Octobre 1912 - Site en travaux, le week
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Octobre 1912 - Site en travaux, le week
ILi« Quatrième Année — N» 70 INTumAi^o ECHO ? e» Vendredi 4 Octobre 1912 C4»zxtizn*s BRETAGNE (Ancien QUIMPERLOIS) Journal Républicain, Politique, Littéraire, Financier, Industriel, Agricole, Commercial et Maritime Pax*fiiissaxit l e V e a c i r e c i i ANNONCES ! ABONNEMENTS : Annonces judiciaires Annonces volontaires Réclames Un An 3 fr. 00 Six mois 2 fr. 0 0 Tout abonni, qui, à l'expiration de son abonnement, n'aura pas, dans un délai de 8 Jours, renvoyé le journal avec la mention « refusé », sera considéré comme réabonné pour Pannée suivante. Les mis aries Armée de terre, armée de mer, armée de l'air ! Qui eût osé, il y a dix ans à peine, prédire qu'aux préoccupations de notre défense sur le sol et sur les flots s'ajouterait celle de notre préservation dans l'élément fluide, cet espace que l'homme a tenfé de vaincre dès la plus haute antiquité, même fabuleuse, et dont il ne cessa d'être le jouet, malgré les découvertes les plus ingénieuses ! Eh bien, non seulement l'air lui a été soumis par ses recherches patientes, mais encore, par une extension de sa puissance dans ce domaine hier inaccessible, il entend y porter l'affirmation de ses droits et, pour sa patrie, y soutenir les mêmes lufîes que dans les deux autres empires où évoluèrent jusqu'à présent ses légions et ses navires. Et combien peu de temps il a fallu pour qu'à l'art de la guerre fat adaptée la manœuvre des immenses oiseaux qu'on eût cependant souhaité ne devoir qu'au développement du progrès pacifique ! Chez nous, qui avions élé les initiateurs des grands raids dont celui de Blériot fut une date dans l'histoire moadeeiëansl^AWD^çklure de nos iastes on n'envisagea pas tout d'abord l'utilisation des engins nouveaux. On y voyait surtout un sport applicable, par l'extension de ses moyens, à la célérité des relations libérées des vieilles entraves que créent les frontière::;. C'est seulement aux manœuvres de Picardie, en 1910, que quelques avions pilotés par des s|)éciali.sles civils, avec le concours d'un nombre infime d'élèves militaires, firent leur apparition, sans toutefois que l'on escomptât pleinement les services qu'ils étaient appelés à rendre. Chez les adeptes de la routine — il y en a parmi les gens les moins prévenus — on était porté à ne considérer l'aéroplane que comme une périlleuse smu{•etle. Il fallut bien se rendre à l'évidence et réformer ce jugement lorsque l'on contrôla les renseignements recueillis par ces « observations » mobiles sur les mouvements de troupes, sur leurs positions, sur la topographie des lieux elles surprises auxquelles les partis en présence étaient exposés. Dès lors il ne fut plus permis de concevoir le moindre doute ; il fallait faire sortir du néant la flotte aérienne qui serait l'auxiliaire indispensable de la stratégie, il fallait, tandis que se multiplieraient les appareils audacieux, que se multipliassent également les aviateurs soldats qui apporteraient dans ce rôle les mêmes vertus de courage et d'abnégation que dans celui qu'ils remplissaient jusqu'alors, artilleurs ou fantassins, prêts à donner tout d'eux à la France, sur n'importe quel point qu'elle les appelât. L'émulation était d'autant plus désirable que les Allemands dont les esprits superficiels, les éternels infatués plaisantaient les échecs — grossis à plaisir — de leurs dirigeables, avaient su, par un concours du pouvoir et de la population, préparer une organisation dont aujourd'hui l'examen étonne quiconque l'étudié sans autre désir que celui de s'instruire. Ne résulte-t-il pas d'une inspection récente accomplie par un écrivain très entendu qu'ils possèdent à cette heure un outillage de tout premier ordre, non .seulement par la quantité des aéronefs, mais encore par les proportions des hangars et la répartition du per>onnel affecté aux services divers ? Chez nous, on a le sarcasme facile ; au lieu de rire de leurs déconvenues, nous eussions mieux agi en nous pénétrant des mêmes efforts que les sujets de Guillaume. Il devenait superflu, dès lors, de hâter la compo9iUaQ de la qoatiièjue arme et nous la ligna 0 fr. 2 0 — 0 fr. 2 B — 0 fr. 6 0 f On traite à forfait pour les annonces répétées) nous épargnions les anxiétés qui, un moment, s'emparèrent de nous devant la constatation du retard où s'était complu notre amour-propre de devan ciers. Maintenant le mal est à peu près guéri ; si nous sommes en dirigeables moins pourvus que nos voisins, nous avons la supériorité très évidente des aéroplanes, bi-plans et mono-plans plus conformes par leur maniabilité au tempérament de potre race. La revue qu'en a passée le ministre de la Guerre à la fin de septembre, «;omme pour clore la série des épreuves qui attestent la valeur de noire oganisation militaire, doit inspirer pleine confiance, et cela, aux esprits les plus réservés. Après le succès incontesté des manœuvres de Tourraine et la démonstration éclatante qu'en matière d'aéronautique appropriée à la défense nous avons regagné le temps perdu, voici le lancement d'un super-Dreadnought, le Paris, monstre de 23.000 tonnes auquel neuf mois ont suffi pour sortir du néant, qui démontre l'activité de notre renaissance maritime dont la Bretagne, contrairement à ses craintes dissipées par les déclarations officielles, n'aura pas à se plaindre. Et ce sera justice, puisqu'elle est la pépinière des matelots qui font tant d'honneur à la grande patrie, à la plus grande France. Lorsque tant d'éléments périlleux se combinent en Europe pour menacer la paix, il est bon pour nous de savoir, que nous sommes prêts à subir un choc, d'où qu'il vienne. question, a émis l'avis que, dans l'intérél du commerce, l'emploi de ces enveloppes doit continuer à être autorisé, à la condition : 1® Que la transparence assure une par faite lisibilité de l'adresse, môme à la lumière artificielle ; 2° Que la partie transparente soit dis posée dans le sens du plus grand côté de l'enveloppe ; 3° Que l'emplacement du timbre d'affranchissement soit indiqué par un cadre « Plusieurs listes appartenant à une même imprimé à l'angle droit supérieur. circonscription peuvent déclarer mettre en Il est recommandé toutefois de ne pas commun leurs suffrages en vue de l'attribution des sièges correspondant aux restes. » I l suffit faire usage des enveloppes parcheminées de le déclarer à la préfecture, dix jours ou gélatineuses sur lesquelles les figurines francs avant celui du scrutin. d'affranchissement adhèrent mal et les Cette trouvaille, ami Nicolas, est merveilleuse 1 En somme, les proportionnalistes timbres à date ne donnent que des em disent aux diflérents partis : « Jadis, vous preintes illisibles ; on évitera ainsi des vous coalisiez sans nous prévenir : c'était risques de taxation à l'arrivée et des confâcheux ; désormais, vous vous apparente- testations sur la date de la mise à la poste rez en le déclarant hautement : ce sera très des envois en cas de réclamation. Le concubinage, c'est l'apparenlemenl. Nos apothicaires erpéistes ont découvert; un beau matin, que les partis se fivraient à des coalitions électorales. Ils ont admis fort justement, que ces sortes d'exercices étaient profondément regrettables. Pour en empêcher le retour, ils ont voté un projet de loi proportionnaliste, fort admiré de ceux qui n'en comprennent pas le premier mol. Parmi les articles abracadabrants de cette loi, il en est un qui constitue la pana cée propre à guérir à tout jamais fes impertinents qui se permettaient de flirter en période éfectorale. Le voici ; bien ; le principal était de nous en avertir 11 n'est pas nécessaire que vous ayez les uns pour les autres la moindre sympathie. Vous ne faites pas un mariage d'amour, mais une alliance de circonstance. Publiez vos bans chez le préiet en temps voulu, et tout sera pour le mieux dans le meilleur des erpéismes. » Qu'en dit-tu, Nicolas ? UNE UTILE LEÇON Nous, nous appelons cela un monstrueux accouplement autorisé, encouragé par la toi. Les proportionnalistes ne recommanLe discours que M. Steeg a prononcé, dent môme pas l'apparentent aux partis voidans la Gironde, mérite mieux les sins, se connaissant un peu, ayant des vues, des idées, des préférences communes. C'est, honneurs de l'actualité ; il mérite qu'on comme tu dis, le cadet de leurs soucis. Que le relise et médite à loisir. les monarchistes s'allient aux collectivistes, Ce Bernard Roudier, qui l'a inspiré ne les papistes aux républicains dissidents, fut qu'un modeste représentant du peuple. qu'importe ? Les erpéistes estiment l'accouplement admirable, puisqu'il aura été Une domina ni à la Chambre ni à son parti. Il ne fut ni un homme d'Etat à l'aulorilé déclaré à l'avance. La Politique Tu trouveras, comme nous, Nicolas, que voilà une singulière manière de supprimer les coalitions. Sans -doute, celles-ci étaient détestables; mais elles pouvaient dans bien aes cas, n'être que passagères, ne réussir LIBKES FEUILLETS qu'une fois, le parti le pfus nombreux ayant les chances de triompher encore, par son effort,sou esprit de discipline,sa propagande. Mais, là, c'est l'enregistrement officiel et définitif des alliances tant réprouvées aupasur le ravant, c'est la prime aux plus astucieux marchandages, aux plus etlrontées tractations. Nous te laissons deviner ce que feraient des minorités pour se faire attribuer, La notre ami Nicolas, cyltiiiateur lors de la préparation des sièges provenant et Conseiller Municipal des restes, un de ceux ravis à la majorité. Te souvient-il, ami Nicolas, des fiançailles Vraiment, Nicolas, plus nous examinons de ta fille Mari-Gaït et du grand Youen ? cette loi, plus nous voyons qu'elle est inComme nous les aimions, ces enfants ! ventée dans le dessein de détruire toute maCombien l'émotion nous étreignait lorsque, jorité, de constituer des minorités hostiles levant nos verres de « chistr-mad », autour entre elles, d'en faire de faux ménages, de de la table de famille, nous leur disions, leur confier l'arbitrage des élections et des simplement, nos vœux, nos espoirs I Tu gouvernements, et, surtout, de créer un état étais charmé, tu envisageais l'avenir. Le d'anarchie où se perdrait de plus en plus le gars aurait quelques champs, ta fille recueil- vieil idéalisme républicain. Dans ces coalilerait ion héritage. Et puis, ils se connais- tions autorisées que sont les apparentements, saient si bien I ils avaient grandi côte à il y a une chose qui disparaîtrait : c'est la côte ; leur union serait un mariage conception républicaine de la discipline des « d'amour » en même temps qu'un mariage partis, fa notion d'éfémentaire probité qui « de raison ». Tu trouverais, près de chez veut qu'on ne inêfe pas son buffetin de vote toi, une nouvelle famille. C'est ainsi que à cefui de f'éternef adversaire. Oui, Nicofas, chez nous l'on devient « pareil ». H faut, au cette notion s'eflacerait de fa conscience des préalable, se comprendre, s'estimer, éctian- électeurs si fa R. P. était appfiquée. La conger de l'affection. voitise des sièges restés en f'air, fe désir de Ce soir d'accordailfes fut délicieux... récolter quelque butin à f'hôtef du « dé* crochez-moi çà » provoqueraient f'oubfi des • • En évoquant ce souvenir, nous ne pouvons grands principes républicains. Voilà donc, une fois de plus, le germe de nous défendre de penser aux fiançaifles, aux mariages de jeunes gen* qui se sont ren- mort trouvé dans cette loi. Ami Nicolas, si jamais le hobereau du contrés selon te hasard des voyages, des soirées de casinos, des flirts de plages ou bourg venait te parler d'un apparentement d'hôtels cosmopolites, fis s'ignoraient ; leurs possible, nous connaissons d'avance ta réfamilles également. Que sera, pour eux, le ponse. Vieux démocrate, tu renverrais ce lendemain ? Âh ! Nicolas, un mariage pour saint Jean-bouche-d'or à ses flirts avec ses nous autres est chose sensée, mais dans pareils, car lu as, malgré fes erpéistes, une biiîn des cas ce n'est qu'un accouplement suprême confiance en la force invincibfe de ton parti et, pour tout dire, en ta simple incertain, un mauvais « apparentement ». * honnêteté 1 « «  vendredi prochain, Nicolas 1 Tu fronces le sourcil, Nicolas, parce que J E A N - P I E R R E et J E A N - C L A U D E . nous venons de te parler d' « apparentement » ? Tu as entendu déjà prononcer cet élégant vocable par le hobereau proportionnaliste du bourg. Tu établis, iavolontairement, une comparaison entre ceux qui font de mauvais ménages et ceux qui, en politique, veulent s'apparenter ? Tu n'as pas tort, L'emploi de certaines enveloppes transNicolas. If existe actueftement une catégoparentes ou à fenêtre présente des inconrie de gens très intelligents, très distingués, vénients pour le service des postes. En à l'esprit subtil, qui veulent, pai tous les moyens, unir devant M. le Préfet des êtres ''rance, l'usage de ces enveloppes est qui ne s'aiment pas du tout ou ne se con- néanmoins toléré^ mais des pays étrannaissent nullement. Coûte que coûte, ils s'obstinent à vouloir tes «apparenter». Sous gers, notamment l'Allemagne, l'Angleprétexte qu ifs les avaient parfois surpris terre, la Belgique, le Luxembourg et la en un tlirt inacceptable, ils jugent à propos Suisse, ont cru devoir le subordonner à de les marier ou, si tu préfèies, de les acco- des conditions restriclives. L'office suisse ler en un concubinage imprévu. Ifs s'en a môme complètement interdit l'usage réjouissent et pensent naïvement avoir trouvé le moyen rapide et élégant d'empê- d'enveloppes ajourées : il n'admet les enveloppes transparentes que si la partie à cher à jamais les tlirts malencontreux. • travers laquelle apparaît l'adresse est dans JEAN MÉRAC. LETTRES PAYSANNES Système Franco-Chinois de la R. P. Les Enveloppes Transparentes • « Le remède, Nicolas, est pire que le mal. Les flirts dont nous te parlons, c'étaient les coalitions. e sens de la longueur de l'enveloppe. Le comité consultatif des postes et télégraphes, qui s'est préoccupé de cette inconstestée, ni un orateur de puissante éloquence. Et, pourtant, M. Steeg eut raison de saluer, devaflt le monument élevé en son honneur, la mémoire d'un des hommes qui ont droit, le plus sûrement, à la gratitude des républicains. « Magistrat, il renonça aux fonctions qui lui étaient confiées ; républicain, il lie voulait pas pi ôler serment à l'Empire, ^ien ne montre mieux ce qu'il availdenellelé dans ses convictions, dè droiture dans sa conscience. Ces précurseurs n'étaient pas de ceux qui transigent avec leur pensée. Leur sens moral s'étendait au domaine politique comme à la vie privée. Nulle jarole prononcée n'était pour eux chose négligeable, nul engagement, caduc ; nulle restriction mentale, admissible. S'ils avaient prêté serment à l'empire il l'aurait loyalement servi. Ils n'y consentaient pas : ils brisèrent leur carrière, lis n'acceptaient )as de s'installer dans la place j)our la mieux livrer et de vivre de l'empire pour le combattre plus sûrement. Noble exemple, exemple toujours actuel, que nous ont donné ces républicains qui ne croyaient pas qu'il fût possible, pour un fonctionnaire, d'isoler la fonction de la nation, ni homme de sa fonction. » Par ces mots, le ministre de l'Intérieur n'a pas fait qu'évoquer l'âge héroïque de la République ; il a, à propos, rappelé 'impérieux devoir qui s'impose à tous ses serviteurs. Chez un trop grand nombre de ceux-ci, e souci de l'intérêt corporatif a obscurci la notion de l'intérêt national. « Ils vivent de la République », et ils font alliance avec qui la combat. C'est, pourtant, la République, non celle de leurs rêves, mais celle qui est la réalité présente c'est la République, seule, qu'ils doivent servir sans restriction et sans conditions. Le noble et ferme langage de M. Steeg sera entendu. Certes, il faut doter, sans délai, tous les "onctionnaires d'un Statut égal, qui précise eurs devoirs et garantisse leurs droits. Vlais, dès maintenant, il n'est pas chimérique d'espérer qu'en dépit de leurs pré'ércnces politiques secrètes, ils useront vis-à-vis de la République, de la même loyauté dont témoignèrent les républicains l'égard de l'Empire. Aucun sophisme, en vérité, ne saurait avoir raison de cette règle d'élémentaire probité : dès lors qu'on a engagé sa foi à un régime pour en obtenir une fonction, on ne saurait garder la fonction et trahir sa foi. Après lesjjanœuvres Si les grandes manœuvres annuelles ne devaient comporter que la satisfaction qui provient d'un beau spectacle militaire celles de 1912 fourniraient le thème de la plus profonde admiration aux écrivains doués de quelque lyrisme. Elles furent magnifiques, se déroulèrent dans une admirable région où les troupes purent évoluer tout à leur aise ; elles em pruntèrent un caractère de réalité aussi étendu que possible, et, de plus, elles présentèrent un attrait nouveau des plus puissants : l'emploi des aéronefs, maniés par des officiers formés à ce périlleux exercice dans un délai d'une brièveté surprenante en raison de leur maîtrise et de ses résultats. Tout cela est fait pour nous rassurer, nous consoler de bien des défaillances encore récentes, nous permettre d'envisager sans craintes les éventualités d'une agression ; cer, à ne nous en rapporter qu'aux impressions de la presse germanique, jamais la France ne fut plus piéte, plus entraînée, jamais l'esprit des masses ne fut plus disposé à accepter les conséquences d'une rencontre si, par malheur, elle devenait inévitable. Si, d'une part, le chauvinisme braillard et agressif, le nationalisme théâtral et claironnant se sont atténués et mués en dignité tranquille, le vrai patriotisme a repris possession des âmes, refoulant, annihilant l'anti-patriotisme, qui cherche des formules pour masquer la stérilité de sa propagande. Voilà bien de quoi nous incliner aux méditations que suggère l'état présent de l'Europe, et nous y conduire avec quelque sérénité. Oui, sans doute les manœuvres de 1912, en Touiaine, auront élé pour éblouir nos yeux et pour faire vibrer no.»» espoirs légitimes en une paix que garantit uotre force, mais il y avait quelque chose de plus dans celte démonstration des pro grès incessants de notre armée, il y avait jar la présence sur le terrain du grand duc Nicolas, oncle du Tsar et chef de l'armée russe, la preuve du resserrement de 'Alliance et de l'intérél que l'on porte chez nos amis du Nord à nous savoir prêts devant toute attaque pour préparer l'intervention qu'elle déterminerait de la part de ceux qui doivent combiner leur action avec la nôtre. Cette présence du grand duc, qu'accomlagnait sa femme, venait justement après e voyage si bien apprécié de M. Poincaré à Pélersbourg et à Moscou, constituant la réplique aux avances de Guillaume 11 et eur commentaire. Elle se produisait précédant de quelques ours la visite en Angleterre de M. Sazonofi", ministre des Affaires étrangères de \ussie, et|sa réception au château de jalmoral où il serait l'hôte du roi Georges. Il faut que bien des éléments nouveaux aient été introduits dans les rapports des juissances pour que ces deux rivales, la Grande-Bretagne et la Moscovie en soient venues à de pareils échanges de politesses. )e ces aménités symptomatiques d'une union plus étroite on peut dire que l'artisan principal, c'est la diplomatie fran< çaise, laquelle, avec une vision précise des enchaînements inéfuctables, a compris que e contre-poids le plus sûr de la TripleAlliance devrait être la Triple-Entente, ui enserrerait cette dernière dans un réseau propre à en paralyser les mouvevements. A première vue, peu de difficultés s'op)osaient à cette association, le champ des rivalités entre Russes et Anglais s'étanl restreint par le partage des influences en •erse et par le règlement de diverses uestions où les deux peuples étaient en antagonisme. Cependant on s'était trop pressé de croire que toutes difficultés étaient applanies. Outre que l'anarchie persaune pourrait amener « un troisième larroti » à vouloir y )orter un remède, privant anisi la Russie u port sur le golfe persique qu'elle convoite et qui lui ferait implicitement un débouché sur des parages à elle interdits usqu'à présent, la dislocation imminente à des courants opposés, et l'agitation balka nique, qui peut se changer en incendie général d'un instant à l'autre, réclament autant de solutions à l'élude desquelles se heurtent les susceptibilités des deux contractants. De là l'obligation de remanier fes bases de f'accord anglo-russe. Ce ne sera pas trop de toute l'habileté et de toute la bonne volonté des négocialeurï pour élablir un modus viccndi qui fasse disparaître toute trace de difficuflés. Avec l'intention ferme d'uboulir, on parviendra, sans doute à un règlement équitable, sauf a se consentir de mutuels sacrifices. La Russie, prolectrice naturelle des nationalités slaves, s'est vue dépouillée d'une ['arl de son prestige par l'Autriche ; d'autre part l'Angleterre ne saurait renoncer à son rôle modérateur parmi ces mômes nationalités. H en est de même en Chine où le Thibel fait l'objet des désirs de trois concurrents et qui deviendra possession du plus adroit, de celui qui arrivera bon premier à Lhassa uù les moines boudhistes subiront le joug britannique, moscovite ou chinois, selon la rapidité de l'envahisseur. Les journaux allemands grossisent gratuitement tous ces obstacles, nous avons la certitude qu'ils seront surmontés et que, malgré le dépil qu'ils en éprouveront, la Triple-Entente, dûment nouée, ne manquera pas de donner ses fruits. Ne serviiail-eife qu'à brider f'ambilion germanique, qu'elfe devra se conclure, ou l.lulôt se fortifier par le senlimtjnl d'une mutuelle préservation. J. M. Les Balkans en feu Nous empruntons à notre confrère leAoHvelhsle du Morbihan le court aperçu cidessous delà situation dans les Balkans : Bulgarie, Serbie, Gièce, Monténégro ont décidé, d'accord commun, de mobiliser leurs troujies et de les grouper sur les frontières ottomanes. En Bulgarie. — A Sofia, capitale de la Bulgarie, la mobilisation a élé annoncée officiellement lundi soir. Celte nouvelle a produit un enthousiasme général dans la population qui, en grande foule, a manifesté dans les rues, en poussant des acclamations ininterrompues. Devant la légation d'Italie, le drapeau italien a élé joyeusement acclamé. En Serbie. — La Serbie est sous les armes, en attendant la décision du gouvernement ottoman au sujet des reverrdicclions qu'elle a formulées dans un récent ultimatum. En Grèce. — On télégraphie d'Athènes : « D'accord avec les autres Etats des Balkans, la Grèce a décidé de mobiliser toutes ses troupes sur terre et sur mer. « Celle mobilisation générale est motivée, dit un communiqué, par la mobilisalion de l'armée turque et par l'état intérieur inquiétant de la Turquie,qui pourrait déterminer la Porte à chercher, dans une attaque contre les Etats voisins, un moyen de faire diversion aux difficultés qu elle doit surmonter. « Le roi, qui était à Vienne, est arrivé lier jeudi. » Au Monténégro.— On télégraphie de Celtigné que le roi du Monténégro a ordonné la mobilisation générale de l'armée. Les hostilités auraient déjà commencé. Ou signale, en effet, de Conslantinoplej qu'un combat a eu lieu à Grabovitch, entre les Monténégrins et les troupes turques. Plusieurs turcs auraient été tués ou blessés. En Turquie. — Pour répondre aux mesures prises par la Bulgarie et les autres nations balkaniques, le Conseil des ministres turc a décidé de diriger des troupes sur la frontière et aussi, parait-il, de renforcer les troupes en manœuvres. Cependant, dans les cercles officiels, on ne croit pas à la guerre. Le gouvernement ottoman a réquisitionné tous les moyens de transport et tous les vapeurs, notamment les transports grecs, pour l«>i passage de ses troupes. Le bruit court à Constanlinople que la Porte, en vue de concentrer tous ses efiorts de la Cbint où It nord et le sud obéissent sur les points menacés dM BiJkans, serait valeur des prix ci-dessus à tout propriétaire Voilà ce que Beaufrère appelle faire ne pas faire de réclame) profitant de la bonne occasion qui lui était offerte pour primé, ne faisant pas parti* de la Société de l'esprit I ! d'Agriculture. TRAIT Mais c'est aflaire entre lui et ceux expérimenter ses appareils, fit approcher Tout concurrent qui aura présenté des Première prime : une Médaille de vermeil^ animaux ne lui appartenant pas depuis trois qu'il ne craint pas d'assimiler, sans le malade, et du jet formidable d'une de offerte par M. Pichon, sénateur du Finistère mois ou fait une fausse déclaration sera que rien ne l'y autorise, aux plus re- ses pompes, le rappela à la vie. Pftie, hébété, il se releva, se frotU les et 60 fr. ; 50 fr. ; 3-, 40 fr. ; 4-, 30 fr. ; " exclu des Concours de la Société d'Agricul- doutables bandits des temps anciens et 20 l'r. ; C-, 10 fr. ; 210 fr. yeux,tflta ses poches et en courant,d*toute ture pendant deux ans et sa prime sera modernes. la force de ses jambes, disparut. l'OL'LAINS l-T l'OULICIlKS ^'-DESSOUS DE 3 ANS réservée. L a revue de la-, meute ^ e M . L e ÉLEVÉS DANS L'ARRONBISSEMENT Comme uu coup de veut il entra au NOTA. M. Le Floch, vétérinaire à (sang el demi-sang) Quimperlé, est commis i l'inspection dbs Louédec (comme le dit le spirituel bureau des postes, et à la hAte, nerveusePremière prime, 40 fr. ; 2-, 30 fr. ; 3-, animaux qui seront exposés au Concours. Beautrumea'ù) n'aurait pas été com- ment, il rédigea le télégramme suivant : Chaque exposant devra se munir d'un plète si notre .indécrottable aboyeur fr. ; 4-, 15 fr. ; 5-, 10 fr. ; total : 120 fr. « Barbe, Maire Moelan, certificat d'origine qu'il remettra au vétéTRAIT « ne s'était attelé aux chausses d'un « Manifestalion monstre organisée contre rinaire préposé à la surveillance du Concours (poulains et pouliches) avant de placer les animaux aux lieux qui des meilleurs amis de notre sympa- « vous demain Brigneau, votre carrière poliPremière prime, 50 fr. ; 2-, 40 fr. ; 3-,30fr lui seront indiqués par les Commissaires, thique député, que, les sarcasmes de u tique menacée. Attendez nous demain soir, 4-. 25fr.;5-, 20 l'r.; 6-, 15 fr. ; 7-, 10 fr. Ce certificat dévra être libellé dans la forme toutes les feuilles de sacristie réunies << bâclerons banquet Quimperlé vivement el total : 190 francs. « amènerons renforts. Vous en prie pas suivante : • ont le don de laisser absolument indif- « d'imprudence. » PRIX D'ENSEMBLE. — Une Médaille Le Maire de la commune de férent. d'argent sera attribuée au plus bel exemple certifie : 1° Que le sieur C'était clair et transparent n'est-ce pas I d'animaux de l'espèce cfîevaline. Chaque demeurant au village de Nousavonsvu M. Hirigoyen, aucours I l fallait à tout prix que la fêle de Briconcurrent devra exposer au moins trois , a déclaré vouloir exposer au de la réunion publique de mardi, demananimaux. Concours de la Société d'Agriculture d* derà M . Loui» Beaufrère qui ne cessait gneau qui devait être honorée de la présence de notre Député échouât — il ne Espèce Bovine Quimperlé, qui se tiendra à Clohars-Carnoêt: TAUREAUX RACE C0RN0UA1LLES La question se pose d'ailleurs dans les le 7 octobre 1912, (indiquer le nom de grimacer dans des soubresauts in- fallait pas que l'on puisse diie que dans mêmes termes pour d'autres denrées de (au-dessous de 2 ans) bre) animaux de l'espèce indiquer quiétants, d'avoir pour une fois dans cetle petite bourgade de pécheurs, l'on ait si les animaux appartiennent à l'espèce son existence le courage de tenir en réussi à attirer plusieurs milliers de perGO l'r., 2-, 50 fr. ; 3-, 40fr, Première prime, de première nécessité, comme la viande, bovine, porcine ou chevaline) ; 2° Que public les propos qu'il marmottait de sonnes, lorsqu'à Quimperlé le cuacuurs 4-, 30 fr. ; 5-, 20 fr-, ; lotal : 200 francs. le sucre et le café. dans ledit village, aucun cas de mala^lie A Quimperlé le prix du pain paraît TAUREAUX MARQUANT MOINS DE 4 ANS EN BOUCHE contagieuse ne s'est produit depuis un sa place et que l'intéressé, de ce fait, échouait si piteusement. Le mot d'ordre iut suivi. Le maire de Première prime, 50 ir. ; 2-, 40 fr. ; 3-, 30 Ir, ne pouvait entendre. Beaufrère qui exhorbitant. La population se plaint non mois au moins. .Moëlan ne fit Sun apparition a Brigueau total : 120 francs. A , le 1912 aboie si crânement quand il s'abrite sans raison que la diminution qui a porlé U ue Médaille de vermeil, offerte par M. Le qu'à 5 heures du soir alors que les regates Si MM. les Maires croient devoir refuser derrière une feuille de papier, n'a tout sur le prix des blés et des farines n'ait eu Louédec, Député, Conseiller général. Présiel les jeux divers étaient termines. Au ce certificat pour une cause quelconque de même pas osé risquer le vigoureux aucune répercussion sur le prix du pain dent de la société, sera attribué au plus premier tuurnanl de la route, l'on pouvait l'intéressé devra en référer à M. le Préfet du qui reste invariablement fixé à 1 fr. 10 beau taureau de la race bovine pie-noire. Finistère qui commettra un vétérinaire pour coup de talon qui l'aurait renvoyé à apercevoir par dessus la haie quelques son chenil méditer sur les vicissitudes lêtes qui osaient risquer uu wil luquiet. TAUREAUX RACES DIVERSES les 6 livres. visiter le troupeau. Fait et arrêté en séance, les 4 août et de la vie. Première prime, 40 fr. ; 2-, 30 lr.;3-. 20 fr. Qu'attend le Maire de Quimperlé pour C étaient les renforts 1 8 septembre 1912. Ce qui est inflniment amusant, prendre les mesures nécessaires en vue de total : yo francs. Monsieur le Maire de Moëlan, pâle, s'aLes taureaux primés seront gardés dans Le Président. J. LE L O U É D E C . d'autre part, c'est d'entendre Beaufrère vance, traverse la foule qui ne s'occupe pas lui donner satisfaction ? I nri-ondissemeiit pendant un an pour être Le Secrétaire, E. MORVAN. et ses amis, coutumiers des procédés de lui. Subitement un pécheuf qui de^^uis livrés à la reproduction. Les prim.;s ne seVU ET APPROUVÉ : qu'on leur connaît, parler de la cour- le malin portait le seul drapeau (iricoloie) ront remises qu'à cette époque sur la préQnimper, le 12 septembre 1912. sentation des animaux. Les taureaux déjà toisie, de l'aménité et de la correction qui ail pu dire prété par la mairie de Moëlan, s'arrête stupéfait, il vieni d'aperprimés pourront concourir l'année suivante Le Préfet, CHALEIL. qui préside à leurs actes. cevoir le premier magistral de la comA l'occa.sion du concours de la Société mais pour une supérieure seulement. Pour un comble, c'en est un 1 mune. Eh bien, dit-il, c est a c t heure que VACHES LAlTliiRES RACE CORNOUAILLES départemenlale d'agriculture. M. Pams, N'avons-nous pas entendu le « Pho- l'arri>es?'? Roulant des yeux eu bjuie PLEINES ou A LAIT ^au-Ucssous de 7 ans minisire de l'agriculture, s'est rendu dinographe » de la troupe municipale, de lolo, paraissant encore plus énormes à f'romière prime 50 fr. ; 2 , 40 fr. ; 3-, 30 fr manchederni.!ràPoutivy, Des fête.--avaient traiter d ' a n a r c h i s t e » à cette mémo- travers les verres grossissants ue aes bi4-, 20 fr. ; tolal 140 Irancs. été organisées à celte occasion. Malheurable conférence, un paisible ouvrier, nocles,dans un mouvement de colère, il lui VACHES LAITIÈRES RACES DIVERSES reusement elles ont été contrariéees par le qui tentait de réfuter les argumenta- jeta ces mois : Je suis notaire avanl loui Première prime, 30 fr. ; 2-, 20 francs ; to Diplômé de la Faculté de Médecine mauvais temps. el mes affaires me retenant principalement tions de l'orateur ? tal : 50 francs. de Paris Un banquet de 600 couverts a eu lieu à liÉNISSES RACE CORNOUAILLES La contradictiôn apportée contre le dimanche, je fuis d'abord mes aU'uires. midi sous la prés-idence du ministre. Des 56, rue Kéréon, QUIMPER A d'autres qui avaient eu vent Uu leiei^au-dessous de 2 ans) toute attente par M . Hirigoyen à l'argramme lance la veille et qui lui demanPremière prime, 40 fr. ; 2-, 30 fr. ; 3-, 20 discours y ont été prononcés par M, Rolh, gumentation du champion erpéiste enTous les Vendredis, CO.'VCARIVEAU daient la cause de sou arrivée aussi tarpréfet du Morbihan ; M. Langlais, maire fr. ; 4-, 10 fr. ; lolal lOU francs. gagé par le « barnum » de la place dive, il ré^iondit : Mon lils ayant eu une 2, QUAI D'AIGUILLON, 2 de Pontivy; MM. Brard,Nailet Le Rouzic, OKNISSES MARQUANT MOI.N.S DE 3 ANS EN BOUCHE Hervo, a eu pour conséquence de dé- t>anne d'auto je n'ai pu \enir JJIUS lùl, (PRÉS L'HÔTEL LE CLINCHE) 3-, 30 fr Première prime, 45 fr. ; 2.-, 35 fr. ; députés et par M. Pams. montrer à l'auditoire que le système mais j'ai tenu a venir quand même ; étant A la fin du banquet, est arrivé M. Le 4-, 20 ir. ; 5 , 15 ir. ; lotal : 145 ir. électoral, prôné par tous les réacteurs maiie du («aya c'est mon droit. Cabinet ouvert de 8 heures à 4 heures GIvMSSES RACES DIVERSES Louédec, député de Quimperlé, qui, acqui veulent le substituer au scrutin C'est même uu peu votre devoir MoSsieu Première prime,30 fr. ; 2 ,20 fr. ; 3',I0fr. comp:igné de M. Calloc'h, sous-préfet de uninominal actuellement en vigueur le Maire 1 I tolal GO francs. Quimperlé, s'y élail rendu pour saluer Pendant ce temps les renforls, n'ayant n'a pour but que de mettre la majorité PKIX D'ENSEMBLE. — Une Médaille .M. le Ministre de l'Agricullure. Nous re- d'urgent G. M.j, ollcrlo par la société. républicaine du pays sous le j o u g des vu aucune manif'eatalion, et pour cauae, Ce pri.v sera allribué au plus bel exemple portant au compte-rondu [lublié par notre La série dos déboires continue pour minorités coalisées ; que les foules ne t'avancèrenl ; ils s'a\ancèreni au milieu excellent confrère le Populaire de Nantes, d'animaux de l espèue bovine, présenté au Beaulrère. 11 n'y a pas à dire, lu gui comprendront jamais que la loi du de l'inaillerence générafe, accueillia seuconcours el apparleiiaul au iiicine proprié' lement par les rires et les sarcasmes des une ovation a été faite au député de Qui;u nombre ne soit pas respectée ; el taire. Les concurrents devront en faire la gne s'allachc invariablement à tou marins. Tiens, dit l'un d eux, en voila perlé. déclaration le jour du concours, a la Mairie ceux qui l'approchent. Le dernier au qu'enfin, le mécanisme de cette loi qui sont sans doute fatigues de regarder M. Le Louédec a profité de son voyage de Cloliais-Carnoèt, avant 11 heures du quel il a élé donné du faire la triate — volée par la Chambre contre la vodepuis 3 Jours les vachea du concours de à Pontivy pour demander à .M. le Minislie matin. constatution de ce que nous avonçons lonté d'une majorité de 200 députés Quimjjerlé, et qui daignent maïulenant E»>pâce l'orcine de l'Agriculture de bien vouloir se faire .sans crainte do déraeniis c'est bien le républicains, — est si compliquée que venir nous rendre visite; c'est un peu tard, VERRATS représenter au concours de la Société (au-dessous de2ans, sans distinction de races malheureux conlércncier — premier cette seule raison serait suffisante pour V iendra l'heure où nous vous reparleroiu d'Agriculture de Quimperlé qui doit se de vos preferences. Première prime, 30 fr. ; 2-, 20 fr. ; total rôle disait l'ariiche — que la troupque le pays la repousse. tenir lundi prochain à Clohars-Carnoët. 50 francs. municipale de Quimperlé nous a exhibé Tant qu'il ne s'agit que du calcul du Trois quarts d'heures après larrivée, Accueillant favorablement la demande du TRUIES RECONNUES PLEINES OU SUITÉES mardi soir dans la pièce palpilante quotient et de la répartition des pre- voyant l'accueil glacial qui lur était fait, député de Quimperlé, M. Pams a désigné (au-dessous ce2aus, sans Uistiiictiou de races) intitulée « Représentation Proportion miers sièges, c'est très bien. Mais, après et entendant les cris nourris de vive Le Première prime, 30 fr. ; 2-, 20 l'r. ; 3'. 15 fr. pour le représenter M. Gerbil, inspecteur nolle 1 (Paroles el musique de M cela, l'apparentement ; l'histoire du Louédec, poussés par la population mari' des eaux et forêts, secrétaire particulier 4-, 10 fr. ; lotal : 75 francs. Charles Benoist). siègeattribuéau groupement qui, ayant lime, les visiteurs de la dernière heure, jugèrent que leur visite avait réussi aussi Volailles du Ministre de l'Agriculture. Régisseur, chef d'orchestre et de la majorité absolue des votants, n'a bien que le concours de la race pie-noire, Une certaine somme est mise à la disposi D'autre part, les députés républicains claque, Directeur des Chœurs et de pas déjà la majorité absolue des sièges j firent demi tour, honteux el conf'u». du Morbihan, MM. Brard, Nail et Le lion du .lury pour la volaille vivante. le procédé des moyennes, division par l'Union Agricole^ le maestro Loui Celle suuimc ne pourra être supérieure I l est grand temps d'aller dfner, dit Rouzic ont promis à M. Le Louédec de les sièges précédemment attribués, Beau fi ère. Beaulrère n'avait rien négligé pour 10 francs. venir également au concours de Clohars. ménager à sa nouvelle r..crue une plus un ; ensuite le partage du butin P r é p a r a t i o n des Beurres Un gars de la côte. Première prime, 20 fr. ; 2-, 15 fr. ; 3-, 10 entrée sensationnelle. Notre imprésario entre les groupements el les listes Les Horreurs de l'Enlisement fr. ; 4-, S l'r. ; 5', 7 fr. ; G-, G fr. ; 7- 5 l'r, ; 8 municipal n'avait même pas craint de isolées ; autant de casse-léle donlnous 5 l'r. ; total : 7G francs. garantir à son « numéro » un succès ne frapperions même pas le crûne lusA Cherrueix, près de Dol-de-Bretagne, Une somme de 10 francs est à la disposi loi quo sa renommée emportée sur les tré de Beaufrère, de crainte de le deux jeunes gens, MM. Chambion el tion du Jury pour récompenser des expo », Hue de lu ilairie à U K k S r , Peuvrel, récemment libérés du servici sants qui présenteront des beurres sans sel ailes du « Canard Agricole el Maritime » faire hurler. l>rie les personnes qui désirent que leurs militaire, ramassaient des huîtres, lorsConcours de labourage aux quatre coins de Quimperlé, sulliL'assistance a tellement bien comenfants atteints de la T e i g u e puissent qu'ils furent surpris par la mer. Ils s'eii(cliarrucs en tous genres) rail à asseoir ses plus beaux rêves pris ces lumineuses explications, luirentà toutes jambes, mais Peuvrel seulit être soignés en une seule fois et le même Première prime, 50 l'r. ; 2-, 40 fr. ; 3-, 30 d'av<inir. C'était plus qu'il n'en fallait, qu'après avoir affirmé son désir de ne jour de lui écrire une lettre pour demander tout à coup le sol s'enfoncer sous ses pas. fr. ; 4-, 20 fr. ; 5 , 10 fr. ; total : 150 fr. on l'avouera, pour décider«à marcher» vouloir accorder évenluellemenl ses un rendez-vous à l'avance. Le malheureux eut beau se débattre, il Ces primes seronl attribuées au laboureur le plus « désintéressé » des conférens'enlisa dans les sables mouvants, sous les suffrages qu'à un candidat foncièreyeux de son camarade, impuissant à lui et non au propriétaire de la charrue ou des ciers. ment el honorablement connu de la porter secours. La marée montante le sub- attelages. Les charrues devront être attelées masse, elle a accueilli les dernières soil de deux chevaux ou de deux bœufs et Mais si l'Association B^'aufrèremergea, après une agonie atroce. Son cadavre a été retrouvé samedi, encore enfoui un cheval, .soil de trois chevaux. ipurlier propose, d'autres, à l'heure )aroles du « morticole de PlomoChaque laboureur devra labourer et conjusqu'à la ceinture. acluelle, disposent el notre très cléri- diern » par un tel concert de vociféraduire — seul — sa charrue et son attelage. cale municipalité a bien di^ se rendre lions que celui-ci, épouvanté, s'enfuit S'il s'adjoignait un conducteur, la charrue par celte raison, serait mise hors concours. compte que les électeurs de Q u i m - sans attendre son reste. E l les : On prendra en considération la force et la jerlé n'é!aient pas du tout disposés à A bas la calotte ! Reiourncz à PloInstruction publique vitesse des attelages. communier avec elle sous les auspices modiern I Hou ! Hou I Conspuez M. Faudry, professeui ;2 clas.-.e) a l'école La profondeur Ue la raie devra être de îeautrumeau ! retentiront longtemps normale de Quim^cr, est nommé directeur de la Réforme électorale, eslimant 18 ceutimètres au moins. Les lauréats des ses oreilles. de l'Ecole primaire supérieure de Nantes, ivec raison que l'expérience de la concours antérieurs ne pourront coucourir Nous donnons à nouveau le program ne en remplacement de M. Labourdette, adP. scolaire, tx laquelle ils ont été que pour une prime supurieure à celle déjà du Concours annuel de la Société d'Agrimis a faire valoir ses droits à la retraite. obtenue par eux. conviés, sulflsait amplement à former culture de rarrondisseraent de Quimperlé, l>roduits Agricoles et Horticoles eur opinion sur la matière. M. Colin Arsène, est nommé à l'Ecole qui se tiendra à Clohars-Carnoêt le lundi Une somme d'argeut qui ne pourra dépas7 octobre courant. normale de Quimper, en remplacement de L a simple lecture de l'article conser 100 l'r. sera mise à la disposition-du Jury Chaque boite 1 kilogramme, brut ou M. Faudry. A M fi L I 0 R A T I 0 N S F O N C I È R E S par le Président pour récompenser les ex- sacré par le Directeur de la feuille net, SUCRE DE J . U X E CHANTENAY i ° Itoiinc tenue des l'ermes posants qui présenteront les plus belles municipale à la funambulesque réu- chaque botte 1 kilogramme, brut ou ncl, Première prime : Une Médaille de Vermeil, c.jllcciioi)s de produits agricoles et Hor- nion tenue salle Chauvel mardi Contributions indirectes oflerle par .\I. le .Ministre de l'Agriculturo, SUCRE SCIÉ, RANGÉ, CH.WTEN.VY, soir, suflit pour convaincre les moins et 250 fr. ; Deuxième pri(n<Nj> Une Médaille ticoles. Par ariêlé de M. le Conseiller a'Eiai, dicarton cuir, bottes brunes (yenre PARIS) d'argent el 150 l'r. ; Troisiè'ïne prime : Une Tout établissement subventonné par l'Etat avertis du résultat négatif obtenu par recteur général des Contributions ludi.Médaille de bronze et 100 l'r. ; Quatrième ou le départemeul ue pourra exposer que "o « transfugij de Ploinodiern » en qui contient un ticket prime. reclt'S : prime : 50 l'r. ; total : 550 fr. 30 tickets prime donnent droit à 1 kilohor.-. concours. notre « saint homme de maire avait mis M. L'Uelgouac'h, surnuméraire du dépar^ Cidres gramme, brut ou net SUCRE CHAN'i<> l'i-airiesi Artincielle.s ses dernières espérances. » tenieut est noiuuié couiuiia commis à yuiuil'LA.NTF.S SAHCLIiHS, THÈKLES HT nAY-ORASS Première prime : une Médaille de vermeil TENAY. per, eu reuip.aceinent do M. Couan, appelé E l il est ds l'ail que la conduite réPremière prime : Une Médnilllc d'argenl et 20 f r . ; 2 , une Médaille d'argent et 15 f r , ; Le SUCRE CHANTENAY est le plus sous les drapeaux. (G. M.) el 60 fr. ; Deuxième prime : Une 3-, u n e Médaille de bronze et 10 f r . ; 4-, 5 f r . ; servée au porte-paroles de la troupe de >lanc, le plus pur, sucre le mieux I M. Dainbrine, surnuméraire à Quimper, Médaille d'argenl (P. M.)ct50fr. ; Troisième tolal : 50 francs. saltimbanque qui tyrannise Quimperlé, est nommé commis â la môme résidence. prime : Une Médaille de bronze et 40 fr. ; Kaux-de-Vie de Cidre " n'a pas sa pareille dans les annales de M. Auges, surnuméraire à Morlaix, est total : 150 fr. Première prnie, 10 fr. ; 2 , 5 l'r. ; total 15 a ville. N i lui ni ses amis ne pourront nommé commis à la môme résidence, en H" l'i-nirics .Vutiirellcs francs. reinplaceinent de .M. Ducasse, appelé sous s'en vanter. CltKATlO.N, ASSAl.NISSK.MKNT, l>nAllIAGE {Serviteurs Uuraux les drapeaux. D E B R I G N E A U Nous nous allendions un peu à voir HT IMRIGATION M. Lucas, commis à Saint-Ld, est nommé Première prime, 50 fr. ; 2-, 40 fr. ; 3-, 30 3eaufrère traduire sa déconvenue dans Première prime : Une .Médaille d'Argent, en la même qualité à Brest en remplacement fr. 4-, 20 fr. ; 5 , 15 fr. ; G-, 10 fr. ; total: 165fr. Le samedi 21 septembre dernier, un offerte par .Ministre de l'Agriculture, et 150 ir.; ;s icrnifs agressifs el malhonnêtes Servantes halluciné de la Place Hervo, à Quimperlé, Je .M. Aranseaux, appelé sous les drapeaux, deuxième prime : Une Médaille d'argenl, dont il a le secret. Son répertoire déM. Lesteven, commis à Bi-e»t, e<t nommé Première prime, 40 l'r. ; 2-, 30 fr. ; 3-, 20 accompagné de quelques conseillers mu['. M.) el (iO l'r. ; troisième prinm : Une à Quimperlé, vn remplacemenl de .M. Foulassc nos prévisions el s'accroU dans Médaille de bronze et 50 l'r. ; quatrième priin-j l'r. ; 4-, 15 fr. ; 5 , 10 fr. ; total : 115 fr. nicipaux de Iff ville, parcourait pour la es proportions que nous n'osions vinglième fois l'exposition des machines quaud, appelé sous les drapeaux. 45 l'r. '; cinfpiième prime 40 fr. ; sixième Ces primes seront exclusivemeiitattribuées M. Di.->sez, surnuméraire daus les Colesprime 30 fr. ; total 375 l'r. pour les siirvices agricoles. Les serviledrs Soupçonner. agricoles organisée à l'occasion du Con- du-Nord, e-.l nommé a Brest, eu lemplacequi ont déju obtenu uue prime ne pourront 4° Coiicour.s do l'osscs tV Purin Tuus ceux qui n'ont pas l'heur de cours de la race pie-noire. Le pauvre hère meiit de M. Lesteven. se prùsciiler que pour obieuir une prime Une somme de "25 fr. ui plaire sonl gonsdesac et do corde, ui, depuis la veille, s'arrachait de désesM. Kerebel, surnuméraire du département, supéiieure. — Ceux des communes du canest nomme commis a Brest, en reuiplacemcnl 5° l'rimes spuciulcs ton Ue Quimperlé sont seul admis à concou- lire-laine et coupe-bourso, propres à )uir quelques uns des rares cheveux qui de .M. lUvoallon. toutes les vilaines besognes, à tous encadrent encore sou « u f d'autruche, en Une médaille d'Aargent pour bonne tenue rir. M.Varnier, surnuméraire à Saint-.Vazairo, de laiterie. DlSPOSlffUNS Rf-GLEMENTAfRES es mauvais coups. Tels sonl, parce constatant le four complet du Concours est nommé commis À Morlaix, en remplttceUne Médaille d'Argent pour bonne conLes propriétaires, cultivateurs et fermiers que payés pour ce faire, doux hono- •"ont à coup il s'écroulait comme une ment de M. Penquer, appelé sous les draduite d'un rucher. de l'arroudissument de Quimperlé seront rables citoyens, Corentiu Le Guern, masse, évanoui... il venait d'apprendre peaux. seuls admis a concourir ; ils devront posséA M É L I O R A T I O N S DliS RACES L^fosse, surnuméraire à Niort est i l Tine, boucher à Quimperlé et que le lendemain M Le Louédec. député,, M. Ufosse, Efipèce Chevaline der les animaux présentés depuis au moins devait assister a la fête de Brigneau. Ses nommé commis à Brest, en rempiicemen Sugène Abel, ouvrier typographe qu'il JUMENTS POULI.NIÈRES SUITÉBS trois mois. amis se précipitent, l'emportent, et un de M. Le Moal. 11 sera fait une retenue de 10 0/0 de U désigne tons le sobriquet de Caïa. exposant (que je ne peux {pas citer pour 0 0 PRODUIT DE L'ANNÉE (ssng et demi-sang) M. Umanètre, •umuméraire, à Vannes, décidée de faire la paix avec l'Italie. On signale d'un autre côté que la Crète s'est insurgée à nouveau, et a envoyé des députés Jà Athènes pour inviterje gouvernement hellénique à mettre à l'épreuve le dévouementde sa population tout entière. Les grandes puissances. — Les représentants des grandes puissances européennes ont adressé des représentations au gouvernement des Etats balkaniques, leur enjoignant de résister à l'état d'esprit lielliqueux manifesté par les populations. On espère encore que la paix sera maintenue. lin France. — Les craintes de guerre dans les Balkans ont produit une influence sur le marché financier. La rente française est néanmoins résistante à 90. 10. M. Poincaré qui vient de reprendre la direction du ministère des Affaires étrangères, a envoyé des instructions à nos représentants auprès des Etats balkaniques pour leur prescrire d'exercer à nouveau, sous la forme la plus nette, toute leur inÉuence en faveur d'une évolution pacifique dans la crise actuelle. En Russie. — A la suite de la nomination du roi Carol de Roumanie comme feld maréchal de l'armée russe par le tzar Ni • colas 11, une délégation militaire russe viendra prochainement remettre au roi les insignes de ce grade. Cette attention significative, dans les circonstances actuelles, produit une excellente impression. En Italie. — Dans les milieux officiels italiens, on reste encore sur la réserve relativement à l'atlituda de ritalie dans le cas où la guerre éclaterait entre la Turquie et les Etals balkaniques. Toutefois, dans les cercles diplomatiques intéressés, ou exprime l'assurance que, pour le moins, la flotte italienne se maintiendrait en permanence dans la mer Egée. Ce fait entraînerait notamment comme consé(]ueuce l'impossibilité, pour la Turquie, d'uliiiser ses troupes d'Asie-mineure avant un temps assez long, le transport do ces troupes ne pouvant être effeclué par mer. En Autriche. — Ou mande de Vienne au Courrier de Berlin que si dans 48 heures, le calme n'est pas revenu dans les Balkans, l'Autriche prendra des mesures préventives sur la frontière de Serbie. D'après la Gazette de Fo s, le délai ainsi imparti ne serait que de 24 heures. 11 convient de noter la déclaration du comte Berchtold, ministre des Affaires étrangères d'Autriche-Hongrie, qui est considéré comme la cheville ouvrière de la politique internationale dans la question d'Orient. « Bien que la situation, dit-il, doive être considérée comme tout aussi grave en Serbie qu'en Grèce, je crois devoir faire remarquer qu'entie un ordre de mobilisation et le commencement des hostilités intervient une décision grave et pleine de responsabdités, et que, comme déjà jusqu'à présent, les grandes puissances s'efforcent de conjurer les dangers résultant d'une pareille situation et continuent à agir en faveur de la paix. » Pour la paix.— De source diplomatique, on apprend que la France, l'Angleterre, la Russie et les puissances de la Triplice sont d'accord pour exercer une pression énergique sur tous les gouvernements Balkaniques en vue d'empùcher la guerre. Rupture diplomatique. — Ou craint quiles démarches des grandes puissoncKS n'ai teignent pas le but visé, et que les hostilités ne s'engagent à bref délai. Selon, en effet, une dépèche arrivée à Vienne de Conslantinople, le ministre de Bulgarie, dans la capitale de l'Empire ottoman, aurait été rappelé. La Croix-Houfje mobilise. — Enfin, l'on annonce de S;iinl-Pétersbourg que les premières missions de la Croix-Ronge sonl parties pour Athènes, Sufia et Belgrade. de réclamer dès maintenant un abaissement des droits de douane espérant qu'on n'invoquera plus contre cette proposition l'imminence de la récolte prochaine et l'attente des résultats de cette récolte, puisqu'on la connait Le débat devra prendre une grande ampleur, car ii porte au fcfnd sur la queslio de l'organisation des entrepôts et marchés des blés et céréales en France. Evidemment, nous ne demanderons pas au Gouvernement que, pour abaisser le coût de la vie, on écrase le producteur français sous la concurrence étrangère. Mais les besoins du consommateur ne sonl pas moins sacrés. 11 s'agit de trouver la juste limite, surtout en contrôlant les inlerméi^aires parasites et peu scrupuleux, dont les spéculations ruinent les un=i. sans enrichir les autres. Première prime, 50 fr. ; 2-, 40, ; 3- 30, 4-,10fr. ; total : 130 fr. M. Pams à Pontivy JOHN CROSSLEY Chirurgien-Dentiste Les Maliieiirs de Beaufrère Le Docteur CmilTON (h,., o biiiïïiiÎLÊ et Locale Le Concours Agricole il8 Glihars-Carnoèt LE PA!N_CHER La cherté croissante de la vie menace de plus en plus de provoquer une crise grave. A vrai dire, ce phénomène est général en France ; c'est une résultante inévitable du développement de la civilisation, du besoin plus grand de bien-être, de l'extension du commerce et de l'indus trie au détriment de l'agriculture. L'abais sement de la valeur du numéraire et l'aug mentation progressive des salaires eu sont le constant .symbole. Mais il est incontestable que la courbe s'exagère en ce moment d'une façon alarmante. Chez nous, la préoccupation la plus urgente est celle du pain. On avait espéré qu'après la récolte il reviendrait à son prix normal, en raison de la baisse traditionnelle à jiareille époque. C'est au contraire ime augmentation qui se produit. Si les pouvoirs publics n'interviennent pas, il faut perdre tout espoir de voir les prix s'abaisser au cours de cet hiver. C'est la misère en perspective pour les familles pauvres. Pour justifier cette hausse exceptionnelle, on invoque des raisons de fait. Mais quelques-uns «les intéressés eux-mêmes reconnaissent d'autres causes. C'est ainsi que les meuniers dans une lettre ouverte au président du Conseil s'en prennent aux spéculateurs que favorise l'organisation actuelle du marché des blés. Un député Tient de prendre l'iaitiative SUCRES A Pro|H)s de la Manifestation est nommé commis des Contributtons Indi rectes à Morlaix, en rcmplacemeni de M Joules, appelé sous les drapeaux. " M. a e c h , surnuméraire à Lorienl, est nommé commis des Contributions Indirectes à Morlaix en remplacement de M. Gérard Brevet élémentaire Les examens commencés mardi ne se sont terminés que dans la matinée d^ jeudi Voici lus noms des aspirantes admises . définitivement : Mlles Balay, Ba. douil, Le Bellec, Biauce, Le Breton, Barban, Carrouer, Castel, Blanche Castrée, Chenon, Clorennec, Marianne Cornée, Cosquer, Fercoq, Fenoux, Foll, Gauduchon, Gentric, Goavec, Alexandrine Le GotT, Gouriou, Marguerite Gourmelen, Govy, Guillermit, Gnillonoer, Laurence Guiziou, Marie-Jeanne Guiziou, Harscouft, Le Her, Jégoudez, Joncour, Jouannic, Kcryell, Lacour, Landrain, Landreau, JLennon Lharidon, le Moal, Plouhincc, Quéléver Renaud, Marie Ropars, Elise Le Roux e Stéphany. — Soit 45 sur 49 admises à subir les épreuves oialee. Compagnie des chemins de fer départementaux du Finistère. paiement du dividende. — Le Conseil d'Administiation de la Compagnie des Chemins d<J fer départemanlaux du Finistère, a l'honneur de porter à la connaissance des aclionaires qu'un accompte de vingt flancs (20 fr.) sur le dividende de l'exercice 1912, sera payable à partir du l - octobre prochain à la gare départementale de Brest, de 9 à 11 heures du matin et de 2 heures à 5 heures, dimanches et fêtes exceptés, contre présentation du coupons n" 32 pour les actions au porteur et du certificat pour les actions nominatives. La somme nette à toucher est de : Actions nominatives 19 fr. 20 Actions au porteur 18 fr. 95 Les propriétaires d'actions au porteur sont priés de présenter leuis titres pour qu'il y soit ajouté une nouvelle feuille de coupons. Madame L I O T a l'honneur d'informer sa nombreuse clientèle qu'elle recevra ï r modèles"' dernière création de Paris, pour In Saison d'Hiver. L'exposition aura i e u l e Lundi 1 Octobre prochain, QUIMPERLÉ \ o s Sous-Pr«îfet«». — M. Tavéra, ancien sou.s-préfet de Quimperlé, sous préfet de Montbrison, est nommé sous-préfet de Bergerac. ^ A u sujet d ' a l i g n e m e n t . — Nous apprenons que l'Administration supérieure, émue (les abus signalés par YEcho de Bretagne dans l'afiaire d'alignement touchant la maison Le Borgne, vient d'ouvrir une enqu«ite au sujet des faits révélés et on nous assure qu»- des sanctions vont être prises. Nons continuerons à tenir nos lecteurs au courant des péripéties de ceJte grave aflaire dont le Maire de Quimperlé aura sans doute à répondre. Conseil m u n i e i p a l . — Le Conseil municipal de Quimperlé se réunira dimanche prochain â 9 heures en ses.sion ordinaire. Ordredu jour : élection de deux membres chargés de la révision de la lisie électorale de la Chambre de Commerce ; demandes d'indemnités de logement ; proposition de l'atrent-voyer en chef au sujet du chemin de grande communication n» 16, de Clohars Carnoet à DoSlan ; question des écoles publiques, etc... L a T e m p ê t e . — La tempête qui a sévi sur notre région samedi, dimanche et lundi, û occasionné de nombreux dégâts. Presque partout, les prairies ont été inondées ; à Quimperlé, la Lalta, grossie par les eaux pluvieuses, a débordé sur les quais Brizeux et Surcouf. Dans les environs, de nombreux arbres ont été déracinés. Signalons notamment la chute d'un txiulcau sur la ligne de Quimperlé à Qiiimper, auprès de Kernault, on Mellac. Au passage du train de 4 heures, la voie s'est trouvée obstruée. Fort heureusement, l'accident s' est produit en plein jour. S'il s'était produit au commencement de la nuit, il en serait résulté très probablement un déraillement. De nombreuses épaves ont été jetées à la côte. En ce qui concerne notre région, on ne signale pas toutefois d'accidents. Il n'en est pas de même du côté de Penmarch où il y a eu des naufrages que nous relatons d'autre part. O b j e t s p e r d u » et trouvés. — Il a été perdu à Quimperlé : une broche en or, avec briilanb;; un carnet avec couverture noire ; une bague en or avec initiales. Il a été trouvé : une montre en argent et une montre en nickel. Pour tous renseignements, s'adresser au -'Commissariat de police. L a F £ t e d e S a i n t - M i c h e l . — L'auxiliaire le p l u s p r é c i e u x d a n s l ' o r g a n i s a t i o n d e t o u t e fête a fait défaut celte année au comité qui avait assumé la lourde tAche de faire réussir la fête annuelle de Saint-Michel. De véritaIbles trombes d'eau se sont d<^versées sur notre ville durant la soirée de samedi et presque toute la journéededimànchenotamment dans l'après-midi. On conviendra qu'il n'était pas possible, dans ces conditions, que la fête obtint .son succès habituel. D s communes environnantes, il n'y av<it que peu de monde, mais les Quimperlois n'ont pas recul<^ devant la pluie pour assister aux divcrti>senients prévus au programme. Grâce à l'activité et au zèle des conmiissaires, toutes les parties du programme ont été exécutées sans incident et .sans accident. Les commissaires, en eflet, ont dû faire contre mauvaise fortune bon cœur et tous à quelques rares exceptions prés ont fait preuve de beaucnup de dévouemenl. Nous disons « à quelques rares exceptions près », U ferait peut-être plut juste de dire « à une A 5 heures. — Mât db cocagne. seale ». Le commissaire récalcitrant,M.Jean battoir de Quimperlé : 53 bœufs,5 taureaux, LUNDI 7 OCTOBRE Hervé, adjoint au maire, est en celte qua- 11 genisses, 17 vaches, 205 veaux, 142 mouA 11 heures. — Courses de chevaux (interna lité inexcusable. A un commissaire qui de- lons, 35 porcs. lionales). ~ Galop. — Prix : 15, 10, 5 fr. — Trot, mandait un renseignement, il fit cette réNaisiances. — Jean Corn, 11 rue du bourgneuf. ponse «urpreuante : << Je n'en sais rien, je — Marcel Gargam à Kérèse. - Thérèse Danié- - Prix : 15, 10, 5 fr. A 11 h. 1/2. - Poids. - Prix : 5, 3, 2 fr. ne suis pas commissaire! » M. Hervé, qui lou à Kergoaler. A midi. — Banquet par souscription. — Prix aurait voulu exclure du comité ceux qui Pubticalions de mariages. — Joseph-Marie Ker 2 francs. ne lui plaisait pas, n'avait pas encore digéré lan, rullivateurà Quimperlé elAugnsline Thierry A 1 h. 112. — Course de bicyclettes (internad'avoir été remplacé comme vice-président cultivatrice à Rédéné. tionale). — Prix : 12, 8, 5 fr. Emmanuel Léonard Chaussé, employé de La musique municipale, subventionnée A 2 heures. — Course pédestre (parcours comme les années précédentes par la caisse banque, el Mademoiselle Hélène-Marguerite Uilomèlres). — Prix : 20, 12, 8, 5 fr. A 2 h. 1/4. — Course d'hommes. — Prix : 3, 2, du Comité, prêtait son concours à la fête Driart, institutrice, domiciliés à Quimperlé. René Gabriel Le Roy, menuisier, el Mlle Jeanne 1, 9fr. 50. qui s'est ouverte par un concert donné saLouise Guéroué, domiciliés à Quimperlé. Course de vieillards de plus de 60 ans. — Prix medi soir sous la balle Saint-Michel, concert Mariages. — Yves-François .Naour, ébétiiate et 3 2 1 0.50. suivi d'une brillante rclraile aux flambeaux Marguerite-Hérvé s. p. à Quimperlé. 'course d'enfants.-Prix : 1.50,1,0.75,050, 0.25 qui a suivi l'itinéraire fixé à la faveur d'une Décès. — Pierre Le Maout, 40 ans, forgeron, i\ A 3 heures. — Jeux divers sur la place. éclaircie. Kérèze. — Marie-Louise Coadou, 57 ans, corn A 3 heures. — Luttes bretonnes. — Nombreux Les courses qui ont eu lieu dans la ma- merçanle 10, Grand'rue. prix. tinée de dimanche n'ont pas été contrariées A 5 heures. — Gavotte d'honneur. — Flots de C L O H A R S - C A R X O E T . — F ê l e s p u - rubans. par le mauvais temps, mais il n'en a pas été bliques. — Voici le programme des fêtes Nota. — La Municipalité ne répond pas des de môme l'après-midi. La course internationale de bicyclettes, qui publiques qui auront lieu à Clohars-Carnoét, accidents qui pourraient survenir pendant les comportait un parcours de 34 kilomètres, le lundi 7 octobre à partir de 2 heures de réjouissances. s'est eflecluée sous une pluie battante. l'après-midi, à l'occasion du concours de la M. Bofdeca fait une course superbe, gagnant société d'agriculture de l'arrondissement de toutes les primes oflertes à Clohars-Carnoet, Quimperlé : A l a P r é f e c t u r e . — M. Nau, conseiller MoPlan et Riec-sur-Bélon, et arrivant à QuimCourses de chevaux. — Au galop. — 1" prix, de préfecture du Finistère, est nommé perlé bon premier, ayaiiteflectué le parcours 20 fr. ; 2-, 15 fr. ; 3-, 10 fr. Au trot. — 1" prix, 20 fr. ; 2-, 15 fr. ; 3-, 10 fr. conseiller de préfecture des Alpes-Maritimes en 1 h. 3' 50". Course attelée ouverte à loul l'arrondisseM. Monnier, conseiller de préfecture du Les jeux et divertissements divers, malgré Morbihan, est nommé conseiller de préfecle mauvais lemps ont été très suivis ; la ment. — 1" prix, 20 fr., 2', 15 fr. ; 3-, 10 fr. ; A midi aura lieu, chez M. Laurent Bran- ture du Finistère, en remplacement de course attelée notamment a àttiré une foule nombreuse et la journée s'est terminée par goulo, un banquet par souscription sous M. Nau. lu traditionnelle gavotte d'honnèur suivie la présidence d'honneur de M. le Miaistre Les r é g a t e s . — Les courses organisée» de l'Agriculture, de M. le Préfet du Finisde la distribution des prix. La fête s'est terminée par un grand bal po- tère, de M. le Sous-Préfet de Quimperlé et dimanche par la Société des régates de pulaire à la halle Saint-Michel, et qui a duré de M. Le Louédec, député, président do la rodet ont eu lieu dans la baie de Kerogan, jusqu'à 3 heures du malin, et auquej ont as- Société. Le banquet sera présidé par M. par un temp^ exécrable. Le vent soufflait en sisté près de GOO personnes. Le montant des Gerdil, inspecteur des Eaux et forêts, secré- rafales et plusieurs accidents matériels se entrées s'est élevé à 11(J francs. Une quête, taire particulier de M. Pams, délégué par sont produits, mais heureusement sans confaite au profit du bureau de bienfaisance, a M. le Ministre de l'Agriculture. Ajoutons séquences gi-aves. que plusieurs députés républicains du FiVoici les résultats des deux séries : produit la somme de 13 francs. Parmi l'assistance, au bal, se trouvait M. nistère et du Morbihan y assisteront. 1" Série, guidon rouge, bateaux non pontés, Voici le menu du banquet : au-dessous de 4 m. 30 : I " prix, une palme, Le Louédec, député, qui, après avoir assisté Huitres du Pouidu Viens-Poupoule, à M. C o s q u é r i c (1 h. 33' 1") ; 2-, aux courses le matin, s'était rendu à PonHomards el Langoustes à l'américaine Sparfel, â M. C r o u a n (1 h. 41' 22") ; 3-, Antonin, tivy et était rentré dans l'après-midi pour à M. Tanguy Biger (1 h. 46' 5") ; 4-, .Suzy, à M. Jambon assister à la gavotte d'honneur puisa la disRault fils. Civet de lièvre tribution des prix. 2' Série, guidon blanc, bateaux demi-ponlés : Poulet rôti Avant de clore ce rapide compte-rendu de 1" prix, une palme, Oolo, à M. CralT (1 h. 40'56"); Salade la fête Saint-Michel, qui aurait surpassé en bohé2-, Goéland, à M. Cabirol ( l h . 4 r 4 " ) ; DESSERTS éclat celles des années précédentes si le cicl mienne, à M. Cieutal. Fruits, Gâteaux bretons avait été plus clément, nous tenons à remerVin blanc el rouge, Cidre C h a m b r e des buissier.s. — Voici la cier et féliciter tous les commissaires qui Café, Cognac composition de la Chambre des huissiers, ont pris une part active à son organisation Champagne telle qu'elle résulte du scrutin qui a eu lieu et notamment les membres du bureau, Prix : 3 francs. M. Louis Tréguier, industriel, président ; Les personnes désirant assister au ban- samedi, à Quimper, entre les huissiers de M. J.-M. Rigoussin, charron, vice-président; quet sont priées do faire parvenir leur adhé- l'arrondissement : M. G. Roger, trésorier et M. Y. Martelot, sion pour le vendredi 4 octobre au plus lard, Syndic, M. Le Roch, huissier k Concarneau ; secrétaire. Et nous leur disons : « A l'année soit au secrétaire de la société d'agriculture secrétaire, M. Le Corre, huissier à Quimper ; prochaine ! » à Quimperlé, soit à l'administrateur de rapporteur, M. Aulrel, huissier à Ponl-l'Abbé ; Voici les résultats des courses et de la l'Echo de Bretagne, soit à M. Laurent Bran- trésorier, M. Lahuec, huissier à Douarnenez ; membre, M. Vauchel, huisser à Ponl-l'Abbé. gavotte d'honneur : goulo Clohars-Carnoèt. Courses de clie/aux. — Galop. — 3 partants : Le nombre des adhésions déjà recueillies I>Ei\MARCH. — L a tempête. Un -, Goalabré, de Quimperlé ; 2-, Pennec, de est très élevé et l'on peut affirmer à "l'avance épouvaniable ouragan s°e.-,t abattu sur la càte Briec ; 3-, Pézennec, de Locunolé. que le banquet comportera plus de 200 cou- lundi soir. Tout les bâteaux du pêche de StTrot. — 4 parlants : l " et 2-, l'uric, de Tréverts. Guénolé, Saint-Pierre et Kérity travaillaient gunc ; 3-, Quémar, de Baye. Courses de bicyclettes. — Communale. — Etat-civll du I S au 3 0 septembre. -- dans la baie ; quelques uns purent, avec l -, J. Pustoch ; y-, F. Boulben ; 3-, Charles; *•, Naissances. — Le Bris .\ndré-Joseph-Marie, de beaucoup de peine, regagner le port de SlGourlay. Porsguern. — Coguen Piere-Marie, de Langlazic. Guénolé ou d'Audicrne ; le reste, une cenKnfants. - l " prix, Toulliou, du Poteau-Vert, — Ollichon Clémenl-Pierre-Joseph, de Kervoi'n. taine environ, dut se réfugier dans l'anse en Quimperl6; ' l , (Jlédic Joseph, de Quimperlé ; — Couilliindre Marie-Yvonne, de Kervigoulous. de Pors-Carn. Bilian, de Bannalec; 4., Bicouard, de Quim- — Le Pézennec Joseph-.Mîirie, de Penlan. Au large du Menhir, le «Petit-Noël» eut porié. Publications de mariages. ~ Scaviner Yves, 28 Internationale. — 7 partants : 1 • prix, Boiidec, ans, marin du con)nierce, né ù Moëlan, domi- une avarie â son gouvernail ; il allait en déde Melgven, en lli.3'r>0"; 'i-, II. Jicquel, de cilié à Cloliars-Cainoël, et Scaviner Viclorine, rive, lorsque l'é juipage fut sauvé par le pa Bannalec ; 3-, J. Puslocli, de Quimperlé ; 4-, ans», couturière, née et domiciliée à Clohars- tron de la « Kerilyennc ». Boulben, de Quimperlé. v Le « Boer » eut toutes ses voiles enlevées Carnoêl ; Courses à pied. — Enfants. — Bernard, Le Floch Joseph-Marie, 26 ans, marin de l'Elat, en vue des rochers de Saint-Guénolé. Le Blenzen, Balquer el Le Bars. né el domicilié à Cloliars-Carnoet, el Jeanne patron fit mouiller l'ancre ; la chaîne cassa Hommes. — Poézart, de Mellac ; Perret, de Lopin, l'J ans, coulurière, née el domiciliée à et l'embarcation dériva. L'équipage fut sauBannalec ; Dagorn, de Baye. Clohars-Carnoët ; vé par le canot de sauvetage de Sl-Guénolé Course attelée — .1", Furie, de Trégunc ; Plessix Joseph, 47 ans, marin-pêcheur, né el Le patron de la >< Yole », dut abandonner 2-, Le Roch, de Quimperlé ; 3-, Even,de Lorienl; domicilié à Clohars-Carnoët, veuf de Anne-Ju4-, Quéinar, de Baye ; 0-, Postée, de Quimperlé. lienne Goulven, cl Pusloch Anne-Einilienne, son canot plein d'eau. L'équipage a été reGavoUe d'honneur. — MM. Pocher, de Ker- 31 ans, couturière, née et domiciliée à Moëlan. cueilli par le patron Jean-Joseph, du gamp, en Quimperlé. Jolivet, de Baye. Ilélou, de Mariages. — Le Maoul Joseph-Marie, 30 ans, « Charles-Roux ». Celle dernière chaloupe Querrien. Forlot, de Mellac. Joachin, de Scaer. cl Coullou Marie-Anne, 21 ans. — Bizien Joseph- eut de la peine à rejoindi-e Porl-Carn. Son Chauvel Céleslin, de Quimperlé. Cariou, de Marie, 23 ans, el Le Claiiclie Louise, 23 ans. — mât de misaine cassa el ses deux vergues Baye. Le Roux, de Quimperlé. Lopin, de Quim- Ouiffanl Charles-Micliel-Jean-Louis, 21 ans, et furent brisées. perlé. Runnou, de Bannalec. Kermagoret, de Le Maoul Anne-Julienne, 24 ans. — Ravallec La '< Nolre-Dame-de-Penhars, patron GarQuimperlé. Pustoch, de Sainl-Tliurien. Le Gall, René, 23 ans, el Guyomar Rhilomène, 17 ans. de Quimperlé. Derrien, de Quimperlé. Conan, DMs. — Guéguen Marie-Marguerite, 75 ans, rec fut Chargé ; l'équipage lui sauvé par le de Quimi)erlé. Kerrec, de Quimperlé. Dagorn, cultivatrice à Locouarn, veuve en premières patron A.ain Cloarec, de la « Oyapock. Les de Quimperlé. Derrien, de Bannalec. Le Gall, de noces de Jean-Marie Lozachmeur el en secondes matelots qui montaient le « Saint-Corenlin » Mellac. Rouai, de Quimperlé. Meurlet, de de Yves-Marie Tanguy.—Audren Jeanne-Louise de Kerily, furent sauvés par une embarcation Quimperlé. 26 ans, cullivatrice à Kerguélen. de Saiut-Guénolé. A r r e s t a t i o n d ' u u l o u . — Hier jeudi, un Vers huit heures du soir, le venl souflla MOELA^'. — M o r t e sur l a r o u t e . — de l'ouest, puis de l'ouest-nord-ouesl. La nommé Nestour François, Agé do 37 ans, originaire d'Arzano, cultivateur à Rédéné, Une femme nommée Marguerite Paguelle, mer, qui descendait, devint terrible à Porsétant entré à l'hôtel Le Dantec se mit à demeurant à Kerez, en Quimperlé, a été Carn ; les embarcations s'ensablèrent mardi causer du scandale; mis à la porte il se livra trouvée morte le 30 septembre sur le bord malin, loul était brisé sous l'eau, sauf la à des excentricités sur la place Nationale. Il de la roule de Moëlan à Bélon, auprès du « Volonté-de-Dieu », qui flotte tant bien que lieu dit Pontouar. était nus-pieds el nue-tête. mal. Beaucoup de patrons sont ruinés, carils D'après les constatations faites par le doc- ont peidu non seulement leurs bateaux, Les gendarmes,appelé8pourrapprébender, le conduisirent à l'hospice. Nestour, dont teur Monol de Moëlan, appelé par le maire mais aussi leurs glets el engins de pêche ; l'aliénation mentale semble résulter du cha- pour visiter le cadavre, la mort est due à 300 personnes, de ce lait, sont sans travail, car il est impossible de construire du jour grin dont il a été aflecté à la suite du décès une congestion provoquée par le froid. au lendemain. de sa femme, survenu il y a .quatre ans, est RlKC-SliH-nÉLOIV. - Incendie. Voici, pour Kérity cl Saint-Pierre, le bipère de quatre enfants. Samedi, un incendie a éclaté chez un nom- lan du désastre : Suicide. — Dimanche matin, on a trouvé mé Le Maout Pierre, forgeron, demeurant à Ont perdu un grand bâleau de pêche et pendu à un pommier, auprès du village de Kerlippe, en Riec. Le feu a été volontaire- un canot annexe : NoCl Slèphan, Corenlin Kerez, en Quimperlé, le cadavre d'un homme ment mis à l'immeuble par Le Maout à qui le Cleach, Alain Normand, Auguste Kerisil, (|ui a été reconnu pour être un nommé propriétaire, M. LeHec, tailleur à Riec, avait Jean Durand, Alain Cloarec, François GourPierre Le Maout, ouvrier forgeron à Ricc- donné congé, étant donné qu'il ne pouvait se laouen, Jean Pichavent, Eugène Le Moigne, sur-Bélon, Agé de 47 ans. Cet individu avait faire paver. Sans la prompte intervention Thomas Jégou, Louis Jégou, Joseph Jégan, mis le feu chez lui la veille. Nous relatons d'un voisin, Louis Lijour, tailleur à Ker- Louis Talbut, Robert Louissarn, Jean Tanlippe, deux des enfants Le Maout, âgés de nion, Robert Corre, Henri Crian, Guillaume d'autre part cet incendie. 4 ans et 3 ans, seraient peut-être rrstés dans Garrec el Kerloin. C e r t i f i c a t d'études. — Aujourd'hui ven- le feu. Une partie du mobilier a pu être A Saint-Pierre, les chaloupes « Cyclamen» dredi a eu lieu à l'école des garçons de sauvé. « Bon père », la » Romaine », et « RédemQuant à Le Maout, après avoir commis pteur « sont brisée à la côte. Quimperlé l'examen du certificat d'études primaires élémentaires pour la session d'oc- son crime, il avait disparu. Le lendemain On est sans nouvelles de l'équipage Calvez, tobre. Nous en donnerons les résultats dans matin, on le trouvait pendu auprès de Ke- de Sainl-Guénolé. rez, en Quimperlé. notre prochain numéro. M. Le Bec évalue ses perles â 1500 fr. 11 S e r v i c e du Pouldu. — Depuis le 1" oc- est assuré. tobre courant, le service par autobus entre U A \ > A L E C . - Cheval emballé. Quimperlé et le Pouidu est assuré aux CHATEAULIN. - Fête républicaine. Mercredi soir vers 4 heures un quart, au heures suivantes : — Le Comité républicain démocratique de moment ou les élèves rentraient de chasse, Quimperlé-Gare. — Départ": 6 h. 20 et un cheval s'est emballé, rue de la gare. Une Chalcaulin, à l'occasion de son assemblée 8 h. 4E..; 15 h. 45. générale du dimanche 13 courant, organisé' Clohars-Carnoél : G h. 50 et 9 h. 30 ; petite fille a été renversée et assez fortement un banquet qui sera servi à midi, sous la contusionnée, _ IG h. 30. présidence d'honneur de M. le Préfet du Le Pouidu (Kerankernat arrivée) : 7 h. 5, \ I Z O ! \ ' . — V o l . — Depuis quelque lemps, Finistère et sous la présidence eflective de 9 h. 45 et 16 h. 45. M. Péron Jean-Marie, cultivateur, demeu- M. Le Bail, député, assistés de M. Halléguen, Le Pouidu (Kerankernat).- Départ:7h. 15, rant à Pont-Aven, constalait que presque maire. • 10 h. 29, 17 h. 49. journellement on lui volait des haricots Le comité compté également sur la préClohnrs-Cnrno/'l ; 7 h. 30 ; 10 h. 44 et 18 h. dans l'un de ses champs, situé auprès de s e n c e d e M M . l e s S é n a t e u r s e t D é p u t é s Quimperlé-Gare. — Arrivée ; 8 h., 11 h. 14 Rustéphan. M. Péron porta plainte à la républicains du département, de M. l'Inset 18 h. 40. gendarmerie qui ouvrit une enquête. La pecteur d'académie, de M. le Sous-Préfel coupable est une nommée Lacorne Louise, de Chateaiilin el de toutes les notabilités A u d i e n c e de r e n t r é e . — Le 2 octobre femme Charuel, âgé de 43 ans, sans pro- de l'arrondissement en entier. 1912, à une heure de l'après-midi, a eu lieu fession et sans domicile fixe, qui vendait à La journée est appelée à prendre le caracl'audience solennelle de rentrée au Tribunal Ponl-Aven le produit de la cueillette qu'elle tère d'une grande manifestation républicaine de Quimperlé. allait faire dans le champ de M. Péron. Les membres du bureau sont convaincus M. le Président du Tribunal sur les conInterrogée parles gendarmes,celle femme que tous les républicains de la région se clusions de M. le Procureur de la Républi- nia d'abord ; mais en présence des témoi- feront un plaisir et un devoir de prendre que a déclaré ouverte l'année judiciaire gnages des personnes qui lui avaient acheté part à celle fêle. 1912-1912 et a fait connaître que les audien- des haricots, elle dut faire des àveux. Pour le banquet, dont le prix esUixé à 3 fr. ces auront lieu aux mêmes jours et aux prière d'adresser les adhésions avant le 10 mêmes heures que par le passé, conformé. \ ^ V E / . — l'êtes publiques. — Les courant à M. Noèl L'Haridon, trésorier du m -nt au règlement. dimanche et lundi 7 octobre auront lieu à comité, à Châteaulin. Névez des réjouissances publiques à l'occaA s s i s t a n c e J u d i c i a i r e . — Ont été sion de la lête patronale. En voici le proLE FAOU. — Automobile en Ieu. — nommés membres du bureau d'assistance gramme : Une automobile, dans laquelle se trouvaient Judiciaire pour l'année 1912-1913, MM. Bot DIMANCHE 6 OCTOBRE et Piédoy- avoués et M. Etchécopar, notaire A 3 heures. - Courses de chevaux (commu- plusieurs touristes, a pris subitement feu a Quimperlé. nales). — Galop — Prix : 10, S, 0, 4 fr. — Trot.— samedi, à deux kilomètres environ du bourg. Trois des voyageurs ont été légèrePrix : 10, 8, 6, 4 fr. L e v e n t r e d e Q u i m p e r l é . — Durant oerte s'élève i une trentaine A4 heures, — Couiie de bicyclettes (commu- ment brûlés. le mois de septembre, il a été abnUu à l'A- iule). - Prix : 10, 8, », 4 fr. de mille frfincf. « QUIMPER CHATEAU UN FOIRES A MARCHES Quimperlé.— Foiredu 30septembre 1912 — Taureaux, le kilo, 0 fr. 65 à »».»» bœufs de boucherie, 0.75 à »:»» ; vaches de boucherie,0.45A ».»»; bœufs de travail, ordi naire; bouvillons, »» à »» fr. pièce,; vaches laitières, n» à »» fr. ; génisses, »» à »» fr.; chevaux, élevé ; porcs, 1.35 à ».»» le kil.; moutons, 0.90 à ».»»; veaux, 1.10 à ».»» froment, les 100 kilos, 26.00 à »».»» ; seigle 20.00 à »».»» ; orge, 19..50 à »».»» ; sarrasin 19.00 à »».»»; uvoino, 19 50 à »».»»; pommes de terre, les 100 kil., 7.00 à »».»» l'r.; beurre le kilo, 2 fr. 20 à »».»» ; œufs, la douzaine 1 fr. 10 ; volailles, le couple, 4 »» h 7 fr. »». Foin, les 500 kil., 65 fr. à »»; paille, les 500 kil.,38 ir. à »» ; son, les 100 kil., 17.50à »».»» larine 1" qualité, 38.»» à »».»»; 2« qualité 37.»» à )>».»» ; millet, les 100 kil.,50fr. ; farin* d'avoine, les 100 kilos, 28 fr. ; pommes à cidre, les 1.000 kilos, 75 francs. L U N A P A R K ; Directeur : Gaston AKOUN. Attractions d'été. Dans la Ville Enchantée toujours des nouveautés sensationnelles. Entrée 1 franc, donnant droit une entrée gratuite. Abounements de saison à 20 irancs. I.UNA-PIIIR. G0ERI80N DE L'ALCOOLISME L'IVROGNERIE N'EXISTE PLUS Ul MMtWN * Il PMÉV ttti Mt (M)i f n l i Ptul élri donné dans du eafi, du tM, da lail, de la Uqutur, d* la blirt, 4* l'eau eu d* la noarrllurê, sans que It buveur ail besoin di It savoir. W m w i n iM>mniii I La r o u d r e CMk produit l'effet merveilleux de dfgoAter l'Ivrogne de l'cicool (bière, vin, «balDine, etc.) L * poudra C o u opère ni lilencieDReDent et • ! H&remeDt que ! • femm», U Hour ou I* fille de riDtére«fi peut l« lui donner é non i n i u et Mna qu'il « i l jamais betoin de UToIr ce qui • causi le cbingement. La Pondre COU t riconci- lié des m i l i i e n de femUiei, M u v i d e i m i l i i e n d'bommei de U bonté et du dèiibonDeor et en a U it des ciUtjrrni •igonreuz et d e i bommea d'affaire* capabiea; elle • conduit plus d'un Jeune bomme sur le droit chemin du bonheur et prolongé de plusieurs année* la vie de beaucoup de penonnea. La maison qui possède cette cierreilleusepoudre envoie gratuitement à tous ceux qui m font U demande un livre de remerciementa et un échantillon. Correspondance en Français. REVUE F O N C I E R E Paris, 28 septembre 1912. Nous avons il y a hail jours constaté que la tenue du marché tout en restant fort satisfaisante dans son ensemble, était plus calme el plus réservée et que l'on commençait à éprouver te contre coup des très vives hausses prises précdemment En cette semaine cet étal d'esprit a persisté, l'accentuant même, car outre le désir de consolider les cours élevés à peu près partout ou de s'assurer les bénéfices appréciables, on a du tenir compte de t'approche de la liquidation, il convenait en efl'et, de dégager ta place un peu trop surchargée pour aborder l'échéance sans encombres C'est ce qu'on a fait tous ces jours-ci et si, de ce fait, les cours se sont un peu tassés, du moins l'effet de ces réalisations aura été des plus salutaires. D'ailleurs, sur aucune séance on n'a constaté un ralentissement dans les bonnes dispositions de notre marché, ce qui permet de prévoir que, aussitôt l'échéance passée, on pourra partir de l'avant pour de nouvelles étapes. Comme précédemment le marché du comptant qui n'a pas à tenir compte des mouvements spéculatifs a fait preuve d'une grande fermeté el d'une réelle animation. Au parquet, on y a traité, entre autres les actions libérées de moitié,de l'industrielle foncière de façon suivie vers 63'^, les obligations 4 OjO se retrouvent à 467, le 4 / / 2 à 502 ; on sait qus ces titres sont nets d'imi ûts. L'action iSociélé Commerciale du Caoutchouc est restée ferme à U18, malgré le recul des valeurs de caoutchouc proprement dites avec lesquelles on la solidarise à tort. Un confond généralement, en effet, les litres des entreprises qui ont pour objet la production de la matière première {Hociétés de plantations ou d'exploitations forestières) el les titres des Sociétés de fabrication ou de transformation du caoutchouc : le sort de ces dernières n'est pas du tout, comme celui des Sociétés de production, étroitement lié aux ftuctualions des pri.r du caoutchouc el loin de sou/Jrir d'ailleurs de la baisse des prix, les affaires comme la Société Centrale du caoutchouc en tirent plutôt avantage. La meilleure preuve en est que le chiffre des ventes de la Société Commerciale qui l'an dernier au août était de 3 millions /7s;.855 francs, s'est élevé cette année au 31 août à 4.05tS.4S7 francs en huit mois d'exercice. Ce rapide développement du chiff're d'affaires a eu pour corollaire une augmentation parallèle des bénéfices et il résulte de déclarations officielles que te dividende de l'exercice l'J 12 sera supérieur à la répartition de 15 francs effectuée pour l'exercice 1912. L'action de la Société Centrale du Caoutchouc qui aux cours actuels de 218 francs offre déjà un rendement rénumérateur de 6.(10 0/0 est donc appelée à une rapide plus-value. A la Itourse de Lille, les tendances satisfaisantes que nous constations, il g a huit jours, sur les actions Vendin le: Itéthune se sont traduites par une nouvelle hausse de ces titres à 160. L'opinion unanimement favorable émise sur ce charbonnage, préalablement à la Constilution de la Société actuelle, par le service départemental des mines, par le Conseil supérieur des Mines et par le Conseil d'Ëtat, est confirmée d'une façon éclatante par la qualité des dernières veines recoupées, par leur régularité el par •4es résultats des analyses dont les charbons ainsi mis à jour ont été ou sont l'objet, 11 g a là une série de manifestations matérielles qui démontrent bien ta valeur de ce charbonnage dont la hausse des actions est généralement considérée à la Bourse de Lille, comme une éventualité ressemblant plus à une certitude qu'à une hypothèse. /.'Informateur Financier, 16, Bue Drouot, Paris. CHK.MIN UE FER D'ORLI^ANS A V I S A U F U B U C A partir du 15 octobre prochain, le Irain rapide 632 qui pari de Nantes ù minuit 45 s'arrêtera en gare d'Ancenis où il passe à 1 h. 12. Celte mesure constitue une réelle amélioration pour les 1 dations dans la soirée entre la Bretagne, la Loire-Inférieure et la ville d'Ancenis. M . JOSEPH M A R I O N , clerc d'nvoué, n Sslnt-Morccllin, écrit : " j'ai été tri» suli»foit île votre i)ouiiru Cozii, elle u proiluit un cITet nu'rveilinux. Kllc a oblige ID personne, nui ne voiilnit pas quiller ses alcools adorés, à perdre sa mauvaise bobiludu île boire. Je regurdu voirc Insiitut comme un des plus grands bienfaiteurs dr l'humanité ". I l p à n Ctn ni imiitli tehMiii. On trouve la poudre Coza dans toutes les pharmacies et aux dépAts Indiqués ci-dessous. Lea barmaciens ne donnent pas d'échantillons, mais onoent gratuitement le livre d'attestations i ceux qui se présentent i leur pbannacie. Toutes demandes par la poste sont a envoyer directement i S COZA H O U 8 E , 7S, Wirtar^tnit. lOIMES VU. Hnflitim DépAts : Quimperlé. — Pharmacie G. H A B R I A L , 4, place Saint-Uicbel. M 0 « l a n . - Pharmacie B O U L A T Etude de M ' E . 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G L Y O . \ V A R C ' i l , Agent d'affaires à Loriciit, ancien huissier à Quimperlé, ancien principal clero d'avoué, informe le public qu'à partir du 1"' Octobre l'Jl'i, il c r é e À Quimperlé une Ageuce d'Afl ' a i r e s , rue de Brcmond-d'Ar$ n" 7, el que les Bureaux de l'Agence seronl ouverts tous les \ ' e u d r e d l 8 cl autres jours qui seionl uUéiieureinenl fixé.»;. M. G L ' V O N V A R C ' H s'occupe spécialement de vente el achat de terrains, maisons, propriélés rurales, fonds de commerce, location de maisons el d'appartements, prêts hypothécaires, rédaclion d'actes sous signatures privées, experlises,représentalions aux Tribunaux de commerce el de paix. A l'exception desconsullalions,les renseignements fournis par l'Agence sont aosolument gratuits. A v i s M . 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On conçoit donc facilement sa stupéfaction, son ennui quand i l constata que d'autres personnes que Jougla, guidées E N B E U Z E C R G O N Q Près de Goncarncau —  proximité de la mer (Journal Officiel da 28 Novembre 1904) Le C H A T E A U de K E R I O L E T , restauration très Intéressante d'un U a n o i r du X V * siècle, est situé a u m i l i e u d'un p a r c matrniflque p l a n t é d'arbres séculaires; on y volt de supeiriiea collections de tapisseries et d'objets d ' a r û de meubles, de oolITes et de costumes bretona, de parchemins, de sceaux et d'autog^raplies, dont quelques-uns r e m o n t e n t a n X I I * elèele. 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Le second soir M. de Melval partit plus I l avait craint terriblement que sa pour- grément pour le mélange d'un étranger suite du malfaiteur fût devenue inutile quelconque, d'uu homme de police à une lôl que la veille ; il emportait un fusil. Dès huit heures il était dans l'intérieur d'abord el pis, ridicule pour lui, par-dessus aventure absolument intime ! le marché. M. de Melval ne savait poifit qui était de la propriété. Mais cette fois il ne se contenta point de Noibert Daligny et était en droit de redouPas de milieu en effet. surveiller les alentours. ter des bavardages regrettables, du zèle Ou Jougla serait terrifié, écrasé pour le I l entra dans la maison et n'en ressortit reste de sa vie, ou l'aventure tournerait en importum. plus. Nous savons qu'il avait tort. farce qui l'exciterait à se moquer à son Là-bas, à Bourbonne, Jougla s'était Su par Daligny el Mlle Antoinette son tour des habitants du Chalet, à les berner secret était aussi ignoré que s'il fûtlevé de bonne heure et s'en alla, vélu en sans trêve. touriste, comme pour une promenade aux M. de Melval avait été louché de l'affec- reslé sa chose à lui. La chose de Jougla, la chose de Mme environs. lion inquiète d'Antoinette, mais tout de Mais il marcha rapidement, gagna une môme il lui en voulait, il en voulait à celui Armande. Quand sa sœur, le policier el Lisette se slation de chemin de fer et, après quelques qui l'accompagnait d'avoir éventé le piège furent éloignés, .M. de Melval revint sur détours, se trouvait à Chaumont vers tendu. midi. 11 ne doutait point de leur mutisme ses pas, reprit .sa l'acliou. Rien, rien poui cette nuit-là. Il y acheta des journaux, les lut, rien absolu. d'extraordinaire n'y figurait concernant la Vers l'aube il entra, examina le manneMais tout de même son secret, ce secret région. quin, le corridor. qu'il avait tout fait pour cacher à la terre Tout avait été remis à sa place, aucunes Donc son assassinat de Martinville était entière, son secret était défloré, partagé. encore ignoré. Cela le gênait dans ce qu'il avait résolu, traces du passage de qui que ce tût. 11 retourna chez Ledrain et y dormit. Personne n'avait nis les pieds dans la ne le laissait plus libre de ses mouvements Le garde avait parfaitetpent compris que propriété depuM son départ, personne n'aet certain des conséquences. M. Louis TRÉGUIER, ^rïSLf de F o i n d e L u z e r n e , qualité saine, loyale et marchande, n'ayant pas été mouillé, par Wn^ons de 5 à 6.000 kilos. Prix parité, Quimperlé, 1 2 4 f r a n o s la tonne; livraison en sep' tembre prochain. Se presser pour faire les commandes avant la hausse et l'épuisement du stock qui est très restreint. vait remarqué qu'une porte de la maison fût mal lermé, qu'un cadavre, celui de M . de Melval, baignait dans son sang à l'autre éxtrémité du corridor. I l pouvait y retourner. Ses terreurs s'étaient évanouies. A la nuit tombante il prit un train qui le menait dans la direction de Martinville. Mais point avec descente à Bricon. I l se servait, cette fois, du chemin de fer de Ghfttillon-sur-Seine et s'arrêta à Orchamps. D'Orchamps il s'en vint, par les bords du canal, jusque de l'autre cdlé de Martinville, dans la direction prise par le policier et Mlle Antoinette, à leur retour. De cette façon il arrivait dans la propriété O'claymorgan à revers, ne passait plus là oh il avait passé la première fois. Dix heures sonnaient au clocher de Martinville quand il se risqua sur les marches du perron. I l n'attendait pas plus tard parce qu'il désirait revenir à pied à Chaumont et y prendre un train de nuit qui lui permettrait de rentrer à Bourhonne d'une manière détournée et de si bonne heure que l'on ne put supposer qu'il était allé au-delà de Chaumont? Du premier coup i l avait eonataté que la porte était restée telle qu'il l'avait laissée, entr'ouverte. « Ç i allait bien 1 Le crime n'avait point été découvert. » Jougla tremblait bien un peu, mais i l s'avança tout de même. Une fois de l'autre côté du battant de la porte il alluma son paquet de bougie roulée, repoussa le battant ouvert tout contre l'autre et l'y maintint au moyen d'un siège qu'il poussa. Il ne voulait plus que Ton parvint jusqu'à lui sans qu'un bruit l'avertit. Du côté du mort il jeta un regard de curiosité efTarée, mais il évita de s'en approcher. Le cadavre était là, bien là, toujours étendu à plat. C'élait l'essentiel. Il ne s'en relèverait pas, il ne parlerait pas. Le malfaiteur marcha vers le Moublé qu il n'avait qu'entamé à sa première eilraclion. Il acheva de le briser. Rien, pas d'argent. ,'A Suivre). Quimperlé. — Impnmrte yaimpeWoue S. nit) ftiasoD. U (HRWH: J. HAMII, l^m Quatrième Année — N° 7i L I ... N'utzk^t-o ? 6 Vendredi 11 Octobre 1912 G « x i t i x n « s •liBMggBBHBBBMa (Ancien QUIMPERLOIS) Journal Républicain, Politique, Littéraire, Financier, Industriel, Agricole, Commercial et Maritime Paz*aissa]:it l e V e n d r e d i ANNONCES : Annonces judiciaires la ligne 0 fr. 2 0 Annonces volontaires — 0 fr. 2 5 Réclames.... — 0 fr. 6 0 ABONNEMENTS : Un An 3 fr. 00 Six mois 2 fr. 0 0 Tout abonni, qui, à l'expiration de son abonnement, n'aura pat, dans un délai de 8 j o u r s , renvoj^^ le journal avec la mention « refusé », sera considéré comme réabonné pour l'année suivante. La jOeDace OMale Toutes préoccupations d'ordre secondaire disparaissent aujourd'hui devant la levée de J)oucliers des quatre petits royaumes balkaniques qui, simultanément, ayant noué une entente directe en faisant taire leurs rivalités, se dressent en tace de la Turquie pour lui arracher,par la guerre, les concessions relatives aux provinces chrétiennes qu'elle délient encore, ayant retusé jusqu'ici d'y introduire les réformes élémentaires depuis si longtemps attendues. Ç'aura même été un beau coup de théâtre, que l'ordre de mobilisation transmis à la même heure par les gouvernements bulgare, grec, serbe et monténégrin aux quatre armées de ces quatre Etats que l'on savait bien animés d'une haine violente contre l'Ottoman délenteur de territoires où le croissant de l'Islam apparait comme une insulte à la foi des populations. Néanmoins on n'eût jamais cru que la turcophobie, pour justifiée qu'elle fat, d<'S confédérés éventuels prendrait une forme au^si mpide et aboutirait à un coiitlil des plus sanglants pour peu que la Porte s'obstinàt dans son intransigeance et que les grandes puissances européennes ne s'entendissent pas pour éviter l'effusion du sang en modérant, d'une part, les impatiences helïénrquST'et slaves, d'autre part, en arrachant à la Turquie, sans l'humilier, les concessions qui ramènerai»;nt la paix dans la presqu'île des Balkans. Or, que réclament les quatre associés ? Ils réclament, en Macédointprincipalement où ils ont des intérêts nationaux identiques, mais enchevêtrés, rétablissement d'un régime d'autonomie qui, la Turquie n'y exerçant qu'une suzeraineté platonique, ferait de celte province, en possession d'un gouverneur chrétien, un champ d'altenle, en prévision du partage futur où chacun trouvera — si cela devient jamais possible — la satisfaction de ses droits. D'abord éliminer le Turc oppresseur ; ensuite on s'entendra sur la portion respective que l'on croira devoir revendiquer. Pour appuyer ces prétentions, Slaves et Grecs disposent présentement de six cent mille hommes formés suivant les règles les plus modernes, tuus soldats dans l'âme, tous décidés aux plus grands sacrifices, tous préparés, et au premier plan de cette préparation, plus savante de leur côté, les Bulgares qui, depuis vingt ans, travaillent pour se mettre à la hauteur des suprêmes luttes en vue de libérer les frères soumis au joug exécré. En ce moment, outre les armées régulières qui fournissent un contingent. impressionnant, les réserves s'offrent qui doubleront le nombre des combattanls, et c'est un spectacle digne d'admiration émue, que celui des villes et des campagnes bulgartis, de la Capitale au^»8i, devenues vides de lous les sujets adultes ; les femmes, les enfants et les vieillards restant seuls pour garder les foyers déserts. Quand paraîtront ces appréciations, peut-être l'irréparable sera-til consommé ; peut-être le canon aura-t-il fait entendre sa voix et les frontières seront-elles franchies pour une série de contacts meurtriers que de bons juges estiment devoir être plus horribles encore que ce que nous montra la guerre de Manchourie. E l pourtant la diplomatie, qui peut suspendre, éviter le gesie initial, aura )eut-èlrc aussi exercé une influence )i<:ntaisante entre les adversaires et fait comprendre à Sofia, Belgrade, Athènes et Cetiigité, commi; à Constanlinople, que le résultat d'une conflagration, quel qu'il pût être, ne correSf>ondrait pas à la dépense des vies humaines qui seraient faucliécs. A cet égard, oo doit féliciter de sa généreuse initiative M. Poincaré, qui, profitant de la préâence à Paris de M. SazonofT, ministre des Affaires étrangères de Russie, s'est employé de toute l'ardeur louable dont il est pénétré, et grâce à son grand prestige, à trouver un terrain d'entente qui permettra aux uns comme aux autres de déposer les armes. Nous avons exposé plus haut les aspirations des penples balkaniques en ojpposition avec les résistances de la Sublime Porte, qui eût pu détourner l'orage prêt à crever en se conformant à cenain article du traité de Berlin qui, réglant le statut des nations alors émancipées de la tutelle ottomane, stipulait l'introduction de réformes prévues dans les districts où les chréliens sont en majorité. Ce qui autorise une lueur d'espoir, en ce moment, c'est l'adresse avec laquelle la Turquie, parant le coup, est allée au-devant des demandes de l'Europe, à supposer que l'Europe puisse adopter une réaction qui ral ie les diverses chancelleries. La Turquie, sans accorder tout ce que les quatre royaumes exigent d'elle, accepterait de transiger, en revenant aux stipulations du traité de Berlin et en concédant à la Macédoine et aux vilayeis cause de l'agitation une sorte de ctiarie qui ressemblerait assez à celle dont jouissent les Crétois. Mais celle avance tout à la fois prudcnle et hardie sullira-t-elle à détruire les suspicions et à faire rentrer dans l'ordre des gens résolus à obtenir bien davantage ? Qui sait ?... De toute façon, la Turquie, qui dispose à Andrinople de forces redoutables et qui ne semble pas prêle à plus de concessions, aura la partie belle, étant chez elle, celte fois et possédant un esprii mililaire qu'il ne faut pas méconnaître. Faisons des vœux pour que la modération l'emporte sur la violence et [)0ur que, si la guerre ne devait pas êlre évitée, elle n'ait pas de répercussion en dehors delà zone où elle devrait se localiser. Il y a si longtemps qu'on en éloigne le spectre qu'il serait vraiment terrible de la voir éclater I (On traite à forfait pour les annonces répétées) véritable attentat contre le suflrage uni versel, qu'elle frappe de déchéance. Ce n'est d'ailleurs pas par hasard que tous les ennemis de la République ont défendu le projet ridicule voté par la Chambre. El M. Reinach a beau le contester, en est réduit, pour essayer de donner le change sur ce point, à classer M. Maurras parmi les adversaires de la R. P.. alors que celui-ci a déclaré qu'il y était favorable parce quelle était de nature à faire beaucoup de mal à nos institutions. (Lettre au Temps en date du 16 juillet dernier.) Or, c'est un fait nouveau dans l'histoire parlementaire, que la législation fondamentale d'un régime ait été transformé en pleine période de paix intérieure par les adversaires de ce régime. A plusieurs reprises comme le rappelle M. Reinach, il s'élait déjà constitué, avec le concours de la dioite, des majorités de coalition contre tel ou tel cabinet ; mais jamais, même au temps de M. Méline. on n'avait encore entrepris de faire aboutir une réforme quelconque avec l'aide des pires adversaires de nos institutions. L'École laïque Il fat un temps ou cléricaux et réactionnaires gardaient sur leurs menées pour re conquérir l'école un silence prudent. Ce temps est bien passé. Aujourd'hui, se sen tant assez forts, ils ne se gênent plus Devenus maîtres de la place, où ils se sont introduits par surprises, les voici qu crient sur tous les tons : La maison est à nous, c'est à vous d'en sortir. L'Autorité annonçait il y a quelques jours qu'elle allait établir prochainement, par les chiffres, que « la fenlrée des classes a manifesté partout une diminution des plus sensibles des élèves des écoles laïques, et une augmentalion correspondante de la population scolaire des-écoles libres. » Le parti républicain saura-t-il répondre et enlin agir ? Tandis que nous étions les seuls à dénoncer le péril, on pouvait croire que nous noircissions le tableau. Se rendra-t-on h l'évidence, maintenant que lu contre épreuve de nos adversaires vient renforcer nos preuves ? Et sous quel prétexte entreprend-on celte véritable révolution politique ? En vue, de couper le contact entre l'électeur et l'élu, a dit M. la président du Conseil ; mais, au même moment, M. Joseph Reinach — qui s'était, lui aussi, élevé dans plusieurs de ses discours à la Chambre contre la pretendue tyrannie des intérêts particuliers — est allé auprès de ses élecleurs, et il leur a expliqué que plus on «•tendra la circonscription électorale, plus Celle issue violente de la crise balkanile député aura d'autorité pour défendre que était à prévoir. Les exigences granles mandants. C'est ce qui nous a fait dissantes des petits Etals chrétiens à (lire que c'était pure comédie de la part l'égard de l'Empire Ottoman qu'ils voient (les proportionnalistes de partir en guerre s'effriter de jour en jour ne pouvaient contre les mares stagnantes, puisqu'ils guère laisser de doute sur ce point. De s« proposent seulement de les remplacer son côté, la Turquie ne pouvait céder sans par des étangs, où ils espèrent patauger lolalement déchoir ; aussi l'intervention plus à l'aise. des grandes puissances ne pouvait rien Or, M. Reinach s'abstient prudemment pour maintenir avec le statu quo, une de s'expliquer sur ce point. Tout au plus paix impossible. Pourronl-elles, ,tout au dénonce-l-il les actes de favoritisme qui moins, localiser le conflit et éviter ainsi auraient, selon lui, provoqué la constitu- des complications européennes ? C'est ce tion des syndicats de fonctionnaires. Tou- que l'avenir, gros de menaces, ne tardera tefois, on ne voit pas pourquoi de pareils pas à nous apprendre. actes de favoritisme ne pourraient pas Une dépêche parvenue mardi à Londres aussi bien se produire avec un système était ainsi conçue : électoral fondé sur le quotient, qu'avec un « On mande de Cettigné que 1« chargé JEAN MÉRAC. mode de scrutin à base majoritaire? Est-ce d'aflaires du Monténégro à Constantinople qu'avec la R. P. les députés ne dépendront a notifié ce malin à la Porte que le Monpas aussi étroitement des deux cents mem- ténégro a déclaré la guerre à la Turquie. » bres de leur comité dont la signature leur Un second télégramme de même origine sera nécessaire pour être candidats, qu'ils suivait de près. Il disait : « On mande de Cettigné que le gouverEn réponse à un article de M. Georges ont dépendu jusqu'ici de leurs électeurs ? Mandel sur le discours de M. Joseph Et &i, d'autre part, l'administration fran- nement Monténégrin a donné l'ordre à son Heinach à Billy, le député de Digne a çaise est tout entière encombrée de fîls, adreesé une lettre au Radical à laquelle de gendres et de parents de parlemen- représentant de quitter Constantinople et a remis son passe-port au chargé d'aflaires M. Mandel a, à son tour, répliqué par la taires, quel rapport cela a-t-il avec notre Ottoman. » lellre suivante : système électoral 7 Est-ce que demain, Voici, d'autre pari, le texte de la note Mon cher directeur, même si le projet de la Chambre était remise mardi, vers midi, à la Porte, par M. Joseph Reinach s'est donné bien de ratifié par le Sénat, les gouvernements ne la peine pour ne pas répondre au principal continueraient pas à dépendre du Parle- M. Plamenatz, chargé d'affaires du Monténégro à Constantinople : reproche que je lui avais adressé. . ment? Et quelle garantie nouvelle aurions« Comme la Turquie n'a pas voulu exéEn effet, je m'étais bien gardé de lui de- nous qu'il ne se trouverait plus alors de mander compte de ses variations succes- ministre assez faible pour céder à certai- cuter les désirs du Monténégro et régler les questions en litige, le Monténégro se sives d'opinion'3, au sujet de la réforme nes sollicitations pressantes ? voit d-ns la nécessité de se faire seule jusélectorale. C'est son droit absolu d'avoir A la vérité, c'est là toute la question. lice par les armes. » été tour à tour favorable au scrutin de El M. Reinach eût été mieux inspiré Après la communication de celte note, liste, au scrutin d'arrondissement et à la en l'abordant avec la courageuse franchise es deux diplomates ont regagné leurs représenlalion proportionnelle. En se condont il sut faire montre en d'autres temps, jouvernements respectifs. iredisant ainsi, selon les circonstances, plutôt qu'en paraissant tirer argument L'opinion publique ^a accueilli avec enl'honorable député des Basses-Alpes peut même se flatter d'être resté fidèle aux contre les adversaires de la proportion- thousiasme la nouvelle de la rupture des vrais préceptes de la politique opportu- nelle de l'allilude des bonapartistes. Celle relations turco-monlénégrines. Une vive niste, dont il fut jadis le champion. C'est altitude n'a rien en effet que de normal. pression est exercée sur le gouvernement pourquoi il est pour le moins étrange qu'il M. de Dion et ses amis ont espéré, en vo- pour qu'il mette les troupes en campagne ose aujourd'hui reprocher à certains de tant contre une loi qui, à raison de son sans plus tarder. exlrême complexité, aurait pour première Au reste, la concentration est à peu près s'^s adversaires d'avoir évolué. conséquence d'écarter de nombreux élec- terminée. On prévoit l'occupation proDe môme, on ne conçoit pas comment, teurs des urnes qu'ils pourraient-—en se chaine de certains points stratégiques à la lui qui prétend Yolontiers au titre d'histoprésentant comme lés restaurateurs des rontière turque du côté d'Harymanti et rien, il ose écrire que Gambetta « n'a pas droits mutilés du suflrage universel — re- Kirk-Kilisse. Des engagements sont immiplus connu la représentation proportioncommencer, le cas échéant, l'opéralionqui nents. nelle que les automobiles ou le téléphone ». a réussi une première fois sous la seconde On attend d'un moment à l'autre la dé11 sait, cependant, que, dès 1880, Cantagrel Ri^publique. C'est ce qui faisait dire, il y a cision de la Gièce et de la Serbie pour avait déposé sur le bureau de la Chambre encore quelquesmois, à M.,Léon Bourgeois, )rendre position et marcher sans plus de une proposition qui s'impirait des idées de de l'opinion de qni M. Reinach sen^clame. retard. Sluart Mill sur la représentation des mique la représenlalion proportionnelle était Mardi après-midi, M. Ugron, ministre norités, et Gambetta a si peu ignoré celte une seconde loi du 31 mai. d'Aulriche-Hongrie, et M. de Hartwig, proposition qu'il la fit combattie parCoOr, est-ce que le parti républicain pour- ministre de Russie, se sont présentés, en iani dans la Hépublique Française. Je conseille à M. Reinach, qui a la douce amabi- rait être assez oublieux des leçons de qualité de mandataires des puissances lité de m'inviter à consulter ses œuvres, l'histoire pour renouveler une pareille signataires du traité de Berlin, chez M. de bien vouloir de son côté, s'offrir le faute ? Pasitch, président du Conseil des minis Excusez, mon cher directeur, la Ion 1res et ont fait une démarche dans le sens pensum de lire ces vigoureux articles de Colani ; il y verra que nous ne sommes pas gueur de celte réponse, et croyez, je vous de l'entente convenue entre MM. Poincaré les premiers à avoir pensé que la repré- prie, à mon amical dévouement. et SazonofT. sentation proportionnella constituait un Celte démarche, suivtmt de près le geste OROROAMANDBL. La ConiÉilie Proportionnaliste DANS [^BALKANS La fiuerre est dÉclarie belliqueux du Monténégro, est considérée comme ne devant pas aboutir. La population serbe a manifesté devant le palais royal en faveur de la guerre. La mobilisation est terminée. On n'atlem que le signal pour marcher à la frontière Comme conséquence de la mobilisation grecque, des commandes de charbon arrivent à Cardifl". De 20à30.000 tonnes sont dirigées sur le dépôt naval grec d'Orio Environ 200 réservistes grecs ont quitté Cardiff pour s'enrôler. La princesse Alice a adressé un appoi invoquant le patriotisme du peuple grec ; la princesse invite chacun à travailler avec elle, à coudre et à distribuer en raison de la saison avancée, des vêlements aux familles des réservistes. Cet appel se termine ainsi: « Jesuiscertaine qu'il n'y aura pas un seul grec, homme ou femme, qui refuserait l'appui que je demande pour les enfants de notre patrie bien aimée. » LE CONCOUUS de la Société d'AgricuHure de Clohars-Carnoët Rapport de la Commission chargée de la visite des fermes dans ie canton de Quimperié en 1812. J'ai l'honneur de vous présenter le rapport de la commission de visite des fermes du canton de Quimperié. La lilcfie de la commission a été longue et laborieuse. Vuus en jugerez, Messieurs, par te nombre des concurrents, qui se sont présentés pour obtenir les primes que vous accordez aux dillérentes améliorations foncières. Huit demandes de visite nous ont été adressées ponr les primes accordées à la bonne tenue des l'ernies, quatorze pour prairies arlilicielles et plantes sarclées et douze pour prairies naturelles, c'est-à-dire que votre coniniission a dû pour satisfaire ces nombreuses demandes visiter trentequatre lennes. Si la lAche a été laborieuse, votre comnli^sion a eu la satislaclion de constater dans la plupart des fermes de réelles améliorations loncières, qui ont été, pour elle, l'objet d'un travail très minutieux pour la LES POUDRERIES DE LA MARINE désignation des lauréats de ce concours. En revanche elle a eu à déplorer les mauM. Milierand, minislie de la guerre, accompagné du général Gandin et du contre- vaises habitudes qu'ont la plupart des concurrents, pour raison d'économie mal enumiral Le Bris, viendra, la semaine pro- tendue, d'ensemencer leurs prairies avec chaine, dans le Finistère, où il visitera les des mauvaises graines (lond Ue greniers) au iiuudreries nationales du Pont de-Buis et lieu d'acheter des compositions qui auraient du Moulin-Blanc, en vue d'étudier sur place donné des résultats bien supérieurs. La commission, a aussi remarqué que iu question du passage de ces deux étalions beaucoup de fermes, les étables et les blissements de la guerre à la marine, qui ccui ies ont besoin de nombreuses amélioy fabriquerait, à l'avenir, ses poudres. ralions, lanl au point de disiribulion (jue d'hygiène des animaux. .Nous avons été a mémo de constater que, dans certaines propriétés, malgré de nombreuses amélioralions foncières apportées, les fermiers sont A \ x I V I ! a . z * o o tans l'impossibilité d'augmenter le nombre De bonnes nouvelles nous parviennent du de leurs animaux, faute de places pour les Protectorat. Le général commandant les loger. Il est à rcgretlcrque les propriétaires troupes d'occupation du Maroc Oriental cl ne comprennent pas qu'en facilitant la t;lche de leurs locataires ils servent leurs intérêts le haut commissaire du gouvernement ont personnels et ceux de ces derniers. reçu, lundi, une dél<^gation des tiibu» Uaouura et Ouled-Raho, venue pouj; saluer les autorités françaises et les assurer du leurs sentiments de reconnaissance et de fidélité. Jusqu'ici, ces importantes tribus n'avaient cessé de nous comballre avec acharnement. Or, aujourd'hui, elles renoncent à leur projet de Guerre Sainte contre nous et demandent la permission de s'établir de nouveau sur la rive droite. Comme on le voit, celte demande spontanée de la part de frac4ions que nou& avions crues irréductibles et toujours alliées des Beni-Ouarain, marque l'avènement d'une politique nouvelle et féconde dans le Maroc Oriental. Le général Lyauley procède actuellement à l'oiganiSalion du Haouz. Il a l'uilention de diviser en secteurs la région de Bonne tenue des fermes 1" Pi'ime. — La commission a été una- • uimc pour vous proposer pour la I " prime de bonne tenue des fermes : M. David Yves, propriétaire à Kerviadou, en Baye. La ferme de .M. David est incontestablement la mieux tenue des fermes que nous avons vues. La contenance de la propriété de Kerviadou est de 27 hectares: 8 hectares sous céréales lui ont donné une bonne récolle ; 4 hectares sont sous plantes sarclées très bien réussies ; 3 hectares de trèfle violet, sans aucune trace de cuscute et de bon rapport, et 8 hectares de prairies naturelles ensemencées de bonne composition de graines. Le bétail nourri se compose de 26 bêles à cornes, 4 juments et 7 porcs ; ces animaux sont en très bon état. Les bâiiments d'habitation sont bons. La cour de la ferme est très bien enlretetenue et devant la cour existe un jardin m u r é , bien piaulé et très bien c n l r c l o m i . Marrakech, ainsi que cela a été fait dans M. David nous a présenté un outillage peu l'autres parties du pays que nous occupons perfectionné mais qu'il se propose d'améliorer. 11 nous a fait voir environ L500 mètres de miHtairemeul" Un Sous-Marin coupé en deux Le sous-marin anglais B-2, heurté le 4 octobre, par le transatlantique Amcrika, a coule. Les quatorze hommes de 1 équipage ont été noyés. C'est pendant qu'il manœuvrait avec la fluttille, au large de South-Foreland, que le sous-mann B-2 a heurté le traiisallanlique Amerika. Le commandaut est noyé. Lofticier en second, le lieutenant Bufleyne, â été recueilli par un autre sou»inarin ; jusqu'à ce moment-là, on ignorait la calastrojjhe. Le lieutenant Bulleyne. trop épuisé pour donner des détails, a pu dire seulement que le sous-marn a été coupé en deux et qu'il était descendu à une grande profondeur avec le navire. On suppose que le lieutenant se trouvait à l'intérieur au moment de la catastrophe. La troisième flottille de sous-marins est rentrée à Douvr es. Outre le lieutenant iulleyne, un patron do chaloupe nommé Uchads serait également sauvé, mais on n'a pas la confirmation de cette nouvelle. Le B-2 était muni des perfectionne ments les plus récents. Le roi a envoyé une dépêche de sympathie aux parents des victimes du sousmarin B-2. route, de création difficile très bien entretenue. Les clôtures et les chemins d'exploitations sont en parfait étal et démontrent que ce cultivateur apporte tous ses soins à la bonne direction de sa ferme. •2« Prime. — Pour la 2' prime de bonne tenue des fermes, nous vous proposons M. Brangoulo Pierre, propriétaire au Héder, en Clohars-Carnoet. M. Brangoulo nous a présenté .'i hectares de plantes sarclées et 11 hectares de fourrages verts très bien réussis. Les 8 hectares qu'il avait sous céréales lui ont donné une magnifique récolte. Le bétail nourri se compose de 15 bétes à cornes, 3 chevaux et ô porcs ; ces animaux sont en très bon état. Les bâtiments d'exploitation sont également en bon état. La laiterie du Héder occupe un apparie mont très convenable réalisant los conditions nécessaires ; son outillage est parfait. M. Brangoulo nous a fait voir uu moulin à moudre les blés, actionné par un moteur à pétrole. Il possède aussi de niognitiq\ios plantations de pommiers en plein rapport. 3' prime. — Pour la 3- prime de bonne lenue des fermes, nous vous proposons M. Sinquin Jean, propriétaire à Bodel, en Mollac. I.n contennnre de la propriété de Bodel est de 2() hectares. 8 hectares sous cér<;ales lui ont donné une bonne récolto, G hectares de plantes sarclées bien réussies et (> hectares de trètle violet lui ont donner une quantité de foin de première qualité. Le bétail nourri est de 22 biHcs à cornes, 4 chevaux et 4 porcs que nous avons trouvés en bon état. M. Sinquin a crée 4 hectares de prairies mais dans lesquelles il devra, pour obtenir des produits de bonne qualité, exécuter pluBlours drainages. 9 4' prime. — prime de bunae tenue des fermes doit être attribuée à M. Cornou Alain, fermier à Kerjouano, en Quimperlé. La contenance de la propriété de Kerjouano est de 17 h. 50. Los hectares sous céréales lui ont donner une excellente récolte. I-es 2 hectares de hclleraves et choux bien réussis et les Cl hectares de trèfle assez bien. M. Cornou nous a présenté des prairies très bien irriguées. Le bétail nourri est de 14 vaches, 2 juments, un poulain et 2 porcs. F»A J L . M A F I È: S AMÉLIORATIONS FONCIÈRES 1* B o n n e t e n u e des F e r m e s 1" prime, une médaille de vermeil, offerte par M. le Ministre de l'Agriculture et 200 fr., M. David Yves, à Kerviadou, en Baye ; 2-, une médaille d'argent, offerte par M. le Ministre de l'Agriculture et l&O fr.„ M. Brangoulo Pierre, de Héder, en Clohars ; 3', une médaille de bronze et 100 fr., M. Sinquin Jean, de Bodel, en Mellac ; 4-, 50 fr., M. Cornou Alain, de Kerjouano, en Quimperlé. 2* P r a i r i e s A r t i f l c l e l l e s P r é p a r a t i o n des B e u r r e s 1-- prime, 20 fr., Mme Gorlou, de Toulanblez^ en Quimperlé ; 2-, 15 fr., Mmç Piriou, de CoatSavé, en MoClan ; 3-, 10 fr., Mme Bérou, de Lille, en Mellac; 4-, 8 fr., Mme Le Gall, de Pont-arGroll, en Quimperlé ; 5-, 7 fr., Mme Audren, de Kerguwal, en Clohars ; 6-, 6 fr., Mlle Le Gall, de Kernours, en Quhnperlé; 7-, Ofr., Mme Tanguy,de Clohars; 8-, 5 fr., Mme Cariou, de Clohars. Beurres sans sel. — 1" prime, 5 fr., Mme David, de Kerviadou, en Baye ; 2-, 3 fr., Mme Le Gall, de Pont-ar-Groll, en Quimperlé ; 3-, 2 fr., Mlle Gorlou, de Toulanblez, en Quimperlé. Concours de l a b o u r a g e (charrues en tous genres) l - prime, 40 fr., M. Ravalée, de Kertanguy, en Mellac ; 2-, 30 fr., M. Quentel, de Moélan ; 3-, 20 fr., M. Jacob, de Quimperlé ; 4-, 20 f r „ M. Lecorre, de Moëlan ; 5-, 10 fr., Gégou, de Clohars; 6-, 10 fr., M. Berlhou, de Quimperlé; 7-, 10 fr., M. Scoazec, de Moëlan ; 8', 10 fr., M. Meilladec, de Clohars. " P r o d u i t s A g r i c o l e s et U o r t i c o l e s Horticulteurs. — 1" prime, 20 fr., M. Le Noc Gabriel, de Quimperlé ; 2-, 18 fr., M. Gillard Louis, de Quimperlé ; 3-, 15 fr., MM. Le Noc Joseph et Jacques, de Quimperlé; 4-, 5 fr., M. Dérout, du Pouldu, en Clohars ; 5-, 2 fr., M. Morcn, Hôtel des Postes, Quimperlé. Cultivateurs. — l - prime, 15 fr., M. Conan, de Keranguen, en Quimperlé ; 2-, 12 fr., M. Péron, de Coat-Savé, en Moëlan ; 3-, 10 fr., M. Jouan, de Kerguyaouet, en MoiUan ; 4-, 8 fr., M. Le Grand, de Landrein, en Le Trévoux; 5',5fr., M. Chopin, du Leing, en Quimperlé ; 6', 5 fr., M. Conan, de Prat-Guen, en Quimperlé ; 7-, 3 fr., M. Tanguy, de Clohars ; 8-, 2 fr., M. David, de Kerviadou, en Baye. Cidres 1" prime, une médaille de vermeil et 20 fr., M Nerzic de Melgven ; 2-, une médaille d'argent et 15 fr., M. Capitaine, de Moëlan; 3-, une médaille d'argent el 10 fr., M. Le Gall, de Pont-ar-Groll en Quimperlé; 4', 5 fr., M. Guyader, de Riec une médaille de bronze, M. Le Naour, de Guer rouat, en Nizon. L'espèce chevaline, notamment, était très brillamment représentée, par des sujets amenés de presque toutes les communes de notre arrondissement : Bannalec, Le Trévoux, Tréméven, Querrien, Quimperlé, Baye, Moeian, Riec, Mellac, StThurien, Clohars-Carnoet, etc... Dans la race de trait, dont l'élevage est particulièrement pratiqué à Clohars, Moêlan, Riec, Baye, etc., il n'y avait pas moins de 40 concurrent®. La catégorie des juments de trait suitées du produit de l'année, comportait 16 sujets, tous très beaux. Signalons ici une amélioration prononcée dan^la production du poulain qui se rapproche de plus en plus de la forme typique du postier breton. Les animaux diminuent enfin leur taille et preun- nt plus de rondeur et d'ampleur dans les formes. Les animaux de 1/2 sang étaient moins nombreux mais de 1*' choix, indiquant de sérieuses connaissances dans le croisement. Ici, la qualité compensait largement la quantité. Les poulains el pouliches étaient exposés on grand nombre et les commissaires ont ou fort à faire pour établir un classement. On ne peut que reconnaître une grande amélioration, grâce à l'augmentation et au choix des étalons des haras. Pour le prix d'ensemble, il n'y avait que deux concurrents, l'un pour le trait, l'autre pour le 1/2 sang. Dans l'espèce bovine, on a remarqué de jolis spécimens de la race pie-noire, nos éleveurs s'attachant a imiter l'exemple des eleveurs Quimpérois. Encore un petit eflort et ils pourront faire bonne figure auprès de ces iierniers. Dans la catégorie des races diverses, on a admiré une fort jolie vache et une non moins jolie génisse, croisées Durham. Enfin l'attention des visiteurs a été surtout attirée par un superbe lot de jersiaises, de race absolument pure. L'espèce porcine était, elle aussi, fort bien représentée par de jolis sujets de la race du pays, ainsi que de croisés-craonnais. Onr>a surtout admiré une portée de 13 porcelets âgés de 6 semaines à 2 mois, en très bon état. Ajoutons que le service sanitaire n'a eu à constater aucun cas de maladie et qu'en conséquence aucune bête n'a été refusée Quant à Texposition horticole, elle a dépassé en beauté toutes celles qu'il ait été douner d'admirer dans les concours organisés par la Société d'Agriculture depuis son origine. Nous n'exagérons rien et nous nous contentons de rapporter le témoignage des hommes les plus compétents, celui des ma ralchers eux-mêmes. Comme les années précédentes, très nom breux étaient les concurrents qui avaient exposé du cidre et de l'cau-de-vie de cidre Pouvait-il en être autrement à Clohars, pays par excellence de la production du bon cidre ? Knfin, l'exposition des beurres comportait des échantillons de nos meilleures laiteries et là aussi les commissaires, pourtant tins gourmets, ont été irès embarrassés pour tixer leur choix. Mais le banquet, qui comptait près de 300 convives, a été sans contredit, le clou de cette belle journée où, ensemble, ont été fêtées avec un enthousiasme indescriptible l'Agriculture et la République. Servi chez M. Laurent Brangoulo, con seiller muuicipal au bourg, le traiteur, M Jégou, s'y est surpassé tant par l'excellence de son menu, que par l'organisation de son service de table. De nombreux fonctionnaires, des Finances, des Ponts-et Chaussét s, de l'Enseignement, plusieurs Conseillers généraux et d'arrondissement, s'étaient joints aux maires de la plupait des communes environnantes, pour imprimer k cette solennité le caractère républicain que le Président de la Société d'Agriculture avait tenu à donner à cette partie du Concours, pour diftérencier son banquet de celui organisé à Quimperlé, quelques jours auparavant, sous les auspices de notie municipalité clérico-réactionnaire. remercie M. le Ministre de l'Instruction publique d'avoir bien voulu déléguer spécialement M. l'Inspecteur primaire, témoignant de son intérêt pour l'enseignement agricole qui tend à se frayer sa place dan% notre instructiou laïque pour le plus grand bien de nos populations rurales. Il exprime ses remerciements et tons ses sentiments de gratitude à M. le Maire de Clohars-Carnoet, à la Municipalité, à la population pour leur cordiale et grandiose réception. 11 termine en levant son verre aux Agriculteurs, bons serviteurs de fa République, car bien servir l'agriculture, c'est bien servir la République — à leur ami M. le député Le Louédec qui défend leurs intérêts auprès des pouvoirs publics avec un zèle et un dévouement inlassables aux délégués des Ministres et au Président de la République, Le discours de M. Hammond fut également très applaudi. duire in-eztenso le brillant discours si documenté et si riche en enseignemenU de toutes sortes que les agriculteurs ontécouté avec le plus grand intérêtet dont ils sauront sans aucun doute tirer leplusgrand profit. Des applaudissements fMnétiques ont accueilli son discours et la cérémonie s'est achevée par la remise des distinctions honorifiques décernéespar les représentants des ministres de l'agriculture et de l'Instruction publique. Ont été nommés ; Officier du Mérite agricole, M. Audren Pierre, ancien maire de Clohars. Chevaliers : MM. Richard, adjoint au maire de Clohars ; Le^Ny, maréchal-ferrant à Quimperlé ; Le Gall, conseiller d'arrondissement à Quimperlé ; Le Goft, horticulteur 4 Quimperlé et Louis Tréguier, fabricant de mach nés agricoles à Quimperlé. Officiersd'Académie: MM. Bonnaire,maire de Clohars ; Le Boedec Louis, maire de Mellac et Berlholom, publicisteàQuimperlé. L'Echo de Bretagne saisit l'occasion qui lui est oflerte pour adresser à tous ses plus cordiales et ses plus chaleureuses félicitations. il était 3 heures environ quand le banquet a pris fin. La foule s'est aussitôt portée vers Keranna où ont eu lieu les courses de chevaux, puis sur la route de Moeian pour assister à la course attelée. Pendant ce temps, des binious font danser de nombreux couples, tandis que les auberges regorgent de monde. Cette journée a élé en eflet excellente pour les commerçants. Mais déjà il se fait tard, et la nuit tombant vite, MM. Le Louédec et Gerdil durent se Contenter de prononcer sur l'estrade une couric allocution. De même, il ne fut pas possible de lire le rapport delà Commission de la visite des fermes, et le secrétaire de la Société d'Agriculture, M. Morvan, dut se borner à proclamer la liste des lauréats. Nous ne saurions terminer ce compterendu de la magnifique manifestation agricole de Clohars, sans féliciter les organisateurs du Concours, notamment MM. Etchécopar, trésorier et Morvan, secrétaire, ainsi que les organisateurs du banquet ; nous exprimons nos remerciements à la municipalité et à la population do CloharsCarnoet, pour l'accueil sympathique qu'elles ont fait à tous. Nous aurons une mention spéciale pour la Lyre liannaleccoise, qui, sous la direction de son distingué chef, .M. Boulais, a prêté à la fête un concours qui a été très apprécié. A l'année prochaine, à Bannalec ! Plantes sarclées et Prairies arlificielles Pour la première prime de plantes sarPLANTES SARCLÉES, TRÈFLES ET RAY-ORASS clées et prairies artificielles nous accordons 1" prime, une médaille d'argent (0. M.) et 00 fr., le l - prix à M. BoPdec Barthélémy, à Kc M. Boi'dec Barttiélémy, de KeranUru, en Mellac ; randru, en Mellac. .M. Boedec nous a pré 2-, une médaille d'argent (P. M.) et 50 fr., M. senté 3 hectares de betteraves et 4 h. 5 a. de •Naour Joseph, de Keranguen en Tréméven ; 3', pommes de t-irre bien réussis. Les 7 hecta une médaille de bronze et 40 fr., M. Audren Eures de fourrages verts, trèfle violet mélangé gène, de Kcrguissal, en Clohars ; 4', Le Du, de Prenant la parole, M. Le Louédec remercie llosglas, en Mellac. de Ray-grass sont de toute beauté. M. le Ministre de l'Agriculture d'avoir bien 3° P r a i r i e s . \ a t i i r e l l e s M. BoCdec a cn é une étable modèle qui voulu se faire représenter à cette manifesCRÉATION, ASSAINISSEMENT, URAINAOE surtout attiré notre attention ; rien n'a été tation agricole et du choix tout particulièreET IRRIGATIO:* omis dans son améuagement pour la soli ment heureux qu'il a l'ail en la personne d'un l " prime, une médaille d'argent, offerte par dite, la commodité, le bel aspect et l'hygiène délégué aussi aflable, aussi distingué que M. le .Ministre de l'Agriculture el 150 fr., M, Le elle est toute bétumée avec plafond en .VI. Gerdil, son sympathique secrétaire partiGall Jean-.Marie, de Kernours, en Quimperlé ; 2-, ciment. culier. une médaille d'argent (P. M.) et 60 fr., M. Le \1. BoCdec doit créer une fosse ii purin Gac Jean, de Kerlavarec, en Tréméven ; 3-, une Il remercie le Gouvernement de la Répuqui recevra tout le purin de ses étables et médaille de bronze el 50 fr., .M. Jouan Louis, de blique et le Minisire de l'Intérieur d'avoir une plate-forme i fumier et nul doute que, Keniijeannc, en MoClan ; 4-, 45 fr., M. Jambou désigné pour assister à celle lête, M. Hamdans 4 ans, il aera le candidat le plus sérieux Louis, au Moulin-Iilanc, en Mellac; 5', 40 fr., M. mond, le dévoué Secrétaire général du Fipour concourir pour la prime de bonne Péron Thomas, de Pempic, en Tréméven ; 6", nistère, dont l'intérêt à la cause des populafr., M. Péron Jacques, de Kernévénas, en tenue dus termes. tions agricoles du département ne s est jaQuimperlé ; 7', une médaille de bronze, M. Riou mais démenti el M. Calloc'h, sous-préfet de 2» prime. — La deuxième prime nous .Mathurin, du Reste, en Mellac. Quimperlé de quila bienveillance, 1 initiative paru devoir être attribuée à M. Naour Jo 4* Concours d e Fosses & P u r i n et le zèle intelligent sont universeileineni seph, agriculteur à Keranguen, en Tréméven Prime unique. — Une somme de 25 francs, appréciés par la population entière de 1 ar M. Naour nous a présenté une culture M. Le Gall Jean-.Marie, de Kernours, en Quimrondissement. très soignée et des fourrages magnifiques perlé. Il se réjouit doublement de la présence à qui lui permettent de nourrir 20 bêtes S* P r i m e s s p é c i a l e s ce banquet de M. Pelluet, inspecteur pricornes, 4 chevaux et 8 porcs que nous avons Une médaille d'argent pour bonne tenue de maire. Il est heureux de saluer eu lui a la trouvés en bon état. laiterie, M. Bérou Guillaume, de Lille, en Mellac; l'ois le fonctionnaire qui a su conquérir en 3« prime. — Pour la troisième prime, nous une médaille d'argent pour bonne conduite d'un Eaux-de-Vie de Cidre très peu de temps par ses qualités l'esliine rucher, M. (pas décerné). vous proposons M. Audren Eugène, à Ker l - prime, 10 fr., M. Nerzic, de Melgven ; 2-, 5 fr et la sympathie de ses subordonnés el de AMÉLIORATIONS DES RACES guissal, en Clohars-Carnoet. M. Ravalée, de Kertanguy, en Mellac. tous ceux qui l'approchent, eiledélégué que Espèce t ' I i e v a l i n e M. Audren nous a fait voir 1 hectare le Ministre de l'iustiuclionpubliqueachargé Serviteurs Ruraux JUMENTS POULINIÈRES SUITÉES betteraves, 80 ares de choux et 3 h. 50 a de distribuer eu son nom de précieux en1" prime, 50 fr., M. Couric François, de TréOU PRODUIT I>E L'A.NNÉE (saug et demi-sang) luzerne et trèfle violet, le tout superbe. couragements. méven ; 2-, 40 fr., M. Banquette, de Quimperlé l prime, 50 fr., M. Kerhervé Louis, de Kerprima, Prairies Naturelles Il adresse à son ami, M. Bonnaire, maire en Bannalec ; 2-, 40 fr., M. Le Galf René, de 3-, 30 fr., M. Josse Jean, de Tréméven ; 4-, 20fr La Commission accorde un rappel Kerancalvez, en Bannalec ; 3-, 3U fr., Landrein M. Jaffrézou Alain, de Clohars ; 5-, 15 fr., M. Even de Cloharij, ses remerciements pour sa ré1" pr.x de prairies de 1903 à M. Nigen, J(»an, de Keroler, en Le Trévoux ; 4-, 10 fr., Jacques, de Tréméven ; 0-, 10 fr., M. Derrien ception si cordiale, ainsi que pour les paroles Kerlescouarn-Bihan, en Tréméven. Querré Louis, de Keranlhiec, en Bannalec ; 5-, Pierre, de Clohars. SI flatteuses ^u'il a prououzées dans son disServantes 1" prime. — Votre commission a eu à une mention honorable (au même). cours à son intenlion. Il l'assure de sou examiner chea M. Le Gall Jean-Marie à Kerconcours le plus absolu et dit que, chaque 1-- prime, 40 fr., Tanguy Jacquette, de CloTRAIT nours, en Quimperlé, 3 h. 50 a. de prairies lois que Ciohars aura besoin de recourir a l - prime, une médaille de vermeil ofTerte par hars ; 2', 30 fr., Lorit Marie, de Clohars ; 3 parfaitement irriguées et drainées, créées M. Pichou, sénateur du Finistère et 00 franc*, 20 fr., Derrien Joséphine, de Clohars ; 4-, 15 fr, lui, il sera toujours prêt à preuUre eu sur une mauvaise lande marécageuse. Au M. André, de Kergladen, en Bannalec ; 2-, 50 fr., Floch Yvonne, de Clohars ; 5-, 10 fr., Riou Fran mains la défeube de ses intérêts. L honoM. Favennec, de Saint-Tliurien ; 3-, 40 fr., M. Le cine, de Clohars ; 0-, 10 fr., Berlhou, de Quim jourd'hui ces 3 h. 50 a. de landes transfor i-able député de Quimperlé rappelle, daub cet perlé ; 7., 10 fr., Scoazec, de Moëlan ; 8-, 10 fr, Golf, de Kerlavarec, en Tréméven ; 4-, 30 fr., mées en prairies sont d'un bon rapport. ordre d laées, toutes ses iulervenlious tant .M. Landurand, de Quét)len, en Quimperlé ; 5-, Méilladec, de Uotiars. Pour arriver à ce résultat, M. Le Gall au Couseil général qu auprès des Ministres 20 fr., M. louan, ou Leing, en Quimperlé ; O", Courses dû extraire uue énorme quantité de roches 10 fr., .M. Gillard, du Rest, en Tréméven. intéressés, lutervenlions qui oui, ou abouti Galop : 1" prix Goalabré, de Quimperlé et de pierres, qu il a utilisées pour drainer ou qui sont en voie d'abouUr. Il conslate Legall, de Bannalec ; 3-, Goalabré, de Quimperlé POULAINS FT POULICHES AU-DESSOUS DE 3 ANS et clù'uirer celte prairies. avec plaisir les progrès toujours plus grands Trol : 1", Brozec, de Moëlan; 2', Quémar, de ÉLEVÉS DANS L ARRONOISSEMENT rt-alisés dans rarrondissentenl de Quimperlé Celle transformation dénote de la part de Baye ; 3-, Ricouard, de Baye. (sang et demi-sang) par lu population intelligente et laboneusu M. Le Gall un courage et une persévérence Courses attelées ; l " , Postée, de Quimperlé l - prime, 40 fr., M. Pérès François, de Keran- 2', Quémar, de Baye; 3-, Ricouard, de Baye. qui s'adonne a la culture avec lant de pasdigues de récompense. colliec, .en Bannalec ; 2", 30 fr., M. Stanguennec, sion. 2' prime. — Pour la deuxième prime de de Kerolliclion, en Cloliars ; 3-, 25 fr., M. LanM. Courtier a déclaré, dimanche derprairies naturelles, nous vous proposons M 11 lève son verre aux agriculteurs, à tous nier, à son Conseil mi^iicipal, qu'il avait drein, de Kerotter, en Le Trévoux ; 4-, 15 fr., L A . F E T E Le Gac de Kerlavarec, en Tréméven. ceux qui suivent et eucouiugenl leur» ellorts ; cru trouver, en arrivant à la Mairie, les M. Conaii J.-M., de Prat-Guen, en Meltac ; 5-, .M. Le Gac est un travailleur intelligent lo fr., M. Le Brozec, du Guilly, en Moêlan. aux niiuislres qui se sont l'ait reprcseuter, finances de la ville dans une situation jirosFavorisé par un temps splendide, le COD qu'on doit encourager. H nous a l'ail exami à leurs aimables délégués, MM. Hammond, TRAIT père, mais qu'il avait élé malheureusement cours organisé à Clohars par la Société ner uue prairie de 4 hectares environ, créée Gerdil, Calloc'h et Pelluet, au maire, à la (poulains et pouliches) induit en erreur. d'Agriculture a obtenu, hâtons-nous de le sur une tombière, où les animaux venaient municipalité, à la commune de Clohars ; 1" prime, 40 fr., M. Gloannec, de Riec ; 2-, Il avait cru trouver un excédent de res'enliser jusqu'au poitrail, et drainée sur 35 fr., M. Peasec, de Querrien ; 3-, 25 fr., M. Fra- dire, le succès le plus complet, le plus bril a M. Soulière, professeur déparieujeutal uue surface de 3 hcclare.,. Quelques amélio d'agriculture qui a bien voulu prêter son celtes de 23.000 francs. Ce chiflie, hâtons val, de Riec ; 4-, 20 fr., M. Ricouard, de Quim- lant el le plus mérité, Peu intimidés par les basses manœuvres râlions doivent encore y être apportées. concours éclairé aux opérations delicates nous de le dire, ne repose sur aucune base perlé ; 5-, 15 fr., M. David, de Baye ; 0-, 10 fr., du jury chargé d'atlribuer les lécompeases, et l'on peut se demander où M. Courtier a .M. l'usioch, de MoÉian ; 7 , 5fr., M. Boédec, de de pression et d'intimidation exercées par la 3« prime. — Nous vous proposons de l'ac bande noire qui terrorise Quimperlé, nos Mellac ; »•, 5 fr., M. Jégou, de Baye ; 9-, 5 fr. à tous les maires, conseillers généraux, et élé le chercher. M. Beaufrèic, rendant corder a M. Jouan Louis, à Keruijeane, en M. Le Gall, de Pont-ar-Groll ; 10-, 5fr., M. Mello) braves cultivateurs, eu dépit de toutes les d'arronuissement, représeutanis éius el compte de la séance, fait mieux ; il écrit : Baye. de Quimperlé ; 11, 5 fr., M. Goalen, de Quim- diflicultés accumulées avec une ténacité fa fonutiounuires qui ont bien voulu témoigner « le budget additionnel accusait un >xcéM. Jouan nous a montré une prairie de pene ; 12-, 5 fr., M. Seilin, de Riec ; 13-, M. Pi- rouche par des gens peu scrupuleux et intépar leur présence leur dévouement a la cause dent de recettes de 23 000 francs ». Où le 6 hectares faile d'une ancienne pinière, très lorgé, de Mellac ; 14-, M. Le Meur, de Riec ; 15-, ressés à faire echouer par tous les moyens agricole et républicaine, à tous ceux qui ont M. Le Gall, de Kernours. ' possibles la maniiestation qui se préparait bien nivelée, semée d'une très bonne com directeur de l'Union Agricole a-l-il pu débien voulu participer à cette manilostation position de graines. Cette prairie a une nicher pareille sottise, car le budget addiPRl.V D'E.NbEMBLE. - Une médaille d'argent s'étaient rendus nombreux à l'appel de la dont il se sent heureux et fier. attribuée au plus bel ensemble d'animaux de Société. d'Agriculture. végétation luxuriante et d'un excellent rap tionnel tel qu'il a élé volé par le Conseil I l prie, eu terminant, les délégués de l'espèce chevaline. — 1/2 sang : 1- prime, M. port. C'est là un témoignage éclatant de l'atta transmettre à leurs uiinislres respectifs avec municipal se solde par un excédent de Pour arriver à ce résultat M. Jouan prend Landrein Jean, de Keroter, en Le Trévoux ; chement que nos populations rurales portent les remerciements de la population de l'ar- recettes de 1.99U fr. 07. juments suitées : 2" prime, M. Quéré de Keranles boues de la ville de Quimperlé, nous tbiec, en Baniiafec. k leur dévoué et sympathique représentant rondissement de Quimperlé, l'expression de Quoi qu'il en soit, M. Courtier pour ne • avons remarqué un énorme tas de ce fumier M. Le Louédec. ses sentiments de profond attachement à la pas faire montre de sa propre ignorance en Espèce B o v i n e qui servira pour l'amender au printemps Ce témoignage renferme, on en convien République laïque, démocratique et sociale. maiière budgétaire, rejette la responsabiTAUREAUX RACE CORNOUAILLES prochain. dra, la condamnation formelle des procédés (Applaudissements prolonges. - ^ C r i s de lité d'une erreur relevée par la préfecture (au-dessous de 2 ans) 4« Primes. — Nous vous proposons di Vive Le Louédec I Vive la République !) l - prime, 00 fr., M. Favennec, de Kerchmin,-cn et des mesquineries auxquels pour satissui le compte de la recette muiiicii'ale. Il l'attribuer à M. Jambou Louis, du Moulin St-Thurien; 2', 50 fr., M. Guivarch, de Kerallon, faire ses rancunes, la municipalité de Quim M. Pelluet, inspecteur primaire, est heu accuse même les collaborateurs aux(juels Blanc, en Mellac. en Riec ; 3-, 40 fr., M. Prat, de Kerboudou, en perlé n'a pas hésité à recourir, se souciant reux de se faire l'inlerprèie des seuliments il s'est adressé el, finalement, comme il M. Jambou est un travailleur intelligent el St-Thurien ; 4-, 30 fr., M. Leguen, de Baye ; peu de sacrilier les intérêts vitaux de notre du Miuistredel'lnstruction publique qui s'inA cette occasion des discours ont été proexiste un déficit qu'il lui faul combler, il énergiiiue qu'on doit encourager ; son loyer 5-, 20 fr.. Le Meur, de Goulet, en Riec. ville, en déterminant la Société d'Agriculture téresse au plus haut point à l'extension touest de r.iOO fr., actuellement, son prédéces TAUREAUX MARQUANT MOINS DE 4 ANS EN BOUCHE à accepter le reluge que Clohars lui offrait noncés par MM. Bonnaire, Hammond, Le jours plus graude de l'Enseignemenl Agri- déclare hautement qu'il a accepté un hériLouédec, Pelluet el Gerdil. scur ne payait que 4U0 fr. 11 a beaucouj pour l'organisation de sou Concours. M. Bonnaire au nom de la commune de cole qui se uonne dans les écoles de l'arron- tage sans le bénéfice d'un inventaire et que 1" prime, 50 fr., M. Conan Jean-Marie, de Pratamélioré ses terres en d(M'richant des landes Nous répéterons jusqu.à satiété que le Clohars Cornoël, remercie M. le Ministre de dibseiuent de Quimperlé. Il lélicite les orga- le Con-seil actuel n'a qu'à s'incliner pour Guen, en Mellac ; 2", 40 fr., M. Bisquay, de la Gade mauvaise qualité qui, actuellement, lui renne, en Riec; 3-,30 fr., Jouan .\ndré, du Leing, Concours serait resté à Quimperlé, si la So- l'Agriculture pour l'honneur qu'il a bien nisateurs du brillant concours auquel il a payer les dettes contractées par l'ancien procurent de bonnes récoltes et en créant en Quimperlé. . ciété d'Agriculture n'avait vu dans le refus voulu faire à la Société d'Agriculture de assisté el les remercie def l'accueil qu'ils lui Conseil. Et le voilà parti dans une énuméune prairie de 1 h. ÔO, non irriguée, sur un Une médaille de vermeil, oITerte par M. Le opposé par le Conseil Municipal de Quim- Quimperlé en se faisant représenter à son ont réservé. Les personnes présentes ont ration de chiffres auxquels nous prions versant aboutissaul à la vallée de l'Isole Louédec, député, conseiller général, attribuée au perlé de voter les 150 francs nécessaires à témoigné à M. Pelluet leur profonde symd'une bonne végétation, plantée de pom- plus beau taureau de la race bovine pie-noire l'organisation des traditionnelles réjouis concours par son secrétaire particulier. M, pathie en saluant son discours par des ap- nos lecteurs de se reporter dans notre Gerdil, inspecteur des Eaux et forêts. Ses compte-rendu de la séance. miers en plein rapport. .M. Bisquay Louis, de La Garenne, en Riec. sances qui accompagnent son Concours, une remerciements vont également à M. le Mi- plaudissements prolongés. Pour arriver au résultat obtenu par TAUREAUX RACES DIVERSES marque d'hostilité qui rendait inévitable le nistre de l'Instruction publique qui en M. Moren a lenu, avant que la discusM. Gerdil, représentant le Ministre de 1 •• prime, 40 fr., M. Le Gall Mathurin, de Ker- transfert sollicité par Clohars. M. Jambou, il lui a fallu faire des travaux sion ne lût close, à faire pruclamcr pur lo déléguant pour le représenter au concours l'Agriculture, après avoir remercié les ora relativement difficiles, vu la déclivité du sol naour, en Mellac; 2-, 30 fr., M. Boëdec BarthéChassée de Quimperlé — le mol-tt'aduit la maire que les centimes additionnels qu'il et les nombreux mètres cubes de pierres lémy, de Kerandru, en Mellac; 3-, M. Nigen, de situation — elle a accepté l'asile que lui M. Pelluet, inspecteur primaire, a tenu à leurs qui l'ont précédé des paroles élo témoigner de l'intérêt qu'il porte à nos gieuses dont il a été l'objet, exprime les y avait lieu de voler étaient destinés à Kerpinvic, en Quimperlé. qu'il lui a fallu transporter. oflraient généreusement nos voisins de la populations agricoles. Il exprime sa grati- regrets du Ministre de n'avoir pu assister en payer des dettes contractées par l aucien M. Jambou nous a lait voir une autre VACHES L A I T I È R E S RACE CORNOUAILLES côte. tude à M. le minisire de l'intérieur pour personne, comme il l'aurait, désiré, au con conseil municipal. prairie de 50 ares très bien irriguée. Sa pro PLEINES OU A L A I T (au-dessous de 7 ans) Que chacun prenne donc ses responsa- s'être fait représenter, lui aussi, par M. cours agricole de Clohars. Empêché, dit-il priélé est très bien entretenue. Nous allons renettre leschosvsau point. 1" prime. 45 fr., M. Gargam Yves, de Mellac ; bilités el que M. Courtier conserve pour lui Hammond secrétaire général du Finistère, par le Concours Central Agricole et l'Expo 5« Prime. — La 5« prime doit être attribuée , 35 fr., M. Manon Louis, de Baye ; 3-, 25 fr., la réprobation qui s'attache à ses exploits. L'exercice 1911 a élé clos, le 31 mars et par M. Calloc'h, sous-préfet de Quimperlé sition de l'Automobile Agricole, il se réserve à M. Péron Thomas, fermier à Penpic M. Brozec, de Moeian ; 4-, 20 fr., M. Marion Louis, 1912, par un excédent de recettes s'élevant dont tous connaissent la sollicitude pour de profiter de la première occasion qui en Tréméven. de Baye ; 5-, 10 fr., M. Ricouard, de Baye. .2'20f.D7 à la somme de. On peut évaluer à près de 7,000, le nombre tous les intérêts de notre arrondissement. s'oflrira à luipour venir témoigner aux agriM. Péron nous a fait examiner une prairie, VACHES L A I T I È R E S RACES DIVERSES culteurs finistériens tout l'intérêt qu'il porte De celte somme, il y a lieu Après avoir remercié tous les membres de 1 h. 50 ares, établie dans les laudes ro1- prime, 30 fr., M. Pérès Guillaume, de Ke- des visiteurs qui ont témoigné de leur inà la Bretagne agricole. de déduire les restes à payer, cheuses, autrefois incultes et sans produc- ranquelvnn, en Bannalec; 2-, 20 fi., M. Guyader térêt à ce brillant concours dont l'organisa- présents d'avoir bien voulu honorer de leur Dans un discours très documenté, très c'est-à-dire TOUTES les détion appréciable. Celte prairie est bien Jean, de Riec-sur-Bclon ; 3-, 10 fr., M. Bran- tion, d'un avis unanime, n'a rien laissé à présence le concours et le banquet qui vient désirer. Il est bon de noter en passant que d'être servi, il les convie à se joindre à lui littéraire et de la plus haute portée au point penses engagées par l'anirriguée par des captations. goulo Louis,, de Héder, en Clohars. cette foule comprenait un bon millier de pour remercier le sympathique député de de vue économique et social, M. Gerdil, avec cienne municipalité, et non GÉNISSES RACE CORNOUAILLES 6* Prime. — Quant à la 6' prime nous vous Quimperlois, au bas mot. Leur présence à l'arrondissement M. Le Louédec, président une aisance qui traduit sa compétence in soldées à cette date, s'elcvant proposons de i'attribuer à M. Péron Jac(au-dessous de 2 ans) Clohars revêt une signification qui a dû at- de la Société d'Agriculture. (Applaudisse- discutable eu maiière agricole, aborde 21.301 36 1 •• prime, 40 fr., M. Péron, commerçant au ques, de Kernévenas, en Quimperlé, pour teindre assez profondément le Maire de ment'4). l'étude des problèmes qui passionnent à tel création de 2 h. 50 ares de prairies sur bourg de Baye ; 2', 30 fr., M. Bourhis, de PeQuimperlé, dans son incommensurabln or Il ne veut pas rappeler par suite de quelles point l'auditoire que chaque donnée do son un terrain en déclivité ; la partie supérieure uanrun, en Riec ; 3-, 20 fr., M. Corvellec, de gueil, pour que nous nous dispensions de Différcnoe 5.9191.'.'! circonstances le Concours s'est trouvé discours recueille des applaudissements est parfaitement irriguée et le bas fond Quimperlé ; 4-, 10 fr., M. Berlhou, de Kergoa- remuer davantage l'arme dans la plaie. M. Courtier a donc reçu de son pièdetransféré de Quimperlé à Cloliara-Carnoet, unanimes et prolongés. drainé. Celte prairie a une bonne végéta- labré, en Riec. cesseur, M. Le Louédec, de quoi payer mais il s'excuse auprès des personnes préAprès avoir félicité sans réserve les orga M. Le Louédec, de son côté, avait fait GÉNISSES MARQUANT MOINS DE 3 A N ^ EN BOUCHE tion et parait d'un excellent rapport. sentes de n'avoir pu les recevoir avec plus nisaleurs du Concours, M. Gerdil ajoute TOUTES les dépenses engagées anléneuM. Tanguy Yves, de Mellac; grandement les choses. 1- prime, 45 fr., M 7« Prime. — Votre commission attribue d'apparât. remeiit par le Conseil municipal, soit qu'il est heureux de complimenter tout spé A sa demande, les Ministres de l'Intérieur, 35 fr., M. Favennec François, de St-Thurien , la médaille de vermeil pour bonne conduite « Clohars-Carnoet, dit-il, est isolé des cialemeut la commune, la municipalité et le 21.301 fr. 36 y compris les 664 fr. 90 pour 30 fr., M. Rivoal losepli, de Riec ; 4-, 20 fr.j de l'Agriculture et de l'Instruction publique d'un rûcher, aucune demande ne lui étant M. Legall Mathurin, de Mellac; 5-, 15fr., M. Rosavaient tenu a être représentés i cette ma- des villes environnantes ; les moyens de maire de Clohars de l'hospitalité qu'ils ont les fêles de la Pomme, plus un excédant parvenue, à .M. CaCric Pierre, propriétaire à tren Jiicques, de Quimperlé. nifestation de l'industrie bretonne. Reçus à locomotion nous font défaut. J'espère que réservée au Concours de la Société d'Agri- net disponible de cinq mille neuf cent dix Kerlescouarn, en Tréméven, pour création GÉNISSES RACES DIVERSES leur arrivée par M. Bonnaire, maire, entouré si, plus tard, la commune de Clohars-Carnoet c u l t u r e . neuf francs vingt et un centimes. de prairies en bonne voie d'achèvement. Il félicite en M. Le Louedec son prési l " prime, M.Pérès Guillaume, de Bannalec; 2', de son Conseil municipal qui leur souhaita la a encore le bonheur d'être le siège du Con Dans ses prévisions de recettes, au bud20 fr., M. Le Gall Mathurin, de Mellac ; 3-, 10 fr. bienvenue, les délégués après avoir accepté dent de la parfaite-réussite de celle manicours de la Socité d'Agriculture, de plus Primes spéciale* get additioniiel, M. Courtier avait prévu Le Gall Jean-Marie, de Quimperlé. le vin d'honneur qui leur était oflert, se rendi- grandes commodités seront assurées k tous l'eslalion agricole. Il tient également à faire Fosse à purin PRI.X D'ENSEMBLE. - Une médaille d'argent rent immédiatement sur les lieuxduconcours. et que le meilleur accueil pourra vous être connaître aux populations agricoles tout le l'encaissement du montant total de l'emLa prime pour fosse à purin doit être at- (G. M.), offerte par la Société, M. Le Borzec, au Et les exposants ont pu remarquer avec dévouement du député de Quimperlé pour prunt contracté pour l'agrandissement du fait. tribuée à M. Le Gall Jean-Marie à Keruours, Uuily, en Moëlan ; M. Marion, de Baye. quel intérêt, M. Le Louédec, président de Je bois à la prospérité de la Société qui M. Pams nourrit la plus grande sympa- cimetière, soit 22.400 francs, alors que eu Quimperlé. la Société d'Agriculture accompagné de d'Agriculture, à son Président et à la thie. Son autorité dans les milieux agrico- lâ.oOO fiiiiics avaiont déjà été encaissés, Espèce P o r c i n e M. Le Gall nous a montré une fosse d'une MM. Bonnaire, maire de Clohars ; Gerdil, République 1 » les, dit-il, son zèle pour les travailleurs de en juin 1911. Qu'on ne vienne pas pour VERRATS bonne contenance. Des rigoles conduisent secrétaire particulier du Ministre do l'AgriDes applaudissements frénétiques et les la terre le classcift dans cette catégorie de cela dire que le bu iget se trouvait en au-dessous de2aDS,8ansdistinction de races) l'excédent de purin des étables à cette fosse. l " prime,25 fr., M. Le Tallec Joseph, de Ban- culture ; Hammond, secrétaire général de cris do : Vive Bonnaire I saluent la fin de ce députés ruraux qui, par leur droiture, leur delicil de pareille somme, étant donné que Laiterie courage et leur mérite personnel ont conquis nalec ; 2-. 13 fr., M. Le Tallec Jacques, de Ban- Préfecture dn Finistère ; Calloc'h, sous-pre- discours. ces 15.000 fraucs étaient compris d;uis les let de Quimperlé ; Pelluet, inspecteur priLa parole est ensuite donnée à M. Ham- à la cause républicaine les populations La médaille pour bonne tenue de laiterie nalec ; 3-, 10 fr., .M. Conan, de Riec. restes a payer », c'cst-a-dii e dans la maire ; Soulièriî, professeur départemental mond, secrétaire général du Finistère. qui jusqu'ici étaient encore sous le joug de doit être attribuée à M. Bérou Guillaume, TRUIES RECONNUES PLEINES OU SUITEES d'agriculluro et Tanguy, Conseiller général, siiinmc de '21.;i01 Ir. 36. Cette dernière la réaction. M. Hammond, secrétaire général du Fiagriculteur à l'Ile, en Mellac. au-dessous e2an8, sans distinction de races) oui visité les diverses sections de l'exposiSes compliments et ses remorcienicnts Somme c jm,iienail aussi, nous le répénistère, après avoir excut^é le Préfet, eml " prime, 25 fr., M. Célin, de Clohars ; 2 , 20 fr., La laiterie de l'Ile occupe un appartement tion agricole et horticole. vont également 6 toules les autorités pré- tons, le montant dû (lour liquidation de» pêché au dernier moment, dit combien il est M. Pocher, de Clohars ; 3-, 1& fr., Favennec, de très convenable, réalisant les conditions néCeux qui avaient fait courir le bruit que heureux de l'honneur qui lui échoit d'avoir sentes et il ajoute qu'il sera heureux de se frais de la fêle de la Pomme, somme que cessaires, son outillage est parfait et com- Quimperlé ; 4 ,10 fr., M. David, de Bayej; 5-,5fr., M. Lozachmeur, de Clohars. le concours de 1912 aurait été M un four » à souhaiter la bienvenue, au nom du dépar- faire l'interprite près du Ministre de l'Agri- M. Hervé aurait pu se faire payer avaut le prend divers instruments de contrôle. parce que transféré du chef-li» u de canton tement, à M. le délégué du Ministre d^ culture des desiderata et des besoins de la 31 mars s'il s'y elail piis à tempes cl M. Volailles Tel est. Messieurs, l'exposé du travail de I " prime, 6 fr., M. Guyomarch Joseph, de au bourg d'une commune voisine, situé à l'Agriculture qui connaît et aime la Bre- région de Quimperlé, ainsi que des senti- Courtier aurait dû ajouter qu'il a eOectué la commission de la visite des fermes. Clohars ; 2-, 4 fr., 3., 3 fr., M. Portier, de Clohara; 10 kilomèties, ont été fortement défus en tagne. Il fait l'éloge de l'agriculteur Breton, ments profondément républicains qui luiont Le rapporteur, c« litre une recellci de 96 fr. 2 fr., M. Rostren Jacques, de Kerlen, en Quim- examinant les produit* exposés dans ses et en particulier de l'agriculteur flnistérien été exprimés. NAOUR JBAN-MABIB, Oa sait quo lo budget additionnel n'e«t, dillérentes partiel. Noui regrettOD* ne pouvoir repro* qui 9uit coDstanineatla roie du progrès. I l nu fucrr«ii«t, n Nlzo», perlé. Escamotage et 6asp:ilage à la Mairie de Çuimperit M. Morren. — Qu'on réduise le traitement des nouveaux moyens de communication avec à l'école primaire supérieure de Quimperlé, quelle cette institutrice à droit à l'indemnité de tamment les articles 46 et 47 de cette loi député 1 Quimperlé et la grande ligne. La question, résidence. est nommée professeur d'anglais à l'école relatifs au fonctionnement des Conseils Avant de lever la séance publique, M. Cour Chemin de grande communicntion N' 16 — Une rappelée à chaque session du Conseil généprimaire supérieure de Guingamp ; Mlle municipaux. gomme de 130 francs est votée comme part con- lier déclare aux conseillers qu'il est à leur dis Cbartier professeur k l'école primaire supé- tributive de la commune dans l'entretien du position pour répondre aux questions qu'ils ral par M. Le Louédec, député, semble être L e quatrième alinéa de l'article 46 sti en bonne voie d'aboutir. rieure de Quimperlé, est nommée professeur chemin de grande communication n* 16, de voudront bien lui poser pule que « pendant les sessions ordinaires Si l'assemblée départementale ne veut pas {ordre des sciences), à l'école'primaire su- Clohars A Doeian rive droite, apr^s que le maire M. Bernard demande la parole, le Conseil municipal peut s'occuper de périeure de Mayenne ; Mlle Marchand, est eut expliqué que la commune ne peut se sousi l propos d'un cochon ladre.—M. Bernard pose se i-ésoudre à doter la commune de Cloharsà M. Courtier la question suivante : u On a fait Carnof't d'une ligne de chemin de fer à voie toutes les matières qui rentrent dans ses déléguée, pendant l'année 1912-13, dans les traire à cette charge. Demande de concession. -— Une demande en courir le bruit en ville qu'un cochon alteiiit de étroite, nous aimons à croii-e que tout au fonctions d'institutrice (ordre des sciences), attributions. » à l'école primaire supérieure de Carhaix concession perpétuelle d'un emplacement situé ladrerie aurait été abattu à l'hospice et donné en moins le voudra bien décider la création L'article 47 a trait aux sessions extraorconsommation aux malades. d'une ligne de tramway. I l nous semble (emploi nouveau); Mlle Grange, est nommée près de la croix de mission au cimetière, dinaires et le deuxième alinéa est très net « Est-ce vrai 't » présentée i la précédente session par M. Corqu'il sulfit que la question s»it posée pour professeur (ordres des sciences), à l'école M. Courtier se dit très heureux de la question « L a convocation contient alors l'indication bierre et renvoyé pour étude à la commission, primaire supérieure de Carhaix {emploi nouqui lui est posée. Les bruits qui ont couru en être résolue. est repoussée. des objets spéciaux et déterminés pour veau) ; Mlle Bernier, licencié ès-sciences, Que le Conseil général veuille bien reLes Ursulines. — M. Courtier expose au Con- ville ont pris naissance, dit-il, à l'abattoir. Il en lesquels le Conseil doit s'assembler, et le est déléguée dans les tonctions de professeur prendre le piojet qu'il a repoussé en l'JU3, seil que la commune de Quimperlé n'est que fut prévenu par M. Gillard et, immédiatement Conseil ne peut s'occuper que de ces ob (ordre des scieoces) à l'école primaire supé- locataire de l'ancien couvent des Ursulines, que il avait prié M. Le Floch, vétérinaire, de se projet tendant à l'établissement d'une ligne jets. » rieure de Quimperlé. le bail est annuel et se poursuit par voie de rendre & l'hospice pour visiter l'animal. de tramway de Lorient à Quimperlé. La tacite reconduction. Après avoir inspecté la viande, M. Le Floch ligne est à moitié construite puisqu'elle O r , voici les questions inscrites à L'administration préfectorale demande au lui déclara que la viande qui lui était présentée vient ju.'iqu'aux Cinq-Chemins, à dix kilomèl'ordre du j o u r de la séance de dimanche Conseil municipal de décider soit l'acquisition ne paraissait pas suspecte. tres de Quimperlé. D'ailleurs, à l'occasion dernier, indiquées sur les convocations, M. Courtier ajoute qu'à la suite de cette dé de cet immeuble par voie d'expropriation pour sur le placard apposé à la M a i r i e et trans cause d'utilité publique, soit la construction de claration il pria M. Gillard, qui lui avait annoncé de l'inauguration de la ligne Lorient-Guidel une interpellation à ce sujet de se rendre, le le 13 septembre dernier, M. Swol, président nouvelles écoles. Quant aux 600 francs affectés anx frais crites sur le registre des délibérations Nous ne refusons pas de construire, dit le lendemain avec M. Le Floch à l'hospice pour as du Conseil d'administration des tramway de Chaque bolle 1 kilogramme, brut ou « 1° Budget additionnel ; 2® Election' de d'achat de l'immeuble pour l'hôlel des Lorient, a exprimé l'espoir de voir bientôt Maire, mais, pour ma part, je trouve la ques- sister A l'inspection de la viande incriminée postes ; aux 119 fr. 33 pour contributions de deux membres de la commision de net, S U C R E D E L U X E C H A N T E N A Y ; tion prématurée. Je ne suis pas d'avis, en tout L'opération, dit-il, fut convaincante, aucune trace la ligne prolongée jusqu'à Quimperlé. A peu revision de la liste électorale pour la chaque botte 1 k i l o g r a m m e , brut ou net, cas, de poursuivre l'expropriation actuellement, de ladrerie n'ayant été relevée sur les morceaux de Irais, le Conseil général pourra ensuite du même immeuble, ne sont-ils pas cou Chambre de Commerce ; 3" Demandes S U C R E S C I É , R A N G É , C H A N T E N A Y , car il y a toujours pendante devant les tribunaux de viande qui furent examines. verts, et au-delà, parune recette de 1374fr. donner satisfaction aux désiderata de la Il est vrai, poursuit M. Courtier, que le porc commune de Clohars-Carnoei. Il y a urgence d'indemnités de logements ; 4° C h e m i n de carton cuir, boites brunes (yenre P A R I S ) une revendication faite par les époux Mancel montant de la hicalion de cet immeuble qui ont eu raison devant la Cour de Cassation en question, avait été mis en vente sur le champ grande communication n® 16 de Clohars à ce que notre assemblée départementale encaissé au budget addilionnel et dont M pour la moitié des bâtiments. contient un ticket prime. J e foire puis refusé par l'acheteur parce que jirenne cetlc décision s'il ne veut laisser Courtier s'esi bien donné garde de faire Cainoët à Doëlan ; 5° Questions diverses Si vous décidez de poursuivre l'expropriation quelques taches de ladrerie avaient été relevées 30 tickets prime donnent droit à 1 kilorelatives aux écoles publiques ; 6* Ré pour cause d'utilité publique, je crois devoir sous la langue. Celle ladrerie n'était d'après lui s'échapper au profit du Morbihan toutes les mention. g r a m m e , brut ou net S U C R E C H A N - vous prévenir que l'expropriation coûte tou- que localisée et on conséquence la viande pou- ressources d'une des communes les plus ponse au questionnaire de M . Meunier Les fiais de procès dans l'aflaire Maret iinportanles du Finistère. jours très cher. Nous ne savons pas ce que vait èlre consommée à l'hôpital. Il a fallu TENAY. 7° Assistance aux vieillards (comité secret) sille résultent, il faut le dire, d'une très décidera le jury. Si nous pouvons nous rendre ici M. Courtier accuse, en le no amant, un L e S U C R E C H A N T E N A Y est le plus acquéreurs des immeubles par voie d'adjudicaL e Conseil municipal ne devait donc vieille affaire liquidée à l'amiable en fa boucher de la ville d'avoir colporté ce bruit et .MOKLA.V. — l i i c e u d i c . — Un incendie a s'occuper que de ces sept questions, et blanc, le plus pur, sucre le mieux I tion publique, la chose serait préférable. Si la il ne cache pas que, pour l'exclure, lui personveur de la ville, puisque celle-ci n'a eu à dévoré vendredi .soir, au village de Poulvez, revendication des époux Mancel avait été traitée nellement, des adjudications pour la fourniture sont nulles de plein droit, en vertu de l'arjiayer que le 1/3 des frais engagés, tanen faveur du liquidateur, nous aurions pu ex- de viande à l'hospice et au bureau de bienfai- en .Muëlan, une meule de paille apparlenaiit ticle 63, les autres délibérations prises au M. Jeaii-.Maiie Gouyec. Le l'eu avait élé dis que M. Maisille en a asssumé les '2;3 proprier. Dans l'état actuel des choses, c'est sance, il a fait insérer dans le cahier des charges cours de cette séance. mis par un ganiiii de 5 ans (|ui s'amusait impossible. Que signifie cette observation de .M. une clause spéciale. Celle question devra èlre tranchée un jour ou E n outre, le Conseil municipal n'avait pas « Voilà, Messieurs, qui fera cesser les bruits avec des alluineltes. Grdce au.\ secour.s des Courtier relativement à la gratification l'autre. Les bâtiments seront mis en vente et joniiiiers de .Moëlaii avisés par les voisins, malveillants. « C o n s e i l m u n i c i p a l . —• Le Conseil muà entendre la lecture du procès-verbal de la accordée aux employés d'oclroi ? I l re alors vous pourrez vous en rendre acquéreurs. Puis M. Courtier donne lecture du rapport do a maison d'habitation ainsi que les autres proche à l'ancien Conseil d ' a \ o i r vote dernière séance. A signaler que, tout de nicipal de Quimperlé s'est réuni dimanche Jusqu'à voir, je vous demande de ne pas pren- M. Le Floch, vétérinaire, dans lequel il déclare biUiments purent être pré.^ervés. dernier à 9 heures, en session extraordi600 francs en faveur de ces modestes em- môme celle fois, le secrétaire a lu les dre de décison. Si par hasard on nous mettait que la viande qu'il a élé appelé à expertiser paLes dégills évalués A l.SWJ t'r. sont eu partie naire, sous la présidence de M. Courtier, à la porte, nous serions à temps de demander raissait saine et propre à être consommée par ployés, atcrs que lui-njôme a fait porter délibérations prises en comité secret. couverts par une assurance. maire. Tous les conseiller s y assistaient, à la déclaration d'utilité publique pour cause d'oc- les malades de l'hospice. Alors que, lors de la précédente séance, cetlc gralilicalion à 1.200 francs ? l'e.xception de MM. Gillard etGallo, excusés. cupation. M. Courtier termine en disant qu'il a donné B A . \ . \ A L E C . — t i i c / . le.s h a p c u r s Pour solder les frais d'agrandisse- on avait omis de lire ce qui aurait dû Le procès-verbal de la dernière séance, Af. Le Ny. — .Ne pourrait-on pas contracter un des instructions pour que, désormais, aucun p o i u p i c r . s . — Par décret en date du 2ti sepment du cimetière, opération qu'il ôire lu, cette fois, quand il ne lallait rien y compris celte fois les délibérations prises bail ? porc ne soit abattu à l'hospice sans avoir élé tembre 1912, .M. Le Meur René, a été nommé ire du tout, on a tout lu. M. Courtier. — L'.\dminislralion des Domaines au préalable visité par le vétérinaire. était impossible de reculer davantage, en comité secret, a été lu par M. Bernard, sous-lieutenant de la subdivision des sapeursne consent la location que pour un an. Nous ne Cartes de faveur. — M. Bernard pose au maire D'après les dispositions de l'article 47, secrétaire, et n'a donné lieu à aucune obM . Courtier a trouvé largement ce connaissons pas le jugement de la Cour de Cas- une autre question au sujet des caries de faveur pompiers de Banualec. a communication du syndicat d'initiative, servation. qu'il lui fallait dans le reliquat dissation ; la préfecturéne le connaît pas davantage. olTertes par la municipalité à l'occasion du banLe Conseil ddibère ensuite sur les ques- Attendons. ponible de l'txeicice 1911. Enfin M . qui ne révélait aucun caractère d'urgence quet du 22 septembre. I i i c e i u l i c . — Le 8 courant, vers G heures dont quelques-unes, Courtier a agité comme un épouvantail était superflue, de même qu'en fin de tions suivantes, M- Peyron. — La Préfecture devra d'abord Très heureuxde celle question, M.Courtier dit du matin, un incendie s'est déclaré chez comme nous le signalons d'autre part, nous fournir les renseignements nécessaires: que sur les indications de M, Soulière il avait la question du concours de la race bovine séance M . Courtier aurait agi sagement en Cutullic Yves, cultivateur à Trémuur, en n'étaient pas inscrites à l'ordre du jour. après, nous prendrons une décision. invité les députés, sénateurs, et conseillers géné- Buiinalec. bretonne pie-noire, concours qu'il n'a pas s'abstenant de la petite comédie préparée M. Courtier. - Je suis d'avis d'attendre la mise raux du département, les deux conseillers d'arM. Cutullic,qui se levait, vit des étincelles demandé et qu'il eut été peut-étie heuieux d'avance sous la forme d'interpellation. Syndicat d'inilialive. — M. le Maire donne en ,vente car l'expropriation coûte toujours fort rondissement du canton, les membres du Jury, de voir transféré soit à Clohars, soit à M. Soulière, son secrétaire et les deux emplo- tomber sur ses animaux dans l'écurie. .\usM . Courtier avait annoncé à nos conci- connaissance au Conseil d'une lettre qu'il a cher. reçue de M. Ilabrial, vice-président du syndicat M. Le Ny. — Certainement, les bâtiments, qui yés de la sous-préfecture qui l'avaient aidé en silùt, il réveilla sa famille et la lit sortir, .Mellac, pour lequel en tout cas il a^ail toyens, avant les élections, qu'il allait toul initiative du Kinistère, remerciant l'assemblée sont pourtant vieux, nous coûteraient cher. Ce qualité de secrétaires-adjoints et la musique.Pas ainsi que - es animaux et donna l'alarme. l a i t \ o l e r la st-mme de 1.800 francs. changer à la Mairie. I l y réus.-it merveil- communale pour la subvention de 100 francs serait préférable de construire des bâtiments d'autres. Tous les conseillers municipaux maire Quelques instants après tous les hiihitants eusemeiit dans son ignorance absolue des qu'elle a votée en faveur du syndicat. A ce moment, M . Courtier s'est donné en tête, ont payé leur carie. Les pompiers n'é- (le ce villiigc (|ui compte au moins 70 méneufs 1912. — Vote de centimes Budget additionnel de M. Peyron. — Supposons que les bâtiments du taient pas de la fête et, en outre, aucune presgarde de dii e que celte somme n'a pas été charges de son mandat. D'autre pait, nous additionnels. — Gravement, M. Courtier annonce couvent soient occupés par les anciennes reli- sion, dit-il, n'a élé faite pour y faire venir les nages su lrouvaieiitsurleslieu.\ derineendie. établissons, chiffres en mains, que si M . eiitièiemenl déj ensée. .Mais aucun sauvetage n'était possible el il assemblée municipale qu'elle va avoir i s'oc- gieuses ; nous serions obligés de partir. Nous fonctionnaires municipaux. fallut se borner à noyer les décombres. Les De tout ce <iue nous avons relevé ci- Courtier n'entend pas le premier mot à cuper d'une question excessivement grave. Il risquons en tout cas de les payer cher, jrès L'incident est clos, et la séance est levée. agit du budget additionnel de 1912. Il avait cher. immeubles qui étaient couverts en chaume dessus, il ressort donc nettement que l'établissement d'un bu.lget, il excelle, par ont été dévorés avec toul ce qu'ils conteM . Courtier a voulu t u i p i e n d i e la bonne contre, dans l'art de fausser les situations cru, dit-il, trouver les finances de la ville dans La construction de nouveaux bâtiments scoC ' c r t i l l c a t d ' é t u d e s p r i m a i r e s ( Session une situation prospère, avec un excédent de laires nous reviendrait meilleur marché. naient, le mobilier et la récolte, dans l'eses plus claires. foi du public, heureusement secondé en d'Octobre). — recettes de 23.000 francs en chiffres ronds. pace d une demi-heure. M. Le Ny. — Si nous avions un terrain proGARÇONS cclà par le directeurde son j .uinal officiel. Maltieureusemcnt, il avait été induit en erreur, pice, nous aurions certainement intérél à consLa perle subie par .M. Ciituilic, dans cet Ecole publique de liannalec. — légou Joseph. les chilVres fournis par la recette municipale Mais la où la mauvaise fui de M . Courtier truire. Ecole publique de Concarneau. — Prigcnt Noi'l. incendie, est évaluée à ôlMJO francs et est étant erronés. Dans les 23.000 francs, on avait dé|..asbe les bornes et devient du cyni&rae M. Peyron.— On pourrait demander ce que Ecole publique de Tréyunc. — Carduner J.-M. couverte par une assurance à la (.''' itu Sofait figurer 15.000 francs perçus, au titre do insolent,c'est'lorsqu'il vient dire que la siEcole publique de Quimperlé. — Cadic François, leil. On ignore les couses de ce .>;inisLre. Une l'exercice précédent, en accompte sur l'emprunt nous coûteraient de nouvelles écoles. M. Hervé. — Environ 300.000 francs d'après ce Couic Auguste, Couliou Joseph, Caillibot Pierre, contracté pour l'agrandissement du cimetière, tuation obérée qu'il accuse est la résulenquête est ouverte par la gendarmerie. Guillou Jean-Joseph, Guillou l'ierre-Josoph, L'abondance des matières nous empê de sorte que ces 15.000 francs ont été comptés que m'a dit M. l'inspecteur primaire. tante, de la mauvaise gestion de M . Le M. Courtier. — 11 faut compter en moyenne Ilabrial .Maurice, Kervarec Laureiit, Lois René, en trop. . \ l / 0 . \ . — l . a liiïte p a i r o i i a i e . — Louédec. O r , le registre des délibérations che de traiter aujourd'hui la question une dépense de lO.OOO fr. par classe. Il y a lieu Morlec Guillaume, Nadan Bertrand, .N'estour agitée au Conseil municipal relative à Le receveur municipal, ajoute M. Courtier, ne de noter qu'il faudrait construire en outre des porte, comme point de départ du budget Louis, Solliec Simon, Tanguy Josoi.h, Lhel L'Union Agricole, du ( i o d o b i e nous apprend qu'à l'occa.-ion de la l'été patronale un bansaurait être blâmé. Son servi, e est très com- logements pour les maîtres et des dortoirs Vves, Boniicfoi Marcel. addilionDt-l de 191'2, un. excédent de re- l'abattage à l'hospice d'un porc atteint de quet par souscription a eu lieu chez .M. Flépliqué, plus compliqué que celui d'une simple pour les pensionnaires. ladrerie. Ecole privée de Quimperlé. — Auffret Alo.xancettes Ue 21.301 f . 3 6 a u lieu de 27.220fr.D7. perceiition et il y a lieu de remarquer que, dans M. Peyron. — J'estime que l'achat de l'établis- dre, Cornou François, lléry Guillaume, Le Bris cher, sous la présidence d'honneur de Nous reviendrons sur cette question et un temps relativement court, les opérations se M . Courtier ne tient compte que du monsement des Ursulines nous coûtera, avec les Vves, Pensec Louis, Quéméner Joseph, yuénié- •M. Corentin Guytio, conseiller général du canton de Pont-.\ven. tant des restes à payer qu'il porte i m m é - la traiterons à fond dans notre numéro de rapportent à la gestion de trois comptables suc- grosses réparations, plus cher que de nouvelles ner Louis. cessifs. Si nous relevons cette relation, ce n'est constructions. diatement en dépenses et il ne fait au- vendredi prochain. Ecole publique de Clohars-Carnoët. — Gouyec pas qut; nous soyons surpris de Vdir M. Le budget additionnel, dit-il, a été établi avec M. Courtier. — Je suis de votre avis. Joseph. cune mention du reliquat disponible de Guyho, accompagné de M. La Villemaïqué, le concours de certains dont la compétence lui M. Le Ny. — Je serais d'avis d'acheter le couEcole publique de Moëlan. — Fauglas Pierre, évoluer à son aise au milieu d'une nuinici^.9l9fr.21. C'est lii un tour d'escamotage paraissait indiscutable. Il s'est trouvé qu'4 la vent à condition que nous l'ayons à bon compte. LeBloa Joseph, Jouan Isidore, Tanguy François. palité qui n'a de pareille dans l'arroiidissepréfecture on a relevé l'erreur et qu'en consé- Dans le cas contraire, il vaut mieux construire. inqualifiable, commis sciemment dans Ecole publique de Beuzec-Conq. — L e C r a s V. mcint que celle de y i i e r r i o n . quence le budget n'a pu èlre approuvé à raison H. Courtier. — La question est très délicate, l'esi'oir qu'il servira à masquer la situaElèves présentés par tes parents. — Gourmelin Depuis longtemps nous savons dans quels d'un déficit de 6.328 fr. 50 qu'il y a lieu de com- très épineuse. Voulez-vous que nous attendions Raymond, Malcoste Victor, Le Visage André. tion désastreuse oii ont été précipitées les milieux .M. Guyho, à qui X'Union Agricole bler par le vole d'une nouvelle imposition de des instructions de la Piéfeclure? FILLES finances de la ville par la bande d'incaaccolle l'étiquette républicaine, recrute ses I l centimes 60 (1). At. Peyron. — Bien sûr!... « Vous ne pouvez pas, ajoute le Maire, revenir Ecole publique de Tourc'h. — Balay Hélène, pa tisans. Adopté à l'unanimité. pables qui siège à l'Hôtel-de-Yille sous la Diplômé de la Faculté de Médecine sur ce que vous avez déjà voté. PersonnelleCours d'adultes. — Une dépense de 300 francs Bourhis Anna. présidenee de M . Courtier. Nous ne voude Paris ment vous n'avez rien voté de trop : 200 francs allouée chaque année, dit M. Courtier, par le Ecole publique de Quimperlé. — Braban Paule, lons 1 as tarder davantage à relever celte en faveur du Syndicat du bâtiment, 100 fr. pour Conseil municipal pour les cours d'adultes, n'a Cariou Marie, Leduc Jeanne, Kerhervé r.lotilde. 56, rue Kéréon, QU IMPER erreur qui ne peut être que voloiitaiie, le Syndical d'inilialive du Finistère, 400 fr. pour pas été comprise au budget additionnel. Il y Renambot .Marguerite, Guillou Angèle, Kerhervé la bibliothèque scolaire, 1.800 fr. pour le con- aurait lieu de la voter. Simone.» car il deviendrait impossible par la suite Monsieur et .Madame E.MI'AIN, les Elèves présentées par les parents. — Briand M. Peyron. — Comment faire 1 .Nous sommes de savoir c e que serait devenue celte T o u s l e s V e n d r e d i s , C O X C . \ H X E A U cours de la race bovine pie-noire. Vous ne pouvez pas revenir sur ces votes. Familles LI;DI:ITT.É, F.\viti;r, Mniiv i.\I, Magdeleine, Caradec Marie-Françoise, Gloaguen en déficit. QUAI D'AIGUILLON, 2 scinme. Une rectification s'impose. Nous Françoise, N'igneron Joséphine, Getfroy .Mario. N ous ne faites que payer les dettes de vos DANILLOU, LAUGÈHE r e m e r c i e n t b i e n M. Courtier. — La somme de 1.800 fr. volée (PRÈS L'HÔTEL LE CLI.NCHE) verrons bien si M . Courtier la fera. En tout prédécesseurs. pour le concours de la race pie-noire n'a pas élé sincèrement les personnes qui o u i Et ici, M. Courtier énumère ce qu'il dit être entièrement dépensée. Nous aurons un reliquat cas, nous attirons sur ce point l'attenlion S e r v i c e d u P o u l t l u . — Voici l'hobien voulu assister au ccnvoi et à de l'administralion supérieure au contiôle Cabinet ouvert de 8 heures r 4 heures une lourde charge dans l'héritage que le nou- sur lequel nous pourrons prélever celle somme. raire qui est mis en application, sur veau Conseil municipal a dù accepter sans le Adopté. l'inhumation de la ligne 3 (service d'hiver 1912-13), par aude laquelle, on l'a vu d'autre part, M. bénéfice d'un inventaire : Non-valeur. — Une somme de 22 fr. 50 pour tobus, entre Quimperlé et Le Pouidu : Courtier voudrait se soustraire. 664 fr. 90 traitement d'un malade décédé à l'hospice, deFêle de la Pomme Amortissement de l'emprunt pour meurant irrecouvrable, est admise à non-valeur. A nos compatriotes .lous ferons remarQUIIHPERLÉ AU POULDU 338 50 l'agrandissement du cimetière..., ainsi (jue celles qui leur ont témoiRéforme administrative. — Le Conseil répond quer ceci : Depuis cinq mois que M . STATIONS •aUn nitin uir Complément de l'annuité pour l'Hôau questionnaire présenté par M. Paul .Meunier, gné leurs sympathies dans cette Courtier est à la mairie, le Conseil muni826 38 député, chargé de faire un rapport sur les li- Quimperlé, Muirie lel des Postes 8 40 l i 40 donloumiise circonstance. cij'ala voté vingt et un centimes trenle-cinq Qiiimperlt, Gun. .Arrirée... Frais d'achat d'un immeuble pour bertés et les prérogatives municipales. 6 20 ? 45 ouimpcrlè. Gare, .déimrl.. î:. "li l'Hôtel des Postes f.00 d'imjiosHions nouvetles, ce qui représente, Résumons en quelques lignes les réponses du Coutuero, aiT(!t fnciillnlif... t 1) -U 16 4 Conlribulions de la maison HoGare de lu Korèl, nrrOl Conseil municipal de yuimperlé. le centime communal étant de 545 francs, C 32 T 12 fociiUalif 119 mancer 43 16 l-,' 11 est d'avis que la commune peut être émanune somme totale de onze mille six cent C 46 nrrfit fuciilUitif... y 26 16 26 Voici la liste des candidats admis à la Procès affaire Marsille 934 52 cipée de la tutelle administrative ; — qu'il n'y a Kerunna, G :iu Bourg lie Cloliiirs-Oirnoël... !6 :tii Irenle-c inq francs soixante quinzecenlimes. suite des épreuves orales au brevet élé Gratification aux employés de l'ocfi 51 y m 16 ;ti pas lieu de.souniettre ses décisions à l'appro- Lanilgiazic, y 1.) 16 15 600 Croi.x de Kerankernal troi M . Courtier a e n o i i i r e dilapidé le reliquat mentaire d'instituteur : bation d'une autorité supérieure qui n'a pas le Le Pouidu, les GrandPurge d'hypothèque du terrain du caractère électif, c'est-à-dire au Prefel ; ~ qu'en disponible de 5.919 fr. 21 résultant de Sables y 4y 16 ly .MM. Le Daccon, Bleunven, L e Bonizec, 315 cimetière tous cas les recours devront èlre jugés au chefl'exercice 1911 et, à l'neure actuelle, il n'a POULDU A QUIMPERLE .800 ëiÊiii M mr m mt mmu^ L e Borgne, Bochorel, Bourhis, Campion, Concours de la race pie-noire lieu du département et non à Paris ; que ces pas la moindre ressource disponible pour STATIONS •ilin ailtin Uir recours seront portés non devant le préfet mais Ennemi de li>ute réclame tapageuse et charCharles, Connan, L e Corre, Danzé, Even, 6.199 fr. 20 La Pouidu, les Grand!!faire face à la plus petite dépense imdevant le Conseil général. lataiiesijue nous préférons continuer à donner Snblcs 10 25 ir45 Soit, donc, poursuit M. Courtier, une somme Féon, E m i l e L e Gall, François L e Gall, prévue. les meilleures prouves de notre méthode en 11 demande que les élections municipales se Croix de Kérankernat 7 15 10 29 17 4y totale de plus de 6.000 francs, que nous avons Landgiazic 7 26 10 40 18 DC publiant les guérisons obtenues. Nos compatriotes constateront qu'en Gestin, Louis Gloaguen, L e Goaër, Goar- dù voter pour solder les dépenses engagées par fassent d'après la R. P. ; — estime qu'il n'y a Bourg de Clohars 7 30 lu 44 18 4 pas lieu d'augmenter le nombre des conseillers Nous avons reçu des certillcats de guérison 7 31 10 48 18 8 cinq mois de temps douze mille francs vet, Jean Guéguen, L e Guen, L e Guillou, nos prédécesseurs. .Nous pourrions dans une municipaux ; — est d'avis que le Conseil géné- Kéranna, urrèl TaculUitif. . avec autorisation de les publier des personnes Gare de la ForOt, arrél certaine mesure réduire les crédits que nous environ ont été engloutis ; que le budget Guinwarch, H e r r y , Heydon, Hugonnot, fucullalir 7 48 11 2 18 22 ci-dessous : avons volés, mais il conviendrait d'éviter celte ral doit avoir le pouvoir d'opérer le sectionne Coatdéro, arriM facallalif... 7 56 11 10 18 30 M. \ olant Alain, à Kerdousten en Combrit, de l'année prochaine se solde d'ores et Kerbrat, Kerguélen, Labous, Lamballais, façon afin • que les services municipaux n'en ment des communes dès qu'il en est requis ;• — Quimperlé, Gure. .arrivée... 8 »o 11 14 18 34 qu'en cas de désaccord la question soit tran- Quimperlé, Gure. .départ... par Pont-l'Ahbé (FinistèreV déjà par un déficit de 5000 fr., qu il a fallu Leiièvre, Léon, Jean Louboutin, Thomas soulTrenl pas. chée non par le Préfet mais par le Ministre ; — Quimperlé, Mairie 8 :to 18 ÎÔ M. Guollec, à Bcyle, près Riec (Finis-tèro). « Je vous propose donc, Messieurs, de voter combler au moyen de centimes addition Louboulin, Marchnnd, Moigne, Michard, que, pour la création de communes nouvelles, M. J. Bovdiil.A Hrelès,p,ir L.iiiililul(l"inislèro;. une imposition nouvelle de 11 centimes 60 (1) m i s ; que la caisse municipale n'a aucune Noblet, Le Page, Palud, Paubert, P i n g a m , le Conseil d'Etat soit seul compétent ; — il S e r v i c e d e s a u t o b u s . — Nous donnons M. Pouliqiieii Alain, à St-Thégonnoc (Finistère'. pour combler le déficit du budget pour insuflldemande que les répartiteurs soient directe- d'autre part l'horaire qui est mis en applidisponiblilé. Mis en présence de ce triste M. Le <Juin(iiiis (Ils, 106, rue de la \'icrge, à Pichon, Prigcnt, Richard, Rolland, Rosuel sance de revenus. » ment élus par le Conseil municipal (ici se place cation par la Société des Transports Auto- Lambézelloc (l'inistère). bilan, ils reconnaîtront sans difficulté que M. Moren. — Il est bien entendu que ce n'est et L e Ster. un mot de M. Courtier : « Je vois. Messieurs, que mobiles Bretons, depuis le 1 " octobre couRojotoz d»nc au loin vos appareils do torture. pas nous qui avons contracté ces dettes 7 la situation florissante du budget, à l'époque vous ne voulez rien céder de vos prérogatives) ; .Nous Iroiivoroz auprès de M. GLASEli, de M. Courtier. — Nous avons accepté l'héritage — il n'admet pas que les délibérations des Con- rant entre Quimperlé et Le Pouidu. où M . Le Louédec était m a i r e , n'a rien Paris, loulo la .«alisfartion désinthle ear son de nos prédécesseurs. Nous sommes bien obli- seils municipaux, dans un très nombre de cas, Omettant de critiquer le départ de Quini- appareil osl le plus loger rent fois plus eflicace de comparable à la situation dans laquelle ges de payer leurs dettes. perlé-Gare fixé à 8 h. 45, étant donné que doivent être soumises à l'approbation des hauts que tout aulro ; il so porte jour ol nuit s.nns P a r arrélé de M . le .Ministrede l'instruc se trouve la commune de Quimperlé deM. Moren. — 11 est bon que le public le fonctionnaires de la République pour être ren- trè* probablement, à partir du 15 courant,le gène et immobilise toutes les hernies en cpielsache. lion publique : puis que M . Courtier lui a succédé. dues exécutoires ; — il voudrait que les bud- train qui n'arrive actuellement en gare de ques mois ce qui lui a valu d'innombrables téLa proposition de M. Courtier tendant à l'imM. Heldl est délégué, pendant l'année position de I I centimes 60 (1) est votée à l'una- gets, impositions, octrois, etc, soient dispensés Quimperlé qu'à 9 h. 12 arrivera comme le^ moignages les plus élogioux du corps médic.il. de toute approbation de l'administration supé- hivers précédents à 8 h. 40, nous ne pouvons .Nous invitons lous les hernioux des deux l912-13,danslesfontionsd'instiluteur-adjoint nimité. rieuse ; — que le Conseil municipal puisse pas toutefois ne pas protester contre le dé- sexes à faire une visite A M. GI.ASKIt, ipii fera tordre des sciences), à l'école primaire suChambre de Commerce. — Sont désignés pour créer lui-même dos hôpitaux, asiles, etc. sans périeure de Concarneau ; Mlle Angenol, faire partie de la Commission chargée de revi- Intervention du pouvoir central de Paris ; — part du soir, fixé à 15 h. 45, soit cinti mi- l'application de ses .ippareils A : C)UIMPERLÉ, le 11, HOtel du l.ion-dOr; pourvue du certificat d'aptitude au profes- ser la liste électorale i la Chambre de Com- que les administrateurs de ces établissements, nutes avant l'arrivée du train de Lorient. LORIENT, le 12, Ilrttel de Bretagne. sorat des écoles normales et des écoles pri- merce, MM. Beaufrére et Génol. Si l'autobus, comme il le devrait, part à étui par le Conseil, soit augmenté ; que le nomM. GI.ASER, SpécialistP, 3S, Boulovanl .<éh,i!« Indemnités de logement et de résidence. — Sont Le devoir le plus élémentaire pour le maires supérieures, est nommée professeur renvoyés, sur la proposition de M. Courtier, à bre des adjoints soit augmenté et qu'il ne soit l'heure, il n'assure pas la correspondance lopol à Paris. Brochure contre 1 fraiir. jamais inférieur à deux ; — que les adjoints aux nombreux voyageur» venant de Lorient. ordre des li ttres), à l'école primaire supéchef d'une municipalité est de connaître la la commission des finances, les demandes d'in- ëpéciaux soient nommés par la C.ommiseion rieure de Quimperlé ; Mlle Verdarguer, proSi la Société veut, au contraire, qu'il atloi municipale de 1884. L e saint homme fesseur à l'école primaire supérieure de demnités de logement présentées par Mlle Keri- déparlepientale et non par le Préfet ; — que le tende l'arrivée du train, qu'elle change son Etude de M ' Etchceopar, notaire vcl et Mme Te.xier, institutrices et par M. Le Préfet n'ait pas le pouvoir de suspendre indéfiqui préside aux destinées de Quimperlé a Guingamp, est nommée professeur (enseihoraire ; les voyageurs seraient ainsi taxés. à Quimperlé Meur, instituteur. niment l'exécution d'un arrêté municipal et qu'il l'air d'en ignorer totalement le texte ; à gnement de l'anglaisi, à l'école primaire suUne demande d'indemnité de résidence, faite y a lieu de limiter la durée de la suspension ; — Nous profitons de cette circonstance pour moins qu'il ne trouve préférable,pour plu^ périeure de Quimperlé ; Mlle Tréglos, ins- par Mme Texier, est transmise à la Préfecture et que même il ne convient pas, en dehors du signaler que durant l'été qui vient de s'écouA V E N D R E de commodité, de pa.^ser outre à ses pres- titutrice à l'école primaire supérieure de qui a qualité pour tlxer la date i partir de la- Préfet de le Boumetlre au Conseil d'Etat ; — il ler le service n bien souvent laissé â désirer, est d'avis enfin que les maires, adjoints et con- à raison des nombreiise.s pannes survenues criptions. Nos lecteurs pourronL d'ailleurs Quimperlé, est déléguée, pendant l'année seillers municipaux devront être payés, si, étant à l'une des voilures. Actuellement, une seule se rendre comote, par les réponses faites scolaire 1912-13, dans les fonctions d'institu( I ) .\OTK IMPOHTA.\TE. — Xous r a p p r . trice (ordre des lettres), à l'école primaire loiiN que la vulrur du erntiine est k Quini> indigents, ils en font la demande. voiture est mise en circulation ; nous sousituée à i U i x i l - C r o i x . en Cloharspar si.n Conseil municipal au question supérieure de Lannion ; Mlle Gachon, adCes réponses au questionnaire de M. Meunier haitons que, durant l'hiver 1912-1913, elle Carnoët, contcnant hectares eiiiiaire de M. Meunier, député, sur les li- mi.ssibleaux épreuves orales du concours prrié de S I S rrnncN, I l jr M Heu de fnire remarquer, parnullf), qn<> c c H i l cenllmeii 6 0 , ont été émises sans discussion. Relevons seu- permette d'assurer des communications plus viron. bertés et les prérogatives municipales, que d'entrée à l'école normale supérieure de K'aiaulant aux 9 cenliaie* 7S votéH * la lement les propos ci après : régulières que l'hiver dernier. S'adre.^ser à M ' K T C H l - C O P A R . cette loi apporte à son mandat, tel qu'il le Fonteuay aux-Roses, est déléguée, pendant drrnière MPHNIOU, augmentent, en moins de M. Ueaufrére. ~ Nous ne voulons pas que les Nous no pouvons que nous associer aux préfets se mêlent de nos alTuires I cinq molH que M. Courtier ent à la téle de» conçoit, de lourdes entraves d<flit i i serait l'année scolaire 1912-13, dans les fonctions paroles prononcées lundi dernier, au banM. Morren. — Il taut les supprimer... d'institutrice adjointe (ordre des lettres), alTalres municIpalcH, leM ImpoHillonM reprétrès heureux de pouvoir s'affranchir. quet du Concours agricole, par M. Bonnaire, Quimperlé. — Imprimerie {Juimpertni^e Une voix. — Le» sous-préfets aussi... sentant la part contribnilve de l a commune i l'école primaire supérieure de Carhaix S. rue Bisson. Nous disons donc que M. Courtier ignore M. Guiomar. — Les traitementg des préfets maire de Clohars-Carnoét, lorsqu'il expriet que devront supporter les QnlmpcrUls (emploi nouvMu) ;.Mlle Gatrot, iniUtutrice serviront à payer Ict conBcillera municipaux. mait le vœu de voir }a çpnmune dotée de nvft DE V P i f t T r o v n CENT. 9U feint d'ignorer 1« loi municipal*, et noLe Gérant: J. H A W B . somme toute, que le complément du bud gel de l'aabée précédente, puisqu'il sei l liquider les dé|)en<>fs survenues en cours d'exercice et qu'il a été impossible de pr^i voir au budget primitif. De la sorte, l'ad ministration de M. Le Louédec léguait une succession libre de toute charge, avec un avoir de 5.919 fr. 21. Au sujet des autres déjienses que M Courtier a sotteai«jnt énumérées nous dirons ceci. la somme de 338 fr. 52 pour amortissement de l'iMupiunt du cimetière et celle de 826 ft. 3G pour paiement d'une annuité de l'emprunt contracté pour l'hô tel des postes sont imputables à l'exercice 1912, c'e-st-à-dire à la seule gestion de M. Courtier, étant donné que la première annuité pour ces deux emprunts part de 1912. SUCRES QUIMPERLE A propos d'un cochon ladrâ JOHN CROSSLEY Chirurgien-Dentiste REIVIERCIEIVIENTS CHRONIQUE RÉaiONALE Mademoiselle Louise COAOOU et Locale Brevet élémentaire Enseignement supérieure L'isnoranca de M. Courtier en matière municipale UN E FERME A LOUER I Avis L'IMIABLE L A Pour 8«ptembr« 1 9 1 3 PREVOYANC DIVERS APPARTEMENTS mOf^F. AL COJIMF.nCK dans une maison bien situé .4 QUIMPERLÉ rue de la Tour-d'Auvergnft, n" S'adresser pour renseignements a ensionM"" 00AL EC, propriétaire, pe--' nuire à l'hùpilal de Çnimperlé ou à M' l'ESCHAIlD, notaire. Elude de M" ETCHÉCOPAR, notaire à Quimperlé, 13, rue de Bremond.d'Ars. VENTE PUBLIQUE A Volontaire DE MEUBLES GRANDE MAISON DE CONFIANCE Pour Vendre Acheter ou Louer ' M . G U Y O ï W A R C ' I l , Agent d'affaires à Lorienl, ancien huissier à A C C I D E N T S Quimperlé, ancien principal clerc d'avoué, informe le public qu'à partir du Octobre 19r2, il c r é e à Opénilions 1 7 , GRAND'RUE, 17 de la Compagnie Quimperlé une Agence d'ArQ T J I M P E F j l - E Assurances contre les Accidents f a i r e s , rue de Br,'mond-d'Ars n' 7, el que les Bureaux de l'Agence se- •|f€hevaux, Voilures, Automobiles, Draperies, Roucnneries, Soieries ront ouverts tous les V e n d r e d i s Gens(l<' Maisons. Cochers, etc... ••I Nouveautés. — Toiles de fil el de el autres jours qui seront ultérieureASSURANCE I N D I V I D U E L L E colon. ment fixés. Mérinos, Molletons, Flanelles, CouM. GUYONVARC'H s'occupe spélils. 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Mais contrarier la conquête de cos deux pos- sans qualifier de tartarinades ces bul- SOMBRE PERSPECTIVE sessions par un envahisseur muni de tout ce qui manque aux Ollomans, apparaissait déjà comme une tentative chimérique lorsque nul autre lacteur de retraite (inale n'était entré en jeu dans ce duel inégal. Penser maintenant que puisse se prolonger la partie quand surgissent aux l'ronlièrcs mômes do l'Empire des périls beaucoup plus grands, voilà qui dénote, aux yeux les nioin^ exercés, une aberration qui jure avec la finesse bien connue des hommes d'Elat de Constaiilinople. Et, pourtant, tel est le spectacle qu'ils auront donné à l'Europe attentive, qui croyaii, logiquement, que, pour ménager sa liberté de mouvements en face do la Coulisation slavo-hellénique, la Turquie allait s'cmpressi-r de conclure l'inévitable arrangement, qui sauvant son |)rfslige au regard dfs populations musulmanes lui rendrait la di.sposilion de sa marine pour le transport des trou[)es, voire l'j blocus de certains ports favorables aux besoins de ses ennemis. Il a donc fallu qu'une cause protonde — laquelle ? — déterminât celle temporisation, puisque les objections turques se sont produites à l'heure où l'on attendait l'échange des signatures au bas du protocole laborieusement rédigé qui, Tripoli changeunl de maîtres ofticiellemcnt, allégerait la Por.c du souci, d'ailleurs de pure forme — de maintenir son drapeau sur le sol africain. l e t i n s de v i c t o i r e s r e m p o r t é e s p a r des guérillas préparées à la luLte d'embuscades, nous devions considérer qu'elles opèrent dans une région où les Ottomans n'ont point concentré d'armée véritable. Courageux, eertes, audacieux, méprisant la mort, les rudes enfants de la « Montagne-noire », ce nid d'aigle inexpugnable, peuvent en toute sûreté se livrer à leur passion belliqueuse pourvu qu'ils n'avancent pas trop audelà du terrain qui leur est familier. Là leur nombre pourrait être insuffisant et insuffisante aussi pourrait se révéler leur connaissance de la guerre scientifique, à moins qu'ils pussent établir un contact avec les coalisés donl ils ont devancé l'entrée en cam p:igne. Ce contact, les troupes monténégrines ne le réaliseront pas, son isolement le lui interdit. Tout au plus immobiliseront elles le contingent turc appelé à les maintenir, lequel, composé d'Albannais farouches, nous promet d'en découdre avec elles assez pour que nous ayons de ce côté un spectacle de belle horreur. Pour qui redoute les grandes batailles, c'est vers la Bulgarie que doivent se porter les yeux. C'est elle, apparemment qui livrera ou supportera le premier choc, quand sa mobilisation sera achevée. Elle le sera quand notïe journal parviendra à ses lecteurs, el alors seulement, les quatre puissances alliées, ayant décliné poliment l'offre Le prétexte allégué par les diplo- d'intervention des grandes puissances, mates turcs proviendrait du respect poseront leurs conditions formelles à la de l'opinion publique contraire à tout Turquie qui, décemment, ne saurait les démembrement, de rojjinion qui doit justifier. s'exprimer aux élections pour le recruGrosso modo, ce que réclament tement de la Chambre, laquelle pour- Bulgarie, Grèce, Monténégro et Serbie, rail frapper de nullité un accord donl, c'est non plus que l'Europe « prenne il n'apparii'-nt pas aux seuls ministres en main » (formule Poincaré) les rédu Sultan d'arrêter les bases. formes à introduire en Macédoine et Ce sont là explications qui auraient leur poids dans un pays où loul est soumis aux rigoureuses lois du parlementarisme. Mais ici, où, justement les élections invoquées nous reporteront à une date assez lointaine, l'argument perd de son autorité. Il vaudrait mieux chercher dans la crainte des rivalités de par.is, el dans la peur qui^ l'un d< ux, c< lui du Comité UnionProgrès bii particulier, mis récemment en laillite poliliqu.-, n'exploite à son profil, pour repnmdn; le pouvoir, les coiicc&sions tàit'.sà l'Iialie. S'il en était ainsi, il faudrait convenir que les hommes du gouvernement subordonnent le salul de la patrie à des intérêts bien mesquins. Ils risqueraient gros devant la nation qui ne comprendrait peut-être pas qu'on paralysât ses forces en les disséminant, en ne lui permeUant pas de concentrer Bon efiort sur le point le plus menacé de ce qui lui reste à préserver de toute atteinte. Il y a là un mystère assez étrange. Les faits i'éclaireront-ils ? L( s faiis, eux, s'ils ne se sont point précipités avec la rapide allure qu'ont fait augurer les premiers événements, suivent, néanmoins la marche pour ainsi dire fatale qui doit amener sur le terrain du combat les armées auxquelles il lie reste qu'à combiner, soit leur jonction, point possible pour toutes, suitleura mouvemenisd'altaque simuliauée. Du reste, on le sait déjà, le Mon- la ligne G fr. 2 0 — 0 fr. 2 6 — 0 fr. 6 0 (On traite à forfait pour les annonces répétées) A Constantinople, les préparatifs de Cs sont là conseils qu'il faut écou- sentation proportionnelle el le principe du gnerre s'opèrent avec une fiévreuse acti quotient électoral ; ter. Le temps n'est plus où l'on viva « Compte sur la sagesse, la fermeté et vité. Toutes les troupes sont désorma chez soi, exclusivement pour soi. M.Foizy,consejllergénéral,progre.s.sisle, importe aujourd'hui de compter avec l'entente des répubUcains du Sénat et de la mobilisées. Plus de 40.000 Albanais ont a été élu, dimanche, dépulé de Laon i Ai.sne), demandé des armes pour marcher conti Chambre pour réaliser une réforme élec l'universalité des répercussionsécono par 8733 voix, contre 4G1I à M. Longuet, les Seibes et les Monténégrins. niiques, et c'est ce qui, devant l'assom torale, par un scrutin élargi, sans déroga.socialiste unifié, et 2515 à M. Guérin, raLe Conseil des Ministres de Turquie brissement de la perspective en tion au principe majoritaire ». dical. donné ordre aux ministres ottomans à So Et maintenant, les réactionnaires ne Orient, nous laisse espérer que la Il s'agissait de remplacer .M. Caslelin, vont pas manquer de railler : « Toujours fia, Belgrade et Athènes, de rentrer immé dépulé indépendant, décédé. sagesse prévaudra dans les consei" des potentats qui disposent des des- la même chose 1 s'écrieront-ils. Les répu diatement à Constantinople, sans prendre blicains radicaux votent des résolutions congé des gouvernements auprès desquels tinées de millions d'êtres fort peu dé négatives, mais ils s«nl incapables de dire ils étaient accrédités. sireux de s'entredétruire. La Rentrée des Chambres ToulefoiSf bien qu'elle rappelle les mi ce qu'ils veulent ; quel est le projet qui JBAN M É R A C . nislres ottomans dans les capitales des leurs préférences ?... » Bien que le Conseil de Cabinet n'en ait Patience I La question est actuellement Balkans, la Porte n'a remi que hier pas délibéré dans sa séance de samedi posée devant le Sénat, et il y a à la haute matin leurs j>asscports aux ministres hul malin, on peut considérer la date du mardi Assemblée assez d'hommes de raison pour gare, serbe el grec à Constantinople. 5 novembre, comme Jefiniliveuienl ariéLa situation inquiétante créée à l'Europe tée pour la couvocaliou des Chambres. qu'on leur fasse confiance el qu'on ne leur par le conflit balkanique a causé dans mâche pas la besogne. les diverses capitales de véritables pa ni C'est une simple question de déférence Le Congrès radical, qui vient de tenir LlltHES Fl!:iJILl.Krs ses assises à Tours, prenait, celte année Les républicains radicaux ont dit ce qu'ils ques. Les fonds d'Etat eux-mêmes sont profondément alTeclés el accusent une un inlérôl loul parliculier en raison du voulaient : un scrutin élargi, c'est-à-dire vote qu'il avait à émellre sur la réforme le scrutin de liste à base majoritaire, dans baisse anormale. A Berlin, de nombreux suicides se sont des cil conscriptions assez étroites pour électorale. sur la produits à la suite d'opérations de Bourse permettre une équitable représentation On sait que le parli radical et radical M. Poincaré, prégidenldu Conseil, a réu socialiste, depuis 12 ans au pouvoir, cons des minorités et des majorités. Voilà qui tilue la fraction la plus importante du est net. La parole est maintenant au Sénat. ni, lundi après-midi, plusieurs de ses col La Huilième à notre ami klcclas, cultivateur lègues, ainsi que les chefs d'élat-major de JEA.N LANORE. parli républicain. Cependant, grflce à une et unselller Municipal l'armée, de la marine, les directeurs des scission qui s'est produite entre proporservices des Affaires étrangères, le direc Nous avons savouré, ami .Mcolas, le liounaliblcs et antiproporlionnalistes, le ctiariue et l'ironie de la lellrc. "l u nous as leur du mouvement des fonds et le direcprojet de réforme électorale présenté par teur général de la comptabilité publique (Jit uvec liumour ce que pcnseiil tous les M. Poincaré a été volé malgré l'opposilion paysans ri''putjlicaiiis de France, qui se reluEn dépit des démentis officieux, on atta- !>i;nt à accoplcr la prédominance liaulaine, pe la majorité radicale, et, ce qui e.st plus e^iave, M. Poincaré a pu affirmer, après Les événrmenls se précipitent en Orient. che, dans les milieux politiques, une cer- distante, insolente de curtains apcMrcs dos poinlage, qu'il était également approuvé La guerre est déclarée; les troupes tur- taine importance à celle réunion inallen colcries i)arisienncs. T u sais par expérience le danger ijuc lirciil courir à ia KépuLlique par la majorilé des républicains de la ques l'avaient rendue fatale en franchi's- due, qui semble se rattacher aux événe- les esprits brouiilon» el ambitieux de Paris ments actuels. Chambre, — en y comprenant il est vrai sant les fiontières serbe el bulgare. au iiioincnt du liou.angisiiie e l d u iialionaiisnie, cl lu conslatcs aujourd'hui, en cc.s ies uiiitiés cl les progressistes. D'autre part, laissant de côté ses appréleiiiiis de l'olie proportionnalisle, l'u-uvrc Quelle allait être l'altitude du parti ? hensions antérieures, la Grèce vient d'acnélastc de leurs iniitaleurs. A Iruutc ans Trois solutions s'oflraient à lui : rester di- céder au vœu unanime de la Crète, en déd inlervalte, lu retrouves la inônie s i t u a t i o n : visé, ce qui eut été la pire des fautes ; ou clarant l'annexion de cette ile imporlanle les conservateurs et les rcvolutionuaires M. Frank se plaint de ne plus lire alliés, ciilrainantà leur suite un petitgroupe •icccepter le tait accompli et faire la con- à la monarchie hellénique. de poliliciens républicains en mal de réciliation sur le projet voté par la ChamEnfin, pour avoir les mains libres, la que rarement /'Écho de Bretagne. Jlé- clame, nuis par I intérêt électoral, merveillas! moi-même je ne lis plus que rarebre ; ou bien encore écouter les exhorta- Turquie a consenti un suprême sacrifice en leux de pose et de snobisme. tions de ses directeurs de conscience, MM. acceptant les conditions que, profitant de ment le Progrès du Finistère ; el je Clemenceau, Combes, Sarrien, etc..., et la situation, l'Italie exige d'elle en vue de prie cependant M. Frank de croire que j'attachais autant d'importance à iepous.ser la R. P. et le système du quo la conclusion de la paix. Lt c'est à ces derniers que lu veux crier ses articles qu'il en attachait à mes ton indignation, car tu comprends très bien lient. Mardi soir, en eflel, à 6 heures, les pléiinporiancc de leur rcspon.sabililé. Tu sais La question était d'importance. Disons nipotentiaires italien et turc, réunis à Ou- I Radotages ». Nous perdons donc que leur appui a permis aux contempteurs 'un et Vautre, par celle ignorance réloul de suite qu'elle a été résolue avec une chy (Suisse), ont signé les prélimiuaire.s du régime de nous mener où nous sounnes. ciproque de choses intéressantes que netlelé qui ne laisse place à aucune équi- de la paix. Dans une des seauces du congrès dù voque : le Congrès radical ne veut ni la Aux termes de cet accord, la Turquie nous pouvons écrire, une occasion de l'ours, alors qu'un proportionnaliste pariR. P., ni le quotient ; il a repoussé, à la reconnaît l'autonomie de la Tripolilaine el tolémiquer. sien laisait la statistique des reccntes élecA ce mal — car c'est un mal — je ne tions cl énuniérait quel jucs succès erpéistes quasi unamilé, les deux principes volés de la Cyrénaïque. jar la Chambre, et il a indiqué ses préféDès que la notification de la convention vois qu'un remède simple el pratique. un délégué majoritaire a lancé cette apo.srences pour un scrutin élargi, basé- sur le telo-turque aura été faite aux puissances, Je propose à M. Prank de lui faire troplie : « Gnlce à vous 1 .. Oui, .\icolas c'est grâce à la présence de proportionnai système majoritaire. es gouvernements ottoman et italien reti- servir /'licho de Bretagne avec l'espoir libtes républicains dans les rangs des co-i Les propoi lionnalistes s'appliquent main- reront leurs troupes respectives du théâ- qu'en retour, il me fera adresser le lisés que, plusieurs fois, des électeuis épublicanis ont cru pouvoir élire des er rogrès du Finistère. tenant à opposer cette décision à celle qui tre de la guerre. Élection Législative A U CONGRÈS RADICAL avait été adoptée au précédent congrès de "Jtmes, et qui comportait l'adoption du scrutin de liste avec représentation des minorités. Mais, M. Georges Trouillot, rapporteur au congrès, a répondu Irè^ en surveille platoniquement l'exécu- iVanchement et par avance à ce reproche tion par la Turquie, mais que cette d'inconséquence. « Nous avions pensé, dernière divise la Macedoine en trois a-t-il dit, que le vœu du congrès de Nîmes )rovinces reliées à l'Etat vers lequel répondait au désir de tous les républicains; es portent leurs affinités de race, nous nous sommes aperçus par la suite ,rois provinces bulgare, grecque et qu'il était palroné surtout par les adverserbe. Il va sans dire que la Porte ne saires de la République, c'est pourquoi se résoudra pas à celle amputation, nous avons changé d'avis. » quelques palliatifs que l'on y mette D'autre part, M. Abel Ferry, député lour sauvegarder son prestige. C'est proportionnaliste des Vosges, a allégé la donc le sort des armes, lui seul qui conscience de beaucoup de ses amis en décidera demain de la solution, si, à enant dire très crânement à la tribune : 'issue des bat;)illes quelqu'un — ils « Nous nous sommes trompés, c'est vrai ; sont deux, la Russie et l'Autriche — mais en adhérant à la proportionnelle ne prononce son quosego en modifiant nous étions de bonne foi, el vous ne poue résultat de la rencontre. vez pas dire avec cette brutalité que le Le vrai danger apparaît uniquement quotient, qui fùl une transaction, est un à cette échéance ; car si, par grandis- attentat contre le parli républicain. sime malheur, pareille manifestation Il est certain que cette simple déclarase produisait, ce serait la transforma- tion va mettre à l'aise un grand nombre de ion et la transposition du conflit qui dissidents qui s'étaient laissé entraîner se produirait, jetant les unes sur les dans l'aventure proportionnalisle, el autres les nations de la Triple-Alliance qui n'osaient pas revenir avec le gros de et celles de la Triple-Entente. 'armée républicaine, de crainte qu'on les Jusqu'alors toutes les volontés ten- traitûl de renégats. dent vers la localisation des hostilités. Le terrain est maintenant déblayé, el es déclarations sont formelles qui 'union — l'union tant désirée et à laquelle n'autorisent pas d'erreur. Et il faut en on a si souvent fait appel en vain 1 — peut admettre d'autant mieux la sincérité se faire entre républicains. L'ordre du que la peur de l'engrenage où chacun jour volé ne laisse, avons nous dit, aucune iourrail être pris a provoqué sur li s équivoque ; le voici : marchés financiers des principales « Le Congrès déclare que la réforme )laces européennes un effondrement électorale, donl il a toujours été partisan, des cours assez caractéristique des ne peut et ne doit être réalisée que par la dispositions pour la paix du monde mnjoi ilé républicaine de;» deux Chambres ; des alliiires , quelque langue qu'il parle Rappelant que les scrutins majoriel à quelque gouvernement qu'il se taires ont toujouis donné une large reprérattache. sentation aux minorités, repousse la repré- L E N R E S PAYSANNES Système Franco-Chinois de lafi.P. DANS LES BALKANS BA Le traité définitif de paix sera signé aujourd'hui ou demain. Il est vraisemblable qu'il portera le nom de traité de Lausanne. En Grèce la mobilisation se poursuit aclivement dans toute l'étendue du royaume hellénique : 130.000 hommes sont déjà rassemblés sous les drapeaux. Les hostilités auraient déjà commencé, Quelques escarmouches auraient, dit-on, eu lieu à la frontière. Un engagement important met depuis )lusieurs jours les troupes turques el serbes en présence aux environs de Ristovac. Les Serbes auraient deux tués el sept jlessés. Les troupes turques, au nombre 'environ 3.000 hommes, auraient repassé a, frontière. Le gouvernement bulgare a reçu l'offre de cinq aviateurs russes et de dix aviateurs italiens. L'offre a été acceptée et un lieu de concentration leur sera désigné dès que es hostililsés seront commencées. Les aviateurs ont des appareils français. La ville de Touzi s'est rendue mardi malin avec sa garnison et ses fortifications, les Monténégrins y ont trouvé cinq canons qui avaient été foriement endo.i:ma(fés par leur propre artillerie. Le butin comprend en outre huit mitrailleuses, 7000 fusils Mauser, de nombreux chevaux, 800 tentes, et des vivres pour huit jouis. La garnison comprenait six bataillons de Nizams ; trois mille prisonniers ont été envoyés à Pogoridza. Les Monténégrins ont fait une entrée triomphale dans la ville. Une musique milaiie précédait le prince Danilo, commandant les troupes. Les Mnlissores ont acclamé avec joie les vainqueurs. Les derniers télégrammes annonçant qu'on se bat déjà sur toutes les frontièrea. VAIWAGË péistes. A l'exemple qui leur éluil donné M. Franck me demande ce que je des dissidents, des mécontents, des n-iifs jense de M. Pierre Miryens, el il a ont conibaitu des majoritaires sans avoir soin de me prévenir que M. Pierre pour ceiu le sentiiuent qu'ils niéconiiaissaieiil les principes directeurs du narli Miryens est un député socialiste. Je républicain, la H. 1'., à leurs yeu.v, „• .vait ne connaissais pas xM. Pierre Miryens, pas ixclusiveinenflcliquetle réactionnaire mais maintenant, grâce au Progrès du elle p o r t a i t i e s l a n i p i l l o r e p u b u c a i n e . L ' é o u i ' inistère je sais que c'est un homme voque était grande, le danger reel. Oui V a ' ,,..„ 'rés courtois envers les messieurs de vail v o u l u 1 N eUient-ce , pas ces ir,^.» gens auxla tonsure. Brave M. Miryens! quels l u taisais allusion dans ta lettre et o u i El vous voulez savoir ce que je pense de lui, M. Frank ? Mais je pense d'abord que les portes du ciel s'ouvriront ouïes grandes devant un citoyen aussi respectueux de la soutane. Cependant, je ne le crois pas réaclonnaire, M. Frank. Les socialistes ne sont pas des réactionnaires ; ils sont simplement les dupes de ceux-ci el quelquefois leurs complices, M. Pierre Miryens est-il dupe ou complice ? Je ne le sais trop. M. Frank serait-il assez aimable pour me l'apprendre ?.. • Pierre KE RM A DEC TÉLÉGRAMMES Le public est actuellement admis à déposer les télégrammes aftranchis, au moyen de timbres postes, dans les bottes aux lettres principales des buieaux pourvus du service télégraphique. Un décret en date du mai 1912 a décidé que les télégrammes de celle nature pourront désormais ûlre déposés, aux risques et péril des expéditeurs, dans les boites aux lettres de toute catégorie urbaines ou rurales d'où il seront exil ails et acheminés sur le bureau dont relève la b^lc aux lettres, dans les mêmes conditions que la correspondance postale contenue dans la dite botte. n'eurent j a m a i s assez de sarcasmes p o u r e x p r i m e r aux paysans comme à l o i leur mépris. Uirtce ù eux, la campagne p r o p o r t i o n n a liste a a t t e i n t le m a x i m u m de violence e l d'intensité. GrAce à eux, une fraction de la gauctie de la Chambre a apporté aux conjurés 1 aonoint de ses voix. ' ' Grrtco ù eux, enlin, le monstre informe a présenté aux électeurs français toute sa ludeur. Mais c ta ne d o i t pas a v o i r p o u r résultat Nicolas, de te taire r e n t r e r , coinuie tu lé dis, dans le b o u r b i e r q u i borde ta marc .Si ton curé el ton chrttelain j u g e n t à propos d,. luanileslcr quelque m o r g u e et de n o u r r i r quelque espérance de représailles, nous n . pouvons p o i n t les en empêcher, niais i,, peux être certain que ces me.ssieurs c a r r ^ sent des illusions qu'ils devront perdre b i o ^ l ô l . S'ils croient t e n i r une v i c t o h e ^ o " chaîne, ils se t r o m p e n t lourdement et . ô.iJ donnons à .Nicolas 1 assurance que les rémi blicaïus n'ont rien a r e d o u t e r des r é a c l i o ^ naircs crpéisles de leur village. Avant que là p r o p o r l i u n n e l l e ne lasse de ton hobereau u n maire et de ton curé son a d j o i n t i l „ „ „ « faudra attendre quelque I c m p t encoie é ^ s l nous en j u g e o n s par les s y m p l ô n . e j quo présente a 1 heure actuelle le pays, ce teinns béni a beaucoup de chances de ne ms venir. ' T u as lu dans les j o u r n a u x , Nicolas. le compte rendu de la grandiose manifestation de Dôle.Uansjle Jura, où le j i n r l i r é p u b l i c a i n fut t o u j o u r s vivace et clairvoyant, la II P n'a recueilli que la faveur des réaclionnaireB' Ces jour» dernier», le» militants jurassiens se «ont réunis. Avec un fMmissement de co- 1ère ils ont repoussé la proportionnelle et, en un vibrant enlhousiasme ils ont acclamé la République majoritaire, gardienne des droits du peuple souverain. Il y avait làbas trois cents délégués sénatoriaux, soixante maires, quinze conseillers généraux, mille électeurs, qui mirent tout leur espoir en la lornu IV- «lu Sénat pour renvoyer à la Ctiaiiibre son machiavélique projet. Dans toute la France, des réunions semblables s'organisent. Le paysan français sort de sou ioditlérence. Il a compris qu'on touchait à ses droits, et il se défend. C'est lui qui a envoyé au congrès de Tours les mille déléjjués qui firent comprendre aux intellectuels parisiens qu'on ne joue pas impu némenl avec le suHrage universel. C'est 1 " q>ii leur a donné mandat de •.•éexpédiei Paris les erpéistes, avec le quotient dans leur poche. C'est lui qui a parlé par la voix éloquente de Georges Trouillot et qui a dit sa volonté. • • Oui, Nicolas, de tous côtés une clameur de réprobation s'élève. Le campagnard, l'artisan des petites villes, dont sa moquaient les gens d'esprit et les rôdeurs en marge du Parlement, ont déclaré qu'ils n'entendaient pas être sacrifiés à des oligarchies. Us proclament hautement leur droit et disent qu'ils sauront le l'aire respecter. C est pour cela Nicolas, que la propor tionnelle a vécu. Promène-toi, ami Nicolas, dans les rues de ton village. Ton curé, nous a-t-on dit, l'ai' depuis deux jours piteuse mine. Il a, croit de on, reçu de très mauvaises nouvelles la R. P. , Présente-lui, cher ami, toutes nos condo léances. . , J E A N - P I E B R E et J E A N - T L A U D H De Violentes Bagarres pour un nouvel Evêqu Mardi matin, M. de la Porte, le nouve évèque du Mans, faisait son entrée solenn e l l e dans la ville du Mans. A celle occa sien, le clergé et les groupements calho liqiies avaient formé le dessein d'organi ser un grand cortège de 1 Eglise de la Coulure à la Calhédiale, ceci malgré un arri>lé municipal portant interdiction des piocessiyns. Pour prévenir des désordres, M. Légué, maire du Mans, avait, lundi p r i s un nouvel arrêté inlerdisanl le cor lège et tous rassemblements sur la voie publique. En réponse à celte mesure de police, les vicaires généraux faisaient afficher, dans la nuil, un appel à la population calhdique en vue d'une grande maniles talion. Dès neut heures, mardi malin, la place d e ' . a u l l'église de la Coulure el le boule void Levasseur étaient noirs de monde A n e u f heures et demie, M. de la Porte el ses \icaiies généraux montent en landau el sortent de 1 église. La foule les acclame el chante des cantiques. Pour empêcher le désordre, les gendarmes coupent le cortège qui se forme derrière la voiture épiscopale. Ils soul violemment conspués Un cheval, frappé d'un coup de canne fait un écart el renverse une femme el une fillclle qui sont légèrement blessées Enlin, ré\êque el les dix mille personnes qui reiilourenl arrivent à l'entrée de la rue Dumas. Gendarmes et agents laisseul passer l'évûque, puis, derrière lui forment un barrage. Des prêtres el des jeunes gens s'élancenl alors contre les forces de police el frappent les repiésenlants de l'autorité. M. Chabné, commissaire central, surpris à l'iniproMste par deux prêtres qui lui donucul des coups de poing dans la poitrine, tombe sur le Irolluir. M. Guesnon, commissaire du premier arrondissement, est également entouré par un groupe de piôlies qui le frappent à coups de pied. Les gendarmes el les agents reçoivent de durs horions. Plus loin, au carrefour SiNicolas el au carrefour de la Sirène, de véritables batailles sont livrées à la force publique. Place des Jacobins, un prêtre frappe d'un coup de poing une dame dont le fils Ncnail de crier : « Vive la République ! » Enfin, après de multiples incidents, l'évêque el sa suite entrent à la cathédrale. Là se sont terminées les bagarres Une seule arrestation a été maintenue celle d'un jeune homme nommé Lecomle, employé d'r.ssuraiices. PÊCHEURS 4 FABRICANTS Le conflit pendant à Douarnenez entre les marins-pêcheurs et les fabricants de conserves est terminé. Le syndicat des pêcheurs avait refusé d'accepter ce que son bureau avait approuvé concernant la limitation de la pêche. Une entente est intervenue, hier, entre le Syndicat el les fabricants et, par suite, tout est rentré dans le calme. SUCRES Chaque boite 1 kilogramme, brut ou net, SUCRE DE L U X E CHANTENAY ; chaque boîte 1 kilogramme, bnil ou nef, SUCRE SCIÉ, RANGlî, CHANTENAY, carton cuir, boites brunes (^[enre PARIS) contient un ticket prime. 30 tickets prime donnent droit à 1 kilogramme, brut ou net SUCRE CHANTENAY. Le SUCRE CHANTENAY est le plus blanc, le plus pur, sucre le mieux ! A l'Hôpital de Ouimperlé „ on a donné aux Malades ds ia Vianda ladrique Il y a un mois environ, une rumeur qui s'acctnluail de jour en jour el qui prenait corps à mesure que les commentaires venaient préciser la situation, a circulé à Quimpârlé. La gravité du fait nous commandait la plus grande circonspeclion à raison du bon renom dont jouit l'hôpital-hospice de Quimperlé et nous l'eussions passé sous silence si, avec la maladresse dont il est coutumier, M. Courtier n'avait fait soulever la question à la dernière réunion du conseil municipal. La viande de porc, — nos ménagères ne ne le savent que trop — se vend actuellement à un prix très élevé. Comme l'hospice possédait au mois d'août dernier ({uatre cochons gras, la commission administrative de cet établissement que préside M. Courtier, maire, décida, sur la proposition de M. Jean Peyron qui se connaît en spéculation du genre, de mettre en vente trois d'entre eux el de faire abattre le quatrième pour les besoins de l'hospice. Les trois cochons amenés sur la place du marché trouvèrent acquéreur mais l'inspection de ces animaux fit découvrir à l'acheteur, M'»'Vve Denmat, charcutière à Plouay, que l'un d'entre eux était atteint de ladrerie et elle refusa d'en prendre livraison. L'échange de ce porc ladre contre celui resté dans sa soue fui proposé à Mme Denmat qui l'accepta. Lrt cochon ladre regagna son étable tandis que l'autre animal, qui était sain^ prit la direction de Plouay. Ceci se passait le 23 août. Que faire de l'animal qui n'avait pu être vendu ? Les braves commerçants municipaux qui président à la distribution de la manne aux hospitalisés décidèrent de le faire abattre et, puisque personne n'en voulait, de le faire mangerparles pensionnaiies de l'hôpital. Ce qui fut dit, fut fait. Et le cochon, abattu à l'hospice môme, dépecé et salé, commença à servir d'ordinaire aux malades hospitalisés. Des témoins afTirment que la maladie èlait à tel point généralisée dans le corps de l'animal, qu'ils avaient constaté la présence de vésicules « non seulement dans la bouche,le poitrail elles viscères maisencore burlecœur, qui présentait à sa suiface une éruption symptomalique, aQeclanl la forme el la taille d'une grappe de raisin. » Justement ému, un conseiller municipal qui avait eu vent de ces faits, écrivit immédiatement au Maire pour l'informer qu'il lui demanderait des explications à ce sujet, à la plus prochaine réunion du Conseil. Affolé à l'idée des proportions que cette triste aflfaire menaçait de prendre, notre saint homme de Maire se mit immédiatement en campagne et réussit à mettre sa responsabilité à couvert. Mais ce n'est pas suffisant. Ne connaissant pas au juste ce que ces rumeurs contenaient de fondé, nous avons ouvert une enquête dont nous ferons connaître ultérieurement les résultats, s'il y a lieu, nous réservant, de faire état des attestations que nous possédons, altistalions qu'il nous sera facile de faire corroborer par de nombreux témoignages. En tout cas, nous retenons ceci : M Courtier, piésident de la Commission administrative, maire de Quimperlé, et répondant, en ces deax qualités, à la question qu'il avait prié un de ses conseillers municipaux, M. Bernard, de lui poser U) a re.onriu, en seance publique du Consei municipal, que le porc en question avait bien trois vésicules ladriques sous la langue et que cest pour celte raison qu'il fut refusé par l acheteur, Mme Vve Denmat, de Plouay. Craignant que l'interpellation annoncée par M. Gillard ne dégénérât en un scandale, M. Courtier se hâta de faire venir à 1 hôpital M. Le Floch, vétérinaire, chargé du service sanitaire de la ville de Quimperlé, à qui furent soumises des viandes de porcs, extraites d'un charnier et que M. Le Floch trouva propres à la consommation. Nous ne mettons nullement en doute la teneur du rapport de M. Le Floch. Cette atlestation, nous le savons, a été établie en toute sincérité et loyauté. Mais rien ne prouve que la viande qui lui a été sou mise provenait du porc incriminé. Nous admettons que M. Le Floch, mis en présence de la viande suspecte n'ait rien trouvé dans les morceaux qu'il a découpés, c'est entendu, mais aussi rien n'établit que les autres morceaux qu'il n'a pas inspecté n'étaient pas infectés. Nos lecteurs nous excuseront d'entrer ici dans des développements techniques que nous nous efforcerons de rendre aussi clairs que possible. Ils se rendront ainsi compte de la gravité de la faute commise par M. Courtier, maire de Quimperlé, président de la commission administrative de l'hospice, en laissant donner en consommation, à des vieillards et à des malades des viandes qu'il est interdit de faire consommer à des perssnnes bien purtantes. Ouvrons le grand dictionnaire encyclopédique Larousse, établi par des hommes éminenls dont la compétence esl indiscutable. Nous y lisons : La ladrerie des porcs peut se transmettre i l'homme. Elle est caractérisée par la présence, dans lo tisHU cellulaire et les muscles, de vésicules d'un cysticeique, le cyslicercMs cellulose. La ladrerie de l'homme, comme celle du porc, est due à l'ingestion d'œufs de tœnia solium, existant dans l'eau de boisson, les salades, les (1) Nous disons bien que M. Courtier avait prié M. Dernurd de lui poser celte question el que la pseudo-interpellation de M. Bernard n'est qi^^ne pure comédie, car M. Courtier avait tout prfl, sous la main, le certiflcat de M. Le Floch, vétérinaire, pour en donner lecture, ce qui >roure surabondamment qu'il avait provoqué ul-mérae l'incident. légumes verts, etc. Ces œufs se développent en cysticerques qui envahissent spécialement le tissu cellulaire, les muscles, le foie, la rate, le poumon, et aussi les méninges et le cerveau. Chez les animaux, la ladrerie est caractérisée par la faiblesse, la pâleur des muqueuses, l'in flltration du tissu cellulaire ; son symptôme patliognomonique (pathognoraonique, toujours d'après le Larousse, se dit d'un signe abso lument propre A une maladie et sufAsant pour la caractériser sans ambigUité) le plus net M/ la présence sous la langue, de petites wsicules dues au cysticerque; aussi les experts char gés de recoimaltro les porcs ladres sont-ils désignés sous le nom de tangueyeurs. Chez l'homme, la présence de cysticerques se manifeste également par le développement d'un nombre plus ou moins considérable de vésicu les, que l'on observe principalement sous la peau, dans les muscles et même dans l'œil Ouand les cysticerques se développent dans les méninges et dans le cerveau, ils donnent lieu des accidents qui permettent de diagnostiquer leur présence, si l'on a soin d'éliminer d'abord comme cause de ces accidents, la tuberculose et la syphilis : ce sont des céphalées vives et continues, des attaques épiieptiformes et des convulsions, diverses paralysies, des troubles psychiques. Quand la ladrerie n'atteint que le tissu cellu laii-e et les muscles, elle est quelquefois spon tanément guérissable et ne présente générale ment pas un danger immédiat ; il n'en est pas de même quand les cysticerques ont envahi le cerveau et les méninges ; la mort survient iné vitubiemeiit, par ménnigite ou rupture du Kyste La ladrerie est incurable. Les viandes ladres susceptibles de transmettre le ténia aux per sonnes qui en useraient sont impropres i la consommation. On les fond pour en retirer la graisse, qui peut servir i l'industrie. On empêche le porc de devenir ladre en ne lo nourrissant que d'aliments propres et sains et en l'empêchant d'ingérer des ordures. D'ores et déjà, des éléments que nous avons, nous pouvons retenir : 1" Que le porc était « ladre », au dire de la marchande de Plouay qui a refusé de prendre livraison pour ce motif, et d'après l'aveu qu'en a fait M. Courtier, lui-m«me, en séance du Conseil municipal. 2® Que.siles traces de vésicules ladriques peuvent disparaître après salaison de morceaux préalablement choisis, des témoins peuvent certifier que les viscères qui n'ont jamais été soumises à l'examen, du vétérinaire, attestaient que la bête était profondément contaminée ; 3° Qu'en tout état de cause, la plus élémentaire prudence commandait de, prendre à l'égard des malades de l'hospice les mêmes mesures préservatrices qu'à l'égard des autres consommateurs. Nous doutons que le Maire de Quimperlé, quoi qu'il dise, quoi qu'il fasse, puisse changer quelque chose aux conc usions que nous venons de formuler. Escamotage et Gaspil age à la Mairie de Çuimperlé M. Le Louédec a fait paraître dans Y Union Agricole la lettre ci-après : Monsieur le Gérant, En ma qualité de chef de l'ancien Conseil municipal qui a été mis en cause à plusieurs reprises dans une partie du compte-rendu de la séance du Conseil municipal de Quimperlé du 6 octobre 1912, paru dans le numéro L'opinion de M. Leclainche, inspecteur de l'Union Agricole du 10 octobre suivant général, chef des services sanitaires au je vous prie, conformément à la loi, de faire ministère de l'Agriculture et dont la com- paraître la rectification suivante aux mêmes lieu et place que l'article visé. pétence est indisculable, est la suivante Il ressort de votre compte-rendu : 1" Que « Certains réglemenls municipaux sont le Conseil municipal actuel ne serait pas très tolérants, d'autres très rigoureux Certains ordonnent la saisie, quel que soit responsable de la situation dans laquelle se trouvent les finances de la commune le degré de gravité de l'infeslation para2° Que l'imposition de onze centimes soisitaire. D'autres tolèrent la consommation xante que le Conseil a dû voter dans sa si les vésicules ne sont pas très nombreu séance du 6 octobre 1912, serait motivée par ses. Cette conduite est des plus illogiques le paiement des dettes contractées par le et l'inspection ne permet de découvrir que Conseil municipal que j'ai eu l'honneur de peu de vésicules dans les muscles et la présider ; 3° Que le résultat de ma gestion saisie apparaît toujours nécessaire. Celte se serait traduit par « un déficit de opération, il esl vrai, esl onéreuse et il est 6.328 fr. 50 » qu'il s'agit de combler. Il est de mon devoir de m'élever contre à désirer que la pratique de la stérilisa cette version en tous points contraire à la lion s'y substitue. El encore, la stérilisa vérité el de faire connaître aux contribua lion ne pourrait être ordonnée que s'il s'agit bles Quimperlois qui auraient pu être d'infeatalion localisee et peu grave. » induits en erreur à la lecture de vos insi V O I C I , d'aulre part, l'opinion de M nuations tendancieuses que, loin d'accuser Rennes, veterinaire départemental- de un d ficit, le budget de 1911 s'est soldé par un excédent net disponible de 5.919 f. 21 c Scine-el-Oise : ainsi qu'il ressort des chiffres ci-après : « Si les parasites sont nombreux, la L'exercice 1911 a été clos, le 31 mars 1912 saisie totale s'impose d'elle-même. Si les par un excédent de recettes s'élevant à la parasiles sont rares, deux cas peuvent se somme de • 27.220f.57 présenter ; dans le premier, l'état généra De cette somme, il y a lieu de esl mauvais ou douteux el la saisie est déduire les « restes à payer », encore indiquée ; mais dans le second cas c'est-à-dire TOUTES les dépencelui où l'animal eal eu bon état général ses engagées par l'ancienne muil esl diflicile de se prononcer sans s'expo- nicipalité, et non soldées à 21.301 36 ser à se tromper dans un sens ou dans celte date, s'élevant à à cochon » que l'on vous envoyait par Ira vers la figure. Mais avez-vous seulement compris la signification de celle manifestation ? Ces « poires à cochon » ne vous disentelles rien ? L. B çant, boulevard de la gare. — Guigourés (ano nyme), Petite-Fontaine. — Pierre Scaviner, 65 ans, veuf de Louise Lolrer, cultivateur, A l'hospice. — Julien-Maiburin Lucas, 78 an», propriétdire, 16, rue dif Bourgneuf. — Alain-Michel Le Bara, 63 ana, gendarme en retraite, décoré de la médaille militaire. i TRÉMÉVE.'V. — I n c e n d i e . — Un incendie a eu lieu dans la nuit de mardi à mercredi chez Mme l<e Bras, à Beg-ar-Koz, en Tiéméven. Réveillée subitement, Mme Le Bras n'eut que le temps de se sauver aveu ses enfants cl de faire sortir son bétail. Les dégâts sont évalués à 4.UOO l'r. couverts seulement eu partie par une assurance. Le bâtiment appartient à M. Even, de Kerlescouarn. SHRONU lI EÉ l eO iA I LE et Looale Vaccinations M. le douleur Le Doze, de CloharsCarnoët, vaccinera gratuitement, le 21 octobre à Clohars-Carnoët, à 9 heures du matin et à Moëfan, à 2 heures de l'après midi ; à Riec sur-Bélon, le 23, à 2 heure» de l'après-midi. — M. le docteur Clavey, de Ponl-Avpn vaccinera le '28 octobre à Nevez, le 29 à Nizon et le 30 à Pont-Aven, à 10 heures du matin. , — M. Le docteur Le Loiig, de Scuôr vaccinera le 23 octobre à Scaër el le 26 a Sainl-Thurien, de 2 heures à 3 heures de l'après-midi. Les séances de revision auront lieu res peclivemenl dans chacune de ces com inunes, la semaine suivante, les mêmes jours et aux mêmes heures» JOHN CROSSLEY Chjrurgien-Oentiste Diplômé de la Faculté de de Paris Médecine 56, rue Kéréon, QUIMPER Tous les V e n d r e d i s , CO.XCARAEAU 2, QUAI D'AIGUILLON, 2 (PRÈS L'HÔTKL Cabinet ouvert de 8 Q U I f M P LE CLINCHK) heures i 4 heure* £ K L £ A l a postei — M. Guillou, receveur des postes el télégraphes à Quimperlé est nom uié en la mémo qualité et aveu avancuuiuni u Pantiu (iicine). Toutes nos lelicitations. RlE<J-SL'R-UÉLO.\. - E t a t - C i v i l du m o i s d e s e p t e m b r e * — Naissances. — Guével Louis-Piiilippe, de Kerlippe. — Kerlau Mane-Yvoiine et Korluu Jeau-Frau^uis-Louiis, de Keniéven (enraiits jumeaux).— Mulie Luuis-ltenc, du bourg. — Tanguy rjimcune-Jusépnine-Mane, de Kosbras.— Dorven Jean-.vlarie-l.ouia-lsiijore, de Landeloluan. — Tanguy Magdeieine-.MarieJuannc-Vvoniie, du l'aou. — Morvau liernadelleVvoiine, du bourg. — Uuilloré André, de (Juilibcrt. — Coloinbert Magdeleine, de Laiidemeur. — Uuillou JosèpUe-X icloire, de Kereslou. ~ Le Liraiid Sunéune-Eniilie-Isabelle, de Kergrippe. — Liueinallec Jean-l-'ransom-Louis, du bourg. — .\laiii Marie-Josephine, de Losten-Voën. Mariages. — (^liapalain Eruii^oiii-Jean-.Mûrie, ans, marin de commerce et Ureuu .MahuN'éroiiique-.Vliclielle, ans, servante. — Kacliel Jules-Murie, 30 ans, comptable el Le Po^'aiii Adolphine-Marie, Zi ans, sans prolessiuii. — l'érè» JoaepU-Vves, 28 ans, cultivateur el (iloaiiec Marie-Josèphe-Anna, 18 ans, cultivatrice. Décès. — Lozacnmeur Marie-Calhei ine, 00 ans, Miènagére, veuve de liabnul Guillou, de Kerestou. — Scaviner Louis-l''rançuici-.Vlane, 40 ans, cullivateur, veuve de Bisquay Luuise-Ainia.\Iarie, de Kernézel. — Guillon Josépne-X icloire, 7 heures, de Kerestou. MOEL.A.\' — A r r e s t a t i o n d'un fou é v a d é . — Depuis deux mois environ, le nommé Guyader Bernard, de l'enprat, en Uioc-sur-Beloii, qui s'ctiiil évadé de 1 asile d aliéuiis de y m i u p e r , élail r .cherché par la gendarmerie. Jeudi duruiur, les gendarmes de PontAven ont réussi à le découvrir chez son coubia Hobut, de Penamprat, en MoCian, qui ijjnoruit sa proseiicc ulicz lui. Guyader e u i t cuchÊ dans uu gruuier a loin. Conduit à l'hospice de Quimperlé, Guyader a été ensuite dirigé bur l'asuu d'aliénés du yuimper. . \ É \ ' E / « — L e l ' a r d o n . — Le pardon a été lavorisé par un soloii radieux. Aussi, grande élait lailluence des puisonnes accourue, dus uommuucs voisines pour assister aux uivtriissemenis q u i c u r u i l lieu à 1 occasion de celle iéie. b)ii voiui le conipiercndu : A l'Ecole Supth-ieurc des garçuusi— .M. Legubliur esl iiouimé insiiluicur uU|oiiit délégué a l'éuole primaire supérieure de garçons de Quimperlé, en rumplacbiiieut de M. Klienne, mis eu congé sur sa demande Journée du dimanche. — Courses de chevaux (coiiuiiuiialcs). — Lialop : l " prix, Le l.oucilec, de Keraoul ; Z-, (juernic, de Keraiiibail ; 3-, IJertiiou, du boui g. — Trol : l - prix, Peion. de K.;l ado ; ' l , berlhou, du bourg ; 3-, Le Loueder, de Keraoul. Course de bicyclettes (communale). — i " prix, Haccoii ; 3-, Le uall ; l-, R é u n i o n du Comité des f ê l e s du Kerlaiid, du bourg ; lune. Suiul-.Uiehel. — Uu nous prie U uniiuncer Journée du lundi. — Courses de chevaux (inque le Comité de la tète de Saint Michel du leriialionaies). — Ualop : 1 •• prix, l'éron, de ulcniarec, de .Nizoïi ; 3-, K..., de Ti ii1^12 est convoqué pour demain samedi, à b •Nizoïi ; guiic. — Trol : l " el 'i- prix, l-uric, de Tréguiic ; heures du soir, a la haile, pour p i c i i d i c .i-, l'éron, de -NiZon. connaissance des uoniptes du Irés-oricr. l'autre ; ou bien on retirera de la con Couise de bicyclettes (interiiatioiiole). — l Diflérence 5.919 f. 21 prix, Jiquel, de Uunnalec; Boédoc, de Melgsommation une viande dont le danger La municipalité actuefle a donc trouvé à C u u i b r i o l a g e à l a (fai-e. — Dans la veii ; 3', Jiquel, de liauiialec. minime puul-être facilement écarté par son entrée en fonctions de quoi payer toutes t.ouise pcdesire. — 1" prix, Itio, de Baïuialec; une cuisson suftisanle, ou bien ou laitisera les dépenses, sans exception, engagées par nuit de vundiedi a samedi, uus cunibriulcuib Caudaii, de .Nevez; 3", Bourliis, de 'l'régunc ; uemcuiés iuuounus se boiil lutruduiia daub •1-, .Moncaicourl, de Baiinalec. lugerer aux consommateurs des muscles l'ancien Conseil municipal, plus un excédent le bureau des employés dt* la grande vitesse Course pédestre (vieillards). — !•• prix, Le qui contenaient un nombre de cysticerques net disponible de cinq mille neuf cent dix Deux tiroirs-uaisse, dans iu.>>qii.cls il y usait Bris Yves ; U-, Le Bris Kranvois ; 3-, Tallec ; 4-, bellin Jean ; 5', Guillou. plus considérable qu'il ne paraissait au neuf francs vingt el un centimes. une ueataïue de iraucs, onl élé iruclurés Liuvutle U'iiuuiieur. — l - prix, i>icollec ; '1-, Il apparaît donc nettement et de manière Unaulie liroir l u i égulcmeut 1 objet d une premier abord ; ce dernier doute surtout Briec ; 3-, Guillaïuet ; 4-, Jaouen ; 5-, N'oblel irréfutable que le reliquat disponible de tentalive d'ellrauiiou, mais les nidil'uiteuib r.Nizoïi) ; 0-, Seilin Jean-.Marie, de Kerroreii ; esl inquiétant. 5.919 fr. 21 a été absorbé ; que, d'autre part /•, Cadiou Honoré, Kerroreii ; 8-, Jolais el Elisa ne purent l'cubsir a lu forcer* « La meilleure solution de la question Le Liall ; 'J-, Jaouen Y. ; lU', l'eru, Trégunc ; 11-, la somme de 6.328 fr. 50 constitue bien un Une enquête est ouverte par la police. Urouguuel, Trévignon : lï-, .Morvéïcii, bourg ; consiste dans la stérilisation des viandes nouveau déficit qui porte à 12.247 fr. 71 13-, Madic ; 14-, ; 15-, Guillanl, «le .Nizon ; ladres, soil par la cuisson prolongée à la déficit total du budget additionnel de 1912, 10-, liiiec, de Kerscall ; 17-, .V... ; lo-, Kersulec, A r r e s t a t i o n d ' u n v o l e u r . — Dans la vapeur d eau, soil de préférence, par la voté, sur la proposition de M. Courtier, par iimliluleur ; l'J-, Coriiou, .Nizon ; '.iy, nuit de jeudi a vendredi, une géuissc lui ïl-, Sellm, de Kerlosquet ;de'£1-, .Meslric ; 23-, réfrigéialion pendant trois semaines ^u le nouveau Conseil municipal. volée de 1 élable de M. Dréval, cultivateur t'elliii l'ierre, de Tréiiiorvézen ; 24-, Cadiou, de Voilà ce qu'il faut que les contribuables moins. Lorsque la stérilisation par l'un ou au Faouêt. Fensanl bien que le voleur avait Kercanic ; 25-, Coalabré Marc, de Kercanic, etc. Eu somme, journée amusante dont les .Névél'autre proccdé ne pourra être mise en sachent. dû se rendre à yuimperié, où il y avait zieiis garderont un excellent souvenir. Signé, J. L u LOUÉDF.C oeuvre, nous sommes d avis que l'on doit se foire, il se rendit sur lu place du Marché et Bien qu'il ne soit pas possible à toute montrer sévèrt et prononcer la saisie sans ne tarda pas à y retrouver sa génisse. La tenir compte du nombre de parasites personne de bonne foi de mettre en doute personne qui la tenait en main était M l'authenticité de ces chiffres et de ne pas Nélias Louis, journalier à Kcrl'elez, en Mel visibles. « en saisir la clarté, M. Courlier a cru devoir l'ac, qui, le luatm môme, l'avaii auhctéc En etlet, la ladrerie n'est pas une malay répondre en essayant de faire croire moyeuuanl le prix de 135 l'r. a un individu die localisee ; elle envahit, au contraire, de Berné, qui se rendait a la foire de Quimlout l'organisme. Quand des œufs de que si le budget additionnel de 1912 perlé. établi par lui se solde par un déficit de lœnia sont absorbés par un porc, arrivés a Par lui-même, l'argent no sert à rien, l i n e Les gendarmes se mirent aussitôt à la re 1 eslomac, ils traversent les parois de l'ap 6.328 fr. 53, la faute en incombe à l'ancien uherche de cei individu qu'ils trouvôrenl vaut que par ses revenus el par l'ai-anco pareil digestif, sont pris par le sang el conseil municipal. dans uu débit voisin de la plaue. C'est uu qu'ils procurent. Celui qui dispose de M. Courlier nous a adressé une copie de nommé Robic Laurent, âgé de 24 ans, jour- 3.0IJ0 francs de rente, fussent-elles viagères, transportes dans toutes les parties de l'orest aussi riche que celui qui po>.Nède un caganisme. Par conséquent, quand ou trou- sa prose dont il aurait dû avoir la défé nalier à Ploêrdut (.Uorbilian). 11 a été écroué pital de 100.000 francs placé à 3 pour cunt. à la maison d'arrêt. ve des grains de ladre dans une partie de rence de nous réserver la primeur. Qu'i Or ces 3.000 francs de r> nies, on peut les avoir pour 30 000 francs si l'on est âgé de l'animal, l'animal lout entier est dangereux se rassure ; M. Le Louédec, acluellement A m a t e u r d e p e r n o d . — Un nommé 65 ans, pour 24.000 francs, si l'on e>t âgé de à Paris, se propose de réfuter sans relard pourl'hommeet devrait être saisi.D'ailleurs la démonstration fantaisiste de M. Cour- Goragucr Barthélémy, âgé de 31 ans, origi 72 ans, et enfin pour un peu plus do 21.(HX» ces vues sont confirmées par de hautes lier, et il y parviendra sans peine. naire de Ponl-Croix, lut trouvé lundi der- francs si, étant âgé de 50 ans, on consent à nier, en état d'ivresse, quai Brizeux. L'i- rester dix ans sans toucher la rente. compétences de l'arlvétérinaire. Mais il convient de ne s'adretiscr qu'à une vrogne était en possession d'une bouteille Parmi l«s régions atteintes et facileSociété possédant toutes les garanties comme de pernod qui semble provenir d'un vol. ment explorables, se trouvent le cœur la Compagnie d'Assurances Générales Procès-verbal pour ivresse et injures en- sur la Vie, la plus ancienne des Comet le muscle diaphragme. Or ces deux vers l'agent Guillou lui a été dressé. pagnies françaises, qui paie annuellement régions ne sont jamais mises dans le charprès de 6 3 millions d'arrérages de renies Ma vanité et mon orgueil, devenus légennier et.en l'espèce, n'ont pas été examinées viagères, soit a elle seul* à peu près autant A v i s a u x d é b i t a n t s . — On nous a si daires pour vous, ainsi que [lour quelques par le vétérinaire. gnalé que plusieurs débitants de la localité que toutes les Compagnies françaises réuUn seul symptôme est palhognomonique uns de vos camarades, devraient me dis- omettent de fermer leuis établissements à nies. Son fonds de garantie est de 9 3 6 milel il est bien tardif, c'est la présence de penser de répondre à vos attaques el à vos l'heure réglementaire, qui esl lU heures de- lions, onlièremunt réalises, et dépasse de vésicules cystiques sous les muqueuses insultes. puis le 1" courant. i)u ils prennent guide, 2 6 0 millions celui de toute autre Compugniu française. Ah I où sont les beaux articles d'autreminces accessibles à l'exploration (mucar la pofice a déjà dressé plusieurs contraLnvoi g r a t u i t de notices et tarifs sur (|ueuse de la face inférieure de la langue fois me concernant el provenant de vous ? ventions et est décidée à faire appliquer demande adressée soit au siège social.de la I l a seulement suffi que je sois l'ami et strictement l'arrêté préfectoral. el muqueuse oculaire). t;ompagiiie, 87, rue de Hichelicu, Paris, soit à l'un de ses représentants dans les Les lésions sont représentées par les partisan de M. Le Louédec (avant que A q u i l a v a c h e ? — Une vache laitière, départements, notamment à M. COULIOU, cystiques ladriques seulement, c'est-à-dire, honorable député n'ait eu aucun mandat Agent Principal, 8, rue des Ecoles, à Quimque les vésicules sont transparentes, de la jolitique), pour que vous me traîniez dans race pie-noire, ayant cassé son attache,s'est perlé. réfugiée, hier jeudi, dans la cour de M. "a boue. C'est ma démission de conseiller grosseur d'un grain de blé, contenant chaCouic, rue des écoles, où elle tenue i la discune une tête de ténia armé, à quatre municipal qui vous empêche de dormir, position de son propriétaire. c'est la démission collective des sapeursentouses et double couronne de crochets. Q L ' E R R I E . \ . — Suicide. — Le nommé Leur nombre est extrêmement variable. pompiers qui vous met hors de vous, et A p p e l s . — Le Gall Jean-Marie a inter- François G..., âgé de 25 ans, avait quitté son Parfois difficiles à découvrir, elles sont si qui vous font aboyer de la sorte. eté appel du jugement qui l'a condamné domicile depuis inai*di, l " octobre courant. Que vous me traitiez de pantin, d'officier pour outrages publics et voie de fait à (J Ses parents et amis, inquiets de son abnombreuses dans d'autres cas que les tissence, s'étaient mis à sa recherche. l U le de pacotille, etc..., cela me laisse indif- mois de prison. sus eu paraissent criblés. — Lacorne Louise-Marie a également fait retrouvèrent, dimanche matin, dans un La présence ûe cysticerques ladriques 1 érent, nous savons qui vous êtes : « l'intaillis dépendant du village de la Villeétablit le diagnoslic de la maladie, mais sulteur professionnel de Députés, des Sous- appel du jugement qui l'a condamnée pour Neuve-Troadec ; mais, le malheureux jeune une constat ition négative n'établit pas Préfets, des délégués de Minisires et des vol de réuulles à 3 mois et un jour de prison. homme qui ne jouissait pas de toutes sos péremptoirement la nou-existeuce de la Préfets, en un mot, insulteur de loutes les Elat-Clvll. — Nuissances. — Hryinonde-José- facultés, avait mis lin à ses jours on se ladrerie. D après le professeur Raillet, une lonnêtes gens ». phine Keraudren, 6, rue des Ecolf ». — 'l'iioinas pendant à l'aide de son mouchoir. La mort Rappelez-vous que dernièrement vous Bûcher à Coat-Uéro. — Jeaiinc-l'raiiîoise Le devait remontera plusieurs jours. fois sur quatre ou cinq, on ne trouve pas de vésicules sous la langue. Le pronostic vous dérobâtes devant un sincère et loyal .Naour, 8, rue des Ecoles. Publication» de mariage*. — Martin Delon, genU.V.\.\/%LEC. — A qui les bœufs ? — est très grave, non parce que la vie des républicain qui vous envoya ses témoins. darme i cheval à Saint-Lé (.Manche), el MarieMercredi 9 courant, M. Péron Louis-.Marie, Votre réponse et votre conduite furent malades est en danger, mais parce que Louise-Célesline Jalliézou, s. p., à yuimperlé ; totichcur de bestiaux, demeurant à KcrcnKugénc-Juseph Illnin, mécanicien, et Méhinieles viandes ladriques doivent être retirées devant eux, lout ce que nous attendions de Ircch, eu Lorient, con<luisait un troupeau vous, la fuite honteuse. Je ne renouvel- Marie-Joséphine Jufl'rézou, s. p., à ^luimperlé. de la consommation. de bœufs provenant de la foire de Bannalec. Mariages. — Louis l'allac, cultivateur et Maric« erai pas la tentative que notre ami dis• • 'rançoise t.e Moal, domestique ii Ouimperlé. — \iiprès de Cn'is-Obct, cc troupeau croisa La ladrerie du cochon abattu à l'hospice paru fil vis-à-vis de vous, cl tout nu plus, Joseph-Yves-Marie Borgne, mécanicien à Car- un autre troupeau qui rcgignait son élable. pourrai-je, comme lui le désirait, « vous haix et Louise-Marie Coatsaliou, couturière à Les bœufs se trouvèrent a un moment d-miié de Quimperlé est nettement établie et re tirer les oreilles si vous dtsvenez par trop ^luiniperlé. — Kugèiie llerpin, inspecleur A In mélangés puis le toucheur poursuivit sa connue par M. Courtier lai-même. direction desrecherchesa .Mondonhian et Augusfamilier ». Laurent B R A N G O U L O . oule. En airivanl à Lorient, il constata tine Clignac, s. p. i Quimperlé. — Joseph-YvesLa consommation des viandes ladres qu'il avait deux bœufs de plus que son Marie Le Moël, artillcier au 3rég. d'art, col. et constitue pour l'homme un danger très Nota. — Vous avez omis, dans le compte Maric-Mathurine Le Uuyader, ménagère i (,)uim- compte. ^rave, et la plus élémentaire prudence rendu du concours agricole de Clohars- lerlé. — I\ené Bodren, cultivateur, et MarieCes deux beufs Ont été mis en fourrière et commandait à M. Courlier de faire dé* Carnotit, la levée de bras unanime qui faillit .le«nne Le Coz, cultivatrice i Quimperlé. sont tenus à la dispositioD de l«ur propri4> Ûicii, Jean'M«ri« Perron, 49 an*, ooiomer- tair», Iruire Ifi viande en question» ^ Toua «oMrelir sous U quantité de « poiros A quoi sert l'argent ? A imSULTEOB BEAUFREBE M E L f a ' E K . — S u i c i d e . — Ces jours derniers, la veuve Lijour, à^ée de 52 ans demeurant à Kei-ampaou-Coz, en Melgven a été trouvée pendue à son domicile, auprès du foyer. On ignore les causes qui l'ont dé terminée à mettre fin à ses jours. Cette femme s'adonnait, parait-il, à la boisson K E R X É V E I . . — I n c e n d i e . — Une petite étable couverte en cliaume a été incendiée la semaine dernière au village de Keran guen, en Kernével. Grâce aux secours promptement organisés, les bùlimcnls voi sins purent être préservés. Les dégâts sont évalués à une cenlaiue de francs. Le sinistré, M. Bolloré Thomas, n'était pas assuré. Les causes de cet incendie sont demeurées inconnues. Giiérison des Infirmités Sans Appareils, «an» Opération» Le Docteur SALMON Orthopédique d Canteleu-Lille {Nord), par une méthode qui lui est spéciale et qui supprime les opérations sanglantes, les corsets et tous les appareils dits orthopédiques, aussi gênants qu'inutiles, assure la guérison des déviations du dos et des membres, des boîteries, scoliose, coxalgies et auties tumeurs blanches paralysies, pieds-bots, maladie de Dittle (raideur des membres), rhuiiialisiues chro niques, etc., etc. .Milliers de succès en France et à l'Etran ger depuis quinze ans. Le docteur SAL.MO.N consultera à yULMPER,//()/«/de l'Epée, le lundi 28 octobre QÙiMPER T e n t a t i v e d e d é r a i l l e m e n t . — Une tentative de déraillement a été commise sur la ligne de Pont-l'Abbé à Pont-Croix Trois cailloux avaient été placés sur un des rails. Ils furent aperçus quelque temps avant le passage d'un train. Les auteurs de cette tentative de déraille menl sont activement recherchés. BOSPURDE.'V. — Elat-CUil. — Naissances Jeiiii-.l.)soi>li-l'ninçois-l.ouis, au Ponl-Rlals. .Meur Joseph-Kianïois-Marlc, rue des Vaches. Prigeiil Albert-Yves-Marie, Place de l'Eglise. Gourmelen Yves^Marie, route de Ouimper. Moaligou Marie-Louise, rue de yuimper. Le .Naour Yves-Krançois-Marie, A Uiouiflun. Le Mamliec Marie-.Aiine-Euphrasie, rue de t)uiiiiper. Publications de mariages. — Matelot i)ésiréLéon, marin île coinmcrce à l.ocniaria (Morbihan) et Le Du Jeanne-Marie-Josèpbe, sans profesbion à Lorient. Bihaniiic Jeaa-l.ouis, employé de chemin de fer à Rosporden el Gurguen ,\ima-Marip, cuisinière à Heuzec-C.onq. Mariw/es. — Gourmelen Corenlin-Pierre-Marie, cullivntctir à Sainl-Yvi el Bleuzen Mahe-Yvonne, cultivatrice à Hosporden. .Nicolas Jean-.Marie, menuisier à Rosporden et Le liiuirhis Juséphine-Marie-Louise Victorine, cultivatrice à Rosporden. ùi'cèi. - (iouitïés Jeanne-Marie, débitante, 4'.) ans, Vve Le Doz Louis, rue du Moulin. — Le .Naour Kranïoise-Marie-IIélène, 17 ans, repasseuse, Place du Blé. CO.\C.\H.\E.4ti.— Succès scolaires.— 8 élèves de l'école primaire supérieure de Coucarneau ont subi avec succès à (^uiniper le 8 octobre l'examen du brevet de capacité. Ce sont : Baccon Georges de Trégunc. — Bothorel de la Forôt-FouesnouanL— CampionGabriel de l'Ile-Tudy. — Le Guen Charles de L'Hôpital Camfrout, — Léon Jean de Cléden-Poher. — Laniballais Remy de Concarneau. — Paubert François de Pont-L'Abbé. — Noblet Victor de Kiec. A l a justice de p a i x . — .M. Le Cranc, maire de Beuzec-Conq est nommé suppléant du juge de paix de Conoarneau, en remplaccuieut .M. Bonduelle, démissionnaire. l'O.XT - L'ABBK. — I n c e n d i e d ' u n a ^ i l e d e v i e i l l a r d s . — l'n incendie d une grande vio!<'nce a éclaté, dans la nuit de mardi à mercredi, dans rétablissement servant d'asile de vieillards, à Pout-l'Abbé. Malgré la promptitude des>ecours, l'immeuble a élé entièrenieul détruit. .Malheureuseaieiit, les hospitalisés, surpris en plein sommeil, n'ont pas pu tous se dérober au fléau. Cinq des plus impotents ont péri : quatre carbonisés el un asphyxié. Les dégAls matériels s'élèvent à cent mille iraiics. PI.OB.W.VALEC. — Incendie volont a i r e . — U n incendie dû à la maivi;illance a éclaté dimanche dernier à Kerguen-Plonévet. L'auteur du crime, un nommé Mévellec, a été arrêté. _ _ _ _ _ _ _ MORBIHAN I.ORIE.VT. — P e t i t f l n i s t é r i e n égar<Ç. — Un pftit gars du Fmistère, Auguste .Merlin, ilgé d'environ douze ans, arrivait mercredi en gare de Lorient par le rapide de sf-pt hijures du malin. Il venait de Paris, où il était allé voir sa maman, mais ne pouvait exhiber au coiilrùleur du train qu'un ticket de quai de 0 t'r. K». Interrogé, l'enfant répondit que sa mère avait dù faire crreuj-, car elle avait bien pris un billet à la gare d Uisay, puis un ticket pour raccompagner jusqu'au train. Par mégarde, elle lui avait donné le ticket et gardé par devers elle le billet valable pour le parcours. En attend nt que ses dires soient vérifiés, l'enfant a él conduit à l'hôpital. nez coupé, les lèvres en bouillie, le menton seignements ont été recueillis a récoUé des diffirencet de iOO franc» à 300 franc» et plu». Ain»i que nou» l'avons déjà annoncé, le Crédit () jours de prison avec sursis pour délit de A peu près disparu. Deux coups de coutea Fronçait et d'autre» grande» banques françaises lui avaient été portés, l'un à l'aîne, le second rébellion et 5 fr. d'amende pour la contra /ont, en ce moment, l'émittion de 52.000 obligation» vention connexe d'ivresse. àl'œiL de 500 franc» à 4 0 / 0 net de la Compagnie de A r z a n o . — Prévenu d'outrages publics à Chemin de fer de» Alpe» Bei-noi»e» * Dans l'auberge de Moulin-Gilet, les gen (Berne-Loetsla pudeur et de voie de fait sur la personne darmes recueillirent de précieux témoigna chberg-Simphon). de Mme Guéguanà Arzano, le6 octobre cou Cet emprunt est de»tlné au parachèvement de la ges. En eflet, dimanche avait lieu à Ré à l'établi»»eguiny l'assemblée de Saint Clair. Avec plu- rant. Le Gall Jean-Marie 39 ans, sabotier ligne du Loel»berg et en particulier domici'ié à Lorient, a été condamné à 6mois ment de la double vole qui n'avait pa» été prévue sieurs camarades, Olivo s'y était rendu définitivement et qui augmentera considérablement Naturellement de nombreuses bolées de cidre de prison. l'inlenslté du trafic et la valeur générale du réseau. Les débats de cette aflaire ont eu lieu i y furent bues et déjà il était assez tard L'émis»lon est faite au prix de 488 fr. 50, Jouishuis-clos. lorsqu'on se décida à regagner le logis. sance du 1" Novembre 1912 intérêt annuel : 20 fr. Audience du 8 octobre A l'auberge de Moulin-Gilet, une discus net de tous impôts actuels suis»es et français, cousion s'engagea entre les consommateurs et B a n n a i c c . — A la requête de M. Char pons payables semestriellement {30 Juin el 31 Découpon intercalaire rel'on vit 0 ivo et Justum en venir aux mains don, greffier de paix à Bannalec, ayant cembre^ avec un premier A un moment donné, Jean-François Guer- M» Piton pour avoué, le sieur Louis Mon- pré»enlant l'intérêt de deux moi» jusqu'au 31 Dénic, 27 ans, qui travaille chez ses parents chicourt père, perruquier, demeurant à Ban- cembre 1912. Au taux d'émission le placement ressort ainsi à Kerdelanne, en Moréac, voulut intervenir nalec, a été condamné pour chasse sur le à 4.10 0/0 net de tous impôts sans compter la et séparer les combattants. Olivo se retourna terrain d'autrui à IG francs d'amende avec prime de remboursement. de son côté et lui chercha Querelle. Guernic sursis, à 5 francs de dommages-intérêts enCes obligations comportent ta garantie de l'état eut, aussi lui, une lutte à soutenir. vers la partie civile el aux dépens. de Berne {loi des 16 el 17 Juillet 1912) le plus Il sortit d'ailleurs bientôt, mais resta près M o ë l a n . — En août 1912, Quentel Joseph- riche de tous les cantons suisse pour te paiement intégral. de la porte du débit, où il fut rencontré par Marie, 52 ans, patron marin-pêcheur à Ker- des coupons jusqu'à leur remboursement •Vincent Le Clair, de Glémarec, qui lui de- cornant, en Moêlan, s'estemparé de la barre Elles jouissent en cuire et exclusivement d'une hymandait ce qu'il faisait là. Guernic se con- de pont du bateau de Bourhis Pierre, du pothèque de second rang sur toute la ligne {de Frutiyen à Brigue) et ses accessoires. tenta de lui répondre qu'il ferait bien mieux village de Blorimon en ladite commune, et La souscription aura lieu le 22 octobre 1912, et de lui payer un bolée, ce à quoi Le Clair l'a clouée sur son propre canot. Coût : 25 fr. dés à présent tes demandes seront reçues accompaaccéda. Dans le débit se trouvait toujours d'amende. gnées d'un premier versement de 100 francs. En Olivo qui déclara à Guernic ne pas lui en A r z a n o . — Le 28 septembre dernier, France à Paris, au Crédit Français, 52 rue Chavouloir, bien qu'il eut été blessé aux jambes Tanguy Julien-Marie, 30 ans, cultivateur è teaudun, à la Société Centrale des Banques de H était, à ce moment, environ 10 heures Ménébairé, en Arzano, a élé surpris en ac- Provinces, 29 bis rue Lafayette, ru Crédit Foncier du soir. tion de cliassc à une centaine de mètres de d'Algérie et de Tunisie, 43 rue Cambon, à la banLes gendarmes se rendirent immédiate- son habitation, sans être muni d'un permis. que Suisse el Française 20 rue Lafayette. L'Informateur Financier, 16, Rue Drouot, Paris. ment au village de Kei delanne, où ils trou- Il prétend pour sa défense qu'il était à la vèrent Guernic au lit, bien qu'il fut 1 h. 1/2 recherche d'un de ses lapins domestique. de l'après-midi. Interrogé, il se borna à des Il n'en récQlte pas moins 16 francs d'amen ie ; dénégations, mais fut gardé à vue jusqu'à et l'arme dont il était porteur a été conl'arrivée du parquet. fisquée. Le parquet, composé de M. Le HuérouAlelgven. — Pour avoir excité ces chiens Kerizel, juge d'instruction, M. Simonin, la poursuite d'un lièvre, le 27 septembre procureur de la République, M. Dougct, dernier, sur le territoire de la commune de auut M u n 0 commis-greffier, accompagné des médecins .Melgven, Piriou Corentin, 37 ans, cultivaIl est prolunaeiaenl douloureux de songer légistes, MM. Joubioux, de Biud, et Le Che- teur à Luzuen, en Nizon, s'est vu infliger valier, de Locminé, arriva en automobile. pour chasse sans permis 25 francs d'amende. tous ceux affligés de hernies mais il esl plus Pendant que les médecins pratiquaient Q u i m p e r l é . — Morvan Joachin, 41 ans, pénible encore de constaler combien tous ces braves gens sont si souvent martyrisés, écorl'autopsie du malheureux Olivo, les magis- cultivateur à Stang-huel, en Bannalec, a élé chés à vif par de véritables bandages de torture ; trats interrogeaient l e Guernic. Celui-ci se condamné à 16 francs d'amende pour avoir, les autres voient leur hernie se développer et décida enfin a passer des aveux. C'était bien le 8 septembre 1912, voyagé en chemin de prendre des proportions énormes. lui qui avait porté les coups, mais il affirma fer, sans billet, d'Elampes à Quimperlé. Pourquoi continuer ainsi, pourquoi n'appelez ne pas croire qu'ils fussent mortels. Il ajouta Quimperh^. — Ivrogneetbrulal, Clémence vous pas à votre aide le renommé spécialiste Glaser, <le Paris. C'est lui l'innovateur d'un qu'il avait élé attaqué par Olivo et qu'il Yves-Marie, ^ ans, braconnier à Quimperlé, estimait se trouver en état de légitime dont le casier judiciaire est orné de 28 con- nouvel appareil pour le traitement des hernies, défense. damnations, a récolté pour délit d'ivresse en 100 fois plus efficace que ceux existant à ce our. Sans sous-cuisse et sans ressort il- se Le vol n'avait pu être le mobile du crime, récidive et voies de l'ait sur la personne de porte jour et nuit, sans gêne ni interruption de puisqu'on a trouvé sur la victime une somme la veuve Guillou, crêpière au Gorréquer, travail il est le plus solide. de 2 fr. 70, lui restant des 7 francs qu'il mois d'emprisonnement. Pourquoi alors continuez-vous i vous servir possédait le matin et dont il avait dépensé de ces mauvais bandages puisque, vous pouvez une bonne partie en compagnie de ses vous procurer l'appareil de M. Glaser, dont la supériorité a élé reconnue par les sommités camarades. Le Spécialiste médicales. Les tiernies les plus tenaces s'incliLe meurtrier a élé conduit aussitôt à la . O A T T a r . Ph"*., nent'et s'effacent devant son imposante efllca ' l . R u e d Orchies,» prison de Ponlivy. Ill-Amand.lei-Etui (lin), tnroi» grmtit le m e y a n cité. I r a d l c a l d e se d e b a r r a s i e r «nqaeldaea J e n r e Les noms de personnes guéries ci-après, pU' I d e Douleurs, retard, suppresaions ou toutes lirrégrularitâs Inquiétantes des époques, bliés avec autorisation, prouvent d'une façon (Lui éorire le cas en ooofianoe). absolue et irréfuable, ce que nous alTirmons ci dessus. M. Lorseti Villeneuve Sl-Vislre, parliarbonne Audience du 15 octobre Fayel (Marne). Q u e r r i e n . — Dans la nuit du 27 au 28 féM. Millet A. jardinier à Nanteau sur Lunain, vrier 1912, un vol de linge assez important par Nemours (Seine-et-Mqrne). fut commis dans un lavoir au préjudice de M, Devé garde-champétre'à Dernières, parles Paris, 12 Octobre 1912. Mme Gallic, propriétaire à Kergroas, en Andelys (Eure). Il semble inutile de revenir sur les événements qui Querrien. Le 9 juin suivant, Mlle Marguerite depuis le début des mois ont si fortement et si brusM, Hayer Auguste i Torié (Sarthe). Gallic ayant reconnusacoille sur la tête de la quement modifié les dispositions, auparavant tris M. Leliouc (Ils, chemin Vicinal de Change à fille Le Floch,|de Rozauville, en la mêmejcom- fermes de notre marché, tout ayant élé dit à ce Laval (Mayennne). Mme Laigue, i Sl-Solen par Dinan (Cotes-dumune, prévint ausssilôt la gendarmerie de sujet. Ce qu'il convient seulement de signaler 'est que en dépit du fait accompli (la déclaration Nord). Quimperlé. Une perquisition fut faite au Louis lils Canlonnier à Sl-Gilles (Ille-el-Vilaine. domicile de la femme Le Floch, au cours de de guerre d laquelle on s'attendait), le marché loin de retrouver quelque calme, comme cela se produit M. Pouliquen Alain, à Sl-Tliégonnec (Finistère). laquelle on retrouva une partie des objets plus souvent, n'a fait qu'accentuer sa réaction D'après ces guérisons vous voyez, lecteurs el dérobés. Malgré ses dénégations la femme vive cependant déjà la semaine précédente. lectrices, soulTrant de hernies, qu'il ne faut pas Le Floch a été condamnée à 2 mois de priC'est ainsi qu'après trois séances à peine meilconfondre la haute science de M. Glaser avec son, avec sursis. leures, celles de Jeudi et de Vendredi ont été désascertains charlatans et commis voyageurs justes P o n t - A v e n . — Pour vol de légumes au treuses, c'est le mot, marquées par un désarroi et bons à vous vendre un objet de peu de valeur à préjudice de M. Pérou, cultivateur à Pont- un affolement aussi vifs, sinon plus, que ceux des des prix formidables. N'achetezplus de bandages premiers jours du mois aux première» nouvelle» Aven, la nommée Lacorne Louise-Marie, des événements actuels. Cette altitude qui peut sur- avant d'avoir vu M. Glaser dont le dévouement est apprécié de tous, el qui vous recevra lui42 ans, journalière, demeurant au môme prendre d'abord, explique par ce fait d'ordre di- même de 8 h. du matin à 4 h. du soir à : lieu, qui a subi de nombreuses condamna- rectement boursier que noire place était encore à PONT-L'ABBÉ, le 7 .Novembre, Hôlel du I.iontions et se trouve en état de récidive légale, fin Septembre nettement orientée à la hausse el très d'Or. chargée, aussi le rendement a-t-il été aussi brusque s'est vu infliger 3 mois et un jour d'emq u i m p e r l é , le 8, Hôtelîdu Lion-d'Or; qu'accentué, les réalisations se succèdent sans autre prisonnement. (JUIMPEU, le 9, Hôtel de l'Épée, but que de se dégager à tout prix, même à des BUEST, les 10, II, llOlel de France. — Le 16 septembre, vers 5 h. 1/2 du soir, cours parfois trop dépréciés. Il serait temps de CHATEAUl.lN, le jeudi 14, Grand'Maison. un sieur Coppola Henri, sujet italien, âgé mettre un terme à cet état de choses et à défaut DOUAHNE.NEZ, le 15, ll.Hel de France. de 27 an-, qui exerce la profession de mar- d'une reprise impossible en ce moment, de retrouver La brochure explicative est envoyée contre chand d»" crème glacée à Douarnenez, se au moins une allilude plus calme et des dispositions 1 franc en timbres adressés à M. GLASER, trouvait à Pont-Aven, dans le débit de Mme plus raisonnables, d'autant que la liquidation de Boulevard Sébaslopol, 38, Paria. Maison princiMorvan, en état complet d'ivresse. La dé- quinzaine approche, ce qui n'est pas fait pour amé- pale à Courbevoie. bitante ayant refusé de lui servir à boire. liorer la situation. Vouloir mentionner toutes les réactions serait Coppola, rendu subitement furieux,renversa une table, brisa une vingtaine de b .uteille faire la nomewlalure de la cote en entier, aussi de cidre, et il a fallu pas moins de deux bien tes a-l-on déjà mentionnés ici. Rappelons simplement que les plus fortes baisses ont eu lieu, naMudam—, «ri élu iiuiaiim pour go» gendarmes aidés par d'autres personnes turellement sur les fonds d'Etats dont certaines ^ u S t o u s aures tout a m y ïsuir^uïâîi' pour le conduire à la chambre de sûreté. comme le Turc el le Serbe ont perdu plus de huit et toflru M tevti eontluie» «v D- du Ubcratolr* d* IpéLe prévenu qui n'a jamais été condamné douze points dans la huitaine, et sur les grandes clilltfe, tt, Bout. Piyln, U a L «»( r«M liiil^utf* un M H « " M M , ItfUtI *t M M 0ug*f. g M M valeurs à marché inlernalional où l'on a enregistré et sur le compte duquel les meilleurs ri n FOIRES A Qui m perlé. — Foire du 17 Octobre 1912. — Taureaux, le kilo, 0 fr. 65 à »; bœufs de boucherie, 0,70 à »,)») ; vaches de boucherie,0.45à ».»»; bœufs de travail, ordinaire ; bouvillons, »» à »» fr. pièce, ; vaches laitières, »» à »» fr. ; génisses, »» à »» fr.; chevaux, élevé ; porcs, 1.40 à ».))» le kiL; moutons, 0.95 à ; veaux, 1.10 à ».»»; froment, les 100 kilos, 26.00 à »•>.»» ; seigle, 21.»» à »».»» ; orge, 19.i>0 h »».»» ; sarrasin, 20.»» à »».»»; avoine, 18.50 à »».»»; pommes de terre, les 100 kil., 7.»» à »».»» fr. ; beurre, le kilo, 2 fr. 10 à ; œufs, la douzaine, 1 fr. 35 ; volailles, le couple, 4 »» à 7 fr. »». Foin, les 500 kil., 65 fr. à »»; paille, les 500 kiL,40 fr. à »» ; son, les 100 kil., 16.50à »».»»; farine 1" qualité, 38.»» à »».»»; 2« qualité, 37.»» à »».»»; millet, les 100 kil.,50rr. ; farina d'avoine, les 100 kilos, 27 fr. ; pommes à cidre, les 1.000 kilos, 120 francs. R A I R E LIGNE DE OUIMI'BR A PO.NT-L ARBK LIG.NE DE PONT-LABBE A QUI.MPER Ouiniiir.d. 6 168 21 n 13 11 .30 riugailu... 6 42 Il 43 CoAbrIt.Trta 7 1 Ponl-rilMa 7 118'59 11 52 Ponl-l'tkbétJ 6 Coubril-Trén 6 PluguHin... 7 Ijuinixr (ir. 7 14 i 14 22 14 33 14 42 17 41 si) 53 18 I •il lu 18 12 •21 21 18 21 -21 30 (A) 159 23 11 25 12 51 15 13 599 3;t II 42 13 4 15 26 Il 57 13 16 15 42 10 259'57 12 15 13 31 116 - 19 18 l'J '28 l'J 10 lu 55 LIONE DE PONT-L'ABDÉ A S'-OUÉNOLÉ II LIGNE DE S'-GUÉNOLÉ A PONT-L'ABBÉ Ponti'IbMlP.il.l.d. 7 32 Pgnt.riliU (iHii)... 7 37 Ploliaiiiiilic-Liicoiiil. 7 49 7 ,57 Tril«»i«t 8 1 eiill.iiiM Pmmireli Mril) UinMj<MU...ar. B 9 15 12 10 15 5 19 9 •20 12 15 15 1019 5 9 32 12 27 15 22 19 17 9 40 12 .35 15 30 19 23 9 47 12 42 15 38 19 32 9 58 12 .53 15 49 19 43 10 2 12 57 15 53 19 47 10 7 13 2 15 58 19 52 LIGNE DE ÇUlMPEn A DOUAR.NENEZ Çuiiiip»r..</i'p. 6 33 8 31 11 •2:) 14 . 11 1314 17 7 •J iu ii(ii 7U Il 51 14 '25 Il J;;ili 9 7 12 4 14 38 7 31 Douirnini!. 17 40 '20 16 17 57 21 3 18 5 21 II 18 18 21 2i LIGNE DE DOUARNENEZ A AUDIERNE Douiriiwii. .df,. Ptulliii... Iiuin (iillli).... Pinl-CrMi âiidim» tr. 7 45 9 '2.-. 11 15 15 .. 18 8 1 9 44 Il 31 15 1919 8 15 9 55 11 45 15 30 19 8 32 10 12 II 58 15 43 19 8 41 10 24 2 10 15 55 19 55 It '25 38 50 SiinMutnoli. ,14p. 5 37 5 42 lérilj 5 46 PiniMfeii 5 5.18 Quihinii 6 38 IrjlHijjl Piobinnilic-Liicinll. 6 118 PonM'tbbi (liili)... 6 -20 8 (P.O.).a. 6 27 8 PMt-l'tbM(K 1 10 19 13 30 17 30 10 21 13 35 17 35 10 -28 13 39 17 39 25 10 42 13 53 17 53 29 10 46 13 57 17 57 ,37 10 51 11 5 18 5 52 11 9 14 20 18 20 St 11 11 It 22 18 22 I.IGNE DE DOUAUNKNEZ A OUIMPER Oouarninii.rl Il Juch.... (jingii.... Çuiu,nr. n. U) 6 39 9 30 Pi 47 15 11 13 13 6 51 11 21 12 5il 15 30 m ï.") 7 I '9' 50 11 11n 9 15 15lu 35 7 1810 4 12 1 13 23 16 5 19 49 LIGNE D AUDIERNE A DOUARNENEZ ludiirni dép Pul-Croli... liant (hiili) Piuiiin BliivnMl!... 5 5 5 6 6 32 8 10 9 52 168 27 10 9 57 8 38 10 20 7 8 49 10 31 22 9 5|l0 47 13 35 17 32 13 52 17 49 Il 3 18 . 11 14 18 11 14 30 18 27 T R A I N S - dé.p. .. 4. luiilii .. id. Hiniie . M. Murcb . id. Pnil-di-Buii . H. CUtuuliii . id. D u t a é n é i n . Id. à, Olitnptr ....... É. ar. u. .dép. SiInMii Biipirdin . id. Iirriil . M. Binulii . Id. lilliC'Lg Trinui... id. . id. î ï i r : : : : : : : . id. . (ir. ijriut id .dép. Hiimibut . U. lurii . id. lunis . Id. Ouislnliirl . id. Bidgn . Id. tiiini; . id. lui» , M. PlIB ImlirlKi.... ar. U, 9wid'l)ru(. ..M R E FERME située à Buztt-Croix, en CloharECarnoët, contenant 24 hectares environ. S'adresser h M» ETCHÉCOPAR. Elude de M» T r é g u l c r , notaire à Querrien A VENDRE A L'AMIABLE Une Propriété Rurale Site à CROZUEL, en Saint-Thurien K E \ E \ U AXXUEL : 1.100 FR. Pour visiter, s'adresser à M. GUYADER François au bourg de Saint-Thurien. à 2 hrureu Je iaprcs-midi ëUERISON DE L'ALGOOLISKE L'IVflOeNEBIE N'EXISTE PLUS Une Propriété iiurale sise au lieu de K e r u s i u i n , en la commune de Hiec-sur-Bf'Ion, dominant l'Aven, susceptible de morcellement. Conlenance : 24 heclares 50 ares. 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Oinnlbui Eiprii. Omnb STATIONS IIEir lindirniiu OU D En l'iiudi II pir il nniittn il K- ftil it NIFlur S e r v i c e LIG.NE DE BREST A P A R I S - O R S A Y N LE M A R D I 2 2 O C T O B R E 1 8 1 2 FLXAiVClKKE I D E S UNE E AVendreparadjudicationvolontaire RETARD DES EPOQUES O V licencié en droit, notaire à PonlAven. Iriilunal CoiTectionnel de Ouimperié H A Elude de M'E. Péan de Ponfilly, MESDAMES KliVUE Etude de M* Etchécopar, notaire à Quimperlé MARCHES OU AU.STEHLITZ A RREST 9 ! 1171 11;:! 6'29 1175 1159 P29 1177 15 19 1195 l Omnb l Eipriii Omnb i Omnb l Eiprn. Om.ibi Eiprii. talb Oicnib Bipidi Omnb .STATION.S ' PIBIS Oual d'Ortir. i id. Iluitirlili... 1 linli) tlilUi 1 Bidon.. . id. 1 juiitiinbirt . id. . id. ! âurii. . Id. 1 Hmiibtnl . id. . .ar. 1 Lirlinl 1 id Biilil ÔoiipirM . id. •llliC'LiTrdfgui ... . Id. . Id. Binnilic lirmi . id. Bamcrdm . id. Iiinl'lii . Id. . iir. Ilulnpir .dép. id° 1 Oudoifléim : ibituuiin . Id. 1 Pinldi-Buii . id. 1 llulnireli . id. ! l)iniic . Id. 1 Diouiit > . id. . id. UodiriiHii . ar. j BK!I 21 lu 21 10'23 II 7 TO i 9 16 11 5| 21 10 IHI 9 ji: 11 15 •21 •20 •21 -20;'23 M 21 -20 5 6 40 9 50 i'i'ir. i;> u 16 is 19 -20 :i 13 il ' Il 01 10 25 17 :12 20 11 1 6 55 4 31 5 12 's'-is' 8 18 '"s 08 12 30 15 07 17 9 18 33 21 41 1 19 15 •22 15 • 6 119 S 5H 8 36 13 12 15 53 6 17 9 31 9 . 13 50 16 31 iiii'i 19 52 22 42 •5''25 5 53 6 7 17 10 01 9 '23 M 21 17 00 IK 26 '2" '26 •23 7i '.1 r^) 15 . ^ ^ ^ 18 51 •20 5S •23 IW 1 7 :,:) 10 37 9 5'.l 15 10 19 .. •21 7 '23 41 ! 7 7 8 113 10 47 19 7 21 18• ^ l l 7 12 8 12 11 22 I» 01 15 18 •i'i'j 15 ;(3 21 :tii 8 -27 11 37 1, i'j'32 21 46 "7';i4 8 1511 53 "io 21 15 50 •512 li 16 • 8 55 •W 3 16 12 IVK'I 9 7 •5''28 [ ''il 16 '22 Omnb l 9 17 1I 'sii "7 59 9 -JM i2 '28 "io 48 16 32 17 3 '20 '2 •••2^2'W 1 16 1:1 . . .11 9 39 Il ' i l n:. 16 ri7 i7 ; t.5•2ii'2-2 '2-2 37 9 5:1 13 43 Il '25 17 13 — - •20 36 9 • 6 12 Il IK> Il 4''. 17 IK. 9 29 6 35 •il 15 ^!!!J 14 •2X 12 06 17 55 7 13 9 49 11 :i'.i l'2 16 is r. i' ."i9 7 '2.') is H) M 51 12 '29 10 10 7 .39 15 13 12 45 18 ;w 10 ^25 7 57 15 •2'.l 12 .W IX 51 8 17 iii 38 :5 59 13 '27 19 19 '22 '22 II 06 8 46 '23 5 16 43 M 08 '20 11 Il 51 9 24 (A) Cus Ir.iins'ii'ont lieirii'uo'du 1"'nv'ril au 14 oclobre inclus. .>IOULI.\-(ill.ET. — A.s!«a.ssinat. - Un cultivateur du village de Lorennec, en .Moréac, M. Mathurin Onno, se rendait de bonne heure lundi matin au bourg, en vue d'assisîer à une cérémonie religieuse. 11 était environ G h. 1/2. En liaversant le PratBias, prairie qui s»-paresa f»-.rme de la voie ferr e, il aperçut tout à coup un cadavn; tout eii^anKlanté. A côté de lui se voyait une mare de sang coagidr. Il était vèlu d'une blouse bleue et paraiseail âgé d'environ 35 ans. .M. Onno n'eut pas de peine à reconnaître en la victime Joseph Olivo, domestique chez sa tante, Mme Olivo, fermière au village de Kerponner. Les voisins lurent immédialemenl («ri'-veiius, ainsi que les gendarmes de Locrniné, qui arrivèrent en hâte. Afjrès avoir procédé aux premières constatiilions, le maréchal-dtr.s-logis Monnier pr -vint télégraphiijucment le parquet de Pontivy et commença immédiatement son enquête. Après avoir établi l'identité de la victime, le« gendarmes interrogèrent les roisioB. Le malheureux Olivo avait lA fifurc hachée, le LIGNE DE ROSPORDEN A CONCARNEAU (A) M) 1 BnpgniM.ii 8 10 Il » 13 . U BeiuHri. 8 30 11 '20 13 20 CMurniaud 8 43 11 33 13 33 11 44 17 40 2U 18 15 2 18 1 20 38 15 13 18 11 20 51 I.IGNE DE ROSPORDEN A CARHAIX itoiiurlin.... dép. 7 33 10 58 12 59 IC 50 7 42 11 7 13 7 16 58' Iirntiii 7 52 I I 18 13 16 17 7| Cullocli 11 43 13 29 17 20!, 8 fi «eilr 8 19 12 I 13 41 17 33|i luiurll 8 31 12 14 13 53 17 45 lirMiwt 8 47 12 40 14 8 18 > Inrig 9 4 13 . 14 24 18 16 lotnl 9 16 13" 12 14 36 18 28 Perf'di'Cirliili 9 30 13 28 14 50 18 42 Ciriiiii LIGNE DE CONCARNEAU A ROSPORDEN M) lA) llincirnin.d ti 41 8 49 11 45 13 41 16 5 IV '23 Ulliuiiri.. G 51 9 2 11 58 13 57 16 22 19 36 IwrerdKi.u. 7 10 9 18 12 14 14 13 16 43 19 52 LIGNE DE CARHAIX Ciriiiii (lip. 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LliuiHt 6 .39 9 49 I I 35 20 31 Uiiuili Linm 6 51 10 5 11 45 20 41 ClUliiimluf'dU'Flw .. 8 '26 12 28 8 .38 12 10 Pllllu 7 18 10 31 12 1 20 57 Pinmi di-Flio 8 50 13 13 llint'Uiil 7 40 10 55 12 17 21 13 tpdllt'Lindiiuu 13 21 Pirt-lJiiiui 7 55 II 4 12 25 21 21 Uint-Hirniii'tiédM... 9 21 32 12 33 Pgrt.d|.Cirlnii 9 12 13 50 MlmilililH 8 15 11 11 ar. 9 25 14 i CMtwter.l,.ar 8 23 11 19 1S41 21 40 Clrtlii • (il) Cv» ifilp» nVnk |l«u qoe avril Ml M wioDr» mciu». CARHAIX 17 r.7 18 11 18 18 18 19 19 19 19 l'.l 20 23 35 52 5 13 28 41 55 6 20 18 10 32 LIGNE DAURAV A PONTIVV LIGNE DE QUIMPERLÉ A CONCARNEAU Ogiinwli... dfip. 1 Fir.t'Clihin... IMIu MiC'iur'Bllin.... Ponl-liiB.. ..dép. 7 7 Iliii 7 8 Trttime 8 linriie I^nuriniu.1llli... 8 Conurniiu P.O.ar 8 liisn 12 30 16 5 12 41 16 16 n 12 51 16 29 13 13 16 48 i5 13 38 17 10 35 10 13 42 17 14 30 10 13 54 17 26 51 10 14 9 17 41 6 10 14 17 17 49 II: II 25 11 18 14 28,18 291 I I 22il4 32|l8 4 9 9 18 18 19 19 19 LIGNE DE CONCARNEAU A yiMMPKRLli 45 OMCirnMg P. O.il. 56| CMCiraHU'Illii... 9l UnriM 28 Triguni 40. Km ABBÉ A AUDIERNE 8 4 15 11 18 40 Pont-l'Abbé..</<•/'• 8 '26 15 33 19 2 l'Ionciiur 8 41 15 IH 19 17 'L'RROKIIL 1 16 8 l'oiil(lr<Mi/.ic, .dép. 7 23 9 9 25 16 30 7 1 5 l'Iozcvcl.... 16 45 7 59 9 ;w l'Inuliinec ., dép. 8 '20 10 . 17 5 Pont-Croi*. arr. 8 32 10 12 17 10 Audiarne . . .(irr. 8 4110 '24 17 '22 IIIM PMt.tm,...d(!p. HlMiir-UIgn IMIH U FirIt'Cioluri... 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Cela fut dit avec une aisance parfaite, Adresse Télégraphique : INTERHÉDIAIRE-LORIENT Téléphone 0-91 de TABAC sans la moindre apparence de malice. — Oui, je veux y aller, fit nettement le jeune femme, mais pas avec lui. Que faitesvous ce soir ? — Peu de chose. Comme à l'ordinaire, je flâne, je m'ennuie à périr dans ma cellule de la rue de Vemeuil, à moins de tuer le temps quelque part, au théâtre. — Donc vous êtes libre ? Le conseiller poussa un profond soupir. — Hélas gémit-il. -Voulez-vous m'accompagner àl'Eden? — Vous ne craignez'pas de me faiie massacrer. — Par qui. — Par Maurice, donc 1 II est d'une jalousie ! . . . — Ne plaisantez pas... Voulez-vous ? — Vous y tenez ? — Infiniment. — Trop d'honneur. A vos ordres? — Nous prendrons une loge. Retenez-la... de côlé, dans l'ombre autant que possible — Vous avez juré ma mort. Diane feignit de ne pas entendre. — Ecoutez, dit-elle très vite, ma mère tient à ses habitudes de la campagne. Après le dîner, elle monte chez elle de bonne heure. Maurice ne rentre pas, lui. I l sort sousprétextedefumeruncigare. Vous allez h 6 heures du soir à louer d'Immeubles à vendre Fonds de Commerce TOURuFEMUr D J O U V E N C E DE L'UBÉ S O U R Y §B Toute femme qui souffre d'un trouble quelconque de la Menstruation, Règles irréguliëres ou douloureuses, en avance ou en retard. Pertes blanches, Maladies intérieures, Métrite, Fibrôme, Salpingyte, Ovarite, Suites de Couches, guérira sûrement sans qu'il soit besoin de recourir à une opération, rien qu'en faisant usage de la Tris Grand Choix d'Appartements QUIMPERLÉ prévient sa nombreuse clientèle qn'ellp vient de recevoir .«-es articles pour la S A I S O N D ' H I V E R : Bottines fourrées. 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Nous nous esquiverons tous en fraude, comme des amoureux... Miss Arabella, s'il le faut, et Mélaine protégeront notre retraite. D'ailleurs quoi de plus innocent 7 Le conseiller poussa un soupir ii enfler les voiles d'un sloop : — C'est trop vrai ; quoi de plus innocent I répéta-t-il. Il parut déplorer in6niment cette innocence. Pouiquoi la plus vertueuse des femmes est-elle flattée en pareil cas ? — Est-ce entendu ? reprit Diane. — Comme il vous plaira I Je suis d'un naturel d'esclave. En m'achetant sur un marché, une femme aurait eu la main heureuse. — Allez- donc. — C'est l'affaire d'un instant. Je cours, vole et reviens. I l prit son chapeau et sortit. M. liunoré causait avec les deux matrones et s'extasiait sur un petit meuble hideux et vermoulu, mais ancien, qu'il avait découvert dans la journée au fond d'un bouje sordide dans un cul-de-sac infecTte. Il avait dû reculer devant, le chiflre demandé, mais i| ajoutait en clignant de b a i l avec le contentement de l'amateur sûr du triomphe final : — Je l'aurai I Le trio n'avait rien entendu de la conversation de Diane el de son cousin. Après le départ de Maxime, pour éviter des questions qu'elle voyait poindre sur es lèvres de sa mère, Mme de Faudoise se leva lentement et alla s'asseoir à son piano. Sa taille n'avait rien perdu de sa légèreté, mais ses épaules plus pleines, sa poitrine plus développée, arrivaient au degré de perfection de la femme dans toute sa splendeui. La baronne l'admirait d'un'regard émerillonné qui allait du visage de la mère, comme une flatterie, au corsage souple de Diane. — Est-ce que ce ne serait pas un crime de tromper une telle créature ? dit-elle à M. de Bazuuges. — He 1 qui donc y songe seulement ? répliqua le vieillard. — Mais... — Son mari 7 Allons donc I Un brave garçou qui a de la fougue, de la jeunesse, tiu sang, de l'énergie, et qui les dépeuse. Il se calmera. — Vous ne voyez de mal nulle part, mon oncle, observa la comtesse. M. Sourit avec bonhomie. — Moi, je vous d u que mon geodr* court trop les distractions du dehors... — L'esprit est prompt et la chair est faible, observa la douairière. — Vous aimez Diane ! reprit la comtesse en s'adressant à son oncle. — Ventre de biche I — Si elle était malheureuse, que diriez • vous 7 — C'est impossible. Malheureuse, ma Diane I — Regardez-là. La jeune femme avait ouvert uue partition, Carmen, el 'commençait nonchalamment l'ouverture. Au bout de quelques mesures, elle s'arrêta brusquement, referma le cahier, et en prit un autre qui ne tarda pas à avoir le même sort. Elle se mit à la fenCtre el regarda au dehors. Le temps était brumeux mais très doux. C'était l'heure où l'on va faire un tour de Bois avaut le dtner. — Mon oncle, dit-elle, en revenant s'accouder au fauteuil du savant, voulez-vous vous dévouer. — Que faut-il faire? — Une promenade. — Avec bonheur, dit-il. EUf tOBMi Mélaine parut ausaitôt. administrateur du Domaine, y — Qu'on attelle le coupé, ordonnat-elle. — Bien, madame. — Je voudrais .savoir où est monsieur, repril-elle, très nerveuse. .M )nsieur s'émancipe, en vérité. Monsieur en prend à son aise. Elit! prononçait ce motM^ ( ^ r , comme elle aurait jelé un caillou à la tête d'un insolent, avec rage. —Jamais je ne t'ai vue ainsi, dit M. Honoré. Qu'est-ce que tu as? — Moi, je n'en sais rien. Ce qu'il y a de sûr c'est que les nerfs me font mal, et que j'ai la féte en feu. — Veux-tu une ordonnance ? Prête moi ton bras. Pouls agité, rapide, peau chaude et sèche. Ce ne seia rien. Deux tasses de tilleul ce soir et du repos. Vos malades vous manquent, mon oncle, et vos collections. Si nous allions à la campagne ! — J'ai des nouvelles. Tout va bien k Briolles. Si mes clients avait'iU besoin de moi, je rne mettrais eu route sans tarder. (A Suivre) Quimperlé. — Imprimerie i^^uim/jenoisr 3, rue iiiSHon. U (HRANT : J / H A M W . j 7'. — Vendredi 25 Octobre Quatrième Année — N^ 73 (Ancien QUIMPERLOIS) Journal Républicain, Politique, Littéraire, Financier, Industriel, Agricole, Commercial et Maritime P a x ^ a i s s a i a t 1® V e n d r e d i ANNONCES ABONNEMENTS 3 fr. 00 Un An 2 fr. 0 0 Six mois Tout abonné, qui, à l'expiration de son abonnement, 'aura pas, dans Un délai de 8 jours, renvoyé le journal " ' » sera considéré comme réabonné •irec la mention « refusé tioitr l'année suivante. Les Douceurs du Bagne Lorsque Beccaria écrivit son célèbre Ir.iité « Des délits et des peines», le gnind pliilosoplie criniinalisle, de qui les idées aidèrent îi transformer la législalion des pays civilisés, ne se doutait pas que les théories par lui •'•mises seraient exagérées à tel point (|no certains lieux de cliatiment deviendraient presque des régions de délices. Si excessif que cela paraisse, (•('la, pourtant, est une réalité. Celle réalité est d'autant plus attrislante — pas pour les malfaiteurs ([ue, comparé au sort de nos honnêtes prolétaires, qui luttent si péniblemen pour le pain de leur famille, le traitement doni jouissent les pires coquins dans nos colonies dites « pénitentiaires », n'est guère fait pour soutenir leur loi en l'honnêteté, leur amour du Iravail, leur esprit de dévouement, leur courage, toutes les vertus enlin sur lesquelles est fondé le règne de la démocratie. Uuand riiumble ouvrier, le modeste artisan, le cullivateur raj)proclieril leur existence de sacrifice de celle qu'une administration Ppaternelle arrange ses pensionnaires de la Guyane et de la Nouvelle-t^alédonie, ils ne peuvent st! défendre de regretter le choix qu'ils oui fait du droit chemin, leur respect de la loi, de la vie, de la propriété, toutes fariboles dont se rient messieurs li's bagnards. Assurément les galériens de jadis, enchaînés, marqués à l'épaule du stigmate indélébile T. F. étaient frappés liés souvent avec i»lus de rigueur que ii en eût comporté le forfait dont ils poursuivaient l'expiation dans les . rgastales où la société les isolait du monde qu'ils avaient consterné par leur dépravation, leurs tentatives homicides ou simplement lésé dans ses intérêts matériels par le vol ou par le taux. Néanmoins, les mœurs publiques, en s'adoucissanl, entraînaient dès le milieu du siècle dernier, la suppression des bagnes situés en France et les condamnés que l'on se proposait de régénérer par le travail en leur faisant espérer un libération relative, étaient dirigés sur les établissements où nous trouvons encore leurs tristes imitateurs pour que cet exil ressemble bien moins à une géhenne qu'à une terre de promission. On se renseigne vite dans la pègre. Les coquins de toute espèce qui pullulent savent que la punition qui devrait èlre la plus dure, décollalion mise à part, est, au contraire, la plus souhaitable ; car elle comporte des agréments, une liberté, une perspective d'évasion ou de situation bourgeoise inconnus pour les réclusionnaires de nos maisons centrales. sont refusées aux braves défricheurs, aux industriels, aux éleveurs qui ne possèdent pas l'auréole du viol ou do l'assassinat. A ces derniers toutes l'acilités sont procurées pour faire bonne figure et pour peu qu'ils affichent des intentions matrimoniales et distinguent quelque belle empoisonneuse ou quelque faiseuse d'anges dont la justice a suspendu les opérations, vite on les marie, on les dote d'un foyer, d'un domaine, et ils ont la joie de faire souche de ))olits chérubins qui les pourront bénir de l«u- douule ascendance. Ces tableaux idylliques fréquemment traversés de drames sanglants ont été contemplés par les voyageurs assez courageux pour porter leurs investigations à cesdistances effrayantes. Tous sont du même avis : « 11 n'est tel que le crime, le crime atroce ou répugnant, pour valoir l'Eden à ses praticiens ordinaires. Toutefois, si la Nouvelle-Calédonie ne reçj.oil plus de convois réguliers et si elle est en j)assc de devenir un « bagne honoraire », la (iuyane, elle, conserve sa clientèle intéressante d'escarpes, d'apaches, de malandrins, chourineurs et cambrioleurs, .satyres et vampires dont les Cours d'Assises assurent le recrutement. Le climat y est moins attirant, mais avec un tantinet d'audace et d'ingéniosité, on s'en échappe môme si bien que le nombre des fuites est relativement fort élevé, bien que le fugitif avant de parvenir dans l'une des régions où il espère reconquérir quelque sécurité, doit en traverser d'autres où le guettent tous les périls imaginables : fatigue, faim bêtes féroces, marais, flèches et fièvres, tout le cortège enfin des horreurs affrontés pour revenir un jour se faire prendre sur le théâtre des anciens exploits. Mais si la hantise de l'évasion ne tourmente pas le convict, s'il sait bien être sage et bien poli, on ne tardera pas à faire de lui un fonctionnaire, tel Soleilland promu — ô ironie ! — gardien d'un cimetière d'enfants. On voit que, dans notre République laïque la conversion au protestantisme sert à quelque chose. Très sincèrement la description a été laite des aimables villégiatures goûtées à Cayenne par nos illustres bandits soustraits au couteau de la guillotine. On n'a pas voulu admettre qu'elle fût exacte, malgré certaine lettre collective écrite par les surveillants et dans laquelle ils racontaient les inimaginables scènes de violence et de turpitudes hors nature qu'ils avaient chaque soir sous les yeux, dès lors que, revenus de leur li\chc quotidienne, l'empierrement éternel d'une route jamais achevée, les déportés se retrouvaient ensemble dans les dortoirs où eux, les geôliers, n'eussent pénétré que pour être immédiatement occis. Aussi le rêve, pour les misérables (jui n'ont plus rien à attendre de la clémeiice du Jury et qui ont collecA ces révélations invraisemblables tionné le maximum de pénalités cor- on éprouva quelque émoi. Une comrectionnelles, est-il d'être expédiés sur mission fut nommée qui, envoyée les rives du Maroni ou dans l'Océan- d'Europe, ne put que confirmer les Indien, dans la paradisiaque patrie des dires des surveillants. (Canaques où les colons irréprochables 11 est trop vrai que « travaux forcés » sont soumis à toutes les vexations, nme à fainéantise latente, que les tous les ennuis, tous les règlements forçats, reçoivent et adressent des qui paralysent leurs efl'orts et anémient correspondances — et quelles épîtres ! cette petite France des Antipodes, — fument et boivent des alcools passés tandis que le rebut de la métropole en fraude, fabriquent et vendent aux dispose d'une protection aussi insul- touristes des menus objets-souvenirs, tante pour eux que contraire à toute qu'ils ont des ressources d'argent, équité. mènent un jeu frénétique, ont des raOu n'ignore plus désormais que tions de café, de vin, de tabac que leur toute initiative de nos colons en Nou- envoient nos pauvres soldats de l'invelle-Calédonie ponr exploiter ce sol fanterie coloniale, bref doivent estimer merveilleux et en écouler les produits que leur abjection est l'état le plus .se heurte à une série d'obstacles qui profitable. désespèrent ces braves gens et leur Et, durant que s'accomplissent ces font parfois désirer qu'un autre dra- choses, autour de nous, de vaillants })eau que le nôtre flotte sur les édifices chefs de famille succombent au poids de Nouméa. Mais pour les forçats et des charges sociales, sont acculés à la relégués, c'est une toute autre affaire. misère, au désespoir, à ses suites fuA ceux-là va la sollicitude de l'Ad-mi- ne.stes dontfait mention la rubrique du nis-tra-ti-on ; pour ceux-là un budget suicide. prévoyant dispose de ressources qui yuand donc finira celle idiote co- la ligne 0 fr. 20 G fr. 26 Au'nûuces judiciaires DIRECTION, RÉDACTION ET ADMINISTRATION Annonces volontaires Réclumes 3 , F l v i e B i s s o n , 3 médie de l'humanilairerie réservée aux seuls chenapans ? (Juand les bagnes cesseront-ils d'être des Eldorados, tandis que nos cités, pour d'innocentes victimes du capitalisme, sont des bagnes qu'elles n'esquivent que par un volontaire trépas ? Il serait temps, peut-être, que les honnêtes gens fussent traités avec la mansuéludequi règne dans nos bagnes. Du moins, eux, n'en abuseraient-ils l)as. JEAN M E R A C . LlItKKS FEULLKTS CE QUI LES ENRAGE — Q X J I M P E R L É - (On traite à forfait pour les annonce$ répétées) discussion un peu .sommaires de la malraque et du revolver. La liberté de la parole leur suffit pour faire triompher leur doctrine, leur programme, leur idéal, n'en déplaise à ceux qui, moins impatients d'exVoici l'automne. Les arbres se Ul poser el de préciser leurs vues que de nous chent de rouille, les champs se bislrenl faire répéter les nôtres, nous refusent et le cidre coule du pressoir, la chùlai nous dénient tout idéal, tout programme, gne éclate sous la cendre el les veillées toute doctrine. Mais si nous respectons commençenl. celle liberté chez nos adversaires les plus Oh ! ces veillées de Bretagne au déterminés, à plus forte raison devons- cours desquelles se content des histoires nous la pratiquer à l'intérieur de noire d'« andons ! » Bien des fois, elles on propre parti, entre amis momentanément charmé mon enfance el, aujourd'hui séparés sur certaines questions, décidés encore, je me fais un plaisir extrême après un temps d'arrêt, à conlinuer, la d'aller de ferme en ferme écoula main dans la main, la même roule el quelques-unes de nos belles légende faire face aux mômes dangers. anceslrales. C'est cette pensée du lendemain qui A Rosporden, nous avions une con manifestement, hantait les divers orateurs leuse émérite. Elle se nommait Kale La réforme électorale, quelle qu'en soit et c'était la bonne vieille « au ne l'importance, n'occupera pas toujours le crochu » dont parle Loti dans Mon tapis.Quel que soit le projet Iransactionue Frère Yves. Quand tombait le soir sur lequel SÊ feia l'accord de fa Chambre une certaine Louise venait me prendre et du Sénat, R. P. ou R. M., scrutin de et, tous deux, à travers des ruelles liste jmr el simple ou scrutin élargi de. enténebrées, nous nous dirigions ver. l'heure n'est pas éloignée ou l'opinion et sa chaumière. le Parlement auront d'autres préoccupa Je revois encore celte chaumière de lions. Kalel, petite, toute noire, pleine de Dans moins de II ois mois aura lieu L'é vieux meubles luisants. L'ûlre en étai leclion présidentielle. On sait l'inffuenci immense ; une crémaillière y pendait que peut excercer la haute personnalité du soutenant une marmite remplie de chef de l'étal sur l'orientation générale de châtaignes. De chaque côté de la marde la poliiique extérieure elde la politique mite, il g avait deux bancs. L'un étai. intérieure de la France. Il n'est pas indif- pour Kalel el l'autre était pour nous férent que lu parti radical el radical socia- Une chandelle de résine coincée dans liale arrive à cello élection uni ou divisé un bâtonnet éclairait mal le logis. Il n'est pas indiflèrcnt non plus que nous N'importe ! on se trouvait bien là, poursuivions dans la division ou dans l'u- devant les braises mourantes, en face nion (lt;s membres qui composent notre de celle vieille femme à figure de parti ia réalilion de notre programme sorcière. De nouveaux auditeurs arriéconomique el social. N'est-il pas vrai que vaient bientôt, des jeunes gens el des les réfoi mes changent d'uspccl el de ca- jeunes filles. Les uns apportaient des ractère suivant la majorité qui les vole ? crêpes, les autres du pain noir ou du Et ne devons-nous pas songer toujours cidre. Tous se rangeaient en cercle à celle œuvre rèf-jrmalrice dont les déshé- autour de la marmite et un silence rités cl les souffrants attendent un peu de pesant tombait. Kalel alors se recueilbien-ôlre malérief cl moral ? lait une minute, puis, d'une voix à Oui, c'esl cette idée d'union nécessaire, peine chevrotante, .elle commençait un indispensable, pour les lulles el les réfor- de ces contes fantastiques, tels qu'il mes de demain, qui a dominé les débals devait s'en dire aux premiers âges du el donné au congrès de Tours sa véritable monde. Nous l'écoulions, charmés parphysionomie. Nos adversaires de droite et fois, apeurés souvent, émus toujours. de gauche en .sont également dépités el Bonne Kalel ! Elle repose à l'ombre exusjiérés. N'avons-nous pas lieu, dès lors, d'un vieux clocher, près d'un étang de nous en féliciter cl ne nous en réjouîr ? bleu ou des âmes f/'« anaons » rôdent sans doute le soir. Je. l'aimais bien el, Henri MICUEI., à celle heure où le crépuscule descend Sénateur. avec la brume, il me semble qu'elle va •evenir me conter encore près de Louise l'un de ses beaux contes empoignants. BA Nos adversaires à quelque nuance qu'ils apparliennenl sont eu rage contre le parti radical et radical-socialiste. Les uns et les aulre.«, escomptant déjà notre succession prophétisaient h qui mieux mieux sa dislocation, à l'occasion de notre congrès annuel. Oui, le congrès de Tours devait maïquer la fin de notre parti. Qucfic dé coplion ! et combien il faut déchanter Le Tem])S lui-mi>nic, d'ordinaire si mesuré, s'oublie dans de.s oufrances de style jusqu'à renifle jalouse Vlluniunilé. Pourquoi ce diable de parti — la Croix dirait ce parti du diable — s'obstine-t-il ainsi vivre, malgré les oracles ? Le fait est que jamais notre parti ne fwt plus vivant. On l'a vu au congrès. Grande était l'afflaence des parlementaires cl divs militants venus de tous les points de la l'rance. Sur la réforme électorale devait s'engager une Ijalaille décisive. On le s vail. Proporlionnalislcs et anlipioportionnalistes élaicnl donc à leur poste, prêts déployer toutes les res.sources de leur esprit et de leur éloquence pour faiie accepter ou j'our faire rejeter la représentation proportionnelle. 11 ne pouvait s'agir — ou le devine — d'élaborer une loi nouvelle : ce n'était ni le temps, ni le lieu. Un congrès n'a guère qualité pour légiférer. Une question de principe était seule en cause. Le congrès se rallierait-il au principe nouveau de la représentation projiortionnelle, s'en tiendrait-il au contraire au vieux i)rincipe majoritaire ? La luUe fut chaude. Mais on put juger, dès le premier moment, que l'issue n'en était pas douteuse. On connaît l'ordre du jour qui mil fin au débat : tous les journaux l'ont cité ; i oint n'est besoin d'y revenir. 11 fut voté à une énorme majorité, je ne crois pas être taxé d'exagération en Election Séiuitorialc affirmant que les huit dixièmes au moins des congressistes le volèrent d'enthouDimanche dernier a eu lieu dans tes siasme. Je n'insisterai pas sur l'importance Côles-du-Nord une éfection sénatoriale en de ce vote : elle saule aux yeux. Aussi remplacement de M. Le Provosl de bien, tous les journaux, sans distinction Launay, décédé. de nuances, en ont-ils souligné la portée. M. Limon, député libéral de la circonsCe n'est pas, à mon sens, le vote de cet cription de Saint-Hrieuc, a été élu par (>30 ordre du jour qui exaspère à ce point les voix contre 000 à M. Armez, député répuadversaires du parti radical et radical- )licaiu de la 1" circonscription de Saintsocialiste. Les vœux sans nombre émis Brieuc. contre la R. P. au cours de ces vacances par les conseils municipaux, les conseils d'arrondissement, les conseils généraux, le faisaient pressentir. Ce qui a porté à son comble la colère des modérés comme Ainsi que nous l'avons déjà annoncé, celle des révolutionnaires, c'est la belle M. Poincaré, président du Conseil, viendra tenue du congrès, le débat imposant de à Nantes, dimanche prochain, 27 octobre. calme et de dignité qui précéda le vote. l«sera accompagné par MM. Guislhau, Certes, de part el d'autre, on apporta à Javid, Ktotz el Bérard. la discussion beaucoup de vivacité, d'arA l'issue du banquet qui sera servi au deur, de feu. Jamais la passion n'emporta Cours Saint-Pierre, le président du Concependanl les orateurs au delà des limites seil prononcera un grand discours, au des convenances el de la courtoisie. A cours duquel il développera le programme aucun moment le congrès ne donna le ministériel qui sera soumis aux représenspectacle d'une assemblée désemparée, où tants à la rentrée des Chambres. Il traitera celui qui esl à la tribune ne parvient pas à également la question de la situation exse faire entendre, où celui qui préside est térieure. impuissant à dominer le tumulte el à obtenir le silence. Il convient d'ajouter, à l'honneur des congressistes qui prirent successivement la parole, que pas un d'eux ne laissa échapper un mol qui trahît le dess(;in d'offenser ou de blesser ses conVendredi dernier, les plénipotentiaires tradicteurs. Voilà ce qui met hors de leurs gonds les italiens réunis à Ouchy (Suisse) onl signé jons apôtres qui prédisent périodiquement le traité définitif qui règle les conditions de la paix entre l'Italie et la Turquie. a lin de notre ])aili. Un drapeau italien el un drapeau turc Faut-il s'étonner de celle correction el ont été hissés, à côté d'un drapeau suiise, de cette tenue? Non. Les radicaux el radiau dessus de l'hôtel où le traité de paix a caux-socialistes laissent aux partisans de la violence et du désordre les procédés de été signé. M. Poiiicaré à Xantcs LAPAIXITALO-TURQUE 0 fr. 60 VARDAGE Pierre Sève:, le iSOclohre KERMADEC. l'Jl2. LE BOIS ARTIFICIEL Laissez vos Plaques sur vos Bicyolettes Nul cycliste n'ignore que sa bicyclette doit porter de façon apparente une plaquecontrôle. Presque tous savent que cette claque doit être fixée à demeure sur le ube de direction, conformément à un article de la loi de finances du 30 janvier KK)7. Mais la plupart ne se doutent-ils que le fait d'enlever cette plaque môme au cours d'un voyage, afin d'éviter un vol el alors que la machine est mise aux bagages, constitue une infraction à la loi ? C'est ce que le ministre des finances, a répondu à une demande de M. le député Cassadou. La jurisprudence, en effet, a décidé que les machines trouvées en gare comme bagages devaient èlre considérées comme en circulation. Leur propriétaire esl passible d'une amende s'il a enlevé la plaque de contrôle, même en le faisant constater au départ par un employé de la compagnie. Au surplus, la compagnie est évidemment responsable du vol de la plaque donl la machine esl démunie. La & La fiuirre Nous ne saurions suivre avec trop d'attention les événements qui se déroulent à l'heure actuelle en Russie, puisque c'est .surtout de notre amie et alliée que dépend l'extension ou la limitation du conflit balkanique. Un symptôme «jui doit nous frapper particulièrement esl l'acuité du mouvement panslaviste. L'hostilité séculaire contre la rur(]uic, le fanatisme religieux, les sentiments de fraternité iK>ur les peuples balkaniques, l'ambition populaire impatiente de réaliser une « plus grande Russie i» ont provoqué une efïervence qui esl allée, dans certain milieuxs, jusqu'à prendre une forme peu amicale pour les deux autres puissances de la Triple Entente. Le but élait, semble-t-il, de brouiller l'Angleterre el la France et de rompre avec l'une et l'autre, coupables aux yeux de quelques-uns de ne pas nourrir d'assez noirs desseins contre fa Turquie. Fort heureusement, le gouvernement russe résiste avec beaucoup de sagesse k ces impulsions irraisonnées, el continue de manife.ster à notre égard un cori ection )arfaite. Nous avons montré à plusieurs reprises quçM. Sasonof, secondé en France par M. Isvolski, cl d'accord avec M. Poincaré, n'avait cessé de chercher loyalement à réaliser l'entente des puissances )our limiter le conflit balkanique. Mais les chauvins de Russie, notamment e Novoié Vrémia, en prennent argument :)our se livrer aux vives attaques contre le ministère. El leurs clemeurs, paratt-il, rencontreraient des oreilles complaisantes usque dans certains cercles politiques d'ailleurs élevés. A ces difficultés politiques s'ajoutent des difficultés financières. Beaucoup de {grands établissements russes ont fait, ces temps derniers, des efforts patriotiques >our maintenir à la Bourse de Paris le cours de leurs valeurs nationales. Malgré 'importance de leurs achats, ils n'ont ))u empêcher qu'un temps l'inéluctable. Déjà lier, malgré la fermeté inespérée du marché de ces jouis derniers une baisse sensible s'est manifestée sur tout le compartiment. Il semble donc biea que les milieux diplomatiques ou politiques, et même opinion populaire, s'attendent encore à des surj>rises. Dans l'intérêl de la paix européeiuie, dans celui de la France et de la Russie, nous souhaitons que l'irréparable ne se iroduise pas. Le cabinet russe a déjà fait ses jireuves de pondération el de clairvoyance. 11 saura, nous l'espérons, défendre el faire triompher la cause de la paix et le îiincipc de la Triple-Entente contie les égarements panslavistes. Il sauvegardera, contre des patriotes mal avisés, la prospéilé économique el la grandeur morale de la nation russe. El la Russie, grflce à ses efforts, sortira aussi riche el forte que jamais de la crise intérieure qu'elle traverse. L'invention est dùe à un Français, M. Charré. Elle esl appelée à rendre de grands services à la charpente, en remplaçant avantageusement le bois naturel. La solution du problème n'a été obtenue iju'après six ans d'étude el d'expériences dont les plus récentes onl donné des résultats complètement satisfaisants. Le procédé consiste à transfoimer la vaille en une matière solide, aiibsi résistante que le sapin ou le chêne ; les liges sont coupées à la machine el réduites en pâte par la cuisson en y ajoutant certains produits chimiques. La pAle ramenée à une substance homogène est ensuite comprimée sous une très forte )ression. On obtient ainsi une matière Première à laquelle on peut donner toutes es formes, planches, poutres, chevrons, ailes, baguettes, moulures, de toutes dimensions. Ce bois artificiel, peut, comme e bois ordinaire, ôlre facilement scié. La paille étant partout relalivtîmenl bon marché, les frais sont peu élevés. Le môme bois de paille serl aussi au chauffage, il donne une grande flamme el peu de fumée; on l'emploie également pour la fabrication des allumettes, il vaut mieux que le peu>licr el coûte beaucoup moins. On en fait de même usage poui le papier d'emballage, pour les bouteilles, cruchons et autres obéis si.uilaires. Il se prête à bien d'autres Des informations contradictoires, suiapplications et son usage ne tardera pas à vant qu'elles proviennent de source turentrer dans la pratique courante. que ou d« source bulgare, serbe ou grec- DANS LES BALKANS M. Courtier, dans l'espace de cinq mois, qui devaient être prélevés sur l'excédent cotoc voyer la publication au numéro de ce jour. Années H^ < a créé un déficit de 12.247 fr. 71. Et ce des recettes de l'exercice 1911. I l s'imagi M . Courtier, qui avait fait établir, dès de la guerre. n'est pas fini !... nait que la dillérence, soit 5.919 fr. 21 jeudi matin, par un membre, de sou conS'il fallait en croire les nouvelles de «o Contribuables Quimperlois, juge/.. passerait inaperçue, afin d'en disposer seil municipal devenu son secrétaire partiOl Voici le texte de la lettre que M. Le Constantinople, les troupes ottomanes op5 W W Ci sa gui.'îe, voire même pour fournitures culier, la copie qu'il nous a adressée de sa 31— ^sw O) »— (« & Recettes 5 poseraient aux troupes alliées une résis- lettre publiée par \ Union Agricole aurait Louédec a fait tenir samedi dernier au scolaires gratuites aux écoles dites libres y tance acharnée et seraient même victo- bien pu nous la faire parvenir un peu plus gérant de l'Union Agricole et que ce Dans sa naïveté, il n'avait pas prévu que rieuses. 11 semble que l'on ne doive ap- t6t et, dans ce cas, il nous eût été possible journal a refusé d'insérer . l'administration préfectorale dont le conMonsieur le Gérant, le trôle lui paraît gênant — puisque avec son Wi—^UiH-U'Cnoi porter que peu de créance à ces informa- de lui donner satisfaction dès la semaine Diable I I I parait qu'on m'attend avec C: La réplique de M. Courtier, ù laquelle conseil municipal il est partisan de la sup dernière. tions et que la vérité serait toute autre. une impatience extrême au Progrès. Seb vous avez donné asile dans les colonnes de Dépenses S tn C-. ta <o o -.D Toute autre a été l'attitude de M. Beau- votre numéro de l'Union Agricole du 17 oc- pression des préfets et des sous-préfets, — ruieut ils donc tous malades, ces mesL'attention de l'Europe entière est acrelèverait son-tour d'escamotage ; mainfrère, — mettons, si vous voulez, de M. le sieurs de la tonsure? Après aboge tobre, ne signifie rien du tout et il faudra tuellement attirée sur Andrinople, qui, tenant, il se trouve contraint do reconnaître gérant de l'Union Agricole — c&r M. Le bien que son auteur, en dépit de l'indignacomme des roquets, \oicî qu'ils/i«/7e«/à avec son camp retranché, peut ôtre consition qu'il alTecte de manifester, finisse par que l'excédent des recettes de l'exercice .»« 0^s w A. la mort, comme des loups, — à la mort de dérée comme la clef deConstantinople. On Louédec lui a lait tenir samedi dernier, ? m par ministère d'huissier, une nouvelle s'incliner devant la réalité des faits et des 1911 était bien de 27.220 fr. 57. C'est déjà l'école laïque, bien entendu. n g annonce que les Bulgares se sont empares o 05 C063 s ^ ; un point. lettre que l'Union Agricole n'a pas insérée chiffres publiés par l'Echo de Bretagne. Hoi des « muffles », toujours « inulle » d'un certains nombre de forts défen'lant Je répète que M. Courtier a trouvé à mon pv Cet excédent de recettes avait è lair sous le fallacieux prétexte que nous et encore « mufle 1 Celle fois, [»our un o cette place el, notamment, de la ville de n'avions pas encore donné asile à la prose départ de la Mairie de quoi payer toutes les face à des échéances prévues au budget m « mufle », je suis un « mufle << de bon teint dépenses, S A . \ S EXCEPTIOlV, par moi Rirk-Kilissé. de M. Courtier. O el de bonne race. Alors?... que Janus— engagées, plus un excédent net disponible de additionnel de 1912 ; le montant de celles «c On annonce également que la ville de Ce n'est pas une raison. 5 . U 1 9 f r . 2 1 , par lequel l'exercice 1911, ci n'étant que de 21.301 fr. 30, il restait pardon! que Junius — entonne un chant •o o o Oc donc un boni de 5.919 fr. 21. 1 -, i = S A l'heure actuelle, nous sommes encore arrêté au 31 mars 1912, se trouve soldé. Salonique est menacée. Cj d'allégres'^e, car le clan réactionnaire ren3 PI « co Voici d'ailldurs le compte détaillé des Mes comptes de gestion étant arrêtés au lerme une telle quantité de « mufles », de S Des engagements dont le ré.sultal n'est en droit de refuser l'insertion de la lettre 0) « restes à payer » résultant de l'exercice 31 mars 1912, M. Courtier n'a qu'à se repor'à « cafards » et de « cléricafards », que j'ai de M. Courtier, car nous pourrions atpat. comiu de façon absolue ont eu lieu sur ter aux chiffres officiels de receltes et de 1911 et à reporter sur l'exercice 1912. a bien peur, bien malgré moi, d'en faire divers points entre les troupes turques el tendre qu'il nous envoie l'huissier. Mais, dépenses pour faire la petite opération PI nous savons ce qu'est le droit de réponse partie I les troupes alliées. suivante : el, mettant la loyauté avant tout, n'avons Mais, soyons sérieux, yuebju'un m'at3Au 31 mars 1912, date de clôture de pas l'habitude d'atte.idre une mise en l'exercice 1911, l'excédent des receltes tend ; je me présente pour lui répondre : RESTES A PAYER » demeure. « J ' I G N O U A I S ALLSOI.UMK.NT QI E, OANS I.ES est de 27.220f.57 Si M. Beaufrère ne connaît pas encore Kcoi.Ks I.AiyuKs, ni:s IXNIGII.VTS PAVASSK.NT AU 31 MAKS 1912 SOMMES A déduire, au 31 mars 1912, les lis^gîsssocn les dispositions de l'article 13 de la loi sur restes à pai/er, c'est-à-dire 2 Fil. O'KTUDES CT JK .M-; I>I;IS cnomi; IÎNCOUK s I S A HUI'OUTKR A 1. r.xi'iicici; tyiV îiibksbîgèii: T O U T E S les dépenses non SA U N T K I . DKsiii i)i; JUSTICE. Que le Progrès Tout le monde sait que c'est au mois de la presse, il les apprendra. o —-I —^linCO 5 Dans le refus d'insertion de la lettre de soldées à cette date engagées du Finidère me cite des noms, me nomme Juin dernier que le blé el la farine ont at par la précédente municipalité Cl o 00 tJl (O -J < des écoles,"et je serai le premier ù m'élever lO -.c O — tO c teint les prix les plus élevés. A cette épo- M. Le Louédec nous voyons une reculade, et imputables au budget addiCliapiti-e 1< la fuite devant une discussion loyale. Les contre de tels actes d'illégalité. Le Progrès que, on craignait à tort ou à raison la di tionnel de 1912 • 21.301 3G a chiflres exposés par M. Le Louédec sont du Finistère est-il satisfait ? Qu'il se rasDliPKNhRS OItDINAlllKS C; PI sette jusqu'aux récoltes. i), officiels, par conséquent irréfutables. Ces sure. J'aime la lumière, toute la lumière, ce Reste en excédent surlesdép. 5.919 F. 21 o o «-1 i-ï ^s v Celles-ci sont terminées et ont été faites ehiflres confondent W. Courtier et nous a H de quelque côté qu'elle vienne. La fera-lnt PI Soit encore un reliquat net disponible de GO Emploi des 5 cent, pour dans de bonnes conditions .sauf en Breta Ce 03rf»(O U) — c. comprenons que son journal officiel essaie il sur ce point en litige ? Je l'espère et à ÎO 3-. hs «o v; o 5.919 fr. 21 que M. Courtier feint d'ignorer, entretien des chemins gne et dans une partie de la Normandie de lui épargner cette déconvenue. mon lum-, j'attends. » 88 fr. vicinaux ainsi que le démontre son projet de budget o Des statistiques, dressées conscienseMais les Quimperlois sauront apprécier additionnel el dont je lui indique, à nou20 Emploi des prestations. p» Le lMI'ERl.OIS. Entretien des pompes comme il convient l'altitude des adver- veau, la provenance. ment par le Bnlletin des Halles et le Mar I I I I M ' ()57 incendie ô .saires de M. Le Louédec. En dehors des chiffres officiels (pus je ché Français établissent que la récol76(1 fr. 98 H Ceci dit, voici la lettre de M. Courtier : viens de citer el auxquels je l'engage ù se te dernière est suffisante pour notre con'ê reporter il m'est impossible de discuter. Chapitre II sommation. Aussi, a-t-on pu constater que Oiiimperlé, le 17 octobre 1dl'2. De deux choses l'une, ou les chiflres que a •o a depuis le mois de Juillet, les cours sont o DKI'KNSKS l:XTItAOHlilNAMti:S Monsieur le Gérant de j'accuse sont vrais ou ils sont faux.| o cc ib. 7. = a. ?.. S constamment en baisse. I l n'y a eu qu'une •.s (O oc W li û' X'iicho de lirelayne. J'attends, en conséquence, que M. (^)ura c Ayant été mis en cause par votre journal tier en reconnaisse Inexactitude ou les réIule » légère reprise des cours, il y a quelques 9 Ann. lia l'empr. de 15.61)0 Ir. (et art. 18 dans le numéro du 11 courant, je vous prie, tout comme je réfuie ses comptes qui ne s 755 fr. jours, à raison de la guerre balkanique desiKp.sup' conformément à la loi d'insérer dans votre représentent à mes yeux qu'une salade dans 4.52 96.746 .11 Igel cette reprise n'a été que de courte durée Nous foison.-; rein;iri| le;- q le laquelle il s'obstine à faire entrer au litre premier numéro la réponse suivante : 39 44.250 de 19().y, dont les chifl. !s figurent on ila el c'est à nouveau la tendance à la baisse .048 M. Le Louédec, par l'organe de son jour- du budget de 1911 les sommes qui doivent 31.653 L;i ligue de dél'eii.se des iiilérêls dit liijues au laMeau '•;i-di'><sns est le dernier 40 ' 40.000 Au mois de juin, le prix du pain a subi nal VEcho de Jirelugne, prétend que, dans figurer au budget de 1912 et ce dans le but Brest el de la ivgion org.ini; e, à hre.sl, •17 66.000 budget géré par M. lîicliar i. C.e liudget le contre coup du marché aux blés el aux l'espace de quatre mois, j'ai ruiné la Ville évident de grever ma gestion, pour masquer pour le dimiinclie 27 oelobn-, un grand Einp. de l'imp. pouri'éseau accusait un déficit de 5.'lS(t fr. 44. Dès de (luimperlé, nus à sac la caisse du Rece- un passif de 6.328 Ir. 50 qui n'incombe qu'à farines et, partout, a été augmenté. m téléphonique meeting de protestation, auqui l sont conlui seul. veur municipal. Tout juste s'il ne parle pas l'année suivimle, sans iinposilioti de cenEmp. de la subv. de l'Etat Depuis cette époque, le prix de la ma- de me donner un conseil judiciaire, et, par voqués les Conseillers généraux elil'arJe mauitiens, en outre, (jue le budget adtimes pour i'isulfisanci! de revenus, M. Le p' agrandiss. de l'éc. mal tière première a baissé très sensiblement exploit d'huissier, il somme le directeur de ditionnel, volé sur la proposition de M. rondiftseinenl cl les Maires lie. I:i légioii. 12 Louédec comblait ce fîélicit i l. soldait son 597 (etart.lGdesdélib, spéc.) l'Union Agricole de démontrer, au moyen de Courtier accuse, dès maintenant, un déficit ruais le prix du pain n'a pas changé. 3.13;t fr. 86 premier budget [lar nu excédent de re- • Dans un appel adressé par .M. Mas.son, chiffres, qu'il a laissé la situation financière total de 12.247 fr. 75 et que la situation des Les populations réclament ; elles récla cettes disponibles de '.I32 fr. 59. maire de Brest, on lit ce qui suit : Chapitre I I I dans un état prospère, grAce à sa bonne finances comnuinales est telle (jue le Conmeront encore. Le budgfti de 1905 e - l le seul qui se .«oit gestion. « Le départ di; la 3' esca ire luule donc seil se verra sous peu dans l'obligation de I ) KI • H .N s i ; s s UI ' l. K >1 E N T AI m : s soldé par un déficitqui e.sl de 3.725 fr. 20. « alleinleaux inlértMs inaiériel.s cl moraux Qu'attend le Maire de Quimperlé pour voler de nouveaux centimes. Je veux seulement lui répondre ceci : Veut-on savoir la raison la rai.son de ce « de toute noire population linislérienne L'excédent de recettes de l'exercice 1911 Les affirmations de M. Courtier el les faire donner satisfaction à ses légitimes déficit 'Mille est très ."-iiniile à Irouvei'. Kn « el aux inlérètsvilauxde loiile lu région.» s'élevait à 27.220l'.G7 miennes, on le voit, ne se resscniblenl pas Entr.des chemins vicinaux réclamations '? 1.464 fr. 80 1905, les re.s.sources de l liopilal s'élanl du tout. y compris les 15.000 fr. que le en 1910 Empl. de l'empr. de 22.400 f Heceveur municipal avait reçu Qui a créé le déficit ? Telle est la question trouvées insuffisantes, le c^n'^eil munici(annulé faute d'emploi 1» Xous recelions, li'aulre part, à re sujet, du Crédit Foncier pour le paie«[ue, pour ma part, je vais m'employer pal avait dù porter de -s OOl) IV. (ui l. lOS du crédit de 7.400 f.) pour ment des terrains du cimetière. élucider pour la plus grande confusion de les cominimivations suivantes, <jue nous budget p r i m i l i l j à 12.000 fr. la subvention agrandis, du cimetière. 15.0(H) A ces 27.220 fr. 57 sont venus mes détracteurs. allouée annuellement !i c d elablioscmenr, nous empressons d'insérer : Amortisseni. pourempruni s'ajouter 42.947 90 J'ajoute que l'e.xaspération manifestée par 338 du cimetière par le vole d'un crédit de l.O;)!) fiancs au I.ii ligue formée à la siiili- de la décision supplémentaires M. Courtier dans la note que l'Union Agri Nous avons eu l'occasion de signaler de recettes Fête des 9 el 10 juillet [Lu budget addiiionnel (aii. l.T}. ministérielle de la concenlialion des esi'ap a r m i l e s q u e l l e s f i g u r e n t cote qualifie de « réponse » aux précisions Pomme et Dnjardin-Beau que l'on procède à la lestauration de la dres dans la .Méditerranée, a .^on hiireaii L'année suivante, I l S:MI> imposiiion 31.000 fr. ^emprunt jiour l'achat 597 20 irréfutables que j'ai apportées dans ce débat melz) maison Le Borgne, située rue de la Mairie «léliiiilivement conslilui- ; il esl composé de l'immeuble Romancer) et ne constitue, à mon sens qu'un médiocre 17.400 fr. 52 supplémentaire, ce ddicii n'rxi lait p'us n* 3, et qui est frappée d'alignement. Pour TOTtl das rasias i payer.. couinie suit : 7.400 fr. (reliquat de l'emprunt élément de défense. et l'exercice 1900 se si i lail lic.ureu.-ieinenl ôtre exact, il faudrait plutôt dire, au lieu Président : M. .Masson, maire de liresl. de 22.400 fr., contracté pour Le procédé ne m'étonne pas plus qu'il nt' par un excédent i.vt ilisponible de de restauration, reconstruction avec agran l'agrandissement du cimetière). «l':CAI»ITLLATI().\ \'ice-présideiits : M. Kolhind, président m'intimide. l.;522 fr. 5«. dissemenl. de l-i Chambre de (;ominer('e ; .\i. l'eiii,'am, D'où en recettes supplémen Je viens de passer près de 4 mois à Quim Nous savons que la propriétaire, Mme Le A partir de celle ép( • |up, tiin-; les )ii<l- serrélnlre île ia Hourse du Travail ; M. 98 766 Dépenses ordinaires tairesau budget additionnel... 70.168f.4 perlé ; quatre mois durant, je me suis Borgne est eu possession d'un arrêté signé 86 133 gels onl été soldé j pa (îiv? l'xcéilo! il.s do lîoulvard, né^'ociant, rue ilc Siain ; Mnie Dépenses extraordinaires. Or le total des dépenses supévertué à signaler aux contribuables (juim de M. Courtier, maire, et portant la men52 recettes plus ou inoii, iiiipoilauls cl le Lor/.il, présiJenlc du .Syndicatd^•^ Ouvrières 4(K) Dépenses supplémentaires plémentaires s'élève à 70.497 perlois, en m'aidant de faits et de chifirc tion suivante : «La.maison dont il s'agit TITtL des Iestas à payer. 2i.:ioi fr. :u dernier reliquat, celui le M. Le Louédec confuctionnuuses. précis, la mauvaise gestion des finances de étant frappée d'alignement, les travaux qui Si'i'ii'lnin: rhiU!,'i' di-s r.'ippolis : .M. a légué à ses succci. < u:::, alleinl lu D'où un déficit de G.328f.53 la ville. Avai.s-je besoin, pour ce faire, de y seront faits ne devront pas être conCoude, député de Brest, somme rondelette de 5 919 fr. 21. Tous ces crédits figurent au budget ad forlatifs. » L'original de l'arrêté, daté du Dans toutes les dépenses engagées au provoquer des réunions publiques el con Secrétaire chargé de la cori'espondanc : tradicloiros? Passons maintenant aux centimes que 8 août 1912, et transcrit sur le registre budget additionnel, le nouveau Conseil mu dilionnel del912, quenou.sregretlonsdene .M. Delpeinl, négociant à Hresl. La tribune de l'Echo de lirelugneé^&H am spécial,est écrit de la main de M. Courtier. nicipal n'a voté que les crédits suivants : l'ancien con.'^eil municipal a dû voler pour pouvoir publier ni extenso, faute de place Trésorier : M. Paul Simon, avocat, conplement sullisantc pour faire connaître aux I l ne porte pas, comme tous les autres arSubvention à la .Société des Courses Ces documents se trouvent d'ailleurs à la insuffisance de i-evenus. De 1904 à 1908, seiller municipal. poi)ulations ce (ju'il était de mon devoir de rêtés du même genre, mention de la signa- comme il était d'usage t.000 fr. mairie à la disposition de tout éieclenr ou il n'a pas été volé un seul centime. L'exer.Membres ; les maires de Lambézellec, porter à leur connaissance. ture de M. Ollivo, conducteur des travaux, Subvention au Syndical d'icice l'.H)',» comporte une imposition de Saint-Pierre, Saint-Marc, ou leurs délégués ; contribuable, el nous engageons quicon M. (Courtier peut continuer à emprunter pour la bonne raison que la formule em- nitiative du Finistère 100 ployée par M. Courtier n'est pus semblable les colonnes de l'Union yl.c/Wco/e, son journal douteruit de la véracité des chifires que 3 centimes, celui lie 1911 une imposition .M. llervagault, adjoint au maire de Brest ; Subvention au Syndical du de 1 C. 30 el celui de l'année courante une .M. Gélébart, maire de (iouesnoii ; M.M. nons publions à y aller en prendre confir à celle qui figure sur la demande faite, bâtiment officiel, pour me répondre. 2(HI llanauer, Fragneau et Alain Simon, conimposition de 5 c. 70. malion. sur papier timbré, par Mme Le Borgne, Tandis que dans les réunions publiques Achatetréparations d'instruseillers municipaux. « de faire restaurer une maison située rue les discussious portant sur des chiflres ne L'imposition de 3 centimes, afférente à M. Courtier reconnaît avoir fait voter ments deniusique (M. Le LouéLe bureau fait un appel pressant à toute la de la mairie n" 3. » peuvent être que confuses, propres tout au par son conseil municipal certaines dépen- l'exercice l'.)09, dont le produit prévu était dec n'aurait ])as fait celte dépopulation bresloise et invile tous les ciplus à engendrer des conllits regrettables et Cet arrêté est daté du 8 août. Nous avons pense, car il n'avait qu'une .ses dont le total n'alteint que la somme de 1.550 l'rancs et le produit réalisé de toyens à donner leur adhésion à la ligue. à l'organisation desquels je ne me prêterai de bonnes raisons pour croire que celte musique de 8 musiciens 500 de 4 . 0 0 0 francs, mais, dans son énuméra- 1.011 fr. 11, a été nécessité par le vole Cne permanence est établie à l'Hôtel de pas, l'exposé de ces mêmes questions, dans pièce a été établie postérieurement à cette F'rais d'organisation du Conlion, il a oublié de mentionner les cas- d'une .somme de 2.800 francs pour l'entre Ville, où l'on peut s'inscrire tons les jours les colonnes de nos journaux respectifs date et qu'au contraire elle a été établie cours de la race pie-noire 1.800 tien de l'Etablissement des Ursulines de neuf heures à midi et de deux heures à quettes de ses musiciens, la machine présente i)ar contre de nombreux avantages le même jour que les autorisations portant Je ferai remarquer en passant occupé par la commune comme bâtiment cinq heures. écrire, l'envoi des sapeurs-pompiers dont le moindre est de permettre à la géné les dates ci-après : ([ue ce crédit sera à peine enscolaire. (Vêtait une charge nouvelle pour Il est indispensable, devant une question Lesneven, l'augmentation du prix de l'en ralité des intéressés de suivre jiosément et 7 Août, ù M. Courrier, pour travaux tamé. aussi grave el aussi inena<;anle pour les le budget communal. Il y a lieu de lemarlèvemeat des boues, l'augmenlalion de la à tète reposée les phases de la lutte engagée à exécuter rue des Gorgennes ; .\chat de livresaux bibliothèpour la défense des deniers des contribua gratification des employés d'octroi, divers quer que celle même année, le Irailement intérêts de la région bretonne, tpi'un mou10 Août, à-Mme Cloirec, pour travaux ques scolaires (pourdonneraux bles. travaux aux bâtiments scolaires el com- des employé.» de mairie fut augmenté de vement de solidarité fasse taire tout dissenà exécutei nie Ellé, n" 11 ; enfants du peuple plus de faciUn peu de patience, que diable ! Chaque munaux, etc. 550 francs et que la part conliibulive de timent ; le bureau a donné re.\emple. y Octobre, à M. Marain, pour travaux lités «le s'instruire) 4(10 La lettre suivante vient d'être adressée chose à son temps. à exécuter rue Leuriou. A ce propos, nous signalons que le l)ud- la commune pour l'assistance médicale aux élus du département, sénateurs, dépuDons quelques mois s'ouvrira la période Nous avons fait constater par deux léTotal gratuite lut piesque doublée. D'ailleurs 4.000 fr. gel additionnel ne prévoit aucun crédit tés, conseillers généraux, conseillers d'armoins la teneur de ces arrêtés. Notre inJe serais heureux si Monsieur Le Louédec, électorale pourlerenouvelloinent du mandat pour l'enlèvement des boues. Or, le crédit ,'exercice 1909 se serait quand môme soldé rondissements : des Conseillers généraux. vestigation nous a fait découvrir que la maniant les chiflres plus habilement que )ar un excédent de recettes puisque re.x « La •< Ligue de Défen.se des Intérêts de La saison sera alors aux réunions publi- de 12(X) fr. inscrit au budget primitif est formule d'arrêté venant immédiatement moi-même pouvait me démontrer où il a cèdent constaté est de 7.448 fr. 07. Mais Brest el de la région » vous adresse sons ce, après l'arrêté relatif à l'immeuble Le puisé le reliquat de 5.919 fr. 25 qu'il consi- ques et coulradictoires cl M. Courtier déjà épuisé, et d'ici la fin de l'année il sera ors de l'établissement du budget, il était pli, le texte de la lettre adressée, par ses pourra, si le cœur lui en dit, leprendre la dû à M"" Raoulas plus de 600 francs. I l Borgne porte un arrêté, daté du S octobre dère comme disponible. nécessaire de prévoir des recettes au moins soins, aux maires de toutes les coinnuiiies conversation où il l'aura, d'ici là, laissée. el établi sur pétition en date du octobre, faudra pourtant bien qu'elle soit payée Je maintiens ce que j'ai dit au Conseil du Finistère. faite par M. Marzin, entrepreneur, pour municipal : « à savoir que toutes les autres Pour l'heure, qu'il nous explique par quel Comment? Par le vote d'un nouveau cen- égales aux dépenses. Le comité, dans sa dernière réunion, a travaux à exécuter rue Leuriou. Celte page dépensesétaient engagées. » procédé magique il a pu transformer le time, parbleu 1 puisqu'il n'y a plus de réA l'exercice 1911 figure une imposition décider d'organiser, à Brest, pour le diniiina été barrée d'une grande croix et annulée reli(iu(il nel disponible de .'>.91'.) fr. 21 que lit alors, en admettant (jue je prenne à serve disponible. de 1 c. 30 ayant produit la somme de che 27 octobre, au matin, un grand meetinj? en conséquence. mon compte ces 4.000 fr. dont il est parlé je lui ai laissé, en un déficit global de Signalons également que les 308 francs 700 fr. G5 el qui se rattache à l'augmenta- de protestation auquel il vous prie tout En tournant le leuillet, on constate que plus haut, y a-t-il oui ou non déficit laissé "12.247 fr. 75 ? que le conseil avotésau budgelndditionnel tion très légère que (jnelques crédits. Le parlicnlièrenicnt d'assister. Il fait un pr<"iJ. LU LOUIÎDKC, la formule suivante a été employée pour par Monsieur Le Louédec. pour l'envoi des pompiers à Lesneven ne iroduit de cette imposition se retrouve sant appel pour que vous agissiez vousla rédaction d'un arrêté daté du 10 août Voila ce (ju'il faut que les contriijuables gaiement dans l'excédent disponible de mêmes auprès des élus des communes de figurent plus sur ce budget. M. Courtier comme suite à la pétition faite par Mme s^jchent. votre canton, pour qu'ils viennent nomU d'c.xercice. s'est donc permis do modifier à sa guise Cloarec en date du 7 aoAt. Voilà ce ((u'ils voudraient probablement Vient à nouveau, à la page suivante, la savoir |aussi : C'est le geste que fera Monce queses conseillers avaient volé. RetranQuant au budget primitif de 1912, il se breux, euxaussi, assister ù cette munifestapétition de M. Marzin et, cette fois, l'arrêté sieur le Député. cher, supprimer, modifier, tout lui est per- trouve grevé d'une imposition de 5 c. 70, tioii pour ila ^défense des intérêts primordiaux de la région ». est daté du !/ octobre, non plus du Nul n'ignore qu'il a acheté pour l'agranmis; le vote du conseil n'est pour lui que devant produire la somme de 3.100 francs Le Comité est en pourparlers avec des 8 octobre. dissement du cimetière 882 mètres earrésde de pure forme. Est-ce ùdire pour cela que Cette imposition est la résultante de la parlementaires pour ce grand meeting, ipii M. Courtier soutiendra-t-il, après cela, terrain de plus qu'il n'y était autorisé. Ces les 308 fr. n'aient pas été payés ? Que décision prise par l'ancien conseil muni- .sera une des inanifeslation les plus impoque l'autorisation de construire accordée 882 mètres, il les a laissés derrière te mur nenni ! Ils onl été payés sur un chapitre cipal d'allouer des fournitures gratuites à santes (pii auront eu lieu dans In ville de à Mme Cloirec a été accordée réritable- neuf qu'il a fait construire, ils sont inutilisaSous ce titre, l'Echo de Bretagne a quelconque du budget primitif de 1912. tous les élèves de la commune fréquentant Brest. ment le 10 août ? Tout le monde sera de bles et nous coûtent 1.764 fr. Qui va payer Le Secrétaire, notre avis en pensant qu'elle ne l'a été la note ? La Ville ! à moins que Monsieur Le démontré à .ses lecteurs, dans plu.sieurs C'est un procédé qui n'est pas régulier el les écoles publiques, et pour lesquelles un E. DELPEI.NT. (ju'après le 1"' octobre. E l nous avons, Louédec veuille les acheter, je les lui ven- numéros, quels sont les procédés instaurés sur lequel nous attirons l'allention de l'ad- crédit de 3.(KX) fiancs a été voté. Celle nous le répétons, de bonnes raisons pour drai sur la base de 1 fr. 50 le mètre carré, à la mairie de Quimperlé depuis que les ministration. décision de l'ancien c(>nseil municipal du S y n d i c a t do.s U n s n i (irois croire que l'autorisation accordée à Mme soit 0 fr. 50 de perte. intérêts communaux ont été confiés, par L'opinion de nos compatriotes sur les honore et il ne se trouvera personne pour du r n r r o u d U N o m c i i l d e UrcNl Le Borgne ne lui a été délivrée également Voilà ce que j'avais à dire en réponse aux .surprise, au conseil municipal que dirige jualilés d'administration de M. Courtier en blrtmer. a u sujcl du d«<parl do r K s c a d r c . après le I " octobre, à la suite de l'incident allégations contenues dans la .sommation. si bien le maître absolu Courtier. est déjà laite. Si .M. Courtier lui-même Avant de terminer, nous tenons à asLe syndicat du commerce de liquides en soulevé par VEcho de Bretagne. Je ne veux pas engager de polémique. J'ai Le comble, on le sait, a été poussé par s'obstine à ne pasvouloir reconnaître que surer nos lecteurs que tous les chiffres ci- gros de l'arrondissement de Brest, réunis en autre chose à faire que d'écrire des articles notre saint homme de Maire, en séance du e déficit dans lequel se trouvent les tleux dessus sont absolument sincères et vérita- assemblée générale le 10 octobre 1912 : de journaux. J'ai attaqué en réunion publiConsidérant le tort considérable (causé ù que l'administration de M. Le Louédec. Je Conseil municipal — et l'Union Agricole judgels qu'il a élaborés sont imputables bles. Que celui qui en doute aille se renl'ai prié d'y assister. Il m'a répondu que, lui a fait chorus en forçent même la noie à lui même, les contribuables Quimperlois seigner à la Mairie de (Juimperlé. S'il est Brest et ù .sa banlieue par le départ de l'espuisque je n'avais pas de mandat, il n'avait — jusqu'à prétendre que M. Le Louédec ont compris, par contre, <jue la faute en de bonne foi, il devra ivconnullre ({ue la cadre pour la Méditerranée ; Considérant que si l'on doit s'incliner par ui avait légué les finances de la commune incombe à lui seul avec l'assentiment de commune a perdu en M. Le Louédec un Ainsi que nous l'avons annoncé dans pas de compte k me rendre. Eh bien ! mainabnégation patriotique devant une mesur." tenant, j'ai un mandat et j'ai des comptes à dans une situation obérée, alors que le son conseil municipal. excellent admini.stral.eur. notre dernier numéro, M. Courtier nous a rendre. Qu'il provoque une réunion publi- dernier budget relevant de l'administraPuisque M. Courtier a cherché à faire La difiérence entre la siluation dans dictée |)ar des raisons d'ordre supérieur, adressé, avec prière d'insérer, une copie de l'Etat de son côté ne saurait se dérober au que et contradictoire où il pourra m'atta- tion de M. Le Louédec s'est soldé par un msser M. Le Louédec et ses collaborateurs aquelle M. Le Louédec a trouvé les fi- devoir d'indemniser, dans lu mesure ou cela la lettre qu'il a fait publier dans l'Union quer. Je ne l'imiterai pas : j'irai lui répondre reliquat disponible de 5.91^ fr. 21. e l'ancien con.seil municipal pour de nances de la ville en 1904 et celle dans est possible, les Intérêts de Brest et de !a Agricole du 17 courant. Celte lettre ne et me justifier devant mes électeui-s. M. Courtier, dans un but qu'il n'avouera mauvais administrateurs, il nous a paru laquelle il les a léguées à ses successeurs Bretagne si gravement lésés el sacrifiés aux nous est parvenue que par le courrier de Je l'attends. 10 heures, vendredi dernier, au moment Recevez, Monsieur le Gérant, mes jamais, avait pris comme jioint de départ intére.ssanl de mettre sous les yeux des en i y i 2 accuse une économie de 11.4O5f.05, intérêts de la France ; de son budget additionnel la somme, de contribuables le résultat de tousies budgets réalisée en huit ans. Il avait trouvé un déConsidérant : 1° que dépuis de longues 011 nous allions mettre sous presse, el, salutations. 21.301 fr. ati, montant des«re.stes à payer» ui onl été gérés par eux. «nuées, Bresl réclame U réalisation, dans A. CoVRTIEH. ficit ; il lai.sse xine situation prospère. pour cette raison, nous avions dû en renque, parviennent chaque jour du théâtre de pi. Le Allôh I Allôh I Il S I LE PAIN CHER I Ligue de Difense des Intérêts généraux de Brest & de la Région A propos falionement Escamotage et Gaspil age . à la Mairie de Çuimperli Uno Lettre de M. Courtier son a d m i r a b l e i-ade, de grands travaux d'où tillage q u i l u i p e r m e t t r o n t de j o u e r 1er rôle de g r a n d p o r t européen auquel la nature l'appelle ; •2» Que les p r o p o r t i o n s croissantes en vue de la vitesse des paquebots, imposent Brest comme le seul p o r t français capable de sauvegarder nos intérêts m a r i t i m e s et commerciaux ; 3° Que, envisageant la question à ce p o i n t de vue, les intérêts généraux de la France se confondent avec ceux de Brest et de la Bretagne ; 4" Enfin, qu'au m o m e n t ou l ' o n sacrifie d'un côté Brest et la Bretagne à l'intérêt nat i o n a l , on ne d o i t pas de l'autre, s'arrêter aux intérêts p a r t i c u l i e r s q u i se sont opposés j u s q u ' i c i à l'œuvre nationale et p a t r i o t i q u e de Brest transatlantique : Emet le v i c u que le Gouvernement réclame p r o m p t e m e n t aux Chambres les crédits né cessaires à l'exécution des premiers travaux réclamés p o u r le p o r t de Brest et à la rcfec t i o n de la ligne de Paris à Brest. Décide de transmettre la présente dëlibé r a t i o n à la Chambre de Commerce et au i : o m i t é de défense des intérêts généraux de Brest et de la région, q u i seront chargés de les faire valoir près des p o u v o i r s p u b l i c A G R i n i L T U R K l.a situation agricole Bonne température d'automne, bien q u ' u n pi'u pr(^uiaturément froide. Les travaux des i liamps se poursuivent activement et dans de bonnes conditions. La c u l t u r e se hâte d'eflcctuer labours et semailles ; i l en résulte que les battages sont un peu négligés et que les marchés sont peu approvisionnés. Aussi cette semaine, les cours d u blé ont subi une hausse que r i e n ne paraissait j u s t i f i e r : on a a t t e i n t , à Paris, les cours de 2t< à 29 fr. 75. Ces j)rix sont évidemment exagérés, sur lotit si l'on lient compte des statistiques récemment publiées par le ministère de l'.V g r i c u l t u r e , q u i nous affirme que la France a r o f o l t é , celte année, assez de blé p o u r suffire à sa consommation. I l y a donc lieu de pens(!r que l'on reviendra aux cours de à •27 flanc s, dès que la c u l t u r e aura un peu mieux approvisionné les marchés. I.a coupe et la rentrée des regains, l'arra lachage des betteraves et des pommes de tiTi-e ont été favorisés par le beau temps. I l se confirme que la récolte des pommes de terre est parliciilièrement abondante, mais l'on craint une mauvaise conservation ; c'est i;e q u i explique le peu d'empressement des acheteurs ; les marchés sont à peu près nuls et les cours restent côtés très bas, la bol lande d u Gùtinais 95 francs les l.tMKl kilos i f i i d u s ; la early rose GO à 05 fr. départ ; la Heauvais 15 à r)5 fr. départ. I.e N o r d et l'Ouest sont t o u j o u r s abon d a m m e i i l pourvus en pommes à cidre, et les très bas p r i x 18 à 19 fr. les 1.000 kilos [ua tiqiiés la semaine passée ont a t t i r é quelques ariieteiirs. On traite de 24 à 28 fr. en SeineInférieure ; 29 à 32 fr. dans l'Eure et j u s q u ' à 42 fr. dans la vallée d'Auge. Les vendanges se t e r m i n e n t avec d'autant plus d'activité que l'on redoute les gelées. Le .Midi a eu une bonne et belle récolte ; partout ailleurs on a généralement lieu d'être satisfait ; les vins seront fragiles et d'un taible degré alcoolique. On traite dans le Midi de 18 à 2:{ fr. l'hectolitre. GEORGES BONNEFOY. Informations Militaires I.e c o n t i n g e n t de 1 9 1 Le nombre des jeunes gens q u i ont été incorporés s'élève à 230.000, en augmentation de lO.WJO sur le contingent de 191J. Les subdivisions de région où i l y a une augmentation notable d'appelés s»nt les suivantes : .Marseille, 503 ; Seine, 2' bureau, ;i97 ; G u i i i g a m p , 394 ; Saint-Omer, 360 ; la Hoche-sur-Yon, 352 ; Bennes, 345 ; L i l l e , 343; Seine, 1 " bureau, 338 ; Brive, 263 ; Nantes, 203. Par contre, i l y a d i m i n u t i o n dans les subdivisions suivantes : le Havre, 193 ; Ulois, 145 ; Mayenne, 130 ; .Nevers, 108. Si l'on examine le tableau des appelés par r é g i o n , on constate que toutes les régions ont un nombre d'appelés plus considérable en 1912, sauf la .'{' région, q u i est en d i m i n u t i o n de 89 unités. Les 218.000 hommes q u i représentent le contingent du service armé, déduction faite de 2.000 hommes passés à la marine, ont été répartis de la façon suivante : Dans l'infanterie, y c o m p r i s l'infanterie coloniale, 150.840, au lien de 143.135 en 1911; Dans la cavalerie, 20.855, au lieu de 18.495 en 1911 ; Dans l'artillerie 32.200, au lieu de 32.7(15 en 1911 ; Dans le génie, 0.,'570, au lieu de 5.075 en 1911; Dans les troupes de l'aéronautique m i l i taire, 70<i ; Dans le train des équipages 4.405, au lieu •le 5.345 en 1911. iVouvelles Markimes L n i r é e du port de Bénodet Les navigateurs sont informés que la bouée sphéro-conique peinte en rouge, surmontée d'un voyant conique, du Coq de Bénodet, d o n t un précédent avis a annoncé la d i s p a r i t i o n accidentelle, vient d'être remplacée. Lilloral de PenmarcMi Les navigateurs sont informés que la bouée à fuseau peinte en n o i r avec voyant c y l i n d r i q u e de Basse Spinec, q u i avait été relevée p o u r réparations comme un précédent avis l'a annoncé, vient d'être remise • n place. CKR8NPERÉ610HâL et Locale Postes et Télégraphes M . i'édeneau, coniinis des postes i y u i n i p e r , est nommé commis principal i Vannes. M m e (Jilet, receTen.se des postes i Clohars-Carnoët, esl nommée dame em ployée ù Lorient, sur .sa demande. O U \ m P E R L É .A l a m a i s o n d ' u i - r è l . A la dernière heure nous apprenons que M. A c h i l l e L o i r e Agé de 53 ans, gardien-chef de la maison d'arrêt de Qnimperlé vient d ' o b t e n i r sa mise à la retraite après 31 ans et 0 mois de bons et loyaux services tant m i l i t a i r e s que civils M. L o i r e , q u o i q u e Champenois d ' o r i g i n e était devenu Quimperlois de cœur et ses premiers mots en apprenant, ce m a l i n , q u ' i l allait nous q u i t t e r pour aller v i v r e sa ino deste retraite aux environs de Clairvaux son pays natal furent : <> J'aimais bien et j e re g r e t t e r a i la bonne petite ville de Quiniperlé q u ' u n heureux hasard me désigna p o u r mon p r e m i e r et dernier poste de gardien-chef le I " octobre 1901 ». Depuis cette époque, malgré un extérieur un peu rude (juc l u i imposaient ses fonc lions, i l cachait u n excellent cœur q u i ne" l u i a valu que des sympathies même auprès de ses pensionnaires passagers. F o n c t i o n n a i r e intègre dans toute l'accep tion du m o t et j u s t e m e n t apprécié de ses chefs a d i n i n i s t r a l i f s e l j i i d i c i a i r e s , i l laissera 56, rue Kéréon, QUIMPER tant auprès d'eux qu'auprès de nos concitoyens le m e i l l e u r souvenir. h'Echo de. Hrelmjnc s'associe aux per T o u s le.s \ e n d r e d t s , COIVCAKiXE.VU sonnes de .M. et -M"" L o i r e p o u r leur sou 2, QUAI D'AIGUILLON, 2 haiter une bonne et longue retraite. JOHN CROSSLEY Chirurgien-Dentiste (PUKS M.M. I J e a u f r è r e et ( à i i b u u r g , p h a r m a ciens, préviennent leur clientèle qu'à p a r t i r du 2 7 o c t o b r e leurs pharmacies seront fermées à t o u r de rôle, les Dimancht-s cl jours fériés, de m i d i j u s q u ' a u lendemain matin. A v i s . — La Toussaint tombant cette année un vendredi, le marché hebdomadaire se tiendra le lendemain samedi 2 novembre. _ . V e e i d e n t m o r t e l . — Vendredi soir, un échafaudage installé pour la restauration de la maison Peyron. q u a i Urizeux. a brusquement cédé sous le poids de trois personnes : M.M. A u t l r é d o u , maître couvreur. Chasset u i l i e r et C o u r i e r , couvreurs. Cet accident est dti à la r u p t u r e d'une coi-de. M. G o u r i e r , q u i se t r o u v a i t en face de l'embrasure d'une fenêtre eut le temps de s'y accrocher. Ouant M.M. Aufirédou et Chassetuilier ils vinrent s'abattre m r le sol de la cour d'une hauteur de 10 m. 50. .M. .VulVrcdou en fut q u i t t e avec de m u l t i ples contusions et une fracture de l'épaule. Son état n'insjiire aucune i n q u i é t u d e , y u a n t à M. Chasseluillier, i l fut tué |)Oiir ainsi dire sur le coup. Ce dernier était âgé de 04 ans. Les obsèques ont eu lieu, dimanche a p r è s - m i d i , au m i l i e u d'une nombreuse assistance. C o n t r a i n t e . — Le nommé I l a m o n "V'ves Louis, âgé de 25 ans, maçon, q u i avait à p u r g e r une condamnation prononcée contre l u i , par défaut, p o u r i n f r a c t i o n à la police des chemins de fer, a été arrêté par les gendarmes en vertu d'une c o n t i a i n t e jiar corps et c o n d u i t à la maison d'arrêt pour y être détenu pendant 10 j o u r s . E t a t - C i v i l . — A'aissfincfs. — Néant. Publicalians de mariages. — Félix Grévellec, chaudronnier à r . \ r s e n a l de L o r i e n t et Maria-Yvonne Guégan, couturière à Qnimperlé à Quimperlé. Mariages. — René-Gabriel Le Roy et Jeanne-Louise Guéroué, s. p. à Quimperlé. Décès. — A u g u s t i n e - M a r i e Rafllé, 41 ans, bouchère, veuve de Yves Le Gloanec, 23, rue .Mellac. — A n o n y m e B o u r h i s , rue Bisson. — Benoit-Auguste Chasseluillier, 04 ans, couv r e u r , époux de Marie Le Gofi, r o u t e d u Faouï't. — René Guéroué, 47 ans, manœuvre, 3, rue de l ' A b a t t o i r . — M a t h u r i n F r a n çois Kervarec, 50 ans, cultivateur, époux de Marie-Anne P>ioual,2 Kerenforêt. — JosephJean-Louis Pelletier, 23 ans, cultivateur au Ouinquis. r U É . M É l L.\. - I>élil de eliassc. Samedi dernier, trois jeunes gens, d o n t l ' u n était armé d'une carabine, se livraient au plaisir de la chasse. Uune poule appartenant M. Even, de Kerlescouarn, leur servit de cible et fut tuée. Plainte ayanl élé portée contre eux, procè.s-verbal leur a été dressé jiour délit de chasse. iVIlZA.VO. — %'iolciices. — Dimanche après-midi, un sabotier de Pont-Scorfl', nomme Kervarrec Jean-Marie, qui travaille K e r g o u h i n , en Arzano, était couché dans une cabano quand s u r v i n t le n o m m é Courtet, de Croussenlon, q u i l u i réclama une somme de l frariC". Kervarrec ne pouvant la l u i emettrc Courtet se mit en devoir de dém o l i r sa cabane et il l u i lança un r o n d i n qui a t t e i g n i t à l'épaule gauche mais sans le blesser. Kervarrec a p o r t é plainte à la gendarmerie contre Courtet q u ' i l accuse en outre d'avoir proféré des menaces à son égard. i>élit d e c h a s s e . — -M. Guyonvarch, propriétaire au château d u Laz, a y a n l élé prévenu i)ue cin(( chasseurs avaient été aperçus chassant sur ses terres, a porté p l a i n t e c o n t r e eux à la gendarmerie q u i a ouvert une enquête. M O E L A . V . — E n t r e v o i s i n s . — La femme Colin, de Kerhuitaine, et sa voisine la femme Robet, de Kersécol, ne s'arrangent pas à merveille. Elles ont d'ailleurs un diflerend au sujet d'une somme de 5 francs. Un échange de mots aigre-doux, accompagné d'un crêpage de chignons a été le résultat de l e u r désaccord. La femme Colin a porté plainte à la gendarmerie. % o i d e p o n m i e s . — A y a n t été à ditlérentes reprises victimes v i c t i m e de vols de pommes M . Gouyec fJulien, de Kérsécol, a porté plainte à la gendarmerie contre une voisine sur laquelle ses soupçons s'étaient portés.Interrogée, cette femme nie les faits q u i l u i sont reprochés. E l u l - c i v i l d r .Wol'luii. .\aissanccs. Loarer Catherine. — Scavincr Olive-Marie-Louise. — Joliff Vyes-Atexandre. liri^'aiit IJlisa. — Le Delliou l'rancis-Josepti. - .Scaiiion KrançoisI.ouis. Le Culullic rieniuilette-Josépliine' — Garnier Auguste-François-Marie. - .lalTré/.ou Suzanne-Françoise. — .\n(lré C.Iémenoe Marie Anne. - Lozaclimcur C'.étinu-Marie-.losépliinc. Le I)(i!uf Gustave François-Louis. — Mallel .loSpph-Marie. - LozachiiiPur Yves-Marie. Bnlan François-Joseti. Mariages. Le l'ennec Josepli-.Marie et .Nogèrc Marie-Louise-Marie Jeanne. — Le Mestric PaulEniile-Désiré et Pénelliou Aiine-Marie Joséphinc. — Hriec l'ierreJean et LelSourtiis Murie-.losèplie l.éonie. Nicolas Knné, V mois. — .Nicolas doute ne donnera pas lieu au.v complications ternntionates si redoutées au début de la crise. Pour toutes ces raisons l'attitude de notre marché a donc été aussi satisfaisant que possible éi/ard aux circonstances, un moment même, pouvait craindre que la reprise ne fut trop vive hdtive ce qui eut été dangereux par ta suite, heu Compter sur ses amis, sur ses parents, sur reusement on s'est calmé, ce qui a permis de bien l'Ktat, pour assurer le pain de ses vieux consolider les avantages acquis. Comme il vient d'i'tre dit, c'est sur te marche au jours est le comble de l'imprévoyance. Bien plus avisés sont ceux qui s'adressent à l'Ascomptant, qu'on a constate la meilleure fermeté .\otons parmi les titres en excellentes dispositions surance sur la Vie. tes actions de l'Industrielle l'oneière, libérées seu Maisquelle que soit la combinaison choiie tement de moitié qui sont en progrcs à Chl,^. il importe de ne s'adresser qu'à une Société Il esl à remarquer que tes fluctuations récentes lirésentant des f,'aranUes exceptionnelles de du marché n'ont nullement affecté ces titres dont solvabililti. Ati premier rang de ces Sociétés les cours n'ont pas été, ces derniers temps, infé se place la C o m p a g n i e d ' A s s u r a n c e s rieurs à G'.iOfr. G é n é r a l e s s u r la V i e (entreprise privée .1 la Ilourse de Lille, si te compartiment d' eharbonnaijes n'a pu échapper à ta bourrasque assujettie au contrôle de l'Etat;, 87, rue de qui s'esl abattue sur te marcla' de Paris, du moins Hiclielieu, à Paris, fondée en 1819, la plus on eonslale que les actions Vendin tei Hethune ont ancienne des compagnies françaises et dont été résistantes, .\otons quelques avancements dans le Fonds de Garantie est de 8 3 5 m i l l i o n s les travan.v de .turface. te monlai/e de ta machine entièrement rc^alisés, dépassant de 2 B 0 m i l d'extraction, par exemple, est termine ainsi que lions celui de toute autre Compagnie francelui de la carcasse de t'appareil ventilateur et la machine à vapeur qui actionnera celui-ci. Pour i.aise. Fnvoi g r a t u i t de notices et tarifs sur lemande adressi^e à M. C O I X I O U , agent assurer le complet fonctionnement de la machini' [irincipal, I, rue des licoles, Quimperlé. d'extraction, il ne resie plus qu'à installer les lu gauteries qu'elle réclame cl pour mettre en état lie service l'appareil ventilaleur, il ng a plus qu'a poser tes tugaulcries d'amené île rapeur et d'écliap pement. ces deux installations sont menées aussi rapidement i/uc possible. Itappclons que lu 'souscription de l'emprunt de 32.000 obligations, de 500 francs I 0 0 net hg Chaque boUc 1 kilogramme, brut ou pothèquc de ta C.ic du Chemin de fer des .\lpes octobre l'Jli. iiel, S U C R E D E L U . \ E C H A N T E N A Y ; liernoises eesl /i.ré au L'émission esl faite par le ('.redit français, /< chaque boite 1 k i l o g r a m m e , brut ou net, Société centrale des Danijues de Province et diverse S U C R E S C I É , . R A N G É , C H A N T E N A Y , banques en France el à l'étranger. Il est pi'ul'ondéinciil douloureux de songei' « Ces ohlii/ations rapporteront un intérêt annuel lotis ceux affligés (te hernies ; niais il est plus carton cuir, boites brunes (<{enre P A R I S ) de 20 fr. nel de tous Impôts uctuels .s(i/.<.sf.< et pénible, encore de constater combien tous ces contient un ticket prime. français ptigable pur semestres tes :)0 juin el :U braves ffeiis sont si souvent martyrisés, écor30 tickets prime donnent droit à 1 kilo- décembre de chaque aunée au cours moijcn du cliés à vif par (le véritables bandages de torture ; hange .fur ta suisse le jour de l'échéance au siiye les aiiln.'s voient leur hernie se déveloiiper et g r a m m e , brut ou net S U C R E C H A N •ciutrc (les proportions énormes, ••iocial à Iterne dans les éhililisscment.'' énielleiir TENAY. l'oiiniiioi continuer ainsi, pourquoi n'appelezet dans tes hiinqucs ai/rées par la compia/nie. I n Le S U C R E C H A N T E N A Y e.st le plus premier coupon intercataire de deux mois sera voiis pas à votre aide le renommé spécialiste M. ijlaser, de Paris. C'est lui l'innovateur d'un :era détaché te 31 Déeemtire l'JI2. blanc, le plus pur, sucre le mieux ! nouvel ;ipp;u'eil pour le traitenient des hernies, L'I-Uat de llcrne te plus riche de toute ta .'iuisst loO l'ois plus el'licace ijuc ceu.x existant à ce et dont la fortune (dteint deux millions et demi ga ranlit (loi du Ki juillet 1012) le paiement des cou- jour. Sans sous-cuissc cl sans ressort il se pons jusqu'à remboursement gaijé pur une h!i[w- l>urte jcjiir cl nuit, sans gène ni interruption de thi'ique de second rang e.cetusive sur toute la iujne travail il est le plus solide. l''«ite K é p i i b l i c n i n e . — L'Union Agricole le l'rulimjcn à llrigue et ses riccessoires. l'ourciuoi alors continuez-vous à vous servir Au taux d'émission le placemcnl re.<sorl à I.IO le ces mauvais bandages puis<|ue, vous pouvez nous reproche amèrement de ne n'avoir pas publié le compte-rendu de la manifestation 0 0 net d'imp'lt net de hais impôts sons conipler ta vous procurer l'appareil de M. Glaser, dont la supériorité a élé reconnue par les sonmiilés républicaine q u i a eu lieu à ChAteaulin, le prime de remboursement. On souscrit dès mainte nant, en l'naice à Paris : au Crédit /•'ranctiis, iy médicales. Les hernies les plus tenaces s'incti13 courant, sous la présidence de M. Le rue rue de Chalcaudun. à la .'Société centrale de nent el s'cn'acenl devant son imposante efficaBail. Sans l'abondance des matières nous banques de Province, au Crédit l'one.ier d'Algérie cité. l'eussions fait. Maintenant c'est un peu l a r d . et de Tunisie, •/.'>' rue Camhon. à la banque .Suis l.es noms de pursoniKîs guéries ci-après, puEn t o u t cas, cette fête nous l'avions an- et Françidse. 20 rue Lafai/elle. .1 .\iincg à la bliés avec autorisation, prouvent d'une façon .Société .\ancéienne de Crédit industriel et de d, ibsoliie cl irrcfuable, ce i|ue nous affirmons cinoncée dans n o t r e n u m é r o d u 4 c o u r a n t , et, par n o t r e p u b l i c i t é , nous avons p o u r n o t r e pots, place Saint-.lean. Les publications exii/ées dessus pur la loi oui été faites dans le ISulletin aes M. Lorsel à X'illeneuve .St-Vislre, parBarbonne p a r t c o n t r i b u é à son o r g a n i s a t i o n , nonces téi/ates el oldii/ahiires le .V'J seidembn lyel (Marne). L'Union Agricole peut-ells en dire autant dernier. St. Millet jardinier à .N'anteau sur Lunain, Nous avons consulté la collection des derjiar .N'enioui's (."seiiie-ct-Marne). Z,'Informatciir Financier, 16. liue Drouot, Paris niers numéros de ce j o u r n a l et n'y avons M. Bevé garde-cliamptMre à Bernières, par les s^i'^m^'xaEMEsaamtÊÊÊaiimi rien trouvé. ,\ndetys (Ftirc). M. Beaiifrère a encore |)erdu là une bonne I.e Spéciali.ite M. flayer Aufîtisle à Torié (Sartlie). CATTBT, Pli"' , M. I.ebouc lils, chemin Vicinal de Change à occasion de se taire. ,Ruo d'OrcbieB,& aval (.Mayennne). I St-Amand.lai-EauK (tin), »nvoi« gratlt le mojen I I rndlvaldi'!'ctl«biàrrai*st'ri'iiqnelqac> j o n r a I Mme t.aigue, à St-Solen parUinan (Coles-duI (le Douleurs, retard, suppressions ou toutes | .Nord). lirrôeularilcs inquiétantes des époques. (Lui écrire ie cas en confiance). Louis lils Cantonnier à Sl-r.illes(llle-et-Vilaine. M. Pouli<|uen .Main, A St-Thégonnec (Finistère). Audience du '22 octobre D'apr("s ces guérisons vous voyez, lecteurs el Les braconniers dont les noms suivent lectrices, soutirant de hernies, qu'il ne faut pas ont été condamnés p o u r pêche avec engins infondre la haute science de M. Glaser avec prohibés la n u i t : Le Reste à 30 francs certains charlatans et commis voyageurs justes d'amende ; Gannat à 10 amendes de 30 fr. ; bons à vous vendre un objet de peu de valeur à Le NoOn à 5 amendes de 30 francs ; Pelleter les prix formidables. .N' achetezplus de bandages IL f i I L U U 2 amendes de 30 francs ; Lucas à une avant d'avoir vu M. Glaser dont le dévouement est apprécié de tous, et (jui vous recevra luiamende de 30 francs ; Cléro à 15 amendes Un écliaiiiii;on dt la fsutiri Cua même de 8 II. du malin à -1 h. du soir à : de 30 francs ; Gournay à 12 amendes de sralis PO.M -I,'.\BBI', le 7 .Novembre. HOtel du Lion30 francs ; P o u l m a r c h à 10 amendes de Peut être 'ionni dani da cafi, d'Or. 30 francs ; Richard à 10 amendes de 30 fr. ; •Ut !hé, Jii hil, de la liqueur, de (JUIMPEHLF, le 8, H(itelldu Lion-d'Or; la bière, de l'eau Oi de la nourBouédec Louis à 4 amendes de 30 francs ; (^)UIMPi:n, le 9. Ilètel de l'Kpée. riture, sans que le buveur ail Bof'dec Guillaume à 4 amendes de30 francs; besoin de le savoir. BlU-ST, les 10, 11, H()tel de France. G u i l l o u à 3 amendes de 30 francs ; Uoulben Cll.\TF.\i:i.l.\', le jeudi U, Grand'Maison. UtiitMiji iu untriUtoiu I 12 amendes de 30 francs ; Goalec à 3 amenUOL'.MINF.NL'Z, le L"), ll(>tel de Fiance. i.a PuiiUre CO/.A produit La brochure explicative est envoyée contre des de .'iO francs ; Goalabré à 11 amendes de reflet men'cllleux de dégoûter 1 ivroKiic de l'alcool iblère, vin, franc en timbres adressés à M. GLASKH, 30 francs ; Naviner à G amendes de 30 fr.; obsluthe, fie.) I.a poudre Coin Boulevard Sébaslopol, 38, Paris. Maison princ opère «I silencieusement et si Le Moigne à 3 amendes de 30 francs ; Pa.spale à Courbevoie. sftromenl (jue la femme, la sœur 011 la lille île l'inli'nessé cot à .'! amendes de 30 francs ; Bleuzcn à 50 peut lu lui donner .i son Insu et amendes de 30 francs ; Le Dreinge à H sous qu'il ait jamais iie.soiD de iwivcir ce 'l'.ii u c.aisé le clianamendes de 30 francs; Le M o i n g à 5 amendes (.-///i.W/.VS DE EER DE L'ETAT Rcmcnt. de 30 francs ; T a n g u y à une amende do 30 I.a loiKtrc COZA u récouclf r a n c s ; Hervé à une amende de 30 francs; IIA des milliers de familles, 'ÈTE DE LA TOCSSALXT .•>ii'.iv6 des millicrt; d'hommes Coui'flic à une amende de 50 francs r t N i do In lioiile et du d^^shonncur colas Maria-Anne à une amende de 30 francs. el eii a fait des clloyt^ns vi^-oudes l!i'n<i.es d'.-iiïalrc capnble"-; elle a Prolonijation de la durée Pour pêche à l'aide djiine ligne noltante, plus d'un jeune homme >ur le droit ciiede validité des billets à prix réduits la n u i t , Bouzec Jacques s'en tire avec deux iirolo!i;-é p us un années m!p du lonhiur In vie de beaucoup de personnes. tiancs d'amende, soit au total 139 condam1 l'occasion de la Féte de la Toussaint, les couU Iiiuisoii oi:i pjssùd.: Cftt.: iii. i-vt lll< u.;. iioudri; pons de retour des billels dits de Bains de .Ver nations r a i ) p o r t a n t a u x agents vcrbalisateurs envoie grolultemonl à tous ccux qui en font la valables normalement 2 el 4 jours), d'Excursion dtnijiidc an livre de renorciem«i.l.i v; ur. C-i-lian780 francs. llllpii. Cnrrespondsnce en Français. •lu .Vont Saint-.Michet el à Uuelgoal, délivrés du La durée de la contrainte p a r c o r i ) s a clé '6 au 31 oclot>re. ainsi que les coupons de retour M. Cii.vjii.KS l..\I.Nriv, ordinaires ( Ç,rondes lignes), délivrés d partir du fixée du m i n i m u m 8 j o u r s à 38 j o u r s . il la Vt:rrcne de l'ortieux (Vo-'^yi» crlt : '6 octobre, par toutes tes adres du Réseau de l'Etat — Flagrant délit. — Pi>éventi d'outrages à ti'jnes de Normandie el tfe Bretagne), à destination \ otre inervi illiHi.v C()/.ii n d<'');oul( iin.plil^ agent G u i l l o u et d'ivresse, Goraguer Barment mon ml : 11 n'est plus du lout I lÙMlr. On le ce Réseau, seront valuljles jusqu'au 6 Novembre laisse trali -r piirtont des litres d'eau il n< thélémy, 31 ans, portefaix, .sans domicile inclusivement. les rosar.l s.MilenienI plu : c'est mtrvi'illoux. En outre, les billets d'aller el retour ordinaires, fixe, douze fois condamné, s'est vu i n l l i g e r Aussi je in jinpresse de voii lénioi(.:ncr toute ma ilélivrés par les gares du Réseau de l'Etat (lignes recoiin!iiss< iiici.', .'ilnsi (pie lu ilame de mon ainl. mois d'emprisonnement p o u r le délit d'où de Sormandiç el de Bretagne}, pour les gares des laquelle me charge de von icmercici-. Dlen des trages et 5 francs d'amende pour la contra personnes pourraient être lieun u^es, si elles conRéseau de l'État (liynes du Sud-Ouestj et d'Orléans naissaient cette merveilleuse poudre Oizn, mais ou réciproquement, auront leur durée de validité vention connexe d'ivresse. je vous promets d'en fiiire pari à toutes le-- purprolongée dans tes mêmes conditions que les billels soiines qui en auront besoin ". iniliqués ci-dessus. l: poiiilri Ccii lit gsrintli InoUintne. V i e n t de P a r a î t r e ! On trouve la poudre Coza d.Tus toutes les pharmacies et aux d6pAts Indiquas cl-dessous. Les ' A U D E L A i . E S Y E U X , poèmes de Ktnde (le M' P é a i i d e P o u U l l } , pharmaciens ne donne:.', paç d'^rhinUllons, mais Marc José de C l l A N T A L , chez E. F I G U I E R E donnent gratulteraent le livro d'attoslaUonB à Licencié en D r o i t , Notaire à ceux qui se présentent A leur pharmacie. Toute» et C " , éditeurs, 7, rue Corneille, Paris. Un Pont-Aven. demandes j.or la post-; .sont à envovcr dliectevol. in-18. Prix 3 fr. 5 0 . mcnt ù COZA HOU8E, De M. Marc José de Chantai on peut dire A V E N D R E q u ' i l est poète d'avenir, sans tomber dans le Wardoiir Sirasi, lOllOiiES 2874, «iigleUrn « L . \ I.OL'EIt banal c o m p l i m e n t d i s t r i b u é à l o i i l pro|>os Dépôts : Quimperlé. -- i'h.irmacle G. IKKULVL, 4, aux jeunes écrivains en vers. .M. de Chantai place Salat-Michel. a singulièrement fait des progrès depuis «loôlan. - Pharmacie B01IL.\Y que, t i m i d e et discret, il o l l r a i t a u p u b l i c sa Ateliers de Menuiserii, Cour i t Scierie petite plaquette : Dans les chemins e/facés. T.,OS M ; a l a c i i o s Sltut^N Cil l a V i l l e d e l*out-.\%'eii V i n t ensuite Sur les lientes du silence, éga- Aide toi, HOSPOHDE.V. Klal-clvil. t^aissances. — Le Saux Marie-Bernadette-I.ouiso. Le Roi Yves. — (iuernec Georgette-MargueritoElisabeth. — Lucien Yves-Marcel. Bacon Mnrie-.\nne-Françoise. — Evennou Marie-Fran çoi.sc. — Le Du Louis-Corentin-François. - Le Bourhis Joseph-Yves-Roger-Marcel. — Guill'ant Jean-Alai»-Arthur-Chi'istoplie. — Troadec Anne Marie. — Sinquin Jean-Marie-llenri. — Bénol S C A E K . — . \ c c i d e n l . — Les enfants linuna-Henriette-Marie. Tallec Sébastien Lessard, d u village de K e r j o , en Scaêr, gai Guillaume-Yves. — Peron Marie-Louisc-Berna d a i e i i l les vaches dans un champ, vendredi dette. — Troadec Maric-Josephine. ~ Bonnefoi dernier. T o u t - à - c o u p , l'une des bêles de Louis-François-Marie. Kerhervé Désiré-Mathurin Féli.x. Pérou Arinande-Lucie-Marie. venue furieuse, .s'élança sur les enfants e renver.sa le plus j e u n e d'entre eux, âgé de Bacon Louis-Yves. - Kerbiquel Marie-Louise. Mariages. — Saux limmanuel-Jean-Marie et 3 ans, q u i f u t bles.sé à la j o u e . Morvêy.en L'enfant, q u i avait p e r d u connaissance a Guernalec Marie-Perrine-Louise. élé transporté à Scaêr, où i l a reçu les soins Jean et Le Qihan Françoise-Marie-l.ouise. Dœuir Louis-Marie el Baccon Marie-Françoise du docteur Le L o n g . Dt-cès. — Gourvcllec Josepli û2 ans veuf de Marie-Anne. — Drod Marcel-Féli.x-François 11 mois. Plantée lean-Louis 58 ans époux de Marie-Jeanne Le Borgne. - Laz Marie-JosôpUe (>5 ans, épouse de Coroller François.— Guill'ant Marie-Heine-Françoise 17 ans. — Uuigou Marie Corenline f)8 ans, veuve de Laonet Mathurin. Iluiban Henri, 71 ans veuf de Thépault Marie Joseplie. — Cotonnec Jean •..'7 ans, époux de Postée Cliristophe-Jcau Diplômé de la Facullé de Médecine GouilTès Françoise. ?1 ans. de Paris Auguste, 2 ans. — 'fanguy Aune^Marie-Josèphe, •1 mois et demi. — Goui'lay Marie-.\nnc 14 ans. — Haslé François-Louis, 71 ans. — Fauglas Joseph-Marie, 70 ans. — Orvoiin Joseph-Marie, 27 ans. - t'avennec Théodore, ï nriis. — SoulTez Françoi.s-I.ouis, r>5 ans. I.e Pigueller MarieMarguerite, 43 ans. l.'llÔTKI. Cabinet ouvert de 9 I.E CI.INCIIE) heures à 4 heures C o n s e i l g é n é r a L — Le Conseil général l u Finistère est convoqué on session extra o r d i n a i r e p o u r le l u n d i 28 octobre, à 2 h, 30 de l'après-midi. \ ' o i c i les principales ques lions q u i sont à l ' o r d r e d u j o u r : Chemins de fer départementaux (S"' réseau) : p r o j e t d e convention et de cahier des charges ; — Cantonniers ; a u g m e n t a t i o n des salaires r é p a r t i t i o n d'une somme de 40.000 francs r e t r a i t é s ; — .\gents-voycrs : modifications au statut ; — Chemins vicinaux : l o i d u 12 mars 1880 ; p r o g r a m m e de 1913 ; — Prestations en nature : remplacement par des taxes vicinales ; — Emjjloyés de la préfeci'eclure et des sous-préfectures : établissement d'un s'atut ; voies et moyens financiers ; — Prison de M o r l a i x : a c q u i s i t i o n d'un i m i i i e u b l c ; déclaration d ' u t i l i t é p u b l i (pie ; — Sous-préfecture de Brest : grosses é p a r a t i o n s ; — S e c o u r s aux marin.s-pècheurs de Sainl-Guénolé-Peninarc'h, victimes de la tempête du 1"" octobre. \ é t é r a n s et S o n v e n i r F r a n v a i s . — C'est dimanche prochain, 27 octobre, que la 235' seciion des Vétérans célébrera sa fête annuelle. Le Comité compte l u i d o n n e r , cette année, iin retrain exceptionnel d'intérêt en g r o u p a n t dans celte manifestation p a t r i o t i q u e les médaillés de 1870-71, c'est-àdire tous ceux q u i , aux heures les plus douloureuses et les plus tragiques de n o t r e h i s t o i r e surent l'aire leur devoir. Ces derniers sont donc invités à se j o i n d r e aux Vétérans il figurer à leurs côtés dans toute l'exécution du programme. Lriiérison des Infirmités Sans Appareils, sans Opérations Nous rappelons à nos lecteurs que le docteur Salmon, directeur de l ' i n s l i t i i l o r t h o pédique de Canteleu-Lille (.Nord), consultera Q u i m p e r , I/olel de l'F.pée, l e l u n d i 2 8 o c t o b r e , les i)er.sonnes atteintes de Déviation* d u dos et des membres et de boiteries, scoliose, coxalgie, mal de L i t o l e raideur des membres , rhumatismes c h r o nique. La méthode du docteur S . \ L M O N supp r i m e opérations, corsets et appareils gênants et inutiles et guérit enfants et adultes. COVC.VU.XE.VU. - . X n i i f r a g e . - L u n d i m a l i n , veis sept heures, un f o r t coup de de vent a chaviré le bateau de pêche n» 1.034, patron Jatlrézic, de Pouldohan, dont .M. H e n r i Le Marié est a r m a t e u r . L'équipage a été sauvé par la barcpie d u patron Lozivit. Ligne N "1 de Quimper à Fouesnant A Bénodet (Hiver 1912-131 l - l - i - l - .A L L E R — 1 S'r.\T10N.s y 15 yiiiiiipcr. Gariil l'.i Ùiiiiiipcr. Ville '.I -ï.'. Ouimpi r. Ocln.i •foulindi Ijlandi, .'rolf,... '.1 .Moulin .1» l'uni ....... !l 4G U 51 ïv-C.li.s 10 «» l'icnvrn 10 lu Foueiiunt, liaul du hnur;; Le IVriiufl liénoilLl.pl. (Ieri:;;lisc __ 1 _ 1 _ 1 _ RETOUR ,3) 7 ... 7 4 7 S 7 '24 7 lit 7 30 7 _ir. 7 âT) s 7 8 -a STATIONS ninmlot, pl. <I.-1'K;;M>.' 1.0 l'crquel fouKnaiil,lNuit ilu Imuri;.. l'k'uvcn Tv-Gliis .Nfoulin (lu l'onl NMilin di 11 lindi, ùroN-.... Ouiiiipcr. Ociroi Oninipcr. Ville (Juinipcr, fi.uc .N.-lt. - L(> service• samedi. 4, 8 :15 2 7 1.5 -1 - , - 1 (S} 17 15 17 19 17 •2a 17 39 17 41; 17 51 18 18 10 1. 17 15 17 19 17 •23 17 .'19 17 40 17 51 18 ..„ 18 lo 18 -22 18 4U ' -- 1 -- 1 l6.. [i' 18 55 SUC HES CHAT^EAULIiM ilËSOAMESf Tribunal Correctionnel de Quimperlé 15 45 15 55 s ,".l 11; 4 19 U s 59 10 9 19 19 '.1 1; 16 16 19 26 9 ii 16 31 19 4'2 9 10 3li 19 40 9 3» 10 40 19 5ft ? el 8 1n'uni lieu • lUf te lement modeste mais déjà d'une, fortune '' ' plus solide. Puis ce fut Au souffle des vallées, t i t r e et i n s p i r a t i o n plus large. Enfin voici Ligne n- 1 bis, de Quimper à Bénudet Par delà les geux, un vrai volume, près de 200 pages d'une poésie vibrante, haussée à 1— 1 — 1 — 1 — ALLER — 1 - 1 ~ i - | tooles les émotions d u cœur et de la pensée. ST.VTIONS En trois parties, ce sont des suites de poè' . 1 ir. 1/• 15 Ouimpcr (Gare) mes d'une certaine envolée q u i s é d u i r o n t 17' l'J li» (Juimpcr (\'ille) y 23 17• '.'3 ( tuinipcr (Octroi)— sans n u l doute tous ceux q u i a i m e n t un 11 39 17 3U Moulin de la Lande (licolc. lyrisme à la fois virulent et p r o f o n d . 1;• 10 y 16 Moulin du l'ont !) 51 17' 51 Tv-Glas IS 10 Le D o c t e u r G E R A R D , le .'Spécialiste 10 10 Bénodet (Place de I I église). bien connu de Paris, Wi, Une de Maubeuge, L ' a b o n d a n c e des m a t i è r e s nous oblige 1- 1- 1- 1RETOUR l - l à r e n v o y e r à n o t r e p r o c h a i n n u m é r o l'autour (le lu MÉTHODE ORTHOSPLANCHNiQUC, la ueulu i)ui assure la cure radicale la p u b l i c a t i o n de nos deux i n t é r e s s a n t s ïjTATlO.N.S (le la H s n N I E s^.ns oi.'ération et la guérison fueilietons. 15 ir.. 15 Bénodel (Place de l'Eglise). on quelques jours et sans médicaments 7 31 10 1 •f y-Glas 3i» 10 U internes, des M a U d i e s de M a t r i c e , des Moulin du Pont •IC. Ki. Il) Moulin de la Lande (licole). M a l a d i e s d e l ' E s t o m a c e l des N e r f s , s •2 u;i 3? Ouiiiiper (Ociroi)— môme les plus ancii-nnos et les idus rebelles s 0 Ki1 30 Ouimper (Ville) à tout t r a i i f i n e n t et régime, donnera ses s lu 11! Oniniper (Gare) , Paris, lit Octobrc 1912. consiiltalioiis : .{près avoir pendant deii.v semaines été tr^s fnrL O R I I i N T , Manli l'i \ovenibie iement ulleint par tes événements que t'im sait, Uôlelde Bretagne. Ligne n- 2, de Lootudy à Pont-l'Abbé notre maretu^ a pu, en rette-ei, faire preuve de Q U I M P K R L i i , Veudredl I 5\ovtMiitendances nettement meitteures. Des ta première — I— I— IALLER — b r e , Ilôlel du Lion d'Or. séance, un mouvement de reprise s'est desssiné i/ui S'I'.\TI()NS (Si 1) (1) •,3) 10 51) 13 .. 18 15 s'est généralisé et accentué aux jours suivants. Lorludv-(;(ile....(l(7.. 8 -25 8 28 10 5:i 13 03 18 18 Loclud'y-Boin-K On a &té bien influencé d'ahord par ta fai;on Le .Sul.' r 8 3:1 10 .W 13 IIS 18 23 l'oiit-rAlil).'>Vill.' 8 40 11 11 13 21 18 30 plus satisfaisante gu'on ne pensait dont s'est effecPoiit-l'Alilié-Gin-e .iir. 8 19 11 11 13 24 18 39 tué ta liquidation de quinzaine, alors qu'on redoutait de sérieuses difficultés. ICnsuite, te marché du - I - I - : - RETOUR - I - I eomplaut qui s'était tenu sous une réserve bien naturelle tous ces temps ci s'est emptogé en de .STATIONS (2) •(» («( n 11 20 14 55 18 45 nombreu.r achats fournissant idnsi au marché te Pont-l'Abl.é-Giirc ..d. » 10 11 2:< 14 58 18 4H meilleur éléments de reprises et d'activité. Enfin l'ohl-l'Alihé-Ville. 9 13 L(! .Suler 11 % 15 U 19 m dans une autre ordre d'idées, ta situation erlérieurc U '20 11 41 15 16 19 00 Loeludy-lliKn'i,'... 9 31 I.orlud'v Cille . Il 11 15 19 19 09 si grave qu'elle soit n'a pas donné lieu et sans 9 31 7 ;Ti' 7 :!9 7 IC. s 8 « S 10 VASTKS BATIMKXTS S'adresser PONFILLY. audit M' PIÎAN Htudc de .M° E t c b c c o p a r , à (Juimperlé A V UNE E N D R UK notaire E FERME située h B u x i t - C r o i x . en CloharsCarnoiît, contenant 24 hectares environ. S'adresser à M ' E Ï C H É C O P A H . Etude de REVUE FINANCIÈRE k T r é f f u i e r , notaire à Querrien VENDRE A L'AMIAILE l lie Propriéli' R u r a l e Siu à CMZIEL, M Siiat-TImiiM U K % E \ U AX^'UEL t t . 4 0 0 l'R. Pour visiter, s'adresser à M . G U Y A D E R François au l>ourg de Saint-Thurien. Quimperlé. — Imprimerie (/uimperloUt 3, rue Bisson. Le. G^ranl: 9 J. llAiiih, I CESSATION CHASSE A VENDRE A lAMIABLE HMÉk M lifiNmt V Une Maison de Commerce avec G r a n d e Salle de danse. Cour, H a n g a r et Jardin, sis è Q U I M p e r l é , rue d u Couédic, n" 10. Une autre C Y 18 mois, parfaite en chasse. Essai. P r i x modéré. S'adresser au bureau du journal. 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L K \AI>A.\ écurie. 22, Rue des Fontaines, 22, LORIENT DE BIENFAISANCE AVIS D'AWIGATIONS L e Maire de Quimperlé, Président de la Commission administrative du Bureau de Bienfaisance, prévient ses administrés que le Jeudi 14 Novembre, à 14 heures, il sera procédé dans une Salle de la Mairie à l'adjudication des Pains, Viandes, Vins e l Alcools nécessaiies au Bureau de Bienfaisance du 1 " janvier au décembre 1913. Quimperlé, le 20 octobre P.»12. Le Maire, H O S A. F COURTIER. I C L e Maire de Quimperlé, Président de la Commission administrative de l'Hospice, prévient ses administrés que le Jeudi 74 Novembre, à 1-1 heures, i l sera procédé dans une des Salles de la Mairie à l'adjudication par voie de soumissions cachetées des Pains, Sons, Farines,Viandes. Vins, Epicerie, Beurre, Œufs, Charbon, Colie, et Bois d e C h a u l T a c e nécessaires à l'Hospice du 1*' janvier au 31 décembre 1913. Quimperlé, le 20 octobre 1912. A. 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A i i r r i i n r i i A toutes i.'os inaUienreuses.il faut ^UC i H i n C f dire et ledire ; Faites une cure avec la •H 17, GHAND'RUE, 17 Q 0»V 0> c*- S) M ti p 0 > tu H > r 0 c H* H (D 9> est alUiché à la .Maison C O U P E , T R A V A I L T R È S SOlGNli: DE TOUTU N A T U R E ET GARANTIES Seul dépositaire des tissus du Û ' J A E G H E R . giéniques PAPETERIE'^ol^^' E AVIS D ADJÛDICATIONS Le Maire, AVIS INTÉRESSANT très pratiques, hy- DOMAINE DEPARTEMENTAL UË PARFUMERIE — Poudres. — Savons des VINS & SPIRITUEUX EN BHOSsence. meilleures marques. — Dentifrice.s. BUREAU - DES Pierres Meulières s e r v a n t de débit, avec — Dépendance, champ bien planté, le tout situé à P O N T E Q U E O N . en Bave. S'adresser chez M . GALAND, (irand'Hue, Quimperlé. R É P A R A T I O N S à la disposition de M M . LES MEUNIERS M . 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Tous ceux qui, dans les huit jours qui suivront cette insertion, souscriront un abonnement d'essai de six mois aux Annales Municipales (prix : 3 fr. 50) auront droit yraluileme.nl aux quatre volumes ci-dessous énumérés, tous acluellenienl parus cl mis au courant des modifications législatives ou réglementaires. 1» - L a Loi M u n i c i p a l e du 5 a v r i l 1 8 8 4 suivie d'un index a l p h a b é t i q u e e t a n a l y t i q u e f a c i l i t a n t les r e c h e r c h e s [Edilion du'35'anniversaire et mise à jour). - Un vol. in-8» écu de 152 pages, en vente au prix de 1 fr. 50. (Ce volume met réellement la loi municipale à la portée de tous parce qu'il a la forme essenliellcment pratique du dictionnaire. 2°-IVIemento Municipal perman e n t , indiquant mois par mois et jour par jour les travaux à effectuer dans les mairies cl les délibérations à prendre ù chaque session des conseils municipaux. — Un vol. iii-8° écu de 120 pages, en vente au prix de 2 francs. 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M a n o i r d u .'Sll'' s i ù c l e , e s t s i t u é a u m i l i e u d ' u n p a r c inni^iiinquc p l a n t é d ' a r b r e s .séculaires; o u y voit de superbes c o l l e c t i o n s do tapisseries e l d'objets d ' a r t , de m e u b l e s , d e coitTes e t d o c o s t u m e s b i - e î o n s , d e p a r c l i e m i c i s , d e s c e a u x e l d ' a n t o ^ r a p i i e s , d o n t iitj<'Ui!icv-ui>s r e ' . n o n t e n t n u X U * .si<>cle. ANNONCES GRATUITES Jeune homme de i:^ ans, de la campagne, ayant son certifical d'études demande place chez notaire ou avoué. S'adresser au bureau du journal. 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