mort accidentelle accident mortel cwificat d`études
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mort accidentelle accident mortel cwificat d`études
mÊmBSÊÊÊÊOÊÊÊÊBÊsmÊÊÊÊÊSÊÊmmm ^ | i $ ^ d e • Cherbourg-Éclair»^!^ ' , v * Georges SPITZMULLEft # ',v =—Vous ne vous.rendez pas compte.... soupira-t-il. On nous accueille avec empressement et déférence... on vient ici volontiers... mais ces a p parences ne me trompent point... et je senj. au fond de tous, la curiosité éveillée, la défiance et le doute. — Vous avez la manie de la persé— EQUEURDnEVlLLE Etat civil. • NAISSANCE : Guy Lefeuvre, rue de la République, 74. PUBLICATIONS : André Anquetll, représentant agricole à GaUeville (Manche), et Odette Vaste, employée des P. T. T., à Darnetai (Seine-Inférieure). — Albert Vêtu, ouvrier boulanger, rue ds la République, 17, et Louise Lerouvillols, sans profession à Cherbourg. — Roger Blnet, chauffeur d'automobile, rue du V.:eux-Tot, et Jeanne Néel, coulurère, rue Pasteur, 18. DÉCÈS. — Alplionsine Fleury, femme Doi'ange, 47 ans, sans profession, rue Amiral-Coiirbet, 7. Une brute. — Un chiffonnier nommé P-, connu pour ses habitudes d'intempérance, revenait en vo/ture de la campagne ayant à côté de lui sa fillette. Ivre à ne savoir conduire son cheval, il allait d'un côté à l'auire de la grande route, passant sur les tas de pierres. A la hauteur de la batterie de Sainte-Anne, la voiture renversa le jeûna ïruquet. Par ro'racie, l'enfant, qui avait roulé sous les pieds du cheval et ensuite sous la voiture, n'eut que de légères blessures i la face. Lorsque l'on fit remarquer à l'Ivrogne qu'il était responsable, il répondit ; « Cela m'est égal, l'assurance paiera. » Fort heureusement pour ce triste individu, un colonial fortement charpenté le saisit délicatement par la reau du cou et l'obligea à monter dans sa voiture, sans quoi la population exaspérée allait lui faire un mauvais parti. Procès-verbal des faits a été dressé. Une auto sans chauffeur. — Un chauffeur d'Equeurdreviïle faisait tourner son moteur k vide et avait soulevé les roues sur un cric. Tout k coup, le crio chavira et l'auto partit seule sur la route à bonne allure. Hasard fort heureux : la voiture fut guidée par la bordure du trottoir. Arrivé au bout de la rue de l'Hôtel-deVille, le véhicule fit un savant virage et vint buter sur un tas de pierres placé contre une propreté privée. Les dégâts k la machine sont peu importants ; pas d'accident de personne, ce qui consola le chauffeur qui, blanc d'émotion, courait après sa volturc. Patronage Laïque, — La sortie de fin d'année scolaire des enfants des écoles d'Equeurdreville, aura lieu jeudi prochain, 8 juillet, en tramway, k la plage de Nacqucville-Urville. Les enfants devront être réunis dans leurs écoles, -pu/s conduits sur la place de l'IIfitel de Ville, où ils devront être rendus à 12 h. 30. Le départ aura lieu à 12 h. 45. 5 trains seront à leur disposition ; un sixième sera réservé aux familles des enfants. Nul ne pourra monter dans ce dern'er train sans être muni d'un ticket délivré par le patronage. Au retour, les enfants débarqueront a l'arrêt de la chasse Mitais, où la musique les attendra vers sept heures et les conduira en cortèse jusqu'à la place de l'Hôtel de Ville. il est fait appel aux dames patronnésses «t aux membres du Patronage pour la di rection et la surveillance des enfants. Le Président : R. AVIGNON. cution, mon oherl lâoha dédaiRneusement la princesse. — Ahl vraiment? s'écria-t-il aveo force. Rappelez-vous: parmi les familles aristocratiques de Florence, toutes ne vous ont pas montré un accueil affable... Non... Quelques-unes n'ont pas répondu à nos avances... — Bah!... deux ou trois et c'est tout. — Les plus considérables!.-..- la princesse Bpspiglioni..-î — Une cagotel . — Le comte et la comtesse Santarena. :—- Des cens ruinés! — Le marquis Délia Lucena... —r Un vieux fou qui ne fréquenté chez personne! Diamanti arrêta là son énumération. Il comprit qu'à chaque nom cité, Fabienne accolerait une épithète injurieuse qui serait une "explication — , FER1WANVILLE MORT ACCIDENTELLE 11 v a quelques jours, un menuisier nommé L. .lourdan. faisait une chule d'une hauteur de 7 mètres au cours de son travail. Relevé aveo do graves blessures, il fut transporté chez ses parents au hameau Bierard. à Octeville. L'état du blessé s'aegravant, on dut le fa/re transporter à l'Hôpital Pasteur où il est décédé. Le défunt, oui était seé de 39 ans. a été inhumé lundi, au cimetière d'Octevillo. i , SIOUVILLE ACCIDENT MORTEL Un honorable habitant de Siouville. M. Alphonse Sarcher. âeé de 55 ans, propriétaire, a trouvé la mort accidentellement, alors qu'il rentrait du fourrage dans sa cour. Monté sur la charretée de foin, il posa le pied sur deux bâties qui clissèrent et le firent tomber la tête la première sur le sol. Grièvement blessé, M, Sarcher fut v'sjLé par un médecin qui diasnostloua une SSCture du crâne. yfJr Le ilessé n'a pas survécu a sejplessures. Il laisse six orphelins. iS3URANCES MètroPoIr «Incendie) 'avanlleurs Français a jKmdents >. - Albert NÉEL. 16t. r. Dom-P^fro. Cherb. Tel 3-91 LES PIEUX Haras. — Le départ des étalons étant fixé au 19 juillet, ie chef de station du haras des Pieux prie Api. les Eleveurs de bien vouloir retirer les cartes de saillie de leurs juments le plus tôt possible. Chiffre d'affaires. — Le Receveur des Contributions Indirectes informe les redevables que la perception de la taxe sur le chiffre d'affaires et des droits de licence et automoblcs aura lieu a son domicile le jeudi. 8 Juillet, de 8 heures à midi. Contribution volontaire. — MM. Dorey Henri et Solder Envie, commerçants aux Pieux, ont versé chacun la somme de 100 francs, à la caisse du receveur des contributions indirectes, a. titre de contribution volontaire pour l'assainissement financier. , HÉAUVILLE Un arand amas de débris de verre a été déposé sur le terrain communal de la Lande d'Héauville. On rappelle qu'il est défendu formellement, sous peine d'amende, de faire porter les débris de verre, les boites de conserves v'des. etc.. sur le terrain communal de la Lande d'Héauville. On rappelle qu'il est défendit formellement, sous peine d'amende, de faire porter les débris de verre, les boites de conserve vides, etc., sur le terrain communal. Etat civil (2me trimestre 19261. — NAISSANCES : Delalande Max'me-EmileJoseph : Lechevalier Juliette-Mare-Léonie : Ledanois Augustine-Henriette-Emélie : Hamel Henri-Ernest-Marin : Tesson ThérèseMare-Germalne.— PUBLICATION DE MARIAGE : Joseph-Auguste-Henri Lecoutour et Marie-Louise-Franooise Letablier.— MARIAGE : André-Jules-Henri Perrouelle et Madeleino-Marie-Eugénie Simon.— DÉCÈS: Omont Ph.'lippe-Bienaimé : Bourset HenriCharles-Louis. — TRANSCRIPTION DE DÉCÈS : Mouche! Juliette-Germaine-Ernestine-Pauline. décédée am Cherbourg. En fout. pour.le 2 * semestre : 5 naissances 1 publication de mariage. I mariage, 2 décès. 1 transcription de décès. NÉGREVILLE Le dimanche 18 juillet, fête Saint-Clair, sous la présidence de M. Grillard. Conseiller Général. A 8 h. % : Course communale de bicyclettes. Nombreux prix. A 9 h. : Grande louerle de domestiques. —-s-i HAINNEUILLE A 9 h. % : Réception de la mus'que de La promenade annuelle olferte par la Mu- Bricquebec. A 10 h. : Grand'Messe en musique. nicipalité k tous les enfants des écoles A 11 h. % : Concours de tir à la caraaura lieu samedi prochain, 10 juillet, k la bine : plage de Querqueville. Toutes les dlsposlA 2 h. : Vêpres. t'ons sont prises pour offrir à chacun dc3 A 3 h. : Course aux ânes ot ieux divers. — Fête foraine. •—, Retraite aux flambeaux. enfants un bon goûter. Pour les jeux, se faire Inscrire chez M. En outre, le gracieux concours de la musqué du Patronage permettra à tous les en- Rouxel. débitant, avant le 15 juillet. PICAUVILLE fants, petits et grands, ainsi qu'aux familles • , Etat civil. — DÉCÈS : Barbe Adrienne, à qui voudront bien les accompagner, de faire la route allègrement à l'aller comme au re- Clainville. — Gouvet Jean, Bon-Sauveur. — PUBLICATION : Désiré-Louis Luce. domestour. tique k Picauville. et Dés!rée-Marie Davy, En cas de mauvais temps qui ne permet- ménagère à Picauville. trait pas de faire la sortie, toutes les dispoMarché du 2 juillet. — Beurre : 16 fr. sitions sont prises pour fa're passer à. tous le kilog. — Œufs : 5 fr. la douzaine. — Poules : 30 k 35 fr. le couple. — Canards, une bonne et agréable après-midi. k 30 fr. le couple. — Lapins gras : 18 à Le départ pour Querqueville aura lieu de 25 20 fr. pièce Lap'ns d'élevage : 7 fr. Pièla mairie, a. 13 h. 45. ce. — Carottes : 0. 25 la botte. — Pommes Le Maire : MAFFRE. de terre : 2.50 a 3 fr. le kg. CCIHMENT SUR UN PAQUEBOT EN FEU LES PASSAGERS ORGANISÈRENT UN BAL Londres. — En arrivant samedi soir à Plymouth, l'équipage et les passo^rers du paquebot Sagain ont fait le récit de la traversée entre Port-Saïd et l'Angleterre, au cours <h laquelle une cargaison de son transportée par le navire avait pris feu. La situation étant grave, le capitaine réunit les 119 passagers et leur expliqua le fait, en indiquant qu'il prenait toutes les mesures nécessaires pour combattre le fléau. Sa franchisa rassura les vovageurs et t a n idis que l'équipage s'efforçait de noyer ,, Un jour, une lettre arriva de Paris à J adresse de Laure... • Ce fut son mari qui l'ouvrit car L'aure était tout à fait incapable de s .ntéresser à quoi que ce fut. Cette lettre était écrite par Louis Devron. ; Le jeune homme se disait engagé Ja'ans des spéculations malheureuses, et suppliait sa sœur de lui envoyer quelques billets de banque. : Jean Morel fronça les sourcils; iî n'était pas dupe des mensonges de ibfcc beau-frère, car il connaissait son homme. : j- ' ; j | — Le malheureux I murmui-a-t-il, ' tout est mangé déjà I... •: JJ ne parla pas de là lettre à sa k-mme, estimant qu'elle avait assez ,ae chagrin... Ijj Comme il avait bon cœur, il enV soy.a deux mille francs, et essaya dje , jo& plus pensée à cette affaire, . pour elle. \ , H reprit au Août d un Instant; — En dehors de cela j ' a i entendu quelques propos échangés à l'écart. — Eh bien? interrogea Fabienne, provocante. !— Qn s'étonnait... on insinuait... on c h e r r a i t . . . —> C'est surtout vous que les curieux étudient!... C'est vous qui prêtez à leurs commentaires. :— Moi...? Pourquoi?,.. J—i Mais..r on vous a connu. Jadis, une épouse... et vous reparaissez en ma compagnie, alors que nul ne sait ce qu'est devenue la. première... T-* Allons donc!... s'exclama-t-il, brusquement troublé. Elle eut un ricanement d'ironie: — Après tout, soit!... Je pouvais autrefois, me préoccuper d'un mystère qui me semblait louche, équivoque... Je pouvais le redouter.., Au, • TURQUEVILLE Le changement des bestiaux du GrandMarais et la réouverture du Marais à Joncs auront lieu le d;manche 11 juillet, à 6 heures du mat'n. Le Maire : Signé. ROUMY. LE HAM Adjudication des droits de chasse. — L'adjudication du droit de chasse sûr les biens communaux aura lieu le dimanohe II luillet 1926. à I I heures du matin (heure légale), à la Mairie. 11 sera donné connaissance du cahier des charges au moment de l'adjudication. Accidents à l'usine à chaux. — M. Léon Renouf. manœuvre a l'usine Chaux et Ciments de Le Ham. s'est donné un tour de reins en refermant la porte d'un wagon. Le docteur a constaté des contusions du thorax et prescrit une cessation de travail de 15 jours. — M. Soever Eugène. 23 ans, manœuvre, travaillant à la même usine, s'est brûlé à l'avant-bras droit au chargement des sacs de chaux dans les wagons et est tombé entre le wacon et le quai de chargement. 12 jours de repos seront nécessaires. MONTEBOURO Etat civil. — DECES : Palmvre Poisson, veuve Le Brun, cultivatrice. 68 ans, rue des Juifs ; Paul Hamel, 9 mois, place Saint-Jacques : Louis Penine. propriétaire, ancien marchand de beurre, 85 ans, rue de- Juifs. Marché du 3 juillet. — Beurre, 16 à 16 fr. 50 le kilo. — OEufs, 5fr. 50 à 6 fr la douzaine. — Poulets, 40 k 42 fr. le couple. — Poules, 45 à 48 fr. le couple. - Lapins gras. 18 à 22 fr l'un. — Canards. 36 à 40 fr. le couple. — Poissonnerie bien garnie, poisson très frais et bien assorti, prix abordables. SORTOSVILLE-BOCAGE Nécroloqie. — Mme Couppev, institutrice a Sortosville-Bocage. m est morte le 22 Juin dernier, dans sa 23 " année. Née Marie Lcquertier, à Crasville, M"" Couopey entra avec le numéro 2. en 1919. à l'Ecole Normale de Coutances : elle en sortit avec le Brevet Supérieur. Elle était institutrice titulaire à Sortosville-Bocage. depuis le 17 septembre 1923. SAINTE-MARGUERITE-D'ELLE Le Tribunal Correctionnel de Bayeux a condamné Eugène Marie. d:t Moisson. 45 ans. domestique à Sainte-Marguerite-d'Elle, à 6 çois d'emprisonnement. Olive Marte, dite Moisson. 46 ans. iournaïère £ SainteMarguerite-d'Elle. à 3 mois d'emprisonnement (défaut), pour vols de volailles et de lapins, une bague, du vin çt de l'argent, à Sainte-Marguerite-d'Elle. Moon-sur-Elle et A;rel. EMONDEVILLE Etat civil. — PUBLICATION DE MARIAGE : Henri Sitolle, maçon à Yvetot-Bocage, et Denise Lebrun, s. p.. k Emondeville. —> DECES : Augustine Lehouelleur, veuve Paul, ménagère. 40 ans, village de l'Eglise. '• AZEV'LLE Etat civil. — PUBLICATION DE MARIAGE : Emile Harou, charron-carrossier . à Caen (Calvados), et Berthe Onfroy, femme de chambre, domiciliée à Azeville et résidant à Montebourg. LE HAM Etat- civil. — Denise Villette, village du Goulet. VAUDREVILLE Etat civil. ,-, MARIAGE : Emile Troude, menuisier à Saint-Vaast-la-Hougue. et Anijtasie Lefèvre. servante, résidant à Saint-Vaast-la-Hougue et domiciliée à Vaudreville. SAINT-MARCOUF-DE-L'ISLE Etat civil. — NAISSANCE : Denise Lala»', village des Gougins : Ferdinand Dorey, village de la Grille. — DECES : Charles Hérout, cultivateur, 20 ans, village des Gougins. OZEVILLE Etat civil. — PUBLICATION DE MARIAGE : Eugène Pi.gouchet. cultivateur k Ozevdle, et Marguerite Omont. cultivatrice à Ozeville. SAINT-FLOXEL Louable Initiative. — Dans sa session de mai, le Conseil Municipal de Salnt-Floxel a décidé d'accorder un livret de Caisse d'Epargne de 25 francs à tout lauréat du Certificat d'Etudes et a rétabli les distributions de prix aux élèves de l'école. MOON-SUR-ELLE Relèvement du franc — Après le vote du budget pour 1927. le Conseil a voté 500 francs pour la contribution volontaire. CÉRENCE8 , La Société d'Encouragement au Bien went d'attribuer le prix Honoré Arnoul à M " Lacoley, née à La Chapelle (Seine), et demeurant à Cérences. lojird'hui, ces raisons d'appréhensions n'existent phi3... — Ahl pourquoi donc? — Parce que je suis maintenant votre femme! •Lé prince eut u n . g e s t e vague. — Oui. ajouta-t-eHe. un peu h a u taine, vous pensez que notre mariage n'est guère valable et qu'il peut être contesté?..-? que vous en évader serait facile. — Non... d'honneur! une telle idée. Elle coupa avec un petit rire nerveux: —-, Moi, ce mariage me suffit!... ou tout au moins, il suffit à ma tranquillité. Le missionnaire anglais qui, il y a six mois, nous a» unis sur ce bateau, «pendant cette croisière aux côtes de Sicile, a eu le bon esprit de ne pas vous demander de papiers officiels et de s'ep. remettre à votre parole... Vous pouvez arguer que notre situa• SAINT-LO Fête d'aviation. — Une manifestation aérienne aura l.eu le mercredi 14 juillet (Fête Nationale), sous les auspices de l'Auto-Vélo-Club Saint-Lois, sur le terrain du champ de courses (Hippodrome des Ronchettes). La participation des as bien connus Robert et Fronval. ainsi que du célèbre trapéz'ste aérien Verger nous assure déjà du: succès de cette fête qui sera sans précédent dans la région. Au cours de la réunion, il nous sera donné d'assister à un simulacre de combat et de bombardement avec un incendie de l'objectif : un concours de messages lestés; enfin, le clou de la fête sera la descente en parachute, faite d'une hauteur de 500 mètres, par le célèbre Verger, le plus fort des acrobates actuels. Espérons que le soleil voudra b'en être de la partie et o'est en grand nombre que tous voudront assister aux prouesses toujours de plus en plus grandes de nos aviateurs. Nous reviendrons plus longuement sur tous les détails de cette organisation, oui attirera certa'nement k Saint-LÔ une foule considérable. . s-; CARENTAN Avis. — Le Maire rappelle à ses administrés que l'eau des puits publics et des bornes-fontaines est entièrement réservée pour les besoins du ménage. En conséquece, il est formellement défendu d'en prendre pour tous autres usages : arrosage des iard'ns. Iavage3.de toutes sortes, etc. tion est fausse, le la considère comme parfaitement régulière!... Diamanti ne souffla mot. Une nouvelle évocation surgissait en son esprit. II revoyait sa première épouse, la douce et belle Gaëtana. qui, dans le cloître de Pise, acceptait volontairement de passer pour morte aux yeux de tous... Si elle vivait, elle ne cherchait que l'oubli de la vie... Oh! celle-là ne le gênerait point!.., il n'avait rien à craindre. — Je n'existe plus pour elle] pensa-t-il. Elle m'a pardonné peut-être..-. Elle ne sortira pas de sa retraite pour m'accuser. Fabienne se leva et concUft aveij un sourire. JT A suivre! ifl. S)adresser f^" Boucherie A . rue Guillaume à M» LEPREVOSTj, Fouacô. ir CWIFICAT D'ÉTUDES PRIMAIRES ÉLÉMENTAIRES Carentan. — Ecole publique. — Dlesnis Pierre Elle Charles, Janicaud Aimé, Letouzé Pierre, Loudflt Henri (B), Merlo Luigi (B), ProO'hnmme Jean, Regnault Francis (B); Saint Marcel. Carentan. — Ecole publique. — Barron Den!se (T. B.), Leviiiain Denise (B), Caillot Cécile (B), Duval Louise, Faudemer Simonne (B), Georgin Yvonne (B), Guérin Yvoir.e (B), Haigatte Madeleine (B), Lecocq Marie-Louise (B), Mauxion Simonne (B), Ncè: Louise. Samson Simonne (B), Truffaut Suzame (B), Varé (Renée). • Caren'.an. — Ecole privée. — Boullier Alice. Caillard Léonie. Philippe Andrée, Remy Renée, Sébire Jeaine. Varengue Julienne. Canton de Périers (Reçus) GARÇONS Desiles Albert (M. B.). Duberson Jean (M. B.). Girard Marins (M. B.). Seigneurie Alfred (M. B.). Lhoste André (M. B.), Chevrel Henri. Manant André (M. B.l. Voisin Roger (M. B.), Moulin Henri. Tanquerav Auguste (M. B.). Besneville Louis, Lamache Georges. .Coissin Eugène. Marguer.e Pierre, de Périers. Noël Louis. Casine Louis. Aubert Maurice, de l'orphelinat de Vaudrlmesn'l. Leclero Emile. Orzoni Pierre (M. B.), de Marché du 5 Juillet. — Marché moyen, Marchésieux. avec cours à peu près stationnâmes. — FILLES , „ Moutons : 12. 5 fr. 50 à. 5 fr. 75 le kilog. Fourmontin Jeanne, Hélie Bernadette (M. — Porcs: 125. 5 fr. 75 à 6 fr. — Agneaux: B.), Hermon Mare (M.T.B.), Mahier Mar30, 7 fr. à 7 fr. 25. — Veaux : 210, 4 fr. a deleine (M. T. B.). Laforge Jeanne (M. B.). 4 fr. 25. ;— Jeunes veaux : 75. 360 fr. à Ledrezen Louise. Lenourrv Marcelle (M. T. B.). Leroux Simonne (M B.). Roger Deni380 fr. par tête. Beurre.: 14 fr. 80 k 15 fr. le kilog. — se (M. B.). Travers Marthe (M. T. B.), OEfs : 4 fr. 75 à 5 fr. 25 la douzaine. - ^ Travert Simonne, Vallée Berthe (M. B.l. de Poules : 30 k 32 fr. le couple. — Poulets : l'école publique de Périers. 30 à 35 fr. — Canards : 28 k 32 fr. — PiBulot Thérèse. Formentin Marie, Legeons : 12 à 14 fr. — Pintades : 38 à 40 fr. rouxel Pauiette. Par;s Augustine (M. T. B.), Piquet Julienne, de l'école privée de — Lapins : 8 àl5 fr. Toujours les mêmes variétés de poissons Périers. Ratel Philomène, de l'Orphelinat de Vauaveo peu de changement sur les prix. drimesmï. ; -1 ROUXEVILLE Guigotte Julienne" (M. B.l. Jean MadeleiUn violent Incei die a détruit au village ne (m T-. B.l. de Feugères. Faudemer Anna [M. B.). Le Plessis. ' du Féret, à Rouxeville, un important bâtiEtienne Georgette. Levesque Maria [M. ment d'ex iloltation appartenant à M. René Laurent, cultivateur. C'est en allant soi- B.), école privée de Ls Haye-du-Puits. gner ses bestiaux que M. Laurent aperçut Canton de Barnevllle (Reçus) le» flammes qui s'élevaient au-dessus du GARÇONS toit en chaume des remises, qui abritaient deux autos, une carriole neuve. une banne, Champel Raymond (M. B.),HalIot Albert divers instruments agricoles, 2.000 bottes (M. B.). Ortuse Jean (M. T. B.). de Barde foin, etc.. Un ehevai qui se trouvait nevllle. dans l'écurie attenante a été grièvement Jourdan Pierre, Lefranc Lucien. Lelong brûlé et on a dû l'abattre. René, Léonard Jean (M. B.). Subileau Robert. Valmv Désiré (M. B.). de Carteret. M. Laurent se mit en devoir de combatDelamotte Maurice, Leconte René (M. tre le fléau, tandis que sa femme allait faire sonner le tocsin a l'église de Rouxe- B.l. Morand Louis (M. B.), Pain Alexandre ville. De nombreux habitants vinrent sur (M. B.) de Fierv'lle. Giot Armand (Xf. Ô.). Hamel Georges, les lieux, mais il tut impossible de rien sauver, tant le feu était ardent. En 20 mi- Lebiaeher Charles, Pain Alexandre (M. B.), nutes, tout fut brûlé et il ne resta plus Les Moiliers-d'Allonne. Marguerv Alfred, Le Valdecie. que des murs noircis et. branlants Beuf André. Flambard Gabriel (M. B.). Fort heureusement. M. Laurent avait fait reviser en février dernier sa police d'as- Grenier Jules. Jouvet Jean-Baptiste Ruault surance et les estimations sont conformes Auguste, Travers Emile (M. B.), de Portaux prix actuels. Ce fait mérite d'être si- bail. Beno'st Jean-Baptiste. Martin Marcel (M. gnalé, car il est fort rare dans la campaB.). de St-Jean-de-la-Rivière. gne. Legendre Lucien. Lerossignol Eugène, On -évalue à 155.000 francs le montant Jean, de Saint-Lo-d'Ourville. des dégâts, dont 70.000 francs pour le bâ- Lozouet. Giot Eugène, de Saint-Maurice. timent. • Pasquet Jean, de St-P'erre-d'Arthéglise. —• COUTANCES , James René (M. B.). de Sénnville. Concours spécial de la race bovine NorFrigout Albert, de Sortosville-en-Beaumande. — Les concours spéciaux de la race mont. bovine normande et des races porcines norFILLES mande et de Bayeux auront lieu, cette anBuytaert Marie (M. T. B.), Lebatard Sinée, à Alençon, du 30 septembre au 3 ocmonne (M. T. B.l. de Barneviile. ( tobre. Abraham Simonne (M. B.), Chanteriou Ils sont dotés de 70.000 francs de nrix en espèces, de médailles et de nombreuses Jacquer'ne (M. T. B.). Deiaunav Hélalne (M. B.) Duval Berthe (M. B.). Ferev Suplaques. , Ils coïncideront aveo le concours dépar- zanne (M. T. B.). Lemarquand Denise, temental d'anmaux reproducteurs de la Chantoreau Claude, de Carteret. Griffon Emilienne, Langevin Louise (M. race bovine normande et avec un concours de reproducteurs de la race chevaline rer- B.l. de Fierville. Chuquet Marie (M. B.), Legaillard Mare cheronne. M PÉRIERS (M B.). de La Have-d'Ectot. Eugénie. Lelvon Louise (M. Carnet blanc. — Jeudi 1" juillet, dans T. Desperques B.). Lelvon Marie (M. B.). de Le Mesnil. l'église de Périers. superbement décorée a 1 Lecroisev Amelina (M. B.l. Mabire Deété célébré le mariage de M " Yvonne LeB.). Les Mo.'tiers-d'Allonne. molgne, fille de Mm" veuve David-Lemoigne, niseNée(M. Albertine (M. B.l. Le Valdecie. aveo M. Edouard Lachaud. Ingénieur élève k Defenouilière Odette (M. T. B.l. James l'Ecole du Gérie. à Versailles. Une foule Marie (M. B.), James Julienne (M. B.), élégante se pressait k la cérémonie' et Jean René (M. B.l. Lecarpentier Marie (M. adressa ses compliments aux nouveaux T. B.) Lereverend Albertine (M. T. B.), mariés. Lhomme Jeanne (M. T. B.), Saint-Léger (M. T. B.). de Portbal. A la Fraternelle. — Les dernières séances Suzanne Bazlre Emilienne (M. B.). Legriffon Aude tir auront lieu les dimanches 11 et 18 gustine (M. B.). Lomoigne Yvonne (M. luillet. Les résultats dé.ia obtenus dépassent B.). LevalloisT.Elise (M. B.), de St-Georgesceux des années précédentes. de-ia-Rivière. tes en général et particulièrement des fourmis, contrairement à ce que l'on croyait jusqu'alors. P a r contre, ceux qui nous dépassent en puissance sont les carnivores, les grands singes et...la taupe. LES GRANDS SINGES SONT QUATRE FOIS PLUS FORTS QUE L'HOMME Londres. — Un savant américain, M. John Bauman, vient de se liv'fèr au jardin zoologique de Baltimore à des expériences curieuses qui ont démontré que les chimpanzés ou les orangs-outangs sont quatre fois plus fort que les humains. Tirant sm< une fcojrde attachlée ù, un dynanomètre, une femelle de chimpanzé a enregistré une force de 630 kilos. Un autre singe, celui-ci ne se servant que d'une seule main, a fait monter l'aiguille jusqu à 423 kilos. Or, des hommes de force moyenne s'étant essayés ensuite dans des conditions semblables n'ont pu faire enregistrer à l'appareil, aveo une seule main, que 105 kilos, et aveo deux mains que 245 kilos. Le professeur Bauman, à la suite des études comparatives qu'il a faites, est arrivé à la conclusion gue la force humaine, poids pour poids, est plus grande que celle des animaux à sabots, que celles des insec- . Mais il lui fut impossible de l'oub/ier... Sans trop savoir pourquoi, il en arrivait à se demander si Louis Devron n'était pas pour quelque chose dans la disparition de l'enfant.. C'était une simple impression, une impression très confuse, qui, — Jean se l'avouait lui-même, ne reposait sur rien. C'est que l'ingénieur connaissait son homme... il le savait sans conscience et sans cœur... il savait qu'aucun scrupule ne pouvait l'arrêter lorsque l'argent lui manquaitt ^ Or. c'était précisément le cas. sa lettré ne-le prouvait que trop. Mais pourquoi aurait-il commis cette nouvelle infamie? Jean chercha une explication... n supposa vraie la donnée du problème et essaya de trouver une solution acceptable. Il se dit que sii comme cela semblait, être, Louis Devron1 avait dévoré déjà la succession paternelle, la situation du jeune 'fcomme devenait critique, w • Eu effet, comment vivrait-il désormais? DonCj premier point : Louis Devron devait ieitre aux abois. Second point: il devait essayer par tous les moyens possibles de se procurer de l'argent. Comme solution, l'ingénieur trouva ceci: le misérable était très capable d avoir enlevé ou fait enlever l'enfant dans le but de faire chanter sa sœur. Dès lors, l'ingénieur ne put chasser celte pensée de son esprit; il avait beau se raisonner, se dire qu'il accur sâitj ou tout au moins qu'il soupçonnait, sans £ucune preuve, la pensée angoissante revenait toujours... C'était; pour Jean Morel, une véritable obsession. Ayant bien constaté l'inutilité des efforts de la police de Buenos-Ayres, il résolut de partir pour Paris, d'aller consulter son ami Gaume,, le priei! ae se charger de l'affaire. Au besoin, si ses soupçons ne se trouvaient pas fondés, U supplierait Gaume de venir avec lui en Amérique. h sien ouvrit à sa femme, mpis sans parler de Louis Devron, ne donnant, comme prétexte, que son désir die consullcr Gaume. Laure^ elle, conservait peu d'espoir. Néanmoins, elle décida qu'elle accompagnerait son vmari à Pans... Aussi Ken, elle éprouvait lé besoin de changer d'air... Mais elle voulut attendre encore un peu, il lui semblait qu'en s'éloiguant de l'Amérique, elle séloi- •— Gaume est notre meilleur ami... gnerait de son enfant. Si elle tenait à faire le voyage de Je suis sûr qu'il sera touché de nos Paris, c'était pour se jeter aux genoux malheurs... Il a bon cœur et je crois du commissaire inspecteur Gaume, que son précieux concours ne nous pour le supplier de venir en Améri- îcra pas défaut ! — Puisse-t-il nous rendre le bonque... heur !... • Mais, le pourrait-il? — Il essayera, tout au moins... Du Jean s'inclina devant le désir de sa femme et attendit; il ne voulait la reste, il aime son métier, et je suis persuadé que ce nouveau mystère l'atcontrarier en rien... tirera, le passionnera. T":""" ' ; '. — Ma pauvre enfant 1 — On la retrouvera, quelque chose Quinze jours plus tard, sa femme me le dit, et mes pressentiments me lui dit: — Mon ami, si vous n'avez pas trompent rarement. >—" Oh! oui, il faut qu'on la rechangé d'avis.^ si vous pensez toujours que le voyage de Paris soit trouve... rivante ou morte!... Quand ulilé, nous partirons quand vous vou- partirons-nous ? >-- Quand tu voudras. drez. , 1 — Alors, tout de suite. C'était avouer qu'elle avait à peu •— Eh bien! ma chérie, occupe-toi près perdu espoir. 1 Une terrible crise de larnies, qui des malles pendant que je réglerai suivit de près les paroles qu'elle ve- différente^ questions a l*usine. Nous pourrons partir après-demain. nait de prononcer, le prouva. Laureme s'occupa activement, aidée — Ma chérie, répondit Jean, je crois le voyage nécessaire... Là-bas, nous par M Hurtiel, des préparatifs de .verrons Gaume... c'est un agent de départ A présent, elle avait hâte de voir premier ordre, et tu peux être sûre qu'il fera pour nous tout ce qu'il Gaume, car elle en attendait le salut. > L'inspecteur principal de la police pourra. venait de réussir, coup sur coup^, plu— Mais, voudra-t-il venir? sieurs affaires importantes et relentisi— Je l'espère. sanles.M Son nom était dans les jour* -— .Oh I je le prierai taU les flammes, la vie a bord continua normalement. Il n'y eut aucune panique et on organisa même un grand bal. Ce ne fut que le surlendemain du commencement de l'incendie que W capitaine put annoncer qu'il s'était rendu maître du sinistre. • Les passagers ne tarissent pas d éloges sur l'héroïsme des officiers et des membres de l'équipage oui, munis de masques à gaz, passèrent de nombreuses heures dans la cale enfumée, ce qui permit éventuellement de sauver le navire et tous ceux qui étaient à bord. ^ » f m • UN TRIBUNAL DÉCLARE LÉGITIME LA COLÈRE D'UN MARI DONT LA FEMME S'ÉTAIT FAIT COUPER LES CHEVEUX Quand M. Ch. vjt sa femme les cheveux coupés à ras du col, selon la mode nouvelle, son indignation ._ne connut pas de bornes et il l'exprima en termes... vifs. s—; Puisque c'est ainsi que tu nie traites, répondit IV" Ch.^, je n ai qu'à m'en aller. CARNET DE LA PARISIENNE A l'homme appartient la force musculaire, à la femme la résistance morale, qui lui permet d'être une semeuse d'énergie et uii exemple de courage. L'habituelle souffrance, due à sa physiologie, n'est pas étrangère a celte vaillance. li y a, pour toute faculté, une éducation appropriée. Nora BIELECKA. 8fiT Buvette A CEDKlU-sTOaire prospère, cause sanlé. SiBffr'esser à M' LEPHEVÔSÏ, Ziy^nm GuillaumeFouace. ^T Bonasseflt Denise (M. T. B.), de SamtJean-de-la-Rivière. Bata.Ue Jeanne (M.-B.). Lemière Léontine (M. B.) Leseigneur Emilienne (M. B.), de Saint-Lo-d'Ourville. G'ot Germaine f]M. B.). Lenelit Yvonne, Sorel Louise de Sa.nt-Maurice. Féron Françoise (M. B.), Lcsavourey Esther. de Sénoyille. CONTRIBDTIONJOLONTÂIRE Au nombre des contribuions volontaires souscrites nar les Conseils Munic.paux. nous relevons l'importante souscription de la commune de Brévands : 5.000 francs, soit 140 fr. par tête d'habitant. Dans la commune de Cuves, il a été recuo'lli la somme de 1.841 fr. 50 : dans celle de Sa.nte-Suzanne. 8if> fr. D'une lettre adressée Par M. le .Maire Sainte-Suzanne à M. ie Préfet de la Manche, nous extrayons les passages suivants, nui montrent l'esprit de réei dévouement da la population : « Ne pouvant trouver clans son pauvre petit budget la somme capable de représenter son désir de bien faire, elle a préféré ag'r par contr.butions individuelles et véritablement volontaires. Ces contributions volontaires ont produit une somme de 870 fr-, que l'ai l'honneur de vous envover et qui sont exclusivement destines fi être versés dans la caisse autonome d'amortissement prévue par la to'. La commune de SainteSuzanne compte, au dernier recensement, 22 ménages. Or. l'ai recueilli 35 souscriptions. C'est assez vous dire nue tous et toutes jusqu'à nos ieunes («lies, jusqu'à de petits enfants, ont tenu à apporter leur part à cette contribution volontaire, et patriotique. » De tels exemples montrent que le pav3 saura faire l'effort nécessaire k son redressement financier. Les communes dont la liste suit ont voté : La Barre-de-Semillv : 150 fr. — Vaudrimesnil : 100 fr. — Domican: 500 fr. —'. Pontorson : 100 fr. — Cerisv-la-Forèt : 300 fr. Parmi les souscrVn'ions particulières effectuées à la date du 20 juin, nous remarquons : M. l'Abbé Gislard, curé de BricquevilleIa-Blouette. 20 fr. — Mm> veuve Rondeau propriétaire à Barfleur, 50 fr. — Anonvme, par M. l'Inspecteur primaire de Cherbourg, 40 fr. en or — M"° veuve finition, à Cherbourg. 20 fr. en or. — M. Boissel-Dnmbreval député à Coutances, 500 fr. — M. Dudouvt. sénateur, à Coutances. 500 fr. — M. Latalmon'e. lieutenant de gendarmerie k Coutances. 50 fr. — M. Desmares receveur des finances, à Coutances, 100 fr. — M. Perronnet. percepteur en retraite À Coutances. 25 fr. — M. Oudoux. garde-cnamnfttre à Eoueurdreville. 5 fr. — M. et Mm° Marie Zacharie. instituteurs à Heugueville. 100 fr. •— M. Martin, maire de Marchésieux. 20 fr. — M. Mahier. propr'élaire à Périers. 50 fr. — M™* veuve Leboiiteilier. née Guernel. à Ouibou. 50 fr. — M™" veuve Leboiitciller, née Lecluze, à Ouibou. 50 fr. — M Lefèvre. chef de gare k Oueitehou. 30 fr. —' Chambre des Notaires de l'arrondissement de Saint-LO. 3.000 fr. — M. Grilln. trésorier paveur général de la Manche. 200 fr.—• M. Damare, Juge de Paix à Tessv-sur-V're, un bon de 500 fr. <— Qu'est-ce que.vous éprouvez? — J'ai la tète lourde et les poches vides ! — Epidémie courante... une * con< tribuijvite aiguës. I L SE F A I T SAUTER LA T Ê T E Et, comme en effet, elle s'en alla, A LA D Y N A M I T E la séparation de corps fut prononcée contre elle, par défaut. Rome. — Le chef d'une équipe d( Ces jours-ci. M™ Ch... faisait op- mineurs, à Susa. vieni île mettre fin ù position à ce iugpniojit. Mais la 14°' ses jours d'une façon atroce. Vingt Chambre du Tribunal de la Seine a : mineurs prenaient leur modique repaï jugé qu'une femme qui fait à son dans une cantine rustique. mari la surprise de sed cheveux couSoudain. Giovanni Gagno lira de sa pés ne doit pas s'attendre h des com- poche une carlouchè ûi; dynamite et pliments et elle a confirmé ls juge- l'introduisit dans sa bouche. Puis, ment de séparation. tandis que ses camarades prenaient ' « » - - » • -GE=— la fuite, il alluma la mèche. Une détonation retentit, bientôt. OU SONT ALLÉS Plusieurs mineurs, qui se tenaient LES PIGEONS VOYAGEURS? tout tremblants à cent pas de lài Londres. — Sur les 1.200 pigeons apfiçurent. soudain, à leurs pieds, la voyageurs que la Fédération colom- ' tête déchiquetée du malheureux. bophile de Londres avait fait lâcher à j Maronnes (Charcnle-lnférieure), s a - | MACHINES. mi'di à 10 heures du matin, et qui au- | 3£* P o u r ï-c location de adressez-vous « ImpiU raient dû arriver le même jour dans j A ÉCRIRE l'après-midi, aucun n'était rentré à | meiie Rapide» Emile DUPONT, rue Londres dans la soirée. 1 Francois-Lavieille. Cherbourg. naux du monde entier. — Il tue rendra mon enfant, pensait Laure... et cette pcnsie lui rendait un peu d espoir, un peu de courage... Néanmoins, lorsqu'elle quitta l'Ame-* rique, elle pleura toutes les larmes de son corps... Et comme sou mari essayait de la consoler, elle répondit: — C'est plus fort que moi... D me semble que j'abandonne mon enianL ma petite Hélène! — Qui sait'? fit son mari. Il avait, lui aussi, les yeux gonflés de larmes... Il se demandait s'il retrouverait un jour le bonheur tranquille auquel il avait goûté dans la calme et jolie villa d'où Ion apercevait si bien i eau bleue pailletée d'or et les verles COIIÎK nés... (A suivre 1. MOT D E LA FIN D eut mieux fait de se taire Deux ex-amis se rencontrent; l'un affecte de ne pas saluer l'autre: i— Mol, je ne salue pas les goujats, h Moi, c'est tout le contraire, chec monsieur. v. i fit il salue jusqu'à terne. . l^( .I