Analyse comparée des ouvrages parus en 2012 sur les services
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Analyse comparée des ouvrages parus en 2012 sur les services
ANALYSE COMPAREE DES OUVRAGES PARUS EN 2012 SUR LES SERVICES SECRETS FRANÇAIS « Espionnage à la française » Constantin Melnik (Ellipses, Paris, 2012, 261p) «Les Services secrets Français sont-ils nuls ?» Eric Denece (Ellipses, Paris, 2012, 392p) «Histoire politique des services secrets français» Roger Faligot , Jean Guisnel et Rémi Kauffer (La Découverte, Paris, 15/11/2012, 750p) 04/12/2012 TL / LB Avertissement et Copyright Ce document d’analyse, d’opinion, d'étude et/ou de recherche a été réalisé par un (ou des) membre(s) de l’AEGE. Préalablement à leurs publications et/ou diffusions, elles ont été soumises au Conseil scientifique de l'Association. L'analyse, l'opinion et/ou la recherche reposent sur l'utilisation de sources éthiquement fiables mais l'exhaustivité et l'exactitude ne peuvent être garantie. Sauf mention contraire, les projections ou autres informations ne sont valables qu'à la date de la publication du document, et sont dès lors sujettes à évolution ou amendement dans le temps. Le contenu de ces documents et/ou études n'a, en aucune manière, vocation à indiquer ou garantir des évolutions futures. Le contenu de cet article n’engage la responsabilité que de ses auteurs, il ne reflète pas nécessairement les opinions du (des) employeur(s), la politique ou l’opinion d’un organisme quelconque, y compris celui de gouvernements, d’administrations ou de ministères pouvant être concernés par ces informations. Et, les erreurs éventuelles relèvent de l’entière responsabilité des seuls auteurs. Les droits patrimoniaux de ce document et/ou étude appartiennent à l'Association, voire un organisme auquel les sources auraient pu être empruntées. Toute utilisation, diffusion, citation ou reproduction, en totalité ou en partie, de ce document et/ou étude ne peut se faire sans la permission expresse du(es) rédacteur(s) et du propriétaire des droits patrimoniaux. Executive summary Les trois livres1ont comme dénominateur commun le profond respect des femmes et des hommes, civils et militaires qui exercent au service de la France, dans la dignité et dans l’honneur, une profession peu valorisée dans notre pays. Ils s’attachent tous à faire appréhender à leur public la complexité de cette mission dans un environnement mouvant et complexe par essence, en décrivant sans fard de très nombreuses opérations conduites partout dans le monde durant les 70 dernières années. Les auteurs partagent dans leurs analyses respectives des pistes d’optimisation communes telles que l’accroissement des effectifs, des budgets, (ou le réalisme des objectifs assignés en regard des moyens humains, technologiques et financiers qui sont affectés) et de l’objectivation précise de leurs rôle et de leurs missions dans le cadre d’un plan stratégique clairement défini, inscrit dans la durée et régulièrement ajusté. A défaut, pour y parvenir les services devront diligenter des actions de force susceptibles d’êtremédiatisées plutôt que de mener leurs actions comme l’exige les normes feutrées de cette profession. Ils décrivent tous l’effroyable complexification d’un monde ayant quitté la bipolarisation, dans lequel les menaces se multiplient (terrorisme, guerre économique, émergence de nouveaux acteurs, compétition entre alliés, diffusion exponentielle des technologies…). Ils s’accordent enfin à penser que « la fonction crée l’organe » et comme les services français se sont créés, ont évolué et ont contribué à de nombreux conflits dans le monde, que les techniques militaires efficaces et d’une rare sobriété qu’ils ont alors développées les inspirenttoujours, elles les éloignent désormais de la société civile dont ils sont pourtant issus et pour laquelle ils œuvrent. L’approche des auteurs diffère pourtant par le niveau d’analyse, par leur passé, par leur style d’écriture et par l’objectif qu’ils poursuivent : Constantin Melnik développe dans ce livretestament l’approche au scalpel d’un homme d’Etat, à la vie passée d’abord au service de la France puis comme écrivain. Eric Dénecé, après un passage dans les services de renseignement militaires et à la Défense Nationale cherche à influer sur leur devenir par la capitalisation de leur histoire dans une approche universitaire et à mieux faire connaître leur action en recueillant des faits livrés par une communauté d’initiés qu’il anime et dont il distille certains éléments à la connaissance du public. Le triumvirat assez éclectique propose dans une construction chronologique une collection impressionnante d’actions qu’ils ont amassées en quarante ans et qu’ils traduisent dans le contexte politique et historique dans lequel elles ont été initiées et conduites. On note aussi des divergences telles que : Pour l’un le caractère inéluctable de la malédiction des services, pourtant nécessaires dans une démocratie, demeurera tant que les dirigeants ne les comprendront pas et qu’ils les craindront au lieu de les utiliser au mieux de l’intérêt national. Pour l’autre, la rédemption viendra par la société civile et par l’Académie qui diffusera cette culture dans les élites françaises. Et enfin pour le trio, si l’action fait vendre des livres ou des journaux, l’efficacité passe par l’ouverture à la société civile,(sans que les services ne perdent pour autant leur expertise militaire), par la réalisation d’économies d’échelle au niveau européen et le multi nationalisme des équipes d’analyse sans perdre pour autant le patriotisme qui en est la colonne vertébrale et par la définition de la place et d’un cadre d’opération dans lesquels des nouvelles missions comme l’intelligence 1 « Espionnage à la française » (Ellipses, Paris, 2012, 261p) écrit par Constantin Melnik, «Les Services secrets Français sont‐ils nuls ?» (Ellipses, Paris, 2012, 392p) écrit par Eric Dénecé, «Histoire politique des services secrets français» (La Découverte, Paris, 15/11/2012, 750p) Roger Faligot , Jean Guisnel et Rémi Kauffer . économique, la guerre contre le terrorisme et la lutte contre la prise d’otage doivent être conduites. Mots-clés 11ème choc, Abwehr, ALF,Américan Civil Liberties Union, ANR, AQMI, ASALA. BCRA, BCRAA, BCRAL, BMA, BND , C2FR, CAPCGRI, CCI, CERES, CERP, CEHD, CESD, CIA, CIR, Congressional Research Service, CNR, COS, CSI, DCPJ,DCRG, DCRI, DCSP, DGER, DGSE, DPSD, DRAC, DRM, DST, EGE, ELF, ELINT, ELISA, ESSAIM, FAAD, FARC, FBI, FLN, FPLP, FSB, GCMA, GIA, GIC, GLI, GRAVES, Groupement de Marche, GRU, HVA, HELIOS, Hudson Institute HVA, International & Security Studies, IOIF, IRSEM, IS, ISI, KGB, LAREGE, MALE, MI5,MI6, MNA, MNLA, MUSIS, National Security Éducation Program ,NUKE, NKVD, OAS, OSS, PCF, PHAROS, PNR, RECO-NG, Rand Corporation, QINGBAOBU, RG, RLP, SAC, SDECE, SDTI, SEKIGUN, SIRASCO, SIS, SRE, STASI, StB,UDBA,Vietminh, VNQDD, SDECE, Services secrets français, SGDN, TRACFIN, UNITA, Note de Synthèse .................................................................................................................................. 6 ANNEXES ............................................................................................................................................... 9 Annexe 1 : RESUME de :« Espionnage à la française »................................................................... 10 Annexe 2 : RESUME de «Les Services secrets Français sont-ils nuls ?»........................................ 15 Annexe 3 : RESUME de «Histoire politique des services secrets français» ..................................... 28 Annexe 4 : Notes de lecture Livre 1...........................................................Erreur ! Signet non défini. Annexe 5 : Notes de lecture Livre 2...........................................................Erreur ! Signet non défini. Annexe 6 : Notes de lecture Livre 3...........................................................Erreur ! Signet non défini. Note de Synthèse 2012 se retrouve sous le feu croisé de la publication 3 ouvrages traitant avec des grilles de lecture différentes de l’action des services de renseignement français depuis plus d’un siècle: « Espionnage à la française » (Ellipses, Paris, 2012, 261p) écrit par Constantin Melnik2 est une commande de Jean-Pierre Bénezet Directeur de la maison d’édition Ellipses, lancée sous forme de boutade : « Les services secrets sont-ils nuls ? ». La co-écriture de ce livre avec Eric Dénecé3, auteur du second ouvrage, a été un temps envisagée mais n’a pas été possible4. L’auteur présente un bilan assez désabusé des actions des services français de la deuxième guerre mondiale à la lutte moderne contre le terrorisme ; services qu’il a fréquenté de prêt pendant la guerre d’Algérie. Il identifie aussi méthodiquement que possible les raisons de leurs résultats en dent de scie qu’il présente comme autant de pistes pour optimiser leurs actions ou pour relativiser leurs échecs. Il décrit enfin l’usage fait de ces services par les gouvernants et les actions menées, qui les ont non seulement forgés mais qui ont aussi imprimé une image durable dans l’esprit des gouvernants successifs et dans l’opinion publique française. Selon lui, ce sont donc, des facteurs sociologiques, ethniques et culturels de la population française, la situation politique de la France à l’issue de la deuxième guerre mondiale, leur utilisation outrancière dans les guerres de décolonisation, les relations troubles tissées entre les services et les gouvernants successifs depuis la seconde guerre mondiale, la médiatisation de leurs échecs, le manque récurent de moyens, (la mauvaise utilisation des fonds aussi parfois), leur militarisation progressive, la décapitation régulière des services et des équipes, le manque de reconnaissance, qui contribuent principalement à réduire leur efficacité et à donner une image globalement négative des services et de leur action dans la population et dans la classe dirigeante. «Les Services secrets Français sont-ils nuls ?» (Ellipses, Paris, 2012, 392p) écrit par Eric Dénecé s’ouvre par une phrase de Talleyrand qui sonne comme un avertissement :"Tout ce qui est excessif est insignifiant". Elle fait bien entendu référence au titre dont nous savons qu’il s’agit d’une commande de l’éditeur prise à la lettre par l’auteur. L’introduction s’engage avec une polémique "Les français, sont-ils inaptes au renseignement?" qu’il fonde 2 né en 1927, 84 ans, agent de liaison du maquis niçois, major de l’IEP Paris, membre du 2ème bureau, travaille plusieurs années pour la Rand Corp, coordinateur des Services Secrets auprès du Premier ministre Michel Debré de 1959 à 1962, éditeur et homme de lettre). 3 (né en 1963 à Paris, diplômé d’un master en science politique (Paris 2) et un master en histoire des relations internationales (Paris 1). De 1986‐1989 officier de renseignement dans la marine puis au secrétariat général de la Défense nationale où il faisait du renseignement stratégique sur l’Asie du Sud‐Est, après plusieurs expériences dans le privé, directeur du C2FR depuis 2003) 4 NDLR : La co‐écriture de ce livre avec Eric Denece a été un temps envisagée mais n’a pas été possible tant leurs avis divergent sur les moyens utilisés par nos services pour remplir leur mission lors des guerres coloniales. Ce document d’analyse, d’opinion, d'étude et/ou de recherche a été réalisé par un (ou des) membre(s) de l’AEGE. Préalablement à leurs publications et/ou diffusions, elles ont été soumises au Conseil scientifique de l'Association. L'analyse, l'opinion et/ou la recherche reposent sur l'utilisation de sources éthiquement fiables mais l'exhaustivité et l'exactitude ne peuvent être garantie. Sauf mention contraire, les projections ou autres informations ne sont valables qu'à la date de la publication du document, et sont dès lors sujettes à évolution ou amendement dans le temps. Le contenu de ces documents et/ou études n'a, en aucune manière, vocation à indiquer ou garantir des évolutions futures. Le contenu de cet article n’engage la responsabilité que de ses auteurs, il ne reflète pas nécessairement les opinions du(des) employeur(s), la politique ou l’opinion d’un organisme quelconque, y compris celui de gouvernements, d’administrations ou de ministères pouvant êtres concernés par ces informations. Et, les erreurs éventuelles relèvent de l’entière responsabilité des seuls auteurs. Les droits patrimoniaux de ce document et/ou étude appartiennent à l'Association, voire un organisme auquel les sources auraient pu être empruntées. Toute utilisation, diffusion, citation ou reproduction, en totalité ou en partie, de ce document et/ou étude ne peut se faire sans la permission expresse du(es) rédacteur(s) et du propriétaire des droits patrimoniaux. sur des propos tenus par les transfuges Oleg Kaliouguine, Igor Preline, les Directeurs des Renseignements Alexandre de Marenches, Claude Silberzahn, Constantin Melnik et même par l’auteur John Le Carré. Il pose comme base que les services secrets français souffrent d’un déficit d'image, du peu d'importance que leur accorde les politiques, (soit qu’ils les sous-emploient par défiance ou par incrédulité soit qu’ils les utilisent dans leur intérêt personnel). Il exprime enfin le fait qu’en France, cette profession est fantasmée par le public, peu prisée par les élites et enfin qu’elle intéresse peu l’Académie. Son analyse conduit pourtant au constat d’une réussite honorable de nos services et de la qualité de ses personnels. Si des ratés médiatisés existent, leurs succès sont aussi tangibles. C’est donc la réponse qu’il donne à sa propre polémique et qu’il étaye au fil des cinq postures d’analyse qu’il prend successivement dans son livre : «le gène manquant dans la population française », « Talents gâchés », « Taupes modèles », «Raisons d'espérer » et les « Réformes ». Sa conclusion s’inscrit dans un nouveau débat qu’il structure autour de trois paradoxes : Le premier est que « les services sont globalement adaptés aux besoins de la République en regard des faibles moyens dont ils disposent, de leur utilisation parfois impropre, de l’absence d’une stratégie claire et durable des gouvernements successifs ». Il l’illustre ses propos par un certain nombre de points développés précédemment : Leur capacité à remplir les missions qui leur sont assignées se sont révélées probantes lors de la seconde guerre mondiale, lors de l’abandon du trop déséquilibré contre-espionnage pendant la guerre froide pour contribuer aux guerres de « décolonisation » et pour maintenir la présence de la France en Afrique, par leur complémentarité aux réseaux Foccart, par leur capacité à contribuer au succès de notre politique de dissuasion nucléaires, par leur comportement honorable pour contrer l’action du KGB, par leur efficacité contre le FLN, l’OAS et les groupes terroristes après les années 1970 et enfin, par la capacité des Renseignements Généraux à répondre efficacement aux demandes des préfets . Le second paradoxe est que « la France dispose pourtant d’une capacité opérationnelle, complète et autonome d’appréciation des crises internationales » , qu’il assoit de la même manière que le premier paradoxe : « même sans prédisposition naturelle comme les britanniques ou les israélien, sans culture du renseignement, malgré des politiques qui neutralisent ou décrédibilisent les services, sans que les services ne soient ni pilotés ni dirigés, même s’ils sont politisés à l’extrême, malgré leur fascination pour l’action, malgré des réformes insuffisamment réfléchies voulues pour accroître leur contrôle et non leur optimisation ». Le troisième paradoxe voit la réponse donnée dans l’énoncé : « son efficacité est proche bien qu’inférieure à celle de la GrandeBretagne pour un rapport coût / efficacité bien moindre ¼ des budgets et ½ des effectifs ». Il conclue en enfonçant trois nouveaux coins « les voies d’amélioration à explorer sont celle d’un renfort de l’effectif et de la dotation en budget suffisants pour que la France sorte de la « seconde division », « qu’il ne faut pas engager nos ressources sur un trop grand nombre de théâtres d'opération simultanés» et qu’« il est impératif de dépasser le blocage national vis-à-vis du renseignement comme l’ont fait avec efficacité les peuples Allemands et Japonais». «Histoire politique des services secrets français» (La Découverte, Paris, 15/11/2012, 750p) Roger Faligot5 , Jean Guisnel6 et Rémi Kauffer 7. Cet ouvrage a été écrit par des 5RF : Il a commencé sa carrière en Irlande, en Grande Bretagne, puis en Asie, ses investigations se sont aussi portées sur les services secrets anglo‐saxons et sur les organisations criminelles mondialisées. 6 JG : Il travaille pour le Point et le Télégramme, écrit aussi sur la faillite des services secrets américains. Ce document d’analyse, d’opinion, d'étude et/ou de recherche a été réalisé par un (ou des) membre(s) de l’AEGE. Préalablement à leurs publications et/ou diffusions, elles ont été soumises au Conseil scientifique de l'Association. L'analyse, l'opinion et/ou la recherche reposent sur l'utilisation de sources éthiquement fiables mais l'exhaustivité et l'exactitude ne peuvent être garantie. Sauf mention contraire, les projections ou autres informations ne sont valables qu'à la date de la publication du document, et sont dès lors sujettes à évolution ou amendement dans le temps. Le contenu de ces documents et/ou études n'a, en aucune manière, vocation à indiquer ou garantir des évolutions futures. Le contenu de cet article n’engage la responsabilité que de ses auteurs, il ne reflète pas nécessairement les opinions du(des) employeur(s), la politique ou l’opinion d’un organisme quelconque, y compris celui de gouvernements, d’administrations ou de ministères pouvant êtres concernés par ces informations. Et, les erreurs éventuelles relèvent de l’entière responsabilité des seuls auteurs. Les droits patrimoniaux de ce document et/ou étude appartiennent à l'Association, voire un organisme auquel les sources auraient pu être empruntées. Toute utilisation, diffusion, citation ou reproduction, en totalité ou en partie, de ce document et/ou étude ne peut se faire sans la permission expresse du(es) rédacteur(s) et du propriétaire des droits patrimoniaux. journalistes et écrivains qui n’ont cessé de traiter le sujet des services secrets au cours de leur carrière. Il présente une collection impressionnante de succès, mais aussi d’échecs de nos services sur les 70 dernières années tout en essayant de démontrer que les relations difficiles tissées avec le pouvoir politique ont pesé sur leur efficacité et sur leur image publique. Ce descriptif plutôt factuel est appuyé par 40 ans de collecte d’archives, d’interviews et de rencontres avec des agents. Les différents axes d’analyse présentés sont : le descriptif de leurs actions au cours de périodes qui ont marqué l’histoire de la France (le conflit de la seconde guerre mondiale, la guerre froide, la guerre totale contre la guérilla en Indochine, la guerre d’Algérie, les guerres secrètes dans le pré-carré Africain), l’inflexion apportée par certains dirigeants des services, par des politiques ou par l’évolution de la société qui ont conduit des « hommes « nouveaux », à des « pratiques nouvelles » et à des « réformes », et enfin à l’évolution des relations internationales notamment dans le « monde arabophone & musulman avec l’explosion de la menace terroriste » , aux « prises d’otages » et aux « guerre économique » qui s’imposent comme une réalité quotidienne. La relation avec le pouvoir, les affaires, l’utilisation qu’en ont fait leurs prédécesseurs influent sur la perception qu’en ont les politique et sur les budgets qu’ils allouent aux services, sur l’utilisation qu’ils en font et sur la manière dont ils les utilisent notamment dans des « disciplines nouvelles » telles que l’Intelligence économique, ou pour lutter contre les nouveaux type de conflits ou d’acteurs qui impactent nos intérêts et os ressortissants dans le monde. Depuis leur structuration dans le second conflit mondial, leur utilisation dans des guerres coloniales et dans les guerres secrètes sur le continent Africain, le monde a évolué. Il faut abattre des cloisons en acceptant une montée en puissance des civils, sans renier l’expertise des militaires et l’apport des nouvelles technologies. La mondialisation incite à construire leur avenir dans un contexte européen en confiant l’analyse à des équipes multinationales tout en conservant une collecte de renseignement purement nationale. Nous sommes en effet distancés sur le continent africain par les Américains et les Chinois, notre orientation vers les pays émergents n’est pas assez marquée d’autant que ces pays disposent désormais leurs propres services. Ces défis imposent le recrutement de jeunes toujours mieux éduqués, plus polyvalents et polyglottes. 7 RK : Il travaillant au Figaro et il est membre du comité de lecture d’Historia, il écrit aussi sur la corruption liée aux contrats d’armement. Ce document d’analyse, d’opinion, d'étude et/ou de recherche a été réalisé par un (ou des) membre(s) de l’AEGE. Préalablement à leurs publications et/ou diffusions, elles ont été soumises au Conseil scientifique de l'Association. L'analyse, l'opinion et/ou la recherche reposent sur l'utilisation de sources éthiquement fiables mais l'exhaustivité et l'exactitude ne peuvent être garantie. Sauf mention contraire, les projections ou autres informations ne sont valables qu'à la date de la publication du document, et sont dès lors sujettes à évolution ou amendement dans le temps. Le contenu de ces documents et/ou études n'a, en aucune manière, vocation à indiquer ou garantir des évolutions futures. Le contenu de cet article n’engage la responsabilité que de ses auteurs, il ne reflète pas nécessairement les opinions du(des) employeur(s), la politique ou l’opinion d’un organisme quelconque, y compris celui de gouvernements, d’administrations ou de ministères pouvant êtres concernés par ces informations. Et, les erreurs éventuelles relèvent de l’entière responsabilité des seuls auteurs. Les droits patrimoniaux de ce document et/ou étude appartiennent à l'Association, voire un organisme auquel les sources auraient pu être empruntées. Toute utilisation, diffusion, citation ou reproduction, en totalité ou en partie, de ce document et/ou étude ne peut se faire sans la permission expresse du(es) rédacteur(s) et du propriétaire des droits patrimoniaux. ANNEXES Ce document d’analyse, d’opinion, d'étude et/ou de recherche a été réalisé par un (ou des) membre(s) de l’AEGE. Préalablement à leurs publications et/ou diffusions, elles ont été soumises au Conseil scientifique de l'Association. L'analyse, l'opinion et/ou la recherche reposent sur l'utilisation de sources éthiquement fiables mais l'exhaustivité et l'exactitude ne peuvent être garantie. Sauf mention contraire, les projections ou autres informations ne sont valables qu'à la date de la publication du document, et sont dès lors sujettes à évolution ou amendement dans le temps. Le contenu de ces documents et/ou études n'a, en aucune manière, vocation à indiquer ou garantir des évolutions futures. Le contenu de cet article n’engage la responsabilité que de ses auteurs, il ne reflète pas nécessairement les opinions du(des) employeur(s), la politique ou l’opinion d’un organisme quelconque, y compris celui de gouvernements, d’administrations ou de ministères pouvant êtres concernés par ces informations. Et, les erreurs éventuelles relèvent de l’entière responsabilité des seuls auteurs. Les droits patrimoniaux de ce document et/ou étude appartiennent à l'Association, voire un organisme auquel les sources auraient pu être empruntées. Toute utilisation, diffusion, citation ou reproduction, en totalité ou en partie, de ce document et/ou étude ne peut se faire sans la permission expresse du(es) rédacteur(s) et du propriétaire des droits patrimoniaux. Annexe 1 : RESUME de : « Espionnage à la française » A 84 ans, le coordinateur des Services Secrets sous le Général de Gaulle présente un bilan « sans langue de bois » et assez désabusé des actions des services français menées sur les 70 dernières années : de la deuxième guerre mondiale à la lutte moderne contre le terrorisme. Il identifie ainsi méthodiquement les raisons de ces résultats en dent de scie, qui sont autant de pistes pour optimiser leur action ou pour relativiser leurs échecs. Enfin, il présente l’usage fait des services par les gouvernants et les actions qui les ont non seulement forgés mais qui ont aussi imprimé une image durable dans la population française et dans l’esprit des gouvernants lorsqu’elles furent médiatisées. Cet ouvrage est une commande JeanPierre Benezet Directeur d la maison d’édition Ellipse sur le thème de « Les services secrets sont-ils nuls ? ». Une co-écriture de ce livre avec Eric Dénecé a été un temps envisagé mais n’a pas été possible. La deuxième guerre mondiale est l’occasion de faire l’éloge des services et des personnes engagés dans la population qui permirent de « recruter Hans-Thiele Schmidt officier du chiffre nazi », qui contribuèrent à dupliquer la machine Énigma (l’outil du chiffre Allemand) ou bien de dérober les plans du mur de l'Atlantique. Il cite aussi le succès des services intérieurs nouvellement recréés à la Libération qui menèrent sur la base d’archives complètes des services secrets Allemands, l’épuration des collaborateurs : « ce fut aussi facile que de voler un aveugle ». Pendant la Guerre d'Indochine, dans un contexte où l’élite française considérait l’empire comme déjà perdu, les services extérieurs réussirent à casser le code du chiffre Vietnamien et à créer des unités de supplétifs pour constituer un maquis autochtone. Il souligne, sur la base d’une source non identifiée la possibilité qu’un ou des dirigeants français ai(ent) travaillé(s) en faveur du Vietminh. Pendant la Guerre d'Algérie, les services extérieurs sont particulièrement actifs et remportent des succès indéniables, parfois ( souvent») au prix d’actes n’ayant pas droit de cité dans une démocratie : ils réussissent à casser le code des transmissions du FLN, à prévenir le général de Gaulle du putsch d’Alger en 1961 8 heure avant son déclanchement, sur la base des fichiers de la DST à dresser les fiches de police sur les dirigeants FLN, de procéder à des arrestations, mais aussi à commettre des actes de tortures et des exécutions principalement pendant la bataille d’Alger. Leur action dans les opérations « homo » de « la main rouge » effectuées contre des trafiquants d'arme, des cadres FLN, Ben Barka sont toutes Ce document d’analyse, d’opinion, d'étude et/ou de recherche a été réalisé par un (ou des) membre(s) de l’AEGE. Préalablement à leurs publications et/ou diffusions, elles ont été soumises au Conseil scientifique de l'Association. L'analyse, l'opinion et/ou la recherche reposent sur l'utilisation de sources éthiquement fiables mais l'exhaustivité et l'exactitude ne peuvent être garantie. Sauf mention contraire, les projections ou autres informations ne sont valables qu'à la date de la publication du document, et sont dès lors sujettes à évolution ou amendement dans le temps. Le contenu de ces documents et/ou études n'a, en aucune manière, vocation à indiquer ou garantir des évolutions futures. Le contenu de cet article n’engage la responsabilité que de ses auteurs, il ne reflète pas nécessairement les opinions du(des) employeur(s), la politique ou l’opinion d’un organisme quelconque, y compris celui de gouvernements, d’administrations ou de ministères pouvant êtres concernés par ces informations. Et, les erreurs éventuelles relèvent de l’entière responsabilité des seuls auteurs. Les droits patrimoniaux de ce document et/ou étude appartiennent à l'Association, voire un organisme auquel les sources auraient pu être empruntées. Toute utilisation, diffusion, citation ou reproduction, en totalité ou en partie, de ce document et/ou étude ne peut se faire sans la permission expresse du(es) rédacteur(s) et du propriétaire des droits patrimoniaux. inexcusables. Un extraordinaire maillage des ports européens permit néanmoins l’identification de cargaisons d’armes pour le FLN et avec l’aide de la Marine Nationale d’arraisonner en pleine mer le cargo tchèque "Lidice". (Cela n’empêchât pas le politique de donner l’ordre de laisser arriver à bon port un cargo soviétique contenant des armes). Sur le front du renseignement humain, le Colonel Mercier obtiendra du Procureur Général les rapports d’écoutes des dirigeants FLN basés en Suisse. Au niveau du renseignement électronique, une bretelle fut posée entre la résidence de Bourguiba (soutien du FLN) et l’ambassade de France à Tunis. Des fonds furent par contre inutilement dépensés pour acheter une usine d'arme en Suisse. Les services secrets furent enfin sollicités avec succès pour prendre contact avec des plénipotentiaires pour négocier la fin de la guerre. Pour la période de la Guerre froide, des sources telles que les transfuges (le Général Kaliouguine, un analyste du KGB Golitsyne, Mitrokhine archiviste du KGB 1991 retourné par le MI6) décrivent des échecs de la DST : pour Kaliouguine « des agents français étaient débriefés quotidiennement à l’ambassade d’URSS, un dirigeant de la DGSE y fut même conduit caché dans le coffre d’une voiture pour le même motif». Selon Golitsyne : « il y eut plus de 6 grands agents russes dans le gouvernement. Pour Mitrokhine : « 60 personnes dont 1 ministre, 1 dirigeant socialiste, 2 directeurs de journaux étaient des agents russes» et ils ne furent jamais identifiés. Il dit aussi que « les soviétiques disposèrent d’un profil complet du général de Gaulle, rédigé par le résident principal de Téhéran Avayantz à la suite de conversations privées. Seules l’arrestation, sur information de la CIA, de Georges Pâque traducteur de l’OTAN, agent russe pendant 20 ans et son aveu de culpabilité ainsi que l’affaire Vetrov / Farewell font office de succès. Du point de vue du renseignement: La France ne dispose pas de section d'analyse spécialisée sur l’URSS jusqu'en 1965 : le général de Gaulle devant rencontrer Kroutchev se vit remettre une simple fiche de police avec son parcours militaire. Il souligne l’incapacité à casser le code du chiffre soviétique, l’absence d’imagination pour y remédier en ne tentant même pas de recruter un officier des transmissions. Il insiste sur l’échec quant à retourner un quelconque agent russe en Afrique, pourtant terrain de jeu des Français (pas plus qu’en France d’ailleurs), alors qu’ils étaient éminemment vulnérables. Il stigmatise l’arrestation du Chef de Poste de Budapest en 1956 (ayant « omis » de prévenir ses services de l’imminence de l’intervention soviétique), ainsi que le rappel de l’ambassadeur de France à Moscou Maurice Dejean piégé par une « hirondelle » du KGB. Un succès qui demande à être confirmé rompt la monotonie de cette liste et serait la possible alerte à la CIA de la présence de missiles à Cuba et plus sûrement le démontage [sic les photographies des débris] du Tupolev [après son crash], laissé[s] sans surveillance dans un hangar au Bourget. Côté « action » sont pointés l’échec et la mort de résistants Ukrainiens parachutés, (échec partagé par ses autres contributeurs l’Intelligence Service et la CIA), l’infiltration par le NKVD de réseaux de résistance dormants de l'OTAN en Europe Ce document d’analyse, d’opinion, d'étude et/ou de recherche a été réalisé par un (ou des) membre(s) de l’AEGE. Préalablement à leurs publications et/ou diffusions, elles ont été soumises au Conseil scientifique de l'Association. L'analyse, l'opinion et/ou la recherche reposent sur l'utilisation de sources éthiquement fiables mais l'exhaustivité et l'exactitude ne peuvent être garantie. Sauf mention contraire, les projections ou autres informations ne sont valables qu'à la date de la publication du document, et sont dès lors sujettes à évolution ou amendement dans le temps. Le contenu de ces documents et/ou études n'a, en aucune manière, vocation à indiquer ou garantir des évolutions futures. Le contenu de cet article n’engage la responsabilité que de ses auteurs, il ne reflète pas nécessairement les opinions du(des) employeur(s), la politique ou l’opinion d’un organisme quelconque, y compris celui de gouvernements, d’administrations ou de ministères pouvant êtres concernés par ces informations. Et, les erreurs éventuelles relèvent de l’entière responsabilité des seuls auteurs. Les droits patrimoniaux de ce document et/ou étude appartiennent à l'Association, voire un organisme auquel les sources auraient pu être empruntées. Toute utilisation, diffusion, citation ou reproduction, en totalité ou en partie, de ce document et/ou étude ne peut se faire sans la permission expresse du(es) rédacteur(s) et du propriétaire des droits patrimoniaux. ou plus simplement celle des Syndicats ouvriers, ainsi que l’achat (inutile) d’un immeuble jouxtant l'ambassade russe (dont les murs étaient blindés empêcheront toute écoute). Dans cette même période et sur un autre continent, il cite l’échec de l’opération Saphir qui fut de 1958 à 1973 une guerre subversive pour renverser le dirigeant de la Guinée, Sékou Touré, et ramener ce pays dans le giron de l'ancienne métropole. La politique parallèle est-elle, citée en modèle notamment sur le soutien à l'église catholique polonaise, le rapprochement de la France et de l'Allemagne et la capacité d’éviter toute condamnation de la France à l'ONU pour ses guerres néocolonialistes ». Durant la période plus récente de guerre contre le terrorisme, il cite des succès comme l’identification de l'origine iranienne des attentats de 1985/86 à la suite du changement d’allégeance (spontanée) d'un terroriste tunisien mais il rappelle aussi que ces attentats ne furent jamais anticipés. Il parle aussi d’action dans la lutte contre les armes, la drogue et la contrefaçon, de la proposition rejetée par le gouvernement de mener une opération « homo » suite à ces attentats, du montage de deux attentats ratés contre l'ambassade de Syrie en représailles de l’attentat du Liban. S’il se gausse que les services extérieurs aient« presque attrapé Carlos », il loue la diplomatie parallèle qui permit de négocier avec le gouvernement Soudanais son arrestation. Il cite de possibles actions de représailles au Liban après un attentat ainsi qu’une possible mise en garde de la CIA contre le danger de former des talibans fanatiques et contre un potentiel djihadiste prenant des cours de pilotage. Au-delà des fait il modélise les clés de l’efficacité et de la réussite opérationnelle des services: L’ouverture au monde d’une société est primordiale car de cette ouverture dépendent la capacité à ’identifier une menace ainsi que la proximité et la connaissance nécessaires pour comprendre l’adversaire, d’approcher une cible ou se fondre dans le paysage à l’étranger dans le cadre d’une infiltration. De « l’identification d’une menace dépend l’envie de la population de coopérer avec les services ou de les intégrer, mais aussi du sentiment de sécurité qui sera partagé (ou non) par les élites. Dans notre cas, le français ne s’intéresse pas au reste du monde car il vit historiquement en autosuffisance et qu’au début de la guerre froide après un rejet du nazisme, l’URSS n’était pas vue par toute la population comme un danger. Ainsi, sans notion de risque partagée entre les décideurs et leur peuple, point d’allocation de nouveaux moyens, point d’objectif précis assigné aux services. Par exemple le Général Grossin nommé par le général de Gaulle le fut sans objectif précis ni de moyens. Dans les années 70, un successeur Alexandre De Marenches apparaît dans ses ‘’fantasques mémoires’’ comme mu non par des objectifs précis mais par un anti-communiste primaire . L’auteur remarque aussi que l’éviction brutale frappe généralement les chefs des services : le Général Passy, le Colonel Paillole (un joueur de tennis copain de Foccart), le Général Grossin et son Ce document d’analyse, d’opinion, d'étude et/ou de recherche a été réalisé par un (ou des) membre(s) de l’AEGE. Préalablement à leurs publications et/ou diffusions, elles ont été soumises au Conseil scientifique de l'Association. L'analyse, l'opinion et/ou la recherche reposent sur l'utilisation de sources éthiquement fiables mais l'exhaustivité et l'exactitude ne peuvent être garantie. Sauf mention contraire, les projections ou autres informations ne sont valables qu'à la date de la publication du document, et sont dès lors sujettes à évolution ou amendement dans le temps. Le contenu de ces documents et/ou études n'a, en aucune manière, vocation à indiquer ou garantir des évolutions futures. Le contenu de cet article n’engage la responsabilité que de ses auteurs, il ne reflète pas nécessairement les opinions du(des) employeur(s), la politique ou l’opinion d’un organisme quelconque, y compris celui de gouvernements, d’administrations ou de ministères pouvant êtres concernés par ces informations. Et, les erreurs éventuelles relèvent de l’entière responsabilité des seuls auteurs. Les droits patrimoniaux de ce document et/ou étude appartiennent à l'Association, voire un organisme auquel les sources auraient pu être empruntées. Toute utilisation, diffusion, citation ou reproduction, en totalité ou en partie, de ce document et/ou étude ne peut se faire sans la permission expresse du(es) rédacteur(s) et du propriétaire des droits patrimoniaux. équipe, Pierre Marion (un "copain de loge»,qui eut le néanmoins le mérite d’innover en essayant de faire du recrutement dans les services secret une alternative aux recales de l'ENA, d’innover par un rapprochement monde industriel et de créer une cellule anti-terroriste). Il semble donc clair pour l’auteur que l’intérêt pour un tel poste par un profil de qualité ne peut s’opérer sans valorisation ni respect par le politique. On peut enfin remarquer que le Général Mermet trouve grâce aux yeux de l’auteur pour avoir créé la DRM en 1991 après la première Guerre du Golfe. Au-delà de la dimension même des gouvernants, des dirigeants qu’ils nomme à la tête des services, des objectifs qu’ils leur assignent et des moyens qu’il leur allouent, la réussite est aussi liée à la qualité du matériel humain et aux compétences naturelles des populations: En schématisant, on peut dire que le français a une appétence particulière pour la délation ce qui facilite le travail des services intérieurs et qu’il est plutôt doué, à l’instar des russes, pour les mathématiques, (c’est une compétence très utile pour le décryptage donc les interceptions). L’attractivité du métier et de sa perception par les foules demeure un facteur de qualité du recrutement de meilleurs profils. La méthodologie employée par les services est toute aussi importante, elle demande à la fois du « cloisonnement » mais elle oblige donc à de la « coordination » et à une « réelle inventivité ». Pour le recrutement des informateurs, la méthode traditionnelle française s’apparente plus à de la manipulation que du développement de conditions favorables. Concernant le recueil d’information, le format fiche de police est plus usité que celui d’une analyse environnementale et d’une anticipation des comportements. De plus, le renseignement et l’approche psychologique sont moins valorisés que l'action physique: le Service Action et ses opérations illégales sont grandement idéalisés. Ces penchants ont un impact direct sur les profils recrutés qui ne viennent pas de la société civile mais du monde militaire « à la vue basse ». Un service ne peut pas non plus fonctionner sans étanchéité, ni loyauté, ni intégrité des gouvernants envers lui et réciproquement. Cela n’a pas toujours été le cas dans leur histoire récente. Un service ne peut pas non plus fonctionner de manière optimum sans liaison avec d'autre services, ni sans coordination avec la diplomatie officielle. Signalons au passage que la diplomatie française est présentée comme inefficace et qu’elle nourrit à l’égard des services extérieurs une opposition que l’on peut qualifier de « bête et méchante ». A contrario la diplomatie parallèle, notamment celle réalisée par Maître Jean Violet (avocat et ami de Pie XII, (qui fut lui aussi brutalement limogé et récupéré par la DST) fut proprement remarquable. Elle fut à l’origine de la mention explicite de « la libre circulation des hommes et des idées » dans l’URSS en échange de la reconnaissance officielle de ses frontières ; « ce qui mit le ver dans le fruit et contribua à la chute de l’empire soviétique ». Selon les périodes politiques, les services français ont traversés des crises médiatisées ou non qui ont forgé leur identité mais aussi leur image dans l’opinion Ce document d’analyse, d’opinion, d'étude et/ou de recherche a été réalisé par un (ou des) membre(s) de l’AEGE. Préalablement à leurs publications et/ou diffusions, elles ont été soumises au Conseil scientifique de l'Association. L'analyse, l'opinion et/ou la recherche reposent sur l'utilisation de sources éthiquement fiables mais l'exhaustivité et l'exactitude ne peuvent être garantie. Sauf mention contraire, les projections ou autres informations ne sont valables qu'à la date de la publication du document, et sont dès lors sujettes à évolution ou amendement dans le temps. Le contenu de ces documents et/ou études n'a, en aucune manière, vocation à indiquer ou garantir des évolutions futures. Le contenu de cet article n’engage la responsabilité que de ses auteurs, il ne reflète pas nécessairement les opinions du(des) employeur(s), la politique ou l’opinion d’un organisme quelconque, y compris celui de gouvernements, d’administrations ou de ministères pouvant êtres concernés par ces informations. Et, les erreurs éventuelles relèvent de l’entière responsabilité des seuls auteurs. Les droits patrimoniaux de ce document et/ou étude appartiennent à l'Association, voire un organisme auquel les sources auraient pu être empruntées. Toute utilisation, diffusion, citation ou reproduction, en totalité ou en partie, de ce document et/ou étude ne peut se faire sans la permission expresse du(es) rédacteur(s) et du propriétaire des droits patrimoniaux. publique: La IVème République a vécu les périodes troubles de l’Indochine et de l’Algérie. Cette époque est marquée par le rôle prépondérant joué par Jacques Foccart dit « le[a] Phoque ou le Bacille » et par l’absence du SDECE dans la création de la FrancAfrique. L’action n’a pasporté sur non plus sur l'Amérique Sud et assez peu sur les pays émergents. Les services sont plutôt cités pour leur contribution au retour et au maintien au pouvoir du général de Gaulle ainsi que pour des « barbouzerie ». C’est la grande période d’ouverture des valises diplomatiques, de l’affaire Markovic, de la réception par de Gaulle du chef de la Wilaya Si Salah et pour ne pas avoir sollicité le SDECE pour mener des négociations plus tôt avec le FLN. Sous Pompidou et sous Giscard on peut noter le limogeage du Général Rondot, récupéré par la DST et l’utilisation du SDECE comme Instrument d'ingérence en Afrique. On note aussi de graves lacunes : pas d’étude prospective sur le Moyen-Orient notamment sur l’Iran et sur Khomeiny, ni sur le monde économique et la finance. Après 1981 l’image d’un service militarisé, qui commet des impairs médiatisées s’impose: Une opération aux USA de vol de secrets industriels, le flop des irlandais de Vincennes, les écoutes de journalistes du Monde, l’affaire du Rainbow Warrior, le flop de la libération d’Ingrid Betancourt se succèdent. A cela on peut opposer certains succès : l’infiltration de Greenpeace, 5 attachés de la CIA essayant de recruter des négociateurs du GATT virés sous l’ère Pasqua. Les facteurs sociologiques ethniques et culturels de la population française et des méthodes utilisées, la situation particulière de la France à l’issue de la deuxième guerre mondiale, l’implication dans les guerres de décolonisation, les relations troubles tissées entre les services et les gouvernants successifs depuis la seconde guerre mondiale, la médiatisation des échecs, le manque récurent de moyens, la mauvaise utilisation des fonds parfois, la militarisation progressive, les décapitations régulières à la tête des service et dans les équipes mais aussi le manque de reconnaissance, contribuent à donner l’image globalement négative des services et de leur action dans la population et dans la classe dirigeante. Ce document d’analyse, d’opinion, d'étude et/ou de recherche a été réalisé par un (ou des) membre(s) de l’AEGE. Préalablement à leurs publications et/ou diffusions, elles ont été soumises au Conseil scientifique de l'Association. L'analyse, l'opinion et/ou la recherche reposent sur l'utilisation de sources éthiquement fiables mais l'exhaustivité et l'exactitude ne peuvent être garantie. Sauf mention contraire, les projections ou autres informations ne sont valables qu'à la date de la publication du document, et sont dès lors sujettes à évolution ou amendement dans le temps. Le contenu de ces documents et/ou études n'a, en aucune manière, vocation à indiquer ou garantir des évolutions futures. Le contenu de cet article n’engage la responsabilité que de ses auteurs, il ne reflète pas nécessairement les opinions du(des) employeur(s), la politique ou l’opinion d’un organisme quelconque, y compris celui de gouvernements, d’administrations ou de ministères pouvant êtres concernés par ces informations. Et, les erreurs éventuelles relèvent de l’entière responsabilité des seuls auteurs. Les droits patrimoniaux de ce document et/ou étude appartiennent à l'Association, voire un organisme auquel les sources auraient pu être empruntées. Toute utilisation, diffusion, citation ou reproduction, en totalité ou en partie, de ce document et/ou étude ne peut se faire sans la permission expresse du(es) rédacteur(s) et du propriétaire des droits patrimoniaux. Annexe 2 : RESUME de «Les Services secrets Français sont-ils nuls ?» Ce livre s’ouvre par une phrase de Talleyrand qui sonne comme un avertissement :"Tout ce qui est excessif est insignifiant". Elle fait bien entendu référence au titre. Dès l’introduction, il lance une polémique "Les français, sont-ils inaptes au renseignement?" qu’il fonde sur des propos tenus par les transfuges Oleg Kaliouguine, Igor Preline, les Directeurs des Renseignements Alexandre de Marenches, Claude Silberzahn, le coordonnateur du renseignement sous De Gaulle Constantin Melnik et même par l’auteur John Le Carré. Il explique aussi que les services secrets français souffrent d’un déficit d'image, du peu d'importance que leur accorde les politiques, soit qu’ils les sous-emploient par défiance ou par incrédulité soit qu’ils les utilisent parfois pour assouvir leur intérêt personnel. Il exprime enfin le fait qu’en France, cette profession est fantasmée par le public, peu prisée par les élites et qu’elle intéresse peu l’Académie. Le premier postulat analysé est celui d’un « gène manquant" dans la population française. Dans la culture anglo-saxonne, la profession du « Renseignement » est considérée comme noble, honorable et patriotique. Elle participe à l’efficacité car elle contribue à éviter les risques. Les membres de la société civile : les universitaires, les intellectuels, les parlementaires, les membres de l'administration, lui apportent facilement leur contribution, d’autant qu’elle revêt pour les responsables de la sphère publique, une importance majeure ; car elle permet la projection de la volonté de puissance de l'Etat dans sa stratégie politique et diplomatique. A contrario en France ce sont l’honneur & l’héroïsme qui font recette. Pourle Français, « la beauté du geste compense l'insuffisance de résultats ». Le Français nourrit une prévalence pour l'action, il n’a pas de culture stratégique et reste "Gaulois" dans l’âme ; c’est à dire: créatif, énergique, imprévoyant, inconstant. C’est un terrien, qui n’a pas besoin d'aller ailleurs pour s'enrichir. Il a une légère préférence pour la protection d'où la faveur qu’il donne au contre-espionnage. Il voue un culte aux titres obtenus avant 25 ans, il rejette les idées des autres, il est arrogant et a une prédilection pour les modèles et les idées au détriment des faits. En bref, le Renseignement ne fait pas partie de son processus de décision. Cette profession est considéré comme perfide et indigne, ses acteurs sont par nature malhonnêtes, manipulateurs, pervers, souffrant d'une pathologie, aimant le mensonge et le complot. Ce document d’analyse, d’opinion, d'étude et/ou de recherche a été réalisé par un (ou des) membre(s) de l’AEGE. Préalablement à leurs publications et/ou diffusions, elles ont été soumises au Conseil scientifique de l'Association. L'analyse, l'opinion et/ou la recherche reposent sur l'utilisation de sources éthiquement fiables mais l'exhaustivité et l'exactitude ne peuvent être garantie. Sauf mention contraire, les projections ou autres informations ne sont valables qu'à la date de la publication du document, et sont dès lors sujettes à évolution ou amendement dans le temps. Le contenu de ces documents et/ou études n'a, en aucune manière, vocation à indiquer ou garantir des évolutions futures. Le contenu de cet article n’engage la responsabilité que de ses auteurs, il ne reflète pas nécessairement les opinions du(des) employeur(s), la politique ou l’opinion d’un organisme quelconque, y compris celui de gouvernements, d’administrations ou de ministères pouvant êtres concernés par ces informations. Et, les erreurs éventuelles relèvent de l’entière responsabilité des seuls auteurs. Les droits patrimoniaux de ce document et/ou étude appartiennent à l'Association, voire un organisme auquel les sources auraient pu être empruntées. Toute utilisation, diffusion, citation ou reproduction, en totalité ou en partie, de ce document et/ou étude ne peut se faire sans la permission expresse du(es) rédacteur(s) et du propriétaire des droits patrimoniaux. Les « affaires » qui impliquent les services sont nombreuses et elles émaillent régulièrement les médias dont se nourrit l’inconscient collectif: la légendaire et fondatrice« affaire Dreyfus » est imputée au renseignement militaire. Se succèdent ensuite l’affaire « Passy » qui se voit accusé de détournement de fonds en 1945, l’affaire « Markovic » en 1968, l’utilisation de la DST pour démanteler l'OAS et pour espionner les partis, l’affaire des plombiers au « Le Canard » en 1973, l’affaire « Carbone 14 », l’attentat contre le «Rainbow Warrior» en 1985, la création du GAM et l’affaire des « irlandais de Vincennes », la cellule d’écoutes de l'Elysée de 1983 à 1986, l’enquête sur le détournement de la rançon des otages Liban sous l’ère Pasqua/Marianni en 1988, les écoutes en 2000. On assiste aussi à un amalgame entre la notion de Service Action piloté par les gouvernements et le Renseignement: les détournements de mission du SDECE par le général de Gaulle afin de reprendre le pouvoir en utilisant les forces de réserve du 11ème Choc pour briser des grèves et « taper sur des cocos », l’utilisation des services de renseignement militaire pour commettre des attentats ou perpétrer des enlèvements comme celui de« Ben Barka » en 1965, en sont des exemples. La notion de réseaux parallèles émerge avec l’intervention de Bob Denard au Congo, le SAC, la « Foccardisation » du SDECE, le voyage de VGE à Varsovie pour rencontrer Brejnev, l’affaire Elf…. Plus récemment des affaires comme « Renault » éclabousse aussi le secteur privé. Après 2001, la presse française traite de ces sujets à l’échelle mondiale en faisant montre soit d’incompétence, soit de partialité et elle fait émerger des thèses d'inefficacité du renseignement pour éviter le 11 septembre (voire d'auto-attentat). A la suite de l'attentat suicide contre la base de la CIA à Khost, la publication du rapport de Michael Flynn/Pottinger/Bachelorelle développe la thèse de « l’échec du Renseignement en Afghanistan » et donne une caisse de résonance aux mots d’Obama « notre système a failli ». Même l’affaire Farewell, tant portée aux nues, a été publiée en 1985 par Edwy Plenel contre l’avis de l’Elysée, mettant à mal la diplomatie Française avec l’URSS pour plusieurs années. Les services sont utiles pourtant : Le renversement de Bokassa en 1979 (même si VGE traite directement avec le chef du Service Action au grand dam du Directeur du SDECE), les informations collectées lors d'un round du GATT, la libération des otages français détenus en Irak en 1983, l’affaire Farewell en 1985, l’attentat avorté sur le vol Amsterdam/Détroit en 2009 le démontrent. Pourtant les présidents de la République nourrissent envers les « Services » une vision fausse : ils sont considérés comme omniscients et s'ils ne répondent pas immédiatement, ils sont traités d’incapables. Les deux mandatures du général de Gaulle mettent les services sous le coup d’une injonction paradoxale : soit le SDECE est appelé "le Guignol" », soit « plus il est efficace, plus il est ressenti par le Président comme dangereux ». Pompidou, vexé de ne plus les diriger depuis l’affaire "Ben Barka" les qualifie en ces termes « n'importe quel banquier en sait 100 Ce document d’analyse, d’opinion, d'étude et/ou de recherche a été réalisé par un (ou des) membre(s) de l’AEGE. Préalablement à leurs publications et/ou diffusions, elles ont été soumises au Conseil scientifique de l'Association. L'analyse, l'opinion et/ou la recherche reposent sur l'utilisation de sources éthiquement fiables mais l'exhaustivité et l'exactitude ne peuvent être garantie. Sauf mention contraire, les projections ou autres informations ne sont valables qu'à la date de la publication du document, et sont dès lors sujettes à évolution ou amendement dans le temps. Le contenu de ces documents et/ou études n'a, en aucune manière, vocation à indiquer ou garantir des évolutions futures. Le contenu de cet article n’engage la responsabilité que de ses auteurs, il ne reflète pas nécessairement les opinions du(des) employeur(s), la politique ou l’opinion d’un organisme quelconque, y compris celui de gouvernements, d’administrations ou de ministères pouvant êtres concernés par ces informations. Et, les erreurs éventuelles relèvent de l’entière responsabilité des seuls auteurs. Les droits patrimoniaux de ce document et/ou étude appartiennent à l'Association, voire un organisme auquel les sources auraient pu être empruntées. Toute utilisation, diffusion, citation ou reproduction, en totalité ou en partie, de ce document et/ou étude ne peut se faire sans la permission expresse du(es) rédacteur(s) et du propriétaire des droits patrimoniaux. fois plus ». Sous Giscard, ils sont « infréquentables, indignes, inefficaces, les solliciter c’est comme "coucher avec la bonne" ». Il a peur qu’ils exercent une diplomatie secrète à son insu et d’être sous leur surveillance; il diligente ainsi des visites inopinées au GIC. Grâce est rendue à Raymond Barre, coordinateur du renseignement de 1976 à 1981 qui octroiera plus de moyens à la DST et à la DGSE. Sous Mitterrand ils sont taxés d’être une « coûteuse fumisterie vecteur de l'influence US ». Michel Rocard est plus ouvert, il déplore néanmoins « la transmission de faits bruts sans évaluation contradictoire, non concerté à la vision principalement militaire ». Il tente d’impulser au SDECE, la notion d’intérêt national de la France vu au plan commercial, technologique, financier en contrepoint de l’approche militaire et anti-terroriste qui le caractérise alors. L’ère Chirac est marquée par la défiance, l’ère Sarkozy est un rendez-vous manqué qui impose néanmoins la nécessité de l'IE et qui envisage même une collaboration entre les Services et les entreprises comme Renault, Citroën, Thomson, CGE et Péchinet à l’instar du SDECE et d’ELF dans les années 60. En comparaison, les USA ne se limitent pas aux seuls services secrets : l’Etat et les entreprises disposent d’autres ressources telles que la Rand Corporation, l’International & Security Studies, l’Hudson Institute, l’Américan Civil Liberties Union et le Congressional Research Service. Le second postulat analysé s’intitule « Talents gâchés » Il décrit les orientations qu’un gouvernement doit assigner à ses services de Renseignement sous la forme de questions: Quelles informations doivent-ils recueillir? Quels buts doivent-ils atteindre? Quelles priorités leur sont-elles fixées ? Quels délais (réalistes) leur sont-ils donnés ? Ces questions doivent trouver une réponse dans les Plans Nationaux de Renseignement : En 1946 sont privilégiés la sécurité de l'union Française, la sécurité interne & externe ainsi que la surveillance de l’Allemagne. En 1948 dans un contexte de nouvelle guerre mondiale possible sont fixés les objectifs suivants : Action soviétique en Europe, Afrique et Moyen- Orient, action des Anglo-saxons sur les territoires français. En 1952 les cibles identifiées sont l’URSS, l’impérialisme Anglo-US, la surveillance des pays neutres et des Chinois. 1954 voit une répétition des objectifs pléthoriques de 1952 auxquels s’ajoutent l’Indochine et l’Algérie. En 1958 le Conseil Supérieur du Renseignement cible la rébellion algérienne, dossier qui sera ensuite géré par la DST, les activités soviétiques, celles des USA, l’IE aux USA, l’Afrique, le Tiers monde. Constantin Melnik est alors coordonnateur du renseignement. Puis plus rien sous Pompidou, Giscard, Mitterrand (si ce n’est les célèbres « faites-vous oublier » ou « si ça vous amuse ». Sous Chirac en 2001, un ordre est lancé de réorienter la moitié de l'effectif de l'antiterroriste vers l'immigration clandestine, (l’effectif anti-terroriste sera doublé ensuite) puis sera créé à Paris Alliance Base quelques mois après. Ce document d’analyse, d’opinion, d'étude et/ou de recherche a été réalisé par un (ou des) membre(s) de l’AEGE. Préalablement à leurs publications et/ou diffusions, elles ont été soumises au Conseil scientifique de l'Association. L'analyse, l'opinion et/ou la recherche reposent sur l'utilisation de sources éthiquement fiables mais l'exhaustivité et l'exactitude ne peuvent être garantie. Sauf mention contraire, les projections ou autres informations ne sont valables qu'à la date de la publication du document, et sont dès lors sujettes à évolution ou amendement dans le temps. Le contenu de ces documents et/ou études n'a, en aucune manière, vocation à indiquer ou garantir des évolutions futures. Le contenu de cet article n’engage la responsabilité que de ses auteurs, il ne reflète pas nécessairement les opinions du(des) employeur(s), la politique ou l’opinion d’un organisme quelconque, y compris celui de gouvernements, d’administrations ou de ministères pouvant êtres concernés par ces informations. Et, les erreurs éventuelles relèvent de l’entière responsabilité des seuls auteurs. Les droits patrimoniaux de ce document et/ou étude appartiennent à l'Association, voire un organisme auquel les sources auraient pu être empruntées. Toute utilisation, diffusion, citation ou reproduction, en totalité ou en partie, de ce document et/ou étude ne peut se faire sans la permission expresse du(es) rédacteur(s) et du propriétaire des droits patrimoniaux. Les structures sont clairement identifiées par l’article 13 de l’ordonnance du 7 Janvier 1959 qui officialise la création du CIR. Dans le décret 62-1208 du 17 octobre 1962 le CIR soumet au Comité de défense ses orientations dans le Plan De Renseignement. L’animation est confiée au SGDN qui ne s’est presque jamais réuni sous l’égide du délégué au Comité Permanent du Renseignement dirigé par le Directeur de cabinet du Premier Ministre. Cette structure a été réactivée par Michel Rocard en 1981 puis en 2002. Le décret 89-258 du 20 avril 1989 établit le PNR et le soumet au Président de la République, il devient ensuite le PRG. Des notions d’IE apparaissent ainsi que la possibilité de faire appel à des personnalités extérieures. Le Conseil des ministres du 15 mai 2002 voit la création du CSI et la nomination de Pierre Guillaume du CEA (ex BCRA). Historiquement le renseignement rencontre un scepticisme malveillant de l’EtatMajor français ; il oppose des informations qui sont contradictoires avec les « plans » : En 1914, il informe de l’existence de grandes unités de réservistes en Allemagne, d’une supériorité de l'artillerie lourde, de l’expérimentation de mortiers et de gaz toxiques. Dans les années 30 le gouvernement français est informé par anticipation 1936 de la Rhénanie, 1938 de l’Anshluss, 1938 de la Tchécoslovaquie, 1939 du Pacte germano-soviétique, 1939 de la Pologne (3 mois avant). En 1954 du nombre d’unités Vietminh autour de Dien Bien Phu. Ce n’est pas une spécificité française, Staline aussi connu la date et plan de bataille Wehrmacht en mai 1941 sans y croire un seul instant. Le gouvernement raisonne plutôt en faisant appel au Service Action pour fournir une solution tactique à des problèmes stratégiques. Ce n’est pas une spécificité française, le gouvernement américain a utilisé la CIA au Vietnam (Phoenix, maquis, élimination de tyrans frontaliers), en Irak et en Afghanistan (des drones, des mercenaires, des contractors). Les gouvernants ont tendance à renouveler les dirigeants des renseignements extérieurs et à nommer des personnalités qui ne sont pas issues du sérail. Les renseignements intérieurs eux bénéficient de nominations plus cohérentes lorsqu’elles restent dans le périmètre Police. Côté ressources humaines, plusieurs travers sont à corriger : dans le renseignement extérieur les carrières se déroulent plus lentement que dans le domaine militaire, le passage par le domaine du renseignement est même pénalisant. Concernant les carrières policières, elles se font par saut successifs de service en service et non par une progression dans le même domaine. On assiste ainsi à la nomination de Commissaires qui prennent leur fonction sans rien connaître du domaine au détriment de personnel plus expérimentés ou à la perte de compétences. Le troisième postulat analysé s’intitule « Taupes modèles » Il décrit l’historique du renseignement en France qui disparaît littéralement entre la Restauration jusqu'à la défaite de 1870. Au début de la seconde guerre mondiale, Ce document d’analyse, d’opinion, d'étude et/ou de recherche a été réalisé par un (ou des) membre(s) de l’AEGE. Préalablement à leurs publications et/ou diffusions, elles ont été soumises au Conseil scientifique de l'Association. L'analyse, l'opinion et/ou la recherche reposent sur l'utilisation de sources éthiquement fiables mais l'exhaustivité et l'exactitude ne peuvent être garantie. Sauf mention contraire, les projections ou autres informations ne sont valables qu'à la date de la publication du document, et sont dès lors sujettes à évolution ou amendement dans le temps. Le contenu de ces documents et/ou études n'a, en aucune manière, vocation à indiquer ou garantir des évolutions futures. Le contenu de cet article n’engage la responsabilité que de ses auteurs, il ne reflète pas nécessairement les opinions du(des) employeur(s), la politique ou l’opinion d’un organisme quelconque, y compris celui de gouvernements, d’administrations ou de ministères pouvant êtres concernés par ces informations. Et, les erreurs éventuelles relèvent de l’entière responsabilité des seuls auteurs. Les droits patrimoniaux de ce document et/ou étude appartiennent à l'Association, voire un organisme auquel les sources auraient pu être empruntées. Toute utilisation, diffusion, citation ou reproduction, en totalité ou en partie, de ce document et/ou étude ne peut se faire sans la permission expresse du(es) rédacteur(s) et du propriétaire des droits patrimoniaux. les Services de Renseignement réussissent à infiltrer le chiffre allemand et à contribuer à la duplication de la machine de codage Enigma. Pendant la guerre ils réussissent à conserver une structure opérationnelle et ils assurent à compter du le 22 mai 1940 un transfert de compétence vers l’Intelligence Service (IS). En 1943 les Services de Renseignement sont démantelés, seul subsiste le contre-espionnage. Une nouvelle structure alors créée, le Bureau Central de Renseignements et d'Action le (BCRA) qui comporte une myriade de personne identifiées comme détenant de l'information. Elle se caractérise par un amateurisme prononcé, compensé par le nombre et le renouvellement des réseaux qui tombent sous les coups de l’Abwehr. Elle est dès sa création grandement influencée par les pratiques de l'Office of Strategic Services (OSS), tout aussi amateur qu’elle, mais autrement plus séduisant que l'austère IS qui distingue scrupuleusement le renseignement de l’action. Le BCRA se politise ensuite et devient rapidement le bras armé du pouvoir Gaulliste. Après la seconde guerre mondiale, il contribue à la reconquête du pouvoir par le général de Gaulle en assurant le « coup de feu pour le RPF ». Pendant la guerre d’Indochine le Groupement de Commandos Mixtes Aéroportés (GCMA) organise, finance et entraine les maquis H'mong & Thaï qui luttent contre le Vietminh. Devenu Groupement Mixte d'Intervention (GMI), il n’hésitera pas à les sacrifier et à abandonner 13.000 partisans ainsi que des ethnies entières à compter du jour du cessez le feu. Le 11ème Choc est envoyé en Algérie en 1954, il prend le nom de Groupement de Marche et détache 30 soldats qui constituent le Groupement Léger d'Intervention (GLI). Ces hommes constitueront des groupes d'action sur la frontière tunisienne et marocaine. La section A du Centre de coordination interarmées (CCI) est ensuite crée; elle effectuera de nombreuses opérations « homo» ou « arma » dont 216 en territoire étranger. Elle assurera aussi des opérations d’intoxication et de division de la rébellion, elle organisera entrainera et financera trois maquis dont deux seront des échecs. Elle disposera enfin d’une force aérienne secrète pour remplir ses objectifs de lutte contre l'approvisionnement en armes du FLN. Après les guerres coloniales, les actions se dérouleront principalement en Afrique. Ils mènent une guerre subversive pour renverser le dirigeant Sékou Touré et ramener la Guinée dans le giron de l’ancienne «métropole, (deux tentatives de coups d'Etat, la production massive de fausse monnaie pour financer et structurer l'opposition). Au Cameroun durant la guerre du Biafra (1967-1970), les services secrets ont armé et aidé les sécessionnistes, ils sont intervenus aussi au Congo (Katanga) en 1969, en Angola en 1977 où ils ont assuré la reconnaissance sur les groupe de rebelles Angolais, le soutien de l’UNITA de Jona Sawinbi et l’organisation de camps d'entraînement au Maroc. En Centrafrique ils ont contribué au renversement de Bokassa en 1979. La gestion des opérations est organisée en 4 sections (Renseignement-Liaison-Protection (RLP), Instruction, Action Politique et Logistique). Les missions sont ensuite d’assister les groupes armés anticommunistes et de mener des actions psychologiques pour mobiliser des réseaux Ce document d’analyse, d’opinion, d'étude et/ou de recherche a été réalisé par un (ou des) membre(s) de l’AEGE. Préalablement à leurs publications et/ou diffusions, elles ont été soumises au Conseil scientifique de l'Association. L'analyse, l'opinion et/ou la recherche reposent sur l'utilisation de sources éthiquement fiables mais l'exhaustivité et l'exactitude ne peuvent être garantie. Sauf mention contraire, les projections ou autres informations ne sont valables qu'à la date de la publication du document, et sont dès lors sujettes à évolution ou amendement dans le temps. Le contenu de ces documents et/ou études n'a, en aucune manière, vocation à indiquer ou garantir des évolutions futures. Le contenu de cet article n’engage la responsabilité que de ses auteurs, il ne reflète pas nécessairement les opinions du(des) employeur(s), la politique ou l’opinion d’un organisme quelconque, y compris celui de gouvernements, d’administrations ou de ministères pouvant êtres concernés par ces informations. Et, les erreurs éventuelles relèvent de l’entière responsabilité des seuls auteurs. Les droits patrimoniaux de ce document et/ou étude appartiennent à l'Association, voire un organisme auquel les sources auraient pu être empruntées. Toute utilisation, diffusion, citation ou reproduction, en totalité ou en partie, de ce document et/ou étude ne peut se faire sans la permission expresse du(es) rédacteur(s) et du propriétaire des droits patrimoniaux. de partisans comme par exemple : au Maroc, l’aide contre le front Polisario en 1970 ou l’entraînement des talibans du Commandant Massoud en France en 2001. Dans la lutte antisoviétique, les français rencontrent des problèmes franco-français : la guerre des polices nuit à l’efficacité des services mais surtout un malaise profond s’installe avec la diplomatie française qui est pourtant le second réseau au monde après celui des Etats-Unis avec 160 ambassades, 98 consultants et 21 représentations. Des négligences d’abord, compromettent la sécurité dans les représentations françaises. Pour des questions de coûts des personnels locaux sont employés. Le plus fameux exemple, (en dehors du personnel de nettoyage qui est systématiquement embauché localement), est l’attribution d’un marché de vidéosurveillance de l’ambassade de Pékin entre 2004 et 2006 à une entreprise d’Etat chinoise. Plus grave seront les actions considérées comme du sabotage par les services de renseignement : L'ambassade d'Alger exercera des pressions pour que soit rendu aux autorités chinoises un officier du chiffre chinois, (drogué et remis aux autorités chinoises, il disparaîtra à jamais). L'ambassade de France à Khartoum informée de l’infiltration du FIS par la DGSE, informera son homologue à Alger qui préviendra les autorités locales. Le quatrième postulat analysé s’intitule «Raisons d'espérer » La fin du XXème siècle et le début du XXIème voient naître une instabilité et une multiplication des menaces. Avec la disparition de l'URSS, dès 1991 apparaissent sur le devant de la scène des organisations indépendantes: ONG, mafias, mouvements religieux radicaux qui prônent le djihad, diasporas ethniques. A cela s’ajoutent des organisations criminelles transgouvernementales qui trouvent dans la mondialisation une occasion de diversifier leurs activités : armes, drogue, contrebande, contrefaçon, traite des êtres humains, corruption massive de zones ou de pays entiers (Amérique latine, Caucase, Afrique). Une nouvelle menace voit le jour, ce sont les groupes auto constitués « Anti » : Américains, capitalisme, mondialisation, vivisection, éco terroristes - Earth Liberation Front (ELF) and the Animal Liberation Front (ALF) -. Les technologies de l'information ont facilité la mise à disposition de savoir faires et de doctrines. Les sources ouvertes dont le volume double tous les 4 ans (8 millions de page supplémentaires par jour), la libre mise à disposition d’imagerie satellite facilitent néanmoins le renseignement de type (ELEctronic, COMmunication, IMagery, SIGnal –INTelligence). De nouvelles exigences démocratiques voient le jour : La société civile souhaite un suivi, une supervision et un contrôle agences de renseignement, d’autant que ces agences sont associées à des scandales éminemment contre-productifs tels que Guantanamo et Abou Grahib. Elle demande que les agences respectent un code de conduite dans la lutte anti-terroriste. Ce document d’analyse, d’opinion, d'étude et/ou de recherche a été réalisé par un (ou des) membre(s) de l’AEGE. Préalablement à leurs publications et/ou diffusions, elles ont été soumises au Conseil scientifique de l'Association. L'analyse, l'opinion et/ou la recherche reposent sur l'utilisation de sources éthiquement fiables mais l'exhaustivité et l'exactitude ne peuvent être garantie. Sauf mention contraire, les projections ou autres informations ne sont valables qu'à la date de la publication du document, et sont dès lors sujettes à évolution ou amendement dans le temps. Le contenu de ces documents et/ou études n'a, en aucune manière, vocation à indiquer ou garantir des évolutions futures. Le contenu de cet article n’engage la responsabilité que de ses auteurs, il ne reflète pas nécessairement les opinions du(des) employeur(s), la politique ou l’opinion d’un organisme quelconque, y compris celui de gouvernements, d’administrations ou de ministères pouvant êtres concernés par ces informations. Et, les erreurs éventuelles relèvent de l’entière responsabilité des seuls auteurs. Les droits patrimoniaux de ce document et/ou étude appartiennent à l'Association, voire un organisme auquel les sources auraient pu être empruntées. Toute utilisation, diffusion, citation ou reproduction, en totalité ou en partie, de ce document et/ou étude ne peut se faire sans la permission expresse du(es) rédacteur(s) et du propriétaire des droits patrimoniaux. S’ajoute à cela le fait que les alliés d’hier sont aujourd’hui devenus des compétiteurs : Certains Etat réorientent l'activité de leurs services pour appuyer les acteurs économiques. Les blocs s’affaiblissent, ce qui conduit à l’émergence de crises locales et à la résurgence de guerres civiles qui naissent sur des divergences de nature aussi variées que l’économie, la religion, la politique ou le contrôle militaire. Enfin, nous assistons à la prolifération de nukes en raison de l’éparpillement des compétences capables de contribuer à leur fabrication et à la dissémination des ogives nucléaires. La nature même du renseignement évolue donc: Avant les cibles étaient clairement ciblées et identifiées. Maintenant il doit s’exercer sur des cellules disséminées au comportement paranoïaques, dans lesquelles le renseignement humain est difficile et par essence même, à la durée de vie courte. La technologie offre à ces cellules de multiples techniques d’intercommunication (communications: IP, GSM, fax, Mail et de diffusion publique de leur idéologie (convergence data, image, son décuplé en 10 ans). A cela se rajoute la libre diffusion des capacités de cryptage qui augmentent les temps de déchiffrement. Ces durées sont incompatibles avec la péremption des informations recherchées d’autant que 6500 langues et idiomes peuvent être utilisés sur terre et que les capacités d’interception et de traitement ne dépassent pas 10% de l’ensemble des flux. Cette accumulation de facteurs convergents oblige donc les agences à l’intérieur d’un même pays et entre les pays à la coopération forcée afin de surveiller, analyser et vérifier les messages diffusés sur de multiples vecteurs de propagande et pour surveiller les différents canaux de communication utilisés. On peut remarquer aussi une tendance lourde chez nos alliés : les services s’allouent le concours de consultants privés qui pour certains exercent à l’échelon mondial : ils peuvent représenter 70% des budgets et 50% des effectifs. Dans un tout autre registre, l’analyse systématique des actions menées par nos services dans la lutte antisoviétique rapportées à leurs moyens représente une autre raison d’espérer: Sur le territoire français : L’opération « MINOS » conduit au recrutement, à la validation, à l’instruction puis au parachutage de partisans nationalistes de pays de l'est. Leur interception systématique par le NKVD serait due à l'infiltration du SDECE par le KGB. L’opération « Arc en ciel » devenue « Rose des vents » est la création d'une organisation résistance armée départementale comportant un effectif de 450 agents actifs et 7.800 agents dormants. Concernant l’action extra territoriale, s’il restait en Tchécoslovaquie et en Roumanie quelques bribes de réseaux issus de la seconde guerre mondiale, toutes les tentatives en Bulgarie et dans tous les autres pays du bloc de l'Est connurent un échec (à part les contacts noués avec l'Eglise Polonaise). Il était alors impossible Ce document d’analyse, d’opinion, d'étude et/ou de recherche a été réalisé par un (ou des) membre(s) de l’AEGE. Préalablement à leurs publications et/ou diffusions, elles ont été soumises au Conseil scientifique de l'Association. L'analyse, l'opinion et/ou la recherche reposent sur l'utilisation de sources éthiquement fiables mais l'exhaustivité et l'exactitude ne peuvent être garantie. Sauf mention contraire, les projections ou autres informations ne sont valables qu'à la date de la publication du document, et sont dès lors sujettes à évolution ou amendement dans le temps. Le contenu de ces documents et/ou études n'a, en aucune manière, vocation à indiquer ou garantir des évolutions futures. Le contenu de cet article n’engage la responsabilité que de ses auteurs, il ne reflète pas nécessairement les opinions du(des) employeur(s), la politique ou l’opinion d’un organisme quelconque, y compris celui de gouvernements, d’administrations ou de ministères pouvant êtres concernés par ces informations. Et, les erreurs éventuelles relèvent de l’entière responsabilité des seuls auteurs. Les droits patrimoniaux de ce document et/ou étude appartiennent à l'Association, voire un organisme auquel les sources auraient pu être empruntées. Toute utilisation, diffusion, citation ou reproduction, en totalité ou en partie, de ce document et/ou étude ne peut se faire sans la permission expresse du(es) rédacteur(s) et du propriétaire des droits patrimoniaux. d'envoyer un officier traitant sous couverture d'une quelconque administration ou d'une entreprise publique car toute nomination était soumise à l'aval des syndicats (donc à une information directe du KGB). Du côté de l’implantation de bureaux à l’étranger, les ambassades refusèrent systématiquement de les accueillir, tout au plus un poste d'écoute pût être implanté en Allemagne de l'Ouest. Le taux de réussite n’est guère plus fameux en raison de l’incapacité à casser les codes des messages interceptés et d’une timide collaboration entre nos services, la CIA, le SIS et le BND. On peut noter néanmoins la réussite de la prise de photographies des débris du Tupolev 144 dit « Concordski » au Bourget après son crash. Il est à noter que sur le territoire français opéraient 780 membres à l'ambassade russe dont 180 officiers du GRU et du KGB (le nombre d’officiers était le double si l'on compte les autres ambassades des pays de l’Est). Sur ce nombre l’on compte 13 officiers traitants du KGB et 15 autres officiers entrés illégalement en France ayant chacun un réseau de 12 espions de haut vol travaillant dans les services ou l'armée. En effet ce noyautage fut possible car l'interdiction fut donnée par l’URSS depuis 1940 aux sympathisants ayant d'adhérer au PCF ou d'afficher leur inclinaison politique. La Direction Générale de l'Enseignement et de la Recherche (DGER) fut à ce point infiltrée qu’elle fut dissoute. Les Services et l'armée aussi, au point tel que les Etats-Unis d’Amérique cessèrent de leur transmettre des informations. La France fut le 3ème pays au monde infiltré après les USA et l'Allemagne. Comme échecs patents, on peut noter "Jour" l’officier du chiffre qui transmet toute la correspondance diplomatique française de 1945 à 1982, l’officier du renseignement reçu à l'ambassade russe par Kaliouguine dont la recherche mènera à la découverte Polyakov espion américain au GRU, la pose d’un mouchard sur le télex de l'ambassade de France en Russie qui fonctionnera pendant deux ans, le recrutement de 6 officiers du chiffre, celui de Pierre Cardot agent double tchèque du SDECE confondu en 1962 par la DST et les services suisses, le meurtre sanglant du transfuge le capitaine Polonais Wladyslav Mroz logé par « manque de moyens » dans un HLM d'une banlieue rouge, l’expulsion tardive en 1983 de 43 officiers au statut diplomatique, l’existence d’un Evgeny à l'UNESCO spécialiste du traitement des officiers de renseignement français, les agents du réseau Saphir dévoilés par Golitsyne en 1960. Il y eut pourtant de belles réussites comme celles de la Mission Militaire Française de Liaison (MMFL) à l’effectif réduit de 20 personnes qui de 1956 à 1991 mènera en Allemagne de l’Est des missions de renseignement militaire (voitures modifiées, équipées d’appareils photo et de postes d’écoutes). Cette mission fut menée au prix de plusieurs morts sous statut diplomatique. La DST réussit quelques “coups” comme l’arrestation de Georges Pacques, le traitement de Vladimir Vetrov (Farewell), celui de Mitrokhine en 1992 qui vit 60 agents démasqués. La DGSE Ce document d’analyse, d’opinion, d'étude et/ou de recherche a été réalisé par un (ou des) membre(s) de l’AEGE. Préalablement à leurs publications et/ou diffusions, elles ont été soumises au Conseil scientifique de l'Association. L'analyse, l'opinion et/ou la recherche reposent sur l'utilisation de sources éthiquement fiables mais l'exhaustivité et l'exactitude ne peuvent être garantie. Sauf mention contraire, les projections ou autres informations ne sont valables qu'à la date de la publication du document, et sont dès lors sujettes à évolution ou amendement dans le temps. Le contenu de ces documents et/ou études n'a, en aucune manière, vocation à indiquer ou garantir des évolutions futures. Le contenu de cet article n’engage la responsabilité que de ses auteurs, il ne reflète pas nécessairement les opinions du(des) employeur(s), la politique ou l’opinion d’un organisme quelconque, y compris celui de gouvernements, d’administrations ou de ministères pouvant êtres concernés par ces informations. Et, les erreurs éventuelles relèvent de l’entière responsabilité des seuls auteurs. Les droits patrimoniaux de ce document et/ou étude appartiennent à l'Association, voire un organisme auquel les sources auraient pu être empruntées. Toute utilisation, diffusion, citation ou reproduction, en totalité ou en partie, de ce document et/ou étude ne peut se faire sans la permission expresse du(es) rédacteur(s) et du propriétaire des droits patrimoniaux. n’est pas en reste car elle contribua à confondre Gunther Guillaume agent de la Stasi et conseiller personnel de Helmut Schmidt. Le cinquième axe d’analyse est celui des « Réformes » : Au sein de l'Etat se font jour des réformes comme celle de la création du Conseil National du Renseignement (CNR) et le Conseil de la défense et de la sécurité nationale (CDSN) rattachés au Président. En 2008 est publié le Livre Blanc sur la Défense Nationale, la DCRI est fondée par la fusion de la Direction de la Surveillance du Territoire (DST) et de la Direction Centrale des Renseignements Généraux (DCRG). Autour d’elle gravitent des structures spécialisés comme l’Agence Nationale de la Sécurité des Systèmes d'Information (ANSSI), le Service d'Information, de Renseignement et d'Analyse Stratégique sur la Criminalité Organisée (SIRASCO) dirigé par la Direction Centrale de la Police Judiciaire (DCPJ), la Sous-Direction de l'Information Générale (SDIG) rattachée à la Direction Centrale de la Sécurité Publique (DCSP) ainsi que les service de Traitement du Renseignement et Action contre les circuits FINanciers clandestins (TRACFIN) ou l’Académie du Renseignement. La DGSE, dont l’auteur rappelle qu’elle compte à son actif des réussites comme la libération de Malbrunot, Aubenas, Chesnot, capturés en Irak 2004/2005 et qu’au nombre de ses échecs figurent la mort de Michel Germaneau en 2010, des quatre français enlevés à Arlit au Nord Niger en 2010 ainsi que l’enlèvement d’un officier en Somalie en 2009, voit son statut évoluer depuis la publication du livre blanc en 2008. Elle dispose d’une certaine autonomie et le renseignement est officiellement devenu une priorité nationale. C’est un service intégré qui comporte à la fois une section de recherche humaine, une section de recherche technique, une section d’analyse et un service action. Elle dispose de moyens inférieurs dans un rapport de 1/20ème par rapport aux Etats Unis et ½ par rapport au Royaume-Uni. En 2009, son budget était identique en euros constant à celui qui lui était alloué en 2002, depuis il est en accroissement sensible. Au point de vue du recrutement, celui des officiers par voie de concours est satisfaisant, par contre pour des fonctions techniques ou linguistique, les salaires sont largement inférieurs à ceux du marché d’où une pénurie de profils. Du point de vue de la communication, si elle ne publie pas encore de spots de télévision, elle a fait paraître des offres d’emplois et s’est dotée d’un visage officiel pour donner des conférences dans les écoles d’ingénieurs. En analysant plus finement, on constate que les augmentations de budget ne sont que des rattrapages, que les services sont hautement politisés, que depuis 2008 les notes blanches sont relues pour que leur contenu ne déplaise pas au chef de l’Etat. Les services français rencontrent de nombreuses difficultés en raison d’une politique extérieure illisible et ils restent sous le coup d’interdits comme « ne pas nuire aux intérêts américains ». Ce document d’analyse, d’opinion, d'étude et/ou de recherche a été réalisé par un (ou des) membre(s) de l’AEGE. Préalablement à leurs publications et/ou diffusions, elles ont été soumises au Conseil scientifique de l'Association. L'analyse, l'opinion et/ou la recherche reposent sur l'utilisation de sources éthiquement fiables mais l'exhaustivité et l'exactitude ne peuvent être garantie. Sauf mention contraire, les projections ou autres informations ne sont valables qu'à la date de la publication du document, et sont dès lors sujettes à évolution ou amendement dans le temps. Le contenu de ces documents et/ou études n'a, en aucune manière, vocation à indiquer ou garantir des évolutions futures. Le contenu de cet article n’engage la responsabilité que de ses auteurs, il ne reflète pas nécessairement les opinions du(des) employeur(s), la politique ou l’opinion d’un organisme quelconque, y compris celui de gouvernements, d’administrations ou de ministères pouvant êtres concernés par ces informations. Et, les erreurs éventuelles relèvent de l’entière responsabilité des seuls auteurs. Les droits patrimoniaux de ce document et/ou étude appartiennent à l'Association, voire un organisme auquel les sources auraient pu être empruntées. Toute utilisation, diffusion, citation ou reproduction, en totalité ou en partie, de ce document et/ou étude ne peut se faire sans la permission expresse du(es) rédacteur(s) et du propriétaire des droits patrimoniaux. Les dirigeants nommés sont des fidèles mais ils sont loin d’être des spécialistes. Seule la DCRI bénéficie de dirigeants issus du sérail de la Police Nationale. Il demeure néanmoins une prééminence de personnels issus du Ministère de l'intérieur figure à tous les niveaux de fonction et dans la plupart des services. La DCRI est [fut] ostracisée par vengeance pour son rôle dans l’affaire Clearstream. Elle est polarisée sur les risques terroristes et les émeutes ; oubliant ainsi les risques d'espionnage intérieur et de vol du patrimoine scientifique. La réforme du renseignement intérieur est empreinte de défauts tels que la prise de pouvoir sur les RG et la mise à l’écart d’une partie du personnel au nom du Secret Défense (pratique héritée de la guerre froide qui n’a plus de raison d’être aujourd’hui). Le SDIG, rattaché à la DDSP conserve 80% des missions et il ne compte plus que 50 % des effectifs. La gendarmerie qui pourtant couvre 90% du territoire et 50% de la population est tenue à l’écart du renseignement. La DCRI a des capacités d'intervention à l'étranger pour mener une affaire de bout en bout au détriment des missions de la DGSE. La DCRI n’est toujours pas une Direction rattachée au ministère, mais elle est rattachée à la Police Nationale ; elle voit donc régulièrement arriver par voie de mutation des Commissaires qui dament le pion à la promotion interne. Après la première guerre du golfe, on assiste à une révolution dans le renseignement militaire avec la création de la Direction du Renseignement Militaire (DRM) et avec celle du Commandement des opérations spéciales (COS) en raison de la prise de conscience du retard pris par rapport à nos alliés. L’après Kosovo verra un recentrage interarmées de la DRM avec la nomination d’attachés militaires dans chacune des armes, la création d’un Centre de Formation et d'Emploi relatif aux Emissions Electromagnétiques (CF3E) unique et du Détachement Avancé de Télécommunications dont dépend le Centre Militaire d'Observation par Satellites (CMOS). Le Centre de Formation Interarmées au Renseignement (CFIAR) forme les 3 armes qui exercent indépendamment dans le CRA créé par l’armée de l’air, le CERT armée de terre, le CRMar marine nationale ou le 28ème groupe (cartographie) qui répondent à des besoins très particuliers et dont les résultats seront ensuite partagés, si nécessaire avec les directions, services ou autres commandements concernés via le Centre d’Exploitation du Renseignement Militaire (CERM). Le Chef d'État-Major des Armées (CEMA) dirige par délégation du Ministère de la Défense la Direction de la Protection et de la Sécurité de la Défense (DPSD) qui est chargée de l’acquisition du renseignement de sécurité, des mesures de protection, et du système d’information des forces armées stationnées en France et à l’Etranger. Ces mesures vont de pair avec l’augmentation des moyens financiers des services et le renforcement de la protection de l'anonymat des agents et des contractuels. L’évolution la plus remarquable est faite dans le renseignement d’origine électronique (ELINT), notamment grâce aux satellites. D’abord sont passés des Ce document d’analyse, d’opinion, d'étude et/ou de recherche a été réalisé par un (ou des) membre(s) de l’AEGE. Préalablement à leurs publications et/ou diffusions, elles ont été soumises au Conseil scientifique de l'Association. L'analyse, l'opinion et/ou la recherche reposent sur l'utilisation de sources éthiquement fiables mais l'exhaustivité et l'exactitude ne peuvent être garantie. Sauf mention contraire, les projections ou autres informations ne sont valables qu'à la date de la publication du document, et sont dès lors sujettes à évolution ou amendement dans le temps. Le contenu de ces documents et/ou études n'a, en aucune manière, vocation à indiquer ou garantir des évolutions futures. Le contenu de cet article n’engage la responsabilité que de ses auteurs, il ne reflète pas nécessairement les opinions du(des) employeur(s), la politique ou l’opinion d’un organisme quelconque, y compris celui de gouvernements, d’administrations ou de ministères pouvant êtres concernés par ces informations. Et, les erreurs éventuelles relèvent de l’entière responsabilité des seuls auteurs. Les droits patrimoniaux de ce document et/ou étude appartiennent à l'Association, voire un organisme auquel les sources auraient pu être empruntées. Toute utilisation, diffusion, citation ou reproduction, en totalité ou en partie, de ce document et/ou étude ne peut se faire sans la permission expresse du(es) rédacteur(s) et du propriétaire des droits patrimoniaux. accords avec l'Allemagne et l'Italie sur de l'imagerie satellitaire radar, permettant de visualiser des images sous une couverture nuageuse, ensuite viennent les lancements de satellites militaires Hélios 1 2A & 2B, les satellites dual-use Pléiades 1 puis 2 en 2011 qui seront remplacés par le programme Musis en 2017. Complètent le spectre d’analyse Cerise & Clémentine dans le domaine des radioémissions, Elisa (Electronic Intelligence Satellite) successeur d’ESSAIM ainsi que CERES sont des grappe de respectivement 4 ou 3 microsatellites militaires français d'écoute devant permettre de valider les techniques de détection de radars depuis l'espace. Le programme Pharos permet une mise à disposition de ces images aux corps d’armée en ayant besoin. A ce dispositif se rajoute celui de drones DRAC d’une autonomie d’une heure déployable dans un rayon de dix kilomètres, SDTI d’une autonomie de trois heures déployables dans un rayon de cent kilomètres, MÂLE dont l’autonomie est de vingt heures. La reconnaissance aérienne se faisait par Pod Astac sous mirage 2000D, elle devrait être remplacée par le programme Reco NG sous Rafale ainsi que par des Transal C160 remplacés par des Atlantique 2. Enfin le système de détection des menaces est complété par le réseau de radars GRAVES qui permet de détecter les satellites et les débris dans l’espace. Le tableau des réformes, tout du moins de évolutions ne serait pas complet sans l’étude du monde de la formation. Outre-Atlantique, il n’est pas en reste depuis les années 90 avec la multiplication de travaux scientifiques sur les filières IE décliné dans le National Security Éducation Program, par la constitution de viviers (75 langues 80 pays), par la mise en place aux USA du « Mathematics Talent Search » et par le financement de programmes de recherche. En Grande-Bretagne à Cambridge existe désormais une chaire d’enseignement du renseignement et d'étude du terrorisme. En France sont créés le Centre d'Etudes Scientifiques de Défense (CESD) sous l’égide de l’Amiral Lacoste, à l'Université de Marne-la-Vallée d’un DESS information et sécurité, d’un DESS en IE et d’un DESS Ingénierie de la Sécurité. En 1997 est créé par le Général Pichot-Duclos et Christian Harbulot l’Ecole de Guerre Economique (EGE) qui travaille à la reconnaissance de l’information comme ressource stratégique ou comme une arme ainsi que du Laboratoire de Recherche de l’Ecole de Guerre Economique (LAREGE) destiné à combler le retard français en IE et en stratégies informationnelles. A Science Po s’est développé un séminaire sur le Renseignement et le terrorisme qui est proposé dans le cadre du Master Affaires Internationales. L’IEP Paris, dans le cadre de son École Internationale propose un Master sur le renseignement. Sont aussi à noter les séminaires sur le renseignement donné à St Cyr de 1997 à 2002 ainsi que le séminaire sur le renseignement donné Collège Inter Armées en 2006 et un à l’ENA. Le domaine de la recherche n’est pas en reste avec le LAREGE, la création d’une Commission d’histoire du renseignement d’abord rattachée au Centre d’Etude de Ce document d’analyse, d’opinion, d'étude et/ou de recherche a été réalisé par un (ou des) membre(s) de l’AEGE. Préalablement à leurs publications et/ou diffusions, elles ont été soumises au Conseil scientifique de l'Association. L'analyse, l'opinion et/ou la recherche reposent sur l'utilisation de sources éthiquement fiables mais l'exhaustivité et l'exactitude ne peuvent être garantie. Sauf mention contraire, les projections ou autres informations ne sont valables qu'à la date de la publication du document, et sont dès lors sujettes à évolution ou amendement dans le temps. Le contenu de ces documents et/ou études n'a, en aucune manière, vocation à indiquer ou garantir des évolutions futures. Le contenu de cet article n’engage la responsabilité que de ses auteurs, il ne reflète pas nécessairement les opinions du(des) employeur(s), la politique ou l’opinion d’un organisme quelconque, y compris celui de gouvernements, d’administrations ou de ministères pouvant êtres concernés par ces informations. Et, les erreurs éventuelles relèvent de l’entière responsabilité des seuls auteurs. Les droits patrimoniaux de ce document et/ou étude appartiennent à l'Association, voire un organisme auquel les sources auraient pu être empruntées. Toute utilisation, diffusion, citation ou reproduction, en totalité ou en partie, de ce document et/ou étude ne peut se faire sans la permission expresse du(es) rédacteur(s) et du propriétaire des droits patrimoniaux. l’Historique de la Défense (CEHD) puis à l’Institut de Recherche Stratégique de l’Ecole Militaire (IRSEM), la création du programme Information Ouverte Information Fermée (IOIF) créé entre 2006 et 2009 par l’Agence Nationale de la Recherche (ANR) ou l’initiative commune entre le centre de recherche des écoles de Coetquidan et l’Académie militaire Royale de Belgique pour former un groupe de recherche éthique de renseignement. Côté thinktank, le C2FR contribuera avec le Centre d’analyse Politique Comparé et de Relations Internationales de l’Université de Bordeaux IV (CAPCGRI) à la création d’un Diplôme Universitaire d’Etude du Renseignement de 2006 à 2008 sous la direction de Michel Berges, puis en 2009 d’un Master Professionnel de « Management de agences de renseignement et de sécurité». L’auteur répond par la négative à la polémique qu’il a lancée aux moyen de constats développés tout au long de l’ouvrage tels que la réussite honorable de nos services et de la qualité de ses personnels, même si des ratés médiatisés existent au même titre que des succès indéniables, même si nos services ont une fâcheuse tendance à l’action et à la politisation à outrance. Si l’assertion de la moindre prédisposition du français pour le renseignement est vraie, l’attitude des gouvernants est plus préjudiciable pour leur efficacité car nos présidents semblent prendre un malin plaisir soit à les neutraliser, soit à les décrédibiliser. En tout cas ils ne prennent pas les décisions nécessaires pour augmenter leur efficacité ni les intégrer dans leur processus de prise de décision. Il complète son analyse par trois paradoxes : Le premier est que les services sont globalement adaptés à nos besoins et que leur ratio coût / efficacité est excellent. Ils sont adaptés aux besoins de la République en regard des faibles moyens, de leur utilisation parfois impropre, de l’absence d’une stratégie claire et durable des gouvernements successifs. Leur capacité à remplir les missions qui leur sont assignées se sont révélées probantes lors de la seconde guerre mondiale, lors de l’abandon du trop déséquilibré contre-espionnage pendant la guerre froide pour contribuer aux guerres de décolonisation et à pour maintenir la présence de la France en Afrique, ainsi que par leur complémentarité aux réseaux Foccart, par leur capacité à contribuer au succès de notre politique de dissuasion nucléaires, par leur comportement honorable pour contrer l’action du KGB, par leur efficacité contre le FLN, l’OAS et les groupes terroristes après les années 1970, et enfin par la capacité des RG à répondre efficacement aux demandé des préfets . Le second paradoxe est que sans prédisposition naturelle comme les britanniques ou les israélien, sans culture du renseignement, malgré des politiques qui neutralisent ou décrédibilisent les services, même sans être pilotés ni dirigés, même s’ils sont politisés à l’extrême, malgré leur fascination pour l’action, malgré des réformes insuffisamment réfléchies voulues pour accroître leur contrôle et non leur Ce document d’analyse, d’opinion, d'étude et/ou de recherche a été réalisé par un (ou des) membre(s) de l’AEGE. Préalablement à leurs publications et/ou diffusions, elles ont été soumises au Conseil scientifique de l'Association. L'analyse, l'opinion et/ou la recherche reposent sur l'utilisation de sources éthiquement fiables mais l'exhaustivité et l'exactitude ne peuvent être garantie. Sauf mention contraire, les projections ou autres informations ne sont valables qu'à la date de la publication du document, et sont dès lors sujettes à évolution ou amendement dans le temps. Le contenu de ces documents et/ou études n'a, en aucune manière, vocation à indiquer ou garantir des évolutions futures. Le contenu de cet article n’engage la responsabilité que de ses auteurs, il ne reflète pas nécessairement les opinions du(des) employeur(s), la politique ou l’opinion d’un organisme quelconque, y compris celui de gouvernements, d’administrations ou de ministères pouvant êtres concernés par ces informations. Et, les erreurs éventuelles relèvent de l’entière responsabilité des seuls auteurs. Les droits patrimoniaux de ce document et/ou étude appartiennent à l'Association, voire un organisme auquel les sources auraient pu être empruntées. Toute utilisation, diffusion, citation ou reproduction, en totalité ou en partie, de ce document et/ou étude ne peut se faire sans la permission expresse du(es) rédacteur(s) et du propriétaire des droits patrimoniaux. optimisation, la France dispose d’une capacité opérationnelle, complète et autonome d’appréciation des crises internationales. Le troisième est que son efficacité est proche bien qu’inférieure à celui de la Grande-Bretagne pour un rapport coût / efficacité bien moindre ¼ des budgets et 50% des effectifs. Les voies d’amélioration à explorer sont celle d’un renfort de l’effectif et de la dotation en budget suffisants afin qu’elle sorte de la « seconde division », de ne pas engager les ressources sur un trop grand nombre de théâtres d'opération et de dépasser le blocage national vis-à-vis du renseignement comme l’ont fait avec efficacité les peuples Allemands et Japonais. Ce document d’analyse, d’opinion, d'étude et/ou de recherche a été réalisé par un (ou des) membre(s) de l’AEGE. Préalablement à leurs publications et/ou diffusions, elles ont été soumises au Conseil scientifique de l'Association. L'analyse, l'opinion et/ou la recherche reposent sur l'utilisation de sources éthiquement fiables mais l'exhaustivité et l'exactitude ne peuvent être garantie. Sauf mention contraire, les projections ou autres informations ne sont valables qu'à la date de la publication du document, et sont dès lors sujettes à évolution ou amendement dans le temps. Le contenu de ces documents et/ou études n'a, en aucune manière, vocation à indiquer ou garantir des évolutions futures. Le contenu de cet article n’engage la responsabilité que de ses auteurs, il ne reflète pas nécessairement les opinions du(des) employeur(s), la politique ou l’opinion d’un organisme quelconque, y compris celui de gouvernements, d’administrations ou de ministères pouvant êtres concernés par ces informations. Et, les erreurs éventuelles relèvent de l’entière responsabilité des seuls auteurs. Les droits patrimoniaux de ce document et/ou étude appartiennent à l'Association, voire un organisme auquel les sources auraient pu être empruntées. Toute utilisation, diffusion, citation ou reproduction, en totalité ou en partie, de ce document et/ou étude ne peut se faire sans la permission expresse du(es) rédacteur(s) et du propriétaire des droits patrimoniaux. Annexe 3 : RESUME de «Histoire politique des services secrets français» Cet ouvrage a été écrit par des journalistes et écrivains très prolixes au sujet des services secrets. Il présente de nombreux exemples sur les succès, mais aussi les échecs de nos services sur les 70 dernières années tout en essayant de démontrer les relations difficiles qu’ils ont tissées avec le pouvoir politique. Ce descriptif qui se veut factuel est appuyé par 40 ans de collecte d’archives, d’interviews et de rencontres avec des agents. Une structuration dans le conflit de la seconde guerre mondiale: Entre 1920 et 1930 les 28 militaires qui constituent les services de renseignement français travaillent de manière efficace mais ils sont peu écoutés par l’état-major et par le pouvoir politique : Ils rédigent des analyses très justes sur le nazisme et ses visées totalitaires. Dès 1935, ils publient une note sur le réarmement militaire de l'Allemagne suivi en avril d’un bulletin de renseignement sur l'armée Allemande qui détaille l’entrée en action de moyens de feu plus puissant ou d'engagement ainsi que d'une grande unité blindée destinée à être utilisée sur les flancs ou l'arrière de l'ennemi. En février 1940, la composition des unités allemandes puis un tableau synoptique détaillé de l'organisation militaire allemande sont documentés. Côté contre-espionnage, l’organisation implantée par l'Abwehr est démantelée ; côté retournement d'agents, le chiffreur Hans Thilo Schmidt fournit les renseignements sur une des premières versions de la machine Enigma. La composante « action» n’est pas en reste, la proposition du Colonel Paillole de faire abattre Hitler en 1937 se voit opposer un refus par le Président du Conseil Daladier. Après la défaite, est créé le Bureau des Menées Antinationales de Vichy (BMA) qui lutte contre l'Allemagne et l’Italie notamment en installant près d'Uzès une équipe de crypto-analystes qui cassent les codes du IIIème Reich, en démasquant dans l'armée des espions nazis qui sont soit fusillés, soit éliminés (mesure D), en créant dès novembre 1942 l'entreprise Travaux Ruraux qui sera utilisée ensuite pour couvrir des actions de résistance. Le BMA traquera aussi les gaullistes jusqu’en novembre 1942, date du débarquement des alliés en Afrique du nord qui sera immédiatement suivi par l'invasion de la zone sud par les Allemands et par la fuite de certains éléments du BMA qui rejoignent Alger. Pendant ce temps, avec les éléments du 2ème Bureau ayant rejoint Général de Gaulle à Londres, se crée en 1941 le Bureau Central de Renseignements et d'Action Militaire (BCRAM). Les gaullistes ne souhaitent pas le voir se développer Ce document d’analyse, d’opinion, d'étude et/ou de recherche a été réalisé par un (ou des) membre(s) de l’AEGE. Préalablement à leurs publications et/ou diffusions, elles ont été soumises au Conseil scientifique de l'Association. L'analyse, l'opinion et/ou la recherche reposent sur l'utilisation de sources éthiquement fiables mais l'exhaustivité et l'exactitude ne peuvent être garantie. Sauf mention contraire, les projections ou autres informations ne sont valables qu'à la date de la publication du document, et sont dès lors sujettes à évolution ou amendement dans le temps. Le contenu de ces documents et/ou études n'a, en aucune manière, vocation à indiquer ou garantir des évolutions futures. Le contenu de cet article n’engage la responsabilité que de ses auteurs, il ne reflète pas nécessairement les opinions du(des) employeur(s), la politique ou l’opinion d’un organisme quelconque, y compris celui de gouvernements, d’administrations ou de ministères pouvant êtres concernés par ces informations. Et, les erreurs éventuelles relèvent de l’entière responsabilité des seuls auteurs. Les droits patrimoniaux de ce document et/ou étude appartiennent à l'Association, voire un organisme auquel les sources auraient pu être empruntées. Toute utilisation, diffusion, citation ou reproduction, en totalité ou en partie, de ce document et/ou étude ne peut se faire sans la permission expresse du(es) rédacteur(s) et du propriétaire des droits patrimoniaux. sous la coupe de l'armée, ils s’en détachent et prennent ainsi le nom de BCRA. La structure se spécialise d’abord dans le recueil de renseignements en France, cette compétence est nécessaire pour asseoir la légitimité de la France Libre auprès des Alliés. Une composante action (sabotage parachutage) se développera ensuite. Dès sa création, le BCRA établera et intensifiera le contact avec les réseaux de résistants. En 1942 cette mission fondamentale deviendra une branche plus politique qui assurera le travail de liaison avec le Commissariat à l'Intérieur. Jean Moulin conduira son évolution vers la création du Conseil National de la Résistance. Pierre Brossolette continuera l’unification des réseaux de résistants française (FTP, Libération et Combat). Après novembre 1942 à Alger se développe le BCRA-A avec les éléments du BMA qui possèdent une dominante de contre-espionnage (détection et retournement d'agents adverses, infiltration). Ils sont favorables à un pilotage militaire et opposés à l'action politique. Un de leur succès sera la constitution du réseau Kléber confié à Guy Jousselin de Saint Hilaire (Marco) qui fut chargé de noyauter l'administration (SNCF, policiers, STO) et qui joua un rôle important dans la libération de Paris. L’unification des deux composantes viendra en 1943 avec la création de la Direction générale des services spéciaux (DGSS). A sa tête est nommé Jacques Soustelle et elle comprend : une direction technique (DTSS dirigée par le colonel Passy), groupant tous les services de renseignements et d'action d'Alger (BRA-A dirigé par André Pelabon), ceux de Londres (BRA-L dirigé par André Manuel) ; auxquels les services du BCRA et du général Giraud apportent leur compétence. S’y rajoute un centre de documentation et d'études, une direction de la sûreté aux armées et une direction des contrôles techniques. est le premier «scandale » que connurent les nouveaux L’affaire Howard8 renseignements français. Cela scella définitivement l’opinion du général de Gaulle sur les services secrets. La guerre froide succède à la 2ème guerre mondiale Le 4 janvier 1946 est promulgué le décret du Service de Documentation Extérieure et de Contre-Espionnage (SDECE) qui est confié à André Dewaurin alias "Colonel Passy". Les missions assignée sont très diverses : Une des premières est la chasse aux ingénieurs allemands dans l'aéronautique et la propulsion, (qui contribueront à la création d'Airbus et d'ATAR le premier réacteur français), la construction automobile (qui contribueront à la création de la 4CV Renault. On peut noter que les américains en captureront 1.500 et les russes 2.200). 8Le MI6 & le MI5 lancent un complot élaboré pour discréditer la Franc Libre. Ils commencent par convainquent Passy de nommer un agent double Jacques Meffre dit « Howard », à la tête du service de sécurité interne de la France Libre. Collin un autre collaborateur infiltré fait un faux pour faire accuser l'amiral Muselier de trahison avec Vichy et il est arrêté par le MI6 sur demande de Meffre. De Gaulle ne croyant pas à la culpabilité de Muselier insiste pour que l’affaire soit transférée à Scotland Yard qui confond le tandem Meffre/Collin. Ce document d’analyse, d’opinion, d'étude et/ou de recherche a été réalisé par un (ou des) membre(s) de l’AEGE. Préalablement à leurs publications et/ou diffusions, elles ont été soumises au Conseil scientifique de l'Association. L'analyse, l'opinion et/ou la recherche reposent sur l'utilisation de sources éthiquement fiables mais l'exhaustivité et l'exactitude ne peuvent être garantie. Sauf mention contraire, les projections ou autres informations ne sont valables qu'à la date de la publication du document, et sont dès lors sujettes à évolution ou amendement dans le temps. Le contenu de ces documents et/ou études n'a, en aucune manière, vocation à indiquer ou garantir des évolutions futures. Le contenu de cet article n’engage la responsabilité que de ses auteurs, il ne reflète pas nécessairement les opinions du(des) employeur(s), la politique ou l’opinion d’un organisme quelconque, y compris celui de gouvernements, d’administrations ou de ministères pouvant êtres concernés par ces informations. Et, les erreurs éventuelles relèvent de l’entière responsabilité des seuls auteurs. Les droits patrimoniaux de ce document et/ou étude appartiennent à l'Association, voire un organisme auquel les sources auraient pu être empruntées. Toute utilisation, diffusion, citation ou reproduction, en totalité ou en partie, de ce document et/ou étude ne peut se faire sans la permission expresse du(es) rédacteur(s) et du propriétaire des droits patrimoniaux. En 1947 la mission qui se nommera successivement « Arc-en-ciel », « Rose des Vents » puis « Mission 48 » est de constituer un réseau de cellules dormantes en France et dans la zone occupée en Allemagne, équipés d'armes légères, de radioémetteurs et d'explosifs, en relation avec le SDRA belge et en accord avec la doctrine "stay behind" de la CIA et du MI6. Le service est aussi chargé de prendre contact avec les réfugiés de l'Europe de l'Est pour identifier les opposants au bolchevisme, les entraîner et les parachuter dans leur pays d’origine pour fomenter une rébellion. Au Brésil, il soutiendra le couple Juan Perón / Évita pour leur penchants anti américains, au Chili, c’est avec l’URSS qu’un soutien financier sera apporté à Salvador Allende. Du côté du renseignement intérieur, la DST est créé en novembre 1944 et sa direction est confiée à Roger Wybot. Elle est rattachée au ministère de l'Intérieur et elle est chargée de lutter contre l'ingérence étrangère et atteinte contre la Sûreté de l'Etat. Elle tente d’empêcher l'implantation de réseaux en France, en Algérie, au Maroc et en Tunisie... En 1947 elle déjoua la mise en œuvre du « Plan Bleu » dont les conjurés étaient une frange d’anti-communistes convaincus : anciens résistants, anciens collaborateurs, royalistes structurés et armés par le MI6 et la CIA pour renverser la IVème République. L’affaire "Passy" : André Dewaurin alias "colonel Passy" qui tente de rattacher le SDECE au Quai d'Orsay, s'oppose aux visions politiques des services du général de Gaulle. Il démissionne en février 1946 après le départ du pouvoir du général car le gouvernement l’accusera d’avoir détourné des fonds. L’engagement en Indochine, guérilla contre guérilla mobilise toutes les ressources Les missions en Indochine ne datent pas de la guerre froide : avant la guerre 39-45, la Sûreté Indochinoise fait la chasse au Việt Nam Quốc Dân Đảng VNQDD et aux communistes. L’action est aussi un moyen utilisé notamment en 1925 en réalisant l’enlèvement à Shanghai de Phan Boï Châu pour mettre fin à la subversion et aux projets d’assassinat du gouverneur d’Indochine. Pendant la deuxième guerre mondiale, des missions militaires Françaises sont réalisées contre les japonais. En juin 1945, une embuscade de l'OSS désireuse de limiter l’influence française fera 7 morts dans les rangs français. En 1947 est installé à Saigon la Base 40. Les équipes y stationnant sont en outre chargées de l’interception des communications Vietminh et du cassage de leurs codes de transmission afin de tenir à jour l'ordre de bataille. Leur efficacité atteindra un taux d’interception et de traduction de 60 à 80% en fonction des années. En 1950 elle communiqua l’information que 8 bataillons étaient à l'entraînement en Ce document d’analyse, d’opinion, d'étude et/ou de recherche a été réalisé par un (ou des) membre(s) de l’AEGE. Préalablement à leurs publications et/ou diffusions, elles ont été soumises au Conseil scientifique de l'Association. L'analyse, l'opinion et/ou la recherche reposent sur l'utilisation de sources éthiquement fiables mais l'exhaustivité et l'exactitude ne peuvent être garantie. Sauf mention contraire, les projections ou autres informations ne sont valables qu'à la date de la publication du document, et sont dès lors sujettes à évolution ou amendement dans le temps. Le contenu de ces documents et/ou études n'a, en aucune manière, vocation à indiquer ou garantir des évolutions futures. Le contenu de cet article n’engage la responsabilité que de ses auteurs, il ne reflète pas nécessairement les opinions du(des) employeur(s), la politique ou l’opinion d’un organisme quelconque, y compris celui de gouvernements, d’administrations ou de ministères pouvant êtres concernés par ces informations. Et, les erreurs éventuelles relèvent de l’entière responsabilité des seuls auteurs. Les droits patrimoniaux de ce document et/ou étude appartiennent à l'Association, voire un organisme auquel les sources auraient pu être empruntées. Toute utilisation, diffusion, citation ou reproduction, en totalité ou en partie, de ce document et/ou étude ne peut se faire sans la permission expresse du(es) rédacteur(s) et du propriétaire des droits patrimoniaux. Chine. Ces bataillons furent engagés dans la défaite de Cao Bang qui causa 2.000 morts et 3.000 prisonniers sur 6.000 hommes. Sur le volet contre-influence, le SDECE s’assurera d’abord du ralliement des Caodaïstes, des Hoa Hoa et de leurs organisations militaires, puis des Binh Xuyên en échange d'un monopole sur les maisons de jeu. En 1951 il mènera de nombreuses actions de contre-subversion avec la création des maquis « Chocolat », « Colibri » (dont « Aiglon » et « Calamar »), « Cardamome » (dont « Phone Say » et « Hans Kanh » et « Malo-Servan ». En 1953, le service contribuera à l’accomplissement de l’opération « Castor » qui permettra la prise de Dien Bien Phu. En 1954 avant le déclanchement de la bataille de Dien Bien Phu, s’ils furent capables de détailler les livraisons d'armes sur la zone, ils commirent une erreur dans l'évaluation des forces ennemies en raison d'un changement de code la veille du déclanchement de l’attaque. Les « affaires » ponctuent aussi cette période : En 1949 un scandale public éclate mettant en cause un membre du haut-commandement accusé de la vente de secrets militaires découvert par accident lors d’une bagarre de bar. En 1953 la revente d'opium acheté aux H'mong organisé par le Groupement de Commandos Mixtes Aéroportés (GCMA) est découverte et médiatisée. Ce trafic fera l’objet d’une « mise sous contrôle officielle ». Dans les faits, avec un co-engagement de la CIA le SDECE s’assurera que les fonds de cette revente ne contribueront pas à un enrichissement personnel mais à financer des opérations spéciales dans les pays de l'Est. La Guerre d’Algérie succède à celle en Indochine En 1954, avant la rébellion de la Toussaint, le Service de Liaison Nord-Africaine (SNLA) est en charge des missions de renseignement. Il formule notamment des demandes explicites de surveillance des frontières marocaines et tunisiennes. Il procède à des arrestations sélectives d'ex-membres de l'organisation spéciale (OS) chargée du soulèvement et il met sous surveillance les membres du Mouvement pour le Triomphe des Libertés Démocratiques (MTLD) dont il met en lumière les relations avec la Lybie et l'Egypte où sont réfugiés certains de ses militants. Ensuite débute de nouveaux types d’opérations avec l’envoi du « 11eme Choc » qui une fois sur place constituera le « Groupement de Marche 11 » puis le « Groupement Léger d'intervention » autrement appelé les « centaines : La première en date, « Cantate » consiste dans le parachutage d'une poste de radio piégé dont l’utilisation tuera le chef de la Wilaya 1. L’opération « Oiseau Bleu » est une opération de contreinsurrection qui conduira à la constitution, l’armement et la formation d’un maquis de Kabyles pro-français (Iflissen Iebahr). (Ce maquis rejoindra plus tard l'ALN). A contrario, la mise en ordre de bataille de la Force K (K pour Kobus) fut un succès. L’opération "Olivier" verra l’armement et le soutien des indépendantistes anti-FLN les Bellounis qui sont pro-occidentaux. (Ce maquis fut ensuite liquidé par les français car il constituait une force politique contraire à l'Algérie française). Une Ce document d’analyse, d’opinion, d'étude et/ou de recherche a été réalisé par un (ou des) membre(s) de l’AEGE. Préalablement à leurs publications et/ou diffusions, elles ont été soumises au Conseil scientifique de l'Association. L'analyse, l'opinion et/ou la recherche reposent sur l'utilisation de sources éthiquement fiables mais l'exhaustivité et l'exactitude ne peuvent être garantie. Sauf mention contraire, les projections ou autres informations ne sont valables qu'à la date de la publication du document, et sont dès lors sujettes à évolution ou amendement dans le temps. Le contenu de ces documents et/ou études n'a, en aucune manière, vocation à indiquer ou garantir des évolutions futures. Le contenu de cet article n’engage la responsabilité que de ses auteurs, il ne reflète pas nécessairement les opinions du(des) employeur(s), la politique ou l’opinion d’un organisme quelconque, y compris celui de gouvernements, d’administrations ou de ministères pouvant êtres concernés par ces informations. Et, les erreurs éventuelles relèvent de l’entière responsabilité des seuls auteurs. Les droits patrimoniaux de ce document et/ou étude appartiennent à l'Association, voire un organisme auquel les sources auraient pu être empruntées. Toute utilisation, diffusion, citation ou reproduction, en totalité ou en partie, de ce document et/ou étude ne peut se faire sans la permission expresse du(es) rédacteur(s) et du propriétaire des droits patrimoniaux. tentative d'entrisme est menée pour inciter la ligne dure du Mouvement Nationaliste Algérien (MNA) à négocier "la paix des braves". (Les infiltrés dont un a été secrètement reçu par Constantin Melnik sont écartés du mouvement). En 1960 l’opération "Tilsitt", rencontre de général de Gaulle avec les chefs de la Wilaya 4 sera aussi un échec qui se soldera par l’élimination progressive des plénipotentiaires sur le terrain dans les mois et les années qui suivirent. Le SDECE contribuera à la création et à l’armement du Front de l’Action Algérienne Démocratique (FAAD) qui mènera des opérations ciblées et terroristes (y compris sur le territoire national) contre des membres et des sympathisants du FLN. (Ses membres rejoindront plus tard l’OAS une fois l’abandon du FAAD décidé et le démontage de l'opération réalisé). Sont aussi menées des opérations d'intoxication telles que la "bleuite" où des militants FLN sont capturés et exposés durant leur interrogatoire à des documents falsifiés, qu'on leur laisse parfois même voler avant de les relâcher contre la promesse de trahir. Le contenu de ces documents semant le doute sur l’intégrité de cadres et d’étudiants aura pour effet de déclencher des purges de cadres ou de futurs cadres du FLN. La publication de faux numéros d'El Moujahid, conçus pour démoraliser et aggraver la paranoïa sera aussi réalisée. Après un brouillage de « La voix de l'Algérie combattante » et face à la multiplication des émetteurs, le SDECE mettra sur pied le "Studio Kleber" qui réalisera des émissions de radio diffusées sur des radios créées ex-nihilo telles que« la voix des arabes », la voix de l'Algérie Libre ». Elles étaient peu efficaces, elles furent donc arrêtées malgré leur coût modique. Le volet contre-espionnage débutera rapidement par la création du département Répression Action Protection (RAP) rebaptisé « Centre de Coordination Interarmées ». Sera créé le Groupement de Recherche et d'Exploitation (GRE), travaillant avec des zouaves déguisés en bleu de travail (bleus de chauffe) qui infiltreront la casbah. Plus tard pendant la « bataille d’Alger » se seront les "Détachements Opérationnels de Protection" (DOP) qui compteront de 1.500 hommes en 1958 jusqu’à 3.700 en 1959 qui assureront collecte du renseignement par la torture et d'exécutions sommaires ; ce qui engendrera progressivement un scandale dans l’opinion publique. Les affaires prendront un tour plus international avec la médiatisation en 1959 de l’exploitation d’une bretelle téléphonique entre la résidence personnelle du Président Tunisien Bourguiba (soutien du FLN) et l’ambassade française. L’action des 1600 agents du SDECE ne se limite donc pas au sol algérien, l’Égypte du roi Farouk qui finance une base arrière du FLN sera aussi un théâtre d’opération : Opérations de renseignement d’abord obtenus de différentes façons comme par l’envoi à Farouk de call girls françaises (dont la future Madame Claude). D’autres modes d’action plus classiques sont aussi utilisés comme la prise de contact avec le parti WAFD ( )ﺣﺰب اﻟﻮﻓﺪ اﻟﻤﺼﺮيqui sera interdit par Nasser après le coup d'Etat. Ce document d’analyse, d’opinion, d'étude et/ou de recherche a été réalisé par un (ou des) membre(s) de l’AEGE. Préalablement à leurs publications et/ou diffusions, elles ont été soumises au Conseil scientifique de l'Association. L'analyse, l'opinion et/ou la recherche reposent sur l'utilisation de sources éthiquement fiables mais l'exhaustivité et l'exactitude ne peuvent être garantie. Sauf mention contraire, les projections ou autres informations ne sont valables qu'à la date de la publication du document, et sont dès lors sujettes à évolution ou amendement dans le temps. Le contenu de ces documents et/ou études n'a, en aucune manière, vocation à indiquer ou garantir des évolutions futures. Le contenu de cet article n’engage la responsabilité que de ses auteurs, il ne reflète pas nécessairement les opinions du(des) employeur(s), la politique ou l’opinion d’un organisme quelconque, y compris celui de gouvernements, d’administrations ou de ministères pouvant êtres concernés par ces informations. Et, les erreurs éventuelles relèvent de l’entière responsabilité des seuls auteurs. Les droits patrimoniaux de ce document et/ou étude appartiennent à l'Association, voire un organisme auquel les sources auraient pu être empruntées. Toute utilisation, diffusion, citation ou reproduction, en totalité ou en partie, de ce document et/ou étude ne peut se faire sans la permission expresse du(es) rédacteur(s) et du propriétaire des droits patrimoniaux. Ensuite le pilotage de Ben Bella, leader du FLN par les moukhabarat Égyptiens encouragé par Nasser conduira à des décisions plus radicales comme la mission Torpédo contre Nasser qui sera d’ailleurs un échec. Il sera par contre prouvé que les moukhabarat Égyptiens assurent une grande partie de l’approvisionnement en arme du FLN ce qui mènera à l’interception d’un cargo l'Athos en 1956. Seront aussi conduites sur le sol étranger plusieurs missions "Hors-jeu" directement contre le leader du FLN Ben Bella: En 1955 un tir le ratera à l'hôtel Méhari au Caire, une interception sera manquée à l’hôtel Excelsior de Tripoli, au Caire à l’hôtel Semiramis un colis piégé mal amorcé lui sera remis, une bombe explosera à la Gare du Caire faisant plusieurs morts mais ratant sa cible. Ce ne sera qu’en octobre 1956 que cette traque verra son aboutissement par le détournement de l'avion de Ben Bella qui conduira à sa capture. En parallèle autres service de renseignement occidentaux ne sont pas en reste dans la région : Le MI6 approche les frères musulmans après la nationalisation du Canal de Suez, il prend contact avec des étudiants islamiques pour provoquer des émeutes et justifier ainsi une intervention militaire pour défendre les européens, il verra ses réseaux démantelés par les moukhabarat et il publiera le journal « la voix de l'Egypte » qui sera faussement attribuée au SDECE. Le Mossad plus simplement tentera d’ d'empoisonnement Nasser. Dans ce registre, les opérations clandestines du SDECE homo & arma attribués à un mystérieux groupe "La Main Rouge" industrialiseront la lutte contre le trafic d’armes et ses acteurs : 14 bateaux seront arraisonnés ou détruits dont la Bruja Rojas et le Typhon à Tanger, l’Atlas à Hambourg et le Slovèna en 1958. Plusieurs assassinats seront perpétrés, en 1956 celui d' Ould Amokrane avocat du FLN et celui de l’adjoint du trafiquant d'arme Ottoman Schlüter, en 1957 celui de la mère d’Ottoman Schlüter et celui du trafiquant d’armes Georges Geiser en Suisse, en 1958 celui de Marcel Leopold Alkeira à Ostende et celui de Mohammed Aìt Alcène à Bonn qui fut grièvement blessé (sur information du BND dont les agents aident par ailleurs régulièrement le FLN), en 1959 celui d’Abd El Soualem à la gare de Sarrebruck et de Félix Mounié empoisonné par une (trop) forte dose de thallium (et qui sera autopsié à Genève d'oùun scandale qui s’étalera à la une du Der Spiegel puis de l'Humanité et qui refroidira les relations avec Berne). La liste s'allongera pourtant, 135 au total d'après Constantin Melnik, ciblant des porteurs de valises belges, français, allemands, Italiens, suisse, hollandais et des étudiants algériens à Bruxelles. En 1960 sera publié un vrai-faux livre intitulé « La main rouge » décrivant les motivations et les actes de ce « groupuscule ». En 1965 aura lieu l’enlèvement en public et en plein Paris de Mehdi Ben Barka réalisé par le « Cabinet 1 » marocain avec la complicité d'officiers du renseignement et de policiers français qui se rajoutera aux affaires retentissantes impliquant les services français. Le pré carré africain Ce document d’analyse, d’opinion, d'étude et/ou de recherche a été réalisé par un (ou des) membre(s) de l’AEGE. Préalablement à leurs publications et/ou diffusions, elles ont été soumises au Conseil scientifique de l'Association. L'analyse, l'opinion et/ou la recherche reposent sur l'utilisation de sources éthiquement fiables mais l'exhaustivité et l'exactitude ne peuvent être garantie. Sauf mention contraire, les projections ou autres informations ne sont valables qu'à la date de la publication du document, et sont dès lors sujettes à évolution ou amendement dans le temps. Le contenu de ces documents et/ou études n'a, en aucune manière, vocation à indiquer ou garantir des évolutions futures. Le contenu de cet article n’engage la responsabilité que de ses auteurs, il ne reflète pas nécessairement les opinions du(des) employeur(s), la politique ou l’opinion d’un organisme quelconque, y compris celui de gouvernements, d’administrations ou de ministères pouvant êtres concernés par ces informations. Et, les erreurs éventuelles relèvent de l’entière responsabilité des seuls auteurs. Les droits patrimoniaux de ce document et/ou étude appartiennent à l'Association, voire un organisme auquel les sources auraient pu être empruntées. Toute utilisation, diffusion, citation ou reproduction, en totalité ou en partie, de ce document et/ou étude ne peut se faire sans la permission expresse du(es) rédacteur(s) et du propriétaire des droits patrimoniaux. Le SDECE concrétise une domination en Afrique par la mise en place de 14 postes de liaison et de renseignement (PLR): Cameroun, Centre Afrique, Congo-Brazaville, Côte d'Ivoire, Dahomey, Gabon, Haute-Volta, Madagascar, Mali, Mauritanie, Niger, Sénégal, Tchad, Togo. 54 agents y sont implantés en permanence ainsi qu’un certain nombre d’honorables correspondants. Le renseignement en source ouverte et les stratégies d'influence sont développées à travers les réseaux « Jimbo » qui gèrent des agents dormants et opérationnels sous couverture (réseau Jimbo18) dont l’objectif est de contrôler la vie politique du pays en conseillant le clan au pouvoir, mais parfois aussi certains opposants, en vertu du principe selon lequel il ne faut pas mettre tous ses œufs dans le même panier. Au Cameroun, les CCI-DOP contribueront aux guerres tribales puis au formatage des services secrets nouvellement créés. Au Gabon le SDECE contribuera au retour de Léon Mba par des voies diplomatico-militaires, il formera aussi à la répression de la police gabonaise et il portera enfin Omar Bongo le candidat choisi, au pouvoir en 1967. En Centrafrique, en 1979 David Dacko, infusé par le SDECE sera lui aussi porté au pouvoir. L’opération « Barracuda » y sera mise en œuvre pour écarter l'empereur Jean Bedel Bokassa du pouvoir. La sécession du Nigeria se fera 1966, voyant s’opposer la région de l’Est soutenue par les USA et la Tchécoslovaquie à la région Ouest soutenue par la France. La guerre de sécession ratée du Biafra, qui fit 1 à 2 millions de morts, fut facilitée par la mise en place d’un pont aérien de livraison d'armes sous couvert de produits pharmaceutiques, au moyen d'un « Superconstellation » acheté à Air France et par l’engagement de mercenaires. Au Tchad en 1963 le résident du PLR est accusé d'aider la rébellion musulmane. En 1982, Bob Denard conduit dans ce pays l’ « Opération 61 » de soutien à Hissene Habré puis une nouvelle opération coordonnée avec le Service Action. En 1987, le Service Action équipé de missiles Milan sera envoyé sur le terrain. Le SDECE découvrira que la Lybie arme et prépare l'Armée de Libération Nationale (ALN) pour la reconquête du pays. Forte d'une information que le Président Habré a passé un accord avec la CIA pour lui permettre de former 2.000 Libyens au nord de N'Djamena, la DGSE laissera un renversement de régime s'opérer à partir du Darfour. Au Bénin, le SDECE laisse Bob Denard lancer un Coup d'Etat en 1977 qui ne réussira pas. Côté diplomatie parallèle, le SDECE travaillera d’arrachepied à l’apaisement des conséquences d’un incident de frontière entre la Mauritanie et le Sénégal en 1992 et tentera de solutionner sans succès le problème Touareg au Niger. Au Congo Brazaville, le SDECE sera pris de cours par le renversement du président, l'abbé Fulbert Youlou, qu’il réussira à exfiltrer en 1965 au moyen de mercenaires commandés par l’un de ses officiers. Bob Denard interviendra au Congo, au Yémen puis à nouveau au Congo pour contribuer à la sécession du pays, mais la CIA interceptera Moïse Tshombe, annulant ainsi la contre insurrection qui était programmée. En 1992, le même Bob Denard contribuera au retour de Pascal Lissouba. La société ELF développera dans ce pays une excellente culture du renseignement. Ce document d’analyse, d’opinion, d'étude et/ou de recherche a été réalisé par un (ou des) membre(s) de l’AEGE. Préalablement à leurs publications et/ou diffusions, elles ont été soumises au Conseil scientifique de l'Association. L'analyse, l'opinion et/ou la recherche reposent sur l'utilisation de sources éthiquement fiables mais l'exhaustivité et l'exactitude ne peuvent être garantie. Sauf mention contraire, les projections ou autres informations ne sont valables qu'à la date de la publication du document, et sont dès lors sujettes à évolution ou amendement dans le temps. Le contenu de ces documents et/ou études n'a, en aucune manière, vocation à indiquer ou garantir des évolutions futures. Le contenu de cet article n’engage la responsabilité que de ses auteurs, il ne reflète pas nécessairement les opinions du(des) employeur(s), la politique ou l’opinion d’un organisme quelconque, y compris celui de gouvernements, d’administrations ou de ministères pouvant êtres concernés par ces informations. Et, les erreurs éventuelles relèvent de l’entière responsabilité des seuls auteurs. Les droits patrimoniaux de ce document et/ou étude appartiennent à l'Association, voire un organisme auquel les sources auraient pu être empruntées. Toute utilisation, diffusion, citation ou reproduction, en totalité ou en partie, de ce document et/ou étude ne peut se faire sans la permission expresse du(es) rédacteur(s) et du propriétaire des droits patrimoniaux. Au nombre des échecs les plus retentissants on peut citer la Guinée de Sekou Touré qui se rapprochera en 1958 de Moscou. Le SDECE engagera dans ce pays une guerre économique et diplomatique qui se traduira par l’émission massive de faux billets, par l’intermédiation visant à empêcher l'invitation du dirigeant par la Reine d'Angleterre à Freetown, par des actions d’étranglement sur les frontières comme la formation de l’armée de Peuls opposants au régime, par l’espionnage intensif des conseillers militaires soviétiques et tchèques, par le débauchage d'opposants guinéens, par l’interception de communications mais aussi par la mise en œuvre d’une tentative de meurtres comme la celle qui fut déjouée par le Státní Bezpečnost Tchèquoslovaque (StB) qui informa la sécurité de Sékou Touré. Ces opérations lorsqu’elles seront médiatisées contribueront aussi à forger l’image de marque des services secrets français dans l’opinion publique. Guerre froide à la loupe : En 1944, la collaboration avec le MI6 pour l’opération de parachutages de matériel et d'agents pour aider l'insurrection anti-communiste en Albanie, a été trahie par l’un des cinq de Cambridge, Kim Philbys et a coûté des vies, tant britanniques qu'albanaises. Une nouvelle opération d’envergure « Minos » s’est déroulée de 1949 à 1954 : Des réfugiés Lithuanien, Tchécoslovaques et Polonais sont recrutés pour leur anticommunisme, entraînés et armés pour constituer des réseaux de lutte contre le bolchevisme. Ces commandos seront tous immédiatement arrêtés dès leur parachutage ce qui présuppose que les services de renseignement du bloc soviétique aient été là aussi informés. D’autres opérations en territoire étranger sont menées telles les récupérations : En1948 d'Hubert Ripka, près de Prague par un avion de l'escadrille spéciale 1/56. (Le réseau de 500 agents qu'il montât fut ensuite traqué par le StB). L’escadrille assurera aussi la récupération du transfuge Lithuanien Argakamov. Les services secrets américains et du bloc soviétique sont particulièrement actifs contre nos services et nos ambassades. Un certain nombre d’agents risqueront leur vie dans l’exercice de leur mission; cette agressivité et la surveillance étroite dont les agents font l’objet conduiront les postes situés à l’Est à être progressivement fermés. Lucien Gouazé est enlevé à Budapest en 1948 et il ne sera libéré qu’en 1958. Jean Isidore Gueron sera assassiné à Belgrade par l'Uprava državne bezbednosti -Direction de la Sûreté de l'État- (UDBA). En 1949 l’arrestation du chef de poste et de son adjoint en Pologne provoquera celle du vice consul de l’ambassade de Pologne à Paris et le blocage d'un avion de la compagnie LOT. En 1978, le commandant Cuvelier est trouvé mort à Saint Dizier. En 1979, Pierre Bernard Kolb, officier traitant à Strasbourg est trouvé mort lui aussi. En RDA, un accident routier volontaire sera provoqué par l’armée est-Allemande, causant la mort d'un officier, une sentinelle tirera sur un autre officier français qui s'en sortira indemne. En 1983, le lieutenant-colonel Bernard Nut, chef de poste de Nice est Ce document d’analyse, d’opinion, d'étude et/ou de recherche a été réalisé par un (ou des) membre(s) de l’AEGE. Préalablement à leurs publications et/ou diffusions, elles ont été soumises au Conseil scientifique de l'Association. L'analyse, l'opinion et/ou la recherche reposent sur l'utilisation de sources éthiquement fiables mais l'exhaustivité et l'exactitude ne peuvent être garantie. Sauf mention contraire, les projections ou autres informations ne sont valables qu'à la date de la publication du document, et sont dès lors sujettes à évolution ou amendement dans le temps. Le contenu de ces documents et/ou études n'a, en aucune manière, vocation à indiquer ou garantir des évolutions futures. Le contenu de cet article n’engage la responsabilité que de ses auteurs, il ne reflète pas nécessairement les opinions du(des) employeur(s), la politique ou l’opinion d’un organisme quelconque, y compris celui de gouvernements, d’administrations ou de ministères pouvant êtres concernés par ces informations. Et, les erreurs éventuelles relèvent de l’entière responsabilité des seuls auteurs. Les droits patrimoniaux de ce document et/ou étude appartiennent à l'Association, voire un organisme auquel les sources auraient pu être empruntées. Toute utilisation, diffusion, citation ou reproduction, en totalité ou en partie, de ce document et/ou étude ne peut se faire sans la permission expresse du(es) rédacteur(s) et du propriétaire des droits patrimoniaux. trouvé mort dans les Alpes-Maritimes. La liste des morts tombés pour la France est d’ailleurs donnée en annexe de l’ouvrage. Le contre-espionnage n’est pas en reste : En 1948 la DST détecte trois infiltrés de la CIA à la DGER. En 1950, la secrétaire du Directeur du service 28 (interception cryptographie) travaillant pour les russes est arrêtée. En 1962, Pierre Cardot du StB est confondu après avoir intégré le SDECE. En zone Allemande occupée, deux officiers soviétiques, un officier tchèque et un général retraité de la Luftwaffe sont arrêtés à Berlin. Le StB exerce un chantage sur la fille du chef de poste de Prague puis sur son père qui demande leur rapatriement. En 1951, des hirondelles sont envoyées pour corrompre son successeur. En 1962 le transfuge Golitsyne décrit l'infiltration de l'Otan et de 40 taupes dans les services secrets français, « le réseau SAPHIR », sans donner de nom. Youri Nossenko un autre transfuge déclare que Golitsyne est un faux transfuge. Est-ce le contraire, le doute reste permis, mais en France :La DST arrête Georges Pâques, haut fonctionnaire français détaché à l'Otan, en Angleterre l'Intelligence Service démasque Kim Philby. Plus tard un ou deux colonels seront écartés sous Pompidou et le Directeur adjoint du SDECE le sera aussi. En 1971, un autre confiera son sa double appartenance à la DST. 1977 voit l’éviction judiciarisée d'un sous-directeur. Vassili Mitrokhine transfuge après sa défection en 1992, aurait reçu des « milliers de documents dont la détection des missiles à Cuba en provenance de l’agent appelé « Jour » entre 1945 à 1980 » ; cet agent ayant par ailleurs recruté plusieurs autres taupes dans les services français. Dans les mémoires de Markus Wolf, Directeur de la STASI, le département XI du Hauptverwaltung Aufklärung (HVA) aurait infiltré le SDECE, ce qui reste à prouver. Plusieurs succès jalonnent cette période : En 1950 une espionne du GRU à Bordeaux disposant d'un matériel d'émission est retournée et son action conduit au démantèlement par le FBI et le MI6 du réseau canadien Konon Molody alias Gordon Londsdale. L’affaire Nawor est aussi célèbre: La confession d’un ancien soldat de la Wehrmacht naturalisé français que la STASI avait tamponné et fait chanter à la foire de Leipzig en 1954, a permis l’intoxication d'un couple d'agents du HVA, le piégeage de boîtes aux lettres mortes, l’arrestation du couple à Paris, l’arrestation du chef de réseau en 1967 (un légionnaire ayant posé des micros à Berlin et de sa femme dactylo à l'OTAN agent elle aussi). Cette affaire a été médiatisée sous les noms Bamler/Kranick. En 1982, hors du cadre romancé et porté à l’écran débute l’affaire Farewell : Valadimir Ippolitovitch Vetrov, lieutenant-colonel du KGB prend contact avec la DST. En collaboration avec les services américains qui ont fourni une caméra miniaturisée dont les films sont lisibles uniquement par eux, ce dernier transmet de nombreux dossiers liés à l’espionnage industriel massif réalisé par le bloc soviétique. Il est arrêté suite à la tentative de meurtre de sa maîtresse. Confondu d’espionnage, il est ensuite fusillé en 1985. En 1988 le SDECE et le MI6 s’associent pour acquérir un Mig29 livré par un pilote de chasse polonais désireux de passer à l’Ouest, et de s’enrichir. À la chute du mur ce seront surtout les agents Ce document d’analyse, d’opinion, d'étude et/ou de recherche a été réalisé par un (ou des) membre(s) de l’AEGE. Préalablement à leurs publications et/ou diffusions, elles ont été soumises au Conseil scientifique de l'Association. L'analyse, l'opinion et/ou la recherche reposent sur l'utilisation de sources éthiquement fiables mais l'exhaustivité et l'exactitude ne peuvent être garantie. Sauf mention contraire, les projections ou autres informations ne sont valables qu'à la date de la publication du document, et sont dès lors sujettes à évolution ou amendement dans le temps. Le contenu de ces documents et/ou études n'a, en aucune manière, vocation à indiquer ou garantir des évolutions futures. Le contenu de cet article n’engage la responsabilité que de ses auteurs, il ne reflète pas nécessairement les opinions du(des) employeur(s), la politique ou l’opinion d’un organisme quelconque, y compris celui de gouvernements, d’administrations ou de ministères pouvant êtres concernés par ces informations. Et, les erreurs éventuelles relèvent de l’entière responsabilité des seuls auteurs. Les droits patrimoniaux de ce document et/ou étude appartiennent à l'Association, voire un organisme auquel les sources auraient pu être empruntées. Toute utilisation, diffusion, citation ou reproduction, en totalité ou en partie, de ce document et/ou étude ne peut se faire sans la permission expresse du(es) rédacteur(s) et du propriétaire des droits patrimoniaux. du BND qui recruteront les anciens agents de la STASI et qui mettront la main sur leurs archives Côté renseignement, les services ont « historiquement » infiltré l'association des garçons d'étage et des concierges « les clés d'or » depuis l’époque où des officiers nazis se réfugiaient au Lutecia. Pendant la guerre froide et en l’absence de postes à l’Est, ce seront surtout les renseignements photographiques et d’interceptions qui seront collectés en Allemagne de l’Est. Les services fourniront aussi une excellente analyse de la situation proto-révolutionnaire en Allemagne de l’Est avant la chute du mur de Berlin. Dans d’autres secteurs du monde et pendant cette période, des informations obtenues auprès de réfugiés cubains permirent d’informer la CIA en 1962 de la présence de 700 soviétiques et de rampes de lancement de missiles à Cuba. Au point de vue de la diplomatie parallèle, en 1959, Jean Violet et les réseaux religieux contribuent à l’établissement d’une majorité à l’ONU pour que la France ne soit pas sanctionnée ni pour son coup de force à Suez et ni pour la guerre d'Algérie. Les réseaux religieux aident aussi à la commercialisation des premiers Mirages Dassault en Suisse. Sur d’autres théâtres d’opération, le SDECE est aussi largement sollicité pendant cette période : En 1947 il entraîne un bataillon de 500 juifs de Palestine. Il assure ensuite une mission de surveillance en Irlande pour préparer un voyage du Général de Gaulle. Il lance une campagne d’agit-prop au Québec avec le financement du journal l'Evangélique qui se terminera par la phrase du Général de Gaulle «Vive le Québec libre ». En 1971, Zhang chiffreur chinois demandant l’asile politique à Alger sera renvoyé drogué en Chine à la demande pressante de l'ambassadeur. Avec l’aide de l’Egypte le SDECE fournira des armes à Yssen Habré ayant pris en otage les époux Claustre. Entre 1978 et 1988 il apporte un soutien des cambodgiens contre les KR. En 1979, il organisera en collaboration avec les moukarhabat Egyptiens un attentat raté contre Kadhafi à Benghazi puis une tentative de coup d'Etat en 1980 qui échoue elle aussi. En 1983, il assure la récupération de Klaus Barbie en Colombie. Le SDECE se distinguera aussi dans la protection des essais nucléaires à Mururoa: En 1966 du sucre sera versé dans le réservoir d'essence du bateau de Greenpeace. En 1967 aux îles Cook une jaunisse opportuniste bloque le voilier de Greenpeace sur une période s’étendant au-delà de la période d'essais nucléaires et en 1985, le Rainbow Warrior est tout simplement coulé comme au bon temps des opérations « arma » faisant un mort parmi l’équipage. Ce dernier point nous introduit naturellement les scandales médiatisés: L’affaire Markovic trouvé mort dans un terrain vague défrayera la chronique sur fond de photomontages pornographiques mettant en scène Mme Pompidou, fabriqués et distribués sous le manteau par des agents des services français. En 1971 un agent français convoyant de la drogue dans le New-jersey sera arrêté. Après la chute du mur l’Express publiera sur la base d’archives roumaine l’identité de l’agent « Dinu ». Ce document d’analyse, d’opinion, d'étude et/ou de recherche a été réalisé par un (ou des) membre(s) de l’AEGE. Préalablement à leurs publications et/ou diffusions, elles ont été soumises au Conseil scientifique de l'Association. L'analyse, l'opinion et/ou la recherche reposent sur l'utilisation de sources éthiquement fiables mais l'exhaustivité et l'exactitude ne peuvent être garantie. Sauf mention contraire, les projections ou autres informations ne sont valables qu'à la date de la publication du document, et sont dès lors sujettes à évolution ou amendement dans le temps. Le contenu de ces documents et/ou études n'a, en aucune manière, vocation à indiquer ou garantir des évolutions futures. Le contenu de cet article n’engage la responsabilité que de ses auteurs, il ne reflète pas nécessairement les opinions du(des) employeur(s), la politique ou l’opinion d’un organisme quelconque, y compris celui de gouvernements, d’administrations ou de ministères pouvant êtres concernés par ces informations. Et, les erreurs éventuelles relèvent de l’entière responsabilité des seuls auteurs. Les droits patrimoniaux de ce document et/ou étude appartiennent à l'Association, voire un organisme auquel les sources auraient pu être empruntées. Toute utilisation, diffusion, citation ou reproduction, en totalité ou en partie, de ce document et/ou étude ne peut se faire sans la permission expresse du(es) rédacteur(s) et du propriétaire des droits patrimoniaux. Charles Hernu diffamé par cette accusation portera plainte. (L’objectif aurait été de dévoiler en pleine campagne présidentielle que Jacques Chirac fut communiste dans sa jeunesse et qu’il était amoureux d'une hôtesse de l’air russe). Post guerre froide L’après-guerre froide est marquée par une rupture avec les habitudes passées. La Palestine, les pays du Moyen-Orient, du Sahel et de l’Afghanistan sont les acteurs d’une montée en puissance d’un terrorisme revendicatif. La première guerre du Golfe puis celle du Kosovo sont les déclencheurs d’une série de réformes qui feront évoluer favorablement le renseignement militaire français. Enfin l’émergence d’une compétition mondialisée avec les alliés d’hier et la montée de pays émergents met en avant une dimension que l’on avait passée sous silence : la guerre économique. Dans cette nouvelle ère, se succèdent des figures terroristes, des dirigeants des services et des hommes politiques qui mettront leur touche personnelle à ce tableau déjà fort chargé. Des hommes nouveaux des pratiques « nouvelles » Durant les années Marenches, la diplomatie parallèle est assurée par le Directeur en personne, il met sur pied un « Safari Club » qui fera se rencontrer les dirigeants de plusieurs services spéciaux. Il est aussi l’instigateur d’une section anti- terroriste au SDECE. Les années Mitterrand verront se succéder un certain nombre de scandales médiatique qui rejailliront sur l’image des services secrets français tel le flop des irlandais de Vincennes, arrêtés par le GIPN dépendant de l'Elysée, à qui l'on attribue faussement l'attentat de la rue des Rosiers. Un peu de diversification passe sur la DGSE : La "base Bison" recrute des honorables correspondants : Elle utilise des chefs d'entreprise, des journalistes comme Philippe de Dieuleveult, des call girls appartenant aux réseaux Claude puis Virginie sont utilisées pour piéger des ambassadeurs amateurs de confidences sur l'oreiller. Les parlementaires sont invités à rédiger des rapports d'étonnement au retour de leurs voyages à l’étranger. Les années Chirac sont perçues différemment : Si l’utilisation en 1988 du 11ème choc pour prendre d'assaut la grotte d'Ouvéa reste choquante, le rapatriement pour raison sanitaire des agents Maffart & Prieur assignés à résidence malgré l’engagement moral de son prédécesseur envers la Nouvelle Zélande et le refus de contribuer à l’opération Désert Fox sont mieux acceptés par les services et par le public. Dès 2002 l’extension des opérations homo "alpha" hors des théâtres d'opération classiques conduira à l’arrestation en Espagne d'un officier traitant et son agent. Encore un raté pour l’opinion publique. Ce document d’analyse, d’opinion, d'étude et/ou de recherche a été réalisé par un (ou des) membre(s) de l’AEGE. Préalablement à leurs publications et/ou diffusions, elles ont été soumises au Conseil scientifique de l'Association. L'analyse, l'opinion et/ou la recherche reposent sur l'utilisation de sources éthiquement fiables mais l'exhaustivité et l'exactitude ne peuvent être garantie. Sauf mention contraire, les projections ou autres informations ne sont valables qu'à la date de la publication du document, et sont dès lors sujettes à évolution ou amendement dans le temps. Le contenu de ces documents et/ou études n'a, en aucune manière, vocation à indiquer ou garantir des évolutions futures. Le contenu de cet article n’engage la responsabilité que de ses auteurs, il ne reflète pas nécessairement les opinions du(des) employeur(s), la politique ou l’opinion d’un organisme quelconque, y compris celui de gouvernements, d’administrations ou de ministères pouvant êtres concernés par ces informations. Et, les erreurs éventuelles relèvent de l’entière responsabilité des seuls auteurs. Les droits patrimoniaux de ce document et/ou étude appartiennent à l'Association, voire un organisme auquel les sources auraient pu être empruntées. Toute utilisation, diffusion, citation ou reproduction, en totalité ou en partie, de ce document et/ou étude ne peut se faire sans la permission expresse du(es) rédacteur(s) et du propriétaire des droits patrimoniaux. Les relations dans le monde arabophone & musulman et la menace terroriste La Syrie : 1974 Malgré une note imprécise sur des liens existant entre Sekigun armée secrète gauchiste japonaise) et le Front Populaire de Libération de la Palestine (FPLP) en Hollande, aucune mesure particulière de sécurité n’est prise à l'ambassade de France aux Pays-Bas. Le groupe japonais la prendra d’assaut. Le lendemain une bombe explose au Drugstore déposé par Carlos. Les autorités françaises cèdent au chantage et le groupe réuni, s'envole pour la Syrie. A Orly en 1974, un agent de liaison de la Sekigun est arrêté. En 1981 La voiture de l'ambassadeur français Louis Delamare est mitraillée, la DGSE et les Palestiniens de Yasser Arafat accusent les services Syriens. 1982 Une bombe explose rue Marbeuf à Paris, l’attentat est imputée à Carlos qui agirait au nom du Front Populaire de Libération de la Palestine (FPLP) financé par la Syrie. La même année une autre explose dans le train Paris/Toulouse ; le Service Action tire en représailles sur l'attaché militaire syrien de l’ambassade à Madrid. En 1983, l’Armée Secrète de Libération de l’Arménie (ASALA) fait exploser une bombe au comptoir de Turkish Air ways à Orly, le SDECE trouve les services secrets syriens parmi les commanditaires de l’attentat. Au Liban : En 1982, l’opération Charlie est menée par le Servie Action en coopération avec les services secrets de Yasser Arafat contre Abou Nidal à la suite de l’attentat de la rue des Rosiers à Paris. En 1985 deux diplomates et trois journalistes sont enlevés par le Hezbollah, la DGSE les localise à deux reprises mais l'Elysée n'accepte pas d'entériner l'opération. A la marge, on peut retenir un très beau succès d’acquisition et du rapatriement d’un missile portatif SAM7 soviétique neuf avec sa notice. En Iran : Le PLR informe Paris des risques de renversement du Shah, le Service Action proposera d’enlever l'ayatollah Khomeiny pour l’échanger contre les otages de l’ambassade des Etats Unis. Cette action sera refusée par Carter « très pieux rebuté de voir enlever un saint homme ». En Irak : En 1983, le Service Action est diligenté pour assurer la formation des artilleurs de Saddam Hussein à l'utilisation des canons 155GCT contre l’armée iranienne. L’attentat de l'ambassade de Beyrouth et celui de Dakar en 1983 qui fit 58 tués parmi les soldats français sont des mesures de rétorsion contre la locationvente de super étendards armés d'exocet à l’Irak alors en guerre contre l’Iran. En Libye : En 1989, l’attentat du vol UTA772 et du vol 103 de la Panam sont revendiqués par le FPLP. Ils sont ensuite imputés au régime Lydien qui indemnisera les familles des victimes. 2011 Lors du soulèvement de la population contre le régime de Kadhafi en 2011, les forces spéciales et des agents du Service Action sont présents sur le sol Libyen. De nombreuses opérations de renseignement et des livraisons d'armes sont menées en collaboration avec le MI6. Ce document d’analyse, d’opinion, d'étude et/ou de recherche a été réalisé par un (ou des) membre(s) de l’AEGE. Préalablement à leurs publications et/ou diffusions, elles ont été soumises au Conseil scientifique de l'Association. L'analyse, l'opinion et/ou la recherche reposent sur l'utilisation de sources éthiquement fiables mais l'exhaustivité et l'exactitude ne peuvent être garantie. Sauf mention contraire, les projections ou autres informations ne sont valables qu'à la date de la publication du document, et sont dès lors sujettes à évolution ou amendement dans le temps. Le contenu de ces documents et/ou études n'a, en aucune manière, vocation à indiquer ou garantir des évolutions futures. Le contenu de cet article n’engage la responsabilité que de ses auteurs, il ne reflète pas nécessairement les opinions du(des) employeur(s), la politique ou l’opinion d’un organisme quelconque, y compris celui de gouvernements, d’administrations ou de ministères pouvant êtres concernés par ces informations. Et, les erreurs éventuelles relèvent de l’entière responsabilité des seuls auteurs. Les droits patrimoniaux de ce document et/ou étude appartiennent à l'Association, voire un organisme auquel les sources auraient pu être empruntées. Toute utilisation, diffusion, citation ou reproduction, en totalité ou en partie, de ce document et/ou étude ne peut se faire sans la permission expresse du(es) rédacteur(s) et du propriétaire des droits patrimoniaux. En Tunisie, en 1980 le Service Action contribue à dissiper l’amorce de révolte dans la ville de Gafsa d’une pseudo équipe de footballeurs, envoyée par le colonel Kadhafi afin de fomenter une révolution. Les services français aident à la création de l'école du renseignement tunisien. Le PLR transmettra des informations croisées avec le Quai d'Orsay sur la montée de la répression et la paralysie politique croissante avant la révolution du jasmin. En Algérie : En 1993, Le Département de Défense et de Sécurité Algérien (DRS) enlève trois attachés consulaires, le Groupes Islamistes de l'Armée (GIA) don Djamel Zitouni est le leader, revendique l’action. En 1995, le GIA revendique l’attentat contre le cheikh Abdelbaki saharahoui et celui du RER Saint Michel. Les soupçons du SDECE se portent toujours sur la DRS. 1996 Le SDECE enquête sur la mort des moines de Tiberine qu’il attribue à une opération de délivrance ratée de l'armée Algérienne. En 2007 un commando de membres du GIA s’empare de l'Airbus AF8969 stationné sur l’aéroport d’ALGER malgré les alertes formulées par la DGSE au gouvernement algérien, la DRS aurait laissé se produire l’action. 2005 La DGSE diligente une opération « Arma » contre le cargo "El Djorf" sur renseignements du BND. Des opérations style "main rouge" sont attribués à la DRS partout en Europe ce qui conduit à une collaboration accrue entre les services européens. Au Pakistan : Mise en place d'une station d'écoute. La collaboration dure le temps de l'invasion de l'URSS, l'ISI pakistanaise joue des subtils jeux allant jusqu'à l'arrestation des agents français et britannique et à leur expulsion jusqu'à contribuer à l'attentat de Karachi en 2002 qui tua onze français. En Afghanistan : Le SDECE procède au tamponnage de journalistes en l'absence de personnel sur la zone au début du conflit avec l’Union Soviétique. Le Service Action assure un soutien en armes au clan d'Amine Wardak et à celui de Tadjik Ahmed Chah Massoud. Il forme aussi des moudjahidines en douce puis officiellement au CERP. En 2011, il contribue grandement à la libération des journalistes enlevés. Pakistan Nouvelles menaces, nouvelles pratiques, « nouveaux » comportements des dirigeants et des politiques En Yougoslavie : Pendant la guerre, sous Mitterrand, Gotovina un ex-légionnaire sera utilisé par le Service Action pour la fourniture d'armes aux Croates et la traque de criminels de guerre (dont il fait partie). Lâché par le gouvernement français il sera arrêté et condamné et il ne parlera jamais de sa mission. Les services secrets français contribueront à près de 2000 poursuites des criminels de guerre dans l'ex Yougoslavie. Au Japon : 1999 cambriolage de la banque Kosa ( d'Osada, ami de Jacques Chirac) diligenté par un agent de la DGSE, la DST appelée en renfort par Dominique de Villepin pour infirmer les preuves trouvées, confirme involontairement l’existence de Ce document d’analyse, d’opinion, d'étude et/ou de recherche a été réalisé par un (ou des) membre(s) de l’AEGE. Préalablement à leurs publications et/ou diffusions, elles ont été soumises au Conseil scientifique de l'Association. L'analyse, l'opinion et/ou la recherche reposent sur l'utilisation de sources éthiquement fiables mais l'exhaustivité et l'exactitude ne peuvent être garantie. Sauf mention contraire, les projections ou autres informations ne sont valables qu'à la date de la publication du document, et sont dès lors sujettes à évolution ou amendement dans le temps. Le contenu de ces documents et/ou études n'a, en aucune manière, vocation à indiquer ou garantir des évolutions futures. Le contenu de cet article n’engage la responsabilité que de ses auteurs, il ne reflète pas nécessairement les opinions du(des) employeur(s), la politique ou l’opinion d’un organisme quelconque, y compris celui de gouvernements, d’administrations ou de ministères pouvant êtres concernés par ces informations. Et, les erreurs éventuelles relèvent de l’entière responsabilité des seuls auteurs. Les droits patrimoniaux de ce document et/ou étude appartiennent à l'Association, voire un organisme auquel les sources auraient pu être empruntées. Toute utilisation, diffusion, citation ou reproduction, en totalité ou en partie, de ce document et/ou étude ne peut se faire sans la permission expresse du(es) rédacteur(s) et du propriétaire des droits patrimoniaux. comptes dans la banque. Cette affaire largement médiatisée dans la presse d’autant que l’agent impliqué trouvera la mort dans un accident de la route et que le directeur et le sous-directeur de la DGSE seront démissionnés. En Russie : Accord avec le KGB 1992 pour contribuer à la non-prolifération des Nukes dans les républiques de l’ex URSS. Par exemple, le Kazakhstan dispose de 1400 têtes stratégiques 400 tactiques. Cet accord inclue la lutte contre les mafias et le crime organisé, la lutte contre l’islamisme radical. Le rapatriement des archives françaises emportées à Moscou ne se fera pas en totalité. Le contre-espionnage ne s’arrête pas pour autant, la même année trois ingénieurs de la Direction Générale de l’armement (DGA) dont un spécialiste du nucléaire militaire seront arrêtés. Suivra l’expulsion de quatre agents russes dont le résident. En 1994, la DST ouvrira un poste à Moscou. En Chine : Dès 1950, des réseaux asiatiques d'espionnage sont mis à jour, Hoang père est arrêté pour espionnage. En 1998 le chef de poste de Pékin est retourné, l'ambassadeur de France est tamponné et il confie des secrets sur l’oreiller à son amante. (La liaison est mise à jour par le BND car l’amante fréquentait aussi l'ambassadeur d'Allemagne). Dans les années 80 Hoang fils se voit discerner la légion d’honneur pour ses talents diplomatiques et l’aide qu’il apporte aux entreprises françaises. La DGSE découvrira ensuite qu’il a établi des liaisons avec Arianespace et l’Aérospatiale à l’époque où la Chine souhaitait développer ces industries et que de très nombreux secrets industriels lui ont été transmis. Il est aujourd’hui colonel du Quingbaobu et coule des jours heureux dans son pays d’origine. En 2010 Trois rats de la DGSE se font surprendre dans la chambre du président de Shanghai Airlines. La situation diplomatique est difficile d’autant qu’ils laissent leurs outils qui seront récupérés dans les locaux de la police nationale. Au Sri Lankais : La France assure l’audit des services secrets et met en place le SRE sur le modèle de la DGSE Les prises d’otage, une activité à temps plein La DGSE est très régulièrement engagée dans la recherche, la localisation et la libération d’otages, soit par le paiement d’une rançon, soit lorsque c’est possible par la force au point que plusieurs cellules sont mobilisées en permanence. En 2002 elle sera engagée pour réaliser une tentative de paiement de rançon aux Forces armées révolutionnaires de Colombie (FARC) pour libérer Ingrid Béthencourt. Un avion du GAM se pose au Brésil sans en avoir informé le gouvernement du pays, l'opération filtre dans la presse et elle est annulée. En 2003 la DGSE est mobilisée pour libérer les 2 journalistes Malbruonot et Chesnot. En 2005, elle contribue à la libération d'Aubenas après que des journalistes roumains avec lesquels elle était enfermée aient confirmé son lieu et le groupe la détenant. 2008 voit le nombre de français enlevés s’élever à 58 ; la piraterie maritime s’ajoute aux enlèvements Ce document d’analyse, d’opinion, d'étude et/ou de recherche a été réalisé par un (ou des) membre(s) de l’AEGE. Préalablement à leurs publications et/ou diffusions, elles ont été soumises au Conseil scientifique de l'Association. L'analyse, l'opinion et/ou la recherche reposent sur l'utilisation de sources éthiquement fiables mais l'exhaustivité et l'exactitude ne peuvent être garantie. Sauf mention contraire, les projections ou autres informations ne sont valables qu'à la date de la publication du document, et sont dès lors sujettes à évolution ou amendement dans le temps. Le contenu de ces documents et/ou études n'a, en aucune manière, vocation à indiquer ou garantir des évolutions futures. Le contenu de cet article n’engage la responsabilité que de ses auteurs, il ne reflète pas nécessairement les opinions du(des) employeur(s), la politique ou l’opinion d’un organisme quelconque, y compris celui de gouvernements, d’administrations ou de ministères pouvant êtres concernés par ces informations. Et, les erreurs éventuelles relèvent de l’entière responsabilité des seuls auteurs. Les droits patrimoniaux de ce document et/ou étude appartiennent à l'Association, voire un organisme auquel les sources auraient pu être empruntées. Toute utilisation, diffusion, citation ou reproduction, en totalité ou en partie, de ce document et/ou étude ne peut se faire sans la permission expresse du(es) rédacteur(s) et du propriétaire des droits patrimoniaux. politiques et crapuleux. La force sera utilisée contre la piraterie maritime sur la corne de l'Afrique et dans l'Océan Indien. La DGSE organise ensuite une opération infructueuse contre AQMI en Somalie et au Sahara pour libérer Michel Germaneau. Une nouvelle intervention sera aussi ratée pour libérer les 2 jeunes français enlevés au Niger. En 2010, toujours au Niger cinq cadres d’AREVA et deux employés africains seront enlevés ; la DGSE les recherche toujours et essaie d’engager des négociations. Les réformes Le Comité Interministériel de Renseignement est réactivé par Michel Rocard. Pierre Joxe empêchera les services d'y participer car ils ne doivent pas connaître les états d’âme des politiques concernant les ordres qui leur sont transmis. La première guerre du Golfe en 1990 démontre le décalage entre l’utilisation par les alliés d’images satellite comme outil de renseignement et ce dont nos armées disposent. (A cette date elles ont une fenêtre d’utilisation d'Astra B et les services secrets Allemands leur communiquent des images radar satellites). Cette coopération avec le BND s’étend d’ailleurs au partage des moyens techniques et d’interceptions mis en œuvre sur la base SIGINT de Kourou qui capte les communications de l’Amérique du Nord et du Sud (base Frégate), chaque service traitant les données recueillies séparément. La DGSE milite alors pour la création d'un service purement militaire. En 1992 la Direction du Renseignement Militaire (DRM) et le Commandement des Opérations Spéciales (COS) sont créés. Le Service Action est rattaché COS et il en est détaché en cas d'opérations clandestines. En 1995 est lancé Hélios1. Contrairement au choix Allemand de satellites radars permettant de traverser la couche nuageuse et permettant d'observer les pays de 'Europe de l'Est, les français choisissent des satellites optiques, moins chers qui permettent d'observer les pays du Sud : La gamme Hélios est opérée par une unité interarmées et elle est progressivement mise sur orbite, 1A fin en février 2012, I-B en 1999, II-A en 2004, II-B en 2009. Chaque arme délègue un officier de liaison et dispose d’une station de lecture des données « Pépite ». Les images obtenues ont permis à la France de ne pas se laisser entraîner dans la guerre du Golfe 2. La Guerre Économique Le redéploiement des Services de Renseignement pour faire de la contre ingérence fut décidé pour occuper la DST après que l'OAS fut démantelée. Un attaché culturel fut tamponné par la CIA. Lorsqu’il fut appelé à de plus hautes fonctions au cabinet d'Edouard Balladur à Matignon, lors d’un round de négociation des accords du GATT évoquant les exceptions françaises concernant l’audiovisuel et l'agriculture, les demandes se firent plus pressantes. Informé par la DST il contribua à confondre cinq membres de la CIA qui furent expulsés. Ce document d’analyse, d’opinion, d'étude et/ou de recherche a été réalisé par un (ou des) membre(s) de l’AEGE. Préalablement à leurs publications et/ou diffusions, elles ont été soumises au Conseil scientifique de l'Association. L'analyse, l'opinion et/ou la recherche reposent sur l'utilisation de sources éthiquement fiables mais l'exhaustivité et l'exactitude ne peuvent être garantie. Sauf mention contraire, les projections ou autres informations ne sont valables qu'à la date de la publication du document, et sont dès lors sujettes à évolution ou amendement dans le temps. Le contenu de ces documents et/ou études n'a, en aucune manière, vocation à indiquer ou garantir des évolutions futures. Le contenu de cet article n’engage la responsabilité que de ses auteurs, il ne reflète pas nécessairement les opinions du(des) employeur(s), la politique ou l’opinion d’un organisme quelconque, y compris celui de gouvernements, d’administrations ou de ministères pouvant êtres concernés par ces informations. Et, les erreurs éventuelles relèvent de l’entière responsabilité des seuls auteurs. Les droits patrimoniaux de ce document et/ou étude appartiennent à l'Association, voire un organisme auquel les sources auraient pu être empruntées. Toute utilisation, diffusion, citation ou reproduction, en totalité ou en partie, de ce document et/ou étude ne peut se faire sans la permission expresse du(es) rédacteur(s) et du propriétaire des droits patrimoniaux. Selon Peter Schweizer journaliste américain, la France n’est pas en reste : Sur Air France, les places affaire qu’occupent des hommes d'affaire Américains sont sonorisées. Des agents français auraient manipulé un employé de la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) pour identifier les programmes de recherche militaire et les entreprises américaines d’avenir. D’autres agents auraient écouté les conversations entre pilotes durant les essais en vol du 747-400. En Inde, en 1981 des agents français ont réalisé un cambriolage du ministère de la Défense Indien hostile au Mirage 2000. Ils ont récupéré des propositions chiffrées des concurrents soviétiques et permis la rédaction d’une contre-proposition plus attractive. Découverte en 1985, cette affaire donna lieu au rapatriement de plusieurs agents et de l'ambassadeur Une solution se trouve dans le « pantouflage efficace » dans le privé : Deloitte et Touche, Elf dès 1970, le laboratoires Servier, Michelin, Bouygues, des entreprises spécialisées comme SSF Sofema, Datops, Péricles, Intelligence Online, Géos, Galice sécurité recrutent toute des anciens des services de renseignement pour développer leurs activités. L’Etat s’en préoccupe aussi puisqu’il a créé une Délégation interministérielle à l'Intelligence Économique. Néanmoins, une question se pose pour que les services et les entreprises puissent tisser des liens de confiance : Une entreprise française est-elle une entreprise à capitaux français qui se développe à l’international, une entreprise à capitaux étranger qui développe des emplois sur le territoire national, ou faut-il les deux pour que la confiance soit établie? Pour conclure ce sujet, une anecdote : L’histoire qui raconte que des marins pêcheurs japonais écoutaient les coordonnées de bancs de poisson donnés aux pêcheurs bretons par la marine nationale équipée de nouveaux sonars, que pour éviter qu’ils arrivent les premier les informations furent transmises en breton et que l’année suivante un japonais se présenta à la faculté de Brest pour suivre des cours de breton est un mythe. Le pouvoir Français entretien avec les services un rapport d’utilitarisme en confondant parfois les missions dédiées à chacune des branches. L’image de marque des services, entachée par les affaires et une confusion avec la mission des Renseignements Généraux. Les services secrets français n’ont pas les capacités d’influence du Mossad, du MI6 ou de la CIA qui distillent du rêve et conservent leurs budgets. Lorsque les services sont sollicités dans le domaine de l’Intelligence économique, il leur est demandé des résultats immédiats ce qui les oblige parfois à franchir la ligne jaune, ce qui risque à nouveau d’entretenir la confusion sur la profession. Cette approche est délétère alors que les résultats demandés doivent s’inscrire dans la Ce document d’analyse, d’opinion, d'étude et/ou de recherche a été réalisé par un (ou des) membre(s) de l’AEGE. Préalablement à leurs publications et/ou diffusions, elles ont été soumises au Conseil scientifique de l'Association. L'analyse, l'opinion et/ou la recherche reposent sur l'utilisation de sources éthiquement fiables mais l'exhaustivité et l'exactitude ne peuvent être garantie. Sauf mention contraire, les projections ou autres informations ne sont valables qu'à la date de la publication du document, et sont dès lors sujettes à évolution ou amendement dans le temps. Le contenu de ces documents et/ou études n'a, en aucune manière, vocation à indiquer ou garantir des évolutions futures. Le contenu de cet article n’engage la responsabilité que de ses auteurs, il ne reflète pas nécessairement les opinions du(des) employeur(s), la politique ou l’opinion d’un organisme quelconque, y compris celui de gouvernements, d’administrations ou de ministères pouvant êtres concernés par ces informations. Et, les erreurs éventuelles relèvent de l’entière responsabilité des seuls auteurs. Les droits patrimoniaux de ce document et/ou étude appartiennent à l'Association, voire un organisme auquel les sources auraient pu être empruntées. Toute utilisation, diffusion, citation ou reproduction, en totalité ou en partie, de ce document et/ou étude ne peut se faire sans la permission expresse du(es) rédacteur(s) et du propriétaire des droits patrimoniaux. durée. Cette mission renforce la complexité de la coopétition entre les services au niveau mondial reconfigurant l’affrontement entre blocs, ce qui n’a d’ailleurs jamais été aussi net que ça dans la pratique, nous l’avons vu. Depuis leur mise en place sous une forme « moderne » dans le second conflit mondial, leur utilisation dans des guerres coloniales et dans les guerres secrètes sur le continent Africain, le monde a évolué. Il faut abattre des cloisons en acceptant une montée en puissance des civils, sans renier l’expertise des militaires et l’apport des nouvelles technologies. La mondialisation incite au niveau européen dans une utilisation au niveau de l’analyse d’équipes multinationales tout en conservant une collecte sur le terrain strictement français. Nous sommes en effet distancés sur le continent africain par les Américains et les Chinois. Notre orientation vers les pays émergents n’est pas assez marquée d’autant qu’ils disposent désormais leurs propres services. Ces défis imposent le recrutement de jeunes toujours mieux éduqués, plus polyvalents et polyglottes. Ce livre présente aussi un certain nombre de portraits des figures du renseignement ainsi que la liste des agents tombés au service de la France : Henry Rollin chef de la Surveillance du territoire vichyste, agent important de l'Intelligence Service Marie Madelaine Fourcade, alias Hérisson, première femme à avoir dirigé un réseau d'importance, en lien avec Crâne du MI6 Gustave Bertrand chef de la section D (déchiffrement) des SR Gilbert Renault alias "colonel Rémy" sous les ordres de Passy crée le plus grand réseau la Confédération Notre Dame. Ce document d’analyse, d’opinion, d'étude et/ou de recherche a été réalisé par un (ou des) membre(s) de l’AEGE. Préalablement à leurs publications et/ou diffusions, elles ont été soumises au Conseil scientifique de l'Association. L'analyse, l'opinion et/ou la recherche reposent sur l'utilisation de sources éthiquement fiables mais l'exhaustivité et l'exactitude ne peuvent être garantie. Sauf mention contraire, les projections ou autres informations ne sont valables qu'à la date de la publication du document, et sont dès lors sujettes à évolution ou amendement dans le temps. Le contenu de ces documents et/ou études n'a, en aucune manière, vocation à indiquer ou garantir des évolutions futures. Le contenu de cet article n’engage la responsabilité que de ses auteurs, il ne reflète pas nécessairement les opinions du(des) employeur(s), la politique ou l’opinion d’un organisme quelconque, y compris celui de gouvernements, d’administrations ou de ministères pouvant êtres concernés par ces informations. Et, les erreurs éventuelles relèvent de l’entière responsabilité des seuls auteurs. Les droits patrimoniaux de ce document et/ou étude appartiennent à l'Association, voire un organisme auquel les sources auraient pu être empruntées. Toute utilisation, diffusion, citation ou reproduction, en totalité ou en partie, de ce document et/ou étude ne peut se faire sans la permission expresse du(es) rédacteur(s) et du propriétaire des droits patrimoniaux. Annexe 4 : Notes de lecture Livre 1 Ce document d’analyse, d’opinion, d'étude et/ou de recherche a été réalisé par un (ou des) membre(s) de l’AEGE. Préalablement à leurs publications et/ou diffusions, elles ont été soumises au Conseil scientifique de l'Association. L'analyse, l'opinion et/ou la recherche reposent sur l'utilisation de sources éthiquement fiables mais l'exhaustivité et l'exactitude ne peuvent être garantie. Sauf mention contraire, les projections ou autres informations ne sont valables qu'à la date de la publication du document, et sont dès lors sujettes à évolution ou amendement dans le temps. Le contenu de ces documents et/ou études n'a, en aucune manière, vocation à indiquer ou garantir des évolutions futures. Le contenu de cet article n’engage la responsabilité que de ses auteurs, il ne reflète pas nécessairement les opinions du (des) employeur(s), la politique ou l’opinion d’un organisme quelconque, y compris celui de gouvernements, d’administrations ou de ministères pouvant êtres concernés par ces informations. Et, les erreurs éventuelles relèvent de l’entière responsabilité des seuls auteurs. Les droits patrimoniaux de ce document et/ou étude appartiennent à l'Association, voire un organisme auquel les sources auraient pu être empruntées. Toute utilisation, diffusion, citation ou reproduction, en totalité ou en partie, de ce document et/ou étude ne peut se faire sans la permission expresse du(es) rédacteur(s) et du propriétaire des droits patrimoniaux. Plans du mur de l'Atlantique Recrutement de Hans-Thiele Schmidt officier du chiffre nazi Énigma dupliquée Vu comme empire déjà perdu Éléments engagés dans la population IIeme guerre mondiale Colonel Mercier / procureur général suisse ( écoutes) Saisie des fichiers DST, arrestations, tortures, exécutions à Alger Code FLN cassé Fiches de police sur les dirigeants FLN Cargo soviétique laissé libre Lutte contre les armes, la drogue et la contrefaçon 2 attentats ratés contre l'ambassade de Syrie Mise en garde contre un potentiel djihadiste prenant des cours de pilotage. Réelle ou fantasmée, infiltration Cuba affaires missiles Changement d'allégeance spontanée d'un terroriste tunisien permettant de déterminer l'origine iranienne Instrument d'ingérence en Afrique Gl Rondot (viré, récupère DST) Rainbow Warrior Pas d'utilisation d,u SDECE pour mener des négociations avec. Le FLN Efficacité Sécurité intérieure Les grandes périodes Période De Gaulle bis Rien sur le moyen orient (Iran kohmeni) Rien sur l'Amérique Sud et peu sur les pays émergents Réception par DeGaulle du chef de la Wilaya Si Salah DST 1996 satellite 5 attachés de la CIA virés sousPasqua essayant de recruter des negiateurs du GATT Diplomatie parallèle Recrutement attraction de profils Aucune tentative de retournement d'opérateur soviétique sur le territoire F Renseignement Pas de section d'analyse CCCP jusqu'en 65 Incapacité de retourner des agents russes en Afrique terrain de jeu Français Inefficacité de la diplomatie conventionnelle / opposition Bête et méchante / Incompétence Appétence française à la délation Cloisonnement fiches de police VS analyse environnementale / anticipation Proximité avec la cible manipulation VS Développement de conditions favorables Échec du parachutage de "résistants Ukrainiens" en collaboration avec Intel.Serv. et US Mathématiques Décryptage / interception Intérêt / valorisation par le politique Risque Partage par les décideurs Cousseran puis Brochand Claude Silbezahn-Lacarriere Création de la DRM 1991 ap. Guerre du Golfe1 Général Passy (viré) Appréhension des risques / Objectifs assignés Gl Grossin nommé par le Gl De Gaulle sans objectif précis ni moyens (viré) staff remplacé Démontage Tupplev au Bourget Notion de sécurité risque partagé par la population Coopération Amiral Lacoste Un joueur de tennis copain de Foccard Cellule anti terro Alexandre De Maranche années 70 anti- communiste primaire Face à une menace précise et tangible Dualité dans la population de l'opinion sur l'URSS Alternative aux recales de l'ENA Gl Mermet Gl Imbot Colonel Paillole (viré) Infiltration de Syndicats Ouverture au monde / intèret pour l'étranger et pour "les autres" Inventivité Dewatre-Lacarriere Service ACTION (opérations illégales) - plus portés sur l'action physique que psychologique Loyauté des services Achat immeuble jouxtant l'ambassade russe Coordination Reconnaissance des frontières de l'URSS & libre circulation des homme et des idées. Étanchéité Compétences naturelles dans la population Recrutement des informateurs Me Jean Violet avocat et ami de Pi XII (viré récupéré DST) Rien sur le monde économique et la finance Flop des irlandais de Vincennes Le matériel humain Méthodologie employée Rémy Potrat renseignement économique Écoutes journalistes du Monde Opér aux USA sur secrets industriel. Infiltration Greenpeace? Interception électronique et imagerie sur l'Irak Fusion DCRI Diplomatie Post 81 Ouverture valises diplomatiques Absence du SDECE, ds le rens ext. çreation de la Francafrique Loyauté / integrité des décideurs Chapitre 1 Presque.... attrapé Carlos Pompidou Giscard Utilisation du sDECE pour maintenir au pouvoir Saphir Fiche de police sur Kroutchev Contribution des acteurs de la société civile RG Flop libération Ingrid Betancourt Affaire Markovic Liaison avec d'autre services Pas d'Idée de recruter Détenteurs codes Casser le code soviétique Moyens Négocié Carlos avec le Soudanais Proposition d'op "homo" suite attentats Service action militarisé infiltration Viet du gvmnt Rapprochement de la France et de l'Allemagne Actions Guerre contre le terrorisme Pas de prévision de attentats de 1985/86 + 6 grands agents dans le gvmnt Soutien à l'église catholique polonaise Politique // Georges Pâques OTAN Cargo tchèque "Lidice" arraisonné Représailles au Liban? Mise en garde de la CIA du danger de former des talibans fanatiques... Infiltrations Anticipation avec l'OTAN de réseaux de résistance "dormants" en Europe infiltrés par le NKVD Golytsine analyste espionnage a la française Ben Barka Achat usine d'arme Suisse Rôle de Jacques Foccart: Phoque ou Bacille ( de Koch)? Sources Guerre froide Main rouge contre trafiquants d'arme et cadres FLN? Arrestation 20 ans après Arrestation du Chef de de Georges Pacques poste Budapest 1956 (OTAN) sur informations US Pas de condamnation à l'ONU Agayantz chef poste à Paris Diplomate Moscou Maurice Dejean Périodes Prise de contact plénipotentiaires pr négocier le fin de la guerre Débriefing quotidien d'agents du sdece à l'ambassade russe dont 1 dirigeant Gl Kaliouguine 60 personnes 1 ministre 1 socialiste 2 directeurs de journaux jamais identifiees Vetrov / Farewell Guerre d'Algérie Maillage des ports européens Mitrokhine archiviste KGB 1991 retourne MI6 Infiltration des dirigeants français, source non identifiée. Guerre d'Indochine Code Viet cassé Prévision du putsch 1961 8 h av Bretelle résidence Bourguiba ambassade Tunis IV ème République Période trouble Indochine, Algérie Création d'unités de supplétifs / maquis autochtone Épuration des collaborateurs aux services secrets Allemands ? Innovation secret défense Rapprochement monde indus. Pierre Marion "copain de loge" Annexe 5 : Notes de lecture Livre 2 Ce document d’analyse, d’opinion, d'étude et/ou de recherche a été réalisé par un (ou des) membre(s) de l’AEGE. Préalablement à leurs publications et/ou diffusions, elles ont été soumises au Conseil scientifique de l'Association. L'analyse, l'opinion et/ou la recherche reposent sur l'utilisation de sources éthiquement fiables mais l'exhaustivité et l'exactitude ne peuvent être garantie. Sauf mention contraire, les projections ou autres informations ne sont valables qu'à la date de la publication du document, et sont dès lors sujettes à évolution ou amendement dans le temps. Le contenu de ces documents et/ou études n'a, en aucune manière, vocation à indiquer ou garantir des évolutions futures. Le contenu de cet article n’engage la responsabilité que de ses auteurs, il ne reflète pas nécessairement les opinions du (des) employeur(s), la politique ou l’opinion d’un organisme quelconque, y compris celui de gouvernements, d’administrations ou de ministères pouvant êtres concernés par ces informations. Et, les erreurs éventuelles relèvent de l’entière responsabilité des seuls auteurs. Les droits patrimoniaux de ce document et/ou étude appartiennent à l'Association, voire un organisme auquel les sources auraient pu être empruntées. Toute utilisation, diffusion, citation ou reproduction, en totalité ou en partie, de ce document et/ou étude ne peut se faire sans la permission expresse du(es) rédacteur(s) et du propriétaire des droits patrimoniaux. Rand Corporation Hudson Institute Congressional Research Service Publiée en 85 par Edwy Plenel mettant à mal la diplomatie F Portée aux nues Guerre des polices Talleyran: "Tout ce qui est excessif est insignifiant" Raisons d'esperer Réformes Les problèmes FF Farewell Américan Civil Liberties Union Taupes modèles Autres sourçes International & Security Studies Les moyens Incompétence ou partialité de la presse Rapport échec R en Afganistan Michael Flynn/Pottinger/Bachelor Déficit d'image, peu d'importance, profession fantasmée, peu prisée, peu enseignée, sous-emploi, défiance, doute, intérêt personnel OBJECTIF: Répondre par la négative Talents gâchés Le malaise avec la diplomatie française La polémique : "Les français,sont-ils inaptes au renseignement?" Idem EGE + historique Interprétations déformation ciblage impropre Honneur & Héroisme SDECE / ELF 60Nécessitée de l'IE ++ 2001 Thèse de l'Auto-attentate + iE Idem Renault, Citroën, Thomson, CGE, Péchinet Reprise des thèses de l'inefficacité 2009 Attentat avorté volAmsterdam/Détroit Attentat Khost vs CIA Prévalence de l'action Igor Preline R: Noble dans la culture anglo-saxonne "Le gène manquant" Considéré comme omniscient, s'ils ne répondent pas immédiatement considérés comme incapables Là aussi des affaires(Renault,...) La beauté du geste compense l'insuffisance de résultats Claude Silberzahn Alexandre de Maranche Honorable et patriotique R: Perfide et indigne en France Vision des Présidents Giscard Mitterrand Chirac Sarkozy Bob Denard Congo Elf Réseaux // Voyage VGE à Varsovie BREJNEV Pas de culture stratégique De Gaulle 1 puis 2 Défiance "n'importe quel banquier en sait 100 fois +" Vexé de ne plus les diriger depuis "Ben Barka" Infréquentables, indignes, inefficaces, idem "coucher avec la bonne" Peur de la diplomatie secrète à son insu Raymond Barre 76-81 coordination du renseignement Visites inopinnées au GIC + de moyens DST & DGSE "coûteuse fumisterie" vecteur de l'influence US Culte des titres obtenus avant 25 ans, rejet des idées des autres, arrogance "Gaulois": créatif, ènergique, imprévoyant, inconstant Contribution des universitaires, intellectuels, parlementaires, membres de l'administration John LeCarré L'efficacité demande que l'on évite les risques Projection de la volonté de puissance de l'Etat (stratégie politique et diplomatique) Malhonnête, manipulateur, pervers, souffrant d'une pathologie, aimant le mensonge et le complot Pompidou SDECE "le Guignol" Constantin MELNIK Considéré comme d'où e importance majeure par les responsables de la sphère publique Critiques Réaction Obama "notre système à failli" Plus il est efficace, plus il est ressenti comme dangereux Oleg Kaliouguine Création du GAM SAC Carbone 14 SDECE pour reprendre le pouvoir DST pour démanteler l'OAS SM Espionnage de partis, écoutes Attentats, enlèvements Prédilection des modèles et des idées sur les faits Fait brut sans évaluation contradictoire, non concerté à vision principalement mlitaire Briser des grèves, taper sur des cocos... Affaires Michel Rocard + ouvert Au SDECE Intéret national de la France ibid plan commercial, technologique, financier VS mili et terro p50/51 2000 écoutes Foccardisation du SDECE Détournements Irlandais de Vincennes Enquête rançon otages Liban (Pasqua Marianni) 88 Terrien, pas besoin d'aller ailleurs pour s'enrichir Écoutes de l'Elysée8? Utile pourtant GreenPeace85 Ne fait pas partie du processus de décision Le Canard 73 Farewell 85 Légère préférence pour la protection d'oú faveur au contre-espionnage Info lors d'un round du GATT Renversement de Bokassa directement avec le chef du Service Action 79 Libération français détanus Irak 03 Markovic 68 Ben Barkae 65 Dreyfus Passy 45 Pilotage par le gvmnt Mélange des genres SAet renseignement Unités vites autour de Dien Bien Phu... 1939 Pologne 3 mois av Gdes unités réservistes, supériorité de l'artillerie lourde, mortiers, gaz toxiques Idem Staline vs date et plan de bataille Wermacht en mai 41 1939 Pacte soviétique 1938 Tchekoslovaquie Idem CIA Vietnam (Phoenix, maquis, tyrans frontalier), Irak, Afga (drone, mercenaires, contractors) SA solution tactique à des pb stratégiques 1938 Anshluss Action de Anglo-saxons sur les territoires français 1936 Rhénanie 1914 Allemagne 1954 1930's Turnover / peu competents hors du sérail du renseignement Scepticisme malveillant car renseignements opposés aux "plans" Interne ? Nouvelle guerre mondiale? Externe Sécurité de l'union F Action soviétique Europe, Afrique, MoyenOrient Dgse DST 1946 RH a repenser Carrières de police par saut successifs de services en services Carrière mili moins rapides voire pénalisantes Dirigeants Talents gâchés Orientation gouvernementale du R Ailleurs clair (ex SIS ou Kissinger) 1948 1952 Plans Nationaux de Renseignement 1954 Pierre Guillaume CEA ex BCRA 2001 réorientation de la moitié de l'effectif de l'antiterro vers l'immigration clandestine Chinois Bis 1952 +Pays neutres Conseil Supérieur du Renseignement Quelles prioritès Yves Rocard père de la bombe atomique F Impérialisme Anglo- US 1958 Quels délais (réalistes) Puis doubler URSS Plus cohérent, maison poulagat + Algérie + Indochine Quels buts? Les USA Rébellion algérienne Quelles informations? Tiers monde + IE aux USA Chirac Plus rien.... Mitterrand Dossier gérè ensuite par la DST Afrique Pompidou Puis créer Alliance Base Giscard Décret 62-1208 17 octobre 62CIR soumet au Comité de défense ses orientations dans le PDR Animation par le SGDN Conseil des ministres du15 mai 2002 création du CSI Article 13 ordonnance 7 Janvier 59 création du CIR Presque jamais réuni, délégué au Comité Permanent du Renseignement dirigé par le DIRCAB du premier ministre + personnalités extérieures Réactivé par Michel Rocard en 81 puis 2002 + IE Décret 89-258 20 avril 89 établit le PNR et le soumet au PdRF Devient ensuite le PRG C Mellik nommé coordonateur du,renseignement Activités soviétiques Infiltration chiffre allemand Conservation d'une structure opérationnelle Organisation puis saçrifice des maquis h'mong & Thaï Démantèlement du SR conservation du contre-espionnage Transfert de compétence le 22 mai 40 à l'IS Coup de feu du RPF Lutte anti- soviétique Influence de l'OSS tout aussi amateur mais autrement plus sexy que l'austère IS La reconquête Duplication énigma Homo Indochine SR Opérations dont 216 en territoire étranger 11 ème choc 54 Myriade de personne identifiée comme détenant dé l'information Taupes modèles Confusion avec R et action Historique du renseignement en F Politisation, bras armé du pouvoir Worldwide Algérie 58 Guinée Sekou Touré Maroc aide contre le front Polisario 70 Rupture à la restauration jusqu'en 1870 Congo (katanga) 69 Assistance aux groupes armés anti-communistes Action psy pour Entraînement des talibans du Commandant Massoud en France mobiliser un réseau de partisants RLP: renseignement liaison protection Centrafrique renversement de Bokassa 79 Organisation en 4 sections Instruction Action politique Logistique Force aérienne secrète Puis section À du CCI Afrique Cameroun (Biafra) 67 Angola 77 Soutien UNITA Jona Sawinbi Reconnaissance sur les groupe de rebelle Angolais Camps d'entraînement au Maroc Arma GLI effectif 30 La 2 ème WW BCRA Amateurisme compensé par le nombre et le renouvellement des réseaux tombés Ce,situation de groupes d'action sur la frontière tunisienne et marocàine Puis devenu GMI GCMA Fusion en 43 Abandon de 13.000 partisans et des ethnies au jour du cessez le feu 3 maquis 2 échecs Lutte contre l'approvisionnement en armes 2 tentatives de coups d'Etat Fausse monnaie Financement et structuration de l'opposition Intoxication division rébellion Mitrokhine 92 : 60 agents démasqués Vladimir Vetrov Farewell Rien dans les ambassades Poste d'écoute en Allemagne de l'Ouest Voitures modifiées, appareils photo, écoutes Georges Pacques 780 membres à l'ambassade russe dont 180 officiers du HRU etKGB + *2 si l'on compte les autres ambassades Plusieurs morts sous statut diplomatique DST Interception mais sans pouvoir casser les codes Gunther Guillaume agent de la Stasi conseiller de Helmut Schmidt Mission Militaire Française de Liaison MMFL effectif 20 1956-1991 Renseignement mili Collaboration CIa SIS BND Taux de réussite Implantations Reliquat Tchekoslovaquie Roumanie Réussites Photographie des débris du Tupolev 144 Concordski au Bourget après son crash DGSE Échec en Bulgarie tous les autres pays du bloc de l'Est Action extra territoriale Lutte anti- soviétique Tentatives Contact avec l'Eglise Polonaise Arc en ciel / Rose des vents Création d'une organisation résistance armée départementale effectif 450 active/7800 dormants Operation MINOS Recrutement / validation / instruction de partisans des pays de l'est Parachutage mais interception systématique due à l'infiltration du SDECE par KGB Impossible d'envoyer un officier traitant sous couverture d'une administration ou d'une entreprise publique car soumis à l'aval des syndicats (lol) Capitaine Polonais Wladyslav Mroz logé dans un HLM d'une banlieue rouge retrouvé assassiné Échecs 43 officiers au statut diplomatique expulsés Seulement en 83 13 officiers traitants du KGB en F et 15 illégaux ayant chacun un réseau 12 espions de haut vol dans les services ou l'armée 3ème pays infiltré après les USA et l'Allemagne. + Pierre Cardot agnt tchèque recrute par le SDECE 62 confondu par la DST et les services suisses Un officier u renseignement reçu à l'ambassade russe par Kaliouguine mènera à la recherche de l'espion américain Polyakov au GRU Recrutement de 6 autres officiers du chiffre Sympathisants depuis 1940 ayant l'interdiction d'adhérer au PCF ou d'afficher leur inclinaison politique Evgeny à l'UNESCO spécialiste du traitement des officiers de renseignement français Une DGER infiltrée puis dissoute, des Services et l'armée infiltrée au point au les US cessent de transmettre des informations. "Jour" officier du chiffre transmet toute la correspondance diplomatique française de 45 à Pose d'un mouchard sur le82 télex de l'ambassade de F en Russie Agents du réseau Saphir dévoilés par Golytsine 60 Infiltration du FIS à Karthoum par la DGSE dénoncée par l'ambassade de F à son homologue à Alger qui prévient les autorités locales Pression de l'ambassadecd'Alger pour rendre aux autorités chinoises un officier du chiffre chinois, rendu drogué aux autorités chinoises Personnel local employé pour des questions de coûts Sabotage Le malaise avec la diplomatie française Négligences Deuxième réseau au monde avec 160 ambassades, 98 consultants, 21 représentations Entreprise dEtat chinoise employée pour installer la vidéosurveillance à l'ambassade de chêne entre 2004 et 2006 Concurrents Mondiaux Consultants privés Av ciblés identifiées 70 o/o budgets DNIE 50 o/o effectifs DIA 6500 langages Temps de déchiffrement incompatibles avec la péremption des informations recherchées Cryptage. Changement de nature du renseignement Communications: IP, GSM, fax, POP Alliés Raisons d'esperer Religieuse Interception et traitement de 10 pourcent seulement Maintenant cellules paranoïaques Analyse, validation, diffusion Convergence data/image/son Décuplé en 10 ans Renseignement humain difficile Militaires Coopération nécessaire intra pays et entre pays Mix des techniques de com Durée de vie courte Ogives Prolifération Nukes Nature Politique Compétences éparpillées Multiplication des menaces et de l'instabilité Réorientation de l'activitè de leurs services pour appuyer les acteurs économiques Économique 1991 Disparition de 'URSS Modification des menaces Alliés devenus compétiteurs ELEctronic COMmunication IMagery SIGnal INTelligence Djihad Apparition des organisations indépendantes: ONG, mafias, mouvements religieux, radicaux, diasporas ethniques Mise à disposition de savoir faires et de la doctrine Organisations criminelles transgouvernementales Groupes ANTI US Armes Imagerie satellite Contrebande Technologie de l'information Eco terroristes Capitalisme Diversification et mondialisation Mondialisation Contrefaçon Sources ouvertes Volume double tous les 4 ans Affaiblissement des blocs Vivisection ELF Drogue Humains Corruption ALF 8 millions de page/J Crises locales Guerres civiles Code de conduite dans la lutte anti-terro Inultilité Guantanamo AbouGrahib Nouvelles exigences démocratiques Suivi Supervision Contrôle des agences de renseignement Afrique Amérique latine Caucase TRACFIN SDIG sIRASCO sous la DCPJ ANSSI CDSN Acquisition rR de sécurité , mesurée protection, SI CRMar CMOS Attachés militaires Renforcement de la protection de l'anonymat des agents et des contractuels CFIAR Création de la DRM après la première guerre du golfe en raison du retard pris puis recentrage interarmées après le Kosovo Çreation du COS Acadêmie du R DPSD France & étranger (forçes stationnées) Forme les 3 armes CF3E & Détachement Avancé de Télécommunications CNR rattaché au Président Liées â l'Etat CRA CERM DCRI + Juridique CEMA Augmentation des moyens financiers Organisation militaire Atlantique 2 Détection menaces Transal C160 28 eme groupe (cartes) Réformes Reco NG sous Rafale Cambridge: chaire enseignement du renseignement et d'étude du terro Avions GB Académie ELINT Financement de programmes de recherche Hélios 1 2A B Pod Astac sous 2000D 90's Satellites Pléiades 2011 1 puis 2 dual use Drones Accords avec l'Allemagne et l'Italie sur de l'imagerie radar Çerise & Clémentine radio missions SDTI 3h 100 km Outre Atlantique travaux scientifiques DRAC 1h 10 km Filières IE National Security Éducation Program MÂLE 20 h Élisa successeur d'essaim Marne la Vallée Musis 2017 Ceres USA Mathematics Talent Search Pharos mise à disposition des images France DESS information et sécurité CESD (recherche laboratoire pour la défense) Amir Lacoste DESS IE Vivier DESS Ingénierie de la Sécurité ThinkTank 75 langues 80 pays IEP Paris, École internationale: MasterCard sur le renseignement EGE Recherche Séminaire sur le R et le terro auMaster affaires internationales Science Po Création du LAREGE Feu CEHD puis IRSeM Commission d'histoire du renseignement CAPCGRI CF2R 2009 Management de agences de renseignement Michel Bergès UBIV étude du R 2006 2008 2006 Séminaire Collège Inter Armées Coetquidan + Académie militaire Royale de Belgique (groupe de recherche éthique de renseignement / Rennes Séminaires de 97 à 2002 St Cyr ANR 2006-2009 programme Information Ouverte Information Fermée Voir Allemands et japonais pour exemple Conférence en école d'ingé Offre d'emploi Rapport coût efficacité vs UK budgets *4 effectifs *1,5 Trop de théâtres d'opération Capacité complète et autonome d'appréciation des crises internationales Fascination pour l'action Satisfaisant par voie de concours Recrutement Paradoxes services globalement adaptés à nos besoins + coût /efficacité excellent Moyens Réformes insuffisamment réfléchies permettant le contrôle et non l'optimisation The end Pas de culture du R Autonomie / livre blanc 2008/ priorité nationale Ratio de 1/20 par rapport aux USA et 1/2 par rapport à la GB DGSE Pas de prédisposition GB ou Isdraelienne Politiques HS Budget identique en € constants de 2002 à 2009 puis accroissement sensible 2de division Effectif et budgets insuffisants Politisation Neutralisent ou décrédibilisent Sous payé pour des fonction techniques ou linguistique Ses dirigeants La communication Adapté aux besoins de la République en regard des faibles moyens / mauvais emploi / absence stratégie claire et durable. Capacité à remplir les missions assignées: IIWW, abandon CW pour guerres décolonisation, Afrique. Complémentarité réseaux Foccart, secrets nucléaires j, comportement honorable vs KGB, efficace FLN OAS terro post 70's, RG répondent demandé des préfets . Pas de contrôle ni de directive Com externe Tv Recherche humaine Service intégré Recherch Technique The End Action Rattrapage Analyse Envers du décor Politisation Réussites Sur politisation en 2008 Concentration sur le risque terro et émeute, oubli des risques d'espionnage intérieur et de vol du patrimoine scientifique Dcri. Agence de renseignement privée + vengeance sur Clearstream Échecs Dirigeants non-spécialistes Se perpétue hors Dcri Relecture des notes blanches Prééminence d l'intérieur à tous les niveaux Difficultés Libérations Malbrunot Aubenas Chesnot, capturés en Irak 2004/2005 Freins Officier enlevé en Somalie en 2009 4 français enlevés à Arlit NordNiger 2010 Défauts Politique extérieure illisible Ne pas nuire aux intérets américains Michel Germaneau 2010 Toujours pas Direction ratàchée au ministère,mais sous la PN, arrivée par voie de mutation de commissaires qui gaiment le pion à la promotion interne Capacités d'intervention à l'étranger pour mène une affaire de bout en bout Dcri ayant fagocité les RG et écarté une partie du personnel au nom du Secret Défense heérité de la guerre froide Création du SDIG rattaché à la DDSP conservant 80 pourcent des misions et 50 pourcent des effectifs Mise à l'écart de la gendarmerie couvrant 90pourcent de territoire et 50 0pourcent de à population Annexe 6 : Notes de lecture Livre 3 Ce document d’analyse, d’opinion, d'étude et/ou de recherche a été réalisé par un (ou des) membre(s) de l’AEGE. Préalablement à leurs publications et/ou diffusions, elles ont été soumises au Conseil scientifique de l'Association. L'analyse, l'opinion et/ou la recherche reposent sur l'utilisation de sources éthiquement fiables mais l'exhaustivité et l'exactitude ne peuvent être garantie. Sauf mention contraire, les projections ou autres informations ne sont valables qu'à la date de la publication du document, et sont dès lors sujettes à évolution ou amendement dans le temps. Le contenu de ces documents et/ou études n'a, en aucune manière, vocation à indiquer ou garantir des évolutions futures. Le contenu de cet article n’engage la responsabilité que de ses auteurs, il ne reflète pas nécessairement les opinions du (des) employeur(s), la politique ou l’opinion d’un organisme quelconque, y compris celui de gouvernements, d’administrations ou de ministères pouvant êtres concernés par ces informations. Et, les erreurs éventuelles relèvent de l’entière responsabilité des seuls auteurs. Les droits patrimoniaux de ce document et/ou étude appartiennent à l'Association, voire un organisme auquel les sources auraient pu être empruntées. Toute utilisation, diffusion, citation ou reproduction, en totalité ou en partie, de ce document et/ou étude ne peut se faire sans la permission expresse du(es) rédacteur(s) et du propriétaire des droits patrimoniaux. Soutien financier occulte ( en collaboration avec l'UrSS) de Salvador Allende Plan Bleu mix entre ancien résistants, anciens collais, MI6 CIA pour renverser la IV ème République déjoué Par la DST Brésil, soutien de Juan Perón / Évita pour leur Penchant anti US André Dewaurin alias "colonel Passy" qui tente de rattacher le SDECE au Quai d'Orsay et qui s'oppose aux visions politiques des services de DeGaulle. Limogé suite affaire médiatisée 1947 mission Arc-en-ciel, Rose des Vents puis Mission 48: constituer un réseau de cellules dormantes équipés d'armes légères, de radio-émetteurs et d'explosifs en France et dans la zone occupée en Allemagne, en relation avec le SDRA belge et en accord avec la doctrine "stay Behring" de la CIA et du MI6. Gilbert Renault alias "colonel Rémy" sous les ordres de Passy crée le plus grand réseau la Confédération Notre Dame Agence de presse Opéra Mundi Pierre Juillet Guerre froide dans le détail Le pré carré africain Prise Contact avec des réfugiés de l'Europe de l'est à parachuter Création par décret s'écrit le 4 janvier 1946 du Service de Documentation Extérieure et de Contre-Espionnage (SDECE) Marie Madelaine Fourcade, alias Hérisson, première femme à avoir dirigé un réseau d'importance, en lien avec Crâne du MI6 Années Guerre d'Algérie Portraits Refus opposé à Paillole qui propose à Dalladier de faire abattre Hitler en 1937 Indochine Lutte contre l'implantation de réseaux en France, en Algérie, au Maroc, Tunisie... Novembre 1944 DST confiée à Wybot rattachée au ministère de l'Interieur chargée de lutter contre l'ingérence étrangère et atteinte contre la Sureté de l'Etat Post guerre froide Çreation des services Première affaire "Passy" Guerre froide Histoire politique des services secrets français Chasse aux ingénieurs allemands dans l'aéronautique, la propulsion (création d'Airbus et d'ATAR premier réacteur), la construction automobile avec la 4CV Renault ( les américains en captureront 1500, les russes 2200) Service B des FTP en lien avec le GRU Devient le 2ème bureau FFI, mI6 développe 3 grands réseaux Interallié, Jade Amicol, Alliance Gustave Bertrand chef de la section D (déchiffrement) des SR Occupation et résistance, les services spéciaux évoluent dans un duel de Gaulle / Giraud Henry Rollin chef de la Surveillance du territoire vichyste, agent important de l'Intelligence Service Analysée nazisme et des visées totalitaires Neutralisation de l'organisation implantée PA l'Abwehr 28/01/35 note sur le réarmement militaire de l'Allemagne Avril,1935 bulletin de renseignement sur l'armée Allemande: entrée en action de moyens de feu plus puissant ou @'engagement d'une grande unité blindée sur les flancs ou l'arrière de l'ennemi 28 militaires Jean Moulin Création du BCRA d'unifier FTP Libération et Combat Conclusion SR 1920-1930 efficace mais peu écouté 15/02/40 tableau synoptique détaillé de l'organisation militaire allemande Création du Conseil National de la Résistance Pierre Brossolette Çreation du Bureau des Menées Antinationales qui traque les gaullistes jusqu'en nov 42 (infiltré par Wybot) Lutte contre l'Allemagne et lItalie BRA 15/02/40 composition des unités allemandes Espions nazis démasqués dans l'armée fusillès ou éliminés (mesure D) Dgss Travail politique en liaison avec le Comissariat à l'Intérieur 1942. (non mili) BCRAL Section militaire Établir et intensifier le contact avec les réseaux de résistants Dominante action (sabotage parachutage) , ne souhaite pas rester sous la coupe de l'armée Installation près d'Uzes d'une équipe de crypto-analystes qui cassent les codes du IIIème Reich, Dominante contre espionnage (détection et retournement d'âge,t adverses, infiltration) favorable à un pilotage militaire, opposé à l'action politique Spécialisation dans le renseignement, utile au plan politique pour donner une légitimité à de Gaulle SNCF, policiers, STO, rôle dans la libération de Paris Création de l'entreprise Travaux Ruraux utilisée après novembre 42 BCRAA Réseau Kléber confié à Guy Jousselin de sait hilaire (Marco) chargé de noyauter l'administration Hans Thilo Schmidt Affaire Howard, MI6 & MI5 convainquent Passy de nommer Jacques Meffre à la tête du service de sécurité interne de la France libre remplaçant Jobez, Collin un de ses collaborateur fait un faux pou accuser l'amiral Muselière qui et arrêté par le MI6. DeGaulle ne croit pas à la culpabilité de Muselière et fait transférer l'affaire à Scotland Yard qui confond le tandem Meffre/Collin. Mise sous contrôle, co-engagement de la CIA, revente pour financer des ospé du SDECE dans les payse de l'Est 1953 vente d'opium H'mong organisé par le GCMA Groupement de Commandos Mixtes Aéroportés Ralliement des Caodaïstes, des Hoa Hoa et de leurs organisations militaires, puis des Binh Xuyên en échange d'un monopole sur les maisons de jeu 1950 alerte sur 8 bataillons à l'entraînement en Chine, défaite Cao Bang (2000 morts 3000 prisonniers sur 6000 hommes) Guérilla contre guérilla Tenir à jour l'ordre de bataille VietMinh Erreur dans l'évaluation des forces à J-1 de Dien Bien Phu en raison d'un changement de code mais pas de celui des livraisons d'armes Interception et cassage de 60 à 80 pourcent des émissions ennemies 1949 Vente de secrets militaires mis à jour par accident, scandale public Opération Castor, prise de Dien Bien Phu Maquis Chocolat, Colibri dont Aiglon et Calamar, Cardamome dont Phone Say et Hans Kanh, Malo-Servan 1951 contre subversion missions Militaires Françaises, attaque des japonais, 7 morts suite à une embuscade de l'OSS en juin 1945 saïgon 1947 Base 40 Sûreté Indochinoise, chasse au VNQDD et communistes Pendant la guerre Av la guerre Indochine Enlèvement à Shanghai de Phan Boï Châu Opération d'intoxication la "bleuite" militants capturés, documents falsifiés, qu'on leur laisse voler et que l'on relâche contre la promesse de trahir, ce qui eut pour effet de dé lancer des purges de cadres ou futur cadres du FLN. Faux numéros d'El Moujahid conçus pour démoraliser et aggraver la paranoïa De La voix de l'Algérie combattante puis à la suite de la multiplication des émetteurs mise en oeuvre de "Studio Kleber"mise en œuvre d'émissions de radio , la voix des arabes, la voix de l'Algérie Libre 1959 Bourguiba bretelle Interceptions de communications 1500 hommes en 1958 3700 en 59 Abandon du FAAD et démontage de l'OP Création et armement du FAAD qui liquide des membres du FLN "Détachements Opérationnels de Protection" DOP collecte du renseignement par la torture et d'exécutions sommaires Opération "Tilsitt", rencontre de De Gaulle avec les chefs de la Wilaya 4 . échec puis élimination des plénipotentiaires. Contre espionnage Cantate parachutage d'une poste de radio piégé tué le chef de la wilaya1 SDECE 1600 agents 1965 Mehdi Ben Barka réalisé par le Cabinet 1 marocain avec la complicité d'officiers du renseignement et de policiers 1954 avant la rébellion de la Toussaint Pilotage de Ben Bella par les moukhabarat Égyptiens Trafic d'armes pour le FLN Octobre 1956 Détournement de l'avion de Ben Bella Inquiétude du SDECE des relations avec la Lybie et l'Egypte où sont réfugiés des militants du MTLD service de Liaison Nord Africaine SNLA Mission "Hors jeu" Assassinat d'ould Amokrane avocat du FLN 1955 shot raté à l'hôtel Méhari au Caire de Ben Bella Prise de contact avec le parti wafd qui sera interdit par Nasser après le coup d'Etat ContreInfluene Force K (pour Kobus) est un succès 1956 contact de 2 émissaires pour faire "la paix des braves" Le MI6 approche les frères musulmans après la nationalisation du Canal de Suez Op étrangères Égypte Guerre d'Algérie Oiseau Bleu contre-maquis de Kabyles pro-français (Iflissen Iebahr) qui se retourne vers l'ALN Envoi à Farouk de call girls françaises dont la future Madame Claude Réseau monté par MI6 démentelé Livre 1960 La main rouge (bidon) 11 eme Choc constitue le Groupement de Marche 11 puis le Groupement Léger d'intervention "Olivier" armement et soutien des indépendantistes anti-FLN les Bellounis qui sont pro-occidentaux. Maquis liquidé par les français car constituant une force politique contraire à l'Algérie française Prise de contact MI6 des étudiants islamiques pour provoquer des émeutes et intervenir militairement pour défendre les européens Tentative d'empoisonnement de Nasser par le Mossad Crèation du département Répression Action Protection (RAP) rebaptisé Centre de Coordination Interarmées Tentative d'entrisme pour inciter la ligne dure du MNA de négocier. Les infiltrés dont un a été secrètement reçu par Constantin MELNIK sont eccartés du mouvement La voix de l'Egypte faussement attribuée au SDECE Groupement de Recherche et d'Exploitation (GRÉ), qu infiltré la casbah, travaillant avec des zouaves déguisés en bleu de travail (bleus de chaiffe)t Exçelsior a Tripoli, manqué Hôtel Semiramis au Caire colis piégé mal amorcé Bombe à la Gare duCaire, des morts pas la cible Demandes: frontières marocaines et tunisiennes, arrestation sélective d'ex membres de l'OS organisation spéciale chargée du soulêvement pas du Mouvement pour le triomphe des Libertés Démocratiques ( MTLD) Opérations homo & arma de "La Main Rouge" Bonn1958, Mohammed Aìt Alcène grièvement blessé ( sur ibformation BND dont les agents aident le FLN) Slovène a 1958 , mines 14 bateaux Félix Mounié au Cameroun empoisonné au thallium 1959 gare de Sarrebruck, meurtre de Abd El Soualem Adjoint du traficant d'arme Ottoman Schlüter 56, sa mère en 57, le bateau la Bruja Rojas à Tanger, typhon à Tanger, Atlas à Hambourg 58 , assassinats en Suisse 1957 traficant Georges Geiser puis MarcelLeopold,Alkeira à Ostende Puis scandale Der Spiegel, l'Humanité,, puis la liste s'allonge porteurs de valises belges, français, allemands, Italiens, Suisse, Hollandais plusieurs dizaines de nouveaux meurtres dont de étudiants algériens à Bruxelles (135 au total d'après Constantin MELNIK) Échec de la mission Torpédo contre Nasser Interception de l'Athos Tentative de solutionner le problême Touareg au Niger Apaisement De l'incident de frontiere Mauritanie / Sénégal 1992 Diplomatie parallèle 1967 Omar Bongo choisi et porté au pouvoir par la France Bob Denard, Congo Yémen pui Congo à nouveau, la CIA intercepte Tsombé et la contre insurrection est qnnulée. Retour de Pascal Lissouba orchestré par le SDECE en 1992 Formation à la répression de la police gabonaise Culture du renseignement chez ELF Félix Mounié empoisonné au thallium, trop forte dose, sera autopsié à Genèves d'oú scandale Opération. Renseignement Jimbo Retour de Léon par des voies diplomatico-militaires françaises Contribution des CCI-DOP aux guerres tribales Congo Opération Barracuda mise en oeuvr pour écarter l'empereur Jean Bedel Bokassa Cameroun Gabon 1979 David Dacko, Miseinfusé en place 14 postes de par lede SDECE renseignement( Cameroun, Centre Afrique, Congo-Brazaville, Côte d'Ivoire, Dahomey, Gabon, Haute-Volta, Madagascar, Mali, Mauroitanie, Niger, Sénégal, Tchad, Togo) 54 agents le d'où le d'honorables correspondants Renseignement en source ouverte et stratège d'influence Coup d'Etat manqué au Bénin par BD Centrafrique Le pré carré africain Meurtre 1966 sécession du Nigeria Espionnage de conseillers militaires soviétiques et thchèques Guerre clandestine (la région Est étant levré en arm de USA et de la Tchekoslovaquie vs la France qui a fait de même dans la région Ouest) Tchad 1958 la Guinée de Sekou Touré se rapproche de Moscou Formatage des services secrets nouveaux-nés Renversement non anticipé de l'abbé Fulbert Youlou Président du Congo Brazaville. Guerre économique et diplomatique Achat d'un super constellation à Air France, chargement d'armes pour le Biafra sous couvert de produits pharmaceutiques. Pont aérien et engagement de mercenaires. Perte de la guerre par les sécessionnistes. 1 à 2 millions de morts. 1965 ex filtration de l'Abbé par de mercenaires commandés par un officier du SDECE 1ère tentative annulée, le STB informé ST. Incident au Tchad en1963, le PLR est accusé d'aider la rébellion musulmane 1982 de Bob Denard opération 61 de soutien à Hissene Habré Forte d'une information que la CIA forme 2000 Lybiens au nord de N'Djamena, la DGSE laisse son renversement s'oppérer à partir du Darfour Information du SDECE que la Lybie envoie l'aLN à la reconquête du pays. Nouvelle Op de BD avec les membres du SA Appuis du SA et de missiles Milan en 1987 Espionnage intensif Débauchage d'opposants guinéens Étranglement sur les frontières Interception de communications Faux billets Empèche l'invitation de Sekou Touré par la Reine d'Angleterre à Freetown Armée de Peuls opposants 1959 Jean Violet et les réleaux religieux contribuent au vote de l'ONU pour que la France ne soit pas sanctionnée pour son coup de force à Suez et pour la guerre d'Algérie. Enlèvement à Budapest en 1948 libéré en 1958 de Luien Gouazé Assassinat de Jean Isidore Gueron par l'UDBA à Belgrade Les réseaux religieux aident à la commercialisation des premiers Mirages Dassault en Suisse. 1949 arrestations en Pologne du chef de poste et adjoint du SdECe, réplique par un vice consul, blocage d'un avion de la compagnie LOT Agit prop au Québec, financement du journall'Evangelique Fermeture de plusieurs postes du SDCE dans les pays de l'Est Influence Soutien des cambodgiens contre les KR 1978-1988 Le réseau de 500 agents qu'il montât fut rraqué par le Sta Récupération des agents de la Stasi par le BND et des archives Récupérations Roumanie l'agent Dinu (Charles Hernu) publié par l'express. plainte en diffamation. La cible était elle Jacques Chirac communiste dans sa jeunesse et amoureux d'une hôtesse russe (dans sa lutte contre Balladur) ou était ce un vengeance contre le démentèlement d'un réseau OTAN par la DST en 1969? Mystère Hirondelle envoyée pour corrompre son successeur en 1951 À la chute du mur Transfuge Lithuanien Argakamov 1971 agent convoyant de la drogue dans le New-jerséy (scandale) 1962 Golytsine décrit l'infiltration de l'Otan 40 taupes dans les services secrets français le réseau SAPHIR Youri Nossenko déclaré que Golytsine est un faux transfuge, ou est-ce le contraire? Une op de renseignement BigBen aurait été lancé par De Gaulle sur les amèricains. arrestation de Geaorges Pacques. 1/2 colonels écartés par Pompidou, et l'adjoint du Directeur l'est aussi en 1971, un autre confiera son sa double appartenance à la DST. 1977 éviction judiciarisée d''un sous directeur. Un analyste en poste avec sa fille à Belgrade dont le procédure sera médiatisé Op étrangères Albanie, en collaboration avec le MI6 , trahie par Kim philby ContreEspionnage Selon Vassili Mitrokhine: Jour de 1945 à 1980, ayant recruté plusieurs autres taupes à transmit des milliers de documents dont l'a détection des missiles à Cuba 2 officiers soviétiques, 1 officier tchèque, 1 général retraité de la Luftwaffe arrêtés à Berlin 1948 détection de 3 infiltrés de la CIA à la DGEr À la marge entraînement en 1947 d'un bataillon, de 500 juifs en Paletine Surveillance de l'Irlande pour un voyage de E Gaulle À la marge Retournement en 1950 d'une espionne du GRU à Bordeaux disposant d'un matériel d'émission. conduit au démentèlement par le FBI et MI6 du réseau canadien Konon Molody alias Gordon Londsdale 1979 Pierre Bernard Kolb officier traitant à Strasbourg 1983 lieutenant Colonel Bernard NUT trouvé mort dans les Alpes-Maritimes 1962 Pierre Cardot du STB Tchèque intègre le SDECE il est confondu Arrestation en 1950 de la secrétaire du Directeur du service 28 (interception-cryptographie) travaillant pour les russes 1982 Affaire Farewell, hors du cadre romancé. prise de contact de Valadimir Ippolitovitch Vetrov, lieutenant-colonel du KGB avec la DST. Prise de contact avec le américains et utilisation de caméra miniaturisée dont les films sont lisibles uniquement par eux. arrestation suite à la tentative de meurtre d sa maîtresse, fusillé n 1985. Affaire Markovic, publication de photomontagés mettant en scène MmePmpidou Fourniture d'armes à Yssen Habré ayant pris en otage les époux Claustre, aide de l'Egypte sur demande de Maranche Deuils 1979 attentat de Benghazi raté contre Kadhafi monté avec les mourrai Égyptiens En zone Allemande occupée: Excellente analyse de la situation proto-révolutionnaire Accident volontaire causant la mort d'un officier en RDA. Tir d'une sentinelle ontr un autre officier qui s'en sort indemne. Protection de essais nucléaires Information par des réfugiés cubains de l'installation de missiles à Cuba, l'été 1962 ainsi que la présénce de 700 soviétiques, transmis à la CIA Médiatisation de l'affaire Bamler/Kranick Infiltration Du département XI du HVA annoncée par Markus Wolf 1967 aux îles Cookies une jaunisse bloque le voilier au delà de la période d'essais nucléaires. Infiltration de l'association des garçons d'ètage et des concierges les clés d'or depuis l Lutecia Guerre froide dans le détail Affaire Nawor, aveu de tamponnage et de chantage de la Stasi, intoxication d'un couple d'agents du HVA, piégeage de boîtes aux lettres mortes, arrestation du couple à Paris, arrestation du chef de réseau un légionnaire ayant posé des micros à Berlin et de sa femme dactylo à l'OTAN agent elle aussi Après 88 défection d'un pilote polonais avec son Mig29 ci-achat avec le MI6 1966 sucre dans le réservoir d'essence du bateau de Greenpeace Opération MINOS 49 à 54, 1948 récupération d'Hubert Ripka, près de Pragues par un avion de l'escadrille spécial 1/56 Chantage du Stb sur la fille du chef de poste à Pragues Lithuanien, Tchekoslovaques, polonais arrêtés dès leur parachutage 1978 Commandant Cuvelier à Saint Dizier 2 officiers au Tchad dans unC130 algérien livrant des armes1981 Tentative de coup d'Etat 1980 echouée 1985 Rainbow Warrior 1983 récupération de Klaus Barbie en Colombie 1971 Zhang chiffreur à Alger renvoyé drogué en Chine à la demande de l'ambassade Manipulation possible d'un employé de la DARPA pour sélectionner les cibles Bouygues Elf dès 1970 Michelin Écouté des essais en vol du 747-400 Deloitte et Touche Tamponnage d'un attaché culturel à Matignon puis travaillant au cabinet d'Edouard Balladur - éviction de 5 membres de la CIA Galice sécurité Selon Peter Schweizer journaliste Servier Intelligence Online Pantouflage efficace Entreprises spécialisées Espionnage économique des marins pêcheurs japonais écoutant les coordonnées de bancs de poisson donnés par la marine nationale aux pêcheurs bretons (bidon) gATT exception audiovisuelle français, idem pour l'agriculture sSF Sofema Redéploiement des SR vs la contreingérence, inventée pour occuper la DST après l'OAS Datops Géos Péricles Nécessité des liens de confiance: une entreprise française et-elle une entreprise à capitaux français qui se développe à l'international , une entreprise à capitaux étranger qui développe des emplois sur le territoire national, ou faut-il les 2? Guerre Économique Audit des services secrets et mise en place de SRE sur le modèle de la DGSE Air France sonorise les places affaire vs hommes d'affaire US Collaboratif du temps de l'invasion de l'URSS, l'ISI akistannaise joue des oublies jeux allant jusqu'à l'arrestation des agents français et britannique et à leur expulsion jusqu'à l'attentat de Karachi en2002. Sri Lankais 1992 arrestation de 3 ingéré de la DGA, et 1 spécialiste du nucléaire militaire, expulsion de 4 agents russes dont le résident. Délégation interministerielle à l'Intelligence Économique Pakistan Accord KGB 1992 prolifération Nukes, Kazakhstan 1400 têtes stratégiques 400 tactiques, mafias, crime organisé, islamisme radical, rapatriement des archives SVR ex KGB Formation au CE des pays Anglo-saxon et aux techniques d'écoute des services Inde Post guerre froide Description de réforme souhaitées par le milieu u renseignement Golfe 1981 cambriolage du ministère de la Défense Indien hostile au Mirage 2000 (récupération des propositions chiffrées des concurrents soviétiques) découverte en 1985 elle donne lieu au rapatriement de plusieurs agents et de l'ambassadeur Manque cruel d'outil de renseignement de type satellite et armée nadaptée Réformes La DGSE milite pour la création d'un service purement militaire. Base SIGINT à Kourou pour surveiller les communication américaines et SA ( base Frégate) . Moyens techniques et interceptions partagées avec le BND Allemand et Analyse réalisées séparément. Ces moyens sont nettement insuffisants. Joxe empèche les services d'y participer et les limite à recevoir les ordres du politique Choix Aloemand de satellite radars permettant de traverser la couche nuageuse et permettant d'observer les pays de 'Europe de l'Est. Les français choisissent des satellites optiques, moins chers qui permettent d'observer les pays du Sud. Renseignement mili Création de la DRM, lancement d'Hélios1 À création du COS. Utilisation d'Astra B et communication d'infomation aux services secrets allemands Réactivation du CIR PA Michel Rocard Rattachement du SA au COS, détaché en cas d'opérations clandestines. 1A fin en février 2012, I-B en 99, II-À 2004 , II-B 2009 dirogés par une unité interarmées. Un officier de liaison et une station Pépite Possibilité de ne as se laisser entraîner dans la guerre du Golfe 2 1994 poste de la DST créé à Moscou Capture au Daguestan d 4 officiers d l DGSE sous couverture humanitaire revendus enTchetchenie, libérés pa l'intermédiation de la mafia russe à Moscou. 2003 mobilisation pour libérer les 2 journalistes Malbruonot et Chesnot Sous MITTERAND approvisionnement des Croates en armes 2000 poursuite des criminels de guerre dans l'ex Yougoslavie. Tentative de paiement de rançon aux FARC, un avion du GAM se pose au Brésil sans en avoir informé le gouvernement du pays. L'opération est avortée. 2005 libération d'Aubenas après çelle des journalistes roumains avec lesquels elle etait détenuee AQMI, Somalie, Sahara, opération raté e pour libérer MichelGermaneau, enlèvement des cadres d'AREVa, intervention ratée pour libérer le 2 jeunes fançais au Niger Demande d'expulsion le 1er septembre de Zaccharia ayant appris à manœuvrer un avion de ligne aux USA et étant détenu par le FbI Otages Utilisation de la force contre la piraterie maritime sur la corne de l'Afrique et l'Océan Indien Interception de mots clés et d'analyses sémantiques de djihadistes français téléphonant d'Afghanistan transmis à la CIA dans le cadre des accords SIGINT 2008 voit 58 enlèvements de français Ben Laden Utilisation de chefs d'entreprise, de journalistes, Philippe de Dieuleveux Utilisation de Gotovina ex-légionnaire dans la fourniture d'armes aux Croates et la traque de criminels de guerre (dont il fait partie). Laché par le gouvernement français. Sombre histoire de faux documents (500 tonnes de yellow coke) vendu du Niger aux Irakiens, contre-veréfié et démenti à 3 reprises par la DGSE et un diplomate américain ayant servi à GW BUSH pour envahir L'Irak. Utilisation des renseignements sous Chirac : 1988 utilisation du 11ème choc pour prendre d'assaut la grotte d'Ouvéa, rapatriement des agents Maffart & Prieur assignés à résidence,, refus de désert fox, Chine Base alliance, refus en 2001, acceptation en 2002, financement français, obligation de transférer des informations de la DST et de la DGSE, en retour simplement celles de la CiA +extraterritorialité et torture homolobguée. Mise à jour en 2005, elle se termine en 2009 avec BA 1999 cambriolage de la banque Kosa ( d'Osada, ami de Jacques Chirac) diligenté par un agent de la DGSE, la DST appelée au secours par De Villepin confirme involontairement. l'agent sera victime d'un accident de la route e t le dir e sous dir delà DGSE démissionnés. 2002 extension des opérations homo "alpha" hors de théâtres d'opération. arrestation en Espagne d'un officier traitant et son agent. Retournement du chef de poste à Pékin en 1998, tamponnage de l'ambassadeur mis à jour par le BND car idem pour l'ambassadeur d'Allemagne 13 septembre malgré une note flou des liens entre Sekigun et FPLP en Hollande, prise d'assaut de l'ambassade de France aux Pays-Bas. Bombe au Drugstore par Carlos le lendemain. Les autorités françaises cèdent au chantage et le groupe, réuni s'envole pour la Syrie. Soleil Levant, arrestation d'un agent de liaison de la Sekigun (armée secrète gauchiste japonaise) à Orly en 1974 Afghanistan Carlos Arrestation de Carlos au Soudan Moines de Tiberine, opération de délivrance ratée de l'armée Algérienne? Commando sur l'Airbus AF8969 malgré les alertes de la DGSE, la DRS aurait laissé faire Sorti d'un SAM7 neuf avec sa notice Tamponnage d'un membre du FPLP et information sur un passage à Malte. oP annulée. Années MARENCHE Mise en place d'une station D'écoute au Pakistan Attentats du GIA en 1995 contre le cheikh Abdelbaki saharahoui et le RER Saint Michel ( soupçons DRS) Formation de Moudjahidine en lousdè puis au CERP Irak Opération Charlie en coopération avec le services secrets de Yasser Arafat contre Abou Nidal (rue des rosiers) Flop des irlandais de Vincennes, arrêtés par le GIPN dépendant de l'Elysée, à qui l'on attribue faussement l'attentat de la rue des Rosiers Fuite du dossier d'objectifs de Carlos Meurtre de 2 officiers de la DST Politique parallèle, Safari Club années MITTERAND 2010 3 rats de la GSE se ont surprendre dans la chambre u président de Shangai Airline Création d'une section antiterroriste au SDECE Années Tentative à San Cristobal sur la couverture d'une course cycliste. 9 mois d'attente puis annulation Formation des artilleurs de Sadam Hussein à l'utilisation des canons 155GCT 1983 Recherche d'information et intoxication call girls, réseaux Claude puis Virginie. Utilisation pour piéger de ambassadeurs amateurs de confidences sur l'oreiller. 1950 réseaux asiatiques d'espionnage mis à jour, agent fils d'un de membres arrêtés. Hoang tisse des liens vers l'Aerospatiale et Arianepace Vente de super étendards armés d'exocet, au même moment attentat de l'ambassade de Beyrouth et à Dakar 1983 58 soldats tués Information sur la "base Bison" recrutant de honorables correspondants Parlementaires soumis au recollement de rapports d'étonnement Tchétchénie Yougoslavie 1999 un algérien au passeport français et atrête dans une voiture chargée d'explosif à la rrontière avec le Canada. La DST informé la CIA d'une mouvance islamique internationale 1993 enlèvement de 3 attachés consulaires par la DRS algérienne revendiquée par le GIA Zitouni Ambassade d'Iran attentat raté Opération Arma contre le cargo "El Djorf" sûr renseignements du BND. Opérations style "main rouge" de la DRS partout en Europe. collaboration accrue des services européens. Liban / Syrie Meurtre de l'ambassadeur français Louis Delamare, la DGSE confond le services Syriens Le monde arabophone/musulman 1985 otages du Liban, la DGSE les localisé à 2 reprises, l'Elysée n'accepte pas d'entériner l'opération. Tamponnage de journalistes n l'absence de personnel sur zone. Janvier 1980 le SA du SDECE contribue à la réduire l'action de la pseudo équipe de footballeurs, envoyée par Kadhafi afin de fomenter une révolte dans la ville de Gafsa. Iran Algérie Libération des journalistes en 2011 Libye Attentat du vol UTA772 en 1989 et du vol 103 de la PanAm FPLP? Risque de renversement du Shah 1982 bombe rue Marbeuf, une autre dans le train Paris/Toulouse / riposte SA sûr l'attaché militaire syrien en Espagne aSaLA à Orly, toujours sous assistance Syrienne Tunisie Soutien en armes d'Amine Wardak et de Tadjik Ahmed Chah Massoud Aide à la création de l'école du renseignement tunisien Informations croisées avec le Quai d'Orsay sur la montée de la répression et la paralysie politique croissante. Présence de forces spéciales et d'agents sur le sol Libyien. Nombreuses opérations de enseignement et de livraison d'armes menées. Proposition Idem pour le MI6 d'enlever l'ayatollah Khomeini refusée par Carter Inter-relations avec le Quai d'Orsay et augmentation des policiers et des personnels féminins Diminution des liens avec le limier Rapprochement européen Conclusion Abattre des cloisons Montée en puissance des technologies Montée en puissance des civils Distancée sur le continent africain par les Américains et les Chinois Orientation vers les pays émergents et apparition de nouveaux services Mondialisation Rapport d'utilitarisme avec le pouvoir Recrutement de jeunes mieux éduqués plus polyvalents polyglottes Pas de capacité d'influence et de faire rêver à l'instar du MossadMI6 ou CIA Confision avec RG Intelligence économique et demande de résultats immédiats ce qui oblige à franchir des lignes qui peuvent créer de la confusion