Dossier de presse
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ATELIER THÉÂTRE ACTUEL Label Théâtre Actuel présente en accord avec le Théâtre de la Porte Saint-Martin Irma la douce Une comédie musicale d’Alexandre Breffort Mise en scène Nicolas Briançon Assisté de Pierre-Alain Leleu Musique Marguerite Monnot – Arrangements Gérard Daguerre Avec Lorant Deutsch, Marie-Julie Baup, Nicole Croisille, Andy Cocq, Olivier Claverie, Fabrice de la Villehervé, Jacques Fontanel, Valentin Fruitier, Laurent Paolini, Claire Perot, Bryan Polach, Pierre Reggiani, Loris Verrecchia, Philippe Vieux. Décors Jacques Gabel, Costumes Michel Dussarrat, Lumières Gaëlle de Malglaive, Chorégraphies Karine Orts, Chef de chant Vincent Heden. Basse Henri Dorina, Batterie Christian Orante, Percussions Didier Sutton, Accordéon Aurélien Noel, Piano Marc Benhamou, Guitare, banjo, trombone, glockenspiel, direction d’orchestre en alternance Jean-Luc Pagni. L'HISTOIRE Nestor, un titi parisien dans toute sa splendeur, tombe fou amoureux de sa protégée, Irma. Rongé par la jalousie de savoir sa douce en galante compagnie chaque nuit, Nestor va utiliser tous les stratagèmes pour qu’Irma ne soit plus qu’à lui et rien qu’à lui, peu importe le prix à payer… Avec une équipe de 14 comédiens et un orchestre, Ia comédie musicale Irma La douce vous enivrera grâce à ses chansons populaires des faubourgs parisiens des années 50. Entre humour et suspens, Irma la douce est un spectacle unique en son genre, une référence! NOTE D'INTENTION « C’est une histoire extraordinaire… C’est l’histoire d’un ménage à deux. On ne voit pas ça tous les jours. » Ce Roméo et Juliette à la fin heureuse, ce chant d’amour bouleversant et joyeux, cette romance à deux sous dans le Paris des filles de joie et des mauvais garçons, nous plonge avec délice dans la nostalgie savoureuse d’un monde qui n’est plus. Le monde des truands et des macs « pour rire », le monde de l’argot parisien et de la gouaille sympathique, un monde qui n’a sans doute jamais réellement existé, mais que l’on regrette cependant, comme l’on regrette sans cesse, les contours d’un passé que l’on semblait comprendre et que l’on pouvait expliquer. On pense à Audiard, bien sûr… A toute cette mythologie du caïd et de la fille au grand cœur. Mais il y a bien plus que cela dans Irma. Par le charme du merveilleux livret d’Alexandre Breffort et la musique inspirée de Marguerite Monnot, apparaît en filigrane un hymne vivifiant à l’amour et à la liberté. Liberté nous dit Irma qui choisit ses hommes et son destin, liberté nous souffle Nestor qui refuse d’agir selon les conventions de son monde, liberté nous soufflent ces bagnards qui s’évadent dans une jungle improbable, liberté nous raconte ce texte qui se soucie peu de répondre aux conventions du théâtre, ou plutôt qui les lui emprunte toutes : une savante alchimie de théâtre qui conjugue les procédés shakespearien du théâtre dans le théâtre, de la mise en abyme (pour employer une expression qui ferait sans doute beaucoup rire Breffort et Monnot), la rapidité d’une narration quasi cinématographique (flash-back, etc…) et l’innocence de procédés classique (raccourcis, retournement de situation) qui font notre plaisir et notre bonheur de spectateurs. Cette histoire à la force des grands mythes, et c’est pour cela qu’Irma est le seul cas de « musical » français, qui trente ans avant Les Misérables, a traversé d’abord la Manche puis l’Atlantique pour triompher à Londres et à Broadway. Pouvons-nous aimer lorsque nous ne sommes pas nous même ? Pouvons-nous construire sur un mensonge ? Y a-t-il une rédemption ? Il y a tout cela dans Irma. Et par-dessus tout le charme. Le charme et le bonheur d’un chef d’œuvre de clarté et de lumière. Celle qui perce dans le cabaret des inquiets, où l’histoire se raconte en chansons. Monter cette œuvre est une joie intense et enthousiasmante. Nicolas Briançon, metteur en scène BIOGRAPHIES Lorànt Deutsch, Nestor Lorànt Deutsch est né à Alençon, d’un père hongrois et d’une mère parisienne. Il découvrira le Théâtre grâce à une initiative de sa sœur qui l’inscrira au théâtre Mouffetard au début des années 90. C’est en 1999 que la carrière de l’acteur prend son envol, avec la comédie Le Ciel, les oiseaux et… ta mère!, de Djamel Bensalah. Un rôle annonciateur de la filmographie de Lorànt Deutsch: malgré quelques seconds rôles dans Peut-être de Cédric Klapisch (1999), l’Envol de Steve Suissa (2000) et Làbas, mon pays d’Alexandre Arcady (2000), il privilégie le plus souvent les comédies loufoques. On le retrouve notamment dans Jet Set de Fabien Onteniente (2000), Les Amateurs de Martin Valente (2004), Ze film de Guy Jacques (2005). L’acteur se fait remarquer en 2003 pour sa prestation dans Les Ripoux 3, de Claude Zidi, qui lui vaut l’obtention de l’Etoile d’or de la révélation masculine 2003 et le prix Jean Gabin 2004. 2005 marque un tournant dans la carrière de l’acteur aux multiples facettes qui prête sa voix à plusieurs films d’animation comme Le Roman de Renart (2005), Chicken Little (2005), Astérix et les Vikings (2006), et plus récemment Rio et Astérix, le domaine des Dieux. Il prend également le parti de se consacrer davantage au théâtre. En 2005 et 2006, il monte sur les planches pour interpréter le rôle de Mozart dans la pièce Amadeus, aux côtés de Jean Piat et MarieJulie Baup. En 2011, l’acteur choisit de revenir au cinéma avec le drame Tu seras mon fils de Gilles Legrand, où il donne la réplique à Niels Arestrup et Patrick Chesnais. En septembre 2011, l’acteur est à l’affiche du Songe d’une nuit d’été de Shakespeare au Théâtre de la Porte Saint-Martin. Passionné d’histoire, il interprète les rôles ambitieux de Jean-Paul Sartre jeune dans un téléfilm, Les Amants de Flore, en 2006 puis de Jean de La Fontaine dans le film éponyme de Daniel Vigne sorti en avril 2007. En septembre 2009, Lorànt sort son premier livre : Métronome, qui rencontrera un succès immédiat, tout comme Hexagone, parut en 2013. Il reçoit en 2010 la médaille d’honneur de la ville de Paris. Cette même année, il est également fait Chevalier des arts et des lettres. Nous avons pu voir également Lorànt dans La Station Chapaudet (2013) au Théâtre Marigny et dans Le Système (2015), aux côtés de Stéphane Guillon, dans une pièce mise en scène par Didier Long. Marie-Julie Baup, Irma Née à Paris, Marie-Julie Baup monte sur les planches pour la première fois dès ses 11 ans, lorsqu’elle joue dans La Cantatrice chauve de Ionesco. Le lycée terminé, la comédienne rencontre Jean-Claude Penchenat, qui deviendra son vrai maître au théâtre. Le comédien et metteur en scène la fait rapidement jouer dans Carola, L’Intervention, ou encore L’Etudiant roux. Dès 2004, elle fait une apparition dans le film Le Cou de la girafe, de Safy Nebbou. L’année suivante, elle se fait remarquer pour son rôle dans la pièce Amadeus, de Peter Schaffer, aux côtés de Jean Piat et de Lorànt Deutsch : son interprétation lui vaut d’être nommée dans la catégorie «révélation théâtrale» aux Molières 2005. On la retrouve ensuite dans L’Importance d’être Constant, d’Oscar Wilde. En 2007, la comédienne écrit la pièce Question d’envie et la joue au Petit Théâtre de Paris ainsi que "la forme des choses " mis en scène par Stéphane Hillel. En 2009, Jean-Pierre Jeunet lui offre son premier grand rôle au cinéma dans Micmacs à tire-larigot, aux côtés notamment de Dany Boon et Omar Sy. Après avoir joué dans" Les Femmes savantes" mise en scène par Arnaud Denis en 2009 et dans "Léonie est en avance " de Feydeau au théâtre du Palais Royal en 2010, elle décroche le rôle principal du film de Simon Astier Les pieds dans le plat aux côtés de Max Boublil et Michel Jonas, puis participe à 10 jours en or, aux côtés de Franck Dubosc et Claude Rich et devient chroniqueuse humoriste dans l’émission de Jean-Luc Lemoine Le bureau des plaintes. En 2011 la comédienne remonte sur les planches pour interpréter Helena dans Le songe d’une nuit d’été, de William Shakespeare. Son rôle lui vaudra le prix du second rôle féminin du Palmarès du Théâtre 2013. En parallèle, elle est la partenaire d’Elie Semoun dans le programme court "la télécommande" sur France 2. En 2013, elle est sur scène dans Divina au Théâtre des Variétés, (nomination aux Molières 2014 Meilleur second rôle féminin) puis dans La Station Champaudet mise en scène de Ladislas Chaulat au Théâtre Marigny. En 2014 Elle se transforme totalement au cinéma pour tourner un rôle de composition dans amour sur place ou à emporter. Enfin, on la retrouve aux côtés d’Alexandra Lamy dans "une chance de trop" réalisé par François Weil. Elle tient également un des rôle principaux de la série Au service de la France diffusée prochainement sur Arte. Nicole Croisille, Maman Elle a fait ses débuts professionnels à La Comédie Française, en tant que danseuse dans les comédies-ballets de Molière sous la direction de Léone Mail, épouse de Robert Manuel, qui en assurait la mise en scène comme au temps de Molière. Puis elle a rejoint Marcel Marceau, le mime mondialement connu, au Théâtre de l'Ambigu à Paris et a fait partie de sa troupe pendant quatre ans, En 1957 elle est choisie par George Reich pour être la jeune première de L'Apprenti fakir, écrit costumé et décoré par Jean Marais au Théâtre de la Porte Saint Martin. En 1966, après un séjour d'un an à New York, au Broadway Théâtre avec une revue des Folies Bergère, elle enregistre en compagnie de Francis Lai et Pierre Barouh, la Bande Originale du film de Claude Lelouch « Un homme et une femme» ! En 1992, elle est Dolly de la comédie musicale « Hello Dolly», au Théâtre du Châtelet à Paris en compagnie d'une troupe américaine et à partir de 1996 se consacre au théâtre en reprenant des rôles créés par Jacqueline Maillan, en tournée et à Paris, tout en alternant avec des concerts de Jazz en 2010, elle joue Jalousie en 3 mails au Théâtre du Lion d'or à Lyon mise en scène de Didier Long et à Paris au Théâtre Montparnasse ! En 2013, elle prend le rôle de Carlotta dans « Follies » de Stephen Sondheim à l'Opéra de Toulon, puis en 2014, elle devient Fräulein Schneider dans Cabaret, avant d'incarner Maman dans Irma la douce ! Elle a continué sa carrière de chanteuse en parallèle au théâtre et à la télévision, au cinéma elle était récemment dans "La Cage dDorée"! Andy Coq, le bagnard La Douceur Andy Cocq sait très tôt qu'il veut être artiste. A 18 ans, il intègre donc l'école de danse professionnelle de Rick Odums pendant 3 ans. Puis il danse dans les émissions de télévision de l'époque, mais ça ne lui suffit pas, il veut chanter aussi... Alors il passe un casting pour être danseur/choriste dans le spectacle « Il était une fois Bobino » et il est finalement pris en tant que chanteur. Puis il enchaîne avec « Mégalopolis » au Bataclan, il sera Ziggy dans « Starmania » pendant deux ans au Casino de Paris et en tournée, le Grand Oiseau dans « Emilie Jolie » au théâtre Mogador, Cousin Puzzle dans « Le Soldat Rose », le Bûcheron dans « Dothy et le magicien d'Oz », Patsy et le Prince Herbert dans « Spamalot », Vladislav Sipos dans « Rendez Vous » aux cotés de Kad Merad et Laurent Lafitte au théâtre de Paris ou encore Eros dans « Divina » de Jean Robert-Charrier mis en scène par Nicolas Briançon. Il a joué son premier seul en scène « Garçon Manqué » au théâtre du petit Gymnase dans une mise en scène d'Isabelle Nanty. Entre temps il s'essaye à la publicité et au cinéma dans « Agathe Cléry », « Stars 80 » ou « Les nouvelles aventures d’Aladin ».
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