Le programme du symposium est maintenant disponible!
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L’ENSEIGNEMENT DE LA JUSTICE SOCIALE AU CŒUR DES DROITS D ES FEMMES DU 28 D U 2 8 F É V R I E R A U 1 E R M A R S 2 0 1 6 WINNIPEG (MANITOBA) Bienvenue au Symposium sur les questions féminines de 2016 Tous les ans, la Fédération canadienne des enseignantes et des enseignants tient un symposium sur les questions féminines qui est accueilli par l’une de ses organisations Membres. Ce symposium rassemble des porte-paroles de la profession enseignante et des représentantes des groupes de femmes de partout au pays afin d’étudier une question ou un thème donné dans le but de renforcer la condition féminine et d’améliorer la situation des femmes au sein de la profession enseignante et dans le vaste contexte social. Le thème de cette année : L’enseignement de la justice sociale au cœur des droits des femmes Cette année, nous sommes extrêmement reconnaissants à la Manitoba Teachers’ Society pour son aide précieuse dans la planification et l’accueil du Symposium. Un merci tout à fait spécial au Musée canadien pour les droits de la personne pour avoir préparé un exposé informatif et inspirant sur les droits des femmes au Canada et dans le monde. Nous espérons que vous apprécierez votre séjour à Winnipeg alors que nous examinerons ensemble les questions de justice sociale qui touchent les femmes de façon disproportionnée, discuterons des stratégies visant à améliorer la condition des femmes et des filles, et célèbrerons le centenaire de l’obtention du droit de vote par des femmes au Canada. Pour des raisons de santé, la Fédération canadienne des enseignantes et des enseignants a adopté une politique pour un milieu de travail sans parfum. Les produits parfumés tels que les fixatifs, les parfums et les déodorants peuvent déclencher des réactions comme de la détresse respiratoire et des maux de tête. Nous vous saurions gré de ne pas porter ces produits au Symposium. L’enseignement de la justice sociale au cœur des droits des femmes Symposium sur les questions féminines de la FCE-MTS Hôtel Victoria Inn & Convention Centre (À moins d’indication contraire, les présentations seront faites en anglais.) Le dimanche 28 février 2016 17 h 30 Inscription à l’hôtel Victoria Inn, salle Embassy 18 h 30 Vin et fromage 19 h Présentations Norm Gould, président de la Manitoba Teachers’ Society, vice-président de la FCE Heather Smith, présidente de la Fédération canadienne des enseignantes et des enseignants La condition de la femme au Canada vue sous l’angle politique Niki Ashton, députée du Nouveau Parti démocratique de la circonscription de Churchill— Keewatinook Aski Finding Freedom (trouver la liberté) par Shamin Brown Puissant slam qui dénonce la marginalisation et l’isolement social des femmes et des enfants que le commerce du sexe maintient derrière un mur de silence et de honte. Le lundi 29 février 2016 Déjeuner libre 8 h 15 Autobus de l’hôtel Victoria Inn au Musée canadien pour les droits de la personne 9h Bienvenue au Musée canadien pour les droits de la personne (MCDP) John Young, Ph. D., président-directeur général, MCDP 9 h 05 Survol de Parler vrai au pouvoir Canada Heather Smith, présidente de la FCE Supports visuels bilingues — Les questions pourront être posées en français ou en anglais. Rosemary Sadlier, présidente de l’Ontario Black History Society et l’une des 12 défenseuses et défenseurs des droits de la personne de Parler vrai au pouvoir Canada Les questions pourront être posées en français ou en anglais. 10 h 15 De 10 h 30 à 11 h 30 Pause Un musée visionnaire Aperçu de la riche collection de ressources éducatives que le Musée canadien pour les droits de la personne met à la disposition du personnel enseignant, dont des ressources qui font le lien entre les programmes d’études et les expositions. Seront aussi présentés les programmes éducatifs du Musée, actuels et en préparation. Mireille Lamontagne, gestionnaire des programmes éducatifs et des projets spéciaux, MCDP Supports visuels bilingues — Les questions pourront être posées en français ou en anglais. L’enseignement de la justice sociale au cœur des droits des femmes Symposium sur les questions féminines de la FCE-MTS Le lundi 29 février 2016 11 h 30 Quiet (tranquille) par Mary Black Œuvre parlée qui, en dépeignant la vie d’une femme autochtone tranquille dans un quartier défavorisé du centre-ville, met des mots sur les problèmes qui, sans bruit, consument nos communautés et nos vies. De 11 h 40 à 13 h 15 Marche jusqu’au restaurant indien Clay Oven www.clayoven.ca/ De 13 h 30 à 16 h Les droits des femmes aujourd’hui Isabelle Masson, chercheure et conservatrice, MCDP Les membres du personnel professionnel du Musée feront vivre aux participantes et participants des activités expérientielles qui les aideront à mieux comprendre les épreuves que les femmes et les filles ont dû surmonter et continuent de devoir surmonter pour faire respecter leurs droits au Canada. Les personnes participantes se rendront compte à quel point les obstacles systémiques et les attentes traditionnelles à l’égard des femmes et des hommes façonnent les perspectives, les comportements et les attitudes, et peuvent limiter la capacité à s’épanouir et à se réaliser pleinement. En parcourant le Musée, elles rencontreront une foule de personnages, parfois extraordinaires, parfois ordinaires, mais toujours inspirants, qui ne ménagent aucun effort pour parvenir à l’égalité entre les sexes au Canada et ailleurs dans le monde. Cette activité axée sur l’égalité et les droits des femmes au Canada et dans le monde a pour but de déconstruire les barrières qui menacent l’égalité et l’équité entre les sexes. Plus précisément, nous tenterons d’atteindre les objectifs suivants : comprendre le concept de l’égalité entre les sexes et son lien avec les droits des femmes; comprendre en quoi les normes sexospécifiques créent une pression sociale qui finit par mener à la négation des droits de la personne; comprendre que la lutte en faveur de l’égalité entre les sexes au Canada et dans le monde ne date pas d’hier et se poursuit encore aujourd’hui; dresser une liste de femmes qui, de par leurs qualités de chef de file, peuvent changer les choses, et le font, ici et ailleurs. Supports visuels bilingues — Les questions pourront être posées en français ou en anglais. Les exercices en table ronde seront menés en français et en anglais. 16 h 30 Temps libre pour explorer le quartier historique de La Fourche et ses boutiques 18 h Retour par autobus à l’hôtel Victoria Inn à partir de La Fourche L’enseignement de la justice sociale au cœur des droits des femmes Symposium sur les questions féminines de la FCE-MTS Le lundi 29 février 2016 19 h Célébration du centenaire de l’obtention du droit de vote par des Salle femmes au Canada Embassy — L’honorable Patricia Hajdu, ministre de la Condition féminine Hôtel Victoria Inn Souper suivi d’une performance musicale de Good Karma Co. (aussi appelé le Good Karma Collective), qui réunit trois jeunes femmes, toutes chanteuses et parolières reconnues, qui se servent de la voix et d’instruments multiples pour créer un son à la fois naturel, authentique et coloré. Le mardi 1er mars 2016 Déjeuner libre Groupe A (matin) / Groupe B (après-midi) 8 h 30 Atelier sur l’éducation contre l’oppression Groupe B (matin) / Groupe A (après-midi) 8 h 30 Plan d’action pour venir à bout de la violence contre les femmes Alex Wilson, Ph. D., professeure agrégée et directrice des études à l’Aboriginal Education Research Centre de l’Université de la Saskatchewan Diane Redsky — Les femmes autochtones assassinées ou disparues et la traite de personnes Barb Byers — Sur la nouvelle initiative DV@Work (les effets de la violence conjugale sur le milieu de travail). Supports visuels bilingues — Les questions pourront être posées en français ou en anglais. 10 h Pause 10 h 15 Atelier sur l’éducation contre l’oppression (suite) 10 h 15 Les femmes peuvent changer le cours des choses! — Groupe de discussion 11 h Nancy Peckford, À voix égales Bobbi Taillefer, The Manitoba Teachers’ Society Catherine Hart, enseignante et activiste, Winnipeg (Manitoba) Passons à l’action Animation par le personnel de la MTS Les discussions en table ronde se dérouleront en français et en anglais. L’enseignement de la justice sociale au cœur des droits des femmes Symposium sur les questions féminines de la FCE-MTS 11 h 30 Diner 12 h 30 Stolen Girls (filles volées) par Hope McIntyre Cette œuvre en mouvements rappelle l’enlèvement des lycéennes de Chibok, au Nigéria, en avril 2014. Pourquoi les femmes deviennent-elles des pions dans les guerres entre les hommes? 12 h 40 Les groupes A et B changeront de programmes. De 15 h 30 Conclusion et évaluations à 16 h L’enseignement de la justice sociale au cœur des droits des femmes Symposium sur les questions féminines de la FCE-MTS Biographies (par ordre d’intervention) Norm Gould est président de la Manitoba Teachers’ Society (MTS) et vice-président de la Fédération canadienne des enseignantes et des enseignants (FCE). Il enseigne depuis 20 ans au Manitoba et en est à sa deuxième année à la vice-présidence de la FCE. Avant de devenir président de la MTS, Norm Gould avait occupé les postes de vice-président de la MTS, de membre du Comité exécutif provincial, de président de la St. James-Assiniboia Teachers’ Association et d’enseignant à St. JamesAssiniboia. Il est titulaire d’une maitrise en éducation avec spécialisation en droit de l’éducation, et a récemment obtenu la désignation Certified Risk Manager de l’Université de Winnipeg. Heather Smith a été élue présidente de la Fédération canadienne des enseignantes et des enseignants pour la période de juillet 2015 à juillet 2017. Jusqu’en juin 2015, Heather Smith a été directrice d’école et enseignante à la Janeville Elementary School tout près de Bathurst. L’ancienne présidente de la New Brunswick Teachers’ Association est titulaire d’un baccalauréat en éducation (palier élémentaire) et en éducation de l’enfance en difficulté, et d’une maitrise en éducation (alphabétisation) de l’Université Mount Saint Vincent. Elle a enseigné 32 ans au palier élémentaire au Nouveau-Brunswick, principalement à la maternelle et en 4e année. Niki Ashton a été élue députée une première fois dans la circonscription fédérale de Churchill en 2008, puis a été réélue en 2011 et de nouveau en 2015, après le redécoupage, dans la circonscription de Churchill—Keewatinook Aski. Ancienne professeure au Collège universitaire du Nord, Niki Ashton a une maitrise en relations internationales de l’Université Carleton et un baccalauréat en économie politique mondiale de l’Université du Manitoba où elle poursuit des études doctorales sur la paix et le conflit. Elle parle couramment quatre langues — le français, l’anglais, l’espagnol et le grec (sa langue maternelle) — et en a étudié quatre autres. John Young, Ph. D., est devenu le présidentdirecteur général du Musée canadien pour les droits de la personne (MCDP) le 17 aout 2015. Avant d’accepter ce poste, il était professeur agrégé de science politique à l’Université de Northern British Columbia (UNBC), où il s’est illustré comme enseignant et comme administrateur. Pendant son séjour à l’UNBC, il a travaillé à titre de vice-recteur intérimaire à l’enseignement et à la recherche, et auparavant, à titre de doyen du Collège des arts, des sciences sociales et des sciences de la santé. Reconnu par l’UNBC pour son excellence en enseignement, John Young a été professeur invité aux États-Unis et au Japon, et il a vécu et travaillé en Allemagne et en Russie. Il a aussi travaillé au Centre parlementaire canadien. Par ailleurs, de 2012 à 2015, il a siégé aux conseils d’administration de la Société Radio-Canada et du MCDP. Rosemary Sadlier est présidente de l’Ontario Black History Society depuis 1993. En sa qualité, elle contribue à faire reconnaitre l’histoire des Noires et des Noirs par l’éducation, la recherche et les programmes d’information, et a été saluée et honorée pour son travail acharné. Les pressions qu’elle a exercées sur le gouvernement canadien sont à l’origine de la décision, en 1995, de faire de la célébration du Mois de l’histoire des Noirs et des Noires un évènement national annuel. Rosemary Sadlier a fait des présentations à des tribunes nationales et internationales — y compris aux Nations Unies — sur les thèmes de l’histoire canadienne des Noirs et des Noires, des programmes d’études et de la lutte contre le racisme. Elle a réalisé et publié de nombreuses études sur l’histoire des Noirs et des Noires, au Canada et dans le monde. Elle est diplômée en enseignement et en travail social. Ses racines canadiennes remontent à avant la Confédération : la généalogie canadienne de sa famille maternelle peut être retracée jusqu’en 1840, tandis que les ancêtres de son père sont arrivés au Nouveau-Brunswick en 1793. L’enseignement de la justice sociale au cœur des droits des femmes Symposium sur les questions féminines de la FCE-MTS Mireille Lamontagne est titulaire d’un baccalauréat ès arts avancé en anthropologie, d’un diplôme en gestion des ressources culturelles, et d’un certificat de spécialisation en gestion culturelle. Tout au long de sa carrière, elle a travaillé pour des musées canadiens et dans les domaines du patrimoine et de l’archéologie, notamment pour les programmes muséaux éducatifs et culturels de Patrimoine canadien, du Musée du Manitoba et de Parcs Canada. Présentement, Mireille Lamontagne est gestionnaire des programmes éducatifs et des projets spéciaux au Musée canadien pour les droits de la personne. Isabelle Masson a fait ses études en science politique. Elle s’est jointe à l’équipe du Musée canadien pour les droits de la personne (MCDP) en 2010. Elle y occupe le poste de chercheure-conservatrice responsable des expositions présentées dans la galerie Les droits aujourd’hui. Isabelle Masson a étudié à l’Université du Québec à Montréal et à l’Université York à Toronto. Dans le cadre de ses recherches, elle a mené des travaux sur le terrain en Afrique australe et orientale. L’honorable Patty Hajdu a été élue députée de la circonscription de Thunder Bay-SupérieurNord lors des élections fédérales d’octobre 2015. Le premier ministre l’a nommée ministre de la Condition féminine du Canada. C’est donc à ce titre qu’elle sert la population canadienne depuis le 4 novembre 2015. Depuis plus de 20 ans, Patty Hajdu travaille en concertation à améliorer la qualité de vie des gens du nord-ouest de l’Ontario. Elle est connue et respectée au sein de sa collectivité pour ce qu’elle a réussi à accomplir en matière de lutte contre la toxicomanie, de réduction des méfaits, de logement et de santé publique. Avant d’être élue à la Chambre des communes, elle était directrice générale de la Shelter House, à Thunder Bay, un organisme de première importance pour la ville, qui répond aux besoins élémentaires des personnes les plus démunies tout en préservant leur dignité. Patty Hajdu est détentrice d’un baccalauréat ès arts de l’Université Lakehead et d’une maitrise en administration publique de l’Université de Victoria. À titre de ministre et de députée, elle poursuit un cheminement personnel et professionnel qui a toujours inclus le service public et la défense d’intérêts sociaux. Cette expérience, conjuguée à sa compassion envers autrui, l’a bien préparée à son nouveau rôle, soit aider les femmes et les filles à relever les défis qui sont les leurs dans la société canadienne d’aujourd’hui. Alex Wilson, Ph. D., est une Moskégonne de la nation crie d’Opaskwayak. Elle est professeure agrégée et directrice des études à l’Aboriginal Education Research Centre de l’Université de la Saskatchewan. Sa mission professorale a grandement contribué à mieux faire connaitre le concept de la bispiritualité (du point de vue de l’identité, de l’histoire et des enseignements) et les méthodes de recherche autochtones; à promouvoir l’éducation contre l’oppression; ainsi qu’à renforcer la prévention de la violence chez les Autochtones. Activiste et organisatrice du mouvement Idle No More, elle participe activement à des interventions contre la destruction des terres, des eaux et du corps humain. Diane Redsky est la directrice générale du Ma Mawi Wi Chi Itata (Ma Mawi) Centre. Fière mère de trois enfants et kookum (grand-mère), elle est membre de la bande de la réserve Shoal Lake no 40. Elle est connue pour son action de longue date auprès de la communauté autochtone urbaine de Winnipeg dans les sphères de la santé, de la justice, de l’éducation et des services sociaux. À titre professionnel et bénévole, elle a travaillé avec des organismes locaux, nationaux et internationaux, et est devenue une ardente défenseure des droits des enfants et des femmes autochtones. Entre 2011 et 2015, Diane Redsky a été la directrice de projet du Groupe de travail national sur la traite des femmes et des filles au Canada de la Fondation canadienne des femmes. Barb Byers a débuté sa carrière de travailleuse sociale en Saskatchewan où elle s’est occupée de dossiers comme la pauvreté, le chômage des jeunes, les problèmes des Autochtones, l’accès à l’égalité et les droits des travailleuses et des travailleurs. Après avoir assuré la présidence du Saskatchewan Government Employees’ Union (SGEU) et de la Fédération du travail de la Saskatchewan (FTS), elle a été élue vice-présidente exécutive du Congrès du travail du Canada en 2002 et secrétairetrésorière en mai 2014. Parmi les nombreux dossiers qui l’intéressent, Barb Byers a été chargée de l’éducation syndicale, de l’assurance-emploi, des questions intéressant les travailleuses, les travailleurs et travailleuses ayant un handicap ainsi que les travailleuses et travailleurs allosexuels. Les fortes racines communautaires de Barb Byers l’ont portée à fonder le camp d’été de la FTS pour les jeunes de la Saskatchewan et à cofonder la Prairie School for Union Women. L’enseignement de la justice sociale au cœur des droits des femmes Symposium sur les questions féminines de la FCE-MTS Nancy Peckford, originaire de Terre-Neuve-etLabrador, a un baccalauréat ès arts en administration publique avec une mineure en français et en économie du Collège Smith, l’un des collèges des arts libéraux les plus réputés des États-Unis. Nancy Peckford est retournée faire sa maitrise à Terre-Neuve-et-Labrador où elle s’est principalement penchée sur la formation des intérêts politiques des femmes dans les années 1970 et 1980. Après avoir été sélectionnée pour participer au Programme de stage parlementaire en 1999, elle est venue travailler à titre non partisan pour les bureaux de Susan Whelan (Parti libéral) et de Bob Mills (Parti réformiste) à Ottawa. Elle a ensuite travaillé avec diverses ONG avec qui elle a dirigé des campagnes nationales sur une variété de dossiers stratégiques. Mère de trois enfants et conjointe de Craig, Nancy Peckford a eu l’occasion de travailler à un certain nombre de campagnes politiques, depuis l’étape de la nomination jusqu’à la fin. Bobbi Taillefer travaille depuis 18 ans pour la Manitoba Teachers’ Society. Elle y a occupé divers postes de direction, notamment comme responsable de la négociation, du personnel, des services professionnels et des services en langue française. Elle a aussi été secrétaire générale adjointe avant de devenir secrétaire générale en 2015. Avant son arrivée à la MTS, elle avait été enseignante et directrice d’école à Winnipeg. Bobbi, son conjoint Paul et leurs chiens aiment voyager et partir explorer les sentiers. Catherine Hart est enseignante et conseillère en formation d’alliances gais-hétéros à l’école West Kildonan Collegiate depuis 2010. C’est là qu’elle a découvert sa passion pour le travail en solidarité avec les élèves qu’elle veut aider à trouver leurs voix au travers de l’écriture et de l’action sociale. En 2014, Catherine Hart s’est jointe à l’équipe de direction de la Seven Oaks Teachers’ Association en qualité de présidente du comité de l’équité et de la justice sociale. En 2015, elle est passée au poste de viceprésidente de l’Association. Avec la Teacher Action Cohort (2014-2015) et la Teacher-Led Learning Team (2015-présent) de la MTS, Catherine Hart se joint à d’autres membres du corps enseignant pour promouvoir l’équité et l’inclusion en salle de classe. L’enseignement de la justice sociale au cœur des droits des femmes Symposium sur les questions féminines de la FCE-MTS Venir au Musée Le Musée est situé au 85, Israel Asper Way, à La Fourche, dans le centre de Winnipeg (Manitoba), Canada. L’entrée principale se trouve juste à côté d’un planchodrome et d’une statue à l’effigie de Mahatma Gandhi. L’entrée des groupes se situe au niveau des feux de circulation où Mahatma Gandhi Way et Israel Asper Way se rencontrent. Adresse exacte : Musée canadien pour les droits de la personne 85 Israel Asper Way Winnipeg (MB) R3C 0L5 Il y a des espaces de stationnement public avec parcomètres autour du Musée. Le stationnement est gratuit dans le secteur de La Fourche, mais limité à trois heures. Il y a aussi des espaces de stationnement en face de l’entrée des groupes où le prix à la journée est de 9 $. Winnipeg Transit a 33 trajets d’autobus qui desservent le secteur de La Fourche et le Musée canadien pour les droits de la personne. Avec des arrêts sur la rue Main juste à l’extérieur de la gare Union, sur William Stephenson Way et sur Israel Asper Way, il est très facile de se rendre au Musée en autobus. Utilisez Navigo, le planificateur de trajet en ligne de Winnipeg Transit, pour planifier votre trajet jusqu’au Musée (http://winnipegtransit.com/en/navigo). Les cyclistes trouveront des supports à vélo à l’entrée principale et à l’entrée des groupes. OÙ ALLER ET COMMENT FAIRE À VOTRE ARRIVÉE Lorsque que vous êtes devant le Musée sur Israel Asper Way, entrez par la porte de droite de l’entrée des groupes, nous vous y accueillerons. Signalez votre présence à la sécurité, au comptoir. Nous irons vous y retrouver. Nous vous fournirons une lanière bleue que vous devrez garder sur vous lorsque vous serez au Musée. Ces lanières vous donnent accès aux salles de classe, où les séminaires auront lieu, ainsi qu’aux galeries. Nous vous demanderons de nous redonner les lanières à la fin de chaque journée. **Notez bien que la lanière ne permet pas l’entrée aux expositions itinérantes. Pour visiter une exposition itinérante, vous devrez payer les droits d’admission et de visite d’exposition temporaire normalement prévus. L’enseignement de la justice sociale au cœur des droits des femmes Symposium sur les questions féminines de la FCE-MTS À quoi s’attendre R AMPES Le Musée propose un parcours de l’ombre à la lumière. Vous y entrez au niveau du sol, dans un espace que l’on croirait souterrain. Vous montez ensuite graduellement grâce à une série de rampes inclinées, la lumière augmentant au fur et à mesure. Le Musée compte six niveaux d’expositions et 11 galeries. On peut très bien faire un parallèle entre ce parcours singulier et celui des droits de la personne : les deux requièrent des efforts et présentent bien des virages et des détours, mais dans les deux cas, le fait d’aller jusqu’au bout est très gratifiant. Portez des chaussures confortables si vous avez l’intention de marcher et gardez votre appareil photo à portée de la main — la lumière naturelle qui se mêle à l’albâtre recouvrant les rampes séduit toujours les photographes. Les photos sont permises, mais sans flash. Les photos doivent être pour fins personnelles et non commerciales. Les trépieds et les perches à égoportrait (selfie-sticks) sont interdits. la tour. En période de haute activité comme lors des vacances saisonnières et des longues fins de semaine, le temps d’attente peut être de 30 minutes ou plus. ALIMENTS ET BOISSONS Le restaurant ERA Bistro, situé au rez-dechaussée, offre des repas et des collations. Il est interdit de manger et de boire dans les galeries. Vous pouvez sans problème boire et manger dans la salle Bonnie & John Buhler et sur la terrasse C au niveau 5. Veuillez ne pas apporter d’aliments contenant des noix au Musée. La restauration sur place se fait par Era Bistro. Toute restauration de l’extérieur est interdite. Vous pouvez apporter un sac-à-diner. FONTAINES À BOIRE Il y a des fontaines à boire près des salles de toilettes aux niveaux 1, 4, 5, 6 et 7. ASCENSEURS Si vous souhaitez voir une galerie en particulier ou préférez ne pas emprunter les rampes, vous pouvez utiliser l’ascenseur de la salle Bonnie & John Buhler, qui s’arrête à chaque étage des galeries, du 2e au 7e. Un autre ascenseur accessible depuis le Jardin de contemplation au 3e étage permet de se rendre aux galeries situées aux étages supérieurs ainsi qu’à la Tour de l’espoir. Vous pouvez donc visiter les galeries et la Tour de l’espoir comme bon vous semble. VISITE DE LA TOUR DE L ’ESPOIR ISRAEL ASPER La Tour de l’espoir offre une vue panoramique de Winnipeg. Vous pouvez vous y rendre en utilisant l’ascenseur ou, si vous n’avez pas le vertige, vous pouvez emprunter les escaliers en colimaçon. La capacité de la Tour étant limitée pour des raisons de sécurité, il est possible que vous deviez attendre votre tour pour accéder à HYPERSENSIBILITÉS ENVIRONNEMENTALES Par respect pour les personnes ayant des hypersensibilités environnementales, veuillez éviter l’utilisation de produits parfumés. TEMPÉRATURE Habillez-vous chaudement. Pour répondre aux exigences liées à la conservation des artéfacts rares, le Musée exerce un contrôle étroit sur la température et l’humidité dans l’ensemble de l’édifice et des galeries d’exposition. En raison de cette pratique muséale courante, vous pouvez vous attendre à des températures moyennes de 19 à 20 °C (66 à 68 °F). Nous vous encourageons donc à apporter un gilet ou un manteau léger au cas où vous en auriez besoin pendant votre visite. Si vous oubliez, veuillez garder à l’esprit que notre boutique offre plusieurs choix élégants pour se garder bien au chaud. L’enseignement de la justice sociale au cœur des droits des femmes Symposium sur les questions féminines de la FCE-MTS EFFETS PERSONNELS Des portemanteaux situés près de l’entrée des groupes seront désignés pour votre groupe, sans frais. Vous pouvez laisser vos manteaux et vos effets personnels lorsque vous visitez les galeries dans les salles de classe, elles sont toujours fermées à clef. Les sacs à dos sont interdits dans les galeries et doivent être laissés dans les salles de classe. Vous pouvez aussi laisser votre sac au vestiaire près de la billetterie à l’entrée principale. EXIGENCES PARTICULIÈRES Le Musée est entièrement accessible. Si vous avez des exigences particulières en plus de celles indiquées au moment de la réservation, veuillez communiquer avec nous au moins 24 heures à l’avance, pour que nous puissions faire les préparatifs nécessaires. Avant le début du programme, veuillez rappeler à votre guide s’il y a des adaptations à faire pour réduire la durée de la marche ou prévoir des pauses assises. CONCEPTION UNIVERSELLE ET ACCESSIBILITÉ Nous avons travaillé fort pour rendre nos expositions et nos programmes inclusifs et accessibles à tous. Qui que vous soyez, vous aurez pleinement accès au contenu du Musée. Les rampes sont conformes au Code du bâtiment et permettent de se reposer régulièrement. Toutes les vidéos sont accompagnées d’un sous-titrage visible, d’audiovision et d’une interprétation en langage gestuel (« American Sign Language » et langue des signes québécoise). Vous pouvez vous procurer un appareil mobile avec fonctions d’accessibilité au service de billetterie et d’information à votre arrivée ou demander de l’aide à un membre du personnel afin que nous puissions répondre à vos besoins. Nous vous encourageons aussi à télécharger l’application du Musée pour bénéficier d’un « guide ». ACCÈS WIFI Il y a un accès wifi dans les salles de classe et dans les galeries; vous n’avez pas besoin de vous identifier.