Dossier de presse - La Cabane à Films

Transcription

Dossier de presse - La Cabane à Films
L IONE L
SCAI L TE U R
&
A L E X AN D RE
E L B A Z
pr é s e n t e n t
Taram Tarambola
F a n t i n e
H a r du i n
U N
Ix y a n e
L é t é
C O U R T
MAR Í A
M É T R A G E
B r i g h t n e s s
R É A L I SÉ
CASTI L L E J O
P R O D U I T
F a c t o r y
&
S a m
L o u w y c k
P A R
CARMEN
P A R
L a
C a b a n e
à
F i l m s
Eté 1995, un petit bistro de campagne.
Emilie et Anna, deux jeunes soeurs, attendent un père qui n’arrive pas.
Pour échapper à une réalité qui leur échappe, elles s’inventent un monde
magique dans lequel tout peut arriver.
Le meilleur comme le pire.
Summer 1995, a small countryside pub.
Emilie and Anna, two young sisters, wait for a father who isn’t arriving.
To avoid having to face up to the harsh reality, they invent a magical world in
which anything can happen.
The best as well as the worst.
P r o p o s
r e c u e i l l i s
Ol i v i e r
pa r
L e co m t e
Critique, formateur à l’analyse de films, professeur UDA.
O l i v i e r
L e co m t e :
Au générique de Taram Tarambola, j’ai remarqué le nom
de deux storyboarders. Le storyboard est la préparation
extrêmement poussée des futurs plans du film. Ce qui
me laissait penser que tu as une grande préméditation
dans ce que tu fais.
M a r í a C a s t i l l e j o
C a r m e n :
J’ai une vision claire, et il y a une très grande préparation. Mais c’est surtout un sujet autobiographique :
depuis longtemps, je porte les plans en moi. Petite,
regarder ce qui m’arrivait me sortait de ce qui était en
train de se passer, je pouvais me croire spectatrice de
ce que je vivais. Du coup on a placé la caméra selon
mes souvenirs. J’ai commencé à préparer ce film sans le
savoir il y a plus de vingt ans.
O.L. : Le point commun de tes courts-métrages est de
voir le monde à hauteur d’enfants. Tu dis qu’il y a une
part d’autobiographie. Pour toi, c’est facile de retrouver
l’esprit de l’enfance ?
M a r í a : Les deux courts-métrages que j’ai faits,
(I AM) UNHAPPY et Taram Tarambola, se sont révélés
thérapeutiques. María la petite raconte l’histoire telle
qu’elle a vécue à María l’adulte, qui va lui donner du
sens et «la mettre en boîte». Ça a permis de régler des
choses qui n’avaient pas été réglées au moment même.
A partir de là, ça reste en boîte ...et je peux avancer.
O.L. : Taram Tarambola se passe avant l’euro, dans le bar
on voit une affiche de 1995. Pourtant c’est dans le région
de Namur et en 95 tu étais en Espagne. Tu as transposé
ce contexte autobiographique et même temps tu tenais
à ce que ce soit en 1995.
M a r í a : Je voulais que ce soient les années
80, mais, pour des raisons de budget, on a dû transiger, on a choisi 95. Cette histoire n’aurait pas de sens
aujourd’hui. Il suffirait d’un sms : « Maman, viens nous
chercher. Papa n’est pas là », et voilà, il n’y a pas d’histoire. C’était différent à l’époque, la séparation prenait
une autre dimension. J’ai voulu tourner le film en Belgique, en français, parce que cette histoire est celle de
María adulte, expatriée, plus celle de la petite María.
O.L. : Ce qui me touche dans ton film, c’est que, clairement, on voit les manquement de ce père qui aboutissent à une tragédie, mais qu’on ne peut pas appeler
ça un film de dénonciation.
M a r í a : C’est venu pendant l’écriture. J’ai réalisé
que ça ne m’intéressait pas de dénoncer une situation
ou de juger les personnages. Je voulais me concentrer
sur le vécu de petites filles et sur comment elles vivent
une histoire difficile. Je ne voulais ni me concentrer sur
le barman, ni sur la mère ni sur le père qui fait bien ou
pas bien les choses, mais présenter des personnages
qui sont là en toile de fond. Ce qu’ils font nous parle
parce que nous sommes adultes, mais les petites ont
leur propre interprétation. Je voulais éviter qu’on soit
distrait, qu’on se dise « Mais comment est-ce possible
qu’un père fasse ça ? »
O.L. : Mais ça aboutit à une tragédie...
M a r í a : Je me suis rendu compte qu’il y avait
beaucoup d’interprétations par rapport à cette fin. J’ai
laissé une fin ouverte, que toute une série de gens interprètent comme un suicide.
O.L. : Pour moi, ces panoramiques le long du corps sont
une sorte de dernière caresse, comme un embaumement, un linceul. C’est vrai que j’ai opté pour la version
suicide. Mais tout en me disant que l’ambiguïté était
présente et que c’était bien comme ça.
M a r í a : Chacun a sa façon de voir cette potion
magique, c’est mieux comme ça. Savoir si elles sont
mortes ou pas, c’est secondaire pour moi. La fin a une
signification différente pour chacun, comme pour chacune des filles, d’ailleurs. La petite est dans l’imaginaire
total, elle croit vraiment qu’elles vont se réveiller le lendemain et que les parents vont être ensembles, qu’elles
vont se retrouver dans un château plein de bonbons.
Pour la grande, le fait de lâcher prise et de rejoindre
sa sœur dans son univers est un geste de la dernière
chance, une façon d’espérer se réveiller le lendemain et
pouvoir gérer sa souffrance autrement – un peu à l’image
de sa mère, soit dit en passant.
C’est là-dessus que je me focalise : quand on est petit, on
croit à la magie des choses, et quand on est grand et que
les choses sont trop dures, on peut être tenté de régresser
pour y trouver refuge.
O.L. : La petite fille de (I AM) Unhappy et les deux petites
filles de Taram Tarambola... Comment as-tu déniché ces
perles ? Avaient-elles un passé d’actrice ?
M a r í a : Aucune des trois. On a auditionné plein
d’enfants, elles venaient en ayant préparé une scène et
étaient très mécaniques. J’ai lu plusieurs livres qui parlent
du jeu d’acteur ou de l’enfant acteur. Je me suis rendu
compte que sur les castings, plus je laissais la place à l’improvisation, plus elles s’appropriaient le personnage. Elles
donnaient beaucoup plus que si elles apprenaient une
scène par cœur.
J’ai trouvé Fantine tout de suite, un coup de cœur, et
Ixyane beaucoup plus tard : elle est venue presque à la fin
parce que je ne trouvais pas ce que je voulais. Ixyane fait
passer beaucoup de choses par le non-verbal, elle a un regard triste et elle sait très bien se mettre dans une situation
difficile : quand il faut pleurer, elle est prête tout de suite.
Fantine, elle, a ce regard innocent, pétillant, naïf. On filme
beaucoup ses yeux parce qu’elle est très expressive.
On a travaillé ensemble pendant deux mois avant de
tourner. Je devais les connaître, les décoder, comprendre
comment les diriger, comprendre leurs limites et leurs ressources. Les mettre en absolue confiance et trouver mon
ton avec chacune.
O.L. : Ça veut dire que le scénario a changé aussi au fil de
ces répétitions pendant ces deux mois? Au moment du
tournage, comment concilier l’impro et la préméditation ?
M a r í a : Les filles sont rentrées dans le cadre narratif. Elles connaissaient très bien chaque scène mais elles
connaissaient peu de répliques par cœur, juste des charnières, qu’on avait établies comme des signaux codés
qui balisaient le jeu. Entre les répliques charnières, elles
savaient qu’elles pouvaient improviser.
O.L. : Il y a aussi tout un travail sur la bande son et le choix
des musiques. Tu mélanges des styles plutôt différents : ça
va de la fanfare liégeoise à une musique presque de l’exil
tout en passant par du jazz manouche. J’ai bien senti les
changements de climat. La musique est vraiment une aide
aussi pour aller vers cette tonalité tragique ; ce n’est pas
évident, en une petite demi-heure, d’aboutir à ce qui, pour
moi, est la mort de ces fillettes alors qu’il ne se passe rien de
fondamentalement brutal. Je trouve que la musique nous
amène à accepter la gradation de la gravité de la situation
telle qu’elle est perçue par la grande sœur.
M a r í a : Surtout lors de la scène de la danse. C’est
un moment de transition, c’est juste, et c’est la musique
que le raconte.
Il y a deux réalisateurs espagnols que j’adore : José Luís
Cuerda (que personne ne connaît ici), et Carlos Saura.
Ce que j’aime chez eux, c’est qu’ils aiment travailler avec
des enfants, et ils aiment les faire danser. Ça libère plein
de choses. J’assume mes influences, ce qui me plaît dans
chaque réalisateur, je prends. Je fais un mélange et je fais
à ma façon. En débarquant en Belgique, j’ai été sidérée de
retrouver tellement de mon univers chez Jaco Van Dormael, et en tellement maîtrisé. J’ai adoré son jeu d’associations mentales dans son court-métrage E pericoloso sporgersi : alors je me suis laissée nourrir. C’est flagrant dans
mon premier court-métrage, (I AM) UNHAPPY. Jaco Van
Dormael était d’ailleurs dans le jury quand j’ai reçu mon
premier prix, je savais que je lui faisais un clin d’œil alors
qu’on ne se connaissait pas. On m’a rapporté qu’il n’a pas
voté pour le film en disant « Je ne suis pas objectif, c’est un
film que j’aurais pu faire ».
O.L. : Une des premières choses que je me suis dite, c’est que le
film est très abouti. Tu regrettes de n’avoir pas poussé l’histoire
jusqu’au long-métrage ? Je sais bien que c’est une question de
budget à la base, mais en dehors de ça ? Souvent les réalisateurs fonctionnent par trilogie alors on a l’impression que
le 3éme volet va continuer dans cette veine- là, c’est le cas ?
M a r í a : Non, je ne voudrais pas continuer là-dessus. J’ai eu ce que je voulais avec ces deux films. C’est un
travail énorme : il y a d’abord un travail d’écriture très dur
parce qu’il m’a plongée dans un passé occulté, un travail
de mise en place où tu vois que les choses se dessinent,
où de nouveaux souvenirs surgissent tous les jours, encore
jusqu’au moment du montage. J’ai coréalisé un docu avec
La Cabane à Films entre les deux. Maintenant je passe à
autre chose. D’autres influences. Evidemment il y aura des
petites touches, je me cherche avec ces deux courts-métrages, j’essaie de voir quel type de cinéma j’aime faire. Le
prochain sera un long-métrage en voix-off que j’écris en ce
moment et que je veux tourner en Espagne : « Le Vendeur
de Chips ». C’est une histoire avec beaucoup de soleil et de
flamenco. Toute ma famille adore la culture flamenca, et
moi aussi.culture flamenca, et moi aussi.
MAR Í A
CASTI L L E J O
CARMEN
Réalisatrice espagnole - 1978
María Castillejo est une réalisatrice espagnole, installée à Bruxelles depuis 2006.
Elle abandonne ses études de droit à Valence (sa ville natale), pour commencer des études de cinématographie à l’INRACI (Institut de radioélectricité et de cinématographie, Bruxelles). Elle obtient son diplôme en
2010.
métrage «Famille, mon non plus» fait le portrait de familles précarisées
accueillies dans une maison maternelle de la région de Charleroi.
A peine sortie des études, elle fonde La Cabane à Films avec trois amis,
une ASBL de création cinématographique indépendante avec laquelle
elle s’aventure à écrire et réaliser son premier court-métrage professionnel «(I AM) UNHAPPY». Ce premier film de fiction a été sélectionné
dans plus de 20 festivals internationaux et a été primé plusieurs fois et
continue sa carrière après deux ans de promotion en festivals. France 3 a
acheté le film en 2013 pour trois ans.
«Taram Tarambola» est le troisième projet de María Castillejo Carmen.
Ecrit entre 2009 et 2013, le film a été tourné dans la région de Namur
pendant l’été 2013. La post-production s’est achevée en janvier 2014.
Alors que le film n’était pas encore en promotion, Clap Wallonie a choisi
de projeter Taram Tarambola à sa séance annuelle de présentation de
réalisateurs ayant tourné en Wallonie.
Engagée dans le cinéma social, la réalisatrice explore ensuite le champ
du documentaire grâce à une commande de court métrage faite à la Cabane à Films, qu’elle va réaliser avec Boris Finn. Finalisé en octobre 2012
dans un format finalement allongé à 59 minutes, le désormais moyen
Le film a obtenu le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles, de la
SABAM, d’AG Insurance, de la Fondation Roi Baudouin et du CBA (Centre
Audiovisuel de Bruxelles). Il est actuellement en promotion.
Taram Tarambola a reçu une aide à la production de la part de la Fédération Wallonie-Bruxelles ainsi que de la SABAM, deux entités qui ont
aussi soutenu le deuxième projet de la réalisatrice. Le film a également
reçu une bourse de Clap ! Bureau d’accueil des tournages, provinces de
Liège, Namur et Luxembourg.
F ILMO G RA P H IE
(I AM) UNHAPPY – 2011, fiction 5 min.
Famille, moi non plus – 2012, documentaire 59 min.
Taram Tarambola – 2014, fiction 28 min.
P r o j e c t i o n s
Brussels Short Film Festival 2012, compétition nationale, Bruxelles - Belgique
* en festivals du court-métrage
(I AM) UNHAPPY - sélection officielle
Cinéglobe 2012 - Suisse
Medina del Campo Film Festival 2012, Valladolid (Espagne)
XXI Muestra de Cine de Palencia (Espagne)
Molisecinema 2012, Rome (Italie)
Imaginaria Fim Festival 2012, Sicile (Italie)
CineFort Festival 2012, Molara (Italie)
Seoul International youth film festival 2012
(SIYFF), Séoul (Corée du Sud)
4a Edicion del Festival Nacional de Andoenredado 2012, Salamanca (Espagne)
Concours international de court-métrages
de la ville de Soria 2012, (Espagne)
Maremetraggio 2012, Trieste (Italie)
Festival OFF Cineporto de Bolonia 2013
(Italie)
Festival de cine Educatif et spirituel Kinemasiete (FICEE) 2012, Murcia (Espagne)
Festival International Vidéo Art House
*obtenues par (I AM) UNHAPPY
Cineseptiembre 2012 Mazatlán (Mexique)
Festimage 2012, Charleroi (Belgique)
Festival de cinéma indépendant Cinemabrut
2012, Mouans-Sartoux (France)
R é co m p e n s e s
Madrid 2012 (Espagne)
Meilleur premier court-métrage professionnel
au 8° Festival international du court-métrage
de caractère social « Sólo para cortos » 2012,
Barcelone - Espagne
Meilleur premier court-métrage professionnel
au Festival du court-métrage « Media 10/10 »
2011, Namur - Belgique
Prix du public au Nikon Filmfestival Belgium
2011
Meilleur court-métrage international au «
Tomatina Music and Film Festival » 2012,
Valence - Espagne
Festival de cortos de Uruguay 2013 (Uruguay)
Festival Internacional de Cortometrajes de
México 2013, (Mexique)
IV International Film Festival under the
moon, Islantilla 2013, Huelva - Espagne
Festival de court-metrages CORTOS EN OFF,
Valencia 2013, Valence - Espagne
Concours de court-métrages de Radio City
2012,Valence - Espagne
Choisi en 2012 par l’Institut valencien de
l’audiovisuel (IVAC) dans le cadre de la
promotion d’une sélection de réalisateurs
valenciens.
Priverno Film Festival 2012, Priverno - Italie
XXII FIC Torrelavega 2012 - Espagne)
Guanajuato IFF 2012,Guanajuato - Mexico)
Alcorto 2012. Festival internacional de cortos de Alcobendas,2012 (España)
B RIGHTNESS
F ACTORY
Production
Pu b l i c i té : JU ST SOCKS - Te rm i n é e
Une nouvelle marque tendance de chaussettes
dont on entendra beaucoup parler durant
cette année 2014.
Cour t- m é trage de f i c t i o n
TARAM TARAMB O L A
Ma rí a Cas ti l l e jo Ca rm e n
En d i s tri b uti on
Eté 1995, un petit bistrot de campagne. Emilie
et Anna, deux jeunes sœurs, attendent un père
qui n’arrive pas. Pour échapper à une réalité
qui leur est difficile, elles s’inventent un monde
magique dans lequel tout peut arriver. Le meilleur comme le pire.
Cour t- m é trage de f i c t i o n :
KNIGHT FEVER
Chri s top he Cl i n
En d éve l op p e me nt
John est scénariste. Seulement, il a un souci : les
personnages de chaque histoire qu’il n’achève
pas prennent vie. Alors que la situation était
jusque-là sous contrôle, le dernier personnage
Fondée en août 2013 par Lionel Scailteur et
Alexandre Elbaz, Brightness Factory est une
jeune maison de production dédiée majoritairement au cinéma et plus largement aux différents médiums artistiques.
Taram Tarambola est la première production de
la société et elle en annonce toute une série de
nouvelles pour l’année 2014.
En effet, différent projets de courts-métrages,
de documentaires, de publicités et de courtsmétrages musicaux sont au programme:
sorti de son imaginaire va remettre en question
la vie de John et sera le début de pas mal de
problèmes pour lui.
Co ur t-métrag e de fi c ti o n:
HARI J ANS , LES EN FANTS D E D IE U
S o ko l Reka
E n dével o pp ement
Harijans, les enfants de Dieu est le récit d’un de
ces hommes particuliers qui font l’Histoire. Porté par des convictions inébranlables, Harijans
avance. Dans une zone occupée où le peuple
entier est soumis à la prière forcée et réduit à la
misère, la seule possibilité d’entrevoir un avenir est de partir. Mais la frontière est fermée,
infranchissable. Personne n’en réchappe. Pourtant, cet homme lavé de tout jugement décide
de tenter le tout pour le tout et va réussir à
réveiller une population inerte.
Admi ni strati o n & co nsei l s fi nanc i er
Lo n g -métrag e de fi c ti o n:
LES RAYURES D U Z EB RE
B e n o î t Mari ag e - MG PROD UCTIONS
E n di stri buti o n
( BARDAF EU CINEMA)
José est agent de footballeurs. Sa spécialité :
repérer en Afrique des talents prometteurs. Lorsqu’il déniche Yaya, il l’emmène en Belgique
pour en faire un champion. Il est persuadé
d’avoir trouvé la poule aux œufs d’or. Mais rien
ne se passera comme prévu...
Co ur t-métrag e de fic tion :
L A CAVERNE
Vi ncent B l ai ro n
En dével o pp ement
Tantôt sur le ton de l’humour, tantôt avec profondeur, ce film raconte l’histoire d’un homme
ordinaire, Simon, qui se rend compte de la
dimension filmique de son existence. Mais
jusqu’où le mènera sa prise de conscience et à
quel point les films ont-ils envahi sa vie ?
Co ur t-métrag e mu sic al de l’ar tiste
KI D NOI Z E
En dével o pp ement
KID NOIZE, un homme à la tête de singe, est un
étrange personnage qui aurait pu sortir d’une
autre dimension, d’un comics déposé sur une
étagère, comme l’élément central d’un uni-
vers fictionnel s’invitant dans notre réalité. KID
NOIZE, c’est un artiste made in Belgium. Plus
que de la musique, KID NOIZE c’est l’alliage
parfait du son et de l’image.
Lon g-m étrage do cu m entaire
YEGEN
Den is Mau gu it
En développ em ent
En Andalousie, à 900 mètres d’altitude, au pied
de la Sierra Nevada se trouve le petit village
de Yegen. En 2010, abandonnant carrières et
niveau de vie confortable à Bruxelles, Isabelle
& Cédric, un jeune couple belge, décide de tout
quitter pour se lancer dans un mode de vie alternatif basé sur le bien-être. Dans nos sociétés
actuelles, un tel projet est-il possible ?
L i o n e l
SCAILTEUR
Producteur belge – 1987
Lionel Scailteur est actuellement un jeune producteur belge. Diplômé assistant social, il se rend
rapidement compte au cours de ses études que
ce à quoi il désire se consacrer, c’est le cinéma.
Il suit alors pendant un an des études d’Arts
du spectacle à l’ULB (orientation cinématographie). Cependant, c’est davantage sur le terrain
qu’il s’est forgé son expérience. En effet, dès l’été
2009, il se met à travailler sur le long métrage du
réalisateur belge Stephan Streker, « Le Monde
nous Appartient » (sorti en février 2013). Ce film
lui a véritablement permis de toucher à tout : il
a travaillé sur le casting, a été assistant de réalisation pendant le tournage, a participé de très
près à la postproduction, dont une partie c’est
déroulé à Los Angeles, ainsi qu’à la promotion.
Outre ce film-là, Lionel a également participé de très près à la promotion Begique de
« Viva Riva », un film du réalisateur congolais Djo Munga, produit en Belgique. Et a
participé au casting du nouveau film de Benoît Mariage « Les Rayures du Zèbre » avec
Benoît Poelvoorde (sorti en février 2014).
Par ailleurs, il a en parallèle œuvré à monter,
petit à petit, sa propre boîte de production
BRIGHTNESS FACTORY avec son partenaire
Alexandre Elbaz. C’est ainsi qu’ils ont été sollicités pour produire le dernier court-métrage de
María Castillejo Carmen, « Taram Tarambola »,
sur lequel ils travaillent depuis février 2013.
L’année 2014 s’annonce déjà bien remplie pour
la société. Trois courts-métrages de fiction sont
en financements ainsi qu’un documentaire de
création, des publicités et la production des
prochains clips de KID NOIZE. En plus de cela
Lionel et Alexandre donne des conseils en
communication et en direction financière sur
d’autres projets artistiques.
A l e x a n d r e
EL B A Z
Producteur Brightness Factory - 1989
Diplômé en techniques du cinéma, option
production, à l’HELB INRACI (Bruxelles) en juin
2010. Pendant ses études, il a le plaisir de faire
un stage en assistant de production à la préparation du film « LARGO WINCH 2 » réalisé par
Jérôme Salle, ainsi qu’un stage en régie plateau
sur le long-métrage « LIBRE ÉCHANGE » réalisé
par Serge Gisquière.
En sortant de ses études, il participe en tant
qu’assistant de production au long métrage
« LE MONDE NOUS APPARTIENT » réalisé par
Stephan Streker jusqu’en fin 2010.
Tout de suite après, dès début 2011, il est rattaché à la société MG Productions. Il débute
en tant qu’assistant de production, et de fil en
aiguille, devient directeur financier junior de la
société.
Dès le mois de décembre 2012, il exerce la
fonction d’administrateur Belgique pour le film
« LES RAYURES DU ZÈBRE » réalisé par Benoit
Mariage.
Dès cette mission terminée, il concrétise son
désir de devenir producteur en créant, avec
son associé Lionel Scailteur, la société « Brightness Factory ». Ils sont fiers de co-produire le
court-métrage « TARAM TARAMBOLA » réalisé par María Castillejo Carmen. En fin 2013, ils
produisent aussi une série de capsules publicitaires pour une toute nouvelle marque de
chaussette « JUST SOCKS ».
Pour cette année 2014, ils sont en développement de plusieurs projets de courts métrages
de fiction, un long métrage documentaire,
ainsi que de clips musicaux.
L A CA B ANE
à F I L MS
Production
Que ce soit dans un arbre, sous un lit ou avec de
vieux cartons, les enfants ont toujours construit
des cabanes pour s’y retrouver, s’inventer des
jeux, se raconter des histoires, rêver...
La Cabane à Films ASBL est un collectif artistique né de la rencontre entre les sensibilités
singulières de quatre cinéastes diplômés de
l’INRACI. Leur plaisir et leur motivation de faire
des films ensemble est à l’origine de cette initiative. La Cabane est passée sous le statut d’ASBL
en 2012, et se définit aujourd’hui comme un
collectif d’auto-production.
( I
AM )
UN H A P P Y
Leur première auto-production, le court-métrage «(I AM) UNHAPPY» de María Castillejo
Carmen, a été sélectionnée à plus d’une quarantaine de festivals :
Medina Del Campo Short Film Festival.
BSFF (Brussels Short film Festival)
Média 10/10
Nikon Film Festival
Cinemabrut
Seoul International Youth Film Festival
Cineglobe
Guanajuato Film Festival
Le film a obtenu plusieurs récompenses (Meilleure première œuvre au festival Media 10/10
de Namur, prix du public au Nikon Filmfestival...) et, après avoir été acheté par France 3
pour une période de trois ans, il continue sa
carrière en visant les ventes en télévision.
Leur vocation prioritaire est de créer et promouvoir leurs propres projets artistiques.
La Cabane à Films propose également son savoir-faire pour mener à bien les projets audiovisuels de tierces parties. Elle a déjà collaboré
plusieurs fois avec d’autres réalisateurs et collectifs dans le cadre de court-métrages :
• détachement de techniciens image sur
deux courts métrages de Baptiste Grandin
(«Conquête Spatiale» et «Face D»)
F AMILLE ,
P LUS
MOI
NON
La deuxième production de La Cabane à Films
est le moyen métrage documentaire «Famille,
moi non plus» réalisé par Boris Finn et María
Castillejo Carmen, finalisé en octobre 2012.
La Cabane à Films obtient à cette occasion le
soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles,
de la SABAM, d’AG Insurance, de la Fondation
Roi Baudouin et du CBA (Centre Audiovisuel de
Bruxelles).
Dans un format de 59 minutes, «Famille, moi
non plus» brosse le portrait de familles précarisées accueillies dans une maison maternelle de
la région de Charleroi.
• détachement de la cadreuse Morgane Van
Hoobrouck sur le documentaire de Nathalie
Pontalier «Le club des silencieux» tourné au
Gabon en décembre 2013.
Redéfinissant les rôles lors de chaque projet,
ouverte aux collaborations et aux coproductions, La Cabane à Films assume son identité
mouvante comme une philosophie de l’ouverture d’esprit et de la curiosité.
TARAM TARAM B OLA
Le dernier projet en date, le court-métrage de
fiction «Taram Tarambola» réalisé par María
Castillejo Carmen, est une co-production avec
Brightness Factory. Le film, finalisé en janvier
2014 et actuellement en phase de diffusion,
a été tourné dans la région de Namur en juillet 2013. Avant même sa finalisation officielle,
«Taram Tarambola» a été choisi par «Clap ! Wallonie» pour être montré dans leur sélection
annuelle de films tournés en Wallonie.
F ANTINE
HAR D U IN
Petite soeur - Anna
F a n t i n e c’est l’audace, la répartie et la justesse à
l’état pur. Dès son premier casting et au bout de quelques
secondes, il était évident pour nous que le rôle était pour
elle. Tout était juste : ses regards, ses mouvements, ses répliques et tout cela avec l’assurance qui fait probablement
les futurs grands comédiens. Ce fut pour nous une grande
chance et un véritable plaisir de la côtoyer durant toute
cette belle aventure. Elle possède en elle une maturité
et une lucidité exceptionnelles du haut de ses neuf ans.
Son volume de jeu est énorme ; son potentiel aussi... C’est
sûr, on la reverra encore sur nos écrans ! C’est tout le bien
qu’on lui souhaite.
I X YANE
L ÉTÉ
Grande soeur - Emilie
I x y a n E porte en elle quelque chose de très fort,
de très profond. Son regard ne ment jamais ; ses mouvements et son attitude non plus. Elle a cette capacité à
habiter un rôle, une émotion. C’est une jeune actrice très
talentueuse, qui ne se protège pas et qui offre toujours le
meilleur à ceux qui la regardent. Travailler avec elle est une
facilité pour le metteur en scène : elle écoute, comprend
et propose toujours quelque chose d’encore plus puissant que ce que nous aurions pu imaginer. C’est évident,
Ixyane a beaucoup de choses à communiquer au monde.
Quoi qu’elle décide pour sa vie, nous serons les premier à
la suivre.
SAM
L O U WYCK
Albert
Lors du travail d’écriture, nous n’avions qu’une chose en
tête : S a m L o u w y c k .
Sam, c’est un charisme qui emmène tout autour de lui.
C’est un danseur merveilleux, un comédien hors du commun. Il est à la fois très viril et très sensible, grave et poétique. Sa maîtrise est impressionnante mais au-delà de son
talent intrinsèque, c’est l’aura qu’il dégage, la précision de
son regard, sa voix et son instinct qui font de lui un homme
extraordinaire. Ce fut un honneur et une grande chance
pour nous de le compter dans notre équipe. En plus d’être
en possession d’une très belle filmographie (Rundskop,
Le monde nous appartient, La cinquième saison, Une
chanson pour ma mère...), Sam vient d’être nominé aux
Magritte 2014 comme meilleur acteur aux côtés de Benoît
Poelvoorde, François Damiens et Jan Hammenecker et il
est évident qu’il a sa place parmi les grands.
F ICHE
ARTISTI Q U E
ANNA
Fantine Harduin
EMILIE
ixyane Lété
ALBERT - BARMAN
Sam Louwyck
LAURA - FEMME DE BARMAN
Nora Alberdi
BARBARA - MAMAN DES FILLES
Ariane Rousseau
FRANÇOIS - PÈRE DES PETITES FILLES
Hervé Dubois
LE MAGICIEN
Alipio Rabazo
FEMME DE LA CABANE
Cécile Vangrieken
ACIENNE VEDETTE
Chantal Pirotte
COLINE - PETITE FILLE DE L’HOMME DU FLIPPER
Coline Dubus
L’HOMME AU FLIPPER
Kevin Dudjasienski
F ICHE
TECHNI Q U E
Scénario & réalisation
María Castillejo Carmen
Production
Brightness Factory & La Cabane à Films
directeur de production
Bertrand Denoncin
Directeur de casting
Manuel Carpiaux
Chef opérateur
Antoine Delforge
ingénieur du son
Julien Vanhée
1er Assistant réalisateur
Denis Mauguit
Scripte
Victoria Garnier
Coach enfants
Maureen Terrie
Animation
Rémi Vandettine
Compositing
Nicolas Grandry
Chef décorateur
Emmanuelle Segura
Chefs dostumières
Bineta Saware & Caroline Géréduz
Maquilleuse
Daphnée Durieux
Regisseur générale
Johan Libin
Coordinateur de post-production
Joachim Veszely
Montage
Boris Finn
Musique originale
Greg Avau & Barlos Swing
Mixage
David Gillain
Etalonnage
Jean-René Nebot
avec l’aide
du Centre du Cinéma et de l’Audiovisuel
de la Fédération Wallonie-Bruxelles et
de VOO
avec la participation
du Clap ! asbl - Bureau d’acceuil des tournages
- Provinces de Liège Luxembourg Namur
de la SABAM
soutenu par
l’Hôtel Beauregard de Namur, Groupe Circus
Orangina Schweppes Belgium
Casio Belgium
Vedett
B r i gh t n e s s
Fac to r y
PRODUCTEUR - VENDEUR INTERNATIONAL
Rue au Bois, 83 - Boïte 1
1150 Bruxelles
TVA BE 0537 366 439
. Alexandre Elbaz
Mobile
Email
0032 475 69 83 64
[email protected]
. Lionel Scailteur
Mobile
Email
0032 494 84 28 14
[email protected]
Web
www.brightnessfactory.com
L a
C a b a n e
à
F i l m s
PRODUCTEUR
Mobile
0032 486 30 63 24
Email
[email protected]
Web
www.lacabaneafilms.com
https://www.facebook.com/pages/La-Cabane-à-Films
Fac e b o o k
Taram Tarambola
https://www.facebook.com/TaramTarambola