) mois à des tit ulaires de titres ou valeurs mobilières donnant à t erme compter de l a prés ent e Assemblée, s a compét enc e à l'ef fet de Doc um ent de Référenc e 2008 179 décider, sur ses seules décisions , l'émission d’actions, de titres de capital ou titres ou valeurs mobilières di verses - y compris de bons de s ouscription émis de manière autonome donnant accès ou pouvant donner accès au c apital de l a Sociét é, ou donnant droit à l'attributi on de titres de créance en rémunérati on des titres apport és à tout e offre publique comportant une composante échange initiée par la Sociét é sur les titr es d'une autre s ociét é inscrit e à l'un des marchés réglementés visés par l'article L.225-148 du C ode de commerce, et décide, en tant que de besoi n, de s upprimer, au profit des porteurs de c es titres le droit préférentiel de souscription des actionnaires à c es ac tions , titres ou valeurs mobilières. 3°) reconnaît que l’émission de val eurs mobilières donnant accès au c apit al emporte r enonciati on par les acti onnaires à leur droit préf érentiel de s ouscription aux titres de capit al auxquels c es titres ou val eurs mobilières pourront donner dr oit. 4°) déci de que l e montant nomi nal d'augmentation de c apit al immédiat ou à ter me résult ant de l'ensemble des émissions d’actions, de titres ou valeurs mobilières di verses réalisées en vert u de la délégation donnée au Conseil d’Administration par la présente rés olution ne pourra être supérieur à vingt (20) millions euros ou sa c ontre-valeur dans t out e autre monnai e aut orisée, étant précisé que ce mont ant est (i) fixé compt e non tenu des conséquenc es sur l e montant du c apit al des ajustements susc epti bles d'être opérés, confor mément aux dispositions législatives et réglement aires en suit e de l'émission des titres ou valeurs mobilières donnant accès à terme au c apit al, (ii) que ce montant est commun au plaf ond e de vingt (20) millions d’eur os prévu à la 11 résol ution, et (iii) que ce montant s’i mputera sur le mont ant du plaf ond global de e soixant e quinz e (75) millions d’euros fi xé à la 19 rés oluti on. 5°) décide que la somme revenant, ou devant revenir , à la Sociét é pour chacune des ac tions émis es ou à émettre dans le cadre de la délégation s us visée, après prise en compt e, en cas d’ émission de bons aut onomes de s ouscription ou d’attribution d’actions, du prix d’ émission des dits bons, ser a QUATORZIEME RESOLUTION - DELEGATION A L’EFFET DE PROCEDER A L’EMISSION D’ACTIONS, DE TITRES OU VALEURS MOBILIERES DIVERSES EN VUE DE REMUNERER DES APPORTS EN NATURE CONSENTIS A LA SOCIETE L’Assemblée Général e, statuant aux conditi ons de quorum et de maj orité requises pour les assembl ées général es extraordi naires, apr ès avoir pris c onnaissance du rapport du Conseil d’Administr ation et du rapport spécial des Commissaires aux Compt es, dans le c adre de l'article L. 225147 alinéa 6 du Code de c ommerce, 1°) pr end acte que la délégation prive d’eff et à co mpter de c e jour, à haut eur le cas éc héant , de la partie non utilisée par le Conseil d’Administr ation, la délégation donnée par ème l’Assembl ée Général e Mi xte du 8 mars 2007 dans sa 22 résolution, 2°) délègue, pour une dur ée de vi ngt six (26) mois à compt er de la prés ent e Ass emblée G énérale, au Cons eil d’Administration, avec f aculté de s ubdélégati on, les pouvoirs nécess aires à l’ef fet de procéder à l’émission d’actions, titr es de capital ou titres ou valeurs mobilières di verses notamment donnant ou pouvant donner acc ès au capital de la Sociét é dans la limit e de 10% du capital s ocial, au moment de l'émission, en vue de rémunérer des apports en natur e consentis à la Société et c onstit ués d’ac tions, de titres de capital ou de valeurs mobilières donnant acc ès au c apit al, lorsque les dispositions de l’article L.225-148 du Code de commerce ne s ont pas applicables. L'Assembl ée Général e précise que c onf ormément à la loi, le C onseil d’Administr ation statue sur le rapport du ou des Commissaires aux Apports mentionné à l'article L.225-147 dudit Code, 3°) décide en tant que de bes oin de s upprimer l e dr oit préférentiel de souscription des acti onnaires aux actions, titr es et/ou valeurs mobilières ainsi émis es au profit des porteurs de ces instruments fi nanciers. au moins égale au pri x mini mum prévu par les dispositions L’Assemblée G énérale décide que l a s omme revenant, ou légales et/ou réglement aires applicables au jour de l'émission devant revenir, à la Sociét é pour chacune des actions émis es et ce, que les valeurs à émettre de mani ère immédiat e ou ou à émettre dans le cadr e de la délégation s us visée s era au différée soi ent ou non assi milables aux titres de capital déj à moins égale au pri x minimum prévu par les dispositions émis. légales et/ou réglement aires applicables au jour de l'émission L'Assemblée G énérale décide de c onf érer au Cons eil d’Administration, avec f aculté de s ubdélégati on dans l es conditi ons prévues par les dis positions légales , et ce, que les valeurs à émettre de mani ère immédiat e ou différée soi ent ou non assi milables aux titres de capital déj à émis. réglementaires ou st atutaires applicables, tous les pouvoirs L’Assemblée Générale décide que l e Conseil d’Administr ation nécess aires à l a réalisation des offr es publiques visées ci- aura tous pouvoirs notamment pour approuver l’évaluation dessus et de procéder aux émissions d'actions ou titres ou des apports et/ ou l’octr oi d’avant age particulier, fi xer la parit é val eurs mobilières r émunérant l es acti ons, titres ou valeurs d’échange ainsi que l e cas éc héant le montant de la soulte à mobilières vers er, apportés , ét ant ent endu que le Cons eil déter miner l es dates , conditi ons et modalit és d’Administration aura à fi xer les parités d'éc hange et à d’émission et c onc ernant les dits apports, en const ater l a const ater le nombre de titres apport és à l'échange. réalisation, i mputer t ous frais, c harges et droits s ur les primes , le solde pouvant rec evoir toute aff ectati on décidée par le Conseil ordinaire, d’ Administration ou par l’Ass emblée modifications corrélati ves des statuts 180 Général e augment er le capital soci al et pr océder aux et d’ une manièr e Doc um ent de Référenc e 2008 générale, prendre toute disposition utilise ou néc essaire, statuts de la Société, les pouvoirs néc essaires pour mettre en conclure t ous acc ords, effec tuer tout acte ou f ormalit é pour œuvre l a prés ent e rés olution, et not amment pour : par venir à la bonne fin de l’émission envisagée. - fixer les dates auxquelles ser ont c ons enti es des options ; - dét erminer les dat es de chaque attribution, fi xer l es QUINZIEME RESOLUTION - AUTORISATION DE CONSENTIR DES OPTIONS DE SOUSCRIPTION ET/OU D’ACHAT D’ACTIONS EN FAVEUR DES MEMBRES DU PERSONNEL ET/OU DES MANDATAIRES SOCIAUX DES SOCIETES DU GROUPE L’Assemblée Général e, statuant aux conditi ons de quorum et de maj orité requises pour les assembl ées général es extraordi naires, apr ès avoir pris c onnaissance du rapport du Conseil d’Administr ation et du rapport spécial des Commissaires aux Comptes, aut orise le C ons eil d’Administr ation, dans le c adre des articles L.225-177 et sui vants du Code de c ommerce, pour une durée de vingt-six (26) mois à c ompter de la présente Ass emblée conditi ons dans l esquelles seront c onsenties l es options (c es conditi ons pouvant notamment c omporter des cl aus es d’interdiction de revente i mmédiate de tout ou partie des titres), fixer le prix d’ exercice des options, arrêt er la liste des bénéficiaires des options et décider du nombr e d’ actions auquel c hac un pourra souscrire ou acquérir ; - fixer les conditi ons d’ exercice des options et not amment l a ou l es périodes d’exercice des opti ons, ét ant précisé que l e Conseil d’Administration pourra prévoir la fac ulté de suspendre t empor airement les levées d’options dans l es conditi ons légal es et réglement aires ; - décider des c onditions dans lesquelles le prix et le nombr e d’actions à souscrire ou ac het er seront ajust és dans les c as prévus par la l oi ; Générale, à consentir, en une ou pl usieurs fois, aux membr es - dét erminer, sans qu’il puiss e exc éder di x (10) ans, le dél ai du personnel salariés ainsi qu’aux mandataires soci aux, ou à pendant lequel les bénéficiaires pourront exercer leurs options certains d’ entre eux, de l a Soci été et des soci étés, filiales ou ainsi que les périodes d’exercice des options ; groupements d’intér êt économique qui lui sont liés dans l es conditi ons visées aux articles L.225-180 et sui vants du C ode de c ommerce, et dans l a limite des t extes en vigueur, - soit déci der que l es options ne peuvent être l evées par l es mandataires s ociaux de la Soci été tel que visés à l’article L.225-185 du Code de c ommerc e avant la cess ation de leurs - des opti ons donnant droit à l a souscription d’ actions foncti ons, s oit fi xer la quantité des actions issues des l evées nouvelles de la Sociét é à émettre à titr e d’augmentation de d’opti ons qu’ils sont t enus de conser ver au nominatif jusqu’ à capital et/ ou, la cessation de leurs f oncti ons ; - des options donnant droit à l’achat d’acti ons acquises par l a - accomplir tous act es et formalités à l’effet de rendr e Sociét é dans l es conditi ons légal es, définiti ves la ou les augmentati ons de capital qui pourront êtr e le nombre tot al des options ai nsi attribuées ouvertes et non encore levées ne pouvant donner droit à souscrire à un nombre d’acti ons s upérieur aux li mites l égales et au plaf ond e réalisées en vertu de l’autorisation faisant l’objet de l a présente rés oluti on ; - constater le nombre et le montant des ac tions émises et global prévu par la 19 résolution de la présent e Ass emblée modifier les st at uts en c ons équenc e et généralement faire t out Générale. ce qui sera néc essaire. Elle comport e, au pr ofit des bénéficiaires des options de Le souscription, renonciation des l’Assembl ée G énérale Ordi naire des opér ations r éalisées actionnaires à l eur dr oit préférentiel de souscription aux acti ons qui seront émis es au fur et à mes ure des levées d’option. Conseil d’Administration infor mera chaque année dans le cadre de l a prés ente aut orisation. La prés ent e dél égation s e subs titue et pri ve d’effet à compt er Le prix de souscription ou d’ac hat des acti ons sera fi xé par l e de ce jour, à haut eur le cas échéant, de la parti e non utilisée Conseil d’Administration, à la dat e à laquelle l es options par le Cons eil d’Administration, seront consenties, dans les limites et selon les modalit és donnée par l’Assemblée G énérale Mixte du 8 mars 2007 aux prévues par la loi. termes de la 23 rés olution. l a dél égation de pouvoir e Les options pourront être exercées par les bénéficiaires dans un dél ai de di x (10) ans à c ompter du j our où elles auront ét é consenties. Les ac tions issues de la levée des options port eront jouissanc e au premi er jour de l’exercice de la l evée. L’Assemblée Générale décide de c onférer au Cons eil d’Administration, dans l es limites fi xées ci-dess us ainsi que celles des dispositions st atutaires, avec fac ulté de subdélégation dans les conditi ons prévues par la l oi et par l es SEIZIEME RESOLUTION - AUGMENTATION DU NOMBRE D'ACTIONS, TITRES OU VALEURS MOBILIERES A EMETTRE EN CAS D’AUGMENTATION DE CAPITAL AVEC OU SANS DROIT PREFERENTIEL DE SOUSCRIPTION DES ACTIONNAIRES L’Assemblée Général e, statuant aux conditi ons de quorum et de majorité requises pour les assemblées Doc um ent de Référenc e 2008 générales , 181 conf ormément aux dis positions de l’article L. 225-135-1 du Assemblée, c ompte non tenu des actions suppl ément aires à Code de commerce après avoir pris connaiss anc e du rapport émettre ou à at tribuer du Conseil d’ Administration et du rapport bénéficiaires en c as d’opérations financières au c ours de l a spéci al des Commissaires aux Comptes : jour, à haut eur le cas éc héant , de la partie non utilisée par le d’Administr ation, droits des période d’acquisition ; l e mont ant nominal d’augment ation de 1°) pr end acte que la délégation prive d’eff et à co mpter de c e Conseil pour prés er ver les la délégation donnée par e capital réalisée en application de la prés ent e dél égation s’imput era s ur le mont ant des pl afonds correspondants fi xés à e la 19 rés oluti on ; l’Assembl ée Générale Mixte du 8 mars 2007 dans sa 24 - décide que l’at tribution des acti ons à leurs bénéficiaires ser a résolution ; définiti ve au ter me d’une période d’acquisition minimale de 2 2°) déci de, pour une durée de vingt si x (26) mois à compt er de l a prés ente, que l e Conseil d’Administrati on, avec f acult é de s ubdélégati on, s’il cons tat e une demande excédentaire, pourra augment er le nombre d’actions, titres ou valeurs mobilières à émettre en c as d’ augment ation du capital soci al de la Sociét é avec ou sans droit préf érentiel de souscription, dans des délais et limit es prévus par la réglement ation applicable au j our de l’émission (soit à ce jour dans les trent e jours de l a clôture de la souscription et dans l a limit e de 15 % ans mais ne pouvant excéder 4 ans, la durée de l’obligation de c ons ervation des ac tions par les bénéficiaires étant fi xée à 2 ans minimum s ans pouvoir excéder 4 ans, à compter de l’attribution définiti ve des actions étant pr écisé qu’en c as d’invalidité du bénéficiaire correspondant au class ement dans la 2° ou la 3° des catégories prévues à l’article L . 314-4 du Code de la séc urité social e, l’attribution défi nitive int erviendr a avant le ter me de la période d’ acquisition et les actions s eront librement c essibles ; de l’émission initiale) et ce, au même pri x que celui ret enu - aut orise le Cons eil d’Administration à procéder, l e c as pour l’émission initiale ; échéant , pendant la période d’acquisition, aux aj ustements du 3°) décide que le montant nominal des aug mentati ons de capital décidées par l a présente résol ution s’imput era sur l e e montant du plaf ond global fixé par la 19 rés olution. nombre d’ac tions at tribuées gratuitement en f oncti on des éventuelles opérati ons financières de manière à préser ver l e droit des bénéficiaires ; - prend acte de ce que en c as d’ attribution gratuit e d’ actions à DIX SEPTIEME RESOLUTION - AUTORISATION A DONNER AU CONSEIL D’ADMINISTRATION A L’EFFET DE PROCEDER A L’ATTRIBUTION GRATUITE D’ACTIONS L’Assemblée Général e, statuant aux conditi ons de quorum et de maj orité requises pour les assembl ées général es extraordi naires, apr ès avoir pris c onnaissance du rapport du Conseil d’Administr ation et du rapport spécial des émettre, l a prés ent e aut orisation emportera, à l’issue de l a période d’ acquisition, aug mentati on de capit al par incorporation de réser ves , bénéfic es ou primes d’ émission au profit des bénéficiaires desdit es actions et renonci ation corrélative des ac tionnaires au profit des attribut aires à l a partie des réser ves, bénéfices et primes ainsi incorporés et aut orise le Conseil d’Administrati on à réaliser l esdit es augment ations ; Commissaires aux C omptes , conformément aux articles - rappelle que le Conseil décidera que pour les actions L.225-197-1 et s uivants du Code de c ommerce : attribuées grat uitement aux mandat aires sociaux de l a Sociét é - autorise le C onseil d’ Administration, avec f acult é de subdélégation, à proc éder à son c hoi x, en une ou plusieurs fois au profit des bénéficiaires qu’il dét erminera par mi l es membres et/ou cert aines catégories d’entre eux du personnel salarié et/ou des mandat aires s ociaux de la Soci été qui tels que visés à l’article L.225-197-1-I I du Code de commerce, soit qu’elles ne peuvent être cédées par les intéress és avant la cessati on de leurs fonc tions , soit fi xer la quantit é d’ actions attribuées gratuit ement que c es mandat aires sont t enus de conser ver au nominatif jusqu’ à la c essati on de l eurs f onctions. répondent aux conditions fi xées par la loi et/ou des s ociét és La présent e aut orisation es t c onf érée pour une durée de vingt ou groupements qui lui sont liés au sens de l’article L. 225- six (26) mois à compt er de la prés ent e Assembl ée et prive 197-2 et s uivants du Code de commerce, à des attributions d’eff et à c ompt er de c e jour, à hauteur le cas échéant, de l a gratuites d’ actions exist ant es et/ou à émet tre de la Soci été, partie - décide que le Conseil d’Admi nistration détermi nera l’identit é et la liste des bénéficiaires des attributi ons d’acti ons gratuites , le nombre d’actions pouvant non utilisée par le Cons eil d’Administration, l’autorisation donnée par l’Assembl ée Générale Mixt e du 8 e mars 2007 dans sa 25 rés olution. être at tribuées à c haque L’Assemblée Générale délègue t ous pouvoirs au Cons eil bénéficiaire, les conditi ons d’attributi on et, le cas éc héant, l es d’Administration, avec f acult é de subdélégation, dans l es critères d’attributi on des ac tions et disposera de la f acult é conditi ons fi xées par la loi, pour met tre en œuvre l a présent e d’assujettir l’attribution des actions à c ertains critères de aut orisation, à l’eff et notamment de dét erminer les dates et perfor manc e indi viduelle ou c ollecti ve ; modalités des attributi ons, fi xer en c as d’attribution d’actions à - décide que l e pourcentage maximal du capital s ocial qui pourrait être attribué grat uitement en vert u de la présent e résolution ne pourra pas représ ent er plus de 1% du capit al social de la Sociét é tel que constaté à l’issue de la présent e 182 émettre le montant et la nature des réser ves , bénéfices et /ou primes à incor porer et augmenter corrélati vement le capital et prendr e généralement t out es les dispositions utiles ou nécess aires, c onclur e t ous accords et acc omplir tout acte et formalit é pour parvenir à l a bonne fin des attributions Doc um ent de Référenc e 2008 envisagées , constater la ou l es augmentations de c apit al telle que prévu par le dernier alinéa de l’article L. 3332-24 du résultant de tout e at tribution réalisée par l’usage de l a Code de travail ; présente aut orisation et modifi er corrélati vement l es st atuts . 5°) déci de que le pri x de souscription des acti ons émises en DIX HUITIEME RESOLUTION - DELEGATION DE COMPETENCE A L’EFFET D’AUGMENTER LE CAPITAL SOCIAL EN FAVEUR DES SAL ARIES DU GROUPE L'Assemblée Générale, statuant aux conditions de quorum et de maj orité requises pour les assembl ées général es extraordi naires, apr ès avoir pris c onnaissance du rapport du Conseil d’Administr ation et du rapport spécial des Commissaires aux Compt es, et stat uant dans l e cadr e des dispositions des articles L.3332-1 et s ui vants du Code du travail et des articles L 225-138 et sui vants du Code de vert u de la présent e délégati on de compét ence ser a dét erminé dans les c onditi ons prévues par les dispositions des articles L. 3332-19 et sui vants du Code du travail ; 6°) décide de s uppri mer, en faveur de ces salariés ou anciens salariés adhérents à un plan d’épargne entreprise et/ ou plan partenarial d’épargne s alariale volontaire de la Soci été et /ou des s ociét és et/ou groupements qui lui sont liés au s ens de l’article L.225-180 du C ode de commerce et des articles L.3344- 1 et sui vants du Code du travail, le droit préf érenti el de souscription des ac tionnaires aux actions à émettr e dans l e cadre de l a prés ent e rés olution. commerce et c onf ormément aux dispositi ons des articles L’Assemblée G énérale donne tous les pouvoirs au Cons eil L.225-129-2 et L.225-129-6 du Code de c ommerc e, d’Administration, avec f aculté de s ubdélégati on dans l es 1°) pr end acte que la délégation prive d’eff et à co mpter de c e jour, à haut eur le cas éc héant , de la partie non utilisée par le Conseil d’Administration, la délégati on de pouvoir donnée par e l’Assembl ée Générale Mixte du 8 mars 2007 dans sa 26 résolution ; et conditi ons prévues par les dis positions légales , réglementaires ou statut aires applicables, pour mettre en œuvre, en une ou plusieurs f ois, la prés ent e délégation de compét enc e, dans l e respect des c onditions qui viennent d’être arrêtées et, not amment tous pouvoirs pour dét erminer les conditions de la ou des émissions réalisées en vertu de l a 2°) délègue au Conseil d’Administration, avec fac ul té de subdélégation, sa compét enc e, pour une durée de vingt si x (26) mois à compt er de la présent e Assembl ée, pour décider de procéder, en une ou plusieurs fois (i) à l’émission d’ actions nouvelles ou d’autres titres et /ou val eurs mobilières rés er vées présente délégation de compétence, et notamment : - dét erminer que les émissions pourront avoir lieu direct ement au profit des bénéficiaires ou par l’intermédiaire d’ organismes collectifs ; aux s alariés de l a Sociét é et /ou des s ociétés liées à l a Sociét é - détermi ner l es c aract éristiques, montants, c onditi ons et au sens des dispositions de l’article L.225-180 du Code de modalités des émissions ou des cessions qui seront r éalisées commerce, qui sont, le c as échéant, adhérents d’un plan en vertu de la prés ent e aut orisation et not amment de d’épargne d’entreprise et/ou d’un plan part enarial d’ épargne jouissanc e, les modalités de libération des actions ; salariale vol ont aire, lesquels salariés pourront souscrire directement ou par l’intermédi aire de t ous fonds c ommuns de placement (ii) à l’attributi on gratuit e auxdits s alariés d’ actions ou d’autres titres donnant acc ès au capital de la Sociét é dans les limites pr évues par les articles L.3332-21 et sui vants du Code du travail, l es actionnaires renonçant à tout droit sur l es titres susceptibl es d’être émis gratuit ement ; - fixer le pri x de souscription ou de cessi on des ac tions dans les conditions légales ; - fixer les dates d’ouverture et de clôt ure de s ouscriptions ; - fixer le délai de libér ation des actions qui ne s aurait exc éder le délai maxi mum prévu par les dispositions l égales et réglementaires applicables ainsi que, le cas éc héant , 3°) déci de que l e montant nomi nal d'augmentation de c apit al l’anciennet é des s alariés exigée pour participer à l’opération et immédiat ou à ter me résult ant de l'ensemble des émissions l’abondement de l a Sociét é ; d’actions, de titres de capital et/ ou valeurs mobilières di vers es réalisées en vertu de la délégation, par la prés ente résol ution est de ci nq (5) millions d’ euros ou de s a contre- val eur dans tout e(s) autr e(s) monnaie(s) ou unit é(s) aut orisée(s) ét ant précisé que (i) ce plaf ond est fi xé compt e non t enu des conséquenc es sur le montant du c apit al des ajust ements susceptibles d'être opérés , conformément aux dispositions législatives et réglement aires en s uite de l'émission des titr es ou valeurs mobilières donnant accès à ter me au capital et que (ii) le mont ant nominal d’ augment ation de capital réalisée en - apporter aux st at uts l es modifications néc essaires et généralement faire l e nécess aire et s’il le j uge opportun imputer l es frais d’ augment ation de capital s ur le montant des primes af férentes à c es augment ations et prélever s ur c e montant les sommes néc essaires pour port er la rés erve légal e au dixi ème du nouveau capital après chaque augment ation. DIX NEUVIEME RESOLUTION – PLAFOND GLOBAL DES AUGMENTATIONS DE CAPITAL application de la pr ésente délégation s’imputera sur l e L'Assemblée G énér ale st atuant aux conditi ons de quorum et montant du pl afond global de soi xant e quinze ( 75) millions de e euros fi xé à la 19 résol ution ; 4°) autorise le conseil d’administration, dans les conditi ons de la présente délégati on à procéder à des cessi ons d’ actions maj orité requises pour les assembl ées général es extraordi naires et après avoir pris c onnaissance du rapport du Conseil d’Administr ation et du rapport spécial des Commissaires aux Comptes, fi xe, confor mément à l'article L.225-129-2 du Code de commerce, le pl afond global Doc um ent de Référenc e 2008 183 d'augment ation de c apital i mmédiat ou à ter me qui pourrait résulter de l'ens emble des émissions d'actions, titres de capital ou titres ou valeurs mobilières di verses réalisés en vert u de la délégation donnée au Conseil d’Admi nistration au e e e e e e e e titre des 10 , 11 , 12 , 13 , 15 , 16 , 17 et 18 résol utions à un montant nominal global de s oixant e quinz e (75) millions euros , compte non tenu des cons équences sur l e mont ant du c apit al des ajus tements susceptibl es d'être opérés , conf ormément aux dispositions législati ves et réglement aires en suit e de l'émission des titres ou valeurs mobilières donnant accès à terme au capital étant précisé que dans la limit e de c e plafond : VINGTIEME RESOLUTION - AUTORISATION A DONNER AU CONSEIL D’ADMINISTRATION DE REDUIRE LE CAPITAL SOCIAL PAR ANNULATION D’ACTIONS. L’Assemblée Général e, statuant aux conditi ons de quorum et de majorité requises pour les Assemblées Général es Extraordinaires, après avoir pris connaiss ance du rapport du Conseil d’Administr ation Commissaires aux et du Compt es, rapport spécial aut orise le des Cons eil d’Administration, confor mément aux dispositions des articles L.225-209 et sui vants du Code de commerce, à réduire l e a) les émissions avec mainti en du dr oit préf érentiel de e capital s ocial, en une ou plusi eurs f ois, dans les proportions et souscription, obj ets de la 10 rés oluti on, après prise en aux époques qu’il décidera, par annul ation de tout ou parti e compte de l’augmentati on du nombre d’acti ons, titres ou des actions dét enues ou acquises par la Sociét é elle-même e val eurs mobilières émises en application de la 16 résolution, qu’il décidera dans les limites autorisées par la loi, soit à c e ne pourront avoir pour cons équenc e d'augmenter le c apit al jour, dans la limite de 10% du capital social de la société par d'un montant s upérieur à ci nquante ( 50) millions euros ; période de vi ngt-quatre mois, ét ant précisé que cett e limit e b) les émissions avec s uppression du droit préfér entiel de e e e souscription, objets des 11 , 12 et 13 r ésoluti ons, apr ès prise en c ompt e de l’augmentation du nombre d’ac tions , titr es ème ou valeurs mobilières émises en application de la 16 s’applique à un montant du capital de l a Soci été qui sera, l e cas éc héant , ajusté pour prendre en compte des opér ations affec tant le capital social post érieurement à la présent e Assemblée Général e. résolution, ne pourront avoir pour c ons équenc e d'augment er La prés ent e aut orisation est cons entie pour une durée de di x- le capit al d'un montant supérieur à vingt ( 20) millions euros ; huit mois à compter de c e jour. c) les émissions en vue de rémunér er des apports en natur e L'Assemblée Générale c onf ère t ous pouvoirs au Cons eil e consentis à la Société, objets de la 14 rés olution, ne pourront pas donner lieu à une augmentation de capital s upérieure aux limites légales ; d) les émissions d’Administration avec f acult é de s ubdélégati on pour : - procéder à l’annulation des acti ons et à la ou aux réductions de c apital en résult ant ; d'actions pour ser vir les options de e souscription d'actions, objets de la 15 résolution, ne pourront pas donner lieu à une augmentation de capital s upérieure aux limites légales, fi xées indépendamment du b) ; const ater la réalisati on ; - imput er la différ ence entre la valeur comptabl e des actions e e) les attributions gratuit es d’actions, objets de la 17 résolution, ne pourront pas donner lieu à une augmentation de capital s upérieure aux li mites l égales ; annulées et leur montant nominal sur tous post es de réser ves et primes ; - procéder à la modific ation corrélative des stat uts et , e f) les émissions en f aveur des sal ariés, objets de la 18 résolution, ne pourront avoir pour conséquenc e d’ augment er le capit al d’un montant s upérieur à cinq (5) millions euros ; l'ensemble de c es mont ants venant s’imputer sur l e plaf ond global est ét abli c ompt e non t enu des c onséquenc es s ur l e montant du c apit al des ajustements susceptibl es d'être opér és, conf ormément aux dispositions législati ves et réglement aires en s uite de l'émission des titres ou valeurs mobilières donnant accès à ter me au capit al. - en arrêt er le montant défi nitif, en fi xer les modalit és et en généralement, faire le néc essaire, le t out conf ormément aux dispositions l égales en vigueur lors de l’utilisati on de l a présente aut orisation. VINGT ET UNIEME RESOLUTION – POUVOIRS L'Assemblée Générale, statuant aux conditions de quorum et de maj orité requises pour les assembl ées général es extraordi naires, apr ès avoir pris c onnaissance du rapport du Conseil d’Administrati on, donne tous pouvoirs au porteur de copies ou d'extraits du proc ès-verbal des présent es délibérations pour f aire t outes décl arations et accomplir tout es formalit és d'enregistrement, de dépôt, de publicité et autres. 184 Doc um ent de Référenc e 2008 DOCUMENT DE REFERENCE (EN LIGNE SUR WWW.CLUBMED.COM) Afin de f aciliter la lectur e du document de réf érenc e, l a t abl e de concordance sui vant e r envoi e aux principales rubriques exigées par l’annexe 1 du Règlement Européen n°809/2004 pri s en applicati on de l a Directi ve dite « Pr ospec tus ». 1. Personnes r esponsables 1.1. Nom et fonction des personnes responsables 188 1.2. Att estation des personnes res ponsables 188 2. Contrôleurs légau x des comptes 2.1. Noms et adr esses des c ontrôleurs légaux des c omptes 188 2.2. Démission, mise à l’éc art ou non désignation n/a 3. Informations financi ères sél ectionnées 3.1. Inf ormations financières hist oriques sélec tionnées 5 3.2. Inf ormations financières sélec tionnées pour des périodes intermédiaires n/a 4. Facteurs d e ri sques 25-27 5. Informations concernant l'émetteur 5.1. Historique et év olution de la Soci été 5.1. 1. Rais on s ociale et nom c ommercial de l’émetteur 29 5.1. 2. Lieu et numér o d’ enregistrement 29 5.1. 3. Date de c ons tituti on et durée de vie 29 5.1. 4. Siège soci al et forme juridique 29 5.1. 5. Evénements import ants dans le développement des acti vités 4 5.2. Inv estissements 5.2. 1. Principaux inves tissements réalisés par l’émett eur durant chaque exercice de l a période couverte par les infor mati ons fi nancières historiques 20 ; 97 ;101 5.2. 2. Principaux inves tissements en c ours, distribution géographique des c es investissements (sur le territoire national et à l’étranger) et méthode de financ ement (interne ou externe) n/a 5.2. 3. Renseignements c onc ernant l es principaux i nvestiss ements que c ompte réaliser l’émet teur à l’avenir et pour lesquels ses organes de directi on ont déj à pris des engagements fer mes n/a 6. Aper çu des activités 6.1. Principal es ac tivités 6.1. 1. Nature des opérati ons eff ectuées et principales acti vit és 8-11 ; 13-24 6.1. 2. Nouveau produit ou s ervic e import ant l anc é sur le marché n/a 6.2. Principaux marchés 8-9 6.3. Evénements exceptionnels 6.4. Degré de dépendanc e aux brevets , licenc es, c ontrats industriels, c ommerciaux ou fi nanciers ou de nouveaux proc édés de f abricati on 6.5. Positi on c onc urrentielle 13 ; 98- 99 24 8-9 7. Org anigramm e 7.1. Description sommaire du Gr oupe 129-130 7.2. Liste des filiales i mportantes 124-127 8. Propri étés immobil ièr es, u sines, équipem ents Doc um ent de Référenc e 2008 185 8.1. Immobilisations corporelles i mportantes existantes ou planifiées , y c ompris les propriétés immobilières louées, et t out e charge majeur e pesant dessus 10-11 ; 20-23 ; 90 ; 101-102 8.2. Question environnementale pouvant i nfluer l’utilisation fait e des immobilisations corporelles 25 ; 67 9. Exam en de la situation financièr e et du r ésultat 9.1. Situation financièr e 13-22 ; 82-85 9.2. Résult at d’exploit ation 9.2. 1. F acteurs importants 13 ; 16- 17 9.2. 2. Changements i mportants du chif fre d’ aff aires nets ou des produits nets 13 ; 87 ; 99 9.2. 3. Strat égie ou fact eur ayant ou pouvant infl uer sur les opérati ons de l’émetteur 23 10. Tr ésor erie et capitaux 10. 1. Capitaux de l’émett eur 85 ; 105-106 ; 112 10. 2. Source et mont ant des flux de trésorerie 19-20 ; 84 ; 120 10. 3. Conditions d’ emprunt et struct ure fi nanci ère 83 ; 112-114 10. 4. I nfor mati on c onc ernant t out e restriction à l’utilisation des capitaux ayant influé s ensiblement ou pouvant influer sensiblement s ur les opérations de l’émett eur 21 ; 117 10. 5. Sources de financ ement att endues n/a 11. R echer che et développem ent, brevets et li cen ces n/a 12. Informations sur les tendan ces 12. 1. Principales tendances 23-24 12. 2. Tendanc e susc epti ble d’influer s ur les perspecti ves de l’émetteur 23-24 13. Prévisions ou estimations du bénéfi ce 13. 1. Déclar ation énonçant les principal es hypot hès es de dét ermination n/a 13. 2. Rapport des contrôleurs légaux r elatif aux prévisions ou esti mati ons du bénéfice n/a 14. Organes d'admin istration, d e dir ection et d e survei llan ce et direction génér al e 14. 1. Renseignements rel atifs aux membr es du Conseil d’Admi nistration 42-50 14. 2. Conflits d’intérêts 50 15. R émunération et avantages 15. 1. Montant de la rémunération versée et avantages en nature 38 15. 2. Montant t otal des sommes provisionnées ou constatées aux fins du versement de pensions , de retrait es ou d’autr es avant ages 39 ; 109 16. Fonctionnement des organes d'adm inistration et de dir ection 16. 1. Dat e d'expiration des mandats actuels 42-50 16. 2. Contrats de ser vice liant les membres des organes d'Administrati on, de direction ou de s urveillance 16. 3. Comité d'Audit et Comité des Rémunérations n/a 53-54 16. 4. Confor mité au r égime de gouvernement d'entreprise en vigueur en France 38 ; 53 17. Sal ari és 17. 1. Nombre de salariés 118 17. 2. Participati on et st oc k-options 39-40 17. 3. Participati on des s alariés dans le c apit al de l'émetteur 35 18. Principaux actionnaires 18. 1. Ac tionnaires dét enant plus de 5% du capit al 35 18. 2. Exist enc e de dr oits de vote différ ents 30-31 ; 35 18. 3. Contrôle de l'émetteur n/a 18. 4. Acc ord c onnu de l’émetteur dont l a mise en œuvre pourrait, à une dat e ult érieure, entraî ner un changement de s on c ontrôle n/a 186 Doc um ent de Référenc e 2008 19. Opération s avec des apparentés 25 ; 121 20. Informations finan cièr es concernant le patrimoin e, l a situation financi ère et l es r ésultat s de l'émetteur 20. 1. I nfor mati ons fi nancières historiques 5 20. 2. I nfor mati ons fi nancière pro f orma 20. 3. Etats financiers n/a 81-127 ; 132-157 20. 4. Vérifications des inf ormations financières hist oriques annuelles 128 ; 158 20. 4.1. Déclarati on de l a vérification des infor mati ons financières historiques 188 20. 4.2. Autres inf ormations vérifiées par les c ontrôl eurs légaux 65 ; 160-163 20. 4.3. Source des i nfor mati ons fi nancières non tirées des ét ats fi nanci ers vérifiés de l’émetteur 20. 5. Dat e des dernièr es inf ormations financières n/a 81 ; 132 20. 6. I nfor mati ons fi nancières intermédi aires et autres n/a 20. 7. Politique de distribution des divi dendes 36 20. 7.1. Mont ant du di vidende par action pour permettre l es comparaisons quand l e nombre d’actions de l’émet teur a changé 36 20. 8. Proc édures judiciaires et d'arbitrage 24 20. 9. Changement significatif de la situation financi ère ou commerciale 24 21. Informations comp lém entaires 21. 1. Capital s ocial 32 21. 1.1. Mont ant du capital s ouscrit 32 21. 1.2. Actions non représ entati ves du capital n/a 21. 1.3. Actions dét enues par l’émet teur lui-même, en son nom, ou par ses filiales 35 21. 1.4. Mont ant des val eurs mobilières convertibles , éc hangeabl es ou ass orties de bons de souscription 32 21. 1.5. Informations sur les conditions régissant tout droit d’ acquisition et/ ou t oute obligation at tac hée au capital souscrit, mais non libéré, ou sur t oute entreprise visant à augmenter le capital n/a 21. 1.6. Informations sur le capital de t out membre du groupe faisant l’objet d’une opti on ou d’un acc ord conditi onnel ou inc onditionnel prévoyant de le placer s ous opti on n/a 21. 1.7. Historique du capital s ocial 33 21.2. Ac tes c onstitutifs et statuts 29 21. 2.1. Obj et soci al de l’émett eur et emplacement de l’énonciation dans l’acte constitutif et les st atuts 29 21. 2.2. Disposition concer nant les membres de ses organes d’administration, de direction ou de s urveillance 42 21. 2.3. Droits, pri vilèges et restrictions attac hés à chaque c at égorie d’acti ons existantes 21. 2.4. Actions nécess aires pour modifier les droits des actionnaires 30-31 n/a 21. 2.5. Conditions régissant l a mani ère dont les assemblées générales s ont convoquées 30-31 21. 2.6. Disposition qui pourrait avoir pour effet de ret arder, diff érer ou empêcher un changement de son c ontrôl e n/a 21. 2.7. Disposition fi xant l e seuil au- dessus duquel t out e participati on doit être di vulguée 31 21. 2.8. Conditions , règlement ou charte régissant les modificati ons du c apit al n/a 22. Contrats importants n/a 23. Informations provenant de ti ers, déclar ations d'experts et déclarations d'intér êts 23. 1. Déclar ation ou rapport d’expert n/a 23. 2. Attest ation en provenance d’une tierc e partie n/a 24. Docum ents accessibl es au public 29 25. Informations sur les parti cipations 124-127 Doc um ent de Référenc e 2008 187 Les informations s uivantes s ont inclus es par réf érenc es Il a été nommé pour la première f ois lors de l’Assemblée dans le document de r éférence : • Le rapport d’acti vit é, les c omptes cons olidés de Club Méditerranée et le rapport des Commiss aires aux Générale du 17 mars 2003. Son mandat a été renouvel é lors Comptes s ur les comptes c ons olidés pour l’exercice 20052006 tels que prés ent és sur l es pages 66 à 78, pages 91 à 143 et page 140 du document de référence dépos é auprès de l’Autorit é des Marchés Financi ers le 14 février 2007 • Le rapport d’acti vit é, les c omptes cons olidés de Club Méditerranée et le rapport des Commiss aires aux Comptes s ur les comptes c ons olidés pour l’exercice 20062007 t els que prés ent és sur l es pages 62 à 77, pages 115 à 160 et page 157 du document de référence dépos é auprès l’Autorité des Marchés Financiers le 12 février 2008. COMMISSAIRES AUX COMPTES TITULAIRES - Le c abinet Ernst & Young Audit SA, Faubourg de l’Arche , 92037 Paris-La Déf ens e Cedex, repr ésenté par M. Pascal Macioce. Il a ét é nommé pour la premi ère f ois au cours de l’Assembl ée Générale du 30 avril 1981. Son mandat a ét é renouvelé l ors de l’Assemblée G énérale du 8 mars 2007 pour une dur ée de 6 exercices expirant à l’issue de l’Assembl ée Général e qui statuera s ur les comptes de l’exercice clos le 31 oct obre 2012. - Le cabi net Deloit te & Ass ociés, 185 avenue Charles de Gaulle 92524 Neuilly-sur-Seine Cedex, représ ent é par M. Dominique J umauc ourt. Il a été nommé pour la première f ois lors de l’Assemblée Générale du 17 mars 2003. Son mandat a été renouvel é lors de l’Ass emblée Général e du 8 mars 2007 pour une durée de 6 exercices expirant à l’issue de l’Ass emblée G énér ale qui statuera sur les compt es de l’exercice cl os le 31 octobre 2012. COMMISSAIRES AUX COMPTES SUPPLEANTS - de l’Ass emblée Général e du 8 mars 2007 pour une durée de 6 exercices expirant à l’issue de l’Ass emblée G énér ale qui statuera sur les compt es de l’exercice cl os le 31 octobre 2012. RESPONSABLE DE L’INFORMATION - M. Henri Giscard d’Estai ng Président-Directeur G énéral 11 rue de Cambrai – 75019 Paris Tél. : + 33 (1) 53 35 30 23 DIRECTEUR RELATION S INVESTI SSEURS ET COMMUNICATION FINANCIERE - Mme Caroline Bruel 11 rue de Cambrai – 75019 Paris Tél. : + 33 (1) 53 35 30 75 Fax. : + 33 (1) 53 35 32 73 e-mail : i nvest [email protected] PERSONNES QUI ASSUMENT LA RESPONSABI LITE DU DOCUMENT DE REFERENCE « J’att este, après avoir pris t out e mes ure raisonnable à c et effet, que les informations cont enues dans le présent document de réf érenc e sont, à ma connaissanc e, conformes à la réalité et ne comportent pas d’omission de nat ure à en altérer la port ée. J’attest e, à ma connaissanc e, que les c omptes s ont ét ablis conf ormément aux normes c omptables applicabl es et donnent une i mage fidèle du patrimoi ne, de la sit uation financi ère et du résult at de la Sociét é et de l’ens emble des entreprises comprises dans la c onsolidation, et que le rapport de gestion (figurant en page 13) prés ent e un tableau fidèle de l’évolution des affaires, des r ésult ats et de la situation fi nancière de l a Sociét é et de l’ensembl e des entreprises comprises dans la consolidation ainsi qu’une description des princi paux risques et inc ertitudes auxquelles elles sont confrontées. Le c abinet Auditex, Faubourg de l’Arche 92037 Paris-La Défens e Cedex Il a été nommé pour la première f ois lors de l’Assemblée Générale du 11 mars 2008, en remplac ement de M. François Carrega, et pour l a durée du mandat r estant à J’ai obt enu des c ontrôl eurs légaux des comptes une let tre de fin de travaux, dans laquelle ils indiquent avoir proc édé à la vérification des infor mati ons portant s ur la sit uation financi ère et les comptes donnés dans le présent document ainsi qu’à la l ecture d’ensembl e du document. » courir de cel ui-ci, soit jusqu’à l’Assembl ée G énérale qui statuera sur les compt es de l’exercice cl os le 31 octobre 2012. - Le cabinet Beas , 185 avenue Charles de Gaulle 92524 Le Pr ésident-Directeur G énéral Henri Giscard d’Estai ng Neuilly-sur-Seine Cedex. 188 Doc um ent de Référenc e 2008 CLUB MEDITERRANEE SA 11, rue de Cam brai 75957 Paris Cedex 19 – Fran ce Tél . : +33 1 53 35 35 53 – Fax : +33 1 53 35 36 16 – www.clubm ed.com Soci été an onym e au capital de 77 511 620 € - 572 185 684 RCS Paris – Li cen ce : LI 075 95 0333 RCP n° AA 992 497 GENERA LI A SSURAN CES IARD – 7, boulevard Haussmann – F – 75456 Paris Cedex 9 Garan ti e Financi ère APS – 15, av enue Carn ot – F – 7 5017 Paris Doc um ent de Référenc e 2008 189