Macbett - L`Eclat
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Macbett - L`Eclat
Cie Caliband ThEAtre Macbett Ionesco 2009 2 Cie Caliband Theatre - MACBETT 2009 - index / prod / contacts ... Index Note d’intention Synopsis Mise en scène Personnages Création musicale, scène Biographie Ionesco Présentation compagnie Metteur en scène Assistante chorégraphe Comédiens Equipe artistique et technique page 2 page 3 page 4 page 5 page 6 page 7 page 8 page 9 page 9 page 10 page 11 page 14 Coproduction... Le Rive Gauche, Scène Conventionnée de Saint-Etienne du Rouvray, Théâtre de l’Hôtel de Ville du Havre, Le Moulin de Louviers, Théâtre Montdory de Barentin. Avec le soutien de... Région et DRAC de Haute-Normandie, Ville de Rouen, Départements de Seine-Maritime et de l’Eure. Demande de subvention auprès de l’ADAMI. Programmation... Le Rive Gauche (St-Etienne du Rouvray), Le Moulin (Louviers), Théâtre de l’Hôtel de Ville (Le Havre), Théâtre Montdory (Barentin), Espace Culturel François Mitterrand (Canteleu), L’Eclat (Pont-Audemer), Théâtre des Charmes (Eu), L’Avant-Scène (Grand-Couronne), Le Passage (Fécamp). Caliband Theatre 13 rue PavEE, appt 221 76100 Rouen 06 72 31 69 78 [email protected] http://www.calibandtheatre.fr Action culturelle : [email protected] 06 79 66 91 53 3 Cie Caliband Theatre - MACBETT 2009 - Note d’intention ... Note d’intention Le Macbett de Ionesco revisite l’œuvre de Shakespeare d’une manière à la fois fidèle et totalement libre. Parodie fi d è l e, c a r l a m ê m e dimension tragique s’en dégage au final. Mais l’art de Ionesco s’enrichit d’un humour décapant et d’une moder nité qui résonnent encore aujourd’hui avec force. Cet humour décalé n’est d’ailleurs pas sans rappeler l’ironie mordante des Monty Python. Ce qui est en jeu c’est la corruption de l’être au contact du pouvoir, sa grinçante et risible métamorphose en prédateur. Avec cette farce tragique, l’auteur passe au crible l’absurdité, le dérisoire et la violence des ambitions humaines liées au pouvoir. Tous les protagonistes de cette histoire sont contaminés par une soif de conquête d é m e s u r é e. I o n e s c o pousse jusqu’à l’implosion le dérèglement initial des personnages shakespeariens. Et on assiste à un engrenage grotesque, pathétique et troublant. Dans cette mascarade, l’homme est un pantin. L’écriture de Ionesco est à la fois profonde et burlesque. Tous les genres théâtraux s’y côtoient dans une distorsion permanente : tragédie, grand guignol, farce, vaudeville, opérette... On y retrouve tous les arguments de la t r a g é d i e s h a ke s p e a r i e n n e : meurtres, complots, manipulations, t r a h i s o n s, d é s i r s monstrueux. Mais les décalages constants, la démesure et l’anachronisme appuyés révèlent encore davantage la per manence et la puissance de ces thèmes. Po u v o i r t y r a n n i q u e, rébellion, meurtres politiques et massacres guerriers sont les bégaiements absurdes de l’Histoire. Dans cette pièce, le sang appelle le sang et ce mouvement se transforme rapidement en un déluge, une spirale d’exécutions. Ce pouvoir rejoint tous les absolutismes, tous les fonctionnements totalitaires, autocratiques et mafieux, et ce modèle ancestral semble ne jamais devoir s’arrêter, mais au contraire s’accélérer ou se sophistiquer au fil du temps. Cette jonction entre tous les âges d’une lutte sauvage et folle de l’humanité avec ellemême, l’universalité du thème et la férocité de cette écriture, en font une matière extrêmement vivante et percutante. Cie Caliband Theatre - MACBETT 2009 - Synopsis ... 4 Synopsis...Macbett est une pièce écrite et représentée pour la première fois en 1972. La pièce est une parodie du Macbeth de William Shakespeare, mais Ionesco opère une savante distorsion des éléments primitifs. Le drame bouffon s’ouvre sur un dialogue improbable entre les comtes de Glamiss et de Candor, qui décident de se rebeller. Ces vassaux ne supportent plus les impôts disproportionnés et la tyrannie insatiable de leur souverain Duncan. Cette révolte entraîne une guerre ubuesque. Candor est capturé alors que Glamiss réussit à s'échapper. Duncan, pour récompenser ses plus braves soldats, caricatures de loyauté, offre le titre de Candor à Macbett et promet celui de Glamiss à Banco, dès que celui-ci sera capturé. Au cours d’un « tea-time » improvisé sur le champ de bataille, une foule innombrable d’opposants est guillotinée par Banco, tandis que Lady Duncan courtise avec ostentation Macbett. Macbett et Banco, perdus au beau milieu d’une tempête, finissent par se perdre l’un et l’autre. Deux sorcières apparaissent d’abord à Macbett et lui annoncent qu'il deviendra roi. Quant à Banco, elles lui prédisent qu'il donnera naissance à une lignée de rois, sans en être un lui-même. Elles leur révèlent aussi que Glamiss étant mort noyé dans une rivière, Duncan refusera le titre à Banco et le donnera à Macbett. Les deux sorcières se métamorphosent ensuite en Lady Duncan et sa servante devant Macbett. Lady Duncan offre un poignard à Macbett et le pousse à éliminer le roi. Duncan, qui veut liquider tous ses ennemis potentiels, projette de se débarrasser de Macbett et Banco qui lui paraissent de plus en plus exigeants et menaçants. Macbett et Banco, corrompus par les sorcières, commencent en effet à se rebeller. Ils reprennent à leur compte le dialogue initial entre Candor et Glamiss. Lady Duncan, Macbett et Banco fomentent l’assassinat de Duncan. Ils le poignardent à la fin d’une parodie de cérémonie des « écrouelles », où Duncan soigne tous les malades qui se présentent à lui. Macbett épouse la veuve de Duncan. Surprenant un discours menaçant de Banco, Macbett le tue pour préserver son pouvoir. Banco se plaignait de ne pas avoir profité du crime. Lady Duncan, devenue lady Macbett, et sa suivante, s’avèrent être en réalité les deux sorcières qui, grâce à ces transformations, ont tiré les ficelles de cette mascarade. Tandis que Macbett donne un banquet pour fêter son mariage et son avènement, deux spectres apparaissent à toute l’assemblée : d'abord celui de Banco, puis celui de Duncan. Lady Duncan (ou Macbett) a disparu. Elle réapparaît enfin, dévoilant la supercherie : elle a été retenue prisonnière par les sorcières. Elle condamne donc tout ce que son "double" a fait. A la fin, Macol, fils de Banco et d'une gazelle transformée en femme, tue Macbett. La pièce se termine par une tirade de Macol qui annonce que son règne sera pire que tous ceux de ses prédécesseurs. “Maintenant donc que le tyran est mort et qu’il maudit sa mere de l’avoir fait naitre, je vous dirai ceci : ma pauvre patrie verra regner plus de vices qu’auparavant. Elle souffrira plus et de plus de manieres que jamais sous mon administration.” macol 5 Cie Caliband Theatre - MACBETT 2009 - Une mise en scene... Jeu et texte... Doubles... Une mise en scene a l'image du texte : Turbulente, drôle et énergique, mettant en avant la satire épique et l'absurdité des mécanismes liés au pouvoir, l'incongruité ou les contrastes entre la poésie de l’écriture, la démesure et l'humour qui surgit malgré tout de cette noirceur... La force vitale de l’auteur réside dans ce comique incomparable qui traverse l’œuvre : souffle de vie et respiration essentielle, mise à distance de l’abjection, du théâtre et de la psychologie. Une lecture fidèle et vive de cette pièce, qui explore toutes les facettes de cette distanciation burlesque, celle qui loin d’appauvrir le tragique le force à se révéler davantage. Une mise en relief des ressorts dramatiques nourrie de pistes diverses et originelles : satire, grand guignol, théâtre « primitif », mouvement « chorégraphique » (Boulevard, Guignol), polychromie (BD, Pop art), opérette... Restituer la beaute et la violence baroques de cette peinture au vitriol. Jeu et texte: mecAnique et mouvement... Travail sur le corps en collaboration avec une chorégraphe sur l’aspect burlesque et tragi-comique de cette « pantomime macabre ». Ce travail ne sera pas orienté vers la danse mais vers une précision gestuelle. Il s’appuiera notamment sur les nombreuses didascalies de Ionesco. Un travail de « silhouette » qui met le corps en avant, comme révélateur de cette réflexion sur l’aliénation de l’individu pris dans un engrenage destructeur. Traitement du corps de l’acteur comme réceptacle et conducteur des forces en mouvement dans les différents degrés de lecture de cette pièce. Apport d’une danseuse chorégraphe pour guider les acteurs dans une disponibilité corporelle : dans la construction des échanges, de la partition textuelle et des moments « chorégraphiés », moments clés où le grotesque s’accompagne d’une précision dans le mouvement : exécutions, sorcières, meurtre de Duncan, festin… Le corps travaillé à l’égal des mots. Résonance entre les deux. Recherche à partir du texte et en improvisation dirigée pour une construction / appréhension globale des personnages, pris dans le mouvement général. Marquer dans les corps la violence et le comique du texte, et donner à celui-ci la souplesse d’un « ballet » chorégraphié. Il faut montrer scéniquement la « méta »physique de cette tragi-comédie. De plus la mécanique dramatique s’appuie sur un ballet incessant et rythmé d’entrées et de sorties. Cinq acteurs, quelques accessoires. Le jeu réduit à son essence. Economie des artifices au profit d’une matière brute et ludique emprunte de liberté, d’humour et de cruauté. DOUBLES et JEUX DE MIROIR... Interchangeabilité et métamorphoses des figures ; jeux avec les codes du modèle shakespearien ; développement du thème du double et jeux de miroirs grossissants ; répétitions à l’infini et déclinaisons des forces en jeu : ces phénomènes éclairent et mettent impitoyablement en avant la dynamique et l’enjeu dramatiques des personnages, l’aspect absurde et vain de l e u r s a m b i t i o n s, c o m p l o t s, é l a n s, retranchements, pulsions… Et ce brouillage des repères donne encore plus de force à cette contamination globale et à la désincarnation qu’elle révèle. Théâtre, artifices, personnages et situations sont poussées jusqu’à l’excès, jusqu’à la bouffonnerie. Le jeu du travestissement, à l’œuvre dans la scène des sorcières, trouve parfois un prolongement dans le passage d’un rôle à l’autre. Les identités sont brouillées, et l’auteur joue de ces ambiguïtés : ressemblance et identité de Macbett et Banco, dédoublements de Lady Duncan et sa suivante en sorcières. 6 Macbett/Banco face aux sorcieres : Personnages centraux, Macbett et Banco sont au départ des caricatures de loyauté et de dévotion extrêmes. L’aveuglement de leur soumission justifie tous les crimes les plus absurdes. Leur évolution est un passage au négatif et va inexorablement les pervertir jusqu’à l’accession au pouvoir. Le trouble et le comique naissent de leur intégrisme absurdement manichéiste, et de leur métamorphose brutale. Le burlesque naît de cette caution politique qui anime tous les protagonistes : la démesure (poétique) contenue dans l’énumération des folies meurtrières puise en permanence sa justification dans la dévotion au pouvoir. Banco est le double malchanceux de Macbett. Leur ressemblance au départ est frappante : Cie Caliband Theatre - MACBETT 2009 -personnages... mêmes élans, mêmes mots, ils sont parfois interchangeables. Ce rapprochement des deux personnages est une mise en abyme qui renforce le trouble et la folie des caractères et des passions. Le pivot de cette mascarade est incarné par le duo des sorcières : sœurs factices de la fatalité diabolique et dérisoire qui préside aux destinées de chacun. Dans ce théâtre de pantins, elles tirent en coulisse des grosses ficelles de farce et attrape. Lady Duncan et Duncan : Personnage multiple, Lady Duncan devient dans la pièce la première sorcière, la veuve de Duncan puis Lady Macbett. Personnage drôle, cruel, manipulateur, séducteur, insaisissable, ambigu... Elle serait interprétée par un comédien, pour accentuer ce trouble et cette mise à distance. Ionesco fusionne en un seul personnage différents rôles féminins. Il aiguise ainsi la dualité et la complémentarité des contradictions propres aux passions shakespeariennes, en renforçant la violence multiple de ces passions. Duncan est l’archétype du tyran couard, manipulateur et pervers (négatif de son original). Symbole du caractère décadent du pouvoir. Pitoyable, détestable à tel point qu’il en devient drôle et pathétique. Ces deux personnages, en participant de l’exagération ou de la déformation des caractères, nourrissent l’humour noir du propos. Glamiss et Candor... Personnages secondaires : Ils apparaissent notamment dans la scène d’ouverture. La rébellion de ces vassaux contre la tyrannie du pouvoir donne d’emblée le ton et enclenche la comédie : dialectique absurde, ironique et décalée des dialogues. Ce duo burlesque les fait apparaître comme des personnages complémentaires, d’autres jumeaux dérisoires, dans ce jeu de chaises musicales. Soldats, officiers, suivantes, malades, courtisans,… : importance et drôlerie de ces personnages complémentaires et savoureux. Riche galerie démocratique d’une guignolade généralisée. Tous ces rôles sont répartis entre les cinq comédiens. Impression d’une profusion de personnages en miroirs dans un théâtre de la cruauté démultiplié. Tout repose sur un développement de la facticité de la représentation, sur un contraste renforcé entre la violence de la tragédie, le décalage et l’exagération burlesques des mots et des situations, l’artificialité et le dérèglement des personnages et des codes théâtraux. PERSONNAGES... 7 Cie Caliband Theatre - MACBETT 2009 - Creation musicale... SCENOGRAPHIE... Scenographie... Dans cette œuvre, lumières, sons et musiques établissent l’univers scénique, rythment et (dé)construisent l’espacet e m p s, a g r é m e n t e n t e t orientent, toujours de façon déviée, le déroulement dramaturgique. Creation musicale... Une partition sonore et musicale sera créée pour le spectacle : mélodies ou matières sonores directement inspirées des nombreuses didascalies de l’auteur et des enjeux dramatiques. Il s’agit encore une fois de nourrir les dérapages propres à l’œuvre, de créer un jeu entre l’image et le son, entre la source du texte et la modernité qu’elle suscite. Il faut jouer sur le mélange des genres, la distorsion, l’artificialité, les ruptures, les télescopages et les d é f o r m a t i o n s (croisement de d i f f é re n t e s m at i è re s sonores et musicales). Etapes de travail... Travail à la table : répartition des rôles, rythme général, mécanique de la pièce, enjeux des personnages, effets miroirs, trouver la distance et la liberté nécessaires du jeu, se situer à la fois dans la tragédie en creux et la farce, la sincérité envers l’œuvre et le décalage du burlesque… Lectures dans l’espace. Début de la collaboration avec la chorégraphe et le musicien. Introduction des premiers accessoires. Réflexion sur l’utilisation de l’espace. Une scénographie épurée dessinerait le plateau comme un espace de liberté pour le jeu et l'imaginaire des acteurs et des spectateurs. Seul un podium concentre tout l’enjeu « politique » de cette pièce. Il est le réceptacle de l’éclairage et l’acteur central du mouvement général imposé par la progression dramatique. Podium et lumière favoriseront la variation d’images, révélant la démesure et l’ancrage contemporain de cette mécanique théâtrale. Dans cet espace nu, la création lumière s o u l i g n e r a l’artificialité de la matière, la férocité des personnages et accentuera la poésie burlesque de cette écriture. Elle accompagnera l’utilisation symbolique de l’espace. Les costumes et accessoires seront contemporains, ou se jouant, comme dans l’œuvre, des anachronismes et décalages. Des bases sombres et monochromes à accessoiriser selon les changements de rôles de chaque comédien. Des coupes et des matières mettant en relief le travail chorégraphique et les résonances existantes dans les duos. 8 Cie Caliband Theatre - MACBETT 2009 - Biographie IONESCO... Eugene Ionesco Né le 26 Novembre 1909 à Slatima (Roumanie). Son père est un avocat roumain et sa mère est française. Il passe son enfance en France jusqu'à l'âge de treize ans. Puis en raison du divorce de ses parents, il retourne à Bucarest vivre avec son père. Il réalise de brillantes études secondaires, puis poursuit ses études supérieures et devient professeur de français. Il se marie en Roumanie avec une étudiante en philosophie en 1936. En 1938, en raison de la montée du fascisme, le couple vient s’installer en France. Eugène Ionesco travaille à une thèse sur Les Thèmes du péché et de la mort dans la poésie française depuis Baudelaire. Sa première pièce, La Cantatrice Chauve est créée en 1950. La pièce est accueillie f ro i d e m e n t e t d é ro u t e l a c r i t i q u e conservatrice. Il en sera de même pour les suivantes : Les Chaises (1952), Victimes du devoir (1953), Amédée ou Comment s'en débarrasser (1954). Les salles restent vides. Mais un cercle d’admirateurs commence à se créer : Ils saluent ce comique né de l'absurde où l’insolite fait éclater le cadre quotidien. « L’absence d’intrigue, la dégradation du langage, le non-sens, considérés d’abord comme des provocations, assurent peu à peu à Ionesco la notoriété d’un auteur d’avantgarde ». «Je n'ai jamais compris, pour ma part, la difference que l'on fait entre comique et tragique. Le comique etant l'intuition de l'absurde, il me semble plus desesperant que le tragique. Le comique n'offre pas d'issue.» (Notes et contre-notes) Ionesco crée le personnage de Bérenger, son double, dans Tueur sans gages (1959) ; on le retrouvera dans Rhinocéros (1958), et Le roi se meurt (1962). C’est en 1960 que JeanLouis Barrault crée Rhinocéros à l’Odéon. C’est la consécration pour Ionesco. En 1965, c’est la création à la Comédie française de La Soif et la Faim, suivi 5 ans plus tard par celle de Jeux de Massacre. En 1970 Ionesco est reçu à l’Académie française. Il écrit en 1972, Macbett, une de ses dernières pièces. Ionesco est mort le 28 mars 1994. 9 Cie Caliband Theatre - MACBETT 2009 - Compagnie... Presentation de la compagnie Depuis 1996, Caliband Théâtre produit des spectacles tous publics (Théâtre et musique), et est soutenu par la Ville de Rouen, le Conseil Régional de Haute-Normandie et le Département de Seine-Maritime. Que vienne le moment 1996 Au sein de la compagnie, Marie Mellier a mis en scène : A 50 ans elle découvrait la mer de D. Chalem. ; Quisaitout et Grobêta de C. Serreau. ; Que vienne le moment de Y. Allegret. ; Mamie Ouate en Papoâsie de J. Jouanneau. ; Eaux Dormantes de E. Durif. ; Blanche Aurore Céleste de N. Renaude. ; Madame de Sade de Y. Mishima ; Quintet - 1, Fluctuat nec mergitur. En 2004, le spectacle Don Quichotte et Sancho Panza est co-mis en scène par Marie Mellier et Mathieu Létuvé (66 représentations jusqu’en 2007). Ce spectacle a été programmé dans toute la région et a été soutenu ponctuellement par l’Odia Normandie dans le cadre du Festival d’Avignon 2005. En 2006, la compagnie créé K. ou les trois visages de Franz Kafka (mise en scène : Mathieu Létuvé). Ce spectacle a été soutenu par l’Adami et la Ville de Barentin. En 2007, création du spectacle Le Désert sans Détour, adapté d’un roman de Mohammed Dib, spectacle théâtral et musical mis en scène par Marie Le désert... 2007 Mellier, et coproduit par Le Moulin de Louviers. Mise en scene Marie Mellier BAC A 3 t h é â t r e ( Jo s e p h Danan), DEUST d’études théâtrales (Aix en Provence), Ecole des 2 Rives de Rouen (S. Gaborieau et M-H Garnier). De 1992 à 2003, stages : Royal S h a k e s p e a r e company (Direction d’acteurs et lumières) ; Théâtre des Deux Rives ; Jean-Marc Talbot (improvisation) ; Michel Tartrat (Lumières) ; Catherine Delattres (Mise en scène) ; Centre National du Théâtre (Avignon. S c é n o g r a p h i e ) ; Vi n c e n t Fouquet (improvisation) ; Théâtre de la Canaille ; Nicolas Moy (Clown)… De 1996 à 2007, comedienne dans Les anges de Massillia (G. Granouillet), dirigé par Rémi Spinneweber ; Vermisse Dich ( Ya n n A l l e g r e t / T h é â t r e Ephéméride) ; Mamie Ouate e n Pa p o u â s i e d e Jo ë l Jouanneau ; Duo + 1 et Quintet – 1, (spectacles de rue/Caliband Théâtre) ; Le Dormeur éveillé (d’après un conte des mille et une nuits. Ms. : Denis Buquet/Théâtre de la Canaille) ; Huis Clos (Sartre. Ms : Nicolas Moy/Compagnie du Jardin des Planches) ; K. ou les trois visages de Franz Kafka (d’après Kafka. Ms. : Mathieu Létuvé/Caliband Théâtre). De 1995 à 2004, met en scene A 50 ans elle découvrait la mer (Denise Chalem – PACA/ Normandie) ; Quisaitout et Grobêta (Coline Serreau) ; Que vienne le moment (Yann Allegret) ; Mamie Ouate en Papouâsie (J. Jouanneau) ; Eaux Dormantes (Eugène Durif) ; Blanche Aurore Céleste (Noëlle Renaude) ; Jocondescendance (Marie Ragu) ; Madame de Sade (Y. Mishima) ; Korat et Chantaboun (spectacle musical) ; Don Quichotte et Sancho Panza (Cervantès/ Schulman) ; Le Désert sans détour (Mohammed Dib). De 2001 à 2007, assistanats à la mise en scene Trois créations du Théâtre de la Canaille : Le dormeur éveillé (conte des mille et une nuits) ; Trois Satie en forme de Poire (Eric Satie), Blanche Neige (Frères Grimm). 10 Cie Caliband Theatre - MACBETT 2009 - Assistante choregraphe... Assistante choregraphe Aurelie Genoud 1993/95 : Geneva Dance Center (Genève). 1995/97 : CNR Toulouse. 1997/2001 : Conservatoire National Supérieur de Paris. 2001/02 : Junior Ballet Contemporain au CNS Musique et Danse de Paris (Maître de ballet : Martine Clary - Travail pédagogique : Cours d’initiation à la danse pour enfants d’école primaire). Depuis 2000 : nombreux projets pédagogiques (classes A PA C , ateliers d'improvisation, stages de formation dans les écoles, collèges, lycées, ou auprès d'adultes amateurs ou en formation professionnelle). 1999 : Travaux de création en collaboration avec des comédiens (Ecole Claude Mathieu - Paris). Création des arrangements chorégraphiques de la pièce Victor ou les enfants au pouvoir (m.s : Yann Gacquer). 2000 : Participation au spectacle et tournée du Quatuor Albrecht Knust : …d’un faune (éclats) ; Stage international de Vienne (Autriche - bourse Danceweb). 2002 : Creation de l’association « L’Encre Blanche » et 1ère création : Eden, présentée lors du concours jeunes chorégraphes les Synodales (Sens) ; création Pour décembre (Cie Sylvain Groud). 2003/04 (Cie Acte/Annick Charlot) : Création des arrangements chorégraphiques de la pièce Les trompettes de la mort (Théâtre de la Gaîté Montparnasse - Paris) ; reprises de rôles dans Danse expérimenta et dans Resistencia, et créations : Résilience, nos manières d’aimer / Avec ou sinon rien ; Assis. chorégr. d’A. Charlot pour le défilé de la biennale de la danse à Lyon. 2004/08 : créations avec le Théâtre de la canaille (m.s. Denis Buquet) : 3 Satie en forme de poire (Festival Automne en Normandie) ; Blanche neige dans La véritable histoire de Blanche Neige ; L'histoire du soldat (Opéra de Rouen) ; Création jeune public : Kadira (Cie Elirale - St Jean de Luz). 2005/06 : missions pédagogiques (écoles primaires et maternelles- Cie Sylvain Groud et Cie Acte) ; création People (Cie Sylvain Groud – Vernon). 2007 : reprise de rôle dans Les confidences des oiseaux Cie Luc Petton – Reims) 11 BANCO / MACOL Vincent Fouquet Maîtrise Inter-arts. Conservatoire National de Rouen (Yves Pignot). Ecole du Th. des 2 Rives. Stages : Catherine Anne, Redjep Mitrovitsa, Marc Frémond, Dimitri Pecani, Marie-Ange Cousin (chant), Catherine Dewitt, Oleg Chichkine, François Clavier, A.Caubet… A partir de 1996, il travaille sous la direction de : S. Gaborieau : La Dispute (Marivaux) ; Bénédicte Lesenne : La Valse du hasard (Victor Haïm), Mais où va donc tout ce petit monde ? (3 pièces de Feydeau co-mises en scène avec B. Lesenne) ; Marie Mellier : Que vienne le moment (Yann Allégret) ; Cédric Marchal : Grand Café (Emmanuelle Cordoliani - Rhône-Alpes), Suites nuptiales (de et Ms. par Cédric Marchal - Tournée nationale) ; Thomas Germaine : Le Monde nouveau (3 farces du Moyen-Age) ; Emmanuel Billy : Barocco de nuit à la Baraka et Fugues (de et Ms par E. Billy) ; Alain Milianti : Le Tombeau de Richard G. (Bernard Chartreux - Le Volcan/SN Le Havre, Athénée- Cie Caliband Theatre - MACBETT 2009 - comediens... Paris), Les Fausses Confidences (Marivaux - Tournée nationale) ; Colette Colas : La Femme jetable (Ricardo Montserrat) ; Emmanuelle Cordoliani (JTN-Paris) : Le Dilemme de l’architecte Mâhyâr (Reza Ghascemi - assistanat), Le Nom sur le bout de la langue (Pascal Quignard - Tournée nationale) ; J. Châtel : Revenants (Ibsen - Paris) ; Sylvie Philibert : Vernissage (Vaclav Havel Paris) ; Jean-Michel Coulon : Prendre appel, donner corps, rendre l’âme (Perrine Griselin - Tournée nationale) ; Thomas Schetting : Le Monde en pièces (Alain Fleury) ; J.-M. Coulon : Océan mer (Alessandro Baricco – co-mise en scène Normandie /Auvergne) ; Yann Dacosta : Le Baiser de la femme araignée (Manuel Puig). Cinema : c.-m. de Eric Guirado (Prix Kodak Cannes 99 et César meilleur c.-m. 01) ; Jean-François Gallotte ; Xavier Beauvois ; Idit Cebula. Écriture : 2 pièces dont une avec Emmanuelle Michelet (ms. Rodolphe Sand – Comédie des 3 Bornes à Paris) ; et l’autre à la Comédie de Clermont – SN, festival À Suivre ! Ms. : Nathalie Vannereau). LAdy DUNCAN / 1ere sorciere FAbrice Gaillard 1997 : 1er prix du Conservatoire National de Tours (Direct. Monique Fabre). De 1997 à 2000 : Ecole du CDN de St-Etienne (théâtre, cinéma, chant, acrobatie, danse, escrime, ss la direct. notamment de L. Marchal / E. Vigné / C. Colin / D. Girard / JC. Barbaud P. Diss / JC. Drouot / P. Guinand / C. Patty / J. Carey / S. Tr a n v o u e z / A . Va s s i l i e v / D. Goldschmidt). A partir de 1996, il travaille sous la direction de J-Louis Dumont : Le Cid, Don Juan ; puis au CDN de St-Etienne avec Martine Logier : Les Mouches, Eric Massé : Harper’Angels (Tony Kuschner), Christian Colin : Reviens à toi encore (Grégory Motton), Louis Bonnet : Le baril de poudre (Dejan Dukovski), André Tardy : Ralf et Panini (Gilles Granouillet), JeanClaude Berutti : La cantatrice chauve (Ionesco. « Tournée du picolo ») ; avec le CDN d’Aubervilliers et Anatoli Vassiliev : Les trois sœurs (Tchekhov). De 2000 à 2007, il travaille avec différentes structures : en Bretagne avec Paul Tison (Il y a des bals qui se perdent de Roland Fichet) ; au Théâtre de Vienne avec Michel Tallaron (Le fils de Jon Fosse) ; au NTAngers & Nantes avec Daniel Girard : Max et Lola ; avec la Cie Maski Théâtre : Katherine Barker & Hélène (diptyque) de Jean Audureau, Prométhée de Rodrigo Garcia mis en scène par Serge Tranvouez (Th. de la ville Abesses, CDNs de Reims, Caen, ST Etienne, et TGP. St Denis) ; avec le Collectif Ours : Le vol du flamand et Triptyque des figures de et mis en scène par Franck Esnée (CDN Besançon, Belfort, L’échangeur de Bagnolet) ; avec le Collectif souffleur de verre (Région Auvergne) : Derniers remords avant l’oubli de J-L. Lagarce, L’ours et une demande en mariage de Tch e k h ov ( m s e n s c è n e : C é d r i c Veschambre), Pourquoi n’es-tu pas dans ton lit ? d’après Labiche, Feydeau et Courteline (ms en scène : Julien Rocha), République de et mis en scène par P-F Pommier. Il a également participé avec d’autres équipes à diverses for mes scéniques, notamment d’improvisations ou de performances (Nord, Paris, Touraine,…). De 2005 à 2008, il tourne au niveau national son adaptation de La vase d’après la nouvelle d’Eugène Ionesco. Spectacle qu’il interprète et qu’il a mis en scène. Il a également joué dans de nombreux courts-métrages. 12 Macbett Mathieu Letuve DEA d’Histoire contemporaine (cinéma), Théâtre universitaire en 1993 avec la Troupe de la Réplique (Monsieur de Pourceaugnac, Les Fourberies de Scapin). Cree en 1996 la Troupe de la Lucarne. Mises en scène de Daniel Charlot : Estragon dans En attendant Godot (Normandie, Bretagne, FESTEA de Tours, Ukraine/Festival Francophone de l’Alliance Française), Béranger dans Le Roi se meurt. 2001 : Troupe de la Pie Rouge – Chapelle Saint-Louis de Rouen – Moulin d’Andé (Ms. : Guy Faucon : Lancelot de La Seine/Chrétien de Troyes, Tous ceux qui tombent/Beckett). 2002 : Jeanne au bûcher (Oratorio de Claudel/Honegger. Direction Michaël Lonsdale et Laurent Petitgirard. Arsenal de Metz) ; Le Carnaval des animaux (Clown. Ms. : JP. Bourdalaix) ; Miss Cannabis (Ms. : François Accard). Depuis 2003 : Théâtre des Trois Gros, Oswald dans Pourquoi j’ai mangé mon père (Ms. : Joël Lefrançois. France). Depuis 2005, rôles à l’Opéra de Rouen (dont Cie Caliband Theatre - MACBETT 2009 - comediens... Roberti dans Tosca. Ms. Dagmar Pischel. Rouen et Luxembourg). 2003-2004 : Atelier professionnel du Théâtre de la Canaille (Une Noce de Tchekhov). 2004 : créé au sein de la Compagnie Caliband Theatre le spectacle Don Quichotte et Sancho Panza (Adaptation, co-mise en scène et rôle de Don Quichotte. Tournée régionale et Avignon Off 2005). 2006 : créé le spectacle K. ou les trois visages de Franz Kafka (Mise en scène et adaptation). 2007-08 : Adaptation et rôle de Siklist dans Le Désert sans détour de Mohammed Dib ; Novecento d’Alessandro Baricco (monologue avec Orchestre), spectacles mis en scènes par Marie Mellier. Créations diverses avec Les Remue-méninges (humour). Tournages : Selon Charlie (N. Garcia), 1,4kg (CM de M. Cauvin), L’ennemi public n°1 (JF. Richet) ; pubs : départements 76 (Claude Duty), 27 (Quasar), Abel Auto, Huis-Clos (Nautile Prod.). Voix spots (Quille). Candor ArnauLT Mougenot / 2eme sorciere Ateliers de formation du Théâtre du Peuple (JeanClaude Berruti, Gérard Hardy, Christophe Rauck). De 2000 à 2003, Conservatoire National de Montpellier. Intervenants : L a u re n c e Roy ( S é n e q u e ) , Françoise Bette (Euripide, Tchekhov), Georges Lavaudant (Martin Crimp), Christophe Rauck (Shakespeare), Olivier Besson (Stoker), Stéphane Medge (Caméra), Lilas Green (Danse), Vincent Rouch (Clown), Alexandre Delperrugia (Acrobatie), Martial DiFonzobo (Rodrigo Garcia), Dag Jeannneret (Vitrac), Ariel Garcia Valdès,… 2005 : comédien attaché à la Comédie de StEtienne CDN. A partir de 1998, il travaille sous la direction de : Jean-Claude Berruti : Le cercle de craie caucasien (Brecht), L’Adulateur (Goldoni), Beaucoup de bruit pour rien (Shakespeare), La Chute (Biljana Srbljanovic), La Gonfle (Roger Martin du Gard – Tournée nationale), Ruzante (Angelo Béolco – Tournée nationale) ; Christophe Rauck : Le Théâtre ambulant Chopalovitch (Lioubomir Simovic) ; Ariel Garcia Valdès : Torquemada (Victor Hugo) ; Laurent Pigeonnat : La tour de la Défense (Copi – Tournée) ; avec la Cie Le Grenier à PouetPouet : La Princesse et L’Homme-Sans-Cœur de Laurent Rogero (Tournée : Montpellier CDN, Nîmes, CDN St-Etienne,…) ; Camille Gorde : La Pyramide (Copi) ; Magali Léris : Willy Protagoras enfermé dans les toilettes (Wajdi Mouawad). Mises en scEnes : La visite de la vieille dame (Friedrich Dürrenmatt – CDN de St-Etienne), La Princesse et L’Homme-Sans-Cœur (L.Rogero – Festival Saperlipopette Voilà Enfantillage !). 13 Cie Caliband Theatre - MACBETT 2009 - comediens... DUNCAN / glamiss Jean-Marc Talbot De 1978 à 1981 : Ecole du Théâtre des 2 Rives (M. Bézu). A partir de 1980, il travaille sous la direction de : Alain Bézu (CDR des 2 Rives) : Histoire de Nuit (Sean O’Casey), Mélite, La Galerie du Palais, La Place Roya l e ( P i e r re Corneille), La nuit même (Joseph Danan), Le Barbier de S é v i l l e (Beaumarchais), La querelle des bouffons (Denis Diderot), Oncle Vania (Tchekhov), La grande boucle, La petite reine, Britannicus (Racine), La nuit des rois (Shakespeare), Cinéma (Joseph Danan) ; Daniel Lesur : Georges Dandin (Molière) ; Denis Buquet : Partie de Campagne, La Véritable Histoire de Blanche-Neige, L’Histoire du Soldat (Opéra de Rouen) ; Michel Bézu : Les Femmes Savantes (Molière), La Lente Agonie des Grands Rampants (Fantaisie Allégorique de B.M. De Saintacher), Les caprices de Marianne (Musset) ; Catherine Delattres : Jodelet ou le Maître Valet de Scarron ; Sophie Loucachevski : Le songe d’une nuit d’été (Shakespeare) ; Maryse Ravera : Je te jure Jeanne, que j’ai envie (Emilio Carbaido) ; JeanFrançois Philippe : La journée du Maire (Isabelle Philippe) ; Jean-Luc Porraz : Les contes d’avant l’oubli (I.B. Singer) ; Colette Colas : Petites formes (Minyana, Durif, Renaude), Ceux dont on ignore tout (N. Renaude, J.L. Lagarce, J. Jouet), C’est toi qui dis (Yves Lebeau) ; C. Dewitt : La comtesse d’E sc arbagnas, Le Mariage Fo rc é (Molière) ; Jean-Philippe Lucas-Rubio : L’Etau - La fleur à la bouche (L. Pirandello) ; Daniel Mayard : Je m’appelle Wolfang Amadeus Mozart (Opéra de Rouen). Yann Da Costa : Une visite inopportune (Copi) ; Animaux en paradis de et mise en scène : Howard Barker ; M.H. Garnier : Des nuits en bleus (J.P. Levaray). Mises en scene : L’effet fin de siècle (co-Ms. avec S. Gaborieau) ; Pierre et le loup (Prokofiev - Opéra de Rouen), Le petit tailleur (Tibor Harsani - Opéra de Rouen) ; A tous ceux qui (Noëlle Renaude). Tournages : L’enfant (d’après J. Vallès) ; Lignes de vie et Dure journée pour un cartable (J-B. Fossard) ; Des chats et des hommes (B. Bertheuil) ; La manche (S. De Fonseca) ; L’ultime récit (L. Marcelin) ; Le goût des autres (A. Jaoui) ; Les misérables (J. Dayan) Feuilletons radios : Le baladeur des rails (Radio France) ; Quand les poules pondront des pommes (L. Ruquier) ; Feuilletons avec Macha Béranger ; Lettres d’Aymonville d’André Targe, avec André Dussolier (Radio France). Post-synchro : Nombreux dessins animés, documentaires et pubs (TF1, FR2, FR3, Arte, M6, Europe 1, France inter, Europe 2, Radio Fr., AFP,...). 14 Cie Caliband Theatre - MACBETT 2009 - Equipe artistique et technique... Gabriel fabing Musicien Conservatoire d’Amnéville pendant dix ans : piano, flûte traversière, violoncelle. Puis autodidacte : accordéon, tuba, theremin. Influencé par Pierre Bastien, David Fenech, Matmos, Pascal Comelade… Passionné par les musiques nouvelles, concrètes, et expérimentales. Creation de Bandes sons de spectacles : Depuis 2003, avec la Cie la Valise : Oups, L'histoire des hommes dont les bras touchaient terre, Zaïl, Les Passagers ; la Cie hybride : Colère ; Cie Anomalie : Les Tailleurs ; Cie la Vouivre : Opus. Installations : En 2003, il crée le spectacle Cyclociné, performance sonore et visuelle autour d’un vélo et d’une charrette et en 2005, il en tire une installation sonore et visuelle qui tourne toujours. En 2006, il crée Zapp’, concerto cathodique - Improvisation à partir d’un téléviseur. Eric Guilbaud Lumiere Concerts : 2 bruits pour 1 œil : duo de musiques improvisées (2ème prix 2003 au concours cinéphonies de musique improvisée sur courts métrages) ; Pacemaker (emil13) : orchestre électronique pour musiques improvisées – Latchav’ : Musique du monde (flûtes, violoncelle, accordéon,…) ; Zaïl : Duo électro-rock (violoncelle, banjo, mélodica,…) - Ddum spiro spero : Electro-rock (flûte, theremin, violoncelle) ; PipiStoP : Projet solo 2007 de musique concrètement mélodique osc illan t entre détour nement d’objets du quotidien et instruments bricolés ( h t t p : / / w w w. m y s p a c e. c o m / pipistop) ; Ciné concert (Créa 2008) : Le cabinet du docteur Caligari en duo avec Claire Girod (Piano, basse guitare, b at t e r i e, c l a r i n e t t e, theremin,...). Débuts d’acteur (Lecocq), se dirige vers la technique comme régisseur lumière et régisseur général de plusieurs compagnies. Il cree l’eclairage de nombreux spectacles : Théâtre heureux), Logomotive théâtre (Quartett, Les silences de Le pont de pierre et la peau d’image, Low, Silence inavouables), Cie entre chien et loup (Modeste de Mariette, La nasse), Un train en cache un autre (Le poumons), Une voix et des choses (Un petit coin de ème compagnie (La maladie d’être mouche), Théâtre l’écran silencieux, Entre chien et loup, Le petit à la mère, Quand nous nous réveillons d’entre les morts), Victor (Remuer entre ciel et terre, Comme c’est drôle en pièces, Papa’s mémori), Elan bleu (Saint julien cœur simple, Hérodias), Méga pobec (Antigone : (Amphitryon), Terre Océane (créé à Montréal), Valérie fastueuse dans un souterrain), Compagnie des damnés du safran (Le prince monsieur Tarwitz, complice, Les proposition, Récit cœur entre les parapluie), la 56 des 2 rives (Sous Cousu de fil noir, Compagnie Alias d’exister, Le monde l ’ h o s p i t a l i e r, U n Œdipe), L’escouade Diome (Cérémonie (Le baiseur fou). Danse : Cefelman, Gisèle Gréau (Sans queue ni tête), Sylvain Groud (L’oubli) Turbulence, Aller simple (A fleur de peau, A contre sens), Opéra (Didon et Enée). Musique : Abacabar (Roland Schön), Le collectif Moonlight (Tomorrow’s party), Compagnie des musiques à ouïr (A corps-dessacorps, Au lustre de la peur), La mauvaise réputation (spectacle sur Brassens). 15 Cie Caliband Theatre - MACBETT 2009 - Equipe artistique et technique... Scenographie Catherine Cosme Formation : Dipl. de peinture décoration (atel. pro ARDECO, Avignon 1997/99) ; Diplôme recherche arts du spectacle (Univ. Ste Marthe, Avignon 1999/2000) ; Diplôme scénographie mention Grande distinction (ENSAV la Cambre, Bruxelles 2000/2005). Experiences professionnelles theatre : 2002 : Cailloux de lune (de et Ms : Chantal Malebert. Théâtre Tremplin) ; Le roi Lear (Ms en sc. Reversat. Théâtre Le Chai du Terral à Montpellier). 2003 : Le journal de grosse patate (Dom. Richard. Ms en sc Sandrine Clemencon. T h é â t r e Je a n Vi l a r Montpellier). 2004 : Histoire d’amour (Lagarce. Ms en sc. Gil Kiraly. Cie La nuit venue. SN de Bayonne) ; Les cruautés (écrit et ms en sc. Carole Tillier. Cie Baramine. La Boîte à Jouer à Bordeaux). 2005 : Visites (Jon Fosse. Ms en sc. Gil Kiraly. Cie La nuit venue. SN de Bayonne. Scéno et costumes). 2006 : Push-up (Schimmelfenning. Ms en sc. Collectif DRAO. Théâtre La Tempête/ Cartoucherie – Théâtre 71 SN de Malakoff – SN de Cergy) ; Point du suspension (Ms en sc. Collectif Equinoctis. Cirque équestre. Scéno et costumes. Domaine de la Haute Cense en Belgique). 2007 : Mozart (Ms en sc. Chantal Malebert. Foyer de l’Opéra Avignon) ; La robe bleue (écrit et mis en sc. David Léon. Cie de Léo. Tinnel de la Chartreuse à Villen. les Avignon) ; Juste la fin du monde (Lagarce. Ms en sc. Gil Kiraly, Cie La nuit venue. SN de Bayonne) ; Nuit sur le monde (Compagnie Mossoux-Bonté. Ms en sc. Patrick Bonte. Création Théâtre des Brigittines à Bruxelles) ; Tout ce qui nous sépare (Cie Nyasch. Chorégraphe Caroline Cornelis. Création Centre culturel Jacques Franck à Bruxelles). 2008 : Nature morte dans un fossé (Collectif DRAO. SN Théâtre 71 Malakoff). De 2001 à 2008, experiences professionnelles Cinema : 1ère ass. déco court-métr. Chemins de Novembre (S. Verkindere. INSAS), moyen métr. La Monique à Joseph (D. Chemin. Prod. Tarantula), Elève Libre (J. Lafosse. Versus prod.), long métr. Unspoken (F. Troch. Prime time), Je l’aimais (Zabou Breitman. Banana film). Chef déco court-m Vues (F. de Beuil. INSAS), long-m Didine (V. Dietschy. Prod Bruno Berthemy. Les films du Veyrier), court-m Cluedo (G. Guerraz), Chef déco pub EBAY (J. Francka. Pacha prod.), court-m Les atomes ne meurent jamais (D. Fontan. Les films des trois univers). De 2002 à 2007, Expos et Evenementiels : Directr. de casting expo. Photo avec Robert Kot (La Gare Central, Musée de la photo à Charleroi) ; Expo Quadriennal de scéno à Prague (Projet King Lear) ; Scéno expo sur la BD homosexuel à la Dexia Art Center ; Costumes années rétro, Soirée annuelle du groupe Mayolie (Autoworld de Bruxelles, musée du Cinquantenaire. Alice évènement) ; 1ère ass. déco société Marnas Event pour différents évènements. Gwenaelle Hocquard Costumes Diplômée des Métiers du Spectacle. De 2002 à 2005 : Atelier Acta Fabula (94) : fabrications de costumes pour Marcel Marceau (Les contes fantastiques), L’ombre de l’âne (2004) ; Atelier Celestina Agostino (75) ; Atelier Caraco (75) : film Bandidas et robes pour Givenchy ; Théâtre Gérard Philippe (93) : La guerre de 2000 ans ; Théâtre des 2 rives : Animaux en Paradis. Depuis 2003, à l’Opera de Rouen : sous la direction de Lionel Hermouet (Le Carnaval des animaux) ; Claudine Crauland (L’enlèvement au Sérail ; habilleuse pour Electra, Curlew river, Le Chant de la terre. Chef habilleuse de Tosca (Rouen - Luxembourg), Madame Butterfly, Le Bourgeois gentilhomme, Bastien Bastienne, Candide. Depuis 2007 : responsable du service costume de l’Opéra de Rouen. Habilleuse pour les festivals 2006/2007 Automne en Normandie. “Monde insense, ou les meilleurs sont pires que les mauvais” “Monde insense, ou les meilleurs sont pires que les mauvais”