LiNUX - AMIGALAND V6.05

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LiNUX - AMIGALAND V6.05
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atique parallèle
Bricolez un
upercalculateur
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Mesa
au s
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S o m m a i r e
Dream
N°
59
M
E d i t o
Linux par-ci, Linux par-là... Il
est tout de même assez
épatant de voir combien le
système au pingouin s'est
imposé dans les médias
depuis moins d'un an. Les
chiffres de vente 98 des
systèmes serveurs étaient à
peine tombés que ceux qui
raillaient Dream il y a encore
quelques mois se sont
soudainement transformés
en grands philosophes de la
Free Software Foundation.
Ainsi, la télévision nous dit
que Linux est une société
américaine et que sa filiale
s'appelle LinuxPPC, la presse
"pro" lance de nouveaux
titres pour les génies de la
programmation, avec
"Linux" écrit en gros sur la
couverture, et, à l'intérieur,
un comparatif "Visual Basic
contre Delphi", et les
magazines pour "passionnés
de PC" veulent bien défendre
l'OS mais uniquement pour
faire comme les autres :
"Vous avez une question sur
Linux ? Houle\, cela veut dire
que vous avez de graves
lacunes et que vous feriez
mieux d'acheter un bon
bouquin sur le sujet" Ah,
comme ils doivent regretter
le temps du multimédia et
des communiqués de presse
déjà tout faits ! Heu... Vous
croyez qu'on devrait dire à
nos chers confrères de réviser
dès maintenant pour BeOS ?
• Labo
CD-Rom - page 4
G eekCadgets com plet pour Amiga,
Gnome pour améliorer XWindow, et
de nom breuses autres applications
p o u r Lin u x , A m ig a , A ta ri, B e O s,
RiscOs, Java et Os/2.
Courant alternatif - page 8
Sun révolutionne le marché du logi­
ciel, Compaq US vend des machines
42. Bvision PPC
Alpha sans licence logicielle associée,
44. Linux Em 86 pour Alpha
Arm d e v ie n t la p lu s u tilis é e d es
46. Easy Beat
architectures Risc 32 bits, Linux 2.2.1
47. G uash/Grail
est enfin disponible et apparaît sur
48. LabView
Psion.
49. PopPlay/Q uick Motion
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50. IglooFTP
51. StoreDesk G old/Virtual
• Découverte
52. Mesa
55. Xml
# En Pratique
58. Am iga
62. Linux
64. RiscOS
68. Lilo
# Program m ation
70. Objet
• Dossier - page 22
7 2 .java
74. BeOs
Deux dossiers. Le
architectures
f
+ait*?
! M (fQL
□
parallèles vous
l
H
premier sur les
y
76. Blitz Basic
# Forum
apprendra tout
79. Courrier
sur la mise en œuvre
81. P.A.
de ces technologies, avec
en prime un cas pratique sous Linux.
Le second dossier fait un récapitula
tif des divers langages de program
m a tio n , p o u r vo us p e rm e ttre de
Abonnement P.67
ch o isir en tou te c o n n a issa n ce de
cause.
Dream's bootik P.82
Linux, contrairement à
ce que l'on pense, peut
être un système riche et
complet sous tous les
aspects... à condition
bien sûr de se munir des
outils appropriés.
Internet; le réseau, le
jeu, l'esthétique sont
compatibles de plus en
plus et désormais
accessibles sur Linux.
Voilà pourquoi, ce moisci, le CD-Rom de Dream
vous propose les
meilleurs logiciels ayant
rapport au serveur Web
et au réseau LinuxWindows, ainsi qu'une
librairie des plus
prometteuses. Le tout
bien sûr se trouve
accompagné d'une
multitude
d'applications, d'outils,
de jeux pour les OS que
sont Linux; Amiga,
Atari, BeOs, RiscOs et
Os/2.
Répertoire Linux
Linux, un systèm e com plet ! Samba 2.0
vous permettra de dresser un réseau LinuxW indow s. Le se rve u r W eb A p ach e, élu
meilleur produit Internet de sa catégorie,
dans sa d ernière version 1 .3 .4 , fera de
votre site l'un des sites les plus fiables, pré­
sents sur le Web. Jouer à Total Annihilation
sur Linux devient désormais possible, grâce
à la dernière mise à jour de Wine. Vous
aurez même loisir d'améliorer l'esthétique
de votre desktop grâce à Gnome 0 .9 9 .3 ,
disponible dans les différents packages. Et
pour combler les heureux utilisateurs de la
RedHat 5.2, les updates de cette distribu­
tion se trouvent sur le CD-Rom.
R épertoire RiscOS
Refaites la connaissance ce m ois-ci, par
l'e n tre m ise du C D -R o m , de Store Desk
Cold et de Virtual, testés et notés dans la
rubrique Labo du m agazine. Familiarisezvous avec Shot, dévoilé et détaillé dans la
rubrique Découverte. En outre, de nom ­
breuses applications liées à la gestion du
texte, des dém os co m m e rcia le s et une
multitude de jeux vous attendent.
Répertoire Java
Après avoir goûté aux joies du SQL sur
Linux avec GnuSql, GtkSql et bien d'autres,
SQLCIient fait m aintenant son entrée en
scène, pour répondre aux atten tes des
amoureux de ]ava !
Répertoire BeOS
Une version bêta du langage Small Eiffel
a e n fin vu le jo u r. P ro g ra m m e u rs de
BeOs, vous pourrez désormais vous atta­
quer aux API de votre m achine préférée.
Sont égalem ent présents des outils gra­
phiques ( Drawmap-2.0) et de debuggage
( D ddebug), ainsi que l'in é vita b le Wget
dans sa version 1.5.
Répertoire Os/2
Vous avez rendez-vous avec une compila­
tion de nombreux et anciens titres, allant
de Roids à Tunnel Wars et retraçant les dif­
férents styles de jeux ! ! !
Pourquoi et comm ent
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installer GeekGadgets ?
Le CD-Rom de ce mois-ci
contient l'environnement
GeekGadgets, lequel offre tous
les outils de Linux à AmigaOS,
sans installer Linux !
L
inux ? Que voilà un système qui paraît
tous ceux-là, et pour les autres aussi, voici
GeekGadgets ! Initié par le célèbre Fred Fish
(so uven ez-vo u s, les d isquettes du DP),
GeekGagdets est un projet qui vise à porter
l'environnem ent Linux directem ent sous
AmigaOS. il ne faut plus reform ater son
disque dur, ni changer de carte graphique
ou de processeur, ni encore se triturer les
méninges pendant des heures : l'environne­
fort intéressant !
M a lh e u r e u s e m ent, nom breux sont
les Amigaïstes qui n'ont
pas en co re fra n c h i le
pas. Les raisons à cela
ne m a n q u e n t pas :
in co m p atib ilité m até­
rielle (pas de MMU, pas
la b o n n e c a rte g ra ­
phique...), impossibilité
de sto ckag e (p lu s de
p artitio ns d isponibles
sur le disque dur, for­
m a ta g e s p ré c é d e n ts
in c o m p a t ib le s ...) ou
to u t s im p le m e n t la
fle m m e . A lo rs , p o u r
Geek : un vecteur-gadgets ?
les applications du monde Linux. Se pré­
sentent alors trois cas. Premier exem ple,
l'application a déjà été recom pilée pour
-p f.
AmigaOS et ne demande pas particulière­
m ent à tourner sous X-W indow. Il en va
ainsi pour les jeux Doom et Heretic, notam­
ment. Dans cette situation, il suffit juste de
détenir la Ixemul.library dans le répertoire
Libs: de son système pour faire tourner le
programme. On ne doit même pas installer
GeekGadgets. Deuxième possibilité, l'appli­
cation a été recom pilée pour Am igaOS,
mais nécessite un serveur X. Ici, elle s'exé­
cutera automatiquement depuis l'environ­
nem ent X-W indow de GeekGadgets, qu'il
faudra donc installer. Troisième éventuali­
té, et de loin la plus intéressante : l'utilisa­
teur aimerait bien disposer sur sa machine
de tous les logiciels Linux testés dans la
rubrique Labo de Dream, mais ne les trouve
nulle part pour Amiga. Eh bien, il suffit que
GNOME HCUMNÏIEX
celui-ci les recompile lui-même ! Ne pous­
Tous les chemins mènent à Gnome.
ment fonctionne d ire c te m e n t sous
AmigaOS, s'exécute sur un bête 68000, se
contente de l'OCS et s'installe dans un
simple répertoire !
Ça sert à quoi ?
directement une grande majorité des logi­
ciels Unix, distribués en G PL) et fonctionne
de la même manière que lui. Oui, il est à
présent envisageable de posséder un envi­
ro nnem ent X-W indow depuis Am igaOS,
avec tout l'exotisme d'Afterstep, le vrai, et
tous les logiciels testés chaque mois dans
Dream en prime !
Com m ent ça m arche ?
Le fonctionnement de GeekGadgets repose
intégralement sur la célèbre Ixemul.library,
laquelle fait croire à tout logiciel répondant
aux normes Posix qu'AmigaOS est un Unix
comme les autres. Autour de cette librairie,
on retrouve, directem ent recom pilés par
sez pas les hauts cris, la plupart des néo­
phytes sous Linux (souvent moins doués
que les Amigaïstes endurcis) procèdent à
cette opération qui, en fait, n'a rien de
vraiment bien compliqué.
A noter que GeekGadgets constitue aujour­
d'hui l'environnem ent de développement
p rivilég ié pour de n o m b reu x p ro g ra m ­
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Reste à élucider la question de l'utilité :
pourquoi installer un tel environnem ent
sur son disque dur, déjà rempli à ras bord
de sharewares pas encore é p lu ch é s ?
Disons que GeekGadgets, au même titre
que Linux sur Amiga, permet d'ouvrir de
nouveaux horizons. On accèd e à une
myriade de logiciels inédits et on se forme
à un autre système en douceur (ce qui
peut s'avérer très pertinent, si Linux conti­
meurs. Cela dit, si vous souhaitez recompi­
ler des applications Linux pour en faire des
applications AmigaOS à part entière, vous
aurez impérativement besoin des librairies
fo u rn ie s p ar le kit de d é v e lo p p e m e n t
Amiga. Nous ne pouvons les fournir gratui­
tement, mais elles séjournent sur le CD-Rom
Amiga Developer d'Amiga International ou
sur les CD GeekGadgets qu'édite l'am éri­
nue à conquérir de la sorte la plupart des
marchés informatiques). Dans la pratique,
GeekGadgets assure une compatibilité au
niveau source avec Linux (c'est-à-dire que
notre machine, tous les outils de base que
propose une d istrib u tio n Linux : Shell,
cain Cronus.
Com m ent ça s'installe ?
commandes Shell, librairies, compilateurs,
déboggueurs, serveur X, etc. Grâce à ces
vous avez moyen de recompiler presque
outils, nous allons pouvoir faire fonctionner
Pour l'h eu re, G eekG adgets est d istribu é
sous forme d'archives Tgz (souvenez-vous,
la W atch to w er), mais devrait à term e se
<! K
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CitU* 0*
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Mille mystères de l'environnement.
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EUchXlog
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t r M lm m
Gadget s'en va-t-en guerre.
□
proche du Shell que ce que l'on trouve
habituellement sous Linux. Continuez en
tapant la ligne suivante :
$ for f i l e
in /cdO /am iga/geekgadget/
d i s t r i b u t i o n / * . tgz
De n o uveau, l'in v ite c h a n g e . Elle fin it
même par disparaître. Continuons :
do
e c h o ”=== $ f i l e ===”
ta r -xzf $ f ile
done
Et c'est parti ! Tous les fichiers se décom­
pressent un à un aux bons endroits. Vous
aurez certain em en t plusieurs messages
d'erreur "Broken pipe" qui apparaîtront.
N'en tenez pas compte, ils n'ont aucune
im portance. Avant d'aller plus loin, nous
conseil'ons fortem ent aux utilisateurs de
Pour jouer cartes sur tableur...
tro u v e r d isp o n ib le au fo rm a t Rpm (le
même que celui des distributions RedHat,
m ais en bien plus p ra tiq u e ). T o u tefo is,
point de panique : l'installation, même si
elle doit s'opérer depuis un Shell, est plus
CDO: A m i g a / G e e k g a d g e t / I n s t a l l a t i o n /
a s s i g n LIBS: G G : S y s / L i b s a d d
p a t h G G :b i n add
a s s i g n b i n : G G :b i n
p ro c e ss e u rs 6 8 0 x 0 de ré c u p é re r une
librairie Ixem ul plus optim ale pour leur
configuration. Elles résident toutes dans
le répertoire GG:Sys/Libs/ ; celle qui cor­
respond le m ieux à votre matériel est à
in s ta lle r d an s le tir o ir Lib s: de vo tre
W orkbench.
Configurons
A partir de m aintenant, tous les exécu­
tables sont installés sur le disque dur. On
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sh
ou moins automatique. La première chose
à faire consistera à décompresser l'archive
Arrivé à ce point, vous rem arquerez que
Boot.Lha depuis le tiroir Amiga/Geekgadget/
Installation/ de notre CD-Rom (ne le faites
l'invite du Shell change (elle a revêtu l'as­
pect d'un "$"). La chose n'a rien d'éton-
pas encore). Cette archive contient tous les
outils nécessaires à l'installation : Tar et
Gzip pour la décompression, Sh pour lan­
ce r un Shell d ans le g o û t d 'U n ix et la
fameuse Ixem ul.libray. Cette dernière est à
nant, puisque notre Shell s'est déjà trans­
formé en quelque chose de beaucoup plus
placer dans le répertoire Libs:. Il convient
de préciser que les possesseurs de cartes
PowerPC préféreront d'em blée utiliser la
version optim isée pour leur processeur,
la q u e lle se tro u v e d a n s l'a rc h iv e
IxemuIPPC.Iha du même répertoire.
Ensuite, il convient de créer un répertoire
d ans le q u e l nous in s ta lle ro n s to u s les
fichiers de GeekGadgets. Q u'im porte son
nom et son emplacement, celui-ci doit être
assigné en tant que "GG:". Imaginons qu'il
s'agisse par exem ple du répertoire Geek,
inséré dans le répertoire DH1:Unix/. Il fau­
drait alors taper (dans une fenêtre Shell) :
Cd DH1: Un ix
M a k e d i r Geek
A s s i g n GG: DH1: U n i x / G e e k
p e u t d ’o re s e t d éjà re c o m p ile r des
sources, co n su lter des docum entations
m an (le fo rm a t de fic h ie rs d 'a id e en
vogue sous Unix), etc. Puisque nous fai­
sons un parallèle avec Linux, imaginons à
présent que l'on souhaite mettre en place
Mon premier programme
Allez ! Que diriez-vous d'écrire votre premier programme en C ? Elémentaire. Prenez un
éditeur de texte quelconque et tapez le code source suivant :
#include <stdio.h>
m a i n ()
p r i n t f ( "Hello W o rld !\n " );
Enregistrez ce script dans un répertoire de votre choix, sous le nom de "hello.c". Puis,
ouvrez une fenêtre Shell, placez-vous dans le répertoire contenant ledit fichier et tapez :
gcc -o hello hello.c
Et hop ! Un nouveau fichier "hello" vient de se créer dans le répertoire courant. Il s'agit
d'un exécutable, qui écrit "Hello World" dans le Shell. Vous voilà déjà programmeur en C !
Mieux, voici ce qu'il convient de faire pour que votre programme devienne le "Hello World"
le plus rapide du monde (imaginons que vous ayez un 68020 et un coprocesseur
arithmétique) :
g c c - 0 2 -m68020 -m68881 - o h e l l o h e l l o . c
Co m m ence alors l'installation à pro pre­
ment parler. Toujours dans le même Shell,
tapez les lignes suivantes :
c d GG:
lha
-m raxe
x
L'argument "-02" apporte à votre programme une optimisation automatique de niveau 2 ;
de surcroît, les arguments "-m..." font en sorte que votre exécutable utilise au mieux votre
configuration processeur !
Il
un véritable environnem ent X-W indow,
configurable à volonté et apte à donner
des airs de stations de développem ent
Unix à notre Amiga. Nous allons donc
commencer par écrire un petit script qui
lancera tout cela. Appelons ce script, au
hasard, Startx (pour singer encore plus
Linux). Le voici :
Assign b i n : GG:bin
Setenv HOME GG:home/
Setenv DISPLAY :0
Path GG:bin add
Path GG:X11R6. 3 / b i n add
choisir son mode d'écran C yb erg rap h X .
Pour d em a n d e r l'o u ve rtu re d'un écran
Picasso 96 ou Aga, il suffira d'écrire, res­
p e c tiv e m e n t,
"P ic a sso @ a sk "
ou
"Amiga@ ask". Par ailleurs, la ligne "Run
tw m " m e t en m a rc h e le W in d o w
Manager, à savoir l'interface graphique à
proprem ent parler. C'est l'une des seules
d is p o n ib le s en v e rs io n de b a se .
Effectivement, elle s'avère assez hideuse et
peu pratique ! Enfin, la ligne "Run xterm"
lance un simple shell fenêtré. Cependant,
revenons à cette interface graphique. De
Ré si den t b i n : s h f o r c e
Stack 200000
Run x -pn - p r i 1 - sc r e e n CyberGraphX@ask
W a itF o rX
toute évidence, elle ne correspond pas à
nos exigences. En vérité, il nous faudrait
la p résen ce d ’une v raie barre d 'icô n e ,
depuis laquelle nous pourrions lancer d'in­
Run xterm
n o m b ra b le s a p p lic a tio n s . N ous a llo n s
donc opter pour le légendaire Afterstep.
P e tit d é ta il q u i a son im p o r ta n c e :
La ligne commençant par "Run x ..." est
celle qui active véritablement le serveur
A fterstep n'est pas d ire c te m e n t e x é c u ­
table, il faut le com piler ! Pour cette pre­
X-Window. L'argument "@ask" ouvrira un
requester perm ettant à l'u tilisa te u r de
mière fois, on ne rencontrera pas la plus
petite difficulté...
Com pilation
Run twm
Nous vous offrons
to u te u n e flo p é e
de co d e s so u rc e s
dans
le
t ir o ir
A m i g a / C e e k
La gazette aux gadgets.
l'archive contient un script autom atique,
"installm e", qu'il suffira d'exécuter (enco­
re une fo is d e p u is un S h e ll sh ou un
Xterm) pour qu'Afterstep aille se com piler
et s'installer tout seul à l'endroit oppor­
tun (icô n es et fich iers de co nfig uratio n
com pris).
Attention, il y a un piège : l'archive ren­
ferme un fichier "Install" et un répertoire
"install" à la racine. Sous Linux, cela ne
po se a u c u n p ro b lè m e , c a r le sim p le
e m p lo i d 'u n "i" en m in u s c u le et d'un
autre en m ajuscule suffit à faire la diffé­
re n c e e n tre les d e u x e n t it é s . So u s
AmigaOS (n'oublions pas que même sous
l'e n viro n n e m e n t de G eekG adgets, nous
sommes toujours sous AmigaOS), il en va
tout autrem ent : cette différence n'inter­
vien t pas. Par ailleurs, on pourra large­
m ent se passer du fichier "Install", qui se
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G a d g e t/B o n u s/
A p p lic a t io n s / de
notre CD -Rom et,
p a rm i c e u x - c i, se
trouve Afterstep. La
procédure de com ­
p ila tio n c la ssiq u e
consiste à d éco m ­
p re s s e r l'a r c h iv e
dans un répertoire
Un gadget et un petit pot de leurres ?
F»#
D e s tin a tio n
Sand
ta n in
temporaire (avec la
co m m and e T a r,
d e p u is un S h e ll
Sitc fc V
•Se ileX t/
d o tf llr /
« H tV
r 3 K a u J t.p t
Fa* Soo*
J F i n n R a c o lu tio n
r
On se déplacera ensuite dans le répertoire
où A fte rste p s’est d é c o m p re ssé (v o tre
répertoire tem poraire, puis X/Afterstep/)
et on tape :
AmigaOS, depuis sh
ou e n c o re d ep u is
un X te r m ), de la
in stallm e
manière suivante :
T a r - x z f <nom de
1 ' archive>
Ensuite, il convient
de lire le f ic h ie r
(le n o m b re de co u le u rs du m ode g ra ­
phique de X-Window, etc.) et la com pila­
tion prendra un petit m om ent (plus ou
m oins lo n g , su iva n t vo tre p ro cesseu r).
Pour la n cer A fterstep , il faud ra ensuite
rem placer le "run twm " de notre script de
Install ou Readm e
et de ta p e r, d ans
un S h e ll sh ou
dém arrage par un "run afterstep". Afin de
configurer Afterstep selon ses désirs, il suf­
fit d'éditer la fichier etc/X I l/.s te p rc et de
X term
(u n iq u e ­
ment, cette fois-ci),
u n e à u n e , les
co m m an d es qui y
m odifier tous les param ètres au fur et à
sont précisées. Pour
Afterstep, la ch o se
même si vous n'y avez encore passé qu'un
pied !
Yann Serra
Q u ic k Fan----fa x 8o dy t
limite à un fichier texte de présentation.
On déco m pressera donc l'a rch ive , sans
intégrer ce fichier, avec la ligne suivante :
Tar -x z f a f t e r s t e p . t g z --e x c lu d e
In stall
Plusieurs questions vont vous être posées
a f ter* te nd
J P r in t a f w
Msnd
r H o njto r Q lip a tc n
J Gi-ow) C o « * r th t e t
TEN ooo
rr'.traekrr
1,
Mais où sont passés les gadgets?
se voit facilitée, car
mesure.
Soyez les bienvenus dans le monde d'Unix,
QUERELLE
Sun révolutionne le
marché du logiciel...
... et
d o n n e des
leçons à
SGI
un propose un logiciel qui pourrait
S
transform er le monde de l'Infor­
matique en réseau ; il s'agit de Jini,
le q u e l u tilis e ]a v a . Sun a ré u n i un
nombre im pressionnant de partenaires
autour de ce projet, dont Sony, Philips,
Quantum, Toshiba, Seagate et HewlettPackard. Trois sociétés tentent de faire
barrage à ]ini : Microsoft, IBM et Lucent
T e c h n o lo g ie s . La p re m iè re so u tie n t
l'Universal Plug and Play, la seconde se
déclare en faveur des "home servers" et
la dernière défend son système d'exploi­
Avec Java, Sun n'est pas prêt de boire la tasse.
tation Inferno. En fait, jini est un logiciel
apte à fonctionner sur quasiment n'imp o rte que| type d,apparei, domestique,
de la télévision au micro-ondes, en passant par les périphériques informatiques traditionnels. On
pourra ainsi utiliser Jini pour des applications très diverses : E-mail, programmes à péage, télévision
interactive... Il existera bientôt une passerelle logicielle, pour relier jini au réseau Home Audio-Video
interoperability (HAVi), système utilisé pour faire communiquer les appareils audio et vidéo de tous
L'Octane de SGI.
Silicon Graphics se tourne de
plus en plus vers les logiciels
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
les jours. En guise d'exemple, précisons que la technologie Jini s'utilise dans un appareil photo numé­
rique. Celui-ci, équipé d'une Java Virtual Machine et de Jini (pour un total de 50 Ko de code), peut
com m uniquer via un réseau Ethernet et stocker ses images sur le serveur. Point important : Jini se
révèle totalem ent autonom e et ne nécessite pas l'usage d'un autre système, même s'il s'agit de
Windows.
Des sources disponibles
Sun a aussi fait un pas dans le sens de l'ouverture, en proposant la notion de "community source" Le
source des produits de chez Sun se trouve à la disposition du public, mais n'est pas libre. Sun garde
donc un certain contrôle sur l'utilisation qui
sera faite de son code. Les développeurs ont
m ain ten an t la po ssibilité de té lé ch arg e r le
code source d'un produit appartenant à Sun,
de l'adapter et de vendre le résultat avant de
payer la moindre commission à Sun. Dernière
gratuits et les utilisateurs pas­
sionnés. C'est ainsi qu'il propo­
se un site (ftp://freew are.sgi.
co m /ind ex.h tm l) regroupant
l'ensem ble des logiciels gra­
tuits, disponibles sur sa plate­
form e. D'un autre côté, Sun,
qui se p ré se n te co m m e le
nouveau héraut de l'alternatif,
fu s tig e S ilic o n G ra p h ic s ,
d e p u is que c e lu i- c i a fa it
s a v o ir q u 'il u t ilis e r a it des
Pentiums et Windows Nt pour
ses fu tu rs p ro d u its. E ffe cti­
vem ent, SGI crée une triple
avancée, Sun propose des licences gratuites de
ses applications de développement Java, pour
cassure en changeant de pro­
cesseur, en passant d’un systè­
me d'exploitation 64 bits à un
système 32 bits et en choisis­
sant W indows N t à la place
d'un Unix, sans compter sur le
fa it que les v e rsio n s de
les écoles et universités. Pas moins de 560 000
établissements scolaires dans le monde entier
sont concernés par cette offre.
Windows Nt se succèdent régu­
lièrement et que la compatibi­
lité inter-versio n s n'est que
rarement assurée.
Sun critique donc vigoureuse­
ment les décisions de SGI, et
ne m anque pas de faire un
Bas prix, c'est Jini ?
Présentation de Jini.
peu de publicité pour ses sta­
tio n s U ltra 5 et 1 0, dont il
garantit la pérennité.
ECONOMIE
Sun se met
à W indow s
Reventes multiples
chez Corel
Quelques mois après la créa­
tion de la d ivision C orel
Computer (www.corelcomputer.com) et du développement
de la gamme des NetWinders,
des machines sous Linux et
équipées d'un StrongArm, Corel
Corporation (www.corel.com)
c h a n c e , H a rd w a re C a n a d a
C o m p u tin g se m b le ê tre en
mesure d'assurer le développe­
ment et la distribution de cette
g am m e de m a c h in e s . Pour
m é m o ire , C o re l a v a it d éjà
effectué une transaction iden­
choisit de revendre cette
branche à Hardware Canada
Computing (w w w .h cc.ca) et
tique avec la société Graphon
Corporation, en lui cédant sa
technologie jBridge, un outil
permettant d'accéder aux ap­
gagne ainsi 25 % des parts de
cette dernière so ciété. Par
plications Windows à partir de
machines disposant de java.
•
(flle/mnf
E lle
Iy p e s
R eaiA uij «
fcmedia | f
Options
C o * y r* h c
KM ex <2
Sun vient de franchir un pas,
en offrant aux utilisateurs de
ses stations la po ssibilité de
fa ire to u rn e r W indows. Une
carte sera bientôt disponible
p o ur m oins de 5 0 0 d o lla rs.
Toutefois, celle-ci ne représen­
te pas pour autant une franche
ouverture au monde W intel :
e lle po ssède un p ro ce sse u r
AMD K6-2 à 300 MHz et tour­
ne sous DR-DOS, le système de
Caldera (conçu sur les bases
du C P /M de G a ry K ild a ll).
L'installation de Windows reste­
ra à la discrétion de l'utilisa­
teur. Celui-ci disposera ainsi de
deux machines en une seule et
aura loisir d'exploiter Windows
sur un écran ad d itio n n el ou
dans une fenêtre Unix. A ceux
qui indiquent que cette solu­
tion ne constitue pas le nec
• Prochains salons
Journée Linux et logiciels libres
(Parinux) le 14 février à la Villette.
www.capway.com!berger!14Jevrie
r.html.
"Install/est Linux ” au MétaFort
dAuberviUiers le mêmejour.
www.eleves.ens.frl/iomelIandaulPa
rinux/IP_14-02-1999.html.
Silicium 99 (association M2000
Informatique) les 27 et 28 février à
la Villeneuve d'Ascq (près de Lille).
Ouvert à toutes plates-formes et
tous systèmes.
http://home,nordnet.fr/- m2000.
• Prochaines Coding
P arties
Ukonx Party (Amiga, PC, Linux)
99 du 9 au 11 a vril 99 à Vesoul
(70), salle Parisot.
www.multimania.com/ukonx99,
pour les détails...
Volcanic Party 5 du 19 au 21
février à Cournon (près de
ClermontFerrand)
Se/vo 99 en février...
Pour plus d'informations, faites un
tour sur : http:llojuice.citeweb.net
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Dans ses choix commerciaux, Corel est hardi.
plus ultra, Sun répond fort jus­
tem ent que "cette carte n'est
p a s d e stin é e à a jo u te r une
valeur à nos stations. Il s'agit
juste d'un moyen visant à rédui­
re le nombre de raisons pour les­
quelles les utilisateurs ne nous
achètent pas"
Nouveaux jeux
pour Linux
Loki Entertainment Software (http://
www.lokisoft.com), avait annoncé
son intention de développer le mar­
ché ludique sous Linux. Voilà chose
faite avec l’annonce de la diffusion de
Civilization : Call To Power, la suite de
Civilization II, qui sortira en même
temps que la version Windows déve­
loppée par Activision. Cette mouture
sera strictement identique à celle
d’Activision, puisque l’accord entre les
Interîles, présenté par Linux.
deux sociétés stipule que Loki utilisera
directement les sources de la version Windows.
Dans le même ordre d’idée, faisons porter à présent notre attention sur la Jlib ; il s'agit d'une librairie
pour la programmation de logiciels de divertissement en 2D. Celle-ci permet de créer indifférem­
ment des jeux pour DOS, Windows, Linux et X I 7. Cette petite merveille se trouve disponible dans sa
version 2.2, sur le site de l'auteur, http://jlib.future.easyspace.com/jlib/.
AMIGA
ATARI
LINUX
RISC PC
BEOS
OS/2
DIVERS
MATERIEL
• M eilleur support
des CDs sous Risc OS
Une nouvelle version du module
Cdfs se trouve en cours de
développement. La dernière
disponible commençait effectivement
à dater un petit peu et souffrait de
plusieurs lacunes. Le nouveau
module, CdromFs, est lefru it de
développeurs indépendants
d'Acom. I l permettra enfin de
reconnaître les noms de fichiers
longs, utilisés dans les formats
Joliet (Microsoft) et Rockridge
( Unix). La reconnaissance des types
de fichiers en fonction de l'extension
se verra aussi améliorée. Ce
programme s'appuiera sur le
module Cdfs d'origine, ce qui
garantit le support de nombreux
lecteurs.
—
A daptec s'investit dans Linux
Le monde des drivers pour Linux a toujours été
assez m o uvem enté ; en effet, les sources de
ceux-ci sont livrés avec le système, ce que cer­
des drivers sous Linux. Notons que c'est la distri­
bution de Caldera, la RedHat, qui profite en pre­
mier de cette avancée.
tains fabricants n'acceptent pas. Un des premiers
problèmes rencontrés concerna les cartes gra­
phiques S3, dont le développeur ne voulait pas
d o n ner les sp écificatio n s. H eureusem ent, les
choses ont bien changé depuis. Dernièrement,
c'est Neomagic qui a cédé en proposant un sup­
p o rt p o u r ses pu ces g ra p h iq u e s . T o u t cela
explique pourquoi les cartes d'extension à succès
ne sont pas toujours les mêmes dans le monde
Windows et Linux. Pour favoriser l'utilisation de
ses cartes Scsi sous Linux, Adaptec (w w w .adap­
tec.com ) propose un kit de développement de
drivers Ultra2, qui réunit des outils logiciels et
une large docum entation. Cela a pour résultat
une amélioration de la vitesse et de la stabilité
-----------CONSTRUCTEUR
Un nouvel épisode dans la saga Acorn
Lecteur de CD-Rom.
A corn C o m p u te r Lim ited a disparu au pro fit
d'Element 14 (w w w .e-14.com ), juste au moment
respond à ses b e so in s. A n o te r q u 'E-1 4 ne
reprend que les activité s Set Top Box, Thin
• Un nouveau service
chez A m iga Inc.
Amiga Inc. vous propose de
participer à la FAQ de lAmigaOS
3.5. Celle-ci réside à l'adresse
vmw.amiga.eom/3.5/faq.shtml et
s ’accompagne d'un formulaire vous
invitant à poser vos questions.
où Risc OS 4 sortait officiellement. Leur souhait
est de se concentrer sur le développem ent de
technologies et de logiciels vendus sous licence.
Cela rappelle le mode de fonctionnement d'Arm,
qu'E-14 souhaite imiter, car il espère obtenir le
même succès. Pour le groupe, il semblerait que
la vente des Ne et Set Top Box soit en très forte
hausse et constitue plus de 80 % de l'activité
d'Acorn.
clients et développements hardware et software,
l'Acorn Computer Group ayant toujours la possi­
b ilité de c o n tin u e r ses a u tre s a c tiv ité s .
Malheureusement pour les utilisateurs, la firme
continue de se désolidariser du marché des sta­
tions de travail : dernièrement, Acorn a vendu
ses parts d'Xemplar à Acorn, coupant ainsi défini­
tivem ent les ponts avec le m arché anglais de
l'Education.
Les disk m ag A tari
regroupés
Patrick Ramskindt a pour
ambition de regrouper tout les disk
mag Atari sur un CD-Rom, qui
risque d ’être particulièrement
rempli. Ce CD coûtera 190 francs,
ce qui s ’avère tout de même plus
économique que l'équivalent en
disquettes.
Un des projets de la société concerne la création
d'un processeur possédant des capacités pour le
m ultimédia. L'entreprise se trouve évidem m ent
en b o nn e v o ie , p u isq u e le StrongA rm 1500
Le devenir des Risc PC
La branche Risc OS fait maintenant partie d'un
nouvel ensemble, le Risc OS Limited (et non pas
R isc O S ), cré é p ar le S te e rin g G ro u p , un
ensem ble d'acteurs indépendants d'Acorn, et
destiné à favoriser le
d é v e lo p p e m e n t de
Risc OS 4. De plus,
des rumeurs parlent
d'une nouvelle carte
mère pour le Risc PC,
qui serait disponible
po ur le m ilieu de
cette année et repren­
drait les technologies
du défunt Phoebe :
mémoire SDRam, Bus
à 64 MHz, Risc OS 4
en standard, nouveau
chip vidéo et interface
Ide inédite. Il ne man­
querait plus que l'ac­
cord d 'A co rn pour
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
•
développé conjointem ent avec Arm et Intel cor­
Le Set Top Box d Acorn.
L
• Un nouveau service
chez Am iga Inc.
Arniga Inc. vous propose de
participera la FAQ de l'AmigaOS
3.5. Celle-ci réside à l'adresse
www.a7niga.coml3.5lfaq.shtm! et
s'accompagne d'un formulaire vous
invitant à poser vos questions.
APPLICATION
Logiciels de haut niveau
pour stations Acorn
PowerPoint a trouvé son m aître
Spacetech (w w w .spacetech.co.uk) vient
de sortir un nouveau produit, Ohp, qui
apparaît comme un outil de présentation
très supérieur au classique PowerPoint.
Rappelons que Spacetech nous a habitués
aux logiciels d'exception, puisqu'il distri­
bue aussi Photodesk 3 et TopModel 2.
Cerilica Vantage d'Astute Graphics
Cerilica Vantage (www.cerilica.com) est le nou­
veau nom de l'application d'Astute Graphics. Au
• Les disk m ag A tari
regroupés
Patrick Ramskindt a pour
ambition de regrouper tout les disk
mag Atari sur un CD-Rom , qui
risque d'être particulièrement
rempli. Ce CD coûtera 190 francs,
ce qui s ’avère tout de même plus
économique que l'équivalent en
disquettes.
Ohp de Spacetech.
départ, on parlait de ce projet sous le nom de
Draw 4, puis sous celui de Project Avante.
On peut le co m p a re r à A rtw orks, auquel on
aurait rajouté de nom breuses fo n ctio n nalités,
principalem ent en ce qui concerne la gestion de
la transparence. On est en droit de s'attendre à
un produit supérieur au vieillissant Artworks et à
son successeur, Xara, disponible uniquem ent
so u s W in d o w s. C e ric ilia V a n ta g e , O v a tio n ,
P h otod esk... voilà donc trois ap p licatio n s qui
écrasent littéralem ent le trio lllustrator, XPress,
Photoshop. Nos am is belges ne s'y so n t pas
tro m p é s, puisq ue les sta tio n s A co rn resten t
un ch o ix de
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
(p )ré fé ren ce
p o u r le u rs
tr a v a u x de
Cerilica Vantage d'Astute Graphics.
j -7 *
Pao.
NOYAU
Linux 2.2.1 est
disponible !
Trw* Uttumt** PfOCcssc*
Passez
Après plusieurs mois d'attente, voici la très attendue nouvelle ver­
sion stable du noyau de Linux. Techniquement, elle n'apporte rien
de neuf par rapport aux dernières versions de développement ;
cependant, il s'agit bien là d'un pavé dans la mare de Microsoft et
des autres Unix, puisqu'on peut désormais disposer d'une version
finalisée d'un système d'exploitation stable et fiable et proposant
de nombreuses fonctionnalités, comme la gestion d'une pléthore
de périphériques, de systèmes multiprocesseurs et de possibilités
réseau très étendues, qui vont de Nfs en passant par Samba, sans
oublier la gestion optimale des problèmes de sécurité via un fire­
wall. Les derniers noyaux Linux sont disponibles sur le site LinuxHQ
(www.linuxhq.com). La mise à jour se compose d'une archive de
taille importante (plus de 12 Mo), comprenant le noyau et la mise
à jour des utilitaires de base.
ALinuxHO
AlphaPowered
i l : 01
3 3 3 3 - F a x :Ü 1 41 1 8 9 9 3 0
e-m aài : h ,in a n x u i a w a n a d o o .f r
LinuxHQ.
Ha m su n
POCKET
• Appel aux
prog ram m eurs Acorn
Paul Middleton
([email protected]) de
RiscOS L td a lancé un appel à la
communauté de programmeurs
Acorn. Il souhaite en effet réunir un
maximum de compétences, dans le
but de développer de nouveaux
projets, qui permettront aux
programmeurs de travailler en
free-lance. Si Paventure vous tente,
il ne vous reste plus qu \à lui
envoyer une liste de vos domaines
d'activité (basic, assembleur, C), de
votre matériel et de vos moments de
disponibilité. La liste ainsi créée
pourra aussi être communiquée à
d'éventuels employeurs.
Linux enfin sur Psion
Nous avions déjà parlé du por­
tage de la RedHat pour Psion
Sériés 5. Le projet semble avan­
cer à grands pas, les utilisateurs
pouvant enfin activer leur sys­
tème favori sur les machines de
p o c h e à b a se d 'A rm 7 1 0 0 ,
c'est-à-dire le Psion Sériés 5 et
le G eofox.
A c t u e lle m e n t , le p o rta g e se
révèle très som m aire et co m ­
p o rte un n o y a u , a in s i q u e
quelques utilitaires de base. De
su rc ro ît, il faut v e ille r à bien
sau ve g ard e r ses d o nnées, car
l'installation de Linux risque fort
Affichage d'un Gif sous Linux.
d 'en traîn er la suppression des
• Le Pentium III dénonce
sur le Net
Le futur Pentium d ’Intel dispose
d ’un numéro électronique
d'identification. Celui-ci
permettrait au processeur de
divulguer diverses informations
lors de connexions à Internet. Des
groupes d ’utilisateurs ontfa it
pression auprès d'Intel pour qu’i l
modifie cette nouvelle
"fonctionnalité". Finalement, Intel
(http:Hsupport.intel.com!support!pr
ocessorslpentiumiiilpsu.htm)
conserve le principe de la clé
d'identification, mais accorde la
possibilité d ’interdire l ’accès à celleci (ils'agira de l ’option p a r
défaut).
lecteurs créés par Epoc 32, le
système d'origine du Psion.
Le fait d'avoir Linux sur Psion ne
se limite pas à un simple pari de
d é v e lo p p e u rs : son é cran de
c a p a c ité c o rre c te , ses c a rte s
Com pact Flash pouvant attein­
dre 64 Mo et la puissance de
son p ro c e s s e u r, é q u iv a le n te à c e lle d 'u n
Quelques fichiers du répertoire /proc.
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
486SX33, assurent un fonctionnem ent très cor­
rect à ce système d'exploitation.
L'arrivée de Linux sur Psion est concom itante à
c e lle d 'a u tr e s p la t e s - fo r m e s , c o m m e les
m a c h in e s so u s W in d o w s Ce ou m ê m e le
P alm p ilo t, qui p o u rra it p ro fite r du nouveau
Linux 68k pour machines sans Mmu.
Plus de renseignements au sujet de Linux 7k se
trouvent sur le site w w w .calcaria.net. La docu­
m e n ta tio n c o n c e r n a n t l'in s t a lla t io n de
L in u x 7k ré s id e p o u r sa p a rt su r le site
http://inanna.ecs.soton.ac.uk/~sw h/LinuxPsion
/D ocum entation/booting.htm l
PROCESSEUR
Arm : num éro un ?
L'architecture Arm (w w w .arm .co m ) représentet-elle la plus utilisée des architectures Risc 32
bits ? Cela semble probable, quoique les chiffres
officiels ne soient pas encore disponibles. Les
chiffres prévisionnels annoncent plus de 40 mil­
devant Hitachi et Mips, dont les ventes s'effri­
ten t avec celles de la Playstation. Treize ans
après la sortie du premier Arm, la petite société
anglaise se place déjà comme le numéro un de
la technologie Risc 32 bits. L'Arm 9 se vend bien,
lions de puces vendues en 1998 (les technolo­
gies x86 et 68000 se construisent à environ 100
millions d'exemplaires chacune). 70 % des télé­
phones cellulaires qui se vendront cette année
s e ro n t à base
de tech n o lo g ie
\'Arm 70 est à l'étude et l'Arm 7 7 se trouve déjà
dans le pipeline de développement. Mais atten­
tion : ici, chaque nouvelle version apporte un
accroissement de la vitesse d'un facteur, allant
de 2 à 3, et ceci pour une consommation sans
cesse revue à la baisse.
Les chiffres de la croissance d’Arm s'avèrent aussi
A rm , p u is q u e
ces processeurs
et Motorola, les
trois sociétés les
en forte hausse, avec 7 millions de processeurs
en 1996, 11 millions en 1 997 et plus de 40 mil­
lions en 1998, pour un total de 35 partenaires.
La société se permet même d'investir un nou­
veau m arché en proposant trois logiciels pour
l'accès aux réseaux ; une pile TCP/IP, un module
plus importantes
du marché.
Arm passe donc
PPP et un serveur Web. Le module PPP sature
une ligne de 64 Kbps avec 1MHz de la puissan­
ce d'un Arm 9TDMI... Une performance.
équipent les téI é p h o n e s
d'Ericsson, Nokia
Arm, numéro un de la
téléphonie.
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Administration Réseau sous Linux "O'Reilly" (368 p.) (FR)
Linux in a Nutshell 0 Reilly (579 p.) (FR)
Td/Tk 11/98 (Walnut Creek)
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Hobbes OS/2 04/98 (Walnut Creek)
Les bases de l'administration système "O'Reilly" (768 p.) (FR)
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Linux Complété Command Reference "Red Hat" (1500 p.) US
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CH Je règle par chèque à l'ordre de MCD2 Diffusion
I I Je règle par Carte Bancaire en reportant son n° ci-dessous
- C.P
1I I I I I I I I I I I I I I I I
h ttp ://w w w .m cd 2 -d iff.fr
email : m cd2@ m cd2-diff.fr
expire :
ECONOMIE
PEOPLE
• iMac : le succès
continue !
Outre-Atlantique, l'iMac occupe la
quatrième place au classement des
ventes d'ordinateurs, pour ce
dernier trimestre, avec une p a rt de
6.2 % des machines vendues.
Compaq, pour la même période,
tient le rôle de leader. Apple reste
un des constructeurs les plus
réguliers à ce niveau , et cela, grâce
justement à l'iMac.
Son chien s'appelle Linux !
Fran cis p e n d a n t la
durée de l'émission.
r-*e'
ZIKWEB
A la < v < t
A J o Um
P U Y 4 JST
U t 3 pronMM mrw d* «o»* dota
O T>aCOafiE.Hy«a»«
O MATVUTAH.Cm »
0
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lien»
R .'ao u w « n n
A l»<J»
velle s de L in u x ! Il
s'a g it en e ffe t du
nom qu'il a donné à
son chien, une ado­
rable femelle Golden
t>« u x r r e io roua u n i
C D'ISSIM TIILS
Tou» l o t m I ( i
O
l £ 0 2EPPCUN »V-/1
O M K-lK tüM K t ■
0 AG0C MI«J*nr»ytoh«0 n
En pleine échappée belle, Zégut.
In fo rm a tiq u e et m u siq u e se
marient fort bien : cette idée a
donné naissance à Zikweb, une
ém ission anim ée par Francis
Zégut sur RTL, tous les soirs de
iMac.
Il arrive en couleur I
Vous pourrez ainsi lui
dem ander des nou­
ffT L M U S IQ U E
la semaine, de 20 h à minuit.
Tonton Zézé y fait part de ses
découvertes (musicales ou non)
sur le W eb, avec son enthou­
siasm e c o m m u n ic a tif ! Les
connectés au Net ont non seu­
lem ent l'opportunité de voter
pour le passage à l'antenne de
leurs chansons préférées, mais
peuvent égalem ent participer
en direct, puisqu'un channel Ire
(#zikweb) donne à tout un cha­
cun la liberté de dialoguer avec
que
R e trie v e r. Et p o u r­
quoi Linux l."P a rc e
ça cla q u e q u a n d on
l'appelle", d ixit Francis, qui a
déjà retrouvé des BeOS enterrés
dans son jardin...
h ttp ://w w w .rtl.fr/zik w e b /zikweb.htm
La bourse
s'affole
pour
les valeurs
du Net
Quelle frénésie s'empare donc
des analystes financiers ? Fin
janvier, le monde économique
a a ssisté à la plus g rand e
absurdité du siècle : Yahoo a
pris le contrôle de Geocities
pour 4 ,7 milliards de dollars
(2 7 m illiard s de fra n c s ). Le
m êm e jo u r, Ford ra ch e ta it
Volvo po ur 6 ,5 m iliard s de
dollars. A peine plus de deux
m illia rd s de d iffé r e n c e ...
P o u rta n t, les poids é co n o ­
m iq u es de G e o c itie s et de
V o lvo so n t sans co m m u ne
m e su re : V o lvo ré a lise un
chiffre d'affaires de 12,5 mil­
liard s de d o lla rs, alors que
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
m
Après avoir triomphé d'Unix,
il faut apprivoiser Linux.
tV E O P T io A )
A b iÜ C O tiZ
i s s r e m e r s e s s s h s u r. l W s i u q b k b
a r r iF / a e u B
,c e
CaUOMQhJVh.
s
Geocities a récolté un chiffre
mille fois moindre, avec "seu­
lement" 18,4 millions de dol­
lars ! De plus, Geocities repré­
sente une entreprise abonnée
aux déficits : la firme dépense
deux fois plus d'argent qu'elle
n'en engrange. Geocities ne
constitue qu'un exemple : des
actions peuvent gagner 50 %
en un jour (Broadcast.com) ou
progresser de 966 % en une
a n n ée (A m a z o n .c o m ). Ces
em bellies m ettent en valeur
certaines aberrations : la valo­
risa tio n d 'A m e rica O nline
excéd erait de plus de 30 %
ce lle de G e n eral M otors et
c e lle du site de ve n te aux
en ch ères eBay est h uit fois
supérieure à Sotheby's. Face à
cette situation, lan Greenspan,
p ré s id e n t de la Réserve
Fédérale Am éricaine, a com­
menté de manière assez mala
droite cette flambée du mar­
ché : la plupart des firmes de
l'Internet "vont probablement
disparaître" et l'investissement
d ans ses m a rch és "est une
véritable loterie". Faut-il pré­
voir un crack du Nasdaq ?
Art studio pro cd
260 F
Asim cdfs 3.9a V F
355 F
Burn It 2.12D AO
690 F
Candy factory pro cd........ 349 F
Cybergraphx 4
179 F
Deluxe paint 5 cd
219 F
Digibooster P r o
287 F
Dopus magellan 2
490 F
Opus plus cd
219 F
Fantatsic dreams cd......... 599 F
Get connected
519 F
LOGICIEL
Magician 1.1.0 sur OS/2
La société Arcane Technologies annonce la sortie de Magician
(www.arcana.co.uk/products/magician) pour OS/2, ainsi que sur
SPARC/Solaris, Intel/Solaris et Irix 5.x/6.x. Magician existait déjà sur les
plates-formes Linux et Windows 95/98/NT et se révèle entièrement
compatible avec la version 1.2 du Jdk.
Magidan permet de dévelop­
per des applications OpenCI
!
f
en java. Ce logiciel fournit
des possibilités d'accélération
hardware pour la 3D. Les
prochains portages prévus
seront pour MacOS et BeOS.
Le produit coûte entre 150 et
1000 francs en fonction du
type de licence choisi.
Amiga 1300 Tower
3099 F
(Miami +lbrowse + Yam)
Tower infinitiv à partir de......... 890 F
Network PC + cable II....... 225 F
Tower Infinitiv II à partir de....1250 F
•§
Oxyron patcher
139 F
Lecteur de disks HD interne....525 F
c
<ü
Pfs 2 cd
340 F
Nappe IDE 2.5 > 2x3.5, 70cm
99 F
£
Scala MM400 cd
535 F
Quadrupleur IDE
95 F
£
Superview suite
215 F
o
Disque dur IDE 3.5, 3.2 G O ......989 F
o
Turbocalc 5.1 cd V F .......... 495 F
Disque dur FS C S I 3.5, 2 GO...1450 F
Turboprint 7
395 F
Disque dur UW SCSI, 4.5 G0..2090 F
Ultimate blitz basic cd...... 195 F
Lecteur cd-rom ATAPI x 36
380 F
Wordworth 7 cd V F........... 449 F
8
Lecteur cd-rom SC SI x 40
1140 F
Graveur SC SI Plextor x4........ 2550 F
Flying hight cd
175 F
Blizzard PPC 603e 160 Mhz,
Foundation cd
269 F
68040/25 Mhz
2090 F
Genetic species cd............269 F
Bvision P P C
1490 F
<D
Myst cd
359 F
Carte son 16 bits Préludé
1890 F
2
Olofight
229 F
4)
Simms 16 ou 32 Mo 60 n s.......... NC !
V)
On escapee cd
279 F
Rom 3.1 A500/A1200
220 F
Samba world cup cd......... 253 F
3
Rom 3.1 A3000/A4000
315 F
O
Ultimate Sskidmarks cd...189 F
>
Souris Amiga 2 bouttons......... 145 F
Virtual karting 2
179 F
Adaptateur souris pc
177 F
Vulcan cd bonanza........... 239 F
*C
Joypad Honeybee
175 F
Vulcanology cd
185 F
3
Digitaliseur audio + soft............330 F
U>
Aminet 26, 27, 28 ou 29
80 F
Interface Midi
277 F
3
CD
Aminet set 5, 6 ou 7
205 F
Cable parnet 3 m + soft............139 F
0)
“O
Amimes babes S E .............167 F
Adaptateur écran VGA
85 F
S Amiga format cd
39 F
Scandoubler interne A1200 659 F
C
Cartoon clipart
145 F
Scan/Flicker A1200 interne...... 890 F
3
Gateway 3 (2cd)
75 F
Scandoubler A1200T/A4000 595 F
Golden demos
85 F
Scandoubler externe
....... 710 F
Magic pubiisher
179 F
Kit connectique Cyberstorm :
Mods anthology
195 F
Nappe UW et terminaison active
R hs erotic
95 F
+ adaptateur UW > S C S I,
Workbench designer %....120 F
nappe et sortie externe scsi....595 F
Nous acceptons les chèques, cartes bancaires ou m andas.
Frais de port VPC : logiciels 35 F, matériel 8 0 F t tour oumc ran 100F.
Horaires : du lundi au vendredi 10h-12h30 e fy lh - 1 9 h *
y*»»**»
La 3D sous OS/2.
TECHNOLOGIE
Incroyable : des dessins
dans les processeurs IVlips !
La Silicon Créatures Gallery ( http://m icro.m agnet.fsu.edu/creatures/) propose des prises de vues au miscroscope de processeurs.
e-
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Ces vues sont réalisées par des spécialistes, qui passent tous les
objets possibles sous la lentille de leur microscope. On trouve énor­
mément de dessins gravés sur nos chères petites puces, ce qui
prouve, si besoin était, que les ingénieurs ne manquent pas d'hu­
m o u r. Les m ic ro p ro c e s­
se u rs les p lu s s o u v e n t
"tatoués" sont les M ips,
qui offrent un bestiaire ori­
ginal allant de la fleur au
chien, avec une m ention
bien pour deux dinosaures,
le mythique Godzilla et un
ty ra n n o s a u re trè s ro ck ,
tous deux trouvés dans un
Mips R I2000. En deuxième
position, les Hp-Pa consti­
tuent aussi des processeurs
Découvrez les astuces
et solutions des derniers jeux
PC et console !
3615PCTEflH
LISTE des titres disponible
M
HH
HU LHT KHh H
HHi
1
T o
f‘ I h B f t L L
Z
très "imaqés"
G o d z ill a .
A4
fleus e
5
fi C E 3
or
THE
DEEP
6
ACES
or
THE
PACIFIC
7
fiCES OVER EUROPE
ACHTUNG S R I T R I P E
ACTION 30CCER 96
fiC TUA S O C C E R
W D V f i N C E O T A C T I C AL
ADVAMTf i OE T E N N I S
fi F T E R 6 U R N E R
ArTEP
T H E WAR
AETEFL IRE
8
9
10
I I
\Z
13
14
15
E.T. rocks.
fi-TRAIM
Z
4
NETWORKS
F IGHTEfti
Plus de 3000 astuces
Plus de 6500 logiciels
eu téléchargement
Plus de 1000 petites annonces mises à jour
A LP H A
• La guerre du Net
aura lieu
S i dans la région du Golfe
Persique, la crise militaire (et
physique) a pu être évitée, les
combats semblent désormais se
déplacer sur le Net. Ainsi, un jeune
Israélien de quatorze ans, féru de
réseaux, a réussi à s ’introduire sur
un site gouvernemental irakien
pour en effacer toutes les données...
E t que! système utilisait le pirate en
herbe ? Linux.
* Encore des drivers
pour Linux
Creative Labs travaillerait sur des
drivers Linux , pour ses cartes son
et vidéo. Les pilotes pour les cartes
vidéo intégreraient également un
support des chips 3D.
• Serveur Quake
pour les A m igaïstes
Depuis août dernier; un serveur
Amiga dédié à Quake a vu lejour.
Il fonctionne du vendredi soir
2lhÛ0 au lundi matin et tous les
jours de semaine de 21hQ0 au
lendemain matin.
Pour les amateurs de Quake qui
voudraient en savoir plus et
télécharger des rnaps :
www. kawo2. rwthaachen.del-hamillerlcrlinfo.html.
L'alternative selon Compaq
Aux Etats-Unis, Compaq vient de commercialiser, par le biais de ses revendeurs, toute un gamme de
stations Alpha sans licence logicielle associée, com m e c'était le cas jusqu'alors. Il n'y a plus de
Néanderthal Technology obligatoire pour votre belle machine ; en outre, vous bénéficierez ainsi d'une
authentique liberté de choix, pour un investissement enfin raisonnable ! Merci Compaq ! Au fait,
quand la même chose se produira-t-elle en France ? Certains distributeurs de matériel Alpha ont par le
passé tenté d'effectuer une opération similaire et ont connu les pires difficultés. Il est à espérer que
cette possibilité traversera rapidement l'Atlantique, et s'étendra également aux gammes de machines
équipées de processeurs Intel. Par ailleurs, le support et l'investissement du groupe Compaq/Digital
dans son Unix propriétaire sont loin de décliner. L'annonce de la dernière version de Digital Unix est
attendue pour le début de l'année, avec un changement de nom, à savoir True 64 Unix ; il convient en
effet de rappeler qui a réellement innové dans le domaine des Unix 64 bits. Enfin, les
forces vives vouées à Linux au sein de la compagnie se voient
renforcées : au côté de John 'Maddog' Hall,
Président de Linux International et figure
em blém atique de Linux chez Digital, qui
assure les fonctions de chargé de relations
avec les partenaires, Randy Messner prend en
ch arg e les fo n ctio n s de Product Manager
(Chef de Produit) pour toute la gamme Linux.
Les a n n o n c e s fa ite s lors du salo n Eurêka
n'étaient donc pas vaines et le devenir de Linux
au sein du groupe Compaq se confirme par des
faits. Les stations Alpha avec un vrai système d'ex­
ploitation ont donc encore de beaux jours devant
eux !
Une carte mere pour
processeur Alpha 21164PC.
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NAVIGATEUR
COMMUNAUTE
Un nouveau
projet : Kosh
Com m unicator
sur Amiga
Kosh (w w w .k o s h .n e t), po ur K o m m u n ity OS
and H ardw are, est un projet où chacun peut
participer et dont le but est de développer un
iMOdU♦1S98-1999 The
}I V
i*
il
C o ta
Jtmn, Mftqnt» Bn«rveÔ
a\*
j
!-----------------------------------------------------------------------------------
systèm e d'exp lo itation, ainsi qu'une m achine.
C e la f a it s u ite a u x a u tre s p ro je ts c o m ­
m u n au taires à succès tel Linux. Fleecy Moss
( h ttp :/ / a m ig a .e d e n .it/ in te rv is te / fle e c y _ e n g .
htm l), m em bre de ce groupe, ne cache pas ses
affinités pour la plate-form e Am iga qui reste
l'exem ple même de la m achine grand public à
bas coût.
Kosh recentre
I informa
tiq u e su r le
public, et non
p lu s su r des
Kosh !
—
s L a i - il
I
I
—
ri >1
I c*»I
I
■
- -------- - - .■']»
-
I 4H,î-IFFfrJfHi
PS
il
Totd message* o Or»*3
c
—
j-r
Un des premiers screenshots d ’aMozilla.
Mozilla arrive enfin sur Amiga (http://www.thelads.dem on.co.uk). Il s'appelle aMozilla et est
e s p r it , Kosh
sera indépen­
présent sous deux formes, 68k et Power PC. Les
navigateurs de qualité n'ont jamais fait défaut à
l'A m iga, mais suite à l'abandon du portage
d'Opéra, la com m unauté Amiga a ressenti le
besoin de disposer d'un navigateur "standard".
dant du hardware.
Le projet Mozilla sur Amiga a été long à mettre
en place, car contrairement à Doom ou Abuse,
c o n s id é r a ­
tions de m ar­
ché : dans cet
KOSH
l^E
| >1 «1
Mozilla est un projet de très grande envergure
nécessitant le travail de nombreuses personnes.
SuSE
• ► Plustle 900 applications
sur 5 CD-ROMs
6.0
sssissss
MISE AU POINT
► 60 jours d'Assistance Technique
à l'Installation en français
► Manuel de 540 pages en français
► Noyau 2.0.36
► Support complet pour la glibc
Apple et G3 : John Carmack
revient sur ses propos
Après avoir encensé le G3, petit dernier de M acintosh, John
Carmack ( Quake 3 : Arena) compare les performances du nouvel
Apple avec celle d'un Pentium II classique et conserve apparem ­
ment quelques réticences. Bien qu'il pense qu’Apple se trouve
d'ores et déjà avoir un impact important et que le G3 égale une
m ach in e W intel en ce
qui
co n c e rn e
la
mémoire ou les perfor­
m a n ces g é n é ra le s du
processeur, il semble se
ré server en a tte n d a n t
l'im p a c t du n o u v e a u
système MacOS X. Pour
lu i,
A p p le
ré a lis e
a c t u e lle m e n t
de
bonnes choses, mais il
n'a pas encore atte in t
le m eilleur niveau. Il a
Le PowerMac G3.
su restim é ses résultats
p a r ra p p o r t à une
machine Wintel : le G3 n'est pas devenu une m eilleure plate­
forme jeu que Wintel, même s'il a fait un pas de géant. Le G3
pécherait néanmoins en matière de 3D, tandis que les perfor­
► Simplicité d'installation
► U c o r ic r t» » * 0 *
>XEfï*»“ÎJ3
,
support
L iN U X
-)
fi­
ne.
port compris
SuSE Linux 6.0
L'Unix pour les compatibles qui vous
fera tirer le maximum de votre micro!
V ersio n fra n ça ise !
SuSE Linux est un système d'exploitation puissant, stable et rapide dont les
possibilités enthousiasmeront aussi bien les néophytes que les professionnels.
SuSE Linux est un système d'exploitation qui répondra parfaitement à toutes
vos exigences en alliant souplesse d'utilisation et fonctionnalité à une
grande simplicité d'installation.
SuSE Linux ne rassemble pas seulement toutes les ressources pour
votre systèm e Linux mais vous propose aussi tout ce qui est
nécessaire pour faciliter vos premiers pas sous Linux► YaST, l'outil unique de SuSE vous assistera lors de toutes les phases
d'installation, de configuration et d'administration de votre machine ou de
votre réseau.
► Le manuel de 540 pages en français sera une aide précieuse pour les débutants
comme pour les experts Linux.
► KDE et GNOME les l'environnements graphiques simples, intuitifs et d'une
grande convivialité
► L'Assistance Technique à l'Installation en langue française, offerte pendant
60 jours après l'achat de SuSE Linux.
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
mances de la carte vidéo sont identiques à celles que l'on peut
obtenir avec un PC. Seule son esthétique, ou plus exactem ent
son agencement interne, constituerait une véritable révolution,
en attendant MacOS X...
COMMERCE
Linux soutenu
par HP et SGI
Hewlett-Packard et Silicon Graphics proposent de fournir Linux sur
leurs machines à base de Pentium. Le système deviendrait ainsi la
partie centrale de l'offre des deux constructeurs et Red Hat Software,
le distributeur en titre
pour l'offre Hp. Celleci, qui représente l'une
des plus im portantes
sociétés d'informatique
mondiale, développera
également une version
de Linux pour le M er­
c e d . En plus de ces
SuSE Linux est une distribution de grande qualité qui inclut également plus de
900 applications - comme:
► des versions de démonstration des applications courantes: ADABAS D,
les logiciels Office, Applixware et StarOffice,
► de nombreux langages de programmation,
► des logiciels serveur Internet incluant Netscape Communicator,
► émulateur DOS,
► de nombreux jeux et beaucoup plus encore...
Linux Office Suite 99
Voici la suite bureautique complété pour Linux, qui tient compte
de toutes vos exigences - Linux Office Suite 99 comprend: traite­
ment de texte, tableur, éditeur graphique, Applix Builder - un en­
vironnement de développement, Applix Data, offrant un accès
simple et direct aux bases de données SQL, Netscape Commu­
nicator, l'interface graphique KDE;
avec 2 CD-ROMs et un manuel de 300 pages (en anglais)
d eu x co n stru cte u rs,
Com paq, G atew ay et
IBM s'intéressent égale­
ment au fait de certifier
leur serveurs pour l'usa­
ge avec Lin u x. IBM
S o ftw a re est m êm e
d ep u is
peu
sp o n so rs
Serveur haut de gamme de chez HP.
de
un des
L in u x
I n t e r n a t i o n a l
(www.li.org).
Pour toute commande
veuillez vous adresser à
M CD 2 Diffusion,
72, Quai des Carrières
94220 Charenton le Pont
Tél:
01 56 29 23 00
'Fax: 01 56 29 23 01
Email: [email protected]
WWW: http://www.mcd2-diff.fr
SuSE
SuSE GmbH
SchanzackerstraBe 10
D-90443 Nürnberg
Tel. +49 911 740 53 81
Fax +49 911 741 77 55
Email: [email protected]
http://www.suse.de/fZ
CONSTRUCTEUR
• L'Alpha, nouveau
processeur à bas coût ?
Le prix de l'Alpha 533 est passé à
250$ p a r pièce pour 1000 unités.
Le futur Alpha à 800 M H z , sans
doute parmi nous à la fin 99 ,
coûtera la même somme. Le Merced\
qui, annonce-t-on, devrait valoir
1500$f a décidément bien du souci
à sefaire.
• Corel aim e Linux
Corelprévoit de porter CorelDraw
9 sous Linux, au plus tôt pour la
fin de cette année. De surcroîty le
succès de Word Perfect 8 sous
Linux (400 000 unités téléchargées
en quatre semaines) permet à Corel
d'annoncer une version de Word
Perfect 2000 , incluant tous les
modules pour Linux.
• Le reto ur du 4000T
IBM m arque des points
Le 20 janvier dernier, IBM a reçu la certification
C2 pour son p ro d u it A iX ( w w w .s o ftw a re .ib m .
com ). Celui-ci représente de fait le seul Unix 64 bits
à avoir ce niveau de sécurité. AiX version 4 a même
été développé dans ce sens et ce fut finalem ent la ver­
sion 4.3.1 qui a décroché cette certification, après une
m ise à l'é p re u v e de d ix m o is. D an s un to u t a u tre
registre, IBM propose WorkSpace On-Demand (W SOD),
son système d'exploitation axé sur OS/2 Warp et Java et desti­
né aux Thin Clients : il dém arre sur des serveurs à base d '05/2
Warp Server. Ce produit est destiné aux entreprises, à cause de
ses fonctions d'adm inistration à distance et d'une Java Virtual
(jn serveur RS
Machine 1.1.6. WSOD perm et aussi d'exécuter les applications Windows 16
6000 sous Aix.
bits et, d'ici la fin de l'année, Windows 32 bits. Voilà qui remontera le moral
des u tilisateurs de Warp 4, qui d ésespéraient de vo ir un jo u r fo n ctio n ner les applications de
Windows 95 sous leur OS favori. Rien n'est annoncé pour Warp 4, mais comme ce produit est très
proche de W SOD...
POCKET
Cinq containers de 40Ü0Tsont
Nouvelles m achines
de poche
Heretic et
Hexen, les
Le Palmpilot III x de Palm Com puting (w w w .p a lm .co m ) devrait
fournée de nouveaux Amiga.
nouveaux
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
bientôt pouvoir être disponible. Au chapitre des nouveautés, on
www.amiga.de!diary11999/990114
jeux de
tro u ve un m e ille u r é cra n , plus de lo g icie ls in tég rés et une
-e.html.
m ém oire portée en standard à 4 Mo, contre un m axim um de 2
l'alternatif !
Mo pour le Palmpilot III, qui verra égalem ent son prix baisser.
récemment arrivés en Allemagne.
L'inventaire des pièces utilisables
n 'est pas encorefa it y mais cet envoi
représente tout de même une belle
3Com tie n t à re n fo rce r sa position vis-à-vis de M icro soft et
W indow s CE. Les rum eurs d'un m odèle avec écran couleur se
confirm ent. Q uant aux Palm V et VII, il faudra se m ontrer enco­
re patien t. Psion (w w w .p s io n .fr et w w w .p sio n .co m ), de son
cô té , nous pro m et plusieurs n o u velles m ach in es pour cette
année. Psion est sorti renforcé par le succès de Sym bian, qui
regroupe les trois acteurs principaux de la téléphonie mobile,
à savoir Nokia,
E ric s s o n and
M o to r o la .
Il
s'avère a c tu e l­
lem ent difficile
de s a v o ir en
Palm Pilot
quoi c o n s is te ­
ro n t c e s m a ­
ch in e s, m ais il
s e m b le
c la ir
qu'une nouvel­
le version com ­
Le Palm pilot dans toute sa splendeur.
%
r
p
4
n
^
i c
,
1
!
,
|r - T
it t A O O W
Ô f
T H f
J
. Æ
i
Raven Software et Activision
viennent de mettre à disposi­
tion les sources de deux jeux,
H e re tic et H exen (w w w 2 .
ravensoft.com /source/). Cela
fait suite au succès de l'offre
des sources de Doom. Les res­
ponsables de Raven Software
espèrent ainsi voir apparaître
m u n ic a n te du
Sériés 5 verra le
jo ur ; il s'agira
des p o rtag es sous Linux et
BeOS, ainsi que des versions
OpenCI de leurs programmes.
d 'u n e
s o rte
d'hybride entre
un té lé p h o n e
et un N etw ork
Com puter.
On peut d'ores et déjà trou­
ver des versions de ces deux
titre s p o u r A m ig a 68k et
P o w e rP C ( w w w .to m .h u rs t.
clara.net/heretic/index.html).
les
MARKETING
Intel a
• /
encore copie
Le Concept PC 2000 (w w w .
zdnet.com/pcmag/news/trends
/t981111a1a.html) est un pro­
duit proposé par Intel, à l'es­
thétique attrayante et futuris­
te. Tout cela emporterait l'ad­
hésion, si Intel n 'avait pas
encore une fois p la g ié . Le
Concept PC a effectivem ent
des allures de W alker, un
Amiga. Résumons d onc la
chose ainsi : le Walker s'avère
novateur et Intel... opportu­
niste.
DISTRIBUTION
Le site de Slackware
s la c k w a r e
----------------------------- 1
i
n
sont reunis
aui:
u x
Le 15 janvier dernier, Slackware a ouvert son site Web
(w w w .slackw are.co m ). Celui-ci regroupe toutes les res­
sources liées à la Slackware, ainsi qu'une présentation de
Slackware et ZipSIack, une version de Linux prévue pour
s'installer sur un système DOS ou Windows, disposant de
100 Mo d'espace disque libre ; voilà une occasion idéale de
s'essayer à Linux. Le site de Slackware a été visité plus de
100 000 fois durant les trois jours qui ont suivi son ouvertu­
251, rue du Fbg St Antoine
75011 PARIS
re. Un triomphe !
métro : FAIDHERBE-CHALIGNY
ENQUETE
NOUVEAU !!!
Sondage sur BeOS
Central
BeOS Central (www.beoscentral.com/polls/current.shtml) a
mis en évidence la proportion globale des utilisateurs BeOS,
par le biais d'un sondage. Le nombre de votes est encore
assez faible, mais suffisamment représentatif : près de 80 %
version de ba
exploitent des plates-formes x86 et seulement 20 % préfè­
rent les plates-formes PowerPC.
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
SYSTEME
Wimp2 : le multitâche revu et corrigé
pour Risc OS
Wimp2 (www.nedprod.com/programs/RISC-OS/Wimp2) est un programme qui transforme Risc
05 en profondeur. Le multitâche coopératif peut se voir remplacé par un multitâche préemptif. La
différence se situe dans la gestion même du multitâche, qui passe de l'applicatif au système, ce
qui débouche sur un meilleur partage des ressources, au prix d'une gestion plus lourde. Risc OS
devient ainsi le seul système d'exploitation proposant les trois modes de fonctionnement connus :
monotâche, multitâche coopératif et multitâche préemptif. En vérité, c'est la modularité extrême
du système qui autorise la réalisation de cette véritable prouesse.
SCSI. STRATRACK.
port cartouche,
carte MIDI
réalisation CYBELEW /^ RAPH IQ U E : 04 50 53 50 90
ACCELERATION
Deux nouvelles caries
Power PC pour Amiga
■
Deux nouvelles cartes utilisent WarpUp d'Haage&Partner
avec l'émulation 6 8 0 6 0 assurée par le P o w er PC .
L'émulation du 68060 permet de s'affranchir de la pré­
sence physique de ce processeur sur la carte, ce qui
réduit sensiblement les coûts. La C3 d'Escena
(www.escena.de/main-e.htm) propose des proces­
^
W AR
seurs de 233 à 400 MHz, de 512 Ko à 1 Mo de cache
de second niveau et jusqu'à 512 Mo de Ram. La Viper
PPC (www.realdreams.cz/amiga/local/21_1viper.html), utili­
APÂK
h r > .• & jr j §3 /; - r v-»
.
A U S rn U U
scanner UMAX
HADES 68040
*
HADES 68060
* solutions Internet
rack 19 pce pour
WENSUITEIII +
MILAN, HADES,
modem
SCSI & PC
mobilier de studio
* lecteurs et
graveurs CDR,
sera, pour sa part, des processeurs Power PC 604e, G3 et G4 et
comprendra deux slots So Dimm, un bus Pci et un connecteur
réparation tous
pour carte FastScsi.
ATARI
autres logiciels
tél. 0144 93 40 07
fax. 0144 93 36 80
tél. 0143 48 5810
fax. 0143 48 78 66
DREAM-N°59- FEVRIER 1999
* XXL, CUBASE, et
EXTENSION
• Nouvelle m achine
sous Qnx
Le constructeur Met@box Infonet
AG (www.realdreams.cz!amiga!
local/25_1 metabox.html) vient
d'annoncer la sélection de Qnx
comme système pour son Metabox.
Le Cpu utilisé serait un Cyrix
Media GXM et très bientôt un
Power PC. Axés sur le Net, ils se
disent prêts à intégrer une large
gamme de produits , comme
Intemet-Set-Top Box, Desktop
Workstations.
• Extension 3Dfx pour
carte Picasso
Villagetronic a annoncé la sortie
d'un module 3 Dfx pour sa carte
Picasso IV. Cette extension
disposera du chip Voodoo. Les
premiers tests font apparaître une
fluidité et des effets
impressionnants. Reste à savoir si
des patches logiciels pour Quake
(par exemple) seront disponibles.
www.amigaextrerne.comlvoodoo.htrn
U tiliser un scanner
sur A tari
Une des particularités de l'Atari réside dans la
capacité, par l'entrem ise du système Gdps, de
scanner dans tout programme utilisant ce proto­
cole. Ainsi, avec un pilote Gdps, il est possible
de sc a n n e r d ire c te m e n t dans
Pixart, Photoline ou Calamus SL,
un peu com m e si l'on avait
re co u rs au x d riv e rs T w a in
pilotes. Ceux-ci se présentent sous la forme d'ac­
cessoires à mettre à la racine du disque C.
On trouve des pilotes pour les scanners suivants :
Epson GT 8000 et 6500 avec interface Scsi, le prin­
cipe du Gdps ne fonctionnant qu'en Scsi (pilote
g ratu it), Mustek 600 et 1200 (Com puterisel),
Umax 1200, 1220S, Power Look II, 610 (noir et
b lanc u n iq u e m e n t), Vista, 6E et 12E (Homa
Studio), Microtek E3, E6, E3+, E6+, E330,
E360, 35TT, ainsi que la quasi-totalité
des nouveaux modèles en
Scsi 2 (Homa Studio). Ces
pilotes existent en France
ch e z les reven d eurs
Atari. Précisons enfin
q u 'il y a m êm e des
d'autres plates-formes. Il suf­
fit de placer dans le dos­
sier Auto le programme
Scanner Microtek
Gdpsinst.prg., lequel est
ScanMaker 5.
universel pour tous les
offres groupées pilote Gdps
+ scanner Umax.
TECHNOLOGIE
Un nouveau modèle de processeur
voit le jour : le F-Cpu.
.
'-y .
pourrait ainsi simplement démarrer sur une carte
mère x86 et il faudrait alors rajouter un émula­
teur logiciel pour faire fonctionner des applica­
tions DOS ou encore Windows. Dans l'immédiat,
le F-Cpu peut être installé sur une carte mère
standard type 100 MHz Socket 7, Super 7 ou
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
>
,
.• JL* - V »
Slot 1.
"
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REPECEPTC
A ôiücow
• •
*
n
Le chipset Voodoo en action .
Une tranche de processeurs.
Le F-Cpu (F comme Freedom) est conçu dans le
même esprit que les licences Gnu/Gpl. Il suffira
soit d'acheter le processeur pour la somme de
100$ ou de se procurer les plans et de le fabri­
quer soi-même. Le processeur se rapproche d'un
Risc, mais il existe une différence fondamentale :
Il s'agit ici d'une architecture mémoire à mémoi­
re qui perm et de réduire quasim ent à zéro le
délai d'attente lors des commutations, principal
problème des systèmes d'exploitation actuels.
En term e de perform ance, ses inventeurs sem­
blent plutôt optimistes : grâce à son architecture
et à son implémentation, le F-Cpu fera aussi bien
sinon mieux qu'un Merced en ce qui concerne
les e n tie r s . Le se u l OS d is p o n ib le p o u r le
moment est Linux. En principe, tous les logiciels
standards développés pour Linux pourront tour­
ner. En ce qui concerne sa com patibilité avec
DOS, l'équipe travaille actuellement à développer
un émulateur x86 pour le Bios du F-Cpu : celui-ci
m
3 f)H ! C ' E 5 T
M LLES
V R S W C O R E . Ç f).
Alpha à PARIS!!!
D é m o n s tra tio n perm anente!
Kit Alpha
Boitier Middle Tour ATX
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Calamus SL 99
La première version de Calamus SL99 (w w w .calam u s.n et) vient
tout juste d'arriver chez les bêta testeurs. On note que Calamus
s'intégre maintenant totalement à un environnement multitâche,
64Mo SD Ram
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Boitier Middle Tour ATX
car ses boîtes d'icônes ont désormais pris l'aspect de fenêtres.
L'aide en ligne apparaît dans le haut de la boîte à outils et non plus
en haut à droite de l'écran. S'ajoute à ce cadre prometteur la prévi­
sualisation des images et documents, dans le formulaire de charge­
ment/sauvegarde. II y a bien sûr certainement d’autres nouveautés,
mais laissons-nous le temps de les découvrir (en effet, la bêta ver­
Clavier 105 Touches PS/2
22.300F
Lecteur 3” 1/2 Sony
Souris Logitech Pilot Plus
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sion est arrivée sans documentation).
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AUDIO
Le MpB encore inquiété !
Beunners
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| MP3 com
Harj»vare
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Internet mude In The ptlm ofyour tond
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Contrôleur Mylex BT920 SCSI
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Contrôleur Fast-Ethernet DEC
+4250F
+6650F
+ 14950F
, +1320F
Disque Barracuda 18,2 Go
+5990F
Lecteur Zip interne SC SI
+860F
Passage à écran 19” Monyka + 1800F
Passage à 256Mo de RAM
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Alpha I64UX2 IDE
Hat N c w M P 3s
O z j . Rot> R « p o rt * n d E i i i j
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Linux pour Alpha installé
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Processeur Alpha 633
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O w m to ad a R io P ak P hot s o n g s ) a n d bo
au to m atica lly e n te re d to w m a D iam ond
R io h a n d held M P 3 p lay e d
Le Mp3 en marche : http://www.mp3.com
Le site www.mp3.com représente une référence pour tous les ama­
teurs de musique au format Mpeg Layer 3 (plus com m uném ent
appelé Mp3). Son but consiste à promouvoir cette nouvelle technolo­
gie, proposant pour cela d'héberger des morceaux créés par des
artistes indépendants (qui n'ont pas signé chez un éditeur "clas­
sique"). Il s'avère donc envisageable de télécharger des fichiers Mp3
parmi une énorme bibliothèque, classée par genres musicaux. Le site
propose également un double CD à la vente, regroupant une sélec­
tion des cent cinquante meilleurs morceaux. Le 27 janvier, Michael
Robertson, Pdg de Mp3.com, a reçu une requête assez inquiétante
de la part d'une société appelée Sightsound.com, l'obligeant à rever­
ser 1 % des ventes de tous les fichiers musicaux proposés en téléchar­
gement. Les textes des brevets (valides aux Etats-Unis) se trouvent
disponibles sur Internet (w w w .o p tip a t.c o m /5 1 9 1 5 7 3 .h tm et
www.optipat.com/5675734.htm) et précisent effectivement que
l'idée de "vente de fichiers audio téléchargeables" est protégée ! Nous
n'avons pas été en mesure de vérifier le bien-fondé juridique des bre­
vets (qui nécessitent une connaissance du droit américain), mais une
chose est certaine : m p 3 .co m ne versera pas un ce n tim e à
Sighsound.com, puisque les musiques téléchargeables sur le site se
révèlent... totalement gratuites ! Il s'agit tout de même d'une histoire
à suivre. Tiens, si on brevetait le téléchargement de fichiers .tgz sur
Internet ?
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+l 4950F Passage à écran T7” Monyka
Disque Fireball E L 10,2 G o
+500F Passage à 128Mo de RAM
Autres configurations (Windows NT, PC standard à base
d’Intel, Ultra2Wide SC SI, Contrôleurs RAID Mylex avec
cach e, Cartes O p en G L A cce i, M axVision ou Oxygen,
écrans liy a m a , etc.): n o u s c o n s u lt e r ! T a rif s T T C !!!
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A rch itectu res
parallèles : quand
les processeurs
ad d itio n n en t leurs
perform ances !
Moins prisées qu'à une certaine époque, les machines à
architecture parallèle continuent de fasciner. Le principe
de base est simple - multiplier les processeurs pour
augmenter les performances - mais son application est
moins évidente. En effetqui sait programmer
correctement plusieurs processeurs en même temps ?
a lcu ler Pi, une racine carrée ou encore e.
Déterminer des suites, évaluer des intégrales,
simuler des phénomènes physiques. Ou tout
sim plem ent m odéliser, anim er, rep résen ter... Les
domaines dans lesquels une forte puissance de calcul
C
En q u ê te d e p e rfo rm a n ce s
Le processeur constitue le principal responsable de la
vitesse brute d'un ordinateur. Voilà donc pourquoi
l'histoire du calcul inform atique s'est fondée sur
l'augmentation de ses performances. Par exemple,
on a commencé par réduire la taille des composants,
pour que les informations qui transitent à l'intérieur
aient moins de chemin à parcourir et aillent plus vite
d'un point à l'autre. Sur le plan pratique, cela se tra­
duit par un accroissement de la fréquence (4 MHz
sur les premiers PC, 450 MHz sur ceux d'aujourd'hui
et au-delà du GHz sur les générations futures).
Cependant, les limitations physiques interdisent tout
espoir d'amélioration de ce type au-dessus d'un cer­
tain seuil : le temps de propagation de l'information
se trouvé limité à la vitesse de la lumière et la gravu­
re même des circuits ne peut descendre en dessous
de la taille des atomes. D'autant que les physiciens
achoppent déjà sur d'autres obstacles, avant même
d'avoir atteint ces deux limites. En l'occurrence, il n’y
a pas moyen de graver un élément dont la taille est
inférieure à la longueur d'onde qui sert à la graver et
à une certaine échelle, les circuits n'arrivent même
plus à retenir les informations qu'ils véhiculent (effet
tunnel).
Les améliorations d'architecture ne se limitèrent pas
à la croissance de la fréquence. L'intégration de nou­
veau x m odules, de calcul (FPU ) ou de stockage
(cache), explique également dans une large mesure
les performances actuelles des processeurs. Revers
de la médaille, ces extensions agissent sur la taille de
la puce et, de fait, sur son prix, lequel peut devenir
rapidement prohibitif. Il faut en effet savoir que la
chaîne de fabrication d'un processeur engendre,
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
est nécessaire ne manquent pas ! A l'opposé d'une
idée reçue - et facilement acceptée par beaucoup les possibilités offertes par les systèm es inform a­
tiques restent toujours en deçà des besoins réels des
utilisateurs, et tout parti­
cu liè re m e n t des u tilisa ­
teurs de calcu l in ten sif.
C e la v ie n t du fa it que
le s d its c a lc u ls , p o u r
être efficaces, em ploient
des m éthodes d'analyse
n u m é riq u e : a in s i, on
o b tie n t un ré s u lta t en
m e tta n t à c o n trib u tio n
une suite de fonctions et
de multiples paramètres.
hélas, beaucoup de puces défectueuses. Or, pius le
processeur est complexe, plus il y a de déchets. Pour
des raisons économiques évidentes, le constructeur
reporte le coût de ces déchets sur le prix de vente
des puces saines. L'exemple le plus parlant est celui
du Pentium Pro, dans lequel Intel avait directement
intégré 256 Ko de mémoire cache ultrarapide. Les
coûts de fabrication se montraient tellement élevées
que le fondeur a préféré désolidariser ce cache du
reste sur la génération suivante, l'actuel Pentium II.
Ainsi, non seulement le taux de puces saines se révè­
le plus important à la sortie (ce qui rend les puces
moins onéreuses) mais, en plus, il s'avère possible de
récupérer les caches sur les éléments défectueux. A
L e s T r a n s p u t e r s , c es " a u t r e s " p r o c e s s e u r s
Le Transputer est un processeur initialement développé par Inmos, puis racheté
pa r SC S Thomson M icroelectronics. L'intérêt du Transputer est qu'il est
spécifiquement conçu pour le multiprocessing et qu'il utilise un langage de haut
niveau, l'Occam, facilitant la programmation concurrentielle. Ce processeur
dispose de surcroît d'un coprocesseur arithmétique. Le dernier Transputer de 5C5
en date est le T9000. Il connaît un certain succès en Asie et au Japon. On
tro uvera plu s d'in fo rm a tio n s su r les tra n sp u ters aux adresses
http://w w w .com lab.ox.ac.uk/archive/transputer/ (Transputer Archive) et
http://w w w .st.com / (5T Microelectronics, nouveau nom de SCS Thomson
Microelectronics depuis que cette société n'appartient plus à Thomson).
A l'assaut des applications !
l'opposé, les processeurs ARM sont les moins pour­
vus en extensions internes et, comme par hasard, se
rangent au côté des plus modiques du m arché.
Hélas, leurs faibles performances en calculs flottants
les destinent de plus en plus à l'informatique embar­
quée et de moins en moins aux o rd inateu rs de
bureau. Cette situation prend rapidement les allures
Dream prof
■ itiiü iixùva i
d'un cercle vicieux.
Les bases du calcul parallèle
Cependant, au fur et à mesure de l'élaboration des
systèmes d'exploitation et surtout depuis qu'ils sont
multitâches - on a découvert qu'il devenait possible
d'exécuter dans un laps de temps très court des ins­
tructions totalement autonomes les unes par rapport
aux autres (ce qui signifie que le résultat de l'une
n'influait pas sur celui d'une autre). Les ingénieurs
ont alors décidé de mettre plusieurs unités d'exécu­
tion en parallèle, afin de les traiter en même temps.
Comment mettre plusieurs processeurs en parallèle ?
de noeuds. Ici, chaque processeur possède sa mémoire
propre et se voit directement relié à un nombre limité
d'autres processeurs. Un algorithme de routage super­
vise l'ensemble et répartit les tâches à effectuer suivant
la disponibilité et la proximité d'un processeur par rap­
port à un autre. Cette architecture s'avère plus perfor­
m ante que la précédente, car la charge de travail
bénéficie d'un constant rééquilibrage et la communi­
cation de données se trouve optimisée. L'algorithme
de routage est quant à lui exécuté par d'autres proces­
seurs (des "mesh"), lesquels n'ont que cette fonction et
n'interviennent absolument pas dans le calcul général.
Il e xiste p lu sieu rs to p o lo g ie s po ur ce g en re de
réseaux, les plus connues étant l'h yp ercu b e (un
hypercube de degré n com porte n processeurs et
chaque processeur se voit connecté à 2 An autres pro­
cesseurs) et le tore
(les processeurs se
• A rch itectu re de
Von Neumann
Modèle de conception
matérielle, dans lequel la
mémoire et le processeur
sont deux éléments
distincts.
• SiSD
Single Instruction Single
Data. Une instruction ne
peut traiter qu 'une donnée.
• SIMD
Single Instruction Multiple
Data. Une instruction peut
traiter plusieurs données
d'un coup (celles-ci sont
réparties sur les diverses
unités d ’exécution).
• MIMD
Multiple Instruction
Multiple Data. Plusieurs
instructions se voient en
mesure de traiter plusieurs
données en même temps.
• MISC
Multiple Instruction Single
Data. Plusieurs
instructions traitent en
même temps la même
donnée.
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Ces recherches ont débouché sur deux technologies :
le SIMD (Single Instruction M ultiple D ata) et le
MIMD (Multiple Instruction Multiple Data). Le SIMD
caractérise les processeurs disposant d'une architec­
ture en pipeline (une instruction n'a pas fini d'être
exécutée que déjà, on commence à traiter la suivante)
et en superscalaire (plusieurs unités d 'exécution
contenues dans un même processeur). Aujourd'hui,
cette technologie est présente dans les processeurs
des ordinateurs grand p u b lic. On la trouve par
exemple dans les Pentium, les PowerPC et même
dans le 68060. Le MIMD correspond à un ensemble
de processeurs indépendants, qui coopèrent au sein
d'une même machine.
Les premières machines MIMD ont été des ordina­
teurs à mémoire partagée. Ceux-ci se caractérisent
par un nombre relativement faible (deux à douze)
de processeurs individuellement assez puissants, qui
partagent une m émoire com m une et co m m u n i­
quent ensemble par son entremise. Toute la ruse de
cette technologie vient de la découpe de la mémoi­
re en sous-ensembles : les "bancs". Leur taille rédui­
te permet à chaque processeur d'accéder très rapi­
dement aux données dont il a la charge, ce qui ne
serait pas le cas s'il devait systém atiquem ent se
repérer dans l'immensité de la mémoire totale. Les
ordinateurs Cray de Silicon G rap h ics o ffrent un
exemple de ce type de machine.
Les "massivement" parallèles
Toutefois, en terme d'architecture parallèle, il y a
mieux ! La te c h n iq u e du L o o s e ly C o u p le d
Processors implique à cet égard la notion de réseau
répartissent sur un
ta b le a u à d e u x
dimensions et sont
re lié s e n tre eu x
par une colonne et
une ligne).
Il convient de pré­
ciser que certaines
m a c h in e s o n t la
capacité d'adapter
leur topologie au
type de problème
q u 'e lle s o n t à
résoudre ; il en va
par exem ple ainsi
p o u r le V o lv o x
d 'A rc h ip e l. Dans
ce cas, l'algorith­
m e de ro u ta g e
n'est plus exécuté
p a r des p ro c e s ­
s e u rs , m ais p ar
des transputers.
.« c o m m e
c
c h o o
fiM o t.
dfibP...
I
'e s t
Le calcul p arallèle
dans la p ratiq u e
Les films de science-fiction nous apprennent que les
ordinateurs parallèles sont la chasse gardée des
industriels de l'espace. Eh bien, aux dernières nouvelles,
ceux-ci n'en veulent plus !
pétrochimie ou la pharmacie, les spécialistes de la
mécanique des fluides qui cherchent à optimiser le
dessin et par là même les performances des voitures,
avions, bateaux et autres sous-marins et même les
mathématiciens s'échinant à découvrir des nombres
premiers toujours plus grands en passant par la fac­
torisation (les nombres premiers étant les seuls à ne
pas pouvoir se factoriser, contrairement à ce que dit
Bill Gates dans son livre La Route Du Futur)... Bref !
Les applications du calcul intensif se m ultiplient
chaque jour pour donner plus de confort, de fiabilité
et de qualité aux produits que nous utilisons quoti­
diennem ent. Qui a dit que les mathématiques ne
servaient à rien ?
L'inutilité des m onstres inform atiques
Et pourtant, malgré tous leurs efforts, les construc­
teurs de stations "massivement parallèles" (telles que
les Cray de Silicon Graphics, le FX8 d'Alliant, l'iPSC
de Paragon ou encore la Computing Interface de
Meiko) ont vu leurs brillantes technologies progressi­
vem e n t ab an d o n n é e s, ou, depuis le début des
années 90 disparaître totalement. On se trouve confronté à une situation invraisemblable :
la demande se montre énorme et pourtant l'offre
s'effondre ! Les raisons de cet échec commercial s'ex­
pliquent certes par le prix très élevé des machines,
mais surtout par leurs difficultés de programma­
tion. En effet, les modèles mathématiques
co u ra n ts tire n t d iffic ile m e n t parti
Des applications militaires...
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
A
ujourd'hui, les besoins en calcul numérique
h a u te s p e rfo rm a n c e s a b o n d e n t : les
constructeurs automobiles qui simulent les
déformations des structures des véhicules en cas de
choc, les avionneurs chargés de tester et de prévoir
en machine le comportement des cellules, les divers
m otoristes étu dian t la fatigue des élém ents d'un
moteur de n'importe quel type, les chimistes appelés
à mettre au point par simulation pure des réactions
com plexes dans des dom aines aussi variés que la
d 'une a rch ite ctu re p arallèle et les
compilateurs dédiés voire les algo­
rithmes de calcul sont particulièrement pénibles à
appliquer, surtout pour des laborantins uniquement
intéressés par l'expérimentation.
Dans la plupart des cas, l'augmentation des capaci­
tés de traitem ent des systèmes a essentiellement
perm is de révéler des problèm es fondam entaux,
relatifs à la conception des algorithmes de calcul. Par
exem ple, l'augm entation du nom bre d'itérations
d ’un séquence quelconque, par un facteur 100,
1000, ou 10 000, a parfois fait apparaître des aberra­
tions dans les résultats. Celles-ci résultaient en fait de
propagations d'erreurs infinitésimales ainsi que de
convergences établies sur des bases approximatives
et inexactes.
Autre surprise, un changement de processeur peut
égalem en t avoir des conséquences inattendues.
Ainsi, il a déjà fallu remplacer le calculateur par une
version plus récente, disposant d'une taille mémoire
Bibliographie
Algorithmes Et Architectures Parallèles, par Michel
Cosnard et Denis Trystram (Intereditions).
La M achine A Connexions, p a r Daniel Hillis
(Masson).
High Performance Computer Architecture, par
Harold S. Stone (Addison Wesley).
Science And Engineering On CRAY Supercomputers
(CRAY books).
...et de simulation spatiale.
accrue pour les nombres à virgule. Quelques m il­
lièmes de plus dans une variable de simulation aéro­
nautique avaient la conséquence suivante : tout un
fuselage devait être reconstruit, alors que l'applica­
tion demeurait identique ! En outre, ces quelques
millièmes risquaient, à plus grande échelle, d'entraî­
ner la variable hors des bornes numériques d’une
application, laquelle se mettrait invariablem ent à
déraper, alors qu'elle avait toujours très bien fonc­
tionné par le passé ! En fonction de la gestion des
erreurs dans le code en question et de sa taille, ainsi
L e s l oi s m a t h é m a t i q u e s du c a l c u l p a r a l l è l e
Le gain de performances à espérer lorsqu'une application est traitée sur une
architecture parallèle s'avère proportionnel au taux de code pouvant s'exécuter
en parallèle sur un nombre de processeurs donné. Par exemple, s'il y a moyen de
traiter en parallèle sur quatre processeurs 80 % du code, le gain idéal sera de
0,8 x 4, soit un facteur d'accélération de 3,2. Il faut en fait considérer les parties
de code non parallélisables. Ainsi, les phases de séparation (split) et de
rassemblement (gather) demeurent indispensables.
Loi de Minsky
Le facteur d'accélération est borné par log2(p), p désignant le nombre de
branchements binaires du programme.
projets de plusieurs millions de dollars... De fait, le cal­
cul en parallèle est rapidement devenu l'apanage des
bidouilleurs, lesquels l'expérimentent sur un matériel
plus modeste (voir pages suivantes). S'il suit les traces
de Linux, peut-être le verra-t-on un jour resurgir sur le
devant de la scène commerciale ?
Les problèm es techniq ues de la
p arallélisatio n
Il y a principalement deux aspects à considérer lorsque
l'on souhaite paralléliser un code (c'est-à-dire faire en
Le fameux Cray 1.
sorte qu'un code s'exécute sur plusieurs processeurs en
parallèle). Tout d'abord, les efforts devront converger
vers la partie du code sur laquelle l'ordinateur passera le
plus de temps. Dans la majorité des cas, il s'agit d'une
boucle. Ensuite, il faut se demander si cette partie du
code est parallélisable, ce qui revient à vérifier qu'il n'y a
pas une variable externe susceptible de rendre chaque
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
cycle dépendant du précédent.
Sous Unix, trouver la partie de code la plus utilisée
dans le temps se résout par l'exploitation de "profilers"
(sortes d'outils qui analysent le déroulement d'un pro­
gramme), tels que prof, pixie, gprof ou hiprof, que '
l'on exploite com m e des
librairies. Ils interviennent
lorsqu'on relinke le pro­
Des armoires pleines d'unités centrales.
que de celle du jeu de données, la recherche de l'er­
reur puis sa. correction se traduisent parfois par d'in­
terminables semaines d'immobilisation du matériel.
Un seul processeur pour les scientifiques
Cet ensemble de difficultés et de déboires, associé au
désir légitime de re n tab ilise r à co u rt term e les
énormes investissements consentis, ont donc conduit
à un abandon rapide de ces machines, précipité par
gramme, avant que l'exé­
cu tio n du b in a ire ain si
cré é ne p ro d u ise des
fichiers de log analysables.
La seconde partie du pro­
blème se révèle beaucoup
moins évidente. Les com­
pilateurs parallèles do n­
nent g é n é ra le m e n t des
l'apparition de processeurs unitaires extrêm em ent
performants, à la manipulation beaucoup plus aisée,
tels que les célèbres Alpha, conçus par Digital. Les
informations sur les éven­
tuelles p articu larités du
code interdisant la parallé­
lisation, mais n'apportent
derniers modèles, les EV6 (EV=Electro Vlassic), sont les
premiers à associer, à la puissance brute, des straté­
gies intelligentes (logique prédictive) de gestion du
cache et du pipeline, ce qui place cette génération,
pas vraim ent de solution
co m p lè te . A ce n iveau ,
seule l'expérience et l'in­
g é n io sité du p ro g ra m ­
une fois de plus, bien au-dessus de ses plus proches
concurrents, en termes de performances. Certes, un
seul processeur reste en théorie moins rapide que plu­
m e u r, a sso cié e s à une
bonne connaissance des
m é th o d e s de c a lc u l
sieurs autres en parallèle. Toutefois, dans la pratique, il
se révèle plus fiable, ce qui constitue un argument
massue à partir du moment où. l'on manipule des
n u m ériq u e , p e rm e tte n t
de m ettre en place une
solution.
Comment paralléliser un code ?
Faites vous-même
du calcul parallèle
sous Linux !
Bien qu'il soit techniquem ent réalisable de placer
sous PVM des spécimens très différents (un Mac, un
3 8 6 , une station Alpha et, pourquoi pas, un Cray), il
est évidement plus intéressant et plus pratique de
mettre en oeuvre une architecture de calcul distri­
buée avec des noeuds (processeurs) identiques ou,
au pire, de puissance similaire.
Com m ent ça m arche ?
PVM se compose de deux éléments bien distincts :
un d ém o n , pvm d , présent o b lig ato ire m en t sur
Ah ! Comment ne pas rêver d'additionner les
performances d'une pléthore de micros (neufs ou vieux),
afin d'obtenir une machine à la puissance de calcul
fulgurante ? Eh bien, apprenez une étonnante nouvelle
Linux a permis de transformer le voeu pieux en réalité !
E
mode commande ou par l'entremise d'une interface
graphique, xpvm, qui permet de visualiser les carac­
téristiques et le comportement des tâches réparties.
baiooQxholnode
Labs), une idée sim ple et po urtant
ingénieuse a vu le jour : elle consistait
M achine", était née. Son développem ent
devait profiter tout d'abord aux machines
Unix. Cependant, les clients PVM peuvent
aujourd'hui tourner aussi sur des systèmes
VMS, M acOS, Windows et, bien entendu,
Linux.
Le m atériel qu'il vous fau t
Le principe est remarquable et se limite à
faire croire à l'application qu'elle s'exécute
guration de celle-ci. L'utilisation de PVM se fait en
S p ac e -T tm e : T asks v s . Urne
n 1993, à ORNL (Oak Ridge National
à associer plusieurs calculateurs, dans le but
de leur faire effectuer un véritable calcul
parallèle, en utilisant le simple lien réseau
comme bus de communication entre pro­
cesseurs. La notion de PVM, "Parallel Virtual
chaque m achine susceptible de faire partie de la
machine virtuelle, et un ensemble de routines et de
primitives, destinées à contrôler l’exécution du pro­
gramme sur la machine virtuelle, ainsi que la confi­
ü G fla tn x :ch o lh o st
bedatrtxxhobiode
bigbluOxfiolnodc
canopusrcholnode
m srxholnode
sun4xholnotte
v i s 1 tchtrtnodu
v is 2 :chofnode
Close j
Vtew Info:
Waung
O verheatl.
Computing |
Message
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Pas de rappel caduc avec le calcul parallèle.
L a sl E vo nt P ur T a sk:
A
b a t o o O :c h o < n o d c
p v m _ r e c v l ( ) b u f - 5 , 4 4 4 b y t e s fr o m 1 8 0 0 0 1 , in s g t a g - = l7
b s f ia t r t x x h o f f i o s t
p v m _ re cv O ( o x fffrrrrf,
b e f la t r t x x b o t n o d e
p v m _ rB c v O ( O x ffffffff, 8 )
16003)
b ig M u O x J t o t n o t t a
p v m r e c v l ( ) b u f - 5 , 4 4 4 b y t e s fro m 1 8 0 0 0 1 , m s g t a g - 17
c a n o p u s : c h o b io d o
p v m r o c v 1 ( ) b u f ~ 1 , *148 b y t e s f r o m 1 8 0 0 0 1 , m s g t a g - 1 6
m s rx h o in o d e
p v m j n c a s t D O m s y t a g - 1 6 t o : 8 0 0 0 1 c O O O l 1 0 0 0 0 1 1 4 0 0 0 1 1 8 0 0 0 1 Ic O O O l 2 0 0 0 0 1 4 0 0 0 4
s u n - lr c h o i n o d o
p v m _ m c a * t ü ( ) m s g t a g - 1 4 t o : 8 0 0 0 1 c O O O l 1 0 0 0 0 1 1 4 0 0 0 1 1 8 0 0 0 1 Ic O O O l 2 0 0 0 0 1 4000-1
v f s lx h o in o d e
p v m _ c o c v O ( O x ffffffT f. 4 )
v ts? x to tn o d o
p v m _ ro cv O ( o x r r rr r m .
7 )
r i
sur une machine multiprocesseurs. En fait,
cette machine n'existe pas, ce qui explique
que l'on emploie l'adjectif "virtuelle" pour la quali­
li
1
m m *
— 1
fier. Il s'agit juste de l'amalgame de plusieurs ordina­
teurs connectés entre eux, fonctionnant de concert
grâce à PVM. Ces machines, de n'importe quel type,
doivent sim plem ent com m uniquer entre elles rapi­
dement, grâce à un réseau de ThinW ire ou 10BaseT,
par exem ple. Ainsi, quatre pauvres vieux PC 486,
récupérés à 400 francs d'occasion chacun, avec une
carte Ethernet, constituent déjà une configuration
rêvée pour tester à la maison les diverses facettes des
systèmes massivement parallèles !
Dans les deux cas, la prem ière étape consiste à
configurer la m achine virtuelle en spécifiant l'en­
semble des ordinateurs coopérants. Il convient de
noter que, dans ce cadre, n'im porte laquelle des
machines possédant le démon pvmd peut devenir le
"master", c'est-à-dire le chef d'orchestre coordon­
nant l'activité des autres systèmes. Le master devra
s'acquitter de la coordination seule (tel l’algorithme
de routage sur les gros systèmes à plusieurs proces­
seurs), m ais aussi, éventuellem ent, prendre à sa
charge une partie des calculs à effectuer. Le Master
ne représente donc pas nécessairement, loin s'en
faut, la machine la plus puissante des systèmes mis à
contribution dans votre machine virtuelle. Il a même
des chances d'être la plus faible d'entre elles, surtout
s’il ne p a rtic ip e pas au x tâ ch e s de c a lc u l. Les
machines de calcul, quant à elles, s'avèrent idéale­
ment homogènes, afin de limiter la complexité de la
répartition des opérations.
Le modèle de calcul de PVM repose sur un postulat
simple, selon lequel un programme peut être décou­
pé en plusieurs tâches ; celles-ci prennent alors la
forme de "process" ou de "threads". A ce niveau, une
tâ ch e a so u ven t la ch arg e d'un sous-ensem ble
SIMM EDO
32 bits 60 ns
Cologne le triomphe!
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4 MO
8 MO
16 M O
32 M O
64 M O
128 M O
.. 1 2 0
..2 0 0
..400
..740
1380
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aussi se co n n ecter su r des B lizzard
1260! (le préciser à la com m ande).
Pour comm ander :
• Passez au m agasin ou,
• É crivez-nous en jo ig n a n t le paiem ent par chèque ou m andat cash o u
• T éléphonez-nous avec votre carte bancaire.
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Port total en France sans m a té rie l..............................................................50
Port total en France s'il y a au m oins un m a té rie l................................ 80
T raitem ent p rio rita ire .................................................................................. +20
L ivraison su r une î l e ....................................................................................+20
D O M -T O M ........................Prix variable scion le poids et la destination
Z one E uro et S u is s e ...............................................................Port postal +15
R e co m m an d a tio n ..........................................................................................+70
C haque em ballage c a d e a u ......................................................................... +10
A ssurance de transport p ar tranche de 2000 F en F ra n c e .................. + 30
Vous pouvez p ayer en E uro sur sim ple dem ande. 1 E uro = 6,55957 Franc.
L a législation peut nous interdire de vendre dans certains pays.
Les prix sont indiqués en francs français et sont rév isab les sans préavis.
V
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L 'ab sen c e d e p a iem en t d an s les 10 jo u rs à c o m p te r de la fa ctu ra tio n
am èn e une m ajo ratio n d e 10% ind ép en d am en t des in térêts légaux. Toute
som m e due à l'échéance porte in térêt au taux légal annuel m ajoré de 50%
san s m ise en dem eu re p réalab le et sans p réju d ice de tout au tre d ro it que
se réserve notre société. Toutes les com m andes sont ferm es et définitives.
Les frais d 'o u v ertu re d'un d o ssie r co n ten tieu x so n t d e 120 francs. Frais
d ’étude d'un devis 150 francs. L ettre recom m andée 70 francs. A nnulation
accep tée p ar n o tre so c iété 150 francs. C h aq u e m arch an d ise reste notre
pro p riété ju sq u 'à son règ lem en t co m p let en p rin cip al et en intérêts. Les
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47 avenue de la lib éra tio n
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Clermont F errand est compétent.
Flying H igh................................................................199
Flying High data disk.............................................. 140
Forest D um p ..............................................................140
Formula 1 F errari..................................................... 170
iM iim
Formula 1 Grand P rix ...................................... —...220
OnfittUeur Amiga A 1200 M ag ic........................... 2 5 9 0
Foundation C D .........................................................269
Ordinateur Amiga A 1200 M agic H D ...................3 2 9 0
Gateway 3 ....................................................................75
.......„ ............................................... 155
3D Im ages
Ordinateur Amiga A 1300 T our...............................3 3 4 0
G.I.G.N. Opération Ju p iter..................................... 140
Amiga Forever......................................................... 360
Ordinateur Amiga A 1400 T o u r Z o rro I I ............ 4 8 4 9
Genetic S pecies........................................................ 269
Amiga Format 36 (et moins) —.............................. 49
Ordinateur Amiga A 1500 T our Z o rro I I I ........... 5 9 4 9
G ig an o ïd .................................................................... 160
Amiga tools 8 (et m o in s)....................................... 129
Apollo 630 68030 33 M hz + C o p ro ........................8 0 0
Golden dem os............................................................. 95
Aminct 29 (et m oins)............................................... 89
ApoSlo 630 68030 50 M hz + C o p r o ...................... 11 50
Gunbee F 9 9 ............................................................... 159
Aminct set 7 (et moins)...........................................199
Apollo 1240 68040 25 M hz + C o p r o ..................1 390
H arlequin................................................................... 150
APC TC P 6 (et m oins)
- .............................. 89
Apollo 1240 68040 40 M hz + C o p r o ..................19 9 0
Hook, le capitaine C rochet..................................... 140
Asim C D FS.............................................................. 480
Apollo 1260 68060 50 M hz + C o p r o ...................2 9 9 0
..................- ................................... 150
CD Developer........................................................... I S O J ^ ’^ l m p e r a t o r
Apollo 1260 68060 66 M hz + C o p r o ...................3 5 9 0
160
Infestation.................................................................. 140
Cybergrafx v4....
Apollo 2030 68030 50 M hz + C o p ro + S C S I .. 1 790
J e t................................................................................ 140
....................- ....................230
Cygnus ED .........
ApoUo 4040 68040 40 M hz + C o p ro + S C S I.. 2 4 9 0
Knights of the Sky.................................................... 170
.......................................... 290
DigiBooster Pro.
Apollo 4060 68060 50 M hz + C o p ro + S C S I ..3 8 9 0
Kang F u ..................................................................... 390
.......................................... 480
Elasiic D ream ....
Apollo 4060 68060 66 M hz + C o p ro + S C S I ..4 4 9 0
Krusty Fun House les Sim psons............................140
Euro Cd 3 (et m oins)......................... - ................... 129
Ariadne Ethernet version c o m p lète n o n a llé g é e 8 9 0
Lcm m ing.................................................................... 140
Envoy 3 ..................................................................... 330
~.............................3 6 9 0
Blizzard 1260........................
Lemmings I I ..............................................................169
Fusion Mac Em ulator............................................. 699
Blizzard SCSI Kil— ............................... ~...................6 9 0
Les aventures de M oktar......................................... 140
Gcck G adget...............................................................99
Blizzard PPC 603e+ SCSI 160 M h z
- 6^8 0( 4^0 ► G cstacom ple............................................... 200 à 1490
Lethal W eapon...........................................................140
Blizzard PPC 603e+ SCSI 2 0 0 M h z
6 8 0 4 0 3 18 0Gct connected......................................- ..................480
Lotus I I I
....................................................140
Blizzard PPC 603e+ SCSI 2 4 0 M h z
6 8 0 4 0 3 6 8 0 G P F ax .......................................................................495
M cDonaldland...........................................................140
Blizzard PPC 603e+ SCSI ! 60 M h z
6 8 0 6 0 5 2 8 0 Hard Drive M en u
Mickcy 123...................................... - ....................... 160
~.......................................119
Bfczvd PPC 603e+ SCSI 2 0 0 M h z
6 8 0 6 0 5 3 8 0 Ibrowsc V F ...............................................................380
Mickcy A B C ..............................................................160
Blizzard PPC 603e+ SCSI 2 4 0 M h z
6 8 0 6 0 5 6 8 0In to the n et............................................................... 155
Mickcy M ém oire...................................................... 160
BViîion SMO pour B lizzard P P C ..........................1 4 6 0
Mickcy Puzzles anim és........................................... 160
Kara collection ........................................................ 265
Csncmèraoire+horloge avec su p p o rt 8 M o
390
Mickcy 123 + abc +Mémoire + Puzzle................ 560
Light ROM 6 (4 CD )
........................ - ......... 280
Cybentorm MK3 UWSCS1 6 8 0 6 0 ........- .............4 4 8 0
M ogel..........................................................................140
Magic W B ................................................................. 109
Cybentorm PPC U W S C S I180 M h z ....................4 3 8 0
M otorhead.................................................................. 140
............
189
Magic Publisher
Cybentorm PPC UWSCSI 2 0 0 M h z .................... 5 2 8 0
Myst CD ou d isq u ette.............................................379
M akc CD D A O ........................................................ 380
Cybentorm PPC UW SCSI 2 3 3 M h z .................... 5 7 8 0
Navy seals............................................................ — .140
Meeting Pcarls..................
69
Cybentorm PPC UW SCSI 180 M h z
............ 4 9 0 5
Ncmac IV ................................................................... 140
M iam i........................................................................ 279
Cybentoim PPC UWSCSI 2 0 0 M h z 6 8 0 4 0 ....5 8 0 5
Nigcl M ansell............................................................140
Mod's A nthology......................................................199
Cyberstom PPC UW SCSI 233 M h z 6 8 0 4 0 ....5 8 4 0
No Second P rize
—.............................................140
M ogcl.........................................................................139
Cybentorm PPC UW SCSI 180 M h z 6 8 0 6 0 ....6 8 8 0
O loftght................................—..................................229
Netnews o fflin e .........
39
Cybentotm PPC UW SCSI 2 0 0 M h z 6 8 0 6 0 .... 7 7 8 0 ^ ^ . N e t C o n n e c l
On escapee.................................................................259
- ............. - ...............................580
Cybentorm PPC UW SCSI 233 M h z 6 8 0 6 0 ...6 8 8 0
Othelo K iller.............................................................. 140
Opus P lu s.................................................................. 185
Cybervision 8 MO pour C y b ersto rm .....................1 5 8 0
Piracy on the High seas........................................... 140
Organiser V F ........................................................... 240
Digiüliwur a u d iophonique 8 b i t s ...................... 3 5 0
Push-O ver
- ....................................- .............140
Personal Paint........................................................... 199
Interface Midi p ro fessio n n elle —
..........—.3 1 0
Quake C D ..................................................................339
P FS2.......................................................................... 330
BsibSeur de fréquence.................................................6 5 9
Robocop......................................................................140
Print S tudio...............................................................259
Lecteur de disquette interne D D s t a n d a r d ........... 2 7 0
RVF H onda
- .................................................... 140
Red Hat L in u x ..........................................................129
Lecteur de disquette interne H D s t a n d a r d ........... 5 8 9
Samba World C u p ................................................... 269
Rcxecutc le compilateur ARexx........................... 290
Lecteur de disquette externe H D M i c r o n i k .........6 2 9
Sccne Xplorer2 — .................................................... 145
Scala M M 400............................................
- .....499
OS 3.1 VF A500/600/2000— .................................... 5 9 0
Silcnt Service II........................................................ 140
Scanquix VF - S canérisaiion ............................... 690
OS 3.1 VF A1200/3000/4000 ................................... 6 9 0
Silk W orm .................. —............................................ 140
Siamesc System ....................................................... 299
Pffnet Amiga vers Am iga
...........................165
Sim C ity ........................................... - ....................... 140
Spcccy C lassix’9 8 ................................................... 190
Picasso IV -................................
2490
Simant - les fo u rm is................................................140
STFax P ro ............................................- ..................640
►Coocierto Picasso
.......................................9 9 0
Six Sens Investigation.............................................359
Studio Professionna! 2 .2 ........................................ 296
►W onu Picasso — ................
- ..................
790
Sky B laster..................- ............................................. 140
SupcrV iew ................................................................ 199
►Piblo Picasso
........................................... 9 9 0
S tar W ars.................................................................... 140
The Best of M ecom p
- .......................................119
P lu t »
...................................................— 1 9 9 0
Street Fighter 2 ......................................................... 140
Tomado 3 D ............................................................ 2890
Stniet Amiga vers CD32 av ec l e c te u r ................... 2 4 9
Super Hang O n
— ........................................... 140
Truc 3 D ......................... - ......................................... 190
Souris 2 boutons
— ................................................ 159
Super Tetris........................................ —....................140
Turbo Cale V F .......... ,; ¥— .................................... 490
Souris 3 boutons haute r é s o lu tio n ............................2 2 9
Suspicious C argo...................................................... 150
Turbo P rin t........................- ...................................... 449
Joystick
........................................- ................... 159
Sword o f S o d an ........................................................ 140
Ultimatc Blilz Basic C D .................. - ....... —........220
Topolino pour A2000..............................
320
Thcmc park................................................................ 140
WEB i t .......................................................................155
Topdme autre A m iga
......................................... 2 9 5
The sccne archive
- ......................................... 145
W ildfirc..................................................................... 890
Tour Alêo................— ....— ......................................9 9 8
Thundcr B ladc...........................................................140
WordWorth VF...................................
490
Tour Iafmith
.......................................... 12 4 0
Time K ccpcrs............................................................189
Workbench Designer 2 ............................................ 119
►Alimentation interne Micronik...................... 380* ^ - 5 0 0 Screcn Savcrs volume 2.....................................95
Time of R cckoning..............................
235
Coque clavier Amiga+adaptateur+cordon.... 380
WMiPJ J i i ffiEl
Tiny S w cek................ - .............................................140
.................... 1390
►Carte Zorro II Micronik
UFO....................- .......................................................140
Aftcr Bum cr A crial.....................- ..........................159
►Cote Zorro III Micronik......................... . 3 189
Ultimatc S kidm arks.................................................159
A lcatraz...................................... - ............- ............... 159
►Sortie externe SCSI Micronik..........................169
Uropa...........................................................................189
Alien 3 ........................................................................140
►Adaptateur PCMCIA Micronik...................... 245
Virtual K arting.............................. - ........................ 180
Amiga O loftght........................................................ 269
►Lecteur interne DD Micronik......................... 380
Vulcan Bonanza........................ - ............................. 239
Anime Babcs - Le nu au fém in in .................~......240
►Lecteur interne HD Micronik......... - .............559
Vroom data d is k
................................................140
Ballistix......................................................................159
Nippa diverses pour Amiga............Nous contacter
Wild Whccls K arting...............................................140
Bills Tomato G ame.................................................. 159
Lcr, ciels Amiga en ex clu siv ité ADF1
Wing C om m ander
- ........................................... 265
B lad c.................................................- ...................... 269
SwœCVF.........................
1340
W izkid.........................................................................140
Bob’s Bad D ay .......................~............................... 140
AttEfféet..— .......................... - ........................610
Zombie M assacre..................................................... 165
Captain B lood...........................................................140]
Cceçcter Graphics VF (Sortie vers a v ril)
690
Cartoon C lipart.........................................................175
DrwStedio VF...-............ - ..............- ............... 790
Chazc HQ ...........................~.....................................140
Dnpac 3.18 VO
.........................................290
C ivilization...............................................................220
Devpac 3.50 VF.— ------—...695
Clown-O-Mania........................................................140
Dfoflagct VF........................................
290
Compilation Amiga Classix (24 je u x )................ 219
140
►Thème Espace ................................
Compilation Dream Team (3 jeux O céan).......... 140
1690
PageStrcam Mac.
140
►Thème Lettres
..... - ............. —
Compilation Fox Collection (4 jeux T itu s)........ 140
140
> Thème Chiffres..™..............................
Compilation Game Atack (23 je u x )—.............
149
140
►Thème La mer— ................. ~...........
Compilation Mctalic Power (3 jeux L ankhor).. 140
710
Décalages complet (économisez 140 *)
Compilation M onde M erveille (3 jeux Océan). 140
VügicSynthesis VF (Sortie vers m ars)..............690
Compilation Adventurc (4 jeux M egasiar)...........99
PigeStitamAmiga VF nouvelle version..........1690
P r o c e s s e u r s PC
Compilation Fightcrs (4 jeux M cgastar)............... 99
►ExtenrionTextFX (effets de tex te)................490
Processeur P 7 5 .....................- ................................. 319
Compilation Sport 2 (3 jeux L o ricicI).................140
►Euenrioa Bordcrs (effets d'ornementation). 490
Processeur Pentium II 233............ - ..................... 1499
Compilation Vulcanology (9 jeux V ulcan).........229
►Filtre JPEG
— ..................
240
Processeur Pentium 11 266....................................1789
Crazy Cars 3 .................................................... — 140
►Filtre WwdWorth nouvelle version................ 240
Cytron psygnosis
....................................
169 Processeur Pentium II 350................................... 2359
►Effet de Gary (effets d’image)........................ 290
Processeur Pentium II 3 3 3 ....................................1889
Darkman...*..—
................................................. 140
►MoceurTroc Type (fontes .ttf).................... -.2 9 0
Processeur Pentium II 400— ..............................3140
Eat the Whistlc (fo o tb all)......................................215
►Scnario ARexx — — .................................240
Processeur K6-2-350.............................................. 1129
E lf.................................................................~............140
PipStmm complet (économisez 720 F) ..... 2960
Processeur K6-2-333............................................. 1019
Euro Leaguc M anager.............................................180
TjpeSmith VF
- ...............................- ......... 490
Processeur C eleron 3 3 3 A ..................................... 1179
F -19 Stcalth F ig h te r................................................ 180
RéparateurA.B.E. VF.......................................... 470
Processeur K6 2 3 3 .......
659
FIFA Intcmationnal S o c c r.........................
220
Spouted'impression V F ...............
120
Processeur Cyrix 2 0 0 .............................................. 659
Final O dysscy.......................................................... 330
Rtatt Stylus- Canon VF...................................... 190
Processeur M il 3 0 0 ................................................. 599
Pire Force.................................................................. 140
Tome 1: Evcc VF................................................320
Tome 2 : matériel V F ............................................. 320
Bien débuter A600 V F ............................................190
Bien débuter A1200/A4000 V F ............................190
Clavier accentué V F................................................ 120
Environnement Workbench V F .............................120
.
AMIGA
Processeur IBM PR 2 3 3 .........................................459
B a r e tte s m é m o ir e SDRAM
SD Ram 32 MO 100 M hz.—— ..........,................. 389
SD Ram 64 MO 100 M hz....................
- .......... 759
SD Ram 128 M B .................................................... 1509
Win 98 O EM .............................................................819
Win 98 M a j
........................... - .................. 839
Via Voice 98 exclusive.................................- .......1479
Microsoft office étudiant.......................................1479
Ciel C o m p ta..........................................- ................1479
Family P a c k ..........................................
Rainbow 6 ............................................. - ................. 399
Office P M E .............................................................2359
Home E sscn cial....................................................... 949
NT4 w orkstation......................... - ........ - .............. 1819
Works 4
— 319
Office Pro M a j............................................ - .........3119
Pack office Lotus Smart S u ite .......................- ....... 79
Pcanyw here............................................................. 1419
Norton Anti V irus.................................................... 279
É n ilH H b id
ATX Grande tour...................................................... 789
AT Grande to u r ........................................................ 789
ATX moyenne tour................................................... 369
AT moyenne tour...................................................... 219
AT m ini
- ..............................................................219
C a r t e s m è r e s PC
Abit PII 440 B X ....................................................... 979
CM 100 Mhz S I A GP............................................. 499
CM PII Bx ALI + C S ...............................................579
CM BX Asustec P II............................................... 1379
CM LX PII + C S ...................................................... 729
Câble im prim ante...................................................... 45
CM KTX 512 Ko Chips T X .................................. 709
Cable d'alim entation............................—......— .... 85
CM VX pro + carte s o n .......................................... 469
Câble SCSI 1 -)2 5 b ..................................................49
ASUS 440 BS 5 SCSI 2 ........................................ 2509
Câble SCSI 3 -)25 b ................................................279
F>2L97 Asustec LX atx + agp P I I .........................1169
Câble SCSI 2 -)2 5 b ................................................ 129
C a r te s g r a p h i q u e s PC
Câble SCSI 2 - ) 2 ..................................................... 249
Extension ATI 4 M O ................................................249
Câble SCSI 3 - ) 3 ..................
249
ATI Xpert
works 4 MO A GP..................... ;..... 579
Nappe SCSI U W 2.................................................... 369
................. 619
ATI Xpert @ 98 8 MO A GP
Nappe 7 SCSI 2 ..........................................................69
ATI Xpert @ works 4 MO P C I............................. 609
Nappe interne Ultra W id c.......................................149
ATI ail in wonder pro 4 MO A G P ......................1419
Nappe 2 Vi vers 3 x/i et 3‘/ r ...................................... 140
S3 I M O e x t2 M O .................................................. 169
Votre nappe Amiga est également disponible.... xxx
Carte M1RO DC 3 0 + ............................................ 8979
Carte TV MIRO PC T V
....................................819
M odem ISDN ............................................................619
Sis 3D AGP 4 MO + T V ........................................ 269
M odem Pro U S R ....................................................1679
Sis 8 MO A G P ..........................................................229
M odem USR K56 externe pour A m iga
1490
Intel i740 8 MO A G P ..............................................509
M odem Hayes + adaptateur pour A m ig a
1349
S3 2 M O ............. - ................................................. 259
M odem USR 33.6 P C M C IA ...............................1209
Trident A G P .............................................................. 259
M odem externe num éris....................................... 3519
Number Nine AGP 4 MO SW R A M .....................269
M odem Olitec interne 56 k ....................................459
M illenium G 200 AGP 8 M O ................................. 78J
M odem USR K56 in tern e...................- .................499
Voodoo II3 D F X 12 M O ...................................... 14
M odem K ortex..........................................................399
C a r t e s s o n o r e s PC
Sound Blaster 128 P C I.........................
609
iM 'llü ü m d
14 “ (écran 35 c m ).........................
1059
Live 128....................................................................1809
15 “ (écran 38 c m )...............................— ........... 1209
Sound B laster 16—................................................... 239
15 " (écran 38 cm ) garanti 3 ans pour Amiga.. 1540
Carte Sound B laster AW E64................................. 479
17 “ (écran 43 cm) prowiew.................................2359
Carte son com patible Sound B laster.................—109
17 “ (écran 43 cm) garanti 3 ans pour A m iga..2790
Sound B laster 32. .................................................309
20 " (écran 50 cm ) garanti 3 ans pour A m iga..7590
C la v ie r s PC
C lavier PC P S 2 ...........................................................89
Routeur Syxel Prestige 1 0 0 ...................
3769
Clavier PC A T ......................................
69
R outeur Syxel Prestige 128 ................................ 4469
C lavier PC M ultimédia avec H P............................149
R épartiteur 8 ro u te u rs
.’.............................. 1729
C lavier PC standard pour tour A m ig a..................158
Carte réseau ISA .............................................- ........109
Clavier PC M icrosoft Intclli PSI1.........................229
Carte réseau P C I....................................................... ! 19
C lavier PC M icrosoft É lite.....................................259
19 pouces S A M P O ........................................ — 4709
C lavier PC ergonomique pour tour A m iga
399
D is q u e s d u r s e n 3
300 • 6 0 0 / / pour P C ..............................
409
.3 Go UDM 3 3 ........................................................ 1129
300 * 600 SCSI pour P C ...................................... 1019
6.4 Go UDM 3 3 ........
1429
S can n e r Epson GT7000 p o u r A m ig a
1790
6.4 Go UDM IBM garanti 5 a n s ......................... 1729
S can n e r Epson G T7000 P h o to p o u r A m iga 2290
8.4 Go UDM A 3 3 ...................................................1639
6.4 Go SCSI UW .................................................... 2829
Souris PC PS 2 ............................................................ 29
4.3 Go S C S I............................................................2359
Souris PC A T .............................................................. 29
9.4 Go SCSI U W - ....... - ......................................4239
Souris PC 3 boutons.................................................. 85
D is q u e d u r 2V!t d e p o r ta b le s , A 600 e t A 1200
.1040
Souris PC P ilo t......................................................... 179
520 Mo IBM garanti 6 mois.
Souris PC Home M o u se..........................................169
.2190
3 Go IBM garanti 3 a n s ........
Tapis so u ris................................................................. 30
G rav eu rs d e c é d é ro m s
Game Pad P C ............................................................ 169
G raveur IDE 2x 8x m itsum i
- ....................1649
A c c e s s o ir e s
G raveur S C S I......................................................... 2219
Palm Pilot................................................................ 2589
G raveur Yamaha 4x 4x 16x S C S I.......................2690.
14 ^ ^ ’^ ’O ndulatcur 500 v a ................................................... 990
Cédérom vierge K odak..................................
14
Protecteur an ti-foudre.............................................319
Cédérom vierge Verbatim..............................
Contrôleur PC SCSI .............................................. 489
Im p r im a n te s
HP Deskjet 895 C x i................................................2500
Adaptec 2940 ultra w id c ......................................1869
Stylus Color 4 4 0 ...........
990
Distributeur 4 écran.................................................1129
Stylus color 6 4 0 .......................................................1490
Basculeur 2 écrans.....................................................179
Stylus Color 7 4 0 .................................................... 1 7 9 0 ^ ^ ^ ^ a s c u l e u r 2 im prim antes........................................180
Disquette 720Ko-8S0 Ko par boîte de 1 0 ............. 45
Cartouches Stylus noir et blanc ou co u leu r........ xxx
Tablette graphique T R U ST .................................. 1699
Cartouche HP xx N o ir........................ — ..............239
B oitier 2 emplacement 5 1/4 S C S I.......................790
Cartouche HP 6xx C o u leu r....................................249
Rack ID E.................................................................... 109
Cartouche HP 690 P h o to ........................................ 319
B oitier SCSI 2 a p p a re ils ........................................ 740
Cartouche pour HP 720 couleur............................ 309
Adaptateur 2Vi vers Vh ............................................. 95
HP 500 w ................
409
HP 300 w ...........................................................
479
HP 220 w ..................................- ............................... 179
HP 240 w ....................................................................179
Hub 8 p o rts................................................................709
J o y s t ic k PC
.109
PCPC R aid cr.
.439
Flignt Force...
..69
T ru st...............
Joypad T ru st..............................................— ............ 79
P a g eS tre am et D raw S tu d io
Typhoon
- ............................................................ 239
sero n t v o s c o m p a g n o n s in d isp e n sa b les.
Rainbow runner pour M v stic .............................. 2039
L e c te u r s d e c e d e r o m s
L e cteu r de céd éro m s 40 x ID E in te rn e ............ 590
Lecteur de ccdéroms 32x SCSI interne .............. 789
L e c te u r d e c a r t o u c h e s Zip
Lecteur ZIP SCSI ex te rn e ......................................990
Lecteur ZIP parallèle...............................................990
Lecteur ZIP IDE interne..........................................890
Cartouche Z ip........................... - ................................99
.
.
.
.
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
MAC INTOSH
PC
W
VENTE - ACHAT
RÉPARATION
CONSEIL
299
com plet du program m e. Nous nous trouvons alors
dans le cas du parallélism e fo n ctio n n e l. Il arrive
égalem ent que la tâche soit chargée de traiter uni­
quem ent une partie des données. Il s'agit alors du
traitem ent parallèle de données. PVM supporte ces
deux modes et possède même la capacité de les
m élanger.
Néanmoins, prenez garde : tout cela ne s'effectue
qu'avec des applications com pilées expressém ent
pour le fonctionnem ent en parallèle (tel Pov, par
exem ple). Les autres susciteront le com portem ent
suivant : PVM ne verra qu'une seule et unique tâche
et aura de fait bien du mal à la répartir sur les diffé­
rents calculateurs.
Enfin, il faut noter que PVM utilise une stratégie de
com m unication interprocesseurs (en fait, interm a­
chines), qui lui est propre. Il existe d'autres im plé­
m e n ta tio n s de s t r a t é g ie s s im ila ir e s , te l M PI
(M e ssa g e Passing In te rfa c e ), q u 'il est p o ssib le
d'adapter à PVM.
Tout sur un CD RedHat
Si le cœur vous en dit, rien ne vous interdit de tenter
sans plus attendre l'aventure du calcul parallèle, grâce
au CD-Rom Extrême Linux, de Red Hat Software. Son
contenu est une compilation des travaux réalisés dans
le cadre du projet Beowulf, au NASA Goddard Space
Flight Laboratory. Celui-ci consiste dans la mise au
point d'un supercalculateur parallèle, qui passe par
l'exp lo itatio n de com posants standards ("o ff the
shelf") et d'un environnem ent logiciel un petit peu
particulier (compilateurs, moniteurs, démons). Ce CD
contient absolument tout, ou presque : une version
RedHat Linux 5.0 (non, il ne s'agit pas encore de la
dernière version 5 .2 ) pour Intel (seulem ent...), des
_________________________________________
Wwflf&T Dream prof
• G ranularité logicielle
Rapport entre le nombre total d'opérations à exécuter dans
un programme et le nombre de tâches indépendantes qui le
divisent.
• G ran u larité m atérielle
Nombre de processeurs constituant une machine parallèle.
•
V ecteur
Tableau à une dimension.
• M atrice
Tableau à deux dimensions minimum.
• Blas I, Il et III
Basic Linear Algebra Subprograms. Ensemble de routines
contenant des fonctions mathématiques standards, optimisées
pour une architecture donnée.
Cet ensemble se décompose en trois sous-ensembles :
I - traite des opérations vecteur/vecteur
I I - traite des opérations vecteur/matrice
I I I - traite des opérations matrice/matrice
• Lapack et Linpack
Bibliothèques de routines pour le calcul numérique linéaire.
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
compilateurs parallèles, des interfaces graphiques, des
pilotes réseau spécialisés, des outils de mesure de per­
formances et d'applications, ainsi que des exemples
intéressants. Bien entendu, vous disposez également
des sources, à l'exception de ceux d'aimk ; il s'agit
du w rapper de make, indispensable pour recom pi­
ler. Vous a c c o m p lire z ce tte d ern iè re d ém arch e
pour xpvm (mais pas pvm d), si vous upgradez de
la RedHat 5.0 à la 5 .2 .
La com pilation doit s'ef­
Le c a l c u l p a r a l l è l e s u r I n t e r n e t
fe c tu e r san s d iffic u lt é .
Prenez garde cependant à
Mailing lists
b ien p ré c is e r d a n s le
[email protected]
M akefile.aim k le chem in
[email protected]
[email protected]
Newsgroups
comp.sys.super
comp.parallel
comp.parallel.pvm
comp.parallel. mpi
Sites Web
www. beowulf. org
wwwmddsp.enel.ucalgary.ca/People/adilger/povra
y/pvmpov.html
sal. kachinatech.com/C/2/PVM.html
des fichiers Tel et Tk, ainsi
q u e des b ib lio th è q u e s
X I I , et veillez à spécifier
un link d ynam ique (sta ­
tiq u e p ar d é fa u t), sans
le q u e l v o u s a lle z audevant de sérieuses diffi­
cultés.
Ces o p é ra tio n s so n t de
to u te faço n bien e x p li­
quées dans le fichier readm e ... à condition de les
lire avant de com m encer !
E n fin , n 'o u b lie z pas de
PVM.
définir les valeurs appropriées aux variables d'envi­
ro nnem ent P V M _RO O T et X PV M _RO O T, soit au
niveau système, soit par compte utilisateur. Vous ne
disposez que d'une seule machine ? N'ayez aucune
inquiétude ! L'environnement vous permet de simu­
ler la présence d'une machine parallèle distribuée, en
attendant mieux.
Que ceux qui utilisent Linux sur autre chose qu'une
plate-forme Intel ne se sentent pas lésés : ils pour­
ront tout de même acquérir ce CD sans hésitation.
En effet, outre des sources, celui-ci leur offrira énor­
mément d'informations, ainsi que l'édition complète
en Html d'un ouvrage consacré à l'utilisation et à la
configuration de PVM (publié chez MIT Press).
Christophe Le Cannellier et Yann Serra
C a r t e s PPC Ultra-W ide Arnica 4 0 0 0
Lecteur CDROM ATAPI 3 6 x ................................. 3 5 0 F
Lecteur CDROM SCSI Plextor 4 0 x
990 F
Graveur CD SCSI Teac R55S x4 x 1 2 ..............2 1 0 0 F
Graveur CD SCSI Yamaha x4 x4 x16 ............ 2 7 9 0 F
Graveur CD IDE M itsum i x4 x S .......................1 7 9 0 F
Disque dur IDE UDMA 3.2 G o
950 F
Disque dur IDE UDMA 4 .3 G o ........................ 1 0 5 0 F
Disque dur IDE UDMA 6 .4 G o ........................ 1 2 0 0 F
Disque dur SCSI 4 .3 G o .................................. 1 9 0 0 F
Disque dur SCSI UW 2.3 G o ....................... ... 1 0 0 0 F
Disque dur SCSI UW 4 .3 Go ......................... 2 0 0 0 F
Lecteur ZIP ATAPI in te rn e ................................... 6 5 0 F
Cyberstorm 235Mhz support 040 ou o s e
4 690
Cyberstorm 233Mhz avec oao à 25 mhz
4 900
Cyberstorm 233Mhz avec o&o à somhz
6 990
Slizzard 603e+ 160Mhz & 040 à 25 MHz
2 590
Slizzard 603e+ 200Mhz support oso à 50 MHz
2 990
Slizzard 603e+ 200Mhz&04Oà25MHz................ 3 1 0 0
Slizzard 603e+ 200Mhz&060à50MHZ .............. 5 2 9 0
Slizzard 603e+ 240Mhz support oso à somhz....... 3 5 9 0
Slizzard 603e+ 240Mhz&040 à25MHz
3 690
Slizzard 603e+ 240Mhz&osoà5OMHz.............. 5 9 0 0
V~^ Délire !!!
A b it SX PII B H 6 .....................................................6 5 0 F
Asustek SX PII P 2 S ............................................1 1 5 0 F
Pour l’achat d’une c a rte
TXPro + Audio (100 Mhz) pour l\ 6 ...................... 4 9 0 F
P ro c e sse u rs PC
PPC, nous vous offrons
le port sur l’ensemble de
L— ,
votre commande. ,—
Slizzard 603e 160Mhz &040 à 25 MHz
1990
Slizzard 603e 200Mhz & 040 à 25 mhz................. 2 5 9 0
Slizzard 603e 240Mhz & 040 à 25 MHz...................3 1 9 0
AMD K 6-2 3 5 0 Mhz..............................
AMD K.6-2 4 0 0 Mhz ............................
Pentium II 3 5 0 Mhz ..............................
Pentium II 4 0 0 Mhz ..............................
SVision PPC ô M o ............................................1 3 9 0
CyberVision PPC S> Mo ..................................... 1 4 9 0
Scan Doubler interne A 1 2 0 0 ...............................6 5 0
MaxiGamer Phoenix 16Mo AGP ou PCI
M atrox Millenium G 2 0 0 8>Mo A G P ....
| N’hésitez pas à nous c o n s u lte r
pour vos connexions SCSI !
Pensez à surveiller wvwv.vgr.com
tour profiter de vos CyberVisionPPC.
Attention à la hausse des
barettes de m émoires S IM M !
ATI Xpert@PIay ÔMo A G P ....................
3DFX Voodoo II 1 2 M o.............................
M oniteur 15" 0.26
1500
M ém oires RAM
M oniteur 17" 0.26
2 950
DIMM SDRAM PC100 6 4 M o
630 F
DIMM SDRAM PC100 12Ô M o......................... 1 3 0 0 F
SIMM EDO 6 0 n s 3 2 M o ........................................5 5 0 F
M itsubishi 17" 0 .2 5 Plus 71
3 590
M itsubishi 17" 0 .2 5 Plus 7 2
3 990
M itsubishi 17" 0 .2 5 Pro 7 0 0
4 990
M oniteur 17" 0 .2 6 ...............................................2 5 5 0
Route départementale 523 • 3 3 5 7 0 TENCIN
F rais de p o rt :
Moniteurs : 150 F
Processeurs, RAM : 25 F
Autre : 5 0 F
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Tél. : 0 4 7 6 4 5 6 0 6 0
Fax 0 4 7 6 4 5 6 0 5 5 • w w w .pragm a-info.com
A la une en Février
Tout sur la motion capture
Mille et une pattes, le nouveau
dessin animé de Pixar
Pleins feux sur la pub Evian
ii lutin».
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En kiosque tous les mois
'ta.n o uve«e vm io n
du cHus gin nd
.logiciel d« création
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42 francs avec un CD-Rom offert
sn « tt’o p r °
et jon CD avec répertoire Amiga et Atari
- -* m i
Langages de
program m ation :
des origines
à la jungle !
type de programmation existe encore aujourd'hui : il
s'agit du fameux (par sa mauvaise réputation) langage
machine ! Très rapidement, le besoin d’utiliser un lan­
gage plus proche de l'homme conduit à l'élaboration
du langage d'assemblage. En s'appuyant sur un langa­
ge proche de la machine mais décrit avec des mots (et
non du binaire), un programme, nommé assembleur,
tra d u it ce code en lan gag e m a ch in e . Prenons
l'exemple d'une addition en utilisant une pile. A partir
du code en langage d'assemblage (appelé assembleur
par abus de langage) :
PUSH 12
PUSH 13
Qui dit "ordinateur” dit "logiciels” et par conséquent
"langages de programmation" On pourrait penser que
depuis que l'informatique existe; on a eu le temps
d'en faire le tour, en fait; il y a erreur, car la galaxie
des langages existants et à venir ressemble plus que
jamais à une véritable jungle.
ADD
l'assembleur crée une suite de bits qui correspond à
l'opération "additionner 12 et 13". Ce procédé extrê­
u début était la carte perforée. Programmer
un ordinateur revenait à disposer dans un bac
^ ^ W Lp lusieu rs cartes perforées, chacune correspon­
dant à un traitement élémentaire (charger un registre,
additionner deux registres, etc.). L'exécution du pro­
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
gramme correspondait à un traitement mécanique :
avaler une carte lire celle-ci effectuer l'opération
jeter la carte à la poubelle ou encore modifier la perfo­
ration. Supposons qu'une carte contienne 8 bits de
données (c'est-à-dire 256 trous) et que la machine en
avale une par seconde : on obtenait alors, à la fin des
années 4 0 , un débit de l'ordre de 2 8 8 0 0 bits par
heure ! Pour déboguer un code, il "suffisait" de parcou­
rir en long et en large l'ordinateur (traduction : énor­
me machine très bruyante) pour découvrir le problè­
me. Cependant, ne nous moquons pas, puisque ce
Les vautrés de l'écran.
Oblique Oric.
m em ent sim ple met en évidence une lim ite très
importante de l'époque : l'absence totale de connais­
sances sur la théorie des langages.
La révolution se nomme Fortran
La réalisation du premier compilateur de l'histoire fut
un projet gigantesque, évalué à plus de vingt annéeshomme (il a donc fallu beaucoup d'hommes pour le
réaliser en quelques mois). Le fait que cette révolution
se nomme Fortran en fera sourire plus d'un, tant le lan­
gage est décrié aujourd'hui, excepté par une poignée
de spécialistes en calcul numérique intensif. Le caractè­
re titanesque de cette réalisation pourra peut-être nous
étonner, d'autant que l'écriture d'un compilateur des­
tinée à un langage généralement bien plus puissant
que le premier Fortran constitue aujourd'hui un exerci­
ce traditionnellement donné aux étudiants en licence.
Cependant, il faut se replacer dans le contexte. A
l'époque, les concepteurs de Fortran s'étaient lancés
sur un terrain inexploré, les connaissances en matière
de compilateurs (et toute la problématique qui s'y rat­
tache) dem euraient nulles et des outils spécialisés
comme les célèbres générateurs de code Lex et Yacc
restaient totalement inexistants ; sans parler du fail
que tout devait être implémenté en assembleur ! Pai
rapport à ce qui se faisait à l'époque, le résultat s'avéra
extraordinaire. Essayez d'imaginer le nombre d'instruc­
tions en assembleur que nécessiterait la réalisation di
programme de calcul de produit matrice*matrice (opé
ration extrêmement fréquente dans les application:
scientifiques) suivant, exprimé en quatre lignes de
Fortran :
DO1=1,N
gages les plus récents tentent une sorte de fusion (sou­
vent, il s'agit plutôt d'un compromis) plus ou moins
heureuse entre ces deux univers.
D ifférents types de langages
DOJ=1,N
DOK=1,N
C(I,J) = C(I,J) + A(I,K)*B(K,J)
Un outil permettant de décrire des algorithmes et de
les faire "tourner" sur la machine se trouvait ainsi dis­
ponible ! L'ordinateur sortait de sa période expérimen­
tale pour devenir utilisable : à n'en pas douter, il s'agis­
sait d'une véritable révolution ! Cette faculté excep­
tionnelle, qui consistait à
écrire des calculs sous forme
"mathématique", fut à l'ori­
gine du nom du langage :
Fortran, abréviation de
leur capacité d'évolution. Ils correspondaient à l'origine
à des besoins très différents, qui aujourd'hui se rejoi­
gnent. Il n'y a donc rien d'étonnant à ce que les lan­
Il n'existe pas aujourd'hui un langage de programma­
tion qui ne soit pas un descendant plus ou moins
direct de Fortran ou de Lisp. Si l'on s'intéresse unique­
ment à l'aspect langagier
heresy *localdonain
FORmula TRANslator, ce qui
signifie en français "traduc­
teur de formules".
Lisp, le chemin inverse
—
—
A peu près à la m êm e
époque (fin des années 50),
un projet pratiquement anti­
nomique à celui de Fortran
démarra. Fortran p erm it
enfin d'utiliser sérieusement
un ordinateur, pour effec­
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tuer du calcul numérique ;
toutefois, dès le début, les
utilisateurs m anifestèrent
'ë
Y a quelque pause en-dessous de l'hérésy...
Les arènes de Vim.
leur volonté d'être égale­
ment en mesure de programmer des traitements sym­
(et non à l'environnement de programmation et d'exé­
boliques (soit, manipuler des informations à l'état brut,
cution), une différence fondamentale sépare les deux
et pas uniquement des nombres), ce dont Fortran se
ancêtres : Fortran est impératif et Lisp, fonctionnel. Ils
révéla (ce qui demeure toujours le cas) absolument
représentent les deux classes principales de langages ;
incapable. Il fallait donc se doter d'un nouveau langa­
tous les term es très prisés actuellem ent ("orienté
ge. C'est alors qu'on se souvint du "lambda-calcul",
objet !", "fortement typé I", "dynamique !" etc.) ne
une théorie mathématique développée avant la guerre
et pratiquement oubliée. Le lambda calcul permit d'in­
troduire explicitement en informatique les notions de
fondions, d'évaluation et de récursivité et d'imaginer
désignent que des attributs pouvant s'appliquer à une
catégorie comme à l'autre.
Les langages im p ératifs
un langage minimaliste par sa syntaxe, mais à l'exten­
sibilité et à la puissance d'expression infinies. En pra­
De façon très théorique, les langages impératifs se rat­
tachent au principe de la machine de Türing. En pra­
tique, cela signifie qu'à l'intérieur de ces langages, on
tique, ce langage faisait un usage intensif de listes
donne des ordres simples et directs à la m achine,
d'éléments ; voilà pourquoi on le baptisa "List processing language" (langage de traitement de listes), ce
comme additionner deux valeurs, PUIS multiplier la
somme par 100, PUIS imprimer le résultat. Cette philo­
sophie présente au moins deux avantages : on la
qui explique l'apparition de l'acronyme "Lisp". Plus de
trente ans avant l'avènement de java, Lisp offrait déjà
des caractéristiques telles que la machine virtuelle ou la
gestion automatique de la mémoire ! Beaucoup moins
riche que Fortran à ses débuts, voire inexploitable à
d'autres fins que le développement de Lisp lui-même,
ce langage put par la suite tirer parti de son incompa­
rable évolutivité. Ainsi, ces deux langages, totalement
opposés dans leur conception, s'avéraient pourtant
très complémentaires. Fortran et ses nombreux succes­
seurs (C, C++, entre autres) sont tournés vers les per­
formances et la proximité avec le matériel. De leur
côté, Lisp et ses rejeto ns ( Sm a llta lk , Schem e,
CommonLisp, ML...) ont pour qualités leur puissance et
retrouve au niveau électronique (le langage machine
est impératif), ce qui rend donc plus facile la construc­
tion des compilateurs, puisqu'il s'agit, schématique­
ment, de traduire une instruction complexe en plu­
sieurs instructions élémentaires. Autre atout, une telle
approche se montre assez intuitive et en tout cas facile­
ment abordable pour le débutant (c'est-à-dire tous les
informaticiens de l'époque de Fortran). Elle consiste
donc en une pure exécution séquentielle, un pas après
l'autre. Les langages de cette catégorie, quant à eux, se
distinguent les uns des autres essentiellement par leurs
instructions évoluées, mais aussi par les possibilités de
"structuration" offertes au programmeur.
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C e tus Ltnkx - O bjec t-O rle n ta tio n
270
"D E U X "
270
J a n u a ry 2 4 , 1 9 9 9 / W e e k 4
260 PRINT "NEUF*
13,060 Links on Objects & Components
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Comnanle?
Ç Q R fiA v
^ v o g e a n s ^ .-
Servçff.
270
.. s u ite du programme
et ceci à chaque fois que l'on veut accomplir cette
opération ! En revanche, dans un langage procédural,
on se dote de la procédure afficher_en_toutes_lettres :
Mofrils Asc n s lnifimçl n» re
procédure a ffic h e r_ e n _ to u te s _ le ttre s : le paramètre x
► .Q gacre i
Fram e w o rk *
g ^ sm s
QQAP Metfaod? m L
e s t un nombre
► Gentrai A8A? Obiect? Ma BETA C++
L an g a g e s
Si x=l a ffic h e r "UN";
CLOS
COBOL Delphi pylar. Eiffel
Farté Ja v a ,.,
jg v a S c r g t... M o d u lais O beron-2 O b ;ectiv e-C uroxr®
Perl Prolog Python REXX S ether S e l Simula
Si x=2 a ffic h e r "DEUX";
Smafltefc Tti-Tk y&aLBasc^ Vis&l.Foxpro mrs^.
► General QP.CJBMS. ORDBMS QRMagelns Reppsntor.ç?
► ErBJSSLMâQSSfimÊûî MefriÇS
R f la t o d T o p î c ?
R & ü ê l e s & g,
Si x=9 a ffic h e r "NEUF";
fin de la procédure.
S tcxcli w w w .c e tu s -h n k s org
r p a r a a l match
![
Dans le programme principal, on peut alors l'utiliser
and«»“ ; * or- ' , ‘
no «paceal
à loisir :
C entral Site: ffw w .ç s t^ - f o t o i s .
America: 3raz8 C tnada/B C Canada-OC USA/IL USA/WA A sia: Jsp an Korea PhSgmaex Taiwan
Auxtraha: Auxtraha Europe: Austria G en aan y R uxaa Spain Switzenand T h cN cth criands U £
Copyright (D 1996-1999 b v M anfred Schneider
Site Vlxitx: 0 1 5 , 4 0 9 since M ay 1996
jÿ :r
ioo%
Link penaud.
Exécution séquentielle et sauts :
trop Basic ! ? !
Pour permettre une programmation réaliste, il nous suf­
fit de disposer d'une instruction particulière, pour "sau­
ter" à un autre endroit du programme ou revenir en
arrière. Suit un exemple que tout le monde connaît :
a f fic h e r_ e n _ to u te s _ le ttre s (1) ;
a ffic h e r_ e n _ to u te s _ le ttre s (x );
a ffic h e r_ e n _ to u te s_ le ttre s(x + y );
Bien que Pascal fût conçu avant tout pour l'ensei­
gnement, le concept de langage procédural rempor­
ta un tel succès qu'il devint une véritable religion
pendant des années, y compris pour les langages les
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B or.im ali £ ( . « « * » fct.t? //* * *
n m l
Lccop £ j HrnSCooi
10 PRINT 'Vive Basic"
20 GOTO 10
99 Bottles of Beer
(reprendre l'e x é c u tio n à p a r t i r de
227 Computer Bear S tylo
l 'i n s t r u c t i o n 10)
En fait, ce n'est rien d'autre que ce qu'offre déjà le
langage machine (ou, si vous préférez, l'assembleur),
les instructions "évoluées" en plus (com m e PRINT).
Cependant, lorsqu'il faut résoudre des problèmes
complexes, ce modèle se révèle beaucoup trop limité
et donne lieu à des program m es épouvantables ;
ainsi peut se définir la programmation spaghetti du
Basic (langage qui porte vraim ent bien son nom).
Pourtant, bien avant l'avènement du Basic, Fortran
avait déjà introduit une amélioration très importante,
à savoir les pro céd u res. Il s'agit d'un m oyen de
décomposer un programme en plusieurs "sous-programmes", communiquant les uns avec les autres par
l'intermédiaire de paramètres et de valeurs de retour.
On en arrive ainsi aux langages "procéduraux", dont
le langage Pascal constitue l'un des premiers repré­
sentants. Les procédures perm ettent en quelque
sorte de doter le langage d'instructions encore plus
évoluées que ce qu'il n'offre par d éfaut. Si, par
exem ple, on voulait afficher des chiffres en toutes
lettres en Basic, cela donnerait quelque chose du
genre :
10 IF X=1 GOTO 100
20 IF X=2 GOTO 120
90 IF X=9 GOTO 260
3î?tlvli#6ntaokeK08waiface7/U W .7M»«K£ChOKBM4 e
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for Marcfc 19,1997 FtrtK»; err^he
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tctTi u j -vtstc of bt&èmAfa f t x e n tp r c r u t w i i t h f t m e job c a ü h s v e b e a ie c c e n p to e d 'm l id x h Q e js t BASIC e d h e r e w n i à c n
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10
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PC» X -100 TO 1 3TEP -1
PP!NT X ;* & > t t l e ( s ) o f b * o r 00 t h e v a l l , * ; X ; ‘ b o t t l e ( s ) o f b e e r "
PRINT "TsXe o n * d o v n en d p s s s t t a r o u n d .*
WtIXT X - l ; " b o t t l * ( s ) o f b e e r 00 t h e v s l l "
IIEXT
Kowcnr thr. canybmersnad; tbe c in s tx af a th S a tC T . ^ ^ y sr.Tten. 11 i r o c ta S a ÿicwlaa %•&, * y rtràa-. al '99
Il
epeatd tbe Ib sa ju x i «cm p rs p is rs e n (ïsm ifl evtxfce wartl i»vt âC em s T m x w k Mwred l»oiB*|es-! re p tt CjU 1 ô a 1! isne îu
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e * e ctSecato, pleaie ceed n e y r r üjtm *od =al »f*ta s
tbc fenn of « comrocofl a tte «pprepMit l*m a$e. (Or est o c ic rn a e rt » c o d e .. î m rare corcried; u n w itt « rtfletxcetiL)
C o n trfb u d n g
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te tead me prsjrurj. KraevtT.fjwS
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1 vm lonef *99 Boules'dut l u t t a iMicaSeeboapkou.
» e ^ l 1 t d d t L B u t inivwyi beer h istod th«t If f w wich ta «fcf
Le langage de programmation vient de faire
un grand pack.
plus professionnels, comme Modula ou Ada.
Les langages fonctionnels ou la beauté
des m athém atiques
Les langages fonctionnels ont emprunté un chemin
très différent. Ici, on ne manipule pas des instructions,
ni des "variables", mais des fonctions au sens mathé­
matique du terme, avec toutes les opérations permises
sur celles-ci. Les fonctions sont elles-mêmes des don­
nées, qui peuvent se voir traitées à leur tour par
d'autres fonctions (que l'on appelle, selon les auteurs,
les "fonctionnelles", les "méta-fonctions", les "fonctions
d'ordre supérieur", à moins que l'on décide de ne pas
faire de différence !). Ici, l'exécution d'un programme
représente une opération purement syntaxique ; le
programme, dépourvu de début et de fin, ne se
"déroule" pas et existe en tant que tel. La conversion
en langage machine (indispensable pour qu'un pro­
gramme puisse accomplir la moindre action) a des
chances de paraître au début plus compliquée que
dans le cas des langages impératifs, où l'on se conten­
te de transposer les instructions, mais une fois maîtri­
sée, elle est infiniment générale. Exemple ? Regardons
le programme suivant (écrit en Scheme) :
(define binop (lambda (op a b) (op a b)))
Il crée l'opération "binop", qui permet d'appliquer une
fonction à deux valeurs quelconques. On se trouve en
mesure de l'exécuter, par exemple grâce à :
(binop + 12)
type", qui donnent la réponse attendue lors de l'exé­
cution.
Vers les langages orientés objets
En se concentrant sur le problème de l'expression
d'algorithm es, les langages pro céd uraux com m e
Fortran, Pascal ou C n ég lig en t plusieurs besoins
importants en matière de génie logiciel. En premier
lieu, l'expérience montre que les programmes procé­
duraux sont facilement obsolètes. De plus, la sécuri­
té du code est discutable. La faute en incombe à une
approche quelque peu restrictive de la programma­
tion, qui privilégie les traitements au détriment des
données manipulées. Pourtant, les données consti­
tuent la clef du code réutilisable, évolutif et sûr, car
finalement, ce qui intéresse l'utilisateur est de savoir
ce que prend le pro gram m e et ce qu'il renvoie
comme résultats, et non com m ent il y parvient. On
Ainsi, nous appliquons la fonction "+" à 1 et à 2, ce qui
revient à effectuer l'addition 1+2. Cependant, on peut
va donc tenter d'inverser les rôles : le programmeur
devra désorm ais travailler sur les données, tandis
tout aussi bien procéder de la manière suivante :
que les algorithmes passent au second plan. L'école
fo n ctio n n e lle a pris acte très ra p id e m en t de ce
retournement de situation ; il n'y a donc rien de sur­
prenant à ce que les premiers langages à objets aient
été réalisés en Lisp.
(binop lis t 'hello world' binop)
Nous appliquons alors la fonction "list" (qui a pour
résultat de construire une liste) aux deux arguments
"hello world" et binop lui-même, créant ainsi une liste
contenant le message "hello world" et le programme
binop. A l'aide d'un seul programme et d'une unique
traduction en langage m achine, nous bénéficions
pourtant d'une infinité de manières différentes d'exé­
cuter celui-ci ! Ce langage suppose que l'utilisateur
aime les parenthèses et la notation préfixée, mais un
bon éditeur simplifiera l'écriture des programmes. Le
L'approche objet : p rio rité aux données
Le principe reste toujours le même : des inform a­
tions, ainsi que tout le code perm ettant de les trai­
te r, sont in tég rées au sein d 'une m êm e e n tité ,
appelée "l'objet". Aux procédures et au programme
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mode "séquentiel", qui procède étape par étape,
peut sembler obscur, mais de l'aveu général, l'ap­
prentissage d'un tel langage représente un investisse­
ment plus que rentable. De toute façon, la puissance
du langage perm et de d é fin ir fa c ile m e n t des
constructions impératives, com m e les boucles ; la
plupart des implémentations en proposent même
par défaut.
Les types de données
Nous nous sommes pour l'instant principalem ent
intéressés au code et non aux données manipulées.
Dans la plupart des langages, elles se voient repré­
sentées par des "types" : entiers, caractères, types
composés, etc. Les prem iers langages im pératifs
étaient systématiquement fortem ent typés, ce qui
signifie qu'il fallait dans un premier temps déclarer
les types des variables (cette variable représentera
des entiers, celle-ci des chaînes de ca ra ctè re s...),
avant que le compilateur ne vérifie ensuite, à chaque
fois, la légalité des opérations. Si, par exem ple, a
désigne un entier et b une chaîne de caractères,
alors, il sera interdit de procéder à un test pour
savoir si a=b, car cela entraînera autrem ent une
erreur de compilation. On parle de "typage sta­
tique", car les types se trouvent définis en dehors de
l'exécution du programme. En Lisp, au contraire, le
typage est dynamique : a priori, on ne distingue pas
les types et on manipule tout de la même façon. S'il
s'avère absolument nécessaire de connaître le type
d'un objet traité, le langage fournit des "prédicats de
Le rajout de mon toutou, j'en suis fou...
principal, qui travaillent sur quelques variables, se
substituent des objets, c'est-à-dire des valeurs, qui
peuvent contenir des m orceaux de code et com ­
m uniquer avec d'autres objets, pour leur envoyer
des ordres ou s'échanger des inform ations. Si l'on
reprend l'exemple du produit de matrices, évoqué
au début de ce dossier, on peut désorm ais avoir
d eu x objets m a trices, qui "savent" se m u ltip lie r
e n tre e u x, in d é p e n d a m m e n t du c o n te xte dans
lequel ils existent. Les années 70 représentent le
début du développem ent en matière de program ­
mation orientée objet, mais près de trente ans plus
tard, personne ne parvient encore à déterm iner de
m anière u n ive rse lle et co m p lè te la nature d'un
objet, car cette notion se prête volontairem ent à de
nom breuses in terp rétatio n s. De fait, il existe de
multiples approches différentes. Deux com m unau­
tés se distinguent principalem ent sur ce sujet. Il y a
en premier lieu l'école am éricaine ( Lisp et son déri­
vé Sm alltalk) qui prône une approche "pure" de
l'objet : tout est objet, les objets com m uniquent via
des messages (eux-m êm es objets) et les opérations
que peuvent effectuer les objets (on les appelle les
"m éthodes") se trouvent définies et sélectionnées
dynam iquem ent. Avec un tel cahier des charges,
Le l a n g a g e de p r o g r a m m a t i o n
e t s on e n v i r o n n e m e n t
Lisp apparut évidemment comme un langage idoi­
ne pour l'implémentation. Deux projets d'envergu­
re o n t a b o u ti : C LO S (C o m m o n Lisp O b ject
S yste m ), dont il existe m ainten an t une version
pour Scheme, et Smalltalk. Une approche totale­
m ent opposée mais qui répond au même besoin
fut développée par l'école dite Scandinave. Il s'agis­
sait d'ajouter des possibilités de structuration objet
à des langages im pératifs com pilés. Le premier
représentant de cette école est le célèbre Simula,
qui, com m e son nom l'indique, était un langage
d e s tin é a u x s im u la tio n s (à l'in té rie u r duquel,
chaque objet représentait en fait un processus en
train de s'exécuter). Simula conserva sa célébrité,
car il donna naissance plus tard à "C with Classes"
(une extension orientée objet de Q , repris ensuite
par Bjarne Stroustrup, qui l'a utilisé comme base
p o u r le p re m ie r la n g a g e à a v o ir dém ocratisé
l'objet : C++, l'illustre sur-ensemble de C. D'autres
greffes plus étonnantes s'effectuèrent sur le langa­
ge C, notam m ent Objective C, qui constitue une
sorte de langage hybride ressemblant à Smalltalk
axé sur C ; une partie du code se voit littéralement
interprétée (toute la gestion des objets et de la
com m unication entre objets), et le reste est compi­
lé. Cette voie qui semble tout à fait
sans support théorique vraim ent
tout de même la pierre de touche
gages très "propres", comme Eiffel,
pragmatique et
clair symbolise
de certains lan­
Bêta ou la der­
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et Lisp. Certaines dissemblances concernent le langage : impératif contre
fonctionnel, vérification de type statique (langage typé) contre dynamique (nontypé)... Cependant, une autre différence majeure concerne l'environnement
d'exécution des programmes. Lisp est un langage interprété alors que Fortran est
compilé. Dans le premier cas, le code se transforme en un code machine virtuel qui
nière version d’Ada (Ada95).
L'objet : la fin des problèm es ?
Bien qu'ils aient permis un rapide progrès, les objets
ne s'avèrent pas entièrement satisfaisants ; en réalité,
on peut même affirmer que l'on commence aujour­
d'hui à atteindre les limites de cette conception. Bien
se voit exécuté sur un processeur virtuel. Dans le deuxième cas, le code devient le
"vrai" langage machine de l'ordinateur sur lequel on veut faire tourner le
que plus "propres", plus sûrs et plus réutilisables que
les programmes en langages "non objet", les logi­
programme. Le premier avantage évident que l'on peut associer à l'approche
"interprétée" vient de son indépendance vis-à-vis du matériel sous-jacent : le code
est intrinsèquement portable. En revanche, la deuxième approche permet
d'optimiser au mieux les performances. Un autre atout des langages interprétés,
rarement mis en avant, c'est la possibilité de "déplacer" certains concepts de haut
ciels écrits dans ces langages souffrent finalement
toujours des mêmes problèm es. D'autre part, les
objets représentent plus une évolution "naturelle" de
notre façon d'aborder la program m ation qu'une
Nous avons décrit quelques différences fondamentales entre les "ancêtres" ortran
niveau dans le processeur virtuel. Le ramasse-miettes constitue l’exemple le plus
parlant : l’environnement d'exécution de Lisp gère sa mémoire tout seul, alors qu'il
faut tout faire à la main en Fortran ou en C. Dans l'approche interprétée, on
distingue deux familles : les langages "réellement" interprétés et les langages bytecompilés. Dans le premier cas, le processeur virtuel est "appelé" après chaque
instruction du code. Cela concerne généralement des langages impératifs (Python,
Basic, les shells...). La deuxième famille, les langages byte-compilés, introduit le
concept de machine virtuelle. Le code source se voit tout d'abord intégralement
transformé en code du processeur virtuel. Il y a ainsi moyen de séparer le code
source et son environnem ent d'exécution. Les perform ances sont aussi
potentiellement meilleures, puisqu'on se trouve en mesure d'utiliser un jeu
d'instructions "intermédiaire" (le byte code,donc), optimisé pour la plupart des
architectures. Lisp est vraiment le précurseur dans tout ces domaines, puisqu'il
existe pratiquement autant de versions de Lisp que de façons d'exécuter un
programme sur.un ordinateur (y compris du Lisp 100 % compilé). Aujourd'hui, les
frontières entre tous ces concepts deviennent assez floues : il existe des langages
fonctionnels compilés et gérant leur mémoire tout seuls, des langages bytecompilés impératifs (java), des machines virtuelles compilant, au vol, du byte code
en code natif (les fameux just In Time compilers), etc.
nouvelle caractéristique des langages. Par exemple,
rien n'empêche de programmer en objet dans des
langages ne disposant pas de syntaxe adaptée. Le
cas de Lisp est certes particulier, mais notons que la
conception de CLOS n'a demandé aucun change­
ment au langage. Plus étonnant, il existe également
des logiciels orientés objet écrits en pur C de base,
com m e ce rtain es b ib lio th èq u es sous X-Window
(M otif, entre autres), ou d'importantes parties des
noyaux de Linux et de Windows NT. Il faut avouer
que l'absence de syntaxe adaptée nuit considérable­
m ent à la clarté du code, mais en principe, rien
n'em pêche de program m er en objet en langage
machine, ou, pourquoi pas, avec de simples cartes
perforées. Enfin, l'approche objet déplaît finalement
à de nombreux informaticiens puristes, car elle introduit intrinsèquement des incohérences et des problêmes sémantiques qu'on ne peut résoudre que par
I
I
I
I
de la "bidouille" ad-hoc, mais on ne s'attardera pas I
sur le sujet à la faveur de ce dossier.
*
D IV E R S
Lecteur 1.76Mo interne / Externe
480f / 540f
Souris Wizard
99f
100f
Cable Parnet + Programmes
Cable 2.5/3.5/3.5
100f
Tour INFÏNITIV II A1200 + Alim 200W
1300f
Boitier Clavier Tour Infïnitiv
349f
1250f / 2650f
Zorro II / Zorro III
Tour A4000
2490f
Alimentation tout amiga
TEL
WordWorth 7 vf
449f
Miami V3 ou IBrowse
34 Of
TurboPrint 7 (va)
369f
Deluxe Paint V CD
199f
Scala MM400 CD (va)
499f
Aminet 16 à 28 CD
85f
Aminet set 2,3,4,5,6,7 CD
199f
Amiga Forever 2.0
369f
50f
Air Mail 4.1
Akira CD32 ou Amiga Tools 6 CD
Geek Gadgets ADE 1 ou 2 CD
Quaterback Tools Bundle
Distant Suns 4.2 ou Blitz Tennis
Nemac IV CD ou Giga Graphics CD
Testament ou Master Axe ou Cygnus 8
Humans 3 CD/Dk
Uropa 2 CD ou Magic Publisher CD
Shadow of 3Rd moon CD
Myst CD
Brain Damage Pinball
Simon Sorcerer CD
Megablast ou Enemy
Railroad Tycoon ou Colonisation
P-OS Pre release CD
Sword ou UFO ou Tiny troops
PPaint 7.1 CD
Mega Typhoon ou Theme Park
Abduction ou F15 Strike Eagle II
BlockHead 1 ou 2
Skeleton Krew AGA ou Banshee AGA
Chaos engine 2 AGA
Mods Anthology CD Light Rom Gold CD
Light Rom 5 CD
Light Rom 6 CD
Diavolo Backup
Pad Compétition Pro
80f
100f
180f
1Q0f
149f
129f
149f
199f
149f
299f
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149f
100f
149f
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249f
149f
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100f
100f
149f
180f
199f
290f
199f
149f
PFS 2
Directory Opus Magellan II
Magellan II Mise à jour
Dopus Plus CD
Amiga Writer
Art Effect 3.0
Tornado 3D V2.0
Fantastic Dreams CD (va)
Net Connect 2 (Voyager,AmIRC,...)
Get Connected (Miami,IBrowse,Yam)
Candy Factory Pro CD
Megalosound
Zip / Jazz Tools
Digi Booster Pro
ProMidi Interface
Ecran 17” SAMPO
Final O dyssey CD
On Escapee CD
Samba World Cup CD ou Dk
Quake CD
Time Reckoning CD (Add On Quake)
Foundation CD + MAJ
Genetics Species CD
Trapped 1 CD ou Trapped 2 CD
Eat The Whistle CD
Vulcanomogy CD
Napalm ou Golem
500 Screen Savers 2 CD
Cybergraph X 4 CD
SuperView Productivity Suite CD
Red Hat Linux 5.1 CD
Siam ese System V2.1 vo
269f
269f
269f
349f
199f
269f
269f
100f
169f
169f
TEL
85f
169f
199f
129f
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PPC603e160+68040/25
PPC603e200+68040/25
PPC603e200+socket 60
PPC603e240+68040/25
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PPC avec SCSI II
FlickerFixer externe tout amiga
Scandoubleur interne sur puces
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Cybervision PPC 8 Mo
Apollo 4040 68040/40+scsi
Apollo 4060/50 ou 66+scsi
rr\uiviLj uu iviwio .
10Of
10Of
Pack Deluxe
Quaterback 5
1790f
299f
650f / 800f
1150f
500f
1990f
2490f
2390f
3100f
2900f
+500f
990f
580f
1490f
1990f
4190f 4790f
3 9 9 0 f- 4990f
TEL
1490f
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CD Rom 36X IDE
1690f
TEL
300f / 699f
750f
199f
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280f / 540f
2100f
1100f
890f
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mieux les ressources machine disponibles. La com­
plexité de l'ouvrage à abattre reste immense, mais la
dernière génération d'optimiseurs parallèles, appelés
Ce que les langages
de programmation
nous offriront
demain
souvent compilateurs polyédriques, donne parfois
des résultats spectaculaires. Pourtant, l'euphorie
n'est pas de mise. En effet, seule la simplicité des lan­
gages traités perm et d'obtenir de tels résultats :
ainsi, les innombrables défauts de Fortran devien­
nent un atout ! De manière générale, seuls les lan­
gages les plus anciens et les plus archaïques bénéfi­
cient de compilateurs aussi puissants : Fortran, bien
sûr et dans une moindre mesure C, voire C++. Et
déjà, C demeure un cran en dessous, pour une rai­
Après un de mi-siècle d'existence, les langages
de programmation ont subi une évolution fulgurante.
Toutefois, n'en déduisons pas pour autant
que leur développement s'arrêtera là
nous commettrions autrement une lourde erreur...
son finalement assez facile à comprendre : en C, il
n'y a rien de réalisable sans pointeurs, mais comme
on ignoré généralem ent ce qui se trouve à leur
extrémité et qu'ils peuvent évoluer dynamiquement,
un code qui en contient devient très difficile à analy­
ser et donc à optim iser. Aujourd'hui, on n'arrive
donc toujours pas à obtenir en C les mêmes perfor-
es travaux portant sur la conception de nou­
veaux langages sont plus actifs que jamais. Le
L
fait qu'il n'existe pas de langage parfait ne sur­
prend personne ; pourtant, la raison de cette infortu­
ne s'avère à la fois très simple et très profonde. Il faut
l'avouer, l'ingénierie du logiciel en est aux balbutie­
ments et ressemble souvent davantage à de l'artisa­
nat qu'à une industrie digne de ce nom . En tant
qu'outils du développeur, les langages de program­
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
mation doivent répondre à de nouvelles exigences
Renvoi en touches.
et relever des défis inédits. A quoi peut-on donc s'at­
tendre dans les années qui viennent ?
Perform ances, encore et toujours
La prem ière grosse préoccupation des inform ati­
ciens concerne l'optimisation des performances. La
des langages plus modernes ! Il semble toutefois
qu'une solution envisageable consisterait à brûler les
étapes : C et C++ passeront ainsi probablement à la
trappe, car aujourd'hui, tout le monde ne jure plus
mances qu'en Fortran ; aussi, ne parlons même pas
que par java. Voilà pourquoi, vraisemblablement, il
s'agira du prochain langage à bénéficier d'une opti­
technologie des compilateurs n'a cessé d'évoluer, si
bien qu'aujourd'hui, l'état de l'art en la matière a de
quoi impressionner. On a même le droit d'affirmer
qu'en ce qui concerne la
com pilation classique, il
d e v ie n t p ra tiq u e m e n t
.S
U f « l Tl! ***'.* K tf» -a OH v»»Kf sf
im p o ssib le d 'a lle r plus
avec l'intelligence humai­
ne ! A c tu e lle m e n t, les
é tu d e s p o rte n t su r la
compilation pour machi­
nes parallèles. Il faut par­
venir à détecter, dans un
p ro g ra m m e o rd in a ire ,
des tâches aptes à être
e ffe c tu é e s s im u lt a n é ­
m e n t, et c o n c e v o ir un
plan d'exécution parallè­
le, a fin d 'e x p lo it e r au
>sc
camrr«lu »
S r f lf î**u*+.
i-55£ fttàçskSla V ri.o .Y
<c-±* fs s * tb * » t prtxsr.*
loin : les meilleurs compi­
lateurs élaborent désor­
mais un code aussi effica­
ce que de l'assem bleur
é c rit à la m a in . Sur ce
point, l'informatique par­
v ie n t d o n c à riv a lis e r
misation radicale.
t.« iîo o r f
rûrt s»;*»*
.....
R
H f jo r r j ■
■
« U » srü a re *, x ï t t u
?Cv»
ï« Ü » t s Ü û it *
• î t . - a ià îr t a s te n c * t Z . t t * î H ' { « M u i . h t U : l u f f a » 4 :
xiib-Sztr ï î i a u e
ulM : n r j u t -i yt.
Br
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j f ï i r : fcaix. kjy. «FTXAJi)* |«u>ye » i« l
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1
i
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K M » rtvt-ypw | □ 8 0 0 r x v t - ^ |
Un exemple un rien abstrus de C++.
"Hardware is, so ftw a re will"
Le matériel est, le logiciel sera. Cette devise caracté­
rise assez bien la situation paradoxale à laquelle nous
avons abouti. Ainsi, en dépit des moyens déployés et
des inno m b rables a p p ro c h e s et m é th o d e s de
conception proposées, le logiciel, seul intérêt d'un
ordinateur, reste l'éternel talon d'Achille de l'infor­
tg të ü lîË
matique : il constitue non seulement son élément le
plus critique et le moins fiable, mais aussi sa seule
source de problèmes. Ce constat accablant incite de
nombreux développeurs à tenter d'implanter direc­
tement des éléments de génie logiciel à l'intérieur
d'un langage de programmation. La recherche de
[0354:31 PM j F R R O rt- T l» R E U T E R S fbtw» RMXl fl«lv<in» M Oû'MV
l'efficacité et de la convivialité (pour le program ­
meur I) passent donc au second plan, la priorité
absolue étant la rigueur. Le plus connu de ces lan­
gages se nomme Ada ; il symbolise le langage mili­
;H L
0 /0
tfM t.
i*i v>»inn.
^
i f
. . . i /.t »
^ ■ jth T ü -T
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ïKsCCtTïtfr'
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|<‘ *yt l%i: •■
■
fi’ -t ■ ■'- ■fint'
I ;**»■<? t
taire par excellence. Le typage s'y révèle si strict
qu'au début, les programmeurs habitués au laxisme
.> p .
iN J îv .n tn
I lu .*.'
"fï I n u ; r t w : I i î t J
■<>».:/
ApplixM?
5«
<i '.'/m-
* î» :p ,
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--------- ^ 7 "
• ju in o .i 9 S B B B
/MU'.tf
'' I
■
■fj* n a
de C n'arrivaient généralement pas à com piler un
programme. Toutes les opérations un peu critiques
(comme par exemple la simple addition, éventuelle­
ment sujette à un débordement !) lèvent des excep­
j ■
'
I"
''~2+
*
y m t -
J ------- -------- ----kuw 17» E Z H I
Tassé par la fenêtre.
contrôler. C ependant, une autre approche existe
encore : celle des langages de la famille ML. Ici, rien
tions, toutes les variables et toutes les procédures
sont soumises à des règles de "visibilité" très pré­
cises... Malgré tout, on s'aperçoit que cela ne suffit
pas à rendre le logiciel fiab le. Le prem ier échec
n'est déclaré ; au contraire, il appartient au compila­
teur de déduire la totalité des informations à partir
du contexte, avant d'effectuer les vérifications. On
peut donc faire ce que l'on veut, pourvu que cela
d'Ariane V s'expliqua par une erreur de déborde­
ment dans un code Ada ! Néanmoins, Ada fait tou­
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soit cohérent. Le succès, certes mitigé, de ML laisse
penser que cette vision a un avenir. Dans tous les
cas, le but reste le même : donner au compilateur
jours office de standard et donna naissance à d'in­
nombrables dérivés, mais d'autres langages propo­
sent d'autres approches. Eiffel, très en vogue actuel­
lement dans l'industrie, intègre quasiment la métho­
de de conception UML dans sa syntaxe. Le but en
est simple : créer un langage dans lequel il y ait
moyen d'écrire n'importe quoi et où le moindre petit
programme émane d'une démarche de conception
l'opportunité de vérifier un maximum de choses lors
de la com pilation, élim iner ainsi le risque de cer­
taines erreurs au cours de l'exécution, voire parvenir
à prouver formellement qu'un programme est cor­
rect. Néanmoins, aucun des langages proposés n'a
su se révéler pleinement satisfaisant, ce qui signifie
probablem ent que l'on attend toujours une idée
brillante.
Des langages plus
puissants
soignée. Tous ces langages partent du même princi­
pe : il faut to ut d écla re r e x p lic ite m e n t et to u t
La troisième voie consis­
te à améliorer la puissan­
ce et l'e xp re ssivité des
langages. Les tra d itio n ­
nels m a n ip u len t fin a le ­
m ent des données vrai­
m ent élém entaires (ce l­
V
•
tikW V«llAt* i
:a*. r*linu ail» • 1
iivt }8âu>_<âk * 1 .
.
I t ü * i ^ ï « tU n k X » :
r
r s li r . - .j M :.-. «irfit» I k I m
ll c M * s i
i V ikiM
« a U '.t o ït » J * M rim »*r> *«
« 4 U < U 'y t lif lt ç '
[-■•Cl » h > » » j ï ; « i v H î t W W llA t V * i i * » -.< •**
î i o f U w n ij t
les connues directem ent
par la m achine, com m e
des entiers ou des flo t­
u'UmM*?•
Jlulrtrj. •• w U3 H ti'it» «••••Alliât. |a>.v ‘.>3»\ • . p4Ml»i0it»
MUto.1.1» «IttJU Wk%«w» Ja UOülTfJt M.TtiirttUA
■hoftCraf J-* ifoyilAte J* iO 15» UiU*Mt#V- ' mùvAmbc? tu
il
:»K • M-vtaav Uiuttfc. A|M lUut 1»^» r.UIHU»U
I f IU*M J v a t|ild )M lO .
* * Jlv a r» t t ÿ l t i t t i l W U V ,
• f lu » :> n & * ts & w j ü l? i » : »*« ( m M s i k i u u V » ir * M t f » *
f e ie i l i j u * . » V fJib e icoc-ctvî
>tt}-ia « v a u tu i Ç*y I# t W*
mi»
h«vi ii& ùt* *» U n e o u w t a i ! f i Ou
t t i i t l l o a f t à l û t n ;K ,n l * » t ‘ 1
ptxtkt '31•* i l j L i x - t l
Publie
f i li iw v i t t u **» ItwalM 'f» V I -.*i!«U «u ta i-Je ts»
U i« * » * '.t v « iv i
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c in >> v a ta x ta .
' '■ « r x ll .
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I
-.•••.
. i:
-I
v
•
*
• << otadi i
ta n t s ), ou des a s s e m ­
blages de ces types pri­
m itifs , co m m e des t a ­
- s u i v i K b l i t U c«
. * « aad l ;
* «
m il .
, r.;U -.< u < '
* «
. * << e n d i .
«»dl i
A«iitirjun. »m «Àiïivv. ««ÿUav l i i n £*fcs<.;ti»jo.«i4»
H»Knrt*t3tM UitA il» * «Mviuv- *n*oJtjA4*
ticmti» ut4**t>ÛU« wi'.tixiiP «Oui :trit»
3SS35^:
C++ à l'oreille ?
bleaux ou des structures.
C e u x - c i, quel que so it
leur niveau de sophisti­
cation, ne représentent
rie n d 'a u t r e q u e des
assembleurs évolués. On
souhaite donc disposer
d e la n g a g e s d e plus h a u t n iveau , qui n 'o b lig en t pas
p ro g ra m m e s se ré d u ise n t à de sim p le s d o n n é e s,
l'h o m m e à s'a d a p te r à la m a c h in e m ais au c o n tra i­
qu'il y a m o yen de créer ou de m odifier au cours de
re, lui p e rm e tte n t d e d é crire les p ro g ra m m e s et les
l'e x é cu tio n . D e m ê m e , la sy n ta x e du la n g a g e est
p r o b lè m e s d 'u n e f a ç o n a d a p t é e à so n e s p è c e .
p e rçu e en Scheme c o m m e u ne d o n n é e, sur laquelle
L'idée n'a rien d e réce n t, p u isq u e ce tte m o tivatio n
o n p e u t e ff e c t u e r d e s o p é r a t io n s . La n o tio n de
fut à l'o rig in e d e la n a issa n ce de Lisp. D ep u is, l'évo­
"type", si c h è re au x la n g a g e s c o n v e n tio n n e ls, ne
lu t io n s u it so n c o u r s , si b ie n q u e l'o n d is p o s e
v eu t plus rien dire ici, p u isq u e la nature des d o n ­
a u jo u rd 'h u i de la n g a g e s é to n n a n ts. Les plus re p ré ­
n é e s m a n ip u lé e s n'a a u c u n e im p o rta n c e p o u r le
s e n t a tifs se n o m m e n t Sm alltalk e t Scheme, d e u x
p ro g ra m m e q u i les t r a it e ... on c o m p re n d m ieu x
é m in e n ts d e s c e n d a n ts d e Lisp. Le p re m ie r se tro u ve
ainsi le sens du m o t "po lym o rp hism e"
e n t iè r e m e n t v o u é à la p r o g r a m m a t io n o b je t , le
to u t a un prix : la p u issa n ce in co m p a ra b le de tels
se co n d g a rd e a v a n t to u t l'asp ect fo n ctio n n e l, m ais
la n g a g es p ro vien t de leur natu re réflexive et d y n a ­
C e p e n d a n t,
ils offrent to u s d e u x d es p o ssib ilités co n sid é ra b le s.
m iq u e , ce qui ex p liq u e qu'il ne faille pas s'attendre
Le m a ître -m o t est "réflexivité" : cela sig n ifie q u e les
en p ra tiq u e à d es p e rfo rm a n c e s d ig n e s de celles
d e s la n g a g e s p lu s c o n v e n t io n n e ls . La p u is s a n c e
A p p r e n d r e à p r o g r a m m e r : quel lan ga g e c h o i s i r ?
finit m ê m e p ar d e ve n ir un défau t. Ainsi, le pouvoir
Il existe deux m é th o d es ra d ic a le m e n t o p p o sé e s p o u r d é c o u v rir la
program m ation : la m éthode "bourrage de crâne" et celle "douce mais
taxe d a n s un p ro g ra m m e relève de l'im possible (a
intelligente". Dans le premier cas (le plus courant), on vous confrontera à un
langage récent et généraliste, avant de tenter de vous inculquer un certain
q u a n t à d ’é v e n tu e lle s p re u v e s, on n ’ose m ê m e y
nombre d'idées préconçues et très liées au langage utilisé. En conséquence, la
"victime" de ce genre de formation "rapide" entre dans un cycle infernal. Tout
f ia b le ! O n se t r o u v e d o n c a u to ris é à p a rle r de
problème ou toute évolution du langage demande une nouvelle formation ; en
revanche, l'intéressé s'avère incapable de résoudre de lui-même un problème
non appris. Pour aborder plus sereinement la programmation, l'utilisation
(e ffic a c ité et fia b ilité ). P o u rta n t, ce tte fa m ille de
d 'exp ressio n est tel q u e d é ce le r des erreurs de sy n ­
d'un langage adapté et "pédagogique" constitue donc une bien meilleure
solution. Le langage d'apprentissage le plus connu est le Basic. Il s'agit
pourtant d'un langage (dans sa version d'origine) extrêmement limité (pas de
bibliothèques, tout se situe dans le langage, pas de procédures, etc.) qui ne
priori, to u t d e m e u re su scep tib le d'avo ir un sens !) ;
so n g er ! En co m p a ra iso n , m êm e C paraît très sûr et
c o n t r a d ic t io n a v e c les d e u x c ritè re s p ré c é d e n ts
la n g a g es est très vive : en plus des d eu x sus-cités,
o n p eu t é v o q u e r Python, q ui s'im p o se de plus en
p lu s c o m m e un c o n c u rre n t re d o u ta b le po u r Perl,
ou Flavors, o rig in al sur plus d'un p oint. Q u a n t au
b o n v ie u x C, il n e t r a în e p a s la p a t te , g r â c e à
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Objective C. Il reste évid en t qu e la p ro ch a in e évo lu ­
peut donner que de funestes idées et de mauvais résultats. Le Visual Basic
représente l'exemple le plus flagrant de ces tristes perspectives : il se limite en
fait à une sorte de coquille au-dessus des DLL, que des programmeurs ont bien
voulu développer en C ou C++ (et vous les faire payer !). Certes, VB gère les
tion co n sistera à co n cilie r ces lan g ag es de très haut
procédures, mais c ’est à peu près tout ce qu’il ajoute à son ancêtre. Un autre
langage, moins connu, et spécifiquement conçu pour l’apprentissage, mérite
en revanche toute notre attention. Il s'agit du Logo ; ce langage impératif et
p ro c h a n t de la so u p lesse de Smalltalk...
Vers une nouvelle génération de langages
interprété associe programmes et graphismes, avec sa fameuse tortue. La
philosophie de Logo se définit ainsi : "apprendre à programmer en s'amusant".
En quelques lignes de code Logo, on réussit de superbes figures géométriques
plus séd u isan te : faire table rase et repartir de zéro
qui nécessiteraient des centaines de lignes dans la p lu p a rt des autres
langages. Cependant, Logo constitue aussi un langage très structuré, très
lisib le ! Des e x p é rie n ce s m o n tre n t que Log o est le seu l la n g a g e
n iv e a u a v e c les b e s o in s p r a t iq u e s . U n la n g a g e
ré c e m m e n t intro duit, le Dylan, se targu e de perfor­
m a n ce s co m p a ra b le s à celles de C, tout en se rap­
La q u a triè m e a p p ro ch e se m b le de p rim e abo rd la
p o u r élab o rer une fam ille de langages radicalem ent
différente. Ainsi, après les langages im pératifs et les
lan gag es fo nctio nnels, voici les langages déclaratifs.
C e tte fo is, il ne s'agit plus d 'u n e a m é lio ra tio n de
l'existant, m ais bel et bien d 'u n e révolution, peut-
"compréhensible" par de très jeunes enfants (à partir de 5 ans), lesquels
deviennent ainsi aptes à découvrir la programmation mais aussi la géométrie,
être m êm e de la plus im p ortante innovation depuis
les couleurs, etc. Ensuite (vers 12 ans), il s'agit d'apprendre la distinction entre
langages fonctionnels et impératifs procéduraux. Les langages d'enseignement
traditionnellement utilisés dans ce but sont Scheme (plus récemment Caml)
pou r le fonctionnel et Pascal p o u r le procédural. On apprend aussi la
différence entre langage typé ou non typé, ce qui permet de réaliser de
p ercevo ir un p ro g ram m e co m m e la description des
premiers programmes complets. La transition de Pascal vers C (au moins pour
pouvoir lire du code C) se révèle ensuite nécessaire, mais très facile. Enfin, la
l'app aritio n de Fortran. L'idée co n siste à cesser de
•st *r•» ut:*
mode, ja v a semble justem ent tout indiqué p o u r term iner ce long mais
passionnant apprentissage. La tendance actuelle est au "tout en java" et
l'apprentissage n'échappe pas à cette règle. Il s'agit pourtant d'une très bonne
idée, car de nombreux concepts cachés de ja va doivent être compris et
reposent sur des bases en Lisp (ou Scheme), C++ et Smalltalk !
u iU m
\
program m ation p a r o b je ts d o it être a b o rdée sous différents angles :
construction de son propre modèle objet (en Scheme), découverte du C++ pour
la version "pragmatique"... Une approche de Smalltalk s'avérerait également
très pertinente, en tant que préparation à java. Enfin, puisqu'il faut suivre la
t f c a t a n lj r
îht isoié
a U t ic
v v id in x t _ c r r c e ( o c r u c t :
m ode)
« e n s e t U n o d e . 0 . « i r e o f ( * in o d e > ) .
u u t j m t ^ i e o e (fc m o d e - >» « * i t > .
ÏX T T J L t S T J K t D (S a n o d e - > O w h ) ;
D C T “ L IS T - HEAD (S ciK K to - > ï- d e n t r 7 ) .
tfsanod*- >!_***. ~1).
N k t ~ i n i t ( & i a B d c > i ~ i t a a c j n i t t . 1) .
• m i l i v> .■u d . « r X t î _ t n o d #
•m o d e)
(in « x S e - > x _*b ü
m o d e - » _ o p SA in o d e - > i_ * b - > » _ o p - > v x it * _ in o d e )
u » d ê - > i s k - > » g p - m i t » In o d e ( in o d e ) j
)
s t s t ic
i n l u v e v :- id jy s v . t n t ( i - r t i : ' •. m o d e * ir * o d s )
»
( i n o d e - > i _ » t * t * & I_LO C 50 (
« p in \ n lo c k ( f c in o d e _ lo c k ) :
_ e » It _ n * \ m o d e (m o d e ).
« p in lô c J - t t m o d * l o c k ) .
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« r u e * . l i a t j M M l • in a o r t - t s n o d e i n jx a e .
( ) tnodein e e r t * m o d e _m _u » e p r t v .
li* t _ d e l{ f c x n o d e - > i_ li* t ) .
Il » t T e d d ( S in o d e - >1
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R
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C sn t i n s t e n t i û t e m e g e
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Ç
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(p ro b o t.L y c o c h e d )
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a e * k .- f il r
’ / u s i / m c l u d ê / I l l / b i C n e p t /" îe f t _ p t n » s k '
Et C transformé...
»*?
opérations à effectuer, étape par étape, pour l'assimi­
ler plutôt à l'énoncé logique de ce que l'on veut faire.
Exit les instructions, les boucles, les tests et autres
procédures, place aux "règles", "contraintes" et "faits"
(ou "axiomes"). Exemple ? Prenons pour illustration le
mécanisme de vérification des droits d'accès dans un
système comme Unix (pour simplifier, on considère
que chaque utilisateur n'a le droit d'accéder qu'aux
fichiers qui lui appartiennent, root excep té). On
remarque facilement que son implémentation dans
un langage classique dem ande des structures de
données compliquées, des tables volumineuses, afin
d'y stocker les informations sur les utilisateurs, etc.
Dans un langage déclaratif, on pourrait écrire des
règles sous la forme suivante :
Si ü est un u t i li s a t e u r , s i F a p p a rtie n t à U e t s i F
contient D, alo rs U l i t D dans le f ic h ie r F.
Si U est un u t i li s a t e u r , s i F a p p a rtie n t à 0 e t s i U
écrit F dans le f ic h ie r F, a lo rs F c o n tie n t D.
Comme le root a le droit de lire et d'écrire partout, on
ajoute les règles qui traitent son cas :
Si F contient D, a lo rs root l i t D dans le f ic h ie r F.
Si root é c r it D dans le f ic h ie r F, a lo rs F co n tien t D.
On peut ensuite écrire les faits, qui correspondent
en quelque sorte aux "données" dans les langages
classiques :
root est un u t ilis a te u r ,
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girard e st un u t i li s a t e u r ,
pesch est un u t i li s a t e u r .
/home/girard/helloworld.bas a p p a rtie n t à g ira rd ,
/home/girard/helloworId.bas c o n tie n t 10 PRINT ’Hello
world’ .
Le fonctionnement d'un processeur
Cependant, dans ce modèle simplifié (comme dans
la plupart des OS réels), chaque fich ie r ne peut
appartenir qu'à un et un seul utilisateur. Pour éviter
les incohérences, on ajoute à notre système les deux
tenir à un utilisateur qui n'existe pas. La seconde sti­
pule qu'aucun fichier ne peut appartenir à deux uti­
lisateurs différents. Regardons m aintenant com m ent
contraintes suivantes :
fonctionne ce programme. Il faut toujours garder à
l'esprit qu'ici, contrairement à ce qui se passe dans
les langages classiques, une ligne de code n'est pas
Il faut toujours que s i F a p p a rtie n t à U, a lo rs U s o it
un u tilis a te u r.
Il faut toujours que s i F ap p a rtie n t à ü l e t F
appartient à U2, a lo rs Ul=ü2
La première signifie qu'aucun fichier ne peut appar».
U
m K « s : VA-ltikiic To S»:1mmwp» ln«:.
F * Etfll \*r» / G o BookitMtffe O p tio ns B u f î f «
** o
Hm I U M
31
itotp
31 y 1i> X f r r .a c ::
mm
fait. En revanche, rien ne nous autorise à établir la
seconde : il ne s'agit pas d'un fait et aucune règle
ne permet de l'admettre. Nous voilà donc bloqués,
ce qui signifie que pesch ne peut pas lire hello-
N ew !
EdScheme v5.0
Kead a b o a t S d n c t f I n c . a n d i t a p h i lo s u p h y .
world.bas ! A présent, supposons que "girard lit D
dans le fichier helloworld.bas" La règle exige que
"g ira rd s o it un u tilis a te u r" (c 'e s t un f a it ) ,
D ia c o v v r t b o S c h o r a a d v a n t a g a l
ProdacU
| fx x x l o n t « b o u t t b o s o f t v a r * p r o d n c t a a n d b o o k a o f i a r a d b y S d w e r i I n c .
« r o o r p r o d n c t s f c o n ano o f o a r s e c u r c a n - l i n o a r d o r f o r * * .
I? h lcc w To tchn i c i Inc.
Top
(prôEabïy : »ch«d) 7 j*5»
â a 'V L’jüncimt»
______
___
• / û i r /includô/Xl l7 b itju p « /lift_ p tra» k
world.bas". Disposons-nous d'une règle pour ce cas
de figure ? Oui, la prem ière, qui engendre à son
tour les trois clauses "pesch est un u tilisa te u r",
"/hom e/girard/hellow orld.bas appartient à pesch"
et "/hom e/girard/helloworld.bas contient D". Pour
la première, il n'y a pas de problème, car c'est un
Speclallxing In InnooatioeKducationai Computing
CoiporHo.j
forcément exécutée telle quelle. Cependant, imagi­
nons que l'utilisateur pesch souhaite lire le fichier
/hom e/girard/helloworld.bas : dans notre système,
cela se traduit par "pesch lit D dans le fichier hello-
-d
La langue de Shakespeare : c ’est la Scheme anglaise.
"/hom e/girard/hellow orld.bas appartient à girard"
(il en va de m êm e ic i) et "/h o m e /g ira rd /h e llo ­
w o rld .b a s c o n tie n t D ". O r, no us a vo n s le fa it
F ile
E d it A p p s
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/ * p i x e l s +/
b^ . 5 bbb§bb§BeffieeeeeeeeeegeH5 eeeeeeeee
b b ^ ^ ^ ^ S B e g l ^ ^ ^ e dddd.dddegE
|
. 5EEE
fe............
Esprit, es-tu là ?
dépit de son caractère novateur, incontestable,
V m ï l ^ e|p eeddddddd| \.......
Prolog se limitait à un langage expérimental encore
trop jeune et surtout trop limité pour démontrer
tout le potentiel de la programmation déclarative.
Malgré des avancées dans ce domaine (l'évolution
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de P rolog, l'a p p a ritio n de n o u ve a u x langages
comme Mercury ou des bibliothèques destinées aux
langages de la fam ille Lisp), elle apparaît encore
a u jo u rd 'h u i com m e une voie de recherches. Le
p rincipal obstacle reste en effet l'exploration et
l'évaluation des règles, opération très coûteuse en
— %%-XEmacs: gnu-anima!3.xpm
(P ic tu .c e : n g h b X P Iî)------ L S I — Top---------------- -— -
A gnou la victoire.
"/h o m e/girard /h ello w o rld.bas co ntient 10 PRINT
"Hello W orld"". Pour que la troisièm e clause soit
satisfaite, nous devons poser que D vaut 10 PRINT
"Hello World". Ainsi, la règle se vérifie et nous nous
retrouvons avec "girard lit 10 PRINT "Hello World"
dans le fichier /home/girard/helloworld.bas".
Une idée prom etteuse ?
La p ro g ra m m a tio n d é c la ra tiv e est é vid e m m en t
étroitem ent liée aux bases de données et à l'intelli­
gence artificielle. Cependant, bien que celle-ci puis­
se sem b ler u ltra m o d e rn e , voire fu tu riste , l'idée
remonte aux années 70 : à cette époque en effet,
ce concept apparut pour la première fois, assorti
d'un premier langage, le Prolog, dont l'interpréteur
fut écrit en Fortran. Néanmoins, il faudra attendre
longtem ps pour que le principe fasse école ; en
temps machine et en place mémoire. Certains spé­
cialistes prétendent même que le progrès ne s'opé­
rera qu'avec des processeurs adaptés, manipulaint
directem ent du côté du langage machine les règles
et les contraintes. Néanmoins, de grands espoirs
reposent sur les langages déclaratifs : beaucoup
plus simples et plus puissants que tout ce qui existe
actuellem ent, ils seront également très sûrs (avec
des règles et des contraintes, il devient facile de
m ener des preuves de validité !) et, un jour, très
performants. En effet, si les langages classiques res­
tent in trin sèq u em en t séquentiels (et difficiles à
paralléliser), les program m es déclaratifs sont au
contraire foncièrement parallèles. Actuellement, les
langages déclaratifs ont déjà conquis le domaine
des SGBD et, plus récemment, fait leur entrée en
scène dans celui des systèmes critiques temps réel.
Pour ne citer qu'un seul exem ple, le système de
pilotage de M étéor le nouveau métro autom a­
tique parisien se trouve conçu à base de règles et
de contraintes. Dans une dizaine d'années, peutêtre, ce mode de programmation se généralisera,
mais d'ici là, nos Java et autres C++ ont encore de
beaux jours devant eux.
Des langages...
exceptionnels !
Avec la quantité invraisemblable de langages existant
aujourd'hui, il paraît évident que certains se sont
distingués (en bien ou en mal) au titre du "langage
le plus... "
A
tout seigneur, tout honneur, commençons
par le langage le plus ancien. Ce titre revient
de droit à Fortran (si l'on oublie l'assem ­
bleur), suivi de près par Lisp. Autant dire que Cobol,
Algol et autres PL/1, qui sem blent si archaïques
aujourd'hui, sont en fait beaucoup plus récents que
nos deux ancêtres, pourtant toujours d'actualité !
Débusquer à l'inverse le langage le plus récent s'avè­
re bien plus difficile, car tout va si vite ! Cela dit, on
peut affirmer que Java représente le dernier langage
m o in s de te m p s
q u 'il n'en fa u t po ur
lire ce tte phrase : vo ilà
tout de même un immense mérite ! C, malgré sa
réputation d'"assembleur plus lent et plus com pli­
qué que l'assembleur" constitue toujours le seul lan­
gage utilisable pour la pro gram m ation systèm e,
grâce auquel, en outre, on peut accéder directe­
ment à la machine. Mauvais langage, certainement,
mais ô combien irremplaçable ! Quant à Cobol, sa
domaine par Ada9S, dont le document de référence
comporte plus de 1400 pages ! L'autre extrême s'ap­
pelle Logo, langage résolument trivial, parfait pour
base installée en fait toujours l'un des langages les
plus répandus, à tel point qu'un Cobol objet fit son
apparition il y a quelques années... et n'est pas prêt
de sombrer dans l'oubli. Enfin, la dernière distinc­
tion sur laquelle nous nous pencherons, concerne
un véritable bijou, l'Api ; en effet, celui-ci représente
l'initiation à la programmation et pas si dénué de
possibilités que cela, en dépit de l'opinion com m u­
nément admise. En ce qui concerne le langage le
sible qui ait jam ais existé. Un encadré acco m pa­
gnant ce dossier permet de se faire une idée de son
en date à être largem ent accepté et em ployé. La
réputation de C++, Perl ou java, à qui l'on reproche
leur complexité, se fait largement distancer en ce
La coupe Cobol.
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plus populaire, la concurrence fait rage. Fortran fut
évidemment le premier, avant de céder sa place à
Basic (années 80), qui succomba à son tour au profit
de Pascal grâce aux bons soins de M. Borland, à la
fin de la décennie. Le règne de Pascal se révéla tou­
tefois éphémère, car dans la première moitié des
années 90, les C et C++ s'imposèrent comme les lan­
gages par défaut de M onsieur To u t Le M onde.
Aujourd'hui, Java sym bolise l'objet de toutes les
convoitises de la part des développeurs profession­
nels, mais il faudra sans doute attendre encore un
petit peu pour qu'il devienne aussi répandu que le
fut Basic en son temps. Inutile de préciser que "le
meilleur langage" n'existe pas. Tout au plus peut-on
incontestablement le langage le plus incompréhen­
incroyable syntaxe...
jakub Zimmermann et Fred Pesch
La p r o g r a m m a t i o n v i s u e l l e : p e t i t e m i s e au p o i n t
"Rapid application development", "programmation visuelle"... Tous veulent
nous faire croire qu'ils ont inventé un nouveau paradigme révolutionaire,
ca p a b le de tra n sfo rm er la p ro g ra m m a tio n en je u d 'en fa n t. Chères
programmeuses, chers programmeurs, on vous ment, on vous spolie ! Il ne
s'agit que de nouvelles techniques pour faciliter la création d ’applications ou de
parties d'applications très spécialisées. Certes, présenter ou manipuler des
objets visuels se révèle plus simple qu'exprimer des choses dans un langage à
base de mots et de grammaire. Toutefois, cela limite aussi énormément le
s'interroger sur l'efficacité d'un langage pour une
application donnée. Nous espérons que ce dossier
aura permis au lecteur de se constituer quelques
pouvoir d'expression. Les langages (pas seulem ent de program m ation)
symbolisent d'ailleurs, dans l'Histoire, une réponse à la faiblesse de l'approche
visuelle. Les alphabets et grammaires n ’ont-ils pas succédé aux pictogrammes
et autres idéogrammes ? Des recherches sont même en cours pour associer
repères...
Et le "moins..." ?
En revanche, la question du "plus mauvais langage"
logique et langage, afin de résoudre le dernier problème majeur propre à des
langages comme le français ou l'anglais : l'ambiguïté. Un dessin est plus
ambigu qu'une phrase, laquelle s'avère plus ambigu q u ’une construction
s'avère tout à fait pertinente. Parmi les langages tou­
jours employés, les candidats les plus crédibles à ce
trophée peu enviable se nomment Basic, C et Cobol
(l'assembleur étant exclu du concours). Néanmoins,
il reste difficile de trancher... Cependant, en dépit
logique... Peut-être pouvez-vous commencer à percevoir l’intérêt des langages
déclaratifs, comme Prolog. Néanmoins, cela ne signifie pas que les approches
"visuelles" ne présentent pas d'intérêt : construire une interface visuelle,
des innombrables aberrations de sa co nceptio n,
Basic (et ses dérivés, tels CM Basic ou VisualBasic) est
resté le seul langage au monde, appréhendable intuiti­
vement, à coups d'essais et d'erreurs, et le seul permet­
tant d'écrire et de faire tourner ur> petit programme en
visuellement, est tout de même beaucoup plus simple que de la décrire par des
phrases ! Il en va quasiment de même avec la signalisation routière : un
panneau "stop" est plus simple à déchiffrer qu'un panneau "arrêtez-vous à la
ligne, attendez qu'il n'y ait plus de voitures à gauche ou à droite et passez".
Toutefois, pour quelqu'un qui ne connaît pas ce panneau, la deuxième version
sera la seule qui lui permettra d'éviter l'accident ou l'amende !
applications ainsi que le Workbench
lui-même vers des modes graphiques
B visio n PPC :
un P e rm e d ia 2 d a n s
un A m ig a 1 2 0 0
de la carte, plutôt que vers ceux du
chipset Amiga original. On compren­
dra de fait que la procédure d'installa­
tion de ces pilotes doive se dérouler
avec un écran encore branché sur la
sortie vidéo de la carte mère. Une fois
le système mis en place, il faut lancer la
préférence ScreenMode du Workbench
et choisir l'une des nouvelles résolu­
tio n s nom m ées C V isio n P P C . A ce
m o m e n t-là , l'u tilisa te u r éteindra
l'Amiga, connectera l'écran (forcément
Cela faisait un petit moment qu'on l'attendait. Patience et longueur
de tem ps... la plus puissante des cartes 3D pour le plus populaire
des Amiga est enfin disponible !
de type SVGA) à la sortie de la Bvision
et enfin redémarrera la machine. Si
toici enfin cette fameuse carte
ce qui concerne les performances, elles
g ra p h iq u e 3D p o u r Am iga
1 2 0 0 . P etite sœ ur de la
Cybervision PPC (pour Amiga 3000 et
4000, voir Dream n° 54), la Bvision est
l'emportent de loin sur les résultats affi­
ch é s par le V irg e , p ré se n t sur la
Cybervision 64/3D. Celle-ci était en effet
construite autour du chipset graphique
la deuxième carte estampillée "3D" à
fonctionner sur Amiga 1200 et la pre­
S3 Virge, lequel ne disposait ni de fonc­
tions de correction de perspective, ni
mière à afficher des résultats aptes à
rivaliser avec ceux d'une carte 3Dfx.
Hélas, ladite carte s'est révélée bien difnciie a mettre en œuvre et risque ae
poser de nombreux problèmes à l'utili­
sateur. Au final toutefois, le produit
de capacités étendues en termes de
textures. En revanche, les capacités 3D
du Permedia 2 placent cette puce à miPréférences
to u t se passe bien, un logo
Cybergraphx ou PowerPC (le fameux
"Light my Fire") apparaîtra, suivi du
W orkbench, dans la résolution que
vous aviez préalablement choisie.
Un fonctionnement inégal
M alheureusement, tout ne s'est pas
aussi bien déroulé avec la carte dont
nous disposions. D'entrée de jeu, le
logo de boot ne s'est pas affiché cor■î/r i F - j nu
: Mode d ' f t f f i c h a g e
Mode d ' a
C V i s i o n P P C : 1 6 E.it
C V is ionPPC: 16 B i t
C V isionPPC: 16B it
C V is io n P P C : 1 68 i t
C V is ionPPC: 248 it
C V is io n P P C : 24 B i t
C V isio n P P C : 24 B i t
C V i s i o n P P C : 2 4 B 11
Largeur :
ffich
800
1824
1120
1152
320
648
768
886
Propriétés
age
x
600
768
x
832
X
X
900
X
240
X
480
576
X
600
X
M
H
m
H
T a ille visib le
T a i l l e min.
Ta i I le n a x .
Couleurs nax.
du n o d e
866 x
648 x
2 048 x
65 536
606
200
2 048
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s'avère très puissant.
Le matériel
La carte en elle-même est toute petite
et vient s'enticher dans un Amiga 1200
monté en tour, sur le connecteur gra­
phique d'une Blizzard PPC. Sans cette
carte à base de PowerPC, il est inutile
d'envisager l'achat de la Bvision : vous
ne sauriez tout simplement pas où la
b ra n c h e r ! D isp o sa n t de 8 Mo de
mémoire graphique, la carte intègre le
processeur Permedia 2 de 3D Labs. Ce
processeur peut tout aussi bien afficher
des écrans 2D qu'accélérer le traitement
3D grâce à ses fonctions intégrées. En
BVisionPPC
Constructeur : Phase 5
Source : w w w.phase5.de
En hausse
Le prix de 1400 francs environ
A Les performances
A Première vraie carte 3D pour
1200
Hauteur :
mmmm
s
/
\.+<. I D é f a u t
I^
I Défaut
Cou l e u r s 6 5 5 3 6
D é f il. auto: I ^ I
Sauver
Ut i I i s e r
rectement sur notre configuration de
test. Soit il ne s'affichait pas complète­
m ent et b lo q u a it la séq uence de
m êm e si la Blizzard PPC rentre, la
Bvision ne passe pas. De plus, la venti­
n'arrivait pas. Après avoir étudié plus
attentivement la documentation (en
lation et l'alimentation de la carte mère
du 1200 co n stitu en t deux facteurs
volum ineux, très importants pour le
anglais ou allemand seulement), nous
avons envisagé une première solution.
La carte mère du 1200 peut, dans cer­
tains cas (en fait dans la plupart), ne
pas être assez alimentée. Le port d'ex­
tension du 1200 se trouvait conçu à
l'origine pour recevoir seulement une
horloge et un peu de mémoire supplé­
bon fonctionnement de cette carte. S'y
rattache un câble, pourvu à son bout
d'un connecteur neuf broches, prêt à
brancher sur le moniteur SVGA. Enfin,
une fois le matériel correctement mis
en place, il co n vie n t d 'in staller les
d éso rm ais célèb res p ilo tes C y b e r­
g ra p h x. Fournis sur une d isquette,
▼ I l f a u t b r ic o le r p o u r q u 'e lle
système graphique, Phase 5 n'ayant
pas obtenu la licence requise qui lui
permettrait d'offrir gratuitem ent des
★
★
Note
★ ★
H n n u 1e r
chemin entre le 3Dfx Voodoo 1 et le
3Dfx Banshee.
Une installation aisée
Il est inutile d'essayer d'installer cette
carte dans le boîtier original du 1200 :
ceux-ci correspondent à la version 3 du
Y Pas de Scandoubler
|
Les nouveaux modes graphiques.
En baisse
fonctionne correctement
N 'accep te p s le s gentocks
Déplacement poss i b le
6 8 H z , 3 7 / 6 8 kHz
pilotes de la génération suivante. Pour
m ém oire, rappelons que ces pilotes
sont chargés de rediriger toutes les
démarrage, soit il s'affichait avec de
mauvaises couleurs et le Workbench
mentaire. Le voilà maintenant chargé
d'alimenter un PowerPC 603e à 240
MHz, un 68040 à 25 MHz et un chip­
set Permedia 2 ! Phase 5 recommande
donc de brancher sur la prise lecteur
de disquette du 1200 un câble d'ali­
mentation (non fourni) pour améliorer
la charge du courant sur la carte mère.
Miracle, l'ordinateur démarre ! A noter
que les u tilisa te u rs de cartes PPC
La carte BVsionPPC.
ration graphique dans le même ton
que Direct X ou OpenCL sur PC. Pour
l'instant, seul le processeur Virge de la
qui agrandira la masse des utilisateurs
disposant de chips 3D et, de fait, moti­
vera les développements. Un premier
Cybervision 64/3D se voit supporté,
pas devrait être franchi aux alentours
de mars, avec FusionPPC, l'émulateur
de PowerMac qui tirera parti de l'accé­
lération 3D pour les jeux en QuickDraw
mais l'adaptation au Perm edia 2 se
poursuit. A term e, plusieurs applica­
tions devraient voir le jour, parmi les­
disposant d'un 603e à 166 MHz (la
version de base) attachent moins d'im­
portance à ce défaut.
Le Permedia 2, ça chauffe !
quelles m oult lo g iciels à caractère
ludique ( WipeOut 2097 sera normale­
ment le premier). Sous Workbench, la
carte accélère à merveille le 1200. Le
d ép la cem e n t in tégral des fenêtres
Malgré le bon fo n ctio n n em en t du
Workbench et de certaines applications
(dont DOpus, CyberQT, CyberAVI et les
principaux o u tils de n a vig a tio n
(avec MCP) devient réalisable, même
en 800x600 24 bits. Quake, Marne et
Doom en version PPC bénéficient d'une
flu id ité jam ais vue par le passé en
Internet), d'autres se sont révélées
instables, notamment les jeux. En effet,
Quake, Marne et Doom (tous en version
PPC) ont fait déraper la machine après
320x240. L'utilisation de l'émula­
teur Shap eshifter donne en
outre des résu ltats é to n ­
nants : avec le seul 68040
de l'A m iga, l'ém ulation
d'un M ac Q u ad ra est
cinq ou six minutes d'utilisation. Cela
représente bien peu de temps pour
espérer pouvoir jouer correctem ent
avec sa carte graphique ! Après avoir
démonté et remonté la carte afin de
vérifier les connexions, nous consta­
tâmes que le système lui-même ne
tenait plus dans la durée ! Ce n'est
qu'au terme de longues recherches
que la solution a jailli. Il suffit de mettre
le doigt sur le processeur Permedia 2
pour saisir l'évidence : il chauffe beau­
coup, énormément même. La solution
consiste donc à installer dessus ou le
plus près possible un ventilateur stan­
dard pour processeur (non fo u rni).
Ouf, depuis, to u t est ren tré dans
l'ordre.
Les performances
parfaite, tant en termes
de rapidité que de stabi­
lité . A in si, on peut
La puce
Perm edia 2.
désormais jouer à WarCraft II ou à Rebel
Assault sans la moindre difficulté et reli­
re d ire c te m e n t d ans une fe n ê tre
W orkbench et à bonne vitesse des
vidéos au format Mpeg, AVI ou QT.
3D. On sera alors pleinement à même
de faire tourner des titres MacOS, tels
que Tomb Raider ou UnReal. Du côté
de Linux, un pilote se trouve d'ores et
déjà disponible pour le Permedia 2. En
re v a n c h e , c e lu i-c i ne fo n c tio n n e
qu'avec la version PPC (recompilation
partielle de la RedHat 5.0), bien moins
aboutie que la version 68k (RedHat 5.1
quasiment complète), pour laquelle il
faudra encore attendre un petit
p eu . En ce qui c o n c e rn e
l'A m ig a O S lu i-m ê m e , la
mode des portages triomphe
actuellement et l'adaptation de
jeux 3D PC devient de plus en
plus fréquente. Il y a fort à parier
que les pro gram m eurs ne vont
pas tarder à supporter les fonctions
3D du Permedia 2, comme ce fut jadis
le cas pour le S3 Virge avec Descent,
notamment.
Une fois passées les difficultés d'installa­
tion (parfois très rebutantes), la BVision
PPC donne à l'Amiga 1200 le coup de
fouet qui lui était nécessaire pour l'affi­
chage et fait de lui une alternative
com plète au monde W intel. Il s'agit
par conséquent d'un produit puissant,
même si sa finition aurait mérité plus
de rigueur de la part du constructeur.
Ben Yoris - [email protected]
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
En revanche, l'affichage des modes PAL
et N TSC par l'entrem ise de la carte
demeure interdit. Aucun scandoubler
ne se trouve prévu et, d'ailleurs, il n'y a
m êm e pas de c o n n e c te u r sur la
BVisionPPC pour en permettre le bran­
chement. Si l'on souhaite à tout prix
afficher ces modes (cela se révèle tout
de m êm e u tile), il faut disposer de
deux écrans. Au pire,
l'utilisateur peut aussi
brancher un Scandou­
La BVisionPPC dispose d'entrée de jeu
d'un énorme avantage par rapport à
ses concurrentes : la bande passante de
son bus. Bien plus rapide qu'une exten­
sion sur connecteur Zorro III, c'est dans
bler sur la carte mère
de l'Amiga (pour avoir
les modes 16 et 24 bits que la carte se
révèle la plus puissante. Fréquemment,
le Permedia 2 va dans les benchmarks
aussi promptement en mode 16 ou 24
bits que les autres cartes en 8 bits
(comparaison effectuée avec la Picasso
IV et la CyberVision 64, toute deux
un signal VG A), relier
les deux sorties vidéo à
un sw itch et espérer
que to u t s'a ffic h e ra
bien sur un seul écran.
Le futur de la 3D sur
Amiga ?
réputées pour leur célérité). Il y a mal­
heureusement un te st que nous
n'avons pu effectuer, car rien n'autorise
une telle opération à ce jour : il concer­
Incontestablement, les
cartes à base de Per­
m edia 2 sur A m ig a
redonnent à la machi­
ne une vitalité digne
ne les modes 3D accélérés. D'ailleurs,
disons-le d'emblée : aucun jeu ne profi­
te encore à l'heure actuelle de ces
fonctionnalités a lléch an tes. N éan ­
moins, les A lle m an d s d 'H aage &
Partner viennent tout juste de terminer
le fameux Warp 3D, un pilote d'accélé­
des
au tres
--------------
plates-
formes plus à la mode.
De plus, Village Tronics
va d é v e lo p p e r un
module 3Dfx pour sa
fameuse Picasso IV, ce
|
________
Au-dessus, Q uake tel qu'il a p p a ra ît aujourd'hui. En dessous, tel que le
Perm edia 2 p o u rra b ien tô t le représenter.
il faut bien reconnaître que les per­
formances attendues d’une station à
EM 86, quand
les a p p lica tio n s Intel
to u rn e n t su r A lp h a
500 MHz étaient largement au ren­
dez-vous.
Et des lim ites
Attention, cependant, on parle bien
ici d'applications. A l'instar de Wine,
E M 8 6 ne p e rm e t pas d 'e x é c u te r
l'e n se m b le des codes p riv ilé g ié s.
N'espérez donc pas faire tourner un
pilote, ni un com posant kernel. En
re va n ch e , la p lu p art des a p p lica ­
tio n s co m m e rcia le s fo n c tio n n e n t
bel et bien sans p ro b lèm e te c h ­
nique particulier. Il reste toutefois à
préciser, notam m ent dans le cadre
Vous possédez la meilleure configuration que l'on puisse imaginer
une machine Alpha et un Linux 64 bits. La seule chose qui vous
manque, c'est un nombre considérable d'applications toutes prêtes...
d'une utilisation professionnelle, les
sion co m m e rcia lisé e par Red Hat,
laquelle offre d'em blée un nom bre
lim ité d 'app lication s précom pilées.
réplique sous Linux est désormais plei­
nem ent fonctionnelle. Bienvenue au
module EM86 !
De m u ltip les in térêts
G râce à cet outil, les binaires Linux
prévus pour les machines Intel peu­
Si les perform ances et les capacités
de votre configuration l'em portent
de loin sur les autres produits dispo­
vent être exécutés sur les machines
Alpha, ce qui présente un grand inté­
rêt dans le cas d'un produit dont les
n ib le s su r le m a rc h é , il d em e u re
tout de même agaçant de voir que
bon n o m b re d 'a p p lic a tio n s so n t
so urces restent
rigoureusement
indisp onibles,
développées et ne tournent que sur
les p lates-fo rm es In te l. Le m onde
p a rfa it n 'e x iste ra it d o n c pas ? Ce
se ra it sans c o m p te r les e ffo rts et
l'in v e s tis s e m e n t c o n sid é ra b le s de
Jim P a r a d is , d é v e lo p p e u r c h e z
ou dans celui
d'un produit
dont
la
c o m p ila ­
t i o n
Digital Equipem ent.
L'Alpha co m p atib le Intel ?
Rappelons les faits. Au m om ent de
l'adaptation de Windows N T sur les
m a c h in e s A lp h a , D ig ita l a v o u lu
insister sur la crédibilité de ses sta­
tions. En l'occurrence, le cahier des
ch arg es sp é cifia it que les statio n s
A lp h a /W in do w s N T d e v a ie n t fa ire
to u rn e r to u te s les a p p lic a tio n s
Windows NT, qu'elles soient co m pi­
lées pour Alpha ou non. Le module
FX!32 a alors vu le jour ; il s'agit d'un
interpréteur tem ps réel, qui traduit
encore aujourd'hui toutes les instruc­
tions Intel des applications en instruc­
tions Alpha. Dans la pratique, l'utilisa­
te u r o b serve une e xé c u tio n assez
le n te lo rs du p re m ie r la n c e m e n t
d'une application Intel. Cependant,
une fois passé le stade des optimisa­
tions, les perform ances deviennent
subitement impressionnantes, dépas­
sant souvent celles d'un véritable PC.
Hélas, FX!32 ne s'adapte qu'aux appli­
c a tio n s W indows. Q u 'im p o rte : sa
terait, quel­
les q u 'e n
A
ce jou r, il y a fo rt à parier
que v o tre d is trib u tio n de
Linux corresponde à la ve r­
lim it e s de d ro it et de g a ra n tie
qu'entraîne une exécution d'un pro­
duit donné sous un composant as­
similé à un émulateur.
Se procurer EM86
EM 86 est disponible sur le site de
Digital Sem iconductors, l'entité qui
conçoit les processeurs et les cartes
mères Alpha. Les kits EM86 revêtis­
sent plusieurs aspects : celui du très
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
U
fb
H
u
U
R
re p ré se n ­
s o ie n t les
raisons, un
in v e s tis s e ­
m e n t tro p
im p o r t a n t
en temps et en
moyens. Le fait
de po uvo ir e xé ­
c u te r la su ite
bureautique ApplixWare
sur une m a ch in e A lp ha
offrait jusqu'à ce jour un très
bel exem p le des capacités
de YEM 86. Applix venant
de s o r t ir u n e v e rs io n
Alpha native de ce pro­
d u it, une te lle
aptitude
voit son int é r ê t
c o n s i d éra b le m e n t
r é d u i t
Malgré tout,
X
, C
'£
m
5
T
P
m
A
S
s
classique form at RPM, mais aussi du fichier Tg z. Un petit pro­
blème se présentera toutefois : afin q u 'EM 86 fonctionne avec
des versions de la RedHat supérieures ou égales à la 5.0 (nom
de code Hurricane, kernel 2 .0 .3 0 ), l'utilisateur devra appliquer
( Fabrication, distribution et ingénierie )
De 10h à 19h (samedi sur rendez-vous)
Payement par chèque, mandat ou CB (>500 Frs).
Port : Logiciel 40 Frs, Matériel 65 Frs, Tower 120 Frs.
Catalogue complêt sur simple demande
Tél : 02.40.85.30.85
Fax : 02.40.38.33.21
E-Mail : [email protected]
Web : http://www.ateo-concepts.com
Adresse : Le Plessis, 44220 - Couëron
( à proximité de Nantes )
For a better future...
quelques patches, lesquels n'existent que sous une form e plu­
tôt rudimentaire. Il s'agit de deux fichiers diff qui recensent les
modifications à apporter dans les sources, avant une recom pi­
lation globale.
Cette opération, bien que relativem ent sim ple, est consom m a­
trice de temps et peut rebuter des personnes au profil non
technique, mais le résultat en vaut la peine. Ces fichiers sont
linux-2.1.65-em86-diffs et alpha-patches-2.0 .3 0 -0 .2a, que l'on
associera donc avec l'ensemble des sources disponibles dans le
répertoire voisin, sur le m êm e site ftp (ftp ://ftp .d ig ita l.c o m /
pub/DEC/Linux-Alpha/em86).
Une fois l'application recompilée, l'ensemble des fichiers créés,
en attente d'une installation, se présentera com m e suit :
" « S S " *" *
[root@ecrehous /root]# ls -Isa em86-0.4.tar.gz em86-fx-0.4.tar.gz
326 -rw-r— r—
1 root
root
330136 Dec 28 23:00 em86-
1 root
root
157013 Dec 28 22:57 em86-fx-
' "
*
£
£
L
0.4.tar.gz
155 -rw-r— r—
0.4.tar.gz
[root@ecrehous /root]# tar -tzvf em86-0.4.tar.gz
-rwxr-xr-x root/root
1084123 1998-01-29 23:36 usr/bin/em86
-rw-r— r-- root/root
1048656 1998-01-29 23:34 usr/x86/linux486.idx
-rwxr-xr-x root/root
106945 1998-01-29 23:36 usr/x86/lib/libc-
assist.so
Produits Atéo
Vidéo
Branchez 4 périphériques IDE
Atéo IDE mux complêt (nappes 3.5”) . . . . 199
Interface pour Clavier PC
iPour A1200 monté en boîtier to w er
349
Pour A2/3/4000 (modèle e xte rn e )
399
Clavier PC 105 to uch es......................................92
Upgrade ROM (2.2) Interface c la v ie r
100
Boîtiers Atéo TOWER + Accéssoires
T o w e r A 1200 (Alim + m odule L E D +
interface clavier + clavier + d o c )
1090
Tower A4000 (alim 230W + nappes + doc
montage) Nouveau modèle ! .................... 1290
Ventillateur supplémentaire (+doubleur). 95
Carte graphique Pixel64 + AtéoBus .... 1990
Carte AteolO 1 (2 parallèles + 1 s é rie ).. 390
Carte AteoNet I (RJ45) ...............................390
Carte AteoNet III (BNC + RJ45 + AU!) . 490
Cartes S C S I, IDE, A u d io ............................... N.C.
Scandoubleur................................................. Bientôt
Kit fixation : AtéoBus -> Tour Micronik ..1 5 0
Kit pour 7 S C S I interne (cartes 1 2 x 0 ).... 290
Kit pour 7 S C S I interne (cartes P P C ) .... 385
Kit de branchement pour les L E D
49
Adaptateur périphériques 3.5" -> 5"1/4 ... 49
Lecteurs de disquettes
DD interne A500 A6/1200 ............... 2 5 0 /2 3 0
DD interne A2/4000 et Towers A1200 ... 210
DD externe tout A m ig a.................................... 450
HD (Towers) pour C atW e ase l.................. 175
Picasso IV (+scandoubleur à 10 0 H z).. 2790I
- Module audio 16bits (Picasso I V ) ............990
- Module de sortie PA L (Picasso I V )
890
BVisionPPC 8Mo (Blizzard P P C )
1590
CyberVisionPPC 8Mo (Cyberstorm ).... 1690
Moniteur SM ILE 14" (pitch 0 .2 8 ).......... 1290
Moniteur SM ILE 15" (pitch 0 .2 8 ).......... 1590
Moniteur SM ILE 15" (pitch 0.25 N EC) 1890
Moniteur SM ILE 17" (pitch 0 .2 8 ).......... 2890|
Genlocks (int./ext.), Cartes R V B ...............N.C.
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Accélération
[root@ecrehous /root]# tar -tzvf em86-fx-Q.4.tar.gz
-rw-r— r—
root/root
1048656 1998-01-29 23:34 usr/x86/linux486.idx
-rw-r— r-- root/root
543778 1998-01-29 23:34 usr/x86/lib/libem486.a
drwxr-xr-x root/root
-rw-r— r—
0 1998-01-26 22:31 usr/x86/include/
root/root
2456 1998-01-29 23:34
usr/x8 6/inc 1ude /fx_cpu.h
-rw-r— r—
root/root
22661 1998-01-29 23:34
usr/x86/include/run4 86.h
-rw-r— r—
root/root
2899 1998-01-29 23:34
usr/x86/incluae/cc_opcodes.h
-rw-r— r—
root/root
2929 1998-01-29 23:34
usr/x86/include/cc_tables.h
Pour utiliser EM86, il ne vous restera plus qu'à lancer sur votre
Alpha le binaire em 6, dans /usr/bin/, suivi du nom de l'exécu­
table Intel de votre choix. Pour vos essais, prenez par exem ple
le troisième CD livré avec la dernière version de la RedHat Intel
_________________________________
E m 86
Statut : Free Software
En hausse
Unique et parfois indispensable
A Technologie impressionnante
En baisse
Code non finalisé
Documentation inexistante
v Patches à mettre en œuvre pour
les versions récentes de Linux
Note
★
★
★
■* ’k
Périphérique
pro-
(la
5 .2 ) : tous ces
Périphériques IDE ATAPI
d u its d isp o n ib le s u n i­
IDisque Dur 3.2 Go et + (Ultra-DMA) .... N.C.
quem ent sous forme de
CD-ROM 36x interne + prise casque .... 590I
b in aires p e u ve n t to u r­
ner sur votre Alpha dès
d em ain , avec un m in i­
[Tiroir extractible pour disque dur IDE .... 1501
mum d 'investissem ents
de v o tre p a rt. R a p p e ­
lons une bonne adresse
pour tout ce qui concer­
CD-ROM 36x interne (P io n eer)
890
Cartouche pour lecteur Z I P ........................... 100
ne Linux et les stations
A lp h a : h t t p :/ / w w w .
d ig ita l.c o m /a m t/lin u x /
index.htm l.
Christophe Le Cannellier [email protected]
Périphériques SCSI
à.
Pour Amiga 600
(Apollo 630 / 68030 à 33 Mhz + Copro ... 795
|Apollo 630 / 68030 à 50 M h z................... 1150
Pour Amiga 1200
(Apollo 1240 / 40 à 25/40MHz ... 1390 / 1990
Apollo 1260 / 60 à 50/66MHz ... 2990 / 3590
Module S C S I Phase5 / Apollo
N.C. / 590
Blizzard 603e/160MHz + 040/25MHz .. 2290
Blizzard 603e/240MHz + 040/25MHz .. 3690
Blizzard 603e+/240MHz+040/25MHz .. 4290
Blizzard 603e+/200MHz+060/50MHz .. 6090
[Blizzard 603e+/240MHz+060/50MHz .. 6590
Pour Amiga 2000
(Apollo 2030/030/50MHz/Copro/SCSI .. 1790
G V P 2040 / 040 à 40 MHz + S C S I
3990
IGVP 2060 / 68060 à 50 MHz + S C S I .. 4990
Pour Amiga 3000 et 4000
[Apollo 4040 / 040 à 40 Mhz + S C S I II
Apollo 4060 / 060 à 50 MHz + S C S I II
Apollo 4060 / 060 à 66 MHz + S C S I II
Cyberstom 604/200MHz+040/25MHz
Cyberstom 604/233MHz+040/25MHz
Cyberstom 604/200MHz+060/50MHz
Cyberstom 604/233MHz+060/50MHz
2490I
3890
. 4490
. 4990
. 5690
7390
81901
IDisque Dur Ultra-Wide SCSI 4.5 Go ... 2190\
\Adaptateur pour U-W SCSI sur SCSI II. 190
Graveur 2x2x6x RICOH........................ 2 590
Soft "Make CD V3.2” TAO / DAO
f
Les Cables
395 / 549
w
Rallonge 3.5"Male vers 2 x 3 .5 ".......................89
Cable 2.5" vers 3.5" (approx. 30 c m ).......... 69
Cable 2.5" vers 2.5" et 3.5" (~ 3 0 c m )......... 89
Doubleurs d’alimentations................................ 25
Nappe IDE 2 / 3 connecteurs
30 / 50
Nappe S C S I 2 / 4 / 8 conn
50/ 130/ 180
Cable S C S I avec centronic 50 p ts
120
Cable centro. 50pts vers SUB-D 25pts 150
Terminaison S C S I centronic 5 0 p ts
99
Adapt. SUB-D 9pts M -> SUB-D 25pts F 39
à
Mais Aussi...
Amiga 1200 (+ pack s o fts)......................... 2490
Carte Ethernet Ariadne (+ G é n é sis )
890|
Cartes audio Delfina ou P ré lu d é
N.C.
P igitaliseur audio stéréo (fin stock!) .... 190\
Carte Buddha flash (ID E A2/3/4000)....... 490
CatW easel MK2 (pour disquettes HD) .. 520
CatW easel Zll/lll (Buddha+CatWeasel) 750
\IDE-Fix Express (accélérez votre IDE) .. 690
Souris 400 DPI 2 boutons (logo Amiga) 75
Mémoires EDO 60ns, 16, 32 & 64 Mo N.C.i
(Mémoires Fast Page 60ns,16 & 32Mo . N.C.
Modem USRobotics 56K+Kit Internet.. 13901
Aminet, A. Format, A GA Expérience .... N.C.j
Système 3.1 A5/12/23/4000 ........................N.C.
Montage A1200 en boîtier to w er
300|
Montage en réseau (Linux, Win, etc...) N.C.
Prix modifiables sans préavis
SARL au capital de 50.000 Frs. RCS
J
Easy Beat
La boîte à rythme est un élément
indispensable du musicien de home studio.
l était inévitable que l'ordinateur,
m iracle de l'audionum érique, s'y
in té re sse . Le p re m ie r lo g icie l à
I
transformer le Falcon en drum machi­
ne fut FD Drum. Malgré certaines qua­
lités, il manquait absolument de fantai­
sie, tant dans son esthétique que dans
son ergonomie. Aujourd'hui, le prodi­
ge de l'ordinateur, à savoir le prolifique
Emmanuel Jaccard (Softjee), vient de
sortir Easy Beat, qui devrait combler les
adeptes de la pattern rythmique.
Façade
L'interface révèle un logiciel sim ple
d'emploi, bien que com plet, et dont
on peut se servir sans d o c, ce qui
constitue un critère de haute ergono­
mie. A l'instar d'une table de mixage,
Easy Beat propose huit pistes sur les­
quelles on assignera un échantillon
(caisse claire, charley, grosse caisse...
ou p o u rq u o i pas n 'im p o rte q u el
AVR). Chacune de ces pistes contient
d e u x p o te n tio m è tre s, réservés au
volume et au panoramique, ainsi que
des boutons pour des faders et des
pans autom atiques sur la longueur
de la pattern.
une distorsion. Le plus monstrueux des
Edition de pattern
trois est sans conteste la réverbération
L'édition de patterns représente en fait
avec sa trentaine de paramètres. La
le seul point faible d'Easy Beat, mais
Lexicon n'a qu'à bien se tenir. Chaque
rassurez-vous, Softjee a pro m is de
effet possède seize presets, ce qui suffit
l'am éliorer à la prochaine version. Il
largement pour un morceau ; l'utilisa­
s'agit d'un m ini "Drum Edit" d'une
teur aura bien sûr l'opportunité de
m esu re en 4 / 4 . On c liq u e sur les
sauver et de charger à loisir celui-ci.
temps à jouer parmi seize boutons, qui
Puiser !
s'étalent devant chaque instrum ent
Easy Beat est un produit extrêmement
pour placer les notes. 4/4, cela s'avère
accessible, idéal pour un novice vou­
tout de même un petit peu léger ; en
lant s'adonner à la pulsation ryth ­
outre, on ne peut pas attribu er de
m iq u e. Un m usicien co n firm é , en
volum e, m anuellem ent, à une note.
revanche, le trouvera un petit peu limi­
Dom m age ! En revanche, ce qui se
révèle sympathique,
DRUm E d i t
TÊT
c'est que lorsqu'on
retourne à la fenêtre
principale, les notes
BDRUID1
© © © © © ( g ) ® ® © ® ® ® © © ® ®
de l'instrum ent sé­
HHflTCLOS ® ® # ® ® ® 0 0 © ® © ® ® ® © ®
lectionné s'allument
CLRP
® ® ® ® ® ® ® ® ® ® ® ® ® ® ® ®
sur la "time line" en
SNRRE2
® # ® @ ® Q © ® ® ® ® © @ ® ® ®
dessous des faders,
BDRUD1
® ® ® ® ® ® ® ® ® ® ® © © ® @ ®
via des leds de
BDRUni
® © ® ® ® ® ® # ® ® ® © ® ® ® ®
couleur. Il y a ainsi
BDRUni
® ® ® ® © ® ® ® ® ® ® ® ® @ ® ®
m oyen de v o ir les
BDRUP1I
© ® ® ® ® © © @ ® © © © © © © ©
te m p s in te rp ré té s
>w< t /»-«3
par
l'in s tru m e n t
Close
U «/wc
dans la pattern en
cours. Si la pattern
Mélodie en sourd sol.
se trouve en train de
té, même si quelques idées ne man­
défiler, les leds lumineuses ne s'allu­
quent pas d'intérêt (chargement sous
ment que lorsque la note est jouée.
forme de banque de tous les AVR d'un
Effets
d o ssie r, par e x e m p le ). L'au teu r a
Le maître du DSP ne pouvait nous lais­
conscience de ces lacunes et compte
ser sans effets ; aussi avons-nous droit
bien faire évoluer le programme dans
à une réverbération, à un écho et à
un sens plus musical. En attendant, il
décroche la palme de l'ergonomie et
de la pédagogie, car il a su mettre à la
portée de tous les joies de la boîte à
Coucou super
rythme. De surcroît, il arbore une cer­
taine joliesse, ce qui ne gâche rien.
Nous souhaitons donc à Easy Beat une
belle croissance, ce qui lui permettra
de devenir sans nul doute un grand
logiciel, consacré aux pulsations.
Godefroy de Maupéou
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
EfiSV Beat fini .00
LOBD Bank
LORD Sound
SRUE iî
S r> 3
£ )
dt
sn s
Easy Beat
Statut : commercial
Source :
http://perso.wanadoo.fr/softjee/an
glais/easy.htm
En hausse
Nor>ç
Une boîte à rythme pour patternes pas ternes
▲ Simple d'emploi
A Utilisation intensive du DSP
En baisse
▼ Edition de patterns
Note
★ ★ ★ ★
Gimp's User Another Shell
Ce plugin destiné au célèbre logiciel de retouche photo
vient combler un gros manque l'absence d'un "visual
schnauzer” !
vec de g ra n d e s b a n q u e s
d'images, il demeure essen­
tiel de pouvoir afficher des
"planches", permettant une gestion
efficace. C e tte fo n c tio n a ren d u
A
indispensable le vieu x xv , dont le
"visual schnauzer" représente to u ­
jours un m odèle d 'e rg o n o m ie et
et une installation entièrement auto­
matiques (et, par conséquent, simplissimes), on peut appeler celui-ci via le
menu "extensions" de Gimp. Le princi­
pe reste toujours le même : la fenêtre
affiche toutes les images d'un répertoi­
d'accéder instantanément aux réper­
toires où sont stockées les images et
une conception pour le moins originale
du glisser/déposer. Ainsi, lorsqu'on
veut "drag and dropper" une icône, on
ne doit pas cliquer dessus puis tirer
comme à l'accoutumée ; ici, il faut la
sélectionner d'un simple clic, puis tirer
le bouton "drag copy" ! Cette méthode
n'est pas forcément mauvaise, mais se
révèle tout de même très peu intuitive.
jakub Zimmermann
d'efficacité. Guash dote enfin Gimp
d'un tel outil. Après une compilation
re sous forme d'icônes et un doubleclic sur l'une d'entre elles l'ouvre ins­
tantanément dans sa taille réelle.
Pas besoin d'autre chose ?
Source : w w w .gim p.org
" Guasb: Canemu DU.Amrtocal'thvB/mkget/Caae'Cfi Disc (by nam)
Comme son nom l'indique, Guash a la
prétention de faire office de bureau
Statut : logiciel libre sous
licenceCPL
pour l'utilisateur de Gimp. A cette fin, il
propose toutes les fonctions de copie,
En hausse
▲ Très complet
déplacement ou effacement de fichiers
et permet même d'appliquer directe­
m ent des com m andes Unix ou des
fonctions Scheme aux images sélec­
A On peut tout faire depuis Gimp
Ûi I
8W 09 JP G
I
CAM007JPG
W A27 JP G
i I I
H O I
C A M Q 02 J P G
C A M 0 0 3JP G
H
CA M 805 JP G
f
>Æ RO N_
C A M IE 0 7 J P C 0 t A Z 4 J P G
D lA Z J P G
I
c » w o n 7 jp g
CAMERÛN_JPG C19MZB09G8 S» (66S » bytet)
O^copy
J
Uptfa®
j
Cameron cache-torses.
tio n n é e s. M a lh e u re u sem e n t, d eux
carences en réduisent l'ergonom ie :
Gimp's User A n o th e r
Shell
En baisse
▼ Il n'y a pas de "bookmarks"
▼ Glisser/déposer bizarre
Note
l'absence de "bookmarks" permettant
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Grail
Un navigateur pas comme
les autres pythonesque !
uel a d m ira te u r des M onty
Python est également célèbre
pour développer des logiciels
iiDres très populaires ? La réponse ne
Q
vous surprendra guère : il s'agit de
Guido Von Rossum, créateur du
superbe langage de program­
mation python.
Sacré Grail !
Python se trouve souvent assi­
milé à un "vulgaire" langage de
script, c'est-à-dire à un succéda­
né de Perl un petit peu plus
"propre" que son modèle et
orienté objet. Cependant, selon
son créateur, python constitue
un langage généraliste, très à
l'aise par exemple pour prototyper des applications graphiques.
Le navigateur Web Grail est en
quelque sorte la matérialisation
de cette affirmation. Supportant
une bonne partie de Html S.2,
Grail offre une interface (en Tk)
un peu fruste : en effet, son utilisation
recquiert un goût prononcé pour les
menus déroulants ! Cela dit, l'affichage
et les interactions avec les pages Web
se révèlent très efficaces.
Une architecture très ouverte
mettent de gérer de nouveaux formats
de fichiers, d'améliorer le parser Html
(voir de parser du Sgml ou du Xml) ou
même de proposer de nouveaux proto­
coles (autres que Http ou Ftp). Une
La principale originalité de Grail vient
autre originalité concerne le support
d'applets python, lequel semble défier
de son architecture ouverte, reposant
totalement sur python. Les plugins Grail
sont des modules python (formidable :
Java. C e p e n d a n t, rien n 'e m p ê ch e
d'ajouter un plugin java, car Grail n'est
pas un outil fermé. A n'en pas douter,
des plugins avec les sources !). Ils per­
ses capacités lui garantissent un avenir
prometteur.
Fred Pesch
G ra i I 0 . 5
Statut : Open Source
Source :
http://grail.cnri.reston.va.us/grail/
En hausse
À Architecture ouverte
A Support complet de Html 3.2
A Applets python
En baisse
▼ Interface graphique minimaliste
Y Faible nom bre de plugins (pour
l'instant !)
★
★
Note
★ -k ' k
complet sur le flux de données, par
exemple un filtre passe-bas. La puis­
sance du langage permet malgré tout
L a b V ie w 5.1 B êta
p o u r L in u x
d'élaborer des choses plus classiques,
Ne s'agirait-il pas encore d'une application-phare pour Linux ?
Après des produits comme Oracle ou Db/2, voici le portage d'un outil
très prisé des ingénieurs.
Sl
abView est un environnement de
L
développement et d'acquisition
de données professionnel, qui a
comme le célébrissime "Hello World"
ou encore un outil de calcul. Il est
aussi possible d'utiliser du code exter­
ne, en C par exemple, dans LabView,
ce qui évite d'avoir à réinventer la
roue.
Les lim itations les plus ennuyeuses
émanent de l'absence d'aide en ligne
(on trouvera
malgré tout
des manuels
au fo rm a t
Pdf avec le
vu le jour en 1983 et représente l'un
des ténors du genre. Il existe de nom­
breux ports de ce logiciel, sous envi­
ronnement Windows, Mac et Unix. La
m o n té e en p u is sa n c e de
Linux a po ussé la so cié té
N ational In stru m e n ts
National Instruments à déve­
lo p p e r une v e rs io n p o u r
j= g s !L |
ai m
jSl-3
>OPgD CPBC
|
LabVIEW5.1
tionnem ents m ineurs, tels que des
boutons qui ne m archent pas, sont
venus entraver la bonne marche des
prend la form e d'un Rpm.
Cependant, il faudra veiller à
disposer de la glibbc2 et d'environ 64
tests.
La b V iew d é s ig n e , d ix it N a tio n a l
Instru m ents, un "environnem ent de
Mo d'espace disque. La version testée
co rre sp o n d ait à une Bêta ; m algré
tout, la date de sortie de la version 5.1
de LabView pour Linux est prévue en
développement pour la mesure et l'auto­
matisation sur ordinateur. En pratique,
LabView se révèle très efficace pour
effectuer des mesures, les traiter et les
afficher, mais aussi pour réaliser des
INSTRUMENTS
U "»' - «■i
tériels d'acq u is it io n ,
pu isq u e le
seul dispon ib le a c tu e lle m e n t sur le site de
National Instrum ents est un driver
G p ib en versio n Bêta. Ce d ern ier
point va bientôt se trouver résolu,
g râce à l'a ctio n des m em bres du
Le schéma du simulateur d'oscilloscope
Linux/x 86.
L'installation de LabView 5.1
sous Linux ne pose aucun
problème, puisque le fichier
■%r,'NATIONAL
; ;
lo g icie l), et
du m anque
de d rive rs
pour les ma­
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
A propos de LabView.
même temps que pour les autres por­
tages. L'utilisation de ce logiciel n'a
posé aucun gros pro blèm e sur un
Pentium 166 M m x avec 64 Mo de
Ram . Pour le reste, seuls quelques
petits dérapages et autres dysfonc-
simulations de toutes sortes ou encore
m e ttre au p o in t des p ro g ram m e s
complets de type classique et n'ayant
rien à voir avec le milieu des ingé­
n ie u rs et s c ie n tifiq u e s . L'e n viro n nem ent de déve­
loppem ent utilise
le langage graphi­
que G et autorise,
e n tre a u tre s , la
c o m p ila tio n du
H T I j u n M 'X I
3S B $8;
m
;
1
m
i
* * * * * * ? ______ ;
1
1
1
i
code, la présence
du m ultitâche et
du support de Tcp
-1 1 1 J
c* * Irp» * je c m c te d p o M i
«
;? :«
;
i—
Tracé de courbe sinusoïdale.
Mathématiques et tracé de courbe 3D.
s
i
f
:
* i
r *—
séries.
La p ro g ra m m a ­
i
î
:T'*r.-I
tion passe par une
interface visuelle
dans laquelle on
•■
'‘'tFvx®;-••'
1
assemble des élé­
ments, à savoir des
1
Application réalisant des zooms
dans un ensemble de courbes.
/ 1p, ainsi qu'une
g estio n évo lu é e
des entrées/sorties
Simulation d'oscilloscope.
blocs e ffe c tu a n t
un
t r a it e m e n t
Linux Lab Project, qui facilite n t la
création de drivers, bibliothèques et
logiciels compatibles ou complétant
LabView. On peut donc s'attendre à
la diffusion de drivers conçus pour les
matériels les plus divers, de la carte
SoundBlaster à l'appareil d'acquisition
le plus moderne.
LabView pour Linux est proposé au
même tarif que la version Windows,
soit 15000 francs HT. La version édu­
cation (dix licences pour un logiciel
acheté) permet de ramener le prix à
des valeurs plus modestes.
National Instruments : w w w.natinst
.com/linux
Linux Lab Project : www.llp.fu-berlin.de
David Feugey
L a b V i e w 5.1 B ê t a
Statut : commercial
En hausse
Outil très performant
Comble un vrai manque
En baisse
Quelques bugs (mais c'est une
version Bêta)
Le manque de drivers
Note
★ ★ ★ ★
Si
une qualité de restitution très correc­
Pop-Play
te, de nombreux réglages et la ges­
tion de listes de titres ("playlist"). Le
son s'avère de bonne qualité, sans être
e x c e p t io n n e l. P o p -P lay d o n n e le
moyen de ne pas perturber les sons
Un lecteur de modules
honorable.
o p -P lay est un le c te u r de
P
modules pour OS/2. L'in stal­
lation peut s'effectuer sur un
Pentium 75, pourvu de 8 Mo de Ram
et disposant d'une carte son compa­
tible MMPM/2 ou Dart, ce qui limite
l'utilisation de ce logiciel aux versions
3 et 4 de Warp. Le test sur un Pentium
120 équipé d'OS/2 Warp 4 n'a posé
aucun problème majeur. Le lecteur ne
supporte que les fo rm ats les plus
répandus (xms, mods, etc), mais offre
du système, ce qui se révèle appré­
ciable. Evidem m ent, cette dernière
fonction se paye en termes de temps
p ro c e s s e u r, m ais m êm e a ve c les
valeurs maximales, la machine de test
n'a jamais été mise en difficulté.
Les principaux défauts de ce logiciel
résultent de l'absence d'aide en ligne,
lecteurs de modules sous OS/2 nous
avaient habitués à m ieux, mais c'est
ailleurs qu'il faut chercher les qualités
de Pop-Play.
L'avantage principal de ce logiciel pro­
vient de son interfaçage avec Rexx,
g râce à une b ib lio th è q u e et à un
manuel correctement réalisé. Le logi­
ciel correspond à un shareware, mais
le paiement de la licence autorise la
libre distribution des programmes fai­
sant usage de cette bibliothèque, sans
qu'il y ait à payer de royalties.
David Feugey
ainsi que de l'esthétique très discu­
table de l'application. Dernier point
négatif, le g estio nn aire de fich iers
intégré n'est pas standard et ne per­
met pas l'accès aux disquettes. Les
BH BEM
pu
5* . f w *
Pop-Play
Version testée: 1.1 /shareware à
20 $
En hausse
5
y—
Ma»
A Peu gourmand en ressources
A Interfaçage avec Rexx
En baisse
T L'esthétique déplorable
▼ Il manque quelques
fonctionnalités
★
★
Note
★
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Vue de Pop-Play.
Le gestionnaire de fichiers intégré.
QuickMotion 2.0
A l'utilisation, QuickMotion remplit par­
Un logiciel indispensable.
Æ ^ ^ u ickM otion 2.0 est un logiciel
faitement son rôle, et même avec un
certain brio, tant la lecture de vidéos
fait montre de fluidité. Le seul reproche
que l'on soit en mesure d'adresser à
I q u i au g m en te de m an iè re
^ ^ ^ n o ta b le les capacités multimédias aO S/2. Il permet également de
QuickMotion vient de sa non-utilisation
du lecteur vidéo standard livré avec
Warp ; cependant, on oublie ce léger
lire les fichiers QuickTime, QuickTime
VR et les Avi au format Microsoft (seuls
les Avi au format Intel peuvent être
parcourus en standard par 05/2).
Suprême coquetterie, QuickMotion se
inconvénient, dès que l'on sait qu'il
demeure possible d'intégrer les films sur
la table lumineuse d'OS/2. Le lecteur uti­
trouve fourni avec un Plugin pour la
version OS/2 de Netscape, ce
lisé est spécifique : il s'agit de QuickFIick,
un logiciel très riche, qui dispose de
toutes les options requises et autorise
qui autorise la lecture directe de
films sur Internet. QuickMotion
se montre très peu exigeant,
puisqu'un 486 avec 8 Mo de
mémoire se révélera suffisant.
m êm e la co p ie et la sau ve g ard e
d'images dans de nombreux formats.
David Feugey
Q uickM otion 2.0
Version testée: 2 .0/commercial
34.95 $
w ww.quickm otion.com
En hausse
▲ Parfait
A La navigation dans les fichiers
Quicktime VR
Toutefois, la lecture de fichiers
au fo rm at Q u icktim e VR
demandera une configuration
de type Pentium pour une navi­
gation confortable. L'installation
du logiciel s'avère classique et
passe par le gestionnaire de
présentation multimédia.
Vue du fichier QuickTime.
En baisse
▼ Aurait pu (dû) utiliser le lecteur
vidéo standard
Agrandissement d'un fichier QuickTime VR.
★
★
Note
★ ★
★
\\# 3
IglooFTP
nature : répertoi­
re, lien, package,
fic h ie r H tm l et
a mode est aux gestionnaires
de fic h ie rs "tra n s p a re n ts au
réseau" (com m e kfm ou gm c).
IglooFTP - littleigloo
ftp
Locto
m ss
autres textes sont
a in si jo lim e n t
Enfin un client FTP digne de ce nom sous
Linux !
L
r
ü
R.mûle
77.1s u. n *nLOMn- vgfypri
Opéom
Tool»
sa m S m
'A
C2 |rtoovep<l»it
B
Help
c#g
w
A User Jtnonymout
À Pin
Port : 21
£ > jnncoff-n^iraïoigWo
SIX. | d»
q 1n*»>
âfÿ -'ro o l
sound
Preferences
cn»f\g*»_bnpcpup M
cn*ng#»_w2tbd
Ovmnt wangT-)} Aav*nc«o | vi*«.
<J107*j4gif
oownloadi nw
download.JLhW
|V)onymoui
représentés. Bien
sûr, l'u tilisa te u r
peut
t o t a le ­
m e n t se passer
d 'u n
é lé m e n t
J Nommavm |
m aexhirrl
Irtûexo'd Mml
Ind^OMml
linki html
InUjrhM
E - M U ACdrest
|rnot6>L!tse*.gioc
SUrt DTrectaiy
[/raotnp
■Higloo |»
rrruieumhtml
mui.um_COhtnh.Mml
mui6um_.html
ioftwv.1 html
software*Jt.hlml
d'interface, quel
qu'il soit. Bref, il
User Profli#
uffieigtoo
lest
Romot.
SUnDn.Cîor/
J
r: -
Cj/rootMp
£2 rt>o®e/tertfl!p
|/)ncoming
On veut nous faire croire que gérer
des fichiers locaux et des fichiers FTP
ou HTTP revient au m êm e. Erreur !
Pour réellement exploiter le protoco­
n 'y a p ra tiq u e ­
m ent aucun re­
p ro c h e à fa ire
concernant
c e tte G U I, q u i
le FTP, un client spécialisé demeure
s 'a v è re
nécessaire.
Une in terface exceptionnelle
E n tiè re m e n t d é v e lo p p é e en C T K ,
l'in terface d 'IglooFTP se révèle à la
fois belle et efficace. Com m e pour la
ment exem plaire !
Les fo nctionnalités
IglooFTP propose pratiquem ent tout
ce que l'on est en droit d'attendre du
FTP, com m e par exem ple la reprise
p lu p art des clie n ts FTP, la fenêtre
principale de l'application se divise
en deux zones : une pour le système
d'un download interrompu (fonction
très p ratiq u e et p o u rta n t so u ven t
absente). La philosophie de IglooFTP
de fic h ie r local (à g a u ch e ) et une
autre pour le site FTP distant (à droi­
te , d o n c ). C e p e n d a n t, Ig lo o F T P
se m ontre sim ple : on sélectionne
dans un premier temps les fichiers à
télécharger (même s'ils résident dans
ap p o rte de n o m b re u x ato uts sou­
d ifféren ts réperto ires !), on cliq u e
e n su ite su r "d o w n lo a d " e t ... on
I g l o o F T P O. 3. 3
attend. L'absence de connexions mul­
tiples (par exemple, un thread et une
connexion par download ou série de
downloads) ne constitue donc pas for­
cément un défaut majeur ; il suffit de
So urce : http://www.littleigloo.org
l«»
Hort Typ. :
Trenston Type
Auto Ottocl _j |
Oeloutt Port
Auto Oetoel _i |
iïi
on porter
G?
Cw c i
|
Retet
|
Une interface agréable.
r é e lle ­
l'a d e p te des fic h ie rs de co n fig .
Toutefois, IglooFTP vise avant tout la
sim plicité et atteint idéalement cet
objectif. Précisons enfin que la pro­
chaine version devrait disposer du
Drag'n'drop, du support HTTP et d'un
cache, perm ettant de conserver en
m ém oire l'arborescence des réper­
toires visités.
Fred Pesch
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
vent absents : barre d'icônes, ligne
d'état, console FTP, invites locale et
distante, connexion rapide, liste des
téléchargem ents en cours, etc. Les
fich ie rs se vo ie n t m êm e a cco m p a­
gnés par une icône sym bolisant leur
k ilo o l J P
FTP
Local
Remote
Tools
Options
|/home/pesch
{>|Namô
t ,.
Û Desktop
C l Eterm-0.8.8
□ GNUstep
Q IglooFTP-0.3.3
C3 Mail
□ PRCS
C3 articles
C3 a?diome
□ bln
(23 book
P i doc^+-3.3.6
C 3 docs
CD emacs_modes
C3 friends
C3 grail-0.5
/]
Size Date
1024
1024
1024
1024
1024
1024
1024
1024
1024
1024
1024
2048
1024
1024
2048
01/07/99
01/22/99
12/11/98
01/22/99
12/31/98
12/29/98
01/08/99
12/14/98
12/21/98
01/07/99
01/22/99
01/06/99
11/17/98
09/08/98
01/22/99
&
A
'1
A
Size Date A
Name
t ..
1
□ DOCS
1
D R6.3
1
C2 R6.4
1
C3 X8F
1 -J □ XFree86
1 V C l afterstep
C 1 o bowman
C
C l contrib
1
□ eXode
1
C l enlightenment
1
C l fvwm
2
C l fvwm95
1
□ gimp
C
C l gnome
1 / □ gt*
9
1024
1024
1024
1024
1024
1024
1024
1024
1024
1024
1024
1024
1024
1024
1024
. ...
. J
21 folder(s), 1 file(s), 74795 byte(s) llsted.
• 4 ............................. . . ................. 25 folder(s), 17 file(s), 5584363 byte(s) liste*
jsize
/\ Pass :
C ? |/pub9/X11
{target ; 200 Type set to A.
UST
150 Opening ASCII mode data connection for/bln/ls.
226 Transfer complété.
1420 byte(s) received in 1.00 seconds (1.39Kbytes/sec).
NOOP
200 NOOP command successftil.
'4—
Connected to 11p.llp6.fr on port 21
|
'die 0 1 )
Window
Oct
Oct
Jun
Dec
Jan
Jan
Dec
Oct
Jan
May
Jan
Aug
Dec
Aug
Dec
^
En baisse
▼ Une seule connexion par client
une a u tre c o n ­
nexion. Les confi­
gurations très fines
m an q u en t à l'a p ­
▼ Configuration "propriétaire" et
limitée
★
pel, ce qui rebute­
ra éventuellem ent
★
Note
★ ★
P | IglooFTP - littleigloo
ÎOOtt
Optons
8SB8SS sa si S!
FTPHOït:
Igloo
£ > J/rooVRpAMl
M
/
îm.
fS»
V « l *vtt-«\! vçy* wfi.<#«*•>-
^/| User
[anonymoui
/| Pan
[Ancomtngrtnteigloo
s a . Oat*
Six. OMo
5
B
Tj
!
"•
LmPopUp- 0 3.5-1J368 rpm
linPopUp-0 9 5-1 trc rpm
LlnPopUp-0.9 5bin.tgr
LlnPopUp-0.3Ssrc.tgi
UnPopUplim
SUNSITEHOWTO.SU8MITDOC
W.ICOtn.2L-XMAS-1 006 rpm
W.lcom.2L-XMAS-1 srcrpm
Tj WflcomtZL-XMAS.bin tgx
/•! W*lcom*2l-XMAStftlgi
Wttcom.2L lim
î d*scripttonTXT
S
76387
66383
S59456
63375
887
1245
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21155
22568
12/08/38 12.25
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T50 Opening ASCII mode data connection tor /birvls
228 Tranitor complet*
1372 oy1e(i) received In 1.00 seconds (1,34KX>ytes/tec)
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Connected to tttt.igfoo on port 21
Un client qui ne laisse pas de glace.
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V.
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fonctionnelle
▲ Enfin un bon client FTP sous X-
lancer un nouveau
client pour ouvrir
I ! S. ! I
This i»; an ALPHA version • USE AT S'OÜR QWN RIS- Help
User: [anonymous
A
FTP HOSt : |ftp Iip6 fr
- F t p .lip o .il 1 i •»
En hausse
▲ Interface attrayante et
Chaque fichier est représenté par une icône.
J » —
avoir recours à un utilitaire spécifique
StoreDesk Gold
Pour profiter des possibilités du Wimp.
S
toreDesk Gold permet d'exploiter
une fo n ctio n in téressante du
Wimp, à savoir la sauvegarde
automatique de l'état dans lequel se
trouve le bureau, lorsque la variable
d'environnement SaveDesk$File dési­
gne un nom de fichier. Cette sauvegar­
de donne le moyen de retrouver les
paramètres du systèm e que l'on a
manipulés lors de l'extinction de la
machine. Le problème est que, habi­
tu e llem e n t, ce systèm e pro du it un
fichier restituant son environnem ent
avant arrêt. StoreDesk Gold procure la
capacité de faire le tri dans ce fichier et
de ne ré e m p lo y e r que les p arties
opportunes choisies par l'utilisateur.
Pratique
La sélection des éléments à restaurer se
fait par l'entremise d'une interface utili­
sateur simple et bien pensée. On peut
se limiter aux dossiers ouverts ou aller
jusqu'à retrouver les valeurs
des allocations de mémoire,
relancer les applications, les
booter, charger les modules,
etc. Les choix se partagent
en q u atre ru b riq u e s :
Pinboard, Filer, Memory et
O ther. Précisons toutefois
qu'en cas de dérapage, la
sauvegarde ne s'effectuera
pas, car le fichier est créé
pour profiter pleinem ent d'une des
fonctionnalités intégrées au W im p ...
mais qui s'en plaindra ? StoreDesk Gold
constitue un produit d'excellente quali­
té et, sur option, n'occupe pas de place
en mémoire. Ce logiciel est le fruit du
tra v a il de d e u x p e rso n n e s : Ab
Steeman, w w w .risc y site .demon.nl et
Rich ard C a ssid y , w w w .fw s e r v ic e s .
com /graphite/fun/. Cet outil gratuit
mérite largement sa place dans votre
dossier système.
David Feugey
S t o r e D e s k Go l d
1.50FE
Statut : freeware
En hausse
▲ Ajoute une fonctionnalité
essentielle au Wimp
▲ Applicatif bien fait
▲ Fonctionnalités
En baisse
▼ Les fenêtres s'ouvrent un peu
n'importe où
Note
uniquem ent à la sortie du
systè m e . Il d em e u re par
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Ensemble des fenêtres de l'application.
Virtual
Encore un utilitaire essentiel
pour les Archimedes !
ailleurs étonnant qu'il faille
limiteront à une TaskWindow, au Basic
ou à l'utilisation d'un compilateur C.
C'est dans ce dernier cas que Virtual
devient obligatoire, car un compilateur
d em an d e so u v e n t b e a u co u p de
m ém o ire, et la p lu p art des vieilles
m ach in es n 'a cce p te n t pas plus de
irtual est une a p p lic a tio n
ancienne, mal connue et pour­
tant indispensable pour les
4 Mo de mémoire. Ce logiciel s'avère
stable, mais dégrade le multitâche lors
d'un usage so u te n u . A in si, il vau t
possesseurs de machines d'ancienne
génération. Virtual ne fo n c tio n n e
qu'avec les versions de RiscOS infé­
rieures à la 3.5 et autorise l'utilisation
mieux ne pas trop jouer avec d'autres
applications lorsqu'on lance une tâche
conséquente à partir de Virtual, car
autrement, le système risque de deve­
de la mémoire virtuelle pour les tâches
lancées à partir de la ligne de comman­
de. De manière générale, Virtual n'aura
que peu d’usages ; les plus courants se
nir assez instable.
Du Cli !
L'usage de ce logiciel se révèle très
V
simple. Il suffit de lancer une comman­
de "Virtual basic -Ctrl -wimpslot 1M
discslot 24M -name "BASIC task" -display" pour démarrer le Basic avec 24
Mo de Ram disponibles, dont IM o de
mémoire physique. En ce qui concerne
la ligne de commande, un simple *Set
AliasîTaskW indow "Virtual % *0" per­
L'application Virtual.
met aux TaskWindows (un Shell dans
une fenêtre) de disposer de 24 Mo de
mémoire. A l'arrivée, il apparaît que
Virtual a une utilité ponctuelle sur les
Une TaskWindow gérée par Virtual.
anciennes machines. De plus, il est gra­
tuit même si l'auteur accepte volontiers
des dons...
David Feugey
Virtual
Statut : freeware
En hausse
A Plus de mémoire pour les
Archimedes
▲ Fonctionnement correct
En baisse
▼ Quelques bugs et
dysfonctionnements
Ne fonctionne pas sur les Risc PC
★
★
Note
★
Système
O p e n G L, un
s ta n d a rd a lt e r n a t if
Ce mois-ci, Dream vous propose de combler les lacunes
de vos OS en matière d'accélération 3D, grâce aux librairies
de Mesa 3D, une implémentation Free Software.
O
p en C L est l 'API (In te rfa c e de
Program m ation d 'A p p licatio n ) la
tout un éventail de fonctions, remarquables
par leur puissance et leur simplicité. Autre
plus répandue de l'industrie g ra­
particularité importante, l'exploitation de l'API
phique. Elle a été créée au début des années
90 par Silicon Graphics, afin de répondre aux
problèmes de compatibilité ascendante posés
ne recquiert aucune licence. L'utilisateur dési-
du matériel, tels que le jeu vidéo.
L'API proposant plus de fonctions que celui-ci
n'en supporte, les constructeurs de cartes
accélératrices pour micro-ordinateurs propo­
sent donc un O penCL m oins complet,
nommé MiniCL, mais mieux adapté à leurs
matériels, jusqu'à présent, aucune autre API
n'a su faire mieux, et il aura fallu à Microsoft
la version 6 de Direct3D pour égaler les per­
formances et surtout la beauté des jeux com­
patibles OpenCL.
Déjà étendu
OpenCL n'administrant pas les environne­
ments fenêtrés, SGI s'est empressé de sortir
des surcouches, qui s'insinuent entre OpenCL
et l'interface utilisateur. Les plus connues sont
Tk, Aux (vous pouvez d'ores et déjà oublier
celles-ci) et le fabuleux Glut, lequel corres-
par l'évolution des puces graphiques de leurs
stations de travail. De fait, OpenCL propose
d'émuler de manière logicielle les fonctions
non su p p o rtées par le H ard w are d'une
machine. Ainsi, OpenCL s'est développé en
dehors des limites des stations SGI, pour
gagner dans un premier temps le monde des
stations Unix, puis celui des micro-ordina­
teurs. Afin qu'OpenCL se trouve en mesure de
gérer les puces ou cartes graphiques d'un
j/
4 !1
j*
X
*
T
V
.
j
t
y
j:
Les miracles d'OpenCL.
Descent en version normale.
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
constructeur, celui-ci se doit d'acquérir une
licence (payante) auprès de SGI et de propo­
ser des pilotes compatibles, afin que l'utilisa­
teur puisse programmer sans se soucier des
différents types de matériels existants.
Une interface simple et complète
Voilà ce qui a fait son succès. C'est simple,
OpenCL contrôle tout ! Du simple traçage de
lignes aux effets les plus en vogue, tel les
NURBS, le program m eur se voit proposer
reux de rendre son application compatible
avec l'accélération matérielle, mais aussi le
programmeur voulant mieux tirer profit de
l'accélération hardware ou optimiser la partie
logicielle, peuvent le faire sans contraintes.
C'est ce que fit la société 3Dfx, qui a créé les
superbes puces Voodoo, avec Glide et Brian
Paul, en élaborant Mesa 3D.
Et les jeux ?
OpenCL a ainsi acquis une excellente répu­
tation dans des domaines jusqu'ici dépendant
pond à l'abréviation de OpenCL Utility Toolkit
et co nstitue une API com plém entaire à
OpenCL. Elle permet aux programmes com­
patibles OpenCL (donc affranchis d'une ges­
tion de tous les matériels existants) de deve­
nir indépendants de l'environnement gra­
phique dans lequel ils se trouvent exécutés !
Clut présente l'extrême avantage de rendre la
programmation OpenCL, déjà fort simple,
encore plus aisée à apprendre et donc à maî­
triser. Seul point noir au tableau, d u t n'auto­
rise pas la construction de gros projets de
type industriel, qui nécessitent une gestion
plus poussée de la GUI ; toutefois, il répond
amplement aux besoins du programmeur
peu désireux de se compliquer la vie, afin
d'effectuer quelque chose de spécifique à
X 1 1 ou Intuition, par exemple. Clut se révèle
donc sim ple, co m p act et ra p id e ... Que
demande le peuple ? Avec Clut, on aura ainsi
loisir d'obtenir du multi-fenêtrage avec les
Fastes et rixes.
gestions de processus minutés (créant aussi
bien des solides que des polygones en fil de
fer), de Bitmaps (tous les types), de polices et
defonctions GUI. Bref, hormis le thé, Clut fait
pratiquement tout ! Par ailleurs, il ne dépend
en aucune manière d'OpenCL et peut tout
aussi bien être utilisé avec des implémenta­
tions du domaine public, comme Mesa.
Mesa ?
Mesa désigne, comme le précise son auteur
Brian Paul, une bonne im p lém entatio n
d'OpenCL, mais pas compatible à 100 % .
Que l'on se rassure, il est en réalité très rare
(mais alors vraiment très rare) de voir un pro­
gramme écrit pour OpenCL qui ne se recom­
pile pas avec les librairies de Mesa. Cet outil
présente en fait l'extrême avantage d'offrir la
puissance d'OpenCL à nos simples micro-
ordinateurs, sans
fioritures. Distribué
sous licence GPL,
Mesa combine gra­
tuité et compatibi­
lité avec les u tili­
ta ire s G N U , tels
G cc et Eg cs. En ­
tendez par là qu'il
s'avère donc exploi­
table sur toutes les
plates-formes dis­
posant de ces ou­
tils. Précisons enfin
que les lib ra irie s
existent aussi pour
d ’autres langages,
tels le Fortran ou
l'Ada.
Comment ça marche ?
Témoin à décharges.
Cela dit, c'est grâce à Mesa et G/ut que John
En théorie, il suffit de recompiler un logiciel
pour que celui-ci fonctionne sur un autre sys­
tème que celui pour lequel il a été originale­
ment créé. Dans la pratique, cela ne fonc­
tionnera bien évidemment que sur les sys­
tèmes ouverts à l'accélération 3D par le hard­
ware. Néanmoins, Mesa ne se montre pas
forcém ent com patible avec les pilotes de
Descent en OpenCL sur Amiga.
toutes les cartes accélératrices/graphiques.
C arm ack a pu po rter Quake sous Linux.
Quake2 symbolise un cas plus délicat, car il
utilise à la fois le " Windows Only" DirectX
(pour la gestion des écrans et du son) et
Mesa, pour la gestion de la 3D temps réel.
Et même sur Amiga !
Oui, Windows ne représente pas le seul systè­
me au monde et Linux ne constitue pas sa
seule alternative. L'AmigaOS, lui aussi, dispose
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Système
d 'O penCL et de M e sa ... depuis un petit
Il en résulta la naissance
moment, d'ailleurs ! L'une des implémenta­
tions les plus connues est ce rtain em e n t
CyberCL. Créée par les auteurs des pilotes
de Storm Mesa, clé de
voûte d'une toute nou­
velle couche graphique :
graphiques CyberCraphX, CyberCL corres­
pond à une implémentation d'OpenCL parue
Warp3D. Signalons au
passage que W arp3D
est également dévelop­
lors de la sortie de la CyberVision 64/3D de
Phase 5, carte équipée d'un processeur Virge
de chez S3. Au début, CyberCL permettait
par exemple d'effectuer du rendu temps réel
d'objets Lightwave, en tirant parti des capaci­
tés du Virge (lesquelles n'ont même pas spé­
cialement bénéficié d'une exploitation sous
Windows), mais de manière beaucoup trop
lente. Ensuite, des implémentations directes
de Mesa ont fait leur apparition. Les plus
importantes sont AMesaRTL et AmigaMesa de
pée par les frè res
Fried en (T h o m a s et
H a n s-J5 rg ), cé lè b re s
pour leurs adaptations
de Descent sur Amiga.
Dans la pratique...
Dans les faits, Warp3D
apparaît comme un sys­
tème à base de pilotes,
qui permet au program­
meur d'accéder à n'im­
Sam Jordan. Le seul problème vient d'un affi­
chage géré dans son entier de façon logiciel­
le, sans même qu'il se serve des fonctions 3D
du Permedia 2, présentes sur les dernières
cartes graphiques de l'Amiga. Dernièrement,
Sam Jordan (développeur de l'assembleur
pendant, non seulement du système RTC
déjà en place ( Picasso96, CyberC raphX,
RTC M aster), mais aussi du type de puce
PPC StormPowerAsm et de la couche multi­
processeur WarpOS) a amélioré AmigaMesa.
employé dans la conception de la carte accé­
lératrice 3D. Warp3D est un système très
porte quel matériel 3D de manière transpa­
rente et abstraite. Cet accès demeure indé­
Pierres et maligne furie.
flexible, puisqu'il suffit de disposer du pilote
de la puce 3D adéquat et de le placer dans le
bon répertoire. Evidemment, il y a quelques
contraintes. Tout d'abord, l'utilisateur doit
disposer d'au minimum un 68040 et un FPU,
le mieux étant un PowerPC. Ensuite, il faut
disposer d'une carte graphique avec puce
3D, telles la Cybervision 64/3D, la BVisionPPC,
la Cybervision PPC ou encore la Picasso IV et
son module 3Dfx. A l'avenir, cela deviendra
facultatif, car Warp3D se verra également
accompagné d'une émulation logicielle des
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
fonctions 3D, qui saura se contenter du chip­
set Aga. Enfin, il convient impérativement
d'avoir installé la couche multiprocesseurs
WarpOS.
Recompilez en OpenCL !
R ésum o n s. A in si, po ur d é ve lo p p e r ou
reco m piler une app lication OpenCL sur
Amiga, il faut disposer en premier lieu d'un
compilateur C compatible PowerPC. Egcs
(G c c , en fa it), Vbcc ou encore StormC
feront très bien l'affaire. Ensuite, vous devez
installer les pilotes Warp3D coïncidant avec
votre configuration (Aga, Virge, Permedia2,
Voodoo 1), avant de mettre en place, ce
qui constitue l'étape la plus importante, les
librairies StormMesa et d u t correspondant
à votre processeur (6 8 0 x0 ou PowerPC).
Bon courage !
Une rubrique dédiée le mois
prochain...
Profitant de la nouvelle formule de Dream,
nous vous proposerons dès le prochain
numéro une rubrique consacrée à la pro­
grammation de Mesa et de d u t. Que les
utilisateurs de Linux et autres BeOS ne s'in­
quiètent pas : ils pourront parfaitement
exploiter cette série d'articles, même s'il
sera fait à plusieurs reprises référence à
l'Amiga. N'hésitez pas à nous faire part de
tous vos commentaires ou remarques : ils
sont les bienvenus.
A gauche , sans OpenCL. A droite, avec...
Malek Bengougam
im portante), l'information et les balises se
A p p ro ch e
de la s tru c tu re
d'un d o c u m e n t X m l
voient hiérarchisées. En fait, les tags Xml per­
mettent d'identifier l'information au même
titre qu'une base de données. L'élém ent
"fiche" est comparable à un enregistrement
contenant les champs "identité", "tel", "fax"
et "email" ; l'élément identité renferme luimême les champs "nom", "prénom" et "pro­
fession", etc. Ainsi, le hasard n'a pas présidé
à l'ordre d'apparition des balises ; en outre,
l'élément "email" n'a pas la même significa­
tion selon qu'il apparaît à l'intérieur de l'élé­
ment "profession" ou "fiche" Précisons sur­
Loin des considérations généralistes et philosophiques
sur le devenir du Web et de ses normes, nous vous proposons
ce mois-ci un petit tour dans les bases d'Xml.
L
une stru ctu re co rre c te . N otre e xe m p le
consiste en une page Xm l, qui affiche un
carnet d'adresse contenant les renseigne­
ments suivants : nom et prénom de la per­
Html en matière de traitement de l'informa­
tion résultent en effet d'un mélange mal­
h eu reu x de balises s tru c tu ra le s te lle s
sonne, indications professionnelles (société,
m a g a z in e ), té lé p h o n e , fa x et E-m ail.
Commençons fort logiquement par décrire
le fichier "contact.Xml"
'apport fondamental et définitif d'Xml
(eXtended Markup Langage) par rap­
port au Html réside dans la différencia­
tion totale effectuée entre la structure et le
formatage d'un document. Les limites du
<HEAD>, <TITLE> ou <BODY>, avec les
balises de formatage (<B>, <H1>, ...) . En
conséquence, plus rien dans le document
tout qu'on ne trouve dans ce docum ent
aucune directive de form atage de texte :
Xml gérant les espaces comme Html, la réali­
sation du fichier "contact.Xm l" entraînera
l'affichage linéaire de toutes les informations
qui y séjournent. Pour donner un aspect plus
digeste aux fichiers Xm l, le W 3C travaille
actuellement à la finalisation du langage Xls,
lequel permet d'y associer des feuilles de
styles. La description de celles-ci nécessiterait
d'y consacrer un dossier entier ; c'est pour­
quoi, nous ne les abordons pas ici.
V alide et conform e, bis rep etita !
Puisque les données se trouvent hiérarchi­
Xm l et Html
Laissons pour l'instant l'en-tête du document
de côté, et rendons-nous directem ent en
ligne 11. L'ossature du code qu'elle accueille
ressem ble à s'y m éprendre à celle d'un
fichier Html : un simple texte ASCII entouré
par des balises <XXX> et </XXX>. Plusieurs
d iffé re n ce s n o tables e xiste n t p o u rtan t.
Premièrement, les balises ne rappellent rien
de connu : leur nom semble choisi arbitraire­
ment et peut même comporter des accents.
Deuxièmement, on devine aisément qu'elles
ont pour fonction d'identifier la nature de
l'inform ation qu'elles entourent. Enfin (là
réside sans doute la particularité la plus
sées et que leu r c o n te x te d 'a p p a ritio n
conditionne leur signification, il en résulte
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
ne donne d'information sur son contenu,
hormis bien entendu les valeurs des tags
<META>. Celles-ci, pas toujours ou mal
exploitées, ne suffisent pas par exemple à
fournir une inform ation pertinente aux
moteurs de recherches, nuisant ainsi à la
collecte de l'information. Cependant, la mis­
sion de Xml, même s'il permet de pallier ces
limites, ne s'arrête pas là ; vouloir en faire le
tour en seulement trois pages constitue une
gageure. C'est pourquoi nous avons préféré,
à travers un exemple concret (mais forcé­
ment incomplet), donner un aperçu, autant
que faire se peut, des formidables capacités
offertes par ce nouveau langage, plutôt que
de prétendre à l'exhaustivité.
Assez parlé !
Un document Xml est dit soit "conforme"
(ou "bien formé"), soit "valide". Dans le pre­
mier cas, cela signifie tout simplement qu'il
obéit aux règles syntaxiques du langage
Xml, et qu'en conséquence son interpréta­
tion par un logiciel ne se traduit par aucun
message d'erreur. Un document valide est
lui-même conforme, mais se doit en plus
d'obéir à une structure explicitement définie
dans une DTD (Document Type Définition).
Les documents uniquement conformes ne
font quant à eux référence à aucune DTD.
Concrètem ent, un docum ent bien formé
sera au minimum syntaxiquement correct (il
y a moyen de le valider), tandis qu'un docu­
ment valide devra impérativement posséder
W5C
qu'il n'est pas possible, ou du moins pas
souhaitable, de placer une balise n'impor­
te o ù . E x p lic a tio n : les é lé m e n ts (ou
balises) se trouvent toutes définies dans la
DTD "contact.dtd" L’élément "identité" se
v o it ainsi co n çu po ur a cce p te r les élém ents-fils "n o m ", "p réno m " et "p ro fes­
sion". L'insertion d'une balise <nom> en
dehors d'une balise <identité> engendrera
d o n c un m e ssa g e d 'e rre u r. A tte n tio n
c e p e n d a n t, to u t ne d e m e u re pas si
simple ! Si notre docum ent n'avait pas été
WORLD WlDE WEB
User Interface
c o n s o r t i u m
HTM L
Leading th e Web to ifs F u ll Potential...
Style S h eets
pp-çmgnt.Q.^jg.çl
M odel
New CSS1 Test Suite to B oost Style Slieet Support
M ath
The C SS1 T est Suite is n ow available, read y to help implementors im prove C SS1 support
m their p roducts and enable W eb page designers to venfy the quality o f C S S 1 support in
their brow sers. " B e c a u s e o f s i g n i f i c a n t v e n d o r i n p u t , w e a r e e x p e c t m g t o s e e t h e
e f f e c t s o f t h e t e s t s u i t e i n t h e u p c o m i n g g é n é r a t i o n o f b r o w s e r s , " said H & kon L ie ,
W 3 C Style Sheets Activity L ead. [P ress R eleasel
WebCGM Profile Becomes a W3C Recom m endation
Graphics
Intem ationalization
M obile A cce ss
A m aya
Technology
and Society
pigtal Sigrate.
D eveloped in close collaboration b etw een W 3 C and the C G M Q p en Consortium , the
W e b C G M profile reflects cross-industry agreem ent on an interoperable w ay to exchange
dynamic, hyperlinked C om puter Graphics Metafile (C G M ) files over the W eb. " C G M i s
w id e ly u s e d
o n
c o m m u n itie s ,"
r e lia b le
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in te r a c tiv e
in tr a n e ts , p a r tic u la r ly
b y
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says C h ris L illey , Graphics Activity lead.
in te r o p e r a b le
e le c tr o n ic
h y p e r lin k in g
m a n u a ls ."
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g r a p h ic s -r ic h
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P ohcy
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DTD Schéma XML Document Soui ce Help Options
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C5 empty__
© C3 Notation (s)
Q vrml
© C3 Entity(ies)
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Element(s)
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o [ 3 email
O [ 3 contact
o C3 intro
O f~3 fiche
O [3 ident
o [ 3 profession
o 3 magazine
o C3 tel
o C3fax
Notez que le fait de mixer données et élé­
•
_________ ___ ..
_..................
..............
Notation
Naine vrml
System ident. /usr/local/bin/cosmo
ments à l'intérieur de la même balise repré­
sente une pratique courante, mais pas sys­
tém atique, ce qui permet d'expliquer la
présence du signe "*" en fin de ligne. Celuici, lorsqu'il se voit employé de la même
manière que les signes "+" et "?", autorise
l'apparition optionnelle et répétée d'une
balise au sein de son père. Absolument
Public Ident.
Code
toutes les balises exploitées dans un docu­
ment Xml valide doivent être définies (en
interne ou dans une D TD ). Les attributs
<!NOTATION vrml SYSTEM "/usr/local/bin/cosmo"»
correspondent à des valeurs manipulées
O TD Skhum a « L Do c m w h *
*’
Create
Modify
O C 3 CoMortt Mode!
O £3pfûf*om
O C3 emai
S «*ce
**>
O ptent
liront
o CÜcomatt
O O lrrtro
O C3«cbe
•
• £ 3 Conter* «éoaoi
O OroupSUrt
Q # P C O a ta
O nom
O prénom
Visual Xml, un éditeur Xml disponible sur http://www.pierlou.com/visXml
valide, c'est-à-dire qu'il ne faisait référence
à au cu n e D TD (en p o rta n t la m entio n
standalone= 'yes' ligne 1), il y au rait eu
moyen d'insérer cette m êm e balise, tant
que le program m eur produirait un code
syntaxiquem ent correct ! C'est également
la raison pour laquelle l'écriture de code
Xm l e xig e une rig u e u r qui n'a rien de
éléments (< !ELEM EN T...> ) et les attributs
(<!ATTLIST ...> ). Les premières peuvent être
définies comme des références à tout format
de données. Par exemple, la ligne 4 associe
la chaîne "en_tête" au fichier "tete.Xml". Cela
signifie que lors de toute instance de cette
c h a în e de c a ra c tè re s dans le code
("&en_tête;"), le processeur procédera à son
remplacement par ledit fichier. Attention, le
Q profession
O Oroupêrid
O £ 3 profession
O ( 3 mSfftttfM
o c3 um
o |3 f®
Notre DTD éditée dans Visual Xml.
pour décrire certaines propriétés de l'élé­
ment. La syntaxe d'utilisation est la suivante :
<elem nom _att="valeur">...</elem >. Un
exemple de déclaration se situe à la ligne 12
("contact.dtd"). La déclaration doit compor­
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
com parable à celle requise pour le Html.
Utiliser une DTD, ou au contraire s'abste­
nir de l'exploiter, dépend du type d'appli­
cation souhaité, mais il reste préférable de
s'y référer dans le cadre de la création de
documents com plexes. D'autre part, il est
envisageable de déclarer to u t ou partie
d 'u n e D TD dans le fic h ie r X m l m êm e,
com m e dans notre exem p le. La ligne 2
établit la référence au fichier "contact.dtd",
dans lequel le contenu des lignes 4 à 7
aurait très bien pu prendre place. A pré­
sent, voyons plus en détails à quoi ressem­
blent ces mystérieux fichiers.
Les DTDs
Elles se com posent de plusieurs types de
données : les entités (< !E N T IT Y ...> ), les
P o u r en s a v o i r p l u s
Deux adresses sont indispensables, à
partir desquelles il est possible de trouver
tout type de ressource sur Xml :
www.w3c.org
www.Xml.com
Signalons également l'excellent livre des
éditions Eyrolles (en français donc), Xml Langage Et Applications, d'Alain Michard.
Bougie sur le gâteau, l'éditeur propose un
suivi actif de l'évolution du langage sur
son site, www.eyrolles.com/Xml, com ­
plément parfait à l'édition papier.
document Xml référencé se doit d'être bien
formé ! Les lignes suivantes (5 à 7) définis­
sent des références à des chaînes de carac­
tères de taille restreinte. Signalons qu'il est
envisageable d'utiliser une entité à l'intérieur
d'une autre (avec l'interdiction toutefois de
faire des références récursives ou circulaires),
sans se soucier de l'ordre des déclarations. En
effet, le remplacement de l'entité ne devient
effectif que lors de son instance dans le
code. Rem arquez égalem ent que les ins­
tances des références aux entités définies
lig n e s 5 à 7 se situ e n t d ans le fic h ie r
tete.Xml. Il existe d'autre types d'entités que
nous nous contenterons de citer, et notam­
ment les entités publiques, ou "notations",
qui permettent de faire référence à un fichier
non-Xml (vrml dans notre exemple).
Les élém ents et les attrib u ts
Les éléments servent à définir le nom et les
propriétés des balises auxquelles on aura
recours lors de la conception d'un docu­
ment Xml. C'est dans la déclaration des élé­
ments que se créent notamment les hiérar­
chies : à titre d'exemple, prenons la ligne 8,
qui déclare l'élément "fiche". Celui-ci accep­
tera des données textuelles (valeur "#PCDAT A "), m ais possède é g ale m e n t des éléments-fils, à savoir "identité", "tel", "fax",
"email". Le "+" signifie que "tel" peut appa­
raître plusieurs fois au sein de l'élém ent
père, et le "?", que "fax" est o p tio nnel.
ter le nom de l'élément auquel l'attribut se
rapp o rte, un id en tificate u r, ainsi qu'un
type de données, il peut s'agir de texte,
d 'u n e liste de c h o ix (v o ir e x e m p le )...
Imaginons que le carnet d'adresse contien­
ne, non pas deux, mais deux cents per­
sonnes réparties entre les deux sociétés.
L'intérêt des attributs se montre alors évi­
dent : plutôt que de saisir l'adresse de la
société pour chaque nouvelle personne, il
s'avère beaucoup plus simple d’indiquer
uniquem ent le nom, l'adresse étant réfé­
rencée ailleurs ! De même, un changement
d'adresse s'effectue alors infinim ent plus
rapidement.
Conclusion
On l'aura compris, Xml risque de boule­
v e rs e r le m o n d e de la re c h e rc h e sur
Internet ; grâce à lui, la gestion de bases
de d o n n é e s co m p le xe s va sans doute
d eve n ir relativem en t sim ple et surtout
universelle ...
Et ce n'est pas fini ! Notre exem ple ne
re flè te q u 'u n e fa c e tte des p o ssibilités
d 'X m l, car des "dérivés" du langage se
trouvent également en chantier ! En vrac :
M athM L perm ettra le form atage de for­
mules mathématiques complexes, SMILE,
(utilisé par Real A ud io), la présentation
d'élém ents m ultim édias, et RDF, la ges­
tion efficace des liens entre docum ents...
Christophe Noël
S o u r c e e t r é s u l t a t des d o c u m e n t s é t u d i é s
Contenu du fichier "contact.Xml"
15 <!ELEMENT fax (SPCDATA) >
1
<?Xml versions’1.0* encoding='ISO-8859-1' standalone=’n o 1 ?>
16 <!ELEMENT email (fPCDATA) >
2
< iDOCTYPE contact SYSTEM
17 <!ELEMENT intro (SPCDATA) >
/contact.dtd'
[
3
4
<!ENTITY en_tête SYSTEM
5
<!ENTITY titulaire 'Monsieur &nom_titulaire; (e-mail :
./tete.Xml' >
Contenu du fichier "tete.Xml"
1
<?Xml version=*1.0’ encodings1ISO-8859-1'?>
&mail_titulaire;)'>
2
6
<!ENTITY nom_titulaire 'Christophe Noèl'>
3
<intro>
7
<!ENTITY mail_titulaire '[email protected]' >
4
Voici le carnet d'adresse de ^titulaire;.
5
Toutes les informations contenues dans ce document appartiennent à
6
son propriétaire. Vous ne pouvez en aucun cas en faire un usage
8
9
]>
personnel,
10
11 <contact>
7
12
rédaction.
13 &en_tête;
8
14
souhaite une agréable lecture.
9
15
<fiche>
16
<identité>
et surtout pas dans le but envoyer des insultes aux membres de la
&nom_titulaire vous remercie de votre compréhension et vous
</intro>
17
<nom>Daytona</nom>
Voici le résultat de l'ouverture du fichier "contact.Xm l" dans un
18
<prenom>j eperds tou11etempsa</prenom>
19
<profession sociétés•Posse_Press,>
browser dédié (sous réserve de la présence du form atage adé­
quat dans une feuille de style, pour ce qui concerne les retours-
20
Travaille pour la publication :
<magazine>Dream</magazine>
21
(E-mail : <email>[email protected]</email>)
22
</profession>
chariot).
Voici le carnet d'adresse de Monsieur Christophe Noël (e-mail :
cnoë[email protected]). Toutes les informations contenues dans ce
document appartiennent à son propriétaire. Vous ne pouvez en aucun cas
23
</identité>
les utiliser pour un usage personnel et surtout pas dans le but
24
Tel : <tel>01.02.03.04.05</tel>
d'envoyer des insultes aux membres de la rédaction.
25
Fax : <fax>05.04.03.02.01</fax>
Christophe Noël vous remercie de votre compréhension et vous souhaite
26
E-mail : <email>[email protected]</email>
une agréable lecture.
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27
</fiche>
Daytona
28
29
30
jeperdstoutletempsa
<fiche>
<identité>
36
Travaille pour la publication : Dream (E-mail : [email protected])
</profession>
.
37
</identité>
Tel : 01.02.03.04.05
38
Tel : <tel>01.07.08.09.10</tel>
Fax : 05.04.03.02.01
39
Portable : <tel>06.32.25.41.52</tel>
E-mail : [email protected]
40
E-mail : <email>[email protected]</email>
41
42
</fiche>
&bas;
Quake
Loser
43 </contact>
Travaille pour la publication : PC Freak (E-mail : [email protected])
Contenu du fichier "contact.dtd"
Tel : 06.07.08.09.10
1
<?Xml versions'1.0' encodings'ISO-8859-1'?>
Portable : 06.32.25.41.52
E-mail : [email protected]
2
3
< INOTATION vrml SYSTEM "/usr/local/bin/cosmo">
4
<!ENTITY contacts3d SYSTEM *./3d/contacts.vrml* NDATA vrml >
c
J
6
< !ELEMENT contact (#PCDATA 1 intro 1 fiche) *>
7
<!ELEMENT fiche (#PCDATA 1 identité 1 tel+ 1 fax? 1 email)*>
8
dELEMENT identité (#PCDATA 1 nom 1 prénom 1 profession) *>
9
<! ELEMENT nom (rfPCDATA) >
10 <!ELEMENT prénom (#PCDATA) >
11 <!ELEMENT profession (ftPCDATA l magazine 1 email)*>
12 <!ATTLIST profession société (Posse_Press 1 frag) «REQUIRED >
13 <!ELEMENT magazine (#PCDATA) >
14 <!ELEMENT tel (SPCDATA) >
Réseaux
Mettre l'Amiga
dans un réseau
Ethernet
Que ce soit pour l'échange de fichiers, pour
faire partie d'un Intranet ou pour bénéficier
d'une connexion Internet commune, il
peut s'avérer utile de connecter son
Amiga à un réseau hétérogène.
l existe plusieurs méthodes pour relier des
machines entre elles, afin de former un
I
tous les paquets qui passent sur le réseau,
pour savoir ceux qui leur sont destinés. En
général, la carte réseau gère cela directe­
ment en hardware. Chaque carte Ethernet
d ans le m o n d e po ssède une adresse
Ethernet différente, codée sur 48-bits.
Câblage : BNC ou RJ45 ?
Le BN C rep résen te le type de câblage
(appelé aussi "thin Ethernet" ou 10Base2) le
plus économique. Les machines se voient
reliées en boucle, un T est placé sur chaque
carte réseau et il faut un terminateur aux
deux extrémités du câble (même si vous ne
disposez que de deux machines). Dès que
le m oindre problèm e survient dans une
partie du câble, tout le réseau cesse de
fonctionner. Un peu plus oné­
reux, le R/45 demande de
savoir à l’avance le
n o m b re de
machines
que l'on veut
posséder dans
r
le réseau. Si vous
ne d é te n e z que
deux ordinateurs, ii
faudra se procurer un
réseau. D'ailleurs, Internet n'est qu'un
(très) gros ensemble de machines qui utili­
sent des technologies diverses, mais un pro­
tocole unique pour com m uniquer. Nous
allons parler de l'Ethernet, le standard le plus
câble RJ45 croisé. S'il y
en a plus, vous devrez
investir dans un HUB ; il
s'agit d'un petit boîtier des­
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u tilisé p o u r les ré se a u x lo c a u x (L A N ).
Ensuite, nous passerons à la pratique en
donnant un exem ple concret d'un Amiga
dans un réseau Unix (Linux et BSD).
H istorique
Inventé en 1970 au centre de recherches
de Xerox (Palo Alto), l'Ethernet a été stan­
dardisé par l'IEEE (Institute of Electrical and
Electronics Engineers), afin de définir une
Carte mère de HUB.
leur vitesse :
IEEE 802.3 : 10 mbit/s
IEEE 8 0 2 .3u ou Fast Ethernet : lOOmbit/s
L'Ethernet est un protocole fonctionnant
sur le principe suivant : pour l'émission, une
norme commune plus connue sous le nom
de norme IEEE 802.3 (qui est partiellement
compatible avec la norme Ethernet II pré­
cé d e n te ). C e p e n d an t, ne nous affolons
station regarde si quelqu'un se trouve en
train d'émettre. S'il en va ainsi, elle attend ;
dans le cas co ntraire, elle ém et tout de
pas, cela fait bien longtemps que l'on n'uti­
lise plus celle-ci. Voici les normes princi­
pales actuelles les plus répandues, ainsi que
suite. Lorsque les deux stations émettent en
même temps, il y a collision et retransmis­
sion différée. Les stations doivent alors lire
GEN E Si S <$> 1997-99 hy Michauel Neuweiler
tiné à connecter les machines
entre elles. L'avantage de ce
type de réseau vient de ce qu'il
est centralisé sur le HUB. De fait, si
un des liens se trouve coupé, le
reste du réseau continue à fonction­
ner. Evitez à tout prix les câbles bon mar­
ché de provenance douteuse (surtout pour
du BN C). En effet, rien ne se révèle plus
funeste qu'un mauvais câble dans une par­
tie du réseau : des résultats imprévus ris­
quent en effet de se produire.
Vitesse : 10 m bit/s ou 100 m bit/s ?
Il e xiste de plus en plus de cartes 100
Mega-bits/seconde sur le marché. Si vous
prévoyez d'en utiliser une, sachez qu'il n'y
en a aucune pour Amiga (snif) et que pour
mélanger du 10 mbit/s avec du 100 mbit/s,
il faut disposer d'un HUB qui gère les deux
vitesses. Ils sont un petit peu plus onéreux.
A réserver pour les amateurs de très gros
ethO Î5 now online
transferts !
La partie protocole
A présent, les parties physiques sont prêtes,
les m achines correctem ent reliées et les
cartes réseau insérées dans leurs slots res­
pectifs ; nous pouvons donc passer à la
configuration des machines. Sur Amiga, la
Le retour d'un groupe mythique.
tâche se révèle très simple, grâce au mer­
veilleux AutoConfig (tm ). Les cartes réseau
se voient automatiquement reconnues et il
*
Voilà, la manœuvre
s'achève. Il suffit à
1P l u m i n e u s e s
Classe
A
B
C
Masque (Netmask)
255.0.0.0
Adresses (IP)
10.0.0.0 à 10.255.255.255
255.255.0.0
255.255.255.0
172.16.0.0 à 172.31.255.255
192.168.0.0 à 192.168.255.255
ces m achines sur le réseau. Il fa u t tout
d'abord vérifier que la machine Unix recon­
présent de relancer
naisse correctem ent la carte réseau. Cela
A m iT C P / G e n e s is
po ur que l'A m ig a
ait son IP. N'oubliez
s'avère plus facile à dire qu'à faire, surtout
sur un PC, où les cartes sont parfois diffi­
ciles à identifier (ou pire : plug & pray).
suffit de copier le device de votre carte (par
pas de placer l'inter­
face online dans AmiTCP (ethO ou le nom
A ssurez-vous que le kernel su pp o rte la
carte réseau, avant de l'acheter. Il se révéle­
exemple a2065.device) dans DEVS:Networks.
Ensuite, si vous possédez C enesis, rendez-
que vous lui avez donné). Pour vérifier si la
carte fonctionne, tapez :
ra parfois nécessaire de recompiler celui-ci,
pour qu'il prenne en compte la carte. Une
vous dans le panel "Interfaces", puis "New".
D o n n e z un nom à l'in t e r fa c e (p a r
exemple: ethO) et attribuez-lui une adres­
se IP, qui donne une identité à la m achi­
ne. Pour un réseau local, il ne faut pas
ifconfig <nom_de_l'interface>
fo is c e tte é ta p e a c c o m p lie , b o o te z la
machine et tapez :
Voici un exem ple de ce que cela devrait
donner :
dmesg I more
Ram Disk:> ifconfig ethO
Vérifiez que le pilote de la carte réseau
n'indique aucune erreur. A présent, pour
choisir n'im porte quoi. En effet, si vous
d é c id ie z un jo u r de r e lie r une des
machines à Internet (même de façon non
permanente), vous risqueriez d'avoir une
IP déjà existante. Les adresses légales pour
les réseaux locaux sont énumérées dans le
tableau 1. Nous allons choisir une classe C
pour un m axim um de d eux cents c in ­
quante tro is m a ch in e s, ce qui d e v ra it
s'avérer suffisant.
Donnons donc une IP de 192.168.1 1 à
l'Amiga et un Netmask de 2 5 5 .2 5 5 .2 5 5 .0
ethO:
flag s=4 863<UP,BROADCAST,NOTRAILERS,RUNNING,SI
MPLEX,SANA> MTU=1500
inet 192.168.1.1 netmask FFFFFFOO broadcast
192.168.1.255
Hardware type: Ethernet, address:
0:80:10:0:80:48
Et de l'autre côté du réseau ?
Imaginons que l'Amiga doive être relié à
un réseau de machines Unix, tels des PC
sous Linux, par exemple. Supposons égale­
ment que vous n'ayez pas encore installé
c o n fig u re r la c a rte , les d ire c tiv e s sont
sim ilaires à celles d'AmiTCP. Nous allons
donner l'adresse 1 92.1 6 8 .1 .2 à la carte du
premier PC. Le plus simple consiste à l'ins­
crire de façon perm anente dans le script
de dém arrage. Sous Linux (Slackw are ou
R e d H a t), ta p e z " n e tc o n fig " M is s io n
a c c o m p lie . V o u s p o u v e z m a in te n a n t
c o n s ta te r que to u t se p asse b ie n , en
tapant :
ifconfig (sous linux) ou ifconfig -a (sous BSD)
(laissez le reste vide). Dans le panel SanaII, c h o isisse z "s p e c ify sa n a -ll d e v ice "
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s ffîm c N
D E V S :N e tw o rks/n o m _d u _d e v ice . device
Unit: 0. Dans le panel "Resolv", allez vite
baptiser votre machine dans "Hostname",
en lui donnant un nom quelconque, sans
points, ni espaces (le 4000 de votre servi­
teur s'appelle "latis"). Si vous disposez d'un
JH fT F fF A C E
AmiTCP 4.0-4.3, rajoutez une ligne de ce
style dans AmiTCP:db/interfaces :
ethO DEV=DEVS:Networks/nom_du_device.device
UNIT=Q
Et dans votre A m iTC P:bin/startnet, juste
après ifconfig >NIL: loO localhost :
TA Ç - Ê T H E R $
ifconfig >NIL: ethO 192.168.1.1 broadcast
192.168.1.255 netmask 255.255.255.0 mtu 1500
Le tournage du film.
Les d i f f é r e n t e s c a r t e s E t h e r n e t d i s p o n i b l e s p o u r A m i g a
Voici les différentes cartes Ethernet qu'il est actuellement possible d'acquérir pour Amiga. Il en existe d'autres, qui ne sont plus fabriquées,
mais que Ton peut encore trouver d'occasion. Il en va ainsi de TAEMSOO et de la QuickNet pour A500, ainsi que de I A2065, TA4066 et
TAriadne 1 pour A2000, A3000 et A4000. Signalons que la Connexion dispose d'un mode "émulation" de TA2065 et que certaines cartes
Ariadnell refusent de fonctionner directement sur certaines configurations (il faut auparavant appliquer un patch). Enfin, précisons qu'il y
a également moyen d ’utiliser une carte au format ISA (pour PC), via les connecteurs du même nom (en option sur 1200) et une carte
ColdenCate II (voir http://www.infmet.com/~erd/CG2/).
Carte
AmigaNet
Machine
A500
l-Card
APNet
Connexion
Hydra
Ariadnell
A600/A1200
A600/A1200
A2000/A3000/A4000
Oui
Oui
Oui
Oui
Non
A2000/A3000/A4000
A2000/A3000/A4000
Oui
Oui
Non
Oui
1OBase-2
Oui
Oui
lOBase-T
Non
Sana2
AU1
Sur le Net
Non
Oui
Non
Non
Oui
h ttp://www. iworks. com/
h ttp://www. iworks. com/
Non
Non
Oui
Oui
Oui
Oui
Non
http://www. nationalamiga. com/
http://www.ab- union.de/
http://www. iworks.com/
http://www. villagetronic.com/
Réseaux
In t e r n e t à l'a id e
d 'u n e
se u le
c o n n e x io n PPP ? T o u t d 'a b o rd ,
votre m achine Unix doit se montrer
capable d'effectuer une connexion
par m odem ch ez votre pro vid er.
D an s un d e u x iè m e te m p s , une
recompilation du kernel se révélera
n écessaire. Voici les options pour
un kernel Linux 2 .0 .x : N etw o rk
firewalls, IP forwarding, IP firewal-
Carte réseau.
Pour l'IR C (D C C ), il s'a g it du module
ip _m asq _irc. Pour une m achine BSD, la
procédure est légèrem ent différente. Il
fa u t a jo u te r" n e t.in e t.ip .fo rw a rd in g = r
dans /etc/sysctl.conf, et compiler le kernel
avec "option IPFILTER", "GATEW AY" et
"IP F IR E W A L L " D an s / e t c / r c .c o n f , il
c o n v ie n t que vous ayez "ipfilter=YES"
Ensuite, la ligne suivante devra figurer
dans /etc/ipnat.rules :
ling, IP m asquerading, IP always
defragm ent et ICMP masquerading
(les deux derniers restent o p tio n ­
map pppO 192.168.1.0/24 -> pppO/32 portmap
nels). Une fois votre module com pi­
lé et installé correctem ent, rajoutez
ce tte lig n e d ans vo tre fic h ie r de
démarrage (/etc/rc.d/rc.local le plus
Il n 'e x is t e m a lh e u re u s e m e n t pas de
tcp/udp 1025:65536
modules FTP ni IRC pour BSD. Toutefois,
celui-ci dispose d'un filtre IP particulière­
m en t p u issan t (je te z un coup d'oeil à
D 0.0.0.0/0
/ e t c / ip f .r u le s ). N 'o u b lie z pas que les
machines doivent savoir où envoyer leurs
paquets, quand la destination n'est pas
Cenesis:
h ttp://www. vapor. com/genesis/
P o in t f in a l. D o r é n a v a n t , to u te s les
machines peuvent accéder à Internet par
une m achine d'un réseau local. Il nous
fa u t donc leur attrib u e r une route par
défaut. Dans Genesis, il suffit de remplir
AmiTCP/IP 4.0 Demo:
ftp://ftp.aminet
Linux IP Masq:
http://www. tor.shaw. wave. ca/~ambrose/
BSD iP-Nat/Fiiter:
http://coombs.anu.edu.au/ipfilter/
l'entrem ise de votre connexion PPP (ou
autre). La Linuxbox se charge de modifier
les adresses internes de votre réseau, pour
q u 'e lle s se m b le n t p ro ve n ir de c e lle -ci.
Q uand les paquets re vie n n e n t, elle les
retransforme de manière inverse. De plus,
les machines du réseau interne sont pro­
souvent) :
/sbin/ipfwadin -F -a m -S 192.168.1.0/24
Q uelques liens utiles
le cham p "Gateway" en indiquant l'IP de
la m a c h in e q u i ro u te les paquets
(1 9 2 .1 6 8 .1 .1 dans notre exem ple). Pour
Am iTCP 4 .x , rajo u tez la ligne suivante
dans votre startnet (juste après l'ifconfig
décrit précédem m ent) :
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Sans plus attendre, testons la qualité de la
liaison en u tilisa n t la co m m an d e p in g .
C e lle - c i e n v o ie des p a q u e ts IC M P
(In tern et Control Message Protocol) qui
sont renvoyés par la destination com m e
un écho. Depuis l'Amiga, nous allons "pinguer" l'autre m achine :
ping 192.168.1.2
Si vous recevez des réponses, cela signifie
que votre réseau est opérationnel. Dans le
cas co n tra ire , assurez-vous que to u t se
trouve bien branché et réessayez (la com ­
le z q u e le FTP
fo n c t io n n e (le s
c o n n e x io n s FTP
s'o p èren t du se r­
veur vers le client,
sauf en mode pas­
s if ) , ra jo u te z un
/ s b in / m o d p ro b e
ip _m asq _ftp dans
v o tre f ic h ie r de
m ande ping s'interro m pt avec C TR L-C ).
Vous pouvez désormais utiliser toutes les
d é m a rra g e , sans
o ublier d 'in staller
applications classiques (Ftp, Http, Telnet)
entre les deux machines.
C onnecter son réseau à Internet
les modules (make
m o d u le s ; m ake
Que diriez-vous de perm ettre à chaque
m a c h in e du ré se a u lo ca l d 'a c c é d e r à
route >NIL: add default 192.168.1.1
tégées co n tre les
a c c è s de l'e x t é ­
rieur. Si vous vou­
Name: etho
|
|
Comment: Ethernet
|lP Addres3 ; 192.168.1.1
-i j static
j j | dynamic
I destination:
l
Gateway:
192.168.1.3
-i | static
3 % t-f* -vî'r' '*•
i
^ î*
Natmask: 255.255.255.0
j
| specify
MIU:
m o d u le s in s t a ll
après avoir compilé votre kernel).
Configuration de l'Amiga.
AmigaShell [17] Rarn Disk:
Ram D i s k : > ping 1 9 2 . 1 6 8 . 1 : 2
PING 1 9 2 . 1 6 8 . 1 . 2 < 1 9 2 . 1 6 8 . 1 . 2 ) : 56 d ata bytes
64 byt es from 1 9 2 . 1 6 8 . 1 . 2 : icmp_seq=0 t t 1=255 time=2 ms
64 by t es from 1 9 2 . 1 6 8 . 1 . 2 : icmp_seg=1 t t 1=255 time=1 ms
64 b y te s from 1 9 2 . 1 6 8 . 1 . 2 : icmp_jaeg=2 t t 1=255 time=1 ms
1 9 2 . 1 6 8 . 1 . 2 ping s t a t i s t i c s ---3 p acke ts t r a n s m i t t e d , 3 p a ck e ts re c e io e d , 0% packet lo ss
ro u n d -trip min/avg/max = 1/1/2 ms
Ram D i s k : >
Ping sous Amiga.
Précisez également les DNS de votre pro­
v id e r (p a n n e l " In te rfa c e s /R e s o lv " de
C e n e s is et A m iT C P :d b / r e s o lv .c o n f
d'AmiTCP).
Nous vous souhaitons beaucoup de bon­
iv' y
heur dans la découverte du potentiel de
votre réseau !
David "Zapek" Cerber
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51 Saint-George*Road - CHEPSTOW - NP6 SLA - Angleterre
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275 F
SOURIS AMIGA
125 F 2 pour 220 F 3 pour
TECHNO SOUND TURBO 2 stéréo (F) Compatible AMIPHONE TCP
285 F
Boules de souris [diamètre 22 mm]
15 F
10 pour
Adaptateur pour brancher les manettes analogues PC sur AMIGA: 45F les 2: 80 F
Câble Péritel 2 mètres pour tous Amigas: 95 F
2 pour
HOUSSE AMIGA 500/600/1200 (PRECISEZ SVP)
25 F 3 pour 50 F
Câble Péritel pour CD 32 [modèle avec 3 fiches banane]
Câble série (1,80m) pour relier 2 Amigas (pour jeux, transferts, etc...)
95 F
QUADRUPLEUR de M ANETTES:
50 F - 4 pour
CARTE SÉRIE HYPER RAPIDE WHIPPET PCMCIA (A600/1200)
425 F
Prise IDC 25 broches mâle / femelle (précisez SVP)
INTERFACE MIDI PROMIDI [in - through - out x2 + câble + softw are + manuel)
215 F
Câble pour moniteur 1083 S (2 mètres)
Câble pour moniteur 1084 S (2 mètres) 100 F
pour 1084 SPI (2 mètres) 115 F
Câble pour moniteur 1084 D (2 mètres)
Interface PCMCIA SCSI2 Hisoft SURF SQÜIRREL (A1200)
745 F
Câble pour moniteur Philips CM 8833 Mk2 (2 mètres)
LECTEUR INTERNE AMIGA 600 / 1200 [ p r é c i s e z SVP)
285 F
Câble double rallonge ports souris et joystick
Connecteur pour 2 manettes port joystick
45 F
ALIMENTATION 220/240V POUR CD 32
KIT [avec software + câble multi-standard 2 mètres] de transfert de fichiers AMIGA < = > PC (doc. F): 120 F
Kit avec câble 5m: 145 F avec câble 10m:
Le kit transfère également le data de PC à PC et AMIGA à AMIGA
300 F
105 F
150 F
95 F
150 F
14 F
115 F
125 F
115 F
45 F
225 F
165 F
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BLOODNET (F) - A 1 2 0 0
BLOODNET (F )-A 5 0 0 + /A600
BUBBLE & SQUEAK -A 1200
BUBBLE & SQUEAK -A 600
CIVIUZATION
CRIME DOES NOT PAY (Titus)
COLONIZATION (F)
DESERT STR IKE
DOGFIGHT (Microprose)
DUNE 2
..
_____
D u n g eo n MASTER 2 (V F) A 1200
ELITE 2 (Version Française)
Evolution HUMANS 3 (F) A 1 2 0 0
145
135
125
45
110
110
65
65
115
45
125
95
95
115
95
125
95
F
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F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
S E L E C T IO N J E U X A M IG A C D R O M
BRUTAL PAWS OF FURY (VF)
B U BBA 'N 'STYX (F)
C ASTLES 2
. .
Alfred CHICKEN (F)
CHUCK ROCK 1 (F)
CHUCK ROCK 2 (F) .
CIVIUZATION AGA [CDROM)
50
45
45
35
50
65
125
F
F
F
F
F
F
F
....................
EX ILE - A 12 0 0
EX ILE - A 6 0 0
F-15 II (Microprose)
F-19 STEALTH fighter -A 500/2000
FIELD S OF G LO RY (WB 2 + )
FIELD S OF G LO RY -A 12 0 0 *.
GUNSHIP 2 0 0 0
.................................
I m po ssible M ission 2 0 2 5 (v f ) a 6 0 0 .
Im po ssible M ission 2 0 2 5 (v f ) a 1200
M ICRO PRO SE GRAND PRIX F1
M IN SKIES the Abduction -A 1 2 00
NICK FALDO GOLF
NIGHTHAW K F-1 17 A 2 .0 -v 3.01
O D Y S S E Y A 6 0 0 /1 2 0 0 ..........................
PGA EURO TO U R GOLF -AGAPIN BALL FA N TA S IES AGA -A 1200
PINBALL ILLUSION S (F) A 1 2 00
et
75
75
125
125
F
F
F
F
125
125
125
. 95
. 95
115
85
35
95
75
45
65
95
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
PLA YER M ANAGER 2 (ANCO)
POW ER DRIVE (F)
PRIM AL RAGE A l 2 0 0 /4 0 0 0
RAILROAD TYCO O N
ROAD RASH
S EN SIB LE GOLF
S EN SIB LE SO C C ER EURO CHAM P
S EN SIB LE W ORLD OF SO C C ER .
95
35
95
125
95
95
75
95
60
SH AQ FU -A 1200125
SILEN T S E R V IC E 2
SKELETO N KREW (F) - A 1 2 0 0 . .
75
95
S P E C IA L FO RC ES (Microprose)
95
STA R LO RD {Microprose)
S T R E E T RACER [A 1 2 00 non-Escom] 125
SU PER S K ID M A R K S - A 1 2 0 0
85
SUP ST. FIGHTER 2 TURB0(F)-A1200
95
SU PER TENN IS CHAMPION
75
F
F
F
F
F
F
F
F
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F
F
F
F
F
F
F
F
T E S T A M E N T -A 1200/4000TH EM E PARK -A 12 00
TH EM E PARK -A 60 0
TURNING POIN TS -A 500-
125
125
125
55
125
U .F .O . (A 6 0 0)
125
U .F .O . (A T 2 0 0 )
/.
V IR TU A L KARTIN G -A 1200 (F)
75
W H ITE DEATH (W ARGAM E)
45
WING COMM ANDER
95
95
W O RM S (V F)
................
145
W O RM S Director's Cut -AGAX T R E M E RACING -A 120075
Xtrem e Racing A G A : 2 DATA D ISKS 55
ZEEW O LF 1 (NF)
45
ZEEW O LF 2 Wild Justice
65
ZEEW O LF 1 + ZEEW O LF 2
95
ZOOL (F) - A 5 0 0 /6 0 0
35
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
C D 3 2 ( P r i x T . T . C . p o r t c o m p r is ) - L e s " C D R O M " s o n t p o u r A m ig a 1 2 0 0 / 4 0 0 0 + le c t e u r C D
ELIT E 2
....................................
EVOLUTION HUMANS 3 (F)
EX ILE
GUARDIAN
HUMANS 1 + HUMANS 2
LEGENDS (F)
LIBERATION C A P T IV E 2
95 F
. 95 F
50 F
75
45
95
70
F
F
F
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MARVIN M ARVELLO U S
. .
MEAN AREN AS (F)
. .
N AU G H TY O N E S .
. .
PREM IERE (F) . .
SO C C ER KID
S PERIS LEG A C Y (Doc F) CD32/CDR0M
S T A R C RU SAD ER [CDROM)
45 F
45 F
60 F
S T R E E T RACER [CDROM]
SU PER LEAG U E M ANAGER
S u per S tr eet F ighter 2 T urbo (F)
125 F
75 F
95 F
45
50
95
95
TH EM E PARK (CDROMJ
U LT IM A TE GLOOM [CDROM]
U LT IM A TE SK ID M A R K S (CD ROM)
W O RM S (V F) C D 3 2 et CDROM
125
125
125
125
F
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r
En
p r a t
i C|
n U
! i tr
o
1
k
»
f
\
Réseaux
le serveur distant doit tout de même rece­
voir une réponse de la machine client, afin
de savoir si celle-ci est en vie. Le paquet
Protégez votre
système avec
IPFWadm !
d'interro gatio ns qu'envoie le serveur se
trouve m arqué d'un bit nom m é "ACK"
(pour acquittement). Nous allons autoriser
ce type de paquets, et uniquement celuilà, par l’entrem ise des com m andes sui­
vantes :
/sbin/ipfwadm -I -a accept -k -P tcp -S
0.0.0.0/0 -W pppO -D 0.0.0.0/0
/sbin/ipfwadm -I -a accept -k -P udp -S
0.0.0.0/0 -W pppO -D 0.0.0.0/0
Que vous disposiez d'un poste unique ou d'un petit réseau
privé, il est tout à fait possible de vous protéger des pirates qui
circulent sur Internet.
Littéralement, on pourrait traduire la pre­
mière ligne par : "je rajoute une règle d'au­
torisation (-a accept) en entrée (-1) sur l'in­
terface pppO (-W pppO) utilisant le proto­
cole T C P (-P tcp ) de n 'im p o rte où (-S
U
nix, et par extension Linux, est un
systèm e ouvert. Il a été pensé et
conçu pour dialoguer avec le reste
du monde. Cette immense souplesse a un
prix : un système Unix peu ou pas configuré
constitue une proie facile pour les esprits
malveillants. Heureusement, voici IPFWadm.
Il s 'a g it e s s e n tie lle m e n t d 'u n p o rta g e
d'Ipfw, son pendant sur systèmes BSD. Cet
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
outil d'administration du firewall intégré au
noyau Linux ne correspond pas à un logi­
ciel de firewalling, mais uniquement à une
interface de dialogue entre l'utilisateur et
les fonctions de firewalling du noyau 2.0.
Cas de figu re classique
Notre machine se trouve reliée à Internet
via câble, m odem ou au tre. Supposons
que celle-ci fasse partie d'un réseau privé
pour lequel elle joue le rôle de passerelle et
de re la is S M T P
(p a r l'e n tr e m is e
de
Sendmail, par exem ple). Toute la com plexi­
té de l'opération se limite à autoriser notre
réseau privé à utiliser les services dispo­
nibles sur notre passerelle, tout en interdi­
san t le reste du m o nde de l'e m p lo y e r
comme "crash-dum m y" !
Pour réaliser ce tour de passe-passe, nous
allons avoir recours, justement, à IPFWadm.
Celui-ci n'effectuera aucun traitem ent sur
le réseau privé, mais interdira purement et
sim plem ent l'accès depuis le Net à notre
passerelle, que nous appellerons "dagobah" en la circonstance. Il ne faut égale­
ment pas perdre de vue que dagobah est
LA sortie vers In te rn et ; on m anip ulera
donc les règles d'IPFWadm avec beaucoup
de soin, sous peine de se trouver totale­
ment coupé du monde. Nous postulerons
pour la suite des événem ents que nous
sommes connectés par un simple modem.
Il est facile d'adapter ces règles à n'importe
quel type d'interface, en remplaçant pppO
par le nom de l'interface de sortie. Et de
A l ’abordag e...
noter que les règles agissant sur pppO ne
p e u v e n t se v o ir prises en co m p te que
lo rsq ue ce tte in te rfa ce est a ctive ; par
conséquent, l'utilisateur devra faire appel à
un script qui s'exécutera à la suite de notre
scrip t de c o n n e xio n , m ais u n iq u em en t
0 .0 .0 .0 / 0 ) v e rs n 'im p o rt e où (-D
0 .0 .0 .0 /0 )". La traduction de la seconde
ligne est immédiate ; il suffit de transcrire
sleep 15 # en admettant que le script active
la première, mais cette fois avec le proto­
cole UDP.
Il s'avère égalem ent nécessaire, pour les
connexions FTP, d'autoriser l'accès sans
c o n d itio n s au x po rts d o n t le num éro
dépasse 1024 ; ce sont en général les ports
la connexion au bout de 15 secondes
clients :
lorsque pppO est actif. On rajoutera au
script de connexion les lignes suivantes :
/etc/rc.d/rc.firewall # appei au script que
/sbin/ipfwadm -I -a accept -P tcp -S
nous allons créer
0.0.0.0/0 20 -W pppO -D 0.0.0.0/0 1025:65535
Réfléchissons maintenant à nos besoins, en
On autorise ici les connexions venant de
ports 20 de n'importe quel serveur sur tous
les ports de notre passerelle supérieurs à
termes de sécurité. La m achine doit être
totalement hermétique à toute requête en
provenance de l'Internet, mais lorsque l'on
consulte un site, que l'on récupère son
courrier ou que l'on télécharge un logiciel,
1024. Le port 20 (ftp/data) s'utilise pour la
transm ission de données entre des ser­
veurs FTP et les clients qui y accèdent. Le
C M A A p te tr ib u tio n
I ICC S o f t w a r e
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Citni 1•-■uaBer ï - {1 f1 y p 5 )-C 0 ? :5 3 p n 01 ' 1?/39>
C$ ) - s i ro be yoda
stro b e 1 .0 3 ( c ) 1995 J u l i a n Assange (p ro ffP s u b u r b ia .n e t ) .
goda
unknoun
2 2 /tc p u n a ssig n e d
yoda
sn tp
2 5 /fc p n a i l
- C i n i f ««ader)-C2 1 ty p 5 )-< 8 8 :0 1 p n ftf/ t? £ 9 9 > - ($ )
p ing yoda
PING yoda e n p ir e .d a r k ( 1 9 2 .1 6 8 .1 .1 4 ) : 56 d a ta b y fe s
f>4 b y te s fro n 1 9 2 .1 6 8 .1 . H : ic n p _se q -8 tt]= 6 4 tin e = 4 .1 n s
b4 b y te s fro n 1 9 2 .1 6 8 .1 14: icn p _seq -1 t t 1=6-1 t ine 1 .6 ns
- y o d a .e n p ire d a rk ping s i a t i s i i c s ---2 p a c k e ts t r a n s n it t e d , 2 p a c k e ts r e c e iu e d , 0/. p a ck e t lo s s
^•ound-trip n in /a u g /n a x = 1 .6 x 2 .8 / 4 .1 ns
C in il iM d e r V C J t t y p S ) -< 0 8 .0 U n 01 ■17x99*
-C$ ~*r
in iIf f r e a 1 1 i n i l J $ s tro b e 2 1 2 .1 9 8 .9 7 .2 8 9
trobe 1 .8 2 U ) 1995 J u l i a n Assanae - P r o f f - lo r ü f fP s u b u r b ia .a o ü n â .o ra .au ) .
En ce qui concerne le réseau privé : tout est normal...
I i n i l & r e a l 1 i n i 11$ s t r o b e 2 1 2 .1 9 8 .9 7 .2 6 9
sfro b e 1 .0 2 U J 1995 J u l i a n A ssange - P r o f f - (p r o f f P s u b u r b ia a p a u a .o rg a u ) .
E R Îk P
AMÊCMm C O E S P O W E R P C '*
C a rtes a c c é lé ra trice s Pow erPÇ_A m jga 120.0 T :
S a n s contrôleur Fa st-S C S I-ll (ajout im possib le)
Blizzard 603e 160 Mhz + 68040 25 Mhz
1.990 F
Blizzard 603e 200 Mhz + 68040 25 Mhz
2.590 F
Blizzard 603e 240 Mhz + 68040 25 Mhz
2.990 F
A vec co ntrô leur Fa st-S C S I-ll d ’origine
Blizzard 603e+ 160 Mhz + 68040 25 Mhz 2.590 F
Blizzard 603e+ 200 Mhz + 68040 25 Mhz 2.990 F
Blizzard 603e+ 200 Mhz + 68060 50 Mhz 4.890 F
Blizzard 603e+ 240 Mhz + 68040 25 Mhz 3.690 F
Blizzard 603e+ 240 Mhz + 68060 50 Mhz 5.590 F
Cartes accélératrices Pow erPC Amiga 3000/4000 :
Cybenstorm PPC604e 200 Mhz + Ultra Wide SCSI 3.990 F
Cyberstorm PPC604e 233 Mhz + Ultra Wide SCSI 4.690 F
Option 68040 25 Mhz monté sur la carte
+ 490 F
Option 68060 50 Mhz monté sur la carte
+ 2.300 F
PS : Les 68040 et 68060 sont équipés de MMU et FPU.
2 1 2 .1 9 8 .9 7 .2 8 9 p in g s t a t i s i i e s —
3 p a c k e ts t r a n s n i t t e d , 6 p a c k e ts r e c e iu e d . 100X p a ck e t
( in i Î P r e a l 1 i n i I ]$ j
lo s s
Nous consulter pour les conditions de mise à jour.
Turbo Print 6.02 -VoW ordworth 7.01 CD - Version Française
W ordworth 7.01 D isk - Version Française
450 F
490 F
490 F
La version Françaises officielle de Wordworth est livrée avec
un manuel imprimé en Français et avec une carte
d'enregistrement à l'adresse de Free Distribution Software.
W ordworth 7.01 CD ou D isk (mise à jour)
290 F
La mise à jour de Wordworth 7 est disponible exclusivem ent
chez Free Distribution Software. Veuillez nous consulter pour
les conditions de mise à jour.
ZipTools - Vo -
Cartes Graphiques
AtéoBus + Pixel 64 pour Amiga 1200 T
BVision64 (Blizzard P P C )
Cybervision P P C 8 Mo (Cyberstorm P P C )
l i n i l P r e a U i n i l ) $ p in g 2 1 2 .1 9 8 .9 7 .2 6 9
P IMG 2 1 2 .1 9 8 .9 7 .2 0 9 ( 2 1 2 .1 9 8 .9 7 .2 6 9 ) : 56 d a ta b y te s
A sim C D F S v3.9a -Version Française390 F
Directory Opus 5 Magellan - Vo 490 F
Digi Booster Professional -Vo349 F
IBrowse -Vo349 F
M aster ISO 2.2 -Vo- Prom otion
.4 9 0 F
Miami 3.x enregistré - Vo279 F
Sieg fried A n tiviru s - Vo139 F
So un dP ro be -Vo259 F
Personal Paint 6.4 -Version Française39 F
Turbo Cale 5.xx CD (Doc V4 en Français)
490 F
Turbo Cale 5.xx Disk (Doc V4 en Français) 490 F
Turbo Cale 5.xx CD / disk mise à jour
320 F
210 F
CD-ROM Amiga
1.990 F
NC
1.490 F
Périphériques / Accessoires Divers
B o îtie rs To urs :
Tour Atéo pour A1200 + Interface clavier PC +
clavier P C + Alim 200 W+ Emplacements pour
l'extension AtéoBus & Pixel 64
1.090 F
D ivers :
Alimentation originale / ou 200 Watts 290 F / 490 F
Joystick Cruiser Noir
120 F
JoyPad Compétition Pro CD32 & Amiga
189 F
Souris 3 boutons haute résolution
149 F
Blizzard SC SI-Kit pour B1230-4/1240/1260
NC
Squirrel S C S I (Contrôleur S C S I PCM CIA)
550 F
SuftSquirrel S C S I (Idem+rapide + port série) 790 F
Nappes IDE & S C S I (nombreux modèles)
Tél.
Câbles & adaptateurs SC SI (nombreux modèles) Tél.
Adaptateur S C S I Interne B 1230/40/60
290 F
Adaptateur M1438/1538 pour PC
159 F
Adaptateur VG A pour A1200/4000
149 F
249 F
Adaptateur Souris P C (aucun logiciel requis)
Coude PCM CIA pour Tour
259 F
Scandoubler externe pour tous les Amiga
790 F
ROM 3.1 (seules) A1200 /4000 (précisez)
349 F
ROM 3.1 (seule) A3000
349 F
ROM 3.1 (seule) A500/+/600/2000 (précisez) 249 F
Modem U S R o b o tics :
Sportster 56Ko Message Modem
1.190 F
Option : Kit Internet Amiga @-Net II CD
+149 F
Le c te u rs de disq u ettes :
DD 720 / 880 Ko interne A600/1200
230 F
DD 720 / 880 Ko interne pour A2000/4000 210 F
DD 720/880 Ko externe pour tous
480 F
HD Interne 1.4 /1.76 Mo pour A2000/4000
650 F
HD Interne 1.4/1.76 Mo A1200T (avec façade) 650 F
HD Interne 1 . 4 / 1 . 7 6 Mo A1200 (classique) 650 F
HD Externe 1.4 /1. 7 6 Mo (WB2.04 minimum) 770 F
SIMM EDO 32 Mo (Attention : Pénurie imminente !) NC
Amiga Format 31 ou 32 ou 33 ou 34
Aminet 24 (Avril 98) - Promotion
Aminet 25 (Juin 98) ou 26 (Août 98)
Aminet 27 (Octobre 98)
Aminet 28 (Décembre 98) dispo vers le 15
Aminet Set 1 ou 2 ou 3
Aminet Set 4 ou 5 ou 6
Am inet Set 7
French Storm (Libre essai en Français)
Professional File System 2
Scene Explorer 2
Studio Professional v2.2b
Netconnect 2
SuperView Productivity Suite
CybergraphX V4
Red Hat Linux 5.1 Amiga
Envoy v3.0
Get Connected (Miami+IBrowse+Yam)
JE U X
Foundation CD
Genetic Species
Quake CD
Myst CD
Time of Reckoning
59
79
89
89
89
150
199
199
39
349
139
249
615
209
179
139
349
519
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
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F
310
310
349
339
199
F
F
F
F
F
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Du côté d'Internet : Fantômas.
mécanisme d'autorisation se révèle identique, quel que soit le ser­
vice à ouvrir. Voyons maintenant com m ent rendre notre machine
totalement invisible aux yeux du monde :
/sbin/ipfwadm -I -a deny -P tcp -S 0.0.0.0/0 -W pppO -D 0.0.0.0/0
/sbin/ipfwadm -I -a deny -P udp -S 0.0.0.0/0 -W pppO -D 0.0.0.0/0
A ce point de la configuration, notre machine s'avère inaccessible.
En effet, nous bloquons ici (-a deny) toute tentative de connexion
directe, qu'elle soit TC P ou UD P. C e p e n d an t, notre m achine
demeure toujours visible sur le réseau global ; les plus paranoïaques
devraient peut-être songer à rajouter la ligne suivante :
/sbin/ipfwadm -I -a deny -P icmp -S 0.0.0.0/0 -W pppO -D 0.0.0.0/0
Ainsi, nous ne répondrons même plus au banal ping ! Toutefois,
prenez garde, car certains administrateurs utilisent à longueur de
temps cette commande, afin de savoir si une machine est en vie ;
dans ce cas précis, interdire les requêtes ICMP se révèle parfois plus
dérangeant qu'efficace. Désormais, tous les accès locaux entre les
machines de notre réseau privé se font comme par le passé, mais
notre passerelle, du côté d'Internet, est devenue un vrai fantôme.
Facile !
Après une petite période d'adap tatio n, l'utilisation d ’ IPFWadm
devient aussi instinctive que celle de Vi (...) ; malheureusement, l'ar­
rivée im m in en te du noyau 2 .2 va b o u leverser les h ab itu d es.
IPFWadm est mort : vive Ipchains ! Toutefois, qu'on se rassure, cette
dernière mouture de l'administrateur de firewall n'a pas été totale­
ment réinventée : l'esprit et la syntaxe générale rappellent beau­
coup celles de la précédente version. De plus, des âmes charitables
CD-AUDIO (R é a lisé s su r Am iga)
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Commande sur papier libre ou sur le bon de commande
. Règlement joint à la commande
par cneque,
chèque, mandat ou Carte
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B P 134 - 59453 L Y S L E Z LA N N O Y C E D E X
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Code Postal : ! _ ! _ ! _ ! _ ! _ ! V ILLE :
Téléphone (facultatif) : ..................................
Désignation
Prix
Qîé
ont créé un "ipfwadm-wrapper" livré avec le package Ipchains, qui
permet de continuer à utiliser les anciens paramètres. Ouf ! Un ins­
tant de répit...
Emile Heitor <[email protected]>
59 F
59 F
Frais de port forfaitaire : 35 F, ou 100 F (Voir ci-dessus)
Montant total de la commande
Ci-joint mon règlement par ( ) Chèque, ( ) Mandat,
( ) Carte Bancaire n° : !__________ !___________ !__________ !_____
Date et signature
! Exp !
Offre valable dans la limite des stocks, prix donnes à titre indicatifs, les CD-ROMS et certains logiciels sont en langue anglaise.
Système
Le réflexe
BBC Basic
La qualité prédominante de RiscOS, c'est que toutes les
fonctions du système se trouvent accessibles à partir d'un
langage de programmation ultrasimple le BBC Basic.
e BBC Basic constitue un exemple de
sim plicité ; savoir s'en servir est un
L
grand atout pour qui veut accéder à
tous les rouages de RiscOS. Voici une pre­
mière application simple et didactique qui
permettra à tous de (re)faire connaissance
avec ce langage. Bien évidemment, essayer
de porter notre exem ple de program m e
sur un autre système que RiscOS ne présen­
te aucun intérêt et s'avérerait plutôt diffici­
le.
C ah ier des charges
Imaginons que nous voulions effectuer une
capture d'écran d'un simple clic de souris.
Voici l’occasion idéale de créer une applica­
tion de taille modeste en Basic. Petit rappel :
une application est un dossier (un répertoi­
re, quoi) dont le nom com m ence par un
point d'exclamation et se révèle exécutable
si ce d o ssie r c o n tie n t un fic h ie r !R u n .
A p p elo n s donc notre a p p lica tio n !Shot
(pourquoi pas...) et examinons le contenu
que nous allons lui attri­
buer. Com m ençons par
un script Obey du nom
de IB o o t:
Intérieur de l'application.
point est, sous RiscOs, un séparateur de
dossi.er, tandis que le symbole A désigne le
dossier parent. L'icône est placée à l'inter­
section des coordonnées X=-45 et Y=950,
ce qui c o rre sp o n d au co in supérieur
gauche d'un bureau de résolution 640x480
points. Pour définir un autre emplacement,
le plus simple consiste à déplacer l'icône
manuellement, d'effectuer une sauvegarde
du Pinboard et de relever les coordonnées
affichées. Cela donne pour le coin supé­
rieur droit du même bureau :
Pinboard
Pin ADFS::IDEDisc4.$.Public.!Shot 1135 950
Placer l'icône sur la barre est réalisable,
g râ c e à la c o m m a n d e AddTinyDir
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
La vie des animaux
Set ShotSDir <Obey$Dir>
Pin <Shot$Dir>.A.!Shot 045 950
IconSprites
<Shot$Dir>.ISprites
Les fich ie rs O bey u tili­
sent des fonctions de la
ligne de com m ande, le
C li. La p re m iè re c o m ­
mande fixe une variable
Application IShot sur le Pinboard...
jS.ShotOO
•screendump* Cotours
d'environnem ent appe­
lée "ShotîD ir" à l'aide du
nom du d o ssie r où se
trouve le fichier en cours
d 'e x é c u tio n . S h o t îD ir
vaut "cch em in de l'application>.!Shot" La par­
tic u le Î D i r est une
c o n v e n tio n s e rv a n t à
sc re e n d m
Paint tools
Zld^ )O jo|2illl
> ]■ !* ! J É â W l d
Set/ctear pixels
<% Set J OR J AND J EOR
désigner les dossiers. La
com m ande Pin perm et
de p la ce r l'a p p licatio n
!S h o t su r le b u re a u .
C e lle -ci réside dans le
d o s sie r
p a re n t
de
S h o tîD ir qui désigne le
contenu de l'application ;
Vue par IPaint d'un des Screenshots réalisés.
ce la se tra d u it par
< S h o tîD ir> .A.!S h o t. Le
Pour plus de renseignements sur le BBC
Basic, vous pouvez acheter le manuel de
référence du BBC Basic ou encore le
livre de Ray Favre, "Starting Basic"
(h ttp://homepage. zynet.co. uk/rayfavref).
Les moins fortunés pourront se pencher
sur le manuel Basic de StrongHelp, présent
à deux adresses : la page des manuels
StrongH elp de Neil Bingham (www.
binghams.demon.co.uk/stronghelp/) ou le
site de StrongH elp et StrongEd de
Cuttorm Vik (http://login.eunet.no/guttorvi/strong.html). L'excellent Basic
Tips Sr Tricks de David Thomas
( www. tristone. co. uk/davespace/basic/)
est un au tre docu m en t clé pour
maîtriser le Basic.
Envie d'aller plus loin ? Il y a bien sûr
l'assembleur intégré et extensible, divers
outils de compilation et compression du
code et de nombreuses bibliothèques
disponibles. Pour créer des applications
multitâches, on se penchera avec intérêt
sur les librairies DrWimp d'Andrew Ayre
(http://whirligig.ecs.soton.ac.uk/~aij29S/
groover/drwimp.html) et JFShared de
Justin Fletcher (www.thevillage.ndirect.
co.uk/justin/).
<Shot$Dir>.A.!Shot. La com m ande IconSprites charge le fichier
ISprites dans le système. Celui-ci, créé avec Paint, contient une
seule icône, du nom de Ishot, qui définit une autre icône pour
notre application. Elle sera d'une taille de 32 par 32 points, voire 40
par 40 points.
Notre dossier accueille ensuite un fichier texte baptisé IHelp, lequel
fournit une aide. Celui-ci peut être de n'importe quel type ; en prin­
cipe, on utilise un fichier texte, mais on a aussi loisir de réussir
quelque chose de plus esthétique, à l'aide de Draw.
Vient enfin le fichier Obey IRun, qui sera exécuté lorsqu'on lancera
notre application :
Posse Press
recrute pour l’ensemble
de ses magazines
Journalistes pigistes
- Ret Pis
Spécialisés dans la manipulation d’un système,
d’un logiciel de création ou d’un langage pour l’écriture
d’articles pratiques ou de Hors-Série.
Set Shot$Dir <0bey$Dir>
Infographiste PAO
WirapSlot -min 16k -max 16k
<Shot$Dir>.CheckALT
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Maîtrise des logiciels Xpress, Photoshop, lllustrator.
If Alt$Down<>0 THEN <Shot$Dir>.IRunReset
Bon sens créatif.
If Alt$Down=0 THEN <Shot$Dir>.ÎRunlmage
La connaissance de la presse informatique
ünset Alt$Down
ou technique serait un plus.
La première commande est identique à celle du fichier IBoot. Cela
permet de s'assurer que la variable ShotSDir se trouve bien fixée,
car une commande *Unset * aurait été susceptible d'en effacer le
contenu. De même, le fait d'appuyer sur la touche Ctrl lors de l'ou­
verture d'un dossier empêche le filer d'exécuter les fichiers IBoot des
applications qu'il rencontrera. W im pSIot, quant à lui, change la
taille de l'espace mémoire réservé aux applications. On peut fixer
une valeur minimale et une valeur idéale. Dans notre cas, 16k suffi­
ront largement. L'utilitaire CheckALT teste l'appui de la touche Alt.
On le placera dans le dossier !Shot, quoique son utilité justifierait de
Chef de pub Junior - Ret pub
Dynamique, sens du contact et de la négociation commerciale.
Intérêt pour les nouvelles technologies
et la micro-informatique.
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ADFS::lDEDiso4.$.PubticJShot
IRunReset
!Run
IRunlmage
CheckALT
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Par ta x
: 0 1 4 3 55 66 68
Par em ail : rcanongecDpcss-press.com
De nombreuses copies d'écran.
le ranger au côté des utilitaires du système. Si la touche Alt est pres­
sée, cet utilitaire fixe la variable AltSDown à -1 ; dans le cas contrai­
re, elle choisit 0. Dans le premier cas, on lancera un programme en
Basic qui réinitialisera notre application ; dans le second, on effec­
tuera une copie d'écran. A l'arrivée, on efface la variable AltSDown.
Notre dossier contient donc les fichiers IBoot, IHelp, IRun, ISprites,
CheckALT, et deux fichiers Basic IRunReset et IRunlmage. On notera
les conventions adoptées ; celle du point d'exclamation pour les
fichiers liés aux applications et celle du nom IRunlmage pour l'applicatif principal. Si on double clique sur l'icône de l'application en
pressant la touche Alt, le programme IRunReset est exécuté. Celuici permet de remettre le compteur à zéro et d'effacer les copies
d'écran précédemment stockées dans le dossier IShot.
IRunReset:
A%=0PEN0UT *<Shot$Dir>.Count"
q u e
Système
PRINT #A%, 0
On com m ence
CLOSE #A%
p ar o u v rir le
fichier Count (il
fa u t s 'a ssu re r
*CREATE <Shot$Dir>.ShotTemp
*WIPE <Shot$Dir>.Shot* ~C ~V F
auparavant
x fS::IDEDisc4.$.Public.!Shot.lBoo1 n M S e t ShotSDir <Ubey$Dir>
~ i H i n p S l o t -tiin 16k -»ax 16k
Set ShotiDir <Ûbey$Dir>
Pin <Shot$Dir>.".!Shot 8-45 958 n | < S h o t $ O i r >, CheckflLT
IconSprites <Shot$Dir>,ISprites i r S l f M t S O o w n O B THEH <Shot$Dir>. IRunReset
■ I f fllt$Down=8 THEH <Shot$0ir>.IRunlnage
□ n ü n s e t RltîDown
d'avoir bien initialisé l'applica­
La p re m iè re p a rtie re m e t la v a le u r du
compteur à 0. Celui-ci prend la forme d'un
fich ie r de données, appelé "C o unt". On
ouvre ce fichier, on y écrit la valeur 0 et on
le ferm e. Ensuite, on utilise deux co m ­
mandes du Cli, que l'on peut placer "tel
ADFS::IDEDisc4.$.Public. gM i Runlmaae_____
tio n ), avant de
lire la v a le u r
qu'il contient et
de le fermer. Si
Wr
INPUT « R U H R *
CLOSE m
IF ÛRRX=78 THEH
OSCLIC'ERROR Dossier plein, effectuez une réinitialisation")
ELSE
quel" dans le source en Basic. La première
crée un fichier vide ShotTemp, la seconde
ce tte
v a le u r
v a u t 7 0 , cela
efface tous les fichiers ayant un nom com ­
m e n ç a n t p ar S h o t, sans d e m a n d e de
confirmation (~C), ni affichage d'inform a­
signifie qu'on a
effectué soixan­
te -d ix co p ie s
tions (~V) et en forçant l'effacement (F). Il
est important que IRunReset n'affiche pas
d'écran. En plus
du
d o ssie r,
FILE$="<Shot$Dir>,Shotll+,,8"+STR$(UflR):)
ELSE
FILE$="<Shot$Dir>,Shotn +STR$(UflRÜ)
© |X^ ED isc4.$.Public. IShot. IRunReset
ENDIF
fl^ûPrHourvsbotwiFrroiïiïP—
OSC LICSC R EE H S H U E “+FILEÎ)
PRINT #fft,8
UflR7.+=l
CLOSE M %
R7.=0PEH0UT"<Shot$Dir>.Count"
♦CREflTE <Shot$Dir>.ShotTenp
PRIHT #flH,URRX
♦WIPE <Shot$Dir>.Shot* T *V F
CLOSE #HÜ
ENDIF
d'inform ation à l'écran, car l'application
IS h o t c o n tie n t
h u it fic h ie r s .
Sous RiscOs, un dossier ne peut contenir
ouvrirait alors une fenêtre. La création d'un
fic h ie r S h o tT e m p p e rm e t d 'é v ite r une
erreur classique : l'absence de fichiers dont
le nom commence par Shot.
TC U A IW tfl î u r u
L'ensemble du code.
effectue une copie d'écran.
2/ Un shift + double clic ouvre le dossier
IShot et permet de visualiser et de recopier
plus de soixante-dix-huit fichiers ; il faut
donc veiller à ne pas faire plus de soixantedix copies d'écran. Dans ce cas, on utilise la
IRunlmage :
les fichiers "Shot".
3/ Un Alt + double clic efface les fichiers
commande Cli Error qui crée un message
d'erreur dans une boîte de dialogue (ou
A%=0PENIN■<Shot$Dir>.Count•
INPUT #A%,VAR%
'Shot' et réinitialise le compteur.
Vous pouvez reco p ier ce dernier para­
sous la ligne de commande). La com m an­
de OSCLI correspond au * utilisé dans le
fichier IRunReset, à la différence près qu'il
CLOSE #A%
IF VAR%=70 THEN
OSCLI("ERROR Dossier plein, effectuez une
graphe dans le fichier IHelp, car il donne la
description complète de l'exploitation de
votre utilitaire.
Voilà donc un aperçu de la puissance de
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
est possible de transmettre des paramètres
stockés dans des variables. Si le compteur
n'atteint pas le nom bre soixante-dix, on
réinitialisation")
ELSE
IF VAR%<10 THEN
RiscOS. L'écriture de ce program m e ne
prend pas plus de dix minutes et permet
crée alors une copie d'écran du nom de
< Sh o t$ D ir> .Sh o t, suivie du num éro du
compteur. On incrémente ensuite la valeur
du compteur, puis on l'écrit dans le fichier
FILE$="<Shot$Dir>.Shot'+"0"+STR$(VAR%)
ELSE
FILE$="<Shot$Dir>.Shot’+STR$(VAR%)
ENDIF
de réaliser une tâche assez complexe. Sous
tout autre systèm e, ce travail aurait été
beaucoup plus difficile pour un débutant.
Néanmoins, cette application ne peut pré
tendre à la perfection. En effet, elle n'est
Count.
U tilisation
Dès la première manipulation, il faudra lan­
OSCLI CSCREENSAVE "+FILE$)
VAR%+=1
A%=0PEN0UT"<Shot$Dir>.Count"
pas multitâche et utilise la commande Error
pour afficher ses messages. Elle représente
cer le fichier IRunReset qui va créer et initialiser le compteur. Ensuite, on pourra réa­
liser trois types d'actions :
PRINT #A%,VAR%
CLOSE #A%
ENDIF
cependant un cas pratique d'utilisation du
Basic et de son intégration avec le Wimp.
David Feugey
1/ Un double clic sur l'icône de l'application
A D F S : : I D E D I s c 4 .$ .P u b f i c T e s t
'f i l x l
T a s k w in d û w
Ê
&
dire cto ry
small dir
small app
file xxx
small xxx
file ffe
small ffe
file ffd
small ffe
file ffb
small ffb
directoryo
B
small diro
application
T a s k w in d o w
BC BASIC U version 1,85 (C) Rcorn 1989
9o
Starting with 651516 bytes free
feflmn
ID E D is c 4
:0
Basic et TaskWindow, deux applications intimement liées.
*
a
L .- - —
.....
Screenshot réalisé à l'aide de !Shot (comme tous les autres...).
nlkilû*1
a-ufis"
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□ Formule 2 : abonnement d'un an à Dream avec 1 CD-Rom offert chaque mois, 329 francs.
Nom : .....................................................Prénom : ..........................................................Adresse : ................................................................................................................................................................
Tél : .......................................................... Code postal: ................................................... Ville : .........................................................................................................................................................................
Machine/système (facultatif) : □ Amiga/AmigaDos □ Amiga/Linux □ Pc/Linux □ Pc/Divers □ Be/BeOs □ Autre machine/autre système : ..............................
Ci-joint un règlement d e
francs, par □ chèque bancaire, □ mandat postal à l'ordre de Posse Press.
□ carte bancaire : n° CB i i i i i
l l l l l
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expire le l l l l l
En cas de paiement par carte bancaire, vous pouvez aussi commander :
mJ K l y
A IV 1
Par téléphone : 01 53 36 84 10 du lundi au vendredi de 9h30 à 18h00
Par fax : 01 43 55 66 68, 7 jours sur 7, 24 heures sur 24
Offre à renvoyer à Dream/Abonnements, 16, rue de la Fontaine au Roi, 75011 Paris.
Tarif pour la France métropolitaine uniquement. DOM/TOM et étranger, ajouter 100 francs au prix de l'abonnement, paiement par mandat uniquement.
Offre valable jusqu'au10 Mars! 999 (cachet de la poste faisant foi).
©
Informatiques et libertés : en application de l'article L27 de la loi du 6 janvier 1978, relative à l'informatique et aux libertés, vous disposez d'un droit d'accès et de rectification pour toute information vous concernant en vous adressant à notre siège social.
Les informations requises sont nécessaires à l'établissement de votre commande. Elles pourront également être cédées à des organismes extérieurs, sauf indication contraire de votre part.
mière partition de type DOS. Cela signifie
que le chef-d'oeuvre de M icrosoft peut
effectivem ent être installé sur une autre
partition ! En pratique, la procédure de
F a ire c o h a b ite r
e n c o re m ie u x L in u x
e t W in d o w s
démarrage de DOS consulte la table des
partitions du disque dur et lance automati­
q uem ent le systèm e depuis la première
partition portant l'un des types compa­
tibles avec DOS (FA T!2, FA T]6 etc.). Celleci se voit alors désignée comme lecteur C:.
En ré a lité , to u t cela reste très simple.
Supposons par exemple que Linux soit déjà
installé et que l'on décide subitement de
mettre DOS en place ; la première partition
Le système d'exploitation de Microsoft est réputé pour les
problèmes qu'il pose lorsqu'on tente de l'installer simultanément
avec un autre OS. Pourtantcertaines possibilités intéressantes
existent.
orsqu'on met en place Linux pour la
L
première fois, on ne souhaite généra­
lement pas couper les ponts tout de
suite, mais plutôt faire cohabiter le nou­
veau système avec DOS/Windows, tout en
gardant la possibilité de démarrer soit l'un,
soit l'autre, jusque-là, il n'y a pas de pro­
blèmes : toutes les distributions installent
LILO par défaut, et la configuration s'avère
d'une simplicité peu commune. Seulement
voilà, il arrive inévitablem ent un moment
où l'on veut modifier le partitionnement de
□
(Oméga) QXcivi:
^1
r
u ser
du d isq u e se tro u v a n t déjà utilisée, il
convient de l'installer ailleurs (disons par
exem ple sur la troisièm e partition phy::
9
J- .: -
v:.
r
L IL O
i
G e u e r i c b o o t lo a d e r f o r L i n u x
m
QuR
Abort
V e r s io n 2 0
Again
U s e r ’s g u id e
Reread
W r r iH T A h iif s lie r R iT
w e r a e r .a l n æ s b e r g e r ê l r c . d i . e p f l . c h
r
100%
33%
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Juiic* 20. 1007
25%
ses disques, voire déplacer Windows sur un
17%
autre disque, ce qui se révèle déjà beau­
coup moins évident, car si tous les OS un
tant soit peu décents laissent à l'utilisateur
le choix de leur mode d'installation (et par­
ticulièrem ent des partitions), les concep­
C o n te n ts
L IL O is a versatile boot Soailtr for Liâtes. I?
no? dépend ou a sinvifir tik*
CTStfiu. eau b*** Linux kenti'l inia&rs front floppy disk.-» ami fnxu liard ifisks
ami nui evm art as a “boot manager*' for othrr ofieratiui» Systems.1
Out' of up to stxf«v?i tlüf»*rrut images raii be jriected a? boot tinte. Varions
paoniFtcrH. such as the n>ot devirc. can bc rct iudrf>endeji$iy ftir earh fe-m**!.
L IL O nui evesi îm' ttscd as ihe master boot rrrortL
teurs de DOS, quant à eux, ont décidé que
rien de tel ne serait prévu (l'h isto ire se
répète avec OS/2) ! Toutefois, il existe des
so lu tio n s m é co n n u e s m ais ô co m b ie n
utiles, pour venir à bout de certaines res­
tric t io n s im p o sé e s p ar la s o c ié té de
R edm ond ou par Big B lu e. Une petite
remarque : sachant qu'en dépit des affir­
mations de Microsoft, Windows ne consti­
tue rien d'autre qu'une interface graphique
p o u r M S-D O S, on d é s ig n e ra d an s cet
article par DOS toutes les versions de ce
système antidéluvien, y com pris MS-DOS
6.22, Windows 95 et Windows 98.
Le problèm e de DOS
A i
u
Ttiis document ittUoduns the batfrsuf disk organoatiim and iwxitinj*. rootnmes
with an «jwrvîtw of routnnm boot tedmif|t»es ami finaSv tlrsrribcs installation
and
of L IL O in lyrraur «IrtniL TSn» tpnibirdiooting srrtbri at the end
tlrst riÏH’s diagnf>sm
and romains su&jtrstions ù tr tu u s t problème tliat
havr been tfhserved m the psi.se
Page-5
Prev
Next
Page+5
Page+10
Le manuel complet de LILO se trouve dans /usr/doc/lilo.
fichiers racine depuis n'importe quelle par­
tition ; ainsi, les deux systèmes se trouvent
en mesure de démarrer et de fonctionner
correctem ent. Néanmoins, on finit, peutêtre plus souvent qu'on ne le cro it, par
épro uver le besoin d 'in staller ailleurs le
DOS ou Windows, voire de posséder deux
installations distinctes de Windows sur la
La principale difficulté vien t du fait que
sous DOS, la partition de dém arrage du
système est codée "en dur" : DOS cherche
toujours à démarrer depuis la partition ini­
tiale du premier disque. En pratique, on vit
même m achine, ce dernier privilège per­
mettant alors de "booter" l'une ou l'autre.
Aussi, nous allons de ce pas évoquer cer­
taines astuces, aptes à offrir de tels résul­
souvent avec cette limitation, puisque lors­
qu'on installe Linux sur un ordinateur déjà
tats.
Le DOS sur une autre p artition
équipé de DOS, celui-ci reste toujours sur
En exam inant le problème de plus près, on
s'aperçoit qu'il n'exige pas de s'intéresser
directem ent à la prem ière partition phy­
sique, mais de prendre en compte la pre-
la partition de départ ; il s'ag it du seul
em p la ce m en t qu'il acce p te . Linux peut
q u a n t à lui "m o u n ter" son systèm e de
First
Page-10
sique, soit /dev/hda3 pour Linux). Il suffit
pour cela d’em ployer l’option "Type" de
l’utilitaire cfdisk (fourni dans toutes les dis­
trib u tio n s de L in u x ) po ur la déclarer
comme partition F A T I6 ou FAT32. Il faut
ensuite créer un système de fichiers DOS
sur cette p a rtitio n , en tapant mkdosfs
/dev/hda3. Désormais, il y a moyen d'ins­
taller DOS de la manière habituelle, à partir
des disquettes ou d'un CD-Rom d'installa­
tion. Notre partition /dev/hda3 sera auto­
matiquement reconnue pour C: et tout se
passera normalement. Si l'on veut exploiter
LILO pour booter le système, sa configura­
tion (fichier /etc/lilo.conf) ressemblera à
(en supposant que la partition racine de
Linux soit /dev/hdal ) :
boot=/dev/hda
install=/boot/boot.b
disques. Cette opération perm et de forcer
map=/boot/map
un système à prendre pour "premier" n’im­
porte quel disque, avec tout de même une
limitation : en effet, une semblable procédu­
re ne vaut que pour les OS passant par les
routines du BIOS pour accéder aux disques,
iiRage=/vmlinuz
root=/dev/hdal
label=debian
read-only
label=dos
ce qui est le cas de DOS et d’OS/2. En pra­
tique, la syntaxe revêt la forme suivante :
table=/dev/hda
map-drive=<numéro BIOS du disque>
other=/dev/hda3
to=<numéro BIOS sous lequel ce disque doit
En somme, tout cela reste identique au cas
h a b itu e l, m ais ne fo n c tio n n e que dans
l'éventualité où un type DOS n'est porté ni
par /d e v /h d a l, ni par /dev/hda2 ! Si par
apparaître>
Pour prendre un exemple pratique, suppo­
sons que l’on veuille démarrer DOS depuis le
second disque. On se retrouvera alors avec
un fichier lilo .co n f, qui aura cette allure :
exemple, /dev/hda2 était déclarée comme
partition FAT32, il deviendrait impossible de
lancer DOS, car il tenterait systém atique­
ment de démarrer depuis cette partition ! La
boot=/dev/hda
install=/boot/boot.b
seule limitation imposée en pratique vient
de ce qu’il n'existe aucun moyen d’utiliser
map=/boot/map
image=/vmlinuz
/dev/hdal ou /dev/hda2 sous DOS en tant
que partition D:. La première partition DOS
du disque sera toujours celle sur laquelle le
root=/dev/hdal
label=debian
read-only
DOS démarre et qu'il considère comme C :.
En fait, LILO possède une option permettant
de changer au vol le type des partitions, qui
serait par conséquent utilisable ici ; cepen­
other=/dev/hdbl
label=dos
table=/dev/hdb
map-drive=0x81
d a n t, nous ne re n tre ro n s pas d ans les
détails, car cette démarche demeure assez
to=0x80
Vive la fle xib ilité
Nous avons donc vu qu’il était finalem ent
possible de faire fonctionner DOS sur la par­
tition de son choix, à peu de choses près, et
qu'il y avait moyen également de choisir le
disque qu’il utiliserait, une fois résolues les
difficultés de l’installation. En combinant ces
deux méthodes, valables aussi bien pour les
diverses versions des DOS ( M S-D O S, PCD O S, O pen D O S, W indow s 9 x) que po ur
OS/2, on se trouve donc en mesure d’exploi­
ter ce système avec la même flexibilité que
les OS plus modernes. Par ailleurs, la ques­
tion concernant les deux installations indé­
pendantes de DOS sur une même machine,
évoquée au début de cet article, s'avère au
bout du com pte assez sim ple : on utilise
deux disques physiques sur lesquels on ins­
talle indépendam m ent le système, puis on
manipule LILO et sa fonction map-drive pour
choisir celui que l’on souhaite activer. En
revanche, comme nous l’avons vu, DOS exa­
mine le type des partitions présentes sur le
disque pour démarrer, si bien qu'il est plus
difficile (m ais pas impossible) d’avoir deux
installations de DOS sur deux partitions d’un
même disque physique.
Iakub Zimmermann
map-drive=0x80
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
complexe et dangereuse.
Le DOS sur un autre disque ?
to=0x81
Ce problème se révèle beaucoup plus déli­
cat. Malheureusement, DOS cherche inévita­
De cette façon, le
second disque est
b le m e n t à d é m a rre r d ep u is le p re m ie r
disque de la chaîne IDE initiale (le cas des
disques SCSI diffère quelque peu, mais nous
p e rçu c o m m e le
p re m ie r et v ic e
versa. Dorénavant,
D O S d é m a rre ra
d ep u is le second
n’en parlerons pas en ces lignes, car cette
configuration reste très peu courante chez
les utilisateurs de DOS) et s’il ne trouve
aucune partition valide pour booter, il ren­
disque ! Toutefois,
il e st b e a u c o u p
plus difficile de l’y
in s ta lle r d ir e c t e ­
voie un message d’erreur au lieu de chercher
sur les autres disques. La seule solution
consisterait donc à désigner un autre "pre­
mier" disque, sans débrancher ni rebrancher
ment, le plus pra­
tique restant enco­
re de m o d ifie r le
les nappes ! Or, LILO donne justem ent le
moyen de parvenir à ce résultat, grâce à sa
commande "map-drive". Elle a pour effet de
m odifier certaines variab le s in tern es du
BIOS, afin de permuter l’ordre apparent des
b ra n ch e m e n t des
n a p p es le te m p s
de l’installation.
B eO S
P2-350
BX
350 Mhz
Médium Tour
128 Mo sDram
6.4 Go Udma
FD 3"_
AGP G200 8
CD 36x IDE
SB 128 PCI
Clavier PS2
Souris PS2
BeOS r4
8.990 FTTC
: n m n c s ; Ulo.conf
Fiie fcdlt Apps Options Bttfl&rs Fooës
L IN U X
ALPHA
U2-5s
L IN U X
ALPHA
U2-5s
L IN U X
A LPHA
U4-6.3s
UX2
533 Mhz
Médium Tour
128 Mo sDram
4.5 Go UW
FD 3"_,
SVGA PCI 4
CD 36x SCSI
Clavier PS2
Souris PS2
RedHat 5.2
UX4
533 Mhz
Médium Tour
256 Mo sDram
9.1 Go UW
FD 3"_,
SVGA PCI 4
CD 36x SCSI
Clavier PS2
Souris PS2
RedHat 5.2
UX4
633 Mhz
Médium Tour
256 Mo sDram
9.1 Go UW
FD 3"_
SVGA PCI 4
CD 36x SCSI
Clavier PS2,
Souris PS2
RedHat 5.2
16.990 FTTC 22.990 FTTC 29.990 FTTC
K S#
bo o t- /dev /h d a
in s t a l l - / b o o t / b o o t. b
aap*/b o o t/* ap
iftàge*/vulinuz
ro o t» /d e v /h d a l
la b e l-d e b ia n
re a d -o n ly
o th e r=/dev /h d b 1
label= dos
ta b 1e=/dev/hdb
a a p -d riv e * 0x 81
to= 0x 8G
j&ap-drive= 0x 8Q
15
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n:_____(j’vridaxeras. ) — --Ail
-
to-0x81
—
----
-.
C a n 't in 3 t a n t i a t e ia a g e (p ro b ab ly cached) : [xbm a a s k - f l i e “/ u s r /in c lu d e /X ll/b itm a p o /ïe f t_ *
Un unique fichier de configuration : /etc/lilo.conf.
AiphaPowered
Objet
Les classes Java
Notre projet (sur les polygones) semble
principalement s'intéresser à deux proprié­
tés des polygones : le calcul de leur surface
et les propriétés liées aux réguliers. La clas­
se mère (et abstraite) Polygone est la sui­
vante :
Java, une affaire
de compromis
abstract class Polygone {
private int nb_cotes;
Polygone(int nb_cotes) {
Pour clore la partie "théorie" de notre initiation à la conception
ob jetn o u s allons faire le lien entre C++ et Smalltalk, en
abordant le cas Java.
this.nb_cotes = nb_cotes;
}
public int getNbCotesO { re t u m nb_cotes; }
abstract string getNameO;
}
L
es m o d è le s o b je ts de C++ et
S m a llta lk no u s o n t m o n tré q u 'il
n'existe pas de m odèle objet "par­
f a it " . C 'e s t p o u rq u o i, p lu tô t q u e de
prendre parti, les concepteurs de java ont
te n té de ré u n ir le m e ille u rs de d e u x
mondes.
Java, c'est quoi ?
Prenez une bonne dose d e .C++ (syntaxe,
s y s tè m e de ty p a g e , c o n s t r u c t e u r s ,
approche impérative, etc.) mais figez bien
le tout (pas de redéfinition d'opérateurs, ni
d'héritage multiple), puis assaisonnez avec
de n o m b re u x c o n c e p ts S m a llta lk ie n s
(m ach in e virtu e lle , exécu tio n à base de
messages, Carbage Collector, classe Object,
e tc.). Prenez soin d'enlever tout concept
trop novateur (enviro nnem ent Sm alltalk,
protocole standard de délégation, etc.) et
ajoutez quelques originalités (interfaces).
N'oubliez pas de créer de nombreuses API
couvrant pratiquement tous les domaines
de l'in fo rm a tiq u e . Seco u ez b ie n , faites
m arinez quelques semaines et diffusez la
nouvelle version de java ! C om m e vous
pouvez le constater, james Gosling et ses
compères n'ont pas inventé grand-chose.
Toutefois, le compromis est plutôt efficace :
il suffit de constater l'effervescence qu'a
s u s c ité e ce la n g a g e p o u r s'en re n d re
compte.
Des polygones en Java
Pour aborder un aspect sensible de java, à
savoir la co n cep tio n o b jet, prenons un
exem ple lié aux polygones. Considérons
deux types de polygones : d'une part, ceux
qui délimitent une surface, et d'autre part,
les polygones réguliers. Une approche pos­
sible, en ce qui concerne la conception,
serait de considérer une classe Polygone,
p uis d e u x cla sse s P o ly g o n e S u rfa c e et
PolygoneRegulier. Un carré s'avère à la fois
fermé et régulier ; il semblerait donc "natu­
rel" de faire hériter le carré de nos deux
classes précédentes. Si, en C++ ou tout
autre langage supportant l'héritage m ul­
R te
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ï 4
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I
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& " â ~ *.
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£ Internet
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Location: h t t p : / / j a v a . sw». c cm/
Lookup J j New&Cool
T h e so u r c e fo r Java* T ec h n o lo g y
java.sun.com
|
\ **? <^
He*?
4 iot Omkçtfî
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Qrows U,p Smart
ll!f:
l ikwtoq
4 ta p to y w * *
4 faufcwr
4 A-z ja&M
Remu innovations by ttm ri card devdoper* indicate that
Java Card^technology \%taking the worid bystorm. You
may besurpmed at what a pocket-sized card can handle
thesedays. (JwjMy Zi)
ners/s and faatures
Ecommerce. Excel* wjthJava.2*Jechnolopt
J p y a Ttitong]
Calfcnd&r of E v e n ts
fey * o p e*g.
L a w stiit
p U D y a tç h
S wm% C o n n ectio n
Jav a In d n strv
C o n n ec tio n
Jim T eçfrflofogy.
Jav g & efe
JaygM afl
Ja v a S af.ç,
H o tJ a v a H T M L
In online distribution and sales, speed and revenue are the
bottom line. Beamscope Canada's story reveals how a
J ava technology-based solution has tranrformed their
business-to-business ecommerce. (Jamary 14)
Consumer Products Converge on the Net
Networked consumer devices were an obvious trend at the
Consumer Electronics Show this month, and Java'm and
JinF* technologies are at the heart of many. (Jcovxoy 13)
PersonaUavam Emulation Environment
i/ V *
V î
1*
3X3 of the PersonaU ava™ émulation environment,
which aliows ISVs to test their software using Touchable
Look-and- Feel has been released with the PersonaU ava
L'univers Java sur h ttp ://java.su n .co m
tiple (E iffel, Python, e tc .), cela ne pose
au cu n p ro b lè m e , la s itu a tio n d e v ie n t
c e p e n d a n t a u tre m e n t plus co m p liq u ée
Notons ici une différence fondamentale
avec C++ : Java ne distingue pas déclara­
tion et définition. Il est donc difficile de
dans un langage à héritage simple, comme
Sm alltalk ou Java. Voici un exem ple qui
prouve qu'une conception ne peut pas être
totalement indépendante du langage d'implémentation. En Smalltalk, il y a toujours
moyen de modifier le modèle objet pour
s'adapter à la conception. En Java, l'affaire
séparer interface et implémentation, mais
une solution très efficace se voit proposée :
recourir à l'utilitaire javadoc, lequel crée
une documentation Html à partir de com­
se révèle bien ép in eu se, car le m odèle
objet est figé. Il convient donc de revoir sa
copie, du côté de la conception.
m entaires placés dans le code. La classe
Polygone est abstraite et contient une
méthode abstraite, forçant les sous-dasses
concrètes à retourner un nom pour le poly­
gone. En fait, un polygone régulier repré­
sente une catégorie de polygone ; il s'agit
â
Home
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Guida
/ l o c t l / } A l 2 /d o cs/« p i/ia d < x h t» l
77-
|P ac* 3 g e C la n Usa
J a va™ P l a t f o r m 1 .2 A P I S p é c i f i c a t i o n
: J «va PUrfcrm care API.
P w rrfÿ tfa in
Ab«ractCoflccaon F
Ab »t.~?cK ' ti ;rC h; o k (
Cantate* sD d th e classe* fo r c reatte* u s e r interface*
and for patocng jr a f t i c j and im a fe s
Ab««ractDpcunn^M
dfevjctftsanr.
ja£& 4K L££kt£
^teactMiE
ProvWes interface* and classes for tra n j/rn -in j d a ta
b etw een and wtfthtu application*.
jjm ^ E L ib d
Provides interface* t o i d a s t e s for luppcrtlnp
d ra § -a n d -d ro p optraOcr.*.
j n a K l R v rn t
Provides interfaces and cla sse s for deattog w sh
(SCernât types of events fired by AV/T co m p an en ts
l a
Provides tb e Ja v a 2 D cla sses far deffedni and
perfornsng opérations on objects retefed to
[;
m th m m
Toute classe qui im plém ente
mes_polygones[i]).getName();
cette interface doit donc pro­
poser une m éth o de getSur-
surface de : B+surface);
int name = ((Polygone)
,-. c !T sc ' 1,' .~xki ablt HCittj '
J n u a ilB
AC££21^»ZC2lCjB/£aAC v ^ £ g a 2.l£Kgg:
(jn a jg y —
A c c ts s C o rtro Ie r
Surfaceable {
static private string name =
■CARRE';
A c ü y à ic & a li!
6œcs:£k£fBEe.i
Provides classes for ereatln * and m otafy tej a n a le s
jjSSM K V JK Jot
Provides d a s s e s and in terfaces fo r a je n e ra l prtnonfc
A PL
iJiH Ü K U K
C ontâtes c la sses rela te d to Ja v a Beans developm ent
•jtt ««
Javadoc : un compagnon essentiel
de vos programmes Java.
public Carre(int longueur_cote)
{
)
public string getNameO
{ return
name; }
public int getSurfaceO {
return this.getLongueurCoteO *
Polygone {
private int longueur_cote;
this.getLongueurCote();
public PolygoneRegulier(int longueur_cote,
}
}
int nb_cotes) {
On a ici une preuve de la puissance des
in te r fa c e s , le s q u e lle s p e rm e tte n t de
"réunir" des objets derrière une propriété
donnée. Notez cependant qu'il s'avère sou­
v en t nécessaire d 'u tiliser l'o p érateu r de
cast. Notre petite étude nous perm et de
conclure que Java offre un m odèle objet
super(longueur_cote,2)
^
d'une sous-classe :
abstract class PolygoneRegulier extends
surf_totale += surface;
■+surf_totale;
implements
Provides d a s s e s and teterfaces for productes
re n d e œ g -m d e p c n d e n t im a je s
ArcfjtEjxcpOoo
A a re m b U
4eaixM€6ctë>s
a une
System.out.println(“La surface totale est :
PolygoneRegulier,
Provides cla sse s aed an Interface (or th e Joput m etbod
t
+ name -h
}
fe & rra c tT M ic M r i t i j :
A ir x iü V t iz c c
System.out.println(*Le
class Carre extends
{?
Provides classes and interface r d a t i c j to fonts.
A h f ia c M f ia t f E c B ij’
ASiïas&UueffiiiLi*
Provides classe* ta r co ter jpace*
Ijn u a é M B B rfK
A S ü r ir t ijjiils ic j
mesjpolygones[i].getSurface();
sente comme suit :
Provtdes th e c ia iie * n e c e s ia ry te cro a te an ap p k t
and th e d a tte s an appief uses to cararm adcate wfeh fti
appiet c o n ta c t
jn s u n id
}
face. Notre classe Carre se pré­
J a v a P i a l f o r rn F a c ic a g e s
littw e i
int surface =
public int getSurfaceO ;
ë
a»?
super(nb_cotes);
this.longuer_cote = longueur_cote;
Amusez-vous m aintenant à créer d'autres
public int getLongeurCoteO { return
figu res g éo m étriq u es : tria n g le s, h e x a ­
gones, polygones ouverts, etc. L'utilisateur
original mais efficace. Le seul "problème"
éventuel concerne l'héritage multiple ; tou­
tefois, si les interfaces ne représentent pas
une solution totalement satisfaisante, elles
offrent m algré tout au langage un outil
novateur et très puissant. Notez qu'il n'y a
aucune difficulté à implémenter des inter­
faces sous form e de classes abstraites ; à
l'arrivée, il app araît donc qu'une bonne
conception pour Java "fonctionne" aussi
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
}
longueur_cote; }
}
Cette classe ne comporte pas de méthode
abstraite, mais est déclarée abstract (l'utili­
sateur n'a pas besoin de "p rivatiser" le
constructeur). Le mot réservé "super" per­
met d'envoyer le message "constructeur" à
la superclasse, ce qui autorise le chaînage
des constructeurs (et évite ainsi l'exploita­
tion de champs "protected").
Le carré : un polygone régulier
et "surfaceable"
Nous l'avons vu ci-dessus, un carré est à
la fois régulier et ferm é. On a donc la
capacité d'en calculer facilem ent une sur­
face. Néanmoins, on ne saurait hériter de
d e u x cla sse s P o ly g o n e R e g u lie r et
Polyg o neSurface. Il y au ra it m oyen de
créer un cas particulier de carré, dont on
puisse déterminer la surface, mais on perd
alors le polymorphisme lié à la propriété
"surfaceable" (dans la langue de Shakespea­
re). La solution Java passe par l'utilisation
d'une interface, qui transm et un certain
nombre d'informations sur une propriété
"fonctionnelle" d'un objet. On se trouve
alors en mesure d'établir la surface d'un
a moyen de prendre en com pte d'autres
propriétés : calcul de périmètre (le polygo­
ne doit être fermé), polygone convexe ou
concave, etc. Et voici un piège : après avoir
d éfin i T ria n g le , essayez de d é te rm in e r
T ria n g le E q u iLa te ra l. C o n tra ire m e n t aux
classes, les interfaces peuvent hériter de
plusieurs interfaces. Une classe est égale­
ment apte à im plém enter plusieurs inter­
très bien en C++ !
Fred Pesch
La f i n de la g e s t i o n
m ém oire
Java dém ocratise un p ro céd é connu
depuis plus de vingt ans : le Carbage
Collector, plus connu sous le diminutif de
C C. Ceci signifie la fin des bugs ou des
fuites de mémoire liés à la gestion de
type réservation-libération. Avec Java (et
faces, mais nous restons encore loin de
l'héritage multiple.
U tiliser les classes Java
Une fois la hiérarchie de classes et d'inter­
faces établie, il convient maintenant d'ex­
ploiter celle-ci. On veut donc gérer des
polygones, en général de m anière poly-
Smalltalk, Eiffel, etc.), le C C empêche ces
pro b lèm es sans a lo u rd ir de façon
désagréable l'exécution du programme.
M ais gestion mémoire et gestion des
ressources sont deux choses différentes :
ainsi les sockets, par exemple, doivent
morphique (un ensemble de polygones ou
de polygones réguliers, e tc.). Supposons
que notre but se limite à calculer la surface
totale d'un ensemble de polygones. Il fau­
dra po ur ce fa ire avo ir la c e rtitu d e de
être libérées à la main ou gérées par des
finaliseurs (proches de destructeurs de
C++). Dans le même esp rit, C + + (à
travers la 5TL) montre qu'il est possible
d'automatiser une partie de la gestion
m anipuler des polygones "surfaceables".
mémoire sans recourir aux algorithmes
On écrira alors par exemple :
un peu plu s lou rd s de C a rb a g e
Collecting. Une bonne conception objet
pe rm et d 'ailleurs de défin ir assez
clairem ent les besoins en m atière de
création/destruction d'objets. Mais il est
Surfaceable[] mes_polygones = new
Surfaceable[3];
mes_polygones[0] = new Carre(10);
mes_polygones[1] = new
carré ; on dira à ce moment-là qu'il est
"surfaceable". Voici l'interface Java associée :
mes_polygones[2] = new Etoile(lO);
indéniable que la sim plicité de Java
provient en partie de la présence du CC,
int surf_totale = 0;
alors ne gâchons pas notre plaisir !
interface Surfaceable {
for(int i=0;i<mes_polygones.length;i++) {
TriangleEquiLateral(5) ;
Finissons-en
avec les
JavaBeans!
Nous allons terminer notre
initiation aux JavaBeans en
présentant une manière très
simple de créer des interfaces
utilisateur adaptées aux Beans,
orsqu'on se co n te n te d 'u tilise r les
"design patterns" de la façon prescri­
te, BeanBox (ou tout autre logiciel
capable de manipuler les Beans) se trouve
en m e su re de d é te c te r les c h a m p s et
méthodes que possède notre Bean, et de
proposer une boîte de dialogue par défaut
l'utilisateur entrer les valeurs "à la main",
sous form e de chaînes de caractères. La
troisièm e option octroyée au program­
meur correspond à celle que nous allons
voir en pratique. Elle donne la faculté de
remplacer totalement la boîte de dialogue
qu'offre BeanBox par quelque chose de per­
sonnalisé, à savoir les Customizers (littéra­
lement, "personnaliseurs").
L'interface Custom izer
Son principe se révèle très simple : lors­
qu'on écrit la classe qui définit un Bean, on
fo urnit égalem ent une deuxièm e classe,
laquelle déterm ine son "personnaliseur",
Celui-ci n'est autre que la boîte de dialogue
affichée par BeanBox, lorsque l'utilisateur
sélectionne notre Bean ! Cela signifie que
le p e rs o n n a lis e u r d o it h é rite r de
S
t is
-
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u
i£
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t e
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p
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LA ŸRoG BM M KriqN !
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ù
L
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
pour en éditer les valeurs. Cependant, le
programmeur peut désirer offrir à l'utilisa­
teur une interface plus co nviviale, grâce
a u x "B e a n ln fo s". En ré a lité , l'in te rfa c e
Beanlnfo a pour rôle de fournir à BeanBox
to u tes les in fo rm a tio n s c o n c e rn a n t un
Bean. Il s'agit d'une interface assez vaste et
com plexe, qui présente en principe trois
avantages. Prem ièrem ent, elle autorise la
non-utilisation des "design patterns" en
d é c la r a n t e lle -m ê m e ce q u e so n t les
champs d'un Bean, les méthodes permet­
tant d'y accéder, la nature des événements
gérés, etc. G én éralem en t, il vaut m ieux
éviter d'avoir recours à cette éventualité,
car sauf cas (très) particuliers, elle n'appor­
te pas d'intérêt supplémentaire et suscite
parfois une certaine confusion chez l'utilisa­
teur du Bean. La seconde possibilité propo­
se un "éditeur de champs" (property editor) : ainsi, il y a moyen, entre autres privi­
lèges, d'associer un éditeur à la classe Toto,
tandis que les cham ps de type Toto de
notre Bean se verront désormais représen­
tés par notre éditeur. Il existe un exemple
de ce cas de figure dans les boîtes de dia­
logue par défaut offertes par BeanBox : les
couleurs et polices de caractères possèdent
leurs propres sélecteurs, au lieu de laisser
O A fK u jjse n L p im q
:3 < $ N (il3 D
cas particulier, il nous suffira de créer une
cla sse d é riv é e de S im p le B e a n ln fo , en
réécrivan t sim plem en t les m éthodes de
Beanlnfo qui nous intéressent. En l'occur­
re n c e , n o u s a llo n s é c rire sa m é th o d e
getBeanDescriptor, qui, com m e son nom
Reglez la vitesse de Thorloge
Après : notre personnaliseur en action.
Component, afin que BeanBox puisse l'instancier et l'ajouter à sa fenêtre. On a la liber­
té de faire faire absolument ce que l'on veut
au personnaliseur, à condition seulement
qu'il im plém ente l'interface Custom izer.
Pour sa part, elle reste très simple, car elle
ne d éclare q u 'u n e seule m é th o d e :
logique HorlogeCustomizer :
public class HorlogeCustomizer extends Panel
implements Customizer, AdjustmentListener {
private Horloge bean;
private Scrollbar sb;
private PropertyChangeSupport pcs=new
PropertyChangeSupport(this);
setObjectO- BeanBox l'appelle lorsque l'utili­
sateur sélectionne un Bean qui compte sur
les services de notre personnaliseur. Le rôle
de setObject consiste donc à indiquer au
personnaliseur l'instance du Bean dont on
veut modifier les valeurs. Lorsque l'utilisateur
naliseur". Nous n'allons pas rentrer dans les
détails de Beanlnfo, des descripteurs de
Beans ni des mécanismes internes mis en
jeu : pour une utilisation pratique dans le
cadre de cette initiation, il nous suffira de
connaître la recette :
public void setObject(Object o) {
public class HorlogeBeanlnfo extends
// Cette méthode est
appelée lorsque l'utilisateur
désire éditer un Bean 'horloge
delay
6 0 0 0 (|
bean=(Horloge) o;
les a transformées à l'aide de l'interface affi­
chée par le personnaliseur, celui-ci doit nor­
malement émettre un PropertyChangeEvent,
afin de renvoyer les nouvelles valeurs au
Bean. Néanmoins, bien que cette démarche
ne soit pas "propre", il demeure possible de
faire plus simple, en appelant directement
les méthodes setXXXO à partir du Bean qui
nous a été indiqué par setObject !
l'indique, retourne à BeanBox un descrip­
teur du Bean. Nous voulons que celui-ci
indique que ce Bean dispose d'un "person­
// Créer et placer
Avant, l'interface par défaut proposée par BeanBox.
1 'ascenseur
SimpleBeanlnfo {
sb=new Scrollbar(ScrolIbar.HORIZONTAL,
0, 10, 1, 60);
public BeanDescriptor getBeanDescriptor()
{
sb.addAdjustmentListener(this);
return new
sb.setValue(bean.getSpeed());
BeanDescriptor(Horloge.class,
add(sb);
HorlogeCustomizer.class);
}
}
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Application : on accélère le temps
Nous avo ns ré a lisé le m ois d e rn ie r
un p etit Bean "h o rlo g e ", qui ém et un
PropertyChangeEvent toutes les minutes.
Ajoutons-lui à présent une option pour
"accélérer le temps", c'est-à-dire pour inten­
sifier le débit des minutes (comme dans la
plupart des jeux de simulation). Cela consis­
te à lui ajouter un champ :
public void
addPropertyChangeListener(PropertyChangeListe
ner 1) {
pcs.addPropertyChangeListener(1);
}
public void
removePropertyChangeListener(PropertyChangeLi
stener 1) {
pcs.removePropertyChangeListener(1);
}
private int delay;
public void
C elu i-ci indique le nom bre de m illis e ­
condes séparant deux "tics" de l'horloge.
Bien sûr, on fournit les deux méthodes qui
l'accompagnent :
adjustmentValueChanged(AdjustmentEvent ae) {
// Ajuster le délai de l'horloge
int nval=sb.getValue();
public void setDelay(int d) { delay=d; } -•
bean.setDelay(60000/nval);
public int getDelayO { return delay; }
pcs.firePropertyChange(null, null,
null);
On doit à présent modifier la ligne de tem­
porisation pour tenir compte de ce délai ;
cela donne :
thread.sleep(delay);
(dans la version initiale, nous avions codé
en dur une attente de soixante secondes).
Ainsi amélioré, notre Bean possède donc
un champ Delay et, par défaut, BeanBox
offre une boîte de dialogue, afin d'en fixer
la valeur. Cependant, nous préférons offrir
à l'utilisateur un ascenseur, grâce auquel il
pourra régler lui-même la vitesse de l'hor­
loge. Nous devons donc écrire le "person­
naliseur", que nous appelons en toute
}
)
}
Comme on le voit, écrire un personnaliseur
s'avère très simple. Il ne reste plus qu'à l'as­
socier à notre Bean, pour pouvoir l'utiliser
dans BeanBox. Cela s'effectue par l'intermé­
diaire de l'interface Beanlnfo.
La classe Sim pleBeanlnfo
L'interface Beanlnfo étant assez longue à
implémenter dans sa totalité, les concep­
teurs de java ont eu la bonne idée de four­
nir la classe Sim p leB eanlnfo , qui im p lé­
mente cette interface avec tous les com ­
portements par défaut. En pratique, et sauf
Nous créons ainsi un Beanlnfo personnalisé
pour notre horloge. Le co n stru cte u r de
BeanDescriptor prend deux paramètres : le
prem ier indique la classe du Bean et le
second, la classe de son personnaliseur.
D an s n o tre e x e m p le , c e tte cla sse
HorlogeBeanlnfo indique à BeanBox que le
Bean H o rlo g e a p o u r p e rs o n n a lis e u r
HorlogeCustomizer.
Et ça m arche ?
A près a vo ir co m p ilé to u t cela dans un
fichier .jar (attention, ne pas oublier d'indi­
quer HorlogeBeanlnfo dans le fichier de des­
cription de l'archive !), on peut le charger
dans BeanBox pour te n te r l'e xp é rie n ce .
Auparavant, on possédait une boîte de dia­
lo g u e p o u r s a is ir la v a le u r du c h a m p
"delay". Désormais, elle a laissé la place à
notre ascenseur, qui remplit le même rôle
de façon beaucoup plus conviviale. Avec ce
mécanisme, nous sommes capables d'éla­
borer des interfaces utilisateur adaptées
pour tous les Beans que nous pouvons
écrire ! Nous en savons m aintenant assez
p o u r c o m m e n c e r à t r a v a ille r a ve c les
Beans ; aussi, nous changerons de sujet le
mois prochain, où nous utiliserons le RMI.
Il ne s'agit pas de l'aide sociale, mais d'un
m écanism e grâce auquel nous passerons
dans le monde des applications réparties,
pratiquem ent sans effort supplémentaire.
&
Program m ation
d'interfaces
graphiques sous BeOS
(2ème partie)
"Après avoir appuyé sur les touches appropriéesFreeman
attendit patiemment que le sujet repasse du mode régressé au
mode réel. " (Sur l'onde de choc, John Brunnel). Voici en
quelques mots le sujet de notre article mensuel !
Le but du jeu consiste à insérer dans la liste
le texte saisi, par sim ple pression sur la
touche ENTER ou en cliquant sur le bouton
AJOUT.
Le théorèm e de la conception
im m aculée
Pour mieux appréhender ce qui va suivre,
revenons sur la structure de notre code.
Celui-ci occupe deux fichiers. Un fichier en­
tête, Gui.h, sera inclus dans le fichier source
Gui.cpp et contiendra la définition de notre
interface :
class GuiFenetre : public BWindow {
public:
.GuiFenetre();
virtual
-GuiFenetre() ;
virtualvoid
MessageReceived(BMessage *message);
virtual bool
our le m om ent, notre application
n'est qu'un squelette. Nous allons lui
m ère de tous ces élém ents est une vue
(View) à laquelle les enfants sont très atta­
insuffler la vie grâce à quelques lignes
de code supplémentaires. Si vous avez man­
qué le début, sachez que notre application
se compose de trois objets élémentaires : un
champ de saisie nommé "champSaisie", un
bouton "button" et une liste intégrée à un
objet qui va gérer le défilem ent de ladite
liste, nommée "ElementsListe".
Le tout constitue une famille respectable ; la
chés (fonction AddChild()). Sans ce lien si
fort qui les unit, vous obtenez une famille
éclatée, le bouton, la liste et le champ de sai­
P
sie faisant preuve de beaucoup d’individua­
lisme (voir les captures d'écrans du numéro
p ré c é d e n t). C o m m e elle d o it m o n tre r
l'exemple à sa progéniture, la vue est ellemême attachée à la parenté ultime, à savoir
QuitRequestedO;
void
AjoutDansListeO;
BListView *
ElementsListe;
BTextControl *
champSaisie;
};
Point de m ystère. Cela ne s'invente pas,
no tre p ro to typ e d érive de la classe
BWindow. Tout est là pour nous faciliter la
tâche. Le mois dernier, nous avons implémenté le constructeur GuiFenetreO en défi­
nissant et assem blant tous les éléments
constituant l'interface : description de la
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la fenêtre.
U n e I n t e r f a c e G r a p h iq u e S im p le
Ajout dans la liste:
fenêtre (taille, apparence), création du bou­
ton, du champ de saisie, de la liste, etc. Tout
cela est écrit dans le fichier Gui.cpp. La fonc­
tion membre QuitRequestedO se compose
du code qui déclenche l'arrêt de l'applica­
tion (lorsque l’on clique sur le bouton de fer­
meture de la fenêtre).
Tout un programme)
Ajout
bool GuiFenetre::QuitRequestedO
{
L is t e d e s a jo u t s
be_app- >Pos tMes sage (B_QUIT_REQUESTED) ;
Bêta répond :
se s plis géométrodynamiques
se gaufrent et se déploient
à travers des topologies complexes
return true;
}
Une subtilité se cache derrière ces deux
lignes de code. Nous postons le message
B_QUIT_REQUESTED à l'intention de l’appli­
cation (be_app). Celle-ci va demander aux
fenêtres l'autorisation de se détruire. Voilà ce
qui arrive par exemple quand vous souhaitez
quitter votre traitement de texte sans avoir
sauvegardé votre document. Simple ques­
tio n de sa v o ir-v iv re . Si la fonction
QuitRequestedQ renvoie le booléen TRUE,
cela veut dire que l'application va s'arrêter.
<
l
La liste obéit, démarre, veille.
r>
Si nous modifions notre code pour retourner
la valeu r FALSE - ce qui signifie que la
fenêtre n'autorise pas sa propre destruction
- alors, l'application restera active. Toutefois,
l’action fait cruellement défaut. Plongeons
sans plus tarder dans le coeur du sujet.
"Impossible
"Non, pas
im possible... car c'est lui le Kw isatz
Haderach !" (Alia, Dune).
Certains (Jeff Goldblum et ses am is, par
exemple) réussissent l'exploit de transmettre
des virus à des ordinateurs alien (E.T. se four­
nit chez Intel, nul ne l'ignore)... par consé­
quent, nous devrions sans trop de difficultés
parvenir d'un simple clic à alimenter notre
liste. Qui dit clic, dit message. L'émetteur du
message correspond à notre bouton ; pen­
chons-nous à nouveau sur la manière dont
nous l'avons défini :
Dans notre exem ple, nous nous débran­
ch o n s
vers
une
au tre
fo n c tio n
une lis te . N o tre item à no us sera
U n E le m e n t, c ré é à p a rtir de l'o b je t
BListltem et du contenu du champ de sai­
(AjoutDansListO), exclusivement consacrée à
l'alim entation de la liste. Trois lignes de
code supplémentaire suffiront pour parache­
sie. Ainsi, BStringltem définit notre élément
comme une ligne de texte. Quelle différen­
ce y-a-t-il entre BListltem et BStringltem ?
En fait, celui-ci dérive du premier, qui est
ver notre chef-d'oeuvre.
void
un objet abstrait ; Bstringltem affiche l'élé­
ment, alors que BListltem ne définit que
des propriétés (taille de l'élément, sa posi­
tion, etc.).
La récupération du texte saisi s'effectue en
GuiFenetre::AjoutDansListe()
{
BListltem *UnElement = new
BStringItem(champSaisie->Text()); // On
construit un item
utilisant la fonction Text(). Addltem(), fonc­
tion de l'objet BListView, ajoute l'élément
créé dans la liste. Par souci de propreté,
nous décidons d'effacer le texte du champ
ElementsListe->AddItem(UnElement); // ajout
BButton *button = new BButton(BRect(25,47,
de l'item dans la liste
314, 57), "Ajout", "Ajout", new
champSaisie->SetText(""); // RAZ du champ de
BMessage(AJOUT));
saisie
de saisie après son ajout dans la liste ; là
réside le rôle de champSaisie->SetText(""). *
"C 'était quelque chose de tout à fait neuf
dans le domaine des logiciels autonomes"
(Messages de l'univers, David Brin)
}
Toute action liée à notre bouton se traduira
par le message AJOUT. Le clic de souris sur le
bouton, mais aussi la pression sur la touche
ENTER, constituent une action. Ce dernier
événement n'est pas systématique ; avec
une telle construction, il ne se passera rien
dans l’application, même si vous vous achar­
nez sur le clavier. Pour parvenir à un résultat,
il faut positionner le focus sur ce bouton dès
la création de la fenêtre. Ajoutons alors le
code adéquat dans notre source en fin de
définition du constructeur GuiFenetreO :
C'est ici que les éléments vont s'ajouter un à
un dans la liste. A ce stad e, nous vous
conseillons de prendre du recul et d'admirer
la beauté de l'ensem ble. En
sample-code
effet, n'oublions pas que nous
manipulons une liste, c'est-àdire un objet pouvant conte­
nir n élém ents, et qu'il faut
afficher celui-ci. D'autre part,
File
p ren o n s en co m p te que
le n o m b re d 'é lé m e n ts (le
nombre de lignes donc) peut
dépasser la taille de la fenêtre,
ce qui induit l'utilisation de
Window
£ 5 3Dlife
£ 3 BasicButton
3
BeBounce
Ç j ? buslogic
£ 3 ButtonWorld
3
CDButton
Ç j Chart
3
Clook
£ 3 Container
Ç j ? doodle
3
DropWorld
3
£ 3 EtherPCI
£ 3 Fold erW atcher £ 3 G LT e a p o t
£ 3 HelloWorld
£ 3 imaging
£ 3 Indexer
£ 3 inquiry
3
3
£ 3 LoadAddon
£ 3 Magnify
£ 3 MailMarker
£ 3 Mandelbrot
£ 3 MenuWorld
3
dynadraw3
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GuiFenetre::GuiFenetre() ---
button->MakeDefault(true); // par défaut, le
focus est sur le bouton
}
Le message AJOUT ne contient ni "à-pro­
pos" ni données (voir notre premier article
sur la programmation des messages). Il s'agit
juste d'indiquer au système que le bouton a
été enfoncé. La fonction M essageReceived(BMessage *message) symbolise notre
point de rendez-vous avec cet événement ;
la voici :
void
GuiFenetre::MessageReceived(BMessage
*message)
{
switch(msg->what) {
case AJOUT: // message transmit par
1'activation du bouton
AjoutDansListe(); // fonction ajout du
texte saisie vers la liste
break;
default:
BWindow::MessageReceived(message);
break;
}
}
Le schéma est clair : le déclenchement du
bouton crée un message dans l'application.
Celui-ci se voit intercepté par cette fonction.
barres de défilem ent. Vous
l'a u re z re m a rq u é , nous
n'avons pas à nous préoccu­
per de tout cela, car ces fonc­
tions sont inscrites dans les
gènes des objets que nous
m anipulons. Rappelez-vous,
B L istV ie w (o b je t à p a rtir
d u q u el nous avo n s créé
Elem entsListe) repose sur la
MultiLock
ieo9660
£ 3 nervous
LiveQ ueryA pp
m essageworld
PageFlipper
r
£3ppm
£ 3 People
p refs_a rticle
£ 3 Puise
3
Q Sort
3
£ 3 QuickPaint
3
Scripter
£ 3 scrollbarapp
s c s ija w
£ 3 TextEditor
£ 3 W atcher
classe BList. Celle-ci contient
toutes les propriétés spéci­
47 item*
1
fiques à une liste (recherche,
ajout, suppression d'éléments,
etc.). BlistView ne fait qu'affi­
cher la liste. Le défilement dans la liste est
automatiquement géré, à partir du moment
où nous avons intégré ElementsListe à un
objet créé à partir de BscrollView ; en effet,
sa fonction consiste justement à administrer
les barres de défilement.
C'est pourquoi notre application se résume
à:
QueryApp
£ 3 so n ic_vib es
£ 3 Stars
£ 3 translate
£ 3 V oteO ften
R4 Sample C o d e Info
L I
Prise de sample.
On com pile ? Nous pouvons agrém enter
notre soft de quelques améliorations et/ou
de fonctions nouvelles, accessibles par des
m enus. Le principe reste le même ; agir
sur un menu revient à élaborer un messa­
ge qu'il faudra intercepter. BeOS R4 vous
laisse tout le loisir de vous amuser : il est
livré avec un compilateur complet et une
1- Assembler les objets de l'interface
2- Intercepter toute action sur le bouton
3- Ajouter les éléments saisis dans la liste.
kyrielle d'exem ples de program m es, les­
quels vont bien au-delà du simple "Hello
W orld". Pour les néophytes connectés, il
AjoutD ansListe() se révèle d'ailleurs ellem êm e très sim ple à co d er. Un élém ent
d'une liste s'appelle un "item". On ne peut
ajouter que des données du type "item"dans
e x is te un site W eb in d is p e n s a b le
http://www.birdhouse.org/beos/npc/
:
Christophe Morvant
http ://perso, easynet. fr/~kubernan/index. html
B lit z B a sic
Une interface
graphique pour
Adoom
désigne le chemin complet du fichier.
Pour rafraîchir l'affichage de la ListeView
lors d'un changem ent de fichier ".wad"
on se sert de la fonction GTChangeList
1,10 (pour effacer la liste) et de nouveau
de GTChangeList 1,10,M aList() (pour affi­
cher à nouveau la liste avec les nouvelles
m odifications de la liste M aList()). Petite
astuce : pour éviter que la ListeView ne
dérape sur les W orkbench patchés avec
VisualPrefs, il suffit de mettre dans le code
SetErr:End SetErr:Free GTList 1 lorsque l’on
fait un Free GTList.
Le Blitz est l'outil de développement idéal pour concevoir
de petites interfaces graphiques. Voici par exemple comment
contrôler les paramètres d ’une ligne de commande
avec des boutons...
Pour activer un gadget, il suffit d'utiliser la
com m ande "GTToggle 1 ,1 ,On", qui acti­
vera le gadget de la GTList 1 avec l'ID 1.
"O n" peut être rem placé par la valeur
numérique -1. Une fois le gadget activé, il
c o n v ie n t de tap e r Redraw 1,1 afin de
programme. En fait, le Dim sert à mettre
des v a le u rs d a n s d iv e rs e s "ca se s" (le
nombre de cases correspondant au numé­
ur Amiga, Doom se présente comme
une com m ande à lancer depuis le
S
S h e ll et à la su ite de la q u e lle il
convient de préciser plusieurs paramètres
abscons. Pourquoi ne pas plutôt passer par
une interface graphique, laquelle permet­
trait d'un simple clic de souris de choisir ses
niveaux, sa résolution d'écran ou encore
l'optimisation du processeur ? La chose est
en fait très simple à mettre en œuvre, grâce
ro entre parenthèses situé à la fin de la
variable, auquel il faut ajouter 1, puisque le
prem ier élém ent est num éroté 0 et non
1) ; la suite de ces cases forme une liste.
L'exploitation conjointe avec l'instruction
List permet par conséquent de simplifier la
redessiner le nouvel aspect du gadget.
Pour désaciver le gadget, il suffit de rem­
placer "On" par "Off" ou par la valeur 0, et
e n s u ite de ta p e r une fo is encore un
Redraw 1,1.
Pour faire fonctionner cet exemple, vous
d e v e z s é le c tio n n e r , d an s le menu
"Com piler", l'item "Com piler Options..."
(r a c c o u r c i A m ig a
O ) et inscrire
b lit z lib s ia m ig a lib s .r e s d ans la case
"Résident"
Benjamin Vernoux
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m anipulation de ces listes, par exem ple
pour les trier avec l'instruction SortList.
au Blitz Basic. Dans le principe, on utilise les
Interface
El
doon2.wad
vortpak.wad
V ide
Vide
Vide
Vide
Fich iers
Type
Chenin
. wad
p o u r RDoorc v 1 . 6
SFX Jg m
Music
I **''
RTG I
cpu
d ' f l Doo n
RT. MRP
I
l
Joypad I
I
l
D. Mat c h | " " j
I MapOnHu
nn
d'Ecran
Souris
MMU
S
I S
038
$00021000
[Work : J e u x / R c t i o n / D O O M / f l D o o n
Lancer
RDoon
Serez-vous grincheux ou dormeur, devant Adoom ?
resso u rces d 'in tu itio n p o u r a ffic h e r et
rendre interactif les divers éléments de l'in­
terface et on lance, depuis notre program­
m e, AD oom a v e c to u s les p a ra m è tre s
demandés par l'utilisateur. Petit bonus, on
Dans la lecture des préférences, l'instruc­
tion Filelnput 0 signifie que l'on lira dans
le fichier 0, ouvert par ReadFile. Ensuite,
Edit$(4) veut dire que l'on récupérera au
m axim um quatre caractères au début du
peut même sauvegarder sa configuration.
Pour créer l'interface d'ADoom, nous avons
eu recours à GUIToolKitV2.5 (créé par Tony
Docker). Ce logiciel d'aide à la conception
fichier 0. Si l'on rencontre un retour cha­
riot avant d'avoir lu ces quatre caractères,
on prendra alors ceux présents jusqu'au
retour chariot. L'instruction Val précédant
g ra p h iq u e se tro u v e su r A m in e t :
h ttp ://u k .a m in e t.n e t/~ a m in e t/d irs/a m i-
E d it î précise que ch aq u e ca ra ctè re de
type string (.s ou $) récupéré sera converti
en valeur numérique dans une variable .b,
.w ... etc. Enfin, M aList()\bitem correspond
net/dev/basic/GUIToolKit.lha.
Les points im portants
On remarquera que les instructions Dim et
List s'utilisent de manière couplée dans le
au nom du fichier ".w ad" qui s'affichera
d ans la L iste V ie w , et C h e m in ()\ b ite m
F o n c t i o n n e m e n t de notre
interface
Dans ce programme, on se sert d'une
Listeview pour sélectionner les fichiers
".wad" que l'on souhaite lancer. On
sélectionne donc un emplacement dans
la Listeview avec la souris et on appuie
sur le bouton "Fichiers .wad" pour y
insérer le fichier ".wad" désiré. On peut
entrer ainsi jusqu'à dix fichiers ".wad".
Ensuite, pour utiliser tel ou tel fichier
".wad", il faut simplement mettre celui-ci
en "surbrillant", en cliquant dessus.
Lorsque vous appuyez sur le bouton de
fermeture de la fenêtre, les préférences se
sauvegarderont automatiquement dans
le rép ertoire coura nt, sous le nom
ADoom.prefs. Les autres options sont très
faciles à com prendre. Vous pourrez
rem arquer que l'interface ressemble
beaucoup à celle d'ADoom GUI VI.I
(créée par Mladen Milinkovic), ce qui ne
su rp ren d guère, car nous nous en
sommes beaucoup inspirés. Attention :
veillez à ne pas spécifier dans l'interface
un argument qui le serait déjà dans la
rubrique Tooltypes d'une éventuelle icône
de l'exécutable Adoom.
WBStartup
Case 3 /Bouton Souris
WbToScreen 0
If EventCode=l Souris$='-mouse
NEWTYPE.listview
":Sourisl=-l Else Souris$="*:Sourisl=0rEndlf
aitem.w
Case 4 /Bouton Music
bitem.s
If EventCode=l Music$="-music ":Musicl=-
End NEWTYPE
1 Else Music$="':Musicl=0rEndlf
DEFTYPE.w SFX1,MMU1,Sourisl,Musicl,RTMAP1,Joypadl
DEFTYPE.w RTG1,MapOnHul,DMatchl,fichier,CPÜl
Case 5 /Bouton RT.MAP (Rotation de la carte
de Doom)
MaxLen pa$=192
If EventCode=l RTMAP$="-rotatemap
MaxLen fi$=192
*:RTMAP1=-1 Else RTMAP$="":RTMAP1=0rEndlf
SFX$="-nosfx •
Case 6 /Bouton Joypad
AA$=ProgPath$
If EventCode=l Joypad$="-joypad
p$=GetPathName(AA$)
":Joypadl=-l Else Joypad$=" :Joypadl=0:EndIf
prefs$=p$+"ADoom.prefs" ; Sauvegarde des prefs dans le
Case 7 /Bouton RTG (Utiliser la RTG)
répertoire courant
If EventCode=1 RTG$='-rtg ':RTG1=-1 Else
; sous le nom ADoom.prefs
RTG$="rRTGl=0 rEndlf
GTTags $80080035,*strGad ;pour voir le gadget en
surbrillant
Case 8 /Bouton MapOnHu (Carte de Doom en
surimpression)
AddIDCMP #MOUSEMOVE+#ÎNTUITICKS ; Permet de faire un
scrolling fluide pour le ListeView
If EventCode=l MapOnHu$='-maponhu
':MapOnHul=-l Else MapOnHu$=""rMapOnHul=0rEndlf
Dim List MaList.listview(lO)
Case 9 /Bouton D.Match
Dim List Chemin.listview(10)
For i=0 To 9
If EventCode=l DMatch$='-deathmatch
":DMatchl=-l Else DMatch$="":DMatchl=0rEndlf
If AddItem(MaList()) Then MaList()\bitem =
Case 10 /Listeview Chemin
Vide
fichi er=EventCode
If AddItem(Chemin()) Then Chemin!)\bitem = "
fich$="-file '+Chemin(fichier)\bitem+*
Next i
Case 11 /Bouton Chemin
Gosub ChargerPrefs
; Gadgets de l ’interface
path$=ASLFileRequest$("Fichier
.Wad',pa$,fi$,"#?.wad")
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
GTListView 1,10,10,10,124,58, ’\0,MaList() ,0,0
If path$
GTCheckBox 1,1,189,10,22,8, "SFX\1
err=FirstItem(MaList())
GTCheckBox 1,2,290,10,22,8,"MMU",1
err=FirstItem(Chemin!))
GTCheckBox 1,3,390,10,22,8,'Souris*,1
MaList(fichier)\bitem = fi$
GTCheckBox 1,4,190,30,22,8,'Music*,1
Chemin(fichier)\bitem = path$
GTCheckBox 1,5,290,30,22,8,'RT.MAP',1
GTCheckBox 1,6,390,30,22,8,'Joypad',1
GTChangeList 1,10
GTCheckBox 1,7,190,50,22,8, ■RTG\1
GTCheckBox 1,8,290,50,22,8,'MapOnHu*,!
; permet
d'effacer la liste
GTChangeList 1,10,MaList()
; et de la
réafficher dans le Listeview
GTCheckBox 1,9,390,50,22,8,*D.Match",1
Endlf
GTButton 1,11,10,70,124,14,"Fichiers .wad",16
Case 12 /CycleGadget CPU
GTCycle 1,12,190,70,226,14,'CPU*,1,' Standardl 0201
Select EventCode
0301 0401 060*,CPÜl
Case 0 :CPU$= *":CPU1=0
GTButton 1,13,10,90,124,14,'Type d'Ecran",16
Case lrCPU$='-cpu 68020 ":CPU1=1
GTText 1,14,147,90,268,14, **,1,"
Case 2 :CPU$=*-cpu 68030 ":CPU1=2
GTButton 1,15,-10,110,124,14, "Chemin d ’ADoom", 16
Case 3 :CPU$=*-cpu 68040 ":CPU1=3
GTText 1,16,147,110,268,14,"",1,"’
Case 4:CPU$='-cpu 68060^ ':CPU1=4
GTButton 1,17,10,130,406,14,"Lancer ADoom",16
End Select
Window 1,75,52,440,165,$2 l$4 l$8 I$1000 ,"Interface
Case 13 /Bouton Type D ’Ecran
pour ADoom vl.0',1,2
screenmode.l=RTEZScreenModeRequest("Choix de Mon
AttachGTList 1,1
Ecran')
Gosub Prefs
smod.l=Peek.l(screenmode)
GTDisable l,9:Redraw 1,9
If screenmodeoO
Repeat
smode$="$"+Hex$(smod.1)
ev.l=WaitEvent
GTSetString 1,14,Centre$(smode$,33)
If ev=$40
screenmod$='-screenmode "+smode$+" '
Select GadgetHit
Case 1 ,-Bouton SFX (Effets sonores)
If EventCode=0 SFX$="-nosfx *:SFX1=0
Else SFX$=":SFX1=-1: Endlf
Case 2 /Bouton MMU (Utiliser la MMU)
If EventCode=l MMU$="-mmu ":MMU1=-1 Else
MMU$="*:MMU1=0:Endlf
Endlf
Case 15 /Chemin D'ADoom
ADoomfile$=ASLFileRequest$("Fichier
ADoom’,pa$,fi$,"#?')
If ADoomfile$
ADoom$ =ADoomf i1e$
GTSetString l,16,ADoom$
B lit z B a sic
GTToggle 1,3,Sourisl:If Sourisl=-l Souris$=*-mouse *
Endlf
Case 17 ;Bouton Lancer ADoom
clil$='CON:0/50/640/150/Chargement D'ADoom
Else Souris$=**:Endlf:Redraw 1,3
GTToggle l,4,Musicl:If Musicl=-1 Music$=*-music * Else
Music$=**:Endlf:Redraw 1,4
en cours.../AUTO/CLOSE*
cli$='CON:0/0/640/50/Prefs
GTToggle 1,5,RTMAPl:If RTMAP1=-1 RTMAP$="-rotatemap
Else RTMAP$=": Endlf: Redraw 1,5
d'ADoom/AUTO/CLOSE"
GTToggle 1,6,Joypadl:If Joypadl=-l Joypad$="-joypad
DOOM$=ADoom$+*
•+fich$+screenmod$+SFX$+MMU$+Souris$+Music$+RTMAP$+Joypa
d$+RTG$+MapOnHu$+DMatch$+CPU$+"-forcedemo"+Chr$(10)
; Commandes système pour ouvrir une fenêtre
Else Joypad$=" '.-Endlf :Redraw 1,6
GTToggle l,7,RTGl:If RTG1=-1 RTG$=*-rtg - Else
RTG$=1•:EndIf:Redraw 1,7
GTToggle 1,8,MapOnHul:If MapOnHul=-l MapOnHu$='-
et afficher les prefs
*fhl.l=0pen_(&cli$,1004)
maponhu * Else MapOnHu$=’*:Endlf:Redraw 1,8
errorr.1=FPuts_(*fhl,&DOOM$)
GTChangeList 1,10:GTChangeList 1,10,MaListO
; Commandes système pour ouvrir une fenêtre
GTSetHighlight 1,10, fichier-.Redraw 1,10
fich$="-file *+Chemin(fichier)\bitem+ *
et lancer ADoom
*fh.l=Open_(&clil$,1004)
Select CPU1
Execute_ &DOOM$,*fh,0
Case 0:CPU$="'
succ.l=Close_(*fh)
Case l:CPU$='-cpu 68020 ■
suce.l=Close_(*fhl)
Case 2 :CPU$=*-cpu 68030 *
Case 3 :CPU$='-cpu 68040 ■
End Select
Case 4:CPU$="-cpu 68060 ■
Endlf
End Select
Until ev=$200
Gosub SauverPrefs
GTSetString l,14,Centre$(smode$,33)
CloseWindow 1
SetErr:End SetErrrFree GTList 1
screenmod$="-screenmode •+smode$+* '
Forbid_
GTSetString l,16,ADoom$
End
Return
.SauverPrefs
.ChargerPrefs
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
If WriteFile(l,prefs$)
If ReadFile(0,prefs$)
FileOutput 1
Filelnput 0
SFXl=Val(Edit$(4))
NPrint Str$(SFX1)
MMUl=Val(Edit$(4))
NPrint Str$(MMUl)
Sourisl=Val(Edit$(4))
NPrint Str$(Sourisl)
NPrint Str$(Musicl)
Musicl=Val(Edit$(4))
RTMAPl=Val(Edit$(4))
Rotation de la Carte
NPrint Str$(RTMAP1)
NPrint Str$(Joypadl)
Joypadl=Val(Edit$(4))
NPrint Str$(RTG1)
RTGl=Val(Edit$(4))
MapOnHul=Val(Edit$(4))
Carte en surimpression
NPrint Str$(MapOnHul)
DMatchl=Val(Edit$(4))
Death Match
NPrint Str$(DMatchl)
fichier .wad sélectionné
fichier=Val(Edi t $ (4))
fichier .wad sélectionné
NPrint Str$(fichier)
CPUl=Val(Edit$(4))
type de CPU
NPrint Str$(CPUl)
smode$=Edit$(20)
mode d'Ecran
NPrint smode$
mode d'Ecran
ADoom$=Edit$(192)
Chemin du programme
NPrint ADoom$
Chemin du programme ADoom
err=FirstItem(MaListO )
ADoom
err=FirstItem (MaListO)
err=FirstItem(Chemin())
err=FirstItem(Chemin())
NPrint MaListO\bitem
NPrint Chemin()\bitem
MaListO \bitem = Edit$(120)
Chemin()\bitem = Edit$(192)
For i=0 To 9
succ=NextItem(MaList() ) :NPrint MaListO \bitem
For i=0 To 9
succ=NextItem(Chemin() ) :NPrint Chemin() \bitem
succ=NextItem(MaListO ) :MaList()\bitem =
Edit$(120)
Next i
succ=NextItem(Chemin()):Chemin()\bi tem =
E d i t $ (192)
Next i
CloseFile 0
CloseFile 0
Endlf
Return
Endlf
Return
Nouveau ! Vous pourrez retrouver nos programmes en Blitz
.Prefs
sur notre page WEB :
GTToggle l,l,SFXl:If SFX1=0 SFX$=“-nosfx ■ Else
http://www.chez.com/titan/SourcesBlitz2.html
SFX$= ** :EndIf:Redraw 1,1
GTToggle l,.2 ,M M U l:If MMU1=-1 MMU$="-mmu ■ Else
MMU$=B<:Endlf:Redraw 1,2
Notre page WEB principale : http://www.chez.com/titan/
Pour toute information : [email protected]
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de 59 franco
En cadeau un jeu
d ’a venture complet !
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P C TERP1 H O R S S É R I E n ° 5
S P É C I R L T R B C S E T R 5 T B C E S P C b! R J E bf H P C
UN ATARISTE, UN !
J 'a p p r e n d s p a r le V iru s In fo r­
m a t iq u e q u e v o u s a v e z repris
g r a c i e u s e m e n t le s a n c i e n s
abo nnés de ST M ag. C e bon
g e s t e v o u s h o n o r e et m e fait
p r e s q u e r e g r e t t e r d e n 'a v o ir
ja m a is so u s c rit un a b o n n e ­
m e n t à ce tte revue. Pour vous,
c'est, le m o m e n t ou ja m a is de
cap ter
et
de
fid é lise r
le s
o rp h e lin s q u e n o u s so m m e s
d e v e n u s : p e u t-être existe-t-il
de s a n n o n c e u r s fra n ç a is (ou
a lle m a n d s , v iv e l'E u ro ) qu i
v o u d r o n t b ie n n o u s in f o r m e r
d e le u r e x i s t e n c e et d e leurs
p ro d u its
?
J'im a g in e
que
C o d e f r o y d e M a u p é o u (e x-
nous com m e p o u r vous, une
trée qui p e rm e tte d e co p ie r
com pte p a r Linux et pourrait
grande inconnue : qu'en est-il
a u jo u rd 'h u i du m o n de A ta ri
dans les pays francophones ? Y
a-t-il suffisamment de demande
p o u r q u e n o u s fa s s io n s une
les f ic h ie r s d e v o t r e C D vers
même conduire à des résultats
aléatoires dans le cas où le sys­
tème chercherait quand même
à l'interpréter.
2 ) Pour la première partie de la
offre rédactionnelle encore plus
consistante ? Ou, au contraire,
4 ) M o n é c ra n 1 0 8 5 S d isjo n cte
notre offre est-elle supérieure à
la d e m a n d e d 'u n e p o ig n é e
d 'u tilisa te u rs, q u i se s a tis fe ­
raient d'un fanzine de quartier
mieux ciblé ? La réponse tourne
dans un cercle vicieux : il y aura
la n ce Linux. Pourtant, j'ai bien
d'autant plus de lecteurs qu'il y
aura de nom breux articles et
d'autant plus d'articles qu'il y
a u ra de m u ltip le s le c te u r s .
Alors, voilà, afin de se faire une
idée précise de l'importance de
n otre lectora t A tari potentiel,
n ou s vous in v ito n s, vous les
A ta riste s, à nous en voyer un
simple mot, par courrier ou par
E -m a il, a v e c c e tte sim p le
p h ra s e : "nous vo u lo n s p lu s
d ’Atari". Nous vous com m uni­
q u e ro n s, s u r une p é rio d e de
deux à trois mois, le nombre de
réponses reçues.
m o n d isq u e dur. A m ib o o t - 5 .6
ne se la n ce pas. P ourquo i ?
je a n - C la u d e , Villerupt.
c o m p lè te m e n t
lo rsq u e
je
p r é c i s é " v id e o = a g a " d a n s la
d e u x i è m e lig n e d u s c r i p t d e
l a n c e m e n t . Je n e c o m p r e n d s
pas ce tte in co m p a tib ilité , ce
q u i e s t é t o n n a n t , c a r je suis
tout de m ê m e p ro g ra m m eu r
p ro fe ssio n n e l d e p u is q u in z e
ans.
A n o n y m e (p a r té lé p h o n e ).
5 ) J'ai f o r m a t é la o n z iè m e p ar­
q u e s tio n , la ré p o n se e st la
même que précédemment. Pour
la seconde partie, le Html est le
fo rm a t s ta n d a r d des pages
Web. Les documentations de la
RedHat se relisent donc depuis
un navigateur Web (Ibrowse,
A w eb, V o y a g e r...) ou depuis
M u ltiv ie w , si vous disposez
d'un Datatype Html. En dernier
recours, vous pouvez les consul­
ter en tant que fichiers Ascii. On
y perd cependant un peu en lisi­
bilité et en interactivité.
titio n d e m o n d i s q u e d u r d e
3) On ne peut évidemment plus
1 ,2 G o p o u r L in u x, m a is celui-
voir les partitions Linux depuis
AmigaOS ; nous l'avons même
ci m e dit qu'il ne la t ro u v e pas
lors d e la p r o c é d u r e d 'in sta l­
lation.
A n o n y m e (p a r t é lé p h o n e ) .
7) Pour que Linux retrouve tous
ses fichiers d'installation sans
fa it exp rès ! Souvenez-vous,
nous avions précisé qu'il fallait
cocher l'option "Automount this
p a rtitio n " dans l'article (si le
terme "mount" ne vous dit rien,
relisez donc le manuel de l'utili­
sateur qui accom pagne votre
Amiga depuis le jo u r où vous
l'avez acheté). Si nous avions
laissé les partitions Linux appa­
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
ré d a c te u r en ch e f d e S T M a g )
a d û v o u s d o n n e r so n listing
d 'a d re sse s p o u r p ro s p e c te r
auprès de ce u x qui ne vous
REDHAT SUR AMIGA
c o n n a i s s e n t p a s . Je su is p e r ­
su a d é q u e si n o u s étio n s plus
1) L 'in stallatio n d e la R e d H a t
n o m b r e u x à v o u s lir e , v o u s
ne
a u g m e n te rie z
A m ig a . L'installeur R e d H a t m e
le
co n ten u
m arch e
pas
sur
dit qu'il n'arrive pas à tro u ver
u tilis a te u rs A tari. A v o u s de
d 'a r b o r e s c e n c e R ed H a t su r m a
n o u s c o n v a in c r e ...
p artition A m ig a . P ourtant, j'ai
b ie n
e n le v é
Cache"
La reprise des abonnés de ST
Mag se fait, hélas, dans la dou­
leur. Leurs coordonnées figurent
en effet dans un fichier immobi­
lisé par la procédure légale qui
accom pagne la disparition de
ce m a g a z in e . N ous in v ito n s
donc les Ataristes n'ayant pas
encore reçu de courrier de notre
pa rt à nous contacter au plus
tô t (s e r v ic e a b o n n e m e n t :
01 53 36 84 10). Il en va de
même p our le reste des docu­
m ents a d m in istra tifs, telle la
lis te d es a n n o n c e u rs d e S T
Mag. Cela étant, cette liste n'a
pas été très difficile à reconsti­
tuer : notre service commercial
n'a eu qu'à relever les coordon­
nées figurant au bas de chaque
p u b lic ité p a ru e . R este , p o u r
l'o p tio n
mode International. Tout autre
fo rm a ta g e n 'e s t p a s p ris en
rentes, le Workbench aurait en
m on
r é d a c t i o n n e l c o n c e r n a n t les
D aniel, Lyas.
heurts, il faut à tout prix que
les partitions Amiga soient for­
m atées en TES, sans cache ni
!
Sa
Tarif des petites annonces
-i
□ Je suis abonné à D ream ............................................................
"D ir
OF
□ Je ne suis pas abonné à Dream ............................................. + 20 F
d u f o r m a t a g e A fs,
□ Je choisis l'option de parution dans tous
c o m m e p récisé d a n s la d o c .
les magazines Posse (PC Team, Studio Multimédia)......... +20 F
M ic h e l, Pibrac.
□ Je choisis l'option caractères g r a s ........................................ +20 F
Cochez vos choix
2 ) Le f o r m a t a g e , e n v é rifia n t
Soit un total d e .............
c h a q u e b lo c, et la lecture des
Rubriques : □ achats □ ventes □ contacts - Département : ......
p a c k a g e s d e p u is m o n d i s q u e
d u r fo n t p la n te r m o n o r d in a ­
t e u r . P a r a i l le u r s , je n 'a r r iv e
p a r à relire les fichiers ".html"
•r
!j
i{
i
i;
I
J
I
qui c o n s t it u e n t la d o c .
Ii
ijI
ji
jean -P ierre S a u la m in es.
ij
3) L ' e x p li c a t i o n d e l'in s t a lla ­
tio n d e la R e d H a t s u r A m i g a
ril
i
j
W o rk b e n ch . C o n tra ire m e n t à
Règlement par chèque ou mandat à Tordre de Posse Press/PA, 16,
rue de la Fontaine au Roi, 75011 Paris. Parution de l'annonce j
sous un ou deux mois en fonction des dates de bouclages du
magazine. La vente et l'échange de logiciels concerne uniquement j
les originaux. Posse Press se réserve le droit de refuser toute
c e q u e v o u s d i t e s , il n ' y a
annonce portant à confusion.
e st m al faite : o n a u r a it pu
n o u s d i r e q u e les p a r t i t i o n s
fo r m a t é e s p o u r Linux n e sont
p lu s
v isib le s
d e p u is
le
q u ' A m i C D F S v e r s io n e n r e g i s ­
.............. ...................... ......... ...............................................i
•
co n sé q u e n ce fa it a p p a ra ître
deux icônes de disques totale­
m en t illisib les (le form atage
E xt2 fs de ces partitions n'est
p a s d a n s le RDB de v o tre
disque dur), ce qui est inutile.
En revanche, ne pas "mounter"
q u e lle s so n t les e x te n s io n s
u tilisé e s p o u r a tte in d re les
résultats qui sont les siens (25
images par seconde en entrée
com m e en sortie) ?
Vds g e n lo ck y c A m ig a avec
câble + logiciel : 1400 francs
frais de port inclus. Dominique
04 79 37 85 04 a p 1 9 H .
Vds A l 200 + 1240 + 16 Mo +
cd 6x + 1.2go + cartegraph +
automatiquement une partition
n'empêche pas de la "mounter"
m a n u e lle m e n t d e p u is un e
Pas simple, en effet. Les cartes
d'acquisition vidéo sur Amiga
sont évidemment au standard
to w e r + clav PC + m o n iteu r
4000
fra n c s
Tow er
A l 200 + int clav + alim 250w -
mountlist, dont le fonctionne­
ment est beaucoup plus souple.
de la m achine, ce qui signifie
qu'elle inclut des connecteurs
Zorro. Toutefois, si vous dispo­
900 francs.
B liz z a rd 1 2 3 0 + 16 M o 6 5 0 fra n cs m a té riels d ive rs.
Contacter Sébastien - Auxerre
d is q u e d u r. A m ib o o t ne se
la n c e p a s ? A ve z-v o u s bien
vérifié qu'il n'a pas perdu l'at­
tribut de protection "e" (pour
"exécutable, cf le M anuel De
L'Utilisateur Amiga, donné avec
vo tre m achine) lorsque vous
l'avez copié ?
4 ) Et vous avez pro g ra m m é
beaucoup de choses durant ces
quinze dernières années ? A la
différence du Basic de l'Amstrad
sez de la carte graphique Pixel
64, cela signifie que vous êtes
p a ssés au sta n d a rd AtéoBus,
Dream est édité par Posse Press
SARL au capital de 250 000 francs
Associés principaux : Romain Canonge,
Christine Robert
R eprésentant fégal : Romain Canonge
16, rue de la Fontaine au Roi
75011 Paris
Anonym e
Contrairem ent à ce que vous
nous annoncez, ce son t bien
tous les pilotes cités dans l'ar­
ticle qui permettent de recopier
les fichiers de notre CD sur un
F o r u m
(89) au 06 85 09 72 14.
Tél. : 01 53 36 84 10
Fax : 01 43 55 66 68
Web : www.posse-press.com/dream
E-mail : [email protected]
R édaction
Directrice des Rédactions
Christine Robert (84 24)
[email protected]
Directeur adjoint des rédactions
Yann Serra (84 15)
[email protected]
Chef de rubrique
Karine Mordal (84 14)
Secrétaire d e rédaction
Bernard Medioni (84 11 )
Collaborateurs perm anents de la rédaction :
Christophe Kirsch, Bruno Mathieu, Christophe Noëi,
Pascal Pambrun.
O nt également collaboré :Yannick Cadin, Godefroy de
Maupéou, David Feugey, Emile Heitor, Christophe Le
p o u r le q u e l, h é la s, il e x is te
encore assez peu de cartes d'ex­
tension (et aucune carte d'ac­
q u isitio n v id é o ). La so lu tio n
Vds A 1 2 0 0 to u r ateo + b liz
1260 16 Mo + idem ux + cla­
vier pc + écran 1085s + dd120
Mo - 4000 frs 32 Mo edo 400
serait donc de passer par l'une
de ces anciennes cartes sur port
Frs tél : 04 90 53 41 61
p a ra llèle (so u ven ez-vo u s, les
Vidi 12 et 2 4 R T). Cependant,
n'attendez pas de miracle : un
tel procédé s'avère lent et l'utili­
sateur n ’obtient que du mode
HAM (impossible à afficher par
l'in term éd ia ire de votre Pixel
64). Vous eussiez peut-être dû
vous renseigner avant : en effet,
la digitalisation vidéo convient
Cannelier, Christophe Morvant, Vincent Oneto,
Frédéric Peschansld. Yann Serra, Benjamin Vemoux,
jakub Zimmermann.
Illustrateur : Christophe Bardon
C o n ce p tio n CD-Rom
Directeur des projets multimédia
Frédéric Botton (84 12)
[email protected]
C réation
Directeur artistique
Pierre-Yves Roudy (84 28)
ACHATS
[email protected]
Rédactrices graphistes
D é p a rte m e n t 30 : A l 2 0 0 +
pup603/160 + 40/25 + 64 Mo =
2800
fra n c s ; b liz z 3 0 / 4 0
+ fpu + 8 Mo = 650 francs ;
hd
200
M O //1 .2
M o //
blizz20/28 MHz + 4 Mo + fpu ;
dispo + débat.
Tél : 04 67 82 46 01
Julie Chan/et (84 28)
[email protected]
Audrey Simon (84 27)
[email protected]
P u b licité e t prom otion
Directrice prom otion et publicité
Hélène Blondel (84 20)
[email protected]
Chef d e publicité
Marie-Hélène Dussottier (84 21)
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
CPC, les co m m a n d e s S h e ll
d'AmigaOS n'ont pas de numé­
ro de lignes, ce qui peut parfois
induire en erreur le novice qui
recopie un listin g d epu is un
magazine où la mise en page
impose de courtes colonnes de
texte et de fréquents retours à
la ligne. Dans ce cas, il faut
faire preuve d'un peu de jugeo­
te (que les programmeurs ont
automatiquement avec l'expé­
rience) : video-vga ne peut bien
évidemment pas être une ins­
truction à cause du "=" ; il s'agit
donc forcément d'un argument
de la ligne précédente !
5 ) A utre lim itation du noyau
Lin u x recom pilé su r Am iga :
celui-ci semble ne gérer qu ’un
m axim um de se p t p a rtitio n s
par disque.
MAGNÉTOSCOPE VGA?
je p o ssè d e un A m ig a 1 2 0 0
monté en tour avec une carte
graphique Pixel 64. Je souhai­
te ra is c o n n a ître la so lu tio n
optimale pour faire de la cap­
ture vidéo sans passer par le
bus Z o r r o . S a c h a n t q u e le
C a s a b la n c a e s t un 1 2 0 0 ,
parfaitement, à l'heure actuelle,
p o u r une con figu ration s ta n ­
dard. A la vérité, le Casablanca
n'a pas grand-chose à voir avec
le 1200. Construit par MacroSystem , il dispose de tout un
hardw are supplém entaire qui
emploie des technologies p ro ­
p riéta ires p o u r o p tim iser son
fonctionnement.
VENTES
[email protected]
C o m p ta b ilité et a d m in istratio n
Directrice com ptable e t administrative
Angelina Parmentier (84 23)
Assistante com ptable e t administrative
Achète d'occasion le jeu "LES
SETTLER S". Faire offre à Luc
aux heures des repas au 02 98
41 68 05.
A D FI c h e rc h e d é v e lo p p e u r
A m ig a c o n n a is sa n t l'a s s e m ­
ble u r et le C - C D D c o n ta c t
ADFI au 04 73 34 34 34 .
Valérie Ambrosio (84 22)
A b o n n em en ts e t ve n te d'anciens n um éros
Responsable abonnem ents e t VPC
Anna Vincent (84 10)
[email protected]
Assistante A bonnem ents e t VPC
Michèle Fontoura (84 10)
Fabrication
Photogravure : Station Graphique (Iviy)
Impression : Leonce Deprez (Bariin)
Duplication CD-Rom : CD Maker (Emeratnville)
Distribution - ventes
Diffusion : MLP
Réglages e t modifications : Denis Rozes/Distrimedias ■
(05 61 43 49 69)
D épôt légal : à parution
Commission paritaire : 75364
ISSN: 1259-1165
Directeur d e Publication
CONTACTS
Romain Canonge (84 25)
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VDS Carte Blizzard 1230 8M .
Prix : 1100 francs. Tél : 01 47
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Département 92 - Vds A l 200
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Tél : 03 20 32 45 18 après
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R e c h e rc h e
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A500 A600 A l 200 CD . Ecrire à
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Copyright 1998 - Posse Press
Ce numéro de Dream est accompagné d'un CD-Rom
gratuit posé en une de couverture. Toute représenta­
tion ou toute reproduction intégrale ou partielle du
magazine et toute utilisation du logo de Dream ne peu­
vent se faire sans l'accord de l'éditeur. L’envoi de textes,
photos, logiciels à l'éditeur implique l'acceptation par
l'auteur de leur libre publication. Sauf accord spécial,
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c o n ta c t a m ig a s é rie u x su r
Toulouse uniquement - 06 14
75 20 26.
les documents ne sont jamais restitués. L'éditeur décline
toute responsabilité quant aux opinions formulées dans
les articles, celles-ci n'engageant que les auteurs. Les
marques citées appartiennent à leurs propriétaires res­
pectifs. Leur citation est faite sans aucun but publicitai­
re et ne signifie en aucun cas que les procédés soient
tombés dans le domaine public.
Le Groupe Posse édite également PC Team, PC Team
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Le PC dans la
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poche
1 ^ 1^
ordinateurs de
IS S r
20F
• Dream n°1
Dossier : la CD-32
Reportage : l'ECTS de Londres
Disquette : DSS 1, version complète
• Dream n°2
Dossier : les jeux de Noël
Reportage : comparatif numériseurs
Disquette : Amos Turbo
• Dream n°3
Dossier : les imprimantes
Reportage : le Supergames show
Disquette : Cinemorph, version
complète
• Dream n°4
Dossier : les virus
Reportage : le Winter Ces de Las Vegas
Disquette : Quickwrite, version
complète
• Dream n°5
Dossier : sex'n'Amiga
Labo : Blitz Basic 2, Mediapoint...
Disquette : Skidmarks démo
• Dream n°6
Dossier : le salon Imagina 94
Labo : ADPro 2.5, Quarterback...
Disquette : Personal Paint 4, version
complète
• Dream n°7
Dossier : le piratage
Labo : Scenery Animator, Vidi 24, le
PAR...
Disquette : Canon Studio, version
complète
• Dream n°8
Dossier : les simulateurs
Labo : Overdrive CD, Caligari,
Directory Opus...
Disquette : Personal Font Maker,
version light
• Dream n°9
Dossier : l'Amiga en vacances
Labo : Imagine 3.0, Emplant
Disquette : Abank
• Dream n°10
Dossier : les mangas et l'Amiga
Labo : carte M-Tec, Can do...
Disquette : une sélection de DP
• Dream n°11
Dossier : l'avenir de l'Amiga
Labo : Lightwave, Dice, Videostage...
Disquette : Painter 3D, version
complète
• Dream n°12
Dossier : la création d'un jeu
Labo : DSS 3.0, DirWork, Brilliance 2...
Disquette : Desktop Magic
• Dream n°13
Dossier : l'Amiga à la télé
Labo : PageStream, Panorama
Disquette : Virus Checker 6.41
• Dream n°14
Dossier : l'Amiga et les graphismes
Reportage : le World of Amiga
Disquette : Real Time Sound Processor
Il Lite
• Dream n°15
Dossier : le rachat de l'Amiga
Labo : Photogenics...
Disquette : Skidmarks II, la démo
• Dream n°16
Dossier : les clones Amiga arrivent
Reportage : l'Amiga s'impose à
Imagina
Disquette : Photogenics, la démo
• Dream n°17
Dossier : la Doom-mania arrive sur
Amiga
Labo : GoldEd 2.1.1, Easy Cale, Studio
Professional 2...
Disquette : DSS 3, version complète
• Dream n°18
Dossier : l'ECTS de Londres
Labo : DPaint V, Scala mm400,
Sherlock, Diavolo, Power CD...
Disquette : Brutal, la démo
• Dream n°19
Dossier : les dessous du rachat par
Escom
Reportage : l'Amiga à L'E3 de Los
Angeles
Disquette : OctaMed pro 5.04, version
complète
• Dream n°20
Dossier : l'Amiga et Internet
Labo : Photogenics 1.2, Kit Tower
1200, Digita Organiser...
Disquette : Obsession Flipper, la démo
• Dream n°21
Dossier : transformez votre Amiga en
PC, Mac...
Labo : OctaMed 6, AsimCDFS, Fax on ...
Disquette : Flight Of The Amazon
Queen, la démo
• Dream n°22
Dossier : l'avenir ludique de l'Amiga
Labo : CD Write, lecteur Zip...
Disquette : Vroom Multiplayer, version
complète
• Dream n°23
Dossier : optimisez votre Workbench !
Reportage : l'Amiga aux commandes
du virtuel
Disquette : Coala, la démo
• Dream n°24
Dossier : choisir un lecteur CD-Rom
pour Amiga
Labo : Devpac 3.5, carte Piccolo,
Action replay 1200...
Disquette : Boston Bomb Club, version
complète
• Dream n°25
Dossier : l'Amiga expo fait un carton
Labo : Directory Opus 5.0
Disquette : Virus Checker 8.03
• Dream n°26
Dossier : les ordinateurs exotiques
Labo : ImagineVision, Blitz Basic 2.1,
Arts et frontières...
Disquette : Zeewolf 2, la démo
• Dream n°27
Dossier : le guide du programmeur
Labo : la carte 68060 Blizzard 1260T
Disquette : Gloom Deluxe, la démo
• Dream n°28
Dossier : les extension du PC au
service de l'Amiga
Labo : Tower TBD, SX32, TurboCalc
3.5, @-Net...
Disquette : TurboPrint Professional
4.1, version light
• Dream n°29
Dossier : Viscorp rachète l'Amiga
Labo : DeltaTower, DiskSalv 4...
Disquette : MandelTour AGA, version
complète
• Dream n°30
Dossier : toutes les clés pour éviter la
galère
Labo : Wordworth 5, World Atlas,
encyclopédie Adfi...
Disquette : Blitzbank 2.1
• Dream n°31
Dossier : le quizz de l'été
Labo : Image FX 2.a, Artpad 2, Vid 24,
Kit Internet...
Disquette : une sélection de DP
• Dream n°32
Dossier : quel fournisseur Internet
choisir ?
Labo : Turbo print v 4 .1...
Disquette : Poweroïds
• Dream n°33
Dossier : le multimédia et l'Amiga
Labo : la carte Cyberstorm 060
Disquette : une sélection de DP
• Dream n°34
Dossier : la communauté Amiga à la
rescousse
Labo : OctaMED, Soundstudio,
Imagine 5.0...
Disquette : Alien Breed 3D 2, la démo
• Dream n°35
jeu : Capital Punishment
Labo : iBrowse, InterOffice, MaxDOS
• Dream n°36
Dossier : pourquoi investir sur Amiga
Labo : 2 modems 33600bps,
X-DVE, SMD-100...
Disquette : une sélection de DP
• Dream n°37
Dossier : gagnez de l'argent avec
votre Amiga
Reportage : l'histoire de l'informatique
à Londres
Disquette : Magic Menu 2.15
• Dream n°38
Amigazone : Typesmith, Wordworth
Linuxzone : Lincity, Xquad, Lyx
Disquette Amiga (épuisée)
• Dream n°39
Amigazone : les browsers Web,
Shapeshifter...
Linuxzone : XWindow, The gimp,
Mesa OpenGL, Xclamation...
Disquette Amiga : Gestion 2000
(démo) et FirePower
• Dream n°40
Amigazone : Blobz, Cybervision 64
3D, Airmail
Linux : les distributions, Maëlstrom,
DDD, CDE...
Disquette Amiga : Amigameboy,
WebDesign, VirusZ-ll...
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
sériés 3 et 5,
1s e t *
Palmpilot, Hp48,
Ti92, Newton,
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Atari, Linux, etc.
Toute l'histoire
de la micro
De l'Eniac à la
BeBox en passant
parle ZX81,
l'Apple II ou
l'Amstrad,
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grande aventure de
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informatique. Avec un CD-Rom.
L E S A N C I E N S NUMÉ ROS
A V E C CB AMI GA, A T A R I ,
9E. LINUX, RISC PC...
35F
• Dream n°41 (épuisé)
Mise au point : que vaudra Windows
Tous en réseau !
• Dream n°42 (épuisé)
Nt 5 ?
Emacs : le compagnon essentiel de
mise à nu
• Dream n°43 (épuisé)
S.u.s.e. : la distribution Linux ultime ?
Linux enfin décortiqué !
Culture : comment est né le
Carte accélératrice : la Centurbo II
• Dream n°44
Mais aussi : Compaq se paye les
Banc d'essai : que vaut la nouvelle carte
phénomène Linux ?
Dossier : Persistence Of Vision
stations les plus puissantes du monde,
graphique Pixel 64 ?
Linux PPC : toutes les astuces pour
Tests : StarOffice 3.1 pour Linux,
Gateway 2000 présente le nouvel
• Dream N°53
bien l'installer
système pOS, Psion séries 5
Amiga, réveillez la puissance
Micros, consoles, stations : toutes les
• Dream N°57
Découverte : Warp 4.0, le processeur
d'Altavista...
nouvelles puces 3D au service de
Dossier : les cartes à puce au secours de
Power
• Dream N°50
l'imaginaire !
la sécurité informatique
Sur le CD : Pov pour Amiga, Atari,
Linux, Amiga, BeOS : comment
A quoi sert vraiment Java ?
En pratique : Installer Linux sur une
Linux, Risc PC ...
fonctionne un système d'exploitation ?
Test : éxécuter des applications
station Alpha
• Dream n°45
Le nouvel Amiga est une bombe !
Windows 95 sous Linux.
Nétiquette : Newsgroups, mode d'emploi
Dossier : Latex pour tous les systèmes
Apprenez à graver un CD-Rom !
Compatible tous systèmes,
Système : BeOs release 4 est arrivé !
Labo : Art effect 2, Applixware 4.3...
Rhapsody, le croisement parfait entre
exclusivement en réseau : Citrix
• Dream N°58
Plein feu : les processeurs Alpha
Unix et MacOS !
présente l'ordinateur universel !
Dans le magazine et sur le CD-Rom :
Sur le CD : 50 Mo de bureautique
La compilation du noyau enfin
Project-X : Amiga et Motorola sont-ils
tout pour faire de la 3D sous Linux
Os/2, 25 Mo d'utilitaires graphiques
expliquée !
vraiment derrière la technologie du futur ?
Test de la Redhat 52
pour RiscOs, 50 Mo de jeux pour
Descent arrive sur Amiga !
• Dream N°54
Comment trouver des stations Alpha à
Falcon, 60 Mo de démos pour Amiga.
Wordperfect 7 et Wordworth 7, les
Dossier : les secrets de l'informatique
bas prix ?
• Dream n°46 (épuisé)
traitements de textes alternatifs
théorique révélés
• Dream N°47 (épuisé)
absolus...
Format MP3 : comment fonctionne-t-il ?
• Dream N°48
• Dream N°S1
Comment booster son Amiga ?
Dossier : à la découverte des
Dossier : comment choisir du matériel
Scandale : la sécurité de Windows
ordinateurs de poche
alternatif ?
ébranlée par un grain de sable !
• Dream N°55
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Labo : la Redhat 5.0 est arrivée, tous
Connexion Internet : pourra-t-on aller
les OS de l'Atari, le Syjet sur Amiga,
plus vite ?
Dossier : les réseaux de neurones
installation d'Os/2...
Périphériques Scsi : toutes les normes
Clones 3D : la visio-conférence enfin en
Sur le CD : tout Linux pour
enfin expliquées !
temps réel !
PowerMac et la version exclusive de
• Dream N°52
Guide d'achat des stations Alpha
Tornado 3D.
Apple, Amiga, Acorn... Toutes les
Pratique : installer un lecteur SparQ
• Dream N°49
machines de la rentrée en avant-
sous Linux
Comment Netscape veut s'emparer
première !
L'an 2000 sera-t-il Unix ou NT ?
d'Internet !
Test : la nouvelle interface de Linux
• Dream N°56
Puces en cuivre : Ibm pousse le
s'appelle Gnome !
Dossier : pourriez-vous devenir provider
PowerPC à 1 Ghz
Spécial : Windows 95, Linux, Amiga...
internet ?
B
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Septembre 1998
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