Le Point - Centre Orthopédique Santy

Transcription

HÔPITAUX
ET CLINIQUES
Séverine Exbrayat,
interne en anesthésieréanimation, à l’hôpital
Edouard-Herriot de Lyon.
DR
86Santé, sommes-nous
toujours les meilleurs ?
89Tableau d’honneur des
50 meilleurs hôpitaux
91
Tableau d’honneur des
50 meilleures cliniques
94
Cancer de la prostate
96
Cancer du rein ;
cancer ORL
98
Cancer du sein ;
cancer de la vessie
99 Cancers gynécologiques
100Cancer du côlon
ou de l’intestin ; cancer
du foie ou du pancréas
101Cancer de la thyroïde ;
cancer de l’estomac
ou de l’œsophage
102Leucémie ; cancer
du poumon ; chirurgie
des cancers osseux
103Cancer, l’envers
du décor
104Cancer de la peau
105Incontinence urinaire ;
calculs urinaires
106Adénome de la prostate
107 Chirurgie des testicules ;
chirurgie du nez
et des sinus ; audition
108Amygdales et végétations
109Glandes salivaires ;
pédiatrie
110 Prothèse de la hanche
111
Chirurgie de la cheville ;
urgences de la main
112 Chirurgie du pied ;
chirurgie de l’épaule
113 Prothèse du genou
114 Ligaments du genou ;
rhumatologie
115 Urgences traumatologiques ; traumatologie
de la face ; neurochirurgie
116 Chirurgie de la colonne
vertébrale
117 Diabète ;
maladies infectieuses
du voyageur
118 Quand les médecins
hospitaliers craquent
121 Chirurgie du rectum ;
chirurgie de l’obésité
122 Vésicule biliaire
123 Proctologie ;
sclérose en plaques
124 Appendicite
125 Hernies abdominales
126 Cataracte
127 Chirurgie de la myopie ;
chirurgie de la rétine
128 Glaucome ;
strabisme
129 Pneumologie
130La longue et patiente
bataille contre
l’anorexie-boulimie
132 Troubles du compor-
tement alimentaire
133 Dépression
134L’incroyable revanche
des électrochocs
136 Schizophrénie
137 Hypertension artérielle ;
maladies hormonales
138Les orfèvres
de la chirurgie
Chirurgie de l’hypophyse
139 Chirurgie des artères
140Chirurgie cardiaque ;
chirurgie des carotides
141Accidents vasculaires
cérébraux
142Urgences cardiaques :
Lyon prend Villefranche
sous son aile
143 Infarctus du myocarde
144Anévrismes cérébraux ;
varices
145 Stimulateurs cardiaques
146Méthodologie
de l’enquête
Dossier réalisé par François Malye et Jérôme Vincent, avec Catherine Lagrange.
Reportage photo : Louise Oligny pour « Le Point »
HÔPITAUX ET CLINIQUES
DR
Santé
Sommes-nous
toujours
les meilleurs ?
86 | 20 août 2015 | Le Point 2241
Enquête.
Les équipes médicales françaises
restent excellentes.
Mais l’accès aux
soins est inégal
dans l’Hexagone.
Q
DR
Urgences. Avec les progrès
médicaux, les Centres 15, les salles
de déchocage... des malades
qui seraient hier décédés sont
aujourd’hui sauvés. Ici, au centre
de déchocage et de réanimation
de l’hôpital Edouard-Herriot,
à Lyon.
uartier latin, Paris. Un bien
mauvais réveil ce dimanche
de juin : vertiges à la limite de
l’évanouissement, nausées, incapacité à se lever, panique intense.
Deux heures plus tard, le diagnostic est posé par un médecin des urgences médicales venu à domicile :
neuronite vestibulaire, soit un déplacement de petits cristaux de
l’oreille interne, un malaise en réalité bénin. L’adresse du centre ORL
expert, tout proche, qui peut opérer la manœuvre libératoire, est
communiquée au patient. Quarante-huit heures plus tard, le problème est réglé. Coût total, 94 euros
(y compris la réalisation d’un électrocardiogramme) pour la visite du
médecin, et 153 pour les soins prodigués au centre. Coût réel pour
l’assuré – disposant d’une mutuelle –, 9,38 euros. En France, la
somme restant à la charge du patient est l’une des plus faibles de
l’OCDE. Et si les choses avaient été
plus graves, il restait la possibilité
d’un appel au Centre 15 avec, à
moins de 10 minutes, deux des meilleurs centres hospitaliers universitaires de l’Hexagone, l’hôpital de
la Pitié-Salpêtrière (classé 5e du palmarès 2015 du Point) et l’hôpital Cochin (30e). Peu coûteux pour le
patient, rapide et disponible : aucun doute, vu des beaux quartiers
de la capitale, nous avons le meilleur système de santé au monde,
comme l’a proclamé en 2000 par
l’OMS dans son rapport annuel.
Quinze ans plus tard, nul, …
Le Point 2241 | 20 août 2015 | 87
parmi les experts, ne peut
dire si la France est toujours numéro un. Pourtant, depuis le classement de l’OMS – « une initiative
contestée mais innovante »–, selon Valérie Paris, de l’OCDE (et surtout jamais rééditée), la qualité des
systèmes de santé a fait l’objet de
nombreuses études. Mais les indicateurs, épars et souvent peu comparables, ne permettent pas
d’établir aujourd’hui un classement
incontestable. Commençons par
les bons points. « Notre système bénéficie d’un premier atout exceptionnel, c’est la confiance des Français qui,
à l’époque, n’ont pas été tellement surpris par la première place de leur pays
dans le classement de l’OMS », estime
Didier Tabuteau, qui dirige la chaire
…
Santé de Sciences po. Le second, c’est
la compétence des professionnels, que
je n’ai jamais vue remise en question
par les observateurs étrangers. Et si
on ne dispose pas d’une évaluation de
la qualité du système dans son ensemble, dans certains domaines, comme
le cancer, nous figurons parmi les premiers. » « La France a un système qui
se compare toujours avantageusement,
à bien des égards, à celui de la plupart
des autres pays de l’OCDE », note le
Haut Conseil de la santé publique
dans sa plus récente publication.
« La France dispose-t-elle encore du
meilleur système de santé au monde ? »
a aussi été un sujet de débat au début de l’année pour les sénateurs.
« A la naissance, les femmes en France
ont une espérance de vie d’environ
Confiance. Au service
de radiothérapie
du Pr Olivier Chapet,
à Lyon. Technologies
de pointe, traitements
innovants, la France
est parmi les meilleurs
pour la survie des
cancéreux.
Sur les 380 meilleures équipes médicales
au monde, 98 seraient françaises, seuls
les Américains faisant mieux.
88 | 20 août 2015 | Le Point 2241
83 ans, les hommes d’environ 77 ans,
répond Alain Milon, président de
la Commission des affaires sociales
du Sénat. C’est peu ou prou le même
niveau qu’en Angleterre, en Allemagne,
en Suède, et donc parmi les niveaux les
plus élevés au monde. Preuve que la
santé dans sa globalité est bien protégée en France. » L’espérance de vie
est, en effet, un indicateur incontestable, même si les performances
du système de santé n’y participent,
selon les études, qu’à hauteur de
40 %. Ainsi, si Paris est le département où femmes et hommes vivent
le plus longtemps en France, c’est
avant tout parce qu’il s’agit d’une
population plus riche, plus éduquée que la moyenne et avec moins
de comportements à risques.
Autre élément plaidant pour la
qualité du système français, l’excellence de son système hospitalier, illustrée par la récente
polémique sur la dette de 3,7 millions d’euros de l’Arabie saoudite
envers les établissements de
l’Assistance publique-Hôpitaux de
Paris. Une farce qui masque la trop
lente métamorphose de l’institution hospitalière française face à
un nouveau phénomène, celui de
la mondialisation du tourisme médical, que d’autres pays mieux organisés comme l’Allemagne, la
Grande-Bretagne et les Etats-Unis
ont su capter.
Restructurations. Qu’on le regrette ou non, et même s’il ne
concerne qu’un nombre très limité
de patients, leur choix se porte souvent sur la France, comme le note
le rapport de l’économiste de la
santé Jean de Kervasdoué intitulé
« Valoriser les atouts de la France pour
l’accueil des patients étrangers ». Cet
état des lieux fouillé a été réalisé
afin de lever les nombreuses barrières qui empêchent les hôpitaux
français d’être compétitifs, avec, à
la clé, s’ils parviennent à s’organiser pour accueillir les patients étrangers, entre 1,5 et 2 milliards d’euros
de recettes sur cinq ans, selon l’auteur. Principal atout, « la qualité des
soins est en France excellente » et, sur
les 380 meilleures équipes médicales au monde, 98 seraient françaises, les Américains seuls faisant
mieux, avec 133 équipes classées.
Sans surprise, les malades étrangers plébiscitent les centres anticancéreux, les hôpitaux de la région
parisienne, ceux des Hospices civils de Lyon et quelques grands
CHU. Enfin, pour appuyer cette
analyse, Jean de Kervasdoué avance
l’indicateur le plus souvent retenu
dans les récentes publications scientifiques. Il s’agit, par rapport à la
population, et sur un certain
nombre de pathologies caractéristiques, du nombre des décès prématurés (avant 75 ans) qui auraient
pu être évités « par des interventions
appropriées et efficaces du système de
santé » (voir graphique). La France,
qui présente le chiffre le plus bas,
se classe donc première devant
l’Australie, l’Italie et le Japon.
A Montdidier, dans la Somme,
6 000 habitants, ce débat laisse
d’abord les différents interlocuteurs
un peu désemparés. A une heure
et demie à peine de voiture de Paris, on est dans l’un des …
Tableau d’honneur
des 50 meilleurs
hôpitaux de France
ÉVOLUTION
2014/2015
1er
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39e
40e
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49e
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–
–
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INFORMATION
DU PUBLIC
Ø
CHU, Lille (Nord)
CHU, Toulouse (Haute-Garonne)
CHU, Bordeaux (Gironde)
Hôpitaux universitaires, Strasbourg (Bas-Rhin)
Hôpital de la Pitié-Salpêtrière, Paris
CHU, Montpellier (Hérault)
CHU, Tours (Indre-et-Loire)
CHU, Nantes (Loire-Atlantique)
CHU, Rennes (Ille-et-Vilaine)
CHU, Nancy (Meurthe-et-Moselle)
CHU, Rouen (Seine-Maritime)
CHU, Grenoble (Isère)
CHU, Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme)
CHU, Amiens (Somme)
CHU, Dijon (Côte-d’Or)
CHU, Nice (Alpes-Maritimes)
CHU, Caen (Calvados)
CH Lyon Sud, Pierre-Bénite (Rhône)
CHU, Saint-Etienne (Loire)
CHU, Limoges (Haute-Vienne)
CHU, Besançon (Doubs)
Hôpital d’adultes La Timone, Marseille (Bouches-du-Rhône)
CHU, Poitiers (Vienne)
CHU, Brest (Finistère)
Hôpital européen Georges-Pompidou, Paris
Hôpitaux privés de Metz, Metz (Moselle)
Hôpital Henri-Mondor, Créteil (Val-de-Marne)
Hôpitaux civils, Colmar (Haut-Rhin)
Hôpital Edouard-Herriot, Lyon (Rhône)
Hôpital Cochin, Paris
CHU, Reims (Marne)
Hôpital Nord, Marseille (Bouches-du-Rhône)
CHR, Metz-Thionville (Moselle)
Institut mutualiste Montsouris, Paris
CHU, Angers (Maine-et-Loire)
Hôpital Bichat, Paris
Hôpital Foch, Suresnes (Hauts-de-Seine)
Hôpital Lariboisière, Paris
Hôpital Bicêtre, Le Kremlin-Bicêtre (Val-de-Marne)
Hôpital Saint-Joseph, Marseille (Bouches-du-Rhône)
GH Saint-Joseph, Paris
CH, Le Mans (Sarthe)
CHU, Saint-Denis/Saint-Pierre (La Réunion)
Hôpital Necker-Enfants malades, Paris
GH Diaconesses/Croix-Saint-Simon, Paris
Hôpitaux Nord (Croix-Rousse), Lyon (Rhône)
CH intercommunal, Belfort/Montbéliard (T. de Belfort/Doubs)
Clinique mutualiste, Saint-Etienne (Loire)
CHU, Nîmes (Gard)
CH, La Roche-sur-Yon (Vendée)
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Ø
Ø
Trente-neuf hôpitaux de
province – dont le CHU
de Lille, en tête de notre
palmarès cette année –,
le CHU de La Réunion
pour la première fois
depuis l’origine de ce
classement, neuf établissements parisiens stricto
sensu et quatre des
départements limitrophes composent ce
tableau d’honneur des
50 meilleurs hôpitaux
publics de France.
Pour en faire partie, un
service complet doit être
fourni aux patients dans
les disciplines médicales
et chirurgicales. Les
établissements de soins
spécialisés, comme les
centres anticancéreux
ou les hôpitaux pédiatriques, ont donc été
écartés de ce classement
final, après que 61 activités, de la pose de prothèse de hanche à la prise
en charge des accidents
vasculaires cérébraux,
ont été analysées. Ces
établissements spécialisés sont notés dans les
classements portant sur
leurs disciplines, comme
la prise en charge des
cancers, ou sur des
maladies infantiles.
Pour dresser ce tableau
d’honneur final, nous
avons ensuite pris en
compte la fréquence
d’apparition de l’hôpital
parmi les 50, les 20, les 10
et les 5 premiers, puis
la ou les places de numéro un qu’il obtenait.
A répondu à notre questionnaire Ø N’a pas répondu
CH Centre hospitalier CHU Centre hospitalier universitaire CHR Centre hospitalier régional GH Groupe hospitalier
* En hausse
$ En baisse
= Stable – Entrant cette année
Ø
Le Point 2241 | 20 août 2015 | 89
650
départements où l’espérance
de vie est la plus basse de France
millions d’euros (après le Pas-de-Calais, le Nord et
l’Aisne) et la population, l’une des
C’est le coût
du nouveau CHU
moins favorisées. « Les indices de
d’Amiens, inauguré santé publique sont mauvais, avec une
en 2015.
surmortalité et une sous-médicalisation chroniques », résume le Pr Olivier Jardé, chirurgien orthopédiste
et vice-président d’Amiens Métropole, en faisant visiter le tout nouveaucentrehospitalieruniversitaire
(CHU) d’Amiens (14e de notre palmarès), superbe paquebot avec son
immense hall à colonnes simili-Buren éclairées et ses couloirs interminables. « Le CHU était éclaté sur
Futuriste. Le CHU
cinq sites. Cela s’appelait un CHU,
d’Amiens rassemble
mais il n’y avait pas de sécurité. Quand
l’activité des cinq
on opérait, si ça tournait mal, la réaa nciens sites dispersés
nimation était à l’autre bout de la ville.
dans la ville et offre
La sécurité est quand même la preplus de sécurité aux
mière condition de la qualité des soins.
malades.
Nous avons fusionné neuf plateaux
Menacé. Le centre hos- techniques. Mais c’est évidemment au
pitalier de Montdidier,
détriment d’autres territoires. » Et
à 45 minutes d’Amiens, aussi au prix d’une dette abyssale
a déjà perdu cinq
de 450 millions d’euros pour le
services de soins.
CHU. Le petit hôpital de Montdidier est l’une des prochaines cibles
des restructurations menées par
l’Agence régionale de santé de Picardie. En déficit, hors normes, victime de la difficulté à recruter des
médecins, il a perdu au fil des années sa maternité puis son service
de chirurgie, et c’est maintenant
son unité de soins palliatifs qui est
menacée. Personne n’en doute, ce
…
Plus de soins = moins de morts
Taux de mortalité pour 100 000 habitants*. Plus le taux est bas,
plus le nombre de morts évitées par le système de soins est élevé.
2006/2007
106
97
89
55
FRANCE
60
ITALIE
97
96
88
81
76
120
76
61
61
JAPON
SUÈDE
79
66
PAYS-BAS
ALLEMAGNE
* Taux de mortalité prématurée avant 75 ans, standardisé, par pays, incluant la mortalité liée aux accidents cardiaques,
aux accidents vasculaires cérébraux, au diabète et aux infections bactériennes.
90 | 20 août 2015 | Le Point 2241
77
83
GRÈCE
NOUVELLEZÉLANDE
ROYAUME-UNI
ÉTATS-UNIS
Source : The Commonwealth Fund, 2011.
SÉBASTIEN JARRY/ANDIA - TAVERNIER/REA
1997/1998
127
115
seront ensuite les urgences, puis
l’hôpital qui fermeront. Certes, dans
la minuscule salle d’attente des urgences, en cet après-midi ensoleillé
de juillet, il n’y a pas foule. Une dizaine de personnes patientent sur
les sièges en Skaï, ou en fumant devant l’entrée – de la bobologie, les
cas les plus graves étant directement évacués vers les grosses unités hospitalières de la région. Dans
ce département rural et dans cette
ville digne, rasée durant le premier
conflit mondial et reconstruite de
brique rouge sur son promontoire,
c’est surtout la fatalité qui l’a emporté devant les restrictions sanitaires à répétition.
Endettement. « Si l’hôpital ferme,
comment feront les habitants qui
viennent pour les consultations avancées des médecins spécialistes du
CHU ? » questionne le Dr Jean-Paul
Féraux, 53 ans, généraliste, bosseur,
et médecin à l’ancienne – « Je travaille beaucoup, 70 heures par semaine », reconnaît-il. A la terrasse
d’un des rares cafés, il explique que
les dix généralistes de la ville sont
en nombre suffisant, mais que l’accès aux spécialistes et aux examens
d’imagerie est de plus en plus compliqué pour la population. « Pour
voir un spécialiste à Amiens, il y a deux
à trois mois de délai. Pareil pour une
IRM. Si celui de l’hôpital, dont les examens sont interprétés à distance par
les spécialistes du CHU, disparaît, ce
ne sera pas un plus. » « On privilégie
la concentration et la spécialisation »,
remarque simplement son fils Valentin, 23 ans, externe au CHU et
déjà maire adjoint de la ville. Une
consultation des spécialistes plus
difficile est l’une des premières caractéristiques d’une région pauvre.
Une inégalité particulièrement
marquée en France, selon les travaux de l’OCDE. « Certains patients
sont très défavorisés. Je vois des gens
qui ne prennent pas les médicaments
qui leur sont prescrits s’ils ne sont pas
remboursés, observe Gilles Demuynck dans le bureau de sa pharmacie, située face à l’imposant
beffroi de la mairie. Et puis, le patient a du mal à s’y retrouver avec les
vagues de déremboursement de médicaments, qui ont fait que le prix …
Tableau d’honneur
des 50 meilleures
cliniques de France
ÉVOLUTION
2014/2015
1er
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6e
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49e
50e
INFORMATION
DU PUBLIC
= CH privé Saint-Grégoire, Saint-Grégoire (Ille-et-Vilaine)
*
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–
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Ø
Hôpital privé Jean-Mermoz, Lyon (Rhône)
Nouvelles Cliniques nantaises, Nantes (Loire-Atlantique)
CH privé Saint-Martin, Caen (Calvados)
Clinique de l’Anjou, Angers (Maine-et-Loire)
Polyclinique de l’Atlantique, Saint-Herblain (Loire-Atlantique)
Hôpital privé de la Louvière, Lille (Nord)
Clinique de l’Union, Saint-Jean (Haute-Garonne)
Polyclinique du Parc-Rambot, Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône)
Clinique Saint-Pierre, Perpignan (Pyrénées-Orientales)
Polyclinique de Gentilly, Nancy (Meurthe-et-Moselle)
Hôpital privé de la Loire, Saint-Etienne (Loire)
Polyclinique Courlancy, Reims (Marne)
Polyclinique de Poitiers, Poitiers (Vienne)
Clinique du Millénaire, Montpellier (Hérault)
Clinique des Cèdres, Cornebarrieu (Haute-Garonne)
Hôpital-Clinique Claude-Bernard, Metz (Moselle)
Clinique Saint-Vincent, Besançon (Doubs)
Clinique Pasteur, Toulouse (Haute-Garonne)
Clinique océane, Vannes (Morbihan)
Polyclinique du Bois, Lille (Nord)
Polyclinique de Limoges, Limoges (Haute-Vienne)
Clinique la Châtaigneraie, Beaumont (Puy-de-Dôme)
Polyclinique du Parc, Saint-Saulve (Nord)
Clinique chirurgicale du Pré, Le Mans (Sarthe)
Hôpital privé d’Antony, Antony (Hauts-de-Seine)
Clinique du Parc, Lyon (Rhône)
Clinique Belledonne, Saint-Martin-d’Hères (Isère)
Hôpital privé Médipôle de Savoie, Challes les Eaux (Savoie)
Médipôle Garonne, Toulouse (Haute-Garonne)
Pôle Santé République, Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme)
Centre médico-chirurgical du Mans, Le Mans (Sarthe)
Clinique Saint-Augustin, Bordeaux (Gironde)
Clinique Esquirol-Saint-Hilaire, Agen (Lot-et-Garonne)
Clinique de l’Europe, Rouen (Seine-Maritime)
Clinique du Tonkin, Villeurbanne (Rhône)
Polyclinique Louis-Pasteur, Essey-lès-Nancy (Meurthe-et-Moselle)
Pôle Santé Léonard-de-Vinci, Chambray-lès-Tours (Indre-et-Loire)
Hôpital privé de Bois-Bernard, Bois-Bernard (Pas-de-Calais)
Hôpital privé Drôme-Ardèche, Guilherand-Granges, Valence (Ardèche/Drôme)
Polyclinique Saint-Roch, Cabestany (Pyrénées-Orientales)
Hôpital privé Sévigné, Cesson-Sévigné (Ille-et-Vilaine)
Infirmerie protestante de Lyon, Lyon (Rhône)
Polyclinique Saint-Privat, Boujan-sur-Libron (Hérault)
Clinique du Cèdre, Bois-Guillaume (Seine-Maritime)
Polyclinique du Grand-Sud, Nîmes (Gard)
Clinique Saint-Léonard, Trélazé (Maine-et-Loire)
Clinique Jules-Verne, Nantes (Loire-Atlantique)
CH privé Saint-Brieuc, Saint-Brieuc (Côtes-d’Armor)
Polyclinique du Parc, Caen (Calvados)
* En hausse $ En baisse = Stable – Entrant cette année
CH Centre hospitalier
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Ø
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Ø
Pas un seul établissement
situé dans Paris intramuros parmi les 50 composant ce tableau d’honneur. C’est le centre
hospitalier privé
Saint-Grégoire, dans l’agglomération de Rennes,
qui arrive en tête pour la
sixième année consécutive. Pour déterminer les
50 cliniques à but lucratif
de ce palmarès général,
nous avons pris en
compte la fréquence d’apparition de chaque clinique parmi les 50, les 20,
les 10 et les 5 premières,
puis la ou les places de
numéro un qu’elle obtenait dans 37 activités analysées selon les mêmes
critères que les hôpitaux
publics. Ont été écartés
de ce classement final les
établissements de soins
spécialisés, par exemple
en ophtalmologie ou en
orthopédie, les cliniques
devant apporter à leur
patientèle un service
médical et chirurgical
complet pour y figurer.
Ces établissements
spécialisés sont bien sûr
évalués dans les classements consacrés à leurs
disciplines. En revanche,
24 activités apanages du
secteur public, comme
les urgences polytraumatiques, la prise en charge
des accidents vasculaires
cérébraux ou encore le
traitement des leucémies,
ne sont pas analysées
dans le secteur des
cliniques privées.
A répondu à notre questionnaire Ø N’a pas répondu
Le Point 2241 | 20 août 2015 | 91
de certains a doublé ou triplé.
Pour moi, on va clairement vers une
médecine à deux vitesses. »
Didier Tabuteau en est persuadé,
l’accès aux soins s’est dégradé depuis le milieu des années 2000. De
tous les maux dont souffre le meilleur système de santé du monde, il
est le plus menaçant. « Ce système
sans contraintes a été efficace de 1945 à
2000, dans un monde en expansion
économique, mais maintenant on passe
à un système de régulation. Pour certaines populations se posent donc des
problèmes géographiques et sociaux
d’accès aux soins, et ces inégalités vont
devenir inacceptables si on ne résout
pas, une bonne fois pour toutes, le problème du financement de notre système
de santé. » Car ces performances ont
un coût : 9,7 milliards d’euros de
…
déficit en 2014 pour la Sécurité sociale – et une dette cumulée de
237 milliards –, celle des hôpitaux
ayant triplé en dix ans, pour passer
de 10,9 milliards d’euros à 29,2 milliards en 2014. Devant l’incendie
qui couve, les restrictions se sont
multipliées ces dernières années,
suscitant une vague de colère chez
les médecins, notamment dans les
hôpitaux les plus importants de Paris, Lyon et Marseille (lire page 118).
« Ce n’est pas viable, affirme Alain
Milon. Il faut arrêter avec ce système
national de Sécurité sociale et ce système complémentaire, fait de 500 mutuelles, aux frais de gestion dépassant
20 %. Le déficit structurel de la Caisse
nationale d’assurance-maladie des
travailleurs salariés est approximativement de 8 milliards d’euros par
Humanité. La technique a pris le pas sur
les rapports humains.
Patients et soignants
manquent de temps
pour se parler.
« Depuis 2000, les droits des patients,
qui n’existaient pas, ont été pris en compte. »
Christian Magnin-Feysot, président de l’Arucah.
92 | 20 août 2015 | Le Point 2241
an. C’est aussi le montant des frais de
gestion des mutuelles. » Et d’avancer :
« Il faut un système d’assurancemaladie unique remboursant à 100 %
l’essentiel des frais de santé. » Pour le
Dr Pierre-Henri Bréchat, médecin
spécialiste de santé publique et de
médecine sociale à l’Hôtel-Dieu à
Paris, « au lieu de se demander comment nous pourrions être meilleurs,
nous dépensons notre temps et notre
argent à prouver que nous sommes
suffisamment bons. Ce temps est révolu. S’ils veulent survivre, les systèmes de santé doivent devenir plus
efficients et parier sur la qualité. En
France, celle-ci est relayée au second
plan dans les établissements de santé. »
Inégalités.D
ans la grande salle
calme du central de régulation du
15, basé à l’hôpital Avicenne de Bobigny (Seine-Saint-Denis), le cœur
du 93 palpite au rythme des
18 000 appels téléphoniques reçus
chaque année. « On a fait d’immenses
progrès médicaux en quinze ans, mais
les inégalités de prise en charge se sont
La France vue d’Europe
Depuis huit ans, Health Consumer
Powerhouse, société basée en Suède,
dresse chaque année un bilan de la
qualité des systèmes de soins de 37 pays
européens à destination des usagers.
En 2014, les Pays-Bas sont en tête et
la Bosnie-Herzégovine dernière.
La France a perdu deux places et se
retrouve 11e, entre l’Autriche et la
Suède. Sur les 48 indicateurs retenus,
21 sont stables par rapport à 2013, 20 se
creusées », explique le Dr Christophe
Prudhomme, médecin urgentiste,
représentant de la CGT Santé et
porte-parole de l’Amuf (Association des médecins urgentistes de
France). Ce que nous reprochent surtout les patients, c’est le manque d’humanité des soins et de coordination
entre les professionnels de santé. Or,
quand on est pauvre, il est plus compliqué de construire son parcours de
soins. Et si vous n’avez pas la capacité
de vous débrouiller dans ce système… »
Le Haut Conseil de la santé publique
sont améliorés et 7 ont régressé. Parmi
les bons points, les droits des patients,
le recours au deuxième avis médical,
l’accès au médecin généraliste en
moins de vingt-quatre heures et une
amélioration des taux de survie du cancer. Mauvais points, la prévention de
l’alcoolisme, l’attente aux urgences,
la trop forte consommation d’antibiotiques et l’absence de prescriptions
par Internet §
constate lui aussi « un manque de
coordination entre secteurs ambulatoire et hospitalier ». L’état des patients s’est-il dégradé ? « On voit
quand même des malades arriver avec
des pathologies de plus en plus avancées parce qu’ils ont renoncé à des soins
trop coûteux », estime l’urgentiste.
« Je ne le pense pas », répond le
Dr Féraux, de Montdidier. « Non,
malgré les difficultés, je ne pense pas
que les gens soient plus mal soignés »,
confirme Gilles Demuynck. Depuis 2000, l’espérance de vie des
femmes dans la Somme a augmenté
de deux ans en tout cas, celle des
hommes de trois ans et demi. Mais
elle est encore inférieure d’un an
et demi à la moyenne nationale.
« Peut-être aurait-on pu mieux
faire. Mais, par rapport aux pays
comparables, nous n’avons pas à rougir », juge Jean-Yves Grall, directeur général de l’Agence régionale
de santé de la région Nord-Pas-deCalais et président du collège des
directeurs généraux des ARS, mis
en place par l’Etat pour sécuriser
le périmètre de la santé à la fin des
années 90. « De grands progrès ont
été faits depuis 2000 dans la prise en
charge médicale et sociale. Et les droits
des patients, qui n’existaient pas, ont
été pris en compte », reconnaît également Christian Magnin-Feysot,
qui dirige l’Association des représentants des usagers dans les cliniques, les associations et les
hôpitaux de Franche-Comté (Arucah). Que pense le jeune Valentin,
médecin de demain, de tous ces
débats ? « En France, je pense qu’on
peut avoir confiance. La santé, c’est
un truc qui roule. » §
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CANCER DE LA PROSTATE
429 85 % 5,1 38,7 Ø Ø
19,30
26e Hôpital d’instruction des armées Val-de-Grâce*, Paris
116 70 % 6,1
30 Ø Ø
16,97
286 63 % 7
38,4 Ø Ø
18,75
27e Hôpital Saint-Joseph, Marseille (Bouches-du-Rhône)
78 13 % 5,2 40,7 Ø Ø
16,96
235 51 % 3,8
32
Ø Ø
18,71
28e CH, Chambéry (Savoie)
89 19 % 7
38,2 Ø Ø
16,86
4
CHU/Institut universitaire du cancer, Toulouse (Haute-Garonne)
245 64 % 5,8 33,8 Ø Ø
18,65
29e Clinique mutualiste de la Porte de l’Orient, Lorient (Morbihan)
83 19 % 7,6 45,2 Ø Ø
16,85
5e
198 82 % 4,5 34,4 Ø Ø
18,30
30e Institut Paoli-Calmettes (CLCC), Marseille (Bouches-du-Rhône)
91 42 % 4,9 27,2 Ø Ø
16,84
6e
236 81 % 4,7 30,3 Ø Ø
18,23
31e CHU, Fort-de-France (Martinique)
125
16,73
e
7
199 23 % 6,1 33,4 Ø Ø
18,22
32e GH Diaconesses/Croix-Saint-Simon, Paris
90 42 % 5,1 35,6 Ø Ø
8e
CHU, Lille (Nord)
173 28 % 5,7
Ø Ø
18,10
33e CH intercommunal, Belfort/Montbéliard (T-de-Belfort/Doubs)
80 81 % 8,7 47,2 Ø Ø
16,71
9e
168 43 % 5,6 32,2 Ø Ø
18,02
34e GH mutualiste, Grenoble (Isère)
114 6 % 8,6 36,1 Ø Ø
16,64
35e CHU, Angers (Maine-et-Loire)
89 27 % 7,2
16,62
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1
7,9 37,2 NR NR
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0
16,72
10e Hôpital Edouard-Herriot, Lyon (Rhône)
177 72 % 5,1 30,5 Ø Ø
17,81
11e CHU, Limoges (Haute-Vienne)
124 44 % 6,7 32,9 Ø Ø
17,70
36
76 43 % 6,9 40,1 Ø Ø
16,56
12e CHU, Rennes (Ille-et-Vilaine)
154 37 % 4,3 31,5 Ø Ø
17,66
37e CH, Saintes (Charente-Maritime)
71 4 % 7,6 48,6 Ø Ø
16,45
13e Hôpital Henri-Mondor, Créteil (Val-de-Marne)
201 46 % 4,4 30,4 Ø Ø
17,60
38e CHU, Amiens (Somme)
64 20 % 7,8 48,4 Ø Ø
16,14
41,4 Ø Ø
17,47
39e CH, La Roche-sur-Yon (Vendée)
63 0 % 5,1 44,8 Ø Ø
16,05
5,3 33,3 NR NR
17,43
40e Clinique mutualiste, Saint-Etienne (Loire)
71 31 %
41,4 Ø Ø
16,02
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14
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110 35 % 8
0
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43
NR NR
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1
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0
0
15e CHU, Pointe-à-Pitre (Guadeloupe)
178
16e Hôpital Cochin, Paris
166 70 % 7,1
Ø Ø
17,39
41
84 26 % 7,1 31,8 Ø Ø
15,82
17e CHU, Rouen (Seine-Maritime)
75 28 % 6,3 43,7 Ø Ø
17,27
42e Clinique Beau-Soleil, Montpellier (Hérault)
62 24 % 5,6 41,5 NR NR
15,76
18e Clinique mutualiste Jules-Verne, Nantes (Loire-Atlantique)
209 52 % 7,2 32,5 Ø Ø
17,21
43e CHU, Brest (Finistère)
70 11 % 7,5 37,5 Ø Ø
19e Hôpital Nord, Marseille (Bouches-du-Rhône)
94 13 % 8
48,1 Ø Ø
17,17
44e Hôtel-Dieu du Creusot, Le Creusot (Saône-et-Loire)
75 3 % 8,3 42,7 NR NR
20e Hôpital Saint-Louis, Paris
85 60 % 7,1 37,6 Ø Ø
17,15
45e CHU, Dijon (Côte-d’Or)
70 51 % 7,3 32,1 Ø Ø
15,66
20e Clinique Adassa, Strasbourg (Bas-Rhin)
123 11 % 8,1 40,6 Ø Ø
17,15
46e CHU, Montpellier (Hérault)
68 32 % 6,7
Ø Ø
15,56
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CHU, Nîmes (Gard)
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Ø Ø
17,12
47
63 56 % 8,7 37,7 Ø Ø
15,42
23e Hôpitaux privés de Metz, Metz (Moselle)
121 18 % 5,6 38,6 Ø Ø
17,09
48e Hôpital Bichat, Paris
52 63 % 9,1 43,3 Ø Ø
15,32
24e CHU, Tours (Indre-et-Loire)
102 42 % 5,3 31,9 Ø Ø
16,98
49e CH, Niort (Deux-Sèvres)
58 22 % 7,8 43,1 Ø Ø
15,27
24e CHU, Nice (Alpes-Maritimes)
78 21 % 4,5
Ø Ø
16,98
50e CHU, Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme)
68 29 % 6,1
Ø Ø
15,18
CLINIQUES
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79 3 % 4,9 42
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Clin. mutualiste de l’Estuaire, Saint-Nazaire (Loire-Atlantique)
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22
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Clin. urolog. Nantes-Atlantis, Saint-Herblain (Loire-Atlantique)
256 32 % 7,4 45,3 Ø Ø
18,68
16e Polyclinique de Blois, La Chaussée-Saint-Victor (Loir-et-Cher)
147 5 % 6,2 42,7 Ø Ø
2
Polyclin. du Parc-Rambot, Aix-en-Provence (B.-du-Rhône)
221 24 % 5
37,6 Ø Ø
18,64
17e Hôpital privé de la Louvière, Lille (Nord)
145 10 % 5,5 33,3 Ø Ø
16,58
3e
194 20 % 6,6 37,2 Ø Ø
18,14
18e Polyclinique du Parc, Caen (Calvados)
155 16 % 8,3 33,6 Ø Ø
16,45
4e
581 59 % 4,8 30,2 NR NR
18,08
19e CHP Saint-Brieuc, Saint-Brieuc (Côtes-d’Armor)
138 1 % 6,6 39
Ø Ø
16,23
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16,88
5
224 48 % 6,3 34,7 Ø Ø
17,85
20
155 41 % 8,4 31,9 Ø Ø
16,16
6e
Clinique Océane, Vannes (Morbihan)
170 4 % 4,6 32,8 Ø Ø
17,68
21e Polyclinique de Poitiers, Poitiers (Vienne)
134 10 % 5,8 35,6 Ø Ø
16,09
7e
165 28 % 7,2 36,7 Ø Ø
17,56
22e Clinique de l’Espérance, Mougins (Alpes-Maritimes)
140 9 % 7,6 40,9 Ø Ø
16
8e
152 8 % 6,6 41,1 Ø Ø
17,45
23
136 35 % 8,4 44,7 Ø Ø
15,94
8e
163 27 % 7,2 36,7 Ø Ø
17,45
24e Clinique mutualiste Bénigne Joly, Talant (Côte-d’Or)
134 32 % 7,2 37,3 Ø Ø
15,89
10e Polyclinique de Gentilly, Nancy (Meurthe-et-Moselle)
176 40 % 6,6 34,5 Ø Ø
17,39
25e Clinique Saint-Augustin, Nantes (Loire-Atlantique)
129 13 % 5,8 35,1 Ø Ø
15,67
11e Polyclinique Saint-Privat, Boujan-sur-Libron (Hérault)
225 3 % 7,6 35,4 Ø Ø
17,36
26e Infirmerie protestante de Lyon, Lyon (Rhône)
148 24 % 8 33,4 Ø Ø
15,62
12e Clinique Saint-Jean-Languedoc, Toulouse (Haute-Garonne)
161 26 % 6,2 31,1 Ø Ø
17,22
27e Clinique Esquirol-Saint-Hilaire, Agen (Lot-et-Garonne)
122 18 % 7,1 38,1 Ø Ø
15,60
Polyclinique Saint-François, Montluçon (Allier)
150 40 % 5,5 33,8 Ø Ø
17,12
28e Clinique Sainte-Odile, Haguenau (Bas-Rhin)
127 16 % 6,8 38
Ø Ø
15,46
14e Polyclinique de Navarre, Pau (Pyrénées-Atlantiques)
161 3 % 7,6 41,5 Ø Ø
17,01
29e Clinique Kennedy, Nîmes (Gard)
131 11 % 6,3 32,8 Ø Ø
15,40
15e CH privé Saint-Grégoire, Saint-Grégoire (Ille-et-Vilaine)
152 10 % 7,6 43,4 Ø Ø
16,97
30e Clinique des Cèdres, Cornebarrieu (Haute-Garonne)
123 33 % 5,8 33,7 Ø Ø
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Clinique Toulouse-Lautrec, Albi (Tarn)
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Cancer de la prostate. Classement des 274 hôpitaux et des 343 cliniques pratiquant la chirurgie du cancer de la prostate. Ci-dessus, les 50 meilleurs
hôpitaux et les 30 meilleures cliniques. Ultrasons : traitement, sur place (Ø) ou non (Ø), par ultrasons focalisés de haute intensité. Curiethérapie : implantation,
sur place (Ø) ou non (Ø), d’aiguilles délivrant des sources radioactives. NR : non répondu. * Cette activité est en cours de transfert à l’hôpital d’instruction des
armées Bégin à Saint-Mandé.
94 | 20 août 2015 | Le Point 2241
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HÔPITAUX
CANCER ORL
CHU, Lille (Nord)
CHU, Amiens (Somme)
Hôpital Tenon, Paris
CHU, Nîmes (Gard)
Hôpital Saint-Louis, Paris
191
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115
142
125
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103
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48 %
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18e
19e
20e
Hôpital privé Clairval, Marseille (Bouches-du-Rhône)
Clinique Lafourcade, Bayonne (Pyrénées-Atlantiques)
CH privé Saint-Grégoire, Saint-Grégoire (Ille-et-Vilaine)
Clinique de l’Atlantique, Puilboreau (Charente-Maritime)
Clinique de Chenôve, Chenôve (Côte-d’Or)
Clinique Pasteur-Lanroze, Brest (Finistère)
Polyclin. Louis-Pasteur, Essey-lès-Nancy (Meurthe-et-Moselle)
Clinique Mathilde, Rouen (Seine-Maritime)
96 | 20 août 2015 | Le Point 2241
150
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87
115
77
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48
52
45
49
61
45
43
37
50
41
48
41
61 %
47 %
2 %
17 %
13 %
30 %
11 %
22 %
6 %
8 %
9 %
4 %
11 %
29 %
0 %
16 %
16 %
15 %
6 %
7 %
16,7
13,1
7,7
8,4
12,1
15,4
12,6
15,3
10,3
8
10,4
13,5
17,3
17,4
7,7
11,9
9,1
12,4
10,4
12,7
13 %
8 %
4 %
9 %
6 %
5 %
3 %
8 %
10 %
2 %
4 %
5 %
3 %
7 %
3 %
5 %
2 %
5 %
2 %
2 %
65,6
68,9
69
42,6
58,1
73,5
49,3
47,8
43,8
50
58,3
55,7
55,1
62,8
58,1
63,6
37,8
53,1
48,8
62,9
Ø
1
NR
Ø
0
Ø
1
Ø
0
Ø
0
Ø
0
Ø
0
Ø
1
Ø
1
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Ø
0
Ø
1
Ø
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0
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CLINIQUES
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CANCER ORL
18,66
18,60
18,40
18,07
17,69
17,47
16,89
16,70
16,56
16,54
16,28
16,26
16,25
16,17
16
15,94
15,75
15,68
15,64
15,33
HÔPITAUX
ACT
IVIT
É
NO
TOR
IÉT
DU É
RÉE
D
SPÉ E SÉJ
CIA OUR
LIS
TEC ATIO
HN N
IC
IND ITÉ
ICE
D
PET E GRA
-SC VIT
AN É
NO
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/ 20
CANCER DU REIN
1er
Institut Gustave-Roussy (CLCC), Villejuif (Val-de-Marne)
327 90 % 20,5 67 % 15 % 61,1 Ø
18,76
2e
286 46 % 12 11 % 1 % 57,5 Ø
18,55
3e
272 59 % 12,1 11 % 2 % 46,7 Ø
18,11
4e
Inst. de canc. de Lorraine (CLCC), Vandœuvre-lès-Nancy (M.-et-Moselle) 134 62 % 16,4 85 % 3 % 80,4 Ø
18,07
5e
Centre Léon-Bérard (CLCC), Lyon (Rhône)
159 52 % 17,2 90 % 18 % 54,8 Ø
18,05
6e
Inst. univ. de la face et du cou, Nice (Alpes-Maritimes)
171 19 % 18 67 % 13 % 77,7 Ø
18,01
7e
144 67 % 9,8 28 % 3 % 47,6 Ø
18
8e
245 40 % 9,8 13 % 1 % 37,4 Ø
17,98
9e
H. de la Timone* (adlutes), Marseille (B.-du-Rhône)
195 42 % 13 15 % 1 % 59,1 Ø
17,97
10e CHU/Inst. univ. du cancer, Toulouse (Haute-Garonne)
218 56 % 12,5 8 % 1 % 57,3 Ø
17,95
1
1
1
0
1
1
1
0
1
1
11e Hôpitaux universitaires, Strasbourg (Bas-Rhin)
195 27 % 11,7 10 % 0 % 62,6 Ø
17,88
12e CHU, Lille (Nord)
276 24 % 11,4 8 % 1 % 47,3 Ø
17,85
13e CH Lyon Sud**, Pierre-Bénite (Rhône)
236 59 % 13,4 15 % 2 % 46,8 Ø
17,82
14e Hôpitaux Nord (Croix-Rousse), Lyon (Rhône)
238 66 % 16,8 26 % 1 % 46,5 Ø
17,68
1
1
1
0
15e Institut Curie (CLCC), Paris
127 77 % 16,2 76 % 14 % 54,8 Ø
17,50
16e Hôpital de la Pitié-Salpêtrière, Paris
195 74 % 13,1 9 % 2 % 44,2 Ø
17,49
1
1
17e Centre Oscar-Lambret (CLCC), Lille (Nord)
111 32 % 12,9 77 % 15 % 50,9 Ø
17,35
18e Hôpital Tenon, Paris
134 69 % 14,2 22 % 2 % 45,8 Ø
17,24
1
1
19e CHU, Nîmes (Gard)
132 15 % 13,2 16 % 2 % 48,4 NR
20e CHU, Saint-Etienne (Loire)
134 24 % 13,3 11 % 1 % 55,7 Ø
17,09
125 77 % 15,6 21 % 4 % 49,2 Ø
17,08
22e Inst. Cl.-Regaud (CLCC)/IU cancer, Toulouse (Hte-Garonne) 94 77 % 18,6 81 % 16 % 58,4 Ø
17,07
17,17
1
1
1
143 61 % 12,7 11 % 1 % 39,7 Ø
17,01
129 34 % 16,7 11 % 4 % 53,5 Ø
16,88
25e Centre François-Baclesse (CLCC), Caen (Calvados)
81 52 % 16,9 79 % 9 % 77,8 Ø
16,70
26e GH Saint-Vincent, Strasbourg (Bas-Rhin)
182 31 % 16,6 9 % 0 % 47,2 Ø
16,67
154 38 % 12,6 8 % 1 % 43,6 Ø
16,63
0
1
1
0
1
28e CH intercommunal, Toulon-La Seyne (Var)
99 2 % 18,5 15 % 2 % 61,5 Ø
16,59
29e CHU, Grenoble (Isère)
129 38 % 14,2 9 % 1 % 47,1 Ø
16,46
1
1
30e CHU, Saint-Denis/Saint-Pierre (La Réunion)
91
17,7 15 % 1 % 69,6 Ø
16,37
31e CHU, Nancy (Meurthe-et-Moselle)
115 59 % 10,8 8 % 0 % 46 Ø
16,22
–
1
1
106 67 % 14,4 9 % 0 % 54,1 Ø
16,19
33e CH intercommunal, Créteil (Val-de-Marne)
106 43 % 14,1 9 % 0 % 49 Ø
16,04
84 40 % 12,8 8 % 1 % 54,6 Ø
15,77
90 66 % 15,3 8 % 0 % 51,1 Ø
15,71
36e Hôpital Lariboisière, Paris
87 69 % 13,5 7 % 1 % 50,9 Ø
15,65
15,59
0
0
1
1
0
37e CHU, Besançon (Doubs)
88 48 % 18,9 7 % 1 % 55,7 Ø
38e CHU, Caen (Calvados)
78 37 % 10,2 7 % 0 % 54,6 Ø
15,53
39e CH, Lens (Pas-de-Calais)
87 20 % 17,7 48 % 0 % 45,9 Ø
15,39
84 37 % 22,4 6 % 1 % 60,3 Ø
15,31
1
1
0
1
Cancer du rein. Classement des 215 hôpitaux réalisant des ablations
du rein pour cancer. Ci-dessus, les 30 meilleurs. Cœliochirurgie :
pourcentage des interventions réalisées sous cœlioscopie. Technicité :
pourcentage des opérations de chirurgie partielle du cancer du rein par rapport
à l’ensemble des interventions.
Cancers ORL. Classement des 270 hôpitaux et des 345 cliniques
prenant en charge les cancers ORL. Ci-dessus, les 40 meilleurs hôpitaux
et les 20 meilleures cliniques. Spécialisation : part des séjours pour des
cancers ORL par rapport à la totalité des séjours ORL. Technicité : pourcentage
des opérations reconstructrices par rapport à l’activité chirurgicale
pour cancer ORL. Pet-scan : plateau d’imagerie comprenant un Pet-scan
dans l’établissement (Ø), sinon (Ø). NR : non répondu. * Cette activité
devait être transférée en mai à l’hôpital de la Conception à Marseille.
** Depuis le 5 janvier, l’hospitalisation pour cancérologie ORL est transférée
à l’hôpital de la Croix-Rousse à Lyon.
HÔPITAUX
1er
2e
3e
4e
5e
6e
6e
8e
9e
10e
11e
12e
13e
14e
15e
16e
17e
18e
19e
20e
21e
22e
23e
24e
25e
Institut Curie (CLCC), Paris
Gustave-Roussy (CLCC), Villejuif (Val-de-Marne)
Inst. Cl.-Regaud (CLCC)/IUC, Toulouse (Hte-Garonne)
Ctre Georges-François-Leclerc (CLCC), Dijon (Côte-d’Or)
Institut Bergonié (CLCC), Bordeaux (Gironde)
Inst. du cancer de Montpellier, Montpellier (Hérault)
ICO centre Paul-Papin (CLCC), Angers (Maine-et-Loire)
ICO R.-Gauducheau (CLCC), St-Herblain (L.-Atlantique)
Ctre Eugène-Marquis (CLCC), Rennes (Ille-et-Vilaine)
Centre Oscar-Lambret (CLCC), Lille (Nord)
Institut Jean-Godinot (CLCC), Reims (Marne)
Inst. Paoli-Calmettes (CLCC), Marseille (B.-du-Rhône)
Ctre Antoine-Lacassagne (CLCC), Nice (Alpes-Maritimes)
Centre François-Baclesse (CLCC), Caen (Calvados)
Ctre Henri-Becquerel (CLCC), Rouen (Seine-Maritime)
Ctre J.-Perrin (CLCC), Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme)
CHR, Orléans (Loiret)
CHI, Belfort/Montbéliard (Territoire-de-Belfort/Doubs)
3 665
1 366
983
1 114
863
1 179
446
1 234
725
764
821
747
585
1 026
495
961
650
754
618
747
320
385
473
360
304
81 %
75 %
60 %
60 %
49 %
45 %
63 %
51 %
55 %
22 %
39 %
41 %
40 %
37 %
57 %
45 %
20 %
35 %
45 %
57 %
37 %
12 %
30 %
60 %
58 %
18 %
17 %
28 %
35 %
24 %
21 %
28 %
25 %
7 %
38 %
28 %
31 %
9 %
13 %
10 %
19 %
13 %
16 %
28 %
2 %
2 %
7 %
1 %
3 %
2 %
302
181
185
103
75
201
183
197
138
69
153
116
86
139
38
73
80
87
69
85
149
23
52
45
24
28,2
30,9
29,6
29
31,1
29
35,4
28,2
35,7
28,8
27,6
28,2
31,5
26,4
33,3
26,1
29,6
28
32,1
30,1
32,7
30,4
30,1
29,6
36,5
Ø Ø Ø
1
1
1
Ø Ø Ø
1
1
1
Ø Ø Ø
1
1
1
Ø Ø Ø
1
1
1
Ø Ø Ø
1
1
1
Ø Ø Ø
1
1
1
Ø Ø Ø
1
1
1
Ø Ø Ø
1
1
1
Ø Ø Ø
1
1
1
Ø Ø Ø
1
1
1
Ø Ø Ø
1
1
1
Ø Ø Ø
1
1
1
Ø Ø Ø
1
0
1
Ø Ø Ø
1
1
1
Ø Ø Ø
1
1
1
Ø Ø Ø
1
1
1
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1
1
1
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1
1
1
NR NR NR
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1
1
1
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1
1
1
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1
1
1
Ø Ø Ø
1
1
1
Ø Ø Ø
1
1
1
Ø Ø Ø
1
1
1
18,87
18,84
18,79
18,76
18,72
18,70
18,70
18,67
18,43
18,27
18,26
18,17
18,04
18,03
17,97
17,93
17,90
17,89
17,75
17,68
17,28
17,17
17,09
17,06
16,98
HÔPITAUX
ACT
IVIT
NO É
TOR
I
AM ÉTÉ
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/ 20
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MIO VIT E
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RA HÉRA
DIO PIE
THÉ
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-SC IE
AN
NO
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/ 20
CANCER DU SEIN
26e
27e
28e
29e
30e
31e
32e
33e
34e
35e
36e
37e
38e
39e
40e
41e
42e
43e
44e
45e
46e
47e
48e
49e
50e
621
347
330
336
345
230
193
269
225
253
251
219
269
198
342
241
177
259
189
391
186
251
143
181
210
ICL (CLCC), Vandœuvre-lès-Nancy (M.-et-Moselle)
CH, Valenciennes (Nord)
CHU, Amiens (Somme)
CHU, Lille (Nord)
CH, Vannes (Morbihan)
Centre Paul-Strauss (CLCC), Strasbourg (Bas-Rhin)
CH, Chambéry (Savoie)
CH, Mulhouse (Haut-Rhin)
CHU, Nîmes (Gard)
CH de Marne-la-Vallée, Jossigny (Seine-et-Marne)
CH, Saint-Nazaire (Loire-Atlantique)
CH, Dax (Landes)
51 %
47 %
36 %
2 %
34 %
29 %
16 %
0 %
25 %
24 %
2 %
67 %
26 %
10 %
11 %
2 %
2 %
54 %
54 %
20 %
6 %
20 %
6 %
2 %
3 %
0 %
8 %
14 %
12 %
6 %
24 %
28 %
14 %
3 %
9 %
18 %
8 %
2 %
8 %
2 %
7 %
3 %
23 %
2 %
6 %
6 %
21 %
39 %
37 %
38 %
69
22
25
39
11
33
4
24
46
60
8
18
17
10
0
0
21
17
22
0
17
50
11
6
20
31,3
28,5
27,9
28,6
30
29,2
33,9
32,8
31
31,2
34,9
29,7
28,9
32,5
28,8
29,6
33,6
30,4
29,4
28
36,6
28,8
30,2
30,9
26,4
Ø Ø Ø
1
1
0
Ø Ø Ø
1
1
1
Ø Ø Ø
1
1
1
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1
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1
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1
1
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0
1
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0
0
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1
1
1
Ø Ø Ø
1
1
0
NR NR NR
16,90
16,80
16,74
16,72
16,70
16,65
16,37
16,34
16,31
16,23
16,17
16,15
16,05
15,94
15,79
15,74
15,60
15,56
15,42
15,36
15,35
15,34
15,33
15,30
15,28
169
33 %
5,7
41
16,72
176
1 %
4,1
39,1
16,64
193
12 %
4,5
37,7
16,61
17,96
173
31 %
4,4
37,4
16,56
HÔPITAUX
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É
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/ 20
CANCER DE LA VESSIE
1er
2e
Hôpital de la Conception, Marseille (Bouches-du-Rhône)
361
233
53 %
20 %
5,5
6
42,1
44,6
18,40
18,21
3e
276
15 %
4,2
39,6
18,01
e
4
208
18 %
6
48,1
5e
232
50 %
6,7
42,4
17,87
25e Hôpitaux civils, Colmar (Haut-Rhin)
201
22 %
4,4
35,2
16,55
6e
226
27 %
5,7
42,2
17,76
137
27 %
4,5
42,3
16,42
16,21
7e
228
40 %
5,1
39,2
17,59
27e CHR, Metz-Thionville (Moselle)
154
26 %
8
43,8
8e
202
51 %
6,2
42,7
17,58
28e CH Lyon Sud, Pierre-Bénite (Rhône)
135
30 %
5,5
42,4
16,11
9e
291
60 %
3
33,2
17,56
146
42 %
6,1
42,2
16,09
182
69 %
6
44,8
17,51
30e GH Saint-Joseph, Paris
153
41 %
4
38,7
16,08
219
23 %
5,6
40,7
17,48
162
25 %
4
34,6
15,99
12e Hôpital européen Georges-Pompidou, Paris
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33e CH, Le Mans (Sarthe)
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10e Institut mutualiste Montsouris, Paris
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CHU, Lille (Nord)
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37e CH, Mulhouse (Haut-Rhin)
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46,9
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34,5
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39e CHU, Reims (Marne)
124
28 %
5,6
42,9
15,52
20e CHI, Belfort/Montbéliard (Territoire-de-Belfort/Doubs)
153
70 %
6,9 49,4
16,73
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4,8
38,8
15,40
Cancer du sein. Classement des 362 hôpitaux et des 363 cliniques pratiquant la chirurgie du cancer du sein. Ci-dessus et ci-contre, les 50 meilleurs
hôpitaux et les 30 meilleures cliniques. Chimiothérapie sur place (Ø), radiothérapie sur place (Ø), sinon (Ø). Pet-scan : plateau d’imagerie comprenant
un Pet-scan dans l’établissement (Ø), sinon (Ø). NR : non répondu.
Cancer de la vessie. Classement des 310 hôpitaux pratiquant la chirurgie du cancer de la vessie. Ci-dessus, les 40 meilleurs.
98 | 20 août 2015 | Le Point 2241
458
306
222
385
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217
205
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154
163
155
163
166
150
150
146
125
Centre Oscar-Lambret (CLCC), Lille (Nord)
CHU, Lille (Nord)
CHU/Inst. univ. du cancer, Toulouse (Haute-Garonne)
Institut Bergonié (CLCC), Bordeaux (Gironde)
Inst. Cl.-Regaud (CLCC)/IUC, Toulouse (Haute-Garonne)
CHU, Amiens (Somme)
Clinique mutualiste La Sagesse, Rennes (Ille-et-Vilaine)
Institut du cancer de Montpellier, Montpellier (Hérault)
ICL (CLCC), Vandœuvre-lès-Nancy (Meurthe-et-Moselle)
Centre François-Baclesse (CLCC), Caen (Calvados)
Clinique mutualiste Jules-Verne, Nantes (Loire-Atlantique)
54 %
50 %
82 %
82 %
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25e
26e
27e
28e
29e
30e
Hôpital-clinique Claude-Bernard, Metz (Moselle)
Clinique Clémentville, Montpellier (Hérault)
Clinique Saint-Jean-de-Dieu, Paris
Clinique Tivoli Ducos, Bordeaux (Gironde)
Hôp. privé Drôme-Ardèche, Guilherand-Granges (Ardèche)
Clinique Charcot, Sainte-Foy-lès-Lyon (Rhône)
Pôle Santé République, Clermont-Ferrand (P.-de-Dôme)
Clinique Hartmann, Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine)
Clinique de l’Orangerie, Strasbourg (Bas-Rhin)
Hôpital privé Beauregard, Marseille (Bouches-du-Rhône)
Polyclinique Majorelle, Nancy (Meurthe-et-Moselle)
Polyclinique Urbain-V, Avignon (Vaucluse)
Clinique Lafourcade, Bayonne (Pyrénées-Atlantiques)
Centre Clinical, Soyaux (Charente)
Hôpital privé Arras Les Bonnettes, Arras (Pas-de-Calais)
Clin. Saint-Antoine, Bois-Guillaume (Seine-Maritime)
CHP Saint-Brieuc (Littoral), Saint-Brieuc (Côtes-d’Armor)
Clinique Saint-Amé, Lambres-lez-Douai (Nord)
Clinique Victor-Pauchet, Amiens (Somme)
Clinique des Ormeaux, Le Havre (Seine-Maritime)
Hôp. privé Médipôle de Savoie, Challes-les-Eaux (Savoie)
Pôle Santé L.-de-Vinci, Chambray-lès-Tours (Indre-et-Loire)
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HÔPITAUX
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Centre J.-Perrin (CLCC), Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme)
CH intercommunal, Quimper (Finistère)
CH, La Rochelle (Charente-Maritime)
Hôpital Femme-Mère-Enfant, Bron (Rhône)
CH intercommunal, Créteil (Val-de-Marne)
CHU, Pointe-à-Pitre (Guadeloupe)
ICO R.-Gauducheau (CLCC), St-Herblain (L.-Atlantique)
Centre Georges-François-Leclerc (CLCC), Dijon (Côte-d’Or)
CH, Pontoise (Val-d’Oise)
34 %
38 %
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Clinique Hartmann, Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine)
Polyclinique Urbain-V, Avignon (Vaucluse)
Clinique Geoffroy-Saint-Hilaire, Paris
Clinique Ambroise-Paré, Toulouse (Haute-Garonne)
Polyclin. de l’Atlantique, Saint-Herblain (Loire-Atlantique)
Clinique de l’Alma, Paris
Polyclinique de Navarre, Pau (Pyrénées-Atlantiques)
Polyclinique Saint-André, Reims (Marne)
Polyclinique Majorelle, Nancy (Meurthe-et-Moselle)
Clinique Sarrus-Teinturiers, Toulouse (Haute-Garonne)
Clinique du Fief de Grimoire, Poitiers (Vienne)
Clinique du Tertre-Rouge, Le Mans (Sarthe)
Clinique Les Eaux claires, Baie-Mahault (Guadeloupe)
Polyclinique de Franche-Comté, Besançon (Doubs)
Clin. Saint-Jean-Languedoc, Toulouse (Haute-Garonne)
Hôp. privé Drôme-Ardèche, Guilherand-Granges (Ardèche)
Clinique de l’Espérance, Mougins (Alpes-Maritimes)
Polyclin. de Limoges-Emailleurs, Limoges (Haute-Vienne)
Clinique Saint-George, Nice (Alpes-Maritimes)
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15,84
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15,47
15,31
Cancers gynécologiques. Classement des 424 hôpitaux et des
381 cliniques pratiquant la chirurgie des cancers gynécologiques. Cidessus, les 50 meilleurs hôpitaux et les 30 meilleures cliniques. Pet-scan :
plateau d’imagerie comprenant un Pet-scan dans l’établissement (Ø), sinon (Ø).
Le Point 2241 | 20 août 2015 | 99
165 41 % 14,6 35 % 63,8 Ø Ø Ø
1
1
1
18,61
2e
125 58 % 9,5 70 % 47,2 Ø Ø Ø
18,43
3e
Hôpital Saint-Antoine, Paris
155 57 % 13,1 37 % 51,8 Ø Ø Ø
18,20
4e
e
5
6e
e
7
1
1
1
1
0
0
143 59 % 15,1 17 % 69,8 Ø Ø Ø
18,07
CHU, Lille (Nord)
118 25 % 14,8 27 % 66,7 Ø Ø Ø
18,05
1
1
1
1
1
1
100 47 % 10,9 59 % 56,8 Ø Ø Ø
17,95
107 50 % 13,3 54 % 53,7 Ø Ø Ø
17,90
1
1
1
1
0
1
8e
162 30 % 16,9 25 % 63,6 Ø Ø Ø
17,74
9e
154 58 % 14,5 26 % 52,9 Ø Ø Ø
17,72
10e Inst. Paoli-Calmettes (CLCC), Marseille (B.-du-Rhône)
e
11
e
12
1
1
1
1
1
1
96 62 % 11,3 53 % 40,1 Ø Ø Ø
17,66
114 39 % 14,8 31 % 58,6 Ø Ø Ø
17,57
Hôpital Beaujon, Clichy (Hauts-de-Seine)
89 71 % 12,8 58 % 53,1 Ø Ø Ø
17,39
1
1
1
1
1
1
1
0
1
92 30 % 14,9 34 % 61,4 Ø Ø Ø
1
1
0
14e Inst. du cancer de Montpellier (CLCC), Montpellier (Hérault) 108 51 % 12,5 10 % 54,6 Ø Ø Ø
1
e
15
0
1
Clin. mutualiste Jules-Verne, Nantes (Loire-Atlantique) 96 9 % 13 73 % 64,3 Ø Ø Ø
1
0
0
90 40 % 15,6 39 % 61,9 Ø Ø Ø
1
1
0
17,32
17,22
17,21
17,17
104 34 % 16,1 24 % 61,8 Ø Ø Ø
17,16
102 38 % 19,1 29 % 64,2 Ø Ø Ø
17,07
1
1
1
1
1
1
88 64 % 15,1 22 % 66,8 Ø Ø Ø
17,05
120 34 % 13,9 31 % 60,4 Ø Ø Ø
16,94
86 50 % 14 49 % 54,9 Ø Ø Ø
16,84
86 45 % 14,9 21 % 65,4 Ø Ø Ø
16,76
23e CHU, Poitiers (Vienne)
87 29 % 16,9 28 % 66,1 Ø Ø Ø
16,62
24e Hôp. A.-Paré, Boulogne-Billancourt (Hts-de-Seine)
80 54 % 12,2 30 % 60,6 Ø Ø Ø
16,55
86 34 % 15 34 % 58,7 Ø Ø Ø
16,52
Clin. mut. de l’Estuaire, Saint-Nazaire (L.-Atlantique)
88 0 % 7,2 23 % 44,6 Ø Ø Ø
16,52
74 23 % 17,9 64 % 72 Ø Ø Ø
16,49
e
20
21e Hôpital Bicêtre, Le Kremlin-Bicêtre (Val-de-Marne)
e
22
e
25
e
27
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0
92 9 % 14,9 45 % 60,6 NR NR NR
86 24 % 16,5 14 % 64 Ø Ø Ø
e
31
1
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16,28
1
16,03
85 7 % 16,3 20 % 65 Ø Ø Ø
16
91 5 % 16,8 8 % 60,2 Ø Ø Ø
15,93
1
1
1
1
1
0
32e Polyclinique, Hénin-Beaumont (Pas-de-Calais)
85 5 % 16,3 52 % 67,4 NR NR NR
15,76
74 30 % 15 41 % 47,3 Ø Ø Ø
15,73
e
35
36e CH, Saint-Brieuc (Côtes-d’Armor)
1
1
1
72 17 % 18 36 % 67,7 Ø Ø Ø
1
1
1
15,72
73 40 % 17,3 32 % 63 Ø Ø Ø
15,64
82 1 % 21,2 21 % 69,5 Ø Ø Ø
15,63
1
1
1
1
1
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87
– 13,3 17 % 59,5 Ø Ø Ø
15,55
73 21 % 18,7 19 % 74 Ø Ø Ø
15,52
39e CH, Vannes (Morbihan)
e
40
0
1
1
1
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76 4 % 13,9 61 % 60,5 Ø Ø Ø
15,41
85 40 % 18,4 15 % 59,4 Ø Ø Ø
15,34
0
100 | 20 août 2015 | Le Point 2241
1
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1er
CLINIQUES
1er
2e
3e
4e
5e
6e
7e
8e
8e
10e
11e
12e
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30e
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69
72
61
61
66
64
CH privé St-Grégoire, Saint-Grégoire (Ille-et-Vilaine)
Clinique du Diaconat-Roosevelt, Mulhouse (Haut-Rhin)
Polyclinique de Keraudren, Brest (Finistère)
Nouvelles Cliniques nantaises, Nantes (L.-Atlantique)
Clinique François-Chénieux, Limoges (Haute-Vienne)
Polyclin. St-Jean, Cagnes-sur-Mer (Alpes-Maritimes)
Clinique Claude-Bernard, Albi (Tarn)
Polyclinique de Quimper-Sud, Quimper (Finistère)
CHP St-Brieuc (Littoral), St-Brieuc (Côtes-d’Armor)
6 %
20 %
20 %
17 %
22 %
10 %
4 %
4 %
2 %
2 %
2 %
15 %
23 %
23 %
8 %
8 %
4 %
32 %
4 %
18 %
31 %
66 %
3 %
48 %
1 %
8 %
7 %
0 %
9 %
5 %
14,7
14
15,2
11,9
11,8
10,9
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13,7
13,5
13,2
13,2
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22,9
10,8
18,2
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10,5
12,5
17,8
10,5
11,9
14,2
11,9
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11,2
13,2
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49 %
60 %
68 %
27 %
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51 %
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18 %
20 %
71 %
32 %
34 %
28 %
27 %
68 %
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62 %
22 %
10 %
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48 %
36 %
69 %
31 %
18 %
36 %
61,9
62,4
49
62,1
61,3
53,2
59,7
65,3
57,7
69,6
71
48,3
56,5
61
66,9
54,8
65,2
48,9
62,9
52,2
64,6
59,5
55,4
53,2
57,2
56,2
48,8
61,5
61,4
60,2
Ø
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18,29
18,01
17,97
17,91
17,62
17,53
17,51
17,51
17,45
17,41
17,34
17,09
17,05
16,92
16,91
16,81
16,80
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16,64
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16,39
16,35
16,09
16,07
16,06
15,78
15,73
15,42
CANCER DU FOIE OU DU PANCRÉAS
HÔPITAUX
1er
2e
3e
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5e
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7e
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10e
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14e
15e
16e
17e
18e
19e
20e
21e
22e
23e
24e
25e
Hôpital Paul-Brousse, Villejuif (Val-de-Marne)
CHU, Lille (Nord)
Hôp. d’adultes La Timone, Marseille (B.-du-Rhône)
CHU, Reims (Marne)
Centre Léon Bérard (CLCC), Lyon (Rhône)
Inst. P.-Calmettes (CLCC), Marseille (B.-du-Rhône)
ACT
IVIT
NO É
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DU IÉTÉ
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/ 20
HÔPITAUX
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/ 20
CANCER DU CÔLON OU DE L’INTESTIN
239
164
221
216
182
214
176
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133
160
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96
132
77
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73
73
79
58
129
89
Inst. du cancer de Montpellier (CLCC), Montpellier (Hérault) 104
58
60
89 %
87 %
78 %
68 %
84 %
48 %
39 %
52 %
65 %
55 %
59 %
69 %
68 %
69 %
51 %
51 %
52 %
51 %
75 %
34 %
69 %
57 %
62 %
83 %
83 %
14,1
10,7
12,2
11,1
11,1
21
13,1
11,4
12,9
11,6
11,7
16,3
12,6
17,2
12,6
11,4
17,3
19,2
12,3
10
13,2
12,2
11,1
11,1
11,9
59,5
53,7
50,1
45
46,2
60,4
52
53,4
52,6
45,2
54,4
50,7
44,5
53
50,6
46,6
51,4
53,4
52,2
46,1
40,3
49,2
43,3
56
39,2
75
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55
58
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44
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98
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137
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89
49
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19
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18,08
17,76
17,67
17,63
17,50
16,98
16,97
16,78
16,34
16,22
16,14
16,06
15,86
15,78
15,63
15,59
15,57
15,54
15,49
15,30
15,26
1er
2e
3e
408
226
121
66 %
56 %
55 %
3
2,8
3,1
27,7
28,5
32
18,61
18,56
18,15
CLINIQUES
1er
ACT
IVIT
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DU
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DE
SÉJ
OU
IND
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/ 20
HÔPITAUX
ACT
IVIT
É
NO
TOR
IÉT
É
DU
RÉE
DE
SÉJ
OU
IND
R
ICE
DE
GR
AV
ITÉ
NO
TE
/ 20
CANCER DE LA THYROÏDE
Polyclinique Bordeaux-Nord-Aquitaine, Bordeaux (Gironde)
132
5 %
2,8
25,6
18,53
e
57
2 %
1,9
28,1
18,47
e
2
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48
17 %
1,9
26,6
17,74
4e
88
2 %
3,4
30,4
17,71
5e
Clinique d’Argonay, Argonay (Haute-Savoie)
41
12 %
1,9
26,8
17,65
e
53
9 %
3,1
27,8
17,39
e
36
8 %
2,1
29,2
17,30
e
39
3 %
3
31,4
17,14
e
4e
CHU, Lille (Nord)
157
25 %
2,8
29
18,05
5e
206
51 %
2,8
27,4
17,97
6e
109
33 %
2,4
28
17,52
7e
Hôpital d’adultes La Timone*, Marseille (Bouches-du-Rhône)
203
32 %
3,9
28,3
17,20
8e
Institut universitaire de la face et du cou, Nice (Alpes-Maritimes)
128
17 %
2,9
27
17,06
9
36
25 %
2,3
26,4
16,62
37
3 %
3,6
28,4
16,33
34
50 %
2,8
26,5
16,24
9
100
79 %
4,1
31,5
16,91
103
34 %
3
27,4
16,85
11e Polyclinique Urbain V, Avignon (Vaucluse)
96
19 %
2,3
27,6
16,58
80
44 %
2,9
29,7
16,49
87
47 %
3,8
31,3
16,45
80
26 %
3,8
31,6
16,18
15e Hôpital Européen, Marseille (Bouches-du-Rhône)
97
34 %
3,9
28,6
16,12
81
32 %
3,6
27,8
15,62
17e CHU, Bordeaux (Gironde)
72
33 %
4,8
33
15,60
18e Centre Paul-Strauss (CLCC), Strasbourg (Bas-Rhin)
99
22 %
4
27,3
15,56
56
52 %
4
42
15,55
61
11 %
2,5
27
15,35
16
e
19
Centre Jean-Perrin (CLCC), Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme)
8
10e Clinique des Cèdres, Echirolles (Isère)
e
7
Clinique Turin, Paris
34
44 %
2,1
25
16,19
e
32
19 %
2
25,8
15,94
e
Polyclinique de Picardie, Amiens (Somme)
30
10 %
2
25,8
15,81
e
Hôpital privé des Peupliers, Paris
29
52 %
3,5
27,6
15,37
12
13
14
15
CANCER DE L’ESTOMAC OU DE L’ŒSOPHAGE
HÔPITAUX
1er
e
2
e
3
e
Cancer de la thyroïde. Classement des 343 hôpitaux et des
384 cliniques réalisant des interventions pour le cancer de la thyroïde.
Ci-dessus, les 20 meilleurs hôpitaux et les 15 meilleures cliniques.
* Cette activité devait être transférée en mai 2015 à l’hôpital de la Conception
à Marseille.
Cancer de l’estomac ou de l’œsophage. Classement des
409 hôpitaux réalisant des interventions sur l’œsophage et l’estomac.
Ci-contre, les 20 meilleurs. Réanimation : existence d’une réanimation
disposant de réanimateurs présents sur place 24 heures sur 24 et 365 jours
par an (Ø), sinon (Ø).
4
Cancer du côlon ou de l’intestin. Classement des 419 hôpitaux
et des 406 cliniques réalisant des interventions sur le côlon et l’intestin.
Ci-contre, les 40 meilleurs hôpitaux et les 30 meilleures cliniques.
Réanimation : existence d’une réanimation disposant de réanimateurs présents
sur place 24 heures sur 24 et 365 jours par an (Ø), sinon (Ø). Evaluation de la
mortalité : tenue périodique dans l’établissement de réunions d’analyse de la
mortalité et de la morbidité et calcul du taux de mortalité à 30 jours sur 2 ans
de cette chirurgie (Ø), sinon (Ø). Cœliochirurgie : pourcentage d’interventions
réalisées sous cœlioscopie. Pet-scan : plateau d’imagerie comprenant
un Pet-scan dans l’établissement (Ø), sinon (Ø). NR : non répondu.
Cancer du foie ou du pancréas. Classement des 311 hôpitaux
réalisant des interventions pour le cancer du foie ou du pancréas.
Ci-contre, les 25 meilleurs. Radiofréquence et injections intra-artérielles :
nombre annuel d’actes thérapeutiques non chirurgicaux de radiologie
interventionnelle. Réanimation : service de réanimation disposant de
réanimateurs présents sur place 24 heures sur 24 et 365 jours par an (Ø),
sinon (Ø). Nombre de greffes hépatiques en 2013, si le centre n’est pas autorisé
à pratiquer ces transplantations (Ø). Pet-scan : plateau d’imagerie comprenant
un Pet-scan dans l’établissement (Ø), sinon (Ø).
e
e
ACT
IVIT
É
NO
TOR
IÉT
É
DU
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SÉJ
OU
IND
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/ 20
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6
CHU, Lille (Nord)
127
49 %
18
71,3
Ø
18,55
54
59 %
25
80,1
Ø
18,44
50
90 %
18,5
79,5
Ø
18,10
44
61 %
34,1
84,7
Ø
17,85
1
1
1
1
5
62
37 %
21,9
72,6
Ø
17,73
6e
Inst. du cancer de Montpellier (CLCC), Montpellier (Hérault)
54
56 %
18,8
74,5
Ø
17,60
7e
80
55 %
20,1
70,9
Ø
17,42
97
58 %
19,3
68,3
Ø
17,31
49
24 %
33
75,5
Ø
17,05
10
57
54 %
23
71
Ø
16,97
e
e
8
e
9
e
1
0
1
1
1
1
43
30 %
25,8
78,5
Ø
16,95
39
51 %
31,3
77,59
Ø
16,78
12e Hôpital Saint-Antoine, Paris
75
73 %
18,2
66,3
Ø
16,78
31
48 %
27,1
81,4
Ø
16,56
58
79 %
25,3
64,7
Ø
16,29
55
78 %
24,6
65
Ø
16,10
11
e
14
e
15
e
16
e
1
1
1
1
1
1
33
30 %
20,5
73,5
Ø
16,03
50
46 %
25
68
Ø
15,84
33
48 %
23,6
72
Ø
15,69
47
47 %
22,2
67
Ø
15,36
17
e
20
1
1
1
1
Le Point 2241 | 20 août 2015 | 101
CHU, Lille (Nord)
CHU/Inst. univers. du cancer, Toulouse (Haute-Garonne)
Institut Paoli-Calmettes (CLCC), Marseille (B.-du-Rhône)
Centre Henri-Becquerel (CLCC), Rouen (Seine-Maritime)
Hôpital Avicenne, Bobigny (Seine-Saint-Denis)
CH Sud-francilien, Evry (Essonne)
1 494
1 064
584
683
502
759
640
581
810
558
397
443
299
416
391
389
407
270
309
304
364
298
332
143
154
284
226
326
39 %
70 %
32 %
32 %
42 %
43 %
46 %
27 %
45 %
23 %
42 %
64 %
87 %
62 %
43 %
44 %
49 %
72 %
42 %
47 %
55 %
34 %
25 %
77 %
89 %
30 %
26 %
21 %
11,9
11,2
14,4
13,7
14,8
18,4
15,9
12,9
13,6
14,7
14,1
20,2
15
9,4
13,9
12,4
15,2
11,1
18,8
18,4
19,4
19,7
21,1
12,4
12,2
16,2
15,4
16,1
53 %
17 %
38 %
34 %
39 %
48 %
59 %
34 %
10 %
41 %
26 %
34 %
17 %
50 %
18 %
29 %
22 %
6 %
42 %
1 %
9 %
22 %
23 %
32 %
23 %
46 %
15 %
51 %
249
224
218
153
221
213
110
135
180
93
210
153
235
67
102
78
69
119
83
345
140
184
99
116
89
29
93
13
19,66
19,21
18,94
18,90
18,89
18,82
18,73
18,70
18,68
18,47
18,46
18,44
18,31
18,23
18,09
18,02
17,78
17,61
17,59
17,56
17,55
17,54
17,41
17,34
17,16
17,04
17
16,95
HÔPITAUX
1er
2e
3e
4e
5e
6e
7e
8e
9e
10e
11e
12e
13e
14e
15e
15e
17e
18e
19e
20e
21e
22e
23e
24e
25e
ACT
IVIT
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MO
TE
/ 20
RTA
LITÉ
CANCER DU POUMON
345
591
Ctre chir. M.-Lannelongue, Le Plessis-Robinson (Hts-de-Seine) 359
302
293
263
Centre Jean-Perrin (CLCC), Clermont-Fd (Puy-de-D.) 257
CHU/Inst. univ. du cancer, Toulouse (Haute-Garonne) 203
Hôpital Louis-Pradel, Bron (Rhône)
261
277
269
252
CHU, Amiens (Somme)
153
189
193
208
145
162
CHU, Lille (Nord)
241
186
159
106
150
113
204
102 | 20 août 2015 | Le Point 2241
72 %
80 %
89 %
45 %
69 %
47 %
49 %
66 %
54 %
47 %
49 %
57 %
44 %
59 %
21 %
67 %
33 %
60 %
34 %
37 %
52 %
46 %
59 %
50 %
35 %
9,80
12
13,6
10,6
13,6
9,4
9,4
10,2
9,5
11,3
12,9
13,8
11,2
13,4
12,1
12,2
10,5
10,9
17,1
11
9,4
11
8,9
14,2
11,1
44,7
52,7
63,1
51
56,6
43,7
45,2
55,4
45,9
42
49
63,2
53,6
52,2
55,4
50,6
50,2
44,3
54,4
52,7
37,7
50,7
42,3
59,5
53,3
47 %
14 %
13 %
40 %
21 %
70 %
39 %
16 %
10 %
41 %
14 %
0 %
64 %
50 %
6 %
5 %
85 %
31 %
5 %
0 %
6 %
76 %
3 %
16 %
48 %
Ø
Ø
Ø
Ø
Ø
Ø
Ø
Ø
Ø
Ø
Ø
Ø
Ø
Ø
Ø
Ø
Ø
Ø
Ø
Ø
Ø
Ø
Ø
Ø
Ø
0
0
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
0
1
1
0
1
1
1
0
1
0
1
Ø
Ø
Ø
Ø
Ø
Ø
Ø
Ø
Ø
Ø
Ø
Ø
Ø
Ø
Ø
Ø
Ø
Ø
Ø
Ø
Ø
Ø
Ø
Ø
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
NR
18,15
18,09
18,06
18,02
17,77
17,64
17,34
17,31
17,14
17,12
16,78
16,56
16,52
16,46
16,24
16,24
16,23
16,11
16,10
15,88
15,74
15,69
15,63
15,50
15,47
HÔPITAUX
29e
30e
31e
32e
33e
34e
35e
36e
37e
38e
39e
39e
41e
42e
43e
44e
45e
46e
47e
48e
49e
50e
283
246
270
205
297
246
135
244
170
156
183
169
259
122
214
143
117
114
60
132
59
75
CH, Bayonne (Pyrénées-Atlantiques)
CHU, Reims (Marne)
CHU, Amiens (Somme)
CH, Argenteuil (Val-d’Oise)
Hôp. d’inst. des armées Percy, Clamart (Hauts-de-Seine)
CH, Roubaix (Nord)
CH, Versailles (Yvelines)
Hôp. de la Conception, Marseille (Bouches-du-Rhône)
Centre Antoine-Lacassagne CLCC), Nice (Alpes-Mmes)
Hôpital Robert-Debré, Paris
Inst. de canc. de la Loire, Saint-Priest-en-Jarez (Loire)
Inst. d’hémato. et d’onco. pédiatrique, Lyon (Rhône)
Hôpital de la Timone (enfants), Marseille (B.-du-Rhône)
23 %
51 %
–
29 %
35 %
39 %
56 %
16 %
36 %
70 %
21 %
1 %
19 %
21 %
13 %
20 %
32 %
93 %
13 %
0 %
53 %
56 %
13
17,1
17
12,4
17
18
15,7
17,7
15,9
15,9
17,3
12,3
19,8
13,3
17,3
10,3
15,1
32,8
18,7
13,7
16,3
24,7
29 %
28 %
39 %
7 %
10 %
13 %
16 %
31 %
33 %
4 %
8 %
25 %
12 %
34 %
8 %
5 %
2 %
11 %
8 %
3 %
7 %
3 %
17
63
18
82
56
78
93
60
30
70
66
13
28
14
30
14
64
58
83
16
29
33
16,85
16,84
16,79
16,78
16,74
16,72
16,62
16,60
16,51
16,29
16,15
16,15
16,10
16,00
15,98
15,94
15,79
15,60
15,53
15,46
15,22
15,08
Leucémie. Classement des 655 hôpitaux prenant en charge les patients
atteints de leucémie. Ci-dessus, les 50 meilleurs. Centres de greffe de moelle
osseuse et nombre de greffes réalisées en 2013.
CHIRURGIE DES CANCERS OSSEUX
HÔPITAUX
ACT
IVIT
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DU
RÉE
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1er
2e
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4e
5e
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7e
8e
9e
10e
11e
12e
13e
14e
15e
16e
17e
18e
19e
20e
21e
22e
23e
24e
25e
26e
27e
28e
ACT
IVIT
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HÔPITAUX
ACT
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DU
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DE
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OU
AM
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BU
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OIR
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NB
RE
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/ 20 USE
LEUCÉMIE
1er
2e
3e
4e
5e
6e
7e
8e
9e
10e
11e
12e
13e
14e
15e
16e
17e
18e
19e
20e
100
87
63
56
56
36
47
43
44
29
26
47
36
21
23
26
36
21
19
20
CHU, Lille (Nord)
Hôpital de la Timone (adultes), Marseille (Bouches-du-Rhône)
Hôpital de la Timone (enfants), Marseille (Bouches-du-Rhône)
CHU, Nîmes (Gard)
86 %
32 %
56 %
61 %
54 %
97 %
64 %
95 %
55 %
62 %
50 %
62 %
58 %
62 %
39 %
50 %
75 %
38 %
74 %
50 %
12,3
6,9
10,2
11,8
10,8
7,9
12,3
9,8
17,2
7,2
8,1
19,8
10,9
8,7
11,6
8,7
14,2
9,8
14
13,9
43
34,1
46,7
53,2
48,6
44,4
44,2
44
55,4
44,6
49
39,9
42,1
52,4
58,7
43,3
43
43,8
59,2
51,5
18,32
18,30
18,19
18,15
17,87
17,53
17,40
17,30
17,25
17,06
16,89
16,65
16,57
16,50
16,36
16,35
16,28
15,75
15,61
15,42
Cancers osseux. Classement des 138 hôpitaux pratiquant la chirurgie
des tumeurs osseuses malignes primitives. Ci-dessus, les 20 meilleurs.
Cancer du poumon. Classement des 99 hôpitaux pratiquant la
chirurgie du cancer du poumon. Ci-contre, les 25 meilleurs. Evaluation de
la mortalité : tenue périodique dans l’établissement de réunions d’analyse de la
mortalité et de la morbidité et calcul du taux de mortalité à 30 jours sur 2 ans
de cette chirurgie (Ø). Pet-scan : plateau d’imagerie comprenant un Pet-scan
dans l’établissement (Ø), sinon (Ø). NR : non répondu.
Cancer, l’envers du décor
Innovation. Des
traitements prometteurs mais avec
effets secondaires.
D
eux thérapies innovantes aux
bénéfices puissants, les médicaments ciblés et l’immunothérapie, ont fait naître un espoir
considérable en cancérologie (Le
Point du 19 mars 2015). Les premiers
bloquent spécifiquement une
protéine impliquée dans le développement d’un cancer particulier ; quant à l’immunothérapie,
elle vise à éliminer les cancers par
nos propres cellules.
Ces thérapies ciblées ne sont
plus administrées en perfusion lors
de séances de chimiothérapie à
l’hôpital ou en clinique, pendant
lesquelles les malades étaient surveillés par un personnel spécialisé.
Elles se prennent par voie orale et
au domicile. Permettant aux patients de voyager, de rendre visite
à leur famille… Plusieurs molécules
peuvent être prescrites de façon
conjointe, jusqu’à 12 à 14 comprimés par jour. Mais pour Vincent
Gazin, de l’Agence nationale de sûreté du médicament (ANSM), « si
les thérapies ciblées ont de gros
avantages, ce ne sont pas des bonbons.
L’immunothérapie, c’est assez révolutionnaire. Pour les deux, le bénéfice apparaît au prix d’effets indésirables ».
Bruno Toussaint, directeur éditorial de Prescrire, complète : « Le problème majeur des thérapies ciblées
tient au fait que la cible se trouve partout dans le corps, bien au-delà du cancer motivant le traitement. Donc, les
dégâts collatéraux sont multiples et
nombreux… La souffrance des patients
est grande, la charge de travail pour
les soignants à l’extérieur de l’hôpital
est importante. » Les complications
des chimiothérapies classiques
peuvent survenir, mais sont souvent remplacées par des toxicités
vasculaires, dermatologiques, endocriniennes, de la coagulation,
gastro-intestinales, immunologiques, oculaires, pulmonaires,
musculaires, neurologiques. « Des
toxicités d’intensité modérée avec des
Mutation. Au centre
de cancérologie
de Nantes-Angers.
Des tâches auparavant
réservées aux
médecins sont
aujourd’hui déléguées
à des infirmières
spécialisées.
chimiothérapies pratiquées toutes les
deux ou trois semaines deviennent intolérables quand elles sont quotidiennes, confirme le Pr Jean-Charles
Soria, de Gustave-Roussy, à Villejuif. Quelques boutons sur le visage
peuvent avoir un impact sur la vie sociale. Une diarrhée quotidienne, tolérée au début car la tumeur et ses
symptômes régressent, peut par la
suite devenir inacceptable. » L’opportunité de certains traitements peut
même se poser, plusieurs nouveautés apportant un avantage discutable. Le dernier exemple est celui
d’une molécule ayant reçu l’autorisation de mise sur le marché pour
traiter certains cancers de la thyroïde non opérables, le cabozantinib, commercialisé sous
l’appellation Cometriq. Il n’apporte
qu’une amélioration « mineure »
du service médical rendu, a certes
une efficacité indéniable sur la tumeur, mais n’augmente pas la durée médiane de survie, les décès
dus à une autre raison que l’aggravation de la maladie étant plus
nombreux sous ce traitement que
sous placebo. Avec ce médicament,
on meurt guéri.
Armée dormante.D
e leur côté,
les immunothérapies peuvent déclencher des colites, des perforations gastro-intestinales, hépatites,
t hyroïdites, pneumopathies,
endocardites, dépressions, rougeurs, prurits, insuffisances surrénaliennes... Le Pr Soria ose une
comparaison : « Quand on réveille
une armée dormante de cellules immunitaires, c’est comme une puissante
troupe de soldats : ils font la guerre
mais commettent aussi des viols, des
pillages… L’immunothérapie déclenche
des maladies de suractivité du système
immunitaire. Certaines peuvent tuer
le malade. Heureusement, les molécules de deuxième génération sont
moins toxiques que les premières. Mais,
comme elles sont employées chez un
nombre supérieur de patients, …
Le Point 2241 | 20 août 2015 | 103
les effets indésirables se multiplient. » Les médecins non expérimentés, car ne participant pas aux
essais cliniques limités à quelques
centres, peuvent être désarçonnés
par certains symptômes qu’ils n’attribuent pas à l’immunothérapie
anticancéreuse et mal les combattre. Les informer et les former
exige un énorme travail. NetCancer.net, une initiative privée, vient
d’être lancée dans ce but. Il s’affiche comme « le site des traitements
du cancer » : 200 fiches de médicaments, 80 fiches sur les effets indésirables, 50 protocoles de soins. Les
équipes de cancérologie doivent
également faire appel à des
confrères très spécialisés, en pneumologie, en cardiologie, en gastro-entérologie, en endocrinologie
pour comprendre et traiter certaines complications.
Gazin. Pour les thérapies ciblées, afin
d’améliorer la sécurisation de leur prescription, de plus en plus courante, l’Institut national du cancer élabore, en lien
avec l’ANSM, des fiches qui décrivent
le plus précisément possible les effets
indésirables et qui déterminent les
règles de bonnes pratiques, classe thérapeutique par classe thérapeutique,
pour les prendre en charge. Enfin, nous
recommandons aux centres anticancéreux de s’appuyer sur les centres régionaux de pharmacovigilance pour
mieux détecter les signaux. Cette remontée d’information s’améliore d’année en année. » L’Institut Curie à
Paris, le centre Eugène-Marquis à
Rennes, le centre François-Baclesse
à Caen ou encore l’Institut du cancer à Montpellier misent sur l’éducation thérapeutique.
Dès 2010, l’hôpital SaintAntoine, à Paris, a créé dans son
service d’oncologie une unité
destinée aux patients à qui sont
prescrits des anticancéreux oraux.
Six infirmières formées s’entretiennent avec les patients en début
de traitement, assurent une permanence téléphonique et par courriel.
Les patients peuvent appeler à tout
moment. Généraliste, pharmacien
et infirmière de ville peuvent eux
aussi joindre cette unité. Gustave-Roussy, établissement riche,
s’est également doté de personnel
ad hoc. « Il faut déléguer des tâches
…
Signaux. Les centres de lutte
contre le cancer, les hôpitaux,
l’ANSM essaient de s’organiser pour
prendre en charge ces effets secondaires. « Les AMM délivrées aux premières immunothérapies sont
accompagnées systématiquement d’un
plan de minimisation des risques. Pour
le patient, ça se traduit par la remise
avec la boîte de médicaments d’une
carte d’information qui reprend les
signes annonciateurs des effets secondaires les plus graves, détaille Vincent
dévolues aux médecins à des personnes
spécialisées », soutient le Pr Soria.
Virginie Kahn-Charpy est l’une de
ces infirmières spécialisées : « Je
vois les patients dans le cadre d’essais
cliniques, c’est un nouveau métier. Nous
sommes huit, spécialisées par pathologie, je suis chargée de la pathologie
thoracique. Au début de la prise en
charge, je les vois lors d’une première
consultation pour leur expliquer le
protocole, les effets secondaires et leur
donner mon téléphone et mon mail.
Puis je les appelle une fois par semaine,
les suis en consultation, répertorie les
effets secondaires, les gradue, informe
les médecins pour trouver des solutions,
comme diminuer les doses, sauter une
injection, arrêter le traitement… »
Le centre anticancéreux de Marseille a imaginé un ambitieux projet d’autodéclaration, par les
patients, des effets secondaires des
traitements. Des effets inattendus
et non recensés par les médecins
de certains médicaments pourraient ainsi être révélés, comme
cela s’est passé avec le sida. Le médecin demande au malade de s’appuyer sur l’infirmière de
coordination s’il ressent un effet
indésirable qu’il attribue à son traitement pour en faire la déclaration
sur le site affecté aux patients de
l’ANSM. Ce projet pourrait être repris par tous les centres de lutte
contre le cancer de France §
1er
2e
3e
4e
5e
6e
7e
8e
9e
10e
11e
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15e
CHU, Lille (Nord)
CHU, Reims (Marne)
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27 %
60 %
3,1
5
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5,4
4,7
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6,9
2,8
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4,4
28,9
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35,3
30,9
29,8
32,5
30,5
32,5
32,8
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29,9
43
28,9
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17
HÔPITAUX
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HÔPITAUX
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20
CANCER DE LA PEAU
16e
17e
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CHU, Amiens (Somme)
Hôpital Ambroise-Paré, Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine)
77 %
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Cancers de la peau. Classement des 468 hôpitaux prenant en charge les mélanomes et autres tumeurs malignes de la peau.
Ci-dessus, les 30 meilleurs. Chimiothérapie sur place obligatoire (Ø), radiothérapie sur place (Ø), sinon (Ø). Pet-scan : plateau d’imagerie comprenant
un Pet-scan dans l’établissement (Ø), sinon (Ø).
104 | 20 août 2015 | Le Point 2241
1
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CLINIQUES
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2e
3e
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15e
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17e
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19e
20e
21e
22e
23e
24e
25e
26e
27e
28e
29e
30e
Clin. urologique Nantes-Atlantis St-Herblain (Loire-Atl.)
Clin. Saint-Jean-Languedoc, Toulouse (Haute-Garonne)
Polyclin. de Limoges-Emailleurs, Limoges (Haute-Vienne)
Clinique de l’Alliance, Saint-Cyr-sur-Loire (Indre-et-Loire)
Clinique du Ter, Ploemeur (Morbihan)
Clinique Saint-Vincent-de-Paul, Bourgoin-Jallieu (Isère)
Clin. Saint-Michel-et-Sainte-Anne, Quimper (Finistère)
Clinique chirurgicale Bel-Air, Bordeaux (Gironde)
Clinique de Champagne, Troyes (Aube)
Institut hospitalier Jacques-Cartier, Massy (Essonne)
Polyclinique du Parc, Cholet (Maine-et-Loire)
Clinique de l’Yvette, Longjumeau (Essonne)
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Incontinence urinaire. Classement des 398 hôpitaux et des 415 cliniques
prenant en charge l’incontinence urinaire. Ci-dessus et ci-dessous, les
30 meilleurs hôpitaux et les 30 meilleures cliniques. Bilan urodynamique :
existence d’une unité d’exploration urodynamique opérationnelle (Ø),
sinon (Ø). Spécialisation : pourcentage de pose de « bandelettes » par rapport
à la totalité des interventions pour incontinence urinaire d’effort.
Neuromodulation : nombre annuel de traitements de troubles de la miction
urinaire chez l’homme ou la femme par stimulation électrique nerveuse.
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15,26
15,25
CLINIQUES
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38,2
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41,6
35,6
38,1
43,4
34,2
43,6
43,3
37,5
49,3
41
37,9
35,8
32,8
45,6
37,1
41,4
39,9
40,6
41
43,4
44,9
44,2
38,5
44,8
38,5
41,2
40,3
47,2
42,1
37,8
32,9
37,1
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33,1
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NR NR
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1
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1
Clinique d’Occitanie, Muret (Haute-Garonne)
Clin. St-Jean-Languedoc, Toulouse (Haute-Garonne)
Polyclin. Saint-Roch, Cabestany (Pyrénées-Orientales)
Polyclin. du Parc-Rambot, Aix-en-Pce (B.-du-Rhône)
Clinique Sainte-Clotilde, Sainte-Clotilde (La Réunion)
Clin. Esquirol-Saint-Hilaire, Agen (Lot-et-Garonne)
Hôp. privé de Bois-Bernard (Pas-de-Calais)
Clinique Rhône-Durance, Avignon (Vaucluse)
Hôp. privé Résidence du Parc, Marseille (B.-du-Rhône)
Polyclinique Vauban, Valenciennes (Nord)
Clin. Axium, Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône)
Polyclinique des Bleuets, Reims (Marne)
Clinique Saint-Augustin, Nantes (Loire-Atlantique)
Clinique du Cap d’Or, La-Seyne-sur-Mer (Var)
Polyclinique Saint-Côme, Compiègne (Oise)
Hôp. privé de l’Est parisien, Aulnay-ss-B. (Seine-St-D.)
Clinique Claude-Bernard, Ermont (Val-d’Oise)
Pôle Santé République, Clermont-Fd (Puy-de-Dôme)
Polyclinique de Furiani, Furiani (Haute-Corse)
746
871
1 594
625
1 096
1 222
719
990
880
769
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586
673
644
764
502
534
693
621
458
633
623
522
759
385
401
382
381
377
671
21 %
26 %
18 %
33 %
7 %
8 %
23 %
–
9 %
14 %
26 %
4 %
26 %
31 %
25 %
37 %
7 %
8 %
1 %
48 %
26 %
9 %
3 %
11 %
19 %
3 %
12 %
9 %
7 %
50 %
99
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58
150
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134
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58
30
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72
91
55
48
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0
53
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207
217
419
270
238
702
87
177
255
440
194
291
222
250
328
205
209
40
291
177
219
231
120
423
123
185
174
109
98
437
14 %
19 %
8 %
9 %
10 %
5 %
30 %
5 %
8 %
5 %
13 %
8 %
6 %
8 %
3 %
10 %
10 %
9 %
12 %
6 %
0 %
1 %
6 %
2 %
3 %
1 %
4 %
10 %
0 %
6 %
35,9
32,6
31
33,6
31,9
30,1
38,1
30,3
28,1
30,2
36,9
31,7
30,8
31,3
32,3
30,3
33
35,5
33,4
29,3
27,3
29
31,3
31,3
33,3
32,6
28,9
30
30,2
33,1
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20
18,29
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17,40
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16,89
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Hôp. de la Conception, Marseille (Bouches-du-Rhône)
CH intercommunal Belfort/Montbéliard (T.-de-Belfort)
CHU, Lille (Nord)
CHU, Amiens (Somme)
CH Annecy-Genevois, Pringy (Haute-Savoie)
Clin. mut. de l’Estuaire, Saint-Nazaire (Loire-Atl.)
CHU, Nîmes (Gard)
Hôpital européen, Marseille (Bouches-du-Rhône)
CH, Dunkerque (Nord)
1
1
1
1
1
1
1
1
1
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1
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0
1
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1
20
30
CHU, Lille (Nord)
Clin. mutualiste Jules-Verne, Nantes (Loire-Atlantique)
Clin. mut. de la Porte de l’Orient, Lorient (Morbihan)
CH, Libourne (Gironde)
CH, Issoire (Puy-de-Dôme)
Clinique Adassa, Strasbourg (Bas-Rhin)
CH intercommunal, Belfort/Montbéliard (T.-de-Belfort)
1er
2e
3e
4e
5e
6e
7e
8e
9e
10e
11e
11e
13e
14e
15e
16e
17e
18e
19e
20e
21e
22e
23e
24e
25e
26e
27e
28e
29e
30e
31e
32e
32e
34e
35e
36e
37e
38e
39e
40e
NO
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1er
2e
3e
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5e
6e
7e
8e
9e
10e
11e
12e
13e
14e
15e
16e
17e
18e
19e
20e
21e
22e
23e
24e
25e
26e
27e
28e
29e
e
HÔPITAUX
ACT
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DES
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HÔPITAUX
CALCULS URINAIRES
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INCONTINENCE URINAIRE
18,53
18,49
18,46
18,40
18,11
18,10
17,88
17,78
17,69
17,68
17,56
17,51
17,49
17,38
17,20
17,20
17,16
16,85
16,79
16,55
16,53
16,42
16,31
16,25
16
15,93
15,92
15,74
15,53
15,37
Calculs urinaires. Classement des 391 hôpitaux et des 386 cliniques
traitant les calculs urinaires. Ci-dessus, les 40 meilleurs hôpitaux
et les 30 meilleures cliniques. Technicité : pourcentage des néphrostomies
par rapport au nombre total de néphrostomies et de sondes posées.
Lithotriteur : appareil de destruction des calculs urinaires en permanence
sur place (Ø), sinon (Ø). Laser : existence d’un laser destiné spécifiquement
au traitement des calculs urinaires. NR : non répondu.
Le Point 2241 | 20 août 2015 | 105
ACT
IVIT
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HÔPITAUX
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/ 20
ADÉNOME DE LA PROSTATE
345
18,50
167
34 %
3,4
36,5
16,82
29,5
18,41
177
49 %
4,9
41,8
16,79
2,3
31
18,40
231
3 %
4,8
36,1
16,76
60 %
4,5
36,6
18,31
159
3 %
4,4
46,2
16,74
350
42 %
5,6
47,2
18,13
179
12 %
5,5
46,8
16,65
452
77 %
5,4
41,3
18
31e CH, Arras (Pas-de-Calais)
163
9 %
2,7
33,2
16,64
257
15 %
2,6
30,8
17,88
160
41 %
3,2
30,8
16,54
8
315
14 %
4,9
39,5
17,72
33e Clinique Beau-Soleil, Montpellier (Hérault)
164
9 %
3,6
35
16,52
9e
222
26 %
4,1
41,6
17,71
154
23 %
4,1
43,8
16,48
205
4 %
3,9
44,2
17,70
35e CH, Saintes (Charente-Maritime)
218
9 %
6,6
52,8
16,47
HÔPITAUX
1er
26 %
4
38,9
2
328
61 %
3,1
3e
306
58 %
4e
501
5e
6e
7e
e
e
10e Clin. mutualiste de l’Estuaire, Saint-Nazaire (Loire-Atlantique)
e
30
e
25 %
5,1
37,8
17,59
36
176
3 %
4,3
35,7
16,41
268
5 %
4,5
38,7
17,58
171
9 %
5,2
43,4
16,37
241
79 %
5,3
42,9
17,35
197
30 %
5,5
38,2
16,21
207
25 %
4,6
41,9
17,31
155
23 %
4,3
40,5
16,19
318
63 %
6
39,5
17,24
40e Hôpital d’instruction des armées Val-de-Grâce*, Paris
159
64 %
4,7
38,4
16,17
265
43 %
4,9
37
17,24
41
158
6 %
4,4
40,7
16,11
245
10 %
5,8
49,3
17,18
253
17 %
6,3
34,6
16,10
301
11 %
6
42,1
17,14
43e Clinique mutualiste, Pessac (Gironde)
159
12 %
4,6
38,3
16,06
201
20 %
5,1
45,9
17,11
135
38 %
3,8
41,4
15,98
20e CHU, Toulouse (Haute-Garonne)
239
49 %
5,6
43,5
17,10
179
58 %
6,1
38,3
15,82
21e Clinique mutualiste Jules-Verne, Nantes (Loire-Atlantique)
196
8 %
3,9
37
16,98
46
CH, Sens (Yonne)
156
7 %
4,9
41,5
15,73
275
25 %
6
40,6
16,90
137
18 %
4,7
41,8
15,50
279
–
7,6
42,7
16,84
135
21 %
5,2
47,4
15,47
223
40 %
5,4
41,3
16,83
49e CH intercommunal, Quimper (Finistère)
133
5 %
3,4
36,5
15,39
171
13 %
3,4
34,9
16,82
133
18 %
4,9
44,9
15,37
e
14
e
19
e
24
Clinique mutualiste de la Porte de l’Orient, Lorient (Morbihan)
e
CH, Grasse (Alpes-Maritimes)
ACT
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GR
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/ 20
344
11
e
CLINIQUES
Clin. urologique Nantes-Atlantis, St-Herblain (Loire-Atlantique)
467
24 %
4,6
46,2
19,22
16e Clinique Saint-Etienne, Bayonne (Pyrénées-Atlantiques)
275
25 %
5,4
44,8
16,37
e
2
395
35 %
4
37,7
18,47
17e Polyclinique Saint-Roch, Cabestany (Pyrénées-Orientales)
333
6 %
6,4
47,5
16,34
3e
CHP Saint-Brieuc, Saint-Brieuc (Côtes-d’Armor)
339
1 %
4,4
46,2
18,23
290
6 %
5,5
41
16,02
4e
Polyclin. du Parc-Rambot, Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône)
354
29 %
5,3
44,9
17,93
19e Polyclinique du Maine, Laval (Mayenne)
262
2 %
4,5
36,7
15,85
15,72
CLINIQUES
1er
e
e
5
Clinique Toulouse-Lautrec, Albi (Tarn)
356
31 %
4,9
39,4
17,87
20
277
5 %
6
45,7
6e
Polyclinique de Blois, La Chaussée-Saint-Victor (Loir-et-Cher)
344
5 %
5,1
41,9
17,31
21e Clinique Convert, Bourg-en Bresse (Ain)
266
16 %
5,3
36,6
15,61
7e
362
10 %
5,4
39,1
17,25
320
17 %
5,9
33,3
15,57
8e
320
4 %
3,2
34,5
17,24
23e Clinique de l’Alliance, Saint-Cyr-sur-Loire (Indre-et-Loire)
247
20 %
4,7
38,1
15,54
9e
404
26 %
5,8
38,1
17,18
24e Hôpital privé Jean-Mermoz, Lyon (Rhône)
263
18 %
4,9
35
15,43
301
11 %
4,6
38,9
17,17
25
242
26 %
3,6
35,4
15,42
11e Clinique la Châtaigneraie, Beaumont (Puy-de-Dôme)
348
18 %
5,9
42,9
16,92
26e Clinique Saint-Jean-Languedoc, Toulouse (Haute-Garonne)
250
21 %
5,4
39,9
15,33
11e Polyclinique Saint-Privat, Boujan-sur-Libron (Hérault)
386
4 %
5,6
38,1
16,92
299
36 %
6,6
38,9
15,31
13e Clinique Trenel, Sainte-Colombe (Rhône)
298
69 %
4,4
33,9
16,70
28e Clinique Ormeau-Pyrénées, Tarbes (Hautes-Pyrénées)
236
11 %
4,7
43
15,30
14e Clinique chirurgicale Bel-Air, Bordeaux (Gironde)
403
7 %
6,5
40,4
16,63
29e Clinique des Orchidées, Le Port (La Réunion)
257
–
5,5
38,1
15,23
15e Polyclinique du Beaujolais, Arnas (Rhône)
256
27 %
4,3
42,8
16,58
301
12 %
6,3
36
15,19
e
e
30
Polyclinique de la Forêt, Fontainebleau (Seine-et-Marne)
Hôpital privé Médipôle de Savoie, Challes-les-Eaux (Savoie)
Adénome de la prostate. Classement des 287 hôpitaux et des 357 cliniques pratiquant la chirurgie de l’adénome de la prostate. Ci-dessus, les
50 meilleurs hôpitaux et les 30 meilleures cliniques. * Cette activité est en cours de transfert à l’hôpital d’instruction des armées Bégin à Saint-Mandé.
Testicules. Classement des 404 hôpitaux réalisant des interventions sur les testicules. Ci-contre, les 20 meilleurs.
Nez et sinus. Classement des 325 hôpitaux pratiquant la chirurgie du nez et des sinus. Ci-contre, les 40 meilleurs. * Cette activité devait être transférée
en mai à l’hôpital de la Conception à Marseille.
Audition. Classement des 330 hôpitaux et des 426 cliniques pratiquant la chirurgie de l’audition. Ci-contre, les 40 meilleurs hôpitaux
et les 30 meilleures cliniques. * Cette activité devait être transférée en mai à l’hôpital de la Conception à Marseille.
106 | 20 août 2015 | Le Point 2241
CHU, Lille (Nord)
CHU, Reims (Marne)
Hôpital Trousseau, Paris
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25,5
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27,8
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25,4
26,8
18,36
17,96
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17,40
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CHIRURGIE DU NEZ ET DES SINUS
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17e
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21e
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24e
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27e
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31e
32e
33e
34e
34e
36e
37e
38e
39e
40e
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344
310
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215
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206
168
174
159
263
165
160
158
153
Hôp. de la Timone* (adultes), Marseille (B.-du-Rhône)
CHU, Lille (Nord)
GH Saint-Vincent, Strasbourg (Bas-Rhin)
Fondation Rothschild, Paris
CHU, Amiens (Somme)
Clinique Adassa, Strasbourg (Bas-Rhin)
Hôpital Albert-Schweitzer, Colmar (Haut-Rhin)
CH, Le Puy-en-Velay (Haute-Loire)
CHI, Belfort/Montbéliard (T.-de-Belfort/Doubs)
Clin. de Bonneveine, Marseille (Bouches-du-Rhône)
14 %
68 %
39 %
39 %
30 %
55 %
27 %
71 %
46 %
58 %
7 %
10 %
36 %
36 %
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12 %
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31 %
5 %
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5 %
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15 %
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19 %
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2 %
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4
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1,8
1,7
2,5
2,8
2,3
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2,3
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2,1
2,6
1,6
2,7
1,4
2,2
3,2
2,3
2
2,6
3,3
1,9
3,4
2,6
1,5
1,6
2,8
1,1
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1,3
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2,2
1,9
35 %
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33 %
27 %
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26 %
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4 %
49 %
14 %
25 %
12 %
4 %
38 %
46 %
15 %
23 %
14 %
7 %
3 %
30 %
21 %
6 %
42 %
5 %
51 %
35 %
9 %
52 %
29
29,6
28
27,1
30,3
26,3
25,7
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27
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27
26
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26,8
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27
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18,47
18,46
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17,89
17,74
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17,08
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16,93
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16,30
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16,17
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16,07
16,05
15,99
15,99
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15,94
15,74
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15,38
HÔPITAUX
1er
2e
3e
4e
5e
6e
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9e
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24e
25e
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27e
28e
29e
30e
31e
32e
33e
34e
35e
36e
37e
38e
39e
40e
CHU, Lille (Nord)
Clin. Sainte-Marie (Inst. cathol. de Lille), Cambrai (Nord)
Hôpital Nord*, Marseille (Bouches-du-Rhône)
CHU, Amiens (Somme)
Hôpital de la Timone* (adultes), Marseille (B.-du-Rhône)
Hôpital de la Timone* (enfants), Marseille (B.-du-Rhône)
CHU, Nîmes (Gard)
CLINIQUES
1er
2e
3e
4e
5e
6e
7e
8e
9e
10e
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13e
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15e
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19e
20e
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22e
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27e
28e
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30e
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407
452
597
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655
387
288
581
450
395
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363
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342
181
272
413
958
552
289
526
311
151
159
270
378
228
283
190
163
244
255
240
370
207
354
196
201
148
59 %
52 %
35 %
52 %
79 %
61 %
58 %
78 %
79 %
44 %
27 %
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27 %
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10 %
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74 %
5 %
11 %
1 %
3 %
78 %
49 %
35 %
26 %
8 %
41 %
36 %
49 %
81 %
56 %
14 %
54 %
14 %
1,8
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2,4
2,8
2,3
2,7
1,3
2,4
2,4
2,2
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2,2
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2,3
1,7
2,3
1,8
2,3
1,6
2
1,3
2,5
2,5
1,6
2
1,2
1,3
2,6
2,1
2,1
3,7
1,6
2,9
2,2
1,2
3
2,2
2,6
2,6
1,4
67 %
57 %
61 %
42 %
24 %
22 %
58 %
22 %
10 %
44 %
25 %
8 %
29 %
12 %
57 %
33 %
37 %
35 %
95 %
50 %
52 %
30 %
22 %
67 %
14 %
84 %
72 %
48 %
35 %
29 %
12 %
52 %
41 %
27 %
29 %
4 %
23 %
45 %
22 %
29 %
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27,4
26,2
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26
26,2
26,2
25,3
27,7
31,2
26,4
25
25,8
25,8
26
26
26
29
26,8
25,2
26,9
25,6
25,9
27,4
25
27
26,4
25,2
27,1
25,8
27,1
26,4
25,2
29 %
25 %
25 %
24 %
29 %
21 %
22 %
43 %
26 %
18 %
26 %
24 %
26 %
30 %
26 %
28 %
14 %
16 %
4 %
13 %
24 %
19 %
28 %
34 %
28 %
11 %
15 %
22 %
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33 %
31 %
25 %
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21 %
15 %
23 %
12 %
15 %
23 %
40 %
18,17
18,06
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17,24
17,14
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16,84
16,79
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16,66
16,63
16,58
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16,47
16,45
16,44
16,43
16,33
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16,30
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16,26
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15,89
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15,46
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ICE
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HÔPITAUX
AUDITION
ACT
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CHIRURGIE DES TESTICULES
Clinique du Docteur-Jean-Causse, Colombiers (Hérault)
1 489 79 % 18 % 29 33 %
933 11 % 96 % 25,7 8 %
563 7 % 95 % 26 13 %
1 149 18 % 94 % 25 7 %
Clinique Saint-Hilaire, Rouen (Seine-Maritime)
470 10 % 96 % 26,2 9 %
773 7 % 93 % 25,5 5 %
534 5 % 74 % 25,9 12 %
457 9 % 73 % 25,8 28 %
788 16 % 71 % 25,3 8 %
466 0 % 87 % 25,4 14 %
490 12 % 80 % 25,3 9 %
447 32 % 64 % 26 16 %
Clinique des Alpes, Grenoble (Isère)
491 1 % 96 % 25 2 %
448 31 % 39 % 25,3 37 %
444 0 % 85 % 25 12 %
CHP St-Brieuc, site Ste-Jeanne-d’Arc, Saint-Brieuc (Côtes-d’Armor) 341 1 % 80 % 25 28 %
412 13 % 68 % 26,1 9 %
Médipôle de Savoie, Challes-les-Eaux (Savoie)
385 22 % 72 % 25 16 %
425 18 % 72 % 25 6 %
Pôle Santé Oréliance, Saran (Loiret)
293 10 % 85 % 25,6 15 %
Polyclinique de Pontivy, Pontivy (Morbihan)
276 22 % 93 % 25 40 %
Clinique Convert, Bourg-en-Bresse (Ain)
297 10 % 72 % 25,6 19 %
334 10 % 70 % 25 16 %
298 19 % 74 % 25,3 15 %
292 10 % 66 % 25,5 33 %
Clinique Saint-Vincent, Saint-Denis (La Réunion)
284 – 51 % 25,9 20 %
301 3 % 73 % 25 14 %
Clinique du Parc, Orange (Vaucluse)
306 14 % 100 % 0 2 %
303 7 % 82 % 25 4 %
Clinique du Ter, Ploemeur (Morbihan)
315 10 % 79 % 25 –
18,58
18,39
18,33
17,97
17,93
17,64
17,57
17,46
17,33
17,32
17,21
17,11
17,03
16,97
16,55
16,49
16,46
16,36
16
15,99
15,96
15,91
15,91
15,88
15,67
15,53
15,52
15,48
15,38
15,35
Le Point 2241 | 20 août 2015 | 107
1er
CLINIQUES
ACT
IVIT
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TOR
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DU É
RÉE
DE
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E
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/ 20
HÔPITAUX
ACT
IVIT
É
NO
TOR
IÉT
DU É
RÉE
DE
AM SÉJO
BU
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E
NO
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/ 20
AMYGDALES ET VÉGÉTATIONS
Clinique Sainte-Marie (Institut catholique de Lille), Cambrai (Nord)
927 11 %
1
92 %
19,72
1er
1 209 1 %
1,3 76 %
2
861
1
90 %
19,33
2e
934 3 %
1
93 %
19,31
3e
895 68 % 2,1 70 %
19,13
3e
1 097 5 %
1,1 64 %
19,23
4e
Hôp. Saint-Vincent-de-Paul (Institut catholique de Lille), Lille (Nord)
517
6 %
1,1 83 %
18,85
4e
787 14 %
1
96 %
19,09
5e
521
4 %
1,3 74 %
18,72
5e
1 084 10 % 1,3 53 %
19,05
e
e
e
3 %
19,34
6
788 67 % 2,3 50 %
18,66
6
867 9 %
1
68 %
18,99
7e
CH, Saint-Quentin (Aisne)
411 13 %
1
81 %
18,62
7e
933 49 %
2
62 %
18,79
8e
CH, Denain (Nord)
389 0 %
1
92 %
18,47
8e
824 4 %
1,9 85 %
18,73
e
700
e
490 7 %
1,1 40 %
18,42
9
782
3 %
1,4 38 %
18,40
10e Clinique Lille-Sud, Lesquin (Nord)
428 3 %
1,2 59 %
18,26
353 20 %
1
61 %
14e Polyclinique (Ahnac), Hénin-Beaumont (Pas-de-Calais)
9
e
12
e
15
Hôpitaux pédiatriques de Nice, Nice (Alpes-Maritimes)
Maison de santé protestante de Bordeaux Bagatelle, Talence (Gironde)
e
1,7 81 %
18,51
664 16 %
–
1
87 %
18,50
11e Clinique des Orchidées, Le Port (La Réunion)
669
–
1,5 90 %
18,45
18,16
696 7 %
1,7 83 %
18,36
484 14 % 1,8 44 %
18,11
13e Centre médico-chirurgical du Mans, Le Mans (Sarthe)
776
1,8 64 %
18,34
332
8 %
1 %
– 100 %
17,94
663 18 %
1
82 %
18,21
343 2 %
1,1 54 %
17,79
15e Polyclinique du Bois, Lille (Nord)
658 6 %
1
84 %
18,05
386 12 %
1,7 48 %
17,69
16e Clinique Saint-Augustin, Bordeaux (Gironde)
664 5 %
2
63 %
17,83
655
1,8 88 %
17,76
1
63 %
17,68
1,3 29 %
17,37
17
327 47 % 1,4 53 %
17,31
18e Clinique Mathilde, Rouen (Seine-Maritime)
324
1,2 50 %
17,12
19e Clinique Marcel-Sembat (CCBB), Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine)
643 57 % 1,6 55 %
17,48
330 20 % 2,1 45 %
17,08
20e Hôpital privé de Villeneuve-d’Ascq, Villeneuve-d’Ascq (Nord)
606 2 %
1
70 %
17,38
321 26 % 2,8 70 %
17,04
21e Clinique Saint-Vincent, Saint-Denis (La Réunion)
589
1,2 79 %
17,16
e
20
e
7 %
7 %
e
–
315 20 % 1,5 58 %
16,90
22
596 7 %
2,3 76 %
17,02
301 60 % 1,2 75 %
16,73
23e CMCO de la Côte d’Opale, Saint-Martin-Boulogne (Pas-de-Calais)
641
2,2 53 %
16,99
305 10 %
16,70
24e Nouvelles Cliniques nantaises, Nantes (Loire-Atlantique)
540 10 %
1
82 %
16,90
593
1,2 53 %
16,89
582 18 % 1,6 68 %
16,82
e
25
CH, Pontarlier (Doubs)
26e CHRU, Montpellier (Hérault)
e
5 %
32 %
e
1,6 51 %
16,61
25
303 29 % 1,5 53 %
16,58
26e Clinique Saint-Vincent, Besançon (Doubs)
e
Polyclinique de Bordeaux-Tondu, Bordeaux(Gironde)
3 %
291 26 % 1,2 83 %
16,46
27
582 15 % 1,5 58 %
16,76
303 24 % 2,4 50 %
16,33
28e Médipôle de Savoie, Challes-les-Eaux (Savoie)
523 21 % 1,2 68 %
16,66
29e CH, Saint-Nazaire (Loire-Atlantique)
295 3 %
16,20
29e Clinique Pasteur-Lanroze, Brest (Finistère)
519
1,5 90 %
16,52
500 3 %
1
83 %
16,50
517
9 %
1,3 69 %
16,36
16,15
e
30
CH, Calais (Pas-de-Calais)
31e CH, Seclin (Nord)
e
1,1
55 %
e
72 %
16,15
30
283 65 % 1,3 90 %
16,08
31e Pôle Santé République, Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme)
e
Clinique de l’Essonne, Evry (Essonne)
283 43 % 1,3 60 %
15,87
32
493 6 %
1,5 81 %
274
1,1 70 %
15,78
33e Pôle Santé Léonard-de-Vinci, Chambray-lès-Tours (Indre-et-Loire)
475 6 %
1
81 %
16,13
286 24 % 1,6 52 %
15,72
34e Hôpital privé de l’Estuaire, Le Havre (Seine-Maritime)
481
2 %
1,1 66 %
15,99
35e CH, Pontoise (Val-d’Oise)
268 32 % 1,2 76 %
15,65
35e Clinique Saint-Charles, La Roche-sur-Yon (Vendée)
475
1 %
1,2 80 %
15,93
263 39 % 1,2 61 %
15,29
36e Clinique Saint-Hilaire, Rouen (Seine-Maritime)
470 9 %
1,2 74 %
15,68
274 26 % 1,9 38 %
15,24
37e Clinique Vauban, Livry-Gargan (Seine-Saint-Denis)
474 19 % 1,7 69 %
15,67
466 8 %
1,9 80 %
15,45
461
1,3 80 %
15,35
2
15,17
e
36
CH, Cholet (Maine-et-Loire)
e
38
39e CH, Ploermel (Morbihan)
e
40
8 %
e
1 %
33e CH, Blois (Loir-et-Cher)
32
288 3 %
1,1
Clinique la Montagne, Courbevoie (Hauts-de-Seine)
2 %
27
CH, Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône)
310
1,1
7 %
643 11 %
23e Hôpital Trousseau, Paris
22
338
e
18e CH intercommunal, Belfort/Montbéliard (T.-de-Belfort/Doubs)
17
Clinique Durieux, Saint-Pierre (La Réunion)
266
1 %
1,2 62 %
15,19
38
251
7 %
1
15,11
39e CHP Saint-Brieuc site Jeanne-d’Arc, Saint-Brieuc (Côtes-d’Armor)
246 7 %
61 %
1,2 64 %
15,07
e
40
1 %
459 8 %
85 %
Amygdales. Classement des 344 hôpitaux et des 429 cliniques réalisant des interventions sur les amygdales et les végétations.
Ci-dessus, les 40 meilleurs hôpitaux et les 40 meilleures cliniques.
Glandes salivaires. Classement des 269 hôpitaux et des 374 cliniques réalisant des interventions sur les glandes salivaires.
Ci-contre, les 25 meilleurs hôpitaux et les 20 meilleures cliniques. * Cette activité devait être transférée en mai 2015 à l’hôpital de la Conception à Marseille.
Pédiatrie. Classement des 574 hôpitaux prenant en charge les enfants. Ci-contre, les 50 meilleurs. Urgences pédiatriques : existence dans
l’établissement d’un service d’urgences pédiatriques. Anesthésiste : présence sur place d’un anesthésiste qualifié de garde 24 heures sur 24 et 365 jours par an
(Ø), sinon (Ø).
108 | 20 août 2015 | Le Point 2241
PÉDIATRIE
1er
CHU, Lille (Nord)
146 31 % 3 28,6
2e
110 63 % 4,2 35,7
18,38
3e
117 45 % 3,4 30
18,29
110 71 % 4,5 30,2
18,02
5
Hôpital d’adultes La Timone*, Marseille (Bouches-du-Rhône) 105 42 % 5,4 33,6
17,63
5e
95 65 % 4,5 31,8
17,63
e
7
68 72 % 3,7 32,1
17,47
8e
101 50 % 5,8 33,4
17,44
e
4
e
9e
1er
Ø Ø Ø Ø 35 819 9 387 58 % 1 715 34 % 38,2
2e
Ø Ø Ø Ø 29 710 4 969 80 % 467 62 % 37,9
19,71
3e
Ø Ø Ø Ø 30 585 4 760 66 % 651 24 % 36,7
19,65
4e
Ø Ø Ø Ø 26 168 4 260 75 % 1 520 66 % 37,9
19,54
5e
Ø Ø Ø Ø 36 374 4 731 16 % 418 13 % 34,9
19,34
6e
Hôpital d’enfants la Timone, Marseille (Bouches-du-Rhône)
Ø Ø Ø Ø 21 818 3 458 88 % 310 9 % 37,6
19,11
7e
CHU, Lille (Nord)
Ø Ø Ø Ø 28 258 4 523 14 % 242 22 % 34,3
18,91
18,78
18,79
79 86 % 7,1 40,3
17,35
65 75 % 3,4 29,6
16,81
72 8 % 9,5 44,4
HÔPITAUX
UR
GEN
AN CES P
EST ÉDI
H A
CHI ÉSIST TRIQ
RU E D UES
RG E G
CHI IEN AR
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E
I
S
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HM ON DIA
TRI
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E
IND IÉTÉ
ICE
DE
G
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T
TE
/ 20 É
HÔPITAUX
ACT
IVIT
NO É
TOR
DU IÉTÉ
RÉE
IND DE SÉ
ICE JOU
DE R
GR
AV
NO
ITÉ
TE
/ 20
GLANDES SALIVAIRES
16,80
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
19,79
8e
Ø Ø Ø Ø 24 164 4 176 16 % 424 8 % 31,3
9e
Ø Ø Ø Ø 21 221 3 557 16 % 226 15 % 35,6
18,74
Ø Ø Ø Ø 28 159 3 784 11 % 416 6 % 33,8
18,67
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
74 30 % 6,2 32,8
16,70
Ø Ø Ø Ø 21 190 2 049 16 % 437 – 32,8
18,57
69 39 % 6,2 33,7
16,69
Ø Ø Ø Ø 17 751 3 078 14 % 365 13 % 31,8
18,40
1
1
1
1
1
1
1
1
14e CHU, Nantes (Loire-Atlantique)
80 50 % 4,7 27,9
16,63
Ø Ø Ø Ø 17 208 3 312 14 % 198 15 % 35
18,31
15e Inst. univ. de la face et du cou, Nice (Alpes-Maritimes)
67 31 % 4,6 31,9
16,56
Ø Ø Ø Ø 16 957 2 888 13 % 262 8 % 35,3
18,30
65 75 % 3,8 26,6
16,29
Ø Ø Ø Ø 17 444 2 755 15 % 281 6 % 32
18,28
57 54 % 5,3 35,1
16,26
Ø Ø Ø Ø 13 909 2 013 15 % 278 11 % 32,5
17,96
63 16 % 4,8 32,7
16,09
Ø Ø Ø Ø 20 060 3 442 13 % 102 5 % 32,5
17,88
16,09
Ø Ø Ø Ø 11 862 2 090 27 % 189 7 % 31,6
17,65
Ø Ø Ø Ø 14 544 1 438 21 % 280 34 % 36,9
17,64
e
18
49 61 % 4,1 35,4
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
57 25 % 4,8 32,9
16,01
55 29 % 6,9 42,3
15,73
Ø Ø Ø Ø 16 492 3 679 11 % 224 11 % 34,1
17,63
Ø Ø Ø Ø 12 883 2 214 12 % 164 5 % 32,1
17,42
Ø Ø Ø Ø 13 160 2 108 12 % 170 12 % 31,6
17,41
Ø Ø Ø Ø 13 298 2 436 11 % 104 17 % 32
17,39
Ø Ø Ø Ø 12 038 2 532 9 % 124 19 % 30,5
17,22
25e CH, Valenciennes (Nord)
Ø Ø Ø Ø 12 015 1 646 15 % 237 3 % 29,5
17,19
26e Hôp. St-Vincent-de-Paul (Inst. cathol. de Lille), Lille (Nord)
Ø Ø Ø Ø 10 190 1 486 30 % 215 5 % 31,5
17,16
Ø Ø Ø Ø 9 211 1 913 15 % 250 4 % 30,6
17,03
Ø Ø Ø Ø 11 989 1 971 13 % 206 19 % 33,9
17,02
Ø Ø Ø Ø 9 564 1 883 13 % 203 4 % 32,9
16,96
e
20
e
22
CHU, Nîmes (Gard)
e
15,60
15,41
50 44 % 4,3 30,2
15,40
50 26 % 3,2 27,5
15,30
55 45 % 5,4 30,9
15,30
1
1
1
1
1
1
1
1
1
0
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
0
1
1
1
1
1
1
1
1
ACT
IVIT
NO É
TOR
DU IÉTÉ
RÉE
IND DE SÉ
ICE JOU
DE R
G
NO RAVIT
TE
/ 20 É
24
51 24 % 2,9 27,9
56 70 % 4,4 26,8
1
1er
97 45 % 3,3 28,6
18,29
30e CH, Le Havre (Seine-Maritime)
Ø Ø Ø Ø 11 138 833 17 % 326 7 % 31,9
16,92
2e
62 6 % 4 31,8
18,22
31e CH, Avignon (Vaucluse)
Ø Ø Ø Ø 10 632 1 307 16 % 249 23 % 27,4
16,86
3e
62 40 % 4
18,20
Ø Ø Ø Ø 9 816 1 572 9 % 393 3 % 30,3
16,75
Ø Ø Ø Ø 11 476 1 247 13 % 238 8 % 29,5
16,74
33e CH intercommunal, Villeneuve-Saint-Georges (Val-de-Marne) Ø Ø Ø Ø 7 531 1 286 26 % 307 51 % 30,2
16,74
Ø Ø Ø Ø 10 556 964 16 % 255 13 % 28,7
16,67
Ø Ø Ø Ø 8 928 1 090 16 % 361 2 % 31,5
16,67
Ø Ø Ø Ø 10 019 1 414 9 % 112 10 % 34,4
16,57
Ø Ø Ø Ø 10 168 1 872 7 % 307 16 % 30,4
16,54
Ø Ø Ø Ø 9 847 1 695 8 % 132 11 % 30,3
16,44
Ø Ø Ø Ø 8 756 1 498 9 % 317 5 % 28,5
16,38
Ø NR NR NR 13 714 1 961 14 % 166 11 % 33,8
16,18
42e CH Sud-Francilien, Evry (Essonne)
Ø Ø Ø Ø 9 676 479 17 % 316 7 % 34,1
16,06
43e CHR, Orléans (Loiret)
Ø Ø Ø Ø 13 289 2 274 12 % 202 5 % 29,1
15,93
44e CH, Villefranche-sur-Saône (Rhône)
Ø Ø Ø Ø 6 417 908 19 % 233 19 % 28,4
15,71
45e CH, Valence (Drôme)
Ø Ø Ø Ø 6 188 1 103 13 % 142 15 % 31,9
15,70
15,67
CLINIQUES
e
35
53 23 % 2,9 29,1
17,91
5
56 36 % 5 33,2
17,54
6e
39 5 % 2,9 29
17,47
57 26 % 3,8 26,8
17,11
8
44 20 % 3 27,4
17,07
9e
Polyclin. de Limoges-François-Chénieux, Limoges (Hte-Vienne) 32 19 % 2,7 28,1
16,80
4
e
e
7
e
10e Hôpital privé de la Loire, Saint-Etienne (Loire)
36 11 % 3,6 27,8
16,77
11e Clinique de l’Atlantique, Puilboreau (Charente-Maritime)
32 3 % 3,3 32,8
16,74
34 12 % 3,7 31,1
16,69
13e Clinique Saint-Etienne, Bayonne (Pyrénées-Atlantiques)
35 49 % 5,8 37,9
16,62
44 30 % 4 27,3
16,52
15e Polyclinique du Parc, Saint-Saulve (Nord)
32 19 % 2,2 26,6
16,49
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
0
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
0
1
1
1
1
1
1
1
1
0
1
1
0
0
1
1
1
0
1
1
34 21 % 2,8 25,8
16,19
46e Hôpital Saint-Camille, Bry-sur-Marne (Val-de-Marne)
Ø Ø Ø Ø 5 061 919 22 % 233 48 % 30,1
17e Polyclinique de Bordeaux-Tondu, Bordeaux(Gironde)
32 6 % 2,9 26,6
16,17
Ø Ø Ø Ø 7 636 1 000 13 % 151 7 % 28
15,61
15,91
48e Höpital Louis-Mourier, Colombes (Hauts-de-Seine)
Ø Ø Ø Ø 7 931 22 31 % 635 22 % 35,7
15,54
1
1
1
1
1
1
1
1
29 21 % 2,5 28,4
19e Clinique Saint-Pierre, Perpignan (Pyrénées-Orientales)
30 3 % 2,9 27,7
15,59
49e CH intercommunal, Belfort/Montbéliard (T.-de-Belfort/Doubs)
Ø Ø Ø Ø 7 495 1 031 7 % 110 54 % 31,8
15,20
20e Clinique chirurgicale du Pré, Le Mans (Sarthe)
29 3 % 2,4 25,9
15,43
Ø Ø Ø Ø 11 608 1 272 8 % 198 8 % 28,4
15,05
1
1
1
1
1
0
0
1
0
0
0
0
Le Point 2241 | 20 août 2015 | 109
CLINIQUES
1 313
1 145
884
538
697
694
824
636
673
718
628
575
663
620
521
540
583
500
594
569
523
520
554
510
510
65 %
23 %
42 %
43 %
18 %
26 %
24 %
26 %
63 %
50 %
29 %
17 %
18 %
9 %
52 %
5 %
13 %
43 %
30 %
4 %
2 %
11 %
9 %
12 %
68 %
5,9
9,2
11,1
7,8
8,2
9,1
7,9
10,2
9,7
6
11
11,7
12,6
9,2
10,4
8,7
12,6
7,4
15,6
9,4
9,7
9,2
9,8
10,9
12,7
12 %
15 %
20 %
25 %
8 %
16 %
9 %
15 %
19 %
7 %
16 %
14 %
14 %
8 %
12 %
12 %
12 %
13 %
18 %
12 %
10 %
9 %
12 %
10 %
19 %
34,5
36,4
44,7
45,6
44,8
40,6
38,9
42,7
37,5
32,5
43,2
48,8
44,3
41,2
45,2
41,1
47
42,4
43
40,3
44,6
44,4
39,8
46,1
43,8
18,46
18,45
18,44
18,43
18,42
18,33
18,14
18,05
18,04
17,97
17,90
17,77
17,62
17,58
17,54
17,50
17,48
17,46
17,38
17,31
17,26
17,22
17,19
17,02
17
ACT
IVIT
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DE
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/ 20
CHU, Lille (Nord)
Centre chirurgical Emile-Gallé, Nancy (Meurthe-et-Moselle)
CHU, Amiens (Somme)
Hôpital Renée-Sabran, Hyères (Var)
Institut Calot, Berck (Pas-de-Calais)
HÔPITAUX
26e
27e
28e
29e
30e
30e
32e
33e
34e
35e
35e
37e
38e
39e
40e
41e
42e
43e
44e
45e
46e
47e
48e
49e
50e
451
524
519
446
437
427
457
472
432
416
486
425
384
412
405
437
374
359
358
342
343
363
405
383
371
CH, Mâcon (Saône-et-Loire)
Hôpitaux Sud, Marseille (Bouches-du-Rhône)
Clinique mutualiste, Pessac (Gironde)
Hôpital Raymond-Poincaré, Garches (Hauts-de-Seine)
CHU, Nîmes (Gard)
CH du Forez, Montbrison-Feurs (Loire)
CHU, Reims (Marne)
CLINIQUES
31 %
34 %
14 %
13 %
71 %
18 %
31 %
20 %
22 %
6 %
13 %
18 %
71 %
14 %
35 %
3 %
48 %
52 %
33 %
12 %
28 %
15 %
16 %
39 %
32 %
11,2
11,3
10,4
10,6
9,2
11,6
11
11,5
7,7
10,6
10
11,5
7,3
11
13,8
9,3
9,6
11,2
12,6
10,1
12,4
13,7
13
11,8
11,5
14 %
16 %
13 %
14 %
11 %
20 %
13 %
8 %
10 %
11 %
11 %
17 %
18 %
16 %
19 %
11 %
14 %
13 %
24 %
10 %
17 %
10 %
10 %
15 %
18 %
46,4
38,7
40,7
45,9
41,1
50,1
43,3
46,3
40,5
47,2
38,8
43,9
35,2
42,2
45,1
37,8
41,4
49,6
48,2
59,6
46,1
52,1
43,2
39,4
38,7
16,97
16,92
16,86
16,84
16,80
16,80
16,75
16,61
16,59
16,44
16,44
16,33
16,32
16,14
16,13
16,12
16,11
16,04
15,91
15,87
15,66
15,55
15,52
15,44
15,39
ACT
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10e
11e
12e
13e
14e
15e
16e
17e
18e
19e
20e
21e
22e
23e
24e
25e
ACT
IVIT
É
NO
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IÉT
DU É
RÉE
DE
REM SÉJO
PLA UR
CE
IND MEN
T
ICE
DE
GR
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NO
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/ 20
HÔPITAUX
ACT
IVIT
É
NO
TOR
IÉT
DU É
RÉE
DE
REM SÉJO
PLA UR
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IND EMEN
T
ICE
DE
GR
AV
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/ 20
PROTHÈSE DE HANCHE
1er
2e
682 4 % 7,5 16 % 42,8
666 17 % 6,7 11 % 39,5
18,66
18,52
25e Hôpital privé Arras Les Bonnettes, Arras (Pas-de-Calais)
547 5 %
495 28 % 8,3 11 % 40,3
16,91
3e
Clinique Arago, Paris
1 045 61 % 6,4 11 % 33,8
18,41
28e Clinique Sainte-Odile, Strasbourg (Bas-Rhin)
507 6 %
16,83
4e
847 41 % 6,4
9 % 35,4
18,38
29e Centre médico-chirurgical Les Cèdres, Brive-la-Gaillarde (Corrèze)
501 25 % 8,6
8 % 41,6
16,75
5e
Clinique du Croisé-Laroche, Marcq-en-Barœul (Nord)
943 7 %
7,6 14 % 36,3
18,32
464 41 % 6,4
9 % 35,6
16,70
6e
Centre orthopédique méd.-chir., Dracy-le-Fort (Saône-et-Loire)
654 35 % 8,2 18 %
42
18,31
31e Clinique de Domont, Domont (Val-d’Oise)
467 14 % 4,9 11 % 34,5
16,67
7
850 38 %
11 % 30,5
18,30
32e Pôle Santé Oréliance, Saran (Loiret)
417 11 %
17 % 40,4
16,64
8e
698 35 % 7,7
11 % 36,1
18,04
33e Polyclinique Saint-Roch, Montpellier (Hérault)
390 16 % 7,9 12 % 46,2
16,47
9e
Clinique Jouvenet, Paris
664 65 % 7,1
14 % 33,8
17,87
34e CHP St-Brieuc, site Sainte-Jeanne-d’Arc, Saint-Brieuc (C.-d’Armor)
435
7,8
9 % 39,3
16,33
652 23 % 7,4
11 % 36,4
17,76
35e Polyclinique de Montier-la-Celle, Saint-André-les-Vergers (Aube)
476 18 % 6,8
3 % 34,7
16,32
11e Polyclinique de l’Atlantique, Saint-Herblain (Loire-Atlantique)
745 20 % 8,5 16 % 35,4
17,74
411 30 % 6,7 12 % 34,6
16,29
504 21 % 7,4 15 % 40,9
17,73
37e Pôle Santé Léonard-de-Vinci, Chambray-lès-Tours (Indre-et-Loire)
528 9 %
8 % 35,5
16,14
804 21 % 6,4
8 % 31,5
17,72
38e Clinique Jules-Verne, Nantes (Loire-Atlantique)
401 11 % 8,8 11 % 41,3
16,13
14e Clinique Paulmy, Bayonne (Pyrénées-Atlantiques)
553 40 % 7,2 12 % 36,9
17,66
38e Polyclinique Courlancy, Reims (Marne)
479 36 % 8,9 11 % 35,2
16,13
15e CMC Paris V, Paris
565 79 % 5,4 13 % 28,2
17,64
40e Polyclinique La Ligne bleue, Epinal (Vosges)
446 5 %
7,9
16,12
16e Polyclinique de Picardie, Amiens (Somme)
524 21 %
7
13 % 38,8
17,59
41e Polyclinique Saint-Roch, Cabestany (Pyrénées-Orientales)
413
8,5 15 % 37,9
613 16 %
9
12 % 38,1
17,21
42e Clinique d’Argonay, Argonay (Haute-Savoie)
382 29 % 7,2
622 11 % 9,7
9 % 39,7
17,17
42e Clinique du Pont-de-Chaume, Montauban (Tarn-et-Garonne)
621 20 % 8,6 17 % 34,9
17,15
44e Clinique du Cambresis, Cambrai (Nord)
449 43 % 7,9 20 % 39,2
17,10
45e Hôpital privé Drôme-Ardèche, Guilherand-Granges (Ardèche)
538 22 % 8,9 12 % 39,2
17,06
46e CMC de Tronquières, Aurillac (Cantal)
397 26 % 9,1
11 % 38,4
15,68
21e Clinique Saint-George, Nice (Alpes-Maritimes)
589 7 %
10 % 36,2
17,06
47e Polyclinique de Keraudren, Brest (Finistère)
393
11 %
15,49
23e Clinique Saint-Léonard, Trélazé (Maine-et-Loire)
565 16 % 8,3 16 % 35,3
17,04
48e Hôpital privé Médipôle de Savoie, Challes-les-Eaux (Savoie)
356 17 % 8,8 15 % 40,4
15,36
503 27 % 7,8
11 % 38,8
17,03
49e Clinique du Renaison, Roanne (Loire)
362 21 % 9,4
9 % 47,4
15,34
6,9 15 % 39,2
16,93
49e Clinique Juge, Marseille (Bouches-du-Rhône)
374 24 % 6,8
8 % 32,6
15,34
e
e
13
e
19
20e Clinique du Parc, Lyon (Rhône)
e
24
Polyclin. de Limoges-François-Chénieux, Limoges (Haute-Vienne)
25e Clinique Belledonne, Saint-Martin-d’Hères (Isère)
433 8 %
5
8
1 %
5 %
5,7
7,9
8,1
9,3
8 % 34,1
8 %
39
9 % 37,2
16,93
16
7 %
39
15,98
380 40 % 8,1
8 %
42
15,98
371 16 % 7,2
9 % 39,8
15,87
371 56 % 12,9 13 % 46,6
15,80
2 %
7,9
35
Hanche. Classement des 392 hôpitaux et des 417 cliniques posant des prothèses de hanche. Ci-dessus, les 50 meilleurs hôpitaux et les 50 meilleures
cliniques. Remplacement : pourcentage de nouvelles prothèses posées à la place d’une ancienne.
110 | 20 août 2015 | Le Point 2241
1er
2e
3e
4e
5e
6e
7e
8e
9e
10e
11e
12e
13e
14e
15e
16e
17e
18e
19e
20e
21e
22e
23e
24e
25e
26e
27e
28e
29e
30e
223
294
191
143
267
107
96
93
80
138
140
149
64
100
187
194
87
73
116
87
99
96
67
85
64
103
68
67
95
81
CLINIQUES
1er
2e
3e
4e
5e
6e
7e
8e
9e
10e
11e
12e
13e
14e
15e
16e
17e
18e
19e
20e
Les Franciscaines, Nîmes (Gard)
Clinique Saint-Charles, Lyon (Rhône)
Polyclinique de Bordeaux-Tondu, Bordeaux (Gironde)
Clinique Juge, Marseille (Bouches-du-Rhône)
Clinique du Sport, Mérignac (Gironde)
Clinique des Alpes, Grenoble (Isère)
Polyclinique Saint-Roch, Montpellier (Hérault)
Hôpital privé Saint-Martin, Pessac (Gironde)
CMC Paris V, Paris
Hôp. privé Médipôle de Savoie, Challes-les-Eaux (Savoie)
Ctre orthopédique méd.-chir., Dracy-le-Fort (S.-et-Loire)
43 %
90 %
62 %
45 %
54 %
10 %
34 %
43 %
26 %
43 %
27 %
40 %
66 %
54 %
24 %
32 %
46 %
75 %
10 %
32 %
22 %
44 %
45 %
39 %
41 %
33 %
90 %
6 %
92 %
–
4,5
6,1
5
9,2
4,6
3
4,6
5,8
6,1
7,6
5,9
7,8
6,2
5,3
5,4
4,6
9,1
4,8
7,4
5,1
11,5
6
7,1
4,1
5,3
6,7
5,2
2,5
4,9
6,2
7
56
14
24
6
6
6
6
6
5
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3
14
3
1
1
5
2
2
1
1
1
1
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0
0
0
0
47 %
20 %
16 %
35 %
12 %
50 %
28 %
14 %
30 %
7 %
11 %
9 %
36 %
6 %
36 %
8 %
25 %
12 %
16 %
23 %
10 %
6 %
9 %
11 %
8 %
6 %
1 %
10 %
1 %
5 %
33 %
0 %
6 %
1 %
2 %
9 %
2 %
9 %
1 %
4 %
11 %
1 %
2 %
3 %
3 %
0 %
3 %
16 %
2 %
0 %
1 %
7 %
0 %
6 %
0 %
1 %
3 %
43 %
0 %
5 %
31,5
34,3
33,3
35,6
31,3
26,8
31,6
32,9
34,2
33,3
34,6
36,2
30,6
34,5
30,4
30,8
31,2
34
32,9
33,6
39,8
30,1
34
30,3
32
33,1
34,8
28,3
29,7
30,5
18,89
18,86
18,79
18,43
18,41
18,16
17,83
17,71
17,38
17,31
17,26
17,24
17,22
17,19
17,14
16,94
16,93
16,90
16,86
16,51
16,49
16,42
15,77
15,74
15,69
15,64
15,47
15,45
15,39
15,28
ACT
IVIT
É
NO
TOR
IÉT
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BU
LAT
IND OIRE
ICE
DE
GR
AV
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NO
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/ 20
CHU, Amiens (Somme)
Hôpital Raymond-Poincaré, Garches (Hauts-de-Seine)
GH mutualiste, Grenoble (Isère)
CHU, Nîmes (Gard)
CHU, Lille (Nord)
Hôp. A.-Paré, Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine)
CHU, Reims (Marne)
CH, Soissons (Aisne)
169
392
107
107
429
111
131
196
119
274
134
244
94
120
100
115
104
128
145
122
19 %
53 %
60 %
68 %
51 %
14 %
63 %
47 %
52 %
41 %
31 %
52 %
77 %
23 %
30 %
47 %
5 %
76 %
19 %
35 %
2,6
3,3
3,1
5,3
1,3
2,9
3
3,3
3,2
2,9
3
2
4,4
3,2
2,8
2,7
2,4
2,8
3,7
3,5
33
27
28
42
3
6
9
5
11
1
2
1
15
1
2
1
1
0
0
0
52 %
45 %
63 %
47 %
34 %
52 %
31 %
45 %
38 %
40 %
47 %
45 %
28 %
45 %
31 %
23 %
38 %
34 %
69 %
73 %
5 %
1 %
8 %
1 %
15 %
23 %
15 %
11 %
1 %
6 %
2 %
6 %
2 %
2 %
2 %
1 %
3 %
16 %
1 %
0 %
26,6
26,7
27,8
33
25,5
28,5
27
27,4
28,4
26,5
26
25
27,2
28,2
28,3
27,2
27,5
25,7
27,8
29,5
18,25
17,73
17,57
17,48
17,35
17,31
17,26
17,24
16,92
16,58
16,57
16,56
16,10
16,01
15,76
15,60
15,59
15,51
15,44
15,42
Cheville. Classement des 386 hôpitaux et des 419 cliniques pratiquant
des interventions chirurgicales sur la cheville. Ci-dessus, les 30 meilleurs
hôpitaux et les 20 meilleures cliniques. Technicité : part des actes complexes
sur les actes plus simples.
HÔPITAUX
1er
2e
3e
4e
5e
6e
7e
8e
9e
10e
11e
12e
13e
14e
15e
16e
17e
18e
19e
20e
21e
22e
23e
24e
25e
Ø
Ø
Ø
Ø
Ø
Ø
Ø
Ø
Ø
Ø
Ø
Ø
Ø
Ø
Ø
Ø
Ø
Ø
Ø
Ø
Ø
Ø
Ø
Ø
Ø
CHU, Lille (Nord)
CHU, Fort-de-France (Martinique)
Hôpital de la Timone, Marseille (Bouches-du-Rhône)
CHU, Amiens (Somme)
Hôpital Européen, Marseille (Bouches-du-Rhône)
3 770
1 292
1 745
1 111
1 669
1 047
777
738
908
1 175
797
1 104
748
775
585
730
526
495
717
495
348
732
314
334
237
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21 %
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45 %
17 %
33 %
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13 %
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–
18 %
33 %
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17 %
34 %
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18 %
26 %
22 %
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40 %
29 %
68 %
2,3
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5
3,9
4,4
3,5
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3
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2,6
2,6
3,1
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70 %
95 %
62 %
76 %
72 %
64 %
67 %
79 %
55 %
57 %
51 %
24 %
40 %
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47 %
41 %
36 %
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14 %
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34 %
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51 %
28,4
30,6
30,9
27,5
29,3
26,2
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31,5
29,1
27,3
34,7
31,7
31,2
28,4
29,2
26,2
29,7
27,8
28,2
27,6
35,1
30,7
27,6
27,8
27,1
18,59
18,46
18,36
18,25
18,03
17,99
17,87
17,80
17,76
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17,18
17,13
16,98
16,92
16,60
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15,43
15,35
CLINIQUES
SOS
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HÔPITAUX
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/ 20
URGENCES DE LA MAIN
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/ 20
CHIRURGIE DE LA CHEVILLE
1er
2e
3e
4e
5e
6e
7e
8e
9e
10e
11e
12e
13e
14e
15e
16e
17e
18e
19e
19e
21e
22e
23e
24e
25e
26e
27e
28e
29e
30e
31e
32e
33e
34e
35e
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Ø
Ø
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Ø
Ø
Ø
Ø
Clinique Lille Sud*, Lesquin (Nord)
Clinique de la main Jeanne-d’Arc, Nantes (Loire-Atlantique)
Clinique Saint-Jean, Toulon (Var)
Clinique des Diaconesses, Strasbourg (Bas-Rhin)
Hôpital privé Cannes-Oxford, Cannes (Alpes-Maritimes)
Clinique Conti, L’Isle-Adam (Val-d’Oise)
Hôpital privé de l’Ouest-Parisien, Trappes (Yvelines)
Clinique Axium, Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône)
Clinique de Fontaine, Fontaine-lès-Dijon (Côte-d’Or)
Centre de la main**, Trélazé (Maine-et-Loire)
Clinique Clémentville, Montpellier (Hérault)
CH privé du Montgardé, Aubergenville (Yvelines)
Hôp. privé Paul-d’Egine, Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne)
Clinique Fontvert, Sorgues (Vaucluse)
Clinique mutualiste catalane, Perpignan (Pyrénées-Orientales)
Clinique Kennedy, Montélimar (Drôme)
Clinique Saint-François, Haguenau (Bas-Rhin)
CH privé Claude-Galien, Quincy-sous-Sénart (Essonne)
Hôp. privé du Vert-Galant, Tremblay-en-France (Seine-St-Denis)
Clinique Saint-François, Nice (Alpes-Maritimes)
Polyclinique Aguilera, Biarritz (Pyrénées-Atlantiques)
1
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4 361
5 282
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2 082
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1 437
2 425
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2 258
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1 338
1 381
1 501
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19 %
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8 %
28 %
10 %
17 %
29 %
22 %
39 %
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40 %
24 %
13 %
30 %
39 %
17 %
65 %
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12 %
14 %
37 %
38 %
34 %
10 %
12 %
63 %
45 %
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12 %
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29 %
2
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–
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1,6
2,2
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1,3
2,2
2,2
1,7
93 %
92 %
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98 %
90 %
87 %
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92 %
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88 %
62 %
85 %
85 %
71 %
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72 %
94 %
94 %
86 %
93 %
84 %
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78 %
91 %
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27,3
26,1
34
27,9
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28,9
28,4
29,5
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26,9
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28
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30,1
26,7
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17,97
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16,56
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16,38
16,16
15,78
15,54
15,32
Main. Classement des 466 hôpitaux et des 455 cliniques pratiquant
des interventions chirurgicales complexes sur la main. Ci-dessus, les
25 meilleurs hôpitaux et les 35 meilleures cliniques. SOS main : SOS main
officiel ouvert 24 heures sur 24 et 365 j/an (Ø), sinon (Ø). * Collabore avec
le CHU de Lille. ** Collabore avec la clinique Saint-Léonard, la clinique
de l’Anjou et le CHU d’Angers.
Le Point 2241 | 20 août 2015 | 111
ACT
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3e
3e
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13e
14e
15e
16e
17e
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19e
20e
21e
22e
23e
24e
25e
26e
27e
28e
29e
30e
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553
598
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389
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276
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214
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210
1er
2e
3e
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5e
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7e
7e
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11e
12e
13e
14e
15e
16e
17e
17e
19e
20e
21e
22e
23e
24e
25e
26e
27e
28e
29e
30e
CLINIQUES
1er
2e
3e
4e
5e
6e
7e
7e
9e
10e
11e
12e
13e
14e
15e
16e
17e
18e
19e
20e
21e
22e
23e
24e
25e
26e
27e
28e
29e
30e
Clinique Lille Sud, Lesquin (Nord)
Clinique Saint-André, Vandœuvre-lès-Nancy (M.-et-Moselle)
Clinique Saint-Charles, Lyon (Rhône)
Clinique Victor-Hugo, Paris
Clinique du Parc-Impérial, Nice (Alpes-Maritimes)
Clinique Charcot, Sainte-Foy-lès-Lyon (Rhône)
Clinique du Mont-Louis, Paris
Clinique Saint-Léonard, Trelazé (Maine-et-Loire)
Clinique de Domont, Domont (Val-d’Oise)
Clinique Générale, Annecy (Haute-Savoie)
Clinique du Parc, Saint-Priest-en-Jarez (Loire)
CH privé Claude-Galien, Quincy-sous-Sénart (Essonne)
69 %
57 %
35 %
10 %
6 %
35 %
25 %
19 %
9 %
16 %
13 %
5 %
35 %
24 %
48 %
13 %
50 %
4 %
40 %
5 %
53 %
38 %
9 %
17 %
15 %
24 %
12 %
17 %
21 %
14 %
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3,4
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4,5
3,7
4,1
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2,6
6,2
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3,8
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3,9
5,2
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2,5
4,2
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2,6
86 %
79 %
52 %
26 %
21 %
25 %
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23 %
50 %
16 %
27 %
21 %
12 %
28 %
58 %
13 %
64 %
23 %
14 %
47 %
4 %
16 %
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24 %
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20 %
87 %
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59 %
74 %
72 %
84 %
74 %
74 %
77 %
83 %
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62 %
68 %
68 %
67 %
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68 %
67 %
61 %
66 %
83 %
64 %
69 %
73 %
70 %
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28,2
25,5
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29,2
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26,4
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17,56
17,56
17,44
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CHU, Amiens (Somme)
CH, Agen (Lot-et-Garonne)
CHU, Lille (Nord)
Hôpital Renée-Sabran, Hyères (Var)
CH intercommunal, Meulan (Yvelines)
Hôpital de la Timone, Marseille (Bouches-du-Rhône)
CH, Dreux (Eure-et-Loir)
2 253
1 126
1 088
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1 125
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1 375
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61 %
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43 %
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26 %
34 %
72 %
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21 %
28 %
63 %
27 %
15 %
51 %
21 %
10 %
45 %
30 %
51 %
65 %
42 %
23 %
73 %
2,2
2,1
2,1
2,2
1,4
2
2,4
2,4
2,1
2,3
2,1
2,4
2,9
2
2
2
2,3
2,2
2,6
1,8
2,9
2,2
2
3,3
2,5
2,4
3,3
3,1
2,9
2,6
11 %
34 %
34 %
50 %
74 %
33 %
11 %
46 %
51 %
21 %
24 %
29 %
22 %
89 %
34 %
9 %
73 %
34 %
9 %
74 %
26 %
16 %
16 %
19 %
43 %
10 %
20 %
19 %
12 %
16 %
87 %
13 %
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72 %
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89 %
72 %
78 %
83 %
80 %
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74 %
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87 %
88 %
78 %
70 %
73 %
69 %
66 %
82 %
75 %
70 %
74 %
78 %
71 %
65 %
76 %
76 %
25,2
25,4
25,3
25,8
25
25,1
25,7
25,5
25,7
25,4
25,3
25,6
25,9
26
25,1
25,1
27,8
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25,6
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25,8
25,4
25,9
25,1
25,1
25,4
25,8
25,9
25,4
17,89
17,87
17,84
17,81
17,75
17,73
17,69
17,69
17,65
17,52
17,47
17,12
17,05
17,04
16,76
16,63
16,46
16,44
16,38
16,21
16,19
16,04
15,88
15,87
15,86
15,72
15,67
15,55
15,53
15,50
Pied. Classement des 402 hôpitaux et des 437 cliniques pratiquant
des interventions chirurgicales sur le pied. Ci-dessus, les 30 meilleurs
hôpitaux et les 30 meilleures cliniques. Technicité : part des actes complexes
sur les actes plus simples.
112 | 20 août 2015 | Le Point 2241
CHU, Lille (Nord)
CHU, Amiens (Somme)
CHU, Reims (Marne)
CH, Dax (Landes)
CH, Saint-Brieuc (Côtes-d’Armor)
CH, Haguenau (Bas-Rhin)
CLINIQUES
1er
2e
3e
4e
5e
6e
7e
8e
9e
10e
11e
12e
13e
14e
15e
16e
17e
18e
19e
20e
21e
22e
23e
24e
25e
Clinique Générale, Annecy (Haute-Savoie)
Polyclinique Saint-Jean, Montpellier (Hérault)
Clinique Sainte-Marie, Chalon-sur-Saône (Saône-et-Loire)
Ctre orthopédique méd.-chir., Dracy-le-Fort (Saône-et-Loire)
Hôpital privé d’ Antony, Antony (Hauts-de-Seine)
Polyclinique du Parc, Bar-le-Duc (Meuse)
Clinique de l’Alliance, Saint-Cyr-sur-Loire (Indre-et-Loire)
Polyclinique Aguilera, Biarritz (Pyrénées-Atlantiques)
984
694
724
836
851
508
472
415
450
515
662
507
370
341
264
286
310
253
377
332
382
259
411
386
317
391
215
217
212
279
31 %
44 %
22 %
53 %
30 %
30 %
62 %
17 %
24 %
11 %
12 %
42 %
38 %
25 %
18 %
16 %
24 %
33 %
14 %
36 %
16 %
58 %
14 %
12 %
5 %
24 %
26 %
4 %
66 %
9 %
3,2
4
4
2,2
2,8
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2,6
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5,8
4,1
4
4
3,4
3,6
5
3,2
4,4
3,8
3
2,4
2,1
4,6
4,6
3,9
2,5
208
80
81
138
114
87
95
110
72
64
53
69
58
41
61
60
49
91
40
36
47
35
26
29
35
29
37
36
52
26
6 %
8 %
11 %
10 %
1 %
8 %
7 %
15 %
4 %
11 %
6 %
7 %
2 %
2 %
7 %
0 %
4 %
7 %
2 %
8 %
6 %
11 %
0 %
10 %
9 %
7 %
3 %
6 %
0 %
12 %
29,3
32,2
31,4
26,9
27
30,8
28,3
28,6
31,2
28,6
31,1
27,9
31,8
33,2
32,4
31,9
31,6
28,5
31,4
31,3
27,9
32,8
35,4
28,2
29
26,4
34,2
33,4
29,2
30,8
18,98
18,69
18,68
18,63
18,33
18,31
18,12
18,12
17,83
17,79
17,70
17,63
17,11
16,85
16,82
16,78
16,63
16,63
16,62
16,60
16,48
16,29
16,24
16,03
15,98
15,89
15,67
15,65
15,42
15,25
ACT
IVIT
É
NO
TOR
IÉT
DU É
RÉE
D
PRO E SÉJO
THÈ UR
S
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PLA
IND CEME
ICE NT
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/ 20
HÔPITAUX
ACT
IVIT
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NO
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THÈ OUR
REM SES
PLA
C
IND EMEN
ICE
T
DE
GR
AV
NO
ITÉ
TE
/ 20
CHIRURGIE DE L’ÉPAULE
CHIRURGIE DU PIED
1 778
1 089
1 873
1 576
1 193
1 246
1 607
828
1 237
874
779
1 325
945
861
627
637
635
706
970
622
800
707
561
456
664
54 %
76 %
40 %
16 %
33 %
20 %
44 %
50 %
64 %
23 %
42 %
40 %
27 %
55 %
47 %
73 %
27 %
28 %
56 %
44 %
28 %
45 %
42 %
46 %
27 %
2,9
3
2,6
1,9
3,9
2,8
2
3
2,2
3,4
3
1,8
2
3,6
4,3
3,6
3,2
3,7
2,2
2,2
3
3,1
3,1
3,7
3,2
258
173
157
221
134
105
123
139
95
122
90
89
87
83
137
67
88
76
66
99
63
20
73
70
40
9 %
12 %
6 %
10 %
8 %
10 %
9 %
9 %
13 %
4 %
13 %
4 %
11 %
8 %
4 %
13 %
10 %
4 %
0 %
8 %
8 %
10 %
10 %
7 %
2 %
27,5
27,5
27,3
26,4
29,8
28,4
25,7
28,5
26,8
30,5
27,4
25,6
26,4
27,7
29,2
31,6
28,8
28,3
26,4
26,2
27,1
30
28,1
29,8
28,9
18,87
18,51
18,44
18,42
18,27
18,22
18,05
18,01
17,92
17,66
17,23
17,14
17,10
17,02
16,97
16,85
16,72
16,24
16,16
16,12
16,09
15,82
15,77
15,32
15,28
Epaule. Classement des 459 hôpitaux et des 434 cliniques pratiquant
des interventions chirurgicales sur l’épaule. Ci-dessus, les 30 meilleurs
hôpitaux et les 25 meilleures cliniques. Remplacement : pourcentage
de nouvelles prothèses posées à la place d’une ancienne.
1er
HÔPITAUX
ACT
IVIT
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C
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/ 20
HÔPITAUX
ACT
IVIT
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RÉE
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REM E SÉJ
PLA OUR
C
IND EMEN
ICE
T
DE
GR
A
V
NO
ITÉ
TE
/ 20
PROTHÈSE DE GENOU
469 27 % 14,2 20 % 42,1
18,77
295 78 % 11 12 % 36,2
16,93
442 44 % 7,6 13 % 39,9
18,56
470 14 % 9,5 6 % 32,7
16,88
541 65 % 6,6 12 % 36,9
18,49
23e Polyclinique (Ahnac), Hénin-Beaumont (Pas-de-Calais)
257 14 % 9,2 6 % 48,7
16,71
4
583 55 % 7,5 8 % 38,4
18,40
274 29 % 10,6 5 % 41,6
16,61
5e
710 14 % 9,9 3 % 44,5
18,05
217 29 % 9,2 12 % 40,7
16,47
e
2
3e
e
e
e
6
416 25 % 7,8 6 % 42,8
18,01
26
CH, Tourcoing (Nord)
192 16 % 11,6 31 % 46,9
16,45
7e
345 57 % 9,6 14 % 38,8
17,91
358 23 % 10,9 5 % 34,4
16,35
8e
662 26 % 7,9 5 % 37,4
17,79
28
355 10 % 10,3 5 % 35,8
16,27
9e
260 42 % 8,8 15 % 46,2
17,64
299 12 % 8,2 6 % 35,5
16,26
347 31 % 8,7 15 % 36,4
17,63
216 53 % 14 11 % 39,9
16,25
e
11
5 % 37,5
17,46
31
608 50 % 6,6 5 % 32,7
17,32
455 43 % 8,5 7 % 35,4
17,31
33
353 39 % 8,6 9 % 36,6
17,30
241 5 % 8,7 7 % 36,4
15,77
15e CH, Versailles (Yvelines)
280 25 % 9,7 11 % 41
17,21
273 18 % 8,8 6 % 34,2
15,65
388 20 % 8,9 7 % 36,3
17,13
36e Hôpital Ambroise-Paré, Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine)
173 55 % 10,8 14 % 44,1
15,62
299 14 % 10,6 9 % 39,5
17,12
233 17 % 8,8 8 % 34,8
15,49
253 49 % 15 15 % 41,6
17,09
38e CH, Haguenau (Bas-Rhin)
213 6 % 8,2 6 % 35
15,45
316 73 % 9,7 9 % 36,2
17,03
219 8 % 9,8 4 % 39,6
15,37
286 75 % 9
16,94
177 24 % 9,5 10 % 38,8
15,31
e
19
CLINIQUES
4 % 44,6
e
CLINIQUES
231 21 % 8,6 5 % 48,4
16,20
282 1 % 8,6 8 % 35,6
16,17
254 40 % 10,1 3 % 41,2
15,99
ACT
IVIT
É
NO
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IÉT
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IND CEME
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/ 20
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PLA OUR
IND CEME
ICE NT
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GR
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TE
/ 20
17
442 62 % 9
e
12e Hôpital Renée-Sabran, Hyères (Var)
e
e
1er
710 4 % 7,1 9 % 41
19,11
443 25 % 7,7 5 % 34,5
16,68
2e
Centre orthopédique méd.-chirurgical, Dracy-le-Fort (Saône-et-Loire)
727 43 % 8,5 6 % 40,1
18,94
385 18 % 9,1 4 % 44,3
16,67
435 4 % 7,9 5 % 36,8
16,66
e
e
3
Clinique Arago, Paris
586 65 % 6,9 6 % 37,3
18,49
23
4e
616 41 % 6,4 9 % 34,3
18,43
24e Clinique mutualiste catalane, Perpignan (Pyrénées-Orientales)
426 6 % 7,9 8 % 32,5
16,55
5e
Clinique Maussins-Nollet, Paris
623 77 % 6,8 6 % 35,1
18,31
25e Polyclinique de l’Atlantique, Saint-Herblain (Loire-Atlantique)
461 28 % 8,3 3 % 34,2
16,35
6e
16,27
Clinique Sainte-Odile, Strasbourg (Bas-Rhin)
573 6 % 8,5 5 % 39,7
18,09
26e Clinique de Domont, Domont (Val-d’Oise)
377 13 % 6
e
7
459 19 % 8,2 10 % 39,6
17,93
367 25 % 8,7 4 % 41
16,11
8e
511 58 % 6,6 9 % 33,6
17,88
28e Clinique Générale, Annecy (Haute-Savoie)
321 8 % 7,8 7 % 45
16,09
9e
441 24 % 9,2 9 % 39,8
17,77
29e Clinique de l’Orangerie, Strasbourg (Bas-Rhin)
343 13 % 10 5 % 46,3
15,97
602 34 % 8,8 2 % 39,7
17,74
355 10 % 7,5 6 % 35,8
15,92
502 49 % 7,6 4 % 40,8
17,70
31e Polyclinique de Montier-la-Celle, Saint-André-les-Vergers (Aube)
399 21 % 9,2 2 % 37,4
15,90
e
10
11e Clinique de l’Europe, Rouen (Seine-Maritime)
e
12
491 37 % 6,8 6 % 36,2
17,66
32
383 12 % 10,4 4 % 36,6
15,88
13e Médipôle Garonne, Toulouse (Haute-Garonne)
936 44 % 5,2 4 % 31,9
17,63
33e Polyclin. de Limoges François-Chénieux, Limoges (Haute-Vienne)
394 25 % 7,4 3 % 35,3
15,84
413 46 % 8,3 12 % 38,5
17,58
34e Hôpital privé Arras Les Bonnettes, Arras (Pas-de-Calais)
372 3 % 7,1 5 % 33,9
15,69
e
15
e
6 % 34,4
e
Polyclinique La Ligne bleue, Epinal (Vosges)
491 7 % 8,6 4 % 39,6
17,45
35
346 15 % 8,5 6 % 35,8
15,58
404 28 % 8,4 8 % 37,1
17,12
303 7 % 7,4 11 % 38,9
15,54
17e Clinique du Cèdre, Bois-Guillaume (Seine-Maritime)
520 22 % 10,2 5 % 32,2
16,98
37e Pôle Santé Oréliance, Saran (Loiret)
372 10 % 9,3 2 % 37,6
15,52
367 11 % 9,3 5 % 33,4
15,34
e
18
e
478 34 % 7,5 5 % 33,4
16,89
38
19e Centre médico-chirurgical Les Cèdres, Brive-la-Gaillarde (Corrèze)
484 30 % 10,6 3 % 38
16,86
39e Clinique des Lilas, Les Lilas (Seine-Saint-Denis)
304 56 % 8,4 4 % 43,5
15,32
516 45 % 6,3 4 % 30,6
16,84
301 10 % 8,4 6 % 42,7
15,22
Pôle Santé Léonard-de-Vinci, Chambray-lès-Tours (Indre-et-Loire)
Genou. Classement des 378 hôpitaux et des 417 cliniques posant des prothèses de genou. Ci-dessus, les 40 meilleurs hôpitaux et les 40 meilleures
cliniques. Remplacement : pourcentage de nouvelles prothèses posées à la place d’une ancienne.
Le Point 2241 | 20 août 2015 | 113
Ctre chirurgical Emile-Gallé, Nancy (Meurthe-et-Moselle)
CHU, Lille (Nord)
CH, Pau (Pyrénées-Atlantiques)
CH Nord Mayenne, Mayenne (Mayenne)
CHU, Amiens (Somme)
CLINIQUES
1er
2e
3e
4e
5e
6e
7e
8e
9e
10e
11e
12e
13e
14e
15e
16e
17e
18e
19e
20e
21e
22e
23e
24e
25e
25e
27e
28e
29e
30e
Clinique Maussins-Nollet, Paris
Clinique des Lilas, Les Lilas (Seine-Saint-Denis)
Clinique Saint-Gatien, Tours (Indre-et-Loire)
Clinique des Cèdres, Echirolles (Isère)
CMC Paris V, Paris
Clinique d’Argonay, Argonay (Haute-Savoie)
Clinique de la Sauvegarde, Lyon (Rhône)
Ctre orthopédique méd.-chir., Dracy-le-Fort (S.-et-Loire)
Polyclin. de l’Atlantique, St-Herblain (Loire-Atlantique)
363
447
166
230
194
186
194
160
132
164
139
129
120
124
154
102
113
107
88
114
102
93
104
95
84
86
88
83
84
91
27 %
29 %
37 %
36 %
44 %
39 %
18 %
24 %
77 %
9 %
8 %
58 %
20 %
29 %
21 %
6 %
16 %
7 %
14 %
25 %
52 %
38 %
28 %
23 %
24 %
13 %
24 %
4 %
15 %
30 %
3,9
4,6
4
3,6
2,4
4,1
5,2
3,2
5,9
3,2
4,2
3
3,6
4
4,7
2,1
4,4
3,1
2,6
4,2
1,7
5,2
2,1
3,7
1,2
2,6
5,7
2,6
4,4
4,8
82 %
91 %
87 %
93 %
96 %
84 %
79 %
100 %
95 %
86 %
84 %
95 %
85 %
90 %
88 %
92 %
86 %
94 %
85 %
82 %
84 %
98 %
92 %
66 %
96 %
94 %
78 %
87 %
82 %
74 %
55 %
52 %
54 %
52 %
51 %
54 %
56 %
50 %
51 %
54 %
54 %
51 %
54 %
53 %
53 %
52 %
54 %
51 %
54 %
55 %
54 %
51 %
52 %
60 %
51 %
52 %
56 %
54 %
55 %
58 %
34 %
10 %
16 %
38 %
9 %
6 %
8 %
12 %
12 %
9 %
14 %
8 %
11 %
7 %
6 %
7 %
6 %
13 %
12 %
6 %
7 %
9 %
7 %
9 %
16 %
12 %
8 %
13 %
8 %
5 %
25,9
26,1
27
25,3
25,6
28,1
27,4
25,9
26,7
25,3
25,7
25,8
26,5
27,4
26,5
26,6
28,1
25
26,7
26,6
25,2
27,4
25
26,3
25,3
25,9
27
25,6
27,7
26,6
17,95
17,93
17,88
17,85
17,69
17,43
17,37
17,35
16,96
16,95
16,87
16,85
16,81
16,77
16,51
16,44
16,41
16,37
16,34
16,30
16,20
16,15
16,11
16,08
16,06
15,97
15,73
15,71
15,65
15,51
ACT
IVIT
É
NO
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1
2e
3e
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5e
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8e
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10e
11e
12e
13e
14e
15e
16e
17e
18e
19e
20e
21e
22e
23e
24e
25e
26e
27e
28e
29e
30e
1 637
1 146
1 452
710
1 297
945
561
571
692
413
388
572
503
392
488
341
355
379
355
323
359
328
329
322
269
284
272
261
294
289
114 | 20 août 2015 | Le Point 2241
50 %
52 %
78 %
64 %
45 %
35 %
70 %
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7 %
43 %
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19 %
17 %
2
1,9
3,4
3,8
1,8
2,4
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3,4
0,8
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2,2
2,5
3
2,9
1,8
4,2
3,3
4,6
3,8
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4,2
3,6
3
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1,1
2,9
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4,1
99 %
99 %
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99 %
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98 %
94 %
97 %
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98 %
96 %
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50 %
51 %
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51 %
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50 %
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51 %
54 %
51 %
51 %
52 %
53 %
52 %
35 %
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21 %
24 %
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13 %
10 %
15 %
22 %
20 %
18 %
15 %
21 %
13 %
18 %
18 %
15 %
18 %
20 %
10 %
11 %
15 %
10 %
25,1
25,3
25,4
29,1
25
25,3
25
26,4
25,2
25
25,6
25,1
25,2
25,9
25,3
25,8
25,1
25,5
25,7
28,2
25,4
25,8
25,3
25,7
26,4
25,1
25,3
25,9
25,1
25,8
18,31
18,22
18,14
18,06
17,91
17,88
17,50
17,42
17,31
17,23
17,15
17,02
16,96
16,90
16,81
16,74
16,63
16,42
16,39
16,30
16,20
16,18
15,95
15,87
15,79
15,79
15,68
15,51
15,47
15,42
HÔPITAUX
1er
2e
3e
4e
5e
6e
7e
8e
9e
9e
11e
12e
13e
14e
15e
16e
17e
18e
19e
20e
21e
22e
23e
23e
25e
26e
27e
28e
28e
30e
31e
32e
33e
34e
35e
36e
37e
38e
39e
40e
41e
42e
43e
44e
45e
46e
47e
48e
49e
50e
CHU, Lille (Nord)
CHU, Amiens (Somme)
CH, Le Havre (Seine-Maritime)
CH Sud francilien, Evry (Essonne)
CHU, Reims (Marne)
CH Saint-Joseph-Saint-Luc, Lyon (Rhône)
CHI, Belfort/Montbéliard (Territoire-de-Belfort/Doubs)
Hôp. Saint-Philibert (Inst. cathol. de Lille), Lomme (Nord)
Hôpital Jean-Verdier, Bondy (Seine-Saint-Denis)
CH, Annecy-Genevois, Pringy (Haute-Savoie)
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LIGAMENTS DU GENOU
314
503
271
355
234
448
63
293
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688
239
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78
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481
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79
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67
231
329
132
133
161
255
31
146
66
79
53
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220
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59
246
15
13
48
70
52
71
64
77
113
64
37 %
82 %
26 %
55 %
57 %
36 %
41 %
61 %
24 %
65 %
26 %
40 %
8 %
43 %
73 %
45 %
13 %
31 %
4 %
49 %
51 %
36 %
16 %
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35 %
6 %
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19 %
77 %
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42 %
56 %
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65 %
20 %
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44 %
13 %
33 %
15 %
15 %
27 %
25 %
61 %
72 %
3 %
35 %
16 %
2,5
3
5,7
2,6
1,7
3
3,6
2,5
2,3
3,9
6,5
3,2
3,2
3
1,8
2,5
4,5
2,3
4,8
3,2
4
3,6
6,1
5,8
2
4,7
4,3
4,4
5,1
5,8
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2,2
8,5
5,5
5,9
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5,1
5,9
3,4
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10,5
6,6
3,5
2,7
4,4
5,9
6,5
3,7
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37,8
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40,2
36,3
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44,2
40,8
43,3
32,5
44,2
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37,5
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48,4
33
38,3
33,6
45,9
44,1
46,7
32,9
45,6
41,2
42,9
39,2
43,9
38,5
40,8
35,3
41,2
39,7
38,6
45,3
39,2
49,1
36,4
44,2
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37,8
36,6
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38,2
51,8
40,8
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51
2 062 2 000
1 716 1 340
2 103 2 325
2 071 624
1 500 2 000
2 508 2 705
3 000 4 000
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1 140 1 100
2 979 1 479
2 489 925
1 714 1 050
821 1 305
1 500 760
1 114 650
694 900
1 669 874
535 380
2 000 2 000
1 526 283
1 528 327
806 259
1 350 350
1 244 283
632 657
647 764
915 300
650 633
797 750
623 918
1 132 570
746 750
416 574
663 352
1 249 304
555 308
640 218
280 640
878 127
660 143
675 537
548 775
1 126 304
635 145
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299 289
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279 200
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18,34
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18,15
18,09
17,86
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17,61
17,50
17,37
17,33
17,25
17,20
17,19
17,09
17,03
17,03
17
16,94
16,87
16,82
16,82
16,81
16,79
16,73
16,60
16,54
16,48
16,44
16,37
16,20
16,18
16,13
16,04
15,98
15,85
15,75
15,63
15,62
15,59
15,57
15,38
15,25
Ligaments du genou. Classement des 379 hôpitaux et des 417
cliniques pratiquant la chirurgie des ligaments du genou. Ci-contre,
les 30 meilleurs hôpitaux et les 30 meilleures cliniques. Technicité :
pourcentage d’interventions sur les ligaments par rapport à l’ensemble des
opérations du ligament du genou et des arthroscopies réalisées. Spécialisation :
pourcentage des interventions sur les genoux (ligaments et prothèses)
par rapport à la totalité des interventions de chirurgie orthopédique.
Rhumatologie. Classement des 482 hôpitaux prenant en charge
la polyarthrite rhumatoïde. Ci-dessus, les 50 meilleurs. Biothérapie :
nombre de patients traités par biothérapie en 2014. Dupuytren : prise
en charge sur place par aponévrotomie percutanée de la maladie de Dupuytren
(Ø), sinon (Ø).
URGENCES TRAUMATOLOGIQUES
1er
e
2
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17e
18e
19e
20e
21e
22e
23e
24e
25e
26e
27e
28e
29e
30e
31e
32e
33e
34e
35e
36e
37e
38e
39e
40e
CHU, Lille (Nord)
Hôp. Bicêtre, Le Kremlin-Bicêtre (Val-de-Marne)
CHU, Amiens (Somme)
Hôp. universitaires, Strasbourg (Bas-Rhin)
Hôp. Timone (adultes), Marseille (B.-du-R.)
CHU, Reims (Marne)
CH, Valence (Drôme)
297
210
249
250
157
166
140
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142
163
118
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188
139
138
107
135
106
104
131
155
72
107
77
168
103
167
60
54
78
49
78
73
38
79
46
Hôp. d’instr. des armées Percy, Clamart (Hts-de-Seine) 32
77
42
49 %
46 %
54 %
40 %
41 %
36 %
53 %
70 %
67 %
88 %
56 %
43 %
39 %
47 %
53 %
58 %
35 %
82 %
53 %
21 %
39 %
63 %
86 %
50 %
53 %
22 %
17 %
62 %
42 %
4 %
37 %
31 %
54 %
45 %
13 %
30 %
46 %
91 %
–
26 %
20,8
19,7
17,3
29,9
15,6
25
22,2
30,8
23,7
23,9
17,8
19,6
24,3
17,5
18,9
22,5
24,4
29,4
21,9
21,2
24,7
22,5
12,5
14,9
18,8
19,5
26,9
30,5
21
23,5
18,7
19,4
27,5
23,1
20,4
21,5
13,3
26,5
17,3
19,2
64,7
67,7
60,1
64,3
59,4
63,6
69,8
65,5
72,7
62,4
66,3
60,3
67,6
64,4
65,6
63
64,7
58,2
63,2
59,1
59,9
55
55,2
57
59,1
58,5
61,9
61,4
62,1
68,5
57,4
65,8
62,5
71,2
57,9
67,1
54,9
59,4
55,2
58,9
246
188
171
331
227
296
187
234
148
157
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139
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14
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107
228
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73
82
124
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4
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18,15
18,10
18,01
17,82
17,77
17,74
17,67
17,54
17,49
17,42
17,36
17,33
17,25
17,22
17,21
17,17
17,10
17,07
16,86
16,74
16,54
16,51
16,50
16,47
16,22
16,11
16,05
15,65
15,48
15,27
ACT
IVIT
É
NO
TOR
IÉT
DU É
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IND OIRE
ICE
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ACT
IVIT
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NO
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/ 20
HÔPITAUX
TRAUMATOLOGIE DE LA FACE
HÔPITAUX
1er
2e
3e
4e
5e
6e
7e
8e
9e
10e
11e
12e
13e
14e
15e
16e
17e
18e
19e
20e
20e
22e
23e
24e
25e
26e
27e
28e
29e
30e
31e
32e
33e
34e
35e
CHU, Lille (Nord)
CHU, Amiens (Somme)
CH, Perpignan (Pyrénées-Orientales)
CHI, Villeneuve-Saint-Georges (Val-de-Marne)
Hôp. de la Timone* (adultes), Marseille (B.-du-Rhône)
CHU, Nîmes (Gard)
CHU, Reims (Marne)
717
318
555
384
379
222
263
214
379
178
180
233
262
171
221
122
129
170
110
218
131
200
110
207
166
160
122
173
114
130
155
109
101
103
107
69 %
28 %
45 %
39 %
44 %
31 %
30 %
9 %
35 %
43 %
38 %
18 %
51 %
48 %
47 %
81 %
20 %
44 %
17 %
50 %
–
34 %
25 %
19 %
83 %
34 %
35 %
65 %
22 %
19 %
22 %
21 %
45 %
17 %
22 %
5,7
10,6
6,6
11,7
6,8
7
7,3
4,2
4,5
5,7
11,9
7,9
13,5
6,9
5,2
6,9
9,8
4,4
11,6
4
7,6
3,5
5,9
3,3
15,1
5,8
4,5
3,7
9,8
7,2
2,8
3,7
10,4
6
2,3
14 %
27 %
17 %
20 %
15 %
30 %
30 %
36 %
19 %
22 %
21 %
27 %
17 %
23 %
1 %
11 %
34 %
32 %
40 %
9 %
17 %
18 %
44 %
20 %
5 %
11 %
40 %
14 %
17 %
8 %
30 %
26 %
32 %
36 %
56 %
31,1
41,5
37,6
39,9
38,3
37,5
36,3
35,1
31
36,3
38,8
32,9
34,4
36,8
33,5
42,1
40,2
32,2
43,9
32,1
40,7
29,4
37,5
27,3
41
36,9
32,2
29
40,8
39,2
26,4
33,6
38,8
36,4
25
18,18
18,15
18,12
17,94
17,88
17,60
17,50
17,44
17,26
16,93
16,91
16,81
16,77
16,75
16,72
16,68
16,66
16,65
16,63
16,61
16,61
16,53
16,52
16,47
16,45
16,33
16,23
16,19
16,09
16,07
16,05
15,81
15,78
15,73
15,46
Traumatologie maxillo-faciale. Classement des
336 hôpitaux ayant pris en charge des traumatismes maxillofaciaux. Ci-dessus, les 35 meilleurs. * Cette activité devait être
transférée en mai 2015 à l’hôpital de la Conception à Marseille.
1er
2e
3e
4e
5e
6e
7e
8e
9e
10e
11e
12e
13e
14e
15e
16e
17e
18e
Hôpital Pierre-Wertheimer, Bron (Rhône)
CHU, Lille (Nord)
1 525
942
749
1 360
874
750
1 236
1 467
553
591
942
735
729
1 464
737
522
515
533
60 %
45 %
53 %
48 %
61 %
42 %
56 %
79 %
88 %
73 %
69 %
56 %
60 %
43 %
46 %
19 %
76 %
29 %
52 %
32 %
39 %
33 %
14 %
25 %
22 %
14 %
37 %
28 %
25 %
23 %
18 %
19 %
12 %
16 %
30 %
31 %
14,6
15,2
12,6
16,8
12,3
15,6
14,7
16,2
15,1
15,7
23
14,7
13,6
15,9
14,6
12,3
17,9
12,4
13 %
13 %
11 %
7 %
11 %
7 %
6 %
9 %
21 %
10 %
9 %
6 %
6 %
3 %
5 %
15 %
11 %
9 %
52,5
60,7
57
58,2
56
62,7
55,9
51,2
53,1
57,9
52,4
56,1
56,4
49,6
56,6
59
60,4
51,2
18,85
18,59
18,37
18,02
17,80
17,65
17,52
17,40
17,21
17,20
17,19
17,10
16,99
16,94
16,87
16,80
16,64
16,56
HÔPITAUX
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/ 20
NEUROCHIRURGIE
19e
20e
21e
22e
23e
24e
25e
26e
27e
28e
29e
30e
31e
32e
33e
34e
35e
628
582
699
629
499
571
421
569
357
480
528
467
456
362
299
478
435
Hôpital Sainte-Anne, Paris
CHU, Reims (Marne)
CHU, Amiens (Somme)
Hôpital d’instruction des armées Sainte-Anne, Toulon (Var)
25 %
91 %
38 %
61 %
83 %
51 %
66 %
80 %
71 %
58 %
88 %
63 %
58 %
17 %
11 %
45 %
41 %
19 %
24 %
19 %
23 %
22 %
31 %
28 %
33 %
35 %
28 %
17 %
9 %
23 %
27 %
38 %
7 %
23 %
18,4
8,8
18,2
15,4
17,9
19,2
13,8
15,8
14,9
10,4
17,6
11,5
13,8
21,6
15,6
16
17,7
12 %
1 %
9 %
8 %
12 %
10 %
22 %
5 %
14 %
7 %
11 %
10 %
6 %
14 %
8 %
8 %
9 %
54,1
47,8
53,7
47,3
65
52,8
53,9
48,8
56,4
50,1
52,4
54,8
57,5
59,2
58
56,8
56,6
16,51
16,48
16,44
16,43
16,42
16,40
16,15
16,14
16,06
16,02
15,95
15,89
15,86
15,53
15,46
15,39
15,29
Urgences traumatologiques. Classement des 429 hôpitaux ayant pris en charge au moins un polytraumatisé. Ci-dessus, les 40 meilleurs.
Neurochirurgie : nombre d’opérations du crâne pour traumatisme dans les centres autorisés. Hélicoptère sanitaire : possibilité d’accueillir sur place
un hélicoptère sanitaire 24h/24 et 365 jours par an (Ø), sinon (Ø). Scan/IRM, anesthésiste, orthopédiste, chirurgien digestif : équipement et professionnels
sur place (Ø) sinon (Ø) Embolisations : nombre d’embolisations artérielles réalisées en 2014 en cas de fracture du bassin ou du rein.
Neurochirurgie. Classement des 103 hôpitaux réalisant des actes de neurochirurgie. Ci-dessus, les 35 meilleurs.
Technicité : pourcentage de craniotomies sous stéréotaxie et/ou guidage peropératoire assisté par ordinateur par rapport au total des craniotomies.
Spécialisation : pourcentage des opérations de méningiomes par rapport au total des craniotomies.
Le Point 2241 | 20 août 2015 | 115
HÔPITAUX
ACT
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CHIRURGIE DE LA COLONNE VERTÉBRALE
1er
2 125 51 % 8,6 52 % 36
Ø
18,52
794 58 % 7,1 30 % 35,3 Ø
16,92
2e
1 341 38 % 8,9 51 % 37,4 Ø
18,33
27e CH intercommunal, Gap/Sisteron (Hautes-Alpes)
263 32 % 6,5 56 % 33,1 NR
16,89
1
1
1
3e
978 55 % 7 42 % 39,5 Ø
18,15
28e Hôpital de la Timone (enfants), Marseille (Bouches-du-Rhône)
222 57 % 8,7 54 % 39
4e
1 188 60 % 9,1 42 % 39,9 Ø
18,11
561 53 % 7,7 28 % 40,6 NR
5e
1 119 86 % 10,5 44 % 40,6 Ø
18,04
30e Hôpital Raymond-Poincaré, Garches (Hauts-de-Seine)
262 74 % 10 47 % 40,5 Ø
6e
969 20 % 6,5 45 % 34,9 Ø
17,92
647 81 % 8,7 25 % 45,6 Ø
16,50
7e
1 060 45 % 8 34 % 42
Ø
17,86
1 084 49 % 6,2 13 % 33,2 Ø
16,49
8e
676 50 % 8,8 51 % 41,7 Ø
17,78
394 6 % 7,5 39 % 32,9 Ø
16,44
8e
CHU, Lille (Nord)
1 313 35 % 8 38 % 34,6 Ø
17,78
725 51 % 10 26 % 44,3 Ø
16,41
10e Hôpital Necker-Enfants malades, Paris
406 93 % 8,4 62 % 40,9 Ø
17,73
353 82 % 8,5 31 % 42,3 Ø
16,40
1
0
1
1
1
1
1
1
Ø
1
16,66
16,61
0
1
1
1
1
0
16,60
1 364 66 % 6,4 29 % 35,5 Ø
17,70
552 67 % 8,5 30 % 36,5 Ø
16,36
970 49 % 8,9 34 % 41,6 Ø
17,43
893 73 % 6,2 15 % 35,1 Ø
16,35
815 55 % 9,7 35 % 44,7 Ø
17,33
203 22 % 7,6 42 % 37,6 Ø
16,31
853 60 % 7 32 % 36,2 Ø
17,32
735 29 % 6,4 20 % 35,7 Ø
16,25
16,24
1
1
1
1
1
1
1
1
15e Centre médico-chirurgical des Massues, Lyon (Rhône)
505 78 % 10,2 96 % 34,4 Ø
17,19
825 55 % 7,2 16 % 36,3 Ø
1 231 80 % 10,2 29 % 39,6 Ø
17,18
691 57 % 7,8 24 % 36,5 Ø
16,18
494 33 % 10,1 45 % 44,2 Ø
17,14
289
8,8 30 % 45,3 Ø
16,16
16,08
0
1
1
1
1
–
1
1 030 54 % 8 26 % 40,2 Ø
17,13
43e Hôp. Saint-Philibert (Inst. catholique de Lille), Lomme (Nord)
231 44 % 10,3 38 % 45,4 Ø
978 36 % 8,1 30 % 37,1 Ø
17,12
234 25 % 10,6 41 % 40,6 NR
619 42 % 6 32 % 36,5 Ø
17,03
409 78 % 8,9 16 % 48,7 Ø
15,85
15,80
1
1
1
1
16,01
1
997 41 % 8,1 28 % 37,4 Ø
17
46e Hôpital Antoine-Béclère, Clamart (Hauts-de-Seine)
197 85 % 7,7 40 % 31,6 Ø
1 146 19 % 7,1 24 % 36,4 Ø
16,97
47e CH, Bayonne (Pyrénées-Atlantiques)
347 33 % 8,6 27 % 41,5 Ø
15,74
1 403 70 % 6,4 16 % 33,8 Ø
16,96
697 3 % 7,8 11 % 35,9 Ø
15,59
24e Hôpital Foch, Suresnes (Hauts-de-Seine)
387 67 % 7,7 37 % 41
Ø
16,95
49e Hôpital Sainte-Anne, Paris
339 77 % 6,4 17 % 36,2 Ø
15,50
357 42 % 8,4 45 % 40,4 Ø
16,94
50e CH, Bastia (Haute-Corse)
267 50 % 9,4 28 % 36,8 Ø
15,37
CLINIQUES
1er
1
1
0
CLINIQUES
1
1
1
1
1
ACT
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1
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IVIT
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UR SATIO
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CES
24H
/24
NO
TE
/ 20
e
1
1 142 66 % 5,7
32 55 % Ø
17,92
21e Les Franciscaines, Nîmes (Gard)
1 192 33 % 5,4 35,6 22 % Ø
16,26
2
2 328 59 % 5 34,8 41 % Ø
17,87
22e Polyclinique Majorelle, Nancy (Meurthe-et-Moselle)
661 50 % 4,4 31,3 39 % Ø
16,22
3e
1 509 36 % 5,6 36,7 33 % Ø
17,55
1 163 27 % 5,2 30,9 23 % Ø
16,19
4e
1 944 53 % 3,9 33,2 24 % Ø
17,52
24e Clinique Herbert, Aix-les-Bains (Savoie)
867 32 % 5,1 33,6 25 % Ø
16,11
5e
Clinique du Parc, Castelnau-le-Lez (Hérault)
782 61 % 8,7 35,9 49 % Ø
17,35
25e Polyclinique du Parc, Toulouse (Haute-Garonne)
459 42 % 7,9 36,4 55 % Ø
16,10
6e
Clinique de Fontaine, Fontaine-lès-Dijon (Côte-d’Or)
939 51 % 5,4
32 44 % Ø
17,25
26e Clinique de l’Union, Saint-Jean (Haute-Garonne)
1 133 58 % 5,9 33,3 19 % Ø
16,08
7
CMC Ambroise-Paré, Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine)
1 592 86 % 5,2 34,4 23 % Ø
17,19
27e Clinique Bizet, Paris
389 85 % 5,5 35,5 47 % Ø
15,98
8e
584 64 % 5,2 37,1 43 % Ø
17,09
28e Clinique internationale du parc Monceau, Paris
702 90 % 3,5 29,6 32 % Ø
15,96
9e
1 077 52 % 6,6 36,9 42 % Ø
17,07
29e Clinique Docteur-Montagard, Avignon (Vaucluse)
463 25 % 6,3 35,4 48 % Ø
15,91
e
Polyclinique Champeau, Béziers (Hérault)
618 19 % 5
33,9 66 % Ø
17,01
30e Clinique des Franciscaines, Versailles (Yvelines)
334 44 % 5,4 34,3 48 % Ø
15,87
3 170 50 % 6,4 35 30 % Ø
16,94
853 65 % 4,6 30,2 25 % Ø
15,85
1 062 22 % 3,9 29,7 42 % Ø
16,87
32e Clinique Victor-Pauchet, Amiens (Somme)
492 43 % 5
28,6 42 % Ø
15,81
2 735 73 % 4,1 31,8 17 % Ø
16,79
33e Clinique du Tonkin, Villeurbanne (Rhône)
948 45 % 4 32,6 9 % Ø
15,76
14e Polyclinique de Navarre, Pau (Pyrénées-Atlantiques)
1 525 41 % 4,5 33,7 23 % Ø
16,73
302 15 % 6,7 35,7 70 % Ø
15,74
598 69 % 5,7 31,9 50 % Ø
16,70
35e Clinique Bretéché, Nantes (Loire-Atlantique)
1 652 36 % 4,2 30,7 11 % Ø
15,73
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10
11e Hôpital privé Clairval, Marseille (Bouches-du-Rhône)
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16e Clinique d’Argonay, Argonay (Haute-Savoie)
1 117 19 % 6,1
35 35 % Ø
16,65
518 19 % 3,3 30,9 26 % Ø
15,71
642 59 % 5
32,5 44 % Ø
16,59
37e Polyclinique du Val-de-Sambre, Maubeuge (Nord)
345 14 % 5,3 43,3 44 % Ø
15,67
769 19 % 5
31,5 34 % Ø
16,48
38e Clinique du Parc, Périgueux (Dordogne)
440 4 % 5,9 33,3 50 % Ø
15,64
1 551 18 % 5
32,7 18 % Ø
16,43
39e Polyclinique Saint-André, Reims (Marne)
829 47 % 2,8 29,3 13 % Ø
15,53
788 32 % 5,8 34 28 % Ø
16,27
40e Clinique Paulmy, Bayonne (Pyrénées-Atlantiques)
275 48 % 5,2
33 75 % Ø
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Dos. Classement des 203 hôpitaux et des 244 cliniques pratiquant la chirurgie de la colonne vertébrale. Ci-dessus, les 50 meilleurs hôpitaux
et les 40 meilleures cliniques. Spécialisation : pourcentage des interventions lourdes sur le rachis. Urgences : service d’urgence autorisé dans l’établissement
et disposant d’au moins un médecin urgentiste qualifié de garde 24 heures sur 24 et 365 jours par an (Ø), sinon (Ø). NR : non répondu.
116 | 20 août 2015 | Le Point 2241
1er
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6e
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25e
CH Sud francilien, Evry (Essonne)
CHU, Lille (Nord)
CH, Roubaix (Nord)
CH, Vichy (Allier)
CHU, Reims (Marne)
CH, Bar-le-Duc (Meuse)
Hôp. Saint-Joseph, Marseille (B.-du-Rhône)
1 699
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50e
Hôtel-Dieu du Creusot, Le Creusot (S.-et-Loire)
CHU, Nîmes (Gard)
CH, Douai (Nord)
CHU, Amiens (Somme)
CH, Arras (Pas-de-Calais)
CH, Nevers (Nièvre)
CHI, Belfort/Montbéliard (T-de-Belfort/Doubs)
CH, Chalon-sur-Saône (Saône-et-Loire)
CH, Vienne (Isère)
CHI, Eaubonne-Montmorency (Val-d’Oise)
CH, Boulogne-sur-Mer (Pas-de-Calais)
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15,24
15,21
15,17
Diabète. Classement des 751 hôpitaux prenant en charge les patients atteints de diabète. Ci-dessus, les 50 meilleurs. Pied diabétique : nombre annuel
d’hospitalisations pour prise en charge spécialisée des complications du diabète au niveau du pied.
1er
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Hôp. d’instr. des armées Bégin, St-Mandé (V.-de-Marne) Ø
Hôp. Bicêtre, Le Kremlin-Bicêtre (Val-de-Marne)
CHU/CH, Lille/Tourcoing (Nord)
CHI, Villeneuve-Saint-Georges (Val-de-Marne)
Hôp. de la Conception, Marseille (B.-du-Rhône)
CH, Saint-Denis (Seine-Saint-Denis)
Hôp. R.-Poincaré, Garches (Hauts-de-Seine)
1 383 56 %
4 293 18 %
1 162 58 %
1 533 27 %
1 370 48 %
916 24 %
2 003 20 %
600 42 %
1 567 42 %
3 956 21 %
853 48 %
711 22 %
921 15 %
1 561 –
1 244 11 %
816 27 %
630 67 %
942 26 %
1 076 34 %
869 12 %
703 11 %
688 14 %
1 056 26 %
599 67 %
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MALADIES INFECTIEUSES ET DU VOYAGEUR
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Hôp. d’instr. des armées Laveran, Marseille (B.-du-R.) Ø
Ø
CHI, Poissy/Saint-Germain (Yvelines)
CH, Perpignan (Pyrénées-Orientales)
CH intercommunal, Toulon-La Seyne (Var)
CH, Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis)
CH de Marne-la-Vallée, Jossigny (S.-et-Marne)
CHU, Reims (Marne)
CH, Mantes-la-Jolie (Yvelines)
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15,57
15,54
15,46
15,32
15,11
Maladies infectieuses. Classement des 772 hôpitaux prenant en charge les maladies infectieuses et du voyageur. Ci-dessus, les 50 meilleurs.
Service de maladies infectieuses sur place (Ø) ; centre de vaccinations internationales sur place (Ø), sinon (Ø).
Le Point 2241 | 20 août 2015 | 117
Quand les médecins
hospitaliers craquent
Lyon. La ville
connaît l’une des
situations budgétaires les plus
tendues de France.
Témoignages.
I
ls n’en peuvent plus. Partout en
France, les médecins hospitaliers dénoncent le manque de
moyens, les conditions de travail,
l’organisation territoriale… Aux
Hospices civils de Lyon (HCL), la
commission médicale d’établissement (CME), leur « Parlement », a
même, fait inédit, rejeté le projet
118 | 20 août 2015 | Le Point 2241
de budget du deuxième centre hospitalier universitaire (CHU) de
France. Dans la foulée, une trentaine de praticiens ont pris la
plume pour se fendre, dans
Le Monde, d’une tribune intitulée
« L’avenir des HCL est en péril ». Une
première qui en dit long sur le malaise de ce milieu qui a peu l’habitude de se mobiliser.
« Depuis 2008, nous consentons
des efforts exceptionnels pour revenir
à l’équilibre financier », explique le
Pr Olivier Claris, chef du service
de réanimation néonatale de l’hôpital Femme-Mère-Enfant et président de la CME des HCL. Cette
année-là, le déficit s’élevait à
96 millions d’euros et la dette à
920 millions ; en 2014, ils sont
Sur le fil. Urgences
de l’hôpital Edouard-
Herriot, intégré
aux Hospices civils de
Lyon. Les praticiens du
groupe hospitalier
ont rejeté le nouveau
budget, qu’ils jugent
« impossible » à tenir.
respectivement tombés à 22 et
880 millions. « Nous avons réduit
notre masse salariale d’un millier de
postes, nous avons engagé des restructurations profondes en fermant des
sites, en regroupant des services, en
mutualisant les équipements, pour
réaliser 20 millions d’économie par
an, se félicite-t-il. Et maintenant, on
change encore les règles du jeu et on
nous demande d’économiser non plus
20 mais 40 millions d’euros par an.
C’est impossible ! » Le CHU de Lyon
connaît l’une des situations les
plus tendues de France. Nouveau
mode de financement des hôpitaux, réduction des prises en
charge par l’assurance-maladie et
hausse des salaires ont fini de plomber son budget (1,7 milliard
d’euros annuel), déjà mis à
l’épreuve par des investissements
immobiliers de 1 milliard d’euros
réalisés ces dix dernières années
pour rénover et réorganiser les
sites. « On nous demande de supprimer encore des postes, de geler tous
les travaux programmés et d’investir moins », résume le Pr Claris.
« Mais un CHU qui n’est plus capable
de se moderniser prend du retard à la
fois sur le privé et au niveau international », s’alarme-t-il.
Au-delà de ces enjeux, c’est
l’exercice quotidien qui se trouve
affecté. Cet été caniculaire vient
déjà de souligner les contradictions des directives nationales.
« Les pouvoirs publics nous prient de
garder des lits disponibles pour
a ccueillir les patients souffrant
de la chaleur, alors qu’on nous demande de développer la chirurgie ambulatoire et de fermer des lits », relève
Olivier Claris.
Manque de matériel.Le
Pr Gilles Salles, chef du service
d’hématologie du centre hospitalier Lyon-Sud, ne voit même plus
les trous qui ornent les plafonds
des couloirs et des bureaux. Il s’inquiète surtout de la prise en charge
des maladies rares, les plus coûteuses : « Les nouvelles techniques de
séquençage génétique des tumeurs,
par exemple, les traitements innovants, l’accès aux nouvelles molécules
ne se font que dans quelques centres
en France, dont Lyon. Devra-t-on y
renoncer ? » Les HCL ont reporté à
plus tard, pour des raisons de coût
(500 000 euros), l’acquisition d’un
séquenceur nouvelle génération.
« Et pour certains traitements très
onéreux, on se demande aujourd’hui
qui va payer. Si les HCL ne peuvent
plus les prendre en charge, alors nous
serons obligés d’adresser nos patients
ailleurs », estime Gilles Salles, qui
assure qu’une telle situation était
inimaginable il y a dix ans. De la
même façon, il manque de
chambres stériles pour accueillir
les malades souffrant de leucémies
aiguës, les travaux d’extension du
service ayant subi un coup d’arrêt,
si bien qu’il se voit contraint d’expédier certains d’entre eux à Grenoble, Clermont-Ferrand ou Dijon.
Dans le même hôpital, le
Pr Pierre-Jean Valette dirige la radiologie, un secteur où les équipements évoluent très vite. Ici, le
matériel est renouvelé tous les dix
ans, même si cinq ans seraient
l’idéal. « Si Lyon-Sud ne voit pas arriver un deuxième IRM d’ici peu, il
sera difficile de répondre à la demande
de tous les patients. » Au niveau de
la radiologie interventionnelle,
l’innovation fait désormais défaut.
« Là, on ne peut pas garder le matériel dix ans, assure Pierre-Jean Valette, le manque d’investissements va
être problématique. » Le service des
achats renvoie désormais un
« niet » à la moindre demande, privant ainsi les patients des techniques de soins les plus innovantes,
donc les plus chères. « La radioembolisation à l’yttrium, une injection
par les vaisseaux de produits radioactifs pour traiter certains cancers, est
pratiquée dans quelques pays d’Europe, mais peine à être diffusée en
France, entre autres pour des raisons
budgétaires », confie le Pr Valette.
A l’hôpital gériatrique des Charpennes, à Villeurbanne, le Pr Pierre
Krolak-Salmon, spécialiste de la
maladie d’Alzheimer, constate
chaque jour l’épuisement de son
personnel, conséquence des réductions d’effectifs alliées à la progression du nombre de malades. Signe
qui ne trompe pas, dans cette structure, l’absentéisme des aides-soignantes bat des records avec 14 %.
Loin de les blâmer, il y voit une
alerte. « Les soignants sont usés et
payés une misère, les médecins les arrêtent et ils ne sont pas remplacés »,
raconte-t-il. Un cercle …
LOÏC CAPRON : « EXIGER DES RESTRICTIONS EST DÉCOURAGEANT »
Patron des médecins hospitaliers
de Paris, Loïc Capron préside la commission médicale d’établissement
de l’Assistance publique-Hôpitaux de
Paris (AP-HP), qui a émis un avis négatif
sur le projet de financement 20152019 proposé par sa direction.
Le Point : Pourquoi la commission
médicale d’établissement a-t-elle fait
ce choix ?
Loïc Capron : Pour deux raisons. D’abord,
pour dénoncer le matraquage budgétaire
incessant imposé par le gouvernement.
Les hospitaliers désespèrent, car il leur
est toujours demandé davantage. Certes,
on vit au-dessus de nos moyens, en matière de santé comme ailleurs, mais exiger systématiquement des restrictions à
l’hôpital, juste parce que c’est un gros
poste budgétaire, est très frustrant et décourageant. L’autre raison, interne à notre
groupe hospitalier, a pesé lourd.
Quelle est-elle ?
On tire la langue budgétairement, on s’efforce de soigner plus vite et mieux, l’emploi médical stagne, les emplois non
médicaux, soignants et administratifs
baissent, et, à côté de cela, on nous impose un projet de réfection de l’Hôtel-Dieu
qui va coûter 120 millions d’euros. Médicalement, tout ce qui est fait à l’Hôtel-Dieu
peut être fait ailleurs. Nous, les médecins,
comme les Parisiens, nous pouvons parfaitement nous en passer. Les seuls qui
ne le peuvent pas, ce sont les politiques,
la mairie de la capitale, le ministère de la
Santé, l’Elysée. Ils croient qu’ils vont
perdre la mairie de Paris s’ils le ferment.
Reste que votre dette dépasse
à ce jour 2,3 milliards d’euros
et qu’un effort budgétaire de
630 millions d’euros sur cinq ans
vous est demandé. Des économies
sont-elles possibles ?
Oui, et sans dégrader la qualité des soins.
D’autant plus que les investissements
prévus sont maintenus : nouveaux bâtiments à Bichat-Beaujon, Lariboisière, rénovation d’Henri-Mondor, Avicenne,
etc. Incontestablement, nous avons encore, à l’AP-HP, des services qui doublonnent au sein d’un même hôpital ou
entre établissements voisins. Il faut regrouper les activités similaires, accentuer les rapprochements intra et
extrahospitaliers. Ensuite, il faut fermer
des lits, il y en a trop et certains sont peu
occupés. Enfin, en dehors des soins purs,
il faut concentrer les activités médico-techniques : nous avons dix services
de génétique de pointe, par exemple. Il
en faudrait un seul, énorme et
ultrapointu §
Le Point 2241 | 20 août 2015 | 119
de groupe. Sans compter la grande
vétusté de bâtiments construits en
1969 et dont la rénovation devra
encore attendre. Ici, on ne compte
que deux salles de douche par étage
de 25 lits et aucune chambre n’est
climatisée. Un enfer l’été. On se débrouille donc comme on peut en
faisant passer les quelques ventilateurs d’une chambre à l’autre et
en travaillant toutes lumières
éteintes, histoire de ne pas faire
grimper encore le mercure.
vicieux. On assure donc l’essentiel, les gestes techniques, les
prises de tension et de température, au détriment de l’humain.
« Le personnel n’a plus de temps à passer avec les malades ni avec les familles, le temps des repas et des toilettes
se réduit au minimum », regrette-t-il.
Le manque d’effectifs est également la problématique numéro
…
un du Pr Gilles Rode, chef du service de médecine physique et de
réadaptation à l’hôpital Henry-Gabrielle, établissement de rééducation spécialisé dans le
handicap lourd. « Si on nous enlève
encore des rééducateurs, ça ne passera
pas », prévient celui qui doit déjà
organiser, faute de personnel suffisant, des séances de rééducation
Inquiétude. Le service
de déchocageréanimation à EdouardHerriot. Les médecins
des HCL estiment avoir
consenti des efforts
exceptionnels.
Fuite des cerveaux. Et puis il
y a la recherche. Le Pr Charles Dumontet, président de la commission ad hoc des HCL, o bserve déjà
une fuite des cerveaux vers le privé,
mais aussi à l’étranger, en Suisse
et dans les pays anglo-saxons. « On
évolue vers une situation où l’hôpital
ne fournira plus que les patients pour
la recherche. Je crains que nous ne perdions notre place dans la compétition
internationale. » Afin de ne pas aggraver la situation des hôpitaux
lyonnais, les médecins demandent,
avec le soutien de leur direction
générale, un étalement dans le
temps des efforts à fournir §
PASCAL-ALEXANDRE THOMAS : « NOTRE SYSTÈME EST SCHIZOPHRÈNE »
Le grand chirurgien thoracique Pascal-Alexandre Thomas s’est opposé,
comme tous ses collègues de l’Assistance publique-Hôpitaux de Marseille
(AP-HM), au plan proposé par sa direction. Mais la dette de l’établissement dépasse le milliard d’euros.
Le Point : Pourquoi êtes-vous
en colère ?
Pascal-Alexandre Thomas : Notre sys-
tème est schizophrène. L’AP-HM est la
plus grosse entreprise de la région, et il
lui est demandé de faire des économies.
J’en perçois la nécessité, mais nous ne
travaillons pas dans une entreprise
comme une autre.
Pourquoi ?
L’AP-HM génère sa propre concurrence.
Nous sommes un centre hospitalo-universitaire (CHU), donc nous avons pour
mission de former des médecins compétents, qui partent ensuite s’installer
120 | 20 août 2015 | Le Point 2241
dans des établissements concurrents.
C’est très sain. Mais vous connaissez
beaucoup de sociétés dans lesquelles
vous ne pouvez pas augmenter vos recettes – notre activité – et dans lesquelles
vous créez votre concurrence ? Les CHU
doivent être plus soutenus, car ils sont
enfermés dans une spirale de mort
programmée.
Qu’est-ce qui vous empêche
d’augmenter l’activité médicale ?
Nous faisons des économies, majoritairement sur le personnel, qui est réduit.
Donc, nous nous retrouvons avec un
outil en tension.
L’absentéisme est trois fois plus
élevé dans les hôpitaux de Marseille
que dans les autres villes !
A force de courir dans tous les sens, les
infirmières souffrent. Dans mon service, l’une s’est cassé le bras, ce n’est pas
banal. Mais c’est vrai, nous avons besoin d’une équipe de professionnels et
d’une politique efficace de relations humaines, car l’absentéisme est comme
une fuite à gros débit. Depuis la rénovation de l’hôpital Nord, nous n’avons
jamais pu ouvrir tous les lits de réanimation et de soins continus. Or c’est le
nerf de la guerre dans un hôpital tourné
vers la chirurgie : pour opérer plus, il
faut plus de réa et de soins continus. La
Timone nécessite des travaux importants pour accueillir convenablement
les patients dans des chambres modernes, et non d’un autre siècle, et pour
mettre cet immeuble de grande hauteur aux normes incendie. A l’hôpital
de la Conception, il faut reconstruire la
maternité, sinon une catastrophe sanitaire arrivera un jour. Ce n’est pas aux
médecins de le faire. On opère davantage en ambulatoire, on diminue les durées des séjours, on mouille le maillot.
L’Etat doit nous aider et prendre en
charge ces frais de structures §
ACT
IVIT
NO É
TOR
I
DU ÉTÉ
RÉE
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LIO OUR
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IND RUR
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/ 20
ACT
IVIT
NO É
TOR
I
DU ÉTÉ
RÉE
D
COE E SÉJ
LIO OUR
CHI
IND RUR
ICE GIE
D
RÉA E GR
NIM AVIT
EVA ATIO É
LU N
LA ATIO
MO N D
RTA E
L
NO ITÉ
TE
/ 20
CHIRURGIE DU RECTUM
HÔPITAUX
179 56 % 15,1 60 % 58 Ø
154 85 % 13,9 55 % 56,3 Ø
57 21 % 18 81 % 64,5 Ø
Ø
16,97
86 64 % 16,9 12 % 53,5 Ø
Ø
16,87
16,86
HÔPITAUX
1er
2e
Inst. du cancer (CLCC), Montpellier (Hérault)
Ø
Ø
18,49
18,39
1
1
1
1
1
1
1
1
3e
164 65 % 13,3 57 % 52,4 Ø
Ø
18,37
54 78 % 13,9 81 % 45,8 Ø
Ø
4e
178 70 % 17,1 28 % 69 Ø
Ø
18,19
24e Clin. mutualiste Jules-Verne, Nantes (Loire-Atlantique)
69 14 % 15,1 88 % 61,6 Ø
Ø
16,70
5e
190 30 % 16,6 49 % 58,2 Ø
Ø
18,16
63 41 % 21,1 49 % 67,9 Ø
Ø
16,68
6e
107 58 % 12,6 80 % 43,5 Ø
Ø
18,10
26e Clin. mut. de la Porte de l’Orient, Lorient (Morbihan)
77 17 % 13 62 % 52,3 Ø
Ø
16,65
7
110 60 % 14,7 50 % 56,8 Ø
Ø
17,99
65 71 % 16,6 42 % 52,3 Ø
Ø
16,55
8e
175 84 % 15,1 35 % 53,7 Ø
Ø
17,94
56 46 % 22 46 % 70,5 Ø
Ø
16,54
9e
16,52
e
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
0
1
0
1
1
1
1
1
1
1
1
115 87 % 18,8 24 % 69,6 Ø
Ø
17,80
29e Centre Léon Bérard (CLCC), Lyon (Rhône)
79 66 % 15,8 11 % 68,7 Ø
Ø
79 9 % 13,2 71 % 53,5 Ø
Ø
17,77
65 51 % 21,3 22 % 63,5 Ø
Ø
16,37
119 42 % 15,3 28 % 57,8 Ø
Ø
17,68
52 56 % 19,1 46 % 65,4 Ø
Ø
16,27
111 61 % 20,1 19 % 71,8 Ø
Ø
17,66
56 16 % 20,7 25 % 70,1 Ø
Ø
16,26
100 41 % 18,4 54 % 57,5 Ø
Ø
17,46
33e Hôp. A.-Paré, Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine)
52 63 % 15,1 50 % 51,4 Ø
Ø
16,23
74 50 % 14,8 45 % 58,1 Ø
Ø
17,38
52 58 % 18,1 33 % 63,5 Ø
Ø
16,15
87 52 % 21,8 40 % 66,1 Ø
Ø
17,37
67 46 % 16,5 30 % 64,9 Ø
NR
15,95
64 50 % 15 73 % 59,4 Ø
Ø
17,24
53 79 % 12,5 75 % 43,9 Ø
NR
74 35 % 14,9 68 % 51,4 Ø
Ø
17,22
51 37 % 18,8 80 % 49,5 Ø
Ø
15,83
68 4 % 14,4 75 % 52,2 Ø
Ø
17,13
45 38 % 25,4 51 % 70,6 Ø
Ø
15,64
77 74 % 15,8 34 % 55,8 Ø
Ø
17,11
50 48 % 26 22 % 67 Ø
Ø
15,52
71 11 % 12,6 27 % 54,2 Ø
Ø
17,02
40e Institut Bergonié (CLCC), Bordeaux (Gironde)
50 60 % 14,8 38 % 63,5 Ø
Ø
15,38
e
13
e
19
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
0
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
0
1
1
1
1
1
1
15,91
1
1
1
1
Rectum. Classement des 362 hôpitaux réalisant des interventions sur le rectum. Ci-dessus les 40 meilleurs. Réanimation : existence d’une réanimation
disposant de réanimateurs présents sur place 24 heures sur 24 et 365 jours par an (Ø), sinon (Ø). Evaluation de la mortalité : tenue périodique dans l’établissement
de réunions d’analyse de la mortalité et de la morbidité et calcul du taux de mortalité à 30 jours sur 2 ans de cette chirurgie (Ø), sinon (Ø).
1er
2e
3e
4e
5e
6e
7e
8e
9e
10e
11e
12e
13e
14e
14e
16e
17e
18e
19e
20e
21e
22e
23e
24e
25e
480
418
282
254
386
251
336
328
309
319
341
412
237
276
316
227
242
212
222
181
220
174
262
186
162
Hôpital Antoine-Béclère, Clamart (Hauts-de-Seine)
CHU, Amiens (Somme)
CH intercommunal, Poissy/Saint-Germain (Yvelines)
CHU, Lille (Nord)
CH, Sens (Yonne)
Hôpital Jean Verdier, Bondy (Seine-Saint-Denis)
CH, Antibes/Juan-lès-Pins (Alpes-Maritimes)
Hôpital Louis-Mourier, Colombes (Hauts-de-Seine)
CH, Laon (Aisne)
CH, Auxerre (Yonne)
CH, Saint-Brieuc (Côtes-d’Armor)
81 %
28 %
17 %
52 %
21 %
22 %
52 %
30 %
28 %
28 %
15 %
85 %
29 %
34 %
29 %
74 %
84 %
16 %
35 %
49 %
59 %
30 %
27 %
20 %
4 %
7,9
5
3,9
6,5
5
3,2
6,7
4
5,1
4,8
7,5
5,5
4,1
5,3
7,4
6,6
5,3
5,7
6,5
5,1
4,5
7
2,7
6
6,4
99 %
97 %
100 %
100 %
80 %
99 %
94 %
94 %
98 %
75 %
98 %
63 %
99 %
95 %
95 %
99 %
96 %
100 %
98 %
96 %
93 %
99 %
59 %
97 %
99 %
41,7
33,8
28,6
35
40
30,1
43
30,7
29,1
37,2
30,8
30,7
28,2
32,4
35,7
35
33,2
29,4
36,2
34,9
34
34,5
26,2
34,9
31,2
Ø
1
Ø
1
Ø
1
Ø
1
Ø
1
Ø
1
Ø
1
Ø
1
Ø
1
Ø
1
Ø
1
Ø
1
Ø
1
Ø
1
Ø
1
Ø
1
Ø
1
Ø
1
Ø
1
Ø
1
Ø
1
Ø
1
Ø
1
Ø
1
Ø
1
18,24
17,89
17,73
17,62
17,30
17,23
17,17
17,03
17
16,94
16,93
16,69
16,67
16,63
16,63
16,57
16,39
16,38
16,36
15,88
15,84
15,83
15,68
15,62
15,44
ACT
IVIT
É
NO
TOR
IÉT
DU É
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D
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/ 20
HÔPITAUX
ACT
IVIT
É
NO
TOR
IÉT
DU É
RÉE
D
TEC E SÉJ
HN OU
ICIT R
IND É
ICE
D
RÉA E GRA
NIM VITÉ
ATI
ON
NO
TE
/ 20
CHIRURGIE DE L’OBÉSITÉ
CLINIQUES
1er
2e
3e
4e
5e
6e
7e
8e
9e
10e
11e
11e
13e
14e
15e
15e
17e
18e
19e
20e
21e
22e
23e
24e
25e
Hôpital privé de la Casamance, Aubagne (Bouches-du-Rhône)
Polyclique Le Val de Lys, Tourcoing (Nord)
Clinique Sainte-Marthe, Dijon (Côte-d’Or)
Hôpital privé Résidence du Parc, Marseille (Bouches-du-Rhône)
Clinique Saint-Michel, Toulon (Var)
Clinique Saint-Hilaire, Rouen (Seine-Maritime)
Clinique de Flandre, Coudekerque-Branche (Nord)
Polyclin. Bordeaux-Rive droite site Lormont, Lormont (Gironde)
Clinique du Parc Saint-Lazare, Beauvais (Oise)
Clinique Axium, Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône)
Clinique mutualiste Bénigne Joly, Talant (Côte-d’Or)
CMC de l’Europe, Le Port-Marly (Yvelines)
952
452
278
456
942
373
339
1 205
243
494
326
389
572
190
295
303
257
241
270
263
259
389
162
298
653
53 %
25 %
32 %
31 %
78 %
7 %
11 %
50 %
26 %
48 %
46 %
38 %
11 %
29 %
22 %
27 %
28 %
10 %
8 %
19 %
11 %
37 %
45 %
36 %
54 %
4,3
4,1
6,8
5,1
4,3
3,6
3,6
0,8
4,3
4,1
4,6
4,8
4,1
6
5,7
5,5
4,3
4,4
5,3
3,9
4,5
4,1
4,9
5,2
4,4
100 %
99 %
99 %
99 %
81 %
96 %
96 %
20 %
92 %
89 %
94 %
77 %
85 %
98 %
99 %
98 %
98 %
99 %
99 %
71 %
98 %
92 %
100 %
95 %
79 %
29,6
27,8
46,6
37,6
27,9
39,1
32,8
25,3
32,3
29,6
39,2
27,8
30,8
37,1
32,4
32,8
32
34
34,1
30,2
33,2
27,2
28,4
32,2
27,9
Ø
1
Ø
1
Ø
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15,51
15,34
Obésité. Classement des 205 hôpitaux et des 272 cliniques réalisant des interventions pour obésité. Ci-dessus les 25 meilleurs hôpitaux
et les 25 meilleures cliniques. Réanimation : service de réanimation disposant de réanimateurs présents sur place 24 heures sur 24 et 365 jours par an (Ø),
sinon (Ø). Technicité : pourcentage des opérations complexes par rapport aux interventions simples. NR : non répondu.
Le Point 2241 | 20 août 2015 | 121
CH intercommunal, Belfort/Montbéliard (T.-de-Belfort/Doubs)
Polyclinique (Ahnac), Hénin-Beaumont (Pas-de-Calais)
CHU, Lille (Nord)
CHU, Amiens (Somme)
CH Annecy Genevois, Pringy (Haute-Savoie)
CLINIQUES
1er
2e
3e
4e
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6e
7e
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9e
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19e
20e
21e
22e
23e
24e
25e
Polyclinique Bordeaux-Rive droite, Lormont (Gironde)
Clinique des Franciscaines, Versailles (Yvelines)
Clinique Sainte-Marie, Osny (Val-d’Oise)
Hôpital privé La Casamance, Aubagne (Bouches-du-Rhône)
Polyclin. de Limoges-François-Chénieux, Limoges (Hte-Vienne)
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5 %
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24 %
7 %
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4,1
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2,9
4,3
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49e
50e
CHU, Nîmes (Gard)
Maison de santé protestante de Bordeaux Bagatelle, Talence (Gironde)
Hôtel-Dieu du Creusot, Le Creusot (Saône-et-Loire)
CH, Auxerre (Yonne)
CH, Chartres (Eure-et-Loir)
CH, Avignon (Vaucluse)
ACT
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15,47
15,43
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CLINIQUES
448
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402
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35e
36e
36e
38e
39e
39e
41e
42e
43e
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47e
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49e
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262
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30
31,6
31,5
29,7
33
30,2
31,9
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33,2
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18,27
18,08
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17,70
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17,59
17,49
17,40
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16,99
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16,75
16,65
16,62
16,59
Clinique de l’Estrée, Stains (Seine-Saint-Denis)
Hôpital privé de l’Estuaire, Le Havre (Seine-Maritime)
Clinique d’Occitanie, Muret (Haute-Garonne)
Hôpital privé Drôme-Ardèche, Guilherand-Granges (Ardèche)
Polyclinique Saint-Claude, Saint-Quentin (Aisne)
Clinique des Cèdres, Echirolles (Isère)
Clinique Pasteur, Evreux (Eure)
Polyclinique de Quimper Sud, Quimper (Finistère)
Polyclinique Synergia, Carpentras (Vaucluse)
18 %
38 %
11 %
1 %
6 %
16 %
13 %
11 %
11 %
4 %
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98 %
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98 %
98 %
98 %
99 %
Vésicule. Classement des 407 hôpitaux et des 411 cliniques pratiquant la chirurgie de la vésicule. Ci-dessus, les 50 meilleurs hôpitaux
et les 50 meilleures cliniques. Cœliochirurgie : pourcentage des interventions réalisées sous cœlioscopie.
122 | 20 août 2015 | Le Point 2241
4 %
8 %
0 %
3 %
1 %
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3 %
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15e
15e
17e
18e
18e
20e
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24e
25e
HÔPITAUX
ACT
IVIT
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HÔPITAUX
ACT
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VÉSICULE BILIAIRE
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5 %
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0 %
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0 %
36 %
4 %
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29
32,7
30,6
29,7
35,9
36,4
30,8
26,8
30,6
34,6
30,6
33,1
28,2
30,2
27,7
29,9
30,3
33,2
32,1
29,1
33,1
27,2
29,9
31
16,51
16,50
16,35
16,27
16,15
16,15
16,14
16,11
16,10
16,09
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16,04
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15,81
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15,63
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15,59
15,55
15,47
15,43
Ø Ø 2 084 61 % 41 % 26,5
1
1
19,20
2e
CHU, Lille (Nord)
Ø Ø 406 16 % 66 % 32,1
19,04
3e
Ø Ø 418 6 % 67 % 29
19
4e
Ø Ø 1 483 60 % 28 % 27,4
18,79
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Ø Ø 497 26 % 34 % 27,2
18,61
6e
Ø Ø 390 28 % 30 % 29,6
18,31
7e
Ø Ø 349 21 % 36 % 28,8
18,14
1
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1
8e
Ø Ø 515 7 % 45 % 26,2
18,13
9e
Ø Ø 390 19 % 52 % 27,8
18,05
Ø Ø 317 44 % 38 % 28,3
17,98
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10
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13
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1
Ø Ø 489 13 % 11 % 28,4
17,89
Ø Ø 380 31 % 14 % 29,4
17,77
Ø Ø 375 18 % 51 % 26,2
17,70
1
1
0
1
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1
Ø Ø 322 15 % 12 % 29,3
1
1
17,35
Ø Ø 302 23 % 39 % 30,6
17,22
e
16
Maison de santé protestante de Bordeaux Bagatelle, Talence (Gironde) NR NR 1 197 24 % 36 % 27,7
17,08
e
Ø Ø 298 33 % 12 % 30,7
17
0
1
1
1
17,03
Ø Ø 299 20 % 44 % 26,6
17,01
19e CH Annecy Genevois, Pringy (Haute-Savoie)
Ø Ø 321 11 % 31 % 26
16,86
e
0
0
1
1
Ø Ø 292 7 % 43 % 28,2
16,82
21e Hôpital Saint-Camille, Bry-sur-Marne (Val-de-Marne)
Ø Ø 273 52 % 35 % 27,3
16,65
Ø Ø 231 27 % 45 % 29,8
16,63
Ø Ø 249 32 % 18 % 31,3
16,55
Ø Ø 244 20 % 27 % 28,8
16,47
Ø Ø 271 10 % 5 % 29,9
16,45
Ø Ø 249 8 % 20 % 27,6
16,25
Ø Ø 234 6 % 36 % 28,8
16,20
20
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1
Ø Ø 219 18 % 66 % 30,7
16,17
Ø Ø 235 32 % 21 % 28,9
16,13
Ø Ø 316 4 % 21 % 26,7
15,99
1
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1
1
1
0
Ø Ø 259 24 % 22 % 28,2
15,92
NR NR 262 7 % 50 % 30,9
15,57
Ø Ø 219 22 % 33 % 29,4
15,56
e
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34e CH, Roubaix (Nord)
e
35
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1
Ø Ø 225 0 % 45 % 29,9
15,54
CH, Mâcon (Saône-et-Loire)
Ø Ø 264 29 % 3 % 27,7
15,53
Ø
15,47
0
0
1
1
1
NR 265 5 % 19 % 29
Ø Ø 234 17 % 10 % 27
15,46
NR NR 318 17 % 13 % 28,2
15,42
Ø Ø 220 33 % 16 % 28,1
15,26
e
39
1
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1
1
Ø Ø 219 9 % 20 % 31,1
1
1
15,20
Proctologie. Classement des 425 hôpitaux et des 459 cliniques
pratiquant la proctologie. Ci-dessus, les 40 meilleurs hôpitaux et les
25 meilleures cliniques. Exploration de manométrie ano-rectale sur place (Ø),
sinon (Ø). Echographie endo-anale sur place (Ø), sinon (Ø). NR : non répondu.
Sclérose en plaques. Classement des 424 hôpitaux prenant en charge
la sclérose en plaques. Ci-contre, les 30 meilleurs. Pôle de référence : services
participant au projet Edmus (European Database for Multiple Sclerosis) (Ø),
sinon (Ø). Neurologue, médecin-rééducateur, psychiatre, psychologue,
kinésithérapeute, ergothérapeute : professionnels sur place (Ø), sinon (Ø).
ACT
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24e
25e
Clinique Saint-Jean-Languedoc, Toulouse (Haute-Garonne)
Polyclinique du Grand Sud, Nîmes (Gard)
Clinique Saint-Augustin, Nantes (Loire-Atlantique)
Polyclinique de Limoges-Emailleurs, Limoges (Haute-Vienne)
Clinique du Louvre, Paris
Clinique Pasteur, Royan (Charente)
Clinique du Val d’Ouest, Ecully (Rhône)
Clinique mutualiste Bénigne-Joly, Talant (Côte-d’Or)
1 519
684
1 365
574
540
1 702
433
657
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395
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26
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26,1
25,7
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SCLÉROSE EN PLAQUES
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PROCTOLOGIE
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30e
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CHU, Lille (Nord)
Hôp. universitaires, Strasbourg (Bas-Rhin)
Hôp. de la Timone (adultes), Marseille (B.-du-R.)
CHI, Poissy/Saint-Germain (Yvelines)
Hôp. Henri-Mondor, Créteil (Val-de-Marne)
CH, Lens (Pas-de-Calais)
Hôp. St-Vincent-de-Paul (Inst. cath.), Lille (Nord)
Hôp. Bicêtre, Le Kremlin-Bicêtre (V.-de-Marne)
1
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289
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78 %
50 %
12 %
19 %
36 %
70 %
21 %
29 %
56 %
33 %
33 %
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52 %
29 %
12 %
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38 %
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24 %
18 %
38 %
25 %
0 %
15 %
24 %
54 %
3,5 3 386
4,1 5 802
2 2 791
3,8 2 484
3,4 2 040
6,1 2 179
7,1 2 482
3,8 1 493
6,5 2 243
3,6 1 900
7,8 2 096
6,4 1 977
13,2 1 539
4,5 863
4,2 1 053
4,8 1 543
3,6 734
5,6 1 064
10,2 1 232
6 1 069
4,9 1 412
3,7 885
4,7 780
8 1 095
4,4 564
3,1 439
4,6 977
5 650
8,1 1 032
6,6 576
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19,24
18,99
18,91
18,70
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18,14
18,04
17,95
17,92
17,54
17,49
17,19
17,04
17,01
16,79
16,54
16,29
16,27
16,15
16,09
15,99
15,94
15,82
15,76
15,66
15,56
15,34
15,26
15,24
15,19
Le Point 2241 | 20 août 2015 | 123
HÔPITAUX
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APPENDICITE
HÔPITAUX
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423 38 % 4,1 98 % 31,2
18,53
315 15 % 4,5 27 % 31,3
16,61
2e
415 23 % 3,9 82 % 33,4
18,49
269 9 %
4,6 49 % 34,2
16,57
3e
335 19 % 3,9 90 % 34,6
18,45
304 9 %
4,6 60 % 30,8
16,53
4
401 12 % 4,3 87 % 33,9
18,34
219 23 % 2,6 95 % 31,2
16,52
5e
492 7 %
4,4 96 % 31,4
18,29
212 12 % 4,2 92 % 38,3
16,49
6e
540 10 % 4,7 60 % 38,2
18,26
227 16 % 3,7 53 % 34,7
16,45
7
Clinique mutualiste de l’Estuaire, Saint-Nazaire (Loire-Atlantique)
310 13 %
85 % 34,6
18,24
272
9 %
5,7 69 % 32,6
16,41
8e
354 10 % 3,6 92 % 31,3
18,17
249 3 %
4,8 46 % 37,4
16,35
9e
511 18 %
18,02
34e CH, Angoulême (Charente)
238 8 %
4,2 80 % 30,8
16,32
326 56 % 4,3 75 %
18
222 26 % 4,5 79 % 34,1
16,30
16,29
e
e
e
10
3
5
59 % 38,4
37
371 15 % 4,5 81 % 33,3
17,91
228 39 % 4,9 88 % 32,8
472 9 %
3,8 62 % 29,2
17,64
37e CH, Voiron (Isère)
261
7 %
5,7 79 % 31,8
16,21
13e CH Annecy-Genevois, Pringy (Haute-Savoie)
291 16 % 3,9 97 % 30,5
17,61
38e CH, Chartres (Eure-et-Loir)
274
5 %
4
30 % 28,6
16,20
304 19 % 5,4 78 % 40
17,42
39e CH, Versailles (Yvelines)
208 12 % 3,4 95 % 31,7
16,06
361 24 % 4,8 86 % 30,3
17,38
40
237 13 % 4,1 96 % 34,7
17,36
352
4,7 59 % 32,4
17,22
270 19 % 3,5 84 % 29,4
248 9 %
e
18
e
21
55 % 32,1
15,93
225 10 % 4,7 76 % 33,6
15,90
232 16 % 4,7 46 % 32,3
15,78
17,20
43e CH, Pau (Pyrénées-Atlantiques)
229
4,7 59 % 33,7
15,72
4,5 79 % 34,8
17,10
44e Hôpital Necker-Enfants malades, Paris
231 56 % 5,5 79 % 29,9
15,69
348 12 % 4,2 63 % 29,3
17,03
209 19 % 4,7 71 % 36,2
15,60
46e CH, Villefranche-sur-Saône (Rhône)
208 21 % 4,8 89 % 32,4
15,50
–
240 26 %
7 %
5
248 4 %
3,4 97 % 28,4
387 10 %
6
69 % 31,3
16,97
47e CH, Lorient (Morbihan)
213 18 % 3,9 75 % 29,3
15,47
23e CH intercommunal, Quimper (Finistère)
239 13 % 4,5 88 % 31,9
16,71
210 20 % 5,8 79 % 35,8
15,46
24e CH Sud francilien, Evry (Essonne)
265 9 %
5,4 65 % 36,4
16,67
49e CH, Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône)
221 25 %
4
59 % 29
15,43
216
3,8 97 % 34,1
16,61
227
5,5 44 % 34,4
15,37
9 %
17
CH, Seclin (Nord)
4 %
CLINIQUES
1er
343 6 %
3,1 93 % 27,4
18,68
210 11 % 4,6 81 % 30,2
16,72
e
298 8 %
3,2 92 % 31,5
18,66
22e Polyclinique du Parc, Cholet (Maine-et-Loire)
186 42 % 4,1 92 % 32,1
16,69
3e
227 11 % 2,8 97 % 29,3
18,46
23e Clinique de l’Estrée, Stains (Seine-Saint-Denis)
208 16 % 3,5 93 % 26,4
16,68
e
4
233 12 % 3,5 99 % 29,9
18,41
24e Clinique de Cognac, Cognac (Charente)
208 24 % 3,2 65 % 27,2
16,57
5e
217
3,1 98 % 30,1
18,29
25e Polyclinique Bordeaux-Nord-Aquitaine, Bordeaux (Gironde)
187
4,1 98 % 29,4
16,46
6e
2
9 %
ACT
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CLINIQUES
ACT
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IND RURG
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ICE
DE
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NO
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/ 20
e
3 %
218 11 % 3,2 98 % 29,2
18,10
26e Clinique Saint-Cœur, Vendôme (Loir-et-Cher)
174 32 % 2,8 91 % 27,9
16,22
e
7
224 4 %
3,4 97 % 29,6
18,03
27e Polyclinique Synergia, Carpentras (Vaucluse)
148 14 % 3,3 99 % 30,2
16,21
8e
Polyclinique Vauban, Valenciennes (Nord)
214
3,4 99 % 28,2
17,65
28e Polyclin. François-Chénieux, Limoges (Haute-Vienne)
181
5,4 93 % 30,9
16,19
9e
227 16 % 3,8 96 % 28,1
17,61
29e Hôpital privé Médipôle de Savoie, Challes-les-Eaux (Savoie)
162 18 % 3,4 90 % 30,6
16,05
214 20 % 3,4 70 % 30,4
17,55
30e Clinique des Franciscaines, Versailles (Yvelines)
185 10 % 3,4 83 % 29,2
16,04
208 46 % 3,8 85 % 33,6
17,30
31e Clinique Sainte-Marie, Châteaubriant (Loire-Atlantique)
158 24 % 2,1 96 % 26,6
16,03
12e Clinique Saint-Léonard, Trélazé (Maine-et-Loire)
266 2 %
3,8 86 % 28,3
17,19
32e Clinique Saint-Pierre, Perpignan (Pyrénées-Orientales)
158 13 % 3,4 96 % 29,4
15,97
13e Hôpital privé Sévigné, Cesson-Sévigné (Ille-et-Vilaine)
206 6 %
3,4 99 % 28,3
17,10
150 12 %
14e Polyclinique Saint-Jean, Montpellier (Hérault)
207 6 %
3,5 88 % 31,6
17,06
15e Clinique Claude-Bernard, Ermont (Val-d’Oise)
212
7 %
2,4 89 % 26,2
17,01
35e Hôpital privé de l’Ouest parisien, Trappes (Yvelines)
16e Polyclinique Bordeaux-Rive droite, Lormont (Gironde)
190
5 %
3,4 94 % 30,1
16,96
5 %
10e Polyclin. du Parc-Rambot, Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône)
e
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164 18 %
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1 %
3,1 92 % 29,6
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143
6 %
3,1 96 % 29,7
15,59
15,53
17e Polyclinique du Grand-Sud, Nîmes (Gard)
257
3,7 45 % 28
16,95
18e Clinique du Millénaire, Montpellier (Hérault)
189 11 %
4
91 % 34,3
16,83
38
Polyclinique Inkermann, Niort (Deux-Sèvres)
171
9 %
4,8 76 % 30,8
19e CH privé Saint-Martin, Caen (Calvados)
166
2,9 93 % 30,9
16,78
39e Clinique d’Occitanie, Muret (Haute-Garonne)
178
3 %
4,6 80 % 29,4
15,37
20e Clinique de l’Europe, Rouen (Seine-Maritime)
192 18 % 3,7 97 % 28,4
16,76
172
3 %
5,2 75 % 30,1
15,33
7 %
e
Appendicite. Classement des 421 hôpitaux et des 407 cliniques réalisant des appendicectomies. Ci-dessus, les 50 meilleurs hôpitaux et les
40 meilleures cliniques. Cœliochirurgie : pourcentage des interventions réalisées sous cœlioscopie.
124 | 20 août 2015 | Le Point 2241
Maison de santé protestante Bagatelle, Talence (Gironde)
CHU, Lille (Nord)
CLINIQUES
1er
2e
3e
4e
5e
6e
7e
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10e
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13e
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17e
18e
19e
20e
21e
22e
23e
23e
25e
Hôpital privé de l’Estuaire, Le Havre (Seine-Maritime)
Polyclinique Bordeaux-Rive droite, Lormont (Gironde)
Polyclin. de Limoges-François-Chénieux, Limoges (Hte-Vienne)
1 005
866
898
1 165
700
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2 %
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19 %
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9 %
6 %
2 %
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3,7
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43 %
55 %
63 %
63 %
59 %
22 %
29 %
53 %
56 %
49 %
64 %
59 %
26 %
35 %
27 %
33 %
30 %
42 %
48 %
53 %
64 %
28 %
58 %
52 %
44 %
3 %
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0 %
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10 %
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29 %
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1 %
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2 %
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9 %
9 %
19 %
1 %
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22 %
13 %
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30,5
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35
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34,4
34
33,1
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32,7
34,3
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33,6
32,1
44,4
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17,47
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17,24
17,19
17,15
17,13
17,12
17,10
17,04
17
713
748
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713
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632
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585
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13 %
9 %
13 %
24 %
64 %
22 %
12 %
5 %
1 %
14 %
4 %
2 %
6 %
5 %
3 %
8 %
3 %
38 %
9 %
27 %
5 %
17 %
2 %
17 %
31 %
2,6
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3
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61 %
54 %
64 %
63 %
68 %
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51 %
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53 %
53 %
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50 %
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16 %
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14 %
5 %
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13 %
52 %
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53 %
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39 %
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23 %
7 %
43 %
15 %
43 %
29,5
29,9
36,2
34
36,6
33
34
34,5
34,1
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33,8
29,6
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31,2
30,7
37,5
30,7
33,7
33
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33
33,2
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35,2
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43e
44e
45e
46e
47e
48e
49e
50e
CHU, Amiens (Somme)
Clinique Beau-Soleil, Montpellier (Hérault)
CHU, Reims (Marne)
CLINIQUES
26e
27e
28e
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32e
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46e
47e
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50e
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24 %
45 %
12 %
29 %
24 %
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32 %
6 %
0 %
4 %
20 %
3 %
19 %
16 %
37 %
–
22 %
17 %
43 %
6 %
4,6
4,1
3,3
5,5
3,5
4,1
3
4,3
4,8
2,3
4,9
3,9
2,8
3,5
3,9
4,3
2,2
4,3
5,4
2,9
3,7
3,8
5,4
5
2,6
31 %
41 %
40 %
48 %
69 %
34 %
52 %
52 %
39 %
54 %
34 %
31 %
43 %
60 %
34 %
34 %
46 %
38 %
46 %
28 %
41 %
26 %
12 %
43 %
26 %
2 %
8 %
1 %
4 %
59 %
3 %
10 %
27 %
19 %
2 %
0 %
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0 %
28 %
21 %
0 %
59 %
0 %
14 %
22 %
21 %
1 %
4 %
0 %
41 %
36,1
35,8
32,8
41,1
36,2
35,2
30,5
33,8
38,5
30,1
38,1
34,8
31,4
36
38,5
38,1
30,1
36,5
43,2
31,5
31,1
34
39,5
32,6
31,9
16,95
16,85
16,82
16,78
16,75
16,68
16,53
16,50
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16,07
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20e
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25e
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HERNIES ABDOMINALES
Polyclinique de Picardie, Amiens (Somme)
Clin. M.-Sembat (CCBB), Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine)
Centre méd.-chir. Les Cèdres, Brive-la-Gaillarde (Corrèze)
Hôpital privé La Casamance, Aubagne (Bouches-du-Rhône)
Clinique des Franciscaines, Versailles (Yvelines)
Polyclin. de Montier-la-Celle, Saint-André-les-Vergers (Aube)
Polyclinique de Quimper Sud, Quimper (Finistère)
Clinique Saint-François, Haguenau (Bas-Rhin)
585
602
574
608
550
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514
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473
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17 %
38 %
6 %
6 %
9 %
21 %
45 %
14 %
10 %
7 %
31 %
17 %
58 %
11 %
4 %
3 %
5 %
14 %
5 %
4 %
5 %
5 %
6 %
17 %
3 %
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2,5
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42 %
42 %
56 %
39 %
46 %
47 %
67 %
60 %
41 %
58 %
27 %
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57 %
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64 %
63 %
55 %
57 %
59 %
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80 %
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0 %
12 %
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18 %
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69 %
33 %
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46 %
7 %
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0 %
20 %
19 %
2 %
4 %
23 %
60 %
34 %
24 %
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31
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35,6
31
33,7
32,7
29,5
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33,4
31,2
29
30,4
32,8
17,04
17,02
16,92
16,91
16,64
16,63
16,56
16,51
16,50
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16,40
16,32
16,29
16,19
16,15
16,13
16,08
16,06
15,99
15,96
15,69
15,65
15,60
15,43
15,27
Hernies abdominales. Classement des 426 hôpitaux et des 452 cliniques pratiquant la chirurgie des hernies. Ci-dessus, les 50 meilleurs hôpitaux
et les 50 meilleures cliniques. Cœliochirurgie : pourcentage des interventions réalisées sous cœlioscopie.
Le Point 2241 | 20 août 2015 | 125
CLINIQUES
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CATARACTE
1er
2 766 66 %
– 100 % –
19,32
1er
Polyclin. de Limoges-François-Chénieux, Limoges (Haute-Vienne) 6 075 43 % 1,2 96 % 10 %
18,52
2e
1 699 58 %
–
98 %
–
18,25
2e
Clinique Ambroise-Paré, Lille (Nord)
4 438 13 %
–
1,1
97 % 5 %
18,05
3e
CH, Bourges (Cher)
1 420 7 %
99 % 5 %
18,14
3e
Clinique Delay, Bayonne (Pyrénées-Atlantiques)
3 840 35 %
1,1
97 % 5 %
17,98
4e
5 926 58 % 1,6 92 % 17 %
18,12
4e
Clinique ophtalmologique Thiers, Bordeaux (Gironde)
4 433 17 %
1,1
91 % 13 %
17,93
5e
1 814 10 %
–
99 % 7 %
18,10
5e
4 002 60 % 1,3 95 % 15 %
17,92
6e
2 026 32 %
1,1 94 % 22 %
18,05
6e
Clinique Saint-Michel-et-Sainte-Anne, Quimper (Finistère)
3 463 6 %
98 % 8 %
17,89
7e
2 006 20 % 1,9 95 % 7 %
18,04
7e
Clinique Wulfran Puget, Marseille (Bouches-du-Rhône)
4 598 10 % 1,3 93 % 5 %
17,76
8
Clinique mutualiste Eugène-André, Lyon (Rhône)
1 759 8 %
17,90
8e
5 746 25 %
90 % 3 %
17,72
8e
CH national d’ophtalmologie des Quinze-Vingts, Paris
9 838 71 % 1,5 87 % 20 %
17,90
9e
4 650 32 % 1,3 88 % 15 %
17,52
1 339 15 %
99 % 1 %
17,77
10e Institut ophtalmique, Somain (Nord)
6 012 20 %
1
81 % 5 %
17,33
1 989 24 % 1,7 91 % 20 %
17,73
3 399 9 %
1,1 90 % 20 %
17,25
4 054 4 %
1,6 93 % 2 %
17,55
12e Clinique Jouvenet, Paris
4 408 49 % 1,3 93 % 1 %
17,20
1 737 53 %
1
17,40
13e Clinique de l’Anjou, Angers (Maine-et-Loire)
4 929 5 %
81 % 7 %
17,11
e
10e CH, Mantes-la-Jolie (Yvelines)
e
11
e
13
1,1 93 %
–
90 %
–
–
–
1
1
2 443 36 % 1,2 77 % 26 %
17,30
14e Clinique Sourdille, Nantes (Loire-Atlantique)
8 190 55 % 1,2 78 % 16 %
17,05
1 633 19 % 1,6 89 % 20 %
17,18
15e Clinique de l’Atlantique, Puilboreau (Charente-Maritime)
4 279 13 %
1
87 % 2 %
17,04
1 221 33 % 1,5 97 % 8 %
17,17
16e Clinique Saint-Vincent, Toulon (Var)
4 145 2 %
1
85 % 10 %
17,03
2 257 3 %
1,1 83 % 7 %
17,12
17e Hôpital privé Sévigné, Cesson-Sévigné (Ille-et-Vilaine)
3 471 13 % 1,4 94 % 10 %
17,02
2 118 23 % 1,9 82 % 16 %
17,11
4 404 18 % 1,5 87 % 16 %
17,02
1 548 11 %
1,3 96 % 5 %
17,09
19e Hôpital-clinique Claude-Bernard, Metz (Moselle)
3 396 13 % 1,6 93 % 8 %
16,89
1 591 25 % 1,3 85 % 9 %
16,91
20e Clinique Pasteur-Lanroze, Brest (Finistère)
3 066 3 %
1,4 90 % 18 %
16,87
2 968 23 %
67 % 6 %
16,81
20e Clinique de la Muette, Paris
2 822 56 %
–
99 %
–
16,87
1 471 68 % 1,8 83 % 8 %
16,61
22e Clinique du Libournais, Libourne (Gironde)
2 998 29 %
1
94 %
–
16,85
e
16
1,1
23e CH, Tarbes (Hautes-Pyrénées)
1 642 23 % 1,3 85 %
–
16,54
2 855 13 % 1,2 95 % 12 %
16,81
24e CH, Haguenau (Bas-Rhin)
1 205 8 %
–
16,39
24e Clinique du Diaconat-Fonderie, Mulhouse (Haut-Rhin)
3 756 8 %
–
98 %
16,79
1 791 28 % 1,3 73 % 23 %
16,29
25e Centre Clinical, Soyaux (Charente)
2 743 19 %
–
99 %
–
16,67
1 971 19 %
2
66 % 9 %
16,11
26e Clinique mutualiste catalane, Perpignan (Pyrénées-Orientales)
3 180 4 %
1
92 %
–
16,65
1 180 5 %
1,1
91 %
16,03
27e Hôpital privé Cannes-Oxford, Cannes (Alpes-Maritimes)
2 861 18 % 1,6 92 % 21 %
1 477 34 % 2,6 75 % 27 %
16,02
28e Nouvelle clinique Bel-Air, Bordeaux (Gironde)
2 859 9 %
1,1 93 % 10 %
16,59
29e CH, Rodez (Aveyron)
1 329 2 %
15,99
29e Clinique Sainte-Odile, Strasbourg (Bas-Rhin)
2 951 7 %
1,3 91 % 13 %
16,50
1 544 13 % 1,5 77 % 19 %
15,97
30e CMC Pierre-Cherest, Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine)
3 008 66 % 1,2 87 % 15 %
16,47
1 310 7 %
15,97
30e Clinique des Chandiots, Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme)
4 385 16 % 1,2 83 % 3 %
16,47
15,94
4 327 26 % 1,8 80 % 17 %
16,39
16,36
e
26
27e GH du sud de l’Oise, Creil/Senlis (Oise)
e
28
e
30
1
1
96 %
85 %
–
–
1,4 80 % 18 %
–
16,64
32e GH intercommunal, Le Raincy-Montfermeil (Seine-Saint-Denis)
1 197 44 % 1,2 88 %
33e Hôpital Hôtel-Dieu, Paris
1 201 64 % 1,6 88 % 37 %
15,91
33e Polyclinique de la Guadeloupe, Les Abymes (Guadeloupe)
2 767
1 342 37 % 2,4 74 % 29 %
15,89
34e Clinique Sainte-Marthe, Dijon (Côte-d’Or)
2 593 13 %
1,1 96 % 4 %
16,31
1 409 7 %
15,76
35e Clinique Honoré-Cave, Montauban (Tarn-et-Garonne)
3 005 28 % 1,8 84 % 16 %
16,30
36e Hôpital d’instruction des armées Percy, Clamart (Hauts-de-Seine) 1 130 32 % 2,1 90 % 5 %
15,58
36e Clinique Océane, Vannes (Morbihan)
3 795 6 %
77 % 7 %
16,24
37e CH intercommunal, Poissy/Saint-Germain (Yvelines)
1 173 5 %
–
15,54
37e Clinique Saint-André, Vandœuvre-lès-Nancy (Meurthe-et-Moselle) 3 734 28 % 1,2 84 % 3 %
16,23
38e CH intercommunal, Villeneuve-Saint-Georges (Val-de-Marne)
1 227 73 % 1,6 77 % 5 %
15,52
38e Clinique Les Eaux claires, Baie-Mahault (Guadeloupe)
2 943
1 103 11 %
1,8 91 % 5 %
15,50
39e Clinique du Parc, Saint-Priest-en-Jarez (Loire)
2 418 13 %
1 353 6 %
2,2 55 % 22 %
15,43
40e Polyclinique Saint-Laurent, Rennes (Ille-et-Vilaine)
1 357 11 % 2,2 65 % 19 %
15,35
41e Clinique Sainte-Marie, Chalon-sur-Saône (Saône-et-Loire)
1 152 8 %
1,2 82 % 19 %
15,31
41e Clinique Montréal, Carcassonne (Aude)
1 189 62 % 1,5 76 % 50 %
15,31
43e Hôpital privé Pays de Savoie, Annemasse (Haute-Savoie)
1 160 6 %
1,9 87 % 25 %
15,30
1 330 28 % 1,5 64 % 27 %
1 104 5 %
e
34
35e CH, Lorient (Morbihan)
1,2 74 %
2
91 %
–
–
–
1
–
1,5 88 % 7 %
16,12
–
99 %
16,08
3 464 18 %
1
79 % 3 %
3 524 4 %
1,5 85 %
–
2 908 8 %
1
90 %
–
15,94
2 901 17 %
1,1 88 %
–
15,90
44e Polyclinique des Bleuets, Reims (Marne)
2 632 34 % 1,2 96 %
–
15,87
15,28
45e Clinique Milan, Paris
2 549 58 % 1,2 93 % 6 %
15,80
1,3 89 % 6 %
15,27
46e Hôpital privé d’Antony, Antony (Hauts-de-Seine)
2 595 71 % 1,8 92 % 5 %
15,73
1 272 3 %
1,1
–
15,27
47e Clinique Saint-Gatien, Tours (Indre-et-Loire)
2 847 37 %
1
83 % 4 %
15,72
48e CH, Le Puy-en-Velay (Haute-Loire)
1 125 8 %
1,5 85 % 7 %
15,26
3 058 5 %
1,2 83 % 1 %
15,57
1 106 11 %
1,7 88 % 9 %
15,25
49e Pôle santé Léonard-de-Vinci, Chambray-lès-Tours (Indre-et-Loire)
2 417 16 %
1
89 % 4 %
15,44
1 191 20 % 2,3 76 % 13 %
15,17
50e Clinique Saint-Nicolas, Toulouse (Haute-Garonne)
2 603 18 %
1
82 % 8 %
15,37
e
42
e
45
e
46
e
50
CH/clinique, Charleville-Mézières (Ardennes)
76 %
–
1,3 97 %
Cataracte. Classement des 290 hôpitaux et des 418 cliniques pratiquant la chirurgie de la cataracte. Ci-dessus, les 50 meilleurs hôpitaux
et les 50 meilleures cliniques. Technicité : part d’interventions sur la rétine par rapport à celles de la cataracte.
126 | 20 août 2015 | Le Point 2241
–
16,02
15,94
1
2e
3e
4e
5e
6e
7e
7e
9e
10e
11e
12e
13e
14e
15e
16e
17e
18e
19e
Hôp. d’instr. des armées Percy, Clamart (Hauts-de-Seine)
Hôpital de la Timone (adultes), Marseille (B.-du-Rhône)
Hôpital Hôtel-Dieu, Paris
CHU, Lille (Nord)
CH intercommunal, Vesoul ( Haute-Saône)
GH Est Réunion, Saint-Benoît (La Réunion)
CLINIQUES
1er
2e
3e
4e
5e
6e
7e
8e
9e
10e
11e
12e
13e
14e
15e
16e
17e
18e
19e
20e
21e
22e
23e
24e
25e
26e
27e
28e
29e
30e
Clinique ophtalmologique Lamartine, Paris
Clinique de la Vision, Paris
Vision future, Lyon (Rhône)
Vision future, Nice (Alpes-Maritimes)
New Vision, Nice (Alpes-Maritimes)
Clinique de la Vision, Montpellier (Hérault)
Clinique Sourdille, Nantes (Loire-Atlantique)
Clinique Vision Laser des Alpes, Grenoble (Isère)
Polyclin. de l’Atlantique, Saint-Herblain (Loire-Atlantique)
Institut bordelais de la vision, Bordeaux (Gironde)
Laser premium, Lyon (Rhône)
Polyclin. Louis-Pasteur, Essey-lès-Nancy (M.-et-Moselle)
Polyclinique Saint-Laurent, Rennes (Ille-et-Vilaine)
Centre vision laser Paris Ouest, La Garenne-Colombes
Expert Vision Center, Strasbourg (Bas-Rhin)
Excel Visio, Strasbourg (Bas-Rhin)
Clinique François-Chénieux, Limoges (Hte-Vienne)
Clinique Wulfran-Puget, Marseille (Bouches-du-Rhône)
4 080
1 587
1 498
1 398
847
1 354
342
984
674
210
450
400
410
509
482
250
254
200
174
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1
1
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0
0
0
19,69
19,64
19,59
19,53
19,38
19,07
19,02
19,02
18,91
18,86
18,76
18,65
18,39
18,13
18,08
17,77
17,10
16,11
15,08
7 250
6 511
4 924
4 622
3 014
2 600
2 099
2 021
1 660
1 400
1 299
1 205
1 125
1 037
968
910
878
853
846
773
649
584
533
1 472
Hélios opht./polyclin. Côte basque Sud, St-Jean-de-Luz (P.-Atlantiques) 1 650
Clin. de la Vision La Rochelle, Lagord (Charente-Maritime) 1 275
Hôpital privé Pays de Savoie, Annemasse (Haute-Savoie)
1 228
Chirurgie et laser de la vision presbyview, Grenoble (Isère) 1 000
Clinique Honoré-Cave, Montauban (Tarn-et-Garonne)
620
Clinique Monticelli, Marseille (Bouches-du-Rhône)
869
Ø
Ø
Ø
Ø
Ø
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Ø
1
1
1
1
1
1
1
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1
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1
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1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
19,67
19,62
19,56
19,51
19,45
19,40
19,34
19,29
19,23
19,07
19,02
18,85
18,80
18,74
18,58
18,52
18,47
18,36
18,31
18,25
18,14
17,92
17,87
17,49
17,43
17,27
17,21
16,99
16,34
15,08
Myopie. Ci-dessus, les 19 meilleurs hôpitaux (sur les 35 ayant répondu
à notre questionnaire) et les 30 meilleures cliniques et centres de la vision
(sur les 80 ayant répondu à notre questionnaire) réalisant des opérations
de la myopie.
ACT
IVIT
É
NO
TOR
IÉT
É
DU
RÉE
DE
SÉJ
OU
AM
R
BU
LAT
OIR
E
NO
TE
/ 20
HÔPITAUX
1er
2e
3e
4e
5e
6e
7e
8e
9e
10e
11e
12e
13e
14e
15e
16e
17e
18e
19e
20e
21e
22e
23e
24e
25e
26e
26e
28e
29e
30e
CHU, Amiens (Somme)
CHU, Lille (Nord)
CHU, Reims (Marne)
CLINIQUES
1er
2e
3e
4e
5e
6e
7e
8e
9e
10e
11e
12e
13e
14e
15e
16e
17e
18e
19e
20e
21e
22e
23e
24e
25e
26e
27e
28e
29e
30e
1 198
2 406
561
699
872
1 191
554
539
416
493
402
523
278
529
276
357
252
224
375
281
374
413
484
247
325
377
312
351
197
187
81 %
85 %
53 %
82 %
62 %
87 %
56 %
44 %
61 %
49 %
50 %
58 %
22 %
29 %
29 %
31 %
31 %
62 %
28 %
8 %
40 %
46 %
52 %
58 %
18 %
49 %
26 %
49 %
36 %
22 %
1,5
1,5
1,1
1,2
1,2
1,5
2,9
2,6
1,6
2,5
1,7
2,3
1,6
1,8
1,4
1,6
1,8
1,9
3,1
1,2
1,5
2,6
2,2
1,5
2,1
2,2
3,3
4
2
2,4
31 %
12 %
49 %
39 %
19 %
22 %
16 %
17 %
28 %
24 %
19 %
24 %
42 %
3 %
39 %
25 %
37 %
42 %
4 %
8 %
1 %
0 %
1 %
4 %
4 %
2 %
8 %
1 %
17 %
27 %
18,64
18,31
18,30
18,15
18,10
18,07
17,50
17,24
17,03
17,02
17
16,92
16,70
16,69
16,45
16,43
16,37
16,17
16,16
16,12
16,05
15,95
15,94
15,91
15,85
15,77
15,77
15,74
15,36
15,34
ACT
IVIT
É
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DU É
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DE
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ACT
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HÔPITAUX
CHIRURGIE DE LA RÉTINE
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IVIT
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CON
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/ 20
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CHIRURGIE DE LA MYOPIE
1 222 50 % 1,3 12 %
848 57 % 1,7 23 %
1 502 68 % 1,8 15 %
835 31 % 1,2 25 %
Polyclinique de Limoges-François-Chénieux, Limoges (Haute-Vienne)
657 59 % 1,3 58 %
Clinique ophtalmologique Thiers, Bordeaux (Gironde)
667 59 % 1,2 17 %
Clinique Honoré-Cave, Montauban (Tarn-et-Garonne)
585 62 % 1,9 26 %
580 33 % 1,4 18 %
701 79 % 1,4 11 %
Clinique Saint-Vincent, Toulon (Var)
466 2 % 1 54 %
871 58 % 2 6 %
Hôpital privé Cannes-Oxford, Cannes (Alpes-Maritimes)
749 51 % 2,1 5 %
441 17 % 1,3 29 %
856 42 % 1,8 4 %
CMC Pierre-Cherest, Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine)
527 79 % 1,1 2 %
673 21 % 2,2 3 %
385 41 % 1,3 10 %
Clinique Saint-Michel-et-Sainte-Anne, Quimper (Finistère)
292 9 % 1,1 80 %
611 68 % 1,7 6 %
Clinique Sainte-Geneviève, Paris
325 70 % 1,2 24 %
398 46 % 1,9 9 %
Institut ophtalmique, Somain (Nord)
336 14 % 1 2 %
350 22 % 1,3 1 %
307 69 % 1,5 21 %
301 9 % 1,1 12 %
273 52 % 1,1 1 %
307 20 % 1,8 6 %
256 28 % 1,1 7 %
Clinique Wulfran-Puget, Marseille (Bouches-du-Rhône)
264 28 % 1,4 20 %
Polyclinique Côte basque Sud, Saint-Jean-de-Luz (Pyrénées-Atlantiques) 253 41 % 1,6 59 %
18,36
18,16
18,12
18,09
18,06
17,75
17, 60
17,50
17,42
17,40
17,35
17,32
17,31
17,23
17,08
17,04
16,88
16,84
16,78
16,65
16,39
16,19
16,09
16,07
16,05
15,71
15,60
15,56
15,51
15,41
Rétine. Classement des 126 hôpitaux et des 182 cliniques pratiquant
la chirurgie de la rétine. Ci-dessus, les 30 meilleurs hôpitaux et les
30 meilleures cliniques.
Le Point 2241 | 20 août 2015 | 127
1er
CLINIQUES
ACT
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É
NO
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DU É
RÉE
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TEC OIRE
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É
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TEC
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GLAUCOME
803
84 %
1,2
81 %
31 %
18,26
1er
457 57 % 1,2 77 % 48 %
18,25
238
58 %
2
87 %
62 %
18,16
2e
Institut Arthur-Vernes, Paris
180 63 % 1 90 % 36 %
18,07
862
80 %
2
50 %
61 %
18,04
3e
235 54 % 1,3 80 % 56 %
17,96
4
176
62 %
1,1
90 %
40 %
17,97
4e
CMC Pierre-Cherest, Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine)
262 79 % 1,1 77 % 16 %
17,72
5e
282
78 %
1,9
73 %
3 %
17,68
5e
835 71 % 1,4 32 % 63 %
17,71
6e
189
38 %
2,1
87 %
80 %
17,62
6e
425 40 % 2,1 58 % 53 %
17,48
7e
144
59 %
1,2
39 %
63 %
16,81
7e
363 50 % 1,6 39 % 50 %
17,29
8
CHU, Lille (Nord)
155
32 %
1,4
37 %
62 %
16,79
8e
Polyclinique Saint-Laurent, Rennes (Ille-et-Vilaine)
280 53 %
1
2 % 75 %
17,26
9e
215
44 %
1,7
19 %
73 %
16,75
9e
Clinique Saint-Vincent, Toulon (Var)
136 5 %
1 64 % 75 %
16,83
255
57 %
3
21 %
1 %
16,73
10e Clinique Wulfran Puget, Marseille (Bouches-du-Rhône)
179 14 % 1,9 75 % 28 %
16,50
136
55 %
1,8
53 %
22 %
16,44
11e Polyclinique du Parc-Rambot, Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône)
216 42 % 1,4 18 % 50 %
16,33
12e Hôpital Hôtel-Dieu, Paris
142
77 %
2,5
67 %
17 %
16,35
12e Clinique ophtalmologique Thiers, Bordeaux (Gironde)
135 43 % 1
16,30
149
38 %
1,5
28 %
58 %
16,33
13e Clinique chirurgicale Bel-Air, Bordeaux (Gironde)
158 25 % 1,1 13 % 78 %
16,10
87
54 %
3
71 %
80 %
16,19
14e Clinique Juge, Marseille (Bouches-du-Rhône)
156 37 % 1,7 22 % 81 %
16,01
14e Clinique mutualiste, Pessac (Gironde)
84
44 %
4,4
92 %
100 %
16,19
15e Clinique du Dr-Cave, Montauban (Tarn-et-Garonne)
163 40 % 2,1 40 % 45 %
15,99
102
25 %
3
54 %
24 %
16,02
15e Polyclinique de Limoges-François-Chénieux, Limoges (Haute-Vienne)
178 62 % 1,9 11 % 81 %
15,99
15,83
e
2
3e
e
e
e
11
e
14
CHU, Amiens (Somme)
33 % 65 %
111
13 %
3,8
47 %
35 %
15,79
96 10 %
93
41 %
4,7
47 %
68 %
15,76
18e Clinique Saint-François, Châteauroux (Indre)
93 4 % 1,8 76 % 86 %
15,73
129
29 %
1,3
20 %
29 %
15,69
98 30 % 1 34 % 31 %
15,47
122
29 %
2,6
4 %
33 %
15,43
20e Hôpital privé Cannes-Oxford, Cannes (Alpes-Maritimes)
103 36 % 2,2 54 % 61 %
15,44
1 80 % 2 %
Glaucome. Classement des 184 hôpitaux et des 332 cliniques pratiquant la chirurgie du glaucome. Ci-dessus, les 20 meilleurs hôpitaux et les
20 meilleures cliniques. Technicité : part des opérations effectuées avec les techniques les plus récentes par rapport à celles réalisées avec des techniques classiques.
1er
CLINIQUES
ACT
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HÔPITAUX
ACT
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DE
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STRABISME
339
82 %
1,3
90 %
18,47
1er
1 118
47 %
1,1
88 %
2
538
79 %
1,4
78 %
18,22
2e
201
24 %
–
100 %
17,81
3e
157
45 %
1
96 %
18,16
3e
228
36 %
1
97 %
17,75
4e
508
89 %
1,4
79 %
18,02
4e
Clinique Saint-Nicolas, Toulouse (Haute-Garonne)
789
73 %
1
55 %
17,49
e
17,38
e
e
18,17
5
172
31 %
2
95 %
17,70
5
288
81 %
1,5
98 %
6e
181
50 %
2,2
91 %
17,60
6e
355
83 %
1
67 %
17,11
7e
128
91 %
1
88 %
17,58
7e
Clinique du Diaconat-Fonderie, Mulhouse (Haut-Rhin)
133
9 %
1
98 %
17,08
8e
509
77 %
1,9
22 %
17,57
8e
Clinique de la Muette, Paris
82
70 %
–
100 %
16,95
9e
161
42 %
1
53 %
17,19
9e
987
75 %
1,5
26 %
16,76
157
28 %
1,4
80 %
17,03
10e Clinique Sourdille, Nantes (Loire-Atlantique)
444
71 %
1,4
42 %
16,67
337
46 %
1
24 %
16,65
165
42 %
1,2
96 %
16,54
16,45
e
e
CHU, Amiens (Somme)
191
56 %
1,7
13 %
17,03
11
170
42 %
1,2
6 %
16,82
109
48 %
5
98 %
16,77
154
18 %
1,2
97 %
62
37 %
1,5
97 %
16,35
14e Clinique Saint-André, Vandœuvre-lès-Nancy (Meurthe-et-Moselle)
407
68 %
1,9
49 %
16,42
15e Hôpital Femme-Mère-Enfant, Bron (Rhône)
53
57 %
1,2
92 %
16,32
15e Clinique de la Part-Dieu, Lyon (Rhône)
354
64 %
1,5
56 %
16,40
65
31 %
1,2
80 %
16,19
16e Institut ophtalmique, Somain (Nord)
144
24 %
1
70 %
16,33
63
29 %
1,7
86 %
15,77
17e Clinique Saint-Charles, Lyon (Rhône)
85
62 %
1
87 %
16,06
115
46 %
2
8 %
15,62
214
39 %
1
15 %
15,68
71
82 %
1,5
4 %
15,45
19e Polyclinique de Pontivy, Pontivy (Morbihan)
53
36 %
1
92 %
15,57
114
52 %
1,7
1 %
15,39
20e Clinique Wulfran-Puget, Marseille (Bouches-du-Rhône)
122
25 %
1
70 %
15,46
10
e
17
e
19
Strabisme. Classement des 132 hôpitaux et des 233 cliniques pratiquant la chirurgie du strabisme. Ci-dessus, les 20 meilleurs hôpitaux
et les 20 meilleures cliniques.
128 | 20 août 2015 | Le Point 2241
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37e
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41e
42e
43e
44e
45e
46e
47e
47e
49e
50e
CHU, Lille (Nord)
CHU, Reims (Marne)
Hôpitaux Est, Bron (Rhône)
CH, Le Havre (Seine-Maritime)
CHU, Amiens (Somme)
CH, Roubaix (Nord)
CH, Béthune (Pas-de-Calais)
Ø Ø 7 594 22 %
1
1
Ø Ø 3 645 15 %
1
1
Ø Ø 4 308 33 %
1
1
Ø Ø 4 560 25 %
1
1
Ø Ø 4 122 40 %
1
1
Ø Ø 2 342 36 %
1
1
Ø Ø 3 218 30 %
1
1
Ø Ø 3 151
1
1
Ø Ø 4 246
1
1
Ø Ø 3 431
1
1
Ø Ø 5 160
1
1
Ø Ø 2 951
1
1
Ø Ø 2 352
1
1
Ø Ø 3 437
1
0
Ø Ø 2 564
1
1
Ø Ø 2 121
1
1
Ø Ø 1 928
1
1
Ø Ø 3 471
0
0
Ø Ø 3 147
1
0
Ø Ø 2 377
1
1
Ø Ø 2 023
1
0
Ø Ø 1 889
1
0
Ø Ø 1 954
0
1
Ø Ø 1 830
1
1
Ø Ø 3 001
0
0
Ø Ø 1 982
0
1
Ø Ø 2 579
0
0
Ø Ø 1 998
0
1
Ø Ø 1 750
0
1
Ø Ø 2 367
0
1
Ø Ø 1 596
1
1
Ø Ø 2 679
0
0
Ø Ø 1 455
1
0
Ø Ø 2 817
1
0
Ø Ø 1 831
1
0
Ø Ø 1 860
1
0
Ø Ø 1 385
1
0
Ø Ø 3 410
0
0
Ø Ø 1 394
0
0
Ø Ø 1 870
0
0
Ø Ø 1 687
0
0
Ø Ø 1 881
1
1
Ø Ø 1 424
0
0
Ø Ø 1 520
0
0
Ø Ø 1 468
0
0
Ø Ø 1 424
0
0
Ø Ø 1 832
0
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Ø Ø 1 409
0
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Ø Ø 2 415
0
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37 %
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21 %
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18 %
31 %
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30 %
20 %
9 %
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19 %
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13 %
28 %
6 %
6 %
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6,4
6
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6,2
6,9
4,5
6,5
6,8
7,2
6,2
3,9
3
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7,6
6,7
7,8
8,4
7,5
6,7
8
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5,5
7,1
7,4
7
5,7
7,9
8,7
6,3
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6,7
6,2
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9,2
8,3
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6,8
8,3
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17 %
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12 %
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12 %
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5 %
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2 %
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3 %
2 %
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3 %
3 %
3 %
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1
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1
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1
Ø 48,9
1
Ø 49,5
1
Ø 52,6
1
Ø 49,3
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Ø 42,4
1
Ø 52,1
1
Ø 44,1
1
Ø 50,3
1
Ø
1
Ø
1
Ø
1
Ø
1
Ø
1
Ø
1
Ø
1
Ø
1
Ø
1
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0
Ø
0
Ø
1
Ø
1
Ø
1
Ø
1
Ø
1
Ø
1
Ø
1
Ø
1
Ø
1
Ø
1
Ø
0
Ø
1
Ø
1
Ø
0
Ø
0
Ø
1
Ø
0
Ø
0
Ø
0
Ø
1
Ø
0
Ø
1
Ø
1
Ø
0
Ø
1
Ø
0
Ø
0
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48,4
51,5
53
50,5
45
41,7
36,7
47,3
55,8
51,3
53
50,5
48,8
47,3
52,3
44,8
46
48,5
46,2
54,4
53,4
50,5
54,2
53,2
49,8
51,6
49,3
56
53,4
49,5
54,3
45,9
47,4
52,6
52,3
50,7
50,6
18,85
18,25
18,13
18,10
18,09
18,08
18,03
18
17,95
17,70
17,66
17,65
17,62
17,56
17,49
17,46
17,35
17,28
17,20
17,18
16,93
16,86
16,84
16,80
16,75
16,74
16,69
16,68
16,67
16,64
16,62
16,47
16,45
16,30
16,23
16,22
16,20
16,06
16,02
15,91
15,90
15,80
15,70
15,55
15,48
15,44
15,42
15,42
15,40
15,29
ACT
IVIT
NO É
TOR
DU IÉTÉ
RÉE
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DE
GR NAIRE
AV
NO
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TE
/ 20
PNEUMOLOGIE
CLINIQUES
1er
2e
Polyclin. Bordeaux-Nord-Aquitaine, Bordeaux (Gironde) 1 212 6 % 4,5 35 % 4 % 42,4 Ø
813 54 % 7,6 29 % 8 % 47,4 Ø
18,09
17,98
17,90
1
1
3e
1 583 24 % 5,6 24 % 2 % 48,5 Ø
4e
978 26 % 5,3 25 % 3 % 46,4 Ø
17,89
5e
698 34 % 6 39 % 4 % 42,8 Ø
17,80
6e
762 15 % 4,4 39 % 2 % 42 Ø
17,74
7e
Clinique du Parc, Castelnau-le-Lez (Hérault)
640 17 % 9,80 41 % 2 % 55,5 Ø
17,55
8e
Polyclin. du Parc-Rambot, Aix-en-Provence (B.-du-Rhône) 696 15 % 7,8 22 % 4 % 52,3 Ø
17,52
9e
Pôle Santé L.-de-Vinci, Chambray-lès-Tours (I.-et-Loire) 1 517 9 % 5,8 43 % 3 % 39,2 Ø
17,34
10e Polyclin. Saint-Roch, Cabestany (Pyrénées-Orientales) 1 049 6 % 7,1 38 % 5 % 45,7 Ø
17,32
551 3 % 5,5 41 % 5 % 39,1 Ø
17,31
12e Clinique du Grand-Large, Brest (Finistère)
557 0 % 4,1 83 % 1 % 40,7 Ø
17,19
13e Polyclin. Côte basque Sud, St-Jean-de-Luz (P.-Atlantiques) 470 13 % 3,8 32 % 9 % 45,2 Ø
17,14
14e Les Franciscaines, Nîmes (Gard)
777 13 % 6 26 % 1 % 41,3 Ø
17,03
15e Ctre chir. Val-d’Or, Saint-Cloud (Hauts-de-Seine)
512 57 % 5,8 14 % 12 % 38,4 Ø
17,02
16e Clinique océane, Vannes (Morbihan)
496 3 % 6,3 40 % 1 % 50,1 Ø
17,01
17e Ctre cardiologique du Nord, Saint-Denis (Seine-St-Denis) 503 44 % 5,6 64 % 1 % 37,2 Ø
16,97
1
1
1
1
1
1
0
0
1
1
0
1
1
1
1
18e Polyclinique Bordeaux-Rive droite, Lormont (Gironde) 484 3 % 1,6 48 % 12 % 32,8 Ø
16,96
19e Nouvelles Cliniques nantaises, Nantes (L.-Atlantique)
691 12 % 5 15 % 2 % 37,8 Ø
16,86
448 6 % 4,7 58 % 0 % 45 Ø
16,83
660 9 % 7,3 26 % 1 % 46,9 Ø
16,79
631 10 % 7,9 11 % 3 % 46,1 Ø
16,74
0
1
1
1
1
23e Clinique Esquirol-Saint-Hilaire, Agen (Lot-et-Garonne) 539 17 % 7,2 21 % 6 % 42,6 Ø
16,72
503 11 % 7,5 25 % 7 % 49,9 Ø
16,68
16,67
1
0
25e Polyclinique les Fleurs, Ollioules (Var)
476 3 % 6,8 38 % 3 % 51,3 Ø
26e Clinique de l’Union, Saint-Jean (Haute-Garonne)
629 17 % 7 21 % 3 % 38,8 Ø
16,51
27e Hôpital privé de l’Ouest parisien, Trappes ( Yvelines)
590 4 % 8,4 31 % 9 % 40,4 Ø
16,44
28e CMC de l’Europe, Le Port-Marly (Yvelines)
437 22 % 10,6 41 % 5 % 48 Ø
16,39
29e CH privé Cl.-Galien, Quincy-sous-Sénart (Essonne)
416 69 % 8,7 14 % 11 % 46,3 Ø
16,36
387 19 % 6,7 36 % 1 % 50,6 Ø
16,35
417 6 % 5,9 53 % 1 % 42,4 Ø
16,30
0
1
0
0
1
1
1
32e Clinique Vert Coteau, Marseille (Bouches-du-Rhône)
389 4 % 13,2 46 % 2 % 56,5 Ø
16,24
387 13 % 6,3 19 % 6 % 45,2 Ø
16,22
34e Polyclinique Saint-André, Reims (Marne)
387 22 % 6,6 33 % 3 % 48,6 Ø
16,17
35e Clinique Ormeau-centre, Tarbes (Hautes-Pyrénées)
409 12 % 8,2 27 % 4 % 54,4 Ø
16,15
1
1
0
0
36e Clin. du Pont-de-Chaume, Montauban (T.-et-Garonne) 463 13 % 5,9 21 % 2 % 47,6 Ø
16,01
37e Polyclinique des Bleuets, Reims (Marne)
368 33 % 7 54 % 3 % 46,2 Ø
15,99
38e Clinique d’Occitanie, Muret (Haute-Garonne)
437 8 % 5,7 24 % 3 % 44,5 Ø
15,98
0
0
0
39e CMCO de la Côte d’Opale, St-Martin-Boulogne (P.-de-Calais) 512 1 % 7,6 22 % 3 % 45,8 Ø
15,97
40e Clinique les Eaux claires, Baie-Mahault (Guadeloupe)
305 – 4,2 55 % 27 % 36,1 Ø
15,95
0
0
41e Hôp. privé La Casamance, Aubagne (B.-du-Rhône)
375 17 % 10,7 28 % 3 % 48,4 Ø
15,91
42e Clinique de l’Europe, Amiens
317 11 % 5,1 48 % 2 % 51 Ø
15,87
15,79
1
0
43e Clinique Victor-Pauchet, Amiens (Somme)
330 13 % 7,1 14 % 8 % 46,4 Ø
291 5 % 2,4 58 % 3 % 36,2 Ø
15,75
45e Polyclinique Saint-François, Montluçon (Allier)
432 33 % 8,3 25 % 2 % 48,7 Ø
15,68
1
1
0
46e Hôpital privé du Val d’Yerres, Yerres (Essonne)
362 39 % 11,6 25 % 3 % 56,3 Ø
15,61
47e Clinique du Cèdre, Bois-Guillaume (Seine-Maritime)
356 19 % 3,6 7 % 3 % 35,3 Ø
15,58
48e Inst. A.-Tzanck, St-Laurent-du-Var (Alpes-Maritimes)
346 6 % 8,9 71 % 2 % 43,1 Ø
15,55
49e Polyclinique Aguilera, Biarritz (Pyrénées-Atlantiques)
288 18 % 5 29 % 13 % 42,2 Ø
15,49
50e Clin. Sainte-Marie, Chalon-sur-Saône (Saône-et-Loire) 357 4 % 8,2 2 % 3 % 49,3 Ø
15,48
0
1
1
0
1
Pneumologie. Classement des 800 hôpitaux et des 479 cliniques prenant en charge la pneumologie. Ci-dessus, les 50 meilleurs hôpitaux et les
50 meilleures cliniques. Centre de référence de l’hypertension artérielle pulmonaire (Ø), sinon (Ø). Centre de référence de traitement de la mucoviscidose (Ø),
sinon (Ø). Chirurgie du cancer du poumon sur place (Ø), sinon (Ø).
Le Point 2241 | 20 août 2015 | 129
La longue et patiente bataille
Espoir. C’est
la deuxième cause
de mortalité
p
rématurée des
15-24 ans. Reportage à Nantes.
C
lémentine*, Patricia, Leila, Sylvie, Emma… jeunes, maigres,
souvent décharnées, coquettes
et silencieuses, sont attablées dans
la salle à manger de l’unité Lou-Andréas-Salomé de l’hôpital SaintJacques, à Nantes, pour un déjeuner
thérapeutique. Anorexiques ou
boulimiques, elles sont à l’hôpital
afin de se soigner et en premier lieu
de retrouver un équilibre alimentaire, regagner des kilos. A chaque
130 | 20 août 2015 | Le Point 2241
repas, un plateau standard est servi.
Plutôt bon – nous l’avons partagé –,
le contrat pour les malades, c’est de
le finir. Ils viennent de l’agglomération et de tout l’Ouest. Le bâtiment est neuf, l’unité moderne,
zen. « Nous pouvons y accueillir 14 personnes souffrant de troubles du comportement alimentaire, dans
12 chambres simples et une double »,
précise le Dr Lucie Gailledrat, la
psychiatre qui en a la responsabilité en ce mois de juillet. Elles sont
150 hospitalisées chaque année,
auxquelles s’ajoutent deux à trois
fois plus de patientes et quelques
patients dans l’espace Barbara, en
hospitalisation de jour. Ainsi, le
CHU de Nantes prend en charge
plus de 600 personnes par an souffrant d’anorexie, de boulimie ou de
troubles apparentés. « Ce service des
addictions, en particulier alimentaires,
Méthode. Le service
de médecine physique
et de réadaptation
du Dr Marc Dauty
(au centre), à l’hôpital
Saint-Jacques de
Nantes. «L’activité
redonne du muscle
et du plaisir », observe
le médecin.
a été créé il y a une trentaine d’années »,
rappelle le Dr Marie Grall-Bronnec.
Les malades sont suivis sur le plan
psychiatrique à Saint-Jacques, et en
médecine, notamment en endocrinologie, à l’hôpital Nord. Une association de parents, AAB44, est
associée aux soins. « La culpabilité
des familles est quasi générale », témoigne Bernard Cochy, son président. Tandis que des patientes
partent se reposer en chambre après
le repas – des précautions étant
prises afin qu’elles n’aillent pas se
faire vomir –, un groupe de parole
débute pour d’autres avec la psychologue. Catherine Cortet leur demande de s’imaginer une autre tête,
un autre corps, une autre vie, puis
d’en parler à tour de rôle. « Elles sont
obnubilées, leur pensée est envahie par
des insultes ou des ordres, toujours les
mêmes mots, les mêmes chiffres,
e contre l’anorexie-boulimie
combien de calories mangées. Ça les
épuise, décode-t-elle. C’est pour cela
qu’elles répètent: “Je voudrais mettre
sur stop”. » Sophrologie, musicothérapie, atelier voix, atelier autour du
corps, entretien individuel avec le
médecin, séparation de la famille
pendant la semaine initiale d’hospitalisation, rendez-vous de retrouvailles, repas partagés avec les
proches, entretien avec les infirmiers référents, visites, sorties, massages, séances de relaxation : les
activités thérapeutiques sont variées. La pesée quotidienne est un
moment critique, les patientes, bien
que faméliques, se trouvant toujours trop grosses. Une jeune fille
erre dans un couloir, en larmes.
Crises d’angoisse et épisodes
dépressifs sont monnaie courante.
Leur hypersensibilité est touchante.
« En janvier 2014, je suis tombée plus
bas que terre, raconte Chloé, une
sympathique jeune professeure des
écoles, que nous rencontrons chez
elle. J’ai été hospitalisée pour troubles
anxieux généralisés. J’ai également été
suivie en hôpital de jour. Ça a été une
chance énorme pour moi, sinon je ne
sais pas comment je serais sortie de ma
boulimie. A l’espace Barbara, ils sont
formidables. Mais je connais des gens
qui n’ont pas pu y avoir une place. »
Soins ciblés. Depuis début 2015,
le centre nantais des détresses alimentaires propose une offre thérapeutique supplémentaire, en lien
avec le service de médecine
« Je voudrais mettre sur stop », répètent
les jeunes patientes, épuisées.
physique et de réadaptation du
Dr Marc Dauty à l’hôpital SaintJacques. Lara, 20 ans, est juchée sur
un vélo au milieu d’autres appareils de rééducation. « Je fais aussi
des exercices respiratoires et de musculation avec une kiné », raconte la
jeune anorexique, qui paraît si fragile. Elle pourrait prochainement
suivre des séances de balnéothérapie. « C’est ciblé, détaille le Dr Dauty,
pour les cas les plus graves, en reprise
de poids, à l’état psychique normalisé.
Cela redonne du muscle et du plaisir.
Côtoyer des sportifs professionnels
traumatisés, des accidentés de la route,
des défenestrés, ça les interpelle. C’est
bénéfique pour les deux. » Hors de
l’hôpital, Claire Troadec, une étonnante sexagénaire anorexique-boulimique repentie, deux maris,
quatre enfants, organise des
groupes de parole pour les patients
deux fois par mois. « Quel soutien ! »
appuie Chloé.
…
ÉMILIE, 37 KILOS POUR 1,60 MÈTRE : « J’AIMERAIS PESER 2-3 KILOS DE PLUS, MAIS JE N’Y ARRIVE PAS. »
Inviter à dîner une jeune fille anorexique, quelle idée ! Emilie (photo)
arrive en avance. Châtain clair, lunettes carrées, fragile, on la devinerait
jolie avec quelques kilos en plus.
Depuis un bon moment, son poids est
stabilisé à 37 kilos pour 1,60 mètre.
« A 13 ans, j’étais plutôt ronde », se souvient-elle. Elle en a 22 aujourd’hui.
« Malade, j’ai perdu du poids. J’ai trouvé
ça agréable. » Elle commence alors à
restreindre son alimentation. « Un jour,
ma mère m’a mise sur une balance, j’avais
perdu plusieurs kilos. Elle m’a fichu une
claque. » Sans résultat. « Au début, ça me
donnait de l’énergie, je me disais : quand je
voudrai, je pourrai inverser la machine. »
En six mois, elle passe de 53 à 35 kilos.
Sa tante infirmière l’oriente vers un
pédiatre. Puis elle est hospitalisée en
pédopsychiatrie. « L’horreur. Les enfants
m’insultaient, ils ne me comprenaient
pas. » S’ensuit une deuxième hospitalisation, dans le service spécialisé du
Pr Jean-Luc Venisse à Nantes. Elève très
douée, elle poursuit sa scolarité,
jusqu’à la catastrophe en terminale, où
elle tombe à 27 kilos, convulse et f init
en réanimation. « Je n’adhère pas aux
hospitalisations. Depuis que j’ai découvert
les groupes de parole pour patients dans
le journal, ça va mieux. J’aimerais peser
2-3 kilos de plus, mais je n’y arrive pas,
j’ai un blocage. » En effet, elle ne mangera pas grand-chose ce soir-là. En
plus, elle est végétarienne. « Je suis
toujours un peu fatiguée, je stresse, je vis
comme une petite grand-mère, avec mon
chat. » A ses heures perdues, Emilie
fabrique de beaux bijoux artisanaux,
qu’elle met en vente dans une
boutique, elle se fait de temps à autre
une soirée complice avec une fidèle
amie, elle a réussi son bac scientifique
avec mention bien au second essai et
s’est inscrite pour l’an prochain en
rofessionnelle de cosmétololicence p
gie, après un BTS en biotechnologie.
Un médecin généraliste la suit une fois
par mois. Depuis quatre ans, tout
doucement, elle remonte la pente §
Le Point 2241 | 20 août 2015 | 131
Une trentaine tout au plus
de centres spécialisés comme celui-ci existent dans l’Hexagone, et
ils ne couvrent pas la demande, l’attente pour accéder à une consultation atteignant plusieurs mois. « Il
est inacceptable qu’on ne prenne pas
la mesure de cette pathologie qui gâche
autant de vies, vitupère Bernard Cochy. C’est la deuxième cause de mortalité prématurée des 15-24 ans, et il y
a des déserts thérapeutiques en
France. » « Trop de patients meurent
dans leur coin », poursuit le Dr Sophie
Criquillion, de l’hôpital SainteAnne, à Paris. Les travaux de Nathalie Godart, chercheuse à l’Inserm
et praticienne de l’Institut mutualiste Montsouris, à Paris, estiment
à 600 000 le nombre de jeunes souffrant de troubles des conduites alimentaires en France. « Plus de la
…
moitié ne sont pas pris en charge », regrette-t-elle. « L’anorexie et la boulimie sont des maladies mentales avec
une forte composante corporelle. Des
études scientifiques ont montré qu’une
prise en charge précoce et interdisciplinaire, dans des centres de soins, respectant un seuil d’activité minimal,
augmente les chances de guérison et
diminue les effets néfastes de ces
troubles », note Sophie Criquillion.
Labels. Les soins sont difficiles,
longs, d’une durée moyenne de
quatre ans, la maladie est très sévère.
Si la moitié des malades sont considérés comme guéris au bout de
vingt ans, 10 % sont décédés, 15 %
sont rentrés dans une phase chronique, 25 % gardent des troubles
résiduels. Selon le d
écompte
2014 de l’Association française pour
HÔPITAUX
INF
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TRI
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/ 20
TROUBLES DU COMPORTEMENT ALIMENTAIRE
1er
2e
3e
4e
5e
6e
7e
8e
9e
10e
11e
12e
13e
14e
15e
16e
17e
18e
19e
20e
21e
22e
23e
24e
25e
26e
27e
28e
29e
30e
Ø
Ø
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Hôpital Saint-Vincent-de-Paul (Institut catholique de Lille), Lille (Nord)
CHU, Lille (Nord)
Hôpital Paul-Brousse, Villejuif (Val-de-Marne)
Institut MGEN, La Verrière (Yvelines)
CH Esquirol, Limoges (Haute-Vienne)
CH Henri-Laborit, Poitiers (Vienne)
CHS Gérard-Marchand, Toulouse (Haute-Garonne)
CH Sainte-Marie, Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme)
CHS des Pyrénées, Pau (Pyrénées-Atlantiques)
1
1
1
1
1
1
1
1
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1
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16
–
35
–
–
–
–
–
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619
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291
457
242
138
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39
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58
36
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16
9
9
11
NR
NR
NR
–
NR
–
85
271
373
291
209
134
63
19,89
19,87
19,83
19,72
19,62
19,34
19,32
18,97
18,93
18,87
18,59
18,58
18,54
18,47
18,33
18,29
18,19
18,07
17,99
17,96
17,93
17,84
17,73
17,56
16,96
15,71
15,70
15,62
15,53
15,03
Troubles du comportement alimentaire. Classement des 324 établissements
hospitaliers publics prenant en charge l’anorexie et la boulimie. Ci-dessus,
les 30 meilleurs. Centre expert : centre spécialisé selon l’Afdas-TCA (Association
française pour le développement des approches spécialisées des troubles du
comportement alimentaire, enquête nationale 2014) et/ou le questionnaire 2015 du
Point. NR : les directions générales de l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP)
et de l’Assistance publique-Hôpitaux de Marseille (AP-HM) n’ont pas donné suite à la
demande du Point de disposer des données hospitalières psychiatriques détaillées
établissement par établissement.
132 | 20 août 2015 | Le Point 2241
S OPHIE, 1,65 MÈTRE, 25 KILOS : « MÊME
LÀ, JE ME TROUVE TROP GROSSE »
A 27 ans, la vie de Sophie* (photo) ne tient plus
qu’à un fil. Assise en tailleur dans son lit d’endocrinologie du CHU de Nantes, elle est d’une
maigreur cadavérique. Pour 1,65 mètre, elle ne
pèse plus que 25 kilos. Depuis une quinzaine
de jours, elle est nourrie artificiellement par
une sonde naso-gastrique. Elle est arrivée dans
le service via la réanimation. Elle était tellement faible quand elle a demandé à son père
de la conduire à l’hôpital qu’elle y a fait, sitôt
sur place, un arrêt cardiaque. Un choc électrique l’a sauvée. Sophie est anorexique depuis
ses 14 ans. « Elle a failli mourir plusieurs fois »,
confie son médecin-endocrinologue,
le Dr Maëlle Le Bras. « J’habite seule dans le
Maine-et-Loire. Je suis souvent venue ici, raconte
Sophie. En réanimation aussi. Plusieurs mois à
Paris à l’hôpital Sainte-Anne également, ainsi
qu’en psychiatrie à l’hôpital Saint-Jacques
à Nantes, dans l’unité Lou-Andréas-Salomé.
Je n’y arrive pas, je dégringole tout le temps. Même
là, je me trouve trop grosse. Ça ne me sort pas
de la tête, c’est plus fort que moi ».
Sophie a été à l’école jusqu’à 16 ans, puis les
hospitalisations se sont enchaînées. Pendant
deux ans de répit relatif, elle a pu travailler.
« En intérim, j’ai même eu un CDI, j’étais
contente », dit-elle en ébauchant un sourire.
Mais ça n’a pas duré, elle est maintenant en
invalidité. Dans cet état, elle ne peut pas rentrer vivre dans son appartement. Le Dr Le Bras
lui propose un long séjour dans un institut de
psychothérapie spécialisé, elle refuse. « Mes
parents sont à bout, je pense. Ils ont peur que je
meure. » « Je ne voie pas d’issue pour l’instant,
se désole Maëlle Le Bras. On te garde, et je saisis
le comité d’éthique local pour nous aider à réfléchir. » L’ambiance est morbide. Réanimera-t-on
Sophie la prochaine fois ? Peut-on l’hospitaliser sous contrainte, ce qu’elle-même et ses parents refusent ? Adhérera-t-elle un jour à un
projet de soins ? Personne n’a les réponses §
*
Le prénom a été changé.
le développement des approches
spécialisées des troubles du comportement alimentaire, il y aurait
153 lieux de soins déclarant les
prendre en charge (324 selon les
bases hospitalières exploitées par
Le Point). Cette association et le ministère de la Santé doivent les questionner d’ici à fin 2015. L’idée serait
de labelliser des centres spécialisés.
c’est Noël avant l’heure. « 600 000 euros de budget nous sont attribués », se
réjouit le Pr Catherine Massoubre,
chef du service. Cela finance un
psychiatre à temps complet, un
pédiatre et un endocrinologue à
mi-temps chacun, une secrétaire,
deux infirmières à mi-temps…
Inespéré en ces temps de rigueur §
C’est ce qu’entreprend l’Agence régionale d’hospitalisation de Rhône-Alpes en créant pour la première
fois en France, en septembre, trois
centres de référence à Grenoble,
Lyon, Saint-Etienne. Ici, au sein du
vieil hôpital Bellevue, qui abrite depuis trente ans une unité psychiatrique pour l’anorexie-boulimie
aussi reconnue que celle de Nantes,
*
Tous les prénoms ont été changés.
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EPS Ville-Evrard, Neuilly-sur-Marne (Seine-Saint-Denis)
CHS Montfavet, Avignon (Vaucluse)
EPSM Lille Métropole, Armentières (Nord)
EPS Maison-Blanche, Paris
EPSM de la Marne, Châlons-en-Champagne (Marne)
CHS de Saint-Egrève, Saint-Egrève (Isère)
Centre de santé mentale angevin, Sainte-Gemmes-sur-Loire (Maine-et-Loire)
CHS Edouard-Toulouse, Marseille (Bouches-du-Rhône)
EPSM Erasme, Antony (Hauts-de-Seine)
EPS Barthélémy-Durand, Etampes (Essonne)
Nouvel hôpital de Navarre, Evreux (Eure)
EPSM de l’agglomération lilloise, Saint-André (Nord)
CH, Lannemezan (Hautes-Pyrénées)
EPSM du Rouvray, Sotteville-lès-Rouen (Seine-Maritime)
CH Le Vinatier, Bron (Rhône)
CHS de la Chartreuse, Dijon (Côte-d’Or)
CH Valvert, Marseille (Bouches-du-Rhône)
CH Théophile-Roussel, Montesson (Yvelines)
CHU, Lille (Nord)
GH Paul-Guiraud, Villejuif (Val-de-Marne)
CH Jean-Pierre-Falret, Leyme (Lot)
CH Sainte-Marie, Rodez (Aveyron)
EPSM, Rouffach (Haut-Rhin)
CHS de la Sarthe, Allonnes (Sarthe)
Centre psychothérapique de l’Ain, Bourg-en-Bresse (Ain)
CHS Esquirol, Limoges (Haute-Vienne)
CHS, Thuir (Pyrénées-Orientales)
CH, Périgueux (Dordogne)
CH, Dieppe (Seine-Maritime)
CH, Lagny-sur-Marne (Seine-et-Marne)
CHS Sainte-Marie, Nice (Alpes-Maritimes)
EPSM Morbihan, Saint-Avé (Morbihan)
EPSM des Flandres, Bailleul (Nord)
CH de Novillars, Novillars (Doubs)
EPS Alsace-Nord, Brumath (Bas-Rhin)
CH Henri-Laborit, Poitiers (Vienne)
CH, Roanne (Loire)
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Dépression. Classement des 355 établissements hospitaliers publics prenant en charge les troubles dépressifs. Ci-dessus, les 50 meilleurs.
Existence d’un service d’urgences psychiatriques doté d’au moins un psychiatre qualifié de garde, sur place 24 heures sur 24 et 365 jours par an, d’au moins
un centre médico-psychologique (CMP), d’une unité de gestion de crise (Ø), sinon (Ø). Etablissement autorisé à pratiquer la sismothérapie
(électroconvulsivothérapie ou électrochocs) (Ø), sinon (Ø).
Le Point 2241 | 20 août 2015 | 133
Psychiatrie. ECT
ou sismographie
sont les nouveaux
noms de cette
thérapie taboue.
134 | 20 août 2015 | Le Point 2241
E
n mai 1968, l’étudiant Frédéric Rouillon criait dans les couloirs de l’hôpital parisien de la
Pitié-Salpêtrière : « Non à l’électrofascisme ! » Aujourd’hui, le professeur exerce dans l’établissement
français qui pratique le plus grand
nombre de séances d’électrochocs,
l’hôpital Sainte-Anne, le temple
de la psychiatrie au cœur de la capitale. Les mentalités ont changé,
ce traitement aussi, son nom
même a été transformé : on parle
de sismothérapie ou d’électroconvulsivothérapie (ECT). Les Drs
Lila Mekaoui et Claire Gauthier,
deux jeunes psychiatres, nous
conduisent au 4e étage d’un pavillon. Chaque matin, dans cette
unité, une vingtaine de séances
de « sismo » se déroulent sous la
surveillance constante d’une anesthésiste-réanimatrice expérimentée, le Dr Nabiha Hadji.
Convulsion. L’électroconvulsivothérapie
est proposée en cas
de grande mélancolie,
de fort risque suicidaire
ou de dépression,
schizophrénie ou
troubles bipolaires
résistant aux autres
traitements.
LOUISE OLIGNY POUR LE POINT
L’incroyable revanche
des électrochocs
Entre les électrochocs du film
culte « Vol au-dessus d’un nid de
coucou », sorti en 1975, et les ECT
d’aujourd’hui, c’est le jour et la nuit.
A l’hôpital Sainte-Anne, longtemps
les séances furent pratiquées dans
les services de psychiatrie. Depuis
1992, deux salles qui leur sont réservées ont été ouvertes. Un premier patient entre dans l’une,
allongé sur un lit roulant médicalisé et matelassé. Pour plus de
confort, un coussin en gélatine est
posé sous sa tête et, pour protéger
ses dents et sa langue, un tampon
d’ouate est glissé dans sa bouche.
Il est branché à un scope pour surveiller sa tension artérielle, sa respiration, son cœur, et est oxygéné
à l’aide d’un masque. Des capteurs
sont scotchés sur son crâne pour
enregistrer ses ondes cérébrales.
La procédure peut commencer. Par
une veine préalablement piquée à
l’avant-bras, le Dr Hadji l’anesthésie totalement pour dix minutes
et lui administre une dose de curare pour éviter les contractures
musculaires. L’interne en psychiatrie s’empare de deux poignées reliées par des fils au stimulateur
électrique cérébral et les plaque
sur les tempes du patient. Warning
treat s’affiche en lettres rouges sur
la machine. Le médecin vient de
déclencher un courant équivalant
à celui d’une pile de 9 volts qui va
parcourir le cerveau du malade
pendant dix à vingt secondes. Le
patient se tend, des tremblements
musculaires parcourent son corps
pendant une quarantaine de secondes, doucement, lentement,
comme des vaguelettes par beau
temps. Le tracé électroencéphalographique s’accélère, s’intensifie,
avant le retour du calme. Le malade est conduit dans la salle de réveil attenante, comme après une
intervention. Pendant cinquante
minutes au minimum, une infirmière va le surveiller, accompagnant sa reprise de conscience. Un
autre patient est déjà installé à sa
place pour une nouvelle séance, et
ainsi de suite toute la matinée.
Dans les années 60 et 70, les lits
à électrochocs étaient en fer pour
servir de masse, les patients
n’étaient pas anesthésiés, se mordaient la langue, deux infirmiers
leur maintenaient tant bien que
mal les bras et les jambes… « Aujourd’hui, c’est très sécurisé », affirme
le Dr Hadji. En effet, il faut une autorisation délivrée par les autorités sanitaires. Elle repose sur le
respect de plusieurs conditions :
l’existence d’un plateau technique
dans l’établissement, la présence
d’un anesthésiste et d’un psychiatre lors de la séance, l’homologation du matériel, le
consentement éclairé du patient
ou, s’il est soigné sous contrainte
de sa famille ou de son tuteur, une
consultation et un bilan anesthésique préalables.
Expérimental.L
a sismothérapie est l’un des plus anciens traitements des troubles mentaux,
elle s’est développée dans les années 30 de façon empirique, à une
époque où les soins psychiatriques
et neurologiques étaient assez
pauvres. « Des observations faisaient
état de fous ayant guéri en développant une maladie nerveuse, explique
le Dr Mekaoui. D’où l’idée de créer
artificiellement une crise convulsive
pour régulariser un trouble psychiatrique. Mais personne n’en comprenait le fonctionnement. Cet aspect
purement expérimental donnait une
mauvaise image aux électrochocs.
C’était pratiqué sauvagement, sans
indication médicale précise, sans anesthésie, sans curarisation. Des accidents, des fractures survenaient. Et
des dictatures les ont détournés de
leur usage, notamment l’URSS. Sans
compter que les courants professionnels de la psychanalyse et de l’antipsychiatrie étaient idéologiquement
opposés à cette pratique. » La
Un patient
nommé
Artaud
« Antoine A., 46 ans,
ancien toxicomane,
atteint de psychose
hallucinatoire chronique, avec idées délirantes polymorphes
luxuriantes. » Nous
sommes le 11 février
1943 et Antonin
Artaud subit sa
première cure d’électrochocs à l’hôpital
psychiatrique de
Rodez, dont Jacques
Latrémolière, alors
interne, livre l’observation dans sa thèse
« Accidents et incidents observés au
cours de 1 200 électrochocs », publiée
en 1944. En raison
d’un tassement de la
colonne vertébrale,
le patient souffre,
mais, devant « l’intensité du délire persistant », une nouvelle
série de douze
électrochocs est
pratiquée deux mois
plus tard. « Le malade peut maintenant
mener une vie asilaire
normale et se livrer
à des travaux
intellectuels dont il
aurait été incapable
avant les chocs. »
« Cela entraîne une libération de
neurotransmetteurs dans les synapses,
les espaces entre les neurones. » Dr Mekaoui
sismothérapie a été diabolisée
mais n’a jamais cessé d’être pratiquée. Aujourd’hui, psychologie,
analyse, biologie, génétique font
meilleur ménage. Et l’on reparle
plus librement des ECT. Pas moins
de 20 038 séances ont été régulièrement pratiquées en France dans
66 établissements en 2014, selon
les données hospitalières que Le
Point a traitées, auxquelles
s’ajoutent celles recueillies par
notre questionnaire : 12 245 dans
des hôpitaux ou des cliniques multidisciplinaires de soins aigus,
3 669 et 4 124 respectivement dans
des hôpitaux et des cliniques spécialisés en psychiatrie.
Leur mécanisme d’action s’explique partiellement. « La peau
conduit le courant électrique exogène
à l’intérieur de la boîte crânienne, explique le Dr Mekaoui. Or le cerveau
a lui-même un fonctionnement électrique de base modifié par cette stimulation. Cela entraîne une libération
de neurotransmetteurs comme la sérotonine, la dopamine, l’adrénaline…
dans les synapses, les espaces entre
les neurones. Cette libération se produit de proche en proche, les cellules
cérébrales se contaminent les unes les
autres, aboutissant à une crise convulsive. En réaction, le ce rveau bloque
cette décharge. Ce blocage sera à l’origine des effets thérapeutiques, car des
voies de transmission synaptiques habituellement passives vont être stimulées. » Grosso modo, dans la
dépression, l’activité cérébrale est
diminuée et la sismothérapie stimule cet hypofonctionnement.
Les indications de cette thérapeutique impressionnante (au moins
dans notre imaginaire) sont dorénavant bien balisées. Une ECT peut
être proposée en urgence dans les
cas de mélancolie très grave – on
parle de catatonie : la personne ne
« fonctionne » plus, ne parle plus,
ne s’alimente plus. En urgence
aussi, en cas de grande détermination suicidaire, afin de protéger la
personne d’elle-même. Et, enfin,
dans trois maladies résistant aux
traitements habituels, quand tout
a été essayé : la dépression, la schizophrénie et les troubles bipolaires. Une cure standard dure
entre un mois et un mois et …
Le Point 2241 | 20 août 2015 | 135
demi à raison d’une douzaine de séances en moyenne (pas
moins de 8, pas plus de 30), deux
ou trois fois par semaine. Des
séances d’entretien sont souvent
nécessaires. Des effets secondaires
qui s’effacent après coup surviennent le jour même – maux de
tête, confusion ; les troubles de la
…
des ECT, admet le Dr Gauthier.
Il est 13 h 30, la journée « sismo »
s’achève. Nous nous dirigeons
vers la sortie quand arrivent trois
patients. Ils regagnent à pied leur
service d’hospitalisation situé
dans un autre bâtiment et, comme
nous, vont déjeuner. Nous en restons pantois §
mémoire sont systématiques après
la séance, mais réversibles en
quelques mois. « C’est vrai que ma
mère a été sortie de sa torpeur totale,
raconte la fille d’une patiente. C’est
spectaculaire. Mais elle a perdu sa
mémoire et beaucoup de souvenirs anciens. » « Il faut souvent du temps pour
convaincre les patients de l’intérêt
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CHS de Saint-Egrève, Saint-Egrève (Isère)
CHS Montfavet, Avignon (Vaucluse)
CHS Edouard-Toulouse, Marseille (Bouches-du-Rhône)
EPS Ville-Evrard, Neuilly-sur-Marne (Seine-Saint-Denis)
Centre de santé mentale angevin, Sainte-Gemmes-sur-Loire (Maine-et-Loire)
CHS, Thuir (Pyrénées-Orientales)
EPSM Erasme, Antony (Hauts-de-Seine)
Nouvel hôpital de Navarre, Evreux (Eure)
EPS Maison-Blanche, Paris
CH Le Vinatier, Bron (Rhône)
EPSM de l’agglomération lilloise, Saint-André (Nord)
EPSM de la Marne, Châlons-en-Champagne (Marne)
EPSM, Rouffach (Haut-Rhin)
EPSM Lille Métropole, Armentières (Nord)
EPS Barthélemy-Durand, Etampes (Essonne)
CH Valvert, Marseille (Bouches-du-Rhône)
EPSM du Rouvray, Sotteville-lès-Rouen (Haute-Normandie)
CH, Lannemezan (Hautes-Pyrénées)
Centre psychothérapique de l’Ain, Bourg-en-Bresse (Ain)
EPS Alsace Nord, Brumath (Bas-Rhin)
CHS Sainte-Marie, Nice (Alpes-Maritimes)
CHS Esquirol, Limoges (Haute-Vienne)
GH Paul-Guiraud, Villejuif (Val-de-Marne)
EPSM de La Réunion, Saint-Paul (La Réunion)
CHS de la Sarthe, Allonnes (Sarthe)
CH Sainte-Marie, Rodez (Aveyron)
CH, Gonesse (Val-d’Oise)
CHS de la Charteuse, Dijon (Côte-d’Or)
EPSM Morbihan, Saint-Avé (Morbihan)
CH, Erstein (Bas-Rhin)
CH Jean-Pierre-Falret, Leyme (Lot)
CH, Lagny-sur-Marne (Seine-et-Marne)
CHS Georges-Mazurelle, La Roche-sur-Yon (Vendée)
CH, Annecy-Genevois (Haute-Savoie)
EPSM des Flandres, Bailleul (Nord)
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15,50
Schizophrénie. Classement des 356 établissements hospitaliers publics prenant en charge les troubles schizophréniques. Ci-dessus, les 50 meilleurs.
Existence d’un service d’urgences psychiatriques doté d’au moins un psychiatre qualifié de garde sur place 24 heures sur 24 et 365 jours par an, d’au moins un
centre médico-psychologique (CMP), d’une unité de gestion de crise (Ø), sinon (Ø). Etablissement autorisé à pratiquer la sismothérapie (électroconvulsivothérapie
ou électrochocs) (Ø), sinon (Ø).
136 | 20 août 2015 | Le Point 2241
HÔPITAUX
CEN
TRE
USI D'EXC
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C
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IVIT
É
NO
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IÉ
DU TÉ
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D
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IND OIRE
ICE
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TE
/ 20
HÔPITAUX
1er
2
Ø Ø 561 66 %
e
CEN
TRE
USI D'EXC
ELL
C
ENC
E
ACT
IVIT
É
NO
TOR
IÉ
DU TÉ
RÉE
D
AM E SÉJ
BU OUR
LAT
IND OIRE
ICE
DE
GR
AV
NO
ITÉ
TE
/ 20
HYPERTENSION ARTÉRIELLE
Ø Ø 2 074 65 % 0,8 23 % 34,4
19,11
Ø
5,6 26 % 49,1
16,49
3 60 % 38
18,95
Ø Ø 220 45 % 2,2 13 % 47,2
16,44
1
1
1
1
0
NR 234
0
–
1
3e
CHU/CH, Rennes/Dinard (Ille-et-Vilaine/Côtes-d’Armor)
Ø Ø 369 18 % 4,5 14 % 60
18,82
Ø Ø 223 38 % 1,8 7 % 48,9
16,38
4e
Ø Ø 683 24 % 4,3 33 % 38,8
18,79
Ø Ø 353 11 % 6,6 16 % 47,8
16,37
5e
Ø Ø 459 59 % 0,1 7 % 27,3
18,75
25e Hôpital Ambroise-Paré, Boulogne-Billancourt (Hts-de-S.) Ø Ø 163 44 % 3,2 37 % 49,4
16,16
6e
Ø Ø 250 16 % 4,9 56 % 51,9
18,72
Ø Ø
7e
Ø Ø 252 28 % 4,8 34 % 46,8
18,57
27e CHU, Pointe-à-Pitre (Guadeloupe)
Ø
3,1 8 % 34,2
16,09
8e
Ø Ø 1 410 45 % 2,7 3 % 40,8
18,55
Ø Ø 173 3 % 6,6 35 % 63,9
16,03
9e
CHU, Lille (Nord)
Ø Ø 677 18 % 2,2 11 % 31,2
18,54
29e Hôpital Louis-Pradel, Bron (Rhône)
Ø Ø 208 23 % 1,1
15,89
10e Hôpital de la Timone (adultes), Marseille (B.-du-Rhône)
Ø Ø 1 366 20 % 0,8 2 % 34,7
18,44
Ø
8,1 6 % 57
15,75
Ø Ø 259 34 % 1,7 3 % 31,4
18,05
31e CH, Cherbourg/Octeville (Manche)
Ø Ø 203 0 % 10,3 6 % 70,9
15,70
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
0
1
1
1
1
1
1
0
1
0
1
0
1
0
0
1
NR 237
0
–
1
0
0
191 1 % 3,5 14 % 50,6
1
NR 198
0
–
5 % 34,7
1
16,15
12e Hôpital Avicenne, Bobigny (Seine-Saint-Denis)
Ø Ø 232 18 % 5,2 3 % 46,9
17,76
Ø Ø 178 30 % 4,5 12 % 42,1
15,66
Ø Ø 168 11 % 2,7 11 % 44,3
17,62
Ø Ø 160 16 % 3,8 12 % 48,7
15,65
Ø Ø
141 21 % 4 22 % 44,9
17,40
Ø Ø 149 2 % 5,9 36 % 50,6
15,55
Ø Ø 279 60 % 2,7 21 % 51,6
17,14
35e CH, Cambrai (Nord)
Ø Ø 158 10 % 5,9 13 % 65,3
15,54
Ø Ø 516 26 % 2,8 20 % 47,3
17,03
Ø Ø 230 9 % 5,6 3 % 44,4
15,53
Ø Ø 290 43 % 2,8 20 % 47,8
16,95
Ø Ø 192 18 % 4,5 5 % 41,6
15,52
Ø Ø 120 21 % 5,2 8 % 49,6
16,86
Ø Ø 178 4 % 5,3 4 % 48,8
15,50
Ø Ø 252 33 % 5,2 28 % 46,3
16,55
Ø Ø 133 24 % 5,4 17 % 56
15,40
Ø Ø 405 10 %
16,52
Ø Ø 143 15 % 5,5 19 % 46,4
15,22
1
1
1
0
0
0
1
0
0
1
1
1
1
1
1
1
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7
11 % 65,9
0
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1
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1
0
1
0
1
0
1
0
1
Hypertension. Classement des 736 hôpitaux prenant en charge l’hypertension artérielle sévère. Ci-dessus, les 40 meilleurs. Centre d’excellence
labellisé par la Société européenne d’hypertension (Ø), sinon (Ø). Usic : existence dans l’établissement d’une unité de soins intensifs cardiologiques avec au
moins un cardiologue présent 24 heures sur 24 et 365 jours par an (Ø), sinon (Ø).
18,69
Ø 324 38 % 4,2 435 31,2
18,59
Ø 316
Ø 820 40 % 3,4 1 253 32,7
18,56
Ø 367 26 %
Ø 893 73 % 3,8 1 852 29,3
18,54
Ø 295 10 % 3,4 173 35,5
16,07
Ø 1 997 78 % 4,4 151 38,7
18,24
Ø 276 29 % 7,6 268 37,7
16,02
Ø 552 26 % 4,4 455 33,9
18,10
Ø 198 35 % 4,8 387 33,3
15,96
7
CHU, Lille (Nord)
Ø 1 129 31 % 3,2
721 36,1
17,94
Ø 297 11 % 5,3
21 34,3
15,87
8e
Ø 1 280 34 % 4,2
84 33,4
17,76
Ø 223 25 % 6,4 276 36,8
15,83
9e
Ø 1 153 46 % 4,6 1 069 33,7
17,68
Ø 222 30 % 6,2 572 31,3
15,77
Ø 1 155 54 % 2,1 437 31,4
17,51
Ø 220 38 % 6,7 226 38,2
15,74
Ø 435 68 % 3,4 157 33,6
17,39
Ø 226 61 % 5,8 176 36,1
15,73
Ø 402 75 % 4,5
45 44,4
17,29
Ø 193
15,64
Ø 1 047 41 % 5,6 729 33,2
17,26
33e Hôpital Ambroise-Paré, Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine) Ø 313 42 % 5
74 35,1
15,55
Ø 445 40 % 4,7 583 34,2
17,14
Ø 132 61 % 4,4
45
15,53
Ø 591 19 % 3,5 234 36,5
17,04
Ø 137 31 % 4,2 106 28,4
15,51
Ø 334 32 % 5,8 632 36,1
16,82
Ø 177 17 %
288 35,6
15,47
Ø 550 21 % 7,8 293 40
16,73
Ø 224 7 % 7,3 345 32,6
15,39
Ø 370 85 % 2,9
15 32,8
16,68
Ø 146 36 % 5,7 623 30,2
15,35
Ø 361 24 % 4,9 231 38,6
16,62
39e Hôpital Femme-Mère-Enfant, Bron (Rhône)
Ø 123 47 % 5,2
14 44,3
15,34
Ø 427 46 % 5,8 258 35,9
16,46
Ø 142 30 % 5,7 548 32,9
15,33
HÔPITAUX
CEN
TRE
ACT DE RÉ
IVIT FÉR
ENC
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NO
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IÉT
DU É
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D
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/ 20
HÔPITAUX
CEN
TRE
ACT DE RÉ
IVIT FÉR
ENC
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NO
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TOR
IÉT
É
DU
RÉE
D
CHI E SÉJ
RU OUR
RG
IND IE
ICE
DE
GR
AV
NO
ITÉ
TE
/ 20
MALADIES HORMONALES
1er
Ø 1 312 72 % 5,7 439 37,6
2e
Ø 834 75 % 3,6 279 38,2
3e
Hôpital de la Timone (adultes)*, Marseille (Bouches-du-Rhône)
4e
5e
6e
e
e
10
e
12
e
14
e
18
1
1
1
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1
0
0
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0
0
0
0
0
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0
0
0
0
–
0
16,28
8
16,20
256 37,7
0
0
0
0
0
0
0
0
0
–
5,4 147 41,4
0
1
37
0
0
6
0
0
1
0
16,44
5,7 209 37,7
Maladies hormonales. Classement des 638 hôpitaux traitant la pathologie des glandes hormonales. Ci-dessus, les 40 meilleurs. Centre de référence en
endocrinologie des maladies rares de la croissance, de la surrénale, de la réceptivité hormonale, de l’hypophyse, du développement et de la différenciation
sexuels, du cancer de la surrénale, du syndrome de Prader-Willi, des maladies du métabolisme, du calcium et du phosphore, des pathologies gynécologiques
médico-chirurgicales rares (Ø), sinon (Ø). *Cette activité devait être transférée en avril 2015 à l’hôpital de la Conception, à Marseille.
Le Point 2241 | 20 août 2015 | 137
Les orfèvres de la chirurgie
Hypophyse. Une
poignée de chirurgiens traitent cette
glande précieuse.
C
138 | 20 août 2015 | Le Point 2241
de Lille, l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, à Paris, ou le CHU de Toulouse. L’opération est souvent
nécessaire. « Il y a vingt ou trente ans,
l’intervention causait souvent de
lourdes séquelles. Cette chirurgie a
beaucoup progressé, et plusieurs études
ont démontré depuis 1999 que les
centres ayant une grosse activité ont
de meilleurs résultats », affirme Emmanuel Jouanneau, neurochirurgien à l’hôpital Pierre-Wertheimer
des Hospices civils de Lyon. D’après
les données nationales analysées
par Le Point, 46 hôpitaux publics et
HÔPITAUX
DU
RÉE
DE
SÉJ
OU
R
NO
TE
/ 20
CHIRURGIE DE L’HYPOPHYSE
NO
TOR
IÉT
É
Précision. Le professeur Emmanuel Jouanneau exerce à l’hôpital
Pierre-Wertheimer des
Hospices civils de Lyon.
ACT
IVIT
É
’est une des confréries les plus
restreintes du corps médical.
Le dada de ces chirurgiens : opérer une minuscule glande sous le
cerveau qui commande certaines
des fonctions les plus importantes
de l’organisme. L’hypophyse, située
à la base du crâne, est une vraie tour
de contrôle. Elle commande les sécrétions d’hormones indispensables à la vie et en particulier à la
croissance staturale, au fonctionnement thyroïdien, à la lactation,
l’ovulation, la grossesse et l’accouchement, l’excrétion urinaire, la
production de cortisone ou des hormones sexuelles… Elle pèse moins
d’un gramme et mesure 7 à 8 millimètres de diamètre. L’hypophyse
peut développer en elle, comme
dans tout tissu corporel, une prolifération. La plupart sont des adénomes, des tumeurs bénignes.
Placées dans un champ de mines,
entre les nerfs de la vision et des artères, auprès du tronc cérébral, qui
régule la respiration, le rythme cardiaque, la perception de la douleur,
leur traitement est difficile.
Les meilleurs chirurgiens qui
les opèrent, des orfèvres, travaillent
avec un service hospitalier et des
médecins spécialisés en endocrinologie. Car le bilan de ces maladies est complexe. Des solutions
existent, à commencer par une
simple surveillance. Des médicaments peuvent aussi être prescrits.
Des traitements radio-chirurgicaux
consistant à administrer un faisceau de rayons qui encerclent la tumeur pour la détruire sont
dispensés dans une poignée d’hôpitaux : celui de la Timone à Marseille, un des centres les plus
expérimentés au monde, le CHU
9 cliniques privées se sont livrés à
cette chirurgie en 2013. Dans 12 hôpitaux et 8 cliniques, moins d’une
intervention était pratiquée par
mois. Seuls 26 hôpitaux dépassaient
20 actes dans l’année. Aucune clinique n’atteignait ce seuil.
Mieux vaut bien choisir son
centre de soins : la chirurgie des tumeurs hypophysaires doit être précise et délicate. Il s’agit d’enlever
tout le tissu anormal si possible,
tout en gardant la glande saine, au
rôle indispensable, et d’éviter de sévères complications en respectant
chaque structure neuro-vasculaire
voisine. La plupart des spécialistes
passent par le nez et procèdent par
endoscopie ; quelques-uns ouvrent
la boîte crânienne et enlèvent l’excroissance sous microscope. « L’intervention dure souvent de trois quarts
d’heure à une heure, mais peut se prolonger », précise le professeur Jouanneau. Cumulés, les risques
opératoires s’élèvent à environ 5 %.
Un niveau comparable à celui observé en chirurgie cardio-thoracique et supérieur à celui de la
chirurgie de la hanche §
1er
2e
182
114
91 %
66 %
3e
105
69 %
7,3
18,51
4e
107
55 %
7,9
18,49
5,8
8,6
19,50
18,63
5e
64
73 %
8,5
17,84
6e
CHU, Lille (Nord)
87
49 %
10,1
17,24
7e
63
89 %
9,3
17,16
8e
51
57 %
7,8
16,92
9e
16,90
53
66 %
9,3
38
63 %
5,4
16,87
53
53 %
10
16,65
16,25
43
23 %
8,8
28
75 %
5,8
15,71
14e Fondation Rothschild, Paris
35
71 %
9
15,67
36
14 %
10,8
15,12
Hypophyse. Classement des 46 hôpitaux pratiquant la chirurgie de la glande
hypophysaire. Ci-dessus, les 15 meilleurs.
CHIRURGIE DES ARTÈRES
CHU, Lille (Nord)
Hôpital d’adultes La Timone, Marseille (Bouches-du-Rhône)
Centre chirurgical Marie-Lannelongue, Le Plessis-Robinson (Hauts-de-Seine)
253
185
251
151
128
117
100
147
165
198
128
89
72
126
134
68
98
79
92
112
85
61
72
61
94
68
89
55
33
60
65 %
45 %
44 %
68 %
58 %
56 %
44 %
71 %
39 %
77 %
45 %
29 %
68 %
39 %
16 %
16 %
62 %
32 %
77 %
52 %
38 %
69 %
17 %
33 %
55 %
35 %
37 %
65 %
55 %
47 %
89 %
88 %
83 %
66 %
82 %
82 %
51 %
67 %
52 %
23 %
55 %
62 %
82 %
64 %
40 %
63 %
55 %
66 %
62 %
52 %
19 %
70 %
67 %
62 %
53 %
56 %
42 %
58 %
79 %
38 %
52
43,3
52,2
50,8
56,9
44
55,4
51,5
56,5
55,6
49,4
53,9
50,7
41,6
57,8
42,9
48,7
50
45,9
53,6
63,9
60,2
39,1
54,1
49,7
51,9
39,9
59,6
40,2
50,8
1 316
1 198
1 305
1 044
807
912
975
960
987
1 181
877
866
659
1 128
857
863
818
650
546
816
691
425
776
580
587
678
706
562
421
572
52 %
33 %
33 %
65 %
40 %
44 %
39 %
62 %
26 %
68 %
37 %
25 %
64 %
34 %
23 %
16 %
54 %
23 %
63 %
55 %
32 %
66 %
15 %
30 %
42 %
29 %
33 %
64 %
70 %
35 %
16,5
10,5
12,2
12,2
8,6
7,8
7,4
11,4
10,8
15,1
10,1
9,4
11,2
11,5
15,1
7,2
13,1
10,2
11,3
15
11,6
8,5
7
9,9
11,1
8,6
14
13,5
9,4
13
Institut Arnault-Tzanck, Saint-Laurent-du-Var (Alpes-Maritimes)
Centre cardiologique du Nord, Saint-Denis (Seine-Saint-Denis)
Polyclinique les Fleurs, Ollioules (Var)
CMC de Parly-II, Le Chesnay (Yvelines)
Clinique du Grand-Large, Brest (Finistère)
Clinique Saint-Joseph, Trélazé (Maine-et-Loire)
Polyclinique de Quimper-Sud, Quimper (Finistère)
133
105
162
95
81
87
73
81
79
62
83
76
79
57
54
59
69
45
61
64
53
54
53
56
56
32 %
31 %
62 %
58 %
58 %
6 %
63 %
56 %
67 %
82 %
11 %
37 %
11 %
18 %
74 %
31 %
43 %
16 %
33 %
12 %
42 %
0 %
4 %
16 %
2 %
6,9
6,4
7,8
10,6
5,2
10,7
9,7
7,8
10
6
5,6
5,9
8,5
8,6
8,4
7,2
8,8
7,9
8,5
10,1
10
6,7
6,3
10,2
7
91 %
93 %
64 %
38 %
74 %
49 %
60 %
80 %
84 %
84 %
90 %
68 %
87 %
56 %
46 %
75 %
61 %
64 %
90 %
73 %
77 %
80 %
47 %
71 %
46 %
40,6
35
37,7
51,3
38,2
49,1
54,4
47,5
44,2
44
34
38,8
38
49,6
45,4
46,2
39,9
42,8
39,3
41,4
50
45,3
35,4
47,3
44,3
812
720
1 693
523
735
988
1 509
819
838
604
584
688
541
517
531
486
498
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42,2 %
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55,8 %
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40,7 %
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53,6 %
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17,69
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17,05
16,86
16,83
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16,76
16,74
16,57
16,56
16,45
16,38
16,27
16,25
16,16
15,94
15,89
15,80
15,44
15,37
AUTRES ARTÈRES
AORTE ABDOMINALE
CLINIQUES
76 %
65 %
55 %
75 %
62 %
72 %
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57 %
60 %
43 %
64 %
71 %
67 %
62 %
49 %
71 %
64 %
64 %
64 %
62 %
64 %
60 %
77 %
61 %
55 %
57 %
56 %
61 %
71 %
49 %
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24e
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26e
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28e
29e
30e
NO
TOR
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ACT
IVIT
É
HÔPITAUX
IND
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ND
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RÉA
RTA
NIM
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ON
AUTRES ARTÈRES
AORTE ABDOMINALE
39,7
33,4
34,7
39,3
39,2
41,1
37,5
34,3
40,3
40,3
33,2
33,5
41,6
35,7
33,6
38,7
36,2
36,8
38
36,5
46,4
46,8
35,9
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47,2
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18,05
17,99
17,94
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16,05
16,02
15,83
15,76
15,75
15,49
15,38
Artères. Classement des 362 hôpitaux et des 370 cliniques pratiquant la chirurgie des artères. Ci-dessus, les 30 meilleurs hôpitaux et les 25 meilleures
cliniques. Technicité : pourcentage des dilatations par voie non chirurgicale. Réanimation : existence d’un service de réanimation disposant de réanimateurs
présents sur place 24 heures sur 24 et 365 jours par an (Ø), sinon (Ø). Evaluation de la mortalité : tenue périodique dans l’établissement de réunions d’analyse
de la mortalité et de la morbidité et calcul du taux de mortalité à 30 jours sur 2 ans de cette chirurgie (Ø), sinon (Ø). NR : non répondu.
Le Point 2241 | 20 août 2015 | 139
CHIRURGIE DES CAROTIDES
HÔPITAUX
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25e
26e
27e
28e
29e
30e
31e
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33e
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35e
36e
37e
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248
327
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197
157
167
186
231
296
192
81
CHU, Lille (Nord)
Ctre chir. M.-Lannelongue, Le Plessis-Robinson (Hts-de-Seine)
Hôp. de la Timone (adultes), Marseille (B.-du-Rhône)
CHU Henri-Mondor, Créteil (Val-de-Marne)
CH/hôp. privé Bois-Bernard, Lens/Bois-Bernard (P.-de-Calais)
CH Annecy Genevois, Pringy (Haute-Savoie)
CHU, Amiens (Somme)
Inst. Arnault-Tzanck, St-Laurent-du-Var (A.-Maritimes)
CHU, Reims (Marne)
58 %
54 %
78 %
65 %
83 %
43 %
17 %
24 %
58 %
53 %
80 %
85 %
58 %
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62 %
20 %
55 %
54 %
26 %
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50 %
33 %
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55 %
46 %
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27 %
58 %
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56 %
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–
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12,2
19,2
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16,2
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16,2
15,4
14,3
14,3
15,9
13,5
14,4
15,2
14,8
11,7
16,1
12,5
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10,7
13,1
16,6
22,9
748
863
581
558
618
756
610
471
463
344
298
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539
313
370
388
230
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265
335
253
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193
282
90
249
196
271
257
201
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151
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15,3
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14,3
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67 %
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40 %
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51 %
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55,4
65,3
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61,4
63,8
54,3
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50,4
60,1
52,2
72,2
68,8
62,4
52,4
62,9
57,9
49,7
55,9
55,1
50,2
67,6
47,5
51,4
54,1
58,5
55,2
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1
2e
3e
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9e
10e
11e
12e
13e
14e
15e
16e
17e
18e
Ctre cardiologique du Nord, Saint-Denis (Seine-Saint-Denis)
Clinique Saint-Gatien, Tours (Indre-et-Loire)
140 | 20 août 2015 | Le Point 2241
1
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1
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NR
NR
0
0
0
0
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18,40
18,36
18,22
18,12
18,03
17,88
17,74
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17,41
17,39
17,38
17,35
17,34
17,33
17,31
17,30
17,20
17,18
17,15
17,08
17,03
17,01
16,65
16,58
16,35
15,30
15,22
REMPLACEMENT
DE VALVES
ACT
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CLINIQUES
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17,8
12
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17,89
17,86
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17,57
17,40
17,16
16,89
16,88
16,75
16,43
16,30
15,30
HÔPITAUX
1er
2e
Hôp. de la Timone (adultes), Marseille (B.-du-R.)
230 46 % 6,3 12 % 39,2 Ø Ø
252 27 % 8,1 19 % 42,6 Ø Ø
3e
303 72 % 7,3 3 % 37,3 Ø Ø
18,31
4e
199 65 % 7,4 15 % 40,7 Ø Ø
18,03
5e
166 43 % 4,5 8 % 36 Ø Ø
17,98
6e
143 58 % 5,2 4 % 40,4 Ø Ø
17,80
163 31 % 7,2 13 % 38,5 Ø Ø
17,63
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1
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7e
8e
Ctre chir. M.-Lannelongue, Le Plessis-Robinson (Hts-de-Seine) 139 78 % 6,5 2 % 45,3 Ø Ø
17,52
9e
173 44 % 9,69 16 % 39,2 Ø Ø
17,46
159 21 % 6,9 6 % 38 Ø Ø
17,36
158 22 % 5,6 6 % 36,4 Ø Ø
17,29
183 40 % 6,4 6 % 40,8 NR Ø
17,25
13e Clin. mut. de la Porte de l’Orient, Lorient (Morbihan)
159 21 % 5 9 % 28,9 Ø Ø
17,23
387 34 % 9,19 2 % 33,3 Ø Ø
17,19
144 12 % 4,1 4 % 33,5 Ø Ø
17,10
139 14 % 8,1 4 % 48 Ø Ø
17,01
128 45 % 6,8 14 % 38,9 Ø Ø
16,91
18e Hôpital Saint-Joseph, Marseille (B.-du-Rhône)
150 54 % 8 9 % 34,3 Ø Ø
16,79
127 30 % 6,8 2 % 41,1 Ø Ø
16,78
122 57 % 8,9 2 % 44,9 Ø Ø
16,46
130 16 % 7,4 5 % 38,6 NR Ø
16,46
142 25 % 9,2 5 % 38,4 Ø Ø
16,36
104 58 % 8,2 8 % 44,2 Ø Ø
16,10
118 1 % 4,7 3 % 32,6 Ø Ø
16
115 18 % 6,3 11 % 34,1 Ø Ø
15,93
121 59 % 9,2 7 % 37,6 Ø Ø
15,87
97 25 % 6,4 4 % 41,8 Ø Ø
15,82
102 77 % 9,9 5 % 40,2 Ø Ø
15,48
102 31 % 4,7 1 % 31,9 Ø Ø
15,44
78 38 % 5,3 1 % 40,1 Ø Ø
15,41
CLINIQUES
ACT
IVIT
NO É
TOR
DU IÉTÉ
RÉE
TEC DE SÉ
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I
IND CITÉ R
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/ 20
REMPLACEMENT
DE VALVES
PONTAGES
CORONARIENS
ACT
IVIT
NO É
TOR
DU IÉTÉ
RÉE
TEC DE SÉ
HN JOU
I
IND CITÉ R
ICE
ÉVA DE GR
L. D AVI
RÉA E LA M TÉ
NIM OR
ATI TAL
ON ITÉ
NO
TE
/ 20
CHIRURGIE CARDIAQUE
1er
2e
3e
4e
5e
6e
7e
8e
9e
10e
11e
12e
13e
14e
15e
16e
17e
18e
19e
20e
1
1
1
Polyclin. L.-Pasteur, Essey-lès-Nancy (M.-et-Moselle)
1
1
1
1
1
1
1
1
1
0
1
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1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
237
146
Hôp. privé Drôme-Ardèche, Guilherand-Granges (Ardèche) 173
131
Clin. Ambroise-Paré, Nancy (Meurthe-et-Moselle) 159
Polyclinique Les Fleurs, Ollioules (Var)
138
102
Ctre cardio. du Nord, Saint-Denis (Seine-St-Denis) 247
218
Inst. A.-Tzanck, Saint-Laurent-du-Var (A.-Maritimes) 171
Clin. Esquirol-St-Hilaire, Agen (Lot-et-Garonne)
149
Polyclin. du Parc-Rambot, Aix-en-Prov. (B.-du-Rhône) 93
107
133
Clin. Sainte-Clotilde, Sainte-Clotilde (La Réunion) 100
Clin. du Diaconat-Roosevelt, Mulhouse (Haut-Rhin) 128
150
103
Clinique Alleray-Labrouste, Paris
255
98
59 %
27 %
75 %
18 %
36 %
4 %
59 %
60 %
22 %
33 %
9 %
38 %
25 %
60 %
–
3 %
7 %
29 %
77 %
30 %
4,6
3,3
5,5
4,9
6,1
4,1
4,8
4,2
5,8
6,5
6,7
5,7
6,6
3,5
6
5,5
4,1
5,5
4,8
6,8
65 %
3 %
12 %
0 %
11 %
12 %
14 %
10 %
2 %
6 %
5 %
8 %
0 %
1 %
5 %
2 %
1 %
7 %
4 %
3 %
37,6
32,7
33,8
36,1
36,6
29,4
34,1
29,2
35,1
30,7
34,6
43,6
40
29,5
43
37,5
28,5
34,5
27,4
30,4
1
Ø Ø
1
1
Ø Ø
1
1
Ø Ø
1
0
Ø Ø
1
1
Ø Ø
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1
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1
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1
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1
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0
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0
Ø Ø
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0
Ø Ø
0
0
Ø Ø
1
0
19,06
17,61
17,49
17,25
17,23
17,20
17,17
17,16
17,08
16,90
16,80
16,70
16,64
16,51
16,32
16,31
16,29
16,20
16
15,24
1er
1er
3e
4e
5e
6e
6e
8e
9e
10e
11e
12e
13e
14e
15e
16e
17e
18e
18e
18e
21e
22e
23e
24e
24e
26e
27e
28e
29e
30e
31e
32e
33e
34e
35e
36e
37e
38e
39e
40e
41e
42e
43e
44e
45e
45e
47e
48e
49e
50e
CHU, Lille (Nord)
CHU Henri-Mondor, Créteil (Val-de-Marne)
CHU, Amiens (Somme)
CH, Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis)
CH, Saint-Malo (Ille-et-Vilaine)
CH, Roubaix (Nord)
CH, Béthune (Pas-de-Calais)
CHU, Reims (Marne)
CH, Gonesse (Val-d’Oise)
Ø
Ø
Ø
Ø
Ø
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Ø
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Ø
Ø
Ø
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Ø
Ø
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1
1
1
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1
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1
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1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
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1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1 313
2 997
3 043
2 017
1 387
1 971
1 596
1 592
1 179
1 731
1 737
1 308
1 697
1 594
1 023
1 667
1 251
1 176
948
1 414
1 472
2 040
1 140
1 544
1 810
1 742
1 130
842
1 196
981
999
1 322
999
1 049
1 468
772
746
990
1 132
654
847
627
1 595
720
631
616
1 301
1 018
944
516
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/ 20
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IVIT
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ACCIDENTS VASCULAIRES CÉRÉBRAUX
57 %
50 %
54 %
44 %
40 %
47 %
46 %
52 %
43 %
57 %
48 %
47 %
52 %
51 %
44 %
43 %
34 %
48 %
50 %
53 %
59 %
57 %
54 %
52 %
59 %
55 %
67 %
59 %
50 %
61 %
57 %
54 %
63 %
57 %
55 %
56 %
47 %
60 %
61 %
60 %
57 %
62 %
37 %
61 %
56 %
62 %
54 %
51 %
49 %
49 %
74 %
41 %
49 %
46 %
49 %
39 %
44 %
37 %
74 %
26 %
43 %
49 %
25 %
17 %
54 %
39 %
54 %
21 %
63 %
33 %
41 %
33 %
37 %
28 %
17 %
39 %
59 %
80 %
37 %
61 %
74 %
24 %
69 %
41 %
43 %
65 %
79 %
47 %
51 %
74 %
33 %
81 %
46 %
54 %
68 %
53 %
40 %
44 %
34 %
83 %
11 %
9 %
6 %
6 %
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9 %
11 %
7 %
10 %
6 %
9 %
7 %
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11 %
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11 %
37 %
6 %
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8 %
5 %
NR
4 %
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14 %
6 %
9 %
NR
5 %
6 %
5 %
8 %
10 %
8 %
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4 %
13 %
9 %
16 %
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12 %
11 %
11 %
7 %
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NR
11 %
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18,39
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18,18
18,16
18,16
17,98
17,97
17,95
17,90
17,65
17,62
17,51
17,46
17,44
17,20
17,13
17,13
17,13
17,12
17,09
17,07
17,06
17,06
17,05
16,92
16,86
16,84
16,82
16,80
16,76
16,71
16,46
16,25
16,24
16,20
16,18
16,17
16,14
16,12
16,11
16,05
15,86
15,81
15,81
15,78
15,76
15,62
15,37
Accidents vasculaires cérébraux. Classement des 768 hôpitaux prenant en charge les AVC. Ci-dessus, les 50 meilleurs. Prise en charge des urgences
cérébrales 24 heures sur 24 et 365 jours par an (UNV) obligatoire (Ø). Taux d’entrée en UNV : part des malades directement hospitalisés en UNV. Taux de
trombolyse : part des malades ayant bénéficié d’un traitement médicamenteux de destruction des caillots. Neurologue de garde sur place 24 heures sur 24 (Ø),
sinon (Ø) ; IRM, neuroradiologie, kinésithérapeute, orthophoniste, sur place (Ø), sinon (Ø).
Chirurgie cardiaque. Ci-contre, classement des hôpitaux et des cliniques pratiquant la chirurgie cardiaque. Evaluation de la mortalité : tenue
périodique dans l’établissement de réunions d’analyse de la mortalité et de la morbidité et calcul du taux de mortalité à 30 jours, en 2014, des pontages (Ø).
Nombre de greffes cardiaques en 2013, si cette activité n’est pas autorisée (Ø). NR : non répondu.
Carotides. Classement des 159 hôpitaux et des 220 cliniques pratiquant la chirurgie des artères carotides. Ci-contre, les 30 meilleurs hôpitaux
et les 20 meilleures cliniques. Technicité : pourcentage des dilatations par voie non chirurgicale. Réanimation : existence d’un service de réanimation disposant
de réanimateurs présents sur place 24 heures sur 24 et 365 jours par an (Ø), sinon (Ø). Evaluation de la morbi-mortalité : tenue périodique dans l’établissement
de réunions d’analyse de la mortalité et de la morbidité et calcul du taux de morbi-mortalité à 30 jours, sur 2 ans, de cette chirurgie (Ø). NR : non répondu.
Le Point 2241 | 20 août 2015 | 141
Urgences cardiaques : Lyon
prend Villefranche sous son aile
Mutualisation.
Les deux hôpitaux
partagent leurs
compétences.
I
l y a quelques années, M. T... aurait perdu quelques heures précieuses avant d’être soigné de son
infarctus aigu du myocarde, l’urgence cardiaque par excellence. Ce
jeudi 16 juillet, il a été traité au plus
vite. Il est 9 h 10, nous sommes à
l’hôpital de Villefranche-sur-Saône,
dans une des salles du bloc opératoire, vêtu d’un tablier et d’une chasuble plombés qui nous protègent
des irradiations. Le Dr Emmanuel
Cassar, l’unique cardiologue interventionnel de cet hôpital, spécialiste des angioplasties et des
radiographies des artères coronaires, est déjà à pied d’œuvre. Le
Pr Pierre Lantelme, de l’hôpital de
la Croix-Rousse à Lyon, que nous
avons quitté ce matin à 8 h 30, le
rejoint. Entre l’ancienne capitale
des Gaules et la cité phare du Beaujolais, 35 kilomètres et une circulation heureusement fluide ce
142 | 20 août 2015 | Le Point 2241
jour-là. Le vieil homme a ressenti
les premières douleurs à la poitrine
en fin de nuit. Sa femme a rapidement appelé le Samu, qui l’a conduit
aux urgences du centre hospitalier.
Les symptômes et résultats des
analyses biologiques et de l’électrocardiogramme n’étaient pas absolument typiques et concordants,
mais le Dr Cassar a décidé qu’il fallait sans tarder procéder à une désobstruction des artères coronaires.
Saturé de morphine, le patient,
blanc comme un linge, souffre
néanmoins le martyre pendant une
quinzaine de minutes, car le gros
caillot sanguin à l’origine de
l’infarctus est difficile à aspirer. La
manipulation réussie, le muscle
cardiaque est revascularisé, un stent
– petit dispositif maillé et tubulaire – est implanté dans l’artère
pour la dilater et pérenniser la circulation sanguine. Une heure plus
tard, le malade est installé dans sa
chambre, le teint plus rose, son
épouse à son côté.
Au bloc, les angioplasties et les
coronarographies programmées
pour la journée ont repris avec
un petit retard. Comme M. T...,
Gain de temps.
Selon leur lieu de vie,
les malades sont
pris en charge à
Villefranche-sur-Saône
ou à la Croix-Rousse,
par une équipe
médicale commune,
avec les mêmes techniques de cardiologie
interventionnelle.
Astreintes.D
epuis 2012, les
quatre angioplasticiens de l’hôpital de la Croix-Rousse et de celui de
Villefranche forment une seule
équipe intervenant et assurant les
astreintes sur les deux sites, dans
le cadre d’un groupement de coopération sanitaire. Dans ce modèle
unique en France, ce n’est plus le
malade qui est déplacé mais le médecin qui va le traiter là où il se
trouve. Avant cette date, M. T... aurait transité par les urgences de
Villefranche avant qu’un deuxième
véhicule du Samu le transfère dans
un hôpital ou une clinique de la
métropole lyonnaise. Au mieux,
son traitement aurait alors débuté
quand il s’est terminé avec cette
nouvelle organisation. « Au total,
un peu plus de 1 450 angioplasties ont
été réalisées l’an dernier dans les deux
établissements. Les chiffres de morbi-mortalité sont dans la fourchette
basse des données de la littérature
relative aux centres de haut volume »,
se félicite le Pr Lantelme.
Alors que la tendance actuelle
est à la fermeture de centres et à la
lutte contre les petits volumes
d’activité, cette mutualisation des
forces médicales devrait inspirer
d’autres territoires §
LOUISE OLIGNY POUR LE POINT
506 habitants de Villefranche-surSaône et de ses environs ont bénéficié d’une procédure de cardiologie
interventionnelle en 2014. Pour
que cela soit possible 24 heures sur
24 et 365 jours par an, le Dr Cassar
devrait recruter une équipe d’au
moins trois spécialistes qualifiés –
il faut douze à quatorze ans pour
devenir cardiologue interventionnel senior. Illusoire dans une si petite ville. Et même si cela était
possible, les praticiens ne pourraient pratiquer les 200 actes
annuels garantissant un haut
niveau de qualité et de sécurité.
USI
C
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HÔPITAUX
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AR
DIA
NO
QU
TE
E
/ 20
INFARCTUS DU MYOCARDE
Ø 1 268 1 891 42,5
19,48
Ø 663 1 272 39,7
Ø
16,96
Ø
19,47
Ø 491 946 41,1
Ø
16,88
Ø 1 092 1 550 41,2
Ø
19,18
Ø 581 756 45,7
Ø
16,82
Ø 632 2 628 47,9
Ø
19,13
Ø 466 860 47,3
Ø
16,80
5e
Ø 574 1 620 52,6
Ø
18,86
30e CH, Bourges (Cher)
Ø 669 1 050 38,4
Ø
16,68
e
6
Ø 936 1 069 43
Ø
18,75
Ø 583 691 45,5
Ø
16,57
7e
Ø 607 1 589 43,5
Ø
18,66
Ø 557 1 055 44
Ø
16,54
8e
Ø 756 1 250 37,9
Ø
18,46
33e CH Saint-Joseph-Saint-Luc, Lyon (Rhône)
Ø 573 1 062 36,8
Ø
16,39
9e
Ø 893 1 016 43,3
Ø
18,38
Ø 306 920 53,5
Ø
16,22
Ø 563 1 700 40
Ø
18,29
Ø 375 1 575 42,3
Ø
16,17
Ø 686 1 031 44,5
Ø
18,26
Ø 632 917 40,3
Ø
16,08
HÔPITAUX
1er
Ø
2
Ø 1 641 1 457 46,3
3e
4e
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1
1
1
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1
1
1
1
1
1
1
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1
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1
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1
0
1
1
1
1
0
1
0
0
Ø 701 1 056 39,6
Ø
18,19
Ø 361 850 46,7
Ø
16,07
Ø 540 1 420 45,1
Ø
18,14
Ø 666 819 41,2
Ø
15,83
Ø 717 889 51,8
Ø
18,02
39
Ø 414 1 458 41,3
Ø
15,80
Ø 780 939 40,9
Ø
17,89
Ø 322 780 51,4
Ø
15,78
Ø 1 034 1 340 40,4
Ø
17,64
Ø 625 848 40,1
Ø
15,72
Ø 510 1 031 50,8
Ø
17,62
Ø 388 698 44,7
Ø
15,62
Ø 734 896 40,2
Ø
17,62
Ø 454 981 41,8
Ø
15,60
Ø 421 1 425 43,8
Ø
17,62
44e CH, Vannes (Morbihan)
Ø 682 738 39,8
Ø
15,52
Ø 449 1 212 50,2
Ø
17,61
Ø 529 856 42,3
Ø
15,45
Ø 670 874 41,2
Ø
17,43
Ø 553 780 43,5
Ø
15,38
Ø 404 1 248 45,6
Ø
17,42
Ø 373 658 48,3
Ø
15,33
23e CH Annecy Genevois, Pringy (Haute-Savoie)
Ø 567 1 043 36,2
Ø
17,40
48e CH intercommunal, Fréjus (Var)
Ø 549 848 39,4
Ø
15,30
24e CH, La Rochelle (Charente-Maritime)
Ø 860 1 317 35,2
Ø
17,32
49e CH de Marne-la-Vallée, Jossigny (Seine-et-Marne)
Ø 265 1 318 40,9
Ø
15,29
Ø 456 991 45,9
Ø
17,18
50e CH Sud francilien, Evry (Essonne)
Ø 376 934 43,4
Ø
15,13
e
17
e
22
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1
1
1
1
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1
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1
1
0
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1
1
Hôpitaux Nord (Croix-Rousse)/CH, Lyon/Villefranche-sur-S. (Rhône)
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
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0
CLINIQUES
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1
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AR
NO
DIA
TE
/ 20 QUE
25
1
Ø 685 2 795 39,8 Ø
19,46
Ø
Ø 729 1 828 38,3 Ø
19,28
Ø 231 998 37,9 Ø
16,51
Ø 368 984 45,1 Ø
18,90
Ø 519 859 32,8 Ø
16,49
Ø 321 1 410 37,9 Ø
18,78
24e Polyclinique de Bordeaux-Cauderan, Bordeaux (Gironde)
Ø 134 1 759 42,3 Ø
16,45
5
Ø 444 1 138 38
Ø
18,64
25e Clinique Sainte-Clotilde, Sainte-Clotilde (La Réunion)
Ø 351 583 42,7 Ø
16,29
6e
Ø 220 1 342 39
Ø
18,20
26e Clinique du Parc, Castelnau-le-Lez (Hérault)
Ø 240 623 51,5 Ø
16,24
7e
Ø 199 1 194 41,1 Ø
18,05
Ø 197 875 44,6 Ø
16,18
8e
Ø 245 856 40,2 Ø
17,82
28e Clinique de Fontaine, Fontaine-lès-Dijon (Côte-d’Or)
Ø 203 1 153 32,8 Ø
16,14
9e
Ø 258 1 848 43,2 Ø
17,77
Ø 127 468 48,6 Ø
15,97
Ø 253 1 367 44,8 Ø
17,60
Ø 275 579 38,4 Ø
15,81
11e Centre de cardiologie du Pays basque, Bayonne (Pyrénées-Atlantiques) Ø 337 2 396 36,3 Ø
17,58
31e Hôpital privé La Casamance, Aubagne (Bouches-du-Rhône)
Ø 228 702 39,2 Ø
15,80
CLINIQUES
1er
2
3e
4e
e
e
10e Clinique du Diaconat-Fonderie, Mulhouse (Haut-Rhin)
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
0
0
0
1
87 879 43,5 Ø
1
1
0
1
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1
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1
0
1
0
1
0
1
0
1
1
1
0
1
0
16,52
Ø 174 982 44,1 Ø
17,48
Ø 238 568 40,9 Ø
15,64
Ø 175 898 45,1 Ø
17,40
33e Polyclinique du Parc, Toulouse (Haute-Garonne)
Ø 227 600 40,5 Ø
15,63
Ø 108 1 034 48,4 Ø
17,36
34e CH privé Claude-Galien, Quincy-sous-Sénart (Essonne)
Ø 180 739
15,57
15e Polyclinique Les Fleurs, Ollioules (Var)
Ø 263 1 582 36,8 Ø
17,26
34e Clinique générale de Marignane, Marignane (Bouches-du-Rhône)
Ø 176 907 36,8 Ø
15,57
16e Hôpital privé de Bois-Bernard, Bois-Bernard (Pas-de-Calais)
Ø 122 1 034 41,4 Ø
17,21
36e Centre médical d’Evecquemont, Evecquemont (Yvelines)
Ø 234 659 35,7 Ø
15,56
1
1
1
1
1
1
1
1
0
1
1
0
1
1
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1
0
41
Ø
0
0
0
17e Clinique Rhône-Durance, Avignon (Vaucluse)
Ø 304 1 285 33,6 Ø
16,99
Ø 196 715 39,8 Ø
15,53
18e CMC de Parly-II, Le Chesnay (Yvelines)
Ø 165 749 43,3 Ø
16,85
38e Hôpital privé Saint-Martin, Pessac (Gironde)
Ø
90 1 203 35,3 Ø
15,25
Ø 130 983 35,3 Ø
16,72
Ø 180 790 33,8 Ø
15,23
Ø 192 1 343 39,3 Ø
16,56
Ø 150 854 34,4 Ø
15,13
1
1
1
1
0
1
1
0
1
1
1
1
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0
0
0
Infarctus. Classement des 633 hôpitaux et des 236 cliniques prenant en charge l’infarctus du myocarde. Ci-dessus, les 50 meilleurs hôpitaux
et les 40 meilleures cliniques. Usic : existence obligatoire dans l’établissement d’une unité de soins intensifs cardiologiques avec au moins un cardiologue
présent 24 heures sur 24 et 365 jours par an (Ø). Chirurgie cardiaque : existence d’un service de chirurgie cardiaque sur place (Ø), sinon (Ø).
Le Point 2241 | 20 août 2015 | 143
1er CHU, Montpellier (Hérault)
318 61 %
HÔPITAUX
ACT
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HÔPITAUX
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IRM MBOL
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/ 20
ANÉVRISMES CÉRÉBRAUX
7 93 % Ø
Ø
19,04
140 72 % 9 95 % Ø
Ø
16,74
2 Fondation Rothschild, Paris
293 88 % 8,1 99 % Ø
Ø
19,01
140 65 % 9,4 96 % Ø
Ø
16,62
3e Hôpital Beaujon, Clichy (Hauts-de-Seine)
228 92 % 6,8 96 % Ø
Ø
18,86
149 58 % 8,6 68 % Ø
Ø
16,24
e
1
1
1
1
1
1
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1
1
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1
1
1
4 CHU, Nantes (Loire-Atlantique)
189 47 % 6,4 98 % Ø
Ø
18,23
18 CHU, Limoges (Haute-Vienne)
126 61 % 9,3 99 % Ø
Ø
16,09
218 75 % 6,5 89 % Ø
Ø
18,16
19e Hôpital Sainte-Anne, Paris
137 76 % 9,8 91 % Ø
Ø
15,99
6e Hôpital Pierre-Wertheimer, Bron (Rhône)
296 54 % 9,1 90 % Ø
Ø
18,09
151 78 % 10,3 67 % Ø
Ø
15,92
132 42 % 7,6 65 % Ø
Ø
15,58
133 23 % 12,2 92 % Ø
Ø
15,51
e
1
1
1
1
1
1
7 CHU, Nancy (Meurthe-et-Moselle)
164 76 % 6,8 93 % Ø
Ø
17,71
21e Hôpital de la Timone (adultes), Marseille (B.-du-Rhône)
203 73 % 8,2 87 % Ø
Ø
17,60
e
1
1
1
1
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1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
9 CHU, Bordeaux (Gironde)
244 67 % 8,8 70 % Ø
Ø
17,56
23 CHU, Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme)
108 54 % 7,8 76 % Ø
Ø
15,31
10e Hôpital Foch, Suresnes (Hauts-de-Seine)
149 81 % 6,2 92 % Ø
Ø
17,53
102 73 % 8,8 90 % Ø
Ø
15,26
188 87 % 6,9 85 % Ø
Ø
17,45
120 59 % 8,5 75 % Ø
Ø
15,24
e
e
1
1
1
1
1
1
12 CHU, Lille (Nord)
274 40 % 9,6 62 % Ø
Ø
17,03
201 72 % 9,5 85 % Ø
Ø
17,02
172 56 % 9,5 95 % Ø
Ø
17,01
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
Anévrismes. Classement des 49 hôpitaux traitant les anévrismes
cérébraux. Ci-dessus, les 25 meilleurs. Scanner ou IRM sur place disponible
en permanence (point vert). Radiologue interventionnel sur place 24 heures
sur 24 et 365 jours par an (Ø). Embolisation : part des traitements
endovasculaires.
CLINIQUES
1er
663 20 % 2 90 % 57 %
18,44
1er
889 9 % 1,3 86 % 43 %
18,32
2e
483 19 % 1,5 87 % 62 %
18,16
2e
809 14 % 2 87 % 46 %
18,22
17,78
HÔPITAUX
ACT
IVIT
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HN
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/ 20
VARICES
3e
Maison de santé protestante de Bordeaux-Bagatelle, Talence (Gironde) 570 5 % 1,2 89 % 36 %
18,13
3e
Polyclinique Louis-Pasteur, Essey-les-Nancy (Meurthe-et-Moselle)
699 31 % 2,1 85 % 68 %
4e
392 24 % 1,2 95 % 38 %
18,12
4e
Clinique Ambroise-Paré, Nancy (Meurthe-et-Moselle)
656 48 % 1,8 89 % 47 %
17,74
5e
402 56 % 3,4 93 % 62 %
17,89
5e
667 53 % 1,4 90 % 17 %
17,70
6e
CH, Troyes (Aube)
501 5 % 2,4 90 % 44 %
17,85
6e
760 12 % 1,4 84 % 26 %
17,21
376 10 % 1,2 95 % –
17,80
7e
788 10 % 2,5 86 % 26 %
17,14
Clinique Sainte-Marie (Institut catholique de Lille), Cambrai (Nord)
1 050 15 % 1,8 83 % –
17,34
8e
962 8 % 1,1 66 % –
17,12
433 10 % 3,2 88 % 41 %
17,23
9e
Hôpital privé Paul-d’Egine, Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne)
490 20 % 1,1 90 % 29 %
17,10
312 24 % 2 89 % 54 %
17,17
10e Clinique Claude-Bernard, Ermont (Val-d’Oise)
489 10 % 1,1 97 % 14 %
16,93
365 12 % 1,6 86 % 43 %
17,13
598 15 % 1,3 85 % 40 %
16,92
407 9 % 1,1 75 % 39 %
17,12
12e Polyclinique Vauban, Valenciennes (Nord)
601 1 % 2,1 86 % 45 %
16,90
e
7
8e
e
9
e
11
CH, Montreuil (Pas-de-Calais)
379 8 % 1,1 78 % –
16,82
13e Hôpital privé Drôme-Ardèche, Guilherand-Granges (Ardèche)
682 69 % 1,7 70 % 55 %
16,79
282 3 % 1,2 83 % 65 %
16,75
667 14 % 2,2 82 % 45 %
16,78
15e CH, Brive-la-Gaillarde (Corrèze)
278 33 % 3,3 93 % 54 %
16,72
15e Clinique Saint-François, Mainvilliers (Eure-et-Loir)
712 6 % 1,2 79 % 9 %
16,77
319 8 % 1,1 52 % 66 %
16,68
16e Clinique du Cambresis, Cambrai (Nord)
490 11 % 1,4 92 % 1 %
16,48
354 25 % 1,4 69 % 53 %
16,50
17e Polyclinique de Limoges-Emailleurs, Limoges (Haute-Vienne)
467 13 % 1,1 87 % 33 %
16,45
299 10 % 1,6 85 % 36 %
16,48
18e Polyclinique de Quimper Sud, Quimper (Finistère)
576 3 % 1,1 81 % 34 %
16,33
19e CH, Hazebrouck (Nord)
259 12 % 1,8 97 % –
16,42
19e Clinique du Diaconat-Roosevelt, Mulhouse (Haut-Rhin)
659 3 % 2,2 79 % 42 %
16,15
20e Clinique mutualiste de l’Estuaire, Saint-Nazaire (Loire-Atlantique)
310 5 % 1,1 80 % 19 %
16,40
19e Hôpital privé d’Antony, Antony (Hauts-de-Seine)
428 70 % 1,4 89 % 59 %
16,15
21e CH, Dole (Jura)
223 15 % 1,5 97 % –
16,29
21e CHP Saint-Brieuc (Littoral), Saint-Brieuc (Côtes-d’Armor)
462 5 % 1,2 82 % 49 %
16,11
293 1 % 1,7 84 % 40 %
16,23
22e Clinique Jules-Verne, Nantes (Loire-Atlantique)
500 7 % 1,2 83 % 12 %
16,05
e
18
CH, Le Puy-en-Velay (Haute-Loire)
255 65 % 2,8 85 % 62 %
16,11
23e Clinique Océane, Vannes (Morbihan)
592 3 % 1,2 74 % 43 %
15,97
221 31 % 2,6 90 % 58 %
15,98
24e Polyclinique Saint-Côme, Compiègne (Oise)
484 4 % 1,2 84 % 36 %
15,94
271 2 % 1,3 63 % 61 %
15,77
25e Clinique du Grand-Large, Brest (Finistère)
595 1 % 1,2 69 % 44 %
15,89
261 20 % 1,7 76 % 48 %
15,75
538 22 % 1,5 78 % 44 %
15,88
209 1 % 2,7 87 % 61 %
15,47
27e Clinique Turin, Paris
428 56 % 1,5 94 % 42 %
15,79
28e CH, Villefranche-de-Rouergue (Aveyron)
184 13 % 1,4 89 % 35 %
15,46
28e Clinique de l’Archette, Olivet (Loiret)
542 12 % 1,4 74 % 41 %
15,67
224 8 % 1,7 74 % 80 %
15,43
469 39 % 1,2 76 % 41 %
15,52
233 11 % 2,4 75 % 79 %
15,39
30e Polyclinique La Ligne bleue, Epinal (Vosges)
656 5 % 2,2 64 % 27 %
15,42
e
26
Varices. Classement des 362 hôpitaux et des 431 cliniques pratiquant la chirurgie des varices. Ci-dessus, les 30 meilleurs hôpitaux et les 30 meilleures
cliniques. Technicité : pourcentage des interventions de chirurgie artérielle par rapport à la somme des interventions de chirurgie artérielle et veineuse.
144 | 20 août 2015 | Le Point 2241
USI
C
ACT
IVIT
É
NO
TOR
IÉT
ACT É
IVIT
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IND DÉFI
ICE BRIL
DE LAT
GR EU
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NO
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/ 20
HÔPITAUX
USI
C
ACT
IVIT
É
NO
TOR
IÉT
ACT É
IVIT
É
IND DÉFI
ICE BRIL
DE LAT
GR EU
AV R
NO
ITÉ
TE
/ 20
STIMULATEURS CARDIAQUES
Ø 368 23 % 268 38,5
19,25
Ø 176
151 38,5
16,64
19,20
Ø 147 3 % 159 43,8
16,28
18,95
Ø 272 6 % 48 40,6
16,19
Ø 302 23 % 223 39,4
18,90
Ø 190 6 %
77 43,1
16,17
Ø 408 22 % 247 33,1
18,67
Ø 170 26 % 152 36,4
16,16
6e
Ø 239 56 % 170 40,9
18,36
Ø 259 10 % 62 36,4
16,14
7e
Ø 278 22 % 151 41,1
18,24
Ø 148 40 % 128 40,8
16,02
8e
Ø 276 6 % 166 40
18,19
Ø 144 49 % 126 44,5
9e
Ø 245 19 % 227 37,5
18,16
Ø 231 2 %
HÔPITAUX
1er
2e
Ø 286 39 % 205 44,8
3e
Ø 320 20 % 253 38,5
4e
5e
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
–
1
1
1
1
1
1
1
1
57
39
16
15,82
10e Hôpital Louis-Pradel, Bron (Rhône)
Ø 216 30 % 185 40,6
18,10
35e CH, La Rochelle (Charente-Maritime)
Ø 196 14 % 89 33,4
15,73
Ø 398 20 % 155 35,9
17,99
Ø
181 25 % 76 38,2
15,65
Ø 232 20 % 230
36
17,94
Ø 188 12 % 58 43,4
15,64
Ø 277 8 % 167
36
17,84
38e CH Annecy-Genevois, Pringy (Haute-Savoie)
Ø 185 16 % 94 35,1
15,62
15,58
e
13
1
1
1
1
1
1
1
1
14e Hôpital Saint-Philibert (Institut catholique de Lille), Lomme (Nord)
Ø
211 24 % 156 43,1
17,69
39e CH Saint-Joseph-Saint-Luc, Lyon (Rhône)
Ø 169 18 % 76 41,2
Ø 216 20 % 165 38,2
17,48
Ø 200 6 % 56 40,5
15,53
CHU, Lille (Nord)
Ø 166 20 % 319 42,8
17,47
Ø 206 12 % 53 40,2
15,52
Ø 379 20 % 116 34,1
17,39
Ø 164 21 % 114 37,6
15,50
Ø 183 54 % 192 38,5
17,32
Ø 148 24 % 122 37,6
15,50
19e Hôpital de la Timone (adultes), Marseille (Bouches-du-Rhône)
Ø 169 27 % 184 48,9
17,29
44e CH, Rodez (Aveyron)
Ø 232 12 % 48 37,2
15,48
Ø
181 24 % 169 39,3
17,13
Ø 124 58 % 105 43,7
15,46
Ø 194 20 % 198 35,8
17,11
Ø
Ø 233 55 % 139
32
17,04
Ø 207 10 % 64
32
15,30
Ø 215 41 % 110
40
16,93
48e CH, Auxerre (Yonne)
Ø 209 10 % 61 33,8
15,29
Ø 266 4 % 88 36,8
16,68
Ø 157 17 % 104
38
15,25
Ø 253 68 % 74 37,9
16,65
Ø 155 3 %
66 43,9
15,19
e
18
e
21
e
24
CH de Marne-la-Vallée, Jossigny (Seine-et-Marne)
CLINIQUES
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
161 9 % 138 34,8
1
1
1
1
1
15,43
USI
C
ACT
IVIT
É
NO
TOR
IÉT
ACT É
IVIT
É
IND DÉFI
ICE BRIL
DE LAT
GR EU
AV R
NO
ITÉ
TE
/ 20
16
1
USI
C
ACT
IVIT
É
NO
TOR
IÉT
ACT É
IVIT
É
IND DÉFI
ICE BRIL
DE LAT
GR EU
AV R
NO
ITÉ
TE
/ 20
e
1
CLINIQUES
1er
Ø 317 53 % 180 36,6
19,14
Ø 218 13 % 45 34,5
2e
Ø 524 61 % 178 31,6
18,87
Ø 200 50 % 105 33,1
16,78
3e
Ø 509 68 % 202 30,4
18,62
23e Clinique Les Fontaines, Melun (Seine-et-Marne)
Ø 202 5 %
16,65
4e
Ø 685 28 % 135 30,4
18,52
24e Centre de cardiologie du Pays basque, Bayonne (Pyrénées-Atlantiques) Ø 206 40 % 89 30,8
16,59
5e
Ø 327 29 % 140 30,8
18,24
25e Infirmerie protestante de Lyon, Lyon (Rhône)
Ø
16,56
6e
Clinique Ambroise-Paré, Nancy (Meurthe-et-Moselle)
Ø 448 38 % 65
32
18,22
Ø 236 28 % 0
30,4
16,22
Ø 252 32 % 81 38,6
18,20
Ø 204 16 % 11
34,2
16,09
Ø 294 14 % 57 35,9
18,18
28e Clinique Lyon Nord, Rillieux-la-Pape (Rhône)
Ø 143 65 % 92 35,5
16,07
Ø 359 28 %
34,7
17,98
Ø 200 10 % 71 30,5
15,87
10e Clinique Rhône-Durance, Avignon (Vaucluse)
Ø 254 43 % 100 32,4
17,96
Ø 186 34 % 60 31,6
15,86
11e Clinique de la Dhuys, Bagnolet (Seine-Saint-Denis)
Ø 275 65 % 0
41,8
17,90
30e Clinique Saint-Joseph, Trélazé (Maine-et-Loire)
Ø 217 6 %
Ø 239 33 % 88 34,7
17,82
32e Clinique médicale Plein Ciel, Mougins (Alpes-Maritimes)
Ø
Ø 220 29 % 99 37,5
17,77
33e CH privé Claude-Galien, Quincy-sous-Sénart (Essonne)
Ø 160 69 % 94 32,3
15,81
Polyclinique Les Fleurs, Ollioules (Var)
Ø 315 4 % 84 31,3
17,64
Ø 168 15 % 118 32,1
15,79
Ø 226 13 % 90 34,7
17,47
Ø 175 4 % 40 35,8
15,78
Ø 206 44 % 156 34,4
17,40
36e Clinique de l’Orangerie, Strasbourg (Bas-Rhin)
Ø
15,69
Ø 238 31 % 51 34,3
17,37
37e Polyclinique Vauban, Valenciennes (Nord)
Ø 180 3 %
47 32,6
15,57
Ø 246 13 % 143 30,3
17,33
38e Clinique de la Sauvegarde, Lyon (Rhône)
Ø 169 21 % 63 31,8
15,46
Ø 229 4 % 28 35,1
16,97
39e Clinique du Parc, Castelnau-le-Lez (Hérault)
Ø
15,44
Ø 287 17 %
16,87
40e Clinique de Fontaine, Fontaine-lès-Dijon (Côte-d’Or)
Ø 186 8 %
e
7
8e
e
9
e
12
e
14
e
16
17e Clinique Saint-Hilaire, Rouen (Seine-Maritime)
e
18
e
20
Polyclinique de Bordeaux-Cauderan, Bordeaux (Gironde)
1
1
1
1
1
1
1
1
1
5
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
1
0 30,7
1
1
1
43
39
1
1
191 48 % 89 34,2
1
1
1
1
1
33 29,8
15,86
151 19 % 57 37,8
15,84
1
1
1
1
1
1
211 16 % 12 27,2
1
1
1
1
16,85
115 23 % 39 43,2
2
31,4
15,21
Stimulateurs cardiaques. Classement des 290 hôpitaux et des 211 cliniques posant des stimulateurs cardiaques (pacemakers).
Ci-dessus, les 50 meilleurs hôpitaux et les 40 meilleures cliniques. Usic : unité de soins intensifs cardiologiques avec au moins un cardiologue présent
sur place 24 heures sur 24 et 365 jours par an (Ø).
Le Point 2241 | 20 août 2015 | 145
Méthodologie
C
omme les 18 années précédentes, nous
avons travaillé dans la plus stricte indépendance. Aucun accord avec le ministère
de la Santé ou l’une de ses agences, aucun
lien avec une société privée du monde de la
santé ou des assurances complémentaires,
ni avec quelque fédération professionnelle,
syndicat, académie ou société médicale.
Médecine et chirurgie. Pour établir nos
classements des meilleurs hôpitaux et cliniques dans respectivement 61 et 37 disciplines médicales et chirurgicales, nous
avons d’abord adressé un questionnaire, le
6 mars 2015, à 521 établissements publics
ou privés à but non lucratif et à 563 établissements privés à but commercial, ainsi qu’à
49 centres de la vision pratiquant exclusivement la chirurgie réfractive. L’essentiel
des questions porte sur les moyens matériels et humains dont disposent ces structures, et qui garantissent un niveau plus
ou moins élevé de sécurité et de qualité
des soins en chirurgie, cardiologie, réanimation et plusieurs autres spécialités médicales. Nous avons recueilli leurs réponses
jusqu’au 21 avril. Ce questionnaire a été
retourné par 247 hôpitaux, 328 cliniques
et 17 centres de la vision. Pour de nombreuses activités, nous avons privilégié la
présence de certains équipements et spécialistes à forte valeur soignante ajoutée :
par exemple, des services de réanimation
pour la chirurgie des artères, des unités de
soins intensifs cardiologiques pour la prise
en charge des infarctus du myocarde, des
neuroradiologues, des kinésithérapeutes ou
des orthophonistes pour la prise en charge
des accidents vasculaires cérébraux, etc.
Dans un deuxième temps, nous nous
sommes appuyés sur le Programme médicalisé des systèmes d’information (PMSI).
Obtenue après avis positif de la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL) auprès de l’Agence technique
de l’information sur l’hospitalisation (Atih),
cette base de données contient les 24,3 millions de dossiers médicaux informatisés et
anonymisés des patients hospitalisés en
2013, dont 16,5 millions dans le secteur
public et 7,8 millions dans le secteur privé.
Elle permet d’analyser finement les actes
médicaux et chirurgicaux pratiqués dans
chaque établissement.
Ponctuellement, d’autres sources d’information ont été utilisées, comme la liste des
centres de compétences de l’hypertension
146 | 20 août 2015 | Le Point 2241
artérielle pulmonaire, celle des centres d’excellence en hypertension artérielle, celle des
centres de référence pour la prise en charge
des maladies endocriniennes rares, etc.
Une série de critères a alors été définie :
• Activité,
• Notoriété,
• Ambulatoire,
• Technicité,
• Spécialisation,
• Cœliochirurgie,
• Indice de gravité des cas traités,
• Evaluation de la mortalité (pour plus
de détails, il est possible de nous écrire).
Chaque équipement, chaque spécialiste
présent ou absent, chaque critère a fait
l’objet d’une pondération particulière, et
une note sur 20 a été attribuée à tous les
hôpitaux et toutes les cliniques pratiquant
l’activité classée. Les 50, 40, 30, 25 ou 20 établissements les plus performants, selon les
classements, ont finalement été publiés.
Les deux tableaux d’honneur des hôpitaux
et des cliniques pratiquant des soins aigus
en médecine et en chirurgie sont la résultante finale des classements spécifiques
de chaque hôpital et de chaque clinique
dans, respectivement, les 61 et 37 spécialités retenues.
Psychiatrie. Pour la deuxième fois, nous
avons enquêté sur les hôpitaux psychiatriques. Nous avons ajouté, aux classements sur la dépression et la schizophrénie
publiés tous deux l’an passé, celui, inédit,
qui concerne la prise en charge de l’anorexie-boulimie. Nous nous sommes limités
aux établissements publics faisant partie
du service public hospitalier, qui rendent
compte de leur activité dans une base de
données spécifique, le RIM-P (Recueil d’information médicalisée en psychiatrie). Ce
recueil concerne toutes les hospitalisations,
à temps plein comme à temps partiel (en hôpital de jour, et notamment en centre d’activité thérapeutique à temps partiel), ainsi
que toute l’activité de consultation externe
réalisée par ces établissements (en centre
médico-psychologique principalement).
Les données démographiques du patient, le
lieu, le type, la durée de la prise en charge,
l’affection principalement prise en charge,
etc., sont codés selon une méthode normalisée à l’échelle nationale. Seule la prise en
charge sanitaire est retenue dans le RIM-P :
l’accompagnement social, le soutien familial, l’environnement du patient, qui
participent grandement à la réussite du traitement des maladies psychiatriques, n’ont
pas leur place dans ce recueil. C’est la base
de données anonymes de l’année 2013, recensant 2 millions de patients, obtenue auprès de l’Atih après accord de la CNIL, que
nous avons exploitée, et ce uniquement
pour les hospitalisations et consultations
des patients de 16 ans et plus.
Parallèlement, nous avons adressé des
questions à la même date à 221 centres
hospitaliers (appelés antérieurement hôpitaux psychiatriques) spécialisés (CHS),
ainsi qu’aux centres hospitaliers (CH), aux
centres hospitaliers universitaires (CHU)
et aux hôpitaux privés à but non lucratif
pratiquant la psychiatrie. Les retours ont
été exploités jusqu’au 24 juin. A cette date,
58 CHS avaient répondu ainsi que 132 CH
et CHU, soit 190 au total.
Pour chacune des pathologies, nous avons
établi là aussi une série de critères. Une partie d’entre eux ont été renseignés par notre
exploitation du RIM-P : le nombre annuel de
patients pris en charge ; le nombre de jours
de présence moyen par patient dans l’établissement ; le taux de patients hospitalisés ;
le taux de patients suivis en ambulatoire ; la
spécialisation dans l’une ou l’autre pathologie (rapport entre le nombre annuel de
patients pris en charge pour cette pathologie et la totalité des patients pris en charge
toutes pathologies confondues) ; la densité
des actes (en général; médicaux; non médicaux) pratiqués par patients hors urgences ;
le taux de patients soignés en hôpital de jour.
Les autres critères ont été renseignés par
les réponses à notre questionnaire : la présence sur place ou non d’un service ou d’un
dispositif d’urgences psychiatriques fonctionnant 24 heures sur 24 et 365 jours par
an ; l’existence ou non d’un ou plusieurs
centres médico-psychologiques (CMP) dépendant de l’établissement ; l’existence ou
non d’un accueil immédiat des patients
par un membre du personnel soignant au
sein du ou des CMP ; l’existence ou non de
revues de morbidité/mortalité, pour analyser les événements indésirables graves
survenus dans l’établissement à une fréquence précisée et donnant lieu à un recensement qui nous est communiqué ; la
pratique ou non, pour toute hospitalisation d’un patient, d’un examen clinique
somatique, d’un bilan biologique et d’un
électrocardiogramme.
Les établissements qui n’ont pas répondu
à notre questionnaire n’ont donc pas pu
être classés. L’Assistance publique de Paris et celle de Marseille n’ont pas transmis
leurs données détaillées du RIM-P, site hospitalier par site hospitalier §

Le Point - Centre Orthopédique Santy

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