1 SYNOPSIS DES FILMS DISPONIBLES POUR 2012/2013 EN
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1 SYNOPSIS DES FILMS DISPONIBLES POUR 2012/2013 EN
SYNOPSIS DES FILMS DISPONIBLES POUR 2012/2013 EN INDRE-ET-LOIRE Abouna (6ème/5ème) (Tchad – 2001 – Couleurs – 1 h 21) – Année scolaire 2008/2009 Réalisé par Mahamat Saleh Haroun - Avec Ahidjo Mahamat Moussa, Hamza Moctar Aquid, Zara Haroun Tahir (15 ans) et Amine (8 ans) se réveillent un matin et apprennent que leur père a quitté le domicile familial. Complices, ils décident alors de partir à sa recherche à travers une longue errance dans la ville. Profondément choqués par cette brusque disparition, les deux frères se mettent à traîner, à faire l’école buissonnière et fréquenter les salles de cinéma. C’est là, qu’un jour, il leur semble reconnaître leur père à l’écran. Ils s’arrangent pour voler les bobines et chercher à retrouver son visage sur la pellicule, mais la police ne tarde pas à les arrêter. La mère, lasse de leurs bêtises, les envoie au loin, étudier dans une école coranique. (Source : http://www.yo-video.com) Alamar (Mexique – 2010 – Couleurs – 1 h 10) Réalisé par Pedro Gonzales-Rubio – Avec Jorge Machado, Natan Machado Palombini… Durant les vacances, le petit Nathan retrouve son père au Mexique pour quelques jours. Tous deux embarquent en pleine mer destination Banco Chinchorro, l'une des plus grandes barrières de corail de la planète. Dans ce cadre idyllique, un lien complice se resserre entre le père et son fils. Un beau voyage écologique ! (Source : http://www.epicentrefilms.com) L’ami retrouvé (4ème/3ème) (USA – 1988 – Couleurs - 1 h 51) Réalisé par Jerry Schatzberg d’après le récit de Fred Uhlman – Avec Jason Robards, Christian Anholt, Samuel West, Françoise Fabian Un vieil homme quitte sa vie américaine et se rend en Allemagne. Ses souvenirs le ramènent en 1932. A cette époque, fils d’un médecin juif, il avait pour meilleur ami un jeune aristocrate. Il avait dû s’exiler à cause de la montée du nazisme. Cinquante-cinq ans après, il cherche à savoir ce qu’est devenu son ami. (Source : Dictionnaire des films - Bernard Rapp, Jean-Claude Lamy – Ed. Larousse) L’argent de la vieille (6ème / 5ème) (Italie – 1972 – Couleurs – 1 h 58) Réalisé par Luigi Comencini - Avec Alberto Sordi, Silvana Mangano, Bette Davis, Joseph Cotten, Antonella di Maggio Comme chaque année, la « vieille » Américaine revient jouer au « scopone », jeu de cartes où elle plume régulièrement le couple de chiffonniers, Peppino et Antonia, soutenus par toute la haine du bidonville contre les « riches ». Cette fable corrosive, brillamment interprétée, est un des sommets de la comédie à l’italienne. Le thème aride et abstrait de la lutte des classes est traité dans une allégorie plaisante et populaire. Exploiteurs et exploités ne sont pas mieux traités les uns que les autres dans un éclat de rire libérateur et une morale incontournable : on perd toujours à vouloir battre l’ennemi de classe sur son propre terrain ! (Source : Dictionnaire des films - Bernard Rapp, Jean-Claude Lamy – Ed. Larousse) Au revoir les enfants (France – 1987 – Couleurs – 1 h 43) – Année scolaire 2006/2007 Réalisé par Louis Malle - Avec Gaspard Messe, Raphaël Fetjö En janvier 1944, en région parisienne, un jeune enfant intègre un collège religieux en cours d’année. Une complicité va naître petit à petit entre ce garçon, Jean Bonnet, et le meilleur élève de l’établissement, Julien Quentin. Mais cette belle amitié, fondée sur la complémentarité de leurs goûts et sur une estime réciproque, sera menacée par les tensions qui déchirent la France de l’Occupation. A la fin du film, nous apprenons que l’histoire de Julien fut celle du réalisateur lui-même, lorsqu’il avait 12 ans. (Source : Fiche CNC) Le bal des vampires (6ème/5ème) (Grande-Bretagne – 1967 – Couleurs – 1 h 48) Réalisé par Roman Polanski - Avec Jack McGowran, Roman Polanski, Sharon Tate Accompagné de son disciple Alfred, Abronsius arrive en Transylvanie pour y détruire les vampires. Il découvre le château de Krolock, hôte étranger qui a enlevé Sarah, une jeune fille du village voisin. Ils sont tous retenus prisonniers pour servir de repas à la réunion annuelle des vampires. Déguisés, ils parviennent à s’enfuir, mais Sarah a déjà été vampirisée, et ils emmènent dans leur traîneau ce qu’ils voulaient combattre. Mal accueilli par la critique à sa sortie, le film a bénéficié ensuite d’une grande popularité, d’ailleurs assez tardive. D’abord sous-estimé, il est maintenant surestimé, bien qu’il soit une réelle réussite au rythme toutefois inégal, mélangeant une atmosphère authentiquement étrange et des gags parfois trop attendus. Il se voulait un pastiche du genre, visant d’ailleurs plus les films de la Hammer, et donc l’excellent Terence Fisher, que les films de la Universal. (Source : Dictionnaire des films - Bernard Rapp, Jean-Claude Lamy – Ed. Larousse) Bashu, le petit étranger (Iran – 1991 – 2 h) – Année scolaire 2007/2008 Réalisé par Bahram Beizai - Avec Sussan Taslimi, Aduan Afravian, Parviz Pourhosseini, Akbar Doudkar La guerre entre l’Iran et l’Irak fait rage. Une bombe déchiquette un champ. Un enfant d’une dizaine d’années, au teint mat, Bashu, fuit cet enfer. Quelques instants plus tard, on le voit sortir de sous la bâche d’un camion : le paysage a changé et les gens aussi qui sont clairs de peau. Le gamin a émigré (involontairement) de son sud natal vers le nord. Une jeune femme, Naie, mère de deux enfants, et dont le mari est dans une autre contrée (au front ?), accueille Bashu. D’abord méfiante, car il ne parle pas le même dialecte qu’elle, Naie fait néanmoins des efforts pour communiquer avec lui. Mais les villageois, imbus de préjugés, jasent et se demandent de quelle race est cet être venu d’ailleurs. Ce sont les enfants qui, les premiers, vont vers Bashu et échangent des signes avec lui. De son côté, l’« intrus » commence à saisir des bribes de langage autochtone. A son retour, le mari de Naie, devenu invalide, rejette Bashu… (Source : www.abc-lefrance.com) Benda Bilili (France/Congo – 2010 – Couleurs - 1 h 25) Réalisé par Renaud Barret et Florent de la Tullaye – Avec Roger Landu, Coco Nqambali, Djunana Tanga-Suele Ricky avait un rêve : faire de Staff Benda Bilili le meilleur orchestre du Congo. Roger, enfant des rues, désirait plus que tout rejoindre ces stars du ghetto kinois qui écument la ville sur des fauteuils roulants customisés façon Mad Max. Mais avant tout il faut survivre, déjouer les pièges de la rue de Kinshasa, chanter et danser pour s'évader. Pendant cinq ans, des premières chansons à leur triomphe dans les festivals du monde entier, BENDA BILILI nous raconte ce rêve devenu réalité. (Source : www.allocine.fr) Document Association Collège au Cinéma 37 1 Le cameraman (Etats-Unis – 1928 – Noir et Blanc – 1 h 07) Réalisé par Edward Sedgwick - Avec Marceline Day, Buster Keaton Les débuts de Shannon comme reporter d’une compagnie d’actualités cinématographiques sont désastreux. Encouragé par Sally, la secrétaire de la compagnie, il s’impose en tournant une émeute dans le quartier chinois. Il sauve Sally évanouie lors d’un accident de hors-bord ; exploit que s’attribue un lâche, mais un singe avait tourné la manivelle de l’appareil de Keaton et filmé la scène. Dernier « grand » film de Keaton. Des gags fabuleux (les enregistrements qui se chevauchent sur les bandes avec des cuirassés descendant la cinquième avenue, la bagarre dans le quartier chinois et les exploits du petit singe déjà vu chez Harold Lloyd) font de l’Opérateur le film le plus drôle de Keaton (Jean Tulard, Guide des films, collection Bouquins, Laffont, 1990). (Source : http://www.le-cameraman.com) Les citronniers (4ème/3ème) (Israël – 2008 – Couleurs – 1 h 46) Réalisé par Eran Riklis – Avec Hiam Abbass, Ali Suliman, Rona Lipaz Michael Salma vit dans un petit village palestinien de Cisjordanie situé sur la Ligne verte qui sépare Israël des territoires occupés. Sa plantation de citronniers est considérée comme une menace pour la sécurité de son nouveau voisin, le ministre israélien de la Défense. Il ordonne à Salma de raser les arbres sous prétexte que des terroristes pourraient s'y cacher. Salma est bien décidée à sauver coûte que coûte ses magnifiques citronniers. Quitte à aller devant la Cour Suprême afin d'y affronter les redoutables avocats de l'armée soutenus par le gouvernement. Mais une veuve palestinienne n'est pas libre de ses actes surtout lorsqu'une simple affaire de voisinage devient un enjeu stratégique majeur. Salma va trouver une alliée inattendue en la personne de Mira l'épouse du ministre. Entre les deux femmes s'établit une complicité qui va bien au-delà du conflit israélo-palestinien. (Source : www.allocine.fr) Dans les cordes (France – 2006 – Couleurs – 1 h 33) Réalisé par Magaly Richard-Serrano - Avec Richard Anconina, Maria de Medeiros, Louise Szpindel Joseph s'occupe d'un club de boxe française où il entraîne sa fille et sa nièce depuis leur enfance. Le soir de la finale des Championnats de France, la victoire de l'une et la défaite de l'autre vont mettre en péril l'équilibre de ce trio. Entre Angie et Sandra, autrefois complices, élevées comme deux soeurs, une dangereuse rivalité s'installe. Et elle va bien au-delà du ring. (Source : www.allocine.fr) Duel (Etats-Unis - 1971 – Couleurs - 1 h 30) Réalisé par Steven Spielberg – Avec Dennis Weaver, Eddie Firestone, Gene Dynarski Sur une route californienne, un modeste employé de commerce se voit pris en chasse par un énorme camion. Une course-poursuite effrénée s'engage... (Source : www.allocine.com) En matières d’animation (6ème/5ème) Harvie Krumpet de Adam Elliot (2003 – 23 min) Un homme est poursuivi par une poisse perpétuelle… Dès sa naissance, Harvie est atteint du syndrome de Tourette, puis il s’apercevra que ses testicules ont développé la maladie d’Alzheimer. Mais malgré ces ennuis interminables, Harvie connaît une certaine joie de vivre. Father and daughter de Michael Dudok de Wit (2000 – 9 min) GRAND PRIX DU FESTIVAL D'ANNECY ET OSCAR DU COURT METRAGE D'ANIMATION EN 2000 Un père dit au revoir à sa fille avant de partir sur un bateau. Les paysages étendus de la Hollande défilent au cours des saisons, tout comme la vie de la jeune fille. Elle construit une famille. Les années passent, cependant, au fond d’elle-même persiste toujours le désir de revoir son père. Le Portefeuille de Vincent Bierrewaerts (2003 – 10 min 30 sec) Un homme qui vient de se voir refuser un travail trouve un portefeuille. Une part de lui-même le ramasse tandis que l’autre part continue son chemin avec indolence. En rentrant chez lui, la partie qui a ramassé le portefeuille découvre dans celui-ci une grosse liasse d’argent. Le personnage se divise encore une fois. Une partie de lui-même va dépenser l’argent tandis que l’autre va à la recherche de son propriétaire. Arrivé chez ce dernier, un autre évènement inattendu provoque encore une division du personnage. Histoire tragique avec fin heureuse de Régine Pessoa (2005 – 7 min) Il y a des personnes qui sont différentes, malgré elles. Elles sont normalement étiquetées de plusieurs noms, des uns d'origine pathologiques, d'autres pas... Un jour un homme acheta une maison de Pjotr Sapegin (1998 – 8 min) Un jour, un homme acheta une maison un peu à l’écart de la ville. Seulement, quelqu’un y vivait déjà… Au premier dimanche d’août de Florence Miailhe (2000 – 11 min 12 sec) CESAR 2002 DU COURT METRAGE Sud de la France, un dimanche d'août. Petit à petit, la place du village s'anime, les musiciens s'accordent, les enfants crient, la fête commence. (Source : Fiche du CNC) L’enfance nue (4ème/3ème) (France – 1969 – 1 h 22) Réalisé par Maurice Pialat - Avec Michel Tarrazon, Linda Gutemberg, Raoul Billerey PRIX JEAN-VIGO 1969 François, neuf ans, est pupille de l’Assistance publique. Il est considéré comme « difficile ». Ses parents adoptifs renoncent à l’élever et le rendent à l’administration qui lui trouve une autre famille d’accueil. Elle aussi finit par déclarer forfait, car les bêtises de François se multiplient. Le seul contact profond et durable est, pour l’enfant, celui de sa grand-mère adoptive qui le comprend. Elle meurt. Il se retrouve finalement dans un centre de redressement. Ce premier film de Pialat laissait présager la suite de sa carrière. C’est une œuvre dure, mais non dénuée de sentiment. L’enfant n’est pas appréhendé comme un cas, ni comme un phénomène, mais comme un être humain complexe, maladroit, instable et marqué. On sent, de la part de l’auteur, une sympathie profonde pour le personnage et une rage rentrée, une méfiance à l’égard des structures sociales et des administrations qui font ce qu’elles peuvent, sans bien comprendre la psychologie des enfants dont elles « s’occupent ». Cela dit, le film ne développe aucune thèse. (Source : Dictionnaire des films - Bernard Rapp, Jean-Claude Lamy – Ed. Larousse) Document Association Collège au Cinéma 37 2 L’enfant noir (Guinée/France – 1995 – Couleurs – 1 h 32) – Année scolaire 2006/2007 Réalisé par Laurent Chevalier - Avec Baba Camara, Madou Camara, Kouka Camara, Moussa Keita… Dans les années 90, à Kouroussa, une petite ville de Haute-Guinée, Baba Camara vit avec sa famille. Son père Madou est mécanicien. M. Traoré, le marchand d’or, lui a demandé un taxi-brousse pour se rendre à Conakry. Madou en profite pour lui confier Baba afin qu’il poursuive ses études dans la capitale, malgré l’opposition de la mère avec l’accord du féticheur. Il rappelle à l’enfant l’histoire de l’écrivain Camara Laye, son grand-père, et la grandeur de sa famille. L’arrivée de Conakry chez son oncle est une initiation bouleversante pour Baba. Il découvre la mer, les habitudes de la ville, mais aussi, à travers les récits de l’oncle, des traditions qu’il n’a jamais observées. Ses premiers contacts avec l’école sont difficiles, et il tombe malade. Mais le remariage de son oncle avec une gendarme musicienne, et sa rencontre avec la jeune Maria Fofana seront autant d’expériences à raconter au village où il retourne pour les vacances. (Source : Fiche CNC) L’enfant sauvage (France – 1970 – Noir et Blanc – 1 h 25) – Année scolaire 2004/2005 Réalisé par François Truffaut - Avec Jean-Pierre Cagol, François Truffaut, Françoise Seigner En 1798, dans une forêt de l’Aveyron, un enfant vivant à l’état sauvage est capturé par des paysans. A Paris, d’abord considéré comme un idiot irrécupérable, il est pris en charge par le Dr Itard, qui l’emmène dans sa maison des Batignolles où, avec l’aide de sa gouvernante, il entreprend d’éveiller ses facultés intellectuelles. C’est le film le plus représentatif de la personnalité de Truffaut. En plein après-68, où toute idée de culture est suspecte, il livre une méditation sur un thème qui parcourt toute son œuvre : l’importance et la beauté de la culture, du geste par lequel un être transmet à un autre ce qu’il a de plus précieux. Mais ce sobre récit en noir et blanc, d’allure quasi scientifique, d’où l’émotion jaillit sans cesse de façon inattendue, est aussi une réflexion sur le cinéma. En incarnant lui-même le Dr Itard, Truffaut ne manifeste pas seulement son attachement au sujet, mais rappelle que toute mise en scène relève de la pédagogie et vice versa. (Source : Dictionnaire des films - Bernard Rapp, Jean-Claude Lamy – Ed. Larousse) Fenêtre sur cour (6ème/5ème) (USA – 1954 – Couleurs – 1 h 32) Réalisé par Alfred Hitchcock – Avec James Stewart, Grace Kelly, Wendell Corey Dans son appartement de Greenwich Village, Jeff, reporter-photographe immobilisé avec une jambe dans le plâtre, observe au téléobjectif l’immeuble d’en face. Il se convainc qu’un meurtre a été commis. Avec l’aide de sa compagne Lisa et de son infirmière Stella, il tente d’élucider le mystère, à ses risques et périls. Outre sa perfection dramatique, ce film livre la clé de la mise en scène et de l’univers de Hitchcock. Le héros occupe la situation du spectateur idéal, se livrant au plaisir secret et solitaire du voyeurisme. L’immeuble d’en face constitue l’écran qui concrétise ses désirs inavoués, jusqu’à ce que ceux-ci viennent menacer son existence même. Dans un sursaut vital, spectateur et héros ne peuvent que faire appel à leur sens moral afin d’échapper à l’angoisse pour le premier, au châtiment physique pour le second. (Source : Dictionnaire des films - Bernard Rapp, Jean-Claude Lamy – Ed. Larousse) Le gamin à vélo (Belgique – 2011 – Couleurs - 1 h 27) Réalisé par Jean-Pierre et Luc Dardenne – Avec Cécile de France, Thomas Doret, Jérémie Rénier. Cyril, bientôt 12 ans, n'a qu'une idée en tête : retrouver son père qui l'a placé provisoirement dans un foyer pour enfants. Il rencontre par hasard Samantha, qui tient un salon de coiffure et qui accepte de l'accueillir chez elle pendant les week-ends. Mais Cyril ne voit pas encore l'amour que Samantha lui porte, cet amour dont il a pourtant besoin pour apaiser sa colère ... (Source : www.allocine.com) Les glaneurs et la glaneuse (France – 2000 – Couleurs – 1 h 22) Documentaire d’Agnès Varda Les glaneurs d’aujourd’hui ce sont ceux qui vivent de ce que les autres laissent ou jettent, non seulement dans les champs, mais aussi dans les décharges, les poubelles, après les marchés etc. Quant à la glaneuse, c’est la cinéaste faisant son miel de ces images insolites et émouvantes qui nous parlent d’autres vies. (Source : Dictionnaire des films - Bernard Rapp, Jean-Claude Lamy – Ed. Larousse) Le Grand voyage (6ème / 5ème) (France/Maroc – 2004 – Couleurs – 1 h 48) Réalisé par Ismael Ferroukhi - Avec Nicolas Cazalé, Mohamed Mahjd, Jacky Nercessian… A quelques semaines du bac, Réda, un lycéen d'une vingtaine d'années qui vit en Provence, est contraint de conduire son père en voiture jusqu'à La Mecque. Dès le départ, le voyage s'annonce difficile. Tout sépare Réda et son père. Leur communication est réduite au minimum. Réda veut vivre ce voyage comme il l'entend. Son père, lui, entend bien être respecté et ne pas s'écarter du sens de son pèlerinage. Au fil des rencontres et des pays traversés, Réda et son père vont s'observer sans jamais se faire confiance. Comment faire exister une relation où l'échange est impossible ? Du sud de la France à l'Italie, de la Serbie à la Turquie, de la Syrie jusqu'à la Jordanie et l'Arabie Saoudite, il reste 5000 kilomètres à parcourir. (Source : www.cinemovies.fr) L’île de Black Mor (France – 2003 – 1 h 25) – Année scolaire 2007/2008 Film d’animation de Jean-François Laguionie - Avec Taric Mehani, Agathe Schumacher, Jean-Paul Roussillon En 1803, sur les côtes des Cornouailles, Le Kid, un gamin de quinze ans, s'échappe de l'orphelinat où il vivait comme un bagnard. Il ignore son vrai nom et a pour seule richesse la carte d'une île au trésor tombée du livre de Black Mor, un célèbre pirate auquel il souhaiterait ressembler. Avec deux pillards d'épaves, Mac Gregor et La Ficelle, Le Kid s'empare du bateau des garde-côtes et se lance à la recherche de la fameuse île à l'autre bout de l'Océan Atlantique. Mais rien ne se passe comme dans les livres de pirates... En quête de son identité, Le Kid est plus fragile qu'on ne le croit, et bien des aventures l'attendent avant d'arriver à l'Ile de Black Mor... (Source : www.allocine.fr) Joue-là comme Beckham (GB/Etats-Unis/Allemagne – 2002 – Couleurs – 1 h 52) – Année scolaire 2009/2010 Comédie de Gurinder Chadha - Avec Parminder Nagra, Keira Knightley, Jonathan Rhys-Meyers Jess Bhamra, une jeune fille d'origine indienne, vit avec sa famille en Angleterre. Ses parents aimeraient la voir finir ses études et faire un beau mariage dans le respect des traditions de leur pays d'origine. Mais la demoiselle ne rêve que de ballon rond. Comme son idole, le champion David Beckham, elle passe le plus clair de son temps à jouer au football. Lorsqu'une jeune Anglaise, Jules, l'invite à prendre place dans une équipe féminine, c'est le début d'une belle amitié et d'une grande aventure. (Source : www.allocine.fr) Document Association Collège au Cinéma 37 3 Imaginaire en courts (Programme 4è/3è) Carlitopolis (France - 2006 - Couleurs – 3 min 10) Réalisé par Luis Nieto - Avec Luis Nieto. Un étudiant présente son projet de fin d'études devant un jury. Cet acte banal se transforme peu à peu en une performance absurde et trompeuse au cours de laquelle une petite souris de laboratoire appelée Carlito subit toutes sortes d'expériences. Un mélange de prises de vue réelles et d'images de synthèse nous fait douter de la véracité des images, mais aussi des mots. Qu'est-ce qui est vrai, qu'est-ce qui est faux ? Emilie Muller (France - 1993 - Noir et Blanc – 20 min 24) Réalisé par Yvon Marciano - Avec Olivier Ramon. Le film raconte le bout d'essai d'une jeune comédienne, Emilie Muller. La leçon de natation (Animation – France – 2008- Couleurs – 10 min) Réalisé par Danny De Vent Jonas, cinq ans, s'apprête à suivre son premier cours de natation. Alors qu'il tente de fuir cet endroit qui l'effraie, il tombe dans le grand bain. Retenu à flots par ses brassards, Jonas découvre la piscine, lieu chaotique peuplé d'étranges créatures. La lettre (France – 1998 – Noir et Blanc – 13 min 27 sec) Réalisé par Michel Gondry – Avec Elodie Saada Un soir de fin décembre 1999. Stéphane discute avec son grand frère de l'angoisse de la fin du millénaire qui approche, mais aussi des filles, et plus particulièrement d'Aurélie, une copine de classe dont Stéphane est visiblement amoureux. Le lendemain matin, Aurélie propose à Stéphane de venir la voir : elle a une lettre à lui remettre... En chemin (France – 2002 – Noir et Blanc – 12 min 24) Réalisé par Mikhaïl Kobakhidzé – Avec Cyr Chevalier Un homme marche, chargé de tous les biens qu'il a amassé sa vie durant. Alors qu'il perd tout ce qu'il possède, il perçoit enfin la liberté qui lui manquait jusque-là. Stretching (France – 2009 – Couleurs – 4 min 20) Réalisé par François Vogel – Avec François Vogel Le personnage de 'Stretching' pratique une sorte de gymnastique urbaine. Il nous concocte des exercices rythmiques loufoques le long des rues de Manhattan. L'architecture qui l'entoure se mêle à son jeu, et la ville elle-même entre dans cette drôle de danse. Pour visualiser le programme : http://www.agencecm.com/pages/educ_dispositifs_prog.php?id_categ=2 Kes (Grande-Bretagne – 1970 – Couleurs – 1 h 53) Réalisé par Ken Loach - Avec David Bradley, Colin Welland, Lynn Perrie Mal poussé dans les faubourgs des corons, la mauvaise herbe malingre, Billy, porte ses quinze ans comme son blouson trop étroit... déjà usé aux petits boulots des aurores blafardes, rompu à l’autorité d’adultes étriqués. Mal aimé d’une mère égoïste et d’un frère aux colères faciles, Billy ne trouvera pas plus de compréhension à l’école où les sanctions absurdes le disputent au ridicule. En quête d’affection, l’enfant se prendra de passion pour un faucon qui deviendra son unique centre d’intérêt. (Source : www.abc-lefrance.com) Une description minutieuse du monde des mineurs, qui s’appuie sur les moments les plus banals de leur existence pour en dire l’ennui et la fatigue, mais aussi pour en faire ressortir la chaleur et l’humour désenchanté. L’inadaptation d’un système éducatif de classes y est démontrée à rebours dans la scène où Billy parle de sa passion pour son faucon, qui intéresse chaque élève dans la mesure où ce qu’il y apprend est lié à sa propre vie. Le style naturaliste et très photographique de Loach sait ici préserver l’émotion romanesque du récit. (Source : Dictionnaire des films - Bernard Rapp, Jean-Claude Lamy – Ed. Larousse) Libéro (Italie – 2006 – Couleurs – 1 h 48) Réalisé par Kim Rossi Stuart - Avec Alessandro Morace, Marta Nobili, Kim Rossi Stuart Tommy, 11 ans, sa grande soeur Viola et leur père Renato forment une famille étrangement unie depuis que la mère des deux enfants les a abandonnés. Cette famille pleine de rage et d'imperfections, d'une inconsolable solitude, tient debout malgré tout grâce au souci constant de chacun pour les autres, et à leur amour. (Source : www.allocine.fr) Mon Oncle (France – 1958 – Couleurs – 2 h) Réalisé par Jacques Tati - Avec Jacques Tati, Jean-Pierre Zola, Alain Becourt, Adrienne Servantie OSCAR DU MEILLEUR FILM ÉTRANGER 1958 Monsieur Hulot, qui ne travaille pas, habite dans un vieux quartier populaire de Saint-Maur où l’on prend le temps de vivre, tandis que sa sœur, Mme Arpel, mariée au riche industriel Arpel, vit dans une villa ultramoderne d’un quartier résidentiel. M. Hulot passe sans cesse d’un monde à l’autre et s’entend très bien avec son neveu, Gérard, qui adore le suivre dans son vieux quartier. Pour éviter qu’il ait une mauvaise influence sur son fils, M. Arpel procure à Hulot un travail dans son usine de matières plastiques, et son épouse tente de le marier avec une voisine snob. Le succès est loin d’être garanti… Après le paisible village de Jour de fête et la petite station balnéaire des Vacances de M. Hulot, Jacques Tati perturbe ici l’univers électromécanique bourré de gadgets des Arpel. Dans ces « années 50 », époque de prospérité baptisée « les Trente Glorieuses » (1945-1975), où l’on se rue sur les nouveaux appareils ménagers (réfrigérateur, machines à laver…), l’automobile, etc., Tati ne fait pas de discours dénonciateur. Avec bon sens, générosité, poésie et une grande finesse d’observation, il nous fait passer par tous les registres du comique, du sourire ironique à l’éclat de rire destructeur. (Source : fiche pédagogique du CNC) Muksin (6ème/5ème) (Malaisie – 2007 – Couleurs – 1 h 34) Réalisé par Yasmin Ahmad - Avec Sharifah Aryana, Mohd Syafie Naswip, Sharifah Aleya Muksin est le quatrième long métrage de Yasmin Ahmad. La cinéaste met en scène une petite fille malaisienne atypique, qui ne craint pas de jouer avec les garçons, pour évoquer sa découverte de l'amitié et de l'amour. Dans un récit basé sur sa propre jeunesse, la réalisatrice propose une image peu conventionnelle de son pays, dans un film léger et tendre, rempli d'émotion. (Source : http://www.lesfilmsdupreau.com/) Document Association Collège au Cinéma 37 4 Le Mystère de la Chambre Jaune (France – 2002 – Couleurs – 1 h 58) Réalisé par Bruno Podalydès - Avec Denis Podalydès, Pierre Arditi, Claude Rich, Jean-Noël Brouté, Sabine Azéma Le jeune reporter Joseph Rouletabille, accompagné de son ami et photographe Sainclair, se lance aux trousses du meurtrier qui a tenté d’assassiner Mathilde, la fille du célèbre professeur Stangerson. Il se rend au château du Glandier pour mener l’enquête. Qui est donc l’agresseur ? Quel est son mobile ? Et surtout, comment a-t-il pu s’échapper de la Chambre Jaune qui était fermée de l’intérieur ? (Source : www.allocine.fr) Osama (Afghanistan – 2003 – Couleurs – 1 h 22) Réalisé par Sedigh Barmak - Avec Marina Golbahari, Arif Herati, Zubaida Sahar, Nader Khwaja Une petite fille de douze ans, sa mère et un jeune garçon ont survécu aux répressions qui ont suivi les manifestations organisées par les femmes afghanes au début du régime taliban. Les deux femmes travaillent dans un hôpital, mais sont informées que les talibans ont renvoyé tout le personnel et fermé les portes de l'établissement. Ces derniers s'assurent qu'aucune femme ne peut désormais s'aventurer hors de sa maison sans compagnon "légal". Dans le cas contraire, elles seront sévèrement punies. Le mari et le fils étant décédés, personne ne peut servir de "caution" à la famille, et la mère, poussée par le chômage, décide avec la grand-mère de changer l'apparence de sa fille : désormais, ce sera un garçon. La décision terrifie la fillette, angoissée que sa véritable identité ne soit reconnue par les Talibans. (Source : http://www.hautetcourt.com) Le petit criminel (6ème/5ème) (France – 1990 – Couleurs – 1 h 48) Réalisé par Jacques Doillon - Avec Gérald Thomassin, Richard Anconina, Clotilde Coureau Le petit criminel n’est pas un petit criminel, mais un adolescent candide, farouche et résolu, en quête d’affection et, comme on dit aujourd’hui, d’identité. Ayant appris qu’il a une sœur aînée dont il n’avait jamais entendu parler, il se met en tête d’aller la retrouver et fait le voyage de Sète à Montpellier… En compagnie d’un jeune flic qu’il a « braqué » et attaché (par une paire de menottes) au volant de sa voiture de police. Etrange voyage, drôle d’affrontement entre le représentant sympathique de la loi et le non moins sympathique horsla-loi. Le dialogue est vif, réaliste, lourd de pensées et d’arrière-pensées. Des sentiments confus s’entrechoquent, ce qui prouve au moins que les protagonistes sont très sentimentaux. Jacques Doillon, à qui il arrive quelquefois de s’égarer, a réalisé ici un sans faute. Tout est captivant : les personnages, ce qu’ils disent et font, le jeu des comédiens, la lumière, la petite musique sous-jacente. (Source : Dictionnaire des films - Bernard Rapp, Jean-Claude Lamy – Ed. Larousse) La pivellina (6ème/5ème) (Italie – 2009 – Couleurs – 1 h 30) Réalisé par Tissa Covi et Rainer Frimmel - Avec Patrizia Gerardi, Asia Crippa, Walter Saabel Artistes de cirque, Patty et son mari Walter vivent dans un camping à la périphérie de Rome. Un soir d'hiver, Patty trouve dans un parc voisin une fillette de 2 ans abandonnée par sa mère. Contre l'avis de Walter, elle décide de garder l'enfant chez elle. La petite Asia découvre une nouvelle vie au milieu des saltimbanques, des roulottes et des animaux. Chaque jour qui passe renforce un peu plus la relation entre Patty et la fillette. Mais un matin, Patty reçoit une lettre de la mère d'Asia... (Source : www.allocine.fr) Pour un instant la liberté (4ème/3ème) (Iran – 2007 – Couleurs -1 h 50) Réalisé par Riahi Arash Tajmir – Avec Navid Akhavan, Pourya Mahyari Ali et Merdad tentent de fuir l'Iran avec leurs cousins Asy, 7 ans, et Arman, 5 ans, dans le but de les ramener à leurs parents qui vivent en Autriche. Mais ils doivent d'abord passer par la Turquie et attendre un hypothétique visa qui tarde à venir. Ils font alors la connaissance d'autres réfugiés iraniens : un couple et leur petit garçon cherchant à prouver aux pouvoirs publics qu'ils sont persécutés pour des motifs politiques ou encore un professeur et un jeune Kurde qui surmontent leurs difficultés quotidiennes grâce à un incroyable sens de l'humour… Des hommes et des femmes qui espèrent de toutes leurs forces entrer en Europe, terre de liberté… (Source : Dossier de presse) Les 400 coups (France – 1959 – Noir et Blanc –1 h 33) – Année scolaire 2005/2006 Réalisé par François Truffaut - Avec Jean-Pierre Léaud, Albert Rémy, Claire Maurier, Patrick Auffay, Georges Flamant, Guy Decomble, Pierre Repp - GRAND PRIX DE LA MISE EN SCÈNE – Cannes 1959 Antoine Doinel (douze ans et demi) vit dans un appartement exigu du côté de la place Clichy. Ses parents ne s’occupent guère de lui. Mme Doinel est trop prise par ses aventures galantes et M. Doinel, son père adoptif, par son club automobile. Une punition non faite l’incite à l’école buissonnière avec copain René. Au cours de son escapade, il surprend sa mère dans les bras d’un inconnu. De retour à l’écoles, il se doit d’inventer une excuse monumentale : sa mère est morte. L’arrivée de cette dernière fait vite éclater l’imposture. Le soir, il n’ose rentrer chez ses parents et leur écrit pour les prévenir de sa fugue. Le lendemain, sa mère vient le récupérer avec une gentillesse déconcertante. Plein de bonnes résolutions, mais déçu par une mauvaise note en composition française, Antoine fugue de nouveau, s’initie maladroitement au vol et aboutit dans un centre pour délinquants d’où il s’enfuit vers la mer. (Source : Dictionnaire des films - Bernard Rapp, Jean-Claude Lamy – Ed. Larousse) Les Rêves dansants sur les pas de Pina Bausch (4ème/3ème) (Allemagne – 2010 – Couleurs -1 h 30) Documentaire réalisé par Anne Linsel, Rainer Hoffman En 2008, Pina Bausch, quelques mois avant sa mort, décide de reprendre son fameux spectacle Kontakthof, non plus avec sa troupe, mais avec des adolescents de 14 à 18 ans qui ne sont jamais montés sur scène et n'ont jamais dansé. Ce documentaire est leur histoire... (Source : www.allocine.fr) Ridicule (4ème/3ème) (France – 1996 – Couleurs – 1 h 40) – Année scolaire 2009/2010 Comédie de Patrice Leconte - Avec Fanny Ardant, Charles Berling, Bernard Giraudeau, Judith Godrèche, Jean Rochefort - CÉSAR DU MEILLEUR FILM Grégoire Ponceludon de Malavoy, révolté par les ravages de la malaria dans la Dombes, s’est mis en tête de convaincre le roi qu’il convient d’assécher les marais de la région. Mais, pour s’imposer à la cour, il faut d’abord avoir de l’esprit. Il se trouve qu’il en a, ce qui lui vaudra l’appui d’une dame influente. Hélas, les jeux de l’amour sont plus compliqués que ceux de l’esprit et tout aussi cruels. Péplum culturel à la française, Ridicule rassemble les ingrédients attendus : marquis poudrés, baronne libertine, abbé de cour cynique, roi lourdaud, quelques traits d’esprit, une louche d’encyclopédisme (techniques d’irrigation, invention du scaphandre et du langage des sourds-muets). Pas enivrant mais se déguise agréablement. (Source : Dictionnaire des films - Bernard Rapp, Jean-Claude Lamy – Ed. Larousse) Document Association Collège au Cinéma 37 5 Rumba (6ème/5ème) (France/Belgique – 2008 – Couleurs – 1 h 17) Réalisé par Dominique Abel et Fiona Gordon – Avec Dominique Abel, Fiona Gordon, Bruno Romy Fiona et Dom sont instituteurs dans une école de campagne. Ils partagent une passion pour la danse latino et sont très amoureux. Les week-ends, ils écument les concours de danse régionaux. Leur maison regorge de trophées. Une nuit, de retour d'un concours, ils tentent d'éviter un suicidaire maladroit, planté au milieu de la route. Leur voiture s'écrabouille contre un mur. Et leur vie bascule... (Source : www.allocine.fr) Sa majesté des mouches (4ème/3ème) (Grande-Bretagne – 1963 – Couleurs – 1 h 31) Réalisé par Peter Brook d’après le roman de William Golding - Avec James Aubrey, Tom Chaplin, Hugh Edwards. A la suite d’un accident d’avion, plusieurs enfants se retrouvent livrés à eux-mêmes sur une île déserte. Ils s’organisent en deux clans rivaux, et retombent dans un état proche de la sauvagerie. (Source : Dictionnaire des films - Bernard Rapp, Jean-Claude Lamy – Ed. Larousse) Sacré Graal (6ème/5ème) (Grande-Bretagne – 1975 – Couleurs – 1 h 30) Réalisé par Terry Jones et Terry Gilliam - Avec Graham Chapman, Terry Gilliam, John Cleese Le roi Arthur et les Chevaliers de la Table Ronde se lancent à la conquête du Graal, chevauchant de fantomatiques montures dans un bruitage de noix de coco cognées. La petite troupe va devoir passer mille épreuves, dont un chevalier à trois têtes, des jouvencelles en chaleur, voire même un terrible lapin tueur. (Source : www.allocine.fr) Les Temps modernes (USA – 1936 – N/B – 1 h 25) – Année scolaire 2008/2009 Réalisé par Charlie Chaplin - Avec Charlie Chaplin, Paulette Goddard, Henry Bergman, Chester Conklin, Allan Garcia, Stanley Sanford Charlot travaille à la chaîne dans une usine soumise aux lois implacables de la taylorisation : il obéit au rythme des machines, même dans ses instants de détente, avant de le détraquer par une surenchère somnambulique. Tenu pour fou, puis pour guéri, il est chômeur, mais rencontre « la gamine », une orpheline sans ressources. Devenu veilleur de nuit dans un grand magasin, il la fait profiter, une nuit, du luxe rassemblé aux étages, mais on l’arrête comme complice d’un cambriolage survenu au rez-de-chaussée (et qu’il a cru empêcher). A sa sortie de prison, la gamine le fait engager, malgré sa maladresse, comme serveur dans un restaurant où elle est danseuse. Il y débute même comme chanteur nonsensique (première incursion de Charlot dans le sonore !). Mais l’orpheline est poursuivie par la police pour vagabondage : il l’aide à s’échapper et tous deux « prennent la route » en un final très justement célèbre. (Source : Dictionnaire des films - Bernard Rapp, Jean-Claude Lamy – Ed. Larousse) Tex Avery Follies (USA – 1964 – 1 h 20) – Année scolaire 2008/2009 Réalisé de Tex Avery Onze dessins animés du génie du cartoon paroxystique qui sont autant de chefs-d'œuvre de l'animation burlesque. La folie des situations et des dialogues, l'époustouflant sens du rythme d'Avery feront mourir de rire petits et grands. Un véritable concentré de gags délivrés à vitesse grand V ! Au programme, des canards diaboliques qui narguent les chasseurs, un lion terrorisé par une minuscule souris... Sans oublier les inénarrables George et Junior, et le célèbre Droopy ! Avec, en prime un Tom et Jerry signé Chuck Jones. Le petit Chaperon rouge (1943), Coqs de village (1946), George et Junior vagabonds (1947), Le lion flagada (1947), La conga des canetons (1948), Tom se déguise (1949), Méfie-toi fillette (1949), Bébé taxi (1952), Tom et le magicien (1952), Caballero Droopy (1952), Mise en boîte (1955) et Cat’s me-ouch (1964) avec Tom et Jerry de Chuck Jones (Source : www.film-court.com) This is England (4ème/3ème) (Grande Bretagne – 2006 – Couleurs – 1 h 37) Réalisé par Shane Meadows – Avec Thomas Turgoose, Stephen Graham, Joe Hartley 1983. Shaun, 12 ans, habite avec sa mère dans une ville côtière du nord de l'Angleterre. Garçon solitaire, c'est pour lui le début des vacances d'été, lorsqu'il rencontre un groupe de skinheads locaux. Avec eux, Shaun découvre le monde des fêtes, du premier amour et des bottes Dr Martens. Le ton change quand Combo, un skinhead raciste et plus âgé, sort de prison. Alors que sa bande harcèle les communautés étrangères locales, Shaun va subir un rite de passage qui le sortira violemment de l'enfance. (Source : www.allocine.fr) Le tombeau des lucioles (Japon – 1988 – Couleurs – 1 h 25) – Année scolaire 2007/2008 Film d’animation d’Isao Takahata - Avec Tsutomu Tatsumi, Ayano Shiraishi, Yoshiko Shinohara Japon, été 1945. Après le bombardement de Kobé, Seita, un adolescent de quatorze ans et sa petite soeur de quatre ans, Setsuko, orphelins, vont s'installer chez leur tante à quelques dizaines de kilomètres de chez eux. Celle-ci leur fait comprendre qu'ils sont une gêne pour la famille et doivent mériter leur riz quotidien. Seita décide de partir avec sa petite soeur. Ils se réfugient dans un bunker désaffecté en pleine campagne et vivent des jours heureux illuminés par la présence de milliers de lucioles. Mais bientôt la nourriture commence cruellement à manquer. (Source : www.allocine.fr) Tomboy (France – 2011 – Couleurs – 1 h 25) Réalisé par Céline Sciamma – Avec Zoé Héran, Malonn Levana Laure a 10 ans. Laure est un garçon manqué. Arrivée dans un nouveau quartier, elle fait croire à Lisa et sa bande qu’elle est un garçon. Action ou vérité ? Action. L’été devient un grand terrain de jeu et Laure devient Michael, un garçon comme les autres… suffisamment différent pour attirer l’attention de Lisa qui en tombe amoureuse. Laure profite de sa nouvelle identité comme si la fin de l’été n’allait jamais révéler son troublant secret. (Source : www.allocine.fr) Une vie toute neuve (4ème/3ème) (Corée – 2008 – Couleurs – 1 h 35) Réalisé par Ounie Lecomte – Avec Kim Searon, Park Doyeon, Park Myeong –Shin Séoul, 1975. Jinhee a 9 ans. Son père la place dans un orphelinat tenu par des Soeurs catholiques. Commence alors l'épreuve de la séparation et la longue attente d'une nouvelle famille. Au fil des saisons, les départs des enfants adoptées laissent entrevoir une part du rêve, mais brisent aussi les amitiés à peine nées. Jinhee résiste, car elle sait que la promesse d'une vie toute neuve la séparera à jamais de ceux qu'elle aime. (Source : www.allocine.fr) Document Association Collège au Cinéma 37 6 Les vikings (Etats-Unis – 1958 – Couleurs – 1 h 54) Réalisé par Richard Fleischer – Avec Kirk Douglas, Tony Curtis Au Xème siècle, les Vikings sèment la terreur sur les côtes d'Angleterre. Ragnar, le chef viking, tue le roi et viole la reine. Cette dernière donne naissance à Eric qui sera capturé par les Vikings et élevé comme esclave. Devenu adulte, il affronte Einar, le fils de Ragnar, et le défigure en lançant contre lui son faucon. Quelques temps plus tard, Morgana, la future reine d'Angleterre, est enlevée par Einar qui cherche à la séduire, mais elle tombe amoureuse d'Eric. (Source : www.allocine.fr) La visite de la fanfare (4ème/3ème) (Israël/France – 2007 – Couleurs – 1 h 30 min) Réalisé par Eran Kolirin - Avec Ronit Elkabetz, Sasson Gabi, Saleh Bakri, Khalifa Natour Un jour, il n’y a pas si longtemps, une petite fanfare de la police égyptienne fut invitée en Israël pour jouer lors de la cérémonie d’inauguration d’un centre culturel arabe. Seulement, en raison des lenteurs de la bureaucratie, d’un manque de chance ou de tout autre concours de circonstances, personne ne vint les accueillir à l’aéroport. Ils tentèrent alors de se débrouiller seuls, dans un anglais approximatif, pour finalement se retrouver au fin fond du désert israélien dans une petite ville oubliée du monde. Une fanfare perdue au beau milieu d’une ville perdue. Peu de gens s’en souviennent, cette histoire semblait sans importance. (Source : dossier de presse) Zéro de conduite (France – 1933 – Noir et Blanc – 44 minutes) Réalisé par Jean Vigo - Avec Jean Dasté, Louis Lefèvre, Gérard de Bédarieux, Constantin Goldstein-Kehler, Gilbert Pruchon, Robert Le Flon, Delphin, Du Verron. C’est la rentrée : la vie s’organise au collège, avec les chahuts, les punitions, les récréations et les amitiés. Trois collégiens, Caussat, Bruel et Colin, ourdissent un complot. Ils y entraînent Tabard, qui a déjà des problèmes avec de professeur de « sciences-nat » et le principal de l’établissement. La révolte éclate au dortoir. Le lendemain, jour de la fête du collège, les mutins ligotent un surveillant et, juchés sur les toits, bombardent les autorités d’objets hétéroclites. On a peine à croire que ce film fut interdit en 1933 et dut attendre 1945 pour être libéré. Cette pochade poétique, anarchiste et libertaire est pourtant chargée d’une étonnante puissance de subversion. Rarement le cinéma avait su montrer l’enfance avec une telle crudité (alimenté par les souvenirs personnels du cinéaste) et Vigo fait preuve d’une invention visuelle foisonnante. (Source : Dictionnaire des films - Bernard Rapp, Jean-Claude Lamy – Ed. Larousse) Document Association Collège au Cinéma 37 7
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