Mekamag 2 - Nuage production audiovisuelle

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Essai
Ford
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Essai
Suzuki DRZ 400
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Essai
Entreprise
Ligier
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RXV et SXV
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Un break sur la base
de la Clio III :
Kia Picanto restylée :
vive les rondeurs...
Plus longue de 40 mm pour
atteindre 3,53 m, la nouvelle
petite coréenne conserve
cependant un empattement
et un volume de coffre (157 litres)
identiques. Ce changement
de gabarit se fait donc
uniquement au profit du design
avec une poupe arrondie gagnant
30 mm. A l’avant, le capot,
les ailes et les boucliers sont
revus ; tout comme les phares
et feux arrière, redessinés
également.A l’intérieur,
la console centrale profite
de quelques retouches et se
pare d’un rétroéclairage orange.
Plus d’équipements, de nouvelles
teintes et d’options sont au
programme de ce millésime
2007, dont des superbes jantes
5 branches de 15 pouces.
Côté motorisations, « on ne
change pas une équipe qui
gagne » puisque deux blocs
essences de 1.0 et 1.1 et le
diesel 1.1 CRDI prennent place
sous le capot. Disponible
dès 2008 en version 4 ou 5 places,
avec deux niveaux de finitions.
compact, élégant et dynamique avec sa
lunette arrière inclinée, son coffre généreux
de 439 dm3 extensible à 1277 dm3 se veut
également pratique. De quoi permettre à
Renault d’élargir sa clientèle sur le segment B
en touchant une cible complémentaire à celle
de la berline. Sa commercialisation est prévue
pour le premier semestre 2008.
Dimensions extérieures (mm) :
Longueur : 4202
Empattement : 2575
Porte à faux avant : 805
Porte à faux arrière : 822
Largeur hors tout / avec rétroviseurs : 1707 / 2025
Hauteur à vide (hors barres de toit) : 1497
Dimensions du coffre (mm) :
Profondeur plancher : 800
Longueur de plancher de coffre avec sièges arrière
pliés : 1450
Volume coffre (dm3 ) : 439 / 1277
Salon de Francfort 2007 :
Èlégance et plaisir de pilotage,
voici la Laguna Coupé Concept.
Un show car qui symbolise à lui seul la vision du coupé
grand tourisme et sportif haut de gamme selon Renault.
Destiné à un public sensible à la performance et au
plaisir de pilotage dans un environnement raffiné, ce coupé marie avec succès technologie et
élégance. Sa silhouette fluide et racée, marquée par un long capot et par un porte-à-faux arrière
très court, ainsi que sa calandre massive en aluminium, laissent deviner un bloc mécanique
généreux : le puissant V6 dCi de 230 ch développé avec Nissan. Reposant sur le tout nouveau
châssis « Active Drive » à quatre roues directrices. La Fuego en mieux quoi !
Pacific Craf 777 Suncruiser
Croisière côtière et cabotage « grand confort » chez Speed Marine
pour octobre 2007.
Nouvelle concession
MAZDA & HONDA
Nouvel écrin pour les marques
automobiles Honda et Mazda,
avec l’inauguration de la nouvelle
concession rue Becquerel, à Jarry.
Plus spacieuse, plus lumineuse
et à l’architecture plus en rapport
avec l’image de technologie des
marques représentées, et offrant
de nouveaux services hauts
de gamme.
Dans la lignée des 570 et 650 WA, le Pacific Craft 777 - nouveau bateau amiral de la gamme Pacific
Craft présenté à Cannes le mois dernier - donne l’accès aux croisières côtières de plusieurs jours.
Ce concept sundeck allie convivialité et espace grâce à son plan de pont open avec un grand
bain de soleil à l’avant, tout en offrant une cabine capable d’accueillir 4 personnes. Cette dernière
comprend une salle de douche fermée et ventilée avec WC électrique, lavabo-douche et rangement.
Sur l’avant une banquette en U et une table convertible assurent un grand couchage double.
L’arrière dispose d’une « mid cabin » deux places. Le tout avec un niveau d’équipement standard
pour le moins attractif ! A l’extérieur, l’aménagement est aussi à l’avenant : plateforme de bain avec
échelle, portillon et douchette eau douce, banquette en L avec table sur deux pieds, cuisine de pont
largement dimensionnée avec évier, plaques chauffantes et rangements intégrés au leaning post,
console de pilotage protégée par un grand pare-brise protecteur, enfin deux passages latéraux
donnent accès au grand bain de soleil. Côté motorisation, le 777 Suncruiser peut être équipé d’un
ou deux moteurs hors-bord avec pour puissance maximale totale 400 chevaux. Nul doute que cette
carène au V très prononcé de l’avant jusqu’au tableau arrière, idéale pour nos mers caribéennes, ne
se fasse une jolie place au soleil sur notre marché.
Longueur : 7,75 m / 25,5 pieds
Largeur : 2,70 m
Poids : 2200 kg
Réservoir carburant : 400 litres
Réservoir eau : 100 Litres
Homologation : 8 personnes en catégorie B
Puissance mini : 250 cv
Puissance maxi : 400 cv
Exemple : 36 nœuds avec un monomoteur 250 cv 4 temps
et hélice de 17 pouces
Prix à partir de : 70 400 euros TTC livré Guadeloupe avec
moteur 250 cv hors bord 4 temps.
BMW Série 1
Coupé :
du style et du caractère.
Conçu sur la base de la Série 1, BMW annonce
un coupé compact 2+2 (places) au comportement
dynamique et à l’agilité propre aux productions
maisons. Son design caractéristique mêle
puissance et légèreté, de grandes portes sans
montants, bien dans l’esprit des coupés BM façon tri-corps qui rapproche encore un peu plus la
petite dernière à ses grandes sœurs. D’autant que les motorisations prévues laissent présager
du meilleur : en haut de la gamme la 135i coupé trône forte de son six-cylindres en ligne essence
de 3,0 litres bi-turbo à injection directe développant 306 ch ; un nouveau quatre-cylindres diesel
de 2,0 litres bi-turbo de 204 ch animera la 123d coupé, alors que le 2,0 litres de 177 ch viendra
compléter cette offre sur la 120d coupé.
... esprit Off Road.
La montée des loisirs se traduit dans le monde de
l’automobile par une multiplication de l’offre des
silhouettes non traditionnelles. La mode est aux « Sport
Utility Vehicles, Multi Purpose Vehicles, Cross Over »,
à la fois fonctionnels, ludiques, pratiques et toujours
pourvus d’une forte personnalité. La 207 SW Outdoor
s’inscrit dans ce courant et se définit comme une voiture
dynamique et « baroudeuse », pensée comme un compagnon de loisirs, prêt à faciliter la vie de
ses usagés. À partir de la silhouette de la 207 SW, l’Outdoor peut disposer selon les versions et
les destinations d’un toit panoramique en verre de 1,106 m2 avec rideau électrique d’occultation ;
de barres de toit « aériennes » de style avant-gardiste ; de vitres latérales arrière, custodes hautes
et lunette arrière sur-teintées et d’une face avant sport avec grille d’entrée d’air peinte. Pour
parfaire son allure « baroudeur », la garde au sol est surélevée de 16 mm à l’avant et de 21 mm à
l’arrière, les jantes alu reçoivent des pneus spécifiques Bridgestone Turanza de taille 205/55R16.
Enfin, la nouvelle ceinture de caisse exprime la robustesse et inspire le caractère protecteur de
la Peugeot, renforcé par les élargisseurs d’ailes reliés à l’avant comme à l’arrière par une pièce
« tuilée » ainsi que latéralement par des bas de caisse monopièce de 1,80 m teintés dans la masse.
Des « sabots », évocateurs de l’univers du 4x4, complètent le dispositif de protection à l’avant et
à l’arrière. En essence comme en diesel, les motorisations se caractérisent notamment par leur
sobriété et leur respect de l’environnement avec des émissions de gaz à effet de serre réduites, des
qualités particulièrement en phase avec l’esprit « nature et loisirs » de l’auto.
308 RC Z, le Lion se rebiffe.
Ce concept annonciateur d’une prochaine version coupé
2+2 tri-corps de la compacte du même nom, n’est pas
sans rappeller le dessin d’une certaine Audi TT. L’utilisation
de nombreux éléments en aluminium - tel les deux arches
délimitant l’habitacle – en polycarbonate pour la lunette
arrière, ou en carbone pour la carrosserie permet à ce dernier
d’afficher un poids dès plus contenu sur la balance. Mêmes
mensurations que la berline à l’exception d’une hauteur
record de seulement 1,32 m, la 308 RC Z renferme le bloc
THP 1.6 né de la collaboration entre PSA et BMW, dont la puissance a été portée à 218 chevaux
et accouplé à une nouvelle boîte à six rapports. Ainsi le 0 à 100 km/h est couru en 7 secondes et
la vitesse maxi annoncée de 235 km/h. Reste à souhaiter que ce show car inspirera une version de
série qui devra hélas tenir compte de nombreuses contraintes, notamment industrielles.
Dacia dans tout ses état !
Outre le fait de nous proposer
une version 5 portes à haillon de
la Logan pour 2008, dérivée de
la Renault Sandero destinée au
marché sud américain et vue à
Francfort, la marque “low cost”
du constructeur français décline
sa berline à succès à toutes les
sauces. A commencer par la Van,
un utilitaire sur base de MCV qui
devrait arriver début 2008; suivront
un pick-up (berline 2 portes avec
benne) ainsi qu’un étonnant 4X4
en 2009.
VW Tiguan :
Toyota RAV4 et consorts
en ligne de mire.
Sorte de Golf Plus à transmission
intégrale au look de mini Touareg,
ce modèle de 4,40 m de long
pour 1,85 m de large affiche des
mensurations qui le propulse
au sommet de sa catégorie.
a, la Tiguan l’est également à
l’intérieur, une nouvelle fois très
inspiré de la grosse Golf dont
elle ne se différencie que par
certains habillages spécifiques.
Dotée de moteurs à la pointe,
elle sera disponible avec un
essence 1.4 TSI de 150 ch et
un nouveau diesel 2.0 TDI de
140 ch en boîte mécanique ou
tiptronic. Les amateurs du genre
devront patienter car son arrivée
en Guadeloupe n’est pas prévue
avant ... 2008.
Le chiffre :
Arrivée des Ducati
HYPERMOTARD
Elle était à la base un simple proto de salon. Mais plébiscité
en masse par le publique pour commercialiser la bête, Ducati
a su être à l’écoute de ses clients. Le résultat est sur nos
routes en version 1100 standard et S.
Olé…
Réputé pour la qualité et la sportivité de ses machines, Derbi
présente la «Mulhacen», concept unique pour cette «scrambler»
des temps modernes. Disponible en 125 et 650, elle risque bien
de trouver ici le terrain
idéal pour exploiter ses
qualités.
1,2
million…
… d’enfants dans le monde
sensibilisés par Renault à la
sécurité routière en 2007. Depuis
7 ans, le programme international
« Sécurité pour tous » développé
par le constructeur propose un kit
pédagogique gratuit destiné aux
élèves et enseignants des écoles
primaires dans quelques 21 pays
du globe.
L’Hybrid,
Rouler en hybride relève autant de l´affirmation de son statut social que de l´acte
citoyen. Alors souci d´image ou ferveur écologiste, une chose est sûre,
la dernière mouture de la Civic Hybrid qui débarque sur nos routes - et c’est une
première - est une voiture aussi intelligente que propre.
une Honda très « civique » …
éveloppée sur la
base de la 4 portes
réservée au marché
américain, histoire de conserver un
volume de coffre respectable une
fois le pack de batteries installé
derrière la banquette arrière, l’Hybrid
affiche un style moins décalé que la
version 5 portes de la Civic connue
sous nos latitudes. Pour autant, ses
4,54m de long et 1,75m de large lui
confèrent la stature d’une berline
du segment supérieur. Jantes en
alu pleines de 15 pouces, spoiler
avant et becquet arrière harmonisent
la ligne de l’auto avec élégance.
Comme ses dimensions extérieures
le laissent présager, l’habitacle se
veut généreux. A bord, les passagers
sont à leur aise à
l’avant comme à l’arrière. Espace aux
jambes, largeur aux coudes et garde
au toit sont des plus corrects. Certes
l’ambiance à dominante grise ne joue
pas spécialement sur le registre de
la gaîté, cependant l’assemblage et
la finition soignée n’appellent aucuns
reproches et le volant légèrement
tulipé… hum, un vrai régal. Le design
futuriste du tableau de bord à 2 étages
inspiré de la compacte présente
l’avantage d’offrir une ergonomie
remarquable. Les rangements sont
multiples, bien pensés et l’équipement
de série pour le moins fourni. Ecolo
dans l’âme, cette Civic va jusqu’au
bout en disposant d’une
climatisation
automatique qui fonctionne également
de façon hybride, tantôt entraînée par
le moteur à combustion tantôt par le
moteur électrique !
Sous le capot, le moteur à combustion
développe 95 ch. Epaulé d’un bloc
l’électrique de 20 ch, l’ensemble
atteint 115 ch et 16,8 mkg de
couple avec seulement 1300 cm3
de cylindrée. Un rapport pas très
avantageux pour la puissance
électrique, clairement reléguée
au second plan. Cependant, la
technologie est de haut vol avec
une distribution variable et un
allumage à 2 bougies par cylindre
sur le thermique, et une compacité
étonnante pour l’électrique qui ne fait
que 8 cm d’épaisseur ! L’ensemble est
couplé à une transmission à variation
continue (CVT). Agréable en conduite
coulée, cette dernière comme
toutes les transmissions de ce genre
mouline lorsqu’une forte accélération
est nécessaire pour s’extraire de la
circulation. La faute très probablement
à un léger manque de puissance du
moteur électrique. Enfin, si vous êtes
à la recherche de sensations fortes,
Honda dispose dans son catalogue de
quelques jouets savoureux comme les
sulfureuses Type R et autres S 2000 !
L’Hybrid ne joue pas sur le même
registre. Ici, la souplesse et le
silence sont de rigueur au
point de ne pas savoir
(à l’oreille) quel mode
de fonctionnement
l’anime.
Comment ça marche ?
Les 2 moteurs montés sur le
même axe tournent toujours en
même temps, même lorsque
le thermique est coupé,
fonctionnant ainsi toujours de
concert. Comme le système
« Integrated Moteur Assist »
le signale, le moteur électrique
vient en aide au moteur à
combustion pour limiter les
consommations, mais ne le
remplace jamais. Visuellement,
l’affichage à gauche du compte
tour indique en permanence
les interventions du moteur
électrique, en assistance ou
en recharge. Celui-ci prête
main forte au bloc thermique
dans toutes les phases
d’importantes sollicitations
comme les démarrages ou les
accélérations afin de limiter au
maximum la consommation de
carburant.
A vitesse constante, les 2 blocs
se repartissent la charge
avec une prééminence de
l’électrique à faible allure et
du moteur à combustion à
grande vitesse. Enfin, durant
les décélérations, le moteur
électrique accumule de
l’énergie afin de recharger ses
batteries. Ainsi, la Civic Hybrid
est totalement autonome.
Hybrid profite d’un châssis à
l’amortissement privilégiant le
confort Rien d’étonnant puisque,
rappelons le, sa raison première est
d’économiser du carburant afin de
moins polluer.
Pour résumer simplement, disons
qu’à vitesse constante, les 2 blocs
se repartissent la charge avec une
prédominance de l’électrique à faible
allure et du moteur à combustion
à vitesse élevée ; durant les
décélérations, le moteur électrique
en profite pour accumuler de l’énergie
et recharger ses batteries, ainsi l’auto
est totalement autonome.
Que les hermétiques de toute
technicité moderne se rassurent,
un affichage à gauche du compte
tour indique en permanence les
interventions du moteur électrique,
en assistance ou en recharge.
Tout cela se traduit sur la route par
un agrément de conduite d’une
suavité rare. L’absence d’à-coup
colle parfaitement à la philosophie
de l’auto. Agile, et sûre, la Civic
Fiche Technique
Moteurs : 4 cyl / IMA (électrique)
Cylindrée (cm 3) : 1339
Puissance (ch DIN à tr/min) :
95 (es)/20(él)
Vitesse maxi (km/h) : 185
Emission CO2 (g/km) : 109
Consommation moyenne
(l/100 km) : 4,6
Capacité du réservoir (l) : 50
Longueur (m) : 4,545
Largeur (m) : 1,75
Hauteur (m) : 1,43
Diamètre de braquage (m) : 11,6
Empattement (m) : 2,702
Volume du coffre (l) : 350
Poids à vide (kg) : 1297
10
D’ailleurs les consommations
avancées sont à la hauteur de l’enjeu :
4,6 l/100 km de moyenne, 5,2 litres
en ville et pour couronner le tout, une
émission de CO2 de 109 g/km.
Voilà donc une belle occasion de se
distinguer au volant d’une auto qui
fera de son propriétaire un éco citoyen
avant-gardiste de la petite planète
auto guadeloupéenne. Première
voiture du genre commercialisée sur le
département, la Civic Hybrid s’affiche
qui plus est à un prix raisonnable,
puisqu’à 27.500 euros (29.000 E
avec l’option cuir), elle offre un
équipement et un habitacle la mesure
de ses ambitions. D’autant que sa
garantie - 3 ans ou 100 000 km sur
la voiture et son moteur thermique,
et 8 ans ou 160 000 km pour le moteur
électrique – a de quoi rassurer la
clientèle. Enfin, sachez que tout
véhicule propre bénéficie d’un crédit
d’impôt de 2 000 euros consenti par
l’état. Qui dit mieux ?
• finition,
• concept,
• tenue de route,
• consommation,
• confort d’utilisation.
-
+
line un peu
• transmission qui mou
dans les tours
FOCUS
CC,
Focus CC,
(Carrément
Craquante)
un plaisir raisonnable…
Ford habille sa Focus d’une séduisante robe
coupé-cabriolet. Jolis galbes, qualités
dynamiques, équipement généreux et record
de la catégorie pour le volume du coffre,
cette dernière à de quoi
charmer la clientèle
friande du genre,
tout en s’attirant
les foudres de la
concurrence.
ême
ici, où
le soleil
n’est jamais
en reste, qu’il
est agréable
de pouvoir
prendre en main
la dernière
découvrable
du moment.
De rouler
décontracté,
cheveux au vent - après avoir
patienté 29 s nécessaires à l’escamotage
du toit - au gré du ruban gris sous les
roues, bleu dans le ciel, qui défile sous
vos yeux. Surtout lorsque l’auto affiche
une plastique avantageuse signée du
centre de style Pininfarina. La face avant
hérite des attributs de la sportive ST,
relevés par quelques inserts chromés,
histoire de lui apporter cette petite touche
de classe qui lui va si bien. Son profil
tendu lui confère une certaine élégance,
prolongée dans sa partie arrière par une
poupe massive coiffée de feux façon
Saab 9.3.
A l’intérieur, la Focus CC se veut tout
aussi désirable. L’habillage sobre,
bien qu’un peu sombre, s’égaye au
contact de subtiles notes d’aluminium.
On regrettera toutefois l’emploie de
certains plastiques peu flatteurs à l’œil
de l’éternel insatisfait que je suis. Cela
étant, l’ensemble fait bonne figure et
l’ergonomie est également au rendezvous. Les sièges revêtus d’une sellerie
cuir brossé ébène offrent un excellent
maintien latéral, dommage que l’espace
aux jambes à l’arrière ne soit pas un
peu plus respectable. Sûrement mon
coté ronchon qui remonte… La faute
au coffre, au volume de chargement
record pour la catégorie avec 534
litres et pourvu d’une sympathique
assistance électrique à la fermeture.
Car comme souvent chez Ford, le
niveau d’équipement est pour le
moins exhaustif. Notamment dans
notre version
Titanium
essayée qui
disposait de
série magnifiques
jantes 17 pouces
montée en 205/50,
d’une climatisation
automatique bizones, des fauteuils
en cuir chauffants et
réglables électriquement,
du régulateur de vitesse
ou encore de l’excellent
autoradio Sony CD/MP3,
et j’en passe...
Doté du 2,0 l TDCi de 136 ch, couplé
à une boîte 6 manuelle, la Focus frise
les 205 km/h et dispense de franches
reprises grâce à son couple de 32,6 mkg.
Passé les 2000 tr/min, on en oublierait
même les quelques 1607 kg de l’auto,
tant son caractère joueur invite à batifoler
en sa compagnie. D’autant plus que sa
consommation moyenne n’en pâti guère
avec 5,9 l/100 km. Sur la route, son
comportement précis et sécurisant, aidé
en cela par le train arrière issu de la ST et
par un sérieux renforcement de la caisse,
nous gratifie d’une Focus du meilleur cru.
• prix,
• ligne,
• volume du coffre,
r.
• insonorisation moteu
-
+
uré aux jambes,
• espace arrière mes
parasites
• bruits et couinements
sur route dégradée.
Un caractère
qui sied à merveille
au châssis précis et
incisif. La direction est
précise, prête à tailler la route,
le tout avec une grande sérénité tant
les réactions de la CC sont saines.
Voici donc en présence d’un CoupéCabriolet qui « tient la route » sur tous les
points puisqu’à 36.000 € cette version
2.0 TDCi Titanium avance de solides
arguments face à une concurrence qui
risque de faire la grimace.
Fiche technique
Longueur : 4,509 m
Largeur : 1,991 m (avec rétroviseurs)
Hauteur : 1,448 m
Empattement : 2,640 m
Volume coffre : 534 l.
Poids : 1607 Kg
Moteur : 4 cylindres en ligne 16 soupapes +
Turbo
Cylindrée : 1997 cm3
Boite de vitesse : manuelle à 6 rapports
Puissance Maxi : 136 ch à 4000 Trs/Min
Couple Maxi : 32,60 mkg à 2000 Trs/Min
Rapport Poids/Puissance : 11.88 Kg/Ch
Vitesse Maxi : 205 Km/h
0 à 100 km/h : 10.5 s.
Conso mixte : 5,9 l/100 km
13
LE TURBO : «Le souffle de la légende »
Porter le nom de Rateau quand on est écolier n’est pas de tout repos croyez-moi ! Nombre de camarades et autres comiques
de la récré, vous charrient copieusement avec plus ou moins de talent - à la volée : « t’as fait le jardin» ou «tu ratisses large »
- au point d’avoir songé certains matins à arborer un autre nom. Jusqu’au jour où, au détour
d’un manuel sur la mécanique des fluides, je découvris l’invention d’un aïeul qui me réconcilia
1
définitivement avec mon patronyme et allait dessiné en parti ce chemin qui nous fait nous rencontrer
tous les mois dans ce magazine.
Gaz
d’échappements
Air
comprimé
Comment sa marche:
Une turbine, placée dans le flux des
gaz d’échappement, est entraînée
à grande vitesse. Elle est reliée par
un axe à un compresseur placé
dans le conduit d’admission. Ces
deux turbines, ainsi reliées, forment
le «turbocompresseur». Il permet
de comprimer l’air d’admission,
permettant ainsi un remplissage
forcé des cylindres augmentant le
rendement du moteur.
ette invention, qui allait
révolutionner
la mécanique moderne
c’est le Turbocompresseur, mise au
point au début du siècle dernier,
Turbine
Compresseur
Gaz
d’admission
4
par un dénommé Auguste Rateau.
Une « légende » qui coule de source,
autour de cet accessoire destiné
à booster la puissance des moteurs à
explosion et synonyme de performance
pour les fanas de mécanique que nous
sommes. La turbo machine trouva
vite son utilité dans l’aviation ou la
suralimentation du mélange d’admission
du moteur, permettait de contrecarrer la
raréfaction de l’atmosphère en altitude.
Très vite, le système fut adapté aux
moteurs marins et industriels
où il permettait un rendement
supérieur de plus de 75% par rapport
à la puissance originelle. La première
apparition d’un moteur turbocompressé
en compétition automobile fut en 1952
sur une «Cummins» lors des 500 miles
d’Indianapolis. En 1962,
la Chevrolet Corvair « Monza » devient
la première auto de série à proposer un
moteur turbocompressé. Mais il faudra
attendre les années 70 pour voir cette
technologie se démocratiser chez BMW,
Porsche et Renault, afin d’offrir au plus
2
grand nombre tous ses avantages.
Le constructeur français développera
par la suite le bloc V6 turbo pour courir
les 24h du Mans, qu’il remportera en
1978. Un coup de maître qui pousse
Renault à adapter ce dernier à la
première Formule 1 Turbo de l’histoire
en 1977. Après une mise au point
délicate occasionnant plusieurs casses
du turbo - valant aux monoplaces
françaises le sarcastique surnom de
«Yellow tea pot» (La théière jaune)
– le succès est au rendez-vous au point
d’imposer le turbo comme une évidence
auprès de toutes les écuries du plateau.
Les F1 deviennent dès lors des
machines aux puissances à peine
imaginables de
nos jours avec
des moteurs de
qualif’ offrant plus
de 1500 ch pour
une cylindré de
1500 cc. Soit la puissance faramineuse
de 1000 ch/litre ! Pour des raisons de
sécurité évidentes, la FIA décidera
d’interdire les moteurs turbo en
Formule 1 à la fin de la saison 1988.
Souvent synonyme de sportivité
lorsqu’il est accouplé à un moteur
essence, les dernières innovations
techniques ont permis de construire
des «petits» turbo à géométrie
variable permettant de fabriquer
des voitures toujours plus sobres
tout en offrant l’agrément d’une
motorisation supérieure. Tant est si
bien, qu’ aujourd’hui les applications
commerciales du turbo boostent
plus de 75% des moteurs diesel sur
le marché automobile.
-1. Auguste RATEAU (1863-1930).
© Ecole Polytechnique
3
-2. Indianapolis 500, 1952.
Première voiture à moteur turbo,
Kurtis-Kraft à moteur Cummins
diésel Turbocompressé.
-3. Renault RS 01, 1977,
première formule 1
à moteur Turbo.
-4. BMW 2002 Turbo, première
voiture turbo européenne
de grande série
15
la Riposte du Lion à la bergère
Deuxième modèle Peugeot après la 1007 à adopter un chiffre
en double zéro, le 4007 débarque en Guadeloupe et attaque en
plein coeur le marché du SUV trop longtemps délaissé par les
généralistes français.
our ne plus laisser
les RAV 4 et consorts
occuper le devant
de la scène, Peugeot c’est associé à
Mitsubishi en exploitant la plate-forme
de l’Outlander afin de nous proposer,
enfin, un SUV « à la française ! » Des
différences avec son cousin nippon qui
portent essentiellement sur l’adoption
d’une motorisation 2.2 HDI et de
quelques subtilités esthétiques. Pour
autant le 4007 affiche une gueule
reconnaissable entre
toutes pour le
moins réussie.
Fiche technique
• DIMENSIONS:
Longueur : 463 cm
Largeur : 180 cm
Hauteur : 167 cm
Empattement : 267 cm
Poids à vide : 1812 kg
Coffre : 441 dm3
Réservoir : 60 l
• MOTEUR:
Cylindrée : 2178 cm3
Puissance : 156 ch à 4000 tr/min
Couple maxi : 380 Nm à partir de 2000 tr/min
• PERFORMANCES:
Vitesse maximale : 200 km/h
0 à 100km/h : 9.9 s
• CONSOMMATIONS:
Mixte : 7.3 l/100km
Emission de CO2 : 194 g/km
• TRANSMISSION:
Roues motrices : Traction intégrale
Boite de vitesse : Manuelle à 6 rapports
• FREINAGE:
Freins AV : Disques ventilés (294 mm)
Freins AR : Disques pleins (302 mm)
• ROUES/PNEUS:
Pneumatiques : 225/55 R18
16
A l’intérieur, en revanche, on est loin
des standards maison. Le style est
celui du Mitsu’ et même si la qualité
perçue et l’assemblage des plastiques
semblent de meilleure facture,
l’ambiance reste toute monacale.
L’habitabilité est cependant royale, et
la présence de la banquette rabattable
située dans le coffre permet de porter
de 5 à 7 le nombre de passagers (à
réserver exclusivement aux enfants
sur de courtes
distances.) L’unique
motorisation
proposée au
catalogue pour
le moment est le
bloc HDI de 2.2
litres dégonflé
à 156 chevaux
qui assurent
suffisamment
d’entrain à notre
monture avec une vitesse de
pointe annoncée à 200 Km/h et le 0 à
100 Km/h couvert en 9,9 secondes.
Ce dernier gagnerait sûrement en
onctuosité avec l’adoption d’une
boîte auto, plus adaptée à la conduite
imposée par ce genre de véhicule, au
détriment des performances et de la
consommation il est vrai. Le seul grief
que l’on puisse réellement lui imputé
étant sa forte sonorité à haut régime.
Pour le reste, sur la route le 4007, sans
être aussi incisif que les berlines de
la marque, se montre pour le moins
efficace avec un comportement
réjouissant. Agile et capable de
s’aventurer sur les chemins de traverse,
ne lui en demandez pas trop quand
même, car là n’est pas sa vocation
première. Par contre pour frimer en
allant au bureau, à la plage ou se faire
remarquer en faisant ses courses le
week-end, le diable est sacrément au
niveau de la concurrence, surtout dans
sa livrée noire de notre essai. Pour cela,
il vous en coûtera 34.900 €, prix de
lancement dans sa définition Premium,
richement dotée, de cette nouveauté
qui risque de faire un carton sur la
shopping-list du Père Noël. Avis aux
amateurs…
• Look, • habitabilité,
• agrément moteur,
• comportement.
-
+
r
• Insonorisation moteu
Suzuki DRZ 400 SM
Initialement transformée en France par «RSR»
sur la base d’une Suzuki enduro,
la DRZ 400 «SM» est aujourd’hui assemblée
directement au Japon.
’il ne faut en rien
désavouer la qualité
de préparation offerte
par «RSR», force est de constater que
la transformation directe sur les chaînes
de montage de Suzuki permet d’offrir
une machine remarquable à un prix
très compétitif. En effet, pour 6 900 E,
vous aurez le droit à des sensations
fortes, proche de celles offertes
par d’autres machines bien plus
onéreuses. Son moteur, équipé d’un
démarreur électrique, avance de belles
dispositions dans toutes les conditions
de roulage. Souple, « coupleu juste
ce qu’il faut », ce 400 n’a certes pas
la «patate» d’un quatre et demi, tout
en garantissant suffisamment de
puissance pour se faire plaisir. Côté
châssis, les suspensions réglables
devraient permettre à chacun de
trouver le bon équilibre. Pour cette
prise en main, nous avons confié
le guidon de cette «SM» à un
spécialiste de la discipline, Steeve
Dumanoir, dont l’expertise en la
matière nous éclaire sur les qualités
réelles de la machine : « C’est rare
de trouver un bon feeling avec une
moto stock, mais cette DRZ est
surprenante. À son guidon, j’ai très
vite trouvé mes marques et il ne
m’a pas fallu plus de 15 minutes
pour l’apprivoiser. La fourche fait
merveille et le freinage se contrôle
au millimètre. Vraiment plaisante tant
à conduire cool qu’à piloter».
Fiche technique
Moteur : 398 cm3, monocylindre, 4 temps,
refroidi par eau, 2 ACT et 4 soup./cyl.,
1 carburateur diam. 36 mm,
Boite 5 vitesses, démarreur électrique,
transmission par chaîne
Puissance 29,4 kW (40 ch.) a 8 500 tr/min
Partie cycle : cadre simple berceau dédoublé
en acier, fourche inversée «Showa»,
mono-amortisseur AR, freins AV 1 disque
diam. 310 mm / étrier 2 pistons - AR disque /
étrier 1 piston, pneus AV 120/70 x 17
- AR 140/70 x 17
Gabarit : empattement 1 460 mm, hauteur de
selle 890 mm, réservoir 10 litres, poids à sec
env. 134 kg
Facile et
économique,
cette Suzuk’
devrait donc
permettre à un
large publique de
découvrir les joies du «Supermotard»
sans se ruiner. Et pour convaincre votre
dulcinée du bien fondé d’une telle
machine, rassurez la en lui précisant
qu’elle est équipée d’une selle biplace
et de reposes pieds passager puisque
le plaisir ne vaut que s’il est partagé !
19
Après avoir été développées pour la compétition, les fabuleuses
Aprilia RXV (Enduro) et SXV (Supermotard) reçoivent les modifications
nécessaires à leur homologation routière.
ne mise aux normes
qui n’a en rien grevé
les atouts de la bête
de course qu’elle est pour notre plus
grand plaisir. Son moteur mériterait
à lui seul un numéro spécial de
Mékamag ! Pour faire court, disons
que c’est le premier bicylindre en v
développé exclusivement pour se
type de machine, plus généralement
équipées de monocylindre.
Particulièrement compact et léger,
il permet à cette Aprilia d’ouvrir
la voie à une autre dimension.
Coupleu comme un mono et montant
rageusement dans les tours comme
un multicylindre, il offre au pilote une
palette d’exploitation encore plus
étendue. Mais un moteur, même
excellent, ne suffit pas. Voilà pourquoi
les ingénieurs italiens ont conçu
autour de ce dernier un châssis
exemplaire offrant une grande agilité
tout en étant ferme et précis à la
limite. Quant au design, le travail
est remarquable, alliant compacité,
ergonomie et formes spécifiques.
Incontestablement originale à côté
des autres machines de ce type,
l’Aprilia est tout simplement
superbe. Difficile d’imaginer à
première vue la mécanique de
haute précision enserrée dans
son cadre périmetrique.
Disponible en deux
versions, Supermotard
ou Enduro, elle offre
aussi le choix entre
deux cylindrées,
450 et 550 cc.
Prête à courir
sans
au moteur, prête à gagner.
Son exclusivité saurât également
séduire les nombreux amateurs de
mécanique raffinée, qui éprouveront
à son guidon l’intense plaisir de rouler
sur une machine d’exception. J’ai
bien dit « rouler » car ne rêvons pas,
pour aller vite sur de tels engins,
une sérieuse maîtrise du pilotage
est de mise. Ensuite, « c’est que
du bonheur », un plaisir égoïste
cependant puisque les R et S-XV
sont de stricts monoplaces.
Disponible chez Moto First.
05 90 38 35 00
grandes modifications, cette superbe
machine peut aussi se muer en
machine exclusive, à l’image de
cette SXV 450 VDB Réplica (photo
en haut à droite), allégée au régime
carbone et bodybuildée du châssis
FICHE TECHNIQUE
• TYPE MOTEUR
Bicylindre 77°, 4 temps, refroidissement liquide,
distribution simple arbre à came en tête avec
culbuteur sur l’échappement, commande par
chaîne, 4 soupapes en titane.
• ALESAGE ET COURSE
76 x 49,5 mm (80 x 55 mm).
• CYLINDREE
449 cc (549 cc).
ALIMENTATION
Injection électronique avec corps papillons
de 38 mm (40 mm pour le moteur 550).
• DEMARREUR
Électrique
• DIMENSIONS
Longueur maxi: 2220 mm
Largeur maxi: 800 mm
Garde au sol: 318 mm
Hauteur de selle: 918 mm
Empattement: 1 495 mm
• SUSPENSION AVANT
Fourche télescopique inversée double réglage,
à tubes Æ 48 mm.
• SUSPENSION ARRIERE
Bras oscillant caissonné en aluminium avec
corps coulé. Amortisseur hydraulique réglable
en détente et en compression.
• PNEUS
Av.: 120/70 x 17”
Arr.: 180/55 x 17”
• RESERVOIR
Capacité 7,8 litres
• BOITE DE VITESSES
À 5 rapports,
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publique et réclamation, la direction
de course considère la manoeuvre de
….. anti-sportive. La sanction logique
appliquée dans ces circonstances
est la disqualification. André est
sacré «champion de France». Un titre
largement mérité tant sa fin de saison
a été exemplaire. Mais pour en arriver
là, il a dû faire de gros sacrifice.
ircuit de Livernon,
près de Toulouse,
lieu de la dernière
manche du championnat de France
de Supermotard 85cc ; pour être titré,
André LATIL doit l’emporter. Il est
serein, les deux premières manches
gagnées boostent son capital
confiance. C’est donc déterminé mais
sans pression que «Dédé» se lance
dans cette dernière bataille.
Ce qui n’est pas le cas de ……,
leader provisoire du championnat,
qui sous le poids de la concurrence
perd son sang froid et opère une
manoeuvre « à la limite » pour le
dépasser. Un «blok-pass» raté
qui envoie André dans le décor.
À cet instant, le titre est perdu,
mais après protestation du
A commencer par s’expatrier en
métropole, loin de sa famille et de ses
amis, un choix nécessaire pour pouvoir
pratiquer son sport à haut niveau.
D’autant qu’à quinze ans, l’exercice
demande une grande maturité. Installé
dans la famille de Stéphane BLOT, son
team manager, André s’est appliqué à
construire ce titre au fils des courses,
en travaillant
technique et
mental, car au
niveau national,
il faut être fort dans
tous les domaines
pour s’imposer.
Et même avec le titre
en poche, André ne
réalise pas complètement
l’ampleur de sa performance
: «Champion de France! J’en rêvai,
mais là, je n’en reviens pas moi-même.
Je suis tellement heureux pour mes
parents qui m’ont suivi dans mes
choix, pour Stéphane BLOT qui m’a
managé cette année et bien sûr, je suis
fier de porter au plus haut les couleurs
de la Guadeloupe. Je tiens aussi à
dédier aux Familles BLOT et LAFFITE,
à Éric MONTOUT, Patrick MIGNOT,
François PLANTÉ,
Bruno MERLIN, à la Ligue motocycliste
de la Guadeloupe, au Guadeloupe
Moto Club et un merci particulier
à Christophe DABRICOT pour son
investissement dans cette aventure. »
Pour lui, l’aventure commence
aujourd’hui avec plein de projets
en tête pour 2008. Le passage en
catégorie supérieure (250 4 temps)
qui va lui permettre non
seulement de participer au
Championnat de France mais aussi
d’Europe, histoire de parfaire son
périple de Champion. Encore bravo
André pour cet exploit qui montre,
s’il en était besoin, le bon niveau
de nos pilotes régionaux.
25
“la vie en rose” by Lina
Depuis ses plus lointains
souvenirs, la moto a toujours
été présente dans son esprit.
Déjà tout petit, il se retournait
au passage d’un deux roues.
progresser il faut s’expatrier.
Fin 2003, avec 2 titres de champion de
Guadeloupe de Motocross en poche, il
part s’essayer au niveau national. Les
trois années suivantes, il écume les
manches des championnats de ligue
Poitou-Charentes, du championnat
de France et de super ligue avec
des résultats encourageants et
fréquente régulièrement les podiums.
Malheureusement, en fin de saison
2006, Cédric se blesse méchamment
au genou le contraignant à un arrêt
forcé d’au moins 6 mois. Conscient
qu’une telle interruption lui
demandera du temps pour retrouver
son meilleur niveau,
il décide de s’inscrire au
championnat de Guadeloupe
de Cross 2007 dont la première
manche coïncide avec la fin de sa
convalescence. Bien lui en a pris ! Il ne
lui a pas fallu plus d’une manche pour
retrouver ses marques et remporter
toutes les suivantes, le plaçant
largement en tête du championnat,
au trois-quarts de la saison. Aujourd’hui
fin prêt, il espère retrouver le
championnat de France dès 2008,
mais reste lucide car il sait
’est donc
naturellement, qu’en
1988, à l’âge de sept
ans, Cédric enfourche sa première
moto de cross. C’est une révélation
pour lui et ses proches tant son aisance
est grande sur le petit 50 «piwi».
Très vite, il passe en 60, puis en 80
ou il anime les courses de cross grâce
à son sens inné de l’attaque. À l’age de
10 ans, il arrête la moto pour s’adonner
à d’autres sports - course à pied, vélo,
basket - mais ne tarde pas à retrouver
le chemin des terrains de cross
où il roule surtout pour le plaisir.
Cependant l’envie de courir est trop
forte. En 2000, Cédric se relance à fond
dans ce sport. Grand animateur de ce
début de millénaire, il sait que pour
combien courir coûte cher, surtout
lorsqu’on n’est pas encore un pilote
professionnel. Pour cela il doit travailler
dur pour monter un programme
complet. Mais Cédric est têtu et sait
se remuer les tripes pour atteindre ses
objectifs. «Cette année sa a été super,
Moto First m’a bien aidé, il ont été
nickel, grâce à eux j’ai disposé d’une
bonne Honda avec laquelle je cours
le championnat, en plus cet été j’ai pu
courir quelques manche en France
et participer à la coupe des régions
sous les couleurs de la Guadeloupe,
une expérience géniale, surtout
pour les autres pilotes
venues de Guadeloupe
qui découvrait, pour la
plupart, l’ambiance
des meetings
nationaux.
Maintenant,
il faut encore
gagner le
championnat
je cour beaucoup, je fais pas mal
de vélo aussi et ma jambe marche
à merveille. De quoi appréhender
l’avenir de manière positive.»
Lucide et motivé comme jamais,
Cédric à encore de belles années
devant lui pour grimper encore
plus haut dans la maîtrise de son sport
car pour lui, le motocross
est certainement la
discipline lui offrant le
plus d’émotions.
de Guadeloupe et
procéder par étape avant
de repartir en France. En tout
cas, je me sent bien physiquement,
Cédric LAURENT : Facile… sauf à battre
Conseils aux jeunes pilotes :
FICHE D’IDENTITÉ
Nom : Laurent
Prénom : Cédric
Surnom : Papin («comme JPP, à cause des oreilles... rire»)
Née : 13 Juillet 1881 aux Abymes
Taille/poids : 1m75/ 70kg
Hobby : Le sport. Les sports…
Sport pratiqués : Vélo, course à pieds et basket.
Qualité : Facile à vivre
Défaut : Têtu
Véhicule quotidiens : Vélo
Voiture préféré : hum, BMW - M5, ouais, la M5 avec
son V10 de plus de 500 CV…
Moto préférée : Une machine de cross, 250
4 temps «usine», taillé à mes mesures.
Motos pilotées : Ola... Yamaha, Suzuki, Honda
et d’autre encore. Passer d’une marque à l’autre
ne me gêne pas, je m’adapte instantanément
à la machine.
Meilleur souvenir : … Il y en a tellement, en fait toutes
mes courses me rappellent les meilleurs de mes
souvenirs. Sauf une….
Pire souvenir : la «sauf une» justement, cette course
en 2006 ou je me suis «explosé» le genou droit.
Palmarès :
Début à 7 ans
Champions de Guadeloupe 2002, 2003
2004 à 2006: Pilote en championnat de ligue
(Poitou-Charentes) 3e du Championnat 2005
Super champion ligue 2004
Qualification élite en championnat de France 2006
et leader du championnat de Guadeloupe 2007.
D’abord, aborder le motocross
comme un sport et non un loisir.
Il faut surtout le faire sérieusement.
Pas juste se contenter de venir rouler de
temps en temps sans oser se dépasser.
Il faut être physiquement au top, courir
ou faire du vélo sont des compléments
indispensables à une bonne forme physique.
Bien sûr, pour atteindre un niveau national,
il faut penser très tôt à aller courir ailleurs,
sur d’autres terrains, avec d’autres pilotes,
c’est indispensable pour progresser.
29
Bravo à toute l’équipe du GMC :
Pascal Colin, Bruno Merlin, Cyril
Abadie, Éric Montout et Érick Benon
ainsi qu’à la ligue Guadeloupéenne
de Moto représentée par JeanMichel Clairville, Francis Gazon et
Micheline Bertelot et bravo à nos
pilotes, Antony Latil, Nicolas Rozan,
Mike Petrelluzzi, Maïdi Lopez, Pascal
Colin, Maël Matourapassad, Jérémy
Soulez et Cédric Laurent. Et un grand
merci à tous ceux qui ont soutenu
l’équipe de Guadeloupe lors de cette
manifestation : Ligue Moto Midi
Pyrénées, MX-Laplume, et le moto
club de Castelnau de Levis.
Motocross : Coupe des Régions,
un test à l’échelle nationale.
Partis
10 jours
plus
tôt pour représenter le
motocross Guadeloupéen
à cette manifestation,
la délégation de pilotes
et accompagnateurs du
Guadeloupe Moto Club et de la
Ligue partait, pour la plupart, pour
la première fois, assister et surtout
participer à une compétition nationale,
regroupant les meilleurs pilotes des
ligues des régions de France. Rendue
possible grâce au dynamisme de
la ligue Guadeloupéenne de moto
et du Guadeloupe Moto Club et au
partenariat réalisé avec la Région
Guadeloupe, Corsairfly et Kilibibi,
cette première participation d’une
équipe «Guadeloupéenne» était une
mission de découverte pour nos
représentants. Au programme de ces
dix jours, entraînement sur la piste
de Castenau de Levis, course sur
prairie à Saint Sardos pour se mettre
en jambe et week-end de coupe sur
le terrain de Laplume pour l’épreuve
phare. L’objectif de notre délégation
régionale était essentiellement de voir
et d’apprendre afin d’avoir une idée
précise du niveau national. Mal partis
lors des qualifs du samedi - blessures
de Mike Petrelluzzi et Nicolas Rozan en
85 ainsi qu’adaptation difficile de Maël
Matourapassad - nos pilotes n’ont pas
été ridicules le lendemain. Seul à diviser
ses points en 85, Maihdi Lopez s’est
montré régulier et a vite appréhendé la
piste. Chez les open, Cédrick Laurent,
Jérémy Soulez et Maël Matourapassad
engrangèrent des points qui permirent à
l’équipe de la Région Guadeloupe de se
classer, pour une première participation,
à une très respectable 17eme place.
“cette première” aura servi de
détonateur à nos Crossmen qui
préparent déjà dans leurs têtes l’édition
2008. L’avenir du cross « made in
Gwada » s’annonce donc sous de bons
auspices, d’autant qu’aux vus des
jeunes pilotes n’ayant pas encore les
12 ans requis pour participer à cette
coupe, mais «chaud bouillant» pour être
au niveau le moment venu, il n’est pas
impossible que la coupe des régions
ne puisse être Guadeloupéenne dans
un proche avenir.
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33
Parlez-vous Jet’ II ?
Assurance auto :
faire
le bon choix !
• Sponsons
Se préoccuper de l’assurance de son véhicule avant l’achat de celui-ci, qu’il soit d’occasion
ou neuf, est très certainement le meilleur moyen de choisir le contrat le mieux adapté à vos
besoins et par la même de réaliser de substantielles économies.
Sachez d’abord, dans le cadre d’un
achat de véhicule d’occasion que le
transfert d’assurance de votre ancienne
voiture ou moto vers la nouvelle n’est
pas automatique. Vous avez donc
l’obligation de prévenir votre assureur.
Dès que vous disposez des éléments
nécessaires - numéro d’immatriculation,
date de première mise en service,
numéro de série, type mine - et la
date de la transaction, transmettez
lui toutes ces informations afin qu’il
assure votre nouvelle acquisition. Par
la suite, lorsque vous aurez récupéré la
carte grise à votre nom, il sera temps
d’effectuer la modification avec lui de
votre contrat.
Au sujet de la résiliation.
La vente ou la cession de votre véhicule
est un motif de résiliation immédiat
de votre contrat, sans attendre
l’échéance anniversaire fixée par
celui-ci. Consultez donc à titre indicatif
différentes sociétés d’assurance,
faites une simulation «sur mesure», en
épluchant dans le détail les différentes
offres car ce qui est valable pour un
véhicule ne l’est pas forcement pour
un autre, itou en matière de prestations
et de coût d’un professionnel à l’autre.
Une fois vendue, si vous ne souhaitez
pas faire courir votre contrat jusqu’au
prochain achat, ou choisissez tout
simplement de « changer de crémerie »,
le contrat peut être cassé à votre
demande en respectant s’il y a lieu le
préavis défini (voir votre contrat). Pour
cela, faites parvenir votre demande par
courrier en AR, avec une photocopie du
certificat de vente joint. La compagnie
d’assurance vous adressera alors le
montant de votre cotisation non courue.
Profitez de la concurrence et
comparez.
Si vous connaissez déjà la marque
et le modèle précis de l’objet de
votre convoitise, prenez le temps de
courir les différentes compagnies
d’assurance. Demandez des devis,
comparez et questionnez votre
interlocuteur sur les points qui vous
semble peu claires ou simplement
compliqués – nul n’a la science infuse
– notamment au sujet des exclusions
(tout ce qui peut ne pas être remboursé
par l’assureur en cas et en fonction du
sinistre.)
Considérez de notre encadré
récapitulatif sur les questions à poser,
comme une base de départ à la
conversation. Notez bien les réponses
et vérifiez bien par la suite que tout ce
qui vous a été dit est inscrit noir sur
blanc dans le contrat final ainsi que
sur les conditions générales : « seules
références en cas de contestation. »
Alors là mes enfants
c’est le pompon !
La cerise sur le gâteau !
Les bonnes questions :
1) Le contrat est-il assorti d’un système de
règlement direct de l’assurance au garage
lorsqu’un sinistre arrive ? (Tiers payant)
2) Le véhicule (*) doit il être équipé
d’une alarme ? (De collection, sportif
ou haut de gamme)
3) Faut il souscrire une garantie spéciale
contre le vol de l’équipement embarqué
type autoradio, siège bébé, etc. ?
4) Que couvre vraiment le «bris de glaces»?
(Vitres, pare-brise, rétros,
optiques de phares, toit ouvrant)
5) Le contrat prévoit-il une assistance
en cas de panne ou d’accident ? Si oui, y
a t-il une distance minimale d’intervention ?
6) Dans «l’individuelle accident» quels
sont les montants des indemnités en cas
d’hospitalisation, d’invalidité ou de décès ?
Sont-elles indexées sur le coût de la vie ?
7) Est-il possible de payer sa cotisation
mensuellement ou trimestriellement ?
8) Est ce qu’il y a des frais d’échéance
pour une cotisation autre qu’annuelle ?
9) La garantie vol couvre-t-elle le vol
d’accessoires non inscrits au catalogue
du constructeur ou d’objets personnels
transportés ? (Si « non », voir question n°3)
10) L’unique détérioration des pneus
(vandalisme sans effraction) est-elle prise
en charge ?
Petites dérives à l’arrière de
la coque des jets à selle. Elles assurent une
meilleure accroche, ainsi qu’une tenue de cap et
une maniabilité accrues de la machine.
• Stopsel
Le Polaris Electric Reverse Control, est un
procédé facilitant la manoeuvrabilité d’un jet.
Produit d’entretient non gras qui élimine le
sel, agent accélérateur de corrosion. S’utilise
généralement après chaque sortie en mer au
moment du rinçage.
• Pas d’une Hélice
• Stuffer
• P.E.R.C.
C’est l’angle des pales de l’hélice. Plus le ‘pas’
est petit et plus le jet dispose de reprise au
détriment de la V-max. A l’opposé, plus le pas
est grand, plus la vitesse est élevée. Attention,
cette règle n’est valable que si le moteur dans
le deuxième cas est plus puissant que pour le
premier.
• P.L.A.N.E.T
Système de réduction sonore de la marque
Polaris
• Plaques
Pièces situées sous la coque et à l’arrière de
l’entrée de la turbine permettant de gagner en
stabilité et en accroche en courbe.
• Primer
Tirette qui vient en lieu et place de la manette
du starter. Contrairement au starter qui réduit
l’ouverture d’air des carburateurs, le primer
intervient en injectant une surdose d’essence
dans ces derniers sans limiter l’arrivé d’air,
facilitant d’autant le démarrage du moteur.
• Q.S.T.S
Le Quick Shift Trim System assure un
changement instantané de la position du jet-ski
en jouant sur le Trim pour corriger l’assiette du
Jet.
• Rupteur
Système sur le circuit d’allumage qui plafonne
volontairement le régime moteur afin de rendre
impossible tout sur-régime pouvant engendrer
une détérioration du moteur.
• Séparateur eau / essence
Elément se basant sur la densité de chacun de
ces éléments pour séparer naturellement l’eau
de l’essence. Plus dense que l’essence, l’eau est
récupérée en bas du système et évacuée par un
robinet prévu à cet effet.
• Silent-bloc
Pièce de caoutchouc reliant deux éléments
mécaniques. Celle-ci absorbe les vibrations et
évite qu’elles ne se propagent à la pièce ainsi
relier. (liaison bloc moteur/coque)
Partie de coque supplémentaire avec un
grand rayon de courbure placé après l’écope
permettant de diriger l’eau de façon optimale vers
la turbine.
• Sur-virage
Se produit lorsque l’arrière du jet a tendance
à déraper en virage. Le jet tourne plus que
l’orientation donnée au guidon. On dit aussi que
le grip avant est supérieur au grip arrière.
• Swirl
Hélice dont le bord d’attaque est arrondi comme
sur les bateaux.
• Trim
Articulation verticale supplémentaire de la tuyère
mobile.
• Tubbies
Sponsons avant type « élargisseur de coque
», généralement monté sur les « standup »,
permettant de gagner en stabilité et en agilité en
courbe.
• Tuyère de direction
Sert à diriger le Jet, sa longueur agit sur la ré
accélération en sortie de courbe, elle permet
suivant les modèles de corrigé la stabilité à haute
vitesse.
• Valves à l’échappement
Technologie propre au 2 temps issus du
MotoCross. Permet de réguler le flux de gaz
sortant des cylindres vers l’échappement, influant
ainsi sur la puissance et la reprise du moteur
selon les régimes.
• VNM
Véhicule Nautique à Moteur.
Difficile de partir
sans eux tant ils
sont les garants
d’une croisière
réussie. A ce
titre, la nouvelle
édition du Guide
des Antilles
Patuelli vient d’être
entièrement remise à jours. Un
pavé de 300 pages pour tout
savoir sur les Petites Antilles,
de Grenade aux Iles Vierges
: conditions de navigation à
travers les îles, infos sur les
marinas et chantiers locaux,
près de 200 cartes ou plans
avec indications terrestres et
nautiques et plus de 400 photos
dont de superbes vues
aériennes, un incontournable.
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presse - marina BDF
• Y.P.V.S.
Hélice dont le bord d’attaque est droit.
• Sous-virage
• Y.S.S.S.
Effet inverse du sur-virage, il se produit lorsque
le l’avant du jet dérape plus que l’arrière. Le grip
avant est alors inférieur au grip arrière.
À lire
• WD40
Dégrippant et un anti-humidité à mettre sur toute
les pièces métalliques.
Yamaha Power Valve System, système
mécanique de régulation de débit des
gaz d’échappement par un système de
valve. Il permet d’accroître le rendement
puissance/couple du moteur 2 temps à
chacun de ses régimes.
• Slim
« Ze » paire de Tong faite pour
le marché guadeloupéen…
Visez moi ces jolies Reef qui
en plus d’être confortables
et jolies disposent au niveau
du talon d’un petit rangement
idéal pour ranger une carte
bancaire ou les clés du coffre…
Promis le mois prochain je vous
parlerai du modèle à « semelle
gourde intégrée », autre Must
indispensable sous
nos latitudes…
Plus d’infos : www.reef.com
Le Yamaha Sound Suppression
System est un système de réduction
sonore signé Yamaha
35
Plein feu sur
À l’occasion des 40 ans de la SNSM, nous nous
sommes rapprochés de la station guadeloupéenne
pour y découvrir des hommes passionnés - tous
bénévoles - et un équipement de pointe, dont le
dessein est de répondre au mieux à cette règle
absolue : « sauver mais ne jamais juger. »
• Un peu d’histoire…
Les Sauveteurs en Mer sont regroupés
depuis 1967 au sein d’une association,
loi 1901, reconnue d’utilité publique
- La Société Nationale de Sauvetage
en Mer – qui a pour mission
d’intervenir auprès des personnes
en danger en mer.
Ses Sauveteurs sont
donc recrutés parmi ces
hommes, pour la plupart
des pêcheurs,
et intervenaient au profit
d’autres pêcheurs en
difficulté. La solidarité
était évidente, celui
qui était à terre se
• Aujourd’hui…
Les Sauveteurs en Mer sortent par
des mers très dures que n’auraient pu
affronter leurs homologues
du début du siècle dernier.
Ces hommes entièrement
bénévoles partent en
intervention,
quelque soit
l’heure du
jour et de la
la SNSM
nuit, dans les 15 minutes qui suivent
le déclenchement de l’alerte. Une
évolution rendue possible également
grâce à l’emploie de matériels
modernes qui permettent de reculer
toujours plus loin les limites de
l’exploit.
La preuve en image avec la vedette
de 2ème classe en démonstration
spécialement pour les lecteurs de
Mékamag. Une coque polyester
insubmersible de 10,50 m équipée
de deux moteurs diesel Ivéco de
330 chevaux chacun dispose
de 1000 litres de carburant
lui autorisant une autonomie
de 7 heures. Classée en 4ème
catégorie cette dernière est capable
d’intervenir à 20.000 miles d’un
abri. Nous avons particulièrement
apprécié sa timonerie intérieur,
doublée d’un poste de barre extérieur,
son équipement de navigation et son
électronique embarquée au top qui lui
permette de localiser et venir en aide
aux navires et embarcations
en détresse dans les
meilleurs délais.
Caractéristiques techniques
Vedette de 2ème classe
Catégorie : 4ème
L : 10,50 m
l : 3,50 m
Moteur : diesel Ivéco
Puissance : 2 X 330 ch
Vitesse : 22 nds à 28000 tr/mn
Réservoir 2X500l
Bon à savoir…
Le sauvetage des personnes en mer est
gratuit, quels que soient le temps passé
et les moyens mis en œuvre. C’est une
tradition et une règle internationale. Le coût
est supporté par la SNSM quand celle-ci
intervient, et par la collectivité quand ce
sont les services de l’Etat (Marine Nationale,
Affaires Maritimes, Douanes, Gendarmerie,
Sécurité Civile…). L’assistance aux biens
donne par contre lieu à une participation aux
frais engagés par la SNSM (gas-oil, matériel
endommagé…) selon un tarif fixé par le
Ministère des Transports.
Il est donc important de rappeler que
la moitié des fonds nécessaires au
fonctionnement de cette association - dont
l’utilité ici plus qu’ailleurs n’est plus à
démontrer - proviennent de dons, adhésions
et legs fait par des entreprises et des
particuliers souhaitant soutenir son action.
Il est même possible d’attribuer son don
directement à la station de sauvetage de son
choix. Plus d’infos sur : www.snsm.net
donc le 1er maillon de la
chaîne des secours.
Ils interviennent, évaluent l’état des
personnes secourues, leur donnent
les premiers soins et demandent
éventuellement l’assistance au port
du SDIS, du SAMU, pour assurer
leur évacuation vers l’hôpital le plus
proche selon la gravité des cas.
Jusqu’à une époque récente,
les utilisateurs de la mer étaient des
professionnels. Les sauveteurs étaient
portait au
secours du «collègue»
en perdition sur les flots. Et ce n’est
que faire honneur à ces hommes de
courage en affirmant qu’aux premiers
temps du sauvetage, chaque sortie
relevait plus de l’héroïsme que
d’autre chose.
37
Four Winns Vista 318 :
A lui les grands espaces
+ : silhouette, concept et volume
Ce cabin-cruiser de 10 mètres met en valeur
un concept de répartition des espaces
typiquement américain en exploitant au
maximum l’important volume de coque.
elle bête que ce Vista
de 33 pieds flambant
neuf parée de sa robe
blanche immaculée sur les quais de la
Marina de Bas du Fort ! Sa silhouette
élancée par la ligne serpentine
caractéristique de la marque est mise
en valeur par les trois hublots latéraux
ovales. C’est sobre, classe, en un mot
« efficace.» Particulièrement haut sur
l’eau, ce Four Winns Vista 318 joue
également la carte de la sécurité
et du confort à bord. Son cockpit
profond permet notamment aux
enfants de s’y déplacer en toute
sécurité et le plan de pont extérieur
privilégie la largeur et l’espace
en supprimant les passavants.
Le passage vers la plage avant
l’avant s’effectue donc via
l’ouverture au centre
du pare-brise. La
plate-forme de bain
prolonge le cockpit réparti sur
deux niveaux : salon convertible
en solarium et meuble bar doté d’un
évier et d’un frigo à l’arrière ; poste
de pilotage ultra équipé au design
automobile et banquette latérale à
l’avant, un classique « à l’américaine.»
Dans le cockpit comme à l’intérieur,
le Vista privilégie l’espace et le confort.
Four Winns a opté pour un habitacle
façon « open space. » Ce 318 offre
donc un bel espace non cloisonné
entre le salon arrière, transformable en
cabine pour deux personnes une fois
isolée par le rideau, et la couchette
double en oblique avant. Au milieu,
le carré fait face à la cuisine et la salle
d’eau. Le tout, encore une fois, avec
un souci d’aménagement et un degré
d’équipement comme de finition sans
faille, à l’image des boiseries qui ornent
ce cocon.
En mer, sa carène en V nécessite de
jouer un peu des trims afin d’assurer
un passage doux dans les vagues.
Une fois la bête en main, ce cabincruiser file à 30 nœuds sans broncher
grâce à ces deux 270 ch Volvo Penta
essence. Des blocs de 5,7l Icean Serie
spécialement
traités anticorrosion et
pourvus d’un système
de refroidissement par eau douce en
circuit fermé.
Bref, de quoi envisager la croisière dans
les meilleures conditions possibles, à
24 nds de moyenne et dans un confort
royal. Il est vrai que l’équipement
en standard se veut pléthorique :
climatisation, Ice Maker ou réfrigérateur
de cockpit, cuisine équipée avec four
micro onde et réfrigérateur, guindeau
électrique, projecteur de pont avant
avec télécommande, arceau radar
équipé éclairage cockpit et Hauts
parleurs stéréo, douchette de cockpit
eau chaude/froide, lumières de
courtoisie dans le cockpit et sur la
plage de bain, Flaps, volant réglable,
radio CD SONY avec ports Ipod/Mp3,
open space, équipement et finition,
comportement
: carène légèrement sensible
aux réglages
-
TV DVD LCD, protection de poste
de pilotage, table de cockpit, coussin
bain de soleil cockpit, levage capot
moteur électrique… Et je vous fais
grâce des options !
Elégant, habitable, richement doté
et profitant d’un bon comportement
marin, ce Four Winns s’offre le luxe
d’afficher un rapport qualité/prix très
étudié jusqu’au 31 octobre 2007,
puisque le VISTA 318 full option
(groupe électrogène, pack électronique
et équipement de sécurité hauturier)
s’affiche à partir de 169 000 E TTC
rendu Guadeloupe.
Fiche technique
Longueur : 10,06 m
Largeur : 3,28 m
Tirant d’eau : 97 cm
Réservoir : 644 l
Poids : 5440 kg
Couchage : 4+1
Puissance : 2X270 ch ess
Vitesse maxi : 30 nds
Catégorie de navigation : B/10
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En présence
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Reprise
de votre ancien véhicule,
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Reprise
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Edition limitée
série CARAÏBE
R PROMOTION
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de votre cyclomoteur
1 000 Climatisation
possible sur tous
véhicules Ligier
(en option)
Finition Pack + équipements supplémentaires
Gris Argent, Bleu Océan, Bleu grand Pavois,
OCTOBRE
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Vitres électriques
Avec Ligier
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avec votre voiture,
commencez à la payer
en janvier.(**)
Barres de toit
Poste radio
Décoration planche de bord
en aluminium
Pédales en aluminium
Garantie 3 ans
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des stock dis neufs avec TVA à 8,5
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C’est dans le site
exceptionnel de «l’Anse
à l’eau» à Saint François,
que nous avons rencontré les
hommes de la 41e Brigade
d’Infanterie de Marine,
lors d’un exercice sur
le terrain. L’occasion pour
nous de vous faire découvrir
un de leurs véhicules.
Caractéristiques techniques
• MOTEUR :
- 6 cyl.diesel turbo intercooler
- puissance maximale : 129 kW (175 ch CEE) à 2500 t/mn,
- couple maximal : 575 Nm à 1400 tours/mn.
• TRANSMISSION :
- boîte de vitesses mécanique à 6 rapports (EATON),
- boîte de transfert d’origine à deux rapports à commande mécanique
avec crabotage du pont avant en petite vitesse,
- ponts BERLIET d’origine,
- blocage du différentiel inter-roues sur les ponts intermédiaire et arrière
à commande électropneumatique.
• PNEUMATIQUES :
- taille 13 R 22,5 montés sur jante creuse.
• DIRECTION :
- à assistance hydraulique.
• FREINAGE :
- à commande pneumatique,
- à deux circuits indépendants avant/arrière avec correcteur de freinage,
• DIMENSIONS :
- longueur : de 7,27 m à 8,25 m selon la version,
- hauteur : de 2,92 m à 3,57 m selon la version,
- largeur : 2,49 m,
- poids à vide en ordre de marche : de 7 471 kg à 9 031 kg selon la version,
• PERFORMANCES OPÉRATIONNELLES
- Vitesse maximale : 86 km/h.
- Autonomie avec deux nourrices : 850 km à 80 km/h stabilisés.
- Pente maximale franchissable : 50 % (40 % avec centre de gravité situé
entre 0,7 m et 1 m au-dessus du plateau).
- Dévers maximal : 40 % (30 % dans les mêmes conditions que ci-dessus).
- Gué franchissable : 1 m.
- Charge utile : de 3 469 à 5 029 kg selon la version.
- Charge maximale remorquable :
6 000 kg sur route, 4 000 kg en tout terrain.
PASSE PARTOUT
e qui est fascinant
avec les engins
militaires, c’est
l’archaïsme apparent de certaines
machines qui sont en fait exclusivement
conçus pour être efficace, sans aucune
concession au confort ou au design.
Comme ce Renault GBC 180, qui sous
ses allures rustiques est en fait le récent
successeur du très réputé «Berlier GBC
8 KT.» Classé dans la catégorie des
«véhicules cargo tout terrain»,
le GBC 180 est certainement l’engin de
transport le plus polyvalent de l’armée
française. Avec ses 6 roues motrices
et son moteur diesel 6 cylindres «poly
carburant» - fonctionnant aussi bien
au gasoil, qu’au kérosène - il n’est
certes pas très rapide (V-max :
87km/h) mais offre des
capacités de franchissement
exceptionnelles : avec
4 tonnes de charges,
il peut avaler
des rampes jusqu’à 50% et s’autorise
des dévers de près de 30%. Capable
de franchir des gués de plus d’un
mètre, il est parfaitement adapté
aux missions d’intervention sur des
sites rendus impraticables par les
catastrophes naturelles, par exemple,
fortement probable dans notre région.
Pouvant être
aménagé en
transport de
troupes,
équipé de «Shelters» (abris rigide
transportable) où simplement en
transport de fret, ce GBC s’avère être
un véritable allier pouvant rapprocher
au plus prés de l’action hommes
et matériels, quelles que soient les
conditions de praticabilités du
réseau routier.
Entré en service en 1997, les derniers
de 5600 GBC 180 produit par Renault,
devraient être livrés en 2009. Et vu
de l’état des GBC 8 KT encore en
fonctions, nul doute que sa
carrière se poursuive sans
problèmes au delà
de cette date.
Grâce à sa robustesse, l’ancêtre du GBC 180
est encore en service de nos jours, comme cet
exemplaire de GBC 8 KT parfaitement entretenu
par les mécaniciens du 41è BIMA.
Merci au Cpt. REVEL, au Sergent-chef
GAHYNET et aux hommes
du 41e BIMA pour leur accueil
et leur disponibilité.
43
La Panthère
Rose
• A l’extérieur et sous le capot :
Pare choc AV. T Rex Combat
Prise d’air capot F 40
Paupières de phare intégrées
Pare choc AR. Rieger
Bas de caisses et rétros M3
Baguette latérale lissée
Extensions d’ailes et coffre
moulages locaux
Jantes alus Cesam chromées
Pneus 195/45 R 15
Ressorts courts -10 cm AV./
-6cm AR.
Echappement ligne complète
OMB sortie inox
Feux AR. à led
Grilles sur pare-choc AR. & AR.
Filtre à air KN
Peinture fushia intégrale
Néons
• Intérieur :
Lissage et peinture bi-ton du tableau de bord
Contres portes en moquette noire
Pommeau alu et pédalier violet anodisé
Sono : caisson + HP de 400 W et laser Clarion
Néons
es soins
prodigués sous
l’impulsion d’une
jeune mère au foyer de 25 ans, Lina de
son prénom, pour qui rouler au volant
d’une petite voiture économique
n’implique pas forcément de conduire
une caisse à savon sans charme.
Voilà pourquoi, lorsqu’elle achète sa
Corsa il y a cinq ans, la jeune femme
saisit l’occasion de faire de son
moyen de transport, le véhicule de
son image. Payé 5000 E à l’époque,
elle ne pensait d’ailleurs pas tripler
la valeur de son investissement
pour aboutir à la réalisation que
vous avez sous les yeux !
Mais attention, à aucun moment
elle ne le regrette. « Le tuning est
une passion qui se conjugue aussi
au féminin car cette voiture, c’est
moi ! » De la bel ouvrage, à la finition
impeccable, que Lina prévoit de
peaufiner dans les années à venir,
notamment au niveau de l’habitacle
et de la sono, car pour elle c’est sûr,
c’est la voiture de sa vie. A Mékamag,
on est fan, d’ailleurs il suffit de regarder
l’image du mois…
Vous avez une Corsa, vous aimez
le tuning, rejoignez le club Corsa West
Indies Group.
(Boîte vocale 0690 65 76 38 – mail :
corsawestindiesgroup @hotmail.fr)
45
• Brassière :
Un shopping nautique autour
de l’armement obligatoire
du matériel de sécurité
sur votre bateau.
16,75 e
Bouée fer à cheval :
14 ans de règne,
aucun lifting et
toujours dans le
coup, la Twingo
est un phénomène
dans le paysage
automobile français.
Imaginez aujourd’hui
un constructeur lancer
un petit véhicule 3 portes,
sans motorisation diesel,
en visant une clientèle
aussi large que possible…
Impensable ! Renault à pourtant
relevé le défi, et de quelle manière,
en signant ce best-seller qui fait
désormais les beaux jours du marché
de l’occasion.
32,50 e •
Une présentation non exhaustive
qui donnera l’occasion aux plus
curieux d’aller consulter la liste
officielle, sur votre code Vagnon
par exemple…
Brassière : gonflage automatique •
au contact avec l’eau.
• Brassière enfant :
260,66 e
49,29 e
• Corne de brume à bouche :
7,05 e
• Lampe étanche :
Articles et tarifs : Dulac ets
Feux à main (lot de 3) :
13,16 e
24,50 e •
Rappels :
Type du moteur : 4 cyl en ligne
Energie : Essence
Longueur : 343 cm
Largeur : 163 cm
Hauteur : 142 cm
Coffre : 168 litres
Poids : 790kg
Consommations :
Reservoir : 40 L
Emissions de CO2-/138 g/km
Performances :
Vitesse max : 150/168
+ : look, modularité, simplicité
& fiabilité
- : absence de diesel, version Easy
Assurance :
Tous risques : 431E/an
Tiers amélioré : 288 E/an
Tiers : 249 E/an
Panier Pièces (prix : euros H.T.) :
Kit distri : 106,96
Kit embrayage : Plaquettes freins : 52,36
Disques freins : 135,74
Amort. AV : 93,25
Amort. AR : 93,25
Seau : 8,58 e •
• Compas magnétique :
A partir de :
500 E (millésime 1995)
2500 E (1,2 16V de 2001)
90,00 e
Twingo
i l’arrivée des C1, 107,
Panda 2 et surtout de
la Twingo II dans les
concessions valent à la petite Renault
une retraite bien méritée, reconnaissons
qu’elle n’a jamais eu de réel challenger.
Et si d’autres ont tentés de faire différent,
on n’a toujours pas fait mieux ! De quoi
dénicher d’excellentes opportunités sur
le marché de la deuxième main, d’autant
que l’offre se veut pléthorique. Avec
sa frimousse sympa et décalée mais
ô combien reconnaissable, elle avance
de nombreuse qualités à commencé
par une habitabilité remarquable grâce
à sa banquette arrière coulissante.
Modulable à souhait, la Twingo est
spacieuse à l’avant, et encore plus à
l’arrière. Véritable 4 places dans laquelle
il fait bon rouler. Evitez tout de même la
finition légère des premiers millésimes,
en privilégiant si possible les modèles
d’après septembre 2000, à jour coté
équipement et profitant de matériaux
plus flatteurs et d’une meilleure
insonorisation.
Pourvue d’une mécanique quelque peu
rustique jusqu’en 1996 (date d’arrivée
du nouveau bloc 1.2 de 58 ch à injection
multipoint), les millésimes postérieurs
à 2000 sont les plus prisés. Le tout
nouveau bloc 1.2 16V développant
75 ch, conférant à l’ensemble un surcroît
de « pep’s » très appréciable. Au rayon
fiabilité, les premières motorisations sont
tout aussi sûres de par leur conception
éprouvé que les versions 16 soupapes ;
pas plus gourmande non plus, juste
moins tonique. En revanche, en matière
de transmission, nous ne saurions vous
conseiller de vous limitez à la classique
boîte manuelle à cinq vitesses ; bien
étagée, plus agréable que la boîte
robotisée Quickshift 5 et plus fiable que
le système semi-automatique monté sur
les versions Easy.
Pour le reste, « c’est que du bonheur !»
Le coup de l’entretien comme celui de
l’assurance sont des plus mesurés, et
le comportement routier rassurant des
premières moutures se bonifie avec le
temps avec l’adoption de pneumatiques
plus larges (155 au lieu de 145), d’une
barre antiroulis à l’arrière et d’un
freinage redimensionné sur la deuxième
génération. De quoi offrir un bilan
sécurité/polyvalence qui lui ouvre les
routes hors de nos villes.
Bref, la Twingo est un concentré de
bonnes idées, peu dispendieuse et facile
à vivre au quotidien. Très abordable en
occasion, elle a surtout su garder tout
son charme, grâce à sa bouille inimitable
et intemporelle.
• Ancre + mouillage
46
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Dépôt légal à parution
ISSN 1954 - 1627
48
Suzuki bandit 600, 2000,
19000 km, 3200 E
Yamaha XJR 1300, 2006,
3200 km, 7900 E
Kawazaki ZRX 1200, 2001,
3000 E
Kawasaki Z750 , 2005,
6128 km, 5990 E
KTM SX 85, 2004,
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40000 km, 3000 E
Tel : 0590 38 35 00
Kawasaki KLV 1000, 2006,
12000 km, 7900 E
Honda XL 1000 Varadero, 2004,
35500 km, 8000 E
Envoyez vos éléments avec le
règlement à l’ordre de Nuage presse
avant le 25 de chaque mois
Honda XL 1000 Varadero, 2005,
24106 km, 7000 E
Adresse :
Im. Simkel - Bld Houelbourg Jarry
97122 Baie-Mahault
(aucun document n’est retourné)
Bravo les filles !!!
Un petit clin d’œil de l’équipe du
Mékamag à Cécile Oriol et Mélody
Laffite pour leur participation
remarquée au Championnats
Supermotard et Moto-cross
dans la catégorie challenger.
Un vent de fraîcheur vivifiant
que l’on aimerait voir
souffler sur toutes les
disciplines de sports
mécaniques
• Résultats
MOTOCROSS du 16 septembre
• Kilibibi :
1er MARTEL Stephan
2ème MECHIA Medhi
3ème CASTORIX Clarence
• 85 cc :
1er PETRELLUZZI Mike
2ème ROSAN Nicolas
3ème LOPEZ-PINCEAU Maïdi
• ELITE :
1er LAURENT Cédrick
2ème MAGNUS - SOULEZ Jérémy
3ème MATHOURAPARSAD Mael
• Challenger :
1er ANTOINE Michel
2ème ROSAY Jean-Yves
3ème BOURGEOIS Laurent
Classement provisoire du championnat :
• Kilibibi :
1er MECHIA Medhi, 2ème CASTORIX
Clarence, 3ème RATEAU Romain.
• 85 cc :
1er ROSAN Nicolas, 2ème PETRELLUZZI Mike
3ème BOURNOT Lucas.
• ELITE :
1er LAURENT Cédrick, 2ème MAGNUS SOULEZ Jérémy, 3ème VALERIUS Olivier.
• Challenger :
1er ANTOINE Michel, 2ème MONTOUTE Eric,
3ème ROSAY Jean-Yves.
SUPERMOTARD du 23 septembre
• Challenger :
1er RENOLD Alexin
2ème MORINET Fabrica
3ème ORIOL Cécile
• Elite :
1er PIERREVILLE Patrice
2ème COLONNEAU Bruno
3ème DUMANOIR Steeve
• Quad :
1er NOVEMBRE Joey
2ème VIARDOT Christian
3ème Chateauneuf Jean-Marie
COURSE DE CÔTE de Boromée
du 30 septembre
• Classement general :
1er Nègre Pierre
2ème LEBRAZIDEC Thierry
3ème BHIKI Edmond
RUN moto du 30 septembre
• 50 cc :
1er CLAVIER Jeremy
2ème PERSE William
3ème XAVIER Ruddy
• Pro stock :
1er NOVEMBRE Edouard
2ème LIMERY Olivier
3ème LEFRANCOIS Anthony
• Street bike :
1er LODIN Lesly
2ème LARDELLIER Renaud
3ème FERTE Ludovic
• Sp motard :
1er COLONNEAU Bruno
2ème FERTE Jean-Pierre
50
MEGANE, REPRENEZ LE VOLANT.
• Calendrier
OCTOBRE
• 14 octobre : épreuve d’accélération
(Dép./ar. 200 m) Goyave la Rose
• 14 octobre : motocross Merlande
• 27/28 octobre : Rallye Karukéra (asag)
(sous reserve d’autorisation)
• 28 et 29 octobre : 1ere étape du
championnat de Guadeloupe en Rallye Jet
infoline : 0690 623 102 / 0690 495 803
• 31 octobre : 2éme édition du tournois
internationnal de pêche sportive à la Marina
de PAP (inscription : 0690 55 46 62)
• 17/18 novembre : 2ème étape du
championnat de Guadeloupe en Rallye Jet
infoline : 0690 623 102 / 0690 495 803
• 24/25 novembre : Rallye sud Basse Terre
(sous reserve d’autorisation)
DECEMBRE
• 3 décembre : supermotard - Jarry Baie-Mahault
• 9 décembre : Run moto La rose Goyave
• 16 décembre : motocross Merlande
NOVEMBRE
(Les dates indiquées sont données à titre indicatif
• 1er, 2 et 3 novembre : Suite de la 2éme
et peuvent être soumises à des variations.)
édition du tournois internationnal de pêche sportive à la Marina de PAP
• 11 novembre : motocross Merlande
• 11 novembre : épreuve d’accélération
(Dép./ar. 200 m) Goyave la Rose (sous resrve Pour nous faire part de votre actualité,
une adresse & un numéro :
d’autorisation)
• Agenda
[email protected]
Tél : 0590 38 30 74
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38
35
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