Présentation de Monsieur Bernard Tirtiaux et Madame Maria Palatine
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Présentation de Monsieur Bernard Tirtiaux et Madame Maria Palatine
27 septembre 2012 Présentation de Monsieur Bernard Tirtiaux et Madame Maria Palatine Prendre du recul pour mieux rebondir … La semaine dernière, Cécile Bolly nous a fait réfléchir sur nous-mêmes, sur la vie, sur l’éternité … grâce à sa vision de l’arbre. Nous allons aujourd’hui, traverser la lumière grâce à un passeur de lumière, Bernard Tirtiaux et son alter ego Maria Palatine. Et ce n’est pas un hasard si ce sont des artistes qui nous permettent d’aller voir plus loin pour mieux appréhender le réel. N’ont-ils pas cette sensibilité, ces radars qui bien souvent chez nous se sont « brouillés ». De plus quel invité pouvait le mieux correspondre à ce jour de la fête de la fédération Wallonie–Bruxelles, mieux connue sous le nom de communauté française, qu’un artiste de notre patrimoine culturel ! En effet, Bernard Tirtiaux, homme de théâtre , synonyme du théâtre de Martinrou, maître verrier, par ses vitraux au casino de Namur notamment pour ne citer qu’ une œuvre proche …. ses sculptures de verre comme la Cathédrale de Lumière, bâtie dans la forêt d’Oigniesen-Thiérache, symbolisant le centre géographique de l'Europe des Quinze, celles du Val Saint-Lambert, écrivain, « passeur de lumière, pitié pour le mal, prélude de cristal toujours pour ne citer que quelques œuvres, ……. mais aussi musicien, chanteur, compositeur. Et si j’ajoute que Bernard Tirtiaux est le neveu d’ Henry Bauchau tout récemment disparu et frère de François Emmanuel, nous comprendrons mieux encore cette valeur artistique et patrimoniale. C’est avec Maria Palatine que se complètera cet enchantement « prélude de cristal » L’histoire de ma vie, dites-vous Maria Palatine, pourrait être intitulée : « Ma maison est là où se trouve ma harpe ». « La présence de la harpe dans ma famille était due à mon grand-oncle, un peintre qui, durant la dictature nazie en Allemagne, avait déserté et s’était réfugié dans les Alpes durant plusieurs années. Il revint en sa terre natale, le Palatinat, dans le sud–ouest allemand et transmis ses connaissances, ainsi que sa harpe, à ma mère. C’est elle qui me l’enseigna » Ainsi nous comprenons mieux votre pseudonyme ! Je vous cite toujours : Ma grand-mère maternelle, qui dirigea un théâtre itinérant toute sa vie, porta l’amour du théâtre dans ma famille. Alors tout était là : la combinaison créative du chant, de la musique et de la composition. Nous comprenons mieux que votre duo était fait pour se rencontrer, pour nous rencontrer et nous combler. A vous … 1
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