OCTOBRE 1934
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OCTOBRE 1934
Abonnement: 15 francs par an /":-:;~>~c;-;.;"\ ( ~";/J ~ ~ B,1, ,:,~:) ri OCTOBRE 1934 N· 2 BULLETIN MENSUEL PREMIERE ANNEE Pour la Rédaction, l'Administration, la Publicité adresser toute la correspondance à M. Je a n LET ELLIE R 156, Boulevard d'Anfa CASABLANCA Tél. 43·71 ACCESSOIRES et OUTILLAGE pour L'AUTOMOBILE et L'INDUSTRIE AGENCE Téléphone A. 58-23 ET DEPOT d'USINES Télégramme Roulessero - Casablanca Paul FR AY 5 5 E 24, Boulevard de Marseille, 24 Angle Rue Lassale au RÈGLEMENTAIRES PUISSANCE .. INÉGALEE SÉCURITÉ sur MAR~HAL "LA LUHIf:RE PARFAITE" Les « ROUTE de CONDUI T E . tels sont les Projecteurs CODE .• ' Optiques STRILUX» s'adaptent exac:ement sur tous les phares montés sur les voitures américainer "MARCHAL" - La marque des voitures vites••• PROJECTEURS AVERTISSEURS OPTIQUES - LAMPES - BOUGIES - PLAQUES LUl\UNEUSES BOBINES DYNAMOS CONJONCTEURS APPAREILLAGE ELECTRIQUE TOUT LE MATÉRIEL pour l'équipement de la STATION - SERVICE ROULEMENTS - BUTEES - P ALlERS « Le roulement de sécurité )) TIMKEN Roulements à rouleaux coniques , HELIFLEX Roulements à rouleaux élastiques pour AUTOS - TRACTEURS MATERIEL AGRICOLE JOINTS de CULASSE et JOINTS DIVERS pour tous véhicules DANS VOTRE INTÉRÊT ••... COMPRESSEURS - GONFLEURS GRAISSAGE SOUS PRESSION ELEVATEURS PEINTURE AU PISTOLET GEX Distributeurs d'essence CONSULTEZ-NOUS •••.• .1 1 Chronique On pensait qu'après trente années de dévelopJ pement, la construction automobile allait se fixer suivant des formules consacrées par l'expérience et que ses progrès ne se manifesteraient plus que d?ns les détails. La structure du châssis paraissait determinée et les métamorphoses des carrosseries semblaient n'être bientôt que caprices de la mode. Quant. aux solutions techniques originales, on les conSiderait volontiers comme des curiosités, sans plus. · .Et puis, voici que tout est remis en question. On I,bere les roues, on place la traction à l'avant, on supprime le châssis, on envisage de mettre le mot~ur à l'arrière, tandis que les carrosseries se modelent aux exigences non plus de la mode, mais de la technique. Ne pouvant entreprendre d'examiner, ici, les multiples aspects des réalisations nouvelles présentées au dernier Salon de Paris, nous nous tiendrons aux généralités, nous efforçant de distinguer les tendances qui s'ébauchent au se développent. · Donc, le châssis classique n'est plus une solution définitive. En adoptant avec succès les roues avant indépendantes, la construction en série y fit une première retouche, sans toutefois modifier Son allure générale. Mais voici qu'un grand constructeur admet la traction avant sur une petite voiture d'abord, puis su~ deux modèles de plus forte puissance. On connalt les arguments qui plaident en faveur de ce dispositif, allègement, tenue de route ; Oinsl que les difficultés à résoudre ; adhérence des ;oues avant motrices satisfaite par une bonne repartition des poids, et articulation de la transmiSSion réalisée par les joints dits « homocinétiques ». Quant aux conséquences, elles paraissent Importantes: les organes de transmission n'étant p!us sous la carrosserie, celle-ci peut être abaissee et le châssis même peut disparaître, la carrosserie en faisant office avec toute la rigidité Jugée indispensable. Ainsi, la voiture à traction avant apparaît comme formée d'un train moteur ~récédant un train porteur, d'un tracteur attelé a. une caisse, et, cet attelage pouvant être amavlble, on en vient à se demander si un même train moteur ne sera .pas employé, dans l'avenir, à tirer des carrosseries variées suivant les besoins et les saiSons. Il est une autre façon de rapprocher le mateur ~es roues motrices : placer le moteur à l'arrière. ~ette solution permet de mieux profiler la car.osserle ; mais, en portant le poids en arrière, elle C1sque de rompre l'équilibre de la voiture. Elle reste une solution d'avant-garde dont on ne sau:alt prévoir le destin. On peut aussi concevoir un véhicule dont les trains avant et arrière seraient tous deux moteurs. · C'est dans le domaine des poids lourds que ce dispositif aura les meilleures chances de succès. * ** Les progrès de la métallurgie ont grandement contribué à modifier la structure du châssis en concourant à son allègement et à sa rigidité. La suspension, à son tour, en connaît les effets, -- autrement que dans la qualité des ressorts, l'élasticité de certains aciers permettant d'uti liser, pour absorber les cahots, la torsion d'une barre en place du fléchissement de l'habituel fais:eou de lames. * ** La boîte de vitesses, dont on a pu dire, VOICI quelques années, qu'elle n'avait guère progressé, est en pleine évolution. On la désire silencieuse et simple à manoeuvrer. . La synchronisation n'est plus une nouveauté, elle s'est simplement généralisée. Notons la renaissance des trains « épicycloïdaux », robustes d'abord, et qui se commandent aisément à distance par électromagnétisme au dépression. On les trouve sur les changements de vit'esses automatiques ou présélectifs. On voudrait aussi que la démultiplication assure, en toutes circonstances, la meilleure utilisation de la puissance du moteur et c'est pourquoi on tend à la fois vers l'automaticité et la progressivité. En attendant, l'usage des quatre vitesses reste la solution la plus favorable, la technique le prouve, la pratique le confirme, et la surpuissance même n'enlève rien de son intérêt. La :onstruction américaine, cependant attachée à la boîte à trois rapports, ne vient-·elle pas de munir un de ses modèles les plus remarqués, d'une quatrième « surmultipliée » qui entre en jeu aux grandes allures. La roue libre ne paraît pas bénéficier d'une grande faveur; on peut même dire qu'elle est en régression. Ce n'est pas une raison pour croire qu'elle ait dit son dernier mot; mais il semble qu'elle doive n'intervenir qu'au ralenti, la roue serve reprenant ses droits en marche rapide. En France, la technique des moteurs d'automobiles, a été influencée, jusqu'à ces derniers mois, par des soucis d'ordre fiscal, qui incitèrent les constructeurs à tirer le maximum de puissance d'une cylindrée aussi modeste que possible. Cette contrainte même, si pesante fût-elle, n'a pas été sans provoquer d'estimables perfectionnements dans la recherche d'un rendement satisfaisant. On croit, non sans raison, que la substitution d'une taxe sur l'essence à l'impôt sur la cylindrée, aura une influence sur les conceptions de la construction française, influence dont on perçoit les premiers symptômes. L'augmentation de volume ménagera le régime de rotation, mais le petit moteur ne cessera pas d'être considéré comme économique, parce que peu gourmand. Extraire le maximum de puissance du carburant consommé est Ulle préoccupation daminante des constructeurs. Ils s'y acheminent suivant des voies différentes simultanément pratiquées : allègement du moteur, accroissement de la vitesse de rotation, augmentation du taux de compression. L'allègement du moteur améliore le rapport de la puissance au poids. Acquis grâce au progrès de la métallurgie, l'allègement est particulièrement estimé lorsqu' i1 affecte les organes mobi les dont l'inertie fait obstacle aux grandes vitesses de rotation. Ces rotations rapides sont recherchées parce qu'elles accélèrent la répétition des temps moteurs. Mais elles seraient vaines si elles n'étaient accompagnées d'une alimentation convenable, 2 d'un bon remplissage des cylindres, d'un brassage énergique des gaz réalisés par le dessin des culasses, la forme des chambres de combustion et la position des soupopes, placées en tête de référence. L'augmentotion du taux de compression exerce une influence considérable sur le rendement. Elle est malheureusement contrariée par 10 détonance spontonée du mélonge gazeux comprimé. Ce phénomène est retardé par l'addition ô l'essence des substances dites « antidétonantes ", alcool, benzol qui figurent dans les supercarburants. D'autre part on s'efforce d'éviter les points :hauds sur les surfaces en contact avec les chambres de combustion, en employant des métaux bons conducteurs de la chaleur. Pistons et culasses en aluminium ont permis d'accroître sensiblement le taux de compression. Qui dit compression, dit étanchéité et ici intervient le rôle du segment ; chacun de ceux qui s'enroulent autour d'un même piston se voyant affecter, selon sa position, une fonction particulière: le premier supporte le coup de feu et élimine la chaleur ; les seconds parfont l' étanchéi té ; le dernier racle d'huile. L'essence, - mélangée ou non ô l'alcool, avec parfois addition de benzol, n'a pas fini d'être le carburant des voitures de tourisme. pour les véhicules industriels, le succès du Diesel entraîne la consommation d'huiles lourdes. Le gazogène continue d'avoir la faveur de l'autorité militaire. Après avoir signalé la question du graissage ô l'huile d'olive, revenons au moteur lui-même et son carburateur. Ce sera pour parler du starter qui a fait fortune, et étend ses bienfaits jusqu'aux poids lourds, cependant qu'on imagine de le rendre automatique sur les voitures de tourisme. Ce n'est plus le conducteur qui décidera de l'intervention du starter, mois un thermostat qui, suivant la température du moteur, commandera l'alimentation sur starter ou sur carburateur. Le thermostat s'avère d'ailleurs un précieux auxiliaire pour le réglage de bien des accessoires. On connaît depuis longtemps les services qu'il rend en ménageant le refroidissement du radiateur; on le trouve même réglant la circulation de l'eau pour que le moteur fonctionne sous la température la plus favorable. Mais revenons à l'alimentation du moteur, pour signaler deux nouveaux dispositifs : Le premier supprime le réservoir d'essence sous le capot, l'exhausteur tel qu'on l'a conçu jusqu'à présent, et même le carburateur. Il emprunte à [a dépression l'énergie qui lui est nécessaire pour puiser l'essence dans un réservoir arrière, puis constituer, en deux vaporisations successives, le mélange carburant qui alimente le moteur. Ainsi se trouvent également éliminés les risques d'incendie. Le second dispositif vise l'économie. Agissant automatiquement lorsque [a voiture « pousse " le moteur, c'est-à-dire lorsque le carburant est consommé en pure perte, il ferme l'essence et ouvre l'air qui passe seul dons les cylindres. C'est aussi la place de signaler l'ingénieux système qui actionne le démarreur lorsqu'on appuie, moteur arrêté, sur la pédale d'accélération, la dépression se chargeant ensuite de désolidariser :es deux commandes. Le pneumatique se spécialise, c'est-ô-dire qu'avec l'expérience on considère qu'il doit être étudié pour sa destination. Ceci améliorera en· core ses services et sa longévi té, si nous prenons soin de choisir le type qui convient ô l'usage que nous devons en faire. L'adhérisatian, pratiquée avec prudence sur les pneus usés, est maintenant adoptée sur les voitures livrées par quelques grands constructeurs. C'est une consécration. Remarquons la nouvelle faveur des roues ô raies métall iques. Retenons enfin un « réparti teur de charge " pour roues jumelées qui, par un dispositif mécanique, égalise le poids supporté par les deux pneumatiques. Et voici le chapitre de la carrosserie, donc celui de l'oérodynamisme. Pour réduire ou minimum la résistance de l'air, on affine les formes, on es-' camotte les saillies. Les laboratoires où s'effectuent des expériences en miniatures dictent la loi aux dessinateurs. Il convient simplement de ne pas perdre de vue que les bienfaits de l'aérodynamisme sont surtout sensibles aux allures rapides, que le confort reste une qualité précieuse pour une voiture, enfin que l'oeil à besoin de s'habituer progressive· ment aux lignes nouvelles. Nous terminerons en signalant deux réalisations qui intéressent plus particulièrement les gens du métier, parce qu'elles peuvent influencer leur outillage. C'est d'abord le « règle freins ", petit appareil qui permet de mesurer successivement la capacité de freinage de chacune des roues d'une voiture et de procéder ou réglage. On a aussi imaginé de grouper, en une seule installation, dite « clinique de sécurité ", une suite d'appareils de contrôle auxquels les voitures sont soumises successivement, pour la vérification du freinage, de la pression des pneus, de l'état des roues, le jeu des axes et des bagues de fusées; l'examen de la barre d'accouplement, de la direction , des ressorts, le resserrage des boulons, brides, jumelles; la vérification du châssis lui-même, de la chasse et du carrossage, du pincement et du parallélisme des roues, de l'épure de direction. Toutes les stations d'entretien ne sauraient raisonnablement prévoir une semblable installa· tion, qui paraît plutôt réservée à quelques établissements spécialisés auxquels les garagis' tes pourront éventuellement s'adresser. JEAN LETELLI ER. BAROCLEM la Batterie de qualité Agent général : SEMPERE et DECOLIN Angle rues Caporal-Beaux et de la Drôme CASABLANCA Téléph. 30-55 - 3 Nouvelles Stat;stiques de la circulation automobile au Maroc. Le " Rapport sur le Mouvement Commercial au Maroc n, publié par le Service du Commerce et de l'Industrie, donne, pour l'année 1933, la statistique suivante du nombre des véhicules automobiles circulant au Maroc: Voitures de tourisme, 22.403. Camions, ".491 ; - Motocyclettes, 2.884 ; total, 31.778. du Maroc L'importance de ces chiffres montre combien est ardue l'organisation de telles manifestations, malgré toutes les sympathies qu'elles suscitent. L'Automobile-Club du Sud du Moroc délivrera les certificats internationaux. Un arrêté du Directeur Géné- l'al des Travaux Publies, daté du 13 Septembre dernier, a accordé à l'Automobile Club du Maroc, à Marrakech, l'autorisation de délivrer les certificats internationaux pour automobiles et les permis de conduire internationô.ux. D'où nous viennent essences et huiles. Au cours de l'année 1933, les im_ portations d'essence au Maroc se classent ainsi suivant leur origine: France, 3.853 1. ; Indes Hollandai- Les épreuves marocaines ef le Calendrier Sportif 1nternational. . Les Commissions sportives natLonale et internationale ont arrê_ té le calendrier des épreuves automobiles pour l'année 1935. En parcourant ce Calendri.er nous trouvons,:lu 24 Avril au 11 Mai 12 Rallye du Maroc, mais nous avons cherché vainement le Grand Prix de Casablanca. L'A.C.M. se serait-il enfin décidé à renoncer à une épreuve dont le Maroc n'avait rien à espérer. Bilan de la Semaine Automobile du Maroc. L'?rgane de l'A. C. M. publie les resultats financiers de la «Semaine Automobile". Les entrées Sur le circuit et la vente des programmes ont rapporté 296.028 fr. 50. Le Grand Prix d'Anfa a coûté 493.920 frs. 20 et le Rallye Automobile 142.425 frs. 75. Les nouveaux magasins des Etablissements Fraysse à l'angle du boulevard de Marseille et de la rue Lassalle à Casablanca ;es et Possessions Hollandaises en Amérique. 17.394 t. : Roumalù" 43.966 t. ; U.R.S.S. 14.044 t. Etats Un's, 19 t. ; Angleteri'e et Possessions angla'ses en Amérique 598 t. Quant aux hui12s de graissage elles se rep'Irtissent ainsi: France, 3.179 t. : Roumanie, 3 t. ; U.R.S.S. 228 L ; Etats Unis, 3.328 t. ; Angleterre et Possessions anglaise~ en Amérique 83 t. Segments AMÉDÉE BOLLÉE Pistons NELSON BOHNALITE Amédée Mouriès 40, Boulevard de Marseille L'installation nouvelle des Ets Sempéré et Decalin à l'angle des rues du Caporal-Beaux et de la Drôme (quartier Liberté) CASABLANCA - Tél 38-20 -- 4 AU MAROC satisfait, un client vous sera fidèle et vous en vaudra beaucoup d'autres En vendant des BATTERIES D'A~~UMULATEURS ilI rd vous n'aurez jamais de reproches la capacité des BATTERIES WlllARD est clairement marquée. Elles sont livrées avec une étiquette de la fabrique indiquant leur date limite d'emploi, comme une pellicule photographique. les BATTERIES WILlARD sont dont toujours de construction récente et capables par conséquent d'assurer le meilleur service. Distributeurs pour le Maroc: GIR.AR.D & GALLAND Rue Guynemer - Téléph. 1\ 22-52 CASABLANCA Les Immatriculations pendant le 3 me Trimestre 1934 il a été immatriculé, au Maroc, pendant le 3me trimestre de l'année, 1.085 véhicules automobiles, dont 889 voitures de tourisme et 196 camions. On avait compté : _ au précédent trimestre, 1.310 immatriculations, dont 1.102 voitures de tourisme et 208 camions; _ au troisième trimestre 1933. 1.077 immatriculations, dont 828 voitures de tourisme 'et 249 camions, Régions d'Immatriculation Les immatriculations se décomposent, par ville, de la façon suivante : Rabat : 267 immatriculations, cront 222 voitures de tourisme et 45 camions ; Casablanca : 409 immatriculations, dont 330 voitures de tourisme et 79 camions; Meknès : 91 immatriculations, dont 76 voitures de Tourisme et 15 camions ; Fès : 124 immatriculations. dont 99 voitures de tourisme et 25 camions ; Oujda : 75 immatriculations, dont 64 voitureS de tourisme et 11 camions ; Marrakech : 84 immatriculations, dont 75 voitures de tourisme et 9 camions ; Mazagan : 35 immatriculations dont 23 voitures cre tourisme et 12 camions. Origine des véhicules Voici les pays d'origine des véhicules immatriculés, et le nombre d'immatriculations pour chacun de ces pays. 1 ° Voitures de tourisme : Fran-:e, 375 ; Allemagne, 4 ; Américrue, 486 ; Angleterre, 6 ; Belgique, 2 ; Italie, 16. 2° Camions: France, 42 ; Allemagne, 1 ; Amérique, 150 ; Suède, 1 ; Tchécoslovaquie, 2. . 3° Ensemble des véhicules: France, 417 ; Allemagne, 5 ; Amérique, 636; Angleterre, 6 ; Belgique, 2 ; Italie, 16 ; Suède, 1 ; Tchécoslovaquie, 2. Marques des véhicules immatriculés 1" Voitures de tourisme: Auburn, 14 ; Austin, 2 ; Buick, 29 ; Cadillac, 1 ; Chenard et Walker, 1 ; Chevrolet, 132 ; Chrysler, 51 ; Chrysler-Plymouth, 6 ; Citroën, 145 ; Continental, 2 ; Delage, 3 ; Delahaye, 1 ; De Soto, 6 ; Dodge, 12 ; Donne! 1 ; Essex, 3 ; Fiat, 16 ; Ford, 136 ; GrahaIll Pmge, 17 ; Hilman, 2 ; Huüson, 2 . Hup1mobile , 8 ; Impérial, 1 ; Lafayette, 2 ; Las;alle. 2 ; Mathis 1; Minerva 1; Nash, 3; Oldsm~bile, 19; Opel, 4 ; Overland, 1 ; Packard, 1 ; Panhard, 1 ; Peugeot, 64 ; PonÜac, 14 ; Renault, 155 ; Réo, 4 ; Rochet-Schneider, 1 ; Salmson, 1 ; Studebaker, 18 ; Talbot, 1 ; Willys-Overland, 3 ; W 01seley, 2. 2" Camions : BerHet, 5 ; Blitz, 1 ; Chenard et Walker, 1 ; Chevrolet 69 . Citroën 11 . Diamond, 5 ; Dodge, 6 ; Fédér~l 2 'Fo~d 40 . Indi~na, 6 ; International, 12 ; Latii, 1 ; Mac-Cormlck, 1 ; Panhard-Levassor, 10 ; Pierce-Arro'W 1 ; Renault, 14 ; Réo, 3 ; Skoda, 1 ; Stewart. 4 ; Volvo, 3. . 5 Le Radiateur d'Automobile élément principal du bon fonctionnement du moteur (Sllite) Comme nous le disions dans notre précédent article, nous étudierons d'un peu plus près le radiateur qui a pour fonction, chacun le sait, de maintenir la température de l'eau de refroidissement circulant dans les chemises des cylindres et des culasses, afin de permettre le bon fonctionnement du moteur. * ~'dr Un radiateur est campos2 de la boîte à eau supérieure Et d'une boîte à eau inf±rieure; ces deux boîtes sont soudé'es sur le faisceau refroidisseur. Nous trouvons sur la boîte à e8:U supérieure une tubulure qui sert à l'entrée d'eau provenant d'u moteur, et en général l'ouvert~re de remplissage ainsi que le tube cb trop plem. Sur la boîte inférieure se raccorde la tubulure de sortie de l''eau qui après avoir été refroidie par passage à travers le radiateur est aspirée, par la pompe, dans le b'oc moteur qu'elle refroidit à son tour. Sur C'2tte boîte à eau inférieure se trouve également un bouchon de vidange. Pour les nécessités de montage, certains constructeurs sont obligés de faire un passage de manivelle à travers la boîte à '.:au inférieure; cette solution est un mauvais pis-aller. Le faisceau refraidisseur . Le faisceau refroidisseur est la partie la plus Importante du radiateur. Il en existe de divers systèmes dont nous 'exposons ici les divers avantages et inconvénients. a) Faisceau et lameUes. Ce faisceau était le seul, j~squ'à ces dernières ,nnées, ayant un rendement reellement élevé. C'est la raison pour laquelle tous les moteurs difficiles à refroidir ou de très grande r,missance étaient équipés avec ce système de faisceau. Les faisceaux à tubes étant arrivés au mêm'O rendement que ceux à lamelles, il n"existe p'US aucun avantage en faveur de la lame'le. Les, lamelles formant le passage d'eau sont soudees entre elles sur toute la longueur du fai~C'eau. L'épaisseur d'e soudure assurant l'étan~hAité est de l'ordre de 1 à 2 dixièm=s de millimètres. Etant donné - et cela surtout au Maroc, que toutes les 'eaux sont très fortement chlorées, soit dans un but d'hygiène, soit naturellement, l'étain contenu dans la soudure est attaqué et se tranforme en chlorure d'étain. Tout le monde a observé qu'un radiateur à lamelles, - au bout de un ou deux ans de service, - se fleurit de petits points blancs qui sont du chlorure d'étain. C'est la corrosion d'e l'étain qui commence. Les premières réparations sont aisées. Elles le deviennent moins par la suite, étant donné la multiplicité d'es points attaqués. Elles imposent le l'emplacement de l'appareil. Un autre inconvénient grave réside dans le fait que, par la forme en zig-zag des passages d'eau, ceux-ci sont difficilement débouchables une fois encrassés. Car, - et c'est encore un inconvénient provenant d'e nos eaux, - les formations de tartre et autres impuretés sont fréquentes. Comme il n'est presque pas possible de déboucher mécaniquement un rad'iateur à lamelles, on doit avoir recours à diV'ers acides très dilués q'ui ne donnent pas des résultats bien satisfaisants et qui achèvent le radiateur. Il existe toutefois des détartrants qui donnent satisfaction à condition que l'e radiateur à déboucher ne soit pas en mauvais état. (à suivre) M. A. PERUSSET, Ancien Ingénieur en Chef des Laboratoires des Usines Gallay Tubulure supérieure Tube de trop plein ~~/ ~-- Boite à eau supérieure ...Faisceau refroidiss. Tubulure inférieure Passages d'eau Robinet de vidange Boîte à eau inférieure ASPECT GENERAL D'UN RADIATEUR 1ntercalaire Passage d'eau Passage d'air Embouti de la lamelle: 2 emboutis côte à côte sont soudés entre eux pour l'étanchéité du passage d'e au. Passage d'air Passage Passage d'air SCHEMA D'UN RADIATEUR A LAMELLES 14 _.- - - - - - - - LE SALON DE BERL! N De « l'Officiel de l'Automobile» Plus important encore que l'an passé, le Salon de Berlin s'étend cette année en dix vastes halls. La participation étrangÈ're est encore en progression. La construction automobile allemande a marqué une nouvelle évolution en adoptant la suspendon indépendante des roues, la carrosserie se supportant elle-même. les ressorls à lames ayant été remplacés par des ressorts à barre ou à boudins. La forme aérodynamique s'est généralisée. Tous les véhicules de construction allemande ont été éprouvés sur route, les essais étant fadlités par le réseau d'autostrades qui s'étend aujourd'hui sur plus de 2.000 kilomètres. Il convient de remarquer l'emploi de nouvelles matières premières ; notons par exemple : le rembourrage, les étoffes de garniture, les tapis en fibres artir.cielles, les ferrures inoxydables en « hydronalium », les nouveaux vernis indestructibles à base de résines artificielles, les planches de bord et paliers en matières synthétiques moulées. l'emploi de caoutchouc de synthèse. etc. Bien loin de cacher ces matériaux. qui ont fait leurs preuves. on montre ouvertement ce qui a été obtenu jusqu'ici dans ce domaine. Dans la gamme très étendue des engins de locomotion mécanique, les « géants de la route » comme les dénomme M. W. Oswald, ingénieur à Happenheim, qui nous communique cette documentation, réunissent aussi Ancien E' G. VEYR E Casablanca CHAMPION innovations et progrès : les Diesels ont été encore perfectionnés ; les tracteurs et les remorques réunissent des modèles nouveaux. Divers modes de propulsion sont mis en œuvre: moteurs Diesel. gaz comprimé. traction électrique, etc. A signaler les « chariots » lourds et légen à refroidissement à air des • tri-moteurs» de 200 à 600' mè_ tres cubes de consommation peu élevée· Parmi les voitures de tran!'port de personnes, quatre spécialités sont à retenir : la voiture de luxe. présentant le maximum d'élégance et de confort. la voiture utilitaire de 2 litres à 3 1. 5 de cylindrée, à accélération rapide et souple, aux lignes aérodynamiques, le véhicule économique de 1 1. 5 à 2 1. 5 de cylindrée. enfin la petite voiture de 600 cmc. à 1 1. 5. à conduite intérieure quatre places. Une « voiture populaire» circule en divers modèle$. aux essais, mais n'est pas encore commercialisée. Les remorques pour toutes voitures ont pris une grande extension, surtout pour les voyage!; d'affaires, pour les représentants. Ajoutons que les nombreux stands d' accessoires et de pièces détachées montrent en grand nombre les nouvelles matières employées dont il était question plus haut. LA VOITURE POPULAIRE ALLEMANDE Il y a déjà plusieurs années que le chancelier Hitler annonce, lors de l'ouverture du Salon de Berlin. la création imminente d'une voiture populaire allemande. Si l'on en croit notre confrère le « Daily Mail)) (édition de Paris). cette création serait entrée dans une active période de réalisation et, dans un délai d'environ dix mois, on verrait apparaÎlre. sur le marché allemand, une voiture à 4 places dont le prix serait fixé à 6.750 franc! francais. Un office spécial (bureaux tet ateliers) aurait été installé aux environ de Berlin et travaillerait d'arrache-pied à cette création avec le concours de tous les constructeurs allemands. Il s'agirait d'une voiture à 4 places pouvant faire du 100 il l'heure et dans la fabrication de laquelle entreraient pour une large part (pneus, carrosserk, etc.) de~, produits de remplacement. 15 - - - LE RECENSEMENT DES AUTOMOBILES La suppi"ession de l'impôt personnel sur les automobiles. rem·· placé par une surtaxe sur l'essencE'. a contrarié en France. aUssi bien qu'au Maroe. le re:en5ement des véhicules automcbiles en cilTulation. Pour y obvier. il est paraît-il question de munir toutes les automobiles d'une plaque au millésime de l'année. d'un pdx d'achat modique. semblable à celle dont les cycles doivent être pourvus. UN FREIN QUI NE S'USE PAS E.T QUI SUPPRIME L'USURE Le freinage. c'est du frottement et le frottement. c'est de l'uêu~e. Le "reinage, c'est souVent aussi des à-coups et des blocages de roues: usure de méc3ni'3me, usure de pneus. Voil3 le raisonnement courant. Mais ~l p'e~t applieable qu'aux freins a :,riction. Avec le frein-moteur Westinghow.;E' à obturateur d'échapPement - ralenti,seur idéal - il faut raisonner autrement. Pour ralentir le véhicule. ce frein utilise le moteur qu'il transforme momentanément en compresseur : il ne s'use pas et· de plus. il triple la durée des garnitures deD freins à friction. qui ne Eervent plus que pour les arrêts complets. en conservant toute leur efficacité. Enfin, il f~eine'3ans à-coups, ménageant ainsi le mécanisme et les pneus. e~ il supprime toute consommation d'escence dans les descentes. ce qui. en région accidentée. Se traduit par 15 à 20 % d'écoilomie. C'est un frein-économiseur, qui se paye lui-même ... L'AUTOMOBILE A LA FOIRE DE LYON LE PROCHAIN SALON DE PARIS La 23e Foire de Lyon qui a eu lieu au cours du mois de mars comprenait une importante participation automobile : 20 constructeurs et 29 firmes pl'ésentant des produits automobiles y prirent part. Une « Journée du Commerce Automobile» a été organisée PA!' le secteur du Rhône de la Chambre Nationale. avec Assemblée Générale. déjeuner réunissant les différentes Chambres Syndicales Automobiles, p1Jis en soirée une conférence de M. Delaigue sur « La Route sous son aspect technique ". On sait qu'à la suite de l'Exposition Internationale. le Palais de la Découverte ['este installé dans l'annexe du Grand Palais. Occupant, dans l'édifice, une pJace habituellement consacrée au Salon de l'Auto. le Palais de la Découverte contraindrait les organisateurs du Salon à rechercher. comme l'an dernier. une annexe. ou bien à réduiœ remplacement de l'ExPOSitiOJ1. On envisage actuellement des modifications à l'installation du Palais de la Découverte qui. ~ans entraîner le déplacement des gros appareils, permettrait au Comité du Salon de l'Auto de disposer d'un local suffisant pour son organisation. SALON DE NICE Le secteur des Alpes Maritimes de la Chambre Nationale du Commerce Automobile organise au cours des premiers jours d'Avril un Salon de l'Automobile où sont exposés les véhicules neufs. voitures et poids lourds. les ae-cessoires. motocycles. cycles, etc... · E 3 Les racleurs SANS :.lNTES SAN$ TROUS • .4' __v4ll' Illl CONTROLE OBLIGATOIRE A L'Et.at de New-Jersey (U.S. 1 .) Ylent de rendre obligatoire da V.~rification. tous les 6 mois. 1 e 1 etat mécanique des véhicues automobiles. Chaque vérifiC~tion coûtera 25 fr. françai,; ennrcn. LA PRODUCTION ALLEMANDE d' On. mande de Berlin que d,a pr es les statistiques. durant ve'~embre 1937, la production de doltures de tourisme a fléchi e bte 8etp. 1100 comparée à. novem. t es ventes sont In f'eneus v: dbe 2 p. 100. comparées à non re. La production de ca0ns est en recul de 4 p. 100. te· valeur des exportations atfa~nt 14,9 p. 100 du chiffre d'afve~eb' Contre . . 4.1 p. 100 en nore. tr/ 4 Dites-nous les régloges que vous c1ésirex trouvex dans ce Bulletin, Ncu. les publierons, Et puis oic1ex-nous en vous obonnon~ ce 50 nt des 5EG M EN T5 Les racleurs 3 E, sons fentes et sons trous se mon lent à la ploce des racleurs à fentes ou des racleurs à'traus sur lous les pistons, sons aucune complicatio.n. Les 3 éléments sonl libres; Ils appuient séparément sur la paroi du cylindre. Le raclage est encore assuré si le piston boscule à l'inlérieur du cylindre, Le glissement des éléments les uns sur les ou Ires et dons la gorge assure un nelloyage automatique et continu des passage d'huile entre les éléments. Les racleurs à 3 étages economlsent à peu près loute l'huile du moteur. Les racleurs 3 E. conviennent aussi bien sur les moteurs usages qui consomment de l'huile ou sur les moteurs rectifiés pour empêcher la consommallon. , Amedee Boll~~ 6 Quelques notions sur les Segments tant plus rapide que le segment est plus haut et que cette usure se trouve aggravée quand le moteur tourne vite. Ceci montre les inconvénients des segments trop hauts. La tendance actuelle est plutôt favorable aux segments plats dont les inconvénients semblent moins connus. (Suite) La hauteur des segments Sans que cette action soit directe, la hauteur du segment a cependant une influence sur J'étanchéité. La puissance absorbée par le frott~ment d';! E€grnent dans le cylindre est proportlOnnel1e a la hauteur du segment. Ainsi, le frottement d'un ~€gment de 6 est égal au frottement de deux ~egments de 3 et le double du frottement d'un seul segment de 3. L'usure ocoasionnée par le frottement des .éegments dans le cylindre est proportionnelle à la somme des frottements de tous les segments. donc à la hauteur totale de ces segments: Cette usure est régulière sur toute la circonférence, tandis que le piston use le cylindre en l'ovalisant. La pression des segments sur le cylindre est d'ailleurs bien négligeable auprès de celle qu'exerce le piston en raison de l'obliquité de la bielle. L'usure de la gorge cst provoquée par le frottement alternatif du piston sur l'un et l'autre flanc de la gorge. Ce frottement suppose un déplacement du segment par rapport au piston. Libre dans la gorge, le segment reste appliqué à la paroi du cylindre, sur toute la circon. férence. Le segment ne suit pas les mOUVements latéraux que les changements d'obliquité de la bielle impriment au piston. Le segment glisse dans la gorge et le frottement qui en résulte est fonction de la pression qu'exeree, à cet instant. le segment sur le fond de la gorge. CetL: prel:.sion du segment dans la gorge est due: 1° au frottement du segment dans le cylindre et elle est ainsi proportionnelle à sa hauteur 2° à l'inertie qu'oppose la masse du segment aux accélérations du piston dirigées dans l'un et l'autre sens ; la TJression est ainsi proportionnelle à la masse du segm.ent, donc à sa hauteur ; la pressicn augmente, de plus, comme ~,~carré de la vitef'se. Il en résulte que l'usure de la gorge est d'au- les Segments AMEDEE BOLLEE sont en vente chez Amédée Mouriès - 40, Bd. de Marseille CASABLANCA Cependant, un segment dont la hauteur est trop petite par rapport à son diamètre et à so~ épaisseur manque de rigidité plane, et il fléchIt obliquement lorsqu'on le fer rr: e. Ces fléchissements font que le segment serpente dans la gorge, ce qui provoque des fuites. La déformation est facilitée par le frottement du segment danS le cylindre. Un segment portant mal à plat s'use mal ct use irrégulièrement les flancs de la gorge. Le piston, comme la culasse, absorbe énormément de chaleur ; et s'il n'était convenablement refroidi, sa température atteindrait vite un tel degré que l'huile brûlerait à son contact ; sa dilatàtion deviendrait excessive et il pourrait se déformer dangereusement; d'ailleurs, il faudrait, à froid, plus ch~ jeu dans le cylindre, ce qui provoquerait des • claquements '. Le piston se refroidit par rayonnement. et mieux par conductibilité par la bielle et surtout par le cylindre. Or le contact immédiat du piSton avec le cylindre est assuré, en fait, sur un~ bande étroite que l'usure seule élargit peu 8 peu ; tandis que les segments .<ont en contact avec le piston sur toute l'étendue de leurs faceS planes et simultanément, par leur face exté rieure, avec le cylindre. Les segments peuvent ainsi transmettre aU cylindre une grande partie de la chaleur absorbée par le piston, pourvu que les portées soient bonnes et suffisamment étendues, donc que leS segments soient assez hauts. Le refroidissement du pisten dépend du rapport entre la surface cylindrique totale des segments et la surface du fond du piston. Le piston est d'autant mieux refroidi que le rapport de la hauteur au diamètre est plus grand. L'expérience a fourni la valeur rrinimum de ce rapport (0,12 dans le cas général des pistons à fon~ plat ou peu courbé, et 0,15 pour les pistons 8 fond bombé ou formant déflecteur). Ainsi, pour un piston de 100 rn/m à fond plat, la hauteur totale des segments doit être 12 m/m; on pourra prévoir 4 segments de '3 ou 3 seg· ments de 4 La hauteur du segment racleur à considérer, est celle de la portée circonférencielle et non 18 hauteur du segment. Mieux vaut prévoir, le plus souvent, la gorge supérieure a~,sez large pour y placer un segment haut .de coup de feu • quitte à réduire la hauteur des segments suivants. Le segment supérieur, en effet. partiellement découvert, se trouve exposé à la flamme ; il est aussi plUS près du fond du piston où la température est plus élevée ; son refroidisse:r ent nécessite ull large contact avec le cylindre. (à suivre) Documents aimablement communiqués par leS lEts Bollée. 7 Station Service Moderne Un aspect d'une Station Service « Erte )} Adapter les conditions de travail aux exigen- ce~ .modernes est devenu, dans chaque corps de meher, un'e nécëssité absolue. Pour répondre au développement considérable de l'industrie automobile et de ses a,ccessoires. les Garagistes ont dû réformer le matéri'el souvent primitif avec leqU'el ils assuraient autrefois l'entretien des véhicules automobiles. Les Ateliers sombres les fosses incommodes doivent disparaître pou~ faire place à des salles claires, bien tenues. Sur les ponts-élévateurs, l'es. voitures sont placées à bonne portée, en pleme lumière. Plus d'huile de vidange répandue p'ar flaques sur le 001 des bols fixés aux extrémités de bras' rotatif~ permettront de la recueillir. Plus de transports de lubrifiant dans ~es récipients mobiles qui risCfUent, à chaque m~tant d'être renversés, une pompe puisera à meme le fÎlt et distribuera l'huib et la graisse par canalisations rigides et souples. Toute quantité de lubrifiant débitée èst enregistrée par compteurs. Des pistolets p'ermettent de faire les injections de graisses à haute press.ion, des pulvérisateurs assurent le graphitage des ressorts. Tous C'es appareils fonctionnent de façon automatique grâce à l'air comprimé. qui assurera en outre le gonflage des pneus, l'alime~tation des distributeurs d'essence et, à l'occaSIOn, celle d'un petit pistolet d'e peinture qui permettra de faire une retouche rapide sur une carrosserie endommagée. Une maison française, qui s'est fait~ par ses ~onfleurs et Compresseurs une renommée en\n.able : « Les Etablissements R. Toussaint et CIe d'e Valence )}, a lancé sous la marque « Erte )). sur le marché un matériel entièrement nouveau de grô.iss~ge et d'entretien permettant d'équiper de façon la plus rationnelle les Garages et Stations-Service. Donnons, à titre d'exemple, la composition d'une Station-Service Modèle « Ert2 ). - Un groupe éll~ctro-compresseur, monté sur réservoir de grande capacité, assure automatiquement l'alimentation de toute la station en air comprimé ; - Un pont-élévateur de marqU'e « Champion-Erté )) peut recevoir des véhicules de 3. 4 ou 5 tonnes; - Des pompes à huile moteur, huile C., huile comp'ound, fonctionnant sur l'air comprimé, puisant directem'ent dans les flIts, assurent la distribution des lubrifiants à grande distance. Ces pompes constituent, d'ailleurs. une originalité des Stations « Erte » et permettent de supprimer les réservoirs d'huile sous pression utilisés jusqu'à ce jour ; - Pour le graissage sous pression, des pistolets différentiels, de conception remarquable, peuvent assurer des injections jusqu'à 600 kg. d~ pression ; - Des colonnes avec bol de vidange, des en~embles de remplissage d'huile avec compteur et pistolet. d'èS pulvérisateurs pour le grais,aRè des ressorts. des ensembles dertonfbge et de peinture complètent cette installation ; - Enfin, des pompes-laveuses, à grand débit pt à haute pression. peuvent assurer le décapage des châssis 'et le nettoyage des carrosseries. Pour des stations de moindre importance, le système de graissage sous pression s'applique encore de façon remarquable grâce à la soupP2sse d'adaptation du procédé. En effet les f,,brications « Erte ) comprennent également d,"::: groupes roulants avec petits compresseurs se suffisant à eux-mêmes, de petits enS'2mbles c1'~ distribution d'huile et graisse sous pres~ion et des appareils mobiles de vidange, s Signalons enfin une nouveauté intéressante ; le « Bloc-Service» qui comprend, rassemblés dans un coffre métallique de limensions réduites et d'un bel aspect, un compresseur et tous les appareils de graissage. Ce dispositif permet la sup;:,ression de toutes canalisations extérieures et la pose immédiate sans frais d'installation. Pour terminer. nous ne saurions trop conseiller aux Garagistes et possesseUlS d!~ relais, soucieux de se documenter sérieusement sur ces questions, de visiter une station-service «Erte". Ils ne manqueront pas d'être imDressionnés par le façon remarquable dont s'y , " trouvent résolus tous les problemes de 1entretien rationnel des véhicules automobiles. Les qualités du matériel « Erte » et ses réels avantages l'ont fait ad'opter au Maroc par de nombreux garagistes soucieux de posséder une « Station-Service » modoerne, fonctionnant sax:s aléa d'un prix de revient intéressant et rapldem'ent amortissable. De plus cette usine n'a pas hésité à attacher un monteur à so.n Agen~[' Marocaine et faire visiter et entretemr gratmtement le matériel installé. Le Bloc Service « Erte » Les Etablissemoents R. Toussaint ne se bornent pas à « vendre )J, ils sont égalem~'nt le:: premiers à assurer le « Service » :lUj:l'ès de leur clientèloe. U n' ,F i 1 m sur l'Industrie Automobile A la veille de l'ouverture du Salon de Paris, un film tourné dans les usines Renault a été présenté à l'Opéra. M. Albert Lebrun. entouré de nombreuses personnalités de la politique et j: du monde automobile, présidait cette manifes·· , tation. Admirablement ordonné et commenté, ce film montrait l'enchaînement méthodique des multip,les opérations qui transforment le métal brut 1 patiemment, mais avec vélocité, pour aboutir l'engin surprenant qu'est une voiture moderne. àl Tél, A 44-62 En l'espace d'une heure vingt de projection, ce film bourré d'images saisissantes, tantôt aU rythme normal, et tantôt au ralenti, révéla pour beaucoup la plus étonnante histoire qui soit, et on ne sait, dans tout cela, ce qu'il faut admirer le plus: de la prodigieuse méthode qui préside à ces travaux, de l'épanouisse,nent extraordinaire d'une industrie qui date à -peine de qual'ante ans, de ,J'esprit de coordination qui règne au sein de cette activité formidable, du perfectionnement des méthodes de travail. On sent planer au-dessus de cette glorilication du travail l'esprit du maître animateur qui travaillait autrefois, dans un atelier minuscule, à la plus grande invention du siècle et jetait les bases d'une immense cité industrielle oÙ vivent. travaillent et prospèrent dQS milliers de familles. Plaques avant sur demande Aurons-nous la satisfaction de voir ce film présenté sur un écran marocain ?.. , Nous le souhaitons vivement. SOCIÉTÉ MAROCAIN[: DU RADIATEUR An c i €::'nnç.:mE'rll E':PERUSSET ET FRIQUET 54. Rue de Neuf BrISach 61, Rue Franchet dEsperey CASABLANCA Il: !,.' 1 j )' ,. !! " J.1 i, !: S(JPPLEMENT POUR LES GARAGES N° 1 UN additif à notre tableau de graissage vient de oaraître. Notre représentant vous le remettra. Vous cOlllJaÎs,ez cl'I'lainemcnt la Petite Gazelle VacuulII, que tous les automobilistes marocains rec;oivcnt rÉ'guliprement depuis maintenant deux ans. Son supplément, que vous trouverez inséré, à celte place, dans chacun des numéros du Bulletin des Garages" est particulièrement destiné aux pro. [es~ionnels de l'industrie eL du COllllnerce automobile. La Petite Gazete VacuulII nous a beaucoup servi auprès de la c!ienti:Ie, et lIOUS pouvons dire qu'en relour, elle noue; a permis de lui rendre de nombreux servic'es. i\utre cour, riel' cn lémoigne. Une semblable publication, adressée aux membres de la ['orporalion, nous donne le moyen de communiquer plus frÉquclllment avec eux. Les sujets ne nous fonl pas défaut pou l' em pl i l' les colOJlnes de ee,le Gazelle, car on a toujours beaucoup de cho"cs utiles à se dire entre ~ens qui pratiqnent un même métier. Nous traiterons, dans nos rubriques : - de la vente, d'abord et des moyens de la favoriser ; - de nos produits, et SUl'tOUt des nouveaux qu'il convient de bien connaître pour les b:en présenter ; ~ de leur bonne applica ion, qui les fait apprécier;' - de notre propagande et des moyens dont disposent les revendeurs pour en tirer le meilleur parti ; - de la bonne organisation des ateliers et des magasins; - de l'outillage, dont nous ferons connaÎlre le" derniers perfectionnements ; - des recettes, conseils pratiques, etc ..., etc ..., et de bien d'autres choses encore dont l'actualité nous fournira l'occasion. Pour cette documentation, la collaboration de nos lecteurs sera précieuse. Qu'ils nous fassent connaître leurs sentimcnts, leurs avis, leurs suggestions. Cette Gazette sera, ainsi, pour les garagistes, les mécaniciens et les transporleurs, ce que Li Petite Gazette VacuulII est devenuE' pour les clUlolllobilistes marocains une publicatioll, selon nos dé, sirs. aimable à lire. utile à consulter. vue. METTEZ A JOUR. VOTRE fABLEAU DE GRAISSAGE Mobiloil, vous le savez, fut le premier à publier un « Tableau de Graissage » sur lequel, au regard de chacun des modèles de voitures de toutes marques, est indiquè le type d'hui le ou de graisse convenant au moteur, à la boîte de vitesses, au pont arrière. Tous les ans, ce tableau est mis à jour, en considération des nouveaux véhicules mis en circulation et :les progrès de la techni~ue. Cette année, ainsi que nous l'annonçons à la page précédente, les garagistes complèteront leur « Tableau de graissage » par la simple apposition d'un papillon. Ne tardez pas à mettre à jour le « Tableau de graissage Mobiloil ", et si vous n'avez pas i(l papdIon nécessaire, demandez-' nous-le, vous le recevrez aussitôt. LE.! NOUVfAUX BID Mobiloil La Vacuum a présenté récemment de nouveaux bidons cylindriques d'une contenance de 1 litre ou de 1 gallon américain, qui permettent d'acquérir MobiloiL en réciI>ient scellé, à un prix très voisin de celui de l'huile en vrac. Cette initiative a été très favorablement accueillie, non seulement par les usagers, mais aussi par les revendeurs, auxquels ce conditionnement offre de s é rie u x avantages. L'huile en vrac ne bénéficiait guère que d'un argument: elle était meilleur marché que celle ~n bidon· Ce profit n'est plu.~ sensible, puisque, entre le lubrifiant en bidon et celui livré en tût, il n'y a plus qu'une différence de quelques centimes. UN AI2GIJUfNT... do"t .JOU/ JJou..)e~ lire; cart r 1 « CHRONOMETREZ L'OPERATION! » Vos clients sont gens pressés !... Savez-vons combien d'entTe eHX remettent à pins taTd, et pins longtemps qn'il ne fandrait, la vidange de lenr carteT, paT ce qu'ils « n'ont pas le temps)) d'immobiliser leur voitUTe et avez-vons pensé à l'avantage que vons auriez à effectueT rapidement cette opération e'. aussi à le faire savoiT ? ... Si vous ne l'avez fait, d'autres l'ont fait avant vons, et ils ont pu apprécie?' les résu'tats en considéTant l'a·xro·;ssement de leur chiffre de vente d'huiles, Voici comment: Ayant chro?wmétré le t-emp.~ qu'il fallait ponr faire une vidange et consta'é qn'en opérant avec méthode et célérité, t1'O',~ à cinq minlltes :suffisaient, en 11 ajoutant qHe'ques mh!.1ltes p01l1' les retards imprévns, les gamgistes en question rédigèrent le texte suivant : « Il snffit de 4 à 7 minutes » « ponr vidanger et remplir » « votre cart·e?· » Ce libellé fnt inscrit de façon très lisible snr des panneaux convenablement exposés et le nombre des vidanges pmtiqnées s'accrut de façon sensib:e, Les chiffres cités dans le rapport qne nons avons sous les yeux en témoignent, Vonlez-vons essayer ?.., Qne vous en coûterat-il ?.., Tel antomobiliste, de passage, entra dans la station pour faire son plein d'essence. II. sortit un instant de sa voit1lrc et vit I.e pannea11. « Si vous é~es ans si mpide, dit-il en montrant le panneau, vous feriez aussi bien de changer ~aa·emellt. mon huile ! ", Et voilà comment on multiplie les ventes. Ceci n'est qu'une anecdote qui illnstre l'inthét d'une métlwde dont nons S01lmettons l'idée à vot?·c bonne attention Vous conviendrez volontiers: - que les bidons sont plus propres et plus faciles à mampuler ; - qu'ils suppriment t 0 ut e 'Jerte ;.. craindre du fait du ga<· pillage; - qu'ils exigent un moindre stock pour un a;)provisionnement comnlet de toutes les sortes d'huil~s demandées; - qu'ils réduisent ainsi le capital immobilisé et, partant, augmentent le taux du bénéfice' - ' qu'ils facilitent un inventaire rapide et constant, donc une surveillance qui interdit le c01\lage. En écartant toute prévention d'erreur quant à la quantité ou à la qualité, en évitant les souillures par manipulations, les bidons donnent au revendeur l'assurance de satisfaire parfaitement sa clientèle, sans contestation possible. Et cette considération a son imDOrtance. Enfin, les bidollS scellés, disposés avec goût, se prêtent à une belle présentation qui favorise la vente, stimulée, vous avez dû le remarquer, par l'attrait qui s'attache à toute nouveauté. Nous n'avons jamais été très favorables à l'usage de l'huile en vrac; mais, eette fois, en présence du succès du nouveau bidon Mobiloil, nous pouvons affirmer que l'huile au détail n'a plus sa raison d'être. NOTRE PUBLICITÉ La publicité de la Vacuum passe avec raison pou, un. de> ' , plus importantes qui se soient d:veloppees au :J\;Iaroc, .comme dans.l~ ~onde <~et~e f ~r1ve;~i;;'r ~lont"" à jour chaque annee, a!fiche en bnnne pl"" .,t oonsulté. Peint~r.es . .. murales, mteneu.r:s MalS pns pubhcIte, - yenber. avez-vous garde? - ne se borne pas à publier ,les vertus de nos prodmts, a recommander leur ou .fopt, et au.Jusque VOlSInageexteneures, de nos. depots dans les atehers, de constants rappels, auxquels l'œil échappe difficilement. achat; elle instruit l'automobihste de tout~ choses qui ~nté- Il nous reste à parler des vitrines et des e:,positions faites dans les magaSIns ou les ateliers; à leur pro~s, reco~mandons aux garagIStes SUlvre attentivement le developpement de nos campagnes publicitaires dans les quotidiens, dans notre Gazette et nos brochures. C'est sur leur thème que le dépositaire a avantage à déployer son action particulière, pou l' béné~cier ~'intérêt qu'engendre laduahte d un sujet et en tirer, personnellement, le meilleur profit. Nous nous pro DOsons d'ailleurs, dans de pro~hains articles, d'exposer et de commenter nos arguments et notre nrogramme de publicité. C'est' en collaboration étroite avec le revendeur que notre propagande doit être poursuivie, lour notre proth commun. En '~oulez-vous un exemple: notre "Petite Gazette Vacuum" doit toucher tous les automobilistes; est-il parmi vos clients des per- re~sent le gralSsage; elle lm en~elgne les moyens d:entretenir e,ConomlqUemen~ sa voIture; el.le efforce de plaIre et de serVIr, ~t att~re ainsi favorablement l att:nbon de l'usager sur nos lubnfiants; la qualité fait le reste. Notre publicité se manifeste sous des formes variées: • Il y a d'abord les. a.nnon~es, 1,?rUes dans les quobdlens, lnserees en bonne place, dont les textes, soigneusement étudiés, t?uJours illustrés, attirent invinclblement les regards des lecteurs. Nous comptons poursuivre et développe.r encore cette sorte de réclame. La «Petite Gazette Vacuum" es~ adressée régulièrement six fOlS l'an, à 18000 automobilistes m~r?~ains.. Elle paraît fort appreclee, SI nous en jugeons par la correspondance qu'elle provoque. A côté de textes aimables, de conseils pratiques, d'études documentaires, elle renferme des articles consacrés à nos lubrifiants, et elle nous permet d'exposer à la clientèle les raisons qui doivent l'inciter à donner la nréférence à notre marque. Nos' initiatives. nos prod.uits :-,ouveaux y sont présentes. Cest une publicité directe, périodique, à grande diffusion. qui s'avère très efficace, Nos brochures consacrées au graissage, dont la dernière, "Tirez narti de votre comnteur" a été Darticulièrement bien ~c cueillie Dar le Dublic, sont aussi ?nvoyées directement, ,Jar post.:'), a 18.000 ,)ropriétaires de voitures automobiles du Maroc et remises à tous ceux qui eniont ]a demande. Les automobilistes aiment les canser·· "l', no ur y t;'ou\'er conseil. en t2mes opportun. EUes constituent un e P'lblicité durable. Notre Tableau de Graissage, très complet, bien présenté, mis S .. _~_ ~e ?: 1.,. r ,.1-:,"... ,/k~~ ____ , \ <HO' : _ [: . ' . 1 . / .~, ' ... ~/;'~,:-; '.~ l .1-.'."1 ' ".. "." •.•... •. .:. .•. . -0.'1. ".,:,..,.,• 1,..•...,.,;,'I.'i 1. i, •• 1. (. " '''::--. .' 1. :f.~;"I1.''''J:.,,' dl f;2Z . ,. }- ',~, h '·f~;':::.:.::.>:' '>7 /')~>.f.:;,> ~. ..... ~.~'~'.'0::~ ..... '''.~.. ,.... .. ..;,. ~ (/(.D ,:y~. ~.~~. '0' c: . •.• _~ ~ ~ '" . ",.. -1\) sonnes qui ne la reçoivent pas? '.. faites - nous connaître leur nom et leur adresse; la lecture de notre Bulletin développera en eux le ?ouci de bie\~ entretenir leur vOlture, ce qlll l' é po n d certainement à vos vœux· En bref, notre publicité, dont nous expliquons ici les méthodes essentielles et que nous analyserons plus en détail, par la suite a une portée considérable; nous' le savons. Il ne dépend que de vous, reve~~eurs ~t garagistes, de partlclper a son succès en la suivant attentivement et en usant opportunément des moyens d' a c t ion qu'elle vous offre. Une vitrine Mobiloil La vérité, paraît-a, sort de la bouche des enfants; mais eHe ?l'est pas toujours bonne à dire. Les gens d'expérience aussi peuvent exprimer des vérités qui, elles, sont excellentes à entendre, Ecoutez ces quelques conseils qu'a réunis pour vous un vieux prat,icien de l'automobile et tirez en le meilI'eur profit : Promenez-vous un peu dans les rues et sur les routes et vous verrez combien vous rencontrerez de distributeurs d'essence et de dépôts d'huile de graissage, S'il est des gens qui peuvent se plaindre de la co'),currence ce sont bien ces marchands là ",. Se plaindre ,?". Bah ! Je crois qu'ils ont mieux à faire, Car geindre ne rapporte guèrc et je pense qu'il vaut mieux trouver autre chose, Cette autre chose je vais la chercher avec vous si vous le voulez bien, D'abord on dit que la concurrence est l'âme du commerce ! " Ça, direz_vous, c'est des histoires que racontent les gens qui touchent leur paye à la fin du mois et qui ne se soucient guère de leurs échéances, Nous n'avons jamais été aussi tranquille que lorsque nous étions seuls dans nOtre quartier, et ce n'est certaine_ ment pas pour que nous fassions de meilleures affaires qu'un malin est venu s'inrtaller en face " Soit 1. .. Je vous le concède, Mais il faut prendre les circonstances comme elles sont et en tirer le meilleur parti possible, Pour d'autres métiers, se faire concurrence c'est vendre au plus bas prix jusqu'à y perdre tout son bénéf'c2, CeUe lJratique Iii, Dieu merci. neus est épargnée, Non pas qu'il ne se soit trouvé des rusés !.Joux essayer d'en tirer profit ; mais le profit était ~i maigre qu'ils Dnt dû bientôt s'en aller ou bien changer de méthode. Au reste l'essence et les bonnes huiles se vendent à prix fixe, et la question est tranchée, Aussi la concurrence dans LI ventc' àes huiles et esseIlces pre.,ci Lm autre asp~ct. Elle est. - je vais employer lm bien grand mot. -d'ordre psychologique. N'ayez pas peur ! Je ne vais pas entr2p.-cndre un cours de philosophie applIquée. Non ! Mais cela ne nOëS empêche pas d'observer le client. de nous dire : " Tiens ! tiens ! Ce bon Monsieur Dupont n'est pas venu d:puis bien longtemps chez moi et il me semble l'avoir aperçu chez un confrère " ' - ou bien " Il est bien chic ce cnlve Durand de passer tous les matins chez m:;,i prendre ~cn essence. et de faire en même temps provision de tout ce dont il a besoin ". Ceci dit, nous nous demanderons pourquoi celui-ci, est devenu client fidèle, tandis que celui-là nous a lâché. En cherchant bien nous t.rouverons. sans clou'e. la raison et il ne dépendra que de n::JUS d'en faire profit Ça, voyez-vous, c'est de la philosophie qu'on peut pratiquer sans être philosophe. Il suffit de regarder autour de soi et de raisonner un peu. Puisque n~lUs sommes en si bon_ ne voie, - et avant de chercher cc que les clients attendent de nous. - nous albns faire notre examen cie conscien~e et nous poser b question: Qu'est-ce que nous demandons aux clients ?., - Nous voudrions d'abord qu'ils neus soient fidèles, Il n'est rien de désolant. comme de const.ater qu'un client ne revient plus. - Nous aimerions aussi que nos pratiques achètent davantage. Ah ! comme il est réjouissant de faire tine belle vente, et comme on quitte allègrement son travail. 1<: é::ir venu. quand la journée a été bonne. - Nous désirerions enfin, multip!icr nC'tre clientèle. Ce n'est POJo Lut de garder ces clients et :::" les c:ervir. ça fait tcujC'urs plaisir Je voir de nouvelles têtes. surt:JUt lorsqu'un a l'impression qu'on pourra les revoir bientôt, Des automobilistes ! il y en a plein la rue. Le tout est qu'ris s'arrêtent. devant chez vous, Regardez-vous les statistiques ? Tous les trimestres il y a de nouvelles voitures mises en circUlation et. - malgré les départs. eJ1 dépit des mises au rebut. - le n:;mbre des voitures qui roulent s'accroît constamment. Si donc VOS clients ne sont pas aussi plus nombreux c'est qu'il y a trop cie gens qui vont ailleurs. A vous cry remédier 1. (à suivre) Dites-nous les noms et odres' ies de vos clients qui recevraient volontiers la ({ Petite Gazette Vacuum ». 1 9 -- c H o PUISSANCE FISCALE On entend par « puissance fiscale », non pa:~ la puissance dll fisc, - que nul ,n~ sauJ'mt contester, - mais celle des velllcules ~l!lf~J1l~obiles calclllée en fonction des caraclerlstlques du moteuI'. slliuant une formule consacrée. En France la « puissance fiscale » a suruécu à l'impôt sur la puissance sllpprimé depuis féurier dernier. On la détermine pOllr chaque nOllVeau modèle et on continue de l'inscrire sur la carte grise. Quant au Maro(, jamai.~ la « puissance fiscale» n'a été aussi à la mode, puisqu'elle s.e~·t de base à la taxation généralisée que l Etat perçoit désol'lllais pour le compte des Muni,cipalités ... ct pour son propre compte aUSSI. HEMOHQUES POUR LA CHASSE Savez-vous qu'il existe des petites remorljues concues à l'intention des chasseurs : l~'s. chiens il prcnnent place et voyagent à t ms'!, tandis que le gibier est conservé dans un compartiment sIiécial. Nous n'aUOJlS pas, eu core VII de tels engins sur les routes du Maroc où ils seraient cependant appréciés. LE HAlL ET L'AUTO La compétition entre les transports par route et cellX par voie ferrée, paraît devoir se c~mpliqller, en France, d'une campagne men~e sourdement par les constructeurs de lllC!teriel de chemin de fer entre les « autorplls » ét~blis par les grands indllstriel.~ d~ l automobIle : Michelin, Renault et BugattI. .Chaclln, comme dirait l'autre, défend son bIfteck, mais il paraÎt douteux lju'on puisse alter contre le progrcs. UNE REFERENCE Si on en croit « l'Arglls de l'Automobile» le famellx gangster JO/Ill Dillinger a!lI'ait adressé, en lllai dernier, - ljuelljlles JOllrs avant sa mort - Illle lettre à Henry Ford, dans laqllelle il llli exprimait sa satisfactio~1 de pouvoir liser d'une voiture de sa f!Jbl'l.('alion. « Si je dois jalllais être rattrape, dlsail-il, ce ne pourra étl'e que par quelqu'un condllisant aussi une Ford». Voilà une nOl/velle llisloire fOl'(lisle à ajouter fi tant d'autres. SOIGNEZ VOS CLIE~TS ... et pos clients soigneront' lelll' poitur'!. Méditez cel exemple, et si possible tirez-en profit : llll arlellt de mm·ljucs. automobiles de Ba!lOllne place Slll' les poltures de. ses clients IIlle étiqllette portant cette mentIOn: « Soignez potl'e poitllre. Graissage fi ..... Vi: dl1l1qe (1... » Les cOllducteurs savent mnsl lfuaiul ils doivent meJI''!' lellr allto Il l'entretien. FUTURS TAXIS On essaye à Montlhery des 4 cylindres à moteur Diesel qui seraient destinés à faire le service de taxis dans l'!s grandes pilles. AU CHEDIT :\1UNICIPAL On sait que « Ma Tante» vend désormais UlU; enchères les voilures laissées pour compte. Les petites cylindrées t'ont prime à l'CS « liljuidations ». Un'! Renault 8 CV t!lpe l'Nl a été vendue 9.601 t'l'an cs. Quant aux fortes voitures elles ont plus de lllal à trou· ver acquéreur. Une 35 CV est JJlontée péni blement à 4.329 t'rancs. le Rendement de la Bougie LA TAXE AU POIDS L' ~gypte vient d'inaugurer IIll • nOlwea~1 systcme de taxation des voitures automoblle~ : les alltos acquitteront désormais lln imp.o~ de une piastre par kilo. Ce mode d'impoSItIOn .lJui Se substitue à une taxe uniforme, Complzquée d'impôts locaux, constitue une aflflNwation des charges pour les automobill.~tes qui paraissent avoir réagi vivement cn retirant leur voitllre de la circulation, tandis que les taxis d'Alexandrie et du Caire ont fait grcve. tout pour CHEVROlET 14Qr1.:... ~ vous étonnera Pour tous moteurs Jean Jacques CORSIN 131- 133, rue de Strasbourg Tél. 22-55 Agent CASABLANCA - Toutes pièces adaptables pOur tous véhicules CHEVROLET Une seule spécialité! Des articles de qualité! Les prix les plus bas! t • Général: Office Industriel de l'Automobile Maurice BOUCHARDON 194, Bauld. de Lorraine CASABLANCA Téléph. A. 46-77 Télég.OFFINDAu.cASABLANCA -- 10 chaque goutte compte la Bougie LODGE est et sera toujours la meilleure AUTO MOTO AVION A. J. Scherer 28 - 30, Boulevard de Marseille Téléph. 08-05 - CASABLANCA 1 LA FORMULE D'INDIANAPOLIS On critique beaucoup, et non sans raison, la {ormul'! libre suivant laquelle se sant disputés les derniers grands prix internationaux, formule qui t'!nd à opposer plutôt des pilotes que des véhicules et qui semble ne pas apporter d'ens'!ignements éminents à la co nstruction. On lui oppose la formule d'Indianapolis: quantités de carburant et de lubrifiant /i. mités, distance il parcourir fixée, capacité du réservoir d'essence déterminée, compre.ç· seurs int'!Nlits. A la derniere course, l'el'fort des concurrents a surtout porté vers la qualité des carburants permettant un taux de compression élevé, qui atteint 13,8 sur la voiture du vainqueur, la « Royle Producls Spécial» de CurJJlinin{J. DA~S LA GUEULE DU LOUP Une récente dénwrch" de M. Raymond Mole, Président de la Chambre Nationale du Commerce Automobile, aupres de M. La· moureux, IVIinistre du Commerce a vivement ému tous ceux qui peusent que constructeurs et cOJJlmercunts doivent s'entendre entre eux sans rêcourir il l'intervention de l' Htat. Dans un sens comme dans l'autre l'unanimité n'est pas faite. S'! fera-t.elle jamais? BUREAU DE POSTE AUTü:.\IOBlLB On a inauguré récemment le premier RI1: l'eau de Poste Automobile. Il est destiné il fI' (lurer dans les grandes manifestations' et a fait s'!s débuts sur l'esplanade des Invalides ci l'exposition des poids lourds. Il comporte trois {Juichets et trois postes de téléphone dont deux en cabine. LES :VlULTI CYLINDRES Une nouvelle firme de Détroit prépare 111/ nOllV'!azl moteur pour autos, avions et bateaux qui aura 20 cylindres. Cet engin sera fait de deux groupes de 10 cylindres dév e· loppant une puissance de 300 CV. pour 111/ type et 800 CV. pour l'autre. SURVEILLANCE DES VOITURBS L'Etat de l{'!ystone, en Amérique, soumet les véhicules en circulation il une double ins pection aIlllllelle. Cette pratique semble donner d'excdlents résultats et la chose vaudrait d'être considérée favorablement par les Pouvoirs Publics, un peu partout, et ml Maroc en particulier. Mais n'est-ce pas trop demander. DES DAMES AU SALOrJ Il s'agit d'un Salon de vente d'! Détroit et de jolies vendeuses que M. Henry Ford 11 a mises pour présenter les voitures, apres une formation préalable de ces charmantes pel" sonnes. L'N PANNEAU ;\IONSTR~ C'est il Chevrolet que revient l'honnel1 f d'avoir établi récemment le plus grand paIl' n'!azl publicitaire du monde : il porte pll1 S de 17.000 lampes électriques et 35 kilometr eS de fils. ainsi qu'un tube au néon de pres de 400 mefres. LE VERRE FLEXIBL~ On vient d'expérimenter en Angleterr'! 11~ sous-produit du charbon tres flexible ql1~ peut remplacer avantageusement le verre' on l'appliquf' particulièrement dans la fa' brication des écrans pour les autos. Ce produit est tiré du .qoudron d'apres le procédé de carbonisation à basse tempér(1' turl'. 11 Placement du -- Personnel Les Bureaux de Placement quent nous communi- CASABLANCA La situation de la main d'œuvre dans l'industrie mécanique ne s'est p'as améliorée. Quelq'uesunes des grandes entreprises qui disposent d'un atelier mécanique ont licencié un certain nombre d'ouvriers mécaniciens. Le nombre des chômeurs reste sensiblement égal à ce qu'il était le mois dernier. Courant Octobre les placements suivants ont été effectués: ' 2 électriciens-automobile 4 mécaniciens, , 1 ajusteur, 2 aides mécaniciens, 3 forgerons, 2 s,oudeurs autogène, 1 tolier soudeur 2 garnisseurs, , 1 chauffeur, 1 conducteur de tracteur. Bureau de Placement de Casablanca, Bourse ('2 Ccmm'èrce, Rue Claude, Tél. 02-30. RABAT Le Bureau de placement a été saisi, au cours du mois d'Octobre, de quelques demandes émanant d'ouvriers mécaniciens spécialisés dans l'ajustage et la mise au point· de moteurs; leur non:bre relativement insignifiant (une dizaine enVIron) n'a fait subir pour ce mois, en raison des placements effectués, aucun changement dans la situation de cette corporation où nous comptons un total de 50 chômeurs qui se répartit dans les spécialités suivantes: Mécaniciens: 25, Ajusteurs: 15, Apprentis: 10. Dans la catégorie chauffeurs conducteurs de tracteurs, on note une recrudes~ence de chômage due ~u .débauchage d'ouvriers ayant été occupés provIsoIrement pour la période des gros travaux de ferme ou de transpÔrts. L.~ situation de cette main-d'œuvI'2 Cot parcuherement tendue. On note un total de 50 chauffeurs européens, une dizaine environ de cha~ffeurs indigènes; soit en tout 60 chômeurs enVIron. Bureau de Placement de Rabat rue de la Marne, Tél. 38-97. ' Appareils pour Stations-Service u. s. La marque de qualité Maurice BOUCHARDON Agent. Général 194, Bd. de Lorraine - Casablanca· Tél. 46-77 SI VOUS AVEZ BESOIN DE PERSONNEL... Si vous avez besoin de personnel, nous vous recommandons de faire appel aux Bureaux de Placement qui ont été établis dans chacune des grandes villes du Maroc. Vous éviterez ainsi tout dérangement et tout frais. Un simple coup de téléphone et les candidats susceptibles de vous satisfaire se présenteront à vos bureaux. = la ANCIENS ETABLISSEMENTS A. MICHEL 4, 6, 8, rue Bascunano, (près Place des Alliés) CASABLANCA. - Téléph. : 06-44 et 51-93 Adresse Télégraphique : Pièceauto-Casablanca Tout ce . concerne qUI l'Automobile et le Poids'~ Lourd l 12 Bib]li <0>gr:stp hi e Garagistes! pour la rénovation des cylindres eXigez la Chemise en Acier IIRENOVITAII Seules, les chemises « RENOVITA » présentent la grosse supériorité d'être en acier cémenté et trempé d'après le procédé au « Durferrit » des Aciéries d'Ugine, qui permet d'obtenir une couche de cémentation de 0,5 ml"'. Pour votre sécurité exigez: le PISTON FENDU « RENOVITA » en métal « R ». Sa haute teneur en nickel en fait le meilleur des alliages à pistons actuellement connus, (durete Brinell, 1321. et les SEGMENTS {( RENOVIT A » fabriqués la lonre la pius fine coulée à l'usine même au creuset. Seul procédé permettant d'obtenir un métal pur, exempt de scories et d'impuretés toujours préjudiciables à la qualité. Faits et chiffres sur l'automobile en France La Revue «( Prospérité » éditée par MM. Michelin cl Clermond-Ferrand, nous apporte d'intéressantes statistiques sur l'Automobile en France en 1933, dont nous extrayons ceci: 1.873.298 autos circulent en France, dont 1.415.173 voitures de tourisme. taxis et autobus et 458.125 camions, camionnettes et tracteurs. La progression est de 141.413 unités par rapport cl Cannée précédente. La France a construit, en 1933, un total de 189.000 automobiles valant 5 milliards de francs, 25.000 unités de plus qu'en 1932. On compte, en France, 1 auto par 22 habitants. L'automobile représente 80 milliards de la ··ortune nationale. . L'automobile fait vivre 780.000 ouvriers. Il a été exporté, en 1933, un total de 34.880 véhicules, dont 14.105 vers les possessions françaises et 20.775 à l'étranger. La progression est de 13.600 unités, par rapport à 1932. C'vec CASA - AUTO - ACCESSOIRES Louis MOU GERY 118- 120, rue Colbert - CASABLANCA Chez A. J Scherer 28-30 Bd. de Marseille CASABLANCA Téléph. A 08-05 L'équipement électrique des véhicules automobiles à moteur à huiles lourdes Diesel M. Henri Lanoy, Ingéniet~r-électricien, Mem· bre de la Société des Ingénieurs de l'Automobile, auteur de nombreuses études sur l'électricité appliquée vient de publier chez Desforges, Girardot et Cie un intéressant ouvrage consacrée à « l'Equipement électrique des Véhicules automobiles à Moteurs à Huiles lot~rdes Diesel ", 01LVrage que nous signalons cl l'attention cle nos lecteurs. Il traite successivement de la compositicn des équipements électriques de moteurs Diesel, de leur entretien, de let~r contl'ôle et de leur vérification, donne quelques conseils pOUT leuT 'meilleure ntilisation,. enfin décrit q1.elques équipements électriqnes de moteurs Diesel étab~is par les gmnàes maTq1.1es spécialisées, Paris-Rhône Nous l'ecevons le numéro spécial du Salon du « Paris-Rhône ll, Bulletin de la Soc'iété cie Paris et du Rhône. n l'enferme une étude sur les dispositifs Paris-Rhône présentés au Grand Palais : dynamoteur à commande pal' cou1Toie, génémtTice auto-régulatrice. la bobine d'allumage « Départ ll, les Gl'oupes de charge, le « Dynac n" 7 ll, et les interrupteurs de sécurité. vous trouverez tout ce qUI concerne L'AUTOMOBILE L'ATELIER L'INDUSTRIE Agence pour le Maroc: 2 " Boulevard etc. de~Marseille CASABLANCA LI. A 5823 ._----~. --~~.-- - ~ - - - - - ~ P.iFRAYSSE Télég, Roulessero, Casablanca 13 Petites Informntions Les exportations françaises. Pe~dan~ les huit premiers mois de l an~e~ la France a exporté 17.863 vehrcules automobiles contre 18.;1~ et 13.094 pendant l~ même penode des années 1933 et ~9~2. Sur ces véhicules 8.246 ont ete exportés aux Colonies el 9.617 à l'étrang<;r. Les principaux clients de la ~rance sont : l'Algérie (4.374), 1Espagne (3.246), la BelgiqueLuxembourg <1.496) le Mm;oc (1.173) et la Suisse (1.170). . On voit que le Maroc vient, de J1;'stesse ,. a~ quatrième rang. Voicr le detall des envois vers le Maroc : 1.062 voitures de tourism~, 59 ca~ions et 52 châssis, .01~ ,qwntaux de pneumatiques ont ete expédiés de France au Maroc, La Société « Matford ». L'j\.ssemblée constitutive de 'la l?-0uveUe Société Matford a eu heu le 27 septembre. Le, Conseil d'Administration présidé par M. NI~thrs est ainsi composé : MM. Eusel Ford. J. C. Charpentier, Maunee Boyer Maurice DoUfus Gdm:nistrateur ' délégué. ' Le bruit annonçant le licenciement du personnel de l'usine de Str:'.sbourg est démenti. le Carburant Mokhonine. On se souvient du Carburant Makhoninc qui eut son heure ~e . célébrité. La Compagnie des d''!-ltburants Makhonine vien~ e re mrse en faillite. La Fédérot'ion Internationale de Transports commerciaux en automobile. .Fo~dée il y a cinq ans, la FéderatlOn Int·ernationale de transports commerciaux en automobile réunit les représentants de quatorze nations européennes : Fran~e, Allemagne, Angleterre, Autnche, Belgique, Espagne, HOllande, Hongrie, Italie, Pologne, Roumanie, Suisse, Tchécoslo,:aq~re, Yougoslavie. Son Secre~anat permanent est établi à P~n:, au Siège de l'Union des Vehrcules industriels 9 rue LeSUeur. ' , Les Salons oméricains. Suivant certaines informations, 1es Salons nationaux de l'Automobrle seraient remplacés par d~s Expositions locales se tenant srmulbnément pendant une ou d<;ux. semaines vers le mois de Fevner. Un It!oteur .i1 huile lourde pour motos. Le Grand Prix du Président de l~ RéPUblique, au Concours LéPJ~e, a été décerné à M. Henne~Uln, mécanicien à Compiègne, rnventeur d'un moteur à huile lourde pour motocyclettes. • Segments le régime des essences en France. Le régime fiscal des essences instituÉ pal la loi de finances du 23 décembre 1933, remplaçant l'im_ pôt à la puissance par une taxe SUl les carburants, vient d'être modifié par des dispositions qui sont entrées en vigueur 1') 1er Octobre dernier. Les exonérati.ons, qui. avaient provoqué de n?mbreuses fraudes, et mécontentarent bon nombre d'usagers, sont supprimées. L'essence tourisme continuera d'acquitter une taxe de 50 centimes par litre ; l' ess~nce poid,:; lour:d subira une taxatron de 2~ centrmes seulement. Il est créé de plus un carburant benzolé dont la fabrication est contrôlée et limitée, et l'usage réservé aux véhicules supportant les taxes instituées par ia loi du 28 février 1933. La IGeneral Motor en Espagne. Contrairement à ce que nous avons annoncé dans noü'e précédent numéro, ce ne serait pas une firme française, mais la General Motor qui ~.e proposerait d.e monter une usine de constructron au_ tomobile en Espagne. La caoutchouc manque en Allemagne. Les fabriques d'automobiles allemandes ont avisé leurs clients qu'elles ne pourraient plus, dorénavant, livrer des voitures avec des pneumatiC(lle~ à basse p~es sion dits superconfort, type ae~o, etc. Cette restriction a été imposée par l'office des matières premières en vue d'économiser le caoutchouc, la fabrication de ces pneumatiques exigeant une quantité double de gomme par rapport au type confort normal. lA DlU~ .' Amédée Bollée Pistons NELSON BOHNALITE Amédée Mouriès 40, Boulevard de Marseille CASABLANCA - Tél. 38-20 Les expo,rtations américaines. Au cours du premier semestre de cette année les exportations américaines de v.oitures automobiles sont en croissance par rapport à la même période de 1933. Elles se chiffrent à 78.636 voitures de tOUl'isme contre 33.386, et 49.703 camions contre 16.219. Les valeurs moyennes sont en légère hausse. ',',1 Les principaux débouchés sont• .,~; • l'Afrique du Sud, la Belgique, la".' ;.f Suède, l'Australie et le Japon, ainsi que les Indes Britanniques et l'Espagne. PRATIOUE 'OLIDE VI'I BLE ÉCONOMIQUE ~~ SE MONTANT EN QUELQUES MINUTES Une bonne plaque au prix des autres Conditions très avantageuses pour les revendeurs Agents Exclusifs : SEMPERE-DECOLIN, angle rues Caporal Beaux et de la Drôme Téléphone : A. 30-55 - CASABLANCA 14 La Circulation en Belgique. La circulation des véhicules automobiles en Belgique marque, en 1933, une progression de 4 % par rapport à l'année précédente. 260.184 véhicules circulent actuellement en Belgique. soit une automobile pour 42 habitants. En France la moyenne est de un vé_ hicule pour 22 habitants, L'automobile à la Foire de Strasbourg. Courant septembre a eu lieu la IX" Foire européenne de Strasbourg " qui comportait un Salon de l'Automobile et une Exposition de véhicules d'occasion, Participaient entre autres à cette manifestation : Citroën, Ets Coder, Mathis, Panhard Levassor, Sulitzes frères, et Texaco, Lo circulation en Algérie. Les statistiques publiées par le Gouvernement Général indiquent qu'il circulait, en 1933, en Algérie, 108.649 véhicules automobiles dont 92.8% voitur,es de tourisme et 15.754 camions. La 12rogression est de huit mille unités environ par rapport à l'année précédente. Espérons que le Protectorat marocain ne manquera pas de publier, à la fin de l'année en cours, une statistique de notre circulation qui continue d'être l'objet des évaluations les plus fantaisistes. Le nouveau mode de pereeption de l'impôt nous fournit, en effet, le moyen de eonnaître exactement le nombre de véhicules circulant sur les routes chérifiennes. Chez Ford. On sait que Ford tend à ne dépendre que de lui-même pour SOIl approvisionnement en matières premières, Suivant ce programme, son intention serait de consacrer d'importants capitaux à la construction d'une œntrale électrique et de deux nouvelles aciéries. Il pourrait ainsi, si on en croit des informations venues de New-York, construire 300 voitures par jour sans acheter aucur::. métal sUr le marché. Les pneumatiques en Irlande. Dunlop serait en voie de conclure un accord avec le gouvern'ë'ment Irlandais, accord aux termes duquel il construirait une usine dans l'Ebt libre, et bénéficierait en échange du monop81e du commerce des pneumatiques. Lo Commission Sportive Internationale. La C. S. de l'Association Inter. nati:)nale des Automobile Clubs reconnus s'est réunie le 19 Septembre. Elle a fixé la date des futurs Grands 'Prix Internatianaux. On peut espérer que ce calendrier ne sera pas chose vaine. En ce qui concerne les règlements des cüurses, la formule libre en vigueur sera encore appliquée l'an p~o:hain. On sait que cette disposition est loin de bénéficier de l'unanimité des milieux .sportüs. Dès à présent on sait que le Grand Prix de l'Automobile Club d'Amérique ne sera pas disputé à Indianapolis, suivant les règles internationales. Le Bidon de 5 litres. On a trop psu parlé, au Maroc, de l'éprsuve du Bidon de 5 litres qui s'est déroulée en septembre dernier, comme de coutume, à la Ferté Bernard. Des compétitions de ce genre offrent cependant un intérêt au moins égal à celui dèS courses de vitesses sur circuit fermé. Elles ont, de plus, l'avantage de révéler les progrès accomplis d~~1s la carburation au profit de l'usage économique de l'automobile. La manifestation comprenait un classement des voitures de tourisme et des véhicules utilitaires sdon la distance parcourue avec 5 litres d'un carburant fait d'essence, d'alcool et de benzol. Les concurrents ét'lient divisés en catégories suiva:'1t la puissance fiscale de leur voiture, la moyenne imposés croissant avec cette puissance. LéS p:emières places sont revenues dans chaque catégorie à une R05eng~rt 4 CV. (112 km. 014), une Fiat 6 CV. (98 km. 154), une 8almsJn 8 CV. (81 km. 419) suivie de deux Peugeot, une Roseng:'lrt 9 CV. (83 km. 772), une Citroën 11 CV. (66 km. 186), une Ford 19 CV. (69 km. 315L Suivait un classement au rendement b8sé sur le plus grand nombre de kilomètres-voyageurs parcourus. La première place fut l'smporté.2 par une Citroën 11 CV. à traction avant qui accomplit sa perform:mce à 55 km./heure de moyenne, emportant le lest correspondant à huit passagers. L'assurance-kilomètre. Une Compagnie française d'asSUranc.2 vient de mettre 8U point une nouvelle police d'assurance : " L'assurance-kilomètre " est valable un an pour un parcours déterminé choisi par l'intéressé, avec faculté d'augmentations successives. Un compteur spécial est placé sur la voiture et sert de contrôle. La N.R.A. et l'industrie C!uromobib aux Etats-Unis. On annonce ds Washington que les fabricants d'automobiles ne seraient pas disposés à renouveler leur adhésion au Code spécialement établi p~ur leur industrie sous l'autorité de la N.R.A. L2 Code 8 cepsndant été p"orogé jusqu'au 6 n:lVembre. 7 ROULEMENTS FISCHER Les meilleurs Distributeur pour le Maroc GIRARD !& GALLAND Rue Guynem.er - Téléph. A. 22-52 CASABLANCA s J 15 Inventaire de la Construction Automobile Au lendemain du Salon de l'Auromobile, nous croyons intéressant d'énumérer les différents modèles des principales marques en ind,iquant leurs caractéristiqu.e essent<ielles: puissance fiscale, nombre de cylindres, et cylindrée. ADLER; Primus et Trumpf (modèle lèger), 9 cv" 4 cyl., 1.500 cc ; Super-.Trumpf, 9 CV., 4 cyl., 1.644 cc. ; - Trumpf Junior, 6 CV,, 4 cyl., 995 cc ; - Dipl(J!mat, 17 CV., 6 cyl. 2.916 cc' ALBA : li cv" 4 cyl, 1.690 cc ;' - 11 cv" 8 cyl., 2.400 cc. ALFA-ROMEO : 10 cv., 6 cyl., 2.200 cc ; 14 cv., 6 cyl., 2.300 cc ; - 19 cv., 8 cyl., 2.336 cc. AMILCAR: 5 cv 4 cyl., 877 cc ; - 5 cv" 4 cyl., 929 cc ; - 7' cv,, 4 cyl., 1.250 cc ; Il cv,, 4 cyl., 2.000 cc. ARIES: 10 cv., 4 cyl., 1.767 cc ; - Super 10 cv.., 4 cyl. r AUBURN : 25 cv" 8 cyl., 2.100 cc ; - 37 cv· ~ cyl., 6.400 cc. AUSTIN : 5 cv., 4 cyl. 750 cc ; 7 cv" 4 cyl., 1.125 cc. ; - 10 cv., 4 cyl., 1.535 cc ; - 13 cv, 6 cyl.. 2.250 cc ; - 20 cv" 6 cyl., 3.400 cc. BENTLEY : 21 cv., 6 cyl., 3·669 cc. I!ERLIET ; 9 cv" 4 cyl., 1.600 cc : - Da~ l-mne, 11 cv., 4 cyL, 2.000 cc ; - Grand ToUrlSme, Il CV., 4 cyl., 2.000 cc et 19 CV., 4 cyl., 3.300 cc B. N. C, : Paris-Biarritz, 6 CV., 4 cyl., 1.100 cc; - 7 cv" 4 cyl., 1.100 cc (compresseur). BUGATTI: 19 cv, 8 cyl., 3.257 cc ; - 31 cv,, 8 cyl., 5.350 cc. ; - 35 CV., 8 cyl., 4.900 cc (compresseur) ; - 18 cv, 8 cyl., 2.300 cc, (compresseur); - 35 CV., 8 cyl., 4.900 cc., (compresseur). BUICR : 22 cv" 8 cyl., 3.860 cc ; - 26 CV., 8 cyl., 4.560 cc; 32 CV., 8 cyl., 5.650 cc' CADILLAC : 33 cv" 8 cyl., 5.780 cc ; 35 cv" 12 cyl., 6.030 cc ; - 42 CV., 16 cyl., 7.400 cc' CHENARD - WALKER : Aiglon, 9 CV,, 4 cyl., 1.?30 cc. ; - Aigle 4 S, 12 cv., 4 cyl.. 2.200 cc ; AlgIe 4 P" 12 CV., 4 cyl., 2.200 cc ; __ Aigle 4 N., 14 cv., 4 cy1., 2.500 cc. ; _ Aigle 6, 14 CV., 6 cyl.. 2.470 cc ; - Aigle 8, 20 CV., 8 cyl., 3.500 cc. CHEVROLET : 19 CV., 6 cyl., 3.390 cc' CHRYSLER : 19 CV, 6 cyl., 3.300 cc. ; 22 cv,, 6 cyl., 3.957 cc ; - 28 CV., 8 cyl., 4.870 cc., c: :).300 cc. CITROEN ; 8 CV,, 4 cyl.,1.452 cc ; - 10 ev" 4 ?yl., 1.767 cc. (légère) ; _ 15 CV., 6 cyl., 2.6;)0 cc., (légère). - Roues avant indépendantes: 8 cv" - 10 cv. _ 15 cv. - et modèles 10 et 15 cv. légers. _ 'Traction a~ant : 7 _. 9 CV., 4 cyl., 1.624 cc.; _ 11 CV., 4 cyl., 1.911 cc. (châssis léger) . - 22 cv 8 cyl. 3.820 CC., (châssis long) .. ' ., , DELAGE : 8 CV., 4 cyl., 1.500 cc. ; - 11 CV" ~5 cyl., 2.000 cc. ; - 15 cv., 8 cyl., 2.660 cc. ; cv., 6 cyl., 2.700 cc ; - 20 CV,, 8 cyl., 3.600 cc., - châssis sports 11 et 15 cv. ; - D. 8 - 103, 8 cyl., 3.600 cc. DELAHAYE : 10 cv., 4 cyl., 1.800 cc ; 12 cv., 4 cyl., 2.150 cc (2 types) ; Superluxes 10 t':'t 12 cv: ; - 16 cv. 6 cyl., 2.900 cc: ; .18 cv., 6 cyl, 3.270 cc. (2 types). DELAUNAY - BELLEVILLE: 17 CV., 6 cyl., 3.013 cc ; - 21 cv" 6 cyl., 3.619 cc ; - 23 CV,, B cy~., 4.000 cc, ; _ 25 cv., 8 cyL 4.500 cc. Modeles à roues indépendantes : 13 cv., 6 cyl., 2.300 cc ; - 17 CV" 6 cyl., 3.013 cc ; - 23 cv" 8 cyl., 4.000 cc. DERBY: 6 CV., 4 cyl., 1.100 cc ; - 11 cv., 8 cyl., 1.992 cc' D. F. P. :7 cv., 4 cyL 1.100 cc. ; - 11 CV., 4 cyl. D.K. W. : 3 CV,, 2 cyl., 700 cc. DODGE : 20 CV,, 6 cyl., 3.570 cc. DONNET : Donnarex, 7 cv.. 4 cyl. ; - DonlIaquatre, 11 cv., 4 cyl., ; - Donnasix, 11 cv', 6 cyl. ; - Donnastar, 8 cv, 4 cyl. ; - D--35, 8 cv., 4 cyl. ; - DOlUlasuper, 13 CV., 6 cyl. FIAT :l) CV., 4 cyl.. 995 cc. ; - 2 litres, 11 cv., 4 cyl.. 1.944 cc' F. N. : 11 CV., 4 cyl., 1.995 cc ; 19 CV., 8 cyl., 3.250 ce. FORD : modèle Y., 5 cv., 4 cyl., 930 cc' ; Y-B-40, 19 cv., 4 cyl., 3.285 cc. ; V-8-40, 21 CV., 8 cyl., 3.620 cc. GEORGES IRAT : 14 CV., 6 cyl., 2.500 cc. SOCIETE MAROCAINE DU RADIATEUR Anciens Etoblissements Perusset et Friquet La réparation par des spécialistes qualifiés En stock tous les RADIATEURS CHAUSSON Garagistes J••• Consultez-nous ! Nous sommes à votre service 54, rue Neuf-Brisach - Téléph. : 44-62 CASABLANCA 16 GRAHAM-·PAIGE : 68 standard, 21 CV,, 6 cyl., 3.670 cc ; - 69 compresseur, 25 cv., 8 cyl., 4.040 cc' HILLMAN WIZARD : 15 cv., 6 cyl., 2.800 cc. HILLMANN MINX : 7 CV., 4 cyl., 1.180 cc. HISPANO-SUIZA : K-6 normal et long, 30 CV., 6 cyl., 4.900 cc. ; J-12 cOUli, long, léger eu normal, 54 cv., 12 cyl., 9.420 cc. HOTCHKISS : 11 cv,, 4 cyl., 2.000 cc ; 13 CV., 4 cyl., 2·300 cc. ; - 17 cv., 6 cyl., 3.015 cc., (châssis long) : - 20 CV·, 6 cyl., 3.500 cc., (châssis long). HUPMOBILE : 21 cv., 6 cyl., 3.460 cc.; - 25 cv., 8 cyl., 3.930 cc. ; - 28 cv., 8 cyl., 4440 cc. ; -3~, cv., 8 cyl., 5.880 cc. HURTU : 8 cv., 4 cyl., 1.328 cc. ; - 10 cv., 4, cyl.. 2.000 cc. LEON BOLLEE : 12 cv., 4 cyl., 2.400 cc ; 15 cv, 6 cyl.. 2.650 cc. ; - 18 cv., 8 cyl., 3.070 cc. LICORNE : 5 cv., 4 cyl., 935 cc. ; - 6 cv., 4 cyL, 1.125 cc· ; - 8 cv., 4 cyl., 1.450 cc. (deux types) ; - 11 cv., 4 cyl., 2.000 cc., (2 types). LORRAINE: 23 cv., 6 cyl.. 4.086 cc. (châssis long et court). MATIIIS : Emy 4, 8 CV" 4 cyl., 1.445 cc. ; Emy 6. 13 CV, 6 cyl., 2.288 cc. ; - Emy 8, 17 CV., 8 cyl., 3.050 cc. MINERVA : 11 cv., 4 cyl.. 2.000 cc. ; - 17 cv., 6 cyl., 3.000 cc. ; 23 cv., 8 cyl.. 4.000 cc., (4 ty. es) ; 38 CV,, 8 cyl., 6.600 cc' MOTOBLOC : 9 cv., 4 cyl., 1.450 cc' ; 11 cv" 6 cyl., 2.000 ce. ; - 17 cv., 6 cyl., 3·000 cc' Pour votre sécurité employez les JOINTS HARDY BRAMPTON NASH : 22 ·cv., 6 cyl., 3.850 cc. ; - 24 cv., 8 cyl., 4.300 cc. ; - 30 cv., 8 cyl., 5.300 cc. OLDSMOBILE : modèles 1933 : 21 cv, 6 cyL, 3.629 cc. ; - 23 CV., 8 cyl., 3.939 cc. ; - Modèle:> 1934 : 20 cv., 6 cyl., 3.495 cc, ; - 23 cv., 8 cyl., 3.939 cc. PACKARD ; 30 cv., 8 cyl., 5·240 cc., (3 types); 36 CV., 8 cyl., 6.300 cc. (3 types) ; - 42 cv., 12 cyl., 7.290 cc·, (2 types). PANHARD-·LEVASSOR : 14 cv., 6 cyl., 2.516 cc· ; - 16 cv., 6 cyl., 2.861 ec. ; - 23 cv., 6 cyl., 4.000 cc. ; - 27 cv" 6 cyl., 4.770 cc· ; - 29 cv., [; cyl.. 5.000 cc. PEUGEOT: 201-D, 7 cv., 4 cyl., 1.307 cc ; :101-D, 8 CV,.' 4 cyl., 1.465 cc. ; - 401-D. ou L., 10 cv,, 4 cyl., 1.720 cc. ; - 601-D. ou L., 12 cv·, 6 cyl.. 2.150 cc. PIERCE - ARROW : 34 cv., 8 cyl., 6.000 cc. ; - 37 cv., 12 cyl., 6.525 cc ; - 40 cv., 12 cyl., 7.034 cc. ; - 29 cv., 8 cyl., 7.034 cc· ; - 39 cv-, 8 cyl., 7.034 cc· ; - 48 cv.. 12 .cyl .. 10.000 cc. PLYMOUTH: 18 cv., 6 cyl., 3.111 cc· PONTIAC : 21 cv., 8 cyl., 3.660 cc. RENAULT ; Celtaquatrc, 4 cyl., 1.463 cc· ; - Monaquatre, 4 cyl., 1.463 cc. ; - Primaquat re, 4 Cyl.. 2.120 cc. ; - Vivaquatre, 4 cyl., 2·120 cc.; - Viv-llsport, 6 cyl., 3.620 cc· ; - Vivastdla 80, (j cyl., 3.620 cc, (modèle grand sport) ; NerVll!Sport, 8 cyl., 4,827 cc' ; - Nervastella, 8 cyl., 4.827 cc., (modèle grand sport) ; - Reinasport. 8 cyl., 7.125 cc· REO : 8 cyl., 4.400 ce ; - 6 eyl, 6.000 cc ; 8 cyl., 6.000 cc. RILEY : Mlmaco, 9 cv., 4 cyl., 1.089 cc . Mentone, 6 cyl., 1.458 cc· ; - Stelvio, 14 cv'' 6 cyl., 1.633 cc. ROLLAND-PILLAIN : 9 cv, 4 eyl., ; - 12 cv·, 4 cyl. ROLLS-ROYCE: 21 cv., 6 cyl., 3.700 cc ; 44 cv., 6 cyl., 7.670 cc (2 types). ROSENGART : 4 cv., 4 cyl., 747 cc. (2 types) ; (; cv, 6 cyl., 1.097 ; - 9 cv., 4 cyl., 1.650 cc., (2 types) ; Modèles à traction avant : 9 cv., 4 cyl., 1.650 cc. (2 types). SALMSON : 8 cv., 4 cyl. ; - 9 cv., 4 cyl. SINGER : L0 Mans, 4 cyl., 972 cc ; - J)l Mans, 6 cyl., 1.493 cc' ; - Sport, 6 cyl., 1.493 cC. STUDEBAKER : Dictator, 19 cv., 6 cyl., 3.360 cc. ; - Commander, 21 cv., 8 cyl., 3.621 cc.; - Président, 24 cv., 8 cyl., 4.096 cc' TALBOT ; 10 cv., 6 cyl., 1.830 cc ; - 14 cv·, 6 cyl., 2.504 cc. ; - Baby spécial, 17 CV" 6 cyl., 2.996 cc; - 17 cv., 6 cyl., 2.996 cc., (trois types);1!J CV., 8 cyl. 3.380 cc. TRACTA; 8 CV" 4 cyl., 1.550 cc· ; 15 CV., 6 .cyl.. 2.700 cc. ; 17 cv., 6 cyl., 3.016 cc. UNIC : 11 cv·, 4 cyl., 2.000 cc ; - 17 CV" 6 cyl.. 3.000 ec. VOISIN : Six 6 cylindres ; - C-18, 12 cylindres. WILLYS : 13 cv., 4 cyl., 2·200 cc ; - 29 CV·, G cyl.. 3.496 cc. WOI"SELEY : Hornet, 12 cV., 6 cyl.. 1.271 ec· - 16 cv., 6 cyl., 2.025 cc .. 21 CV-, 6 cyl., 2.67 cc. J Distributeurs pour le Maroc: GIRARD & GALLAND rue Guynemer - CA5AB,LANCA - Tél. A. 22-52 Si ce Bulletin vous intéresse abonnez-vous pour nous aider à le développer Le Gérant: Jean LETELLIER Imprimeries Réunies - Casablanca Informt\tions Corpori\tives La direction de ce Bulletin décline toute responsabilité quant à la teneur des textes ci-dessous. VENTES ET ACHATS DE FONDS '7"" « Garage de Dreuille n, rue Mezergues, Casablanca ;vendeur : M. C~rles de Dreuille, r. Mézergues a Casablanca ; acheteur : M. ~cheller Curt, 16, rue de Rouen a Casablanca. - 5 Octobre 1934. - n a été fait apport à la «. Société des transporteurs de Fes n, 16, place Baghdadi à Fès : 1° par M. François iPérez d'un fonds d'entreprise de transPort, r. Inte~dant Lary; 2" par M. Paul Gela, d'un fonds de transporteur, 22, r. Lesparda ; 3° par M. Pierre Gelci, d'un fonds de transporteur ~, r. Lesparda ; 4° par la « Sodé! té Nord-Automobile n, d'un fonds de commer.ce, 22 r. 1nten,lant Lory ; 5° par M. Bouehta ben Saïd Bouchouïa, d'un fonds de transPOrteur, 265, derb Sidi Saïd ; 6° Par M. Joseph Pérez, d'un fonds de transporteur, 25 r. Conunandar.t Prokos ; 7° par « l'Offke général des tranports au Maroc )) à Casablanca, d'une partie d'un fonds exploité à Fès-Boujeloud - 1er Avril 1934. . - M. René Grondin, angle boulevard Pétain et Eugène Barathon Ca~b!an~a a fait apport à la SOCIete a responsabilité limitée « Etablissements René Grondin n, ~le boulevard Pétain et Eugène ,,_ athon, Casablanca, d'un fonds ""'12 Jtr~ports de marchandises. mllet 1934. - M. Jean Le Nabec, 36, rue Reget,..Casablanca a fait apport à la socleté à responsabilité limitëe « Le Garde Meubles Le Nabec n 36, rue Reget, Casablanca, d'un fonds de transports, déménage~ents, garde meubles et transit .,1 Juillet 1934. - _ « Auto-Service Anciens Etablissements Rey et Maurel n, société à responsabilité limitée ; siège social : place des Alliés, Casablanca . capital : 150.000 frs ; ob_ jet : e~tretien et réparation de tous véhicules automobiles indus_ triels ou de tourisme, accessoirement la vente de l'essence, de l'huile des pneumatiques et plus génér~lement de .tous accessoir~s d'automobiles; gerant : M. Loms Rey, 24 rue de Belfort à Casablanca. - 15 Septembre 1934. bc:e. n, Amédée Mouriès 40, Boulevard de Morsem. CASABLANCA - Tél. 38·20 IDlSSlon destinée à p,ourvoir awc frais généraux, aux réserves de la coopérative et aux dividendes du capital social; acheter en com· mun les véhicules, les ingrédients, pneumatiques et pièces de re. change et tout ce qui peut être nécessaire à son objet commercial. pour les céder au mieux des intérêts de ses membres ; et géné~ ralement taire toutes opérations, et~... ; conseil de gérance: MM. André Mercuel, 96, boulevard de la Liberté à Casablanca, - Emile Herbrecht, km 4,5 route de Médiouna à Casablanca, - Louia Guichard, rte des Ouled Ziane à Casablanca. - 14 Septembre 1934. ~~~<;<;~~ Nouvelle adresse ~ "DE DE RU) DV..............." - fi1ARjE!LLE CAP BEAV,/' .--~ "".., Le Garde-Meubles Le Nas~~iété à responsabilité li_ rnltee ; SIege social : 36, rue Raget C~blanca ; capital : 315.000 frs : obJet : exploitation du fonds dé Commerce de déménagements, ~rts, transit et garde-meues, apporté par M. Jean Le Nabec, etc ; gérant : M. Roger ~er, 3, bd. Gambetta, Casaanca. Pistons NELSON BOHNAlITE _ « Coopérative Nord_Africaine des Transports n « C.N.A.T. ", coopérative à capital et personnel variables ; siège : 96, Boulevard de la LIberté, Casablanca ; objet : faciliter dans les meilleures conàitions possibles l'exploitation de transports commerciaux par véhicules automobiles sur route au Maroc et toutes transactions commerciales en général ; entre autre or.ganiser un bureau de fret commun pour chargement et s'entendre à ce suiet avec tous autres groupements transporteurs s'il y a lieu . faire exécuter les transpo!'ts par ~s associés dans ~es con~itions définies par le conseIl de gerance et par le règlement interieur de la coopérative ; prendre à l'égard de ses associés toutes les suretés nécessaires pour garantir la bonne exécution de ses transports et le respect du règlement intériel!r .; répartir les recettes nettes realisées au prorata ~es. tonnages transportés et des !tIlometres parcourus, réserve faIte de la com- :0. « Amédée Bollée _ « Zerouki et Co n société en I:om collectif ; siège social : Chemaïa par Safi ; capital : 30.000 frs ; objet : transports en com_ mun de voyageurs par cars automobiles. - 24 Acût 1934. CONSTITUTIONS DE SOCIETES ••-' « Transports Généraux n, soCIete anonyme ; siège social : rue Baseunano, Casablanca; capital: 000 frs ; objet: exploitation' ... ~~ transports sur routes, princi~e~ent pour les marchandises, ?l~l que Participation directe ou lndirecte de la société dans toute ~treprise se rattachant aux obJets ci-dessus par voie de création de sociét~s nouvelles, d'apports, de commandltes, fusions, alliances ou ~utœment, le tout au Maroc et 08DS l'Afrique du Nord, et généralement ete. - ; administrateurs: M. Louis Briffe, bd. Emile Zola, :'asablanca - 1er Août 1934. - Segments .~~ .. "ï~........ ...--". . .. '. \'. . PLACE DéS AU/ES E!! Angle rue du Caporal-Beaux et de la Drôme Casablanca • Téléphone: 30-55 Compagnie Marocaine des Carbura"t. 57, Boulevard de la liberté CASABLANCA