Atalaya-TNT

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Atalaya-TNT
ATALAYA
Prix National
de Théâtre
2008
Personnages et acteurs
Celestina………………………Carmen Gallardo
Elicia…………………………….….Lidia Mauduit
Calisto………………………… Raúl Vera
Sosia……………………………….Jerónimo Arenal
Melibea………………………..Silvia Garzón
Centurio……………………………Manuel Asensio
Sempronio…………………….Manuel Asensio
Tristán……………………………...María Sanz
Pármeno………………………Jerónimo Arenal
Pleberio…………………………….Raúl Vera
Areusa…………………………María Sanz
Lucrecia…………………………….Lidia Mauduit
Chœur et voix
Esperanza Abad
Musique
Luis Navarro et thèmes populaires d’Europe de l’Est et des Balkans
Mise en scène
Ricardo Iniesta
Chorégraphie
Acteurs d’Atalaya
Costumes
Carmen Giles
Scénographie
RAS Artesanos
Maquillage et Coiffure
Manolo Cortés
Photographie
Luis Lillo
Musique (Enregistrement et Edition)
Emilio Morales
Coordinateur Technique
Alejandro Conesa
Technicien son
Emilio Morales
Technicien lumière
Alejandro Conesa
Comptabilité
Rocío de los Reyes
Production et Distribution
Masé Moreno
Production et Comunicacion
Patricia Aguilera
Gestion
Elena Gordillo
Assistante de réalisation
Sario Téllez
Adaptation et réalisation
Ricardo Iniesta
Durée approximative : 1 heure 45 minutes
CÉLESTINE
(La tragi-comédie)
POURQUOI, COMMENT, AVEC QUI…
J’ai lu La Célestine pour la première fois lorsque j’étais en pleine adolescence, alors qu’à l’époque il n’y avait pas
la possibilité de trouver ni dans les librairies, les kiosques, les cinémas ou les théâtres – et encore moins sur la
seule chaîne de télévision du pays – une œuvre avec la charge d’érotisme que possède celle de Fernando de
Rojas. Ce fût ma première surprise. Mais si le texte est resté gravé dans ma mémoire, il le fût sans doute, non
pas pour son contenu mais pour la façon dont il était écrit. Quarante ans plus tard – après avoir mis en scène
des classiques grecs, Shakespeare, Lorca, Valle-Inclán, Brecht, Müller, Maïakovski et bien d’autres auteurs
d’aujourd’hui – je peux affirmer que la richesse des images que contient le texte de Rojas demeure le seul dans
la littérature dramatique de tous les temps. Le temps, sans être écrit en vers, possède un rythme et une richesse
de nuances qu’on ne trouve pas en prose.
Le pire est que la thématique abordée demeure profondément actuelle. D’un côté, il y a une critique de ceux qui
défendent les valeurs les plus conservatrices – les nobles, l’Eglise, les riches et ceux qui ont du pouvoir - surtout
si nous considérons le personnage de Melibea comme étant une femme rebelle et insoumise, lucide et
intelligente, au lieu d’en faire une femme changeante, docile, abattue, mijaurée comme on peut souvent le voir.
D’autre part, il y a un avertissement sur les désastres que conduit l’individualisme à outrance qui, à l’époque de
Rojas, représentait une petite révolution par rapport à l’époque féodale ; mais aujourd’hui, il est devenu le pire
ennemi pour la vie en collectivité de l’ensemble de l’Humanité. Et par-dessus tout, on gravite autour de ce qui
préoccupe le plus les personnages, ce qui intéresse le plus nos sociétés actuelles : l’argent. On peut sentir la
dépravation que génère l’obsession pour l’argent qui, en définitive provient de cet égoïsme individualiste. Mais si
ces raisons importaient peu, ce qui m’encourage définitivement à m’intéresser un peu plus à ce texte aussi
passionnant que difficile à aborder théâtralement, fût le retour de Carmen Gallardo dans l’équipe permanente
d’Atalaya. Elle est devenue notre actrice la plus charismatique et aussi l’une des plus reconnues du théâtre
andalous, selon la profession et la critique théâtral. Elle a été élue actrice révélation de l’année à Madrid il y a
tout juste un quart de siècle pour notre pièce « Así que pasen cinco años ». Elle possède dans son regard, sa
voix, ses gestes et ses chants, la chimie qui fait que le personnage de Célestine qu’elle interprète est
extrêmement crédible, tout en puissance et sarcasme. Quinze ans ont passé, et est arrivé le moment de sa
consécration. Elle fait partie de ces actrices qui possède la capacité de bouleverser et qui est devenue une des
plus complètes du théâtral espagnol.
Tragi-comédie chantée
En ce qui concerne le titre, nous avons fait abstraction de l’article « La » pour donner plus d’humanité, de
présence et d’universalité au personnage de Célestine, au-delà de son passé de prostitué. En contrepartie, nous
avons récupéré le « nom de famille » Tragi-comédie, qui fût celui que l’auteur utilisa en tant que premier titre.
Nous l’avons apparenté à l’autre grande tragi-comédie « Divines paroles », que Valle a sous titré « Tragicomédie de petit village ». C’est un terme qui définit très clairement notre mise en scène. Nous avons voulu
l’intituler CELESTINE (la tragi-comédie), comme nous l’avions fait jadis pour « Médée (l’étrangère) » pour
donner un peu de particularité à notre version.
Cette particularité est liée à la mise en scène
chantée, dans laquelle se distingue le
personnage de Célestine comme dans notre
version de « Richard III », où la mise en
scène tourne autour du roi tueur de princes.
Bien que dans Célestine la présence de la
totalité des acteurs soit encore plus
constante, manipulant la scénographie pour
recréer
les
différents
environnement
poétiques et créant un univers sonore avec
les chants.
La prestigieuse soprano Esperanza Abad
prépare un travail de chant qui sera le plus
ambitieux et riche qu’elle ait jamais réalisé avec Atalaya, depuis qu’elle a commencé à enseigner et qu’elle à
entamé une collaboration scénique dans “La rebelión de los objetos” de Maïakovski, il y a presque quinze ans.
Le parcours des acteurs tout au long de ces années, a été une bonne préparation pour CELESTINE qui est un
niveau au dessus qualitativement. La rencontre que nous avons eu cette année avec le groupe polonais Chorea
Teatro, héritier de Grotowski, a marqué un point de référence très clair pour un travail de voix et de chants qui,
nous espérons, sera un évènement marquant pour le théâtre espagnol.
L’univers sonore perturbe et nous renvoie au mystère et à la magie des cantiques des esclaves et des habitants
des Balkans, avec des morceaux venant de Galice qui nous transportent dans le temps. Comme toujours à
Atalaya, les costumes et l’espace scénique ont un caractère universel ; on se réfère à nos ancêtres de la fin du
Moyen-âge, mais on peut aussi bien se situer dans un contexte plus actuel. En définitive, notre objectif est
d’atteindre la mémoire et les sens du spectateur.
A Atalaya nous combinons quatre langues différentes en accord avec le style de l’auteur. « La Célestine »
possède un lien de parenté très clair avec le grotesque et le cruel que nous mettons en scène dans « Divines
paroles », notre montage le plus prolifique qui deviendra cet automne le premier de Valle à se rendre en Chine.
On peut dire avec certitude que le brillant auteur galicien s’est inspiré fortement du langage de Fernando de
Rojas. Mais notre vision de « La Célestine » nous renvoie aussi à un expressionisme plus inquiétant et au
théâtre de la cruauté d’Artaud, qui précisément influence autant Grotowski et Kantor, d’autres de nos auteurs de
référence. Par moments, nous voulons aussi que le langage imaginaire qui imprègne le Lorca le plus surréaliste
soit présent. Les acteurs sont ceux qui donnent vie à ces langues à travers l’énergie particulièrement intense
que requière cette œuvre.
Quant à la version et l’adaptation, je peux affirmer que cela a été un héritage direct de mon frère Carlos, qui a
adapté notre Trilogie de la Tragédie : Électre, Medée et Ariane. Lors de sa mort, j’ai été contraint pour la
première fois à me mettre à table et de réfléchir sur une adaptation lorsque j’ai abordé « Richard III ». Pour sa
part, CÉLESTINE a representé six mois de travail pour réduire en deux heures une pièce qui, à l’origne dure
plus de huit heures, tout en maintenant la magie et l’insolite force du texte, et en gardant la majeur partie des
répliques de la protaginiste. Nous avons concervé le « castillan de bronze » qui a tant influencé Valle, sans
utiliser la vieille phonétique mais en gardant le rythme et la sonorité qui l’ont fait devenir une œuvre unique
admirée dans le monde entier, dont le monologue final de Pleberio possède la grandeur et la force émotionnelle
des plus grands de la Tragédie grecque.
FESTIVALS INTERNATIONAUX
2011
Théâtre National de Taipei, Taiwan
Festival Fringe de Pékin, Chine
Festival International de Théâtre de Puerto Rico
Festival International de Cazorla, Espagne
2010
Festival de Théâtre Hispanique – Miami, USA
XXXVème Festival d’Oriente, Venezuela
XXIème Festival de Théâtre Classique de Cáceres, Espagne
Festival Classique d’Alcalá, Espagne
Festival de Théâtre Classique de la Villa del Caballero. Olmedo Clásico
XXVIème Mostra International de Ribadavia, Espagne
Festival de Théâtre et Dance – Castillo de Niebla, Espagne
Festival d’estiu Sagunt a Escena, Espagne
Festival de Théâtre Classique d’Alcántara, Espagne
XVème Festival Madrid Sur, Espagne
IIIème MITIN de Sevilla, Espagne
FIT de Cadix, Espagne
2009
Ancient Drama Festival de Delphes, Grèce
Moita, Portugal
FITEI d’Oporto, Portugal
MITIN de Séville, Espagne
Festival UCSUR de Lima, Pérou
Festival International de Théâtre d’Orense, Espagne
Saison au Théâtre des Beaux Arts, Madrid, Espagne
Festival International de Théâtre Classique de Clunia, Espagne
Mostra International de Ribadavia, Espagne
2008
Festival Art Carnuntum – Vienne Autriche
Festival Madrid Sur, Espagne
Festival Lazarillo, Espagne
FIT de Cadix, Espagne
Man In Fest, Roumanie
Festival International de Portaferrada – Gérone, Espagne
Muestra International de Théâtre d’Investigation – Séville, Espagne
2007
FILO Londrina, Brésil
Festival International de Rio Preto, Brésil
Escena do Sao Paulo, Brésil
Festival de Concepción, Chili
Lluvia de Teatro de Valdivia, Chili
Saisons Théâtrales de Puerto Montt, Chili
Festival International de Badajoz, Espagne
Muestra International de Théâtre Contemporain de Santander, Espagne
2006
Festival de Guadalajara, Mexique
Festival International de Las Palmas, Espagne
Festival de La Paz, Bolivie
Festival de Santa Cruz, Bolivie
Festival Madrid Sur, Espagne
Festival Temporada Alta – Gérone, Espagne
Temporada en Teatro Español – Madrid, Espagne
FIT de Cadix, Espagne
Festival International de Vitoria, Espagne
FUT – Guadalajara, España
2004/05
Festival de Manta, Equateur
Festival de Guayaquil, Equateur
Festival de Portoviejo, Equateur
Festugen, Danemark
Festival International de Carballo – La Corogne, Espagne
Festival de Clunia, Espagne
Festival de Théâtre Classique de Mérida, Espagne
Art Carnumtum Festival – Vienne, Autriche
Kontakt Festival de Torun, Pologne
Princeps Comediants, Montpellier
Sagunt a Escena, Espagne
Foire Internacional d’Aragon, Espagne
XIIIème ISTA International Session, Espagne
Festival de San Javier, Espagne
Festival Portaferrada – Gérone, Espagne
Rialto Teatret – Copenhague, Danemark
2002/03
Vème Antikenfestspiele – Trier, Allemagne
LIIIème Dubrovnik Summer Festival, Croatie
Festival International de Badajoz, Espagne
Festival International de Vitoria, Espagne
Temporada Alta – Gérone, Espagne
Festival de Grenoble
Festival International de Malaga, Espagne
Festival de Tampere, Finlande
Temporales teatrales de Puerto Montt, Chili
Festival de Valdivia, Chili
FITEI d’Oporto, Portugal
Festival Porte de la Méditerranée, Espagne
Festival d’Otoño de Madrid, Espagne
Tournée au Kerala, Inde
2000/01
FITEI d’Oporto, Espagne
Festival Mercosur de Cordoba, Argentine
Temporada Buenos Aires, Argentine
Tournée à Mar del Plata et Rosario, Espagne
Festival Ibéro-américain de Cadix, Espagne
Muestra d’Auteurs Contemporains d’Alicante, Espagne
Festival Art Carnuntum – Vienne, Autriche
Sagunt a Escena, Espagne
Festival International du Caire, Egypte
Festival d’Almada, Portugal
Festival International de Sitges, Espagne
Festival International de Badajoz, Espagne
Festival d’Otoño de Las Palmas, Espagne
1998/99
FITEI d’Oporto, Portugal
Fira de Tárrega, Espagne
Festival de Badajoz, Espagne
Festival Don Quichotte, Paris
Festival de Vitoria, Espagne
Festival Madrid-Sur, Espagne
Festival des Arts du Costa Rica
Forum Olot, Espagne
Odin Sommerfestivalen, Danemark
1996/97
FIT de Cadix, Espagne
Festival International de Vitoria, Espagne
Festival de Grenade, Espagne
Tánger y Tetúan, Maroc
Festival International de Malaga, Espagne
Festival d’El Egido, Espagne
Festival de Las Palmas, Espagne
Festival Don Quichotte, Paris
1992/95
Festival des Arts Européens, Grande-Bretagne
Festival de Belfast, Irlande
Festival International de Bérgamo, Italie
Open Week – Holstebro, Danemark
Biennale Internationale, Malte
Festival International de la Havane, Cuba
Festival International de Londrina, Brésil
FIT de Cadix, Espagne
Informal Theatre European Meeting
Melbourne TheatreWorks, Australie
FITEI d’Oporto, Portugal
1990/91
Festival International de Sitges, Espagne
ETC international – Murcie, Espagne
Aradeo e i Teatri, Italie
Festival International de Cardiff, GB
Watermans Art Centre – Londres, GB
Biennale Internationale, Malte
Festival de Portalegre, Portugal
Transway – Glasgow, GB
Festival de la Méditerranée de Malte
Rencontres Internationales de Liège, Belgique
Festival International de Dijon
1986/89
Festival d’Otoño de Madrid, Espagne
Festival International de Palma de Majorque, Espagne
Festival International de Vitoria, Espagne
Veranos de la Villa – Madrid, Espagne
Festivals de Navarre, Espagne
Fira de Teatro de Tárrega, Espagne
Mostra International de Ribadavia, Espagne
Festival Ibéro-américain de Cadix, Espagne
Biennale Internationale de Barcelone, Espagne
ATALAYA fonctionne comme un laboratoire d’investigation théâtrale depuis sa création en 1983. Elle a participé
à plus de 150 festivals internationaux, dont la moitié hors des frontières d’Espagne. Elle a parcouru 35 pays sur
les 6 continents et plus de 400 villes de toutes les provinces espagnoles. La troupe actuelle d’Atalaya a obtenu
dans son parcours 36 prix dont 29 ces dix dernières années :
PREMIO ESCENARIOS DE SEVILLA AL MEJOR ESPECTACULO 2015
PREMIO MEJOR DIRECTOR. FESTIVAL CIUDAD DE PALENCIA 2015
PREMIOS DEL TEATRO ANDALUZ. MEJOR ESPECTACULO. 2014
PREMIOS DEL TEATRO ANDALUZ. MEJOR DIRECTOR. 2014
PREMIOS DEL TEATRO ANDALUZ. MEJOR ACTRIZ. 2014 (Carmen Gallardo)
PREMIOS DEL TEATRO ANDALUZ. MEJOR VESTUARIO. 2014 (Carmen de Giles)
PREMIO MEJOR DIRECTOR. ESCENARIOS DE SEVILLA. 2013
PREMIO MEJOR ACTRIZ. FESTIVAL DE PALENCIA. 2013 (Carmen Gallardo)
PREMIO SGAE ANDALUCIA AL MEJOR DISEÑO DE LUCES 2013 (Ale Conesa)
PREMIO ESCENARIOS DE SEVILLA. MEJOR ACTRIZ 2012 (Carmen Gallardo)
PREMIO VALLE-INCLAN 2011
PREMIO MEJOR ESCENOGRAFIA. FESTIVAL DE PALENCIA. 2011 (Joaquin Galán)
REMIO MEJOR ACTOR. FESTIVAL DE PALENCIA. 2011 (Jerónimo Arenal)
PREMIO MEJOR ESPECTACULO DE LA TEMPORADA EN TOLEDO 2011
PREMIO ESCENARIOS DE SEVILLA AL MEJOR ACTOR 2010 (Jerónimo Arenal)
PREMIO ESCENARIOS DE SEVILLA AL MEJOR ESPECTACULO 2010
PRIX DU FESTIVAL INTERNATIONAL DE CAZORLA. 2010
PRIX ESCENARIOS DE SEVILLA DU MEILLEUR ACTEUR. 2010
PRIX ESCENARIOS DE SEVILLA DU MEILLEUR SPECTACLE. 2010
PRIX MOSTRA INTERNATIONAL DE RIBADAVIA. 2009
PRIX DES ARTS SCENIQUES. Délégation régional du Gouvernement d’Andalousie. 2009
PRIX DE LA VILLE D’UBEDA 2009
PRIX NATIONAL DE THÉÂTRE 2008
PRIX GAUDI (ADE) DE LA MEILLEUR SCENOGRAPHIE. 2008
PRIX POUR L’ENSEMBLE DE SON TRAVAIL. CONSEIL RÉGIONAL DE SÉVILLE. 2008
PRIX DU MEILLEUR SPECTACLE INTERNATIONAL À PUERTO MONTT (Chili). 2007
PRIX EL PÚBLICO DES ARTS SCÉNIQUES. 2006
PRIX DU MEILLEUR SPECTACLE ANDALOUS. 2005
PRIX DU MEILLEUR RÉALISATEUR ANDALOUS. 2005
PRIX DU MEILLEUR SON. FERIA DEL SUR. 2005
PRIX MEILLEURS COSTUMES. FERIA DEL SUR. 2005
PRIX DU JURY DU MEILLEUR SPECTACLE A LA FOIRE INTERNATIONALE D’ARAGON. 2004
PRIX DU PUBLIC DU MEILLEUR SPECTACLE DE LA FOIRE INTERNATIONALE D’ARAGON. 2004
PRIX MUESTRA NATIONAL DE PALENCIA. 2002
PRIX DU FESTIVAL INTERNATIONAL DU CAIRE. 2001
PRIX ESCENA 2000
Nº1 DANS LE CLASSEMENT DE LA CRITIQUE DE BARCELONE (mars 99)
PRIX NATIONAL ERCILLA 98
PRIX DE LA MEILLEUR MISE EN SCÈNE ANDALOUSE 98
PRIX DU MEILLEUR SPECTACLE ANDALOUS 96
ATALAYA est l’une des quatre troupes semi-privées les plus appréciées par l’Institut National des Arts
Scéniques et de Musique du Ministère de la Culture espagnol. En 2008 elle a ouvert le Centre International
d’Investigation TNT à Séville – avec le soutien de la mairie, du Ministère et du Gouvernement andalou – qui est
le plus grand théâtre privé d’Andalousie, avec une salle alternative, des salles de classe, une bibliothèque et
bien d’autres équipements. Coïncidant avec son 25ème anniversaire, le Gouvernement andalous a publié le livre
« Atalaya, XXV ans à la recherche d’utopies » (titre original : “Atalaya, XXV años buscando utopías”) et a obtenu
le Prix National de Théâtre qui, pour la première fois depuis sa création en 1956 ne l’a pas été par un
établissement de Madrid ou Barcelone.