Note de synthèse de présentation des resultats zone libellule st just
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Note de synthèse de présentation des resultats zone libellule st just
Lyonnaise des Eaux Direction Ingénierie Environnementale 12 route de Bessan - 34340 Marseillan Contact : E.Blin - 04.67.77.97.67 – J.Schuehmacher- 04.67.77.92.76 [email protected] – [email protected] Zone de Liberté Biologique et de Lutte contre les Polluants Emergents Note de présentation 1 Contexte de l’étude La première Zone Libellule, concept Lyonnaise Des Eaux (LDE), a été mise en eau sur 1,5 ha en août 2009, en aval de la station d’épuration (STEP) de St Just-St Nazaire-de-Pézan (34) sous maîtrise d’ouvrage du SIVOM la Palus. L’objectif de l’étude scientifique, d’une durée de 3 ans, est d’évaluer la capacité de traitement complémentaire notamment en matière de lutte contre les micropolluants ainsi que d’apprécier l’intérêt environnemental sur le patrimoine naturel local. Cette étude a été cofinancée par l’Agence de l’Eau RMC, le Conseil Général de l’Hérault et LDE. 2 Organisation du suivi scientifique En plus des partenaires financiers précédemment cités, des partenaires scientifiques comme le Cirsee, Biotope, HydroSciences de Montpellier (UMR CNRS 5569), le laboratoire LPTC (UMR CNRS 5255) de l’Université de Bordeaux 1 ont participé activement au suivi scientifique. Plus de 30 protocoles expérimentaux ont été spécialement développés pour le suivi de cette zone humide artificielle. 3 3.1.1 Les résultats Qualité physico-chimique et macropolluants La Zone Libellule permet de limiter l’impact thermique au niveau du rejet dans le milieu naturel. De plus, durant une partie de l’année, l’eau est ré-oxygénée par la traversée de la Zone Libellule grâce notamment aux plantes oxygénantes du dernier bassin. Zone Libellule 19-03-2013 Page 1 Lyonnaise des Eaux Direction Ingénierie Environnementale 12 route de Bessan - 34340 Marseillan Contact : E.Blin - 04.67.77.97.67 – J.Schuehmacher- 04.67.77.92.76 [email protected] – [email protected] Bien que l’eau traitée par la station d’épuration soit de bon niveau1, l’azote et le phosphore sont réduits de 30 % lors du transit de l’eau traitée par la Zone Libellule. Concernant les autres macropolluants, les analyses ont montré que les paramètres MES et DCO ne présentent pas d’abattement supplémentaire en sortie de la Zone Libellule. Lors de perturbations ponctuelles du niveau de rejet de la STEP (durée inférieure à deux semaines), la Zone Libellule amortie l’impact négatif du pic de concentration en macropolluants. Elle permet le maintien de la qualité finale de l’eau rejetée au milieu récepteur. En cas de dysfonctionnements importants en amont, la Zone Libellule joue un rôle tampon et préserve le milieu récepteur. La récupération complète sur la qualité de l’eau au point de rejet ZL demande alors quelques jours, et la résilience de l’écosystème aquatique s’observe en quelques semaines. 3.1.2 Qualité bactériologique Sur la Zone Libellule, l’abattement bactériologique moyen sur E. Coli est de 3,5 log et de 2,6 log sur les Entérocoques. De plus, 83 % des échantillons d’eau présentent des concentrations inférieures aux seuils de qualité pour la baignade2. Cependant, au cours de l’étude, il a été constaté que la couverture végétale des bassins, notamment en été, limite la réduction des germes indicateurs de contamination fécale. 3.1.3 Réduction des micropolluants Les campagnes de mesures montrent une variabilité importante des concentrations d’un jour à l’autre et au cours de l’année. La variabilité est plus marquée sur les pesticides, dont la plupart ont pour origine une utilisation domestique ponctuelle (herbicides, insecticides). Les concentrations rejetées par la station d’épuration, qui ne reçoit que des effluents domestiques, sont relativement faibles (fig. 1). En considérant l’ensemble des campagnes, en moyenne, sur 317 micropolluants organiques recherchées, 195 substances ont été détectées au moins une fois. Les rendements d’élimination sur les micropolluants en sortie Zone Libellule ont atteint 70 % sur 56 % des molécules quantifiés (43 molécules supérieures à 10 ng/L) (fig. 3). Les alkylphénols, issus de résidus plastiques et de détergents, les médicaments comme les antibiotiques, le Diclofénac, le Naproxène, ou encore certains pesticides, montrent des réductions de plus de 80 % en concentration dans l'eau. De plus, la campagne de mesure réalisée en juillet 2011 a montré que le flux de substances rejetées au milieu superficiel est réduit de plus de 80 % durant cette période (fig. 4). Le devenir du flux de polluants infiltrés n’a pas été évalué lors de cette étude. 1 2 Mesures moyennes en sortie STEP sur la période de suivi : Ptot : 0,7 mg/L / Ntot : 4,4 mg/L / MES : 6,4 mg/L / DCO : 23 mg/L Seuil excellente qualité à 200 UFC/100ml (entérocoques) et 500 UFC/100ml (E. coli) de la Directive 2006/7/CE « Gestion et qualité des eaux de baignade » Zone Libellule 19-03-2013 Page 2 Lyonnaise des Eaux Direction Ingénierie Environnementale 12 route de Bessan - 34340 Marseillan Contact : E.Blin - 04.67.77.97.67 – J.Schuehmacher- 04.67.77.92.76 [email protected] – [email protected] 3.1.4 Indicateurs biologiques La détermination des espèces de diatomées, groupe utilisé en tant qu’indicateur biologique (IBD) de la qualité de l’eau, montre une évolution du peuplement en relation avec l’amélioration de la qualité physico-chimique de l’eau en rejet la Zone Libellule. 3.1.5 Biodiversité La plupart de la flore initiale aquatique et terrestre (35 espèces implantées à la construction) s’est maintenue pendant que la biodiversité floristique locale a pris place très rapidement, accompagnée du cortège emblématique de la faune des zones humides (batraciens, odonates, orthoptères, avifaunes). L’ensemble du terrain remanié a été colonisé et le cortège floral compte 143 espèces au bout de trois ans. Deux espèces d’orthoptère menacées par la régression des milieux humides sont présentes sur la Zone Libellule. De plus, le site se montre également attractif pour les oiseaux en servant de zone de nourrissage. En 2010, 27 espèces ont été repérées sur le site avec la présence régulière d’aigrette, de hérons et de poules d’eau (fig. 5). Un site témoin proche, comparable au terrain initial (prairie sèche), a été suivi pour évaluer la biodiversité initiée par la mise en place d’une Zone Libellule. Le suivi de la flore, terrestre et aquatique, et des insectes (orthoptères) montre que, grâce à la mise en eau du terrain concerné, transformé en écosystème humide, la Zone Libellule abrite 6 fois plus d’espèces que le site témoin (fig. 5). 4 Gestion du site Pour éviter une fermeture écologique du milieu et maintenir l’efficacité du traitement, une gestion maîtrisée de la végétation du site s’avère indispensable. Celle-ci est mise en place en respectant les cycles écologiques des végétaux et de la faune. Les premières préconisations d’entretien de la Zone Libellule consistent à veiller au maintien d’un écoulement hydraulique suffisant (opérations de faucardage), à extraire la biomasse végétale aquatique ayant périclité (exportation de la matière organique), à faucher annuellement les prairies sèches, à maintenir une filtration correcte par le filtre à sable, et à engager des actions éventuelles de reprofilage hydraulique. De plus, la surveillance régulière de la qualité de l’eau (physico-chimie, macropolluants, bactériologie) en rejet de la Zone Libellule est indispensable pour la bonne gestion du site. Elle permet également de réagir rapidement en cas de dysfonctionnement amont et pouvoir justifier de la bonne qualité du rejet final aux organismes de tutelle. Zone Libellule 19-03-2013 Page 3 Lyonnaise des Eaux Direction Ingénierie Environnementale 12 route de Bessan - 34340 Marseillan Contact : E.Blin - 04.67.77.97.67 – J.Schuehmacher- 04.67.77.92.76 [email protected] – [email protected] 5 Les perspectives Fin 2012, à la suite de cette étude, le projet ZHART (Zones Humides ARTificielles), porté par Suez Environnement, a débuté pour une durée de 28 mois. Il permettra de déterminer le devenir des micropolluants dans la flore et la macrofaune, de mettre au point des capteurs passifs adaptés aux mesures dans les zones humides, de bâtir des outils de prédiction de l’évolution de la biodiversité, d’évaluer l’empreinte territoriale et sociale de la mise en place de tel concept et de produire un guide de dimensionnement et d’exploitation des ZHART. Zone Libellule 19-03-2013 Page 4 Lyonnaise des Eaux Direction Ingénierie Environnementale 12 route de Bessan - 34340 Marseillan Illustrations graphiques Médicaments courants Contact : E.Blin - 04.67.77.97.67 – J.Schuehmacher- 04.67.77.92.76 [email protected] – [email protected] 6 3 000 2 500 2 000 1 500 1 000 Antibiotiques Médicaments courants Pesticides Pesticides β-bloquants β-bloquants VOC Bisphénol A (BPA) Nonylphénol (4-NP) Nonylphénol diéthoxylate (4-NP2EO ) Nonylphénol monoéthoxylate (4-NP1EO) Nonylphénoxy acetic acid (4-NP1EC) Octylphénol amoxicilline azithromycine ciprofloxacine clarithromycine clindamycine érythromycine norfloxacine ofloxacine spiramycine sulfadiazine sulfaméthoxazole nelfinavir zidovudine 2,6 dichlorophenol pentachlorophenol acide salicylique aspirine cafeine carbamazepine diclofenac gemfibrozil ibuprofene ketoprofene naproxène nordiazepam paracetamol théophylline atrazine dé-isopropyl (DIA) chlorpyrifos-ethyl diazinon diflufenican diuron Diméthylaminosulfanilide (DMSA) Glyphosate imidacloprid propiconazole simazine terbutryne terbutylazine desethyl Phta DEHP late Acebutolol atenolol bisoprolol metoprolol propranolol sotalol ethylbenzène o xylène p + n xylène Styrène toluène 500 0 Alkykphénols 3 000 2 500 2 000 1 500 1 000 500 0 Antibiotiques VOC Bisphénol A (BPA) Nonylphénol (4-NP) Nonylphénol diéthoxylate (4-NP2EO ) Nonylphénol monoéthoxylate (4-NP1EO) Nonylphénoxy acetic acid (4-NP1EC) Octylphénol amoxicilline azithromycine ciprofloxacine clarithromycine clindamycine érythromycine norfloxacine ofloxacine spiramycine sulfadiazine sulfaméthoxazole nelfinavir zidovudine 2,6 dichlorophenol pentachlorophenol acide salicylique aspirine cafeine carbamazepine diclofenac gemfibrozil ibuprofene ketoprofene naproxène nordiazepam paracetamol théophylline atrazine dé-isopropyl (DIA) chlorpyrifos-ethyl diazinon diflufenican diuron Diméthylaminosulfanilide (DMSA) Glyphosate imidacloprid propiconazole simazine terbutryne terbutylazine desethyl Phtal DEHP ate Acebutolol atenolol bisoprolol metoprolol propranolol sotalol ethylbenzène o xylène p + n xylène Styrène toluène Figure 1 : Concentrations en micropolluants décelés (>10ng/l) en entrée Zone Libellule de St Just (sortie station d’épuration). Concentration en ng/L Alkykphénols 19-03-2013 Page 5 Figure 2 - Concentrations en micropolluants décelés (>10ng/l) dans le rejet de la Zone Libellule de St Just. Zone Libellule Concentration en ng/L Lyonnaise des Eaux Direction Ingénierie Environnementale 12 route de Bessan - 34340 Marseillan Contact : E.Blin - 04.67.77.97.67 – J.Schuehmacher- 04.67.77.92.76 [email protected] – [email protected] Catégories d’abattement en micropolluants organiques 4-NP1EC AMPA Imidacloprid Carbamazepine Erythromycine Sotalol Classes : 25 % 70 % Terbutryne 4-NP1EO Théophylline Sulfaméthoxazole Ibuprofene Cafeine Nordiazepam Alkylphénol Pesticide Médicament Antibiotique ? -bloquant 56 % Ciprofloxacine Norfloxacine Ofloxacine Atenolol Diclofenac Glyphosate Propranolol Diuron des molécules quantifiées Naproxène Ketoprofene Azithromycine Spiramycine Metoprolol Gemfibrozil Paracetamol bisoprolol Amitriptyline Bisphénol A (BPA) Diazinon Diflufenican Clarithromycine Propiconazole 30% DMSA Terbutylazine desethyl Atrazine dé-isopropyl DEHP 10 Simazine Octylphénol Nonylphénol (4-NP) Acide salicylique 50 19 % Rendement d’élimination sur les concentrations 100 % Concentration Entrée ZL (ng/L) 1 000 100 Figure 3 : Rendements d’élimination des micropolluants organiques par classe calculés à partir des concentrations entrée et sortie des molécules quantifiées (> 10 ng/l) sur la campagne de juillet 2011 Rendement flux rejeté au milieu superficiel 100% 90% Rendement d'élimination 80% 70% 60% 50% 40% 30% 20% 10% sotalol bisoprolol metoprolol propranolol DEHP atenolol terbutryne terbutylazine desethyl imidacloprid propiconazole simazine Diméthylaminosulfanilide Glyphosate diazinon diflufenican diuron AMPA atrazine dé-isopropyl paracetamol théophylline ketoprofene naproxène nordiazepam gemfibrozil ibuprofene carbamazepine diclofenac acide salicylique amitriptyline cafeine spiramycine sulfaméthoxazole norfloxacine ofloxacine ciprofloxacine clarithromycine érythromycine Octylphénol azithromycine Bisphénol A (BPA) Nonylphénol (4-NP) 4-NP1EO 4-NP1EC 0% Rendement Flux (rejet milieu superficiel) Figure 4 : Rendements sur l’élimination au milieu superficiel calculés à partir des flux (en kg/j) lors des 10 campagnes de mesures de juillet 2011 - Entrée ZL/Sortie ZL Zone Libellule 19-03-2013 Page 6 Lyonnaise des Eaux Direction Ingénierie Environnementale 12 route de Bessan - 34340 Marseillan Contact : E.Blin - 04.67.77.97.67 – J.Schuehmacher- 04.67.77.92.76 [email protected] – [email protected] Evolution de la richesse spécifique par année 120 120 100 97 100 100 Odonates 81 80 Nombre d'espèces Flore aquatique Flore terrestre Orthoptères Site témoin 60 80 60 43 40 43 40 32 23 18 18 17 20 17 16 12 0 0 20 23 15 4 1 0 0 2009 2010 2011 2012 2013 2009 2010 2011 2012 Site Témoin 2011 Flore aquatique 18 32 43 43 0 Flore terrestre 17 81 97 100 23 Orthoptères 0 17 23 18 4 Odonates 0 12 16 15 1 Figure 5 : Evolution des indicateurs de biodiversité et comparaison au site témoin (mesuré en 2011) Zone Libellule 19-03-2013 Page 7 Lyonnaise des Eaux Direction Ingénierie Environnementale 12 route de Bessan - 34340 Marseillan Contact : E.Blin - 04.67.77.97.67 – J.Schuehmacher- 04.67.77.92.76 [email protected] – [email protected] Zone Libellule - Présentation du concept La lutte contre la présence des substances émergentes (pesticides, médicaments, etc.) et de leurs dérivés de dégradation dans l’eau, représente un véritable enjeu, comme en témoigne l’évolution réglementaire. En effet, ces molécules apparaissent dans les milieux à une vitesse exponentielle et peuvent perturber les éléments de la chaine trophique par accumulation ou par synergie alors qu’on les retrouve dans l’eau à de très faibles concentrations, souvent inférieures aux limites de détection. La diversité naturelle des zones humides (biofilms, diatomées, planctons, microphytes, macrophytes, faune…) apporte une complémentarité très riche, en processus biologiques et biochimiques, aux systèmes épuratoires classiques. La Zone Libellule (Zone de « LIberté Biologique Et de LUtte contre les poLluants Emergents »), imaginée par les chercheurs de Lyonnaise des Eaux est donc une solution complémentaire au traitement des eaux usées, basée sur la capacité épuratoire des écosystèmes humides. L'intérêt de la mise en œuvre de systèmes extensifs comme les Zone Libellule réside surtout dans la complexification et la fragmentation des écosystèmes en systèmes complémentaires, sources d'une augmentation générale des performances. La Zone Libellule est conçue pour abriter différents types de milieux humides (roselière, méandres, delta, ….). La variabilité des vitesses d’écoulement, des profondeurs d’eau et des espèces présentes permettent en partie d’améliorer le traitement. Enfin la mosaïque d'habitats humides renforce la biodiversité locale et créée une zone tampon entre la station d’épuration et le milieu naturel. Le plus souvent, le flux d’eau issu d’une usine de traitement des eaux usées, est utilisé pour remettre en eau une parcelle de terrain et ainsi recréer divers écosystèmes humides. La Zone Libellule permet ainsi d’aller plus loin dans le traitement des polluants émergents, tout en stimulant la biodiversité locale. Pour cela, elle s’appuierait en partie sur des mécanismes d’autoépuration et de phytoremédiation. La Zone Libellule renforce également les services écosystémiques rendus comme la pollinisation (fonction de régulation), la production de nourriture primaire (fonction d‘approvisionnement), le support à l’éducation (fonction culturelle) ou encore la provision de biodiversité locale (fonction de soutien). De nombreux projets sont en cours, comme celui de Mios dans les Landes, suite à cette expérience grandeur nature. La Zone Libellule se décline dorénavant en fonction d’objectifs locaux ciblés tant sur la qualité de l’eau du milieu récepteur et la gestion d’eau de ruissellements, que sur la création de site de biodiversité typique de zones humides propre à démontrer l’efficacité de tel concept dans la préservation de notre environnement. La Direction Ingénierie Environnementale de Lyonnaise des Eaux accompagne les collectivités à la mise en place et à l’exploitation de Zone Libellule ou de Zone Humide Artifielles adaptées à des besoins spécifiques, avec pour objectif la diminution des impacts anthropiques et l’atteinte du bon état sur les milieux aquatiques. Zone Libellule 19-03-2013 Page 8 Lyonnaise des Eaux Direction Ingénierie Environnementale 12 route de Bessan - 34340 Marseillan Contact : E.Blin - 04.67.77.97.67 – J.Schuehmacher- 04.67.77.92.76 [email protected] – [email protected] Zone Libellule 19-03-2013 Page 9
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