Premiers lotissements

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Premiers lotissements
Les premiers lotissements de Villepinte
Le café de l’Hermitage, route de Tremblay, au début du XXe siècle. Il était tenu par M. Clavet.
Au premier plan, à gauche, l’école libre de Mme Bourdinaud, vers 1925. Elle est l’épouse du 1er garde
champêtre de Villepinte. Ce bâtiment deviendra le cabinet de Melle Belfort, sage-femme. A droite, le
restaurant, Chez Henri.
La place Jean Jaurès est aujourd’hui la place Pierre Bérégovoy. A gauche, on aperçoit le bal de la Maison
Léonard, vers 1925. A côté, c’est l’épicerie qui se trouvait à l’angle de la rue du Pré Galant et de l’avenue
Centrale. Il n’y a ni trottoir, ni chaussée, ni électricité. Les habitants s’éclairaient alors à la lampe à
pétrole dans les maisons et à la lampe-tempête à l’extérieur.
Dans les années 1920, vue du commerce « Maison Marie » situé au Clos Montceleux, à l’intersection de
l’avenue du Vert-Galant et de la route de Mitry.
Le quartier du Vert-Galant dans les années 1920. On aperçoit la boucherie Michel.
Vue du salon de coiffure Bigogno dans les années 1930. Situé avenue des Peupliers, aujourd’hui avenue
Auguste Blanqui, il était à côté de la maison Boyer, marchand de café, de vins et de liqueurs, appelée La
Vigneronne.
L’avenue Philippe de Girard au Clos Montceleux, dans les années 1930.
Vue sur l’avenue Central et le boulevard Circulaire dans les années 1930. Les poteaux électriques stockés
le long du trottoir indiquent que l’électrification du quartier est en cours. Au premier plan, on reconnaît
le Familistère, succursale n°913, qui n’existe plus aujourd’hui.
En 1988, un groupe d’épiciers en gros décide de s’associer pour former une société anonyme : les Docks
Rémois. Achetant en grosse quantité, pour leurs nombreuses succursales, ils pouvaient vendre les
produits toujours faris et à des prix très bas. L’étymologie de Familiastère signifie : lien de rencontre des
familles.
Vue des premiers lotissements du Vert-Galant. Les routes sont déjà aménagées.
De nombreux terrains sont encore non construits dans le quartier du Vert-Galant, au début des années
1930.
La carriole du loueur de linge traverse le quartier. Au premier plan se dresse le magasin des Vins de
France qui se situait à l’emplacement de la boucherie Mariliac.
La terrasse du café-tabac tenu par M. et Mme Dumet est bondée. Face à elle, la boulangerie Fournier audessus de laquelle s’est établie Melle Berfort, la sage-femme du quartier.
La quincaillerie de la gare (ou quincaillerie Lerier) au premier plan, en 1937. Au centre de la carte postale,
on distingue un marchand de vin.
La Maison Henri est tenue par M. Harvard, vers 1938. Sur la gauche, on reconnait la maison des frères
Roche, deux des quinze otages fusillés en juin 1940. Au premier plan à gauche, la publicité pour le
restaurant « Le chalet » s’affiche sur le mur de la « Vigne Reine », un marchand de vin devenu magasin de
sport.
A la fin des années 1940, l’église Saint Vincent de Paul, inaugurée en 1937. A sa gauche se trouve le
presbytère. Face au photographe, la boulangerie Belin qui deviendra celle de la famille Malaval puis de la
famille Le Toqueux.
La Maison Matharel au Clos Montceleux, qui sert aussi d’arrêt à l’autobus, dans les années 1950. Cette
épicerie était située à l’angle de la route de Sevran et de la rue Jules Ferry. Le café Matharel devient le
café Quo Vadis puis Bompard.
Vue aérienne du quartier du Vert-Galant dans les années 1950.
Vue aérienne de l’école Jean Jaurès et du stade dans le quartier du Vert-Galant, dans les années 1950.