LiNUX - AMIGALAND V6.05
Transcription
LiNUX - AMIGALAND V6.05
Inf atique parallèle Bricolez un upercalculateur Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM ecivûs vieax P Mesa au s 379230603900200590 379230603900200590 KHEOPS IN U X EOPS D is t r i b u t e u r français spécialiste de la vente dans les pays fra nc o phones des d is t r ib u t i o n s LINUX et des a p p lic a tio n s optim isées pour ce systèm e d ’e x p l o i ta t io n , KHEOPS vous propose un ensemble de p re s ta tio n s p o u r m ig r e r vos a p p lic a tio n s sous LINUX. D is p o s a n t d ’un im p o r t a n t réseaux de d is t r ib u te u r s sur les marchés français, belge, suisse et canadien, KHEOPS d is tr ib u e les p ro du its édités en français par les LOGICIELS DU SOLEIL, RED HAT France, CALDERA, APPLIX et d ’autres acteurs du m o n d e LINUX. R e tro u v e z-n o u s s u iv a n t e : dès http à p ré se n t sur IN T ER N ET à l’a d r e s s e ://W W W .KHEOPSFRANCE.COM Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Tél. • 01 40 56 91 11 - Fax 01 40 56 35 34 Siège à Sophia A n tip o lis Tél. 04 92 13 29 56 Fax ■ 04 93 73 34 99 Venez c o n s u lte r notre site et re tro u v e z chaque semaine des n o u veautés j e u x c o n c o u rs p o u r g a g n e r des livres O’REILLY, des d i s t r i b u tio n s , des o rd in a te u rs , des bons d ’achat... r a d h. a t . L E w Logiciels du Soleil a M A G A Z I N E D E C R Û A L T E R N A T I V E A ? r t r v e^ jl< x S a C u t i& n arkeia R M M R & g io M u t ti M e d i® n> t; rue VaunW rr* r*w* P t n t C K M t 01 : Ot « & T ito • r * * : t t *3 W H •» il • S itr «**6 . M lp- w w w rm m .fr S U R i ou £ dp«*’ <S» jcO O S ^-ft.C ’REILLY c o m p u t e r b o o la ■ j o f t w w t ' o r J m c p iM h N n g S o m m a i r e Dream N° 59 M E d i t o Linux par-ci, Linux par-là... Il est tout de même assez épatant de voir combien le système au pingouin s'est imposé dans les médias depuis moins d'un an. Les chiffres de vente 98 des systèmes serveurs étaient à peine tombés que ceux qui raillaient Dream il y a encore quelques mois se sont soudainement transformés en grands philosophes de la Free Software Foundation. Ainsi, la télévision nous dit que Linux est une société américaine et que sa filiale s'appelle LinuxPPC, la presse "pro" lance de nouveaux titres pour les génies de la programmation, avec "Linux" écrit en gros sur la couverture, et, à l'intérieur, un comparatif "Visual Basic contre Delphi", et les magazines pour "passionnés de PC" veulent bien défendre l'OS mais uniquement pour faire comme les autres : "Vous avez une question sur Linux ? Houle\, cela veut dire que vous avez de graves lacunes et que vous feriez mieux d'acheter un bon bouquin sur le sujet" Ah, comme ils doivent regretter le temps du multimédia et des communiqués de presse déjà tout faits ! Heu... Vous croyez qu'on devrait dire à nos chers confrères de réviser dès maintenant pour BeOS ? • Labo CD-Rom - page 4 G eekCadgets com plet pour Amiga, Gnome pour améliorer XWindow, et de nom breuses autres applications p o u r Lin u x , A m ig a , A ta ri, B e O s, RiscOs, Java et Os/2. Courant alternatif - page 8 Sun révolutionne le marché du logi ciel, Compaq US vend des machines 42. Bvision PPC Alpha sans licence logicielle associée, 44. Linux Em 86 pour Alpha Arm d e v ie n t la p lu s u tilis é e d es 46. Easy Beat architectures Risc 32 bits, Linux 2.2.1 47. G uash/Grail est enfin disponible et apparaît sur 48. LabView Psion. 49. PopPlay/Q uick Motion Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM 50. IglooFTP 51. StoreDesk G old/Virtual • Découverte 52. Mesa 55. Xml # En Pratique 58. Am iga 62. Linux 64. RiscOS 68. Lilo # Program m ation 70. Objet • Dossier - page 22 7 2 .java 74. BeOs Deux dossiers. Le architectures f +ait*? ! M (fQL □ parallèles vous l H premier sur les y 76. Blitz Basic # Forum apprendra tout 79. Courrier sur la mise en œuvre 81. P.A. de ces technologies, avec en prime un cas pratique sous Linux. Le second dossier fait un récapitula tif des divers langages de program m a tio n , p o u r vo us p e rm e ttre de Abonnement P.67 ch o isir en tou te c o n n a issa n ce de cause. Dream's bootik P.82 Linux, contrairement à ce que l'on pense, peut être un système riche et complet sous tous les aspects... à condition bien sûr de se munir des outils appropriés. Internet; le réseau, le jeu, l'esthétique sont compatibles de plus en plus et désormais accessibles sur Linux. Voilà pourquoi, ce moisci, le CD-Rom de Dream vous propose les meilleurs logiciels ayant rapport au serveur Web et au réseau LinuxWindows, ainsi qu'une librairie des plus prometteuses. Le tout bien sûr se trouve accompagné d'une multitude d'applications, d'outils, de jeux pour les OS que sont Linux; Amiga, Atari, BeOs, RiscOs et Os/2. Répertoire Linux Linux, un systèm e com plet ! Samba 2.0 vous permettra de dresser un réseau LinuxW indow s. Le se rve u r W eb A p ach e, élu meilleur produit Internet de sa catégorie, dans sa d ernière version 1 .3 .4 , fera de votre site l'un des sites les plus fiables, pré sents sur le Web. Jouer à Total Annihilation sur Linux devient désormais possible, grâce à la dernière mise à jour de Wine. Vous aurez même loisir d'améliorer l'esthétique de votre desktop grâce à Gnome 0 .9 9 .3 , disponible dans les différents packages. Et pour combler les heureux utilisateurs de la RedHat 5.2, les updates de cette distribu tion se trouvent sur le CD-Rom. R épertoire RiscOS Refaites la connaissance ce m ois-ci, par l'e n tre m ise du C D -R o m , de Store Desk Cold et de Virtual, testés et notés dans la rubrique Labo du m agazine. Familiarisezvous avec Shot, dévoilé et détaillé dans la rubrique Découverte. En outre, de nom breuses applications liées à la gestion du texte, des dém os co m m e rcia le s et une multitude de jeux vous attendent. Répertoire Java Après avoir goûté aux joies du SQL sur Linux avec GnuSql, GtkSql et bien d'autres, SQLCIient fait m aintenant son entrée en scène, pour répondre aux atten tes des amoureux de ]ava ! Répertoire BeOS Une version bêta du langage Small Eiffel a e n fin vu le jo u r. P ro g ra m m e u rs de BeOs, vous pourrez désormais vous atta quer aux API de votre m achine préférée. Sont égalem ent présents des outils gra phiques ( Drawmap-2.0) et de debuggage ( D ddebug), ainsi que l'in é vita b le Wget dans sa version 1.5. Répertoire Os/2 Vous avez rendez-vous avec une compila tion de nombreux et anciens titres, allant de Roids à Tunnel Wars et retraçant les dif férents styles de jeux ! ! ! Pourquoi et comm ent Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM installer GeekGadgets ? Le CD-Rom de ce mois-ci contient l'environnement GeekGadgets, lequel offre tous les outils de Linux à AmigaOS, sans installer Linux ! L inux ? Que voilà un système qui paraît tous ceux-là, et pour les autres aussi, voici GeekGadgets ! Initié par le célèbre Fred Fish (so uven ez-vo u s, les d isquettes du DP), GeekGagdets est un projet qui vise à porter l'environnem ent Linux directem ent sous AmigaOS. il ne faut plus reform ater son disque dur, ni changer de carte graphique ou de processeur, ni encore se triturer les méninges pendant des heures : l'environne fort intéressant ! M a lh e u r e u s e m ent, nom breux sont les Amigaïstes qui n'ont pas en co re fra n c h i le pas. Les raisons à cela ne m a n q u e n t pas : in co m p atib ilité m até rielle (pas de MMU, pas la b o n n e c a rte g ra phique...), impossibilité de sto ckag e (p lu s de p artitio ns d isponibles sur le disque dur, for m a ta g e s p ré c é d e n ts in c o m p a t ib le s ...) ou to u t s im p le m e n t la fle m m e . A lo rs , p o u r Geek : un vecteur-gadgets ? les applications du monde Linux. Se pré sentent alors trois cas. Premier exem ple, l'application a déjà été recom pilée pour -p f. AmigaOS et ne demande pas particulière m ent à tourner sous X-W indow. Il en va ainsi pour les jeux Doom et Heretic, notam ment. Dans cette situation, il suffit juste de détenir la Ixemul.library dans le répertoire Libs: de son système pour faire tourner le programme. On ne doit même pas installer GeekGadgets. Deuxième possibilité, l'appli cation a été recom pilée pour Am igaOS, mais nécessite un serveur X. Ici, elle s'exé cutera automatiquement depuis l'environ nem ent X-W indow de GeekGadgets, qu'il faudra donc installer. Troisième éventuali té, et de loin la plus intéressante : l'utilisa teur aimerait bien disposer sur sa machine de tous les logiciels Linux testés dans la rubrique Labo de Dream, mais ne les trouve nulle part pour Amiga. Eh bien, il suffit que GNOME HCUMNÏIEX celui-ci les recompile lui-même ! Ne pous Tous les chemins mènent à Gnome. ment fonctionne d ire c te m e n t sous AmigaOS, s'exécute sur un bête 68000, se contente de l'OCS et s'installe dans un simple répertoire ! Ça sert à quoi ? directement une grande majorité des logi ciels Unix, distribués en G PL) et fonctionne de la même manière que lui. Oui, il est à présent envisageable de posséder un envi ro nnem ent X-W indow depuis Am igaOS, avec tout l'exotisme d'Afterstep, le vrai, et tous les logiciels testés chaque mois dans Dream en prime ! Com m ent ça m arche ? Le fonctionnement de GeekGadgets repose intégralement sur la célèbre Ixemul.library, laquelle fait croire à tout logiciel répondant aux normes Posix qu'AmigaOS est un Unix comme les autres. Autour de cette librairie, on retrouve, directem ent recom pilés par sez pas les hauts cris, la plupart des néo phytes sous Linux (souvent moins doués que les Amigaïstes endurcis) procèdent à cette opération qui, en fait, n'a rien de vraiment bien compliqué. A noter que GeekGadgets constitue aujour d'hui l'environnem ent de développement p rivilég ié pour de n o m b reu x p ro g ra m Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Reste à élucider la question de l'utilité : pourquoi installer un tel environnem ent sur son disque dur, déjà rempli à ras bord de sharewares pas encore é p lu ch é s ? Disons que GeekGadgets, au même titre que Linux sur Amiga, permet d'ouvrir de nouveaux horizons. On accèd e à une myriade de logiciels inédits et on se forme à un autre système en douceur (ce qui peut s'avérer très pertinent, si Linux conti meurs. Cela dit, si vous souhaitez recompi ler des applications Linux pour en faire des applications AmigaOS à part entière, vous aurez impérativement besoin des librairies fo u rn ie s p ar le kit de d é v e lo p p e m e n t Amiga. Nous ne pouvons les fournir gratui tement, mais elles séjournent sur le CD-Rom Amiga Developer d'Amiga International ou sur les CD GeekGadgets qu'édite l'am éri nue à conquérir de la sorte la plupart des marchés informatiques). Dans la pratique, GeekGadgets assure une compatibilité au niveau source avec Linux (c'est-à-dire que notre machine, tous les outils de base que propose une d istrib u tio n Linux : Shell, cain Cronus. Com m ent ça s'installe ? commandes Shell, librairies, compilateurs, déboggueurs, serveur X, etc. Grâce à ces vous avez moyen de recompiler presque outils, nous allons pouvoir faire fonctionner Pour l'h eu re, G eekG adgets est d istribu é sous forme d'archives Tgz (souvenez-vous, la W atch to w er), mais devrait à term e se <! K or si 5*iv» (m*o* CitU* 0* L2Ü D«é»î» ( 1 O netom J J C M » 0r*4CC-' Doci l GHlUWu PIC ZIP •ccrrti JVW / Mille mystères de l'environnement. J ic a t-Jctmxxr, r»v<j ooc rrogrvmaboV Cnaimr» n n r - i n» i/ l« s u e f l . î K G m EUchXlog / s i ........................... 1 ■" t r M lm m Gadget s'en va-t-en guerre. □ proche du Shell que ce que l'on trouve habituellement sous Linux. Continuez en tapant la ligne suivante : $ for f i l e in /cdO /am iga/geekgadget/ d i s t r i b u t i o n / * . tgz De n o uveau, l'in v ite c h a n g e . Elle fin it même par disparaître. Continuons : do e c h o ”=== $ f i l e ===” ta r -xzf $ f ile done Et c'est parti ! Tous les fichiers se décom pressent un à un aux bons endroits. Vous aurez certain em en t plusieurs messages d'erreur "Broken pipe" qui apparaîtront. N'en tenez pas compte, ils n'ont aucune im portance. Avant d'aller plus loin, nous conseil'ons fortem ent aux utilisateurs de Pour jouer cartes sur tableur... tro u v e r d isp o n ib le au fo rm a t Rpm (le même que celui des distributions RedHat, m ais en bien plus p ra tiq u e ). T o u tefo is, point de panique : l'installation, même si elle doit s'opérer depuis un Shell, est plus CDO: A m i g a / G e e k g a d g e t / I n s t a l l a t i o n / a s s i g n LIBS: G G : S y s / L i b s a d d p a t h G G :b i n add a s s i g n b i n : G G :b i n p ro c e ss e u rs 6 8 0 x 0 de ré c u p é re r une librairie Ixem ul plus optim ale pour leur configuration. Elles résident toutes dans le répertoire GG:Sys/Libs/ ; celle qui cor respond le m ieux à votre matériel est à in s ta lle r d an s le tir o ir Lib s: de vo tre W orkbench. Configurons A partir de m aintenant, tous les exécu tables sont installés sur le disque dur. On Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM sh ou moins automatique. La première chose à faire consistera à décompresser l'archive Arrivé à ce point, vous rem arquerez que Boot.Lha depuis le tiroir Amiga/Geekgadget/ Installation/ de notre CD-Rom (ne le faites l'invite du Shell change (elle a revêtu l'as pect d'un "$"). La chose n'a rien d'éton- pas encore). Cette archive contient tous les outils nécessaires à l'installation : Tar et Gzip pour la décompression, Sh pour lan ce r un Shell d ans le g o û t d 'U n ix et la fameuse Ixem ul.libray. Cette dernière est à nant, puisque notre Shell s'est déjà trans formé en quelque chose de beaucoup plus placer dans le répertoire Libs:. Il convient de préciser que les possesseurs de cartes PowerPC préféreront d'em blée utiliser la version optim isée pour leur processeur, la q u e lle se tro u v e d a n s l'a rc h iv e IxemuIPPC.Iha du même répertoire. Ensuite, il convient de créer un répertoire d ans le q u e l nous in s ta lle ro n s to u s les fichiers de GeekGadgets. Q u'im porte son nom et son emplacement, celui-ci doit être assigné en tant que "GG:". Imaginons qu'il s'agisse par exem ple du répertoire Geek, inséré dans le répertoire DH1:Unix/. Il fau drait alors taper (dans une fenêtre Shell) : Cd DH1: Un ix M a k e d i r Geek A s s i g n GG: DH1: U n i x / G e e k p e u t d ’o re s e t d éjà re c o m p ile r des sources, co n su lter des docum entations m an (le fo rm a t de fic h ie rs d 'a id e en vogue sous Unix), etc. Puisque nous fai sons un parallèle avec Linux, imaginons à présent que l'on souhaite mettre en place Mon premier programme Allez ! Que diriez-vous d'écrire votre premier programme en C ? Elémentaire. Prenez un éditeur de texte quelconque et tapez le code source suivant : #include <stdio.h> m a i n () p r i n t f ( "Hello W o rld !\n " ); Enregistrez ce script dans un répertoire de votre choix, sous le nom de "hello.c". Puis, ouvrez une fenêtre Shell, placez-vous dans le répertoire contenant ledit fichier et tapez : gcc -o hello hello.c Et hop ! Un nouveau fichier "hello" vient de se créer dans le répertoire courant. Il s'agit d'un exécutable, qui écrit "Hello World" dans le Shell. Vous voilà déjà programmeur en C ! Mieux, voici ce qu'il convient de faire pour que votre programme devienne le "Hello World" le plus rapide du monde (imaginons que vous ayez un 68020 et un coprocesseur arithmétique) : g c c - 0 2 -m68020 -m68881 - o h e l l o h e l l o . c Co m m ence alors l'installation à pro pre ment parler. Toujours dans le même Shell, tapez les lignes suivantes : c d GG: lha -m raxe x L'argument "-02" apporte à votre programme une optimisation automatique de niveau 2 ; de surcroît, les arguments "-m..." font en sorte que votre exécutable utilise au mieux votre configuration processeur ! Il un véritable environnem ent X-W indow, configurable à volonté et apte à donner des airs de stations de développem ent Unix à notre Amiga. Nous allons donc commencer par écrire un petit script qui lancera tout cela. Appelons ce script, au hasard, Startx (pour singer encore plus Linux). Le voici : Assign b i n : GG:bin Setenv HOME GG:home/ Setenv DISPLAY :0 Path GG:bin add Path GG:X11R6. 3 / b i n add choisir son mode d'écran C yb erg rap h X . Pour d em a n d e r l'o u ve rtu re d'un écran Picasso 96 ou Aga, il suffira d'écrire, res p e c tiv e m e n t, "P ic a sso @ a sk " ou "Amiga@ ask". Par ailleurs, la ligne "Run tw m " m e t en m a rc h e le W in d o w Manager, à savoir l'interface graphique à proprem ent parler. C'est l'une des seules d is p o n ib le s en v e rs io n de b a se . Effectivement, elle s'avère assez hideuse et peu pratique ! Enfin, la ligne "Run xterm" lance un simple shell fenêtré. Cependant, revenons à cette interface graphique. De Ré si den t b i n : s h f o r c e Stack 200000 Run x -pn - p r i 1 - sc r e e n CyberGraphX@ask W a itF o rX toute évidence, elle ne correspond pas à nos exigences. En vérité, il nous faudrait la p résen ce d ’une v raie barre d 'icô n e , depuis laquelle nous pourrions lancer d'in Run xterm n o m b ra b le s a p p lic a tio n s . N ous a llo n s donc opter pour le légendaire Afterstep. P e tit d é ta il q u i a son im p o r ta n c e : La ligne commençant par "Run x ..." est celle qui active véritablement le serveur A fterstep n'est pas d ire c te m e n t e x é c u table, il faut le com piler ! Pour cette pre X-Window. L'argument "@ask" ouvrira un requester perm ettant à l'u tilisa te u r de mière fois, on ne rencontrera pas la plus petite difficulté... Com pilation Run twm Nous vous offrons to u te u n e flo p é e de co d e s so u rc e s dans le t ir o ir A m i g a / C e e k La gazette aux gadgets. l'archive contient un script autom atique, "installm e", qu'il suffira d'exécuter (enco re une fo is d e p u is un S h e ll sh ou un Xterm) pour qu'Afterstep aille se com piler et s'installer tout seul à l'endroit oppor tun (icô n es et fich iers de co nfig uratio n com pris). Attention, il y a un piège : l'archive ren ferme un fichier "Install" et un répertoire "install" à la racine. Sous Linux, cela ne po se a u c u n p ro b lè m e , c a r le sim p le e m p lo i d 'u n "i" en m in u s c u le et d'un autre en m ajuscule suffit à faire la diffé re n c e e n tre les d e u x e n t it é s . So u s AmigaOS (n'oublions pas que même sous l'e n viro n n e m e n t de G eekG adgets, nous sommes toujours sous AmigaOS), il en va tout autrem ent : cette différence n'inter vien t pas. Par ailleurs, on pourra large m ent se passer du fichier "Install", qui se Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM G a d g e t/B o n u s/ A p p lic a t io n s / de notre CD -Rom et, p a rm i c e u x - c i, se trouve Afterstep. La procédure de com p ila tio n c la ssiq u e consiste à d éco m p re s s e r l'a r c h iv e dans un répertoire Un gadget et un petit pot de leurres ? F»# D e s tin a tio n Sand ta n in temporaire (avec la co m m and e T a r, d e p u is un S h e ll Sitc fc V •Se ileX t/ d o tf llr / « H tV r 3 K a u J t.p t Fa* Soo* J F i n n R a c o lu tio n r On se déplacera ensuite dans le répertoire où A fte rste p s’est d é c o m p re ssé (v o tre répertoire tem poraire, puis X/Afterstep/) et on tape : AmigaOS, depuis sh ou e n c o re d ep u is un X te r m ), de la in stallm e manière suivante : T a r - x z f <nom de 1 ' archive> Ensuite, il convient de lire le f ic h ie r (le n o m b re de co u le u rs du m ode g ra phique de X-Window, etc.) et la com pila tion prendra un petit m om ent (plus ou m oins lo n g , su iva n t vo tre p ro cesseu r). Pour la n cer A fterstep , il faud ra ensuite rem placer le "run twm " de notre script de Install ou Readm e et de ta p e r, d ans un S h e ll sh ou dém arrage par un "run afterstep". Afin de configurer Afterstep selon ses désirs, il suf fit d'éditer la fichier etc/X I l/.s te p rc et de X term (u n iq u e ment, cette fois-ci), u n e à u n e , les co m m an d es qui y m odifier tous les param ètres au fur et à sont précisées. Pour Afterstep, la ch o se même si vous n'y avez encore passé qu'un pied ! Yann Serra Q u ic k Fan----fa x 8o dy t limite à un fichier texte de présentation. On déco m pressera donc l'a rch ive , sans intégrer ce fichier, avec la ligne suivante : Tar -x z f a f t e r s t e p . t g z --e x c lu d e In stall Plusieurs questions vont vous être posées a f ter* te nd J P r in t a f w Msnd r H o njto r Q lip a tc n J Gi-ow) C o « * r th t e t TEN ooo rr'.traekrr 1, Mais où sont passés les gadgets? se voit facilitée, car mesure. Soyez les bienvenus dans le monde d'Unix, QUERELLE Sun révolutionne le marché du logiciel... ... et d o n n e des leçons à SGI un propose un logiciel qui pourrait S transform er le monde de l'Infor matique en réseau ; il s'agit de Jini, le q u e l u tilis e ]a v a . Sun a ré u n i un nombre im pressionnant de partenaires autour de ce projet, dont Sony, Philips, Quantum, Toshiba, Seagate et HewlettPackard. Trois sociétés tentent de faire barrage à ]ini : Microsoft, IBM et Lucent T e c h n o lo g ie s . La p re m iè re so u tie n t l'Universal Plug and Play, la seconde se déclare en faveur des "home servers" et la dernière défend son système d'exploi Avec Java, Sun n'est pas prêt de boire la tasse. tation Inferno. En fait, jini est un logiciel apte à fonctionner sur quasiment n'imp o rte que| type d,apparei, domestique, de la télévision au micro-ondes, en passant par les périphériques informatiques traditionnels. On pourra ainsi utiliser Jini pour des applications très diverses : E-mail, programmes à péage, télévision interactive... Il existera bientôt une passerelle logicielle, pour relier jini au réseau Home Audio-Video interoperability (HAVi), système utilisé pour faire communiquer les appareils audio et vidéo de tous L'Octane de SGI. Silicon Graphics se tourne de plus en plus vers les logiciels Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM les jours. En guise d'exemple, précisons que la technologie Jini s'utilise dans un appareil photo numé rique. Celui-ci, équipé d'une Java Virtual Machine et de Jini (pour un total de 50 Ko de code), peut com m uniquer via un réseau Ethernet et stocker ses images sur le serveur. Point important : Jini se révèle totalem ent autonom e et ne nécessite pas l'usage d'un autre système, même s'il s'agit de Windows. Des sources disponibles Sun a aussi fait un pas dans le sens de l'ouverture, en proposant la notion de "community source" Le source des produits de chez Sun se trouve à la disposition du public, mais n'est pas libre. Sun garde donc un certain contrôle sur l'utilisation qui sera faite de son code. Les développeurs ont m ain ten an t la po ssibilité de té lé ch arg e r le code source d'un produit appartenant à Sun, de l'adapter et de vendre le résultat avant de payer la moindre commission à Sun. Dernière gratuits et les utilisateurs pas sionnés. C'est ainsi qu'il propo se un site (ftp://freew are.sgi. co m /ind ex.h tm l) regroupant l'ensem ble des logiciels gra tuits, disponibles sur sa plate form e. D'un autre côté, Sun, qui se p ré se n te co m m e le nouveau héraut de l'alternatif, fu s tig e S ilic o n G ra p h ic s , d e p u is que c e lu i- c i a fa it s a v o ir q u 'il u t ilis e r a it des Pentiums et Windows Nt pour ses fu tu rs p ro d u its. E ffe cti vem ent, SGI crée une triple avancée, Sun propose des licences gratuites de ses applications de développement Java, pour cassure en changeant de pro cesseur, en passant d’un systè me d'exploitation 64 bits à un système 32 bits et en choisis sant W indows N t à la place d'un Unix, sans compter sur le fa it que les v e rsio n s de les écoles et universités. Pas moins de 560 000 établissements scolaires dans le monde entier sont concernés par cette offre. Windows Nt se succèdent régu lièrement et que la compatibi lité inter-versio n s n'est que rarement assurée. Sun critique donc vigoureuse ment les décisions de SGI, et ne m anque pas de faire un Bas prix, c'est Jini ? Présentation de Jini. peu de publicité pour ses sta tio n s U ltra 5 et 1 0, dont il garantit la pérennité. ECONOMIE Sun se met à W indow s Reventes multiples chez Corel Quelques mois après la créa tion de la d ivision C orel Computer (www.corelcomputer.com) et du développement de la gamme des NetWinders, des machines sous Linux et équipées d'un StrongArm, Corel Corporation (www.corel.com) c h a n c e , H a rd w a re C a n a d a C o m p u tin g se m b le ê tre en mesure d'assurer le développe ment et la distribution de cette g am m e de m a c h in e s . Pour m é m o ire , C o re l a v a it d éjà effectué une transaction iden choisit de revendre cette branche à Hardware Canada Computing (w w w .h cc.ca) et tique avec la société Graphon Corporation, en lui cédant sa technologie jBridge, un outil permettant d'accéder aux ap gagne ainsi 25 % des parts de cette dernière so ciété. Par plications Windows à partir de machines disposant de java. • (flle/mnf E lle Iy p e s R eaiA uij « fcmedia | f Options C o * y r* h c KM ex <2 Sun vient de franchir un pas, en offrant aux utilisateurs de ses stations la po ssibilité de fa ire to u rn e r W indows. Une carte sera bientôt disponible p o ur m oins de 5 0 0 d o lla rs. Toutefois, celle-ci ne représen te pas pour autant une franche ouverture au monde W intel : e lle po ssède un p ro ce sse u r AMD K6-2 à 300 MHz et tour ne sous DR-DOS, le système de Caldera (conçu sur les bases du C P /M de G a ry K ild a ll). L'installation de Windows reste ra à la discrétion de l'utilisa teur. Celui-ci disposera ainsi de deux machines en une seule et aura loisir d'exploiter Windows sur un écran ad d itio n n el ou dans une fenêtre Unix. A ceux qui indiquent que cette solu tion ne constitue pas le nec • Prochains salons Journée Linux et logiciels libres (Parinux) le 14 février à la Villette. www.capway.com!berger!14Jevrie r.html. "Install/est Linux ” au MétaFort dAuberviUiers le mêmejour. www.eleves.ens.frl/iomelIandaulPa rinux/IP_14-02-1999.html. Silicium 99 (association M2000 Informatique) les 27 et 28 février à la Villeneuve d'Ascq (près de Lille). Ouvert à toutes plates-formes et tous systèmes. http://home,nordnet.fr/- m2000. • Prochaines Coding P arties Ukonx Party (Amiga, PC, Linux) 99 du 9 au 11 a vril 99 à Vesoul (70), salle Parisot. www.multimania.com/ukonx99, pour les détails... Volcanic Party 5 du 19 au 21 février à Cournon (près de ClermontFerrand) Se/vo 99 en février... Pour plus d'informations, faites un tour sur : http:llojuice.citeweb.net Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Dans ses choix commerciaux, Corel est hardi. plus ultra, Sun répond fort jus tem ent que "cette carte n'est p a s d e stin é e à a jo u te r une valeur à nos stations. Il s'agit juste d'un moyen visant à rédui re le nombre de raisons pour les quelles les utilisateurs ne nous achètent pas" Nouveaux jeux pour Linux Loki Entertainment Software (http:// www.lokisoft.com), avait annoncé son intention de développer le mar ché ludique sous Linux. Voilà chose faite avec l’annonce de la diffusion de Civilization : Call To Power, la suite de Civilization II, qui sortira en même temps que la version Windows déve loppée par Activision. Cette mouture sera strictement identique à celle d’Activision, puisque l’accord entre les Interîles, présenté par Linux. deux sociétés stipule que Loki utilisera directement les sources de la version Windows. Dans le même ordre d’idée, faisons porter à présent notre attention sur la Jlib ; il s'agit d'une librairie pour la programmation de logiciels de divertissement en 2D. Celle-ci permet de créer indifférem ment des jeux pour DOS, Windows, Linux et X I 7. Cette petite merveille se trouve disponible dans sa version 2.2, sur le site de l'auteur, http://jlib.future.easyspace.com/jlib/. AMIGA ATARI LINUX RISC PC BEOS OS/2 DIVERS MATERIEL • M eilleur support des CDs sous Risc OS Une nouvelle version du module Cdfs se trouve en cours de développement. La dernière disponible commençait effectivement à dater un petit peu et souffrait de plusieurs lacunes. Le nouveau module, CdromFs, est lefru it de développeurs indépendants d'Acom. I l permettra enfin de reconnaître les noms de fichiers longs, utilisés dans les formats Joliet (Microsoft) et Rockridge ( Unix). La reconnaissance des types de fichiers en fonction de l'extension se verra aussi améliorée. Ce programme s'appuiera sur le module Cdfs d'origine, ce qui garantit le support de nombreux lecteurs. — A daptec s'investit dans Linux Le monde des drivers pour Linux a toujours été assez m o uvem enté ; en effet, les sources de ceux-ci sont livrés avec le système, ce que cer des drivers sous Linux. Notons que c'est la distri bution de Caldera, la RedHat, qui profite en pre mier de cette avancée. tains fabricants n'acceptent pas. Un des premiers problèmes rencontrés concerna les cartes gra phiques S3, dont le développeur ne voulait pas d o n ner les sp écificatio n s. H eureusem ent, les choses ont bien changé depuis. Dernièrement, c'est Neomagic qui a cédé en proposant un sup p o rt p o u r ses pu ces g ra p h iq u e s . T o u t cela explique pourquoi les cartes d'extension à succès ne sont pas toujours les mêmes dans le monde Windows et Linux. Pour favoriser l'utilisation de ses cartes Scsi sous Linux, Adaptec (w w w .adap tec.com ) propose un kit de développement de drivers Ultra2, qui réunit des outils logiciels et une large docum entation. Cela a pour résultat une amélioration de la vitesse et de la stabilité -----------CONSTRUCTEUR Un nouvel épisode dans la saga Acorn Lecteur de CD-Rom. A corn C o m p u te r Lim ited a disparu au pro fit d'Element 14 (w w w .e-14.com ), juste au moment respond à ses b e so in s. A n o te r q u 'E-1 4 ne reprend que les activité s Set Top Box, Thin • Un nouveau service chez A m iga Inc. Amiga Inc. vous propose de participer à la FAQ de lAmigaOS 3.5. Celle-ci réside à l'adresse vmw.amiga.eom/3.5/faq.shtml et s ’accompagne d'un formulaire vous invitant à poser vos questions. où Risc OS 4 sortait officiellement. Leur souhait est de se concentrer sur le développem ent de technologies et de logiciels vendus sous licence. Cela rappelle le mode de fonctionnement d'Arm, qu'E-14 souhaite imiter, car il espère obtenir le même succès. Pour le groupe, il semblerait que la vente des Ne et Set Top Box soit en très forte hausse et constitue plus de 80 % de l'activité d'Acorn. clients et développements hardware et software, l'Acorn Computer Group ayant toujours la possi b ilité de c o n tin u e r ses a u tre s a c tiv ité s . Malheureusement pour les utilisateurs, la firme continue de se désolidariser du marché des sta tions de travail : dernièrement, Acorn a vendu ses parts d'Xemplar à Acorn, coupant ainsi défini tivem ent les ponts avec le m arché anglais de l'Education. Les disk m ag A tari regroupés Patrick Ramskindt a pour ambition de regrouper tout les disk mag Atari sur un CD-Rom, qui risque d ’être particulièrement rempli. Ce CD coûtera 190 francs, ce qui s ’avère tout de même plus économique que l'équivalent en disquettes. Un des projets de la société concerne la création d'un processeur possédant des capacités pour le m ultimédia. L'entreprise se trouve évidem m ent en b o nn e v o ie , p u isq u e le StrongA rm 1500 Le devenir des Risc PC La branche Risc OS fait maintenant partie d'un nouvel ensemble, le Risc OS Limited (et non pas R isc O S ), cré é p ar le S te e rin g G ro u p , un ensem ble d'acteurs indépendants d'Acorn, et destiné à favoriser le d é v e lo p p e m e n t de Risc OS 4. De plus, des rumeurs parlent d'une nouvelle carte mère pour le Risc PC, qui serait disponible po ur le m ilieu de cette année et repren drait les technologies du défunt Phoebe : mémoire SDRam, Bus à 64 MHz, Risc OS 4 en standard, nouveau chip vidéo et interface Ide inédite. Il ne man querait plus que l'ac cord d 'A co rn pour Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM • développé conjointem ent avec Arm et Intel cor Le Set Top Box d Acorn. L • Un nouveau service chez Am iga Inc. Arniga Inc. vous propose de participera la FAQ de l'AmigaOS 3.5. Celle-ci réside à l'adresse www.a7niga.coml3.5lfaq.shtm! et s'accompagne d'un formulaire vous invitant à poser vos questions. APPLICATION Logiciels de haut niveau pour stations Acorn PowerPoint a trouvé son m aître Spacetech (w w w .spacetech.co.uk) vient de sortir un nouveau produit, Ohp, qui apparaît comme un outil de présentation très supérieur au classique PowerPoint. Rappelons que Spacetech nous a habitués aux logiciels d'exception, puisqu'il distri bue aussi Photodesk 3 et TopModel 2. Cerilica Vantage d'Astute Graphics Cerilica Vantage (www.cerilica.com) est le nou veau nom de l'application d'Astute Graphics. Au • Les disk m ag A tari regroupés Patrick Ramskindt a pour ambition de regrouper tout les disk mag Atari sur un CD-Rom , qui risque d'être particulièrement rempli. Ce CD coûtera 190 francs, ce qui s ’avère tout de même plus économique que l'équivalent en disquettes. Ohp de Spacetech. départ, on parlait de ce projet sous le nom de Draw 4, puis sous celui de Project Avante. On peut le co m p a re r à A rtw orks, auquel on aurait rajouté de nom breuses fo n ctio n nalités, principalem ent en ce qui concerne la gestion de la transparence. On est en droit de s'attendre à un produit supérieur au vieillissant Artworks et à son successeur, Xara, disponible uniquem ent so u s W in d o w s. C e ric ilia V a n ta g e , O v a tio n , P h otod esk... voilà donc trois ap p licatio n s qui écrasent littéralem ent le trio lllustrator, XPress, Photoshop. Nos am is belges ne s'y so n t pas tro m p é s, puisq ue les sta tio n s A co rn resten t un ch o ix de Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM (p )ré fé ren ce p o u r le u rs tr a v a u x de Cerilica Vantage d'Astute Graphics. j -7 * Pao. NOYAU Linux 2.2.1 est disponible ! Trw* Uttumt** PfOCcssc* Passez Après plusieurs mois d'attente, voici la très attendue nouvelle ver sion stable du noyau de Linux. Techniquement, elle n'apporte rien de neuf par rapport aux dernières versions de développement ; cependant, il s'agit bien là d'un pavé dans la mare de Microsoft et des autres Unix, puisqu'on peut désormais disposer d'une version finalisée d'un système d'exploitation stable et fiable et proposant de nombreuses fonctionnalités, comme la gestion d'une pléthore de périphériques, de systèmes multiprocesseurs et de possibilités réseau très étendues, qui vont de Nfs en passant par Samba, sans oublier la gestion optimale des problèmes de sécurité via un fire wall. Les derniers noyaux Linux sont disponibles sur le site LinuxHQ (www.linuxhq.com). La mise à jour se compose d'une archive de taille importante (plus de 12 Mo), comprenant le noyau et la mise à jour des utilitaires de base. ALinuxHO AlphaPowered i l : 01 3 3 3 3 - F a x :Ü 1 41 1 8 9 9 3 0 e-m aài : h ,in a n x u i a w a n a d o o .f r LinuxHQ. Ha m su n POCKET • Appel aux prog ram m eurs Acorn Paul Middleton ([email protected]) de RiscOS L td a lancé un appel à la communauté de programmeurs Acorn. Il souhaite en effet réunir un maximum de compétences, dans le but de développer de nouveaux projets, qui permettront aux programmeurs de travailler en free-lance. Si Paventure vous tente, il ne vous reste plus qu \à lui envoyer une liste de vos domaines d'activité (basic, assembleur, C), de votre matériel et de vos moments de disponibilité. La liste ainsi créée pourra aussi être communiquée à d'éventuels employeurs. Linux enfin sur Psion Nous avions déjà parlé du por tage de la RedHat pour Psion Sériés 5. Le projet semble avan cer à grands pas, les utilisateurs pouvant enfin activer leur sys tème favori sur les machines de p o c h e à b a se d 'A rm 7 1 0 0 , c'est-à-dire le Psion Sériés 5 et le G eofox. A c t u e lle m e n t , le p o rta g e se révèle très som m aire et co m p o rte un n o y a u , a in s i q u e quelques utilitaires de base. De su rc ro ît, il faut v e ille r à bien sau ve g ard e r ses d o nnées, car l'installation de Linux risque fort Affichage d'un Gif sous Linux. d 'en traîn er la suppression des • Le Pentium III dénonce sur le Net Le futur Pentium d ’Intel dispose d ’un numéro électronique d'identification. Celui-ci permettrait au processeur de divulguer diverses informations lors de connexions à Internet. Des groupes d ’utilisateurs ontfa it pression auprès d'Intel pour qu’i l modifie cette nouvelle "fonctionnalité". Finalement, Intel (http:Hsupport.intel.com!support!pr ocessorslpentiumiiilpsu.htm) conserve le principe de la clé d'identification, mais accorde la possibilité d ’interdire l ’accès à celleci (ils'agira de l ’option p a r défaut). lecteurs créés par Epoc 32, le système d'origine du Psion. Le fait d'avoir Linux sur Psion ne se limite pas à un simple pari de d é v e lo p p e u rs : son é cran de c a p a c ité c o rre c te , ses c a rte s Com pact Flash pouvant attein dre 64 Mo et la puissance de son p ro c e s s e u r, é q u iv a le n te à c e lle d 'u n Quelques fichiers du répertoire /proc. Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM 486SX33, assurent un fonctionnem ent très cor rect à ce système d'exploitation. L'arrivée de Linux sur Psion est concom itante à c e lle d 'a u tr e s p la t e s - fo r m e s , c o m m e les m a c h in e s so u s W in d o w s Ce ou m ê m e le P alm p ilo t, qui p o u rra it p ro fite r du nouveau Linux 68k pour machines sans Mmu. Plus de renseignements au sujet de Linux 7k se trouvent sur le site w w w .calcaria.net. La docu m e n ta tio n c o n c e r n a n t l'in s t a lla t io n de L in u x 7k ré s id e p o u r sa p a rt su r le site http://inanna.ecs.soton.ac.uk/~sw h/LinuxPsion /D ocum entation/booting.htm l PROCESSEUR Arm : num éro un ? L'architecture Arm (w w w .arm .co m ) représentet-elle la plus utilisée des architectures Risc 32 bits ? Cela semble probable, quoique les chiffres officiels ne soient pas encore disponibles. Les chiffres prévisionnels annoncent plus de 40 mil devant Hitachi et Mips, dont les ventes s'effri ten t avec celles de la Playstation. Treize ans après la sortie du premier Arm, la petite société anglaise se place déjà comme le numéro un de la technologie Risc 32 bits. L'Arm 9 se vend bien, lions de puces vendues en 1998 (les technolo gies x86 et 68000 se construisent à environ 100 millions d'exemplaires chacune). 70 % des télé phones cellulaires qui se vendront cette année s e ro n t à base de tech n o lo g ie \'Arm 70 est à l'étude et l'Arm 7 7 se trouve déjà dans le pipeline de développement. Mais atten tion : ici, chaque nouvelle version apporte un accroissement de la vitesse d'un facteur, allant de 2 à 3, et ceci pour une consommation sans cesse revue à la baisse. Les chiffres de la croissance d’Arm s'avèrent aussi A rm , p u is q u e ces processeurs et Motorola, les trois sociétés les en forte hausse, avec 7 millions de processeurs en 1996, 11 millions en 1 997 et plus de 40 mil lions en 1998, pour un total de 35 partenaires. La société se permet même d'investir un nou veau m arché en proposant trois logiciels pour l'accès aux réseaux ; une pile TCP/IP, un module plus importantes du marché. Arm passe donc PPP et un serveur Web. Le module PPP sature une ligne de 64 Kbps avec 1MHz de la puissan ce d'un Arm 9TDMI... Une performance. équipent les téI é p h o n e s d'Ericsson, Nokia Arm, numéro un de la téléphonie. Démarrez l i n u x Avec M Votre spécialiste L in u x £LiNUX FreeBSD 3.0 Beta (Walnut Creek) 12/98 O f f ic e S u ite i -.-t» O p ro 'rQ îy i-ii- Linux Office Suite 99 -S.U.S.E.- (Applixware 4.4.1 +Applix Développeur) LtNUY unux Linux S.u.S.E. 6.0 version Française 02/98 Applixware 4.4.1 (Logiciels du Soleil) Linux Snapshot 6.0 (S.U.S.E.) WordPerfect8 pour Linux (Corel) Linux Officiel Red Hat 5.2 (Intel) Française (Logiciels du Soleil) Linux Official Red Hat 5.2 (Intel) DR-DOS 7.02 Caldera (CD + Livre) Wabi 2.2 pour Unux (émulateur Win3.1x) -Caldera- Linux Red Hat PowerTools 5.2 ___ Linux Official Red Hat 5.2 (Alpha) Motif 2.1.10 Red Hat (Intel) ___________ Motif 2.1 Métro Link(S.u.S.E.) Intel 9HS3SSiucâ9z^J Linux Official Red Hat 5.2 (Sparc) Adabase D Linux Edition (10 Ucences) - S.u.S.E. Turboünux Extrême.Linux (Red Hat) Line Tous nos tarifs sont en FTTC et port compris , Livraison sous 48/72 h. FreeBSD 2.2.8 (Walnut Creek) 12/98 lin u x h-»'\ k y . PowerPC Linux Off-Line (Red Hat) Arkeia Mini Lan Offer (sauvegarde pour Linux) - Knox Software Accelerated-AX 4.1 Display Server Linux/BSD (Xi-Graphics) Unux Variety Pack (Red Hat) Accelerated-LX 4.1 Laptop Server Linux/BSD (Xi-Graphics) Linux Rough Cuts (Red Hat) OpenGL 4.1 Display Server Linux/BSD (Xi-Graphics).__ Linux Library vers. 5 (Red Hat) Documentation Linux MNIS 09/98 (basé sur Debian 2.0) MultI Head pour Linux/BSD Vers. 4.1 (Xi-Graphics) Caldera Open Linux Base 1.3 Fr or US (+ StarOffice 4.0+DRDOS 7.02) CDE (Xi-Graphics) : bundle (CDE + Applications Builder pour Motif + Motif 1.2.5 + Accelerated-AX 4.1 (Linux/BSD) Caldera Open Linux Base 1.3 Fr (Jewel Box sans manuel) Linux InfoMagiç — The Artist's Guide to GIMP (Livre 332 p. + CD) - SSC - Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM LINUX - Applications Graphiques pour Linux (MNIS) Unux Slackware 3.6 (Walnut Creek) 11/98 Linux Debian 2.0 + manuel (Linux Press) Linux Turbo Business Applications 08/98 (P. HT) Turbo Linux for PowerPC -support G3- (Pacific HiTech) Unux Games 08/98 (Pacific HiTech) UNUX) MkLinux DR 3 + livre 332 p. (Prime Time Freeware) GNU HURD Temps Réel Mach 4.0 (MCD2Diffusion) sla ck w a re Real Time Unux (04/98) M IAVA WorkShop 2.0 -SunSoft- N I S _________________ Unix Feeware 10/98 (Walnut Creek) GNU Sources 01/99 (Wajnut Creek) — Péri 01/99 (Walnut Creek) Le Syteme Linux "0 Reilly'' -677 pages- 2eme Ed. (FR) «-Ada 11/98 (Walnut Creek) Administration Réseau sous Linux "O'Reilly" (368 p.) (FR) Linux in a Nutshell 0 Reilly (579 p.) (FR) Td/Tk 11/98 (Walnut Creek) TeX 10/98 (Walnut Creek) Son et Images sous Linux "O'Reilly" (450 p.) (FR) DJGPP Development System 08/98 (Walnut Creek) Introduction à Perl "O'Reilly (334 p.) (FR) Hobbes OS/2 04/98 (Walnut Creek) Les bases de l'administration système "O'Reilly" (768 p.) (FR) LINUX ■aagraiMi Linux Devices Drivers "O'Reilly" (442 p.) (US) WinFiles.com 06/98 (InfoMagiç) et bien d'autres titres... Java par la pratique "O'Reilly" (436 p.) (FR) Tous les titres de la collections O'Reilly sur commande FR/U5 Linux CO M PLETE COMMAND R EFER EN C E Linux et XFree86 "Eyrolles" (404 pages) FR_____ L I N U X A p p It C H lio n x Linux Undercover "Red Hat" (2019 p.) U S _ Linux Complété Command Reference "Red Hat" (1500 p.) US Maximum RPM "Red Hat" (442 p.) US Doctor Unux 6th Edition (1631 p.) US Samba Integrating Unix/Windows (300 p. + CD) SSC ON DECOMMANDE A retourner à MCD2 Diffusion □ Je suis intéressé(e) par □ je désire commander _ 72, quai des Carrières 94220 Charenton/Tél. 01 56 29 23 00/Fax. 01 56 29 23 01 ----- et désire recevoir une documentation. au prix d e ______________ Fttc au prix d e ______________ Fttc au prix d e ______________ Fttc Total ____________________ F t t c Prénom Société Adresse CH Je règle par chèque à l'ordre de MCD2 Diffusion I I Je règle par Carte Bancaire en reportant son n° ci-dessous - C.P 1I I I I I I I I I I I I I I I I h ttp ://w w w .m cd 2 -d iff.fr email : m cd2@ m cd2-diff.fr expire : ECONOMIE PEOPLE • iMac : le succès continue ! Outre-Atlantique, l'iMac occupe la quatrième place au classement des ventes d'ordinateurs, pour ce dernier trimestre, avec une p a rt de 6.2 % des machines vendues. Compaq, pour la même période, tient le rôle de leader. Apple reste un des constructeurs les plus réguliers à ce niveau , et cela, grâce justement à l'iMac. Son chien s'appelle Linux ! Fran cis p e n d a n t la durée de l'émission. r-*e' ZIKWEB A la < v < t A J o Um P U Y 4 JST U t 3 pronMM mrw d* «o»* dota O T>aCOafiE.Hy«a»« O MATVUTAH.Cm » 0 l u f*v* lien» R .'ao u w « n n A l»<J» velle s de L in u x ! Il s'a g it en e ffe t du nom qu'il a donné à son chien, une ado rable femelle Golden t>« u x r r e io roua u n i C D'ISSIM TIILS Tou» l o t m I ( i O l £ 0 2EPPCUN »V-/1 O M K-lK tüM K t ■ 0 AG0C MI«J*nr»ytoh«0 n En pleine échappée belle, Zégut. In fo rm a tiq u e et m u siq u e se marient fort bien : cette idée a donné naissance à Zikweb, une ém ission anim ée par Francis Zégut sur RTL, tous les soirs de iMac. Il arrive en couleur I Vous pourrez ainsi lui dem ander des nou ffT L M U S IQ U E la semaine, de 20 h à minuit. Tonton Zézé y fait part de ses découvertes (musicales ou non) sur le W eb, avec son enthou siasm e c o m m u n ic a tif ! Les connectés au Net ont non seu lem ent l'opportunité de voter pour le passage à l'antenne de leurs chansons préférées, mais peuvent égalem ent participer en direct, puisqu'un channel Ire (#zikweb) donne à tout un cha cun la liberté de dialoguer avec que R e trie v e r. Et p o u r quoi Linux l."P a rc e ça cla q u e q u a n d on l'appelle", d ixit Francis, qui a déjà retrouvé des BeOS enterrés dans son jardin... h ttp ://w w w .rtl.fr/zik w e b /zikweb.htm La bourse s'affole pour les valeurs du Net Quelle frénésie s'empare donc des analystes financiers ? Fin janvier, le monde économique a a ssisté à la plus g rand e absurdité du siècle : Yahoo a pris le contrôle de Geocities pour 4 ,7 milliards de dollars (2 7 m illiard s de fra n c s ). Le m êm e jo u r, Ford ra ch e ta it Volvo po ur 6 ,5 m iliard s de dollars. A peine plus de deux m illia rd s de d iffé r e n c e ... P o u rta n t, les poids é co n o m iq u es de G e o c itie s et de V o lvo so n t sans co m m u ne m e su re : V o lvo ré a lise un chiffre d'affaires de 12,5 mil liard s de d o lla rs, alors que Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM m Après avoir triomphé d'Unix, il faut apprivoiser Linux. tV E O P T io A ) A b iÜ C O tiZ i s s r e m e r s e s s s h s u r. l W s i u q b k b a r r iF / a e u B ,c e CaUOMQhJVh. s Geocities a récolté un chiffre mille fois moindre, avec "seu lement" 18,4 millions de dol lars ! De plus, Geocities repré sente une entreprise abonnée aux déficits : la firme dépense deux fois plus d'argent qu'elle n'en engrange. Geocities ne constitue qu'un exemple : des actions peuvent gagner 50 % en un jour (Broadcast.com) ou progresser de 966 % en une a n n ée (A m a z o n .c o m ). Ces em bellies m ettent en valeur certaines aberrations : la valo risa tio n d 'A m e rica O nline excéd erait de plus de 30 % ce lle de G e n eral M otors et c e lle du site de ve n te aux en ch ères eBay est h uit fois supérieure à Sotheby's. Face à cette situation, lan Greenspan, p ré s id e n t de la Réserve Fédérale Am éricaine, a com menté de manière assez mala droite cette flambée du mar ché : la plupart des firmes de l'Internet "vont probablement disparaître" et l'investissement d ans ses m a rch és "est une véritable loterie". Faut-il pré voir un crack du Nasdaq ? Art studio pro cd 260 F Asim cdfs 3.9a V F 355 F Burn It 2.12D AO 690 F Candy factory pro cd........ 349 F Cybergraphx 4 179 F Deluxe paint 5 cd 219 F Digibooster P r o 287 F Dopus magellan 2 490 F Opus plus cd 219 F Fantatsic dreams cd......... 599 F Get connected 519 F LOGICIEL Magician 1.1.0 sur OS/2 La société Arcane Technologies annonce la sortie de Magician (www.arcana.co.uk/products/magician) pour OS/2, ainsi que sur SPARC/Solaris, Intel/Solaris et Irix 5.x/6.x. Magician existait déjà sur les plates-formes Linux et Windows 95/98/NT et se révèle entièrement compatible avec la version 1.2 du Jdk. Magidan permet de dévelop per des applications OpenCI ! f en java. Ce logiciel fournit des possibilités d'accélération hardware pour la 3D. Les prochains portages prévus seront pour MacOS et BeOS. Le produit coûte entre 150 et 1000 francs en fonction du type de licence choisi. Amiga 1300 Tower 3099 F (Miami +lbrowse + Yam) Tower infinitiv à partir de......... 890 F Network PC + cable II....... 225 F Tower Infinitiv II à partir de....1250 F •§ Oxyron patcher 139 F Lecteur de disks HD interne....525 F c <ü Pfs 2 cd 340 F Nappe IDE 2.5 > 2x3.5, 70cm 99 F £ Scala MM400 cd 535 F Quadrupleur IDE 95 F £ Superview suite 215 F o Disque dur IDE 3.5, 3.2 G O ......989 F o Turbocalc 5.1 cd V F .......... 495 F Disque dur FS C S I 3.5, 2 GO...1450 F Turboprint 7 395 F Disque dur UW SCSI, 4.5 G0..2090 F Ultimate blitz basic cd...... 195 F Lecteur cd-rom ATAPI x 36 380 F Wordworth 7 cd V F........... 449 F 8 Lecteur cd-rom SC SI x 40 1140 F Graveur SC SI Plextor x4........ 2550 F Flying hight cd 175 F Blizzard PPC 603e 160 Mhz, Foundation cd 269 F 68040/25 Mhz 2090 F Genetic species cd............269 F Bvision P P C 1490 F <D Myst cd 359 F Carte son 16 bits Préludé 1890 F 2 Olofight 229 F 4) Simms 16 ou 32 Mo 60 n s.......... NC ! V) On escapee cd 279 F Rom 3.1 A500/A1200 220 F Samba world cup cd......... 253 F 3 Rom 3.1 A3000/A4000 315 F O Ultimate Sskidmarks cd...189 F > Souris Amiga 2 bouttons......... 145 F Virtual karting 2 179 F Adaptateur souris pc 177 F Vulcan cd bonanza........... 239 F *C Joypad Honeybee 175 F Vulcanology cd 185 F 3 Digitaliseur audio + soft............330 F U> Aminet 26, 27, 28 ou 29 80 F Interface Midi 277 F 3 CD Aminet set 5, 6 ou 7 205 F Cable parnet 3 m + soft............139 F 0) “O Amimes babes S E .............167 F Adaptateur écran VGA 85 F S Amiga format cd 39 F Scandoubler interne A1200 659 F C Cartoon clipart 145 F Scan/Flicker A1200 interne...... 890 F 3 Gateway 3 (2cd) 75 F Scandoubler A1200T/A4000 595 F Golden demos 85 F Scandoubler externe ....... 710 F Magic pubiisher 179 F Kit connectique Cyberstorm : Mods anthology 195 F Nappe UW et terminaison active R hs erotic 95 F + adaptateur UW > S C S I, Workbench designer %....120 F nappe et sortie externe scsi....595 F Nous acceptons les chèques, cartes bancaires ou m andas. Frais de port VPC : logiciels 35 F, matériel 8 0 F t tour oumc ran 100F. Horaires : du lundi au vendredi 10h-12h30 e fy lh - 1 9 h * y*»»**» La 3D sous OS/2. TECHNOLOGIE Incroyable : des dessins dans les processeurs IVlips ! La Silicon Créatures Gallery ( http://m icro.m agnet.fsu.edu/creatures/) propose des prises de vues au miscroscope de processeurs. e- Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Ces vues sont réalisées par des spécialistes, qui passent tous les objets possibles sous la lentille de leur microscope. On trouve énor mément de dessins gravés sur nos chères petites puces, ce qui prouve, si besoin était, que les ingénieurs ne manquent pas d'hu m o u r. Les m ic ro p ro c e s se u rs les p lu s s o u v e n t "tatoués" sont les M ips, qui offrent un bestiaire ori ginal allant de la fleur au chien, avec une m ention bien pour deux dinosaures, le mythique Godzilla et un ty ra n n o s a u re trè s ro ck , tous deux trouvés dans un Mips R I2000. En deuxième position, les Hp-Pa consti tuent aussi des processeurs Découvrez les astuces et solutions des derniers jeux PC et console ! 3615PCTEflH LISTE des titres disponible M HH HU LHT KHh H HHi 1 T o f‘ I h B f t L L Z très "imaqés" G o d z ill a . A4 fleus e 5 fi C E 3 or THE DEEP 6 ACES or THE PACIFIC 7 fiCES OVER EUROPE ACHTUNG S R I T R I P E ACTION 30CCER 96 fiC TUA S O C C E R W D V f i N C E O T A C T I C AL ADVAMTf i OE T E N N I S fi F T E R 6 U R N E R ArTEP T H E WAR AETEFL IRE 8 9 10 I I \Z 13 14 15 E.T. rocks. fi-TRAIM Z 4 NETWORKS F IGHTEfti Plus de 3000 astuces Plus de 6500 logiciels eu téléchargement Plus de 1000 petites annonces mises à jour A LP H A • La guerre du Net aura lieu S i dans la région du Golfe Persique, la crise militaire (et physique) a pu être évitée, les combats semblent désormais se déplacer sur le Net. Ainsi, un jeune Israélien de quatorze ans, féru de réseaux, a réussi à s ’introduire sur un site gouvernemental irakien pour en effacer toutes les données... E t que! système utilisait le pirate en herbe ? Linux. * Encore des drivers pour Linux Creative Labs travaillerait sur des drivers Linux , pour ses cartes son et vidéo. Les pilotes pour les cartes vidéo intégreraient également un support des chips 3D. • Serveur Quake pour les A m igaïstes Depuis août dernier; un serveur Amiga dédié à Quake a vu lejour. Il fonctionne du vendredi soir 2lhÛ0 au lundi matin et tous les jours de semaine de 21hQ0 au lendemain matin. Pour les amateurs de Quake qui voudraient en savoir plus et télécharger des rnaps : www. kawo2. rwthaachen.del-hamillerlcrlinfo.html. L'alternative selon Compaq Aux Etats-Unis, Compaq vient de commercialiser, par le biais de ses revendeurs, toute un gamme de stations Alpha sans licence logicielle associée, com m e c'était le cas jusqu'alors. Il n'y a plus de Néanderthal Technology obligatoire pour votre belle machine ; en outre, vous bénéficierez ainsi d'une authentique liberté de choix, pour un investissement enfin raisonnable ! Merci Compaq ! Au fait, quand la même chose se produira-t-elle en France ? Certains distributeurs de matériel Alpha ont par le passé tenté d'effectuer une opération similaire et ont connu les pires difficultés. Il est à espérer que cette possibilité traversera rapidement l'Atlantique, et s'étendra également aux gammes de machines équipées de processeurs Intel. Par ailleurs, le support et l'investissement du groupe Compaq/Digital dans son Unix propriétaire sont loin de décliner. L'annonce de la dernière version de Digital Unix est attendue pour le début de l'année, avec un changement de nom, à savoir True 64 Unix ; il convient en effet de rappeler qui a réellement innové dans le domaine des Unix 64 bits. Enfin, les forces vives vouées à Linux au sein de la compagnie se voient renforcées : au côté de John 'Maddog' Hall, Président de Linux International et figure em blém atique de Linux chez Digital, qui assure les fonctions de chargé de relations avec les partenaires, Randy Messner prend en ch arg e les fo n ctio n s de Product Manager (Chef de Produit) pour toute la gamme Linux. Les a n n o n c e s fa ite s lors du salo n Eurêka n'étaient donc pas vaines et le devenir de Linux au sein du groupe Compaq se confirme par des faits. Les stations Alpha avec un vrai système d'ex ploitation ont donc encore de beaux jours devant eux ! Une carte mere pour processeur Alpha 21164PC. Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM NAVIGATEUR COMMUNAUTE Un nouveau projet : Kosh Com m unicator sur Amiga Kosh (w w w .k o s h .n e t), po ur K o m m u n ity OS and H ardw are, est un projet où chacun peut participer et dont le but est de développer un iMOdU♦1S98-1999 The }I V i* il C o ta Jtmn, Mftqnt» Bn«rveÔ a\* j !----------------------------------------------------------------------------------- systèm e d'exp lo itation, ainsi qu'une m achine. C e la f a it s u ite a u x a u tre s p ro je ts c o m m u n au taires à succès tel Linux. Fleecy Moss ( h ttp :/ / a m ig a .e d e n .it/ in te rv is te / fle e c y _ e n g . htm l), m em bre de ce groupe, ne cache pas ses affinités pour la plate-form e Am iga qui reste l'exem ple même de la m achine grand public à bas coût. Kosh recentre I informa tiq u e su r le public, et non p lu s su r des Kosh ! — s L a i - il I I — ri >1 I c*»I I ■ - -------- - - .■']» - I 4H,î-IFFfrJfHi PS il Totd message* o Or»*3 c — j-r Un des premiers screenshots d ’aMozilla. Mozilla arrive enfin sur Amiga (http://www.thelads.dem on.co.uk). Il s'appelle aMozilla et est e s p r it , Kosh sera indépen présent sous deux formes, 68k et Power PC. Les navigateurs de qualité n'ont jamais fait défaut à l'A m iga, mais suite à l'abandon du portage d'Opéra, la com m unauté Amiga a ressenti le besoin de disposer d'un navigateur "standard". dant du hardware. Le projet Mozilla sur Amiga a été long à mettre en place, car contrairement à Doom ou Abuse, c o n s id é r a tions de m ar ché : dans cet KOSH l^E | >1 «1 Mozilla est un projet de très grande envergure nécessitant le travail de nombreuses personnes. SuSE • ► Plustle 900 applications sur 5 CD-ROMs 6.0 sssissss MISE AU POINT ► 60 jours d'Assistance Technique à l'Installation en français ► Manuel de 540 pages en français ► Noyau 2.0.36 ► Support complet pour la glibc Apple et G3 : John Carmack revient sur ses propos Après avoir encensé le G3, petit dernier de M acintosh, John Carmack ( Quake 3 : Arena) compare les performances du nouvel Apple avec celle d'un Pentium II classique et conserve apparem ment quelques réticences. Bien qu'il pense qu’Apple se trouve d'ores et déjà avoir un impact important et que le G3 égale une m ach in e W intel en ce qui co n c e rn e la mémoire ou les perfor m a n ces g é n é ra le s du processeur, il semble se ré server en a tte n d a n t l'im p a c t du n o u v e a u système MacOS X. Pour lu i, A p p le ré a lis e a c t u e lle m e n t de bonnes choses, mais il n'a pas encore atte in t le m eilleur niveau. Il a Le PowerMac G3. su restim é ses résultats p a r ra p p o r t à une machine Wintel : le G3 n'est pas devenu une m eilleure plate forme jeu que Wintel, même s'il a fait un pas de géant. Le G3 pécherait néanmoins en matière de 3D, tandis que les perfor ► Simplicité d'installation ► U c o r ic r t» » * 0 * >XEfï*»“ÎJ3 , support L iN U X -) fi ne. port compris SuSE Linux 6.0 L'Unix pour les compatibles qui vous fera tirer le maximum de votre micro! V ersio n fra n ça ise ! SuSE Linux est un système d'exploitation puissant, stable et rapide dont les possibilités enthousiasmeront aussi bien les néophytes que les professionnels. SuSE Linux est un système d'exploitation qui répondra parfaitement à toutes vos exigences en alliant souplesse d'utilisation et fonctionnalité à une grande simplicité d'installation. SuSE Linux ne rassemble pas seulement toutes les ressources pour votre systèm e Linux mais vous propose aussi tout ce qui est nécessaire pour faciliter vos premiers pas sous Linux► YaST, l'outil unique de SuSE vous assistera lors de toutes les phases d'installation, de configuration et d'administration de votre machine ou de votre réseau. ► Le manuel de 540 pages en français sera une aide précieuse pour les débutants comme pour les experts Linux. ► KDE et GNOME les l'environnements graphiques simples, intuitifs et d'une grande convivialité ► L'Assistance Technique à l'Installation en langue française, offerte pendant 60 jours après l'achat de SuSE Linux. Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM mances de la carte vidéo sont identiques à celles que l'on peut obtenir avec un PC. Seule son esthétique, ou plus exactem ent son agencement interne, constituerait une véritable révolution, en attendant MacOS X... COMMERCE Linux soutenu par HP et SGI Hewlett-Packard et Silicon Graphics proposent de fournir Linux sur leurs machines à base de Pentium. Le système deviendrait ainsi la partie centrale de l'offre des deux constructeurs et Red Hat Software, le distributeur en titre pour l'offre Hp. Celleci, qui représente l'une des plus im portantes sociétés d'informatique mondiale, développera également une version de Linux pour le M er c e d . En plus de ces SuSE Linux est une distribution de grande qualité qui inclut également plus de 900 applications - comme: ► des versions de démonstration des applications courantes: ADABAS D, les logiciels Office, Applixware et StarOffice, ► de nombreux langages de programmation, ► des logiciels serveur Internet incluant Netscape Communicator, ► émulateur DOS, ► de nombreux jeux et beaucoup plus encore... Linux Office Suite 99 Voici la suite bureautique complété pour Linux, qui tient compte de toutes vos exigences - Linux Office Suite 99 comprend: traite ment de texte, tableur, éditeur graphique, Applix Builder - un en vironnement de développement, Applix Data, offrant un accès simple et direct aux bases de données SQL, Netscape Commu nicator, l'interface graphique KDE; avec 2 CD-ROMs et un manuel de 300 pages (en anglais) d eu x co n stru cte u rs, Com paq, G atew ay et IBM s'intéressent égale ment au fait de certifier leur serveurs pour l'usa ge avec Lin u x. IBM S o ftw a re est m êm e d ep u is peu sp o n so rs Serveur haut de gamme de chez HP. de un des L in u x I n t e r n a t i o n a l (www.li.org). Pour toute commande veuillez vous adresser à M CD 2 Diffusion, 72, Quai des Carrières 94220 Charenton le Pont Tél: 01 56 29 23 00 'Fax: 01 56 29 23 01 Email: [email protected] WWW: http://www.mcd2-diff.fr SuSE SuSE GmbH SchanzackerstraBe 10 D-90443 Nürnberg Tel. +49 911 740 53 81 Fax +49 911 741 77 55 Email: [email protected] http://www.suse.de/fZ CONSTRUCTEUR • L'Alpha, nouveau processeur à bas coût ? Le prix de l'Alpha 533 est passé à 250$ p a r pièce pour 1000 unités. Le futur Alpha à 800 M H z , sans doute parmi nous à la fin 99 , coûtera la même somme. Le Merced\ qui, annonce-t-on, devrait valoir 1500$f a décidément bien du souci à sefaire. • Corel aim e Linux Corelprévoit de porter CorelDraw 9 sous Linux, au plus tôt pour la fin de cette année. De surcroîty le succès de Word Perfect 8 sous Linux (400 000 unités téléchargées en quatre semaines) permet à Corel d'annoncer une version de Word Perfect 2000 , incluant tous les modules pour Linux. • Le reto ur du 4000T IBM m arque des points Le 20 janvier dernier, IBM a reçu la certification C2 pour son p ro d u it A iX ( w w w .s o ftw a re .ib m . com ). Celui-ci représente de fait le seul Unix 64 bits à avoir ce niveau de sécurité. AiX version 4 a même été développé dans ce sens et ce fut finalem ent la ver sion 4.3.1 qui a décroché cette certification, après une m ise à l'é p re u v e de d ix m o is. D an s un to u t a u tre registre, IBM propose WorkSpace On-Demand (W SOD), son système d'exploitation axé sur OS/2 Warp et Java et desti né aux Thin Clients : il dém arre sur des serveurs à base d '05/2 Warp Server. Ce produit est destiné aux entreprises, à cause de ses fonctions d'adm inistration à distance et d'une Java Virtual (jn serveur RS Machine 1.1.6. WSOD perm et aussi d'exécuter les applications Windows 16 6000 sous Aix. bits et, d'ici la fin de l'année, Windows 32 bits. Voilà qui remontera le moral des u tilisateurs de Warp 4, qui d ésespéraient de vo ir un jo u r fo n ctio n ner les applications de Windows 95 sous leur OS favori. Rien n'est annoncé pour Warp 4, mais comme ce produit est très proche de W SOD... POCKET Cinq containers de 40Ü0Tsont Nouvelles m achines de poche Heretic et Hexen, les Le Palmpilot III x de Palm Com puting (w w w .p a lm .co m ) devrait fournée de nouveaux Amiga. nouveaux Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM bientôt pouvoir être disponible. Au chapitre des nouveautés, on www.amiga.de!diary11999/990114 jeux de tro u ve un m e ille u r é cra n , plus de lo g icie ls in tég rés et une -e.html. m ém oire portée en standard à 4 Mo, contre un m axim um de 2 l'alternatif ! Mo pour le Palmpilot III, qui verra égalem ent son prix baisser. récemment arrivés en Allemagne. L'inventaire des pièces utilisables n 'est pas encorefa it y mais cet envoi représente tout de même une belle 3Com tie n t à re n fo rce r sa position vis-à-vis de M icro soft et W indow s CE. Les rum eurs d'un m odèle avec écran couleur se confirm ent. Q uant aux Palm V et VII, il faudra se m ontrer enco re patien t. Psion (w w w .p s io n .fr et w w w .p sio n .co m ), de son cô té , nous pro m et plusieurs n o u velles m ach in es pour cette année. Psion est sorti renforcé par le succès de Sym bian, qui regroupe les trois acteurs principaux de la téléphonie mobile, à savoir Nokia, E ric s s o n and M o to r o la . Il s'avère a c tu e l lem ent difficile de s a v o ir en Palm Pilot quoi c o n s is te ro n t c e s m a ch in e s, m ais il s e m b le c la ir qu'une nouvel le version com Le Palm pilot dans toute sa splendeur. % r p 4 n ^ i c , 1 ! , |r - T it t A O O W Ô f T H f J . Æ i Raven Software et Activision viennent de mettre à disposi tion les sources de deux jeux, H e re tic et H exen (w w w 2 . ravensoft.com /source/). Cela fait suite au succès de l'offre des sources de Doom. Les res ponsables de Raven Software espèrent ainsi voir apparaître m u n ic a n te du Sériés 5 verra le jo ur ; il s'agira des p o rtag es sous Linux et BeOS, ainsi que des versions OpenCI de leurs programmes. d 'u n e s o rte d'hybride entre un té lé p h o n e et un N etw ork Com puter. On peut d'ores et déjà trou ver des versions de ces deux titre s p o u r A m ig a 68k et P o w e rP C ( w w w .to m .h u rs t. clara.net/heretic/index.html). les MARKETING Intel a • / encore copie Le Concept PC 2000 (w w w . zdnet.com/pcmag/news/trends /t981111a1a.html) est un pro duit proposé par Intel, à l'es thétique attrayante et futuris te. Tout cela emporterait l'ad hésion, si Intel n 'avait pas encore une fois p la g ié . Le Concept PC a effectivem ent des allures de W alker, un Amiga. Résumons d onc la chose ainsi : le Walker s'avère novateur et Intel... opportu niste. DISTRIBUTION Le site de Slackware s la c k w a r e ----------------------------- 1 i n sont reunis aui: u x Le 15 janvier dernier, Slackware a ouvert son site Web (w w w .slackw are.co m ). Celui-ci regroupe toutes les res sources liées à la Slackware, ainsi qu'une présentation de Slackware et ZipSIack, une version de Linux prévue pour s'installer sur un système DOS ou Windows, disposant de 100 Mo d'espace disque libre ; voilà une occasion idéale de s'essayer à Linux. Le site de Slackware a été visité plus de 100 000 fois durant les trois jours qui ont suivi son ouvertu 251, rue du Fbg St Antoine 75011 PARIS re. Un triomphe ! métro : FAIDHERBE-CHALIGNY ENQUETE NOUVEAU !!! Sondage sur BeOS Central BeOS Central (www.beoscentral.com/polls/current.shtml) a mis en évidence la proportion globale des utilisateurs BeOS, par le biais d'un sondage. Le nombre de votes est encore assez faible, mais suffisamment représentatif : près de 80 % version de ba exploitent des plates-formes x86 et seulement 20 % préfè rent les plates-formes PowerPC. Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM SYSTEME Wimp2 : le multitâche revu et corrigé pour Risc OS Wimp2 (www.nedprod.com/programs/RISC-OS/Wimp2) est un programme qui transforme Risc 05 en profondeur. Le multitâche coopératif peut se voir remplacé par un multitâche préemptif. La différence se situe dans la gestion même du multitâche, qui passe de l'applicatif au système, ce qui débouche sur un meilleur partage des ressources, au prix d'une gestion plus lourde. Risc OS devient ainsi le seul système d'exploitation proposant les trois modes de fonctionnement connus : monotâche, multitâche coopératif et multitâche préemptif. En vérité, c'est la modularité extrême du système qui autorise la réalisation de cette véritable prouesse. SCSI. STRATRACK. port cartouche, carte MIDI réalisation CYBELEW /^ RAPH IQ U E : 04 50 53 50 90 ACCELERATION Deux nouvelles caries Power PC pour Amiga ■ Deux nouvelles cartes utilisent WarpUp d'Haage&Partner avec l'émulation 6 8 0 6 0 assurée par le P o w er PC . L'émulation du 68060 permet de s'affranchir de la pré sence physique de ce processeur sur la carte, ce qui réduit sensiblement les coûts. La C3 d'Escena (www.escena.de/main-e.htm) propose des proces ^ W AR seurs de 233 à 400 MHz, de 512 Ko à 1 Mo de cache de second niveau et jusqu'à 512 Mo de Ram. La Viper PPC (www.realdreams.cz/amiga/local/21_1viper.html), utili APÂK h r > .• & jr j §3 /; - r v-» . A U S rn U U scanner UMAX HADES 68040 * HADES 68060 * solutions Internet rack 19 pce pour WENSUITEIII + MILAN, HADES, modem SCSI & PC mobilier de studio * lecteurs et graveurs CDR, sera, pour sa part, des processeurs Power PC 604e, G3 et G4 et comprendra deux slots So Dimm, un bus Pci et un connecteur réparation tous pour carte FastScsi. ATARI autres logiciels tél. 0144 93 40 07 fax. 0144 93 36 80 tél. 0143 48 5810 fax. 0143 48 78 66 DREAM-N°59- FEVRIER 1999 * XXL, CUBASE, et EXTENSION • Nouvelle m achine sous Qnx Le constructeur Met@box Infonet AG (www.realdreams.cz!amiga! local/25_1 metabox.html) vient d'annoncer la sélection de Qnx comme système pour son Metabox. Le Cpu utilisé serait un Cyrix Media GXM et très bientôt un Power PC. Axés sur le Net, ils se disent prêts à intégrer une large gamme de produits , comme Intemet-Set-Top Box, Desktop Workstations. • Extension 3Dfx pour carte Picasso Villagetronic a annoncé la sortie d'un module 3 Dfx pour sa carte Picasso IV. Cette extension disposera du chip Voodoo. Les premiers tests font apparaître une fluidité et des effets impressionnants. Reste à savoir si des patches logiciels pour Quake (par exemple) seront disponibles. www.amigaextrerne.comlvoodoo.htrn U tiliser un scanner sur A tari Une des particularités de l'Atari réside dans la capacité, par l'entrem ise du système Gdps, de scanner dans tout programme utilisant ce proto cole. Ainsi, avec un pilote Gdps, il est possible de sc a n n e r d ire c te m e n t dans Pixart, Photoline ou Calamus SL, un peu com m e si l'on avait re co u rs au x d riv e rs T w a in pilotes. Ceux-ci se présentent sous la forme d'ac cessoires à mettre à la racine du disque C. On trouve des pilotes pour les scanners suivants : Epson GT 8000 et 6500 avec interface Scsi, le prin cipe du Gdps ne fonctionnant qu'en Scsi (pilote g ratu it), Mustek 600 et 1200 (Com puterisel), Umax 1200, 1220S, Power Look II, 610 (noir et b lanc u n iq u e m e n t), Vista, 6E et 12E (Homa Studio), Microtek E3, E6, E3+, E6+, E330, E360, 35TT, ainsi que la quasi-totalité des nouveaux modèles en Scsi 2 (Homa Studio). Ces pilotes existent en France ch e z les reven d eurs Atari. Précisons enfin q u 'il y a m êm e des d'autres plates-formes. Il suf fit de placer dans le dos sier Auto le programme Scanner Microtek Gdpsinst.prg., lequel est ScanMaker 5. universel pour tous les offres groupées pilote Gdps + scanner Umax. TECHNOLOGIE Un nouveau modèle de processeur voit le jour : le F-Cpu. . '-y . pourrait ainsi simplement démarrer sur une carte mère x86 et il faudrait alors rajouter un émula teur logiciel pour faire fonctionner des applica tions DOS ou encore Windows. Dans l'immédiat, le F-Cpu peut être installé sur une carte mère standard type 100 MHz Socket 7, Super 7 ou Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM > , .• JL* - V » Slot 1. " S* ^ **. ■.& . 1 • **” •,c• — l< ■ * ’ * \ . REPECEPTC A ôiücow • • * n Le chipset Voodoo en action . Une tranche de processeurs. Le F-Cpu (F comme Freedom) est conçu dans le même esprit que les licences Gnu/Gpl. Il suffira soit d'acheter le processeur pour la somme de 100$ ou de se procurer les plans et de le fabri quer soi-même. Le processeur se rapproche d'un Risc, mais il existe une différence fondamentale : Il s'agit ici d'une architecture mémoire à mémoi re qui perm et de réduire quasim ent à zéro le délai d'attente lors des commutations, principal problème des systèmes d'exploitation actuels. En term e de perform ance, ses inventeurs sem blent plutôt optimistes : grâce à son architecture et à son implémentation, le F-Cpu fera aussi bien sinon mieux qu'un Merced en ce qui concerne les e n tie r s . Le se u l OS d is p o n ib le p o u r le moment est Linux. En principe, tous les logiciels standards développés pour Linux pourront tour ner. En ce qui concerne sa com patibilité avec DOS, l'équipe travaille actuellement à développer un émulateur x86 pour le Bios du F-Cpu : celui-ci m 3 f)H ! C ' E 5 T M LLES V R S W C O R E . Ç f). Alpha à PARIS!!! D é m o n s tra tio n perm anente! Kit Alpha Boitier Middle Tour ATX Carte mère Samsung Alpha 164UX2 Calamus SL 99 La première version de Calamus SL99 (w w w .calam u s.n et) vient tout juste d'arriver chez les bêta testeurs. On note que Calamus s'intégre maintenant totalement à un environnement multitâche, 64Mo SD Ram P ro c e sse u r Alpha 21164 533MHz 1.827,86 € 11.990F TTC!!! Alpha I64UX2 SCSI Boitier Middle Tour ATX car ses boîtes d'icônes ont désormais pris l'aspect de fenêtres. L'aide en ligne apparaît dans le haut de la boîte à outils et non plus en haut à droite de l'écran. S'ajoute à ce cadre prometteur la prévi sualisation des images et documents, dans le formulaire de charge ment/sauvegarde. II y a bien sûr certainement d’autres nouveautés, mais laissons-nous le temps de les découvrir (en effet, la bêta ver Clavier 105 Touches PS/2 22.300F Lecteur 3” 1/2 Sony Souris Logitech Pilot Plus Carte mère Samsung Alpha 164UX2 sion est arrivée sans documentation). P ro c e sse u r Alpha 21164 533MHz AUDIO Le MpB encore inquiété ! Beunners Muac Ngas Artsls Software | MP3 com Harj»vare S Internet mude In The ptlm ofyour tond cbdc h « r« to v i a MP3 for Beqlnners Free Music New to W ^.com or MP3s m général? Dur F m v jj - r t n A sk ed û -est-ons 13 a good p b ce to begm1 Of get a h ea d s tari with over 150 great CD quabty songs and aü the software youll n ee d on S o n g o f th e Day: Thgyo rs a G o d by cur _ - The ; . is a Search I Over 11,0 0 0 .0 0 0 d o w n lo ad s Moniteur 17” Monyka 128Mo de SDRam Carte vidéo AccelStar II 8Mo 3.399,61 Contrôleur UW SCSI Disque dur Quantum Viking il 4,5Go UW Contrôleur Mylex BT920 SCSI CD-Rom Pioneer 36X SCSI Contrôleur Fast-Ethernet DEC +4250F +6650F + 14950F , +1320F Disque Barracuda 18,2 Go +5990F Lecteur Zip interne SC SI +860F Passage à écran 19” Monyka + 1800F Passage à 256Mo de RAM +2220F Alpha I64UX2 IDE Hat N c w M P 3s O z j . Rot> R « p o rt * n d E i i i j € Linux pour Alpha installé Processeur Alpha 600 Processeur Alpha 633 Processeur Alpha 667 Disque Barracuda 9 ,1 Go Bnlliant altem ative R o ck from a ta n ta s lic band! great place to ask questions, for begm ners or tech n ical w izards! TTC!!! Boitier Middle Tour ATX Moniteur 15” Monyka TTC!!! Clavier 105 Touches PS/2 Lecteur 3” 1/2 Sony Souris Logitech Pilot Plus Carte mère Samsung Alpha 164ÜX2 Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM 17.990F P e le T ew nsfcend T h « W m T-» S a * J t » D lo n n » MP3 By Any Ofher Name Would Nol S ound A s S w eet .r-.chas-'-- Küi - ir e s ' \ - M P 3.com reeew ed a demand letler from company çtoimmg nghfs to 1% of aü digital music saies !;>■ U - : • Read the Top 10 Things MP3.com thmks the R tM should do H a - w : - • r. 'n • Four new players m aking their w ay to madeet. f — (. M -i 'r-r-n News organizations w ere quick to mnour.ee that Publie Enemy had reteased th e first M P4 file, but 6 6 they realfy? V V_:.r ; - : r ' Thousands of people from ail lacets ol the music business from artist to record lab els T ick ets _______ « $12*15 • X » P lt c t fm • C j* « iS a m p U r “ V iew th * V iew th e Ofa Righ C » C « c S Vj Br t y B lu t» - Ih i # a c h e t* O w m to ad a R io P ak P hot s o n g s ) a n d bo au to m atica lly e n te re d to w m a D iam ond R io h a n d held M P 3 p lay e d Le Mp3 en marche : http://www.mp3.com Le site www.mp3.com représente une référence pour tous les ama teurs de musique au format Mpeg Layer 3 (plus com m uném ent appelé Mp3). Son but consiste à promouvoir cette nouvelle technolo gie, proposant pour cela d'héberger des morceaux créés par des artistes indépendants (qui n'ont pas signé chez un éditeur "clas sique"). Il s'avère donc envisageable de télécharger des fichiers Mp3 parmi une énorme bibliothèque, classée par genres musicaux. Le site propose également un double CD à la vente, regroupant une sélec tion des cent cinquante meilleurs morceaux. Le 27 janvier, Michael Robertson, Pdg de Mp3.com, a reçu une requête assez inquiétante de la part d'une société appelée Sightsound.com, l'obligeant à rever ser 1 % des ventes de tous les fichiers musicaux proposés en téléchar gement. Les textes des brevets (valides aux Etats-Unis) se trouvent disponibles sur Internet (w w w .o p tip a t.c o m /5 1 9 1 5 7 3 .h tm et www.optipat.com/5675734.htm) et précisent effectivement que l'idée de "vente de fichiers audio téléchargeables" est protégée ! Nous n'avons pas été en mesure de vérifier le bien-fondé juridique des bre vets (qui nécessitent une connaissance du droit américain), mais une chose est certaine : m p 3 .co m ne versera pas un ce n tim e à Sighsound.com, puisque les musiques téléchargeables sur le site se révèlent... totalement gratuites ! Il s'agit tout de même d'une histoire à suivre. Tiens, si on brevetait le téléchargement de fichiers .tgz sur Internet ? DREAM -N°5 9 - FEVRIER 1999 P ro c e sse u r Alpha 21164 533MHz 64Mo de SDRam Carte vidéo S3 Virge 4Mo Disque dur Quantum Fireball EX 6,4 Go CD-Rom Sony 36X Atapi 2.742.55 € Linux pour Alpha installé Processeur Alpha 600 +4250F Disque Fireball E L 12,7 G o Processeur Alpha 633 +6650F Lecteur Zip interne SC SI Processeur Alpha 667 +l 4950F Passage à écran T7” Monyka Disque Fireball E L 10,2 G o +500F Passage à 128Mo de RAM Autres configurations (Windows NT, PC standard à base d’Intel, Ultra2Wide SC SI, Contrôleurs RAID Mylex avec cach e, Cartes O p en G L A cce i, M axVision ou Oxygen, écrans liy a m a , etc.): n o u s c o n s u lt e r ! T a rif s T T C !!! DIGITALE BLEUE hangement d’adresse!!! 10, rue Rodier 75009 PARIS Tél : 01 43 37 93 33 http://www.digitalebleue.fr +800F +860F +?90F +950F A rch itectu res parallèles : quand les processeurs ad d itio n n en t leurs perform ances ! Moins prisées qu'à une certaine époque, les machines à architecture parallèle continuent de fasciner. Le principe de base est simple - multiplier les processeurs pour augmenter les performances - mais son application est moins évidente. En effetqui sait programmer correctement plusieurs processeurs en même temps ? a lcu ler Pi, une racine carrée ou encore e. Déterminer des suites, évaluer des intégrales, simuler des phénomènes physiques. Ou tout sim plem ent m odéliser, anim er, rep résen ter... Les domaines dans lesquels une forte puissance de calcul C En q u ê te d e p e rfo rm a n ce s Le processeur constitue le principal responsable de la vitesse brute d'un ordinateur. Voilà donc pourquoi l'histoire du calcul inform atique s'est fondée sur l'augmentation de ses performances. Par exemple, on a commencé par réduire la taille des composants, pour que les informations qui transitent à l'intérieur aient moins de chemin à parcourir et aillent plus vite d'un point à l'autre. Sur le plan pratique, cela se tra duit par un accroissement de la fréquence (4 MHz sur les premiers PC, 450 MHz sur ceux d'aujourd'hui et au-delà du GHz sur les générations futures). Cependant, les limitations physiques interdisent tout espoir d'amélioration de ce type au-dessus d'un cer tain seuil : le temps de propagation de l'information se trouvé limité à la vitesse de la lumière et la gravu re même des circuits ne peut descendre en dessous de la taille des atomes. D'autant que les physiciens achoppent déjà sur d'autres obstacles, avant même d'avoir atteint ces deux limites. En l'occurrence, il n’y a pas moyen de graver un élément dont la taille est inférieure à la longueur d'onde qui sert à la graver et à une certaine échelle, les circuits n'arrivent même plus à retenir les informations qu'ils véhiculent (effet tunnel). Les améliorations d'architecture ne se limitèrent pas à la croissance de la fréquence. L'intégration de nou veau x m odules, de calcul (FPU ) ou de stockage (cache), explique également dans une large mesure les performances actuelles des processeurs. Revers de la médaille, ces extensions agissent sur la taille de la puce et, de fait, sur son prix, lequel peut devenir rapidement prohibitif. Il faut en effet savoir que la chaîne de fabrication d'un processeur engendre, Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM est nécessaire ne manquent pas ! A l'opposé d'une idée reçue - et facilement acceptée par beaucoup les possibilités offertes par les systèm es inform a tiques restent toujours en deçà des besoins réels des utilisateurs, et tout parti cu liè re m e n t des u tilisa teurs de calcu l in ten sif. C e la v ie n t du fa it que le s d its c a lc u ls , p o u r être efficaces, em ploient des m éthodes d'analyse n u m é riq u e : a in s i, on o b tie n t un ré s u lta t en m e tta n t à c o n trib u tio n une suite de fonctions et de multiples paramètres. hélas, beaucoup de puces défectueuses. Or, pius le processeur est complexe, plus il y a de déchets. Pour des raisons économiques évidentes, le constructeur reporte le coût de ces déchets sur le prix de vente des puces saines. L'exemple le plus parlant est celui du Pentium Pro, dans lequel Intel avait directement intégré 256 Ko de mémoire cache ultrarapide. Les coûts de fabrication se montraient tellement élevées que le fondeur a préféré désolidariser ce cache du reste sur la génération suivante, l'actuel Pentium II. Ainsi, non seulement le taux de puces saines se révè le plus important à la sortie (ce qui rend les puces moins onéreuses) mais, en plus, il s'avère possible de récupérer les caches sur les éléments défectueux. A L e s T r a n s p u t e r s , c es " a u t r e s " p r o c e s s e u r s Le Transputer est un processeur initialement développé par Inmos, puis racheté pa r SC S Thomson M icroelectronics. L'intérêt du Transputer est qu'il est spécifiquement conçu pour le multiprocessing et qu'il utilise un langage de haut niveau, l'Occam, facilitant la programmation concurrentielle. Ce processeur dispose de surcroît d'un coprocesseur arithmétique. Le dernier Transputer de 5C5 en date est le T9000. Il connaît un certain succès en Asie et au Japon. On tro uvera plu s d'in fo rm a tio n s su r les tra n sp u ters aux adresses http://w w w .com lab.ox.ac.uk/archive/transputer/ (Transputer Archive) et http://w w w .st.com / (5T Microelectronics, nouveau nom de SCS Thomson Microelectronics depuis que cette société n'appartient plus à Thomson). A l'assaut des applications ! l'opposé, les processeurs ARM sont les moins pour vus en extensions internes et, comme par hasard, se rangent au côté des plus modiques du m arché. Hélas, leurs faibles performances en calculs flottants les destinent de plus en plus à l'informatique embar quée et de moins en moins aux o rd inateu rs de bureau. Cette situation prend rapidement les allures Dream prof ■ itiiü iixùva i d'un cercle vicieux. Les bases du calcul parallèle Cependant, au fur et à mesure de l'élaboration des systèmes d'exploitation et surtout depuis qu'ils sont multitâches - on a découvert qu'il devenait possible d'exécuter dans un laps de temps très court des ins tructions totalement autonomes les unes par rapport aux autres (ce qui signifie que le résultat de l'une n'influait pas sur celui d'une autre). Les ingénieurs ont alors décidé de mettre plusieurs unités d'exécu tion en parallèle, afin de les traiter en même temps. Comment mettre plusieurs processeurs en parallèle ? de noeuds. Ici, chaque processeur possède sa mémoire propre et se voit directement relié à un nombre limité d'autres processeurs. Un algorithme de routage super vise l'ensemble et répartit les tâches à effectuer suivant la disponibilité et la proximité d'un processeur par rap port à un autre. Cette architecture s'avère plus perfor m ante que la précédente, car la charge de travail bénéficie d'un constant rééquilibrage et la communi cation de données se trouve optimisée. L'algorithme de routage est quant à lui exécuté par d'autres proces seurs (des "mesh"), lesquels n'ont que cette fonction et n'interviennent absolument pas dans le calcul général. Il e xiste p lu sieu rs to p o lo g ie s po ur ce g en re de réseaux, les plus connues étant l'h yp ercu b e (un hypercube de degré n com porte n processeurs et chaque processeur se voit connecté à 2 An autres pro cesseurs) et le tore (les processeurs se • A rch itectu re de Von Neumann Modèle de conception matérielle, dans lequel la mémoire et le processeur sont deux éléments distincts. • SiSD Single Instruction Single Data. Une instruction ne peut traiter qu 'une donnée. • SIMD Single Instruction Multiple Data. Une instruction peut traiter plusieurs données d'un coup (celles-ci sont réparties sur les diverses unités d ’exécution). • MIMD Multiple Instruction Multiple Data. Plusieurs instructions se voient en mesure de traiter plusieurs données en même temps. • MISC Multiple Instruction Single Data. Plusieurs instructions traitent en même temps la même donnée. Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Ces recherches ont débouché sur deux technologies : le SIMD (Single Instruction M ultiple D ata) et le MIMD (Multiple Instruction Multiple Data). Le SIMD caractérise les processeurs disposant d'une architec ture en pipeline (une instruction n'a pas fini d'être exécutée que déjà, on commence à traiter la suivante) et en superscalaire (plusieurs unités d 'exécution contenues dans un même processeur). Aujourd'hui, cette technologie est présente dans les processeurs des ordinateurs grand p u b lic. On la trouve par exemple dans les Pentium, les PowerPC et même dans le 68060. Le MIMD correspond à un ensemble de processeurs indépendants, qui coopèrent au sein d'une même machine. Les premières machines MIMD ont été des ordina teurs à mémoire partagée. Ceux-ci se caractérisent par un nombre relativement faible (deux à douze) de processeurs individuellement assez puissants, qui partagent une m émoire com m une et co m m u n i quent ensemble par son entremise. Toute la ruse de cette technologie vient de la découpe de la mémoi re en sous-ensembles : les "bancs". Leur taille rédui te permet à chaque processeur d'accéder très rapi dement aux données dont il a la charge, ce qui ne serait pas le cas s'il devait systém atiquem ent se repérer dans l'immensité de la mémoire totale. Les ordinateurs Cray de Silicon G rap h ics o ffrent un exemple de ce type de machine. Les "massivement" parallèles Toutefois, en terme d'architecture parallèle, il y a mieux ! La te c h n iq u e du L o o s e ly C o u p le d Processors implique à cet égard la notion de réseau répartissent sur un ta b le a u à d e u x dimensions et sont re lié s e n tre eu x par une colonne et une ligne). Il convient de pré ciser que certaines m a c h in e s o n t la capacité d'adapter leur topologie au type de problème q u 'e lle s o n t à résoudre ; il en va par exem ple ainsi p o u r le V o lv o x d 'A rc h ip e l. Dans ce cas, l'algorith m e de ro u ta g e n'est plus exécuté p a r des p ro c e s s e u rs , m ais p ar des transputers. .« c o m m e c c h o o fiM o t. dfibP... I 'e s t Le calcul p arallèle dans la p ratiq u e Les films de science-fiction nous apprennent que les ordinateurs parallèles sont la chasse gardée des industriels de l'espace. Eh bien, aux dernières nouvelles, ceux-ci n'en veulent plus ! pétrochimie ou la pharmacie, les spécialistes de la mécanique des fluides qui cherchent à optimiser le dessin et par là même les performances des voitures, avions, bateaux et autres sous-marins et même les mathématiciens s'échinant à découvrir des nombres premiers toujours plus grands en passant par la fac torisation (les nombres premiers étant les seuls à ne pas pouvoir se factoriser, contrairement à ce que dit Bill Gates dans son livre La Route Du Futur)... Bref ! Les applications du calcul intensif se m ultiplient chaque jour pour donner plus de confort, de fiabilité et de qualité aux produits que nous utilisons quoti diennem ent. Qui a dit que les mathématiques ne servaient à rien ? L'inutilité des m onstres inform atiques Et pourtant, malgré tous leurs efforts, les construc teurs de stations "massivement parallèles" (telles que les Cray de Silicon Graphics, le FX8 d'Alliant, l'iPSC de Paragon ou encore la Computing Interface de Meiko) ont vu leurs brillantes technologies progressi vem e n t ab an d o n n é e s, ou, depuis le début des années 90 disparaître totalement. On se trouve confronté à une situation invraisemblable : la demande se montre énorme et pourtant l'offre s'effondre ! Les raisons de cet échec commercial s'ex pliquent certes par le prix très élevé des machines, mais surtout par leurs difficultés de programma tion. En effet, les modèles mathématiques co u ra n ts tire n t d iffic ile m e n t parti Des applications militaires... Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM A ujourd'hui, les besoins en calcul numérique h a u te s p e rfo rm a n c e s a b o n d e n t : les constructeurs automobiles qui simulent les déformations des structures des véhicules en cas de choc, les avionneurs chargés de tester et de prévoir en machine le comportement des cellules, les divers m otoristes étu dian t la fatigue des élém ents d'un moteur de n'importe quel type, les chimistes appelés à mettre au point par simulation pure des réactions com plexes dans des dom aines aussi variés que la d 'une a rch ite ctu re p arallèle et les compilateurs dédiés voire les algo rithmes de calcul sont particulièrement pénibles à appliquer, surtout pour des laborantins uniquement intéressés par l'expérimentation. Dans la plupart des cas, l'augmentation des capaci tés de traitem ent des systèmes a essentiellement perm is de révéler des problèm es fondam entaux, relatifs à la conception des algorithmes de calcul. Par exem ple, l'augm entation du nom bre d'itérations d ’un séquence quelconque, par un facteur 100, 1000, ou 10 000, a parfois fait apparaître des aberra tions dans les résultats. Celles-ci résultaient en fait de propagations d'erreurs infinitésimales ainsi que de convergences établies sur des bases approximatives et inexactes. Autre surprise, un changement de processeur peut égalem en t avoir des conséquences inattendues. Ainsi, il a déjà fallu remplacer le calculateur par une version plus récente, disposant d'une taille mémoire Bibliographie Algorithmes Et Architectures Parallèles, par Michel Cosnard et Denis Trystram (Intereditions). La M achine A Connexions, p a r Daniel Hillis (Masson). High Performance Computer Architecture, par Harold S. Stone (Addison Wesley). Science And Engineering On CRAY Supercomputers (CRAY books). ...et de simulation spatiale. accrue pour les nombres à virgule. Quelques m il lièmes de plus dans une variable de simulation aéro nautique avaient la conséquence suivante : tout un fuselage devait être reconstruit, alors que l'applica tion demeurait identique ! En outre, ces quelques millièmes risquaient, à plus grande échelle, d'entraî ner la variable hors des bornes numériques d’une application, laquelle se mettrait invariablem ent à déraper, alors qu'elle avait toujours très bien fonc tionné par le passé ! En fonction de la gestion des erreurs dans le code en question et de sa taille, ainsi L e s l oi s m a t h é m a t i q u e s du c a l c u l p a r a l l è l e Le gain de performances à espérer lorsqu'une application est traitée sur une architecture parallèle s'avère proportionnel au taux de code pouvant s'exécuter en parallèle sur un nombre de processeurs donné. Par exemple, s'il y a moyen de traiter en parallèle sur quatre processeurs 80 % du code, le gain idéal sera de 0,8 x 4, soit un facteur d'accélération de 3,2. Il faut en fait considérer les parties de code non parallélisables. Ainsi, les phases de séparation (split) et de rassemblement (gather) demeurent indispensables. Loi de Minsky Le facteur d'accélération est borné par log2(p), p désignant le nombre de branchements binaires du programme. projets de plusieurs millions de dollars... De fait, le cal cul en parallèle est rapidement devenu l'apanage des bidouilleurs, lesquels l'expérimentent sur un matériel plus modeste (voir pages suivantes). S'il suit les traces de Linux, peut-être le verra-t-on un jour resurgir sur le devant de la scène commerciale ? Les problèm es techniq ues de la p arallélisatio n Il y a principalement deux aspects à considérer lorsque l'on souhaite paralléliser un code (c'est-à-dire faire en Le fameux Cray 1. sorte qu'un code s'exécute sur plusieurs processeurs en parallèle). Tout d'abord, les efforts devront converger vers la partie du code sur laquelle l'ordinateur passera le plus de temps. Dans la majorité des cas, il s'agit d'une boucle. Ensuite, il faut se demander si cette partie du code est parallélisable, ce qui revient à vérifier qu'il n'y a pas une variable externe susceptible de rendre chaque Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM cycle dépendant du précédent. Sous Unix, trouver la partie de code la plus utilisée dans le temps se résout par l'exploitation de "profilers" (sortes d'outils qui analysent le déroulement d'un pro gramme), tels que prof, pixie, gprof ou hiprof, que ' l'on exploite com m e des librairies. Ils interviennent lorsqu'on relinke le pro Des armoires pleines d'unités centrales. que de celle du jeu de données, la recherche de l'er reur puis sa. correction se traduisent parfois par d'in terminables semaines d'immobilisation du matériel. Un seul processeur pour les scientifiques Cet ensemble de difficultés et de déboires, associé au désir légitime de re n tab ilise r à co u rt term e les énormes investissements consentis, ont donc conduit à un abandon rapide de ces machines, précipité par gramme, avant que l'exé cu tio n du b in a ire ain si cré é ne p ro d u ise des fichiers de log analysables. La seconde partie du pro blème se révèle beaucoup moins évidente. Les com pilateurs parallèles do n nent g é n é ra le m e n t des l'apparition de processeurs unitaires extrêm em ent performants, à la manipulation beaucoup plus aisée, tels que les célèbres Alpha, conçus par Digital. Les informations sur les éven tuelles p articu larités du code interdisant la parallé lisation, mais n'apportent derniers modèles, les EV6 (EV=Electro Vlassic), sont les premiers à associer, à la puissance brute, des straté gies intelligentes (logique prédictive) de gestion du cache et du pipeline, ce qui place cette génération, pas vraim ent de solution co m p lè te . A ce n iveau , seule l'expérience et l'in g é n io sité du p ro g ra m une fois de plus, bien au-dessus de ses plus proches concurrents, en termes de performances. Certes, un seul processeur reste en théorie moins rapide que plu m e u r, a sso cié e s à une bonne connaissance des m é th o d e s de c a lc u l sieurs autres en parallèle. Toutefois, dans la pratique, il se révèle plus fiable, ce qui constitue un argument massue à partir du moment où. l'on manipule des n u m ériq u e , p e rm e tte n t de m ettre en place une solution. Comment paralléliser un code ? Faites vous-même du calcul parallèle sous Linux ! Bien qu'il soit techniquem ent réalisable de placer sous PVM des spécimens très différents (un Mac, un 3 8 6 , une station Alpha et, pourquoi pas, un Cray), il est évidement plus intéressant et plus pratique de mettre en oeuvre une architecture de calcul distri buée avec des noeuds (processeurs) identiques ou, au pire, de puissance similaire. Com m ent ça m arche ? PVM se compose de deux éléments bien distincts : un d ém o n , pvm d , présent o b lig ato ire m en t sur Ah ! Comment ne pas rêver d'additionner les performances d'une pléthore de micros (neufs ou vieux), afin d'obtenir une machine à la puissance de calcul fulgurante ? Eh bien, apprenez une étonnante nouvelle Linux a permis de transformer le voeu pieux en réalité ! E mode commande ou par l'entremise d'une interface graphique, xpvm, qui permet de visualiser les carac téristiques et le comportement des tâches réparties. baiooQxholnode Labs), une idée sim ple et po urtant ingénieuse a vu le jour : elle consistait M achine", était née. Son développem ent devait profiter tout d'abord aux machines Unix. Cependant, les clients PVM peuvent aujourd'hui tourner aussi sur des systèmes VMS, M acOS, Windows et, bien entendu, Linux. Le m atériel qu'il vous fau t Le principe est remarquable et se limite à faire croire à l'application qu'elle s'exécute guration de celle-ci. L'utilisation de PVM se fait en S p ac e -T tm e : T asks v s . Urne n 1993, à ORNL (Oak Ridge National à associer plusieurs calculateurs, dans le but de leur faire effectuer un véritable calcul parallèle, en utilisant le simple lien réseau comme bus de communication entre pro cesseurs. La notion de PVM, "Parallel Virtual chaque m achine susceptible de faire partie de la machine virtuelle, et un ensemble de routines et de primitives, destinées à contrôler l’exécution du pro gramme sur la machine virtuelle, ainsi que la confi ü G fla tn x :ch o lh o st bedatrtxxhobiode bigbluOxfiolnodc canopusrcholnode m srxholnode sun4xholnotte v i s 1 tchtrtnodu v is 2 :chofnode Close j Vtew Info: Waung O verheatl. Computing | Message Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Pas de rappel caduc avec le calcul parallèle. L a sl E vo nt P ur T a sk: A b a t o o O :c h o < n o d c p v m _ r e c v l ( ) b u f - 5 , 4 4 4 b y t e s fr o m 1 8 0 0 0 1 , in s g t a g - = l7 b s f ia t r t x x h o f f i o s t p v m _ re cv O ( o x fffrrrrf, b e f la t r t x x b o t n o d e p v m _ rB c v O ( O x ffffffff, 8 ) 16003) b ig M u O x J t o t n o t t a p v m r e c v l ( ) b u f - 5 , 4 4 4 b y t e s fro m 1 8 0 0 0 1 , m s g t a g - 17 c a n o p u s : c h o b io d o p v m r o c v 1 ( ) b u f ~ 1 , *148 b y t e s f r o m 1 8 0 0 0 1 , m s g t a g - 1 6 m s rx h o in o d e p v m j n c a s t D O m s y t a g - 1 6 t o : 8 0 0 0 1 c O O O l 1 0 0 0 0 1 1 4 0 0 0 1 1 8 0 0 0 1 Ic O O O l 2 0 0 0 0 1 4 0 0 0 4 s u n - lr c h o i n o d o p v m _ m c a * t ü ( ) m s g t a g - 1 4 t o : 8 0 0 0 1 c O O O l 1 0 0 0 0 1 1 4 0 0 0 1 1 8 0 0 0 1 Ic O O O l 2 0 0 0 0 1 4000-1 v f s lx h o in o d e p v m _ c o c v O ( O x ffffffT f. 4 ) v ts? x to tn o d o p v m _ ro cv O ( o x r r rr r m . 7 ) r i sur une machine multiprocesseurs. En fait, cette machine n'existe pas, ce qui explique que l'on emploie l'adjectif "virtuelle" pour la quali li 1 m m * — 1 fier. Il s'agit juste de l'amalgame de plusieurs ordina teurs connectés entre eux, fonctionnant de concert grâce à PVM. Ces machines, de n'importe quel type, doivent sim plem ent com m uniquer entre elles rapi dement, grâce à un réseau de ThinW ire ou 10BaseT, par exem ple. Ainsi, quatre pauvres vieux PC 486, récupérés à 400 francs d'occasion chacun, avec une carte Ethernet, constituent déjà une configuration rêvée pour tester à la maison les diverses facettes des systèmes massivement parallèles ! Dans les deux cas, la prem ière étape consiste à configurer la m achine virtuelle en spécifiant l'en semble des ordinateurs coopérants. Il convient de noter que, dans ce cadre, n'im porte laquelle des machines possédant le démon pvmd peut devenir le "master", c'est-à-dire le chef d'orchestre coordon nant l'activité des autres systèmes. Le master devra s'acquitter de la coordination seule (tel l’algorithme de routage sur les gros systèmes à plusieurs proces seurs), m ais aussi, éventuellem ent, prendre à sa charge une partie des calculs à effectuer. Le Master ne représente donc pas nécessairement, loin s'en faut, la machine la plus puissante des systèmes mis à contribution dans votre machine virtuelle. Il a même des chances d'être la plus faible d'entre elles, surtout s’il ne p a rtic ip e pas au x tâ ch e s de c a lc u l. Les machines de calcul, quant à elles, s'avèrent idéale ment homogènes, afin de limiter la complexité de la répartition des opérations. Le modèle de calcul de PVM repose sur un postulat simple, selon lequel un programme peut être décou pé en plusieurs tâches ; celles-ci prennent alors la forme de "process" ou de "threads". A ce niveau, une tâ ch e a so u ven t la ch arg e d'un sous-ensem ble SIMM EDO 32 bits 60 ns Cologne le triomphe! Plus d'informations su r http://w w w .am iganew s.com 4 MO 8 MO 16 M O 32 M O 64 M O 128 M O .. 1 2 0 ..2 0 0 ..400 ..740 1380 3200 Toutes nos barettes SIM M peuvent aussi se co n n ecter su r des B lizzard 1260! (le préciser à la com m ande). Pour comm ander : • Passez au m agasin ou, • É crivez-nous en jo ig n a n t le paiem ent par chèque ou m andat cash o u • T éléphonez-nous avec votre carte bancaire. y L e s livraisons à domicile Drawstodio / : Port total en France sans m a té rie l..............................................................50 Port total en France s'il y a au m oins un m a té rie l................................ 80 T raitem ent p rio rita ire .................................................................................. +20 L ivraison su r une î l e ....................................................................................+20 D O M -T O M ........................Prix variable scion le poids et la destination Z one E uro et S u is s e ...............................................................Port postal +15 R e co m m an d a tio n ..........................................................................................+70 C haque em ballage c a d e a u ......................................................................... +10 A ssurance de transport p ar tranche de 2000 F en F ra n c e .................. + 30 Vous pouvez p ayer en E uro sur sim ple dem ande. 1 E uro = 6,55957 Franc. L a législation peut nous interdire de vendre dans certains pays. Les prix sont indiqués en francs français et sont rév isab les sans préavis. V w s Nos conditions de ventes : L 'ab sen c e d e p a iem en t d an s les 10 jo u rs à c o m p te r de la fa ctu ra tio n am èn e une m ajo ratio n d e 10% ind ép en d am en t des in térêts légaux. Toute som m e due à l'échéance porte in térêt au taux légal annuel m ajoré de 50% san s m ise en dem eu re p réalab le et sans p réju d ice de tout au tre d ro it que se réserve notre société. Toutes les com m andes sont ferm es et définitives. Les frais d 'o u v ertu re d'un d o ssie r co n ten tieu x so n t d e 120 francs. Frais d ’étude d'un devis 150 francs. L ettre recom m andée 70 francs. A nnulation accep tée p ar n o tre so c iété 150 francs. C h aq u e m arch an d ise reste notre pro p riété ju sq u 'à son règ lem en t co m p let en p rin cip al et en intérêts. Les risq u es de tran sp o rt sont à la ch arg e du d e stin a taire. L 'esco m p te p o u r p a ie m e n t a n tic ip é est d e 0%. En cas de litige seul le trib u n a l de 47 avenue de la lib éra tio n F63000 C lerm ont Ferrand. « 04 7 3 3 4 3 4 3 4 . Clermont F errand est compétent. Flying H igh................................................................199 Flying High data disk.............................................. 140 Forest D um p ..............................................................140 Formula 1 F errari..................................................... 170 iM iim Formula 1 Grand P rix ...................................... —...220 OnfittUeur Amiga A 1200 M ag ic........................... 2 5 9 0 Foundation C D .........................................................269 Ordinateur Amiga A 1200 M agic H D ...................3 2 9 0 Gateway 3 ....................................................................75 .......„ ............................................... 155 3D Im ages Ordinateur Amiga A 1300 T our...............................3 3 4 0 G.I.G.N. Opération Ju p iter..................................... 140 Amiga Forever......................................................... 360 Ordinateur Amiga A 1400 T o u r Z o rro I I ............ 4 8 4 9 Genetic S pecies........................................................ 269 Amiga Format 36 (et moins) —.............................. 49 Ordinateur Amiga A 1500 T our Z o rro I I I ........... 5 9 4 9 G ig an o ïd .................................................................... 160 Amiga tools 8 (et m o in s)....................................... 129 Apollo 630 68030 33 M hz + C o p ro ........................8 0 0 Golden dem os............................................................. 95 Aminct 29 (et m oins)............................................... 89 ApoSlo 630 68030 50 M hz + C o p r o ...................... 11 50 Gunbee F 9 9 ............................................................... 159 Aminct set 7 (et moins)...........................................199 Apollo 1240 68040 25 M hz + C o p r o ..................1 390 H arlequin................................................................... 150 APC TC P 6 (et m oins) - .............................. 89 Apollo 1240 68040 40 M hz + C o p r o ..................19 9 0 Hook, le capitaine C rochet..................................... 140 Asim C D FS.............................................................. 480 Apollo 1260 68060 50 M hz + C o p r o ...................2 9 9 0 ..................- ................................... 150 CD Developer........................................................... I S O J ^ ’^ l m p e r a t o r Apollo 1260 68060 66 M hz + C o p r o ...................3 5 9 0 160 Infestation.................................................................. 140 Cybergrafx v4.... Apollo 2030 68030 50 M hz + C o p ro + S C S I .. 1 790 J e t................................................................................ 140 ....................- ....................230 Cygnus ED ......... ApoUo 4040 68040 40 M hz + C o p ro + S C S I.. 2 4 9 0 Knights of the Sky.................................................... 170 .......................................... 290 DigiBooster Pro. Apollo 4060 68060 50 M hz + C o p ro + S C S I ..3 8 9 0 Kang F u ..................................................................... 390 .......................................... 480 Elasiic D ream .... Apollo 4060 68060 66 M hz + C o p ro + S C S I ..4 4 9 0 Krusty Fun House les Sim psons............................140 Euro Cd 3 (et m oins)......................... - ................... 129 Ariadne Ethernet version c o m p lète n o n a llé g é e 8 9 0 Lcm m ing.................................................................... 140 Envoy 3 ..................................................................... 330 ~.............................3 6 9 0 Blizzard 1260........................ Lemmings I I ..............................................................169 Fusion Mac Em ulator............................................. 699 Blizzard SCSI Kil— ............................... ~...................6 9 0 Les aventures de M oktar......................................... 140 Gcck G adget...............................................................99 Blizzard PPC 603e+ SCSI 160 M h z - 6^8 0( 4^0 ► G cstacom ple............................................... 200 à 1490 Lethal W eapon...........................................................140 Blizzard PPC 603e+ SCSI 2 0 0 M h z 6 8 0 4 0 3 18 0Gct connected......................................- ..................480 Lotus I I I ....................................................140 Blizzard PPC 603e+ SCSI 2 4 0 M h z 6 8 0 4 0 3 6 8 0 G P F ax .......................................................................495 M cDonaldland...........................................................140 Blizzard PPC 603e+ SCSI ! 60 M h z 6 8 0 6 0 5 2 8 0 Hard Drive M en u Mickcy 123...................................... - ....................... 160 ~.......................................119 Bfczvd PPC 603e+ SCSI 2 0 0 M h z 6 8 0 6 0 5 3 8 0 Ibrowsc V F ...............................................................380 Mickcy A B C ..............................................................160 Blizzard PPC 603e+ SCSI 2 4 0 M h z 6 8 0 6 0 5 6 8 0In to the n et............................................................... 155 Mickcy M ém oire...................................................... 160 BViîion SMO pour B lizzard P P C ..........................1 4 6 0 Mickcy Puzzles anim és........................................... 160 Kara collection ........................................................ 265 Csncmèraoire+horloge avec su p p o rt 8 M o 390 Mickcy 123 + abc +Mémoire + Puzzle................ 560 Light ROM 6 (4 CD ) ........................ - ......... 280 Cybentorm MK3 UWSCS1 6 8 0 6 0 ........- .............4 4 8 0 M ogel..........................................................................140 Magic W B ................................................................. 109 Cybentorm PPC U W S C S I180 M h z ....................4 3 8 0 M otorhead.................................................................. 140 ............ 189 Magic Publisher Cybentorm PPC UWSCSI 2 0 0 M h z .................... 5 2 8 0 Myst CD ou d isq u ette.............................................379 M akc CD D A O ........................................................ 380 Cybentorm PPC UW SCSI 2 3 3 M h z .................... 5 7 8 0 Navy seals............................................................ — .140 Meeting Pcarls.................. 69 Cybentorm PPC UW SCSI 180 M h z ............ 4 9 0 5 Ncmac IV ................................................................... 140 M iam i........................................................................ 279 Cybentoim PPC UWSCSI 2 0 0 M h z 6 8 0 4 0 ....5 8 0 5 Nigcl M ansell............................................................140 Mod's A nthology......................................................199 Cyberstom PPC UW SCSI 233 M h z 6 8 0 4 0 ....5 8 4 0 No Second P rize —.............................................140 M ogcl.........................................................................139 Cybentorm PPC UW SCSI 180 M h z 6 8 0 6 0 ....6 8 8 0 O loftght................................—..................................229 Netnews o fflin e ......... 39 Cybentotm PPC UW SCSI 2 0 0 M h z 6 8 0 6 0 .... 7 7 8 0 ^ ^ . N e t C o n n e c l On escapee.................................................................259 - ............. - ...............................580 Cybentorm PPC UW SCSI 233 M h z 6 8 0 6 0 ...6 8 8 0 Othelo K iller.............................................................. 140 Opus P lu s.................................................................. 185 Cybervision 8 MO pour C y b ersto rm .....................1 5 8 0 Piracy on the High seas........................................... 140 Organiser V F ........................................................... 240 Digiüliwur a u d iophonique 8 b i t s ...................... 3 5 0 Push-O ver - ....................................- .............140 Personal Paint........................................................... 199 Interface Midi p ro fessio n n elle — ..........—.3 1 0 Quake C D ..................................................................339 P FS2.......................................................................... 330 BsibSeur de fréquence.................................................6 5 9 Robocop......................................................................140 Print S tudio...............................................................259 Lecteur de disquette interne D D s t a n d a r d ........... 2 7 0 RVF H onda - .................................................... 140 Red Hat L in u x ..........................................................129 Lecteur de disquette interne H D s t a n d a r d ........... 5 8 9 Samba World C u p ................................................... 269 Rcxecutc le compilateur ARexx........................... 290 Lecteur de disquette externe H D M i c r o n i k .........6 2 9 Sccne Xplorer2 — .................................................... 145 Scala M M 400............................................ - .....499 OS 3.1 VF A500/600/2000— .................................... 5 9 0 Silcnt Service II........................................................ 140 Scanquix VF - S canérisaiion ............................... 690 OS 3.1 VF A1200/3000/4000 ................................... 6 9 0 Silk W orm .................. —............................................ 140 Siamesc System ....................................................... 299 Pffnet Amiga vers Am iga ...........................165 Sim C ity ........................................... - ....................... 140 Spcccy C lassix’9 8 ................................................... 190 Picasso IV -................................ 2490 Simant - les fo u rm is................................................140 STFax P ro ............................................- ..................640 ►Coocierto Picasso .......................................9 9 0 Six Sens Investigation.............................................359 Studio Professionna! 2 .2 ........................................ 296 ►W onu Picasso — ................ - .................. 790 Sky B laster..................- ............................................. 140 SupcrV iew ................................................................ 199 ►Piblo Picasso ........................................... 9 9 0 S tar W ars.................................................................... 140 The Best of M ecom p - .......................................119 P lu t » ...................................................— 1 9 9 0 Street Fighter 2 ......................................................... 140 Tomado 3 D ............................................................ 2890 Stniet Amiga vers CD32 av ec l e c te u r ................... 2 4 9 Super Hang O n — ........................................... 140 Truc 3 D ......................... - ......................................... 190 Souris 2 boutons — ................................................ 159 Super Tetris........................................ —....................140 Turbo Cale V F .......... ,; ¥— .................................... 490 Souris 3 boutons haute r é s o lu tio n ............................2 2 9 Suspicious C argo...................................................... 150 Turbo P rin t........................- ...................................... 449 Joystick ........................................- ................... 159 Sword o f S o d an ........................................................ 140 Ultimatc Blilz Basic C D .................. - ....... —........220 Topolino pour A2000.............................. 320 Thcmc park................................................................ 140 WEB i t .......................................................................155 Topdme autre A m iga ......................................... 2 9 5 The sccne archive - ......................................... 145 W ildfirc..................................................................... 890 Tour Alêo................— ....— ......................................9 9 8 Thundcr B ladc...........................................................140 WordWorth VF................................... 490 Tour Iafmith .......................................... 12 4 0 Time K ccpcrs............................................................189 Workbench Designer 2 ............................................ 119 ►Alimentation interne Micronik...................... 380* ^ - 5 0 0 Screcn Savcrs volume 2.....................................95 Time of R cckoning.............................. 235 Coque clavier Amiga+adaptateur+cordon.... 380 WMiPJ J i i ffiEl Tiny S w cek................ - .............................................140 .................... 1390 ►Carte Zorro II Micronik UFO....................- .......................................................140 Aftcr Bum cr A crial.....................- ..........................159 ►Cote Zorro III Micronik......................... . 3 189 Ultimatc S kidm arks.................................................159 A lcatraz...................................... - ............- ............... 159 ►Sortie externe SCSI Micronik..........................169 Uropa...........................................................................189 Alien 3 ........................................................................140 ►Adaptateur PCMCIA Micronik...................... 245 Virtual K arting.............................. - ........................ 180 Amiga O loftght........................................................ 269 ►Lecteur interne DD Micronik......................... 380 Vulcan Bonanza........................ - ............................. 239 Anime Babcs - Le nu au fém in in .................~......240 ►Lecteur interne HD Micronik......... - .............559 Vroom data d is k ................................................140 Ballistix......................................................................159 Nippa diverses pour Amiga............Nous contacter Wild Whccls K arting...............................................140 Bills Tomato G ame.................................................. 159 Lcr, ciels Amiga en ex clu siv ité ADF1 Wing C om m ander - ........................................... 265 B lad c.................................................- ...................... 269 SwœCVF......................... 1340 W izkid.........................................................................140 Bob’s Bad D ay .......................~............................... 140 AttEfféet..— .......................... - ........................610 Zombie M assacre..................................................... 165 Captain B lood...........................................................140] Cceçcter Graphics VF (Sortie vers a v ril) 690 Cartoon C lipart.........................................................175 DrwStedio VF...-............ - ..............- ............... 790 Chazc HQ ...........................~.....................................140 Dnpac 3.18 VO .........................................290 C ivilization...............................................................220 Devpac 3.50 VF.— ------—...695 Clown-O-Mania........................................................140 Dfoflagct VF........................................ 290 Compilation Amiga Classix (24 je u x )................ 219 140 ►Thème Espace ................................ Compilation Dream Team (3 jeux O céan).......... 140 1690 PageStrcam Mac. 140 ►Thème Lettres ..... - ............. — Compilation Fox Collection (4 jeux T itu s)........ 140 140 > Thème Chiffres..™.............................. Compilation Game Atack (23 je u x )—............. 149 140 ►Thème La mer— ................. ~........... Compilation Mctalic Power (3 jeux L ankhor).. 140 710 Décalages complet (économisez 140 *) Compilation M onde M erveille (3 jeux Océan). 140 VügicSynthesis VF (Sortie vers m ars)..............690 Compilation Adventurc (4 jeux M egasiar)...........99 PigeStitamAmiga VF nouvelle version..........1690 P r o c e s s e u r s PC Compilation Fightcrs (4 jeux M cgastar)............... 99 ►ExtenrionTextFX (effets de tex te)................490 Processeur P 7 5 .....................- ................................. 319 Compilation Sport 2 (3 jeux L o ricicI).................140 ►Euenrioa Bordcrs (effets d'ornementation). 490 Processeur Pentium II 233............ - ..................... 1499 Compilation Vulcanology (9 jeux V ulcan).........229 ►Filtre JPEG — .................. 240 Processeur Pentium 11 266....................................1789 Crazy Cars 3 .................................................... — 140 ►Filtre WwdWorth nouvelle version................ 240 Cytron psygnosis .................................... 169 Processeur Pentium II 350................................... 2359 ►Effet de Gary (effets d’image)........................ 290 Processeur Pentium II 3 3 3 ....................................1889 Darkman...*..— ................................................. 140 ►MoceurTroc Type (fontes .ttf).................... -.2 9 0 Processeur Pentium II 400— ..............................3140 Eat the Whistlc (fo o tb all)......................................215 ►Scnario ARexx — — .................................240 Processeur K6-2-350.............................................. 1129 E lf.................................................................~............140 PipStmm complet (économisez 720 F) ..... 2960 Processeur K6-2-333............................................. 1019 Euro Leaguc M anager.............................................180 TjpeSmith VF - ...............................- ......... 490 Processeur C eleron 3 3 3 A ..................................... 1179 F -19 Stcalth F ig h te r................................................ 180 RéparateurA.B.E. VF.......................................... 470 Processeur K6 2 3 3 ....... 659 FIFA Intcmationnal S o c c r......................... 220 Spouted'impression V F ............... 120 Processeur Cyrix 2 0 0 .............................................. 659 Final O dysscy.......................................................... 330 Rtatt Stylus- Canon VF...................................... 190 Processeur M il 3 0 0 ................................................. 599 Pire Force.................................................................. 140 Tome 1: Evcc VF................................................320 Tome 2 : matériel V F ............................................. 320 Bien débuter A600 V F ............................................190 Bien débuter A1200/A4000 V F ............................190 Clavier accentué V F................................................ 120 Environnement Workbench V F .............................120 . AMIGA Processeur IBM PR 2 3 3 .........................................459 B a r e tte s m é m o ir e SDRAM SD Ram 32 MO 100 M hz.—— ..........,................. 389 SD Ram 64 MO 100 M hz.................... - .......... 759 SD Ram 128 M B .................................................... 1509 Win 98 O EM .............................................................819 Win 98 M a j ........................... - .................. 839 Via Voice 98 exclusive.................................- .......1479 Microsoft office étudiant.......................................1479 Ciel C o m p ta..........................................- ................1479 Family P a c k .......................................... Rainbow 6 ............................................. - ................. 399 Office P M E .............................................................2359 Home E sscn cial....................................................... 949 NT4 w orkstation......................... - ........ - .............. 1819 Works 4 — 319 Office Pro M a j............................................ - .........3119 Pack office Lotus Smart S u ite .......................- ....... 79 Pcanyw here............................................................. 1419 Norton Anti V irus.................................................... 279 É n ilH H b id ATX Grande tour...................................................... 789 AT Grande to u r ........................................................ 789 ATX moyenne tour................................................... 369 AT moyenne tour...................................................... 219 AT m ini - ..............................................................219 C a r t e s m è r e s PC Abit PII 440 B X ....................................................... 979 CM 100 Mhz S I A GP............................................. 499 CM PII Bx ALI + C S ...............................................579 CM BX Asustec P II............................................... 1379 CM LX PII + C S ...................................................... 729 Câble im prim ante...................................................... 45 CM KTX 512 Ko Chips T X .................................. 709 Cable d'alim entation............................—......— .... 85 CM VX pro + carte s o n .......................................... 469 Câble SCSI 1 -)2 5 b ..................................................49 ASUS 440 BS 5 SCSI 2 ........................................ 2509 Câble SCSI 3 -)25 b ................................................279 F>2L97 Asustec LX atx + agp P I I .........................1169 Câble SCSI 2 -)2 5 b ................................................ 129 C a r te s g r a p h i q u e s PC Câble SCSI 2 - ) 2 ..................................................... 249 Extension ATI 4 M O ................................................249 Câble SCSI 3 - ) 3 .................. 249 ATI Xpert works 4 MO A GP..................... ;..... 579 Nappe SCSI U W 2.................................................... 369 ................. 619 ATI Xpert @ 98 8 MO A GP Nappe 7 SCSI 2 ..........................................................69 ATI Xpert @ works 4 MO P C I............................. 609 Nappe interne Ultra W id c.......................................149 ATI ail in wonder pro 4 MO A G P ......................1419 Nappe 2 Vi vers 3 x/i et 3‘/ r ...................................... 140 S3 I M O e x t2 M O .................................................. 169 Votre nappe Amiga est également disponible.... xxx Carte M1RO DC 3 0 + ............................................ 8979 Carte TV MIRO PC T V ....................................819 M odem ISDN ............................................................619 Sis 3D AGP 4 MO + T V ........................................ 269 M odem Pro U S R ....................................................1679 Sis 8 MO A G P ..........................................................229 M odem USR K56 externe pour A m iga 1490 Intel i740 8 MO A G P ..............................................509 M odem Hayes + adaptateur pour A m ig a 1349 S3 2 M O ............. - ................................................. 259 M odem USR 33.6 P C M C IA ...............................1209 Trident A G P .............................................................. 259 M odem externe num éris....................................... 3519 Number Nine AGP 4 MO SW R A M .....................269 M odem Olitec interne 56 k ....................................459 M illenium G 200 AGP 8 M O ................................. 78J M odem USR K56 in tern e...................- .................499 Voodoo II3 D F X 12 M O ...................................... 14 M odem K ortex..........................................................399 C a r t e s s o n o r e s PC Sound Blaster 128 P C I......................... 609 iM 'llü ü m d 14 “ (écran 35 c m )......................... 1059 Live 128....................................................................1809 15 “ (écran 38 c m )...............................— ........... 1209 Sound B laster 16—................................................... 239 15 " (écran 38 cm ) garanti 3 ans pour Amiga.. 1540 Carte Sound B laster AW E64................................. 479 17 “ (écran 43 cm) prowiew.................................2359 Carte son com patible Sound B laster.................—109 17 “ (écran 43 cm) garanti 3 ans pour A m iga..2790 Sound B laster 32. .................................................309 20 " (écran 50 cm ) garanti 3 ans pour A m iga..7590 C la v ie r s PC C lavier PC P S 2 ...........................................................89 Routeur Syxel Prestige 1 0 0 ................... 3769 Clavier PC A T ...................................... 69 R outeur Syxel Prestige 128 ................................ 4469 C lavier PC M ultimédia avec H P............................149 R épartiteur 8 ro u te u rs .’.............................. 1729 C lavier PC standard pour tour A m ig a..................158 Carte réseau ISA .............................................- ........109 Clavier PC M icrosoft Intclli PSI1.........................229 Carte réseau P C I....................................................... ! 19 C lavier PC M icrosoft É lite.....................................259 19 pouces S A M P O ........................................ — 4709 C lavier PC ergonomique pour tour A m iga 399 D is q u e s d u r s e n 3 300 • 6 0 0 / / pour P C .............................. 409 .3 Go UDM 3 3 ........................................................ 1129 300 * 600 SCSI pour P C ...................................... 1019 6.4 Go UDM 3 3 ........ 1429 S can n e r Epson GT7000 p o u r A m ig a 1790 6.4 Go UDM IBM garanti 5 a n s ......................... 1729 S can n e r Epson G T7000 P h o to p o u r A m iga 2290 8.4 Go UDM A 3 3 ...................................................1639 6.4 Go SCSI UW .................................................... 2829 Souris PC PS 2 ............................................................ 29 4.3 Go S C S I............................................................2359 Souris PC A T .............................................................. 29 9.4 Go SCSI U W - ....... - ......................................4239 Souris PC 3 boutons.................................................. 85 D is q u e d u r 2V!t d e p o r ta b le s , A 600 e t A 1200 .1040 Souris PC P ilo t......................................................... 179 520 Mo IBM garanti 6 mois. Souris PC Home M o u se..........................................169 .2190 3 Go IBM garanti 3 a n s ........ Tapis so u ris................................................................. 30 G rav eu rs d e c é d é ro m s Game Pad P C ............................................................ 169 G raveur IDE 2x 8x m itsum i - ....................1649 A c c e s s o ir e s G raveur S C S I......................................................... 2219 Palm Pilot................................................................ 2589 G raveur Yamaha 4x 4x 16x S C S I.......................2690. 14 ^ ^ ’^ ’O ndulatcur 500 v a ................................................... 990 Cédérom vierge K odak.................................. 14 Protecteur an ti-foudre.............................................319 Cédérom vierge Verbatim.............................. Contrôleur PC SCSI .............................................. 489 Im p r im a n te s HP Deskjet 895 C x i................................................2500 Adaptec 2940 ultra w id c ......................................1869 Stylus Color 4 4 0 ........... 990 Distributeur 4 écran.................................................1129 Stylus color 6 4 0 .......................................................1490 Basculeur 2 écrans.....................................................179 Stylus Color 7 4 0 .................................................... 1 7 9 0 ^ ^ ^ ^ a s c u l e u r 2 im prim antes........................................180 Disquette 720Ko-8S0 Ko par boîte de 1 0 ............. 45 Cartouches Stylus noir et blanc ou co u leu r........ xxx Tablette graphique T R U ST .................................. 1699 Cartouche HP xx N o ir........................ — ..............239 B oitier 2 emplacement 5 1/4 S C S I.......................790 Cartouche HP 6xx C o u leu r....................................249 Rack ID E.................................................................... 109 Cartouche HP 690 P h o to ........................................ 319 B oitier SCSI 2 a p p a re ils ........................................ 740 Cartouche pour HP 720 couleur............................ 309 Adaptateur 2Vi vers Vh ............................................. 95 HP 500 w ................ 409 HP 300 w ........................................................... 479 HP 220 w ..................................- ............................... 179 HP 240 w ....................................................................179 Hub 8 p o rts................................................................709 J o y s t ic k PC .109 PCPC R aid cr. .439 Flignt Force... ..69 T ru st............... Joypad T ru st..............................................— ............ 79 P a g eS tre am et D raw S tu d io Typhoon - ............................................................ 239 sero n t v o s c o m p a g n o n s in d isp e n sa b les. Rainbow runner pour M v stic .............................. 2039 L e c te u r s d e c e d e r o m s L e cteu r de céd éro m s 40 x ID E in te rn e ............ 590 Lecteur de ccdéroms 32x SCSI interne .............. 789 L e c te u r d e c a r t o u c h e s Zip Lecteur ZIP SCSI ex te rn e ......................................990 Lecteur ZIP parallèle...............................................990 Lecteur ZIP IDE interne..........................................890 Cartouche Z ip........................... - ................................99 . . . . Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM MAC INTOSH PC W VENTE - ACHAT RÉPARATION CONSEIL 299 com plet du program m e. Nous nous trouvons alors dans le cas du parallélism e fo n ctio n n e l. Il arrive égalem ent que la tâche soit chargée de traiter uni quem ent une partie des données. Il s'agit alors du traitem ent parallèle de données. PVM supporte ces deux modes et possède même la capacité de les m élanger. Néanmoins, prenez garde : tout cela ne s'effectue qu'avec des applications com pilées expressém ent pour le fonctionnem ent en parallèle (tel Pov, par exem ple). Les autres susciteront le com portem ent suivant : PVM ne verra qu'une seule et unique tâche et aura de fait bien du mal à la répartir sur les diffé rents calculateurs. Enfin, il faut noter que PVM utilise une stratégie de com m unication interprocesseurs (en fait, interm a chines), qui lui est propre. Il existe d'autres im plé m e n ta tio n s de s t r a t é g ie s s im ila ir e s , te l M PI (M e ssa g e Passing In te rfa c e ), q u 'il est p o ssib le d'adapter à PVM. Tout sur un CD RedHat Si le cœur vous en dit, rien ne vous interdit de tenter sans plus attendre l'aventure du calcul parallèle, grâce au CD-Rom Extrême Linux, de Red Hat Software. Son contenu est une compilation des travaux réalisés dans le cadre du projet Beowulf, au NASA Goddard Space Flight Laboratory. Celui-ci consiste dans la mise au point d'un supercalculateur parallèle, qui passe par l'exp lo itatio n de com posants standards ("o ff the shelf") et d'un environnem ent logiciel un petit peu particulier (compilateurs, moniteurs, démons). Ce CD contient absolument tout, ou presque : une version RedHat Linux 5.0 (non, il ne s'agit pas encore de la dernière version 5 .2 ) pour Intel (seulem ent...), des _________________________________________ Wwflf&T Dream prof • G ranularité logicielle Rapport entre le nombre total d'opérations à exécuter dans un programme et le nombre de tâches indépendantes qui le divisent. • G ran u larité m atérielle Nombre de processeurs constituant une machine parallèle. • V ecteur Tableau à une dimension. • M atrice Tableau à deux dimensions minimum. • Blas I, Il et III Basic Linear Algebra Subprograms. Ensemble de routines contenant des fonctions mathématiques standards, optimisées pour une architecture donnée. Cet ensemble se décompose en trois sous-ensembles : I - traite des opérations vecteur/vecteur I I - traite des opérations vecteur/matrice I I I - traite des opérations matrice/matrice • Lapack et Linpack Bibliothèques de routines pour le calcul numérique linéaire. Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM compilateurs parallèles, des interfaces graphiques, des pilotes réseau spécialisés, des outils de mesure de per formances et d'applications, ainsi que des exemples intéressants. Bien entendu, vous disposez également des sources, à l'exception de ceux d'aimk ; il s'agit du w rapper de make, indispensable pour recom pi ler. Vous a c c o m p lire z ce tte d ern iè re d ém arch e pour xpvm (mais pas pvm d), si vous upgradez de la RedHat 5.0 à la 5 .2 . La com pilation doit s'ef Le c a l c u l p a r a l l è l e s u r I n t e r n e t fe c tu e r san s d iffic u lt é . Prenez garde cependant à Mailing lists b ien p ré c is e r d a n s le [email protected] M akefile.aim k le chem in [email protected] [email protected] Newsgroups comp.sys.super comp.parallel comp.parallel.pvm comp.parallel. mpi Sites Web www. beowulf. org wwwmddsp.enel.ucalgary.ca/People/adilger/povra y/pvmpov.html sal. kachinatech.com/C/2/PVM.html des fichiers Tel et Tk, ainsi q u e des b ib lio th è q u e s X I I , et veillez à spécifier un link d ynam ique (sta tiq u e p ar d é fa u t), sans le q u e l v o u s a lle z audevant de sérieuses diffi cultés. Ces o p é ra tio n s so n t de to u te faço n bien e x p li quées dans le fichier readm e ... à condition de les lire avant de com m encer ! E n fin , n 'o u b lie z pas de PVM. définir les valeurs appropriées aux variables d'envi ro nnem ent P V M _RO O T et X PV M _RO O T, soit au niveau système, soit par compte utilisateur. Vous ne disposez que d'une seule machine ? N'ayez aucune inquiétude ! L'environnement vous permet de simu ler la présence d'une machine parallèle distribuée, en attendant mieux. Que ceux qui utilisent Linux sur autre chose qu'une plate-forme Intel ne se sentent pas lésés : ils pour ront tout de même acquérir ce CD sans hésitation. En effet, outre des sources, celui-ci leur offrira énor mément d'informations, ainsi que l'édition complète en Html d'un ouvrage consacré à l'utilisation et à la configuration de PVM (publié chez MIT Press). Christophe Le Cannellier et Yann Serra C a r t e s PPC Ultra-W ide Arnica 4 0 0 0 Lecteur CDROM ATAPI 3 6 x ................................. 3 5 0 F Lecteur CDROM SCSI Plextor 4 0 x 990 F Graveur CD SCSI Teac R55S x4 x 1 2 ..............2 1 0 0 F Graveur CD SCSI Yamaha x4 x4 x16 ............ 2 7 9 0 F Graveur CD IDE M itsum i x4 x S .......................1 7 9 0 F Disque dur IDE UDMA 3.2 G o 950 F Disque dur IDE UDMA 4 .3 G o ........................ 1 0 5 0 F Disque dur IDE UDMA 6 .4 G o ........................ 1 2 0 0 F Disque dur SCSI 4 .3 G o .................................. 1 9 0 0 F Disque dur SCSI UW 2.3 G o ....................... ... 1 0 0 0 F Disque dur SCSI UW 4 .3 Go ......................... 2 0 0 0 F Lecteur ZIP ATAPI in te rn e ................................... 6 5 0 F Cyberstorm 235Mhz support 040 ou o s e 4 690 Cyberstorm 233Mhz avec oao à 25 mhz 4 900 Cyberstorm 233Mhz avec o&o à somhz 6 990 Slizzard 603e+ 160Mhz & 040 à 25 MHz 2 590 Slizzard 603e+ 200Mhz support oso à 50 MHz 2 990 Slizzard 603e+ 200Mhz&04Oà25MHz................ 3 1 0 0 Slizzard 603e+ 200Mhz&060à50MHZ .............. 5 2 9 0 Slizzard 603e+ 240Mhz support oso à somhz....... 3 5 9 0 Slizzard 603e+ 240Mhz&040 à25MHz 3 690 Slizzard 603e+ 240Mhz&osoà5OMHz.............. 5 9 0 0 V~^ Délire !!! A b it SX PII B H 6 .....................................................6 5 0 F Asustek SX PII P 2 S ............................................1 1 5 0 F Pour l’achat d’une c a rte TXPro + Audio (100 Mhz) pour l\ 6 ...................... 4 9 0 F P ro c e sse u rs PC PPC, nous vous offrons le port sur l’ensemble de L— , votre commande. ,— Slizzard 603e 160Mhz &040 à 25 MHz 1990 Slizzard 603e 200Mhz & 040 à 25 mhz................. 2 5 9 0 Slizzard 603e 240Mhz & 040 à 25 MHz...................3 1 9 0 AMD K 6-2 3 5 0 Mhz.............................. AMD K.6-2 4 0 0 Mhz ............................ Pentium II 3 5 0 Mhz .............................. Pentium II 4 0 0 Mhz .............................. SVision PPC ô M o ............................................1 3 9 0 CyberVision PPC S> Mo ..................................... 1 4 9 0 Scan Doubler interne A 1 2 0 0 ...............................6 5 0 MaxiGamer Phoenix 16Mo AGP ou PCI M atrox Millenium G 2 0 0 8>Mo A G P .... | N’hésitez pas à nous c o n s u lte r pour vos connexions SCSI ! Pensez à surveiller wvwv.vgr.com tour profiter de vos CyberVisionPPC. Attention à la hausse des barettes de m émoires S IM M ! ATI Xpert@PIay ÔMo A G P .................... 3DFX Voodoo II 1 2 M o............................. M oniteur 15" 0.26 1500 M ém oires RAM M oniteur 17" 0.26 2 950 DIMM SDRAM PC100 6 4 M o 630 F DIMM SDRAM PC100 12Ô M o......................... 1 3 0 0 F SIMM EDO 6 0 n s 3 2 M o ........................................5 5 0 F M itsubishi 17" 0 .2 5 Plus 71 3 590 M itsubishi 17" 0 .2 5 Plus 7 2 3 990 M itsubishi 17" 0 .2 5 Pro 7 0 0 4 990 M oniteur 17" 0 .2 6 ...............................................2 5 5 0 Route départementale 523 • 3 3 5 7 0 TENCIN F rais de p o rt : Moniteurs : 150 F Processeurs, RAM : 25 F Autre : 5 0 F Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Tél. : 0 4 7 6 4 5 6 0 6 0 Fax 0 4 7 6 4 5 6 0 5 5 • w w w .pragm a-info.com A la une en Février Tout sur la motion capture Mille et une pattes, le nouveau dessin animé de Pixar Pleins feux sur la pub Evian ii lutin». im w eaver 2 En kiosque tous les mois 'ta.n o uve«e vm io n du cHus gin nd .logiciel d« création k do p a g « web 1 42 francs avec un CD-Rom offert sn « tt’o p r ° et jon CD avec répertoire Amiga et Atari - -* m i Langages de program m ation : des origines à la jungle ! type de programmation existe encore aujourd'hui : il s'agit du fameux (par sa mauvaise réputation) langage machine ! Très rapidement, le besoin d’utiliser un lan gage plus proche de l'homme conduit à l'élaboration du langage d'assemblage. En s'appuyant sur un langa ge proche de la machine mais décrit avec des mots (et non du binaire), un programme, nommé assembleur, tra d u it ce code en lan gag e m a ch in e . Prenons l'exemple d'une addition en utilisant une pile. A partir du code en langage d'assemblage (appelé assembleur par abus de langage) : PUSH 12 PUSH 13 Qui dit "ordinateur” dit "logiciels” et par conséquent "langages de programmation" On pourrait penser que depuis que l'informatique existe; on a eu le temps d'en faire le tour, en fait; il y a erreur, car la galaxie des langages existants et à venir ressemble plus que jamais à une véritable jungle. ADD l'assembleur crée une suite de bits qui correspond à l'opération "additionner 12 et 13". Ce procédé extrê u début était la carte perforée. Programmer un ordinateur revenait à disposer dans un bac ^ ^ W Lp lusieu rs cartes perforées, chacune correspon dant à un traitement élémentaire (charger un registre, additionner deux registres, etc.). L'exécution du pro Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM gramme correspondait à un traitement mécanique : avaler une carte lire celle-ci effectuer l'opération jeter la carte à la poubelle ou encore modifier la perfo ration. Supposons qu'une carte contienne 8 bits de données (c'est-à-dire 256 trous) et que la machine en avale une par seconde : on obtenait alors, à la fin des années 4 0 , un débit de l'ordre de 2 8 8 0 0 bits par heure ! Pour déboguer un code, il "suffisait" de parcou rir en long et en large l'ordinateur (traduction : énor me machine très bruyante) pour découvrir le problè me. Cependant, ne nous moquons pas, puisque ce Les vautrés de l'écran. Oblique Oric. m em ent sim ple met en évidence une lim ite très importante de l'époque : l'absence totale de connais sances sur la théorie des langages. La révolution se nomme Fortran La réalisation du premier compilateur de l'histoire fut un projet gigantesque, évalué à plus de vingt annéeshomme (il a donc fallu beaucoup d'hommes pour le réaliser en quelques mois). Le fait que cette révolution se nomme Fortran en fera sourire plus d'un, tant le lan gage est décrié aujourd'hui, excepté par une poignée de spécialistes en calcul numérique intensif. Le caractè re titanesque de cette réalisation pourra peut-être nous étonner, d'autant que l'écriture d'un compilateur des tinée à un langage généralement bien plus puissant que le premier Fortran constitue aujourd'hui un exerci ce traditionnellement donné aux étudiants en licence. Cependant, il faut se replacer dans le contexte. A l'époque, les concepteurs de Fortran s'étaient lancés sur un terrain inexploré, les connaissances en matière de compilateurs (et toute la problématique qui s'y rat tache) dem euraient nulles et des outils spécialisés comme les célèbres générateurs de code Lex et Yacc restaient totalement inexistants ; sans parler du fail que tout devait être implémenté en assembleur ! Pai rapport à ce qui se faisait à l'époque, le résultat s'avéra extraordinaire. Essayez d'imaginer le nombre d'instruc tions en assembleur que nécessiterait la réalisation di programme de calcul de produit matrice*matrice (opé ration extrêmement fréquente dans les application: scientifiques) suivant, exprimé en quatre lignes de Fortran : DO1=1,N gages les plus récents tentent une sorte de fusion (sou vent, il s'agit plutôt d'un compromis) plus ou moins heureuse entre ces deux univers. D ifférents types de langages DOJ=1,N DOK=1,N C(I,J) = C(I,J) + A(I,K)*B(K,J) Un outil permettant de décrire des algorithmes et de les faire "tourner" sur la machine se trouvait ainsi dis ponible ! L'ordinateur sortait de sa période expérimen tale pour devenir utilisable : à n'en pas douter, il s'agis sait d'une véritable révolution ! Cette faculté excep tionnelle, qui consistait à écrire des calculs sous forme "mathématique", fut à l'ori gine du nom du langage : Fortran, abréviation de leur capacité d'évolution. Ils correspondaient à l'origine à des besoins très différents, qui aujourd'hui se rejoi gnent. Il n'y a donc rien d'étonnant à ce que les lan Il n'existe pas aujourd'hui un langage de programma tion qui ne soit pas un descendant plus ou moins direct de Fortran ou de Lisp. Si l'on s'intéresse unique ment à l'aspect langagier heresy *localdonain FORmula TRANslator, ce qui signifie en français "traduc teur de formules". Lisp, le chemin inverse — — A peu près à la m êm e époque (fin des années 50), un projet pratiquement anti nomique à celui de Fortran démarra. Fortran p erm it enfin d'utiliser sérieusement un ordinateur, pour effec Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM tuer du calcul numérique ; toutefois, dès le début, les utilisateurs m anifestèrent 'ë Y a quelque pause en-dessous de l'hérésy... Les arènes de Vim. leur volonté d'être égale ment en mesure de programmer des traitements sym (et non à l'environnement de programmation et d'exé boliques (soit, manipuler des informations à l'état brut, cution), une différence fondamentale sépare les deux et pas uniquement des nombres), ce dont Fortran se ancêtres : Fortran est impératif et Lisp, fonctionnel. Ils révéla (ce qui demeure toujours le cas) absolument représentent les deux classes principales de langages ; incapable. Il fallait donc se doter d'un nouveau langa tous les term es très prisés actuellem ent ("orienté ge. C'est alors qu'on se souvint du "lambda-calcul", objet !", "fortement typé I", "dynamique !" etc.) ne une théorie mathématique développée avant la guerre et pratiquement oubliée. Le lambda calcul permit d'in troduire explicitement en informatique les notions de fondions, d'évaluation et de récursivité et d'imaginer désignent que des attributs pouvant s'appliquer à une catégorie comme à l'autre. Les langages im p ératifs un langage minimaliste par sa syntaxe, mais à l'exten sibilité et à la puissance d'expression infinies. En pra De façon très théorique, les langages impératifs se rat tachent au principe de la machine de Türing. En pra tique, cela signifie qu'à l'intérieur de ces langages, on tique, ce langage faisait un usage intensif de listes donne des ordres simples et directs à la m achine, d'éléments ; voilà pourquoi on le baptisa "List processing language" (langage de traitement de listes), ce comme additionner deux valeurs, PUIS multiplier la somme par 100, PUIS imprimer le résultat. Cette philo sophie présente au moins deux avantages : on la qui explique l'apparition de l'acronyme "Lisp". Plus de trente ans avant l'avènement de java, Lisp offrait déjà des caractéristiques telles que la machine virtuelle ou la gestion automatique de la mémoire ! Beaucoup moins riche que Fortran à ses débuts, voire inexploitable à d'autres fins que le développement de Lisp lui-même, ce langage put par la suite tirer parti de son incompa rable évolutivité. Ainsi, ces deux langages, totalement opposés dans leur conception, s'avéraient pourtant très complémentaires. Fortran et ses nombreux succes seurs (C, C++, entre autres) sont tournés vers les per formances et la proximité avec le matériel. De leur côté, Lisp et ses rejeto ns ( Sm a llta lk , Schem e, CommonLisp, ML...) ont pour qualités leur puissance et retrouve au niveau électronique (le langage machine est impératif), ce qui rend donc plus facile la construc tion des compilateurs, puisqu'il s'agit, schématique ment, de traduire une instruction complexe en plu sieurs instructions élémentaires. Autre atout, une telle approche se montre assez intuitive et en tout cas facile ment abordable pour le débutant (c'est-à-dire tous les informaticiens de l'époque de Fortran). Elle consiste donc en une pure exécution séquentielle, un pas après l'autre. Les langages de cette catégorie, quant à eux, se distinguent les uns des autres essentiellement par leurs instructions évoluées, mais aussi par les possibilités de "structuration" offertes au programmeur. File Edlt ■Jf V iew / • Communicator £ Back d l Reload Bookmarks ^ Go Home Location: Search Guide Prlnt Help ü a f « 5 Secunty } itt p / / « » . c o tu s-L in k a . o r g / >1 100 PRINT "UN" 110 GOTO 120 P R IN T 130 GOTO Internet _ j Lookup _ j New&Cool updxted C e tus Ltnkx - O bjec t-O rle n ta tio n 270 "D E U X " 270 J a n u a ry 2 4 , 1 9 9 9 / W e e k 4 260 PRINT "NEUF* 13,060 Links on Objects & Components W h at's N ew ? Download Suggcst Mc<vWaated Abotf.Ç çtas £ ç tu s T e&p Micrerÿ H o ^ s M ovcd/Broken **w r«4fea.çk w m 0 G e w r a l In fo r m a tio n ► G eneral Distrifruu»d O b ie e ls & C o m p o n o n iv ^ Q g ? ffa l Service? wojcted C O M ÿÆ Ç .Q M Lggai C3gy-&.Paste Comnanle? Ç Q R fiA v ^ v o g e a n s ^ .- Servçff. 270 .. s u ite du programme et ceci à chaque fois que l'on veut accomplir cette opération ! En revanche, dans un langage procédural, on se dote de la procédure afficher_en_toutes_lettres : Mofrils Asc n s lnifimçl n» re procédure a ffic h e r_ e n _ to u te s _ le ttre s : le paramètre x ► .Q gacre i Fram e w o rk * g ^ sm s QQAP Metfaod? m L e s t un nombre ► Gentrai A8A? Obiect? Ma BETA C++ L an g a g e s Si x=l a ffic h e r "UN"; CLOS COBOL Delphi pylar. Eiffel Farté Ja v a ,., jg v a S c r g t... M o d u lais O beron-2 O b ;ectiv e-C uroxr® Perl Prolog Python REXX S ether S e l Simula Si x=2 a ffic h e r "DEUX"; Smafltefc Tti-Tk y&aLBasc^ Vis&l.Foxpro mrs^. ► General QP.CJBMS. ORDBMS QRMagelns Reppsntor.ç? ► ErBJSSLMâQSSfimÊûî MefriÇS R f la t o d T o p î c ? R & ü ê l e s & g, Si x=9 a ffic h e r "NEUF"; fin de la procédure. S tcxcli w w w .c e tu s -h n k s org r p a r a a l match ![ Dans le programme principal, on peut alors l'utiliser and«»“ ; * or- ' , ‘ no «paceal à loisir : C entral Site: ffw w .ç s t^ - f o t o i s . America: 3raz8 C tnada/B C Canada-OC USA/IL USA/WA A sia: Jsp an Korea PhSgmaex Taiwan Auxtraha: Auxtraha Europe: Austria G en aan y R uxaa Spain Switzenand T h cN cth criands U £ Copyright (D 1996-1999 b v M anfred Schneider Site Vlxitx: 0 1 5 , 4 0 9 since M ay 1996 jÿ :r ioo% Link penaud. Exécution séquentielle et sauts : trop Basic ! ? ! Pour permettre une programmation réaliste, il nous suf fit de disposer d'une instruction particulière, pour "sau ter" à un autre endroit du programme ou revenir en arrière. Suit un exemple que tout le monde connaît : a f fic h e r_ e n _ to u te s _ le ttre s (1) ; a ffic h e r_ e n _ to u te s _ le ttre s (x ); a ffic h e r_ e n _ to u te s_ le ttre s(x + y ); Bien que Pascal fût conçu avant tout pour l'ensei gnement, le concept de langage procédural rempor ta un tel succès qu'il devint une véritable religion pendant des années, y compris pour les langages les Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM £ 8K> J> y . f i R*ûâd â jf- * d- r> S«rtti B or.im ali £ ( . « « * » fct.t? //* * * n m l Lccop £ j HrnSCooi 10 PRINT 'Vive Basic" 20 GOTO 10 99 Bottles of Beer (reprendre l'e x é c u tio n à p a r t i r de 227 Computer Bear S tylo l 'i n s t r u c t i o n 10) En fait, ce n'est rien d'autre que ce qu'offre déjà le langage machine (ou, si vous préférez, l'assembleur), les instructions "évoluées" en plus (com m e PRINT). Cependant, lorsqu'il faut résoudre des problèmes complexes, ce modèle se révèle beaucoup trop limité et donne lieu à des program m es épouvantables ; ainsi peut se définir la programmation spaghetti du Basic (langage qui porte vraim ent bien son nom). Pourtant, bien avant l'avènement du Basic, Fortran avait déjà introduit une amélioration très importante, à savoir les pro céd u res. Il s'agit d'un m oyen de décomposer un programme en plusieurs "sous-programmes", communiquant les uns avec les autres par l'intermédiaire de paramètres et de valeurs de retour. On en arrive ainsi aux langages "procéduraux", dont le langage Pascal constitue l'un des premiers repré sentants. Les procédures perm ettent en quelque sorte de doter le langage d'instructions encore plus évoluées que ce qu'il n'offre par d éfaut. Si, par exem ple, on voulait afficher des chiffres en toutes lettres en Basic, cela donnerait quelque chose du genre : 10 IF X=1 GOTO 100 20 IF X=2 GOTO 120 90 IF X=9 GOTO 260 3î?tlvli#6ntaokeK08waiface7/U W .7M»«K£ChOKBM4 e - - c il ::, for Marcfc 19,1997 FtrtK»; err^he (Sert. I'd b e h o n o .'rd tsh av c jT ^ ïU 5 r j7 O T û t Crx ü tx m A â iiçf •’ t’jry o ContoiüCiit o Psm c3:m o àWvias&aüii*. O M»'. Uiâfif. L r o f u y j O Tu.l oatSelitùtti T«ke One D o w . A B ric f l ü i t o r y On I fcracr Uaficf ttit I c . o rjrijr "W. «roc i*vrtr pon r f «V c 2r t lyres a ‘99 sotte» xd B « r on Sx W*1 ' M e câetil 147.t u v u tctTi u j -vtstc of bt&èmAfa f t x e n tp r c r u t w i i t h f t m e job c a ü h s v e b e a ie c c e n p to e d 'm l id x h Q e js t BASIC e d h e r e w n i à c n bu 10 20 30 40 50 60 PEU B a s ic v e r s i o n o f 9 9 b o t t l e s o f b e e r PC» X -100 TO 1 3TEP -1 PP!NT X ;* & > t t l e ( s ) o f b * o r 00 t h e v a l l , * ; X ; ‘ b o t t l e ( s ) o f b e e r " PRINT "TsXe o n * d o v n en d p s s s t t a r o u n d .* WtIXT X - l ; " b o t t l * ( s ) o f b e e r 00 t h e v s l l " IIEXT Kowcnr thr. canybmersnad; tbe c in s tx af a th S a tC T . ^ ^ y sr.Tten. 11 i r o c ta S a ÿicwlaa %•&, * y rtràa-. al '99 Il epeatd tbe Ib sa ju x i «cm p rs p is rs e n (ïsm ifl evtxfce wartl i»vt âC em s T m x w k Mwred l»oiB*|es-! re p tt CjU 1 ô a 1! isne îu MDW ta creiar te? of Cmjrojr«=saerr. Hewtver, If 70Uipet rw r e * e ctSecato, pleaie ceed n e y r r üjtm *od =al »f*ta s tbc fenn of « comrocofl a tte «pprepMit l*m a$e. (Or est o c ic rn a e rt » c o d e .. î m rare corcried; u n w itt « rtfletxcetiL) C o n trfb u d n g Wei!V99caaeioe T W ikc»tartedw *h»bcu!2a U c f u j | a * r ib * 3so o e ilfn E n aa fe -lb « 4 * e p * d * illn s jio te tead me prsjrurj. KraevtT.fjwS d u t I rx p rx Jx t T V KoMoy fc*iœ èfD ececbc/1995 «pptrendy jrrtpfOfiiîtbeaUy-Sme* 1 vm lonef *99 Boules'dut l u t t a iMicaSeeboapkou. » e ^ l 1 t d d t L B u t inivwyi beer h istod th«t If f w wich ta «fcf Le langage de programmation vient de faire un grand pack. plus professionnels, comme Modula ou Ada. Les langages fonctionnels ou la beauté des m athém atiques Les langages fonctionnels ont emprunté un chemin très différent. Ici, on ne manipule pas des instructions, ni des "variables", mais des fonctions au sens mathé matique du terme, avec toutes les opérations permises sur celles-ci. Les fonctions sont elles-mêmes des don nées, qui peuvent se voir traitées à leur tour par d'autres fonctions (que l'on appelle, selon les auteurs, les "fonctionnelles", les "méta-fonctions", les "fonctions d'ordre supérieur", à moins que l'on décide de ne pas faire de différence !). Ici, l'exécution d'un programme représente une opération purement syntaxique ; le programme, dépourvu de début et de fin, ne se "déroule" pas et existe en tant que tel. La conversion en langage machine (indispensable pour qu'un pro gramme puisse accomplir la moindre action) a des chances de paraître au début plus compliquée que dans le cas des langages impératifs, où l'on se conten te de transposer les instructions, mais une fois maîtri sée, elle est infiniment générale. Exemple ? Regardons le programme suivant (écrit en Scheme) : (define binop (lambda (op a b) (op a b))) Il crée l'opération "binop", qui permet d'appliquer une fonction à deux valeurs quelconques. On se trouve en mesure de l'exécuter, par exemple grâce à : (binop + 12) type", qui donnent la réponse attendue lors de l'exé cution. Vers les langages orientés objets En se concentrant sur le problème de l'expression d'algorithm es, les langages pro céd uraux com m e Fortran, Pascal ou C n ég lig en t plusieurs besoins importants en matière de génie logiciel. En premier lieu, l'expérience montre que les programmes procé duraux sont facilement obsolètes. De plus, la sécuri té du code est discutable. La faute en incombe à une approche quelque peu restrictive de la programma tion, qui privilégie les traitements au détriment des données manipulées. Pourtant, les données consti tuent la clef du code réutilisable, évolutif et sûr, car finalement, ce qui intéresse l'utilisateur est de savoir ce que prend le pro gram m e et ce qu'il renvoie comme résultats, et non com m ent il y parvient. On Ainsi, nous appliquons la fonction "+" à 1 et à 2, ce qui revient à effectuer l'addition 1+2. Cependant, on peut va donc tenter d'inverser les rôles : le programmeur devra désorm ais travailler sur les données, tandis tout aussi bien procéder de la manière suivante : que les algorithmes passent au second plan. L'école fo n ctio n n e lle a pris acte très ra p id e m en t de ce retournement de situation ; il n'y a donc rien de sur prenant à ce que les premiers langages à objets aient été réalisés en Lisp. (binop lis t 'hello world' binop) Nous appliquons alors la fonction "list" (qui a pour résultat de construire une liste) aux deux arguments "hello world" et binop lui-même, créant ainsi une liste contenant le message "hello world" et le programme binop. A l'aide d'un seul programme et d'une unique traduction en langage m achine, nous bénéficions pourtant d'une infinité de manières différentes d'exé cuter celui-ci ! Ce langage suppose que l'utilisateur aime les parenthèses et la notation préfixée, mais un bon éditeur simplifiera l'écriture des programmes. Le L'approche objet : p rio rité aux données Le principe reste toujours le même : des inform a tions, ainsi que tout le code perm ettant de les trai te r, sont in tég rées au sein d 'une m êm e e n tité , appelée "l'objet". Aux procédures et au programme Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM mode "séquentiel", qui procède étape par étape, peut sembler obscur, mais de l'aveu général, l'ap prentissage d'un tel langage représente un investisse ment plus que rentable. De toute façon, la puissance du langage perm et de d é fin ir fa c ile m e n t des constructions impératives, com m e les boucles ; la plupart des implémentations en proposent même par défaut. Les types de données Nous nous sommes pour l'instant principalem ent intéressés au code et non aux données manipulées. Dans la plupart des langages, elles se voient repré sentées par des "types" : entiers, caractères, types composés, etc. Les prem iers langages im pératifs étaient systématiquement fortem ent typés, ce qui signifie qu'il fallait dans un premier temps déclarer les types des variables (cette variable représentera des entiers, celle-ci des chaînes de ca ra ctè re s...), avant que le compilateur ne vérifie ensuite, à chaque fois, la légalité des opérations. Si, par exem ple, a désigne un entier et b une chaîne de caractères, alors, il sera interdit de procéder à un test pour savoir si a=b, car cela entraînera autrem ent une erreur de compilation. On parle de "typage sta tique", car les types se trouvent définis en dehors de l'exécution du programme. En Lisp, au contraire, le typage est dynamique : a priori, on ne distingue pas les types et on manipule tout de la même façon. S'il s'avère absolument nécessaire de connaître le type d'un objet traité, le langage fournit des "prédicats de Le rajout de mon toutou, j'en suis fou... principal, qui travaillent sur quelques variables, se substituent des objets, c'est-à-dire des valeurs, qui peuvent contenir des m orceaux de code et com m uniquer avec d'autres objets, pour leur envoyer des ordres ou s'échanger des inform ations. Si l'on reprend l'exemple du produit de matrices, évoqué au début de ce dossier, on peut désorm ais avoir d eu x objets m a trices, qui "savent" se m u ltip lie r e n tre e u x, in d é p e n d a m m e n t du c o n te xte dans lequel ils existent. Les années 70 représentent le début du développem ent en matière de program mation orientée objet, mais près de trente ans plus tard, personne ne parvient encore à déterm iner de m anière u n ive rse lle et co m p lè te la nature d'un objet, car cette notion se prête volontairem ent à de nom breuses in terp rétatio n s. De fait, il existe de multiples approches différentes. Deux com m unau tés se distinguent principalem ent sur ce sujet. Il y a en premier lieu l'école am éricaine ( Lisp et son déri vé Sm alltalk) qui prône une approche "pure" de l'objet : tout est objet, les objets com m uniquent via des messages (eux-m êm es objets) et les opérations que peuvent effectuer les objets (on les appelle les "m éthodes") se trouvent définies et sélectionnées dynam iquem ent. Avec un tel cahier des charges, Le l a n g a g e de p r o g r a m m a t i o n e t s on e n v i r o n n e m e n t Lisp apparut évidemment comme un langage idoi ne pour l'implémentation. Deux projets d'envergu re o n t a b o u ti : C LO S (C o m m o n Lisp O b ject S yste m ), dont il existe m ainten an t une version pour Scheme, et Smalltalk. Une approche totale m ent opposée mais qui répond au même besoin fut développée par l'école dite Scandinave. Il s'agis sait d'ajouter des possibilités de structuration objet à des langages im pératifs com pilés. Le premier représentant de cette école est le célèbre Simula, qui, com m e son nom l'indique, était un langage d e s tin é a u x s im u la tio n s (à l'in té rie u r duquel, chaque objet représentait en fait un processus en train de s'exécuter). Simula conserva sa célébrité, car il donna naissance plus tard à "C with Classes" (une extension orientée objet de Q , repris ensuite par Bjarne Stroustrup, qui l'a utilisé comme base p o u r le p re m ie r la n g a g e à a v o ir dém ocratisé l'objet : C++, l'illustre sur-ensemble de C. D'autres greffes plus étonnantes s'effectuèrent sur le langa ge C, notam m ent Objective C, qui constitue une sorte de langage hybride ressemblant à Smalltalk axé sur C ; une partie du code se voit littéralement interprétée (toute la gestion des objets et de la com m unication entre objets), et le reste est compi lé. Cette voie qui semble tout à fait sans support théorique vraim ent tout de même la pierre de touche gages très "propres", comme Eiffel, pragmatique et clair symbolise de certains lan Bêta ou la der Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM et Lisp. Certaines dissemblances concernent le langage : impératif contre fonctionnel, vérification de type statique (langage typé) contre dynamique (nontypé)... Cependant, une autre différence majeure concerne l'environnement d'exécution des programmes. Lisp est un langage interprété alors que Fortran est compilé. Dans le premier cas, le code se transforme en un code machine virtuel qui nière version d’Ada (Ada95). L'objet : la fin des problèm es ? Bien qu'ils aient permis un rapide progrès, les objets ne s'avèrent pas entièrement satisfaisants ; en réalité, on peut même affirmer que l'on commence aujour d'hui à atteindre les limites de cette conception. Bien se voit exécuté sur un processeur virtuel. Dans le deuxième cas, le code devient le "vrai" langage machine de l'ordinateur sur lequel on veut faire tourner le que plus "propres", plus sûrs et plus réutilisables que les programmes en langages "non objet", les logi programme. Le premier avantage évident que l'on peut associer à l'approche "interprétée" vient de son indépendance vis-à-vis du matériel sous-jacent : le code est intrinsèquement portable. En revanche, la deuxième approche permet d'optimiser au mieux les performances. Un autre atout des langages interprétés, rarement mis en avant, c'est la possibilité de "déplacer" certains concepts de haut ciels écrits dans ces langages souffrent finalement toujours des mêmes problèm es. D'autre part, les objets représentent plus une évolution "naturelle" de notre façon d'aborder la program m ation qu'une Nous avons décrit quelques différences fondamentales entre les "ancêtres" ortran niveau dans le processeur virtuel. Le ramasse-miettes constitue l’exemple le plus parlant : l’environnement d'exécution de Lisp gère sa mémoire tout seul, alors qu'il faut tout faire à la main en Fortran ou en C. Dans l'approche interprétée, on distingue deux familles : les langages "réellement" interprétés et les langages bytecompilés. Dans le premier cas, le processeur virtuel est "appelé" après chaque instruction du code. Cela concerne généralement des langages impératifs (Python, Basic, les shells...). La deuxième famille, les langages byte-compilés, introduit le concept de machine virtuelle. Le code source se voit tout d'abord intégralement transformé en code du processeur virtuel. Il y a ainsi moyen de séparer le code source et son environnem ent d'exécution. Les perform ances sont aussi potentiellement meilleures, puisqu'on se trouve en mesure d'utiliser un jeu d'instructions "intermédiaire" (le byte code,donc), optimisé pour la plupart des architectures. Lisp est vraiment le précurseur dans tout ces domaines, puisqu'il existe pratiquement autant de versions de Lisp que de façons d'exécuter un programme sur.un ordinateur (y compris du Lisp 100 % compilé). Aujourd'hui, les frontières entre tous ces concepts deviennent assez floues : il existe des langages fonctionnels compilés et gérant leur mémoire tout seuls, des langages bytecompilés impératifs (java), des machines virtuelles compilant, au vol, du byte code en code natif (les fameux just In Time compilers), etc. nouvelle caractéristique des langages. Par exemple, rien n'empêche de programmer en objet dans des langages ne disposant pas de syntaxe adaptée. Le cas de Lisp est certes particulier, mais notons que la conception de CLOS n'a demandé aucun change ment au langage. Plus étonnant, il existe également des logiciels orientés objet écrits en pur C de base, com m e ce rtain es b ib lio th èq u es sous X-Window (M otif, entre autres), ou d'importantes parties des noyaux de Linux et de Windows NT. Il faut avouer que l'absence de syntaxe adaptée nuit considérable m ent à la clarté du code, mais en principe, rien n'em pêche de program m er en objet en langage machine, ou, pourquoi pas, avec de simples cartes perforées. Enfin, l'approche objet déplaît finalement à de nombreux informaticiens puristes, car elle introduit intrinsèquement des incohérences et des problêmes sémantiques qu'on ne peut résoudre que par I I I I de la "bidouille" ad-hoc, mais on ne s'attardera pas I sur le sujet à la faveur de ce dossier. * D IV E R S Lecteur 1.76Mo interne / Externe 480f / 540f Souris Wizard 99f 100f Cable Parnet + Programmes Cable 2.5/3.5/3.5 100f Tour INFÏNITIV II A1200 + Alim 200W 1300f Boitier Clavier Tour Infïnitiv 349f 1250f / 2650f Zorro II / Zorro III Tour A4000 2490f Alimentation tout amiga TEL WordWorth 7 vf 449f Miami V3 ou IBrowse 34 Of TurboPrint 7 (va) 369f Deluxe Paint V CD 199f Scala MM400 CD (va) 499f Aminet 16 à 28 CD 85f Aminet set 2,3,4,5,6,7 CD 199f Amiga Forever 2.0 369f 50f Air Mail 4.1 Akira CD32 ou Amiga Tools 6 CD Geek Gadgets ADE 1 ou 2 CD Quaterback Tools Bundle Distant Suns 4.2 ou Blitz Tennis Nemac IV CD ou Giga Graphics CD Testament ou Master Axe ou Cygnus 8 Humans 3 CD/Dk Uropa 2 CD ou Magic Publisher CD Shadow of 3Rd moon CD Myst CD Brain Damage Pinball Simon Sorcerer CD Megablast ou Enemy Railroad Tycoon ou Colonisation P-OS Pre release CD Sword ou UFO ou Tiny troops PPaint 7.1 CD Mega Typhoon ou Theme Park Abduction ou F15 Strike Eagle II BlockHead 1 ou 2 Skeleton Krew AGA ou Banshee AGA Chaos engine 2 AGA Mods Anthology CD Light Rom Gold CD Light Rom 5 CD Light Rom 6 CD Diavolo Backup Pad Compétition Pro 80f 100f 180f 1Q0f 149f 129f 149f 199f 149f 299f 149f 149f 100f 149f 100f 149f 249f 149f 100f 100f 100f 149f 180f 199f 290f 199f 149f PFS 2 Directory Opus Magellan II Magellan II Mise à jour Dopus Plus CD Amiga Writer Art Effect 3.0 Tornado 3D V2.0 Fantastic Dreams CD (va) Net Connect 2 (Voyager,AmIRC,...) Get Connected (Miami,IBrowse,Yam) Candy Factory Pro CD Megalosound Zip / Jazz Tools Digi Booster Pro ProMidi Interface Ecran 17” SAMPO Final O dyssey CD On Escapee CD Samba World Cup CD ou Dk Quake CD Time Reckoning CD (Add On Quake) Foundation CD + MAJ Genetics Species CD Trapped 1 CD ou Trapped 2 CD Eat The Whistle CD Vulcanomogy CD Napalm ou Golem 500 Screen Savers 2 CD Cybergraph X 4 CD SuperView Productivity Suite CD Red Hat Linux 5.1 CD Siam ese System V2.1 vo 269f 269f 269f 349f 199f 269f 269f 100f 169f 169f TEL 85f 169f 199f 129f 299f MYGALE * 31 Bd Raimbaldi 06000 N IC E Tel/Fax • 04.93.13.06.35 AMIGA 1200 Processeur 68060 Copro 68882/40 Mhz PGA Apollo 1230/40 - 1230+copro/40 Apollo 1240/25 Module SCSI Apollo PPC603e160+68040/25 PPC603e200+68040/25 PPC603e200+socket 60 PPC603e240+68040/25 PPC603e240+socket 60 PPC avec SCSI II FlickerFixer externe tout amiga Scandoubleur interne sur puces BVision PPC 8 Mo Dispo Promo carte Zorro III Infïnitiv AMIGA 4000 PPC604e200 - 233+40/25+scsi PPC604e200 - 233+socle 60+scsi Tout cable et terminaison SCSI 1,2,3 Cybervision PPC 8 Mo Apollo 4040 68040/40+scsi Apollo 4060/50 ou 66+scsi rr\uiviLj uu iviwio . 10Of 10Of Pack Deluxe Quaterback 5 1790f 299f 650f / 800f 1150f 500f 1990f 2490f 2390f 3100f 2900f +500f 990f 580f 1490f 1990f 4190f 4790f 3 9 9 0 f- 4990f TEL 1490f 1990f 3490f / 3890f Nous reprenons vos cartes pour l’achat d’une PPC Carte son Delphina lite Carte son Delphina 1200 DelfSer et audiolab V2.0 delphina ARIADNE 2 ROM 3.1 A500,A600,A2000 ROM 3.1 A1200,A3000,A4000 Simm 16 / 32 Mo EDO 60ns Disque Dur 4.3 Go UWSCSI Disque Dur 3.2 Go IDE CD Rom 32X Plextor SCSI CD Rom 36X IDE 1690f TEL 300f / 699f 750f 199f 299f 280f / 540f 2100f 1100f 890f 380f FRAIS DE PORT : CD/jeux/Logiciel * 35f Carte/HD/Mem : 60f Tour: 100f +10f par produit en plus 10H30-12H30 / 14H-19H 299f 490f 260f 199f 499f TEL 2990f 599f 599f 499f 340f 299f 180f 240f 250f 2190f PRIX NETS TTC MODIFIABLES SANS PREAVIS - CHEQUE A L’ORDRE DE MYGALE Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM ïo u ll’ u iile e i* ! ! ! PC Chaque mois, le magasine + 2 CD-Rom =42 f Ludi CD : CD Pro : Prototype : un shoot'em up Une collection complète complet ! d'Afterstep-like ! mieux les ressources machine disponibles. La com plexité de l'ouvrage à abattre reste immense, mais la dernière génération d'optimiseurs parallèles, appelés Ce que les langages de programmation nous offriront demain souvent compilateurs polyédriques, donne parfois des résultats spectaculaires. Pourtant, l'euphorie n'est pas de mise. En effet, seule la simplicité des lan gages traités perm et d'obtenir de tels résultats : ainsi, les innombrables défauts de Fortran devien nent un atout ! De manière générale, seuls les lan gages les plus anciens et les plus archaïques bénéfi cient de compilateurs aussi puissants : Fortran, bien sûr et dans une moindre mesure C, voire C++. Et déjà, C demeure un cran en dessous, pour une rai Après un de mi-siècle d'existence, les langages de programmation ont subi une évolution fulgurante. Toutefois, n'en déduisons pas pour autant que leur développement s'arrêtera là nous commettrions autrement une lourde erreur... son finalement assez facile à comprendre : en C, il n'y a rien de réalisable sans pointeurs, mais comme on ignoré généralem ent ce qui se trouve à leur extrémité et qu'ils peuvent évoluer dynamiquement, un code qui en contient devient très difficile à analy ser et donc à optim iser. Aujourd'hui, on n'arrive donc toujours pas à obtenir en C les mêmes perfor- es travaux portant sur la conception de nou veaux langages sont plus actifs que jamais. Le L fait qu'il n'existe pas de langage parfait ne sur prend personne ; pourtant, la raison de cette infortu ne s'avère à la fois très simple et très profonde. Il faut l'avouer, l'ingénierie du logiciel en est aux balbutie ments et ressemble souvent davantage à de l'artisa nat qu'à une industrie digne de ce nom . En tant qu'outils du développeur, les langages de program Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM mation doivent répondre à de nouvelles exigences Renvoi en touches. et relever des défis inédits. A quoi peut-on donc s'at tendre dans les années qui viennent ? Perform ances, encore et toujours La prem ière grosse préoccupation des inform ati ciens concerne l'optimisation des performances. La des langages plus modernes ! Il semble toutefois qu'une solution envisageable consisterait à brûler les étapes : C et C++ passeront ainsi probablement à la trappe, car aujourd'hui, tout le monde ne jure plus mances qu'en Fortran ; aussi, ne parlons même pas que par java. Voilà pourquoi, vraisemblablement, il s'agira du prochain langage à bénéficier d'une opti technologie des compilateurs n'a cessé d'évoluer, si bien qu'aujourd'hui, l'état de l'art en la matière a de quoi impressionner. On a même le droit d'affirmer qu'en ce qui concerne la com pilation classique, il d e v ie n t p ra tiq u e m e n t .S U f « l Tl! ***'.* K tf» -a OH v»»Kf sf im p o ssib le d 'a lle r plus avec l'intelligence humai ne ! A c tu e lle m e n t, les é tu d e s p o rte n t su r la compilation pour machi nes parallèles. Il faut par venir à détecter, dans un p ro g ra m m e o rd in a ire , des tâches aptes à être e ffe c tu é e s s im u lt a n é m e n t, et c o n c e v o ir un plan d'exécution parallè le, a fin d 'e x p lo it e r au >sc camrr«lu » S r f lf î**u*+. i-55£ fttàçskSla V ri.o .Y <c-±* fs s * tb * » t prtxsr.* loin : les meilleurs compi lateurs élaborent désor mais un code aussi effica ce que de l'assem bleur é c rit à la m a in . Sur ce point, l'informatique par v ie n t d o n c à riv a lis e r misation radicale. t.« iîo o r f rûrt s»;*»* ..... R H f jo r r j ■ ■ « U » srü a re *, x ï t t u ?Cv» ï« Ü » t s Ü û it * • î t . - a ià îr t a s te n c * t Z . t t * î H ' { « M u i . h t U : l u f f a » 4 : xiib-Sztr ï î i a u e ulM : n r j u t -i yt. Br » ù U iÿ t,‘.z*rye. ï: iff j f ï i r : fcaix. kjy. «FTXAJi)* |«u>ye » i« l ' î^siS 54*«Küt'wrU»7IV5ATS- wv.'+M tjrtrêa:a».-jçlie-i re'cà»<1 t S c * »c»=>»•» •» îâ » c o o t << * to u t « * - ï »>">- »«« JpiSaX, COttt « U-v.- . T eU vrT-toe'.c. itïô t i a a r t S a i . •/>: if i AT» « e oat << • ia n x uMU< * .n > r jc im m u c v - T —u a CSR a*V: *»* S » - t i » ; i iim :> xJM KU »n «!4.i: or; a s-1 o-v» 3-iirrc>‘»î *. fi& C lu d * r in c l iu i i •»“. iü - v v * * » ir . raurrr. ravon* roor» •«ltllT IU m im î «vw«*tta — «>•« o3R5 aixiser»; ■ *, . */ tJMlM ■ :• I ■•jj.-wawB ixv -« l'Bli i 1. 1 = . : : k> îUUrr* txor.j jan.tll** îôu S® ixili» MbaiM fiaclui» • «Uir-j. i U O ’. j y r . ÎU34 Mikutro k h fK*t. «nxi ;.•••*» jarnwwri*» pm >vrruk ïr + t ’A »<.->V iv r e - . •« ewlt « r«»t • /» Cü»*l fiZZ3Ï. C x s x r- .îa jo t» luct* n tw - a ta jtt* '.* - * *1 : » w . ï « w U » r »> M M r w Ü J ï i . i;& ; *>S. ' . c l i ‘7 k i r i i n v . - i -ut MXn'.’* Vr*t. » «IBW- îtM lx .>»• î.s • coot « * e o at << ead l . maoî< a i&çj i( tî* DK1Jkvxrai H 'ü t 11^»» v-.Cb « tu «rîn.'AXu> tb* 11« •Ü N ( m Si v t :« îT Kf n yfrta»«t> m tiy buKacix* ü u * jo - 1 0 . | □ ttx»: tu r| ç» tu BG-fcfl ixvi- -pn. ( □ rcfcHjCa; 60*56 i x v i- > > P » ja i7f rg a i* v 1-K . | 0 L. —--A...-- r flfr» 6 r*v t-» p n [ Q M *6P r>vt->p» | □ 60 ^ 0 >»vi - ^ | p 1 i ---- ~ K M » rtvt-ypw | □ 8 0 0 r x v t - ^ | Un exemple un rien abstrus de C++. "Hardware is, so ftw a re will" Le matériel est, le logiciel sera. Cette devise caracté rise assez bien la situation paradoxale à laquelle nous avons abouti. Ainsi, en dépit des moyens déployés et des inno m b rables a p p ro c h e s et m é th o d e s de conception proposées, le logiciel, seul intérêt d'un ordinateur, reste l'éternel talon d'Achille de l'infor tg të ü lîË matique : il constitue non seulement son élément le plus critique et le moins fiable, mais aussi sa seule source de problèmes. Ce constat accablant incite de nombreux développeurs à tenter d'implanter direc tement des éléments de génie logiciel à l'intérieur d'un langage de programmation. La recherche de [0354:31 PM j F R R O rt- T l» R E U T E R S fbtw» RMXl fl«lv<in» M Oû'MV l'efficacité et de la convivialité (pour le program meur I) passent donc au second plan, la priorité absolue étant la rigueur. Le plus connu de ces lan gages se nomme Ada ; il symbolise le langage mili ;H L 0 /0 tfM t. i*i v>»inn. ^ i f . . . i /.t » ^ ■ jth T ü -T K«f>n ïKsCCtTïtfr' "T n t a irtW vîîtai.ftrrt n; |<‘ *yt l%i: •■ ■ fi’ -t ■ ■'- ■fint' I ;**»■<? t taire par excellence. Le typage s'y révèle si strict qu'au début, les programmeurs habitués au laxisme .> p . iN J îv .n tn I lu .*.' "fï I n u ; r t w : I i î t J ■<>».:/ ApplixM? 5« <i '.'/m- * î» :p , ./t.: U L o r --------- ^ 7 " • ju in o .i 9 S B B B /MU'.tf '' I ■ ■fj* n a de C n'arrivaient généralement pas à com piler un programme. Toutes les opérations un peu critiques (comme par exemple la simple addition, éventuelle ment sujette à un débordement !) lèvent des excep j ■ ' I" ''~2+ * y m t - J ------- -------- ----kuw 17» E Z H I Tassé par la fenêtre. contrôler. C ependant, une autre approche existe encore : celle des langages de la famille ML. Ici, rien tions, toutes les variables et toutes les procédures sont soumises à des règles de "visibilité" très pré cises... Malgré tout, on s'aperçoit que cela ne suffit pas à rendre le logiciel fiab le. Le prem ier échec n'est déclaré ; au contraire, il appartient au compila teur de déduire la totalité des informations à partir du contexte, avant d'effectuer les vérifications. On peut donc faire ce que l'on veut, pourvu que cela d'Ariane V s'expliqua par une erreur de déborde ment dans un code Ada ! Néanmoins, Ada fait tou Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM soit cohérent. Le succès, certes mitigé, de ML laisse penser que cette vision a un avenir. Dans tous les cas, le but reste le même : donner au compilateur jours office de standard et donna naissance à d'in nombrables dérivés, mais d'autres langages propo sent d'autres approches. Eiffel, très en vogue actuel lement dans l'industrie, intègre quasiment la métho de de conception UML dans sa syntaxe. Le but en est simple : créer un langage dans lequel il y ait moyen d'écrire n'importe quoi et où le moindre petit programme émane d'une démarche de conception l'opportunité de vérifier un maximum de choses lors de la com pilation, élim iner ainsi le risque de cer taines erreurs au cours de l'exécution, voire parvenir à prouver formellement qu'un programme est cor rect. Néanmoins, aucun des langages proposés n'a su se révéler pleinement satisfaisant, ce qui signifie probablem ent que l'on attend toujours une idée brillante. Des langages plus puissants soignée. Tous ces langages partent du même princi pe : il faut to ut d écla re r e x p lic ite m e n t et to u t La troisième voie consis te à améliorer la puissan ce et l'e xp re ssivité des langages. Les tra d itio n nels m a n ip u len t fin a le m ent des données vrai m ent élém entaires (ce l V • tikW V«llAt* i :a*. r*linu ail» • 1 iivt }8âu>_<âk * 1 . . I t ü * i ^ ï « tU n k X » : r r s li r . - .j M :.-. «irfit» I k I m ll c M * s i i V ikiM « a U '.t o ït » J * M rim »*r> *« « 4 U < U 'y t lif lt ç ' [-■•Cl » h > » » j ï ; « i v H î t W W llA t V * i i * » -.< •** î i o f U w n ij t les connues directem ent par la m achine, com m e des entiers ou des flo t u'UmM*?• Jlulrtrj. •• w U3 H ti'it» «••••Alliât. |a>.v ‘.>3»\ • . p4Ml»i0it» MUto.1.1» «IttJU Wk%«w» Ja UOülTfJt M.TtiirttUA ■hoftCraf J-* ifoyilAte J* iO 15» UiU*Mt#V- ' mùvAmbc? tu il :»K • M-vtaav Uiuttfc. A|M lUut 1»^» r.UIHU»U I f IU*M J v a t|ild )M lO . * * Jlv a r» t t ÿ l t i t t i l W U V , • f lu » :> n & * ts & w j ü l? i » : »*« ( m M s i k i u u V » ir * M t f » * f e ie i l i j u * . » V fJib e icoc-ctvî >tt}-ia « v a u tu i Ç*y I# t W* mi» h«vi ii& ùt* *» U n e o u w t a i ! f i Ou t t i i t l l o a f t à l û t n ;K ,n l * » t ‘ 1 ptxtkt '31•* i l j L i x - t l Publie f i li iw v i t t u **» ItwalM 'f» V I -.*i!«U «u ta i-Je ts» U i« * » * '.t v « iv i {-a»\J JMWU alu «dut ftadato •:> ti»u» rw.bit , . -i v, BWihlfc i>'i-.1 V riK ii< « ■ 9 n $ )to l | U : r ; r, I c o o t << «vAL . V k ls v ü v n O ; c e n t << • co ut « * •> L co o t << * co o t <« • co o t << * co o t <C • coot n «exil , co o t << * ew t « * co o t « *O dI . co o t << • coot «C • co o t << * co o t << * co o t <« • coot *< * cout << «w fl. . co o t « c in >> v a ta x ta . ' '■ « r x ll . ;-.•*• . W I -.•••. . i: -I v • * • << otadi i ta n t s ), ou des a s s e m blages de ces types pri m itifs , co m m e des t a - s u i v i K b l i t U c« . * « aad l ; * « m il . , r.;U -.< u < ' * « . * << e n d i . «»dl i A«iitirjun. »m «Àiïivv. ««ÿUav l i i n £*fcs<.;ti»jo.«i4» H»Knrt*t3tM UitA il» * «Mviuv- *n*oJtjA4* ticmti» ut4**t>ÛU« wi'.tixiiP «Oui :trit» 3SS35^: C++ à l'oreille ? bleaux ou des structures. C e u x - c i, quel que so it leur niveau de sophisti cation, ne représentent rie n d 'a u t r e q u e des assembleurs évolués. On souhaite donc disposer d e la n g a g e s d e plus h a u t n iveau , qui n 'o b lig en t pas p ro g ra m m e s se ré d u ise n t à de sim p le s d o n n é e s, l'h o m m e à s'a d a p te r à la m a c h in e m ais au c o n tra i qu'il y a m o yen de créer ou de m odifier au cours de re, lui p e rm e tte n t d e d é crire les p ro g ra m m e s et les l'e x é cu tio n . D e m ê m e , la sy n ta x e du la n g a g e est p r o b lè m e s d 'u n e f a ç o n a d a p t é e à so n e s p è c e . p e rçu e en Scheme c o m m e u ne d o n n é e, sur laquelle L'idée n'a rien d e réce n t, p u isq u e ce tte m o tivatio n o n p e u t e ff e c t u e r d e s o p é r a t io n s . La n o tio n de fut à l'o rig in e d e la n a issa n ce de Lisp. D ep u is, l'évo "type", si c h è re au x la n g a g e s c o n v e n tio n n e ls, ne lu t io n s u it so n c o u r s , si b ie n q u e l'o n d is p o s e v eu t plus rien dire ici, p u isq u e la nature des d o n a u jo u rd 'h u i de la n g a g e s é to n n a n ts. Les plus re p ré n é e s m a n ip u lé e s n'a a u c u n e im p o rta n c e p o u r le s e n t a tifs se n o m m e n t Sm alltalk e t Scheme, d e u x p ro g ra m m e q u i les t r a it e ... on c o m p re n d m ieu x é m in e n ts d e s c e n d a n ts d e Lisp. Le p re m ie r se tro u ve ainsi le sens du m o t "po lym o rp hism e" e n t iè r e m e n t v o u é à la p r o g r a m m a t io n o b je t , le to u t a un prix : la p u issa n ce in co m p a ra b le de tels se co n d g a rd e a v a n t to u t l'asp ect fo n ctio n n e l, m ais la n g a g es p ro vien t de leur natu re réflexive et d y n a C e p e n d a n t, ils offrent to u s d e u x d es p o ssib ilités co n sid é ra b le s. m iq u e , ce qui ex p liq u e qu'il ne faille pas s'attendre Le m a ître -m o t est "réflexivité" : cela sig n ifie q u e les en p ra tiq u e à d es p e rfo rm a n c e s d ig n e s de celles d e s la n g a g e s p lu s c o n v e n t io n n e ls . La p u is s a n c e A p p r e n d r e à p r o g r a m m e r : quel lan ga g e c h o i s i r ? finit m ê m e p ar d e ve n ir un défau t. Ainsi, le pouvoir Il existe deux m é th o d es ra d ic a le m e n t o p p o sé e s p o u r d é c o u v rir la program m ation : la m éthode "bourrage de crâne" et celle "douce mais taxe d a n s un p ro g ra m m e relève de l'im possible (a intelligente". Dans le premier cas (le plus courant), on vous confrontera à un langage récent et généraliste, avant de tenter de vous inculquer un certain q u a n t à d ’é v e n tu e lle s p re u v e s, on n ’ose m ê m e y nombre d'idées préconçues et très liées au langage utilisé. En conséquence, la "victime" de ce genre de formation "rapide" entre dans un cycle infernal. Tout f ia b le ! O n se t r o u v e d o n c a u to ris é à p a rle r de problème ou toute évolution du langage demande une nouvelle formation ; en revanche, l'intéressé s'avère incapable de résoudre de lui-même un problème non appris. Pour aborder plus sereinement la programmation, l'utilisation (e ffic a c ité et fia b ilité ). P o u rta n t, ce tte fa m ille de d 'exp ressio n est tel q u e d é ce le r des erreurs de sy n d'un langage adapté et "pédagogique" constitue donc une bien meilleure solution. Le langage d'apprentissage le plus connu est le Basic. Il s'agit pourtant d'un langage (dans sa version d'origine) extrêmement limité (pas de bibliothèques, tout se situe dans le langage, pas de procédures, etc.) qui ne priori, to u t d e m e u re su scep tib le d'avo ir un sens !) ; so n g er ! En co m p a ra iso n , m êm e C paraît très sûr et c o n t r a d ic t io n a v e c les d e u x c ritè re s p ré c é d e n ts la n g a g es est très vive : en plus des d eu x sus-cités, o n p eu t é v o q u e r Python, q ui s'im p o se de plus en p lu s c o m m e un c o n c u rre n t re d o u ta b le po u r Perl, ou Flavors, o rig in al sur plus d'un p oint. Q u a n t au b o n v ie u x C, il n e t r a în e p a s la p a t te , g r â c e à Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Objective C. Il reste évid en t qu e la p ro ch a in e évo lu peut donner que de funestes idées et de mauvais résultats. Le Visual Basic représente l'exemple le plus flagrant de ces tristes perspectives : il se limite en fait à une sorte de coquille au-dessus des DLL, que des programmeurs ont bien voulu développer en C ou C++ (et vous les faire payer !). Certes, VB gère les tion co n sistera à co n cilie r ces lan g ag es de très haut procédures, mais c ’est à peu près tout ce qu’il ajoute à son ancêtre. Un autre langage, moins connu, et spécifiquement conçu pour l’apprentissage, mérite en revanche toute notre attention. Il s'agit du Logo ; ce langage impératif et p ro c h a n t de la so u p lesse de Smalltalk... Vers une nouvelle génération de langages interprété associe programmes et graphismes, avec sa fameuse tortue. La philosophie de Logo se définit ainsi : "apprendre à programmer en s'amusant". En quelques lignes de code Logo, on réussit de superbes figures géométriques plus séd u isan te : faire table rase et repartir de zéro qui nécessiteraient des centaines de lignes dans la p lu p a rt des autres langages. Cependant, Logo constitue aussi un langage très structuré, très lisib le ! Des e x p é rie n ce s m o n tre n t que Log o est le seu l la n g a g e n iv e a u a v e c les b e s o in s p r a t iq u e s . U n la n g a g e ré c e m m e n t intro duit, le Dylan, se targu e de perfor m a n ce s co m p a ra b le s à celles de C, tout en se rap La q u a triè m e a p p ro ch e se m b le de p rim e abo rd la p o u r élab o rer une fam ille de langages radicalem ent différente. Ainsi, après les langages im pératifs et les lan gag es fo nctio nnels, voici les langages déclaratifs. C e tte fo is, il ne s'agit plus d 'u n e a m é lio ra tio n de l'existant, m ais bel et bien d 'u n e révolution, peut- "compréhensible" par de très jeunes enfants (à partir de 5 ans), lesquels deviennent ainsi aptes à découvrir la programmation mais aussi la géométrie, être m êm e de la plus im p ortante innovation depuis les couleurs, etc. Ensuite (vers 12 ans), il s'agit d'apprendre la distinction entre langages fonctionnels et impératifs procéduraux. Les langages d'enseignement traditionnellement utilisés dans ce but sont Scheme (plus récemment Caml) pou r le fonctionnel et Pascal p o u r le procédural. On apprend aussi la différence entre langage typé ou non typé, ce qui permet de réaliser de p ercevo ir un p ro g ram m e co m m e la description des premiers programmes complets. La transition de Pascal vers C (au moins pour pouvoir lire du code C) se révèle ensuite nécessaire, mais très facile. Enfin, la l'app aritio n de Fortran. L'idée co n siste à cesser de •st *r•» ut:* mode, ja v a semble justem ent tout indiqué p o u r term iner ce long mais passionnant apprentissage. La tendance actuelle est au "tout en java" et l'apprentissage n'échappe pas à cette règle. Il s'agit pourtant d'une très bonne idée, car de nombreux concepts cachés de ja va doivent être compris et reposent sur des bases en Lisp (ou Scheme), C++ et Smalltalk ! u iU m \ program m ation p a r o b je ts d o it être a b o rdée sous différents angles : construction de son propre modèle objet (en Scheme), découverte du C++ pour la version "pragmatique"... Une approche de Smalltalk s'avérerait également très pertinente, en tant que préparation à java. Enfin, puisqu'il faut suivre la t f c a t a n lj r îht isoié a U t ic v v id in x t _ c r r c e ( o c r u c t : m ode) « e n s e t U n o d e . 0 . « i r e o f ( * in o d e > ) . u u t j m t ^ i e o e (fc m o d e - >» « * i t > . ÏX T T J L t S T J K t D (S a n o d e - > O w h ) ; D C T “ L IS T - HEAD (S ciK K to - > ï- d e n t r 7 ) . tfsanod*- >!_***. ~1). N k t ~ i n i t ( & i a B d c > i ~ i t a a c j n i t t . 1) . • m i l i v> .■u d . « r X t î _ t n o d # •m o d e) (in « x S e - > x _*b ü m o d e - » _ o p SA in o d e - > i_ * b - > » _ o p - > v x it * _ in o d e ) u » d ê - > i s k - > » g p - m i t » In o d e ( in o d e ) j ) s t s t ic i n l u v e v :- id jy s v . t n t ( i - r t i : ' •. m o d e * ir * o d s ) » ( i n o d e - > i _ » t * t * & I_LO C 50 ( « p in \ n lo c k ( f c in o d e _ lo c k ) : _ e » It _ n * \ m o d e (m o d e ). « p in lô c J - t t m o d * l o c k ) . t « r u e * . l i a t j M M l • in a o r t - t s n o d e i n jx a e . ( ) tnodein e e r t * m o d e _m _u » e p r t v . li* t _ d e l{ f c x n o d e - > i_ li* t ) . Il » t T e d d ( S in o d e - >1 in e e r t ) . R /* Set 1 L0( - V t - Z E M c e : in o c o ï C sn t i n s t e n t i û t e m e g e 53GY Ç -IbV (p ro b o t.L y c o c h e d ) ixhm a e * k .- f il r ’ / u s i / m c l u d ê / I l l / b i C n e p t /" îe f t _ p t n » s k ' Et C transformé... »*? opérations à effectuer, étape par étape, pour l'assimi ler plutôt à l'énoncé logique de ce que l'on veut faire. Exit les instructions, les boucles, les tests et autres procédures, place aux "règles", "contraintes" et "faits" (ou "axiomes"). Exemple ? Prenons pour illustration le mécanisme de vérification des droits d'accès dans un système comme Unix (pour simplifier, on considère que chaque utilisateur n'a le droit d'accéder qu'aux fichiers qui lui appartiennent, root excep té). On remarque facilement que son implémentation dans un langage classique dem ande des structures de données compliquées, des tables volumineuses, afin d'y stocker les informations sur les utilisateurs, etc. Dans un langage déclaratif, on pourrait écrire des règles sous la forme suivante : Si ü est un u t i li s a t e u r , s i F a p p a rtie n t à U e t s i F contient D, alo rs U l i t D dans le f ic h ie r F. Si U est un u t i li s a t e u r , s i F a p p a rtie n t à 0 e t s i U écrit F dans le f ic h ie r F, a lo rs F c o n tie n t D. Comme le root a le droit de lire et d'écrire partout, on ajoute les règles qui traitent son cas : Si F contient D, a lo rs root l i t D dans le f ic h ie r F. Si root é c r it D dans le f ic h ie r F, a lo rs F co n tien t D. On peut ensuite écrire les faits, qui correspondent en quelque sorte aux "données" dans les langages classiques : root est un u t ilis a te u r , Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM girard e st un u t i li s a t e u r , pesch est un u t i li s a t e u r . /home/girard/helloworld.bas a p p a rtie n t à g ira rd , /home/girard/helloworId.bas c o n tie n t 10 PRINT ’Hello world’ . Le fonctionnement d'un processeur Cependant, dans ce modèle simplifié (comme dans la plupart des OS réels), chaque fich ie r ne peut appartenir qu'à un et un seul utilisateur. Pour éviter les incohérences, on ajoute à notre système les deux tenir à un utilisateur qui n'existe pas. La seconde sti pule qu'aucun fichier ne peut appartenir à deux uti lisateurs différents. Regardons m aintenant com m ent contraintes suivantes : fonctionne ce programme. Il faut toujours garder à l'esprit qu'ici, contrairement à ce qui se passe dans les langages classiques, une ligne de code n'est pas Il faut toujours que s i F a p p a rtie n t à U, a lo rs U s o it un u tilis a te u r. Il faut toujours que s i F ap p a rtie n t à ü l e t F appartient à U2, a lo rs Ul=ü2 La première signifie qu'aucun fichier ne peut appar». U m K « s : VA-ltikiic To S»:1mmwp» ln«:. F * Etfll \*r» / G o BookitMtffe O p tio ns B u f î f « ** o Hm I U M 31 itotp 31 y 1i> X f r r .a c :: mm fait. En revanche, rien ne nous autorise à établir la seconde : il ne s'agit pas d'un fait et aucune règle ne permet de l'admettre. Nous voilà donc bloqués, ce qui signifie que pesch ne peut pas lire hello- N ew ! EdScheme v5.0 Kead a b o a t S d n c t f I n c . a n d i t a p h i lo s u p h y . world.bas ! A présent, supposons que "girard lit D dans le fichier helloworld.bas" La règle exige que "g ira rd s o it un u tilis a te u r" (c 'e s t un f a it ) , D ia c o v v r t b o S c h o r a a d v a n t a g a l ProdacU | fx x x l o n t « b o u t t b o s o f t v a r * p r o d n c t a a n d b o o k a o f i a r a d b y S d w e r i I n c . « r o o r p r o d n c t s f c o n ano o f o a r s e c u r c a n - l i n o a r d o r f o r * * . I? h lcc w To tchn i c i Inc. Top (prôEabïy : »ch«d) 7 j*5» â a 'V L’jüncimt» ______ ___ • / û i r /includô/Xl l7 b itju p « /lift_ p tra» k world.bas". Disposons-nous d'une règle pour ce cas de figure ? Oui, la prem ière, qui engendre à son tour les trois clauses "pesch est un u tilisa te u r", "/hom e/girard/hellow orld.bas appartient à pesch" et "/hom e/girard/helloworld.bas contient D". Pour la première, il n'y a pas de problème, car c'est un Speclallxing In InnooatioeKducationai Computing CoiporHo.j forcément exécutée telle quelle. Cependant, imagi nons que l'utilisateur pesch souhaite lire le fichier /hom e/girard/helloworld.bas : dans notre système, cela se traduit par "pesch lit D dans le fichier hello- -d La langue de Shakespeare : c ’est la Scheme anglaise. "/hom e/girard/hellow orld.bas appartient à girard" (il en va de m êm e ic i) et "/h o m e /g ira rd /h e llo w o rld .b a s c o n tie n t D ". O r, no us a vo n s le fa it F ile E d it A p p s & □ i Open 3 Dired 0 S&ye O p t io n s Print ! B u ffe rs eut ' T o o ls % copy Undo p n ! A/c> .J i E Î 11 1 RèplîtCè 1-1! Mail . ♦ 1 Info Compile 0 : Debug 1 News : j y / * XPM * / ;static char *gnu-animal3[] = { ■ /* width height num_colors charsjperjpixel */ F “ 43 46 7 1", S /* colors */ c none , " # c #0Û00ff'\ " a c #000000", ”b c #ffa54f", " c c #a0522d”, “ d c #bebebe", “ e c #ffffff". / * p i x e l s +/ b^ . 5 bbb§bb§BeffieeeeeeeeeegeH5 eeeeeeeee b b ^ ^ ^ ^ S B e g l ^ ^ ^ e dddd.dddegE | . 5EEE fe............ Esprit, es-tu là ? dépit de son caractère novateur, incontestable, V m ï l ^ e|p eeddddddd| \....... Prolog se limitait à un langage expérimental encore trop jeune et surtout trop limité pour démontrer tout le potentiel de la programmation déclarative. Malgré des avancées dans ce domaine (l'évolution Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM de P rolog, l'a p p a ritio n de n o u ve a u x langages comme Mercury ou des bibliothèques destinées aux langages de la fam ille Lisp), elle apparaît encore a u jo u rd 'h u i com m e une voie de recherches. Le p rincipal obstacle reste en effet l'exploration et l'évaluation des règles, opération très coûteuse en — %%-XEmacs: gnu-anima!3.xpm (P ic tu .c e : n g h b X P Iî)------ L S I — Top---------------- -— - A gnou la victoire. "/h o m e/girard /h ello w o rld.bas co ntient 10 PRINT "Hello W orld"". Pour que la troisièm e clause soit satisfaite, nous devons poser que D vaut 10 PRINT "Hello World". Ainsi, la règle se vérifie et nous nous retrouvons avec "girard lit 10 PRINT "Hello World" dans le fichier /home/girard/helloworld.bas". Une idée prom etteuse ? La p ro g ra m m a tio n d é c la ra tiv e est é vid e m m en t étroitem ent liée aux bases de données et à l'intelli gence artificielle. Cependant, bien que celle-ci puis se sem b ler u ltra m o d e rn e , voire fu tu riste , l'idée remonte aux années 70 : à cette époque en effet, ce concept apparut pour la première fois, assorti d'un premier langage, le Prolog, dont l'interpréteur fut écrit en Fortran. Néanmoins, il faudra attendre longtem ps pour que le principe fasse école ; en temps machine et en place mémoire. Certains spé cialistes prétendent même que le progrès ne s'opé rera qu'avec des processeurs adaptés, manipulaint directem ent du côté du langage machine les règles et les contraintes. Néanmoins, de grands espoirs reposent sur les langages déclaratifs : beaucoup plus simples et plus puissants que tout ce qui existe actuellem ent, ils seront également très sûrs (avec des règles et des contraintes, il devient facile de m ener des preuves de validité !) et, un jour, très performants. En effet, si les langages classiques res tent in trin sèq u em en t séquentiels (et difficiles à paralléliser), les program m es déclaratifs sont au contraire foncièrement parallèles. Actuellement, les langages déclaratifs ont déjà conquis le domaine des SGBD et, plus récemment, fait leur entrée en scène dans celui des systèmes critiques temps réel. Pour ne citer qu'un seul exem ple, le système de pilotage de M étéor le nouveau métro autom a tique parisien se trouve conçu à base de règles et de contraintes. Dans une dizaine d'années, peutêtre, ce mode de programmation se généralisera, mais d'ici là, nos Java et autres C++ ont encore de beaux jours devant eux. Des langages... exceptionnels ! Avec la quantité invraisemblable de langages existant aujourd'hui, il paraît évident que certains se sont distingués (en bien ou en mal) au titre du "langage le plus... " A tout seigneur, tout honneur, commençons par le langage le plus ancien. Ce titre revient de droit à Fortran (si l'on oublie l'assem bleur), suivi de près par Lisp. Autant dire que Cobol, Algol et autres PL/1, qui sem blent si archaïques aujourd'hui, sont en fait beaucoup plus récents que nos deux ancêtres, pourtant toujours d'actualité ! Débusquer à l'inverse le langage le plus récent s'avè re bien plus difficile, car tout va si vite ! Cela dit, on peut affirmer que Java représente le dernier langage m o in s de te m p s q u 'il n'en fa u t po ur lire ce tte phrase : vo ilà tout de même un immense mérite ! C, malgré sa réputation d'"assembleur plus lent et plus com pli qué que l'assembleur" constitue toujours le seul lan gage utilisable pour la pro gram m ation systèm e, grâce auquel, en outre, on peut accéder directe ment à la machine. Mauvais langage, certainement, mais ô combien irremplaçable ! Quant à Cobol, sa domaine par Ada9S, dont le document de référence comporte plus de 1400 pages ! L'autre extrême s'ap pelle Logo, langage résolument trivial, parfait pour base installée en fait toujours l'un des langages les plus répandus, à tel point qu'un Cobol objet fit son apparition il y a quelques années... et n'est pas prêt de sombrer dans l'oubli. Enfin, la dernière distinc tion sur laquelle nous nous pencherons, concerne un véritable bijou, l'Api ; en effet, celui-ci représente l'initiation à la programmation et pas si dénué de possibilités que cela, en dépit de l'opinion com m u nément admise. En ce qui concerne le langage le sible qui ait jam ais existé. Un encadré acco m pa gnant ce dossier permet de se faire une idée de son en date à être largem ent accepté et em ployé. La réputation de C++, Perl ou java, à qui l'on reproche leur complexité, se fait largement distancer en ce La coupe Cobol. Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM plus populaire, la concurrence fait rage. Fortran fut évidemment le premier, avant de céder sa place à Basic (années 80), qui succomba à son tour au profit de Pascal grâce aux bons soins de M. Borland, à la fin de la décennie. Le règne de Pascal se révéla tou tefois éphémère, car dans la première moitié des années 90, les C et C++ s'imposèrent comme les lan gages par défaut de M onsieur To u t Le M onde. Aujourd'hui, Java sym bolise l'objet de toutes les convoitises de la part des développeurs profession nels, mais il faudra sans doute attendre encore un petit peu pour qu'il devienne aussi répandu que le fut Basic en son temps. Inutile de préciser que "le meilleur langage" n'existe pas. Tout au plus peut-on incontestablement le langage le plus incompréhen incroyable syntaxe... jakub Zimmermann et Fred Pesch La p r o g r a m m a t i o n v i s u e l l e : p e t i t e m i s e au p o i n t "Rapid application development", "programmation visuelle"... Tous veulent nous faire croire qu'ils ont inventé un nouveau paradigme révolutionaire, ca p a b le de tra n sfo rm er la p ro g ra m m a tio n en je u d 'en fa n t. Chères programmeuses, chers programmeurs, on vous ment, on vous spolie ! Il ne s'agit que de nouvelles techniques pour faciliter la création d ’applications ou de parties d'applications très spécialisées. Certes, présenter ou manipuler des objets visuels se révèle plus simple qu'exprimer des choses dans un langage à base de mots et de grammaire. Toutefois, cela limite aussi énormément le s'interroger sur l'efficacité d'un langage pour une application donnée. Nous espérons que ce dossier aura permis au lecteur de se constituer quelques pouvoir d'expression. Les langages (pas seulem ent de program m ation) symbolisent d'ailleurs, dans l'Histoire, une réponse à la faiblesse de l'approche visuelle. Les alphabets et grammaires n ’ont-ils pas succédé aux pictogrammes et autres idéogrammes ? Des recherches sont même en cours pour associer repères... Et le "moins..." ? En revanche, la question du "plus mauvais langage" logique et langage, afin de résoudre le dernier problème majeur propre à des langages comme le français ou l'anglais : l'ambiguïté. Un dessin est plus ambigu qu'une phrase, laquelle s'avère plus ambigu q u ’une construction s'avère tout à fait pertinente. Parmi les langages tou jours employés, les candidats les plus crédibles à ce trophée peu enviable se nomment Basic, C et Cobol (l'assembleur étant exclu du concours). Néanmoins, il reste difficile de trancher... Cependant, en dépit logique... Peut-être pouvez-vous commencer à percevoir l’intérêt des langages déclaratifs, comme Prolog. Néanmoins, cela ne signifie pas que les approches "visuelles" ne présentent pas d'intérêt : construire une interface visuelle, des innombrables aberrations de sa co nceptio n, Basic (et ses dérivés, tels CM Basic ou VisualBasic) est resté le seul langage au monde, appréhendable intuiti vement, à coups d'essais et d'erreurs, et le seul permet tant d'écrire et de faire tourner ur> petit programme en visuellement, est tout de même beaucoup plus simple que de la décrire par des phrases ! Il en va quasiment de même avec la signalisation routière : un panneau "stop" est plus simple à déchiffrer qu'un panneau "arrêtez-vous à la ligne, attendez qu'il n'y ait plus de voitures à gauche ou à droite et passez". Toutefois, pour quelqu'un qui ne connaît pas ce panneau, la deuxième version sera la seule qui lui permettra d'éviter l'accident ou l'amende ! applications ainsi que le Workbench lui-même vers des modes graphiques B visio n PPC : un P e rm e d ia 2 d a n s un A m ig a 1 2 0 0 de la carte, plutôt que vers ceux du chipset Amiga original. On compren dra de fait que la procédure d'installa tion de ces pilotes doive se dérouler avec un écran encore branché sur la sortie vidéo de la carte mère. Une fois le système mis en place, il faut lancer la préférence ScreenMode du Workbench et choisir l'une des nouvelles résolu tio n s nom m ées C V isio n P P C . A ce m o m e n t-là , l'u tilisa te u r éteindra l'Amiga, connectera l'écran (forcément Cela faisait un petit moment qu'on l'attendait. Patience et longueur de tem ps... la plus puissante des cartes 3D pour le plus populaire des Amiga est enfin disponible ! de type SVGA) à la sortie de la Bvision et enfin redémarrera la machine. Si toici enfin cette fameuse carte ce qui concerne les performances, elles g ra p h iq u e 3D p o u r Am iga 1 2 0 0 . P etite sœ ur de la Cybervision PPC (pour Amiga 3000 et 4000, voir Dream n° 54), la Bvision est l'emportent de loin sur les résultats affi ch é s par le V irg e , p ré se n t sur la Cybervision 64/3D. Celle-ci était en effet construite autour du chipset graphique la deuxième carte estampillée "3D" à fonctionner sur Amiga 1200 et la pre S3 Virge, lequel ne disposait ni de fonc tions de correction de perspective, ni mière à afficher des résultats aptes à rivaliser avec ceux d'une carte 3Dfx. Hélas, ladite carte s'est révélée bien difnciie a mettre en œuvre et risque ae poser de nombreux problèmes à l'utili sateur. Au final toutefois, le produit de capacités étendues en termes de textures. En revanche, les capacités 3D du Permedia 2 placent cette puce à miPréférences to u t se passe bien, un logo Cybergraphx ou PowerPC (le fameux "Light my Fire") apparaîtra, suivi du W orkbench, dans la résolution que vous aviez préalablement choisie. Un fonctionnement inégal M alheureusement, tout ne s'est pas aussi bien déroulé avec la carte dont nous disposions. D'entrée de jeu, le logo de boot ne s'est pas affiché cor■î/r i F - j nu : Mode d ' f t f f i c h a g e Mode d ' a C V i s i o n P P C : 1 6 E.it C V is ionPPC: 16 B i t C V isionPPC: 16B it C V is io n P P C : 1 68 i t C V is ionPPC: 248 it C V is io n P P C : 24 B i t C V isio n P P C : 24 B i t C V i s i o n P P C : 2 4 B 11 Largeur : ffich 800 1824 1120 1152 320 648 768 886 Propriétés age x 600 768 x 832 X X 900 X 240 X 480 576 X 600 X M H m H T a ille visib le T a i l l e min. Ta i I le n a x . Couleurs nax. du n o d e 866 x 648 x 2 048 x 65 536 606 200 2 048 Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM s'avère très puissant. Le matériel La carte en elle-même est toute petite et vient s'enticher dans un Amiga 1200 monté en tour, sur le connecteur gra phique d'une Blizzard PPC. Sans cette carte à base de PowerPC, il est inutile d'envisager l'achat de la Bvision : vous ne sauriez tout simplement pas où la b ra n c h e r ! D isp o sa n t de 8 Mo de mémoire graphique, la carte intègre le processeur Permedia 2 de 3D Labs. Ce processeur peut tout aussi bien afficher des écrans 2D qu'accélérer le traitement 3D grâce à ses fonctions intégrées. En BVisionPPC Constructeur : Phase 5 Source : w w w.phase5.de En hausse Le prix de 1400 francs environ A Les performances A Première vraie carte 3D pour 1200 Hauteur : mmmm s / \.+<. I D é f a u t I^ I Défaut Cou l e u r s 6 5 5 3 6 D é f il. auto: I ^ I Sauver Ut i I i s e r rectement sur notre configuration de test. Soit il ne s'affichait pas complète m ent et b lo q u a it la séq uence de m êm e si la Blizzard PPC rentre, la Bvision ne passe pas. De plus, la venti n'arrivait pas. Après avoir étudié plus attentivement la documentation (en lation et l'alimentation de la carte mère du 1200 co n stitu en t deux facteurs volum ineux, très importants pour le anglais ou allemand seulement), nous avons envisagé une première solution. La carte mère du 1200 peut, dans cer tains cas (en fait dans la plupart), ne pas être assez alimentée. Le port d'ex tension du 1200 se trouvait conçu à l'origine pour recevoir seulement une horloge et un peu de mémoire supplé bon fonctionnement de cette carte. S'y rattache un câble, pourvu à son bout d'un connecteur neuf broches, prêt à brancher sur le moniteur SVGA. Enfin, une fois le matériel correctement mis en place, il co n vie n t d 'in staller les d éso rm ais célèb res p ilo tes C y b e r g ra p h x. Fournis sur une d isquette, ▼ I l f a u t b r ic o le r p o u r q u 'e lle système graphique, Phase 5 n'ayant pas obtenu la licence requise qui lui permettrait d'offrir gratuitem ent des ★ ★ Note ★ ★ H n n u 1e r chemin entre le 3Dfx Voodoo 1 et le 3Dfx Banshee. Une installation aisée Il est inutile d'essayer d'installer cette carte dans le boîtier original du 1200 : ceux-ci correspondent à la version 3 du Y Pas de Scandoubler | Les nouveaux modes graphiques. En baisse fonctionne correctement N 'accep te p s le s gentocks Déplacement poss i b le 6 8 H z , 3 7 / 6 8 kHz pilotes de la génération suivante. Pour m ém oire, rappelons que ces pilotes sont chargés de rediriger toutes les démarrage, soit il s'affichait avec de mauvaises couleurs et le Workbench mentaire. Le voilà maintenant chargé d'alimenter un PowerPC 603e à 240 MHz, un 68040 à 25 MHz et un chip set Permedia 2 ! Phase 5 recommande donc de brancher sur la prise lecteur de disquette du 1200 un câble d'ali mentation (non fourni) pour améliorer la charge du courant sur la carte mère. Miracle, l'ordinateur démarre ! A noter que les u tilisa te u rs de cartes PPC La carte BVsionPPC. ration graphique dans le même ton que Direct X ou OpenCL sur PC. Pour l'instant, seul le processeur Virge de la qui agrandira la masse des utilisateurs disposant de chips 3D et, de fait, moti vera les développements. Un premier Cybervision 64/3D se voit supporté, pas devrait être franchi aux alentours de mars, avec FusionPPC, l'émulateur de PowerMac qui tirera parti de l'accé lération 3D pour les jeux en QuickDraw mais l'adaptation au Perm edia 2 se poursuit. A term e, plusieurs applica tions devraient voir le jour, parmi les disposant d'un 603e à 166 MHz (la version de base) attachent moins d'im portance à ce défaut. Le Permedia 2, ça chauffe ! quelles m oult lo g iciels à caractère ludique ( WipeOut 2097 sera normale ment le premier). Sous Workbench, la carte accélère à merveille le 1200. Le d ép la cem e n t in tégral des fenêtres Malgré le bon fo n ctio n n em en t du Workbench et de certaines applications (dont DOpus, CyberQT, CyberAVI et les principaux o u tils de n a vig a tio n (avec MCP) devient réalisable, même en 800x600 24 bits. Quake, Marne et Doom en version PPC bénéficient d'une flu id ité jam ais vue par le passé en Internet), d'autres se sont révélées instables, notamment les jeux. En effet, Quake, Marne et Doom (tous en version PPC) ont fait déraper la machine après 320x240. L'utilisation de l'émula teur Shap eshifter donne en outre des résu ltats é to n nants : avec le seul 68040 de l'A m iga, l'ém ulation d'un M ac Q u ad ra est cinq ou six minutes d'utilisation. Cela représente bien peu de temps pour espérer pouvoir jouer correctem ent avec sa carte graphique ! Après avoir démonté et remonté la carte afin de vérifier les connexions, nous consta tâmes que le système lui-même ne tenait plus dans la durée ! Ce n'est qu'au terme de longues recherches que la solution a jailli. Il suffit de mettre le doigt sur le processeur Permedia 2 pour saisir l'évidence : il chauffe beau coup, énormément même. La solution consiste donc à installer dessus ou le plus près possible un ventilateur stan dard pour processeur (non fo u rni). Ouf, depuis, to u t est ren tré dans l'ordre. Les performances parfaite, tant en termes de rapidité que de stabi lité . A in si, on peut La puce Perm edia 2. désormais jouer à WarCraft II ou à Rebel Assault sans la moindre difficulté et reli re d ire c te m e n t d ans une fe n ê tre W orkbench et à bonne vitesse des vidéos au format Mpeg, AVI ou QT. 3D. On sera alors pleinement à même de faire tourner des titres MacOS, tels que Tomb Raider ou UnReal. Du côté de Linux, un pilote se trouve d'ores et déjà disponible pour le Permedia 2. En re v a n c h e , c e lu i-c i ne fo n c tio n n e qu'avec la version PPC (recompilation partielle de la RedHat 5.0), bien moins aboutie que la version 68k (RedHat 5.1 quasiment complète), pour laquelle il faudra encore attendre un petit p eu . En ce qui c o n c e rn e l'A m ig a O S lu i-m ê m e , la mode des portages triomphe actuellement et l'adaptation de jeux 3D PC devient de plus en plus fréquente. Il y a fort à parier que les pro gram m eurs ne vont pas tarder à supporter les fonctions 3D du Permedia 2, comme ce fut jadis le cas pour le S3 Virge avec Descent, notamment. Une fois passées les difficultés d'installa tion (parfois très rebutantes), la BVision PPC donne à l'Amiga 1200 le coup de fouet qui lui était nécessaire pour l'affi chage et fait de lui une alternative com plète au monde W intel. Il s'agit par conséquent d'un produit puissant, même si sa finition aurait mérité plus de rigueur de la part du constructeur. Ben Yoris - [email protected] Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM En revanche, l'affichage des modes PAL et N TSC par l'entrem ise de la carte demeure interdit. Aucun scandoubler ne se trouve prévu et, d'ailleurs, il n'y a m êm e pas de c o n n e c te u r sur la BVisionPPC pour en permettre le bran chement. Si l'on souhaite à tout prix afficher ces modes (cela se révèle tout de m êm e u tile), il faut disposer de deux écrans. Au pire, l'utilisateur peut aussi brancher un Scandou La BVisionPPC dispose d'entrée de jeu d'un énorme avantage par rapport à ses concurrentes : la bande passante de son bus. Bien plus rapide qu'une exten sion sur connecteur Zorro III, c'est dans bler sur la carte mère de l'Amiga (pour avoir les modes 16 et 24 bits que la carte se révèle la plus puissante. Fréquemment, le Permedia 2 va dans les benchmarks aussi promptement en mode 16 ou 24 bits que les autres cartes en 8 bits (comparaison effectuée avec la Picasso IV et la CyberVision 64, toute deux un signal VG A), relier les deux sorties vidéo à un sw itch et espérer que to u t s'a ffic h e ra bien sur un seul écran. Le futur de la 3D sur Amiga ? réputées pour leur célérité). Il y a mal heureusement un te st que nous n'avons pu effectuer, car rien n'autorise une telle opération à ce jour : il concer Incontestablement, les cartes à base de Per m edia 2 sur A m ig a redonnent à la machi ne une vitalité digne ne les modes 3D accélérés. D'ailleurs, disons-le d'emblée : aucun jeu ne profi te encore à l'heure actuelle de ces fonctionnalités a lléch an tes. N éan moins, les A lle m an d s d 'H aage & Partner viennent tout juste de terminer le fameux Warp 3D, un pilote d'accélé des au tres -------------- plates- formes plus à la mode. De plus, Village Tronics va d é v e lo p p e r un module 3Dfx pour sa fameuse Picasso IV, ce | ________ Au-dessus, Q uake tel qu'il a p p a ra ît aujourd'hui. En dessous, tel que le Perm edia 2 p o u rra b ien tô t le représenter. il faut bien reconnaître que les per formances attendues d’une station à EM 86, quand les a p p lica tio n s Intel to u rn e n t su r A lp h a 500 MHz étaient largement au ren dez-vous. Et des lim ites Attention, cependant, on parle bien ici d'applications. A l'instar de Wine, E M 8 6 ne p e rm e t pas d 'e x é c u te r l'e n se m b le des codes p riv ilé g ié s. N'espérez donc pas faire tourner un pilote, ni un com posant kernel. En re va n ch e , la p lu p art des a p p lica tio n s co m m e rcia le s fo n c tio n n e n t bel et bien sans p ro b lèm e te c h nique particulier. Il reste toutefois à préciser, notam m ent dans le cadre Vous possédez la meilleure configuration que l'on puisse imaginer une machine Alpha et un Linux 64 bits. La seule chose qui vous manque, c'est un nombre considérable d'applications toutes prêtes... d'une utilisation professionnelle, les sion co m m e rcia lisé e par Red Hat, laquelle offre d'em blée un nom bre lim ité d 'app lication s précom pilées. réplique sous Linux est désormais plei nem ent fonctionnelle. Bienvenue au module EM86 ! De m u ltip les in térêts G râce à cet outil, les binaires Linux prévus pour les machines Intel peu Si les perform ances et les capacités de votre configuration l'em portent de loin sur les autres produits dispo vent être exécutés sur les machines Alpha, ce qui présente un grand inté rêt dans le cas d'un produit dont les n ib le s su r le m a rc h é , il d em e u re tout de même agaçant de voir que bon n o m b re d 'a p p lic a tio n s so n t so urces restent rigoureusement indisp onibles, développées et ne tournent que sur les p lates-fo rm es In te l. Le m onde p a rfa it n 'e x iste ra it d o n c pas ? Ce se ra it sans c o m p te r les e ffo rts et l'in v e s tis s e m e n t c o n sid é ra b le s de Jim P a r a d is , d é v e lo p p e u r c h e z ou dans celui d'un produit dont la c o m p ila t i o n Digital Equipem ent. L'Alpha co m p atib le Intel ? Rappelons les faits. Au m om ent de l'adaptation de Windows N T sur les m a c h in e s A lp h a , D ig ita l a v o u lu insister sur la crédibilité de ses sta tions. En l'occurrence, le cahier des ch arg es sp é cifia it que les statio n s A lp h a /W in do w s N T d e v a ie n t fa ire to u rn e r to u te s les a p p lic a tio n s Windows NT, qu'elles soient co m pi lées pour Alpha ou non. Le module FX!32 a alors vu le jour ; il s'agit d'un interpréteur tem ps réel, qui traduit encore aujourd'hui toutes les instruc tions Intel des applications en instruc tions Alpha. Dans la pratique, l'utilisa te u r o b serve une e xé c u tio n assez le n te lo rs du p re m ie r la n c e m e n t d'une application Intel. Cependant, une fois passé le stade des optimisa tions, les perform ances deviennent subitement impressionnantes, dépas sant souvent celles d'un véritable PC. Hélas, FX!32 ne s'adapte qu'aux appli c a tio n s W indows. Q u 'im p o rte : sa terait, quel les q u 'e n A ce jou r, il y a fo rt à parier que v o tre d is trib u tio n de Linux corresponde à la ve r lim it e s de d ro it et de g a ra n tie qu'entraîne une exécution d'un pro duit donné sous un composant as similé à un émulateur. Se procurer EM86 EM 86 est disponible sur le site de Digital Sem iconductors, l'entité qui conçoit les processeurs et les cartes mères Alpha. Les kits EM86 revêtis sent plusieurs aspects : celui du très Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM U fb H u U R re p ré se n s o ie n t les raisons, un in v e s tis s e m e n t tro p im p o r t a n t en temps et en moyens. Le fait de po uvo ir e xé c u te r la su ite bureautique ApplixWare sur une m a ch in e A lp ha offrait jusqu'à ce jour un très bel exem p le des capacités de YEM 86. Applix venant de s o r t ir u n e v e rs io n Alpha native de ce pro d u it, une te lle aptitude voit son int é r ê t c o n s i d éra b le m e n t r é d u i t Malgré tout, X , C '£ m 5 T P m A S s classique form at RPM, mais aussi du fichier Tg z. Un petit pro blème se présentera toutefois : afin q u 'EM 86 fonctionne avec des versions de la RedHat supérieures ou égales à la 5.0 (nom de code Hurricane, kernel 2 .0 .3 0 ), l'utilisateur devra appliquer ( Fabrication, distribution et ingénierie ) De 10h à 19h (samedi sur rendez-vous) Payement par chèque, mandat ou CB (>500 Frs). Port : Logiciel 40 Frs, Matériel 65 Frs, Tower 120 Frs. Catalogue complêt sur simple demande Tél : 02.40.85.30.85 Fax : 02.40.38.33.21 E-Mail : [email protected] Web : http://www.ateo-concepts.com Adresse : Le Plessis, 44220 - Couëron ( à proximité de Nantes ) For a better future... quelques patches, lesquels n'existent que sous une form e plu tôt rudimentaire. Il s'agit de deux fichiers diff qui recensent les modifications à apporter dans les sources, avant une recom pi lation globale. Cette opération, bien que relativem ent sim ple, est consom m a trice de temps et peut rebuter des personnes au profil non technique, mais le résultat en vaut la peine. Ces fichiers sont linux-2.1.65-em86-diffs et alpha-patches-2.0 .3 0 -0 .2a, que l'on associera donc avec l'ensemble des sources disponibles dans le répertoire voisin, sur le m êm e site ftp (ftp ://ftp .d ig ita l.c o m / pub/DEC/Linux-Alpha/em86). Une fois l'application recompilée, l'ensemble des fichiers créés, en attente d'une installation, se présentera com m e suit : " « S S " *" * [root@ecrehous /root]# ls -Isa em86-0.4.tar.gz em86-fx-0.4.tar.gz 326 -rw-r— r— 1 root root 330136 Dec 28 23:00 em86- 1 root root 157013 Dec 28 22:57 em86-fx- ' " * £ £ L 0.4.tar.gz 155 -rw-r— r— 0.4.tar.gz [root@ecrehous /root]# tar -tzvf em86-0.4.tar.gz -rwxr-xr-x root/root 1084123 1998-01-29 23:36 usr/bin/em86 -rw-r— r-- root/root 1048656 1998-01-29 23:34 usr/x86/linux486.idx -rwxr-xr-x root/root 106945 1998-01-29 23:36 usr/x86/lib/libc- assist.so Produits Atéo Vidéo Branchez 4 périphériques IDE Atéo IDE mux complêt (nappes 3.5”) . . . . 199 Interface pour Clavier PC iPour A1200 monté en boîtier to w er 349 Pour A2/3/4000 (modèle e xte rn e ) 399 Clavier PC 105 to uch es......................................92 Upgrade ROM (2.2) Interface c la v ie r 100 Boîtiers Atéo TOWER + Accéssoires T o w e r A 1200 (Alim + m odule L E D + interface clavier + clavier + d o c ) 1090 Tower A4000 (alim 230W + nappes + doc montage) Nouveau modèle ! .................... 1290 Ventillateur supplémentaire (+doubleur). 95 Carte graphique Pixel64 + AtéoBus .... 1990 Carte AteolO 1 (2 parallèles + 1 s é rie ).. 390 Carte AteoNet I (RJ45) ...............................390 Carte AteoNet III (BNC + RJ45 + AU!) . 490 Cartes S C S I, IDE, A u d io ............................... N.C. Scandoubleur................................................. Bientôt Kit fixation : AtéoBus -> Tour Micronik ..1 5 0 Kit pour 7 S C S I interne (cartes 1 2 x 0 ).... 290 Kit pour 7 S C S I interne (cartes P P C ) .... 385 Kit de branchement pour les L E D 49 Adaptateur périphériques 3.5" -> 5"1/4 ... 49 Lecteurs de disquettes DD interne A500 A6/1200 ............... 2 5 0 /2 3 0 DD interne A2/4000 et Towers A1200 ... 210 DD externe tout A m ig a.................................... 450 HD (Towers) pour C atW e ase l.................. 175 Picasso IV (+scandoubleur à 10 0 H z).. 2790I - Module audio 16bits (Picasso I V ) ............990 - Module de sortie PA L (Picasso I V ) 890 BVisionPPC 8Mo (Blizzard P P C ) 1590 CyberVisionPPC 8Mo (Cyberstorm ).... 1690 Moniteur SM ILE 14" (pitch 0 .2 8 ).......... 1290 Moniteur SM ILE 15" (pitch 0 .2 8 ).......... 1590 Moniteur SM ILE 15" (pitch 0.25 N EC) 1890 Moniteur SM ILE 17" (pitch 0 .2 8 ).......... 2890| Genlocks (int./ext.), Cartes R V B ...............N.C. Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Accélération [root@ecrehous /root]# tar -tzvf em86-fx-Q.4.tar.gz -rw-r— r— root/root 1048656 1998-01-29 23:34 usr/x86/linux486.idx -rw-r— r-- root/root 543778 1998-01-29 23:34 usr/x86/lib/libem486.a drwxr-xr-x root/root -rw-r— r— 0 1998-01-26 22:31 usr/x86/include/ root/root 2456 1998-01-29 23:34 usr/x8 6/inc 1ude /fx_cpu.h -rw-r— r— root/root 22661 1998-01-29 23:34 usr/x86/include/run4 86.h -rw-r— r— root/root 2899 1998-01-29 23:34 usr/x86/incluae/cc_opcodes.h -rw-r— r— root/root 2929 1998-01-29 23:34 usr/x86/include/cc_tables.h Pour utiliser EM86, il ne vous restera plus qu'à lancer sur votre Alpha le binaire em 6, dans /usr/bin/, suivi du nom de l'exécu table Intel de votre choix. Pour vos essais, prenez par exem ple le troisième CD livré avec la dernière version de la RedHat Intel _________________________________ E m 86 Statut : Free Software En hausse Unique et parfois indispensable A Technologie impressionnante En baisse Code non finalisé Documentation inexistante v Patches à mettre en œuvre pour les versions récentes de Linux Note ★ ★ ★ ■* ’k Périphérique pro- (la 5 .2 ) : tous ces Périphériques IDE ATAPI d u its d isp o n ib le s u n i IDisque Dur 3.2 Go et + (Ultra-DMA) .... N.C. quem ent sous forme de CD-ROM 36x interne + prise casque .... 590I b in aires p e u ve n t to u r ner sur votre Alpha dès d em ain , avec un m in i [Tiroir extractible pour disque dur IDE .... 1501 mum d 'investissem ents de v o tre p a rt. R a p p e lons une bonne adresse pour tout ce qui concer CD-ROM 36x interne (P io n eer) 890 Cartouche pour lecteur Z I P ........................... 100 ne Linux et les stations A lp h a : h t t p :/ / w w w . d ig ita l.c o m /a m t/lin u x / index.htm l. Christophe Le Cannellier [email protected] Périphériques SCSI à. Pour Amiga 600 (Apollo 630 / 68030 à 33 Mhz + Copro ... 795 |Apollo 630 / 68030 à 50 M h z................... 1150 Pour Amiga 1200 (Apollo 1240 / 40 à 25/40MHz ... 1390 / 1990 Apollo 1260 / 60 à 50/66MHz ... 2990 / 3590 Module S C S I Phase5 / Apollo N.C. / 590 Blizzard 603e/160MHz + 040/25MHz .. 2290 Blizzard 603e/240MHz + 040/25MHz .. 3690 Blizzard 603e+/240MHz+040/25MHz .. 4290 Blizzard 603e+/200MHz+060/50MHz .. 6090 [Blizzard 603e+/240MHz+060/50MHz .. 6590 Pour Amiga 2000 (Apollo 2030/030/50MHz/Copro/SCSI .. 1790 G V P 2040 / 040 à 40 MHz + S C S I 3990 IGVP 2060 / 68060 à 50 MHz + S C S I .. 4990 Pour Amiga 3000 et 4000 [Apollo 4040 / 040 à 40 Mhz + S C S I II Apollo 4060 / 060 à 50 MHz + S C S I II Apollo 4060 / 060 à 66 MHz + S C S I II Cyberstom 604/200MHz+040/25MHz Cyberstom 604/233MHz+040/25MHz Cyberstom 604/200MHz+060/50MHz Cyberstom 604/233MHz+060/50MHz 2490I 3890 . 4490 . 4990 . 5690 7390 81901 IDisque Dur Ultra-Wide SCSI 4.5 Go ... 2190\ \Adaptateur pour U-W SCSI sur SCSI II. 190 Graveur 2x2x6x RICOH........................ 2 590 Soft "Make CD V3.2” TAO / DAO f Les Cables 395 / 549 w Rallonge 3.5"Male vers 2 x 3 .5 ".......................89 Cable 2.5" vers 3.5" (approx. 30 c m ).......... 69 Cable 2.5" vers 2.5" et 3.5" (~ 3 0 c m )......... 89 Doubleurs d’alimentations................................ 25 Nappe IDE 2 / 3 connecteurs 30 / 50 Nappe S C S I 2 / 4 / 8 conn 50/ 130/ 180 Cable S C S I avec centronic 50 p ts 120 Cable centro. 50pts vers SUB-D 25pts 150 Terminaison S C S I centronic 5 0 p ts 99 Adapt. SUB-D 9pts M -> SUB-D 25pts F 39 à Mais Aussi... Amiga 1200 (+ pack s o fts)......................... 2490 Carte Ethernet Ariadne (+ G é n é sis ) 890| Cartes audio Delfina ou P ré lu d é N.C. P igitaliseur audio stéréo (fin stock!) .... 190\ Carte Buddha flash (ID E A2/3/4000)....... 490 CatW easel MK2 (pour disquettes HD) .. 520 CatW easel Zll/lll (Buddha+CatWeasel) 750 \IDE-Fix Express (accélérez votre IDE) .. 690 Souris 400 DPI 2 boutons (logo Amiga) 75 Mémoires EDO 60ns, 16, 32 & 64 Mo N.C.i (Mémoires Fast Page 60ns,16 & 32Mo . N.C. Modem USRobotics 56K+Kit Internet.. 13901 Aminet, A. Format, A GA Expérience .... N.C.j Système 3.1 A5/12/23/4000 ........................N.C. Montage A1200 en boîtier to w er 300| Montage en réseau (Linux, Win, etc...) N.C. Prix modifiables sans préavis SARL au capital de 50.000 Frs. RCS J Easy Beat La boîte à rythme est un élément indispensable du musicien de home studio. l était inévitable que l'ordinateur, m iracle de l'audionum érique, s'y in té re sse . Le p re m ie r lo g icie l à I transformer le Falcon en drum machi ne fut FD Drum. Malgré certaines qua lités, il manquait absolument de fantai sie, tant dans son esthétique que dans son ergonomie. Aujourd'hui, le prodi ge de l'ordinateur, à savoir le prolifique Emmanuel Jaccard (Softjee), vient de sortir Easy Beat, qui devrait combler les adeptes de la pattern rythmique. Façade L'interface révèle un logiciel sim ple d'emploi, bien que com plet, et dont on peut se servir sans d o c, ce qui constitue un critère de haute ergono mie. A l'instar d'une table de mixage, Easy Beat propose huit pistes sur les quelles on assignera un échantillon (caisse claire, charley, grosse caisse... ou p o u rq u o i pas n 'im p o rte q u el AVR). Chacune de ces pistes contient d e u x p o te n tio m è tre s, réservés au volume et au panoramique, ainsi que des boutons pour des faders et des pans autom atiques sur la longueur de la pattern. une distorsion. Le plus monstrueux des Edition de pattern trois est sans conteste la réverbération L'édition de patterns représente en fait avec sa trentaine de paramètres. La le seul point faible d'Easy Beat, mais Lexicon n'a qu'à bien se tenir. Chaque rassurez-vous, Softjee a pro m is de effet possède seize presets, ce qui suffit l'am éliorer à la prochaine version. Il largement pour un morceau ; l'utilisa s'agit d'un m ini "Drum Edit" d'une teur aura bien sûr l'opportunité de m esu re en 4 / 4 . On c liq u e sur les sauver et de charger à loisir celui-ci. temps à jouer parmi seize boutons, qui Puiser ! s'étalent devant chaque instrum ent Easy Beat est un produit extrêmement pour placer les notes. 4/4, cela s'avère accessible, idéal pour un novice vou tout de même un petit peu léger ; en lant s'adonner à la pulsation ryth outre, on ne peut pas attribu er de m iq u e. Un m usicien co n firm é , en volum e, m anuellem ent, à une note. revanche, le trouvera un petit peu limi Dom m age ! En revanche, ce qui se révèle sympathique, DRUm E d i t TÊT c'est que lorsqu'on retourne à la fenêtre principale, les notes BDRUID1 © © © © © ( g ) ® ® © ® ® ® © © ® ® de l'instrum ent sé HHflTCLOS ® ® # ® ® ® 0 0 © ® © ® ® ® © ® lectionné s'allument CLRP ® ® ® ® ® ® ® ® ® ® ® ® ® ® ® ® sur la "time line" en SNRRE2 ® # ® @ ® Q © ® ® ® ® © @ ® ® ® dessous des faders, BDRUD1 ® ® ® ® ® ® ® ® ® ® ® © © ® @ ® via des leds de BDRUni ® © ® ® ® ® ® # ® ® ® © ® ® ® ® couleur. Il y a ainsi BDRUni ® ® ® ® © ® ® ® ® ® ® ® ® @ ® ® m oyen de v o ir les BDRUP1I © ® ® ® ® © © @ ® © © © © © © © te m p s in te rp ré té s >w< t /»-«3 par l'in s tru m e n t Close U «/wc dans la pattern en cours. Si la pattern Mélodie en sourd sol. se trouve en train de té, même si quelques idées ne man défiler, les leds lumineuses ne s'allu quent pas d'intérêt (chargement sous ment que lorsque la note est jouée. forme de banque de tous les AVR d'un Effets d o ssie r, par e x e m p le ). L'au teu r a Le maître du DSP ne pouvait nous lais conscience de ces lacunes et compte ser sans effets ; aussi avons-nous droit bien faire évoluer le programme dans à une réverbération, à un écho et à un sens plus musical. En attendant, il décroche la palme de l'ergonomie et de la pédagogie, car il a su mettre à la portée de tous les joies de la boîte à Coucou super rythme. De surcroît, il arbore une cer taine joliesse, ce qui ne gâche rien. Nous souhaitons donc à Easy Beat une belle croissance, ce qui lui permettra de devenir sans nul doute un grand logiciel, consacré aux pulsations. Godefroy de Maupéou Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM EfiSV Beat fini .00 LOBD Bank LORD Sound SRUE iî S r> 3 £ ) dt sn s Easy Beat Statut : commercial Source : http://perso.wanadoo.fr/softjee/an glais/easy.htm En hausse Nor>ç Une boîte à rythme pour patternes pas ternes ▲ Simple d'emploi A Utilisation intensive du DSP En baisse ▼ Edition de patterns Note ★ ★ ★ ★ Gimp's User Another Shell Ce plugin destiné au célèbre logiciel de retouche photo vient combler un gros manque l'absence d'un "visual schnauzer” ! vec de g ra n d e s b a n q u e s d'images, il demeure essen tiel de pouvoir afficher des "planches", permettant une gestion efficace. C e tte fo n c tio n a ren d u A indispensable le vieu x xv , dont le "visual schnauzer" représente to u jours un m odèle d 'e rg o n o m ie et et une installation entièrement auto matiques (et, par conséquent, simplissimes), on peut appeler celui-ci via le menu "extensions" de Gimp. Le princi pe reste toujours le même : la fenêtre affiche toutes les images d'un répertoi d'accéder instantanément aux réper toires où sont stockées les images et une conception pour le moins originale du glisser/déposer. Ainsi, lorsqu'on veut "drag and dropper" une icône, on ne doit pas cliquer dessus puis tirer comme à l'accoutumée ; ici, il faut la sélectionner d'un simple clic, puis tirer le bouton "drag copy" ! Cette méthode n'est pas forcément mauvaise, mais se révèle tout de même très peu intuitive. jakub Zimmermann d'efficacité. Guash dote enfin Gimp d'un tel outil. Après une compilation re sous forme d'icônes et un doubleclic sur l'une d'entre elles l'ouvre ins tantanément dans sa taille réelle. Pas besoin d'autre chose ? Source : w w w .gim p.org " Guasb: Canemu DU.Amrtocal'thvB/mkget/Caae'Cfi Disc (by nam) Comme son nom l'indique, Guash a la prétention de faire office de bureau Statut : logiciel libre sous licenceCPL pour l'utilisateur de Gimp. A cette fin, il propose toutes les fonctions de copie, En hausse ▲ Très complet déplacement ou effacement de fichiers et permet même d'appliquer directe m ent des com m andes Unix ou des fonctions Scheme aux images sélec A On peut tout faire depuis Gimp Ûi I 8W 09 JP G I CAM007JPG W A27 JP G i I I H O I C A M Q 02 J P G C A M 0 0 3JP G H CA M 805 JP G f >Æ RO N_ C A M IE 0 7 J P C 0 t A Z 4 J P G D lA Z J P G I c » w o n 7 jp g CAMERÛN_JPG C19MZB09G8 S» (66S » bytet) O^copy J Uptfa® j Cameron cache-torses. tio n n é e s. M a lh e u re u sem e n t, d eux carences en réduisent l'ergonom ie : Gimp's User A n o th e r Shell En baisse ▼ Il n'y a pas de "bookmarks" ▼ Glisser/déposer bizarre Note l'absence de "bookmarks" permettant Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Grail Un navigateur pas comme les autres pythonesque ! uel a d m ira te u r des M onty Python est également célèbre pour développer des logiciels iiDres très populaires ? La réponse ne Q vous surprendra guère : il s'agit de Guido Von Rossum, créateur du superbe langage de program mation python. Sacré Grail ! Python se trouve souvent assi milé à un "vulgaire" langage de script, c'est-à-dire à un succéda né de Perl un petit peu plus "propre" que son modèle et orienté objet. Cependant, selon son créateur, python constitue un langage généraliste, très à l'aise par exemple pour prototyper des applications graphiques. Le navigateur Web Grail est en quelque sorte la matérialisation de cette affirmation. Supportant une bonne partie de Html S.2, Grail offre une interface (en Tk) un peu fruste : en effet, son utilisation recquiert un goût prononcé pour les menus déroulants ! Cela dit, l'affichage et les interactions avec les pages Web se révèlent très efficaces. Une architecture très ouverte mettent de gérer de nouveaux formats de fichiers, d'améliorer le parser Html (voir de parser du Sgml ou du Xml) ou même de proposer de nouveaux proto coles (autres que Http ou Ftp). Une La principale originalité de Grail vient autre originalité concerne le support d'applets python, lequel semble défier de son architecture ouverte, reposant totalement sur python. Les plugins Grail sont des modules python (formidable : Java. C e p e n d a n t, rien n 'e m p ê ch e d'ajouter un plugin java, car Grail n'est pas un outil fermé. A n'en pas douter, des plugins avec les sources !). Ils per ses capacités lui garantissent un avenir prometteur. Fred Pesch G ra i I 0 . 5 Statut : Open Source Source : http://grail.cnri.reston.va.us/grail/ En hausse À Architecture ouverte A Support complet de Html 3.2 A Applets python En baisse ▼ Interface graphique minimaliste Y Faible nom bre de plugins (pour l'instant !) ★ ★ Note ★ -k ' k complet sur le flux de données, par exemple un filtre passe-bas. La puis sance du langage permet malgré tout L a b V ie w 5.1 B êta p o u r L in u x d'élaborer des choses plus classiques, Ne s'agirait-il pas encore d'une application-phare pour Linux ? Après des produits comme Oracle ou Db/2, voici le portage d'un outil très prisé des ingénieurs. Sl abView est un environnement de L développement et d'acquisition de données professionnel, qui a comme le célébrissime "Hello World" ou encore un outil de calcul. Il est aussi possible d'utiliser du code exter ne, en C par exemple, dans LabView, ce qui évite d'avoir à réinventer la roue. Les lim itations les plus ennuyeuses émanent de l'absence d'aide en ligne (on trouvera malgré tout des manuels au fo rm a t Pdf avec le vu le jour en 1983 et représente l'un des ténors du genre. Il existe de nom breux ports de ce logiciel, sous envi ronnement Windows, Mac et Unix. La m o n té e en p u is sa n c e de Linux a po ussé la so cié té N ational In stru m e n ts National Instruments à déve lo p p e r une v e rs io n p o u r j= g s !L | ai m jSl-3 >OPgD CPBC | LabVIEW5.1 tionnem ents m ineurs, tels que des boutons qui ne m archent pas, sont venus entraver la bonne marche des prend la form e d'un Rpm. Cependant, il faudra veiller à disposer de la glibbc2 et d'environ 64 tests. La b V iew d é s ig n e , d ix it N a tio n a l Instru m ents, un "environnem ent de Mo d'espace disque. La version testée co rre sp o n d ait à une Bêta ; m algré tout, la date de sortie de la version 5.1 de LabView pour Linux est prévue en développement pour la mesure et l'auto matisation sur ordinateur. En pratique, LabView se révèle très efficace pour effectuer des mesures, les traiter et les afficher, mais aussi pour réaliser des INSTRUMENTS U "»' - «■i tériels d'acq u is it io n , pu isq u e le seul dispon ib le a c tu e lle m e n t sur le site de National Instrum ents est un driver G p ib en versio n Bêta. Ce d ern ier point va bientôt se trouver résolu, g râce à l'a ctio n des m em bres du Le schéma du simulateur d'oscilloscope Linux/x 86. L'installation de LabView 5.1 sous Linux ne pose aucun problème, puisque le fichier ■%r,'NATIONAL ; ; lo g icie l), et du m anque de d rive rs pour les ma Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM A propos de LabView. même temps que pour les autres por tages. L'utilisation de ce logiciel n'a posé aucun gros pro blèm e sur un Pentium 166 M m x avec 64 Mo de Ram . Pour le reste, seuls quelques petits dérapages et autres dysfonc- simulations de toutes sortes ou encore m e ttre au p o in t des p ro g ram m e s complets de type classique et n'ayant rien à voir avec le milieu des ingé n ie u rs et s c ie n tifiq u e s . L'e n viro n nem ent de déve loppem ent utilise le langage graphi que G et autorise, e n tre a u tre s , la c o m p ila tio n du H T I j u n M 'X I 3S B $8; m ; 1 m i * * * * * * ? ______ ; 1 1 1 i code, la présence du m ultitâche et du support de Tcp -1 1 1 J c* * Irp» * je c m c te d p o M i « ;? :« ; i— Tracé de courbe sinusoïdale. Mathématiques et tracé de courbe 3D. s i f : * i r *— séries. La p ro g ra m m a i î :T'*r.-I tion passe par une interface visuelle dans laquelle on •■ '‘'tFvx®;-••' 1 assemble des élé ments, à savoir des 1 Application réalisant des zooms dans un ensemble de courbes. / 1p, ainsi qu'une g estio n évo lu é e des entrées/sorties Simulation d'oscilloscope. blocs e ffe c tu a n t un t r a it e m e n t Linux Lab Project, qui facilite n t la création de drivers, bibliothèques et logiciels compatibles ou complétant LabView. On peut donc s'attendre à la diffusion de drivers conçus pour les matériels les plus divers, de la carte SoundBlaster à l'appareil d'acquisition le plus moderne. LabView pour Linux est proposé au même tarif que la version Windows, soit 15000 francs HT. La version édu cation (dix licences pour un logiciel acheté) permet de ramener le prix à des valeurs plus modestes. National Instruments : w w w.natinst .com/linux Linux Lab Project : www.llp.fu-berlin.de David Feugey L a b V i e w 5.1 B ê t a Statut : commercial En hausse Outil très performant Comble un vrai manque En baisse Quelques bugs (mais c'est une version Bêta) Le manque de drivers Note ★ ★ ★ ★ Si une qualité de restitution très correc Pop-Play te, de nombreux réglages et la ges tion de listes de titres ("playlist"). Le son s'avère de bonne qualité, sans être e x c e p t io n n e l. P o p -P lay d o n n e le moyen de ne pas perturber les sons Un lecteur de modules honorable. o p -P lay est un le c te u r de P modules pour OS/2. L'in stal lation peut s'effectuer sur un Pentium 75, pourvu de 8 Mo de Ram et disposant d'une carte son compa tible MMPM/2 ou Dart, ce qui limite l'utilisation de ce logiciel aux versions 3 et 4 de Warp. Le test sur un Pentium 120 équipé d'OS/2 Warp 4 n'a posé aucun problème majeur. Le lecteur ne supporte que les fo rm ats les plus répandus (xms, mods, etc), mais offre du système, ce qui se révèle appré ciable. Evidem m ent, cette dernière fonction se paye en termes de temps p ro c e s s e u r, m ais m êm e a ve c les valeurs maximales, la machine de test n'a jamais été mise en difficulté. Les principaux défauts de ce logiciel résultent de l'absence d'aide en ligne, lecteurs de modules sous OS/2 nous avaient habitués à m ieux, mais c'est ailleurs qu'il faut chercher les qualités de Pop-Play. L'avantage principal de ce logiciel pro vient de son interfaçage avec Rexx, g râce à une b ib lio th è q u e et à un manuel correctement réalisé. Le logi ciel correspond à un shareware, mais le paiement de la licence autorise la libre distribution des programmes fai sant usage de cette bibliothèque, sans qu'il y ait à payer de royalties. David Feugey ainsi que de l'esthétique très discu table de l'application. Dernier point négatif, le g estio nn aire de fich iers intégré n'est pas standard et ne per met pas l'accès aux disquettes. Les BH BEM pu 5* . f w * Pop-Play Version testée: 1.1 /shareware à 20 $ En hausse 5 y— Ma» A Peu gourmand en ressources A Interfaçage avec Rexx En baisse T L'esthétique déplorable ▼ Il manque quelques fonctionnalités ★ ★ Note ★ Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Vue de Pop-Play. Le gestionnaire de fichiers intégré. QuickMotion 2.0 A l'utilisation, QuickMotion remplit par Un logiciel indispensable. Æ ^ ^ u ickM otion 2.0 est un logiciel faitement son rôle, et même avec un certain brio, tant la lecture de vidéos fait montre de fluidité. Le seul reproche que l'on soit en mesure d'adresser à I q u i au g m en te de m an iè re ^ ^ ^ n o ta b le les capacités multimédias aO S/2. Il permet également de QuickMotion vient de sa non-utilisation du lecteur vidéo standard livré avec Warp ; cependant, on oublie ce léger lire les fichiers QuickTime, QuickTime VR et les Avi au format Microsoft (seuls les Avi au format Intel peuvent être parcourus en standard par 05/2). Suprême coquetterie, QuickMotion se inconvénient, dès que l'on sait qu'il demeure possible d'intégrer les films sur la table lumineuse d'OS/2. Le lecteur uti trouve fourni avec un Plugin pour la version OS/2 de Netscape, ce lisé est spécifique : il s'agit de QuickFIick, un logiciel très riche, qui dispose de toutes les options requises et autorise qui autorise la lecture directe de films sur Internet. QuickMotion se montre très peu exigeant, puisqu'un 486 avec 8 Mo de mémoire se révélera suffisant. m êm e la co p ie et la sau ve g ard e d'images dans de nombreux formats. David Feugey Q uickM otion 2.0 Version testée: 2 .0/commercial 34.95 $ w ww.quickm otion.com En hausse ▲ Parfait A La navigation dans les fichiers Quicktime VR Toutefois, la lecture de fichiers au fo rm at Q u icktim e VR demandera une configuration de type Pentium pour une navi gation confortable. L'installation du logiciel s'avère classique et passe par le gestionnaire de présentation multimédia. Vue du fichier QuickTime. En baisse ▼ Aurait pu (dû) utiliser le lecteur vidéo standard Agrandissement d'un fichier QuickTime VR. ★ ★ Note ★ ★ ★ \\# 3 IglooFTP nature : répertoi re, lien, package, fic h ie r H tm l et a mode est aux gestionnaires de fic h ie rs "tra n s p a re n ts au réseau" (com m e kfm ou gm c). IglooFTP - littleigloo ftp Locto m ss autres textes sont a in si jo lim e n t Enfin un client FTP digne de ce nom sous Linux ! L r ü R.mûle 77.1s u. n *nLOMn- vgfypri Opéom Tool» sa m S m 'A C2 |rtoovep<l»it B Help c#g w A User Jtnonymout À Pin Port : 21 £ > jnncoff-n^iraïoigWo SIX. | d» q 1n*»> âfÿ -'ro o l sound Preferences cn»f\g*»_bnpcpup M cn*ng#»_w2tbd Ovmnt wangT-)} Aav*nc«o | vi*«. <J107*j4gif oownloadi nw download.JLhW |V)onymoui représentés. Bien sûr, l'u tilisa te u r peut t o t a le m e n t se passer d 'u n é lé m e n t J Nommavm | m aexhirrl Irtûexo'd Mml Ind^OMml linki html InUjrhM E - M U ACdrest |rnot6>L!tse*.gioc SUrt DTrectaiy [/raotnp ■Higloo |» rrruieumhtml mui.um_COhtnh.Mml mui6um_.html ioftwv.1 html software*Jt.hlml d'interface, quel qu'il soit. Bref, il User Profli# uffieigtoo lest Romot. SUnDn.Cîor/ J r: - Cj/rootMp £2 rt>o®e/tertfl!p |/)ncoming On veut nous faire croire que gérer des fichiers locaux et des fichiers FTP ou HTTP revient au m êm e. Erreur ! Pour réellement exploiter le protoco n 'y a p ra tiq u e m ent aucun re p ro c h e à fa ire concernant c e tte G U I, q u i le FTP, un client spécialisé demeure s 'a v è re nécessaire. Une in terface exceptionnelle E n tiè re m e n t d é v e lo p p é e en C T K , l'in terface d 'IglooFTP se révèle à la fois belle et efficace. Com m e pour la ment exem plaire ! Les fo nctionnalités IglooFTP propose pratiquem ent tout ce que l'on est en droit d'attendre du FTP, com m e par exem ple la reprise p lu p art des clie n ts FTP, la fenêtre principale de l'application se divise en deux zones : une pour le système d'un download interrompu (fonction très p ratiq u e et p o u rta n t so u ven t absente). La philosophie de IglooFTP de fic h ie r local (à g a u ch e ) et une autre pour le site FTP distant (à droi te , d o n c ). C e p e n d a n t, Ig lo o F T P se m ontre sim ple : on sélectionne dans un premier temps les fichiers à télécharger (même s'ils résident dans ap p o rte de n o m b re u x ato uts sou d ifféren ts réperto ires !), on cliq u e e n su ite su r "d o w n lo a d " e t ... on I g l o o F T P O. 3. 3 attend. L'absence de connexions mul tiples (par exemple, un thread et une connexion par download ou série de downloads) ne constitue donc pas for cément un défaut majeur ; il suffit de So urce : http://www.littleigloo.org l«» Hort Typ. : Trenston Type Auto Ottocl _j | Oeloutt Port Auto Oetoel _i | iïi on porter G? Cw c i | Retet | Une interface agréable. r é e lle l'a d e p te des fic h ie rs de co n fig . Toutefois, IglooFTP vise avant tout la sim plicité et atteint idéalement cet objectif. Précisons enfin que la pro chaine version devrait disposer du Drag'n'drop, du support HTTP et d'un cache, perm ettant de conserver en m ém oire l'arborescence des réper toires visités. Fred Pesch Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM vent absents : barre d'icônes, ligne d'état, console FTP, invites locale et distante, connexion rapide, liste des téléchargem ents en cours, etc. Les fich ie rs se vo ie n t m êm e a cco m p a gnés par une icône sym bolisant leur k ilo o l J P FTP Local Remote Tools Options |/home/pesch {>|Namô t ,. Û Desktop C l Eterm-0.8.8 □ GNUstep Q IglooFTP-0.3.3 C3 Mail □ PRCS C3 articles C3 a?diome □ bln (23 book P i doc^+-3.3.6 C 3 docs CD emacs_modes C3 friends C3 grail-0.5 /] Size Date 1024 1024 1024 1024 1024 1024 1024 1024 1024 1024 1024 2048 1024 1024 2048 01/07/99 01/22/99 12/11/98 01/22/99 12/31/98 12/29/98 01/08/99 12/14/98 12/21/98 01/07/99 01/22/99 01/06/99 11/17/98 09/08/98 01/22/99 & A '1 A Size Date A Name t .. 1 □ DOCS 1 D R6.3 1 C2 R6.4 1 C3 X8F 1 -J □ XFree86 1 V C l afterstep C 1 o bowman C C l contrib 1 □ eXode 1 C l enlightenment 1 C l fvwm 2 C l fvwm95 1 □ gimp C C l gnome 1 / □ gt* 9 1024 1024 1024 1024 1024 1024 1024 1024 1024 1024 1024 1024 1024 1024 1024 . ... . J 21 folder(s), 1 file(s), 74795 byte(s) llsted. • 4 ............................. . . ................. 25 folder(s), 17 file(s), 5584363 byte(s) liste* jsize /\ Pass : C ? |/pub9/X11 {target ; 200 Type set to A. UST 150 Opening ASCII mode data connection for/bln/ls. 226 Transfer complété. 1420 byte(s) received in 1.00 seconds (1.39Kbytes/sec). NOOP 200 NOOP command successftil. '4— Connected to 11p.llp6.fr on port 21 | 'die 0 1 ) Window Oct Oct Jun Dec Jan Jan Dec Oct Jan May Jan Aug Dec Aug Dec ^ En baisse ▼ Une seule connexion par client une a u tre c o n nexion. Les confi gurations très fines m an q u en t à l'a p ▼ Configuration "propriétaire" et limitée ★ pel, ce qui rebute ra éventuellem ent ★ Note ★ ★ P | IglooFTP - littleigloo ÎOOtt Optons 8SB8SS sa si S! FTPHOït: Igloo £ > J/rooVRpAMl M / îm. fS» V « l *vtt-«\! vçy* wfi.<#«*•>- ^/| User [anonymoui /| Pan [Ancomtngrtnteigloo s a . Oat* Six. OMo 5 B Tj ! "• LmPopUp- 0 3.5-1J368 rpm linPopUp-0 9 5-1 trc rpm LlnPopUp-0.9 5bin.tgr LlnPopUp-0.3Ssrc.tgi UnPopUplim SUNSITEHOWTO.SU8MITDOC W.ICOtn.2L-XMAS-1 006 rpm W.lcom.2L-XMAS-1 srcrpm Tj WflcomtZL-XMAS.bin tgx /•! W*lcom*2l-XMAStftlgi Wttcom.2L lim î d*scripttonTXT S 76387 66383 S59456 63375 887 1245 21115 24316 21155 22568 12/08/38 12.25 12/06/36 12 25 12/08/3812:25 12/06/36 12:25 12/06/36 1225 12/06/38 12:25: 12/06/98 12:25 12/08/98 12:25 12/06/98 12 25 12/08/98 12 25 12/08/98 12:25 350 12/08/38 12 25 886 t. C3 download sound H changesJlnpopup bd ; chançe»_w2i bd S d107«M gv downloads Mml 5 downlomls_fr html ji mdKhw ÿ wddxow Mml Ci lnd«xjrhbni lin*/, html HnttJthM ;s) uwmgioo i » Uf. Sj. vi£ cil 1 fbldetft). 12 *»<«). 863265 byt*(s) l mustumMml mus*um_contnb.hlml mus« m .» html lOtwvei.Mml 1024 1024 7941 2050 2003 12246 11613 13150 11110 10816 Déc 06 193i Déc 06 199c D é c0 8 l9 » 04c 08 19» 04C 08 19» 04c 08 199i 04c 06 139. Oéc 06 19» 04c 0819» Oéc 06 199) BSM D4C06 19» 9316 Oéc 08 19» 5451 Oéc 08 199* 23103 Déc 06 13» 4978 DéC 08 19» 18830 Oéc 0819»+10117 Déc 08 13» 3 ftMderft). 16 «•(»), 1( T50 Opening ASCII mode data connection tor /birvls 228 Tranitor complet* 1372 oy1e(i) received In 1.00 seconds (1,34KX>ytes/tec) | Connected to tttt.igfoo on port 21 Un client qui ne laisse pas de glace. HHR V. /1 r | fonctionnelle ▲ Enfin un bon client FTP sous X- lancer un nouveau client pour ouvrir I ! S. ! I This i»; an ALPHA version • USE AT S'OÜR QWN RIS- Help User: [anonymous A FTP HOSt : |ftp Iip6 fr - F t p .lip o .il 1 i •» En hausse ▲ Interface attrayante et Chaque fichier est représenté par une icône. J » — avoir recours à un utilitaire spécifique StoreDesk Gold Pour profiter des possibilités du Wimp. S toreDesk Gold permet d'exploiter une fo n ctio n in téressante du Wimp, à savoir la sauvegarde automatique de l'état dans lequel se trouve le bureau, lorsque la variable d'environnement SaveDesk$File dési gne un nom de fichier. Cette sauvegar de donne le moyen de retrouver les paramètres du systèm e que l'on a manipulés lors de l'extinction de la machine. Le problème est que, habi tu e llem e n t, ce systèm e pro du it un fichier restituant son environnem ent avant arrêt. StoreDesk Gold procure la capacité de faire le tri dans ce fichier et de ne ré e m p lo y e r que les p arties opportunes choisies par l'utilisateur. Pratique La sélection des éléments à restaurer se fait par l'entremise d'une interface utili sateur simple et bien pensée. On peut se limiter aux dossiers ouverts ou aller jusqu'à retrouver les valeurs des allocations de mémoire, relancer les applications, les booter, charger les modules, etc. Les choix se partagent en q u atre ru b riq u e s : Pinboard, Filer, Memory et O ther. Précisons toutefois qu'en cas de dérapage, la sauvegarde ne s'effectuera pas, car le fichier est créé pour profiter pleinem ent d'une des fonctionnalités intégrées au W im p ... mais qui s'en plaindra ? StoreDesk Gold constitue un produit d'excellente quali té et, sur option, n'occupe pas de place en mémoire. Ce logiciel est le fruit du tra v a il de d e u x p e rso n n e s : Ab Steeman, w w w .risc y site .demon.nl et Rich ard C a ssid y , w w w .fw s e r v ic e s . com /graphite/fun/. Cet outil gratuit mérite largement sa place dans votre dossier système. David Feugey S t o r e D e s k Go l d 1.50FE Statut : freeware En hausse ▲ Ajoute une fonctionnalité essentielle au Wimp ▲ Applicatif bien fait ▲ Fonctionnalités En baisse ▼ Les fenêtres s'ouvrent un peu n'importe où Note uniquem ent à la sortie du systè m e . Il d em e u re par Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Ensemble des fenêtres de l'application. Virtual Encore un utilitaire essentiel pour les Archimedes ! ailleurs étonnant qu'il faille limiteront à une TaskWindow, au Basic ou à l'utilisation d'un compilateur C. C'est dans ce dernier cas que Virtual devient obligatoire, car un compilateur d em an d e so u v e n t b e a u co u p de m ém o ire, et la p lu p art des vieilles m ach in es n 'a cce p te n t pas plus de irtual est une a p p lic a tio n ancienne, mal connue et pour tant indispensable pour les 4 Mo de mémoire. Ce logiciel s'avère stable, mais dégrade le multitâche lors d'un usage so u te n u . A in si, il vau t possesseurs de machines d'ancienne génération. Virtual ne fo n c tio n n e qu'avec les versions de RiscOS infé rieures à la 3.5 et autorise l'utilisation mieux ne pas trop jouer avec d'autres applications lorsqu'on lance une tâche conséquente à partir de Virtual, car autrement, le système risque de deve de la mémoire virtuelle pour les tâches lancées à partir de la ligne de comman de. De manière générale, Virtual n'aura que peu d’usages ; les plus courants se nir assez instable. Du Cli ! L'usage de ce logiciel se révèle très V simple. Il suffit de lancer une comman de "Virtual basic -Ctrl -wimpslot 1M discslot 24M -name "BASIC task" -display" pour démarrer le Basic avec 24 Mo de Ram disponibles, dont IM o de mémoire physique. En ce qui concerne la ligne de commande, un simple *Set AliasîTaskW indow "Virtual % *0" per L'application Virtual. met aux TaskWindows (un Shell dans une fenêtre) de disposer de 24 Mo de mémoire. A l'arrivée, il apparaît que Virtual a une utilité ponctuelle sur les Une TaskWindow gérée par Virtual. anciennes machines. De plus, il est gra tuit même si l'auteur accepte volontiers des dons... David Feugey Virtual Statut : freeware En hausse A Plus de mémoire pour les Archimedes ▲ Fonctionnement correct En baisse ▼ Quelques bugs et dysfonctionnements Ne fonctionne pas sur les Risc PC ★ ★ Note ★ Système O p e n G L, un s ta n d a rd a lt e r n a t if Ce mois-ci, Dream vous propose de combler les lacunes de vos OS en matière d'accélération 3D, grâce aux librairies de Mesa 3D, une implémentation Free Software. O p en C L est l 'API (In te rfa c e de Program m ation d 'A p p licatio n ) la tout un éventail de fonctions, remarquables par leur puissance et leur simplicité. Autre plus répandue de l'industrie g ra particularité importante, l'exploitation de l'API phique. Elle a été créée au début des années 90 par Silicon Graphics, afin de répondre aux problèmes de compatibilité ascendante posés ne recquiert aucune licence. L'utilisateur dési- du matériel, tels que le jeu vidéo. L'API proposant plus de fonctions que celui-ci n'en supporte, les constructeurs de cartes accélératrices pour micro-ordinateurs propo sent donc un O penCL m oins complet, nommé MiniCL, mais mieux adapté à leurs matériels, jusqu'à présent, aucune autre API n'a su faire mieux, et il aura fallu à Microsoft la version 6 de Direct3D pour égaler les per formances et surtout la beauté des jeux com patibles OpenCL. Déjà étendu OpenCL n'administrant pas les environne ments fenêtrés, SGI s'est empressé de sortir des surcouches, qui s'insinuent entre OpenCL et l'interface utilisateur. Les plus connues sont Tk, Aux (vous pouvez d'ores et déjà oublier celles-ci) et le fabuleux Glut, lequel corres- par l'évolution des puces graphiques de leurs stations de travail. De fait, OpenCL propose d'émuler de manière logicielle les fonctions non su p p o rtées par le H ard w are d'une machine. Ainsi, OpenCL s'est développé en dehors des limites des stations SGI, pour gagner dans un premier temps le monde des stations Unix, puis celui des micro-ordina teurs. Afin qu'OpenCL se trouve en mesure de gérer les puces ou cartes graphiques d'un j/ 4 !1 j* X * T V . j t y j: Les miracles d'OpenCL. Descent en version normale. Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM constructeur, celui-ci se doit d'acquérir une licence (payante) auprès de SGI et de propo ser des pilotes compatibles, afin que l'utilisa teur puisse programmer sans se soucier des différents types de matériels existants. Une interface simple et complète Voilà ce qui a fait son succès. C'est simple, OpenCL contrôle tout ! Du simple traçage de lignes aux effets les plus en vogue, tel les NURBS, le program m eur se voit proposer reux de rendre son application compatible avec l'accélération matérielle, mais aussi le programmeur voulant mieux tirer profit de l'accélération hardware ou optimiser la partie logicielle, peuvent le faire sans contraintes. C'est ce que fit la société 3Dfx, qui a créé les superbes puces Voodoo, avec Glide et Brian Paul, en élaborant Mesa 3D. Et les jeux ? OpenCL a ainsi acquis une excellente répu tation dans des domaines jusqu'ici dépendant pond à l'abréviation de OpenCL Utility Toolkit et co nstitue une API com plém entaire à OpenCL. Elle permet aux programmes com patibles OpenCL (donc affranchis d'une ges tion de tous les matériels existants) de deve nir indépendants de l'environnement gra phique dans lequel ils se trouvent exécutés ! Clut présente l'extrême avantage de rendre la programmation OpenCL, déjà fort simple, encore plus aisée à apprendre et donc à maî triser. Seul point noir au tableau, d u t n'auto rise pas la construction de gros projets de type industriel, qui nécessitent une gestion plus poussée de la GUI ; toutefois, il répond amplement aux besoins du programmeur peu désireux de se compliquer la vie, afin d'effectuer quelque chose de spécifique à X 1 1 ou Intuition, par exemple. Clut se révèle donc sim ple, co m p act et ra p id e ... Que demande le peuple ? Avec Clut, on aura ainsi loisir d'obtenir du multi-fenêtrage avec les Fastes et rixes. gestions de processus minutés (créant aussi bien des solides que des polygones en fil de fer), de Bitmaps (tous les types), de polices et defonctions GUI. Bref, hormis le thé, Clut fait pratiquement tout ! Par ailleurs, il ne dépend en aucune manière d'OpenCL et peut tout aussi bien être utilisé avec des implémenta tions du domaine public, comme Mesa. Mesa ? Mesa désigne, comme le précise son auteur Brian Paul, une bonne im p lém entatio n d'OpenCL, mais pas compatible à 100 % . Que l'on se rassure, il est en réalité très rare (mais alors vraiment très rare) de voir un pro gramme écrit pour OpenCL qui ne se recom pile pas avec les librairies de Mesa. Cet outil présente en fait l'extrême avantage d'offrir la puissance d'OpenCL à nos simples micro- ordinateurs, sans fioritures. Distribué sous licence GPL, Mesa combine gra tuité et compatibi lité avec les u tili ta ire s G N U , tels G cc et Eg cs. En tendez par là qu'il s'avère donc exploi table sur toutes les plates-formes dis posant de ces ou tils. Précisons enfin que les lib ra irie s existent aussi pour d ’autres langages, tels le Fortran ou l'Ada. Comment ça marche ? Témoin à décharges. Cela dit, c'est grâce à Mesa et G/ut que John En théorie, il suffit de recompiler un logiciel pour que celui-ci fonctionne sur un autre sys tème que celui pour lequel il a été originale ment créé. Dans la pratique, cela ne fonc tionnera bien évidemment que sur les sys tèmes ouverts à l'accélération 3D par le hard ware. Néanmoins, Mesa ne se montre pas forcém ent com patible avec les pilotes de Descent en OpenCL sur Amiga. toutes les cartes accélératrices/graphiques. C arm ack a pu po rter Quake sous Linux. Quake2 symbolise un cas plus délicat, car il utilise à la fois le " Windows Only" DirectX (pour la gestion des écrans et du son) et Mesa, pour la gestion de la 3D temps réel. Et même sur Amiga ! Oui, Windows ne représente pas le seul systè me au monde et Linux ne constitue pas sa seule alternative. L'AmigaOS, lui aussi, dispose Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Dream vous propose de p a rticip e r à cette ru b riq u e Dream M arket. Particuliers, clubs, associations, boutiques, PME... C ette ru b riq u e est p o u r vous. 490 francs H.T. le pavé en couleur ! Renseignements : 01 53 36 84 21 Le meilleur site W EB Idecommerce électronique fc com puter II t neuf, occasion, dépôt-vente réparation toutes marques règlement de 3 à 24 mois AILPE.c Disque 10,2 Go U.DMA : 1 250 F Plextor 8X 20X S C S I : 3 190 F CD Vierges 80 m inutes :1 3 F ATI128 AGP 32 Mo TV : 1 290 F Pentium II 400 C eleron : 1 250 F DVD HITACHI 4X 24X ID E : 790 F Nous accueillons les Amigaïstes incompris et conseillons les PCistes perdus. Tout ça en proposant des prix parmi les plus bas de la région grenobloise. Qui dit mieux ? Votre micro à partir de 3 8 9 0 fran cs fc com puter 38570 Tendn (face à la Fbste) 45 60 60 46, rue de Paris 91100 Corbeil-Essonnes ' Tél. : 01.60.88.43.81 / Fax : 01.60.88.49.45 Tout sur (à création num érique En kiosque le 20 de chaque mois aiiec son CD-Rom Système d 'O penCL et de M e sa ... depuis un petit Il en résulta la naissance moment, d'ailleurs ! L'une des implémenta tions les plus connues est ce rtain em e n t CyberCL. Créée par les auteurs des pilotes de Storm Mesa, clé de voûte d'une toute nou velle couche graphique : graphiques CyberCraphX, CyberCL corres pond à une implémentation d'OpenCL parue Warp3D. Signalons au passage que W arp3D est également dévelop lors de la sortie de la CyberVision 64/3D de Phase 5, carte équipée d'un processeur Virge de chez S3. Au début, CyberCL permettait par exemple d'effectuer du rendu temps réel d'objets Lightwave, en tirant parti des capaci tés du Virge (lesquelles n'ont même pas spé cialement bénéficié d'une exploitation sous Windows), mais de manière beaucoup trop lente. Ensuite, des implémentations directes de Mesa ont fait leur apparition. Les plus importantes sont AMesaRTL et AmigaMesa de pée par les frè res Fried en (T h o m a s et H a n s-J5 rg ), cé lè b re s pour leurs adaptations de Descent sur Amiga. Dans la pratique... Dans les faits, Warp3D apparaît comme un sys tème à base de pilotes, qui permet au program meur d'accéder à n'im Sam Jordan. Le seul problème vient d'un affi chage géré dans son entier de façon logiciel le, sans même qu'il se serve des fonctions 3D du Permedia 2, présentes sur les dernières cartes graphiques de l'Amiga. Dernièrement, Sam Jordan (développeur de l'assembleur pendant, non seulement du système RTC déjà en place ( Picasso96, CyberC raphX, RTC M aster), mais aussi du type de puce PPC StormPowerAsm et de la couche multi processeur WarpOS) a amélioré AmigaMesa. employé dans la conception de la carte accé lératrice 3D. Warp3D est un système très porte quel matériel 3D de manière transpa rente et abstraite. Cet accès demeure indé Pierres et maligne furie. flexible, puisqu'il suffit de disposer du pilote de la puce 3D adéquat et de le placer dans le bon répertoire. Evidemment, il y a quelques contraintes. Tout d'abord, l'utilisateur doit disposer d'au minimum un 68040 et un FPU, le mieux étant un PowerPC. Ensuite, il faut disposer d'une carte graphique avec puce 3D, telles la Cybervision 64/3D, la BVisionPPC, la Cybervision PPC ou encore la Picasso IV et son module 3Dfx. A l'avenir, cela deviendra facultatif, car Warp3D se verra également accompagné d'une émulation logicielle des Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM fonctions 3D, qui saura se contenter du chip set Aga. Enfin, il convient impérativement d'avoir installé la couche multiprocesseurs WarpOS. Recompilez en OpenCL ! R ésum o n s. A in si, po ur d é ve lo p p e r ou reco m piler une app lication OpenCL sur Amiga, il faut disposer en premier lieu d'un compilateur C compatible PowerPC. Egcs (G c c , en fa it), Vbcc ou encore StormC feront très bien l'affaire. Ensuite, vous devez installer les pilotes Warp3D coïncidant avec votre configuration (Aga, Virge, Permedia2, Voodoo 1), avant de mettre en place, ce qui constitue l'étape la plus importante, les librairies StormMesa et d u t correspondant à votre processeur (6 8 0 x0 ou PowerPC). Bon courage ! Une rubrique dédiée le mois prochain... Profitant de la nouvelle formule de Dream, nous vous proposerons dès le prochain numéro une rubrique consacrée à la pro grammation de Mesa et de d u t. Que les utilisateurs de Linux et autres BeOS ne s'in quiètent pas : ils pourront parfaitement exploiter cette série d'articles, même s'il sera fait à plusieurs reprises référence à l'Amiga. N'hésitez pas à nous faire part de tous vos commentaires ou remarques : ils sont les bienvenus. A gauche , sans OpenCL. A droite, avec... Malek Bengougam im portante), l'information et les balises se A p p ro ch e de la s tru c tu re d'un d o c u m e n t X m l voient hiérarchisées. En fait, les tags Xml per mettent d'identifier l'information au même titre qu'une base de données. L'élém ent "fiche" est comparable à un enregistrement contenant les champs "identité", "tel", "fax" et "email" ; l'élément identité renferme luimême les champs "nom", "prénom" et "pro fession", etc. Ainsi, le hasard n'a pas présidé à l'ordre d'apparition des balises ; en outre, l'élément "email" n'a pas la même significa tion selon qu'il apparaît à l'intérieur de l'élé ment "profession" ou "fiche" Précisons sur Loin des considérations généralistes et philosophiques sur le devenir du Web et de ses normes, nous vous proposons ce mois-ci un petit tour dans les bases d'Xml. L une stru ctu re co rre c te . N otre e xe m p le consiste en une page Xm l, qui affiche un carnet d'adresse contenant les renseigne ments suivants : nom et prénom de la per Html en matière de traitement de l'informa tion résultent en effet d'un mélange mal h eu reu x de balises s tru c tu ra le s te lle s sonne, indications professionnelles (société, m a g a z in e ), té lé p h o n e , fa x et E-m ail. Commençons fort logiquement par décrire le fichier "contact.Xml" 'apport fondamental et définitif d'Xml (eXtended Markup Langage) par rap port au Html réside dans la différencia tion totale effectuée entre la structure et le formatage d'un document. Les limites du <HEAD>, <TITLE> ou <BODY>, avec les balises de formatage (<B>, <H1>, ...) . En conséquence, plus rien dans le document tout qu'on ne trouve dans ce docum ent aucune directive de form atage de texte : Xml gérant les espaces comme Html, la réali sation du fichier "contact.Xm l" entraînera l'affichage linéaire de toutes les informations qui y séjournent. Pour donner un aspect plus digeste aux fichiers Xm l, le W 3C travaille actuellement à la finalisation du langage Xls, lequel permet d'y associer des feuilles de styles. La description de celles-ci nécessiterait d'y consacrer un dossier entier ; c'est pour quoi, nous ne les abordons pas ici. V alide et conform e, bis rep etita ! Puisque les données se trouvent hiérarchi Xm l et Html Laissons pour l'instant l'en-tête du document de côté, et rendons-nous directem ent en ligne 11. L'ossature du code qu'elle accueille ressem ble à s'y m éprendre à celle d'un fichier Html : un simple texte ASCII entouré par des balises <XXX> et </XXX>. Plusieurs d iffé re n ce s n o tables e xiste n t p o u rtan t. Premièrement, les balises ne rappellent rien de connu : leur nom semble choisi arbitraire ment et peut même comporter des accents. Deuxièmement, on devine aisément qu'elles ont pour fonction d'identifier la nature de l'inform ation qu'elles entourent. Enfin (là réside sans doute la particularité la plus sées et que leu r c o n te x te d 'a p p a ritio n conditionne leur signification, il en résulte Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM ne donne d'information sur son contenu, hormis bien entendu les valeurs des tags <META>. Celles-ci, pas toujours ou mal exploitées, ne suffisent pas par exemple à fournir une inform ation pertinente aux moteurs de recherches, nuisant ainsi à la collecte de l'information. Cependant, la mis sion de Xml, même s'il permet de pallier ces limites, ne s'arrête pas là ; vouloir en faire le tour en seulement trois pages constitue une gageure. C'est pourquoi nous avons préféré, à travers un exemple concret (mais forcé ment incomplet), donner un aperçu, autant que faire se peut, des formidables capacités offertes par ce nouveau langage, plutôt que de prétendre à l'exhaustivité. Assez parlé ! Un document Xml est dit soit "conforme" (ou "bien formé"), soit "valide". Dans le pre mier cas, cela signifie tout simplement qu'il obéit aux règles syntaxiques du langage Xml, et qu'en conséquence son interpréta tion par un logiciel ne se traduit par aucun message d'erreur. Un document valide est lui-même conforme, mais se doit en plus d'obéir à une structure explicitement définie dans une DTD (Document Type Définition). Les documents uniquement conformes ne font quant à eux référence à aucune DTD. Concrètem ent, un docum ent bien formé sera au minimum syntaxiquement correct (il y a moyen de le valider), tandis qu'un docu ment valide devra impérativement posséder W5C qu'il n'est pas possible, ou du moins pas souhaitable, de placer une balise n'impor te o ù . E x p lic a tio n : les é lé m e n ts (ou balises) se trouvent toutes définies dans la DTD "contact.dtd" L’élément "identité" se v o it ainsi co n çu po ur a cce p te r les élém ents-fils "n o m ", "p réno m " et "p ro fes sion". L'insertion d'une balise <nom> en dehors d'une balise <identité> engendrera d o n c un m e ssa g e d 'e rre u r. A tte n tio n c e p e n d a n t, to u t ne d e m e u re pas si simple ! Si notre docum ent n'avait pas été WORLD WlDE WEB User Interface c o n s o r t i u m HTM L Leading th e Web to ifs F u ll Potential... Style S h eets pp-çmgnt.Q.^jg.çl M odel New CSS1 Test Suite to B oost Style Slieet Support M ath The C SS1 T est Suite is n ow available, read y to help implementors im prove C SS1 support m their p roducts and enable W eb page designers to venfy the quality o f C S S 1 support in their brow sers. " B e c a u s e o f s i g n i f i c a n t v e n d o r i n p u t , w e a r e e x p e c t m g t o s e e t h e e f f e c t s o f t h e t e s t s u i t e i n t h e u p c o m i n g g é n é r a t i o n o f b r o w s e r s , " said H & kon L ie , W 3 C Style Sheets Activity L ead. [P ress R eleasel WebCGM Profile Becomes a W3C Recom m endation Graphics Intem ationalization M obile A cce ss A m aya Technology and Society pigtal Sigrate. D eveloped in close collaboration b etw een W 3 C and the C G M Q p en Consortium , the W e b C G M profile reflects cross-industry agreem ent on an interoperable w ay to exchange dynamic, hyperlinked C om puter Graphics Metafile (C G M ) files over the W eb. " C G M i s w id e ly u s e d o n c o m m u n itie s ," r e lia b le a n d in te r a c tiv e in tr a n e ts , p a r tic u la r ly b y th e e n g in e e r in g says C h ris L illey , Graphics Activity lead. in te r o p e r a b le e le c tr o n ic h y p e r lin k in g m a n u a ls ." to g r a p h ic s -r ic h a n d " T h e m a n u fa c tu n n g W e b C G M P r o file a p p lic a tio n s s u c h Initiative M etad ata PICS P n v acy fP3P1 a d d s a s Secuxity P ohcy P d tra srl_____________________________________ Le site du W3C : la plus grosse source de documentation online. DTD Schéma XML Document Soui ce Help Options ____________ ____ ______ _____ ___ ___ _______ ________ _ C5 empty__ © C3 Notation (s) Q vrml © C3 Entity(ies) Q contacts3d Element(s) o [ 3 nom O C3 prénom o [ 3 email O [ 3 contact o C3 intro O f~3 fiche O [3 ident o [ 3 profession o 3 magazine o C3 tel o C3fax Notez que le fait de mixer données et élé • _________ ___ .. _.................. .............. Notation Naine vrml System ident. /usr/local/bin/cosmo ments à l'intérieur de la même balise repré sente une pratique courante, mais pas sys tém atique, ce qui permet d'expliquer la présence du signe "*" en fin de ligne. Celuici, lorsqu'il se voit employé de la même manière que les signes "+" et "?", autorise l'apparition optionnelle et répétée d'une balise au sein de son père. Absolument Public Ident. Code toutes les balises exploitées dans un docu ment Xml valide doivent être définies (en interne ou dans une D TD ). Les attributs <!NOTATION vrml SYSTEM "/usr/local/bin/cosmo"» correspondent à des valeurs manipulées O TD Skhum a « L Do c m w h * *’ Create Modify O C 3 CoMortt Mode! O £3pfûf*om O C3 emai S «*ce **> O ptent liront o CÜcomatt O O lrrtro O C3«cbe • • £ 3 Conter* «éoaoi O OroupSUrt Q # P C O a ta O nom O prénom Visual Xml, un éditeur Xml disponible sur http://www.pierlou.com/visXml valide, c'est-à-dire qu'il ne faisait référence à au cu n e D TD (en p o rta n t la m entio n standalone= 'yes' ligne 1), il y au rait eu moyen d'insérer cette m êm e balise, tant que le program m eur produirait un code syntaxiquem ent correct ! C'est également la raison pour laquelle l'écriture de code Xm l e xig e une rig u e u r qui n'a rien de éléments (< !ELEM EN T...> ) et les attributs (<!ATTLIST ...> ). Les premières peuvent être définies comme des références à tout format de données. Par exemple, la ligne 4 associe la chaîne "en_tête" au fichier "tete.Xml". Cela signifie que lors de toute instance de cette c h a în e de c a ra c tè re s dans le code ("&en_tête;"), le processeur procédera à son remplacement par ledit fichier. Attention, le Q profession O Oroupêrid O £ 3 profession O ( 3 mSfftttfM o c3 um o |3 f® Notre DTD éditée dans Visual Xml. pour décrire certaines propriétés de l'élé ment. La syntaxe d'utilisation est la suivante : <elem nom _att="valeur">...</elem >. Un exemple de déclaration se situe à la ligne 12 ("contact.dtd"). La déclaration doit compor Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM com parable à celle requise pour le Html. Utiliser une DTD, ou au contraire s'abste nir de l'exploiter, dépend du type d'appli cation souhaité, mais il reste préférable de s'y référer dans le cadre de la création de documents com plexes. D'autre part, il est envisageable de déclarer to u t ou partie d 'u n e D TD dans le fic h ie r X m l m êm e, com m e dans notre exem p le. La ligne 2 établit la référence au fichier "contact.dtd", dans lequel le contenu des lignes 4 à 7 aurait très bien pu prendre place. A pré sent, voyons plus en détails à quoi ressem blent ces mystérieux fichiers. Les DTDs Elles se com posent de plusieurs types de données : les entités (< !E N T IT Y ...> ), les P o u r en s a v o i r p l u s Deux adresses sont indispensables, à partir desquelles il est possible de trouver tout type de ressource sur Xml : www.w3c.org www.Xml.com Signalons également l'excellent livre des éditions Eyrolles (en français donc), Xml Langage Et Applications, d'Alain Michard. Bougie sur le gâteau, l'éditeur propose un suivi actif de l'évolution du langage sur son site, www.eyrolles.com/Xml, com plément parfait à l'édition papier. document Xml référencé se doit d'être bien formé ! Les lignes suivantes (5 à 7) définis sent des références à des chaînes de carac tères de taille restreinte. Signalons qu'il est envisageable d'utiliser une entité à l'intérieur d'une autre (avec l'interdiction toutefois de faire des références récursives ou circulaires), sans se soucier de l'ordre des déclarations. En effet, le remplacement de l'entité ne devient effectif que lors de son instance dans le code. Rem arquez égalem ent que les ins tances des références aux entités définies lig n e s 5 à 7 se situ e n t d ans le fic h ie r tete.Xml. Il existe d'autre types d'entités que nous nous contenterons de citer, et notam ment les entités publiques, ou "notations", qui permettent de faire référence à un fichier non-Xml (vrml dans notre exemple). Les élém ents et les attrib u ts Les éléments servent à définir le nom et les propriétés des balises auxquelles on aura recours lors de la conception d'un docu ment Xml. C'est dans la déclaration des élé ments que se créent notamment les hiérar chies : à titre d'exemple, prenons la ligne 8, qui déclare l'élément "fiche". Celui-ci accep tera des données textuelles (valeur "#PCDAT A "), m ais possède é g ale m e n t des éléments-fils, à savoir "identité", "tel", "fax", "email". Le "+" signifie que "tel" peut appa raître plusieurs fois au sein de l'élém ent père, et le "?", que "fax" est o p tio nnel. ter le nom de l'élément auquel l'attribut se rapp o rte, un id en tificate u r, ainsi qu'un type de données, il peut s'agir de texte, d 'u n e liste de c h o ix (v o ir e x e m p le )... Imaginons que le carnet d'adresse contien ne, non pas deux, mais deux cents per sonnes réparties entre les deux sociétés. L'intérêt des attributs se montre alors évi dent : plutôt que de saisir l'adresse de la société pour chaque nouvelle personne, il s'avère beaucoup plus simple d’indiquer uniquem ent le nom, l'adresse étant réfé rencée ailleurs ! De même, un changement d'adresse s'effectue alors infinim ent plus rapidement. Conclusion On l'aura compris, Xml risque de boule v e rs e r le m o n d e de la re c h e rc h e sur Internet ; grâce à lui, la gestion de bases de d o n n é e s co m p le xe s va sans doute d eve n ir relativem en t sim ple et surtout universelle ... Et ce n'est pas fini ! Notre exem ple ne re flè te q u 'u n e fa c e tte des p o ssibilités d 'X m l, car des "dérivés" du langage se trouvent également en chantier ! En vrac : M athM L perm ettra le form atage de for mules mathématiques complexes, SMILE, (utilisé par Real A ud io), la présentation d'élém ents m ultim édias, et RDF, la ges tion efficace des liens entre docum ents... Christophe Noël S o u r c e e t r é s u l t a t des d o c u m e n t s é t u d i é s Contenu du fichier "contact.Xml" 15 <!ELEMENT fax (SPCDATA) > 1 <?Xml versions’1.0* encoding='ISO-8859-1' standalone=’n o 1 ?> 16 <!ELEMENT email (fPCDATA) > 2 < iDOCTYPE contact SYSTEM 17 <!ELEMENT intro (SPCDATA) > /contact.dtd' [ 3 4 <!ENTITY en_tête SYSTEM 5 <!ENTITY titulaire 'Monsieur &nom_titulaire; (e-mail : ./tete.Xml' > Contenu du fichier "tete.Xml" 1 <?Xml version=*1.0’ encodings1ISO-8859-1'?> &mail_titulaire;)'> 2 6 <!ENTITY nom_titulaire 'Christophe Noèl'> 3 <intro> 7 <!ENTITY mail_titulaire '[email protected]' > 4 Voici le carnet d'adresse de ^titulaire;. 5 Toutes les informations contenues dans ce document appartiennent à 6 son propriétaire. Vous ne pouvez en aucun cas en faire un usage 8 9 ]> personnel, 10 11 <contact> 7 12 rédaction. 13 &en_tête; 8 14 souhaite une agréable lecture. 9 15 <fiche> 16 <identité> et surtout pas dans le but envoyer des insultes aux membres de la &nom_titulaire vous remercie de votre compréhension et vous </intro> 17 <nom>Daytona</nom> Voici le résultat de l'ouverture du fichier "contact.Xm l" dans un 18 <prenom>j eperds tou11etempsa</prenom> 19 <profession sociétés•Posse_Press,> browser dédié (sous réserve de la présence du form atage adé quat dans une feuille de style, pour ce qui concerne les retours- 20 Travaille pour la publication : <magazine>Dream</magazine> 21 (E-mail : <email>[email protected]</email>) 22 </profession> chariot). Voici le carnet d'adresse de Monsieur Christophe Noël (e-mail : cnoë[email protected]). Toutes les informations contenues dans ce document appartiennent à son propriétaire. Vous ne pouvez en aucun cas 23 </identité> les utiliser pour un usage personnel et surtout pas dans le but 24 Tel : <tel>01.02.03.04.05</tel> d'envoyer des insultes aux membres de la rédaction. 25 Fax : <fax>05.04.03.02.01</fax> Christophe Noël vous remercie de votre compréhension et vous souhaite 26 E-mail : <email>[email protected]</email> une agréable lecture. Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM 27 </fiche> Daytona 28 29 30 jeperdstoutletempsa <fiche> <identité> 36 Travaille pour la publication : Dream (E-mail : [email protected]) </profession> . 37 </identité> Tel : 01.02.03.04.05 38 Tel : <tel>01.07.08.09.10</tel> Fax : 05.04.03.02.01 39 Portable : <tel>06.32.25.41.52</tel> E-mail : [email protected] 40 E-mail : <email>[email protected]</email> 41 42 </fiche> &bas; Quake Loser 43 </contact> Travaille pour la publication : PC Freak (E-mail : [email protected]) Contenu du fichier "contact.dtd" Tel : 06.07.08.09.10 1 <?Xml versions'1.0' encodings'ISO-8859-1'?> Portable : 06.32.25.41.52 E-mail : [email protected] 2 3 < INOTATION vrml SYSTEM "/usr/local/bin/cosmo"> 4 <!ENTITY contacts3d SYSTEM *./3d/contacts.vrml* NDATA vrml > c J 6 < !ELEMENT contact (#PCDATA 1 intro 1 fiche) *> 7 <!ELEMENT fiche (#PCDATA 1 identité 1 tel+ 1 fax? 1 email)*> 8 dELEMENT identité (#PCDATA 1 nom 1 prénom 1 profession) *> 9 <! ELEMENT nom (rfPCDATA) > 10 <!ELEMENT prénom (#PCDATA) > 11 <!ELEMENT profession (ftPCDATA l magazine 1 email)*> 12 <!ATTLIST profession société (Posse_Press 1 frag) «REQUIRED > 13 <!ELEMENT magazine (#PCDATA) > 14 <!ELEMENT tel (SPCDATA) > Réseaux Mettre l'Amiga dans un réseau Ethernet Que ce soit pour l'échange de fichiers, pour faire partie d'un Intranet ou pour bénéficier d'une connexion Internet commune, il peut s'avérer utile de connecter son Amiga à un réseau hétérogène. l existe plusieurs méthodes pour relier des machines entre elles, afin de former un I tous les paquets qui passent sur le réseau, pour savoir ceux qui leur sont destinés. En général, la carte réseau gère cela directe ment en hardware. Chaque carte Ethernet d ans le m o n d e po ssède une adresse Ethernet différente, codée sur 48-bits. Câblage : BNC ou RJ45 ? Le BN C rep résen te le type de câblage (appelé aussi "thin Ethernet" ou 10Base2) le plus économique. Les machines se voient reliées en boucle, un T est placé sur chaque carte réseau et il faut un terminateur aux deux extrémités du câble (même si vous ne disposez que de deux machines). Dès que le m oindre problèm e survient dans une partie du câble, tout le réseau cesse de fonctionner. Un peu plus oné reux, le R/45 demande de savoir à l’avance le n o m b re de machines que l'on veut posséder dans r le réseau. Si vous ne d é te n e z que deux ordinateurs, ii faudra se procurer un réseau. D'ailleurs, Internet n'est qu'un (très) gros ensemble de machines qui utili sent des technologies diverses, mais un pro tocole unique pour com m uniquer. Nous allons parler de l'Ethernet, le standard le plus câble RJ45 croisé. S'il y en a plus, vous devrez investir dans un HUB ; il s'agit d'un petit boîtier des Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM u tilisé p o u r les ré se a u x lo c a u x (L A N ). Ensuite, nous passerons à la pratique en donnant un exem ple concret d'un Amiga dans un réseau Unix (Linux et BSD). H istorique Inventé en 1970 au centre de recherches de Xerox (Palo Alto), l'Ethernet a été stan dardisé par l'IEEE (Institute of Electrical and Electronics Engineers), afin de définir une Carte mère de HUB. leur vitesse : IEEE 802.3 : 10 mbit/s IEEE 8 0 2 .3u ou Fast Ethernet : lOOmbit/s L'Ethernet est un protocole fonctionnant sur le principe suivant : pour l'émission, une norme commune plus connue sous le nom de norme IEEE 802.3 (qui est partiellement compatible avec la norme Ethernet II pré cé d e n te ). C e p e n d an t, ne nous affolons station regarde si quelqu'un se trouve en train d'émettre. S'il en va ainsi, elle attend ; dans le cas co ntraire, elle ém et tout de pas, cela fait bien longtemps que l'on n'uti lise plus celle-ci. Voici les normes princi pales actuelles les plus répandues, ainsi que suite. Lorsque les deux stations émettent en même temps, il y a collision et retransmis sion différée. Les stations doivent alors lire GEN E Si S <$> 1997-99 hy Michauel Neuweiler tiné à connecter les machines entre elles. L'avantage de ce type de réseau vient de ce qu'il est centralisé sur le HUB. De fait, si un des liens se trouve coupé, le reste du réseau continue à fonction ner. Evitez à tout prix les câbles bon mar ché de provenance douteuse (surtout pour du BN C). En effet, rien ne se révèle plus funeste qu'un mauvais câble dans une par tie du réseau : des résultats imprévus ris quent en effet de se produire. Vitesse : 10 m bit/s ou 100 m bit/s ? Il e xiste de plus en plus de cartes 100 Mega-bits/seconde sur le marché. Si vous prévoyez d'en utiliser une, sachez qu'il n'y en a aucune pour Amiga (snif) et que pour mélanger du 10 mbit/s avec du 100 mbit/s, il faut disposer d'un HUB qui gère les deux vitesses. Ils sont un petit peu plus onéreux. A réserver pour les amateurs de très gros ethO Î5 now online transferts ! La partie protocole A présent, les parties physiques sont prêtes, les m achines correctem ent reliées et les cartes réseau insérées dans leurs slots res pectifs ; nous pouvons donc passer à la configuration des machines. Sur Amiga, la Le retour d'un groupe mythique. tâche se révèle très simple, grâce au mer veilleux AutoConfig (tm ). Les cartes réseau se voient automatiquement reconnues et il * Voilà, la manœuvre s'achève. Il suffit à 1P l u m i n e u s e s Classe A B C Masque (Netmask) 255.0.0.0 Adresses (IP) 10.0.0.0 à 10.255.255.255 255.255.0.0 255.255.255.0 172.16.0.0 à 172.31.255.255 192.168.0.0 à 192.168.255.255 ces m achines sur le réseau. Il fa u t tout d'abord vérifier que la machine Unix recon présent de relancer naisse correctem ent la carte réseau. Cela A m iT C P / G e n e s is po ur que l'A m ig a ait son IP. N'oubliez s'avère plus facile à dire qu'à faire, surtout sur un PC, où les cartes sont parfois diffi ciles à identifier (ou pire : plug & pray). suffit de copier le device de votre carte (par pas de placer l'inter face online dans AmiTCP (ethO ou le nom A ssurez-vous que le kernel su pp o rte la carte réseau, avant de l'acheter. Il se révéle exemple a2065.device) dans DEVS:Networks. Ensuite, si vous possédez C enesis, rendez- que vous lui avez donné). Pour vérifier si la carte fonctionne, tapez : ra parfois nécessaire de recompiler celui-ci, pour qu'il prenne en compte la carte. Une vous dans le panel "Interfaces", puis "New". D o n n e z un nom à l'in t e r fa c e (p a r exemple: ethO) et attribuez-lui une adres se IP, qui donne une identité à la m achi ne. Pour un réseau local, il ne faut pas ifconfig <nom_de_l'interface> fo is c e tte é ta p e a c c o m p lie , b o o te z la machine et tapez : Voici un exem ple de ce que cela devrait donner : dmesg I more Ram Disk:> ifconfig ethO Vérifiez que le pilote de la carte réseau n'indique aucune erreur. A présent, pour choisir n'im porte quoi. En effet, si vous d é c id ie z un jo u r de r e lie r une des machines à Internet (même de façon non permanente), vous risqueriez d'avoir une IP déjà existante. Les adresses légales pour les réseaux locaux sont énumérées dans le tableau 1. Nous allons choisir une classe C pour un m axim um de d eux cents c in quante tro is m a ch in e s, ce qui d e v ra it s'avérer suffisant. Donnons donc une IP de 192.168.1 1 à l'Amiga et un Netmask de 2 5 5 .2 5 5 .2 5 5 .0 ethO: flag s=4 863<UP,BROADCAST,NOTRAILERS,RUNNING,SI MPLEX,SANA> MTU=1500 inet 192.168.1.1 netmask FFFFFFOO broadcast 192.168.1.255 Hardware type: Ethernet, address: 0:80:10:0:80:48 Et de l'autre côté du réseau ? Imaginons que l'Amiga doive être relié à un réseau de machines Unix, tels des PC sous Linux, par exemple. Supposons égale ment que vous n'ayez pas encore installé c o n fig u re r la c a rte , les d ire c tiv e s sont sim ilaires à celles d'AmiTCP. Nous allons donner l'adresse 1 92.1 6 8 .1 .2 à la carte du premier PC. Le plus simple consiste à l'ins crire de façon perm anente dans le script de dém arrage. Sous Linux (Slackw are ou R e d H a t), ta p e z " n e tc o n fig " M is s io n a c c o m p lie . V o u s p o u v e z m a in te n a n t c o n s ta te r que to u t se p asse b ie n , en tapant : ifconfig (sous linux) ou ifconfig -a (sous BSD) (laissez le reste vide). Dans le panel SanaII, c h o isisse z "s p e c ify sa n a -ll d e v ice " Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM s ffîm c N D E V S :N e tw o rks/n o m _d u _d e v ice . device Unit: 0. Dans le panel "Resolv", allez vite baptiser votre machine dans "Hostname", en lui donnant un nom quelconque, sans points, ni espaces (le 4000 de votre servi teur s'appelle "latis"). Si vous disposez d'un JH fT F fF A C E AmiTCP 4.0-4.3, rajoutez une ligne de ce style dans AmiTCP:db/interfaces : ethO DEV=DEVS:Networks/nom_du_device.device UNIT=Q Et dans votre A m iTC P:bin/startnet, juste après ifconfig >NIL: loO localhost : TA Ç - Ê T H E R $ ifconfig >NIL: ethO 192.168.1.1 broadcast 192.168.1.255 netmask 255.255.255.0 mtu 1500 Le tournage du film. Les d i f f é r e n t e s c a r t e s E t h e r n e t d i s p o n i b l e s p o u r A m i g a Voici les différentes cartes Ethernet qu'il est actuellement possible d'acquérir pour Amiga. Il en existe d'autres, qui ne sont plus fabriquées, mais que Ton peut encore trouver d'occasion. Il en va ainsi de TAEMSOO et de la QuickNet pour A500, ainsi que de I A2065, TA4066 et TAriadne 1 pour A2000, A3000 et A4000. Signalons que la Connexion dispose d'un mode "émulation" de TA2065 et que certaines cartes Ariadnell refusent de fonctionner directement sur certaines configurations (il faut auparavant appliquer un patch). Enfin, précisons qu'il y a également moyen d ’utiliser une carte au format ISA (pour PC), via les connecteurs du même nom (en option sur 1200) et une carte ColdenCate II (voir http://www.infmet.com/~erd/CG2/). Carte AmigaNet Machine A500 l-Card APNet Connexion Hydra Ariadnell A600/A1200 A600/A1200 A2000/A3000/A4000 Oui Oui Oui Oui Non A2000/A3000/A4000 A2000/A3000/A4000 Oui Oui Non Oui 1OBase-2 Oui Oui lOBase-T Non Sana2 AU1 Sur le Net Non Oui Non Non Oui h ttp://www. iworks. com/ h ttp://www. iworks. com/ Non Non Oui Oui Oui Oui Non http://www. nationalamiga. com/ http://www.ab- union.de/ http://www. iworks.com/ http://www. villagetronic.com/ Réseaux In t e r n e t à l'a id e d 'u n e se u le c o n n e x io n PPP ? T o u t d 'a b o rd , votre m achine Unix doit se montrer capable d'effectuer une connexion par m odem ch ez votre pro vid er. D an s un d e u x iè m e te m p s , une recompilation du kernel se révélera n écessaire. Voici les options pour un kernel Linux 2 .0 .x : N etw o rk firewalls, IP forwarding, IP firewal- Carte réseau. Pour l'IR C (D C C ), il s'a g it du module ip _m asq _irc. Pour une m achine BSD, la procédure est légèrem ent différente. Il fa u t a jo u te r" n e t.in e t.ip .fo rw a rd in g = r dans /etc/sysctl.conf, et compiler le kernel avec "option IPFILTER", "GATEW AY" et "IP F IR E W A L L " D an s / e t c / r c .c o n f , il c o n v ie n t que vous ayez "ipfilter=YES" Ensuite, la ligne suivante devra figurer dans /etc/ipnat.rules : ling, IP m asquerading, IP always defragm ent et ICMP masquerading (les deux derniers restent o p tio n map pppO 192.168.1.0/24 -> pppO/32 portmap nels). Une fois votre module com pi lé et installé correctem ent, rajoutez ce tte lig n e d ans vo tre fic h ie r de démarrage (/etc/rc.d/rc.local le plus Il n 'e x is t e m a lh e u re u s e m e n t pas de tcp/udp 1025:65536 modules FTP ni IRC pour BSD. Toutefois, celui-ci dispose d'un filtre IP particulière m en t p u issan t (je te z un coup d'oeil à D 0.0.0.0/0 / e t c / ip f .r u le s ). N 'o u b lie z pas que les machines doivent savoir où envoyer leurs paquets, quand la destination n'est pas Cenesis: h ttp://www. vapor. com/genesis/ P o in t f in a l. D o r é n a v a n t , to u te s les machines peuvent accéder à Internet par une m achine d'un réseau local. Il nous fa u t donc leur attrib u e r une route par défaut. Dans Genesis, il suffit de remplir AmiTCP/IP 4.0 Demo: ftp://ftp.aminet Linux IP Masq: http://www. tor.shaw. wave. ca/~ambrose/ BSD iP-Nat/Fiiter: http://coombs.anu.edu.au/ipfilter/ l'entrem ise de votre connexion PPP (ou autre). La Linuxbox se charge de modifier les adresses internes de votre réseau, pour q u 'e lle s se m b le n t p ro ve n ir de c e lle -ci. Q uand les paquets re vie n n e n t, elle les retransforme de manière inverse. De plus, les machines du réseau interne sont pro souvent) : /sbin/ipfwadin -F -a m -S 192.168.1.0/24 Q uelques liens utiles le cham p "Gateway" en indiquant l'IP de la m a c h in e q u i ro u te les paquets (1 9 2 .1 6 8 .1 .1 dans notre exem ple). Pour Am iTCP 4 .x , rajo u tez la ligne suivante dans votre startnet (juste après l'ifconfig décrit précédem m ent) : Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Sans plus attendre, testons la qualité de la liaison en u tilisa n t la co m m an d e p in g . C e lle - c i e n v o ie des p a q u e ts IC M P (In tern et Control Message Protocol) qui sont renvoyés par la destination com m e un écho. Depuis l'Amiga, nous allons "pinguer" l'autre m achine : ping 192.168.1.2 Si vous recevez des réponses, cela signifie que votre réseau est opérationnel. Dans le cas co n tra ire , assurez-vous que to u t se trouve bien branché et réessayez (la com le z q u e le FTP fo n c t io n n e (le s c o n n e x io n s FTP s'o p èren t du se r veur vers le client, sauf en mode pas s if ) , ra jo u te z un / s b in / m o d p ro b e ip _m asq _ftp dans v o tre f ic h ie r de m ande ping s'interro m pt avec C TR L-C ). Vous pouvez désormais utiliser toutes les d é m a rra g e , sans o ublier d 'in staller applications classiques (Ftp, Http, Telnet) entre les deux machines. C onnecter son réseau à Internet les modules (make m o d u le s ; m ake Que diriez-vous de perm ettre à chaque m a c h in e du ré se a u lo ca l d 'a c c é d e r à route >NIL: add default 192.168.1.1 tégées co n tre les a c c è s de l'e x t é rieur. Si vous vou Name: etho | | Comment: Ethernet |lP Addres3 ; 192.168.1.1 -i j static j j | dynamic I destination: l Gateway: 192.168.1.3 -i | static 3 % t-f* -vî'r' '*• i ^ î* Natmask: 255.255.255.0 j | specify MIU: m o d u le s in s t a ll après avoir compilé votre kernel). Configuration de l'Amiga. AmigaShell [17] Rarn Disk: Ram D i s k : > ping 1 9 2 . 1 6 8 . 1 : 2 PING 1 9 2 . 1 6 8 . 1 . 2 < 1 9 2 . 1 6 8 . 1 . 2 ) : 56 d ata bytes 64 byt es from 1 9 2 . 1 6 8 . 1 . 2 : icmp_seq=0 t t 1=255 time=2 ms 64 by t es from 1 9 2 . 1 6 8 . 1 . 2 : icmp_seg=1 t t 1=255 time=1 ms 64 b y te s from 1 9 2 . 1 6 8 . 1 . 2 : icmp_jaeg=2 t t 1=255 time=1 ms 1 9 2 . 1 6 8 . 1 . 2 ping s t a t i s t i c s ---3 p acke ts t r a n s m i t t e d , 3 p a ck e ts re c e io e d , 0% packet lo ss ro u n d -trip min/avg/max = 1/1/2 ms Ram D i s k : > Ping sous Amiga. Précisez également les DNS de votre pro v id e r (p a n n e l " In te rfa c e s /R e s o lv " de C e n e s is et A m iT C P :d b / r e s o lv .c o n f d'AmiTCP). Nous vous souhaitons beaucoup de bon iv' y heur dans la découverte du potentiel de votre réseau ! David "Zapek" Cerber DUCHET COMPUTERS 51 Saint-George*Road - CHEPSTOW - NP6 SLA - Angleterre Télî 00 44 1291 625 780 (8 h à 19 h lundi - samedi) Fax: 00 44 1291 627 046 ( 2 4 h / 2 4 ) Ligne téléphonique directe en français MINITEL 361 6 AZERTY rubrique DUC LA SEU LE A D R ESSE POUR VOUS FOURNIR DIRECTEMENT EN AN GLETERRE ! NOUS NE PROPOSONS JAM AIS DES A RTICLES QUI N'EXISTENT PAS OU QUE NOUS N'AVONS PAS EN INVENTAIRE D U M A T E R I E L A M I G A D I S P O N I B L E ( P r i x e n F r a n c s F r a n ç a is , T . T . C . p o rc c o m p r is ) Extension mémoire 1 Mo pour Amiga 600 275 F SOURIS AMIGA 125 F 2 pour 220 F 3 pour TECHNO SOUND TURBO 2 stéréo (F) Compatible AMIPHONE TCP 285 F Boules de souris [diamètre 22 mm] 15 F 10 pour Adaptateur pour brancher les manettes analogues PC sur AMIGA: 45F les 2: 80 F Câble Péritel 2 mètres pour tous Amigas: 95 F 2 pour HOUSSE AMIGA 500/600/1200 (PRECISEZ SVP) 25 F 3 pour 50 F Câble Péritel pour CD 32 [modèle avec 3 fiches banane] Câble série (1,80m) pour relier 2 Amigas (pour jeux, transferts, etc...) 95 F QUADRUPLEUR de M ANETTES: 50 F - 4 pour CARTE SÉRIE HYPER RAPIDE WHIPPET PCMCIA (A600/1200) 425 F Prise IDC 25 broches mâle / femelle (précisez SVP) INTERFACE MIDI PROMIDI [in - through - out x2 + câble + softw are + manuel) 215 F Câble pour moniteur 1083 S (2 mètres) Câble pour moniteur 1084 S (2 mètres) 100 F pour 1084 SPI (2 mètres) 115 F Câble pour moniteur 1084 D (2 mètres) Interface PCMCIA SCSI2 Hisoft SURF SQÜIRREL (A1200) 745 F Câble pour moniteur Philips CM 8833 Mk2 (2 mètres) LECTEUR INTERNE AMIGA 600 / 1200 [ p r é c i s e z SVP) 285 F Câble double rallonge ports souris et joystick Connecteur pour 2 manettes port joystick 45 F ALIMENTATION 220/240V POUR CD 32 KIT [avec software + câble multi-standard 2 mètres] de transfert de fichiers AMIGA < = > PC (doc. F): 120 F Kit avec câble 5m: 145 F avec câble 10m: Le kit transfère également le data de PC à PC et AMIGA à AMIGA 300 F 105 F 150 F 95 F 150 F 14 F 115 F 125 F 115 F 45 F 225 F 165 F DATA SWTTCH POUR AMIGA 500, 600, 1200, 2000, 3000, 40 00 , ETC... AVEC C â b l e (50 CM) GRATUIT DE RACCORD s p é c ia l POUR AMIGA P erm et de r elier p l u s ie u r s p é r ip h é r iq u e s a u m êm e po r t de v o t r e A m ig a - p o u r p o r t s é r i e o u p o r t i m p r im a n t e - p r é c i s e z , s v p DATA SWITCH POUR CONNECTER 2 PÉRIPHÉRIQUES: 145 FF DATA SWITCH POUR 3 PÉRIPHÉRIQUES: 175 FF DATA SWITCH POUR 4 PÉRIPHÉRIQUES: 185 FF LES DATA SWITCH SONT ENVOYÉS PAR PAQUET SÉPARÉ J O Y P A D S / J O Y S T I C K S / M A N E T T E S D E J E U S P É C IA L S A M I G A ACTION PAD (JOYPAD) - Amiga seulement .125 F - 2 pour 220 F EXECUTIVE MINI JOYSTICK (LORICIEL) W1CO BOSS - TYPE MANCHE A BALAI. Très robuste . 59 F TA C 2 (SUNCOM) 2 boutons FEU . ERGO STICK (SUNCOM) TYPE "SPEEDKING", SE TIENT DANS LA MAIN 119 F Q STICK (SUNCOM) JO YSTICK DE PRÉCISION JT 153 ATTACK - JOYSTICK DE TYPE "Manche à balai" avec 2 boutons FEU + switch TIR AUTOMATIQUE RAPIDE + très long câble . . 49 F 59 F 79 F 99 F © CADEAU ! Commandez 2 JO Y S T IC K S : nous vous donnons un troisième [notre choix] GRATUIT ! © MAKE CD D ISP O N IB LE ! C H E Z N O U S, A U C U N P R O B LÈM E DE S T O C K ! M A K E CD P A O version 3 .2 a ou mieux Une garantie : nous expédions toujours la toute dernière version Progiciel pour graver les CD ROMS. Permet -entre autres- les copies directes de CD à CD en 1 seule opération Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Version complète enregistrée, localisée français, manuel imprimé: 395 F T T C port compris CA D EA U CA D EA U Pour toute com m ande de 2 5 0 F ou plus d 'articles figurant sur cette page nous vo u s faiso n s cadeau d'un jo ystick E R G O S T IC K d'une valeur de 1 1 9 F CINEMA 4D v4 [CD ROM] pack complet contenant également CINEMA WORLD et CINEMA FONT PHOTON PAINT 2.01 GP FAX v 2.350 TERMITE TCP GAMESMITH HISPEED PASCAL (dernière version) DELUXE PAINT 5 [CD ROM) 65 375 295 395 395 195 F F F F F F G .F.A . BASIC 3.51 (avec manuel technique de 420 pages) 95 DEVPAC 3.18 68000/ 020 / 040 / COPRO 395 HISOFT BASIC 2 (dernière version officielle de Hisoft) 395 NET & WEB (Contient IBROWSE 1.22+ complet + MUI) 295 IBROWSE -version 1.22+ complète- contient MUI 3.8+ 245 ULTIMATE BLITZ BASIC 2.1 [CD ROM) 195 F F F F F F CAD EAU CAD EAU 825 F D.OPUS MAGELLAN dernière version BLITZ BASIC 2.1 B.u.m. 9 a / 9 b 1 0 a / 1 0 b (4 disks) B.U.M. 5 16 11 18 (4 disks) BLITZ SUPPORT SUITE (3 DISKS) DELUXE PAINT 5 [DISKS) 495 175 65 40 110 195 F F F F F F SOUNDPROBE 16-bit (Hisoft) Progiciel de digitalisation sonore et musicale. Seulement .... 195 F T O U S L E S J E U X A M I G A C I - D E S S O U S S O N T E N S T O C K ! ( P r i x T . T . C , p o r t c o m p r is ) : AUEN BREED 3D2 Killing Grounds A-320 AIRBUS II _____ B-17 FLYING FO RTRESS -500/600BLITZKREIG (W ARGAME) BLOODNET (F) - A 1 2 0 0 BLOODNET (F )-A 5 0 0 + /A600 BUBBLE & SQUEAK -A 1200 BUBBLE & SQUEAK -A 600 CIVIUZATION CRIME DOES NOT PAY (Titus) COLONIZATION (F) DESERT STR IKE DOGFIGHT (Microprose) DUNE 2 .. _____ D u n g eo n MASTER 2 (V F) A 1200 ELITE 2 (Version Française) Evolution HUMANS 3 (F) A 1 2 0 0 145 135 125 45 110 110 65 65 115 45 125 95 95 115 95 125 95 F F F F F F F F F F F F F F F F F S E L E C T IO N J E U X A M IG A C D R O M BRUTAL PAWS OF FURY (VF) B U BBA 'N 'STYX (F) C ASTLES 2 . . Alfred CHICKEN (F) CHUCK ROCK 1 (F) CHUCK ROCK 2 (F) . CIVIUZATION AGA [CDROM) 50 45 45 35 50 65 125 F F F F F F F .................... EX ILE - A 12 0 0 EX ILE - A 6 0 0 F-15 II (Microprose) F-19 STEALTH fighter -A 500/2000 FIELD S OF G LO RY (WB 2 + ) FIELD S OF G LO RY -A 12 0 0 *. GUNSHIP 2 0 0 0 ................................. I m po ssible M ission 2 0 2 5 (v f ) a 6 0 0 . Im po ssible M ission 2 0 2 5 (v f ) a 1200 M ICRO PRO SE GRAND PRIX F1 M IN SKIES the Abduction -A 1 2 00 NICK FALDO GOLF NIGHTHAW K F-1 17 A 2 .0 -v 3.01 O D Y S S E Y A 6 0 0 /1 2 0 0 .......................... PGA EURO TO U R GOLF -AGAPIN BALL FA N TA S IES AGA -A 1200 PINBALL ILLUSION S (F) A 1 2 00 et 75 75 125 125 F F F F 125 125 125 . 95 . 95 115 85 35 95 75 45 65 95 F F F F F F F F F F F F F PLA YER M ANAGER 2 (ANCO) POW ER DRIVE (F) PRIM AL RAGE A l 2 0 0 /4 0 0 0 RAILROAD TYCO O N ROAD RASH S EN SIB LE GOLF S EN SIB LE SO C C ER EURO CHAM P S EN SIB LE W ORLD OF SO C C ER . 95 35 95 125 95 95 75 95 60 SH AQ FU -A 1200125 SILEN T S E R V IC E 2 SKELETO N KREW (F) - A 1 2 0 0 . . 75 95 S P E C IA L FO RC ES (Microprose) 95 STA R LO RD {Microprose) S T R E E T RACER [A 1 2 00 non-Escom] 125 SU PER S K ID M A R K S - A 1 2 0 0 85 SUP ST. FIGHTER 2 TURB0(F)-A1200 95 SU PER TENN IS CHAMPION 75 F F F F F F F F F F F F F F F F F T E S T A M E N T -A 1200/4000TH EM E PARK -A 12 00 TH EM E PARK -A 60 0 TURNING POIN TS -A 500- 125 125 125 55 125 U .F .O . (A 6 0 0) 125 U .F .O . (A T 2 0 0 ) /. V IR TU A L KARTIN G -A 1200 (F) 75 W H ITE DEATH (W ARGAM E) 45 WING COMM ANDER 95 95 W O RM S (V F) ................ 145 W O RM S Director's Cut -AGAX T R E M E RACING -A 120075 Xtrem e Racing A G A : 2 DATA D ISKS 55 ZEEW O LF 1 (NF) 45 ZEEW O LF 2 Wild Justice 65 ZEEW O LF 1 + ZEEW O LF 2 95 ZOOL (F) - A 5 0 0 /6 0 0 35 F F F F F F F F F F F F F F F F F C D 3 2 ( P r i x T . T . C . p o r t c o m p r is ) - L e s " C D R O M " s o n t p o u r A m ig a 1 2 0 0 / 4 0 0 0 + le c t e u r C D ELIT E 2 .................................... EVOLUTION HUMANS 3 (F) EX ILE GUARDIAN HUMANS 1 + HUMANS 2 LEGENDS (F) LIBERATION C A P T IV E 2 95 F . 95 F 50 F 75 45 95 70 F F F F MARVIN M ARVELLO U S . . MEAN AREN AS (F) . . N AU G H TY O N E S . . . PREM IERE (F) . . SO C C ER KID S PERIS LEG A C Y (Doc F) CD32/CDR0M S T A R C RU SAD ER [CDROM) 45 F 45 F 60 F S T R E E T RACER [CDROM] SU PER LEAG U E M ANAGER S u per S tr eet F ighter 2 T urbo (F) 125 F 75 F 95 F 45 50 95 95 TH EM E PARK (CDROMJ U LT IM A TE GLOOM [CDROM] U LT IM A TE SK ID M A R K S (CD ROM) W O RM S (V F) C D 3 2 et CDROM 125 125 125 125 F F F F F F F F Pour un envoi immédiat d'articles ci-dessus (règlement par carte internationale VISA/ EURO CARD): téléphonez-nous (pas de panique, notre personnel est FR A N Ç A IS), ou taxez votre commande signée avec détails de votre carte bancaire. Par Minitel: 3 6 1 6 A Z ER TY puis D U C. Ou rédigez (EN FRAN ÇAIS SVP) sur papier libre et joignez votre règlement. Nous acceptons les chèques ordinaires français, les chèques La Poste Français, les cartes internationales V IS A et EURO CARD, mandats internationaux (ou Eurochèque en sterling si vous n'avez pas de chéquier Français). Notre catalogue complet vous est envoyé -gratuitement- avec votre première commande. Si vous désirez recevoir un catalogue CO M PLET afin de faire votre choix, écrivez-vous en FRAN ÇAIS S V P et joignez 6 timbres à 3 FF ou 4 C .R .I.; précisez votre configuration exacte, ou nous ne pourrons pas donner suite à votre demande. TO U S NOS PRIX SONT T .T .C et PORT CO M PRIS TR A N SA C TIO N MINIMUM 100 FF FÉVRIER 19 9 9 - Stock et prix valables pour la durée de publication du magazine - Toute commande est considérée comme ferme. Nouveau! Passez votre commande par email -> [email protected] r En p r a t i C| n U ! i tr o 1 k » f \ Réseaux le serveur distant doit tout de même rece voir une réponse de la machine client, afin de savoir si celle-ci est en vie. Le paquet Protégez votre système avec IPFWadm ! d'interro gatio ns qu'envoie le serveur se trouve m arqué d'un bit nom m é "ACK" (pour acquittement). Nous allons autoriser ce type de paquets, et uniquement celuilà, par l’entrem ise des com m andes sui vantes : /sbin/ipfwadm -I -a accept -k -P tcp -S 0.0.0.0/0 -W pppO -D 0.0.0.0/0 /sbin/ipfwadm -I -a accept -k -P udp -S 0.0.0.0/0 -W pppO -D 0.0.0.0/0 Que vous disposiez d'un poste unique ou d'un petit réseau privé, il est tout à fait possible de vous protéger des pirates qui circulent sur Internet. Littéralement, on pourrait traduire la pre mière ligne par : "je rajoute une règle d'au torisation (-a accept) en entrée (-1) sur l'in terface pppO (-W pppO) utilisant le proto cole T C P (-P tcp ) de n 'im p o rte où (-S U nix, et par extension Linux, est un systèm e ouvert. Il a été pensé et conçu pour dialoguer avec le reste du monde. Cette immense souplesse a un prix : un système Unix peu ou pas configuré constitue une proie facile pour les esprits malveillants. Heureusement, voici IPFWadm. Il s 'a g it e s s e n tie lle m e n t d 'u n p o rta g e d'Ipfw, son pendant sur systèmes BSD. Cet Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM outil d'administration du firewall intégré au noyau Linux ne correspond pas à un logi ciel de firewalling, mais uniquement à une interface de dialogue entre l'utilisateur et les fonctions de firewalling du noyau 2.0. Cas de figu re classique Notre machine se trouve reliée à Internet via câble, m odem ou au tre. Supposons que celle-ci fasse partie d'un réseau privé pour lequel elle joue le rôle de passerelle et de re la is S M T P (p a r l'e n tr e m is e de Sendmail, par exem ple). Toute la com plexi té de l'opération se limite à autoriser notre réseau privé à utiliser les services dispo nibles sur notre passerelle, tout en interdi san t le reste du m o nde de l'e m p lo y e r comme "crash-dum m y" ! Pour réaliser ce tour de passe-passe, nous allons avoir recours, justement, à IPFWadm. Celui-ci n'effectuera aucun traitem ent sur le réseau privé, mais interdira purement et sim plem ent l'accès depuis le Net à notre passerelle, que nous appellerons "dagobah" en la circonstance. Il ne faut égale ment pas perdre de vue que dagobah est LA sortie vers In te rn et ; on m anip ulera donc les règles d'IPFWadm avec beaucoup de soin, sous peine de se trouver totale ment coupé du monde. Nous postulerons pour la suite des événem ents que nous sommes connectés par un simple modem. Il est facile d'adapter ces règles à n'importe quel type d'interface, en remplaçant pppO par le nom de l'interface de sortie. Et de A l ’abordag e... noter que les règles agissant sur pppO ne p e u v e n t se v o ir prises en co m p te que lo rsq ue ce tte in te rfa ce est a ctive ; par conséquent, l'utilisateur devra faire appel à un script qui s'exécutera à la suite de notre scrip t de c o n n e xio n , m ais u n iq u em en t 0 .0 .0 .0 / 0 ) v e rs n 'im p o rt e où (-D 0 .0 .0 .0 /0 )". La traduction de la seconde ligne est immédiate ; il suffit de transcrire sleep 15 # en admettant que le script active la première, mais cette fois avec le proto cole UDP. Il s'avère égalem ent nécessaire, pour les connexions FTP, d'autoriser l'accès sans c o n d itio n s au x po rts d o n t le num éro dépasse 1024 ; ce sont en général les ports la connexion au bout de 15 secondes clients : lorsque pppO est actif. On rajoutera au script de connexion les lignes suivantes : /etc/rc.d/rc.firewall # appei au script que /sbin/ipfwadm -I -a accept -P tcp -S nous allons créer 0.0.0.0/0 20 -W pppO -D 0.0.0.0/0 1025:65535 Réfléchissons maintenant à nos besoins, en On autorise ici les connexions venant de ports 20 de n'importe quel serveur sur tous les ports de notre passerelle supérieurs à termes de sécurité. La m achine doit être totalement hermétique à toute requête en provenance de l'Internet, mais lorsque l'on consulte un site, que l'on récupère son courrier ou que l'on télécharge un logiciel, 1024. Le port 20 (ftp/data) s'utilise pour la transm ission de données entre des ser veurs FTP et les clients qui y accèdent. Le C M A A p te tr ib u tio n I ICC S o f t w a r e Tél : 03.20.98.09.68 Fax : 03.20.98.13.86 Du Mardi au Samedi de 10 h à 19 h em ail : fds@ fdsoft.com Logiciels Amiga P c W Citni 1•-■uaBer ï - {1 f1 y p 5 )-C 0 ? :5 3 p n 01 ' 1?/39> C$ ) - s i ro be yoda stro b e 1 .0 3 ( c ) 1995 J u l i a n Assange (p ro ffP s u b u r b ia .n e t ) . goda unknoun 2 2 /tc p u n a ssig n e d yoda sn tp 2 5 /fc p n a i l - C i n i f ««ader)-C2 1 ty p 5 )-< 8 8 :0 1 p n ftf/ t? £ 9 9 > - ($ ) p ing yoda PING yoda e n p ir e .d a r k ( 1 9 2 .1 6 8 .1 .1 4 ) : 56 d a ta b y fe s f>4 b y te s fro n 1 9 2 .1 6 8 .1 . H : ic n p _se q -8 tt]= 6 4 tin e = 4 .1 n s b4 b y te s fro n 1 9 2 .1 6 8 .1 14: icn p _seq -1 t t 1=6-1 t ine 1 .6 ns - y o d a .e n p ire d a rk ping s i a t i s i i c s ---2 p a c k e ts t r a n s n it t e d , 2 p a c k e ts r e c e iu e d , 0/. p a ck e t lo s s ^•ound-trip n in /a u g /n a x = 1 .6 x 2 .8 / 4 .1 ns C in il iM d e r V C J t t y p S ) -< 0 8 .0 U n 01 ■17x99* -C$ ~*r in iIf f r e a 1 1 i n i l J $ s tro b e 2 1 2 .1 9 8 .9 7 .2 8 9 trobe 1 .8 2 U ) 1995 J u l i a n Assanae - P r o f f - lo r ü f fP s u b u r b ia .a o ü n â .o ra .au ) . En ce qui concerne le réseau privé : tout est normal... I i n i l & r e a l 1 i n i 11$ s t r o b e 2 1 2 .1 9 8 .9 7 .2 6 9 sfro b e 1 .0 2 U J 1995 J u l i a n A ssange - P r o f f - (p r o f f P s u b u r b ia a p a u a .o rg a u ) . E R Îk P AMÊCMm C O E S P O W E R P C '* C a rtes a c c é lé ra trice s Pow erPÇ_A m jga 120.0 T : S a n s contrôleur Fa st-S C S I-ll (ajout im possib le) Blizzard 603e 160 Mhz + 68040 25 Mhz 1.990 F Blizzard 603e 200 Mhz + 68040 25 Mhz 2.590 F Blizzard 603e 240 Mhz + 68040 25 Mhz 2.990 F A vec co ntrô leur Fa st-S C S I-ll d ’origine Blizzard 603e+ 160 Mhz + 68040 25 Mhz 2.590 F Blizzard 603e+ 200 Mhz + 68040 25 Mhz 2.990 F Blizzard 603e+ 200 Mhz + 68060 50 Mhz 4.890 F Blizzard 603e+ 240 Mhz + 68040 25 Mhz 3.690 F Blizzard 603e+ 240 Mhz + 68060 50 Mhz 5.590 F Cartes accélératrices Pow erPC Amiga 3000/4000 : Cybenstorm PPC604e 200 Mhz + Ultra Wide SCSI 3.990 F Cyberstorm PPC604e 233 Mhz + Ultra Wide SCSI 4.690 F Option 68040 25 Mhz monté sur la carte + 490 F Option 68060 50 Mhz monté sur la carte + 2.300 F PS : Les 68040 et 68060 sont équipés de MMU et FPU. 2 1 2 .1 9 8 .9 7 .2 8 9 p in g s t a t i s i i e s — 3 p a c k e ts t r a n s n i t t e d , 6 p a c k e ts r e c e iu e d . 100X p a ck e t ( in i Î P r e a l 1 i n i I ]$ j lo s s Nous consulter pour les conditions de mise à jour. Turbo Print 6.02 -VoW ordworth 7.01 CD - Version Française W ordworth 7.01 D isk - Version Française 450 F 490 F 490 F La version Françaises officielle de Wordworth est livrée avec un manuel imprimé en Français et avec une carte d'enregistrement à l'adresse de Free Distribution Software. W ordworth 7.01 CD ou D isk (mise à jour) 290 F La mise à jour de Wordworth 7 est disponible exclusivem ent chez Free Distribution Software. Veuillez nous consulter pour les conditions de mise à jour. ZipTools - Vo - Cartes Graphiques AtéoBus + Pixel 64 pour Amiga 1200 T BVision64 (Blizzard P P C ) Cybervision P P C 8 Mo (Cyberstorm P P C ) l i n i l P r e a U i n i l ) $ p in g 2 1 2 .1 9 8 .9 7 .2 6 9 P IMG 2 1 2 .1 9 8 .9 7 .2 0 9 ( 2 1 2 .1 9 8 .9 7 .2 6 9 ) : 56 d a ta b y te s A sim C D F S v3.9a -Version Française390 F Directory Opus 5 Magellan - Vo 490 F Digi Booster Professional -Vo349 F IBrowse -Vo349 F M aster ISO 2.2 -Vo- Prom otion .4 9 0 F Miami 3.x enregistré - Vo279 F Sieg fried A n tiviru s - Vo139 F So un dP ro be -Vo259 F Personal Paint 6.4 -Version Française39 F Turbo Cale 5.xx CD (Doc V4 en Français) 490 F Turbo Cale 5.xx Disk (Doc V4 en Français) 490 F Turbo Cale 5.xx CD / disk mise à jour 320 F 210 F CD-ROM Amiga 1.990 F NC 1.490 F Périphériques / Accessoires Divers B o îtie rs To urs : Tour Atéo pour A1200 + Interface clavier PC + clavier P C + Alim 200 W+ Emplacements pour l'extension AtéoBus & Pixel 64 1.090 F D ivers : Alimentation originale / ou 200 Watts 290 F / 490 F Joystick Cruiser Noir 120 F JoyPad Compétition Pro CD32 & Amiga 189 F Souris 3 boutons haute résolution 149 F Blizzard SC SI-Kit pour B1230-4/1240/1260 NC Squirrel S C S I (Contrôleur S C S I PCM CIA) 550 F SuftSquirrel S C S I (Idem+rapide + port série) 790 F Nappes IDE & S C S I (nombreux modèles) Tél. Câbles & adaptateurs SC SI (nombreux modèles) Tél. Adaptateur S C S I Interne B 1230/40/60 290 F Adaptateur M1438/1538 pour PC 159 F Adaptateur VG A pour A1200/4000 149 F 249 F Adaptateur Souris P C (aucun logiciel requis) Coude PCM CIA pour Tour 259 F Scandoubler externe pour tous les Amiga 790 F ROM 3.1 (seules) A1200 /4000 (précisez) 349 F ROM 3.1 (seule) A3000 349 F ROM 3.1 (seule) A500/+/600/2000 (précisez) 249 F Modem U S R o b o tics : Sportster 56Ko Message Modem 1.190 F Option : Kit Internet Amiga @-Net II CD +149 F Le c te u rs de disq u ettes : DD 720 / 880 Ko interne A600/1200 230 F DD 720 / 880 Ko interne pour A2000/4000 210 F DD 720/880 Ko externe pour tous 480 F HD Interne 1.4 /1.76 Mo pour A2000/4000 650 F HD Interne 1.4/1.76 Mo A1200T (avec façade) 650 F HD Interne 1 . 4 / 1 . 7 6 Mo A1200 (classique) 650 F HD Externe 1.4 /1. 7 6 Mo (WB2.04 minimum) 770 F SIMM EDO 32 Mo (Attention : Pénurie imminente !) NC Amiga Format 31 ou 32 ou 33 ou 34 Aminet 24 (Avril 98) - Promotion Aminet 25 (Juin 98) ou 26 (Août 98) Aminet 27 (Octobre 98) Aminet 28 (Décembre 98) dispo vers le 15 Aminet Set 1 ou 2 ou 3 Aminet Set 4 ou 5 ou 6 Am inet Set 7 French Storm (Libre essai en Français) Professional File System 2 Scene Explorer 2 Studio Professional v2.2b Netconnect 2 SuperView Productivity Suite CybergraphX V4 Red Hat Linux 5.1 Amiga Envoy v3.0 Get Connected (Miami+IBrowse+Yam) JE U X Foundation CD Genetic Species Quake CD Myst CD Time of Reckoning 59 79 89 89 89 150 199 199 39 349 139 249 615 209 179 139 349 519 F F F F F F F F F F F F F F F F F F 310 310 349 339 199 F F F F F Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Du côté d'Internet : Fantômas. mécanisme d'autorisation se révèle identique, quel que soit le ser vice à ouvrir. Voyons maintenant com m ent rendre notre machine totalement invisible aux yeux du monde : /sbin/ipfwadm -I -a deny -P tcp -S 0.0.0.0/0 -W pppO -D 0.0.0.0/0 /sbin/ipfwadm -I -a deny -P udp -S 0.0.0.0/0 -W pppO -D 0.0.0.0/0 A ce point de la configuration, notre machine s'avère inaccessible. En effet, nous bloquons ici (-a deny) toute tentative de connexion directe, qu'elle soit TC P ou UD P. C e p e n d an t, notre m achine demeure toujours visible sur le réseau global ; les plus paranoïaques devraient peut-être songer à rajouter la ligne suivante : /sbin/ipfwadm -I -a deny -P icmp -S 0.0.0.0/0 -W pppO -D 0.0.0.0/0 Ainsi, nous ne répondrons même plus au banal ping ! Toutefois, prenez garde, car certains administrateurs utilisent à longueur de temps cette commande, afin de savoir si une machine est en vie ; dans ce cas précis, interdire les requêtes ICMP se révèle parfois plus dérangeant qu'efficace. Désormais, tous les accès locaux entre les machines de notre réseau privé se font comme par le passé, mais notre passerelle, du côté d'Internet, est devenue un vrai fantôme. Facile ! Après une petite période d'adap tatio n, l'utilisation d ’ IPFWadm devient aussi instinctive que celle de Vi (...) ; malheureusement, l'ar rivée im m in en te du noyau 2 .2 va b o u leverser les h ab itu d es. IPFWadm est mort : vive Ipchains ! Toutefois, qu'on se rassure, cette dernière mouture de l'administrateur de firewall n'a pas été totale ment réinventée : l'esprit et la syntaxe générale rappellent beau coup celles de la précédente version. De plus, des âmes charitables CD-AUDIO (R é a lisé s su r Am iga) Amiga Them e CD - Back for the Future Neuland - das schwarze system Plus de 200 CD-ROM s Amiga sont disponibles !! Demandez notre catalogue gratuit ou consultez sur internet : http://www.fdsoft.com Am iga Fo rever 2.0 CD Emulateur Amiga pour PC/Pentium 399 F Périphériques Lecteur CD 36X Atapi Interne Disque Dur 3.5” - 3.2 Go IDE Interne 390 F 890 F Norme S C S I* : Lecteur CD Pioneer 32 X SC SI-II Interne Lecteur CD Pioneer 32 X SC SI-II Externe 690 F 1.050 F Disque Dur 4,3 Go Ultra S C S I Interne Boîtier Externe alimenté en option 2.090 F +540 F Nous co n su lter pour les au tre s périp hériques. * Contrôleur SC SI requis. Commande sur papier libre ou sur le bon de commande . Règlement joint à la commande par cneque, chèque, mandat ou Carte carte Bancaire bancaire par téléphone ou télécopié ou Internet. Frais de port en recommandé : 35 F - Tours et configurations : 100 Frs. Venez visiter notre site web : http://www.fdsoft.com vous pourrez vous abonner à notre mailina-list pour recevoir par email nos listes de promotions et de nouveautés. Point de vente : CAP MICRO/FDS, 111 Bd Clemenceau, 59700 Marcq en Baroeul. (Téléphoner pour la disponibilité des articles) Bon de Commande à retourner à F R E E D IS T R IB U T IO N S O F T W A R E B P 134 - 59453 L Y S L E Z LA N N O Y C E D E X NOM /Prénom : ........................................................................................................................................................... Adresse : ......................................................................................................................................................................... Code Postal : ! _ ! _ ! _ ! _ ! _ ! V ILLE : Téléphone (facultatif) : .................................. Désignation Prix Qîé ont créé un "ipfwadm-wrapper" livré avec le package Ipchains, qui permet de continuer à utiliser les anciens paramètres. Ouf ! Un ins tant de répit... Emile Heitor <[email protected]> 59 F 59 F Frais de port forfaitaire : 35 F, ou 100 F (Voir ci-dessus) Montant total de la commande Ci-joint mon règlement par ( ) Chèque, ( ) Mandat, ( ) Carte Bancaire n° : !__________ !___________ !__________ !_____ Date et signature ! Exp ! Offre valable dans la limite des stocks, prix donnes à titre indicatifs, les CD-ROMS et certains logiciels sont en langue anglaise. Système Le réflexe BBC Basic La qualité prédominante de RiscOS, c'est que toutes les fonctions du système se trouvent accessibles à partir d'un langage de programmation ultrasimple le BBC Basic. e BBC Basic constitue un exemple de sim plicité ; savoir s'en servir est un L grand atout pour qui veut accéder à tous les rouages de RiscOS. Voici une pre mière application simple et didactique qui permettra à tous de (re)faire connaissance avec ce langage. Bien évidemment, essayer de porter notre exem ple de program m e sur un autre système que RiscOS ne présen te aucun intérêt et s'avérerait plutôt diffici le. C ah ier des charges Imaginons que nous voulions effectuer une capture d'écran d'un simple clic de souris. Voici l’occasion idéale de créer une applica tion de taille modeste en Basic. Petit rappel : une application est un dossier (un répertoi re, quoi) dont le nom com m ence par un point d'exclamation et se révèle exécutable si ce d o ssie r c o n tie n t un fic h ie r !R u n . A p p elo n s donc notre a p p lica tio n !Shot (pourquoi pas...) et examinons le contenu que nous allons lui attri buer. Com m ençons par un script Obey du nom de IB o o t: Intérieur de l'application. point est, sous RiscOs, un séparateur de dossi.er, tandis que le symbole A désigne le dossier parent. L'icône est placée à l'inter section des coordonnées X=-45 et Y=950, ce qui c o rre sp o n d au co in supérieur gauche d'un bureau de résolution 640x480 points. Pour définir un autre emplacement, le plus simple consiste à déplacer l'icône manuellement, d'effectuer une sauvegarde du Pinboard et de relever les coordonnées affichées. Cela donne pour le coin supé rieur droit du même bureau : Pinboard Pin ADFS::IDEDisc4.$.Public.!Shot 1135 950 Placer l'icône sur la barre est réalisable, g râ c e à la c o m m a n d e AddTinyDir Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM La vie des animaux Set ShotSDir <Obey$Dir> Pin <Shot$Dir>.A.!Shot 045 950 IconSprites <Shot$Dir>.ISprites Les fich ie rs O bey u tili sent des fonctions de la ligne de com m ande, le C li. La p re m iè re c o m mande fixe une variable Application IShot sur le Pinboard... jS.ShotOO •screendump* Cotours d'environnem ent appe lée "ShotîD ir" à l'aide du nom du d o ssie r où se trouve le fichier en cours d 'e x é c u tio n . S h o t îD ir vaut "cch em in de l'application>.!Shot" La par tic u le Î D i r est une c o n v e n tio n s e rv a n t à sc re e n d m Paint tools Zld^ )O jo|2illl > ]■ !* ! J É â W l d Set/ctear pixels <% Set J OR J AND J EOR désigner les dossiers. La com m ande Pin perm et de p la ce r l'a p p licatio n !S h o t su r le b u re a u . C e lle -ci réside dans le d o s sie r p a re n t de S h o tîD ir qui désigne le contenu de l'application ; Vue par IPaint d'un des Screenshots réalisés. ce la se tra d u it par < S h o tîD ir> .A.!S h o t. Le Pour plus de renseignements sur le BBC Basic, vous pouvez acheter le manuel de référence du BBC Basic ou encore le livre de Ray Favre, "Starting Basic" (h ttp://homepage. zynet.co. uk/rayfavref). Les moins fortunés pourront se pencher sur le manuel Basic de StrongHelp, présent à deux adresses : la page des manuels StrongH elp de Neil Bingham (www. binghams.demon.co.uk/stronghelp/) ou le site de StrongH elp et StrongEd de Cuttorm Vik (http://login.eunet.no/guttorvi/strong.html). L'excellent Basic Tips Sr Tricks de David Thomas ( www. tristone. co. uk/davespace/basic/) est un au tre docu m en t clé pour maîtriser le Basic. Envie d'aller plus loin ? Il y a bien sûr l'assembleur intégré et extensible, divers outils de compilation et compression du code et de nombreuses bibliothèques disponibles. Pour créer des applications multitâches, on se penchera avec intérêt sur les librairies DrWimp d'Andrew Ayre (http://whirligig.ecs.soton.ac.uk/~aij29S/ groover/drwimp.html) et JFShared de Justin Fletcher (www.thevillage.ndirect. co.uk/justin/). <Shot$Dir>.A.!Shot. La com m ande IconSprites charge le fichier ISprites dans le système. Celui-ci, créé avec Paint, contient une seule icône, du nom de Ishot, qui définit une autre icône pour notre application. Elle sera d'une taille de 32 par 32 points, voire 40 par 40 points. Notre dossier accueille ensuite un fichier texte baptisé IHelp, lequel fournit une aide. Celui-ci peut être de n'importe quel type ; en prin cipe, on utilise un fichier texte, mais on a aussi loisir de réussir quelque chose de plus esthétique, à l'aide de Draw. Vient enfin le fichier Obey IRun, qui sera exécuté lorsqu'on lancera notre application : Posse Press recrute pour l’ensemble de ses magazines Journalistes pigistes - Ret Pis Spécialisés dans la manipulation d’un système, d’un logiciel de création ou d’un langage pour l’écriture d’articles pratiques ou de Hors-Série. Set Shot$Dir <0bey$Dir> Infographiste PAO WirapSlot -min 16k -max 16k <Shot$Dir>.CheckALT - R et pao Maîtrise des logiciels Xpress, Photoshop, lllustrator. If Alt$Down<>0 THEN <Shot$Dir>.IRunReset Bon sens créatif. If Alt$Down=0 THEN <Shot$Dir>.ÎRunlmage La connaissance de la presse informatique ünset Alt$Down ou technique serait un plus. La première commande est identique à celle du fichier IBoot. Cela permet de s'assurer que la variable ShotSDir se trouve bien fixée, car une commande *Unset * aurait été susceptible d'en effacer le contenu. De même, le fait d'appuyer sur la touche Ctrl lors de l'ou verture d'un dossier empêche le filer d'exécuter les fichiers IBoot des applications qu'il rencontrera. W im pSIot, quant à lui, change la taille de l'espace mémoire réservé aux applications. On peut fixer une valeur minimale et une valeur idéale. Dans notre cas, 16k suffi ront largement. L'utilitaire CheckALT teste l'appui de la touche Alt. On le placera dans le dossier !Shot, quoique son utilité justifierait de Chef de pub Junior - Ret pub Dynamique, sens du contact et de la négociation commerciale. Intérêt pour les nouvelles technologies et la micro-informatique. Maîtrise de l’anglais et de l’outil informatique (Word, Excel). Stagiaires - r e t stg Rédaction, création multimédia ou commercial. Convention de stage indispensable. Adresser CV et prétentions à Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM ADFS::lDEDiso4.$.PubticJShot IRunReset !Run IRunlmage CheckALT Count Par courrier Posse Press / Recrutement ShotOO ShotOI Shot02 Shot03 16. rue de la Fontaine au Roi 75011 Paris Shot04 Shot05 Shot06 Shot07 Shot08 Shot09 Shotl 0 Shotl 1 Shotl 2 Shotl 3 Shotl 4 Shotl 5 I_ JJ Par ta x : 0 1 4 3 55 66 68 Par em ail : rcanongecDpcss-press.com De nombreuses copies d'écran. le ranger au côté des utilitaires du système. Si la touche Alt est pres sée, cet utilitaire fixe la variable AltSDown à -1 ; dans le cas contrai re, elle choisit 0. Dans le premier cas, on lancera un programme en Basic qui réinitialisera notre application ; dans le second, on effec tuera une copie d'écran. A l'arrivée, on efface la variable AltSDown. Notre dossier contient donc les fichiers IBoot, IHelp, IRun, ISprites, CheckALT, et deux fichiers Basic IRunReset et IRunlmage. On notera les conventions adoptées ; celle du point d'exclamation pour les fichiers liés aux applications et celle du nom IRunlmage pour l'applicatif principal. Si on double clique sur l'icône de l'application en pressant la touche Alt, le programme IRunReset est exécuté. Celuici permet de remettre le compteur à zéro et d'effacer les copies d'écran précédemment stockées dans le dossier IShot. IRunReset: A%=0PEN0UT *<Shot$Dir>.Count" q u e Système PRINT #A%, 0 On com m ence CLOSE #A% p ar o u v rir le fichier Count (il fa u t s 'a ssu re r *CREATE <Shot$Dir>.ShotTemp *WIPE <Shot$Dir>.Shot* ~C ~V F auparavant x fS::IDEDisc4.$.Public.!Shot.lBoo1 n M S e t ShotSDir <Ubey$Dir> ~ i H i n p S l o t -tiin 16k -»ax 16k Set ShotiDir <Ûbey$Dir> Pin <Shot$Dir>.".!Shot 8-45 958 n | < S h o t $ O i r >, CheckflLT IconSprites <Shot$Dir>,ISprites i r S l f M t S O o w n O B THEH <Shot$Dir>. IRunReset ■ I f fllt$Down=8 THEH <Shot$0ir>.IRunlnage □ n ü n s e t RltîDown d'avoir bien initialisé l'applica La p re m iè re p a rtie re m e t la v a le u r du compteur à 0. Celui-ci prend la forme d'un fich ie r de données, appelé "C o unt". On ouvre ce fichier, on y écrit la valeur 0 et on le ferm e. Ensuite, on utilise deux co m mandes du Cli, que l'on peut placer "tel ADFS::IDEDisc4.$.Public. gM i Runlmaae_____ tio n ), avant de lire la v a le u r qu'il contient et de le fermer. Si Wr INPUT « R U H R * CLOSE m IF ÛRRX=78 THEH OSCLIC'ERROR Dossier plein, effectuez une réinitialisation") ELSE quel" dans le source en Basic. La première crée un fichier vide ShotTemp, la seconde ce tte v a le u r v a u t 7 0 , cela efface tous les fichiers ayant un nom com m e n ç a n t p ar S h o t, sans d e m a n d e de confirmation (~C), ni affichage d'inform a signifie qu'on a effectué soixan te -d ix co p ie s tions (~V) et en forçant l'effacement (F). Il est important que IRunReset n'affiche pas d'écran. En plus du d o ssie r, FILE$="<Shot$Dir>,Shotll+,,8"+STR$(UflR):) ELSE FILE$="<Shot$Dir>,Shotn +STR$(UflRÜ) © |X^ ED isc4.$.Public. IShot. IRunReset ENDIF fl^ûPrHourvsbotwiFrroiïiïP— OSC LICSC R EE H S H U E “+FILEÎ) PRINT #fft,8 UflR7.+=l CLOSE M % R7.=0PEH0UT"<Shot$Dir>.Count" ♦CREflTE <Shot$Dir>.ShotTenp PRIHT #flH,URRX ♦WIPE <Shot$Dir>.Shot* T *V F CLOSE #HÜ ENDIF d'inform ation à l'écran, car l'application IS h o t c o n tie n t h u it fic h ie r s . Sous RiscOs, un dossier ne peut contenir ouvrirait alors une fenêtre. La création d'un fic h ie r S h o tT e m p p e rm e t d 'é v ite r une erreur classique : l'absence de fichiers dont le nom commence par Shot. TC U A IW tfl î u r u L'ensemble du code. effectue une copie d'écran. 2/ Un shift + double clic ouvre le dossier IShot et permet de visualiser et de recopier plus de soixante-dix-huit fichiers ; il faut donc veiller à ne pas faire plus de soixantedix copies d'écran. Dans ce cas, on utilise la IRunlmage : les fichiers "Shot". 3/ Un Alt + double clic efface les fichiers commande Cli Error qui crée un message d'erreur dans une boîte de dialogue (ou A%=0PENIN■<Shot$Dir>.Count• INPUT #A%,VAR% 'Shot' et réinitialise le compteur. Vous pouvez reco p ier ce dernier para sous la ligne de commande). La com m an de OSCLI correspond au * utilisé dans le fichier IRunReset, à la différence près qu'il CLOSE #A% IF VAR%=70 THEN OSCLI("ERROR Dossier plein, effectuez une graphe dans le fichier IHelp, car il donne la description complète de l'exploitation de votre utilitaire. Voilà donc un aperçu de la puissance de Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM est possible de transmettre des paramètres stockés dans des variables. Si le compteur n'atteint pas le nom bre soixante-dix, on réinitialisation") ELSE IF VAR%<10 THEN RiscOS. L'écriture de ce program m e ne prend pas plus de dix minutes et permet crée alors une copie d'écran du nom de < Sh o t$ D ir> .Sh o t, suivie du num éro du compteur. On incrémente ensuite la valeur du compteur, puis on l'écrit dans le fichier FILE$="<Shot$Dir>.Shot'+"0"+STR$(VAR%) ELSE FILE$="<Shot$Dir>.Shot’+STR$(VAR%) ENDIF de réaliser une tâche assez complexe. Sous tout autre systèm e, ce travail aurait été beaucoup plus difficile pour un débutant. Néanmoins, cette application ne peut pré tendre à la perfection. En effet, elle n'est Count. U tilisation Dès la première manipulation, il faudra lan OSCLI CSCREENSAVE "+FILE$) VAR%+=1 A%=0PEN0UT"<Shot$Dir>.Count" pas multitâche et utilise la commande Error pour afficher ses messages. Elle représente cer le fichier IRunReset qui va créer et initialiser le compteur. Ensuite, on pourra réa liser trois types d'actions : PRINT #A%,VAR% CLOSE #A% ENDIF cependant un cas pratique d'utilisation du Basic et de son intégration avec le Wimp. David Feugey 1/ Un double clic sur l'icône de l'application A D F S : : I D E D I s c 4 .$ .P u b f i c T e s t 'f i l x l T a s k w in d û w Ê & dire cto ry small dir small app file xxx small xxx file ffe small ffe file ffd small ffe file ffb small ffb directoryo B small diro application T a s k w in d o w BC BASIC U version 1,85 (C) Rcorn 1989 9o Starting with 651516 bytes free feflmn ID E D is c 4 :0 Basic et TaskWindow, deux applications intimement liées. * a L .- - — ..... Screenshot réalisé à l'aide de !Shot (comme tous les autres...). nlkilû*1 a-ufis" 30 francs 1 an d'abonnement à Dream avec un CD-Rom offert chaque mois = 329 francs Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM + IRC, installation et configuration, Edition O'Reilly = 100 francs Soit un total de 529-francs Oui, je souhaite m 'abonner à Dream pour un an. □ Formule 1 : abonnement d'un an à Dream avec 1 CD-Rom + IRC, installation et configuration, Editions O'Reilly, 359 francs à l'ordre de Posse Press. Le livre me parviendra séparément, en recommandé. □ Formule 2 : abonnement d'un an à Dream avec 1 CD-Rom offert chaque mois, 329 francs. Nom : .....................................................Prénom : ..........................................................Adresse : ................................................................................................................................................................ Tél : .......................................................... Code postal: ................................................... Ville : ......................................................................................................................................................................... Machine/système (facultatif) : □ Amiga/AmigaDos □ Amiga/Linux □ Pc/Linux □ Pc/Divers □ Be/BeOs □ Autre machine/autre système : .............................. Ci-joint un règlement d e francs, par □ chèque bancaire, □ mandat postal à l'ordre de Posse Press. □ carte bancaire : n° CB i i i i i l l l l l l l l l l l l l l l expire le l l l l l En cas de paiement par carte bancaire, vous pouvez aussi commander : mJ K l y A IV 1 Par téléphone : 01 53 36 84 10 du lundi au vendredi de 9h30 à 18h00 Par fax : 01 43 55 66 68, 7 jours sur 7, 24 heures sur 24 Offre à renvoyer à Dream/Abonnements, 16, rue de la Fontaine au Roi, 75011 Paris. Tarif pour la France métropolitaine uniquement. DOM/TOM et étranger, ajouter 100 francs au prix de l'abonnement, paiement par mandat uniquement. Offre valable jusqu'au10 Mars! 999 (cachet de la poste faisant foi). © Informatiques et libertés : en application de l'article L27 de la loi du 6 janvier 1978, relative à l'informatique et aux libertés, vous disposez d'un droit d'accès et de rectification pour toute information vous concernant en vous adressant à notre siège social. Les informations requises sont nécessaires à l'établissement de votre commande. Elles pourront également être cédées à des organismes extérieurs, sauf indication contraire de votre part. mière partition de type DOS. Cela signifie que le chef-d'oeuvre de M icrosoft peut effectivem ent être installé sur une autre partition ! En pratique, la procédure de F a ire c o h a b ite r e n c o re m ie u x L in u x e t W in d o w s démarrage de DOS consulte la table des partitions du disque dur et lance automati q uem ent le systèm e depuis la première partition portant l'un des types compa tibles avec DOS (FA T!2, FA T]6 etc.). Celleci se voit alors désignée comme lecteur C:. En ré a lité , to u t cela reste très simple. Supposons par exemple que Linux soit déjà installé et que l'on décide subitement de mettre DOS en place ; la première partition Le système d'exploitation de Microsoft est réputé pour les problèmes qu'il pose lorsqu'on tente de l'installer simultanément avec un autre OS. Pourtantcertaines possibilités intéressantes existent. orsqu'on met en place Linux pour la L première fois, on ne souhaite généra lement pas couper les ponts tout de suite, mais plutôt faire cohabiter le nou veau système avec DOS/Windows, tout en gardant la possibilité de démarrer soit l'un, soit l'autre, jusque-là, il n'y a pas de pro blèmes : toutes les distributions installent LILO par défaut, et la configuration s'avère d'une simplicité peu commune. Seulement voilà, il arrive inévitablem ent un moment où l'on veut modifier le partitionnement de □ (Oméga) QXcivi: ^1 r u ser du d isq u e se tro u v a n t déjà utilisée, il convient de l'installer ailleurs (disons par exem ple sur la troisièm e partition phy:: 9 J- .: - v:. r L IL O i G e u e r i c b o o t lo a d e r f o r L i n u x m QuR Abort V e r s io n 2 0 Again U s e r ’s g u id e Reread W r r iH T A h iif s lie r R iT w e r a e r .a l n æ s b e r g e r ê l r c . d i . e p f l . c h r 100% 33% Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Juiic* 20. 1007 25% ses disques, voire déplacer Windows sur un 17% autre disque, ce qui se révèle déjà beau coup moins évident, car si tous les OS un tant soit peu décents laissent à l'utilisateur le choix de leur mode d'installation (et par ticulièrem ent des partitions), les concep C o n te n ts L IL O is a versatile boot Soailtr for Liâtes. I? no? dépend ou a sinvifir tik* CTStfiu. eau b*** Linux kenti'l inia&rs front floppy disk.-» ami fnxu liard ifisks ami nui evm art as a “boot manager*' for othrr ofieratiui» Systems.1 Out' of up to stxf«v?i tlüf»*rrut images raii be jriected a? boot tinte. Varions paoniFtcrH. such as the n>ot devirc. can bc rct iudrf>endeji$iy ftir earh fe-m**!. L IL O nui evesi îm' ttscd as ihe master boot rrrortL teurs de DOS, quant à eux, ont décidé que rien de tel ne serait prévu (l'h isto ire se répète avec OS/2) ! Toutefois, il existe des so lu tio n s m é co n n u e s m ais ô co m b ie n utiles, pour venir à bout de certaines res tric t io n s im p o sé e s p ar la s o c ié té de R edm ond ou par Big B lu e. Une petite remarque : sachant qu'en dépit des affir mations de Microsoft, Windows ne consti tue rien d'autre qu'une interface graphique p o u r M S-D O S, on d é s ig n e ra d an s cet article par DOS toutes les versions de ce système antidéluvien, y com pris MS-DOS 6.22, Windows 95 et Windows 98. Le problèm e de DOS A i u Ttiis document ittUoduns the batfrsuf disk organoatiim and iwxitinj*. rootnmes with an «jwrvîtw of routnnm boot tedmif|t»es ami finaSv tlrsrribcs installation and of L IL O in lyrraur «IrtniL TSn» tpnibirdiooting srrtbri at the end tlrst riÏH’s diagnf>sm and romains su&jtrstions ù tr tu u s t problème tliat havr been tfhserved m the psi.se Page-5 Prev Next Page+5 Page+10 Le manuel complet de LILO se trouve dans /usr/doc/lilo. fichiers racine depuis n'importe quelle par tition ; ainsi, les deux systèmes se trouvent en mesure de démarrer et de fonctionner correctem ent. Néanmoins, on finit, peutêtre plus souvent qu'on ne le cro it, par épro uver le besoin d 'in staller ailleurs le DOS ou Windows, voire de posséder deux installations distinctes de Windows sur la La principale difficulté vien t du fait que sous DOS, la partition de dém arrage du système est codée "en dur" : DOS cherche toujours à démarrer depuis la partition ini tiale du premier disque. En pratique, on vit même m achine, ce dernier privilège per mettant alors de "booter" l'une ou l'autre. Aussi, nous allons de ce pas évoquer cer taines astuces, aptes à offrir de tels résul souvent avec cette limitation, puisque lors qu'on installe Linux sur un ordinateur déjà tats. Le DOS sur une autre p artition équipé de DOS, celui-ci reste toujours sur En exam inant le problème de plus près, on s'aperçoit qu'il n'exige pas de s'intéresser directem ent à la prem ière partition phy sique, mais de prendre en compte la pre- la partition de départ ; il s'ag it du seul em p la ce m en t qu'il acce p te . Linux peut q u a n t à lui "m o u n ter" son systèm e de First Page-10 sique, soit /dev/hda3 pour Linux). Il suffit pour cela d’em ployer l’option "Type" de l’utilitaire cfdisk (fourni dans toutes les dis trib u tio n s de L in u x ) po ur la déclarer comme partition F A T I6 ou FAT32. Il faut ensuite créer un système de fichiers DOS sur cette p a rtitio n , en tapant mkdosfs /dev/hda3. Désormais, il y a moyen d'ins taller DOS de la manière habituelle, à partir des disquettes ou d'un CD-Rom d'installa tion. Notre partition /dev/hda3 sera auto matiquement reconnue pour C: et tout se passera normalement. Si l'on veut exploiter LILO pour booter le système, sa configura tion (fichier /etc/lilo.conf) ressemblera à (en supposant que la partition racine de Linux soit /dev/hdal ) : boot=/dev/hda install=/boot/boot.b disques. Cette opération perm et de forcer map=/boot/map un système à prendre pour "premier" n’im porte quel disque, avec tout de même une limitation : en effet, une semblable procédu re ne vaut que pour les OS passant par les routines du BIOS pour accéder aux disques, iiRage=/vmlinuz root=/dev/hdal label=debian read-only label=dos ce qui est le cas de DOS et d’OS/2. En pra tique, la syntaxe revêt la forme suivante : table=/dev/hda map-drive=<numéro BIOS du disque> other=/dev/hda3 to=<numéro BIOS sous lequel ce disque doit En somme, tout cela reste identique au cas h a b itu e l, m ais ne fo n c tio n n e que dans l'éventualité où un type DOS n'est porté ni par /d e v /h d a l, ni par /dev/hda2 ! Si par apparaître> Pour prendre un exemple pratique, suppo sons que l’on veuille démarrer DOS depuis le second disque. On se retrouvera alors avec un fichier lilo .co n f, qui aura cette allure : exemple, /dev/hda2 était déclarée comme partition FAT32, il deviendrait impossible de lancer DOS, car il tenterait systém atique ment de démarrer depuis cette partition ! La boot=/dev/hda install=/boot/boot.b seule limitation imposée en pratique vient de ce qu’il n'existe aucun moyen d’utiliser map=/boot/map image=/vmlinuz /dev/hdal ou /dev/hda2 sous DOS en tant que partition D:. La première partition DOS du disque sera toujours celle sur laquelle le root=/dev/hdal label=debian read-only DOS démarre et qu'il considère comme C :. En fait, LILO possède une option permettant de changer au vol le type des partitions, qui serait par conséquent utilisable ici ; cepen other=/dev/hdbl label=dos table=/dev/hdb map-drive=0x81 d a n t, nous ne re n tre ro n s pas d ans les détails, car cette démarche demeure assez to=0x80 Vive la fle xib ilité Nous avons donc vu qu’il était finalem ent possible de faire fonctionner DOS sur la par tition de son choix, à peu de choses près, et qu'il y avait moyen également de choisir le disque qu’il utiliserait, une fois résolues les difficultés de l’installation. En combinant ces deux méthodes, valables aussi bien pour les diverses versions des DOS ( M S-D O S, PCD O S, O pen D O S, W indow s 9 x) que po ur OS/2, on se trouve donc en mesure d’exploi ter ce système avec la même flexibilité que les OS plus modernes. Par ailleurs, la ques tion concernant les deux installations indé pendantes de DOS sur une même machine, évoquée au début de cet article, s'avère au bout du com pte assez sim ple : on utilise deux disques physiques sur lesquels on ins talle indépendam m ent le système, puis on manipule LILO et sa fonction map-drive pour choisir celui que l’on souhaite activer. En revanche, comme nous l’avons vu, DOS exa mine le type des partitions présentes sur le disque pour démarrer, si bien qu'il est plus difficile (m ais pas impossible) d’avoir deux installations de DOS sur deux partitions d’un même disque physique. Iakub Zimmermann map-drive=0x80 Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM complexe et dangereuse. Le DOS sur un autre disque ? to=0x81 Ce problème se révèle beaucoup plus déli cat. Malheureusement, DOS cherche inévita De cette façon, le second disque est b le m e n t à d é m a rre r d ep u is le p re m ie r disque de la chaîne IDE initiale (le cas des disques SCSI diffère quelque peu, mais nous p e rçu c o m m e le p re m ie r et v ic e versa. Dorénavant, D O S d é m a rre ra d ep u is le second n’en parlerons pas en ces lignes, car cette configuration reste très peu courante chez les utilisateurs de DOS) et s’il ne trouve aucune partition valide pour booter, il ren disque ! Toutefois, il e st b e a u c o u p plus difficile de l’y in s ta lle r d ir e c t e voie un message d’erreur au lieu de chercher sur les autres disques. La seule solution consisterait donc à désigner un autre "pre mier" disque, sans débrancher ni rebrancher ment, le plus pra tique restant enco re de m o d ifie r le les nappes ! Or, LILO donne justem ent le moyen de parvenir à ce résultat, grâce à sa commande "map-drive". Elle a pour effet de m odifier certaines variab le s in tern es du BIOS, afin de permuter l’ordre apparent des b ra n ch e m e n t des n a p p es le te m p s de l’installation. B eO S P2-350 BX 350 Mhz Médium Tour 128 Mo sDram 6.4 Go Udma FD 3"_ AGP G200 8 CD 36x IDE SB 128 PCI Clavier PS2 Souris PS2 BeOS r4 8.990 FTTC : n m n c s ; Ulo.conf Fiie fcdlt Apps Options Bttfl&rs Fooës L IN U X ALPHA U2-5s L IN U X ALPHA U2-5s L IN U X A LPHA U4-6.3s UX2 533 Mhz Médium Tour 128 Mo sDram 4.5 Go UW FD 3"_, SVGA PCI 4 CD 36x SCSI Clavier PS2 Souris PS2 RedHat 5.2 UX4 533 Mhz Médium Tour 256 Mo sDram 9.1 Go UW FD 3"_, SVGA PCI 4 CD 36x SCSI Clavier PS2 Souris PS2 RedHat 5.2 UX4 633 Mhz Médium Tour 256 Mo sDram 9.1 Go UW FD 3"_ SVGA PCI 4 CD 36x SCSI Clavier PS2, Souris PS2 RedHat 5.2 16.990 FTTC 22.990 FTTC 29.990 FTTC K S# bo o t- /dev /h d a in s t a l l - / b o o t / b o o t. b aap*/b o o t/* ap iftàge*/vulinuz ro o t» /d e v /h d a l la b e l-d e b ia n re a d -o n ly o th e r=/dev /h d b 1 label= dos ta b 1e=/dev/hdb a a p -d riv e * 0x 81 to= 0x 8G j&ap-drive= 0x 8Q 15 DORSAÏ, INTERROGEZ NOUS, EQUIPEZ VOUS, UP-GRADEZ VOUS Pour passer commande, Tél. Messagerie 01 46 65 70 20, Fax 01 46 65 13 20 E-MAIL [email protected] n:_____(j’vridaxeras. ) — --Ail - to-0x81 — ---- -. C a n 't in 3 t a n t i a t e ia a g e (p ro b ab ly cached) : [xbm a a s k - f l i e “/ u s r /in c lu d e /X ll/b itm a p o /ïe f t_ * Un unique fichier de configuration : /etc/lilo.conf. AiphaPowered Objet Les classes Java Notre projet (sur les polygones) semble principalement s'intéresser à deux proprié tés des polygones : le calcul de leur surface et les propriétés liées aux réguliers. La clas se mère (et abstraite) Polygone est la sui vante : Java, une affaire de compromis abstract class Polygone { private int nb_cotes; Polygone(int nb_cotes) { Pour clore la partie "théorie" de notre initiation à la conception ob jetn o u s allons faire le lien entre C++ et Smalltalk, en abordant le cas Java. this.nb_cotes = nb_cotes; } public int getNbCotesO { re t u m nb_cotes; } abstract string getNameO; } L es m o d è le s o b je ts de C++ et S m a llta lk no u s o n t m o n tré q u 'il n'existe pas de m odèle objet "par f a it " . C 'e s t p o u rq u o i, p lu tô t q u e de prendre parti, les concepteurs de java ont te n té de ré u n ir le m e ille u rs de d e u x mondes. Java, c'est quoi ? Prenez une bonne dose d e .C++ (syntaxe, s y s tè m e de ty p a g e , c o n s t r u c t e u r s , approche impérative, etc.) mais figez bien le tout (pas de redéfinition d'opérateurs, ni d'héritage multiple), puis assaisonnez avec de n o m b re u x c o n c e p ts S m a llta lk ie n s (m ach in e virtu e lle , exécu tio n à base de messages, Carbage Collector, classe Object, e tc.). Prenez soin d'enlever tout concept trop novateur (enviro nnem ent Sm alltalk, protocole standard de délégation, etc.) et ajoutez quelques originalités (interfaces). N'oubliez pas de créer de nombreuses API couvrant pratiquement tous les domaines de l'in fo rm a tiq u e . Seco u ez b ie n , faites m arinez quelques semaines et diffusez la nouvelle version de java ! C om m e vous pouvez le constater, james Gosling et ses compères n'ont pas inventé grand-chose. Toutefois, le compromis est plutôt efficace : il suffit de constater l'effervescence qu'a s u s c ité e ce la n g a g e p o u r s'en re n d re compte. Des polygones en Java Pour aborder un aspect sensible de java, à savoir la co n cep tio n o b jet, prenons un exem ple lié aux polygones. Considérons deux types de polygones : d'une part, ceux qui délimitent une surface, et d'autre part, les polygones réguliers. Une approche pos sible, en ce qui concerne la conception, serait de considérer une classe Polygone, p uis d e u x cla sse s P o ly g o n e S u rfa c e et PolygoneRegulier. Un carré s'avère à la fois fermé et régulier ; il semblerait donc "natu rel" de faire hériter le carré de nos deux classes précédentes. Si, en C++ ou tout autre langage supportant l'héritage m ul R te Edit ï 4 Back I View 1T Go # 5" I* & " â ~ *. Reload 4 É " Bookmarks & £ Internet Communicator Home Search Guide Print m Security Location: h t t p : / / j a v a . sw». c cm/ Lookup J j New&Cool T h e so u r c e fo r Java* T ec h n o lo g y java.sun.com | \ **? <^ He*? 4 iot Omkçtfî Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM | Qrows U,p Smart ll!f: l ikwtoq 4 ta p to y w * * 4 faufcwr 4 A-z ja&M Remu innovations by ttm ri card devdoper* indicate that Java Card^technology \%taking the worid bystorm. You may besurpmed at what a pocket-sized card can handle thesedays. (JwjMy Zi) ners/s and faatures Ecommerce. Excel* wjthJava.2*Jechnolopt J p y a Ttitong] Calfcnd&r of E v e n ts fey * o p e*g. L a w stiit p U D y a tç h S wm% C o n n ectio n Jav a In d n strv C o n n ec tio n Jim T eçfrflofogy. Jav g & efe JaygM afl Ja v a S af.ç, H o tJ a v a H T M L In online distribution and sales, speed and revenue are the bottom line. Beamscope Canada's story reveals how a J ava technology-based solution has tranrformed their business-to-business ecommerce. (Jamary 14) Consumer Products Converge on the Net Networked consumer devices were an obvious trend at the Consumer Electronics Show this month, and Java'm and JinF* technologies are at the heart of many. (Jcovxoy 13) PersonaUavam Emulation Environment i/ V * V î 1* 3X3 of the PersonaU ava™ émulation environment, which aliows ISVs to test their software using Touchable Look-and- Feel has been released with the PersonaU ava L'univers Java sur h ttp ://java.su n .co m tiple (E iffel, Python, e tc .), cela ne pose au cu n p ro b lè m e , la s itu a tio n d e v ie n t c e p e n d a n t a u tre m e n t plus co m p liq u ée Notons ici une différence fondamentale avec C++ : Java ne distingue pas déclara tion et définition. Il est donc difficile de dans un langage à héritage simple, comme Sm alltalk ou Java. Voici un exem ple qui prouve qu'une conception ne peut pas être totalement indépendante du langage d'implémentation. En Smalltalk, il y a toujours moyen de modifier le modèle objet pour s'adapter à la conception. En Java, l'affaire séparer interface et implémentation, mais une solution très efficace se voit proposée : recourir à l'utilitaire javadoc, lequel crée une documentation Html à partir de com se révèle bien ép in eu se, car le m odèle objet est figé. Il convient donc de revoir sa copie, du côté de la conception. m entaires placés dans le code. La classe Polygone est abstraite et contient une méthode abstraite, forçant les sous-dasses concrètes à retourner un nom pour le poly gone. En fait, un polygone régulier repré sente une catégorie de polygone ; il s'agit â Home Searct» ^ :le : ^ Prtnt Guida / l o c t l / } A l 2 /d o cs/« p i/ia d < x h t» l 77- |P ac* 3 g e C la n Usa J a va™ P l a t f o r m 1 .2 A P I S p é c i f i c a t i o n : J «va PUrfcrm care API. P w rrfÿ tfa in Ab«ractCoflccaon F Ab »t.~?cK ' ti ;rC h; o k ( Cantate* sD d th e classe* fo r c reatte* u s e r interface* and for patocng jr a f t i c j and im a fe s Ab««ractDpcunn^M dfevjctftsanr. ja£& 4K L££kt£ ^teactMiE ProvWes interface* and classes for tra n j/rn -in j d a ta b etw een and wtfthtu application*. jjm ^ E L ib d Provides interface* t o i d a s t e s for luppcrtlnp d ra § -a n d -d ro p optraOcr.*. j n a K l R v rn t Provides interfaces and cla sse s for deattog w sh (SCernât types of events fired by AV/T co m p an en ts l a Provides tb e Ja v a 2 D cla sses far deffedni and perfornsng opérations on objects retefed to [; m th m m Toute classe qui im plém ente mes_polygones[i]).getName(); cette interface doit donc pro poser une m éth o de getSur- surface de : B+surface); int name = ((Polygone) ,-. c !T sc ' 1,' .~xki ablt HCittj ' J n u a ilB AC££21^»ZC2lCjB/£aAC v ^ £ g a 2.l£Kgg: (jn a jg y — A c c ts s C o rtro Ie r Surfaceable { static private string name = ■CARRE'; A c ü y à ic & a li! 6œcs:£k£fBEe.i Provides classes for ereatln * and m otafy tej a n a le s jjSSM K V JK Jot Provides d a s s e s and in terfaces fo r a je n e ra l prtnonfc A PL iJiH Ü K U K C ontâtes c la sses rela te d to Ja v a Beans developm ent •jtt «« Javadoc : un compagnon essentiel de vos programmes Java. public Carre(int longueur_cote) { ) public string getNameO { return name; } public int getSurfaceO { return this.getLongueurCoteO * Polygone { private int longueur_cote; this.getLongueurCote(); public PolygoneRegulier(int longueur_cote, } } int nb_cotes) { On a ici une preuve de la puissance des in te r fa c e s , le s q u e lle s p e rm e tte n t de "réunir" des objets derrière une propriété donnée. Notez cependant qu'il s'avère sou v en t nécessaire d 'u tiliser l'o p érateu r de cast. Notre petite étude nous perm et de conclure que Java offre un m odèle objet super(longueur_cote,2) ^ d'une sous-classe : abstract class PolygoneRegulier extends surf_totale += surface; ■+surf_totale; implements Provides d a s s e s and teterfaces for productes re n d e œ g -m d e p c n d e n t im a je s ArcfjtEjxcpOoo A a re m b U 4eaixM€6ctë>s a une System.out.println(“La surface totale est : PolygoneRegulier, Provides cla sse s aed an Interface (or th e Joput m etbod t + name -h } fe & rra c tT M ic M r i t i j : A ir x iü V t iz c c System.out.println(*Le class Carre extends {? Provides classes and interface r d a t i c j to fonts. A h f ia c M f ia t f E c B ij’ ASiïas&UueffiiiLi* Provides classe* ta r co ter jpace* Ijn u a é M B B rfK A S ü r ir t ijjiils ic j mesjpolygones[i].getSurface(); sente comme suit : Provtdes th e c ia iie * n e c e s ia ry te cro a te an ap p k t and th e d a tte s an appief uses to cararm adcate wfeh fti appiet c o n ta c t jn s u n id } face. Notre classe Carre se pré J a v a P i a l f o r rn F a c ic a g e s littw e i int surface = public int getSurfaceO ; ë a»? super(nb_cotes); this.longuer_cote = longueur_cote; Amusez-vous m aintenant à créer d'autres public int getLongeurCoteO { return figu res g éo m étriq u es : tria n g le s, h e x a gones, polygones ouverts, etc. L'utilisateur original mais efficace. Le seul "problème" éventuel concerne l'héritage multiple ; tou tefois, si les interfaces ne représentent pas une solution totalement satisfaisante, elles offrent m algré tout au langage un outil novateur et très puissant. Notez qu'il n'y a aucune difficulté à implémenter des inter faces sous form e de classes abstraites ; à l'arrivée, il app araît donc qu'une bonne conception pour Java "fonctionne" aussi Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM } longueur_cote; } } Cette classe ne comporte pas de méthode abstraite, mais est déclarée abstract (l'utili sateur n'a pas besoin de "p rivatiser" le constructeur). Le mot réservé "super" per met d'envoyer le message "constructeur" à la superclasse, ce qui autorise le chaînage des constructeurs (et évite ainsi l'exploita tion de champs "protected"). Le carré : un polygone régulier et "surfaceable" Nous l'avons vu ci-dessus, un carré est à la fois régulier et ferm é. On a donc la capacité d'en calculer facilem ent une sur face. Néanmoins, on ne saurait hériter de d e u x cla sse s P o ly g o n e R e g u lie r et Polyg o neSurface. Il y au ra it m oyen de créer un cas particulier de carré, dont on puisse déterminer la surface, mais on perd alors le polymorphisme lié à la propriété "surfaceable" (dans la langue de Shakespea re). La solution Java passe par l'utilisation d'une interface, qui transm et un certain nombre d'informations sur une propriété "fonctionnelle" d'un objet. On se trouve alors en mesure d'établir la surface d'un a moyen de prendre en com pte d'autres propriétés : calcul de périmètre (le polygo ne doit être fermé), polygone convexe ou concave, etc. Et voici un piège : après avoir d éfin i T ria n g le , essayez de d é te rm in e r T ria n g le E q u iLa te ra l. C o n tra ire m e n t aux classes, les interfaces peuvent hériter de plusieurs interfaces. Une classe est égale ment apte à im plém enter plusieurs inter très bien en C++ ! Fred Pesch La f i n de la g e s t i o n m ém oire Java dém ocratise un p ro céd é connu depuis plus de vingt ans : le Carbage Collector, plus connu sous le diminutif de C C. Ceci signifie la fin des bugs ou des fuites de mémoire liés à la gestion de type réservation-libération. Avec Java (et faces, mais nous restons encore loin de l'héritage multiple. U tiliser les classes Java Une fois la hiérarchie de classes et d'inter faces établie, il convient maintenant d'ex ploiter celle-ci. On veut donc gérer des polygones, en général de m anière poly- Smalltalk, Eiffel, etc.), le C C empêche ces pro b lèm es sans a lo u rd ir de façon désagréable l'exécution du programme. M ais gestion mémoire et gestion des ressources sont deux choses différentes : ainsi les sockets, par exemple, doivent morphique (un ensemble de polygones ou de polygones réguliers, e tc.). Supposons que notre but se limite à calculer la surface totale d'un ensemble de polygones. Il fau dra po ur ce fa ire avo ir la c e rtitu d e de être libérées à la main ou gérées par des finaliseurs (proches de destructeurs de C++). Dans le même esp rit, C + + (à travers la 5TL) montre qu'il est possible d'automatiser une partie de la gestion m anipuler des polygones "surfaceables". mémoire sans recourir aux algorithmes On écrira alors par exemple : un peu plu s lou rd s de C a rb a g e Collecting. Une bonne conception objet pe rm et d 'ailleurs de défin ir assez clairem ent les besoins en m atière de création/destruction d'objets. Mais il est Surfaceable[] mes_polygones = new Surfaceable[3]; mes_polygones[0] = new Carre(10); mes_polygones[1] = new carré ; on dira à ce moment-là qu'il est "surfaceable". Voici l'interface Java associée : mes_polygones[2] = new Etoile(lO); indéniable que la sim plicité de Java provient en partie de la présence du CC, int surf_totale = 0; alors ne gâchons pas notre plaisir ! interface Surfaceable { for(int i=0;i<mes_polygones.length;i++) { TriangleEquiLateral(5) ; Finissons-en avec les JavaBeans! Nous allons terminer notre initiation aux JavaBeans en présentant une manière très simple de créer des interfaces utilisateur adaptées aux Beans, orsqu'on se co n te n te d 'u tilise r les "design patterns" de la façon prescri te, BeanBox (ou tout autre logiciel capable de manipuler les Beans) se trouve en m e su re de d é te c te r les c h a m p s et méthodes que possède notre Bean, et de proposer une boîte de dialogue par défaut l'utilisateur entrer les valeurs "à la main", sous form e de chaînes de caractères. La troisièm e option octroyée au program meur correspond à celle que nous allons voir en pratique. Elle donne la faculté de remplacer totalement la boîte de dialogue qu'offre BeanBox par quelque chose de per sonnalisé, à savoir les Customizers (littéra lement, "personnaliseurs"). L'interface Custom izer Son principe se révèle très simple : lors qu'on écrit la classe qui définit un Bean, on fo urnit égalem ent une deuxièm e classe, laquelle déterm ine son "personnaliseur", Celui-ci n'est autre que la boîte de dialogue affichée par BeanBox, lorsque l'utilisateur sélectionne notre Bean ! Cela signifie que le p e rs o n n a lis e u r d o it h é rite r de S t is - T u i£ iM Ç t e e p e LA ŸRoG BM M KriqN ! (\ L o R S , Q d £ p iT '/ ù L Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM pour en éditer les valeurs. Cependant, le programmeur peut désirer offrir à l'utilisa teur une interface plus co nviviale, grâce a u x "B e a n ln fo s". En ré a lité , l'in te rfa c e Beanlnfo a pour rôle de fournir à BeanBox to u tes les in fo rm a tio n s c o n c e rn a n t un Bean. Il s'agit d'une interface assez vaste et com plexe, qui présente en principe trois avantages. Prem ièrem ent, elle autorise la non-utilisation des "design patterns" en d é c la r a n t e lle -m ê m e ce q u e so n t les champs d'un Bean, les méthodes permet tant d'y accéder, la nature des événements gérés, etc. G én éralem en t, il vaut m ieux éviter d'avoir recours à cette éventualité, car sauf cas (très) particuliers, elle n'appor te pas d'intérêt supplémentaire et suscite parfois une certaine confusion chez l'utilisa teur du Bean. La seconde possibilité propo se un "éditeur de champs" (property editor) : ainsi, il y a moyen, entre autres privi lèges, d'associer un éditeur à la classe Toto, tandis que les cham ps de type Toto de notre Bean se verront désormais représen tés par notre éditeur. Il existe un exemple de ce cas de figure dans les boîtes de dia logue par défaut offertes par BeanBox : les couleurs et polices de caractères possèdent leurs propres sélecteurs, au lieu de laisser O A fK u jjse n L p im q :3 < $ N (il3 D cas particulier, il nous suffira de créer une cla sse d é riv é e de S im p le B e a n ln fo , en réécrivan t sim plem en t les m éthodes de Beanlnfo qui nous intéressent. En l'occur re n c e , n o u s a llo n s é c rire sa m é th o d e getBeanDescriptor, qui, com m e son nom Reglez la vitesse de Thorloge Après : notre personnaliseur en action. Component, afin que BeanBox puisse l'instancier et l'ajouter à sa fenêtre. On a la liber té de faire faire absolument ce que l'on veut au personnaliseur, à condition seulement qu'il im plém ente l'interface Custom izer. Pour sa part, elle reste très simple, car elle ne d éclare q u 'u n e seule m é th o d e : logique HorlogeCustomizer : public class HorlogeCustomizer extends Panel implements Customizer, AdjustmentListener { private Horloge bean; private Scrollbar sb; private PropertyChangeSupport pcs=new PropertyChangeSupport(this); setObjectO- BeanBox l'appelle lorsque l'utili sateur sélectionne un Bean qui compte sur les services de notre personnaliseur. Le rôle de setObject consiste donc à indiquer au personnaliseur l'instance du Bean dont on veut modifier les valeurs. Lorsque l'utilisateur naliseur". Nous n'allons pas rentrer dans les détails de Beanlnfo, des descripteurs de Beans ni des mécanismes internes mis en jeu : pour une utilisation pratique dans le cadre de cette initiation, il nous suffira de connaître la recette : public void setObject(Object o) { public class HorlogeBeanlnfo extends // Cette méthode est appelée lorsque l'utilisateur désire éditer un Bean 'horloge delay 6 0 0 0 (| bean=(Horloge) o; les a transformées à l'aide de l'interface affi chée par le personnaliseur, celui-ci doit nor malement émettre un PropertyChangeEvent, afin de renvoyer les nouvelles valeurs au Bean. Néanmoins, bien que cette démarche ne soit pas "propre", il demeure possible de faire plus simple, en appelant directement les méthodes setXXXO à partir du Bean qui nous a été indiqué par setObject ! l'indique, retourne à BeanBox un descrip teur du Bean. Nous voulons que celui-ci indique que ce Bean dispose d'un "person // Créer et placer Avant, l'interface par défaut proposée par BeanBox. 1 'ascenseur SimpleBeanlnfo { sb=new Scrollbar(ScrolIbar.HORIZONTAL, 0, 10, 1, 60); public BeanDescriptor getBeanDescriptor() { sb.addAdjustmentListener(this); return new sb.setValue(bean.getSpeed()); BeanDescriptor(Horloge.class, add(sb); HorlogeCustomizer.class); } } Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Application : on accélère le temps Nous avo ns ré a lisé le m ois d e rn ie r un p etit Bean "h o rlo g e ", qui ém et un PropertyChangeEvent toutes les minutes. Ajoutons-lui à présent une option pour "accélérer le temps", c'est-à-dire pour inten sifier le débit des minutes (comme dans la plupart des jeux de simulation). Cela consis te à lui ajouter un champ : public void addPropertyChangeListener(PropertyChangeListe ner 1) { pcs.addPropertyChangeListener(1); } public void removePropertyChangeListener(PropertyChangeLi stener 1) { pcs.removePropertyChangeListener(1); } private int delay; public void C elu i-ci indique le nom bre de m illis e condes séparant deux "tics" de l'horloge. Bien sûr, on fournit les deux méthodes qui l'accompagnent : adjustmentValueChanged(AdjustmentEvent ae) { // Ajuster le délai de l'horloge int nval=sb.getValue(); public void setDelay(int d) { delay=d; } -• bean.setDelay(60000/nval); public int getDelayO { return delay; } pcs.firePropertyChange(null, null, null); On doit à présent modifier la ligne de tem porisation pour tenir compte de ce délai ; cela donne : thread.sleep(delay); (dans la version initiale, nous avions codé en dur une attente de soixante secondes). Ainsi amélioré, notre Bean possède donc un champ Delay et, par défaut, BeanBox offre une boîte de dialogue, afin d'en fixer la valeur. Cependant, nous préférons offrir à l'utilisateur un ascenseur, grâce auquel il pourra régler lui-même la vitesse de l'hor loge. Nous devons donc écrire le "person naliseur", que nous appelons en toute } ) } Comme on le voit, écrire un personnaliseur s'avère très simple. Il ne reste plus qu'à l'as socier à notre Bean, pour pouvoir l'utiliser dans BeanBox. Cela s'effectue par l'intermé diaire de l'interface Beanlnfo. La classe Sim pleBeanlnfo L'interface Beanlnfo étant assez longue à implémenter dans sa totalité, les concep teurs de java ont eu la bonne idée de four nir la classe Sim p leB eanlnfo , qui im p lé mente cette interface avec tous les com portements par défaut. En pratique, et sauf Nous créons ainsi un Beanlnfo personnalisé pour notre horloge. Le co n stru cte u r de BeanDescriptor prend deux paramètres : le prem ier indique la classe du Bean et le second, la classe de son personnaliseur. D an s n o tre e x e m p le , c e tte cla sse HorlogeBeanlnfo indique à BeanBox que le Bean H o rlo g e a p o u r p e rs o n n a lis e u r HorlogeCustomizer. Et ça m arche ? A près a vo ir co m p ilé to u t cela dans un fichier .jar (attention, ne pas oublier d'indi quer HorlogeBeanlnfo dans le fichier de des cription de l'archive !), on peut le charger dans BeanBox pour te n te r l'e xp é rie n ce . Auparavant, on possédait une boîte de dia lo g u e p o u r s a is ir la v a le u r du c h a m p "delay". Désormais, elle a laissé la place à notre ascenseur, qui remplit le même rôle de façon beaucoup plus conviviale. Avec ce mécanisme, nous sommes capables d'éla borer des interfaces utilisateur adaptées pour tous les Beans que nous pouvons écrire ! Nous en savons m aintenant assez p o u r c o m m e n c e r à t r a v a ille r a ve c les Beans ; aussi, nous changerons de sujet le mois prochain, où nous utiliserons le RMI. Il ne s'agit pas de l'aide sociale, mais d'un m écanism e grâce auquel nous passerons dans le monde des applications réparties, pratiquem ent sans effort supplémentaire. & Program m ation d'interfaces graphiques sous BeOS (2ème partie) "Après avoir appuyé sur les touches appropriéesFreeman attendit patiemment que le sujet repasse du mode régressé au mode réel. " (Sur l'onde de choc, John Brunnel). Voici en quelques mots le sujet de notre article mensuel ! Le but du jeu consiste à insérer dans la liste le texte saisi, par sim ple pression sur la touche ENTER ou en cliquant sur le bouton AJOUT. Le théorèm e de la conception im m aculée Pour mieux appréhender ce qui va suivre, revenons sur la structure de notre code. Celui-ci occupe deux fichiers. Un fichier en tête, Gui.h, sera inclus dans le fichier source Gui.cpp et contiendra la définition de notre interface : class GuiFenetre : public BWindow { public: .GuiFenetre(); virtual -GuiFenetre() ; virtualvoid MessageReceived(BMessage *message); virtual bool our le m om ent, notre application n'est qu'un squelette. Nous allons lui m ère de tous ces élém ents est une vue (View) à laquelle les enfants sont très atta insuffler la vie grâce à quelques lignes de code supplémentaires. Si vous avez man qué le début, sachez que notre application se compose de trois objets élémentaires : un champ de saisie nommé "champSaisie", un bouton "button" et une liste intégrée à un objet qui va gérer le défilem ent de ladite liste, nommée "ElementsListe". Le tout constitue une famille respectable ; la chés (fonction AddChild()). Sans ce lien si fort qui les unit, vous obtenez une famille éclatée, le bouton, la liste et le champ de sai P sie faisant preuve de beaucoup d’individua lisme (voir les captures d'écrans du numéro p ré c é d e n t). C o m m e elle d o it m o n tre r l'exemple à sa progéniture, la vue est ellemême attachée à la parenté ultime, à savoir QuitRequestedO; void AjoutDansListeO; BListView * ElementsListe; BTextControl * champSaisie; }; Point de m ystère. Cela ne s'invente pas, no tre p ro to typ e d érive de la classe BWindow. Tout est là pour nous faciliter la tâche. Le mois dernier, nous avons implémenté le constructeur GuiFenetreO en défi nissant et assem blant tous les éléments constituant l'interface : description de la Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM la fenêtre. U n e I n t e r f a c e G r a p h iq u e S im p le Ajout dans la liste: fenêtre (taille, apparence), création du bou ton, du champ de saisie, de la liste, etc. Tout cela est écrit dans le fichier Gui.cpp. La fonc tion membre QuitRequestedO se compose du code qui déclenche l'arrêt de l'applica tion (lorsque l’on clique sur le bouton de fer meture de la fenêtre). Tout un programme) Ajout bool GuiFenetre::QuitRequestedO { L is t e d e s a jo u t s be_app- >Pos tMes sage (B_QUIT_REQUESTED) ; Bêta répond : se s plis géométrodynamiques se gaufrent et se déploient à travers des topologies complexes return true; } Une subtilité se cache derrière ces deux lignes de code. Nous postons le message B_QUIT_REQUESTED à l'intention de l’appli cation (be_app). Celle-ci va demander aux fenêtres l'autorisation de se détruire. Voilà ce qui arrive par exemple quand vous souhaitez quitter votre traitement de texte sans avoir sauvegardé votre document. Simple ques tio n de sa v o ir-v iv re . Si la fonction QuitRequestedQ renvoie le booléen TRUE, cela veut dire que l'application va s'arrêter. < l La liste obéit, démarre, veille. r> Si nous modifions notre code pour retourner la valeu r FALSE - ce qui signifie que la fenêtre n'autorise pas sa propre destruction - alors, l'application restera active. Toutefois, l’action fait cruellement défaut. Plongeons sans plus tarder dans le coeur du sujet. "Impossible "Non, pas im possible... car c'est lui le Kw isatz Haderach !" (Alia, Dune). Certains (Jeff Goldblum et ses am is, par exemple) réussissent l'exploit de transmettre des virus à des ordinateurs alien (E.T. se four nit chez Intel, nul ne l'ignore)... par consé quent, nous devrions sans trop de difficultés parvenir d'un simple clic à alimenter notre liste. Qui dit clic, dit message. L'émetteur du message correspond à notre bouton ; pen chons-nous à nouveau sur la manière dont nous l'avons défini : Dans notre exem ple, nous nous débran ch o n s vers une au tre fo n c tio n une lis te . N o tre item à no us sera U n E le m e n t, c ré é à p a rtir de l'o b je t BListltem et du contenu du champ de sai (AjoutDansListO), exclusivement consacrée à l'alim entation de la liste. Trois lignes de code supplémentaire suffiront pour parache sie. Ainsi, BStringltem définit notre élément comme une ligne de texte. Quelle différen ce y-a-t-il entre BListltem et BStringltem ? En fait, celui-ci dérive du premier, qui est ver notre chef-d'oeuvre. void un objet abstrait ; Bstringltem affiche l'élé ment, alors que BListltem ne définit que des propriétés (taille de l'élément, sa posi tion, etc.). La récupération du texte saisi s'effectue en GuiFenetre::AjoutDansListe() { BListltem *UnElement = new BStringItem(champSaisie->Text()); // On construit un item utilisant la fonction Text(). Addltem(), fonc tion de l'objet BListView, ajoute l'élément créé dans la liste. Par souci de propreté, nous décidons d'effacer le texte du champ ElementsListe->AddItem(UnElement); // ajout BButton *button = new BButton(BRect(25,47, de l'item dans la liste 314, 57), "Ajout", "Ajout", new champSaisie->SetText(""); // RAZ du champ de BMessage(AJOUT)); saisie de saisie après son ajout dans la liste ; là réside le rôle de champSaisie->SetText(""). * "C 'était quelque chose de tout à fait neuf dans le domaine des logiciels autonomes" (Messages de l'univers, David Brin) } Toute action liée à notre bouton se traduira par le message AJOUT. Le clic de souris sur le bouton, mais aussi la pression sur la touche ENTER, constituent une action. Ce dernier événement n'est pas systématique ; avec une telle construction, il ne se passera rien dans l’application, même si vous vous achar nez sur le clavier. Pour parvenir à un résultat, il faut positionner le focus sur ce bouton dès la création de la fenêtre. Ajoutons alors le code adéquat dans notre source en fin de définition du constructeur GuiFenetreO : C'est ici que les éléments vont s'ajouter un à un dans la liste. A ce stad e, nous vous conseillons de prendre du recul et d'admirer la beauté de l'ensem ble. En sample-code effet, n'oublions pas que nous manipulons une liste, c'est-àdire un objet pouvant conte nir n élém ents, et qu'il faut afficher celui-ci. D'autre part, File p ren o n s en co m p te que le n o m b re d 'é lé m e n ts (le nombre de lignes donc) peut dépasser la taille de la fenêtre, ce qui induit l'utilisation de Window £ 5 3Dlife £ 3 BasicButton 3 BeBounce Ç j ? buslogic £ 3 ButtonWorld 3 CDButton Ç j Chart 3 Clook £ 3 Container Ç j ? doodle 3 DropWorld 3 £ 3 EtherPCI £ 3 Fold erW atcher £ 3 G LT e a p o t £ 3 HelloWorld £ 3 imaging £ 3 Indexer £ 3 inquiry 3 3 £ 3 LoadAddon £ 3 Magnify £ 3 MailMarker £ 3 Mandelbrot £ 3 MenuWorld 3 dynadraw3 Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM GuiFenetre::GuiFenetre() --- button->MakeDefault(true); // par défaut, le focus est sur le bouton } Le message AJOUT ne contient ni "à-pro pos" ni données (voir notre premier article sur la programmation des messages). Il s'agit juste d'indiquer au système que le bouton a été enfoncé. La fonction M essageReceived(BMessage *message) symbolise notre point de rendez-vous avec cet événement ; la voici : void GuiFenetre::MessageReceived(BMessage *message) { switch(msg->what) { case AJOUT: // message transmit par 1'activation du bouton AjoutDansListe(); // fonction ajout du texte saisie vers la liste break; default: BWindow::MessageReceived(message); break; } } Le schéma est clair : le déclenchement du bouton crée un message dans l'application. Celui-ci se voit intercepté par cette fonction. barres de défilem ent. Vous l'a u re z re m a rq u é , nous n'avons pas à nous préoccu per de tout cela, car ces fonc tions sont inscrites dans les gènes des objets que nous m anipulons. Rappelez-vous, B L istV ie w (o b je t à p a rtir d u q u el nous avo n s créé Elem entsListe) repose sur la MultiLock ieo9660 £ 3 nervous LiveQ ueryA pp m essageworld PageFlipper r £3ppm £ 3 People p refs_a rticle £ 3 Puise 3 Q Sort 3 £ 3 QuickPaint 3 Scripter £ 3 scrollbarapp s c s ija w £ 3 TextEditor £ 3 W atcher classe BList. Celle-ci contient toutes les propriétés spéci 47 item* 1 fiques à une liste (recherche, ajout, suppression d'éléments, etc.). BlistView ne fait qu'affi cher la liste. Le défilement dans la liste est automatiquement géré, à partir du moment où nous avons intégré ElementsListe à un objet créé à partir de BscrollView ; en effet, sa fonction consiste justement à administrer les barres de défilement. C'est pourquoi notre application se résume à: QueryApp £ 3 so n ic_vib es £ 3 Stars £ 3 translate £ 3 V oteO ften R4 Sample C o d e Info L I Prise de sample. On com pile ? Nous pouvons agrém enter notre soft de quelques améliorations et/ou de fonctions nouvelles, accessibles par des m enus. Le principe reste le même ; agir sur un menu revient à élaborer un messa ge qu'il faudra intercepter. BeOS R4 vous laisse tout le loisir de vous amuser : il est livré avec un compilateur complet et une 1- Assembler les objets de l'interface 2- Intercepter toute action sur le bouton 3- Ajouter les éléments saisis dans la liste. kyrielle d'exem ples de program m es, les quels vont bien au-delà du simple "Hello W orld". Pour les néophytes connectés, il AjoutD ansListe() se révèle d'ailleurs ellem êm e très sim ple à co d er. Un élém ent d'une liste s'appelle un "item". On ne peut ajouter que des données du type "item"dans e x is te un site W eb in d is p e n s a b le http://www.birdhouse.org/beos/npc/ : Christophe Morvant http ://perso, easynet. fr/~kubernan/index. html B lit z B a sic Une interface graphique pour Adoom désigne le chemin complet du fichier. Pour rafraîchir l'affichage de la ListeView lors d'un changem ent de fichier ".wad" on se sert de la fonction GTChangeList 1,10 (pour effacer la liste) et de nouveau de GTChangeList 1,10,M aList() (pour affi cher à nouveau la liste avec les nouvelles m odifications de la liste M aList()). Petite astuce : pour éviter que la ListeView ne dérape sur les W orkbench patchés avec VisualPrefs, il suffit de mettre dans le code SetErr:End SetErr:Free GTList 1 lorsque l’on fait un Free GTList. Le Blitz est l'outil de développement idéal pour concevoir de petites interfaces graphiques. Voici par exemple comment contrôler les paramètres d ’une ligne de commande avec des boutons... Pour activer un gadget, il suffit d'utiliser la com m ande "GTToggle 1 ,1 ,On", qui acti vera le gadget de la GTList 1 avec l'ID 1. "O n" peut être rem placé par la valeur numérique -1. Une fois le gadget activé, il c o n v ie n t de tap e r Redraw 1,1 afin de programme. En fait, le Dim sert à mettre des v a le u rs d a n s d iv e rs e s "ca se s" (le nombre de cases correspondant au numé ur Amiga, Doom se présente comme une com m ande à lancer depuis le S S h e ll et à la su ite de la q u e lle il convient de préciser plusieurs paramètres abscons. Pourquoi ne pas plutôt passer par une interface graphique, laquelle permet trait d'un simple clic de souris de choisir ses niveaux, sa résolution d'écran ou encore l'optimisation du processeur ? La chose est en fait très simple à mettre en œuvre, grâce ro entre parenthèses situé à la fin de la variable, auquel il faut ajouter 1, puisque le prem ier élém ent est num éroté 0 et non 1) ; la suite de ces cases forme une liste. L'exploitation conjointe avec l'instruction List permet par conséquent de simplifier la redessiner le nouvel aspect du gadget. Pour désaciver le gadget, il suffit de rem placer "On" par "Off" ou par la valeur 0, et e n s u ite de ta p e r une fo is encore un Redraw 1,1. Pour faire fonctionner cet exemple, vous d e v e z s é le c tio n n e r , d an s le menu "Com piler", l'item "Com piler Options..." (r a c c o u r c i A m ig a O ) et inscrire b lit z lib s ia m ig a lib s .r e s d ans la case "Résident" Benjamin Vernoux Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM m anipulation de ces listes, par exem ple pour les trier avec l'instruction SortList. au Blitz Basic. Dans le principe, on utilise les Interface El doon2.wad vortpak.wad V ide Vide Vide Vide Fich iers Type Chenin . wad p o u r RDoorc v 1 . 6 SFX Jg m Music I **'' RTG I cpu d ' f l Doo n RT. MRP I l Joypad I I l D. Mat c h | " " j I MapOnHu nn d'Ecran Souris MMU S I S 038 $00021000 [Work : J e u x / R c t i o n / D O O M / f l D o o n Lancer RDoon Serez-vous grincheux ou dormeur, devant Adoom ? resso u rces d 'in tu itio n p o u r a ffic h e r et rendre interactif les divers éléments de l'in terface et on lance, depuis notre program m e, AD oom a v e c to u s les p a ra m è tre s demandés par l'utilisateur. Petit bonus, on Dans la lecture des préférences, l'instruc tion Filelnput 0 signifie que l'on lira dans le fichier 0, ouvert par ReadFile. Ensuite, Edit$(4) veut dire que l'on récupérera au m axim um quatre caractères au début du peut même sauvegarder sa configuration. Pour créer l'interface d'ADoom, nous avons eu recours à GUIToolKitV2.5 (créé par Tony Docker). Ce logiciel d'aide à la conception fichier 0. Si l'on rencontre un retour cha riot avant d'avoir lu ces quatre caractères, on prendra alors ceux présents jusqu'au retour chariot. L'instruction Val précédant g ra p h iq u e se tro u v e su r A m in e t : h ttp ://u k .a m in e t.n e t/~ a m in e t/d irs/a m i- E d it î précise que ch aq u e ca ra ctè re de type string (.s ou $) récupéré sera converti en valeur numérique dans une variable .b, .w ... etc. Enfin, M aList()\bitem correspond net/dev/basic/GUIToolKit.lha. Les points im portants On remarquera que les instructions Dim et List s'utilisent de manière couplée dans le au nom du fichier ".w ad" qui s'affichera d ans la L iste V ie w , et C h e m in ()\ b ite m F o n c t i o n n e m e n t de notre interface Dans ce programme, on se sert d'une Listeview pour sélectionner les fichiers ".wad" que l'on souhaite lancer. On sélectionne donc un emplacement dans la Listeview avec la souris et on appuie sur le bouton "Fichiers .wad" pour y insérer le fichier ".wad" désiré. On peut entrer ainsi jusqu'à dix fichiers ".wad". Ensuite, pour utiliser tel ou tel fichier ".wad", il faut simplement mettre celui-ci en "surbrillant", en cliquant dessus. Lorsque vous appuyez sur le bouton de fermeture de la fenêtre, les préférences se sauvegarderont automatiquement dans le rép ertoire coura nt, sous le nom ADoom.prefs. Les autres options sont très faciles à com prendre. Vous pourrez rem arquer que l'interface ressemble beaucoup à celle d'ADoom GUI VI.I (créée par Mladen Milinkovic), ce qui ne su rp ren d guère, car nous nous en sommes beaucoup inspirés. Attention : veillez à ne pas spécifier dans l'interface un argument qui le serait déjà dans la rubrique Tooltypes d'une éventuelle icône de l'exécutable Adoom. WBStartup Case 3 /Bouton Souris WbToScreen 0 If EventCode=l Souris$='-mouse NEWTYPE.listview ":Sourisl=-l Else Souris$="*:Sourisl=0rEndlf aitem.w Case 4 /Bouton Music bitem.s If EventCode=l Music$="-music ":Musicl=- End NEWTYPE 1 Else Music$="':Musicl=0rEndlf DEFTYPE.w SFX1,MMU1,Sourisl,Musicl,RTMAP1,Joypadl DEFTYPE.w RTG1,MapOnHul,DMatchl,fichier,CPÜl Case 5 /Bouton RT.MAP (Rotation de la carte de Doom) MaxLen pa$=192 If EventCode=l RTMAP$="-rotatemap MaxLen fi$=192 *:RTMAP1=-1 Else RTMAP$="":RTMAP1=0rEndlf SFX$="-nosfx • Case 6 /Bouton Joypad AA$=ProgPath$ If EventCode=l Joypad$="-joypad p$=GetPathName(AA$) ":Joypadl=-l Else Joypad$=" :Joypadl=0:EndIf prefs$=p$+"ADoom.prefs" ; Sauvegarde des prefs dans le Case 7 /Bouton RTG (Utiliser la RTG) répertoire courant If EventCode=1 RTG$='-rtg ':RTG1=-1 Else ; sous le nom ADoom.prefs RTG$="rRTGl=0 rEndlf GTTags $80080035,*strGad ;pour voir le gadget en surbrillant Case 8 /Bouton MapOnHu (Carte de Doom en surimpression) AddIDCMP #MOUSEMOVE+#ÎNTUITICKS ; Permet de faire un scrolling fluide pour le ListeView If EventCode=l MapOnHu$='-maponhu ':MapOnHul=-l Else MapOnHu$=""rMapOnHul=0rEndlf Dim List MaList.listview(lO) Case 9 /Bouton D.Match Dim List Chemin.listview(10) For i=0 To 9 If EventCode=l DMatch$='-deathmatch ":DMatchl=-l Else DMatch$="":DMatchl=0rEndlf If AddItem(MaList()) Then MaList()\bitem = Case 10 /Listeview Chemin Vide fichi er=EventCode If AddItem(Chemin()) Then Chemin!)\bitem = " fich$="-file '+Chemin(fichier)\bitem+* Next i Case 11 /Bouton Chemin Gosub ChargerPrefs ; Gadgets de l ’interface path$=ASLFileRequest$("Fichier .Wad',pa$,fi$,"#?.wad") Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM GTListView 1,10,10,10,124,58, ’\0,MaList() ,0,0 If path$ GTCheckBox 1,1,189,10,22,8, "SFX\1 err=FirstItem(MaList()) GTCheckBox 1,2,290,10,22,8,"MMU",1 err=FirstItem(Chemin!)) GTCheckBox 1,3,390,10,22,8,'Souris*,1 MaList(fichier)\bitem = fi$ GTCheckBox 1,4,190,30,22,8,'Music*,1 Chemin(fichier)\bitem = path$ GTCheckBox 1,5,290,30,22,8,'RT.MAP',1 GTCheckBox 1,6,390,30,22,8,'Joypad',1 GTChangeList 1,10 GTCheckBox 1,7,190,50,22,8, ■RTG\1 GTCheckBox 1,8,290,50,22,8,'MapOnHu*,! ; permet d'effacer la liste GTChangeList 1,10,MaList() ; et de la réafficher dans le Listeview GTCheckBox 1,9,390,50,22,8,*D.Match",1 Endlf GTButton 1,11,10,70,124,14,"Fichiers .wad",16 Case 12 /CycleGadget CPU GTCycle 1,12,190,70,226,14,'CPU*,1,' Standardl 0201 Select EventCode 0301 0401 060*,CPÜl Case 0 :CPU$= *":CPU1=0 GTButton 1,13,10,90,124,14,'Type d'Ecran",16 Case lrCPU$='-cpu 68020 ":CPU1=1 GTText 1,14,147,90,268,14, **,1," Case 2 :CPU$=*-cpu 68030 ":CPU1=2 GTButton 1,15,-10,110,124,14, "Chemin d ’ADoom", 16 Case 3 :CPU$=*-cpu 68040 ":CPU1=3 GTText 1,16,147,110,268,14,"",1,"’ Case 4:CPU$='-cpu 68060^ ':CPU1=4 GTButton 1,17,10,130,406,14,"Lancer ADoom",16 End Select Window 1,75,52,440,165,$2 l$4 l$8 I$1000 ,"Interface Case 13 /Bouton Type D ’Ecran pour ADoom vl.0',1,2 screenmode.l=RTEZScreenModeRequest("Choix de Mon AttachGTList 1,1 Ecran') Gosub Prefs smod.l=Peek.l(screenmode) GTDisable l,9:Redraw 1,9 If screenmodeoO Repeat smode$="$"+Hex$(smod.1) ev.l=WaitEvent GTSetString 1,14,Centre$(smode$,33) If ev=$40 screenmod$='-screenmode "+smode$+" ' Select GadgetHit Case 1 ,-Bouton SFX (Effets sonores) If EventCode=0 SFX$="-nosfx *:SFX1=0 Else SFX$=":SFX1=-1: Endlf Case 2 /Bouton MMU (Utiliser la MMU) If EventCode=l MMU$="-mmu ":MMU1=-1 Else MMU$="*:MMU1=0:Endlf Endlf Case 15 /Chemin D'ADoom ADoomfile$=ASLFileRequest$("Fichier ADoom’,pa$,fi$,"#?') If ADoomfile$ ADoom$ =ADoomf i1e$ GTSetString l,16,ADoom$ B lit z B a sic GTToggle 1,3,Sourisl:If Sourisl=-l Souris$=*-mouse * Endlf Case 17 ;Bouton Lancer ADoom clil$='CON:0/50/640/150/Chargement D'ADoom Else Souris$=**:Endlf:Redraw 1,3 GTToggle l,4,Musicl:If Musicl=-1 Music$=*-music * Else Music$=**:Endlf:Redraw 1,4 en cours.../AUTO/CLOSE* cli$='CON:0/0/640/50/Prefs GTToggle 1,5,RTMAPl:If RTMAP1=-1 RTMAP$="-rotatemap Else RTMAP$=": Endlf: Redraw 1,5 d'ADoom/AUTO/CLOSE" GTToggle 1,6,Joypadl:If Joypadl=-l Joypad$="-joypad DOOM$=ADoom$+* •+fich$+screenmod$+SFX$+MMU$+Souris$+Music$+RTMAP$+Joypa d$+RTG$+MapOnHu$+DMatch$+CPU$+"-forcedemo"+Chr$(10) ; Commandes système pour ouvrir une fenêtre Else Joypad$=" '.-Endlf :Redraw 1,6 GTToggle l,7,RTGl:If RTG1=-1 RTG$=*-rtg - Else RTG$=1•:EndIf:Redraw 1,7 GTToggle 1,8,MapOnHul:If MapOnHul=-l MapOnHu$='- et afficher les prefs *fhl.l=0pen_(&cli$,1004) maponhu * Else MapOnHu$=’*:Endlf:Redraw 1,8 errorr.1=FPuts_(*fhl,&DOOM$) GTChangeList 1,10:GTChangeList 1,10,MaListO ; Commandes système pour ouvrir une fenêtre GTSetHighlight 1,10, fichier-.Redraw 1,10 fich$="-file *+Chemin(fichier)\bitem+ * et lancer ADoom *fh.l=Open_(&clil$,1004) Select CPU1 Execute_ &DOOM$,*fh,0 Case 0:CPU$="' succ.l=Close_(*fh) Case l:CPU$='-cpu 68020 ■ suce.l=Close_(*fhl) Case 2 :CPU$=*-cpu 68030 * Case 3 :CPU$='-cpu 68040 ■ End Select Case 4:CPU$="-cpu 68060 ■ Endlf End Select Until ev=$200 Gosub SauverPrefs GTSetString l,14,Centre$(smode$,33) CloseWindow 1 SetErr:End SetErrrFree GTList 1 screenmod$="-screenmode •+smode$+* ' Forbid_ GTSetString l,16,ADoom$ End Return .SauverPrefs .ChargerPrefs Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM If WriteFile(l,prefs$) If ReadFile(0,prefs$) FileOutput 1 Filelnput 0 SFXl=Val(Edit$(4)) NPrint Str$(SFX1) MMUl=Val(Edit$(4)) NPrint Str$(MMUl) Sourisl=Val(Edit$(4)) NPrint Str$(Sourisl) NPrint Str$(Musicl) Musicl=Val(Edit$(4)) RTMAPl=Val(Edit$(4)) Rotation de la Carte NPrint Str$(RTMAP1) NPrint Str$(Joypadl) Joypadl=Val(Edit$(4)) NPrint Str$(RTG1) RTGl=Val(Edit$(4)) MapOnHul=Val(Edit$(4)) Carte en surimpression NPrint Str$(MapOnHul) DMatchl=Val(Edit$(4)) Death Match NPrint Str$(DMatchl) fichier .wad sélectionné fichier=Val(Edi t $ (4)) fichier .wad sélectionné NPrint Str$(fichier) CPUl=Val(Edit$(4)) type de CPU NPrint Str$(CPUl) smode$=Edit$(20) mode d'Ecran NPrint smode$ mode d'Ecran ADoom$=Edit$(192) Chemin du programme NPrint ADoom$ Chemin du programme ADoom err=FirstItem(MaListO ) ADoom err=FirstItem (MaListO) err=FirstItem(Chemin()) err=FirstItem(Chemin()) NPrint MaListO\bitem NPrint Chemin()\bitem MaListO \bitem = Edit$(120) Chemin()\bitem = Edit$(192) For i=0 To 9 succ=NextItem(MaList() ) :NPrint MaListO \bitem For i=0 To 9 succ=NextItem(Chemin() ) :NPrint Chemin() \bitem succ=NextItem(MaListO ) :MaList()\bitem = Edit$(120) Next i succ=NextItem(Chemin()):Chemin()\bi tem = E d i t $ (192) Next i CloseFile 0 CloseFile 0 Endlf Return Endlf Return Nouveau ! Vous pourrez retrouver nos programmes en Blitz .Prefs sur notre page WEB : GTToggle l,l,SFXl:If SFX1=0 SFX$=“-nosfx ■ Else http://www.chez.com/titan/SourcesBlitz2.html SFX$= ** :EndIf:Redraw 1,1 GTToggle l,.2 ,M M U l:If MMU1=-1 MMU$="-mmu ■ Else MMU$=B<:Endlf:Redraw 1,2 Notre page WEB principale : http://www.chez.com/titan/ Pour toute information : [email protected] En kiooque au prix de 59 franco En cadeau un jeu d ’a venture complet ! n R □ R U C H E R D R O I T E R G R U C H E T □ U T □ R □ IT ci T □ P Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM T R □ p T R □ P □ b! R E U I nE mRniahiEz p r b P C TERP1 H O R S S É R I E n ° 5 S P É C I R L T R B C S E T R 5 T B C E S P C b! R J E bf H P C UN ATARISTE, UN ! J 'a p p r e n d s p a r le V iru s In fo r m a t iq u e q u e v o u s a v e z repris g r a c i e u s e m e n t le s a n c i e n s abo nnés de ST M ag. C e bon g e s t e v o u s h o n o r e et m e fait p r e s q u e r e g r e t t e r d e n 'a v o ir ja m a is so u s c rit un a b o n n e m e n t à ce tte revue. Pour vous, c'est, le m o m e n t ou ja m a is de cap ter et de fid é lise r le s o rp h e lin s q u e n o u s so m m e s d e v e n u s : p e u t-être existe-t-il de s a n n o n c e u r s fra n ç a is (ou a lle m a n d s , v iv e l'E u ro ) qu i v o u d r o n t b ie n n o u s in f o r m e r d e le u r e x i s t e n c e et d e leurs p ro d u its ? J'im a g in e que C o d e f r o y d e M a u p é o u (e x- nous com m e p o u r vous, une trée qui p e rm e tte d e co p ie r com pte p a r Linux et pourrait grande inconnue : qu'en est-il a u jo u rd 'h u i du m o n de A ta ri dans les pays francophones ? Y a-t-il suffisamment de demande p o u r q u e n o u s fa s s io n s une les f ic h ie r s d e v o t r e C D vers même conduire à des résultats aléatoires dans le cas où le sys tème chercherait quand même à l'interpréter. 2 ) Pour la première partie de la offre rédactionnelle encore plus consistante ? Ou, au contraire, 4 ) M o n é c ra n 1 0 8 5 S d isjo n cte notre offre est-elle supérieure à la d e m a n d e d 'u n e p o ig n é e d 'u tilisa te u rs, q u i se s a tis fe raient d'un fanzine de quartier mieux ciblé ? La réponse tourne dans un cercle vicieux : il y aura la n ce Linux. Pourtant, j'ai bien d'autant plus de lecteurs qu'il y aura de nom breux articles et d'autant plus d'articles qu'il y a u ra de m u ltip le s le c te u r s . Alors, voilà, afin de se faire une idée précise de l'importance de n otre lectora t A tari potentiel, n ou s vous in v ito n s, vous les A ta riste s, à nous en voyer un simple mot, par courrier ou par E -m a il, a v e c c e tte sim p le p h ra s e : "nous vo u lo n s p lu s d ’Atari". Nous vous com m uni q u e ro n s, s u r une p é rio d e de deux à trois mois, le nombre de réponses reçues. m o n d isq u e dur. A m ib o o t - 5 .6 ne se la n ce pas. P ourquo i ? je a n - C la u d e , Villerupt. c o m p lè te m e n t lo rsq u e je p r é c i s é " v id e o = a g a " d a n s la d e u x i è m e lig n e d u s c r i p t d e l a n c e m e n t . Je n e c o m p r e n d s pas ce tte in co m p a tib ilité , ce q u i e s t é t o n n a n t , c a r je suis tout de m ê m e p ro g ra m m eu r p ro fe ssio n n e l d e p u is q u in z e ans. A n o n y m e (p a r té lé p h o n e ). 5 ) J'ai f o r m a t é la o n z iè m e p ar q u e s tio n , la ré p o n se e st la même que précédemment. Pour la seconde partie, le Html est le fo rm a t s ta n d a r d des pages Web. Les documentations de la RedHat se relisent donc depuis un navigateur Web (Ibrowse, A w eb, V o y a g e r...) ou depuis M u ltiv ie w , si vous disposez d'un Datatype Html. En dernier recours, vous pouvez les consul ter en tant que fichiers Ascii. On y perd cependant un peu en lisi bilité et en interactivité. titio n d e m o n d i s q u e d u r d e 3) On ne peut évidemment plus 1 ,2 G o p o u r L in u x, m a is celui- voir les partitions Linux depuis AmigaOS ; nous l'avons même ci m e dit qu'il ne la t ro u v e pas lors d e la p r o c é d u r e d 'in sta l lation. A n o n y m e (p a r t é lé p h o n e ) . 7) Pour que Linux retrouve tous ses fichiers d'installation sans fa it exp rès ! Souvenez-vous, nous avions précisé qu'il fallait cocher l'option "Automount this p a rtitio n " dans l'article (si le terme "mount" ne vous dit rien, relisez donc le manuel de l'utili sateur qui accom pagne votre Amiga depuis le jo u r où vous l'avez acheté). Si nous avions laissé les partitions Linux appa Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM ré d a c te u r en ch e f d e S T M a g ) a d û v o u s d o n n e r so n listing d 'a d re sse s p o u r p ro s p e c te r auprès de ce u x qui ne vous REDHAT SUR AMIGA c o n n a i s s e n t p a s . Je su is p e r su a d é q u e si n o u s étio n s plus 1) L 'in stallatio n d e la R e d H a t n o m b r e u x à v o u s lir e , v o u s ne a u g m e n te rie z A m ig a . L'installeur R e d H a t m e le co n ten u m arch e pas sur dit qu'il n'arrive pas à tro u ver u tilis a te u rs A tari. A v o u s de d 'a r b o r e s c e n c e R ed H a t su r m a n o u s c o n v a in c r e ... p artition A m ig a . P ourtant, j'ai b ie n e n le v é Cache" La reprise des abonnés de ST Mag se fait, hélas, dans la dou leur. Leurs coordonnées figurent en effet dans un fichier immobi lisé par la procédure légale qui accom pagne la disparition de ce m a g a z in e . N ous in v ito n s donc les Ataristes n'ayant pas encore reçu de courrier de notre pa rt à nous contacter au plus tô t (s e r v ic e a b o n n e m e n t : 01 53 36 84 10). Il en va de même p our le reste des docu m ents a d m in istra tifs, telle la lis te d es a n n o n c e u rs d e S T Mag. Cela étant, cette liste n'a pas été très difficile à reconsti tuer : notre service commercial n'a eu qu'à relever les coordon nées figurant au bas de chaque p u b lic ité p a ru e . R este , p o u r l'o p tio n mode International. Tout autre fo rm a ta g e n 'e s t p a s p ris en rentes, le Workbench aurait en m on r é d a c t i o n n e l c o n c e r n a n t les D aniel, Lyas. heurts, il faut à tout prix que les partitions Amiga soient for m atées en TES, sans cache ni ! Sa Tarif des petites annonces -i □ Je suis abonné à D ream ............................................................ "D ir OF □ Je ne suis pas abonné à Dream ............................................. + 20 F d u f o r m a t a g e A fs, □ Je choisis l'option de parution dans tous c o m m e p récisé d a n s la d o c . les magazines Posse (PC Team, Studio Multimédia)......... +20 F M ic h e l, Pibrac. □ Je choisis l'option caractères g r a s ........................................ +20 F Cochez vos choix 2 ) Le f o r m a t a g e , e n v é rifia n t Soit un total d e ............. c h a q u e b lo c, et la lecture des Rubriques : □ achats □ ventes □ contacts - Département : ...... p a c k a g e s d e p u is m o n d i s q u e d u r fo n t p la n te r m o n o r d in a t e u r . P a r a i l le u r s , je n 'a r r iv e p a r à relire les fichiers ".html" •r !j i{ i i; I J I qui c o n s t it u e n t la d o c . Ii ijI ji jean -P ierre S a u la m in es. ij 3) L ' e x p li c a t i o n d e l'in s t a lla tio n d e la R e d H a t s u r A m i g a ril i j W o rk b e n ch . C o n tra ire m e n t à Règlement par chèque ou mandat à Tordre de Posse Press/PA, 16, rue de la Fontaine au Roi, 75011 Paris. Parution de l'annonce j sous un ou deux mois en fonction des dates de bouclages du magazine. La vente et l'échange de logiciels concerne uniquement j les originaux. Posse Press se réserve le droit de refuser toute c e q u e v o u s d i t e s , il n ' y a annonce portant à confusion. e st m al faite : o n a u r a it pu n o u s d i r e q u e les p a r t i t i o n s fo r m a t é e s p o u r Linux n e sont p lu s v isib le s d e p u is le q u ' A m i C D F S v e r s io n e n r e g i s .............. ...................... ......... ...............................................i • co n sé q u e n ce fa it a p p a ra ître deux icônes de disques totale m en t illisib les (le form atage E xt2 fs de ces partitions n'est p a s d a n s le RDB de v o tre disque dur), ce qui est inutile. En revanche, ne pas "mounter" q u e lle s so n t les e x te n s io n s u tilisé e s p o u r a tte in d re les résultats qui sont les siens (25 images par seconde en entrée com m e en sortie) ? Vds g e n lo ck y c A m ig a avec câble + logiciel : 1400 francs frais de port inclus. Dominique 04 79 37 85 04 a p 1 9 H . Vds A l 200 + 1240 + 16 Mo + cd 6x + 1.2go + cartegraph + automatiquement une partition n'empêche pas de la "mounter" m a n u e lle m e n t d e p u is un e Pas simple, en effet. Les cartes d'acquisition vidéo sur Amiga sont évidemment au standard to w e r + clav PC + m o n iteu r 4000 fra n c s Tow er A l 200 + int clav + alim 250w - mountlist, dont le fonctionne ment est beaucoup plus souple. de la m achine, ce qui signifie qu'elle inclut des connecteurs Zorro. Toutefois, si vous dispo 900 francs. B liz z a rd 1 2 3 0 + 16 M o 6 5 0 fra n cs m a té riels d ive rs. Contacter Sébastien - Auxerre d is q u e d u r. A m ib o o t ne se la n c e p a s ? A ve z-v o u s bien vérifié qu'il n'a pas perdu l'at tribut de protection "e" (pour "exécutable, cf le M anuel De L'Utilisateur Amiga, donné avec vo tre m achine) lorsque vous l'avez copié ? 4 ) Et vous avez pro g ra m m é beaucoup de choses durant ces quinze dernières années ? A la différence du Basic de l'Amstrad sez de la carte graphique Pixel 64, cela signifie que vous êtes p a ssés au sta n d a rd AtéoBus, Dream est édité par Posse Press SARL au capital de 250 000 francs Associés principaux : Romain Canonge, Christine Robert R eprésentant fégal : Romain Canonge 16, rue de la Fontaine au Roi 75011 Paris Anonym e Contrairem ent à ce que vous nous annoncez, ce son t bien tous les pilotes cités dans l'ar ticle qui permettent de recopier les fichiers de notre CD sur un F o r u m (89) au 06 85 09 72 14. Tél. : 01 53 36 84 10 Fax : 01 43 55 66 68 Web : www.posse-press.com/dream E-mail : [email protected] R édaction Directrice des Rédactions Christine Robert (84 24) [email protected] Directeur adjoint des rédactions Yann Serra (84 15) [email protected] Chef de rubrique Karine Mordal (84 14) Secrétaire d e rédaction Bernard Medioni (84 11 ) Collaborateurs perm anents de la rédaction : Christophe Kirsch, Bruno Mathieu, Christophe Noëi, Pascal Pambrun. O nt également collaboré :Yannick Cadin, Godefroy de Maupéou, David Feugey, Emile Heitor, Christophe Le p o u r le q u e l, h é la s, il e x is te encore assez peu de cartes d'ex tension (et aucune carte d'ac q u isitio n v id é o ). La so lu tio n Vds A 1 2 0 0 to u r ateo + b liz 1260 16 Mo + idem ux + cla vier pc + écran 1085s + dd120 Mo - 4000 frs 32 Mo edo 400 serait donc de passer par l'une de ces anciennes cartes sur port Frs tél : 04 90 53 41 61 p a ra llèle (so u ven ez-vo u s, les Vidi 12 et 2 4 R T). Cependant, n'attendez pas de miracle : un tel procédé s'avère lent et l'utili sateur n ’obtient que du mode HAM (impossible à afficher par l'in term éd ia ire de votre Pixel 64). Vous eussiez peut-être dû vous renseigner avant : en effet, la digitalisation vidéo convient Cannelier, Christophe Morvant, Vincent Oneto, Frédéric Peschansld. Yann Serra, Benjamin Vemoux, jakub Zimmermann. Illustrateur : Christophe Bardon C o n ce p tio n CD-Rom Directeur des projets multimédia Frédéric Botton (84 12) [email protected] C réation Directeur artistique Pierre-Yves Roudy (84 28) ACHATS [email protected] Rédactrices graphistes D é p a rte m e n t 30 : A l 2 0 0 + pup603/160 + 40/25 + 64 Mo = 2800 fra n c s ; b liz z 3 0 / 4 0 + fpu + 8 Mo = 650 francs ; hd 200 M O //1 .2 M o // blizz20/28 MHz + 4 Mo + fpu ; dispo + débat. Tél : 04 67 82 46 01 Julie Chan/et (84 28) [email protected] Audrey Simon (84 27) [email protected] P u b licité e t prom otion Directrice prom otion et publicité Hélène Blondel (84 20) [email protected] Chef d e publicité Marie-Hélène Dussottier (84 21) Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM CPC, les co m m a n d e s S h e ll d'AmigaOS n'ont pas de numé ro de lignes, ce qui peut parfois induire en erreur le novice qui recopie un listin g d epu is un magazine où la mise en page impose de courtes colonnes de texte et de fréquents retours à la ligne. Dans ce cas, il faut faire preuve d'un peu de jugeo te (que les programmeurs ont automatiquement avec l'expé rience) : video-vga ne peut bien évidemment pas être une ins truction à cause du "=" ; il s'agit donc forcément d'un argument de la ligne précédente ! 5 ) A utre lim itation du noyau Lin u x recom pilé su r Am iga : celui-ci semble ne gérer qu ’un m axim um de se p t p a rtitio n s par disque. MAGNÉTOSCOPE VGA? je p o ssè d e un A m ig a 1 2 0 0 monté en tour avec une carte graphique Pixel 64. Je souhai te ra is c o n n a ître la so lu tio n optimale pour faire de la cap ture vidéo sans passer par le bus Z o r r o . S a c h a n t q u e le C a s a b la n c a e s t un 1 2 0 0 , parfaitement, à l'heure actuelle, p o u r une con figu ration s ta n dard. A la vérité, le Casablanca n'a pas grand-chose à voir avec le 1200. Construit par MacroSystem , il dispose de tout un hardw are supplém entaire qui emploie des technologies p ro p riéta ires p o u r o p tim iser son fonctionnement. VENTES [email protected] C o m p ta b ilité et a d m in istratio n Directrice com ptable e t administrative Angelina Parmentier (84 23) Assistante com ptable e t administrative Achète d'occasion le jeu "LES SETTLER S". Faire offre à Luc aux heures des repas au 02 98 41 68 05. A D FI c h e rc h e d é v e lo p p e u r A m ig a c o n n a is sa n t l'a s s e m ble u r et le C - C D D c o n ta c t ADFI au 04 73 34 34 34 . Valérie Ambrosio (84 22) A b o n n em en ts e t ve n te d'anciens n um éros Responsable abonnem ents e t VPC Anna Vincent (84 10) [email protected] Assistante A bonnem ents e t VPC Michèle Fontoura (84 10) Fabrication Photogravure : Station Graphique (Iviy) Impression : Leonce Deprez (Bariin) Duplication CD-Rom : CD Maker (Emeratnville) Distribution - ventes Diffusion : MLP Réglages e t modifications : Denis Rozes/Distrimedias ■ (05 61 43 49 69) D épôt légal : à parution Commission paritaire : 75364 ISSN: 1259-1165 Directeur d e Publication CONTACTS Romain Canonge (84 25) [email protected] VDS Carte Blizzard 1230 8M . Prix : 1100 francs. Tél : 01 47 49 02 48 (répondeur). Département 92 - Vds A l 200 + hd. 120 Mo + disks +imprimante : 1300 francs à débattre Tél : 01 46 05 08 62. Département 59 : vds a l 200 + mon + bliz 50M Hz 28 Mo + dd640 Mo + I. cdr + n6x revcd - d k.2 6 0 0 francs a500 + ext + joy + rev + jeux + édu 3 à 10 ans + util - 600 francs Tél : 03 20 32 45 18 après 18h. R e c h e rc h e c o n ta c t A m ig a A500 A600 A l 200 CD . Ecrire à Bonnet Jm 14 square j. Tellier 82200 MOISSAC. Copyright 1998 - Posse Press Ce numéro de Dream est accompagné d'un CD-Rom gratuit posé en une de couverture. Toute représenta tion ou toute reproduction intégrale ou partielle du magazine et toute utilisation du logo de Dream ne peu vent se faire sans l'accord de l'éditeur. L’envoi de textes, photos, logiciels à l'éditeur implique l'acceptation par l'auteur de leur libre publication. Sauf accord spécial, D é p a rte m e n t 31 : c h e rc h e c o n ta c t a m ig a s é rie u x su r Toulouse uniquement - 06 14 75 20 26. les documents ne sont jamais restitués. L'éditeur décline toute responsabilité quant aux opinions formulées dans les articles, celles-ci n'engageant que les auteurs. Les marques citées appartiennent à leurs propriétaires res pectifs. Leur citation est faite sans aucun but publicitai re et ne signifie en aucun cas que les procédés soient tombés dans le domaine public. Le Groupe Posse édite également PC Team, PC Team Hors-Série, et Le Studio Multimédia. pc&se. Le PC sans se planter Tout pour comprendre et acheter un ordinateur multimédia : l'unité centrale, le stockage magnétique, l'affichage, le multimédia, les communications, les imprimantes, les souris, les joysticks... Avec CD-Rom Le PC sans fausses notes Tout sur la musique assistée par ordinateur : le Midi, le hardware, le software, Internet, rubriques pratiques... Avec un CD comprenant 34 démonstrations commerciales, 50 Mo de modules, 1 3 trackers, 100 fichiers Wav... Le PC dans la r r ^ rr' poche 1 ^ 1^ ordinateurs de IS S r 20F • Dream n°1 Dossier : la CD-32 Reportage : l'ECTS de Londres Disquette : DSS 1, version complète • Dream n°2 Dossier : les jeux de Noël Reportage : comparatif numériseurs Disquette : Amos Turbo • Dream n°3 Dossier : les imprimantes Reportage : le Supergames show Disquette : Cinemorph, version complète • Dream n°4 Dossier : les virus Reportage : le Winter Ces de Las Vegas Disquette : Quickwrite, version complète • Dream n°5 Dossier : sex'n'Amiga Labo : Blitz Basic 2, Mediapoint... Disquette : Skidmarks démo • Dream n°6 Dossier : le salon Imagina 94 Labo : ADPro 2.5, Quarterback... Disquette : Personal Paint 4, version complète • Dream n°7 Dossier : le piratage Labo : Scenery Animator, Vidi 24, le PAR... Disquette : Canon Studio, version complète • Dream n°8 Dossier : les simulateurs Labo : Overdrive CD, Caligari, Directory Opus... Disquette : Personal Font Maker, version light • Dream n°9 Dossier : l'Amiga en vacances Labo : Imagine 3.0, Emplant Disquette : Abank • Dream n°10 Dossier : les mangas et l'Amiga Labo : carte M-Tec, Can do... Disquette : une sélection de DP • Dream n°11 Dossier : l'avenir de l'Amiga Labo : Lightwave, Dice, Videostage... Disquette : Painter 3D, version complète • Dream n°12 Dossier : la création d'un jeu Labo : DSS 3.0, DirWork, Brilliance 2... Disquette : Desktop Magic • Dream n°13 Dossier : l'Amiga à la télé Labo : PageStream, Panorama Disquette : Virus Checker 6.41 • Dream n°14 Dossier : l'Amiga et les graphismes Reportage : le World of Amiga Disquette : Real Time Sound Processor Il Lite • Dream n°15 Dossier : le rachat de l'Amiga Labo : Photogenics... Disquette : Skidmarks II, la démo • Dream n°16 Dossier : les clones Amiga arrivent Reportage : l'Amiga s'impose à Imagina Disquette : Photogenics, la démo • Dream n°17 Dossier : la Doom-mania arrive sur Amiga Labo : GoldEd 2.1.1, Easy Cale, Studio Professional 2... Disquette : DSS 3, version complète • Dream n°18 Dossier : l'ECTS de Londres Labo : DPaint V, Scala mm400, Sherlock, Diavolo, Power CD... Disquette : Brutal, la démo • Dream n°19 Dossier : les dessous du rachat par Escom Reportage : l'Amiga à L'E3 de Los Angeles Disquette : OctaMed pro 5.04, version complète • Dream n°20 Dossier : l'Amiga et Internet Labo : Photogenics 1.2, Kit Tower 1200, Digita Organiser... Disquette : Obsession Flipper, la démo • Dream n°21 Dossier : transformez votre Amiga en PC, Mac... Labo : OctaMed 6, AsimCDFS, Fax on ... Disquette : Flight Of The Amazon Queen, la démo • Dream n°22 Dossier : l'avenir ludique de l'Amiga Labo : CD Write, lecteur Zip... Disquette : Vroom Multiplayer, version complète • Dream n°23 Dossier : optimisez votre Workbench ! Reportage : l'Amiga aux commandes du virtuel Disquette : Coala, la démo • Dream n°24 Dossier : choisir un lecteur CD-Rom pour Amiga Labo : Devpac 3.5, carte Piccolo, Action replay 1200... Disquette : Boston Bomb Club, version complète • Dream n°25 Dossier : l'Amiga expo fait un carton Labo : Directory Opus 5.0 Disquette : Virus Checker 8.03 • Dream n°26 Dossier : les ordinateurs exotiques Labo : ImagineVision, Blitz Basic 2.1, Arts et frontières... Disquette : Zeewolf 2, la démo • Dream n°27 Dossier : le guide du programmeur Labo : la carte 68060 Blizzard 1260T Disquette : Gloom Deluxe, la démo • Dream n°28 Dossier : les extension du PC au service de l'Amiga Labo : Tower TBD, SX32, TurboCalc 3.5, @-Net... Disquette : TurboPrint Professional 4.1, version light • Dream n°29 Dossier : Viscorp rachète l'Amiga Labo : DeltaTower, DiskSalv 4... Disquette : MandelTour AGA, version complète • Dream n°30 Dossier : toutes les clés pour éviter la galère Labo : Wordworth 5, World Atlas, encyclopédie Adfi... Disquette : Blitzbank 2.1 • Dream n°31 Dossier : le quizz de l'été Labo : Image FX 2.a, Artpad 2, Vid 24, Kit Internet... Disquette : une sélection de DP • Dream n°32 Dossier : quel fournisseur Internet choisir ? Labo : Turbo print v 4 .1... Disquette : Poweroïds • Dream n°33 Dossier : le multimédia et l'Amiga Labo : la carte Cyberstorm 060 Disquette : une sélection de DP • Dream n°34 Dossier : la communauté Amiga à la rescousse Labo : OctaMED, Soundstudio, Imagine 5.0... Disquette : Alien Breed 3D 2, la démo • Dream n°35 jeu : Capital Punishment Labo : iBrowse, InterOffice, MaxDOS • Dream n°36 Dossier : pourquoi investir sur Amiga Labo : 2 modems 33600bps, X-DVE, SMD-100... Disquette : une sélection de DP • Dream n°37 Dossier : gagnez de l'argent avec votre Amiga Reportage : l'histoire de l'informatique à Londres Disquette : Magic Menu 2.15 • Dream n°38 Amigazone : Typesmith, Wordworth Linuxzone : Lincity, Xquad, Lyx Disquette Amiga (épuisée) • Dream n°39 Amigazone : les browsers Web, Shapeshifter... Linuxzone : XWindow, The gimp, Mesa OpenGL, Xclamation... Disquette Amiga : Gestion 2000 (démo) et FirePower • Dream n°40 Amigazone : Blobz, Cybervision 64 3D, Airmail Linux : les distributions, Maëlstrom, DDD, CDE... Disquette Amiga : Amigameboy, WebDesign, VirusZ-ll... Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM sériés 3 et 5, 1s e t * Palmpilot, Hp48, Ti92, Newton, Windows C e... Avec tous les logiciels de connexion pour Amiga, Atari, Linux, etc. Toute l'histoire de la micro De l'Eniac à la BeBox en passant parle ZX81, l'Apple II ou l'Amstrad, découvrez la grande aventure de la micro informatique. Avec un CD-Rom. L E S A N C I E N S NUMÉ ROS A V E C CB AMI GA, A T A R I , 9E. LINUX, RISC PC... 35F • Dream n°41 (épuisé) Mise au point : que vaudra Windows Tous en réseau ! • Dream n°42 (épuisé) Nt 5 ? Emacs : le compagnon essentiel de mise à nu • Dream n°43 (épuisé) S.u.s.e. : la distribution Linux ultime ? Linux enfin décortiqué ! Culture : comment est né le Carte accélératrice : la Centurbo II • Dream n°44 Mais aussi : Compaq se paye les Banc d'essai : que vaut la nouvelle carte phénomène Linux ? Dossier : Persistence Of Vision stations les plus puissantes du monde, graphique Pixel 64 ? Linux PPC : toutes les astuces pour Tests : StarOffice 3.1 pour Linux, Gateway 2000 présente le nouvel • Dream N°53 bien l'installer système pOS, Psion séries 5 Amiga, réveillez la puissance Micros, consoles, stations : toutes les • Dream N°57 Découverte : Warp 4.0, le processeur d'Altavista... nouvelles puces 3D au service de Dossier : les cartes à puce au secours de Power • Dream N°50 l'imaginaire ! la sécurité informatique Sur le CD : Pov pour Amiga, Atari, Linux, Amiga, BeOS : comment A quoi sert vraiment Java ? En pratique : Installer Linux sur une Linux, Risc PC ... fonctionne un système d'exploitation ? Test : éxécuter des applications station Alpha • Dream n°45 Le nouvel Amiga est une bombe ! Windows 95 sous Linux. Nétiquette : Newsgroups, mode d'emploi Dossier : Latex pour tous les systèmes Apprenez à graver un CD-Rom ! Compatible tous systèmes, Système : BeOs release 4 est arrivé ! Labo : Art effect 2, Applixware 4.3... Rhapsody, le croisement parfait entre exclusivement en réseau : Citrix • Dream N°58 Plein feu : les processeurs Alpha Unix et MacOS ! présente l'ordinateur universel ! Dans le magazine et sur le CD-Rom : Sur le CD : 50 Mo de bureautique La compilation du noyau enfin Project-X : Amiga et Motorola sont-ils tout pour faire de la 3D sous Linux Os/2, 25 Mo d'utilitaires graphiques expliquée ! vraiment derrière la technologie du futur ? Test de la Redhat 52 pour RiscOs, 50 Mo de jeux pour Descent arrive sur Amiga ! • Dream N°54 Comment trouver des stations Alpha à Falcon, 60 Mo de démos pour Amiga. Wordperfect 7 et Wordworth 7, les Dossier : les secrets de l'informatique bas prix ? • Dream n°46 (épuisé) traitements de textes alternatifs théorique révélés • Dream N°47 (épuisé) absolus... Format MP3 : comment fonctionne-t-il ? • Dream N°48 • Dream N°S1 Comment booster son Amiga ? Dossier : à la découverte des Dossier : comment choisir du matériel Scandale : la sécurité de Windows ordinateurs de poche alternatif ? ébranlée par un grain de sable ! • Dream N°55 Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Labo : la Redhat 5.0 est arrivée, tous Connexion Internet : pourra-t-on aller les OS de l'Atari, le Syjet sur Amiga, plus vite ? Dossier : les réseaux de neurones installation d'Os/2... Périphériques Scsi : toutes les normes Clones 3D : la visio-conférence enfin en Sur le CD : tout Linux pour enfin expliquées ! temps réel ! PowerMac et la version exclusive de • Dream N°52 Guide d'achat des stations Alpha Tornado 3D. Apple, Amiga, Acorn... Toutes les Pratique : installer un lecteur SparQ • Dream N°49 machines de la rentrée en avant- sous Linux Comment Netscape veut s'emparer première ! L'an 2000 sera-t-il Unix ou NT ? d'Internet ! Test : la nouvelle interface de Linux • Dream N°56 Puces en cuivre : Ibm pousse le s'appelle Gnome ! Dossier : pourriez-vous devenir provider PowerPC à 1 Ghz Spécial : Windows 95, Linux, Amiga... internet ? B N C o u p o n à ren vo yer à Posse Press D re a m 's b o o tik 16, rue de la Fo ntaine au Roi, 75011 Paris. M M N Articles choisis Prix Code client (facultatif) : .............................. Nom : .................................................................. Prénom : ........................................................... Adresse : ............................................................. Code postal : ................................................... Ville : .................................................................... Téléphone : ....................................................... Machine/Système : ....................................... Forfait port : 20 francs (France), 30 francs (étranger et Dom-Tom) + port Si plusieurs produits sont commandés avec des ports différents, ne compter que le port le plus cher. Total Je règle par : □ chèque à l'ordre de Posse Press □ mandat □ carte bancaire Date et signature obligatoires n° I I l l l I I I I I I I I I I I I I I I expire le I I I I I En cas de paiement par carte bancaire, vous pouvez aussi commander : • Par téléphone : 01 53 36 84 10 du lundi au vendredi de 10h30 à 18h00 • Par fax : 01 43 55 66 68, 7 jours sur 7, 24 heures sur 24 • Par email : [email protected] Inform atiques e t lib erté s : en application de l'article 127 de la loi du 6 janvier 1978, relative à l'informatique et aux libertés, vous disposez d ’u n droit d'accès et de rectification pour toute information vous concernant en vous adressant à notre siège social. Les informations requises sont nécessaires à l’établissement de votre commande. Elles pourront également être cédées à des organismes extérieurs, sauf indication contraire de votre part. Bienvenue sous Linux ! Edition révisée Le système Linux Matt Welsh & Lar Kaufman Janvier 1999 627 pages 2-84177-033-8 280 F Programmation avec les outils GNU Mike Loukides & Andy Oram GNU Septembre 1997 265 pages 2-84177-010-9 220 F Les ÉDITIONS Administration Les bases de réseau sous Linux O’REILLY l’administration OlafKirch LINUX Mars 1995 système 368 pages vous Æleen F risch système 2-84177-007-9 Avril 1996 220 F 768 pages aident 2-84177-008-7 320 F à en tirer Linux in a Pilotes de Nutshell périphériques le Jessica Perry Heckman sous Linux Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Novembre 1998 Alessandro Rubini 450 pages M ai 1999 meilleur LINUX 2-84177-031-1 500 pages (env.) 220 F 2-84177-064-8 parti 280 F (env.) Deuxième édition ADMINISTRATION RÉSEAU SOUS i 1N A N U T S H E L L Deuxième édition TCP/IP, administration de réseau Craig Hunt M ai 1998 652 pages 2-84177-051-6 320 F Edition révisée Apache, Installation et m ise en œ uvre Ben & Peter Lanrie Septembre 1998 310 pages 2-84177-036-2 220 F t m t a l U i l u m e t lU t H ? e n i f t n r e O M ttr Demandez notre catalogue complet à votre libraire O’REILLY http://www.editions-oreilly.fr/