Dossier de presse - La Cabane à Films
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Dossier de presse - La Cabane à Films
L IONE L SCAI L TE U R & A L E X AN D RE E L B A Z pr é s e n t e n t Taram Tarambola F a n t i n e H a r du i n U N Ix y a n e L é t é C O U R T MAR Í A M É T R A G E B r i g h t n e s s R É A L I SÉ CASTI L L E J O P R O D U I T F a c t o r y & S a m L o u w y c k P A R CARMEN P A R L a C a b a n e à F i l m s Eté 1995, un petit bistro de campagne. Emilie et Anna, deux jeunes soeurs, attendent un père qui n’arrive pas. Pour échapper à une réalité qui leur échappe, elles s’inventent un monde magique dans lequel tout peut arriver. Le meilleur comme le pire. Summer 1995, a small countryside pub. Emilie and Anna, two young sisters, wait for a father who isn’t arriving. To avoid having to face up to the harsh reality, they invent a magical world in which anything can happen. The best as well as the worst. P r o p o s r e c u e i l l i s Ol i v i e r pa r L e co m t e Critique, formateur à l’analyse de films, professeur UDA. O l i v i e r L e co m t e : Au générique de Taram Tarambola, j’ai remarqué le nom de deux storyboarders. Le storyboard est la préparation extrêmement poussée des futurs plans du film. Ce qui me laissait penser que tu as une grande préméditation dans ce que tu fais. M a r í a C a s t i l l e j o C a r m e n : J’ai une vision claire, et il y a une très grande préparation. Mais c’est surtout un sujet autobiographique : depuis longtemps, je porte les plans en moi. Petite, regarder ce qui m’arrivait me sortait de ce qui était en train de se passer, je pouvais me croire spectatrice de ce que je vivais. Du coup on a placé la caméra selon mes souvenirs. J’ai commencé à préparer ce film sans le savoir il y a plus de vingt ans. O.L. : Le point commun de tes courts-métrages est de voir le monde à hauteur d’enfants. Tu dis qu’il y a une part d’autobiographie. Pour toi, c’est facile de retrouver l’esprit de l’enfance ? M a r í a : Les deux courts-métrages que j’ai faits, (I AM) UNHAPPY et Taram Tarambola, se sont révélés thérapeutiques. María la petite raconte l’histoire telle qu’elle a vécue à María l’adulte, qui va lui donner du sens et «la mettre en boîte». Ça a permis de régler des choses qui n’avaient pas été réglées au moment même. A partir de là, ça reste en boîte ...et je peux avancer. O.L. : Taram Tarambola se passe avant l’euro, dans le bar on voit une affiche de 1995. Pourtant c’est dans le région de Namur et en 95 tu étais en Espagne. Tu as transposé ce contexte autobiographique et même temps tu tenais à ce que ce soit en 1995. M a r í a : Je voulais que ce soient les années 80, mais, pour des raisons de budget, on a dû transiger, on a choisi 95. Cette histoire n’aurait pas de sens aujourd’hui. Il suffirait d’un sms : « Maman, viens nous chercher. Papa n’est pas là », et voilà, il n’y a pas d’histoire. C’était différent à l’époque, la séparation prenait une autre dimension. J’ai voulu tourner le film en Belgique, en français, parce que cette histoire est celle de María adulte, expatriée, plus celle de la petite María. O.L. : Ce qui me touche dans ton film, c’est que, clairement, on voit les manquement de ce père qui aboutissent à une tragédie, mais qu’on ne peut pas appeler ça un film de dénonciation. M a r í a : C’est venu pendant l’écriture. J’ai réalisé que ça ne m’intéressait pas de dénoncer une situation ou de juger les personnages. Je voulais me concentrer sur le vécu de petites filles et sur comment elles vivent une histoire difficile. Je ne voulais ni me concentrer sur le barman, ni sur la mère ni sur le père qui fait bien ou pas bien les choses, mais présenter des personnages qui sont là en toile de fond. Ce qu’ils font nous parle parce que nous sommes adultes, mais les petites ont leur propre interprétation. Je voulais éviter qu’on soit distrait, qu’on se dise « Mais comment est-ce possible qu’un père fasse ça ? » O.L. : Mais ça aboutit à une tragédie... M a r í a : Je me suis rendu compte qu’il y avait beaucoup d’interprétations par rapport à cette fin. J’ai laissé une fin ouverte, que toute une série de gens interprètent comme un suicide. O.L. : Pour moi, ces panoramiques le long du corps sont une sorte de dernière caresse, comme un embaumement, un linceul. C’est vrai que j’ai opté pour la version suicide. Mais tout en me disant que l’ambiguïté était présente et que c’était bien comme ça. M a r í a : Chacun a sa façon de voir cette potion magique, c’est mieux comme ça. Savoir si elles sont mortes ou pas, c’est secondaire pour moi. La fin a une signification différente pour chacun, comme pour chacune des filles, d’ailleurs. La petite est dans l’imaginaire total, elle croit vraiment qu’elles vont se réveiller le lendemain et que les parents vont être ensembles, qu’elles vont se retrouver dans un château plein de bonbons. Pour la grande, le fait de lâcher prise et de rejoindre sa sœur dans son univers est un geste de la dernière chance, une façon d’espérer se réveiller le lendemain et pouvoir gérer sa souffrance autrement – un peu à l’image de sa mère, soit dit en passant. C’est là-dessus que je me focalise : quand on est petit, on croit à la magie des choses, et quand on est grand et que les choses sont trop dures, on peut être tenté de régresser pour y trouver refuge. O.L. : La petite fille de (I AM) Unhappy et les deux petites filles de Taram Tarambola... Comment as-tu déniché ces perles ? Avaient-elles un passé d’actrice ? M a r í a : Aucune des trois. On a auditionné plein d’enfants, elles venaient en ayant préparé une scène et étaient très mécaniques. J’ai lu plusieurs livres qui parlent du jeu d’acteur ou de l’enfant acteur. Je me suis rendu compte que sur les castings, plus je laissais la place à l’improvisation, plus elles s’appropriaient le personnage. Elles donnaient beaucoup plus que si elles apprenaient une scène par cœur. J’ai trouvé Fantine tout de suite, un coup de cœur, et Ixyane beaucoup plus tard : elle est venue presque à la fin parce que je ne trouvais pas ce que je voulais. Ixyane fait passer beaucoup de choses par le non-verbal, elle a un regard triste et elle sait très bien se mettre dans une situation difficile : quand il faut pleurer, elle est prête tout de suite. Fantine, elle, a ce regard innocent, pétillant, naïf. On filme beaucoup ses yeux parce qu’elle est très expressive. On a travaillé ensemble pendant deux mois avant de tourner. Je devais les connaître, les décoder, comprendre comment les diriger, comprendre leurs limites et leurs ressources. Les mettre en absolue confiance et trouver mon ton avec chacune. O.L. : Ça veut dire que le scénario a changé aussi au fil de ces répétitions pendant ces deux mois? Au moment du tournage, comment concilier l’impro et la préméditation ? M a r í a : Les filles sont rentrées dans le cadre narratif. Elles connaissaient très bien chaque scène mais elles connaissaient peu de répliques par cœur, juste des charnières, qu’on avait établies comme des signaux codés qui balisaient le jeu. Entre les répliques charnières, elles savaient qu’elles pouvaient improviser. O.L. : Il y a aussi tout un travail sur la bande son et le choix des musiques. Tu mélanges des styles plutôt différents : ça va de la fanfare liégeoise à une musique presque de l’exil tout en passant par du jazz manouche. J’ai bien senti les changements de climat. La musique est vraiment une aide aussi pour aller vers cette tonalité tragique ; ce n’est pas évident, en une petite demi-heure, d’aboutir à ce qui, pour moi, est la mort de ces fillettes alors qu’il ne se passe rien de fondamentalement brutal. Je trouve que la musique nous amène à accepter la gradation de la gravité de la situation telle qu’elle est perçue par la grande sœur. M a r í a : Surtout lors de la scène de la danse. C’est un moment de transition, c’est juste, et c’est la musique que le raconte. Il y a deux réalisateurs espagnols que j’adore : José Luís Cuerda (que personne ne connaît ici), et Carlos Saura. Ce que j’aime chez eux, c’est qu’ils aiment travailler avec des enfants, et ils aiment les faire danser. Ça libère plein de choses. J’assume mes influences, ce qui me plaît dans chaque réalisateur, je prends. Je fais un mélange et je fais à ma façon. En débarquant en Belgique, j’ai été sidérée de retrouver tellement de mon univers chez Jaco Van Dormael, et en tellement maîtrisé. J’ai adoré son jeu d’associations mentales dans son court-métrage E pericoloso sporgersi : alors je me suis laissée nourrir. C’est flagrant dans mon premier court-métrage, (I AM) UNHAPPY. Jaco Van Dormael était d’ailleurs dans le jury quand j’ai reçu mon premier prix, je savais que je lui faisais un clin d’œil alors qu’on ne se connaissait pas. On m’a rapporté qu’il n’a pas voté pour le film en disant « Je ne suis pas objectif, c’est un film que j’aurais pu faire ». O.L. : Une des premières choses que je me suis dite, c’est que le film est très abouti. Tu regrettes de n’avoir pas poussé l’histoire jusqu’au long-métrage ? Je sais bien que c’est une question de budget à la base, mais en dehors de ça ? Souvent les réalisateurs fonctionnent par trilogie alors on a l’impression que le 3éme volet va continuer dans cette veine- là, c’est le cas ? M a r í a : Non, je ne voudrais pas continuer là-dessus. J’ai eu ce que je voulais avec ces deux films. C’est un travail énorme : il y a d’abord un travail d’écriture très dur parce qu’il m’a plongée dans un passé occulté, un travail de mise en place où tu vois que les choses se dessinent, où de nouveaux souvenirs surgissent tous les jours, encore jusqu’au moment du montage. J’ai coréalisé un docu avec La Cabane à Films entre les deux. Maintenant je passe à autre chose. D’autres influences. Evidemment il y aura des petites touches, je me cherche avec ces deux courts-métrages, j’essaie de voir quel type de cinéma j’aime faire. Le prochain sera un long-métrage en voix-off que j’écris en ce moment et que je veux tourner en Espagne : « Le Vendeur de Chips ». C’est une histoire avec beaucoup de soleil et de flamenco. Toute ma famille adore la culture flamenca, et moi aussi.culture flamenca, et moi aussi. MAR Í A CASTI L L E J O CARMEN Réalisatrice espagnole - 1978 María Castillejo est une réalisatrice espagnole, installée à Bruxelles depuis 2006. Elle abandonne ses études de droit à Valence (sa ville natale), pour commencer des études de cinématographie à l’INRACI (Institut de radioélectricité et de cinématographie, Bruxelles). Elle obtient son diplôme en 2010. métrage «Famille, mon non plus» fait le portrait de familles précarisées accueillies dans une maison maternelle de la région de Charleroi. A peine sortie des études, elle fonde La Cabane à Films avec trois amis, une ASBL de création cinématographique indépendante avec laquelle elle s’aventure à écrire et réaliser son premier court-métrage professionnel «(I AM) UNHAPPY». Ce premier film de fiction a été sélectionné dans plus de 20 festivals internationaux et a été primé plusieurs fois et continue sa carrière après deux ans de promotion en festivals. France 3 a acheté le film en 2013 pour trois ans. «Taram Tarambola» est le troisième projet de María Castillejo Carmen. Ecrit entre 2009 et 2013, le film a été tourné dans la région de Namur pendant l’été 2013. La post-production s’est achevée en janvier 2014. Alors que le film n’était pas encore en promotion, Clap Wallonie a choisi de projeter Taram Tarambola à sa séance annuelle de présentation de réalisateurs ayant tourné en Wallonie. Engagée dans le cinéma social, la réalisatrice explore ensuite le champ du documentaire grâce à une commande de court métrage faite à la Cabane à Films, qu’elle va réaliser avec Boris Finn. Finalisé en octobre 2012 dans un format finalement allongé à 59 minutes, le désormais moyen Le film a obtenu le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles, de la SABAM, d’AG Insurance, de la Fondation Roi Baudouin et du CBA (Centre Audiovisuel de Bruxelles). Il est actuellement en promotion. Taram Tarambola a reçu une aide à la production de la part de la Fédération Wallonie-Bruxelles ainsi que de la SABAM, deux entités qui ont aussi soutenu le deuxième projet de la réalisatrice. Le film a également reçu une bourse de Clap ! Bureau d’accueil des tournages, provinces de Liège, Namur et Luxembourg. F ILMO G RA P H IE (I AM) UNHAPPY – 2011, fiction 5 min. Famille, moi non plus – 2012, documentaire 59 min. Taram Tarambola – 2014, fiction 28 min. P r o j e c t i o n s Brussels Short Film Festival 2012, compétition nationale, Bruxelles - Belgique * en festivals du court-métrage (I AM) UNHAPPY - sélection officielle Cinéglobe 2012 - Suisse Medina del Campo Film Festival 2012, Valladolid (Espagne) XXI Muestra de Cine de Palencia (Espagne) Molisecinema 2012, Rome (Italie) Imaginaria Fim Festival 2012, Sicile (Italie) CineFort Festival 2012, Molara (Italie) Seoul International youth film festival 2012 (SIYFF), Séoul (Corée du Sud) 4a Edicion del Festival Nacional de Andoenredado 2012, Salamanca (Espagne) Concours international de court-métrages de la ville de Soria 2012, (Espagne) Maremetraggio 2012, Trieste (Italie) Festival OFF Cineporto de Bolonia 2013 (Italie) Festival de cine Educatif et spirituel Kinemasiete (FICEE) 2012, Murcia (Espagne) Festival International Vidéo Art House *obtenues par (I AM) UNHAPPY Cineseptiembre 2012 Mazatlán (Mexique) Festimage 2012, Charleroi (Belgique) Festival de cinéma indépendant Cinemabrut 2012, Mouans-Sartoux (France) R é co m p e n s e s Madrid 2012 (Espagne) Meilleur premier court-métrage professionnel au 8° Festival international du court-métrage de caractère social « Sólo para cortos » 2012, Barcelone - Espagne Meilleur premier court-métrage professionnel au Festival du court-métrage « Media 10/10 » 2011, Namur - Belgique Prix du public au Nikon Filmfestival Belgium 2011 Meilleur court-métrage international au « Tomatina Music and Film Festival » 2012, Valence - Espagne Festival de cortos de Uruguay 2013 (Uruguay) Festival Internacional de Cortometrajes de México 2013, (Mexique) IV International Film Festival under the moon, Islantilla 2013, Huelva - Espagne Festival de court-metrages CORTOS EN OFF, Valencia 2013, Valence - Espagne Concours de court-métrages de Radio City 2012,Valence - Espagne Choisi en 2012 par l’Institut valencien de l’audiovisuel (IVAC) dans le cadre de la promotion d’une sélection de réalisateurs valenciens. Priverno Film Festival 2012, Priverno - Italie XXII FIC Torrelavega 2012 - Espagne) Guanajuato IFF 2012,Guanajuato - Mexico) Alcorto 2012. Festival internacional de cortos de Alcobendas,2012 (España) B RIGHTNESS F ACTORY Production Pu b l i c i té : JU ST SOCKS - Te rm i n é e Une nouvelle marque tendance de chaussettes dont on entendra beaucoup parler durant cette année 2014. Cour t- m é trage de f i c t i o n TARAM TARAMB O L A Ma rí a Cas ti l l e jo Ca rm e n En d i s tri b uti on Eté 1995, un petit bistrot de campagne. Emilie et Anna, deux jeunes sœurs, attendent un père qui n’arrive pas. Pour échapper à une réalité qui leur est difficile, elles s’inventent un monde magique dans lequel tout peut arriver. Le meilleur comme le pire. Cour t- m é trage de f i c t i o n : KNIGHT FEVER Chri s top he Cl i n En d éve l op p e me nt John est scénariste. Seulement, il a un souci : les personnages de chaque histoire qu’il n’achève pas prennent vie. Alors que la situation était jusque-là sous contrôle, le dernier personnage Fondée en août 2013 par Lionel Scailteur et Alexandre Elbaz, Brightness Factory est une jeune maison de production dédiée majoritairement au cinéma et plus largement aux différents médiums artistiques. Taram Tarambola est la première production de la société et elle en annonce toute une série de nouvelles pour l’année 2014. En effet, différent projets de courts-métrages, de documentaires, de publicités et de courtsmétrages musicaux sont au programme: sorti de son imaginaire va remettre en question la vie de John et sera le début de pas mal de problèmes pour lui. Co ur t-métrag e de fi c ti o n: HARI J ANS , LES EN FANTS D E D IE U S o ko l Reka E n dével o pp ement Harijans, les enfants de Dieu est le récit d’un de ces hommes particuliers qui font l’Histoire. Porté par des convictions inébranlables, Harijans avance. Dans une zone occupée où le peuple entier est soumis à la prière forcée et réduit à la misère, la seule possibilité d’entrevoir un avenir est de partir. Mais la frontière est fermée, infranchissable. Personne n’en réchappe. Pourtant, cet homme lavé de tout jugement décide de tenter le tout pour le tout et va réussir à réveiller une population inerte. Admi ni strati o n & co nsei l s fi nanc i er Lo n g -métrag e de fi c ti o n: LES RAYURES D U Z EB RE B e n o î t Mari ag e - MG PROD UCTIONS E n di stri buti o n ( BARDAF EU CINEMA) José est agent de footballeurs. Sa spécialité : repérer en Afrique des talents prometteurs. Lorsqu’il déniche Yaya, il l’emmène en Belgique pour en faire un champion. Il est persuadé d’avoir trouvé la poule aux œufs d’or. Mais rien ne se passera comme prévu... Co ur t-métrag e de fic tion : L A CAVERNE Vi ncent B l ai ro n En dével o pp ement Tantôt sur le ton de l’humour, tantôt avec profondeur, ce film raconte l’histoire d’un homme ordinaire, Simon, qui se rend compte de la dimension filmique de son existence. Mais jusqu’où le mènera sa prise de conscience et à quel point les films ont-ils envahi sa vie ? Co ur t-métrag e mu sic al de l’ar tiste KI D NOI Z E En dével o pp ement KID NOIZE, un homme à la tête de singe, est un étrange personnage qui aurait pu sortir d’une autre dimension, d’un comics déposé sur une étagère, comme l’élément central d’un uni- vers fictionnel s’invitant dans notre réalité. KID NOIZE, c’est un artiste made in Belgium. Plus que de la musique, KID NOIZE c’est l’alliage parfait du son et de l’image. Lon g-m étrage do cu m entaire YEGEN Den is Mau gu it En développ em ent En Andalousie, à 900 mètres d’altitude, au pied de la Sierra Nevada se trouve le petit village de Yegen. En 2010, abandonnant carrières et niveau de vie confortable à Bruxelles, Isabelle & Cédric, un jeune couple belge, décide de tout quitter pour se lancer dans un mode de vie alternatif basé sur le bien-être. Dans nos sociétés actuelles, un tel projet est-il possible ? L i o n e l SCAILTEUR Producteur belge – 1987 Lionel Scailteur est actuellement un jeune producteur belge. Diplômé assistant social, il se rend rapidement compte au cours de ses études que ce à quoi il désire se consacrer, c’est le cinéma. Il suit alors pendant un an des études d’Arts du spectacle à l’ULB (orientation cinématographie). Cependant, c’est davantage sur le terrain qu’il s’est forgé son expérience. En effet, dès l’été 2009, il se met à travailler sur le long métrage du réalisateur belge Stephan Streker, « Le Monde nous Appartient » (sorti en février 2013). Ce film lui a véritablement permis de toucher à tout : il a travaillé sur le casting, a été assistant de réalisation pendant le tournage, a participé de très près à la postproduction, dont une partie c’est déroulé à Los Angeles, ainsi qu’à la promotion. Outre ce film-là, Lionel a également participé de très près à la promotion Begique de « Viva Riva », un film du réalisateur congolais Djo Munga, produit en Belgique. Et a participé au casting du nouveau film de Benoît Mariage « Les Rayures du Zèbre » avec Benoît Poelvoorde (sorti en février 2014). Par ailleurs, il a en parallèle œuvré à monter, petit à petit, sa propre boîte de production BRIGHTNESS FACTORY avec son partenaire Alexandre Elbaz. C’est ainsi qu’ils ont été sollicités pour produire le dernier court-métrage de María Castillejo Carmen, « Taram Tarambola », sur lequel ils travaillent depuis février 2013. L’année 2014 s’annonce déjà bien remplie pour la société. Trois courts-métrages de fiction sont en financements ainsi qu’un documentaire de création, des publicités et la production des prochains clips de KID NOIZE. En plus de cela Lionel et Alexandre donne des conseils en communication et en direction financière sur d’autres projets artistiques. A l e x a n d r e EL B A Z Producteur Brightness Factory - 1989 Diplômé en techniques du cinéma, option production, à l’HELB INRACI (Bruxelles) en juin 2010. Pendant ses études, il a le plaisir de faire un stage en assistant de production à la préparation du film « LARGO WINCH 2 » réalisé par Jérôme Salle, ainsi qu’un stage en régie plateau sur le long-métrage « LIBRE ÉCHANGE » réalisé par Serge Gisquière. En sortant de ses études, il participe en tant qu’assistant de production au long métrage « LE MONDE NOUS APPARTIENT » réalisé par Stephan Streker jusqu’en fin 2010. Tout de suite après, dès début 2011, il est rattaché à la société MG Productions. Il débute en tant qu’assistant de production, et de fil en aiguille, devient directeur financier junior de la société. Dès le mois de décembre 2012, il exerce la fonction d’administrateur Belgique pour le film « LES RAYURES DU ZÈBRE » réalisé par Benoit Mariage. Dès cette mission terminée, il concrétise son désir de devenir producteur en créant, avec son associé Lionel Scailteur, la société « Brightness Factory ». Ils sont fiers de co-produire le court-métrage « TARAM TARAMBOLA » réalisé par María Castillejo Carmen. En fin 2013, ils produisent aussi une série de capsules publicitaires pour une toute nouvelle marque de chaussette « JUST SOCKS ». Pour cette année 2014, ils sont en développement de plusieurs projets de courts métrages de fiction, un long métrage documentaire, ainsi que de clips musicaux. L A CA B ANE à F I L MS Production Que ce soit dans un arbre, sous un lit ou avec de vieux cartons, les enfants ont toujours construit des cabanes pour s’y retrouver, s’inventer des jeux, se raconter des histoires, rêver... La Cabane à Films ASBL est un collectif artistique né de la rencontre entre les sensibilités singulières de quatre cinéastes diplômés de l’INRACI. Leur plaisir et leur motivation de faire des films ensemble est à l’origine de cette initiative. La Cabane est passée sous le statut d’ASBL en 2012, et se définit aujourd’hui comme un collectif d’auto-production. ( I AM ) UN H A P P Y Leur première auto-production, le court-métrage «(I AM) UNHAPPY» de María Castillejo Carmen, a été sélectionnée à plus d’une quarantaine de festivals : Medina Del Campo Short Film Festival. BSFF (Brussels Short film Festival) Média 10/10 Nikon Film Festival Cinemabrut Seoul International Youth Film Festival Cineglobe Guanajuato Film Festival Le film a obtenu plusieurs récompenses (Meilleure première œuvre au festival Media 10/10 de Namur, prix du public au Nikon Filmfestival...) et, après avoir été acheté par France 3 pour une période de trois ans, il continue sa carrière en visant les ventes en télévision. Leur vocation prioritaire est de créer et promouvoir leurs propres projets artistiques. La Cabane à Films propose également son savoir-faire pour mener à bien les projets audiovisuels de tierces parties. Elle a déjà collaboré plusieurs fois avec d’autres réalisateurs et collectifs dans le cadre de court-métrages : • détachement de techniciens image sur deux courts métrages de Baptiste Grandin («Conquête Spatiale» et «Face D») F AMILLE , P LUS MOI NON La deuxième production de La Cabane à Films est le moyen métrage documentaire «Famille, moi non plus» réalisé par Boris Finn et María Castillejo Carmen, finalisé en octobre 2012. La Cabane à Films obtient à cette occasion le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles, de la SABAM, d’AG Insurance, de la Fondation Roi Baudouin et du CBA (Centre Audiovisuel de Bruxelles). Dans un format de 59 minutes, «Famille, moi non plus» brosse le portrait de familles précarisées accueillies dans une maison maternelle de la région de Charleroi. • détachement de la cadreuse Morgane Van Hoobrouck sur le documentaire de Nathalie Pontalier «Le club des silencieux» tourné au Gabon en décembre 2013. Redéfinissant les rôles lors de chaque projet, ouverte aux collaborations et aux coproductions, La Cabane à Films assume son identité mouvante comme une philosophie de l’ouverture d’esprit et de la curiosité. TARAM TARAM B OLA Le dernier projet en date, le court-métrage de fiction «Taram Tarambola» réalisé par María Castillejo Carmen, est une co-production avec Brightness Factory. Le film, finalisé en janvier 2014 et actuellement en phase de diffusion, a été tourné dans la région de Namur en juillet 2013. Avant même sa finalisation officielle, «Taram Tarambola» a été choisi par «Clap ! Wallonie» pour être montré dans leur sélection annuelle de films tournés en Wallonie. F ANTINE HAR D U IN Petite soeur - Anna F a n t i n e c’est l’audace, la répartie et la justesse à l’état pur. Dès son premier casting et au bout de quelques secondes, il était évident pour nous que le rôle était pour elle. Tout était juste : ses regards, ses mouvements, ses répliques et tout cela avec l’assurance qui fait probablement les futurs grands comédiens. Ce fut pour nous une grande chance et un véritable plaisir de la côtoyer durant toute cette belle aventure. Elle possède en elle une maturité et une lucidité exceptionnelles du haut de ses neuf ans. Son volume de jeu est énorme ; son potentiel aussi... C’est sûr, on la reverra encore sur nos écrans ! C’est tout le bien qu’on lui souhaite. I X YANE L ÉTÉ Grande soeur - Emilie I x y a n E porte en elle quelque chose de très fort, de très profond. Son regard ne ment jamais ; ses mouvements et son attitude non plus. Elle a cette capacité à habiter un rôle, une émotion. C’est une jeune actrice très talentueuse, qui ne se protège pas et qui offre toujours le meilleur à ceux qui la regardent. Travailler avec elle est une facilité pour le metteur en scène : elle écoute, comprend et propose toujours quelque chose d’encore plus puissant que ce que nous aurions pu imaginer. C’est évident, Ixyane a beaucoup de choses à communiquer au monde. Quoi qu’elle décide pour sa vie, nous serons les premier à la suivre. SAM L O U WYCK Albert Lors du travail d’écriture, nous n’avions qu’une chose en tête : S a m L o u w y c k . Sam, c’est un charisme qui emmène tout autour de lui. C’est un danseur merveilleux, un comédien hors du commun. Il est à la fois très viril et très sensible, grave et poétique. Sa maîtrise est impressionnante mais au-delà de son talent intrinsèque, c’est l’aura qu’il dégage, la précision de son regard, sa voix et son instinct qui font de lui un homme extraordinaire. Ce fut un honneur et une grande chance pour nous de le compter dans notre équipe. En plus d’être en possession d’une très belle filmographie (Rundskop, Le monde nous appartient, La cinquième saison, Une chanson pour ma mère...), Sam vient d’être nominé aux Magritte 2014 comme meilleur acteur aux côtés de Benoît Poelvoorde, François Damiens et Jan Hammenecker et il est évident qu’il a sa place parmi les grands. F ICHE ARTISTI Q U E ANNA Fantine Harduin EMILIE ixyane Lété ALBERT - BARMAN Sam Louwyck LAURA - FEMME DE BARMAN Nora Alberdi BARBARA - MAMAN DES FILLES Ariane Rousseau FRANÇOIS - PÈRE DES PETITES FILLES Hervé Dubois LE MAGICIEN Alipio Rabazo FEMME DE LA CABANE Cécile Vangrieken ACIENNE VEDETTE Chantal Pirotte COLINE - PETITE FILLE DE L’HOMME DU FLIPPER Coline Dubus L’HOMME AU FLIPPER Kevin Dudjasienski F ICHE TECHNI Q U E Scénario & réalisation María Castillejo Carmen Production Brightness Factory & La Cabane à Films directeur de production Bertrand Denoncin Directeur de casting Manuel Carpiaux Chef opérateur Antoine Delforge ingénieur du son Julien Vanhée 1er Assistant réalisateur Denis Mauguit Scripte Victoria Garnier Coach enfants Maureen Terrie Animation Rémi Vandettine Compositing Nicolas Grandry Chef décorateur Emmanuelle Segura Chefs dostumières Bineta Saware & Caroline Géréduz Maquilleuse Daphnée Durieux Regisseur générale Johan Libin Coordinateur de post-production Joachim Veszely Montage Boris Finn Musique originale Greg Avau & Barlos Swing Mixage David Gillain Etalonnage Jean-René Nebot avec l’aide du Centre du Cinéma et de l’Audiovisuel de la Fédération Wallonie-Bruxelles et de VOO avec la participation du Clap ! asbl - Bureau d’acceuil des tournages - Provinces de Liège Luxembourg Namur de la SABAM soutenu par l’Hôtel Beauregard de Namur, Groupe Circus Orangina Schweppes Belgium Casio Belgium Vedett B r i gh t n e s s Fac to r y PRODUCTEUR - VENDEUR INTERNATIONAL Rue au Bois, 83 - Boïte 1 1150 Bruxelles TVA BE 0537 366 439 . Alexandre Elbaz Mobile Email 0032 475 69 83 64 [email protected] . Lionel Scailteur Mobile Email 0032 494 84 28 14 [email protected] Web www.brightnessfactory.com L a C a b a n e à F i l m s PRODUCTEUR Mobile 0032 486 30 63 24 Email [email protected] Web www.lacabaneafilms.com https://www.facebook.com/pages/La-Cabane-à-Films Fac e b o o k Taram Tarambola https://www.facebook.com/TaramTarambola