La Grande Motte (Hérault)

Transcription

La Grande Motte (Hérault)
Le JOURNAL
de l’Amicale GCTM
N° 40 - Novembre 2002
Siège : AMICALE GCTM - 4 rue des Renaudes - 75017 PARIS. Courrier : René MENARD 41 rue de la Glacière - 91180 St-GERMAIN LES
ARPAJON
2003 : Assemblée Générale
à La Grande Motte (Hérault)
Samedi 25 janvier
2003
Formule 3 jours :
du mardi 3 juin au vendredi 6 juin 2003
GALETTE DES ROIS
Formule “Semaine”
“Semaine” (6 nuits) :
Comme en 2002, c’est à bord de
la péniche LE COMPIEGNE que
nous commencerons l’année
2003.
Rendez-vous au quai de Bercy,
près du Palais des sports (métro
Bercy) à 10 h 45. Un plan sera
envoyé aux personnes inscrites.
Départ à 11 heures précises.
Croisière sur la Marne puis sur la
Seine jusqu’à l’Ile de la Cité.
Retour au même lieu vers 17 h
du samedi 31 mai au vendredi 6 juin 2003
MENU
APÉRITIF
AU CHOIX
AVEC AMUSE GUEULES
SAUMON FUMÉ ET TOASTS
GIGOT D’AGNEAU
3 LÉGUMES
SALADE
FROMAGES (3 VARIÉTÉS)
AVEC
GALETTE
DES ROIS AVEC UNE
COUPE DE VIN PÉTILLANT
CAFÉ
Les programmes que nous vous proposons forment
des ensembles de prestations que, pour des raisons
d’organisation (résidence, visites guidées, autocars et
comptabilité), nous ne pouvons pas “saucissonner”...
Il s’agit de deux forfaits distincts, qui comprennent :
- l’hébergement à la Résidence de vacances ATC de
LA GRANDE MOTTE, située à proximité de la mer
(500 m environ). Terrasse et jardins ombragés.
Parking gratuit.
- la pension complète avec vin et café aux repas
- les excursions (y compris certains déjeuners),
- les animations (chaque soir dont soirée gitane)
- les transferts depuis la gare TGV de Montpellier
A noter que toutes les chambres sont équipées d’un
grand lit et d’un lit-canapé d’une personne, d’un
cabinet de toilette avec douche et w.c et d’un balcon.
Ascenseur pour les deux étages.
Télévision dans un salon commun.
Le prix par personne est fixé à :
287 € pour la formule “3 jours”
480 € pour la formule “semaine”.
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UN, DOS, TRES... ARRIBA CUBA
Le 30 novembre 2001 dans la soirée, après une longue
attente à ROISSY CDG, sept amicalistes s’envolent (avec
3 h de retard seulement) pour CUBA.
10 heures plus tard, en pleine nuit, malgré 6 h de
décalage horaire, nous touchons le sol cubain et arrivons,
par autobus, au NOVOTEL de LA HAVANE.
Après l’incontournable cocktail de bienvenue (1) et une
nuit courte et froide (la “clim”...) dans des chambres très
agréables débute, comme prévu, le circuit de 5 jours à la
découverte de la partie OUEST de l’île (l’île de CUBA fait
près de 1 200 km de longueur).
Sous la conduite d’une guide cubaine bavarde, cultivée et
pratiquant un français riche, nous allons découvrir :
- LA HAVANE bien sûr, ville très étendue avec de
nombreux quartiers, très différents les uns des autres. La
vieille ville, déclarée patrimoine de l’Humanité, avec ses
monuments, ses palais, ses places, vestiges défraîchis
mais fastueux du passé colonial ou de la révolution.
Des parties plus modernes avec de larges avenues et un
front de mer où de luxueux hôtels poussent comme des
champignons.
- la vallée des VINALES, à l’ouest de l’île, région
verdoyante abritant les cultures de canne à sucre et les
plantations de tabac noir avec lequel on roule à la main
(mais pas sous les aisselles...) les célèbres cigares,
comme nous pouvons le constater dans une
impressionnante “usine à rouler”.
- la traversée du Nord au Sud, d’une campagne riche
en champs d’agrumes, malheureusement dévastés par
un récent cyclône, puis de la région marécageuse du
GUAMA. C’est là que nous visitons un important élevage
de crocodiles. Puis, en barque, une réplique du village
lacustre, en pleine lagune, où vivaient les indiens avant
l’arrivée des conquistadores.
- la côte Sud, le long de la mer des CARAÏBES, avec
ses plages de rêve et ses baies magnifiques telle celle de
CIENFUGOS où nous faisons étape dans un hôtel
sympathique dominant la baie, près d’un prestigieux
palais “vénitien et baroque”.
- des villes moyennes comme CIENFUGOS,
TRINIDAD, PINAR DEL RIO, avec leurs rues animées
malgré la rareté des magasins et le peu de produits
proposés, des villes aux monuments chargés d’histoire
genre “chefs-d’oeuvre en péril”, caractéristiques de la
colonisation espagnole ou de la révolution cubaine ; c’est
(1) Un petit défaut... nous les trouvons moins bons et surtout
moins forts qu’aux ANTILLES. Renseignements pris, le rhum
cubain fait 40°, celui de la Martinique 50 ou 55°.
le cas pour SANTA CLARA où est érigé le grandiose
mausolée de CHE GUEVARA.
Ce périple s’achève par une “remontée” vers le Nord de
l’île pour atteindre les plages magnifiques de l’Atlantique
à VARADERO, centre d’un luxueux complexe touristique.
Occasion de traverser à nouveau des villages aux rues
grouillantes, flanquées de petites maisons alignées,
basses et grises, toutes munies de la terrasse abritée et
équipées de rocking-chairs. Occasion également de
doubler le long des routes, assez bonnes, de nombreux
piétons ou vélos à “3 places” et de voir en pleine
campagne des gens “en grappe” pratiquant l’auto-stop (il
y a peu de transports publics hors des ramassages
scolaires) et semblant attendre durant des heures, sous
un soleil de plomb, le camion ou la remorque qui les
transportera.
Nous garderons le souvenir d’un pays subissant une
situation économique précaire - notamment due à
l’embargo américain puis au défaut de soutien actif de
l’URSS après son éclatement - qui fait cependant
beaucoup pour la santé et l’éducation à tous les niveaux.
Mais c’est aussi une île pleine de richesses : sa situation
et son climat tropicaux exceptionnels entraînant une
végétation luxuriante, souvent dominée par de nombreux
très hauts palmiers, son sucre, son rhum, son tabac, ses
agrumes, son café, ses élevages...
Une dernière richesse et non la moindre : les cubains (et
bien entendu les cubaines...) : une société multi-raciale
où le métissage se porte bien, un peuple pauvre, mais
pas misérable, supportant apparemment dignement ses
conditions de vie difficile.
Un peuple finalement attachant, “habité” par la musique,
le chant et la danse : les musiciens sont omni-présents
dans les cafés et les restaurants.
Un peuple enfin qui pratique le culte de CHE GUEVARA
mais aussi celui des enfants, (adorables dans leurs petits
“uniformes” d’écoliers ou d’étudiants) des personnes
âgées et des morts.
Après l’effort... le repos bien mérité !
Nous passons les 4 derniers jours cubains au bord de la
piscine ou sur la belle plage de VARADERO : 28° dan s
l’air, 25° dans l’eau, du sable blond et fin, une m er
turquoise, des palmiers et des cocktails (1), langoustes
ou gambas grillées...
Très agréable voyage, belle combinaison entre un circuit
de 5 jours, pas trop chargé en kilomètres ou en départs
matinaux, et un séjour libre et reposant de 4 jours, et
seulement 3 hôtels pour 9 nuits.
Le tout dans une ambiance enjouée, ponctuée de
délirants fous rires.
Merci à Claude pour ce bon choix et son organisation.
Merci à Jean-Marie pour sa faconde et sa gaieté
communicatives.
René MENARD
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L'AMICALE A LA GRANDE MOTTE (Hérault)
(cette page concerne uniquement la formule “SEMAINE COMPLETE” )
1er jour :
SAMEDI 31 MAI 2003
3ème jour :
LUNDI 2 JUIN 2003
ACCUEIL...
PEZENAS, LA VILLE DE MOLIERE
- 18 h : Accueil à la gare de Montpellier des
amicalistes ayant choisi les “6 JOURS”,
- transfert à la résidence ATC, installation et
réunion d’information vers 19 h
- dîner et soirée libre
Les menus seront composés en fonction de
ceux proposés au cours des excursions et
aussi des thèmes des soirées animation.
Les petits déjeuners seront pris dans la salle
du restaurant, de 7 h à 9 h et tous les dîners
seront servis à partir de 19 h 30.
Les amicalistes habitant la région pourront,
ne pas loger à la résidence. En attendant,
nous leur demandons de régler les deux
premiers acomptes et nous régulariserons la
réduction avec le solde.
2ème jour :
DIMANCHE 1er JUIN 2003
BOUZIGUES et NOILLY PRAT...
MATIN
Le marché de la GRANDE-MOTTE
Déjeuner à la résidence ATC
APRES-MIDI
Excursion autour du bassin de Thau,
le musée ostréicole de Bouzigues, dégustation
d’huitres chez un producteur, retour par les
caves de Noilly Prat à Marseillan
Soirée animation : diaporama sur la région
Languedoc
p
MATIN
Départ en autocar pour PEZENAS, ville
acquise par Saint-Louis en 1261 et
érigée en comté un siècle plus tard. Elle
devint par la suite la résidence des
gouverneurs du Languedoc et connut son
apogée au XVII° s. Molière y fit des
séjours fréquents entre 1653 et 1657.
Visite guidée de la ville et des échopes
Déjeuner à Pézenas
APRES-MIDI
Visite de l’Abbaye à Valmagne
Retour à la résidence ATC
Dîner
Vers 21 h, conférence sur les vins de la
région avec dégustation
4ème jour :
MARDI 3 JUIN 2003
FLORE & FAUNE CAMARGUAISES...
MATIN :
Matinée libre (pensez que nous sommes près
de la mer... )
Déjeuner à la résidence
APRES-MIDI :
Excursion en véhicule 4 x 4 : découverte de la
flore et de la faune camarguaise et d’une
manade
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4ème jour : MARDI 3 JUIN 2003 (suite)
- 18 h : Accueil à la gare TGV de Montpellier des amicalistes
ayant opté pour la formule “3 JOURS”, et transfert à la résidence ATC
Dîner et soirée “Traditions de la camargue” avec film sur les courses camarguaises
5ème jour :
MERCREDI 4 JUIN 2003
6ème jour :
JEUDI 5 JUIN 2003
LES GORGES DE L’HERAULT...
LE PETIT TRAIN DES CEVENNES
MATIN :
Départ pour les gorges de l’Hérault.
Le Pont du Diable à l’entrée des Gorges de
l’Hérault.
Visite guidée de St-Guilhem le Désert, village
situé sur la route de St-Jacques de
Compostelle qui a été choisi en 804 comme
siège de l’abbaye de Gellone.
Ce site est l’un des plus prestigieux du bas
Languedoc et il est classé au patrimoine
mondial de l’Humanité.
Déjeuner à l’Hostellerie Saint-Benoît à
ANIANE (localité où Gérard Depardieu vient
d’acquérir des hectares de vignes ! )
APRES-MIDI
La grotte de Clamouse, cavité vivante que les
eaux souterraines ne cessent d’embellir.
Ambiance musicale couplée à un éclairage
modulé qui offrent une vision inoubliable du
monde souterrain.
La visite implique une assez longue marche à
pied dans la grotte et avec de nombreux
escaliers. Pour les personnes ayant des
difficultés, nous étudierons la possibilité de
les ramener plus tôt à la résidence.
Soirée grillades sur la terrasse
Animation par des gitans
(spectacle à ne pas manquer ! )
MATIN :
Départ en autocar pour le village d’ANDUZE.
Le petit train des Cévennes (prévoir un
vêtement pour se protéger de la suie... )
Arrêt à la Bambouseraie pour sa visite.
Déjeuner à SAINT-JEAN-DU-GARD
APRES-MIDI
Retour par ST HIPPOLITE DU FORT
Visite du Musée de la soie.
Assemblée Générale de l’Amicale
Dîner et soirée animée par l’équipe
d’animation de l’Amicale, karaoké et danse.
Si vous souhaitez chanter, dites-le nous avec
le titre de la chanson que vous souhaiteriez
interprêter.
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7ème jour :
VENDREDI 6 JUIN 2003
DECOUVERTE DES VINS DU
LANGUEDOC et MONTPELLIER..
MATIN :
Départ de la Résidence ATC avec les bagages
Escapade gourmande autour de Montpellier.
Le Mas Saporta : découverte et dégustation
des vins des Côteaux du Languedoc,
Déjeuner au restaurant “Les Cuisiniers
Vignerons” où les vins sont servis en accord
avec les mets proposés.
APRES-MIDI
Viside guidée du Centre historique de
Montpellier et retour à la gare vers 17 h.
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Voyage au Brésil du 8 au 23 octobre 2003
Le 8 octobre 2003, vers 19h30, 13 amicalistes, joyeux, se retrouvaient
à Roissy CDG afin de partir pour le BRESIL sous la conduite du Président de l’Amicale GCTM et du Club MEB (1) réunis, le TGO-MNO
(2) très impatient de nous faire découvrir SALVADOR de BAHIA,
IGUAÇU, RIO de JANEIRO et BUZIOS.
CAIPIRINHA. Il s’agit d’un succulent cocktail dont la base est la CACHAÇA, un alcool de canne à sucre.
Nous sirotons la première quelques heures seulement après notre
atterrissage à SALVADOR de BAHIA dans un restaurant sympathique
dominant la plage.
Tout voyage réussi nécessite une bonne intendance, tant pour les
déplacements que pour le « gîte et le couvert ». Michel avait minutieusement préparé tout cela.
Aussi bien traité, dans une ambiance joyeuse, le GRUPO « pétait la
forme », malgré quelques petits rhumes ou bronchites (la « clim »
peut- être) pour suivre le programme touristico-culturel concocté par
MICHEL. « A l’EST pas BELLA a VIDA....... ».
Les moyens de transport furent très variés :
- la VARIG d’abord, compagnie aérienne brésilienne qui, malgré les
escales à SAO PAULO (3) nous a transportés dans de bonnes conditions, (juste une valise » perdida » vite retrouvée) et toujours à
l’heure,
- les bus publics, climatisés parfois, qui sillonnent dans tous les sens,
et à très vive allure les artères des grandes villes ; les minis bus privés ou les taxis affectés par notre TGO à des prix très compétitifs,
- le métro à RIO (gratuit pour les « vieux ») moderne et spacieux ou
l’antique tramway brinquebalant de SANTA TERESA (dénommé
BONDE),
- le train à crémaillère ou les téléphériques qui nous hissent jusqu’aux
points d’observation de la sublime baie de RIO que sont le CORCOVADO et le PAIN de SUCRE,
- les bateaux qui évoluent dans de magnifiques baies et nous débarquent sur des plages de rêve de quelques îles paradisiaques,
- pour les plus téméraires l’hélicoptère, au dessus de la baie de RIO,
- enfin les surprenants buggys de BUZIOS, j’en reparlerai.
Nos logements ont été à la hauteur (4) :
- des hôtels confortables, près des plages à SALVADOR et à RIO,
- et mention spéciale pour le luxueux hôtel LAS CATARATAS situé
devant les chutes, dans un très joli parc à IGUAÇU, ainsi que pour la
pousada (5) de Gérard SUTRA à BUZIOS.
Enfin il faut bien se nourrir et notre TGO, qui a déjà testé beaucoup
de restaurants lors de ses précédents séjours au BRESIL (6) , nous
fait profiter de sa pré-sélection et découvrir une nourriture de qualité
et variée, quel que soit le type de restaurant.
Dans ce domaine il est indispensable de retenir quelques mots brésiliens:
- les churrascarias, restaurants spécialisés dans les viandes grillées
fort bonnes, agrémentées de consistants buffets de hors d’œuvre et
de légumes. Bien sûr on se sert à volonté. Certains de ces restos pratiquent le rodizio, une « ronde » de garçons servant de nombreuses
viandes embrochées jusqu’à ce qu’on déclare forfait.
- la moqueca de camarao , spécialité bahiannaise, est un plat composé de crevettes et de poissons savamment mélangés.
- la feijoada, le plat national, un genre de cassoulet à la brésilienne.
- la comida à Kilo, ou l’on se sert selon sa faim et son goût avant de
faire peser son assiette garnie et de payer un prix moyen, très modeste, quels que soient les produits consommés.
Bien sur on trouve par ailleurs tous les restaurants traditionnels où
l’on peut déguster, pour pas cher, n’importe quelle spécialité internationale. Les portions sont copieuses et conduisent parfois à n’en prendre qu’une pour deux.
Mais comme il fait chaud, il faut aussi lutter contre la déshydratation.
Les eaux minérales, les bières brésiliennes très convenables et quelques bons petits vins chiliens font l’affaire mais la super vedette est la
Dès les premiers contacts avec le BRESIL, le jeudi 9 octobre, en minibus de l’aéroport à l’hôtel de SALVADOR de BAHIA, apparaissent les
premiers contrastes : des centres commerciaux modernes le long de
belles routes et en toile de fond, sur les collines, les FAVELLAS
(bidonvilles en français) où sévit la pauvreté mais aussi la passion de
la samba et du football.
Premiers contacts également avec la rue, les brésiliens (et les brésiliennes bien sûr) apparemment décontractés et souriants, en longeant
la plage par des rues animées, de l’hôtel au bureau de change. Il faut
bien se munir de REAIS (pluriel de réal), la monnaie du pays.
Le change actuel est de 3,15 à 3,25 RS pour 1 EURO (7).
La découverte de SALVADOR se poursuivra l’après midi en minibus
sous la conduite d’HERVE, un français possédant une pousada non
loin de l’hôtel. Un tour rapide pour voir un maximum de quartiers de
cette ville à 2 étages; la ville haute et son quartier des affaires, la ville
basse, son port, sa zone commerciale, le MERCADO MODELO
(bonjour le shopping...) grand marché artisanal, le surprenant ascenseur reliant les 2 étages de la ville, les plages des quartiers populaires, une des 200 églises de SALVADOR, NOSSO SENHOR DO
BONFIM érigée sur la colline réputée sacrée.
Retour à l’hôtel, CAIPIRINHA et dîner bahianais à la pousada
d’HERVE.
SALVADOR c’est aussi la BAIE DE TOUS LES SAINTS (8).
Nous en découvrirons une toute petite partie en consacrant la journée
du vendredi à une croisière sur le MARINA MARIA. Le soleil tape fort,
la mer est d’huile, le bronzage est assuré.
Première escale sur l’île DOS FRADES, véritable coin de paradis,
première baignade sur une plage de rêve dans une eau limpide à 28°
et apéro/langouste sous les parasols...
On rembarque pour une autre île, ITAPARICA la plus grande de la
baie, pour le repas et la sieste sous les paillotes avant un retour en
compagnie, déjà du coucher de soleil.
Salvador, ancienne capitale du BRESIL, ville afro-européenne (9),
possède un centre historique, le quartier du PELOURINHO, classé
par l’UNESCO. Nous y consacrons notre journée du samedi.
La visite à pied de ce quartier très animé est agréable. Des places
spacieuses, des rues pittoresques, un ensemble de maisons coloniales de toutes les couleurs et, ce qui ne gâche rien, des commerçantes
souriantes sur le pas de porte de magasins très accueillants.
Après un repas « au kilo » et un moment de détente sur la terrasse
d’un glacier français nous bénéficions d’une visite guidée et en particulier de l’église baroque de SOA FRANCISCO, véritable chefd’œuvre pour sa décoration intérieure. Puis c’est un cloître de couvent
avec de nombreux azulejos représentant des scènes bibliques. Notre
guide est passionné, passionnant et assez fier d’être moitié indien,
moitié hollandais et bien entendu, moitié brésilien.
Retour à pied le long de riches résidences entourées de hautes grilles
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et sécurisées par des gardiens.
Encore une journée pleine qui se termine par un remarquable dinerspectacle. De beaux athlètes, forts souples, présentent la CAPOEIRA,
une danse afro-brésilienne simulant des combats. Ça tape très fort et
ça va vite.....
Le dimanche c’est jour de sport pour les brésiliens : (les autres jours
aussi d’ailleurs) les routes sont barrées, les autoroutes encombrées.
Ça nous perturbe un peu car, en minibus, nous devions longer l’océan
afin d’observer, sur de nombreux kilomètres les différentes plages et
leurs particularités.
Nous arrivons malgré tout à celle de STELLA MARIS : la plage est
noire de monde, le sable brûlant sous le soleil de plomb, la mer
grosse et le restaurant, surmonté d’un drapeau basque, très accueillant. CAIPIRINHAS, poissons grillés, farniente sous les paillotes.
« A l’EST pas BELLA a VIDA ..... »
Retour dans les bouchons et un petit dîner dansant pour finir. C’est
chouette .....ce sont même des danses de « notre temps ».
Le lundi 13 octobre est un jour de transition. Le matin quartier libre
pour un peu de shopping, quelques achats, une balade sur la plage et
le déjeuner au sympathique resto, le BARRAVENTO, planté sur la
plage, où nous avions mangé dès notre arrivée à SALVADOR : la
boucle est bouclée, les valises aussi. Transfert pour l’aéroport et décollage vers IGUAÇU via SAO PAULO.
L’arrivée à IGUAÇU est tardive. Nous avons juste le temps de découvrir notre luxueux hôtel et de deviner, au bruit, les fameuses chutes
toutes proches.
Le mardi 14 est entièrement consacré au merveilleux spectacle que
nous offre la nature : les majestueuses chutes d’ IGUAÇU constituées
de 275 « saltos » étalés sur plus de 3 Km en amphithéâtre naturel.
Nous les approchons le matin, côté brésilien, par un chemin en forêt,
puis des passerelles et des belvédères qui nous amènent dans le vacarme et la bruine, très près d’une des plus impressionnantes : la
« Gorge du Diable ».
L’après-midi c’est en ARGENTINE qu’un bus nous transporte pour un
nouveau parcours d’approche en petit train, puis à pied dans la forêt
tropicale pour contempler, sous un angle nouveau, ces merveilleuses
chutes et côtoyer quelques spécimens de la faune : bonjour le toucan.
La matinée du lendemain est libre en principe, mais une partie du
groupe part en bus, avec JANDIR notre guide, en longeant la frontière
du PARAGUAY, visiter la plus grande centrale hydroélectrique au
monde : ITAIPU, un barrage énorme, un lac de retenue hors normes
c’est l’une des 7 merveilles du monde moderne.
L’après-midi nouvelles visites des aéroports FOS DO IGUAÇU, SAO
PAULO, RIO où nous attend une charmante guide, ADRIANA.
Transfert et installation à l’hôtel ACAPULCO face à la mythique plage
de COPACABANA, dîner à la CHURRASCARIA, promenade digestive
et gros dodo.
Le lendemain, jeudi 16 octobre, super, il fait beau, comme depuis le
début du séjour, et c’est idéal pour aller admirer la baie de Rio, sans
doute la plus belle du monde, des 2 observatoires que sont le
CORCOVADO (704 m) et le PAIN de SUCRE (400 m).
Un train à crémaillère, serpentant dans une luxuriante végétation nous
conduit au sommet d’une petite montagne sur laquelle est érigée une
statue géante du CHRIST rédempteur de 38 m de haut et de 28 m
« d’envergure ». On reste baba devant ce prodigieux panorama sur la
baie, ses collines, (appelées MORROS) ses plages de sable blond, la
lagune, les différents quartiers de la ville.....
L’après midi ça repart pour le PAIN de SUCRE que l’on atteint par téléphérique en 2 étapes.
Nouvel enchantement, nouvelle vue grandiose sur la baie et la ville.
On a envie de s’y installer, d’ailleurs on y reste un long moment pour
bronzer et se reposer, mais aussi pour assister à un spectacle insolite.
Je ne résiste pas au désir d’en faire part à nos lecteurs.
Nous somme dans l‘axe de la piste d’atterrissage de l’aéroport SANTOS DUMONT (10) et nous avons la chance de voir de nombreux
avions préparer leur atterrissage en passant, entre 2 arches, sous le
pont de NITEROI (11). Si ! si !...Les plus fins observateurs du groupe
l’ont bien vu, des photos le confirment, seuls 2 d’entre nous sont sceptiques (12).
Le soir direction IPANEMA, le quartier chic, avec 2 de ses établissements branchés : la GAROTA (en brésilien : petite amie… ) où nous
dînons et le VINICIUS de MORAES (célèbre chanteur-compositeur)
où nous assistons à un envoûtant concert de BOSSA-NOVA.
A chaque jour un thème : le vendredi ce seront les aspects culturels et
architecturaux du centre ville de RIO.
En métro nous atteignons CINELANDIA, place spacieuse et animée,
bordée de jolis bâtiments, tels que le Teatro municipal ou la Biblioteca
nationale. Une place également où il fait bon flâner autour de bistrots,
de salons de thé et de magasins sympas. A quelques pas de là se
dresse la surprenante cathédrale METROPOLINA SAÖ SEBASTIAO.
Il s’agit d’un édifice très moderne de forme de pyramidale construite
entre 1964 et 1976 et qui peut recevoir 20.000 personnes. De là nous
apercevons l’AQUEDUTO da CARIOCA, vieil aqueduc construit en
1732. Nous allons l’emprunter avec le tramway qui nous transbahute
dans le quartier colonial et pittoresque de SANTA TERESA d’où l’on
admire une fois de plus la baie de GUANABARA ainsi que quelques
FAVELLAS accrochées aux collines.
L’après midi on revient, tranquilles, en flânant le long des vitrines où
dans des magasins accueillants en faisant quelques courses.
Le soir on reprend la très agréable AVENIDA ATLANTICA pour aller
dîner chez « MARIUS CRUSTACEOS » : décor et ambiance de début
de siècle (le précédent...), fruits de mer et poissons à volonté.
La ville de RIO est vaste et la journée du samedi 18 suffit à peine pour
sillonner en minibus et découvrir quelques quartiers contrastés : ceux
huppés de LEBLON et IPANEMA et les plages attenantes, ceux plus
anciens et plus populaires de BOTAFOGO, FLAMENGO, le jardin botanique....
La soirée est consacrée aux 2 symboles forts du BRESIL, le
« futebol » et la samba. Pour la samba nous visitons le sambadrome,
une très large avenue de 700 m bordée d’immenses tribunes en béton. Cette construction s’est avérée nécessaire dès 1984 pour
« canaliser » (et sécuriser sans doute) les défilés du carnaval et la
foule hors des avenues. Nous assistons à la répétition d’une école de
samba dont le « siège social » se trouve ici. C’est un avant goût de ce
que nous verrons le soir avec une école de samba titrée.
Dans un 1er temps un orchestre « bof ... » tente de tromper notre attente et soudain ça devient époustouflant : en surplomb, un imposant
groupe de percussionnistes en tous genres se déchaînent sous la
conduite d’un « chef d’orchestre » surprenant : c’est du délire et quelques jolies danseuses semblent tomber en transes...
Pour le foot c’est encore du délire. Nous avons la chance d’assister à
MARACANA, stade le plus grand du monde, à un match (13) entre 2
clubs du championnat du BRESIL. Le stade est loin d’être plein mais
nous avons quand même un bon aperçu de l’ambiance : énormes drapeaux, supporters déchaînés mais bien contenus dans chaque camp,
applaudissements, vociférations, pétards....
Le dimanche, c’est sport pour tous. La grande avenue Atlantica, interdite au voitures est réservée aux sportifs : à pied, à vélo, en rollers, en
fauteuil roulant parfois, ça bouge. Pour ce qui nous concerne, on ne
court pas mais on fait quand même une belle promenade à pied le
long des plages jusqu'à celle d’IPANEMA. Sur les plages le spectacle
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est permanent, certains font du sport, (foot, volley, baignade...) d’autres se prélassent en grignotant ou en sirotant CAIPIRINHAS, bières
ou lait de coco. Il y a pour cela de nombreux petits bars et un défilé
permanent de vendeurs ambulants proposant tout et n’importe quoi.
De tout ceci se dégage une certaine sensualité et je vous laisse imaginer ce qui attire le plus notre attention sur ces plages.
Michel nous l’avais promis, au bout de la balade, à IPANEMA, se tient
un marché typique où nos compagnes ne manquent pas de nous faire
faire encore de bonnes affaires....
A midi CAIPIRINHA, avant de déguster la FEIJOADA, (vous savez, le
cassoulet brésilien) et retour à pied par les plages.
Merci Michel de nous avoir organisé un voyage qui comportait tant de
« PLUS » (comme annoncent les voyagistes dans leurs catalogues....).
Nous avons apprécié ces 2 semaines vécues dans la joie et la bonne
humeur.
Lundi 20 octobre déjà : ça passe vite, transfert en minibus vers notre
dernière étape BUZIOS, un village de pêcheurs devenu lieu de villégiature « genre St TROPEZ » (14). Les 3 jeunes filles, à qui Michel a
accordé le privilège de se joindre à nous pour certaines sorties à RIO,
nous accompagnent.
Pour les commentaires, la concurrence est vive entre Michel et MarieChristine, la plus bavarde lorsqu’elle ne dort pas.
On sent également une très mauvaise répartition des richesses : des
très riches, une classe moyenne des centres villes (qui fait ses courses dans des supermarchés ouverts 24h sur 24 ....) et des exclus du
système, repoussés dans les FAVELLAS.
Quelle que soit leur condition sociale, les brésiliens sont souriants, ils
bougent, se passionnent, et semblent heureux de vivre.
A BUZIOS, GERARD SUTRA, ancien rugbyman français implanté au
BRESIL, et ADRIANA, sa compagne brésilienne, nous installent dans
leur jolie POUSADA.
BUZIOS est au centre d’une péninsule offrant 8 Km de côtes découpées et 22 plages, toutes aussi mignonnes les unes que les autres.
Les routes et les chemins pour les atteindre ne sont pas très carrossables et le moyen de transport le mieux adapté est le buggy (15).
Gérard a tout prévu et 4 engins de ce type nous attendent devant sa
POUSADA. Ça pétarade et ça part. Les chauffeurs ont de la chance
car ils peuvent se cramponner aux volants. Pour les autres, il faut
« s’accrocher grave » afin de ne pas être largués. C’est ce qui arrive,
heureusement sans trop de gravité, pour nos 3 jeunes accompagnatrices...... De toute façon c’est le moyen idéal pour une visite rapide du
port et pour accéder à quelques unes des belles plages de sable
blanc. Gérard nous en choisit une pour la baignade et le déjeuner et
nous fait découvrir quelques autres, au bout de chemin cahotant.
Le soir dîner « au Kilo » et promenade dans un centre ville plaisant et
animé.
Le lendemain nous rejoignons CABO FRIO, à proximité de BUZIOS,
pour une sortie en mer et le débarquement sur une plage de rêve, encore une, pour la baignade et le repos.
Retour à la pousada pour le « grand soir ». Gérard et Adriana ont prévu pour nous un succulent dîner brésilien, préparé par des autochtones et évidemment, bien arrosé.
Malgré un vent assez fort nous partageons le repas au bord de la piscine, accompagnés par un fond sonore très agréable : les plus célèbres BOSSA-NOVAS interprétées par une chanteuse locale.
C’est la fête pour tous et plus particulièrement pour 2 d’entre nous, un
« pas encore trop vieux » et un « déjà assez vieux » dont les anniversaires, heureux hasard, tombaient pendant notre voyage.
Mercredi 22 octobre 2003, notre dernier matin au BRESIL est occupé
pour certains au shopping, pour d’autres à un dernier tour en buggy
puis en barque, afin de découvrir encore 2 jolies petites plages.
Dernière baignade, dernier « repas au Kilo », dernière étape en minibus pour rejoindre l’aéroport de RIO : quelques gouttes sur le parebrise, il pleut pour la 1ère fois de notre séjour.
Ça finit comme ça a commencé : une CAIPIRINHA pour tous au bar
de l’aéroport avec Michel qui reste encore 2 semaines au BRESIL afin
de régler quelques affaires.
Nous partons conscients de n’avoir découvert q’une toute petite de ce
pays tant il est étendu, contrasté, diversifié. Nous nous sommes peu
mêlés à la population mais nous avons perçu ce surprenant meltingpot : des noirs, des métis, des asiatiques et de nombreux européens
d’origine ........
Peut être aurons nous la chance d’approfondir tout cela lors d’un prochain voyage ? (voir ci-dessous)
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(1) - Club Michel Esnault Brésil
(2) - Très Gentil Organisateur Michel Esnault
(3) - L’aéroport de SAO PAULO, véritable plaque tournante, n’a plus
de coins secrets pour nous car nous y avons déambulé en long, en
large et en épaisseur, 4 fois entre nos différents trajets aériens.
(4) - Au propre comme au figuré, pour SALVADOR et RIO.
(5) - C’est un genre de maison d’hôtes, il y en a beaucoup au BRESIL
et en particulier à BUZIOS.
(6) - Il a testé bien d’autres choses que nous n’avons pas eu le loisir
d’essayer.
(7) - Le prix moyen d’un repas est de 30 réais, un ticket de bus ou de
métro (à RIO) d’environ 2 réais.
(8) - Selon HERVE c’est la plus grande du monde avec ses 300 Km
de côtes et ses 55 îles.
(9) - C’est la ville où l’on trouve le plus de noirs car au 16ème siècle les
esclaves arrivaient directement d’AFRIQUE pour le travail de la canne
à sucre. Mais les portugais en firent aussi une capitale économique.
(10) -Çà doit rappeler quelque chose aux ferus d’histoire de l’aviation.
(11) - c’est un pont de 14 Km qui traverse l’entrée de la baie de GUANABARA pour relier RIO à NITEROI, la grande ville voisine.
(12) - Il est vrai qu’au retour de BUZIOS, repassant sur ce pont nous
avons, oh surprise ! vu un avion passer au dessus du pont : le brouillard sans doute ....,
(13) - Un décalage sur l’horaire nous oblige à n’assister qu’à la 1ère mitemps.
(14) - Brigitte BARDOT a parrainé son lancement en 1962, une statue
d’elle, peu ressemblante, trône sur le port face à des statues de pêcheurs.
(15) - C’est un genre de jeep à grosses roues et découverte.
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Note de Michel : un circuit identique pourrait être organisé en 2005
(janvier ou mars par exemple). Les personnes qui souhaiteraient l’effectuer peuvent me contacter au 01 44 09 07 40 ou 06 03 01 09 99.
Par ailleurs, un autre circuit est à l’étude pour celles qui ont fait le premier. Il pourrait avoir lieu en novembre 2005 avec comme points de
chutes : Salvador, Rio, Parati, Angra dos Reis, Petropolis, Buzios et
pourquoi pas une extension en Amazonie…
Nous l’appellerons « Le Brésil, autrement… ). Me contacter…
Et enfin, merci pour tous vos « mercis », mais sachez que tout le plaisir a été pour moi en vous faisant découvrir ce pays pour lequel j’ai eu
le « coup de foudre ».
Galette des Rois à Paris le samedi 25 janvier 2003
(à bord de la péniche LE COMPIEGNE)
Mr, Mme, Mlle
..................................................................................................................................................................................
..................................................................................................................................................................................
téléphone : ....................................................................................
* Je joins un chèque de ....................... € (45
réserve pour
personne(s)
€ par personne)
DOCUMENT A
ENVOYER AVEC
(Chèque à l’ordre de l’Amicale GCTM)..
Les bulletins d’inscription sont à retourner avant le 31 décembre 2002 car dans les deux cas,
nous sommes dans l’obligation de confirmer rapidement nos options, avec des arrhes.
Amicale G.C.T.M chez Jacques CAILLE
7 sente des Groseilliers verts
77860 QUINCY-VOISINS
Veuillez établir des chèques distincts pour chacune des sorties
et pour la cotisation 2003 (10 €), à l’ordre de “Amicale GCTM”
Si vous ne participez à aucune de ces deux sorties, un petit courrier pour nous en aviser serait
souhaitable et, imaginez la joie du trésorier si vous réglez votre cotisation 2003 !
Si vous ne souhaitez plus recevoir nos courriers, évitez-nous les frais en nous le signalant...
ASSEMBLÉE GÉNÉRALE à LA GRANDE MOTTE - juin 2003
M. Mme, Mlle
.......................................................................................................................................
téléphone ...................................................................................................................
Je réserve un séjour pour
“3 JOURS” :
N’oubliez pas !
1er versement :
avant le 31 décembre 2002
2ème : avant le 31 mars 2003
personne(s)
DU MARDI 3 JUIN SOIR AU VENDREDI 6 JUIN (17
H) - 287 €
Comment régler ? 3 versements d’un tiers du forfait par personne (Chèque à l’ordre de Amicale GCTM) :
100 € avec la réservation dès que possible et avant le 31 décembre 2002
100 € avant le 31 mars 2003 et le solde sur place
“SEMAINE” :
DU SAMEDI 31 MAI SOIR AU VENDREDI 6 JUIN (17 H) : 480 €
Comment régler ? 3 versements d’un tiers du forfait par personne (Chèque à l’ordre de Amicale GCTM) :
160 € avec la réservation dès que possible et avant le 31 décembre 2002
160 € avant le 31 mars 2003 et le solde sur place
Veuillez noter que :
nous arriverons (j’arriverai) à la résidence ATC par nos (mes) propres moyens avant 19 heures
nous souhaitons (je souhaite) emprunter l’autocar qui assurera le transfert (gratuit) de la gare de