Philippe CHANCEL - White spirit
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Philippe CHANCEL - White spirit
Philippe CHANCEL - White spirit Exposition du 12 mai au 3 juillet 2010 Vernissage le mardi 11 mai 2010, de 18h à 21h. Les photographies de Philippe Chancel seront également présentées : - au Centre Pompidou dans le cadre de l'exposition "Dream Land" du 5 mai au 9 août 2010 - à la Galerie Philippe Chaume à Paris, du 21 mai au 17 juillet 2010 Le livre "Desert Spirit" de Philippe Chancel sera disponible en mai 2010 / éditions Xavier Barral, et texte de Quentin Bajac. LE BLEU DU CIEL 48 rue Burdeau - 69001 Lyon T. + 33 (0)4 72 07 84 31 F. +33 (0)4 78 29 33 04 www.lebleuduciel.net /// [email protected] ouvert du mercredi au samedi de 15h à 19h Contact PRESSE : Hélène Loupias // + 33 (0)4 72 07 84 31 // [email protected] Présentation Depuis ses débuts, Philippe Chancel photographie les sociétés autoritaires et les dictatures communistes en particulier. En 1981, il est le premier à se rendre en Pologne où a lieu un état de siège proclamé par le général Jaruzelski. S'ensuit une longue série de reportages jusqu'à cette année 2005 où il obtient un visa de près d'un mois pour la Corée du Nord. En 2007, il réitère l'expérience de l'utopie en se rendant aux Emirats Arabes Unis pour constater de ses propres yeux ce gigantesque chantier à ciel ouvert. Déjà, il constate des points communs entre ces deux pays : culte de la personnalité donnant lieu à une iconographie à satiété, concentration du pouvoir, contrôle sur les individus et surtout un déni de l'humain, revers de ces sociétés de l'hypertrophie régies par l'argent et le pouvoir politique. Philippe Chancel s'intéresse à la manière dont ces sociétés du spectacle mettent en scène leur pouvoir. Luxe et divertissement pour l'une, ordre et austérité pour l'autre, ces sociétés industrielles modernes sont façonnées par les idéologies du capitalisme et du socialisme. Aux Emirats Arabes Unis, la course à la démesure n'en finit jamais : les monuments sont toujours plus hauts et clinquants, la consommation, et son lot de placards publicitaires, est omniprésente et les loisirs frisent l'absurde quand il s'agit de skier en plein désert. Là-bas, rien n'est trop beau ni trop grand pour se construire une identité quitte à sacrifier des centaines d'ouvriers immigrés. Les sirènes de la globalisation entêtent cette civilisation de l'argent et Philippe Chancel cherche à briser ce miroir aux alouettes contemporain. Toutefois, les photographies de Philippe Chancel ne sont pas subversives. Au contraire, il pénètre au coeur de la fascination qu'exercent ces sociétés de l'image pour mieux comprendre les raisons de leur attirance et de leur répulsion. Ainsi, le cadrage de ses photographies est frontal et distancié pour répondre à son exigence de fidélité avec la réalité sans l'entremise d'un jugement ou d'un affect. L'esthétique documentaire qu'il met en place tâche d'oeuvrer là où la propagande des idéologies agit c'est-à-dire dans les apparences et les faux-semblants. Ses photographies mettent en abîme les rouages du pouvoir et questionnent l'image même. Definitely Dubaï Par Quentin Bajac Texte de présentation du livre « Desert Spirit », à paraître aux éditions Xavier Barral. Après la Corée du Nord en 2005, Philippe Chancel a choisi de s’intéresser ces dernières années à Dubaï. Après avoir consacré son énergie à photographier un des pays les plus fermés et impénétrables de la planète, c’est aujourd’hui vers l’un des plus ouverts qu’il tend son objectif. A l’énigme coréenne, inaccessible et comme figée de manière passéiste et rigide dans une période historique donnée, celle des régimes totalitaires communistes, s’oppose l’apparente transparence d’un Dubaï, branché et hyper-libéral, illustration sur papier glacé d’un air du temps très contemporain. L’isolement volontaire du premier, forteresse assiégée, instaurant l’autosuffisance comme valeur fondatrice et luttant âprement contre la fuite de ses propres ressortissants contraste étrangement avec l’image du second, ville-monde de 180 nationalités différentes, qui, chute des revenus du pétrole oblige, a installé depuis une vingtaine d’années l’échange et les flux (touristiques, commerciaux, médiatiques, financiers) au cœur de son schéma de développement et de communication : à ce titre un des derniers projets phares de Dubaï est l’ouverture du plus grand aéroport au monde. La Corée du Nord et Dubaï ont en commun d’avoir poussé à leur paroxysme un système et un schéma de développement. Tous deux, de par leur singularité et leurs écarts par rapport à la norme, sont devenus dans ces quinze dernières années, des lieux symboliques, cristallisant débats et controverses : d’un côté, la Corée, l’un des plus évidents représentants de l’axe du mal pour les conservateurs américains, dictature intransigeante, puissance nucléaire menaçante, accusée de financer le terrorisme international et le trafic de drogue. De l’autre Dubaï, l’incarnation la plus caricaturale du néo-capitalisme pour les tenants de la nouvelle gauche, symbole des dérives d’une politique ultralibérale à destination d’une oligarchie, place forte de tous les recyclages de l’argent sale, et dont l’apparent libéralisme en matière économique dissimule mal le féodalisme en matière politique et sociale. L’une comme l’autre ont construit des fictions proches de potemkinades et proposent au spectateur/visiteur des réalités comme hallucinées. Si la Corée du Nord, dans son autarcie hors du temps, pouvait apparaître aux yeux de Chancel comme représentant « du point de vue de la photographie un immense musée à ciel ouvert », le modèle de Dubaï serait davantage celui du parc d’attractions. Toutes deux ont par ailleurs pleinement compris le rôle et l’importance de l’image dans la construction de leurs modèles respectifs. Que le trop peu d’images de l’un contraste avec le trop plein de l’autre, que l’hyper-contrôle du premier s’oppose à l’hypercirculation du second, que les modes et les instruments de diffusion ne soient pas les mêmes, n’est finalement qu’accessoire. Les deux ont installé l’image au sein de leur système de communication voire de propagande et se présentent comme des modèles de développement : des exemples à suivre, ville-témoin ou nation-témoin, à la manière de ces appartements témoins qui permettent de rendre compte, sur le principe de la modélisation, d’une réalité. Lorsque Chancel se rend à Pyongyang ou à Dubaï c’est, dans un cas comme dans l’autre, pour interroger par la photographie une réalité quotidienne, par delà les constructions, parfois fantasmatiques, des mots comme des images. Car ces deux pays ne sont ni des leurres ni des fantasmagories. En ce sens, l’un comme l’autre font office pour Chancel de zones-test , de laboratoires d’une expérience photographique documentaire qui tente de déconstruire une réalité et un imaginaire, régis par l’image. Comment photographier Dubai quand s’interpose à chaque moment, à la manière d’un souvenir-écran, la « ville-écran », construction d’images diffusées par les innombrables outils d’information et de communication ? En interrogeant la dimension spectaculaire, et finalement décorative au sens premier du terme de cette réalité, comme, peut-être, l’appréhension fantasmatique qui en est aussi la nôtre : sans mystique d’une recherche de « vérité » mais avec l’espoir de démonter, par une mise à distance, la construction du réel à l’oeuvre. L’abondance des travaux photographiques menés ces dernières années autour de Dubaï prouve d’ailleurs l’attraction que l’endroit a pu exercer sur les photographes de tous horizons. Citons pêle-mêle, outre Chancel, Reem al Ghaith Andreas Gursky, Florian Joye, Mohammed Kazem, Armin Linke, Martin Parr, Lars Tunbjork, Sami al Turki Thomas Weineberger parmi d’autres. Desert Spirit est pourtant le premier ouvrage qu’un photographe consacre exclusivement à la ville-émirat. « Definitely Dubaï » est le slogan publicitaire de la principale campagne de promotion de l’émirat. « Definitely Dubaï » c’est–à-dire, certainement, sans aucun doute, absolument Dubaï. Mais également Dubaï sans ambiguité, très clairement Dubaï. Comme s’il fallait par là affirmer avec un brin d’ostentation ce qui n’était pas si certain. Comme si on en doutait. Oui Dubaï existe vraiment, non ce n’est pas un leurre mais une réalité tangible, visible et donc photographiable. Assurément, la mythologie qui s’est développée autour de Dubaï, à la suite de celle de Vegas, a à voir avec sa situation géographique de ville surgie du désert. Ville oasis mais également ville mirage… (...) Desert Spirit est un récit de voyage. La première vision qui accueille le lecteur arrivant, tel le voyageur, par l’autoroute, est un mirage évidemment. Si Dubaï est une ville-spectacle, on y entre avec Philippe Chancel par les coulisses. Les grands décors plantés dans le désert sont tout à la fois bien réels mais également hautement métaphoriques. En compagnie des pylônes électriques démesurés, et des portraits du Sheik Al Maktoum, ils témoignent bien, à la manière d’une pièce de théâtre de la machinerie à l’oeuvre pour faire fonctionner l’illusion. Faisant suite à cette présentation, en quelques images Chancel donne corps aux flux qui nourrissent et permettent à cette illusion de prospérer : la place de la finance, du commerce, des télécommunications, du tourisme… Mais saisir Dubaï sans caricature, c’est aussi comprendre que celle-ci est un tissu d’espaces et de temporalités différents et que le décor high tech mis en avant par les campagnes de promotion ne suffit pas résumer cette vraie ville de 40 km de long. Celle-ci abrite diverses réalités : celle du coeur historique des années soixante et soixante-dix, son désordre d’échoppe, ses souks et sa fête foraine, désormais un rien désuète face à la débauche d’effets spéciaux et d’attractions. Celles des nouveaux quartiers, périphériques, perspectives vides néo-chiriciennes, dont les façades déclinent un improbable style historique international, décalques éloignés et grossiers des modèles de la Renaissance italienne, à destination de touristes venus du monde entier. Celles, lisses et irréelles, du somptueux métro aérien, longeant les constructions de vitres et d’acier les plus récentes du centre et dont le spectacle convoque confusément mille et uns prototypes d’un urbanisme futuriste. Celles enfin de chaque grand complexe immobilier de la ville, qui aspire à devenir, lui aussi, un monde total, une sorte de ville dans la ville, cité miniature –où, réellement, le jour et la nuit n’existe plus- en déployant son propre récit, selon les recettes du storytelling : chacune de ces structures, régie par une technologie d’une grande sophistication s’articule autour d’un discours ou d’un récit qui entend bouleverser l’entendement: Burj el arab (le seul hôtel au monde dans la catégorie sept étoiles), Burj Dubaï (la plus haute tour du monde) the World (l’archipelplanisphère, où chaque pays-propriété retourne à la forme par excellence de l’utopie, l’insularité) , l’hôtel Atlantis (l’Atlantide enfin retrouvée à Dubaï). Chacun d’entre eux, par une surenchère dans l’excentricité, se présente, par delà sa réalité immobilière, comme le rêve devenu réalité. De même le ski Dome du Mall of Emirates joue avec notre rapport à la géographie et à l’espace. Sa piste de ski enneigée n’est que la plus déraisonnable de ces nombreuses réalités hallucinées que propose Dubaï. Celle où l’idée de la greffe d’un corps étranger, inhérente à la création de Dubaï éclate avec la plus éclatante drôlerie. Chacun des centres commerciaux, auxquels Chancel consacre plusieurs pages, déploie sa propre fiction : ici, celle de faire du ski dans les Alpes, là – au Mall Ibn Battuta par exemple, l’un des plus grands de Dubaï, du nom du célèbre voyageur arabe qui parcourut le monde au XIVe siècle – celui des voyages dans un Orient médiéval. La colonisation du réel par la fiction anime de manière plus générale la communication autour de l’Emirat grâce notamment au recours massif à l’image de synthèse. Donnant un visage vraisemblable à tous les possibles, cette dernière annihile toute possibilité de discernement et offre une version contemporaine des sortilèges de la ville-mirage. Aller aujourd’hui à Dubaï, où les plans fournis portent la trace de bâtiments en devenir, c’est faire quotidiennement l’expérience du fossé entre ville réelle et ville virtuelle. Chancel joue de cette ambiguïté, le lecteur étant balloté, dans ses vues générales, entre vues aériennes réelles et vues de maquettes, parfois jusqu’à l’indécision. Et s’y repérer devient d’autant plus difficile que nul humain ici pour faire échelle. Sous l’objectif de Chancel, Dubaï, lieu tiré du désert, demeure un lieu désertique, au sens de dépeuplé. Dans cette ville conçue pour l’automobile et la climatisation, les seuls espaces de rencontre et de marche sont les espaces intérieur des centres commerciaux. Dans cet univers calfeutré de biens manufacturés, l’émirati rejoint le flâneur des passages parisiens du XIXe siècle. Quant aux ouvriers étrangers, pourtant innombrables, ce sont les grands absents : c’est qu’ils feront l’objet d’un autre livre. Même l’espace lisse du désert ne semble plus vraiment s’opposer à l’espace strié de la ville en construction. L’un et l’autre s’entremêlent et s’interpénètrent. A cet égard Dubaï apparait parfois comme une grande étendue de sable que parsèmeraient de petites oasis de béton, en construction. Même aux environs, le désert demeure un espace domestiqué, qui porte l’empreinte et parfois littéralement l’image de l’homme. Sans retour ? C’est tout l’enjeu de la dernière image du livre : sur un gazon propret, éclatant comme une pelouse anglaise, bien enclos par un muret, sur le modèle de quelque zone pavillonnaire, des badauds, femmes, hommes, familles, semblent regarder quelque chose, au loin, hors champ. Au-delà de l’espace carré délimité par le muret s’étend l’immensité du désert. Est-cela qu’ils regardent ? Et si c’est le cas comment le regardent-ils ? Comme l’espace nomade excitant et hostile qu’il fut autrefois et qu’il peut être encore ? Ou comme l’artifice suprême, à la manière de spectateurs amusés devant la toile peinte d’un immense diorama ? Tour Burj Khalifa en construction, 2008. Courtesy Galerie Philippe Chaume, Paris. Workers sur échafaudage, Dubaï, 2008. Courtesy Galerie Philippe Chaume, Paris. Série Portrait workers, 2007-2010. Courtesy Galerie Philippe Chaume, Paris. Philippe CHANCEL Depuis plus de vingt ans Philippe Chancel poursuit une expérience photographique dans le champ complexe, mouvant et fécond, entre art, documentaire et journalisme. Un travail en constante évolution sur le statut des images quand elles se confrontent elles mêmes à ce qui fait « images » dans le monde contemporain . Son travail a été largement montré et publié en France et à l’étranger par les plus grands magazines notamment « Regards d’artistes » et la série des « souvenirs » en collaboration avec Valérie Weill. DPRK, sa vision de la Corée du Nord a été montré pour la première fois aux rencontres d’Arles (2006), suivis d’autres expositions comme au C/Oberlin et aussi la « photographer’s Gallery » à Londres dans le cadre du Deusche Borse photography prize (prix du public 2007).Il a été l’objet d’un livre aux éditions Thames&hudson . Son « Emirates project » a été montré pour la première fois à la 53ème biennale de Venise (Pavillon d’Abu Dhabi) avec Catherine David comme commissaire. Expositions personnelles (selection) 2010 : « white spirit » Le bleu du ciel , lyon 2010 : « Desert spirit » galerrie Philippe Chaume Paris 2009 : « La Tourette, le cinquantenaire vue par Philippe Chancel « Domeau&Pérès. 2009 : « Centre Pompidou Metz # en construction » Briey , galerie la premiere rue. 2008 : « Souvenirs de Bruxelles,Young gallery ,Bruxelles. 2008 : «Mois de la photo à Paris » Souvenirs de Bruxelles » ,galerie LC,Paris 2007 : « Souvenirs de Tokyo » galerie LC Paris 2007 : « DPRK », Fotogallery,Cardiff. 2007 : « Paris photo » Eric Franck fine art 2007 : « DPRK », Galerie Le bleu du ciel, Lyon. 2006 : « DPRK », Open Eyes Gallery, Liverpool. 2006 : « Vite Vu », la Vitrine de la société française de la photographie, Paris. 2006 : « Souvenirs de Paris », Institut français de Tokyo, 2006 : « Paris-Photo », Eric Franck Fine Art. 2006 : « Les rencontres d’Arles », DPRK. 2006 : « Souvenirs de New York », galerie LC, Paris. 2005 : « Souvenirs de Londres», Galerie LC, Paris. 2005 : « Regards d’artistes », Galerie Artcurial, Paris. 2004 : « Souvenirs de Paris », Galerie Artcurial, Paris 2003 : « Fabienne Verdier l’Atelier », Galerie Ariane Dandois, Paris. 2002 : « Faces à Faces », Institut Français de Bratislava, Slovaquie. 2000 : « Sex Release », Galerie les Singuliers, Paris. 1999 : « Panoramiques », Espace Châteaubriant, Tours. 1998 : « Khum portraits indiens », Galerie les Singuliers, Paris. 1997 : « Portraits d’artistes », Galerie les Singuliers, Paris. Expositions collectives(selection) 2010 : « Photo Moscou « vive la France » commande Mosaïque : « magasin général ». 2010 : « Dreamlands » centre Pompidou paris 2009 : « Emirates project » biennale de Venise : Adach platform par Catherine David 2009 : La fable des lieux par Laurent Lebon, Arsenal Metz,commande photographique pour le centre Pompidou-Metz . 2009 : « Portraits de villes » DubaÏ « Galerie philippe Chaume ,paris 2008 : « Réfléchir le monde« Emirates » la centrale electrique « Bruxelles » 2008 : « moving the walls » fondation Soros NYC 2008 : « Biennale de la photographie » Brescia 2007 : « DPRK », Deutsche Börse, Frankfurt, 2007 : « DPRK », C/O Berlin, 2007 : « DPRK », Photographers’ gallery, Londres, 2003 : « A fleur de peau », Room for my art, Pavillon de Paris. 2003 : « Vaudou », Abbaye de Daoulas. Publications(selection) - « L’opéra royal de Versailles » Editions Xavier Barral 2009 -« La Tourette /le cinquantenaire », Regards contemporains, Bernard Chauveau editeur,2009-11 - « Souvenirs de Bruxelles « éditions Margaux 2008 - « Dubai » Editions « Be-Pôles » 2008 - « Arirang, , le plus grand spectacle du monde »Favre ,préface Laurent lebon, - 2008 - « Souvenirs de New York », Thames&Hudson « New York in store » 2007 - « DPRK », Thames&Hudson, textes de Michel Poivert et Jonathan Fenby ,Oct. 2006 - « Souvenirs de Londres », Thames&Hudson « London in Store » oct 2005. - « Souvenirs de Paris », Thames&Hudson « Paris in Store », Oct 2004. - « Chercheurs d’art », Somogy/Thames&hudson/Knesebeck,, oct 2004. - « Regards d’artistes », 5 Continents éditions, préface Laurence Bertrand Dorléac. - « Agnès Thurnauer , les circonstances ne sont pas atténuantes ». Co-édition Palais de Tokyo/ Caisse des dépôt, 2003 . - « Kodiak,Alaska. La collection de masques d’Alphonse Pinart», Musée du Quai Branly Adam Biro 2002. - « Un jardinier dans la ville », (Jean Pierre Raynaud), Acte Sud, 1997. - « Ange et démons » (Haïti), Hoëbecke, 1999. Ouvrages collectifs -« Fabienne Verdier « Peinture » Galerie Jaeger Bucher - « Eau source de légende », Assouline 2000. - « Red », Assouline, 2001. - « White », Assouline, 2001. - « Regards croisés » Hommage à Jacques Kerchache », Gallimard, 2003. - « Pierre Paulin », Assouline, 2004. Institutions Collaboration pour la Fondation Cartier, l’Union Central des Arts Décoratifs, le centre Georges Pompidou , la Halle Saint Pierre, le musée du Quai Branly, le Palais de Tokyo, Le musée du Louvre, le Guggenheim museum NewYork, the new Pinacotek de Munich. La fondation edf, Kennedy Center washington D.C, Corporate /publicité Fortis,société générale, Deutsche Bank, AXA, Nestlé, Disney,LVMH, Christie’s,Sotheby’s, Artcurial, Aeroflot , jean Nouvel S.A, Pascal Ory, Swarovsky Collections Collections privées, collection Société Générale, Collection crédit Agricole, Conseil général des hautes -seine , collection Deutsche Bank ,fond national d’art contemporain ( le fnac) ,Ville de Lyon, Musée français de la photographie Commandes pubiques Centre Pompidou Metz: projet : “en construction “ Projet mosaïque : ministère de la culture, CNAP. Galerie des portraits : maison du projet Louvre Lens
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