D`un commun accord

Transcription

D`un commun accord
février 2014
Camp d’hiver 2013
Nouvelles
internationales :
Au sud de la
frontière
Le coin des
écrivains : La
poésie dans la
Bible
Exemples de
foi : Les dures
épreuves d’un
membre
Quelques mots du président
j
Des membres éparpillés
J’écris cet éditorial de Moradabad, en Inde. Au cas où
vous auriez du mal à trouver l’endroit sur une carte, cela
se trouve à quelque 250 km à l’est de New Delhi. C’est une
région essentiellement musulmane qui ne tolère guère les
chrétiens. Pourtant – et c’est ironique – c’est dans cette
ville que se trouve notre plus grand nombre de membres
en Inde.
Lors de notre récente visite, Dave Baker et moi avons
dirigé une étude biblique chez Eugene Kumar, où il y avait
15 personnes. C’est un bien petit nombre pour un pays
comme l’Inde, mais c’est un nombre étonnamment élevé
pour une communauté à 90% musulmane. Nous avons
passé de très agréables moments ensemble – un repas délicieux suivi de cantiques, d’une prière d’ouverture, d’une
étude biblique, d’un dernier cantique, d’une prière de clôture et nous avons amplement fraternisé.
Ce voyage a renforcé en moi l’idée que nos membres
rencontrent d’énormes défis dans les régions reculées du
globe. Aux Etats-Unis, nous avons plus de 100 congrégations auxquelles nos membres peuvent se rendre. Par
contre, en Inde – un pays de 1,2 milliard d’habitants –
nous n’avons pas de congrégation s’assemblant en tant que
groupe, chaque sabbat. Nos membres là-bas se retrouvent
seuls ou s’assemblent en famille pour regarder un DVD le
jour du sabbat. Il n’y a qu’à la Fête, ou lorsqu’il y a un visiteur qui vient, qu’ils peuvent avoir une assemblée sabbatique « normale ».
L’une des personnes que j’ai rencontrée pendant ma
visite est Robinson Yusuf. En 1968, il lisait l’édition indiene
de Selection de Reader’s Digest quand une publicité sur une
brochure sur la course à l’espace entre les Etats-Unis et la
Russie a attiré son attention. S’intéressant aux voyages interstellaires, il a répondu à la publicité et a reçu sa première
brochure. Beaucoup d’autres ouvrages, et la revue The Plain
Truth ont suivi, après ce contact initial. Quelques années
plus tard, Robinson a été baptisé et est devenu membre de
l’Église Universelle de Dieu. Lui et sa femme Dayamani ont
élevé leurs deux enfants, Eugene et Rachel, dans l’Église.
Eugene, quand il était adolescent, a participé au camp d’été
SEP organisé par l’EUD, au Sri Lanka, en 1988. C’est là
qu’il a rencontré Dave Baker, le directeur du camp.
Quand l’EUD a changé ses doctrines de base, en 1995,
Robinson et sa famille ont cessé d’en être membres, mais ils
ne se sont pas joints à une autre organisation. Ils ont passé
les huit années suivantes sans Église, complètement seuls,
n’ayant que leur famille. Ils ont néanmoins continué d’observer le sabbat, les Jours Saints, et ont gardé leurs dîmes à
la banque. Ce n’est qu’en 2004 qu’ils ont repris contact avec
Dave Baker.
Jim Franks, au centre, dirige une étude biblique avec la
congrégation de Moradabad, chez Eugene Kumar
À présent, ils sont membres de l’EDAM. À chaque
fois que Dave Baker leur rend visite, ils lui remettent une
enveloppe contenant leurs dîmes, ainsi qu’une portion
des fonds qu’ils ont mis de côté pendant les huit ans qu’ils
n’appartenaient à aucune Église.
Il était touchant d’écouter l’histoire de ces membres à
Moradabad, et d’apprendre comment ils se sont débrouillés quand ils ont été coupés des autres membres. Christ a
dit qu’Il bâtirait Son Église (Matthieu 16 :18), et en tant que
membres de celle-ci, nous lui appartenons tous, que nous
vivions à Dallas, dans le Texas, ou à Moradabad, en Inde.
À la suite de ce voyage, nous sommes en train d’établir
un système qui va permettre aux membres en Inde d’écouter en direct, une fois par mois, une retransmission d’une
assemblée, grâce à Internet.
Nous espérons de tout cœur que Dieu appellera plus de
personnes dans des pays comme l’Inde, où tant de gens ont
besoin d’entendre le message de l’Évangile, et nous prions
en ce sens. Ce message, nous l’avons. À présent, nous devons décider comment le répandre le mieux possible dans
le monde (Matthieu 24 :14).
S’il vous plait, priez pour que Dieu nous guide dans
Son œuvre, et qu’Il appelle plus de gens dans Son Église.
Cette visite m’a montré ce que signifie être seuls au milieu
d’une société très hostile. C’est seulement grâce à la puissance de Dieu qu’on peut endurer de telles persécutions.
Puisse Dieu être avec nous tous alors que nous travaillons
ensemble pour proclamer ce message au monde entier.
Fraternellement en Christ,
Jim Franks
President de l’Eglise de Dieu, Association Mondiale
@jimbfranks
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D’un commun accord
eddam.org
Table des matières
L’autre fin de semaine familiale
hivernale
Photo de couverture: Dortoir 2G du camp d’hiver 2013 derrière la sculpture sur glace du logo du camp d’hiver.
Nouvelles internationales: Un seul
Corps, un seul Esprit
Nouvelles internationales: Mexique
Camp de jeunes estival au Chili:
Camaraderie entre campeurs
Des membres de la Martinique pique-niquent avec les anciens Joël
Meeker et Dave Evans, en visite, et leurs épouses Marjolaine et
Marguerite « Dernières Nouvelles internationales : Un seul Corps,
Camp CYC d’hiver 2013: Les
campeurs bravent des températures
inférieures à -18oC
un seul Esprit », page 4
Le coin des écrivains: La poésie dans
la Bible
Contact personnel: Comment puisje faire comprendre à mon mari non
converti que Dieu passe avant tout ?
Exemples de foi: Les dures épreuves
d’un membre
Nouvelles des Églises
Des campeurs se tiennent au chaud près d’un feu de bois, au camp
d’hiver 2013 (photo par Josie Brunick)
« Camp CYC d’hiver de 2013 : Les campeurs bravent des
températures en dessous de 0oC », page 7
D’un commun accord est publié, en ligne, par l’Église de Dieu Association
Mondiale.
© 2014 Church of God, a Worldwide Association, Inc.
Toutes les citations de la Bible sont tirées de la traduction de Louis
Segond, Nouvelle Édition de Genève (© 1979 Société Biblique de
Genève), sauf si mention est faite d’une autre version.
février 2014
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Conseil Ministériel d’Administation : David Baker, Arnold Hampton,
Joël Meeker, Richard Pinelli, Larry Salyer, Richard Thompson et Leon
Walker
Président : Jim Franks ; Directeur des médias : Clyde Kilough ;
Rédacteur en chef : Larry Salyer ; Directrice de la rédaction : Elizabeth
Cannon Glasgow ; Relectrice : Becky Bennett ; Version française : Joël
Meeker, Bernard Hongerloot, Daniel Vernaud
En soumettant des photographies ou des articles à l’Église de Dieu,
Association Mondiale, SA., ou à D’un commun accord, tout collaborateur
autorise l’Église à les publier sans restrictions et sans recevoir de
rémunération. Tout collaborateur accepte également le fait que ce qu’il
soumet pour publication peut être utilisé par l’Église comme elle le décide,
y compris le droit de les modifier, de les réduire, ou de les retravailler.
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Nouvelles
L’autre fin de semaine
familiale hivernale
Avec ses sports, ses jeux, ses projets d’entreaide et ses classes, la FSFH du Nord-Ouest
avait quelque chose à offrir pour tous.
par max koester
P
À l’unisson
En haut, à droite : Ralph Levy donne un cours. En haut,
à gauche: petit-déjeuner à l’arène de patinage ; le Dr
Levy avec McKinley et Kennedy Yost; McKinley et
Kennedy Yost, et Sophia Koester empaquettent de la
nourriture à l’Oregon Food Bank.
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D’un commun accord
our débuter nos activités le
mercredi, l’Église a réservé
un complexe d’athlétisme
pour ses sports, des jeux,
de la natation, sa fraternisation et de succulents
repas préparés par la famille Yost. Cette année, la grande piscine
couverte a permis à des membres de tous
âges de bien s’amuser. Le lendemain, tout
le monde s’est retrouvé dans une salle privée, au Sky High Sports, un grand centre
abritant plusieurs dizaines de trampolines
– dont plusieurs sur les murs-mêmes ! Il
était amusant de regarder les enfants et les
adultes rebondir dans tous les sens.
Dans la soirée, nous avons participé
à un projet d’entre-aide au Oregon Food
Bank. Nous avons travaillé ensemble
à empaqueter des mets congelés pour
aider les démunis et les personnes
traversant des moments difficiles.
Il y avait parmi nous des jeunes de 6
ans qui ont aidé à mesurer, peser et
empaqueter des milliers de kilos de
nourriture qui allaient être expédiés
dans des agences un peu partout dans
l’État pour aider les personnes dans le
besoin. Cette activité nous a permis de
mieux nous connaître, tout en aidant
la communauté.
Le vendredi, nous nous sommes retrouvés dans une arène de patinage, au
centre de la ville, pour le petit-déjeuner,
pour fraterniser, jouer au bingo et, bien
sûr, faire du patin à roulettes !
Les enfants et les adultes ont patiné pendant 2 heures, se démenant au milieu des
rires, et savourant ces moments ensemble.
Pour clore une fin de semaine étonnante, nous avons écouté M. Ralph Levy,
venu de l’Institut du Fondement. Il nous
a donné un sermon formidable, suivi des
classes traitant des Alliances de la Bible.
Après les cours, samedi soir, nos messieurs ont mijoté du chili con carne, et
nos dames ont participé à un concours de
cuisson de gâteaux. Les enfants ont eux
aussi participé à une cuisson de petits-gâteaux. Pour chacun de ces concours, il a
été difficile de désigner le meilleur prix ;
tout était délicieux !
Notre fin de semaine s’est terminée le
dimanche en fin d’après-midi, après toute
une journée de cours par le Dr Levy. Ces
quelques jours ont été excellents ; ils nous
ont permis de nous rapprocher les uns des
autres.
Nous espérons que plusieurs d’entre
vous se joindront à nous l’an prochain, car
nous projetons de remettre cela.
DCA
eddam.org
nouvelles internationales
Un seul Corps, un seul Esprit
Deux ministres et leurs épouses se sont rendus en
Martinique pour y visiter des membres isolés.
par joël meeker
Mon épouse Marjolaine
et moi avons eu l’occasion, en
début janvier, de rendre visite
à nos frères et sœurs de la
Martinique, dans la Caraïbe.
Cette île se trouve dans les
petites Antilles, à près de 500
km du Venezuela.
Pendant ce séjour, nous avons
passé deux sabbats avec nos
membres, avons rendu visite à
plusieurs personnes pendant la
semaine, et nous avons eu un
pique-nique fort agréable.
Monsieur David Evans,
qui travaille pour les services
ministériels à notre Siège central
d’Allen, dans le Texas, et son
épouse Marguerite, se sont
rendus à leurs propres frais en
Martinique pour y rencontrer
les membres et pour y prendre
quelques jours de congé.
Les deux vendredis soir où
nous étions là-bas, M. Evans a
donné une étude biblique que j’ai
traduite de l’anglais en français.
La première était une introduction du livre des Proverbes ; et
la seconde une introduction du
livre des Psaumes. Lors des deux
sabbats, j’ai donné le sermon.
Le premier était sur la maîtrise
de nos paroles, et la seconde sur
notre identité en tant qu’Église
et sur notre esprit de corps.
Après chaque étude biblique ou
sermon, nous avons eu des discussions et avons répondu à des
questions.
Le dimanche entre les deux
sabbats, nous avons fait une sortie dans un parc d’attraction local
qui montre comment on vivait
en tant qu’esclave émancipé lors
de l’abolition de l’esclavage en
Les membres de la Martinique
offrent un repas traditionnel
à leurs visiteurs, le jour du
sabbat
1848 et par la suite. Les maisons
ordinaires étaient faites de boue
séchée et de branchages, et les
meubles étaient rudimentaires.
Les membres les plus âgés de
l’Église nous ont montré des maisons spartiates qui illustraient
parfaitement les endroits où ils
ont vécu étant jeunes. Il est étonnant de constater les progrès qui
ont été accomplis en Martinique
en l’espace de seulement deux
générations.
Après cet entracte éducatif,
nous nous sommes rendus dans
un parc en bord de mer surplombant la baie de Fort de France,
pour un délicieux repas et une
fraternisation encourageante.
Le dernier sabbat, nous avons
eu l’assemblée le matin, suivie
d’un délicieux repas martiniquais avec du poulet boucané
(du poulet fumé dans des feuilles
de canne à sucre) et de la dorade
dans une sauce à l’ail et aux
herbes du pays. Des légumes
verts et des mangues au gratin
accompagnaient le repas, et le
tout était arrosé d’un bon vin
français. Pour finir, nous avons
savouré des fruits frais et de la
glace.
Dans l’après-midi, nous
avons chanté des cantiques ensemble et nous avons parlé de la
Fête des Tabernacles prochaine
où, si Dieu le veut, nous nous
retrouverons.
Nos frères et sœurs de la
Martinique vous saluent tous
chaleureusement. DCA
Au sud de la frontière
Des ministres du Siège central se rendront
régulièrement au Mexique
par ralph levy
Le sabbat du 18 janvier
dernier, j’ai eu le privilège de
rendre visite à notre congrégation
de Monterrey, au Mexique. Notre
pasteur là-bas, M. Larry Roybal,
a demandé à ce qu’un ministre
du Siège central se rende à
Monterrey pendant qu’il suit son
traitement contre le cancer, aux
Etats-Unis.
Je suis arrivé à Monterrey,
dans l’État de Nuevo León, dans
le nord-est du pays, le vendredi
17 janvier dans l’après-midi. Le
trajet, en avion, depuis Dallas,
est de courte durée – seulement
75 minutes, quand on est en l’air.
À l’aéroport de Monterrey, j’ai
été accueilli par notre diaconesse
Nora Garza Juárez et sa fille
février 2014
Melissa Padilla. Elles m’ont
conduit à un appartement situé
juste en face de chez les Roybal,
à Monterrey.
Ce soir-là, nous avons savouré
un délicieux repas chez Maricela
Roybal, la sœur de M. Roybal. Le
jour du sabbat, il y avait approximativement 25 personnes à l’assemblée quand j’ai donné mon
sermon sur les clés permettant de
prier plus efficacement. Cela fait,
nous avons eu un repas-partage
et une étude biblique – une introduction sur le livre des Proverbes.
Plusieurs personnes ont ensuite
posé des questions bibliques et
sur le déroulement de l’œuvre.
Le dimanche matin, le 19
janvier, plusieurs membres
Ralph Levy, au centre, savoure un diner, le jour du sabbat, avec plusieurs
membres de l’Église de Monterrey, au
Mexique. (photo par Melissa Padilla)
se sont joints à moi et nous
avons fait une jolie excursion le long de la rivière Santa
Lucía, le long du canal artificiel pittoresque en bordure
duquel se trouvent des bâtiments coloniaux et des attractions modernes. C’était une
belle journée ensoleillée, et
cela nous a permis de voir une
partie de cette ville mexicaine
moderne et prospère.
Après notre promenade le
long de la rivière, notre diacre
Ricardo Ortega m’a conduit à
l’aéroport pour mon vol de retour
vers Dallas.
Je savais que Mexico avait
beaucoup changé depuis ma dernière visite, il y a bien des années,
mais j’ai été surpris de constater à
quel point Monterrey est propre,
moderne et prospère.
Il est prévu que d’autres
ministres du Siège, à Allen, se
rendent dans les congrégations
mexicaines dans les semaines et
les mois à venir. Nous espérons
que ces visites de l’autre côté
de la frontière resserreront les
liens entre le peuple de Dieu, et
nous prions pour que notre Père
aimant redonne à M. Roybal sa
santé. DCA
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camp d’été pour les jeunes au chili
On se fait des souvenirs :
À gauche: Plus de 100
personnes, campeurs et
encadrement, ont passé
une semaine dans les
montagnes chiliennes de
San Fabian. En dessous:
de haut en bas : des
campeurs se préparent
pour une course de ski ;
Irma Angelica Chavira vise
la cible; Natalia Faundez,
Bernardita
Torres
et
Catalina Tiznado.
Camarades de camp
L
par corbin jackson
Le camp d’été pour nos jeunes, cette année, à Alico (au Chili), a été l’une des expériences les plus mémorables et les plus inspirantes que nous ayons connues. Au total,
94 campeurs, assistés de 15 adultes, ont eu l’occasion de s’amuser pendant une semaine, dans l’amitié, dans un internat bien équipé, situé dans les montagnes de San
Fabian. La vue sur la montagne, à couper le souffle, avec sa végétation abondante et
l’impressionnante rivière Ñuble qui court à proximité étaient des rappels constants de
la présence divine au camp. La pureté naturelle de la Création divine ajoutait au thème
de cette année : « À la recherche de la pureté » et a ajouté à l’expérience unique connue
par tous les participants.
Chaque jour débutait par un léger petit-déjeuner suivi d’une étude biblique traitant
des divers aspects du thème du camp. Les études bibliques ont été présentées par Saul
Langarica, Daniel Sepulveda et Pablo Carvajal. Nous nous séparions ensuite par petits
groupes afin de mieux analyser et de discuter les sujets et les passages bibliques examinés pendant l’étude biblique. Après avoir conclu ces leçons de vie chrétienne, nous
écoutions des campeurs donner de petits discours.
Les après-midi, nous pratiquions divers sports et participions à diverses activités
comme le tir à l’arc, le tir à la carabine, des courses de ski, du rugby et du volleyball. Le
dîner était servi quand les activités sportives étaient terminées, et chaque jour finissait
par une activité de soirée pour tout le camp, comme un film ou un spectacle.
Ce qui était probablement plus agréable que les sports, et encore plus beau et plus
inspirant que le panorama, était l’atmosphère incroyable d’amour, d’harmonie et de
camaraderie partagée par les campeurs. Cette année, nous avons été bénis d’avoir
des jeunes d’Argentine, du Pérou, de la Bolivie, du Mexique et des Etats-Unis avec
nous. De ce fait, l’expérience du camp a réellement imagé ce que signifie « être un en
Christ », comme il est écrit que nous devons le devenir, dans 1 Corinthiens 12 :12-14.
Les souvenirs étonnants et les leçons profondes que les campeurs reçoivent chaque
année ont une valeur inestimable et un impact énorme sur la vie de nos jeunes dans
l’Église. Nous apprécions le travail des adultes qui se sont démenés – en cuisant les
repas et en préparant toutes les activités – grâce auxquels le camp a été une si belle
réussite. Évidemment, notre gratitude est surtout dirigée vers notre Grand Dieu pour
Ses bénédictions.
Rendez-vous à tous, au camp de 2014 !
DCA
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D’un commun accord
eddam.org
camp d’hiver 2013
Les campeurs
bravent des températures inférieures
à -18oC
Q
Q
par gary and gale black
uarante centimètres
de neige attendaient
nos 57 campeurs, qui
sont arrivés à Montello
(dans le Wisconsin)
pour notre camp d’hiver qui s’est déroulé du
27 décembre au 1er janvier derniers. Nos
campeurs sont venus de plusieurs États,
y compris du Sud – où l’on voit rarement
autant de neige – mais aussi du Pérou et de
la Nouvelle-Zélande.
L’encadrement est arrivé un jour plus
tôt, pour tout préparer. Cette année, nos
campeurs ont participé à des activités en
plein air comme le ballon-balai, le football,
la raquette à neige, la glissade sur neige
dans des chambres à air, la Course étonAmusés, bien emmitouflés
nante et le patinage sur glace. Mais ils ont
Dans le sens des aiguilles d’une montre depuis le haut, à
aussi joué bien au chaud des matches de
gauche: Glen Heltne dirige le train de chambres à air dans
volleyball, de team challenge et ont pris des
la descente ; George Pelesikoti esquive Cort Johnson,
cours de danse.
Jerod Brunick and Andrew Bryant ; Codi Lyn Cole se
détend dans son quinzhee ; Gabe Ellis au ballon balai ; le
Il faisait plus froid que d’habitude. Le
dortoir 1F fête sa victoire au bunco.
jour où il a fait le plus froid, le thermomètre
est descendu jusqu’à – 27oC, mais les campeurs se sont emmitouflés et se sont bien amusés malgré tout.
tère unique de leur appel, de la tâche qui les attend, de la manière
Quatorze personnes – plusieurs campeurs et plusieurs adultes – d’honorer cet appel, et comment vivre de manière morale et pure
ont bravé le froid et ont passé la nuit dehors, dormant dans des abris dans un monde de plus en plus immoral.
appelés quinzhees. Plusieurs adultes s’étaient portés volontaires
Une étude biblique traitait des questions les plus souvent posées
pour faire de grands tas de neige, puis ils y avaient creusé des abris aux campeurs à propos de leurs croyances. Une liste de versets
pour le challenge. Avant l’activité, Eric Evans et Scott Lord avaient bibliques leur a été remise afin de les aider à mieux prouver toutes
appris aux campeurs quoi faire pour rester au chaud dans le froid. choses à partir de la Bible. Il y a également eu une classe sur la maIls étaient équipés de sacs de couchage alpins, de vêtements et de nière de se comporter dans la vie, pendant laquelle les garçons et les
gants mitonnés pour ne pas avoir froid, et avaient pris des barres de filles ont été séparés afin de discuter comment se comporter en chréchocolat pour avoir de l’énergie pendant la nuit.
tiens et affronter les défis et les distractions qui se présentent à eux.
Il fait nuit tôt à cette époque de l’année dans le Wisconsin ; aussi
Le jour du sabbat, Tom Clark a donné une classe sur l’impornos activités de la soirée avaient-elles souvent lieu à l’intérieur et tance de la pureté, suivie de cantiques. Pour l’assemblée, Robert
tout le monde y participait. Ces dernières comprenaient des jeux Mazza, un jeune adulte faisant partie de l’encadrement, a donné une
bibliques, un tournoi de bunco (un jeu de dés), une soirée spectacles sermonette prouvant qu’il fallait que Dieu inspire la Bible. Scott Lord
et une danse la veille du départ.
a donné le sermon sur notre appel.
Malgré toutes les activités offertes, nous avons pris le temps de
Le jour du départ, tous avaient du mal à se quitter. On s’est fait
nous occuper du spirituel. Chaque matin, dans le dortoir, chacun beaucoup de nouveaux amis, et beaucoup de leçons ont été apprises.
étudiait sa Bible et priait avant de retrouver les autres pour une Nous sommes reconnaissants à Dieu de nous avoir bénis une fois
« orientation boussole » de 15 minutes avant de démarrer la journée. de plus avec ce merveilleux camp d’hiver. Nous avons hâte de nous
Le thème du camp était « Un appel à la gloire », et tous les messages retrouver l’an prochain, qui marquera la 20e année de notre camp
rejoignaient celui-ci. Les campeurs ont pris connaissance du carac- d’hiver.
DCA
février 2014
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Le coin des
écrivains
La poésie dans la Bible
Le tiers de la Bible est poétique. Apprendre à apprécier
sa poésie peut nous aider à mieux comprendre la
vérité divine.
par art verschoor
S
IR ARTHUR QUILLER-COUCH, AUTEUR ANGLAIS
connu, poète, critique littéraire et professeur à Cambridge,
qui vécut dans la seconde moitié du 19e siècle et dans la première moitié du 20e siècle, avait donné trois conférences sur
la lecture de la Bible.
Lors de ces présentations, il avait imploré les examinateurs de l’université d’inclure certaines portions poétiques
de la Bible dans l’examen final d’anglais du Baccalauréat à
Cambridge. Il avait déclaré : « Nous devrions tous étudier la
Bible anglaise pour sa poésie, pour son langage merveilleux
et pour sa religion – cette dernière et la poésie étant en fait
inséparables. »
À l’instar des autres formes de poésie,
la poésie biblique, en substance, s’appuie
sur des images, des métaphores, des
comparaisons et plusieurs autres formes
d’expression. On a estimé que le tiers de la
Bible est poétique, établit des parallèles et
emploie un langage imagé.
Apprendre à apprécier le langage poétique de la Bible nous aide à saisir les vérités que Dieu nous communique dans les
pages de Sa Parole.
La poésie dans la Bible
L’Ancien Testament ne comprend pas
moins de quatre livres poétiques : Job
(une histoire), les Psaumes (des cantiques
d’adoration), les Proverbes (un recueil de
sages dictons) et le Cantique des cantiques
(un livre de poèmes d’amour). Chacun de
ces genres fait usage d’expressions poétiques analogues.
Bien que ces livres ne soient pas en
rimes, comme les poèmes de nos langues
actuelles, leur éloquence et les expressions dont ces livres se servent créent un
rythme qui compense largement l’absence
de rimes. La poésie hébraïque s’exprime
souvent par deux lignes consécutives traitant du même thème mais l’exprimant différemment, souvent dans la même forme
grammaticale avec un « parallélisme » de
fond.
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D’un commun accord
En plus de dresser des parallèles,
d’employer des métaphores et de faire
des comparaisons, des allitérations et des
symboles sont souvent utilisés comme
illustrations. Et bien que cette poésie ait
été traduite en français, elle conserve une
partie de sa beauté.
En plus des quatre livres poétiques
mentionnés ci-dessus, la plupart des prophéties de l’Ancien Testament sont écrites
de manière poétique. La Bible contient
beaucoup d’illustrations. Dans Osée
12:10, Dieu déclare : « J’ai parlé aux prophètes, j’ai multiplié les visions, et par les
prophètes j’ai proposé des paraboles ». Le
mot traduit en français par « visions »
signifie « des comparaisons ». Cette déclaration évoque un principe cher à la Bible.
Cette dernière abonde en images,
en tableaux. La vie est comparée à un
voyage qu’on effectue en suivant un
certain chemin ; Dieu est un Berger ; la
dépression est une vallée, et le salut une
fête. Dieu Se sert d’images pour communiquer à Son peuple la vérité qu’il a
besoin de connaitre.
Quatre sortes de parallèles
Quatre sortes de parallèles sont utilisées dans la poésie hébraïque ; l’emploi de
synonymes, d’opposés, de synthèses, et de
culminations.
Quand – en établissant des parallèles
– l’hébreu se sert poétiquement de synonymes, la déclaration initiale est réitérée
différemment pour faire ressortir ce que
le poète souhaite souligner. Proverbes 27:2
est un exemple de ce type de parallélisme.
« Qu’un autre te loue, et non ta bouche, un
étranger, et non tes lèvres ». Chaque élément complémente l’autre ; non seulement
le sens est le même, mais chacune des
clauses est liée à l’autre par la conjonction
« et ». Les deux phrases ont pratiquement
la même longueur, et la seconde reprend
l’aspect positif ou négatif évoqués.
Quand – en établissant des parallèles
– l’hébreu se sert poétiquement d’opposés ou de contraires, il établit le contraste
entre ces derniers. Proverbes 29:2 en
constitue un exemple : « Quand les justes
se multiplient, le peuple est dans la joie ;
quand le méchant domine, le peuple gémit. » La deuxième phrase complémente
la première. Le rapport de cause à effet est
évoqué dans les deux. Là encore, le poids
et la longueur des phrases sont importants
en ce qu’ils comparent les idées contrastées. Dans ce genre de parallélisme, les
deux éléments sont souvent joints par des
conjonctions comme et, mais, par contre
ou bien que.
Dans le cas de parallélisme synthétique
deux idées sont jointes de manière
à accentuer des similitudes ou pour
exprimer fortement une préférence pour
une condition par rapport à une autre.
Ecclésiaste 7:5 est un exemple typique
de ce type de parallélisme : « Mieux vaut
entendre la réprimande du sage que
d’entendre le chant des insensés. », y lit-on.
Autre exemple de parallélisme synthétique : la constatation d’une action par
rapport à une autre, aux plus graves conséquences : Proverbes 21:27 : « Le sacrifice
des méchants est quelque chose d’abominable ; combien plus quand ils l’offrent
avec des pensées criminelles ! »
Quand – en établissant des parallèles
– l’hébreu se sert poétiquement de points
culminants dans des situations, l’auteur
se sert de déclarations antérieures qui
conduisent le lecteur à sa conclusion : c’est
le cas de Psaumes 1:3 où on peut lire : « Il
[le juste] est comme un arbre planté près
d’un courant d’eau, qui donne son fruit en
sa saison, et dont le feuillage ne se flétrit
point : tout ce qu’il fait lui réussit ».
Dans cette déclaration poétique, le
psalmiste compare le juste à un arbre.
L’arbre en question porte des fruits,
comme il faut s’y attendre, mais en plus de
cela il ne perd pas son feuillage. De même
que cet arbre est exceptionnel, le juste,
eddam.org
La Bible abonde en images, en
tableaux. La vie est comparée à un
voyage qu’on effectue en suivant un
certain chemin .Dieu Se sert d’images
pour communiquer à Son peuple la
vérité qu’il a besoin de connaître.
lui aussi est exceptionnel. Dans ce type de
parallélisme, quelque-chose d’ordinaire sert à
décrire quelque chose d’extraordinaire, pour
prouver ce qui est dit. Ce qui est dit à propos
du juste – comparé à un arbre productif poussant près d’un courant d’eau – sert à prouver
que Dieu s’est servi d’illustrations de ce genre
pour nous faire connaître Sa volonté.
Métaphores et comparaisons
La Bible – du moins dans sa forme originale, hébraïque, poétique – contient beaucoup
de métaphores et de comparaisons. Proverbes
28:6, par exemple, établit une comparaison :
« C’est attacher une pierre à la fronde, que
d’accorder des honneurs à un insensé ». Point
n’est besoin d’expliquer qu’honorer un insensé est dangereux. L’idée de la pierre placée
dans la fronde suffit.
Les métaphores sont souvent utilisées
en poésie. Comme l’a écrit Aristote, « Bien
faire les métaphores, c’est bien apercevoir les
ressemblances ». Les métaphores sont des
expressions bifocales examinant deux niveaux de perception. Elles sont une forme de
logique dans laquelle un rapport entre deux
expressions distinctes peut être confirmé
par un simple raisonnement ou une simple
observation.
Comprendre des déclarations bibliques
métaphoriques consiste d’abord à ressentir
le niveau littéraire de la comparaison. Ce qui
est suivi par le transfert du sens de A à B. Par
exemple, dans la phrase « L’Éternel est mon
berger », l’Éternel est comparé à un berger –
une métaphore – comparaison qui exprime
clairement les traits divins de la protection et
de la bienveillance.
En fait, cette métaphore est très évocatrice.
Qui plus est, le mot « métaphore » dérive
du grec, et a le sens de quelque chose qui se
« répercute ». Dans un sens, on peut dire que
quand un poète ou un porte-parole biblique se
sert d’une métaphore ou d’une comparaison,
le lecteur ou l’auditeur se doit de poursuivre
le processus de communication engagé. C’est
février 2014
au lecteur ou à l’auditeur qu’il incombe de
découvrir en quoi A ressemble à B.
Bien qu’une métaphore ne décrive pas
quelque chose de concret, c’est un moyen
efficace de communiquer une vérité de
manière notoire. Quand Jésus déclare,
dans Jean 10:9 « Je suis la porte », on
comprend bien qu’Il n’est pas littéralement une porte, mais qu’Il Se sert d’une
métaphore pour décrire ce qu’Il est – en
l’occurrence l’ Être grâce auquel nous
sommes sauvés.
Des acrostiches
Le Psaume 119 est unique en ce sens que
sa première section débute par la 1ère lettre de
l’alphabet hébreu ; sa 2e section par la 2e lettre
de l’alphabet hébreu, et ainsi de suite jusqu’à
la fin. On appelle ce style une acrostiche, mais
c’est aussi l’un des exemples les plus flagrants
d’allitérations consécutives en ce sens que A
est suivi de B, etc., bien que cela se produise
bien plus souvent dans l’hébreu qu’on ne
le pense généralement. De surcroit, divers
types de parallélisme sont utilisés dans tout
ce Psaume.
La poésie dans le Nouveau
Testament
Si le Nouveau Testament diffère de
l’Ancien en ce qu’il ne contient pas un seul
livre pouvant passer pour poétique, on peut
néanmoins trouver de la poésie dans les
Évangiles, dans les Épîtres, et surtout dans le
livre de l’Apocalypse.
Le premier chapitre de l’Évangile selon
Luc reproduit la proclamation poétique de
Zacharie, rempli du Saint-Esprit, après la
naissance de Jean-Baptiste (Luc 1:68-79).
Dans ce chapitre, dans les versets 46 à 55,
apparaît le cantique de Marie qui reproduit
ses propos après que l’ange lui ait révélé qu’elle
serait la mère du Fils de Dieu et après sa visite
chez Élisabeth. Autre exemple de poésie :
Philippiens 2:6-11 :
« Existant en forme de Dieu, [Il] n’a point
regardé son égalité avec Dieu comme
une proie à arracher, mais il s’est dépouillé lui-même, en prenant une forme
de serviteur, en devenant semblable
aux hommes ; et il a paru comme un
vrai homme, il s’est humilié lui-même,
se rendant obéissant jusqu’à la mort,
même jusqu’à la mort de la croix.
C’est pourquoi aussi Dieu l’a souverainement élevé, et lui a donné le nom qui est
au-dessus de tout nom, afin qu’au nom
de Jésus tout genou fléchisse dans les
cieux, sur la terre et sous la terre, et que
toute langue confesse que Jésus-Christ
est Seigneur, à la gloire de Dieu le Père. »
Plusieurs traducteurs ont suggéré que ces
versets étaient probablement un cantique que
les premiers chrétiens chantaient.
Apocalypse 19:6-9 contient la déclaration
poétique triomphale suivante :
« Et j’entendis comme la voix d’une foule
nombreuse, comme un bruit de grosses
eaux, et comme un bruit de forts coups
de tonnerre, disant : Alléluia ! Car le
Seigneur notre Dieu Tout-Puissant est
entré dans son règne.
Réjouissons-nous, soyons dans l’allégresse,
et donnons-lui gloire ; car les noces de
l’Agneau sont venues, son épouse s’est
préparée, et il lui a été donné de se revêtir d’un fin lin, éclatant, pur ; car le fin
lin, ce sont les œuvres justes des saints »
L’appel pressant de Sir Arthur QuillerCouch en faveur d’une étude de la Bible pour
son contenu poétique, son beau style et ses
principes religieux est toujours aussi actuel
qu’il y a un siècle, quand il fit cette demande.
En fait, apprécier la poésie biblique peut nous
aider à apprécier encore davantage le merveilleux message spirituel que Dieu a pour nous.
DCA
9
Contact
personnel
par cecil maranville
Q
Comment
puis-je
faire
comprendre à mon mari non converti que
Dieu passe en premier et que je L’aime plus
que lui ?
Question:
Nous aimons Dieu d’un
amour différent de celui
dont nous aimons d’autres
êtres humains. Expliquez
à votre conjoint que vous
aimez Dieu, spirituellement
parlant, de sorte qu’il n’a
pas à entrer en compétition
avec Dieu pour avoir votre
affection. Vous voulez que
votre mari sache qu’il a la
priorité,
immédiatement
après Dieu, mais aussi par
rapport à n’importe quel
autre être humain.
10
D’un commun accord
Réponse: C’est là une tâche exigeant du tact, de la sagesse, de la compréhension, de la
patience et de l’amour. Je vous conseille de beaucoup prier avant d’essayer d’expliquer cela à
votre mari. Demandez à Dieu de vous accorder de la sagesse et de bénir vos efforts en ce sens.
En réfléchissant à ce que vous allez dire, mettez-vous à la place de votre conjoint. Paul, sous
l’inspiration divine, explique que – pour ceux que Dieu n’appelle pas encore – la voie divine
passe souvent pour pure « folie » (1 Corinthiens 2:10-15). Compte tenu de cela, choisissez des
mots que votre mari ne puisse pas mal interpréter.
Nous aimons Dieu d’un amour différent de celui dont nous aimons d’autres êtres humains.
Expliquez à votre conjoint que vous aimez Dieu, spirituellement parlant, de sorte qu’il n’a pas
à entrer en compétition avec Dieu pour avoir votre affection. Vous voulez que votre mari sache
qu’il a la priorité, immédiatement après Dieu, mais aussi par rapport à n’importe quel autre
être humain.
Vous pouvez insister sur le fait que la Bible dit aux femmes d’aimer leurs maris et leurs
enfants ; de s’occuper de leurs foyers ; d’être disposées à coopérer avec leurs maris (Tite 2:4-5 ;
Colossiens 3:18). Bref ! le christianisme est pour le mariage. La voie divine enseigne à la femme
d’aimer son mari. Par conséquent, avoir une femme croyante est un avantage, et non un handicap. Le seul domaine où le mari n’a pas d’autorité sur sa femme est celui de sa foi. La religion
est quelque chose de personnel, uniquement entre un individu et Dieu.
Aimer Dieu exige qu’on passe un certain temps avec Lui. Comme pour toute relation,
vous devez passer du temps avec votre Père céleste. Prier, c’est Lui parler ; étudier sa Bible, c’est
L’écouter. Vous devriez pouvoir choisir le temps que vous passez avec l’Éternel en fonction de
votre emploi du temps et de celui de votre mari.
Le versement de la dîme peut causer des problèmes. Mais verser la dîme est une loi divine,
un moyen pour vous d’adorer Dieu et de Lui exprimer votre amour. Dieu promet de bénir
quiconque verse sa dîme. Demandez à votre mari d’être patient en ce domaine, afin qu’il sache,
au fil du temps, que la dîme est une pratique financière avisée, qui fait partie de la pratique de
votre religion. Vous devriez ajouter que vous ne cherchez pas à convertir votre mari, pas plus
que vous ne tenez à ce qu’il pratique le christianisme (y compris le versement de la dîme de son
revenu).
Aimer Dieu, c’est aussi observer les sabbats annuels et hebdomadaires qu’Il a désignés
comme jours de culte. Le mari qui ne partage pas l’optique religieuse de son épouse peut éprouver quelque difficulté à admettre que vous ne puissiez pas renoncer à observer le sabbat une
fois de temps à autre afin de faire quelque chose qu’il n’est pas convenable de faire, pour un
chrétien, ce jour-là.
Vous pouvez préciser que dans tout mariage, la femme refuse occasionnellement de se
joindre à son mari pour participer à une activité qui ne l’intéresse pas vraiment, comme aller à
la chasse, aller voir un match quelconque, ou autre. Refuser de faire quelque chose que le mari
a envie de faire n’équivaut pas nécessairement à ne pas l’aimer.
La Bible conseille aux femmes dans votre situation de se concentrer sur leur comportement
plutôt que sur ce qu’elles disent, pour gagner l’affection de leurs maris (2 Pierre 3:1-2). Vous
aurez, certes, besoin de foi et de patience, mais une femme croyante peut avoir une relation
conjugale heureuse avec un mari non converti. Il peut y avoir quelques accrocs, occasionnellement, mais ils peuvent être éliminés si le mari et la femme sont disposés à faire des efforts
pour bien s’entendre.
DCA
eddam.org
exemples de foi
Les dures épreuves d’un
membre
Un ancien du Zimbabwe nous raconte
l’histoire d’un membre qui est resté
fidèle en dépit d’épreuves répétées.
par harris hlazo
U
ne fois appelés, nous finissons tous par nous
détacher des cultures dans lesquelles nous
vivons. Ici, au Zimbabwe, nos problèmes
s’aggravent à cause du taux élevé de chômage.
L’un de nos membres – Tawanda Chiswa a
eu son lot d’épreuves ; mais lui et son épouse
Faith avancent à contrecourant et bravent les
tempêtes sans faillir.
Tawanda travaillait comme conseiller dans un café à relai-Internet en 2008 quand il s’est aperçu qu’il fallait observer le sabbat. Il a immédiatement demandé de ne pas travailler le samedi.
Quand sa requête a été refusée, il a démissionné de son travail.
Le commencement des douleurs
Inutile de préciser que sa démission avait été fort mal reçue
par sa famille, d’autant plus qu’il est l’aîné. Il a essayé de trouver un travail en distribuant son curriculum vitae à ses amis et
connaissances, mais sans succès. Entre-temps, ses proches et un
peu moins proches ont continué à faire pression sur lui pour qu’il
accepte n’importe quel emploi, même s’il fallait travailler le jour
du sabbat. Mais il a tenu bon.
À un moment donné, ses proches lui avaient demandé de livrer des bagages chez sa sœur, en Afrique du Sud, pour qu’il se
mette en rapport avec son jeune frère, au Cap, pour y chercher un
emploi, mais cela n’a pas réussi. De retour chez lui, il s’était marié.
Diverses tentatives d’affaires
L’Église a continué de prier pour lui ; et avec une aide financière de celle-ci, il a commencé à avoir des revenus en important
et en vendant des vêtements féminins et d’enfants dans les régions
minières et agricoles. L’entreprise avait bien démarré et s’était bien
portée pendant quelque temps, mais les gens n’avaient pas tardé à
se mettre à acheter des vêtements meilleur marché, fabriqués en
Chine, qui s’étaient mis à inonder le marché. Et son affaire s’était
écroulée. L’Église l’avait encore aidé financièrement, et il avait pu
acheter un ordinateur et des jeux pour les enfants d’âge scolaire
et les jeunes adultes. À peine son affaire démarrait-elle que le courant était coupé à son domicile, ses factures n’ayant pas toutes été
payées. Le courant a fini par être rétabli, mais des cambrioleurs
sont venus et lui ont dérobé beaucoup d’articles, y compris son
matériel professionnel.
Une pression continuelle
Entre-temps, ses proches ont continué à faire pression sur lui.
Ils voulaient qu’il accepte n’importe quel emploi, même s’il fallait
février 2014
Tawanda et Faith Chiswa
transgresser le sabbat. L’un de ses oncles lui a dit qu’il lui trouverait un travail et qu’il lui faudrait l’accepter, qu’il le veuille ou non ;
cela n’avait pas réussi. Sa sœur ainée a même essayé de le battre,
mais rien n’y a fait. Tawanda a tenu bon. Plusieurs sermons qu’il
a entendus, des conseils qu’il a reçus et continue de recevoir l’encouragent à persévérer.
L’an dernier, son épouse Faith a fait une fausse-couche.
L’Église l’a aidé en payant les frais encourus. Quelques mois plus
tard, Faith était de nouveau enceinte et devait accoucher en décembre dernier. Sa grossesse se déroula normalement et, quand
les douleurs apparurent, elle se rendit à la clinique où elle était
inscrite. De là, elle fut transférée à l’hôpital ; mais quand le médecin l’examina, il découvrit que l’enfant était mort-né. Une fois de
plus, l’Église a été en mesure de les aider à payer leurs factures à
cet effet.
Tawanda et son épouse ont connu tant d’épreuves, et pourtant, ils demeurent engagés dans l’Église et il se débrouille bien.
Il donne de bonnes sermonettes, et il aide à traduire les sermons
lors de la Fête. Il m’aide aussi avec son ordinateur et avec le courrier de l’Église quand je suis occupé ailleurs.
Les épreuves de Tawanda, bien que dures, nous obligent à réfléchir aux paroles de Paul :
« Qui nous séparera de l’amour de Christ ? Sera-ce la tribulation, ou l’angoisse, ou la persécution, ou la faim, ou la nudité, ou
le péril, ou l’épée ? selon qu’il est écrit : C’est à cause de toi qu’on
nous met à mort tout le jour, Qu’on nous regarde comme des brebis destinées à la boucherie. Mais dans toutes ces choses nous
sommes plus que vainqueurs par celui qui nous a aimés. Car j’ai
l’assurance que ni la mort ni la vie, ni les anges ni les dominations,
ni les choses présentes ni les choses à venir, ni les puissances, ni
la hauteur, ni la profondeur, ni aucune autre créature ne pourra
nous séparer de l’amour de Dieu manifesté en Jésus-Christ notre
Seigneur. » (Romains 8:35-39).
Note de l’auteur : Des paroles d’encouragement pour Tawanda
et son épouse seraient fort appréciées. Des cartes peuvent être envoyées à la boite postale privée de Hlazo :
P.O. Box 254
Causeway
Harare, Zimbabwe
11
Nouvelles des Églises
Greensboro, Caroline
du Nord
Le cinquantenaire de
l’Église de Dieu
Le sabbat du 2 novembre dernier, l’Église
de Greensboro, en Caroline du Nord, a célébré son cinquantenaire. Dix membres – qui
avaient assisté à la première réunion 50 ans
plus tôt, étaient présents en cette occasion :
Haynes, Ethel, Jeff, David et Mark Baker; Sylvia Robertson; Roger Robertson; Gay Mullins; Arnold Burns; et Patricia Gibb. Doloris
Harrison s’était jointe à eux le second sabbat.
Jim et Lois Haeffele – qui se sont occupés de l’Église de Greensboro pendant plus
de 18 ans – nous ont envoyé une vidéo ; ils
n’ont malheureusement pas pu se déplacer.
Pendant le dîner très spécial, une projection
de diapositives en continu nous a rappelé
beaucoup de bons souvenirs. Tout le monde
a mis la main à la pâte, pour que ce soit une
occasion mémorable. Au menu : du bœuf,
du poulet, et une portion du délicieux gâteau
d’anniversaire. Le 2 novembre 2013 restera
marqué dans nos mémoires, avec tous les
souvenirs qu’il a fait revivre dans nos cœurs
et nos esprits.
Ron Kelley
Houston Sud, Texas
Dix des premiers membres de l’Église de Greensboro, en Caroline du Nord,
célèbrent son cinquantenaire; Raida Pierce remporte le 1er prix pour son plat
de chili con carne; Larry Salyer (à droite) et l’Église de Houston Sud disent « Au
revoir » à Bryan et à Rhonda Waddle et à leurs trois garçons, avant qu’ils ne se
mettent à assister aux assemblées à Houston Nord.
Concours de chili con carne
Quoi de mieux, en une journée glaciale,
que de se réchauffer dans une salle pleine de
membres, en attendant de déguster un bon
bol de chili réputé ?
C’est précisément ce qu’a fait l’Église de
Houston Sud (dans le Texas), le sabbat du 7
décembre dernier.
Dans la soirée, les juges ont évalué près
d’une douzaine de chilis, prenant note de
leur apparence, de leur arôme, de leur saveur et de leur goût. Le plus jeune des chefs
avait 9 ans, et le plus âgé… peu importe !
Et comme c’est généralement le cas, il était
bien difficile, pour les juges, de déterminer
quels étaient les 3 meilleurs.
Raida Pierce a remporté le 1er prix ;
Murleen Hill le second ; et Nelda Pierce le 3e.
Après avoir savouré les chilis et les à-côtés, beaucoup de membres sont restés pour
participer à des jeux et pour fraterniser.
Susan Scott Smith
12
D’un commun accord
Houston Sud, Texas
Un « Au revoir » aux
Waddle
Lors du sabbat glacial du 4 janvier dernier,
la congrégation de Houston South a rempli la
salle pour accueillir Ken et Kathy Giese – un
ministre et son épouse qui se sont occupés
d’elle pendant longtemps.
En guise de sermonette, nous avons écouté
avec plaisir plusieurs morceaux de musique
spéciale spirituelle exécutés par Robet
Zamora (un solo) ; George Foshee (un solo à la
clarinette) ; et Chris Rochelle, Allie Rochelle,
Nadia Soto et Ozzie Soto (un solo, un potpourri de cantiques et un duo accompagné à
la guitare et au piano).
Monsieur Giese a donné le sermon et a
montré que la prière modèle de Matthieu 6
nous montre que nous devons vivre et nous
réjouir dans le temps présent, sans nous inquiéter du passé ou de l’avenir.
Les Waddle ont reçu un cadeau d’au revoir
après l’assemblée. Il y a deux ans, ils ont acheté une maison et des terres, qui se trouvent
à 5 minutes de l’endroit où se réunit notre
congrégation de Houston Nord. Depuis lors,
Bryan et Rhonda (lui est diacre ; elle est diaconesse) et leurs enfants – Jackson, Harrison
et Anderson – avaient continué de venir à
Houston Sud.
La congrégation de Houston Sud est
heureuse que Bryan soient sur la grille des
messages et qu’il puisse revenir s’adresser à
l’Église de temps à autre.
Après cette présentation, tous se sont
joints aux Giese et aux Waddle dans la salle de
réunion, où ils ont pu prendre une généreuse
collation et amplement fraterniser.
Susan Scott Smith
eddam.org
Houston Nord, Texas
Activité sociale de l’aprèsFête
Photos de la dernière visite pastorale de M.
Meeker au Burundi
L’arbitre Eric Powell pose des questions à
Dan Casey (à gauche) et à Brian Hegvold
(photo par Ivor Mitchell)
Le samedi 5 octobre dans la soirée, on
s’est bien amusé, la plupart des membres
étant restés pour participer à la soirée sociale
de l’après-Fête. Les personnes présentes ont
savouré un dîner italien avec de la lasagne,
du pain et de la salade, le tout arrosé de thé
froid et de desserts variés.
Nous avons aussi organisé un concours
de photos de la Fête, et un prix a été décerné
aux gagnants de chaque catégorie :
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
Le plus beau coucher de soleil
la meilleure photo d’activité.
la plus belle assiette lors des repas
le meilleur dessert.
la plus jolie piscine
le nom de boutique le plus original.
le plus beau paysage.
la plus belle scène pour les assemblées.
la photo la plus drôle.
la meilleure photo d’animaux.
Le clou de la soirée, bien sûr, était l’interaction familiale lors de laquelle les participants ont dû répondre à des questions d’enquêtes animées. Eric Powell a de nouveau
dirigé ces jeux, et ses blagues – comme ses
ébats – se sont avérés être aussi amusantes
que les jeux proprement dits. L’équipe de St
Augustine s’est opposée à celle de Hawaii
dans « la bataille des plages », et l’équipe
de Park City s’est opposée à celle de Pigeon
Forge dans un match de revanche entre les
« Rocheuses et les Smokey Mountains ».
L’enquête a déterminé que … tout le monde
s’est bien amusé.
Peter Gabriel
février 2014
13
Annonces
Naissances
Anniversaires
Gwendolyn et
Oliver Metzner
Lizzie, Aaron et Noah West; Crystal, Rob et Grace
Elizabeth Williams; Larry Salyer; Larry Roybal; et Frank
Pierce, le sabbat où eut lieu la bénédiction des enfants
Pendant la Fête, cette année, l’Église de Houston Sud
a doublement été bénie. Deux
familles qui attendaient un bébé
sont restées chez elles afin d’accueillir leurs nouvelles recrues.
Rob et Crystal Williams
ont accueilli leur bout de chou,
Grace Elizabeth, le lundi 23 septembre à 23 h. Elle pesait 3,19 kg
et mesurait 48 cm.
Noah David West, le 3e fils
de Lizzie et d’Aaron West, est né
le mardi 24 septembre à 8h32.
Il pesait 3,7 kg et mesurait 51
cm. Nous avons hâte de voir ces
bébés grandir parmi nous.
Susan Scott Smith
Durant l’assemblée du sabbat du 17 aout, 2013, L’assemblée de Morgantown, en Virginie occidentale, a surpris Oliver
et Gwendolyn Metzner par une
célébration de leur 65e anniversaire de mariage.
Le couple s’est rencontré lors
d’un bal en janvier 1946. Ils se
sont mariés le 25 juillet 1948.
Ils ont appris la vérité au sujet
du sabbat par une brochure de
l’Église pendant une visite chez
les parents en Pennsylvanie et
ont commencé à assisté aux
assemblées en 1964 à Detroit, au
Michigan et ont tous deux été
Ruby et Bob
Peoples
Kyle et Kim Mullen, de
l’Église de Eugene, dans
l’Oregon, ont la joie de vous
faire part de la naissance de
leur deuxième enfant, Kindsey
Milieu Mullen. Kindsey est née
le 16 novembre 2013, pesant
4,19 kg et mesurant 50 cm.
Son grand frère, Kaidan, aime
beaucoup sa petite sœur.
Nous encourageons les membres à envoyer des annonces
pour DCA. Nous annonçons les événements dans leur vie
comme les baptêmes, les naissances, les fiançailles, les
mariages, les anniversaires de mariage significatifs (25,
40, 50, 60 ans de mariage), les remises de diplômes et les
décès. Ces annonces doivent être de 50 à 100 mots, et nous
nous demandons de ne pas dépasser les 250 mots. Veuillez
joindre une photo haute définition avec votre texte.
14
D’un commun accord
Bob et Ruby Peoples ont célébré leur 60e anniversaire de mariage le 1er janvier 2014. L’Église
d’Austin (dans le Texas) a marqué cet événement significatif le
sabbat du 28 décembre dernier
avec une réception surprise.
Bob et Ruby se sont mariés
dans la petite ville de Spiro, dans
l’Oklahoma, en 1954. Ils ont découvert l’Église de Dieu grâce à
la revue The Plain Truth que les
parents de Bob avaient empilée
dans le grenier de leur maison
à Fort Smith, dans l’Arkansas.
Avec cette première introduction
baptisés le 9 mars 1966.
Le couple avait 5 enfants :
Rebecca, Melanie, Carl, Naomi
et Scott.
En 1993, leur fille Rebecca
succombait de leucémie. Ses parents sont heureux de connaître
le plan de Dieu et ont hâte
de la revoir à la résurrection.
Leur fille Melanie Bynum est
membre de l’Église de Dallas.
Le couple sert fidèlement
le peuple de Dieu depuis des
années. Oliver a été ordonné
diacre en 1991, et Gwendolyn
accompagne les cantiques et
donne des musiques spéciales,
en plus d’accompagner les
cantiques lors de la Fête des
Tabernacles. Leur dévouement
est non seulement apprécié de
leur congrégation, mais aussi
des Églises qu’ils ont servies
et continuent de servir. Nous
les félicitons et les remercions
pour leur exemple d’amour, non
seulement entre eux, mais pour
tous ceux qu’ils rencontrent.
Sherry Beilstein
à la vérité, ils ont déménagé à El
Monte, en Californie, pour son
travail, et pour être plus proches
du siège central de l’Église.
En 1964, ils ont été baptisés,
puis ont été acceptés comme
étudiants mariés à l’Ambassador
College, à Pasadena. Après cela,
ils ont été transférés, en 1969, à
Eugene, pour y servir l’église. En
1972, Bob est devenu ministre à
plein temps de l’Église de Salem.
Au fil des années, Les People
se sont occupés de plusieurs
Églises dans l’Oregon, dans le
Mississipi, dans le Texas et en
Louisiane. Bien que retraités
depuis quelques années, ils
servent toujours à Austin. Ils
ont deux fils ; David et sa femme
Missy vivent à San Antonio et ils
ont deux fils : Wesley (8 ans) et
Wyatt (5 ans). Greg et sa femme
Val vivent à Castle Rock (dans
le Colorado) et ont une fille –
Ashley – de 15 ans.
Greg Peoples
eddam.org
Décès
C’est avec tristesse que
l’Église d’Atlanta, en Géorgie,
nous annonce le décès de l’une
de ses membres, très aimée,
Bonnie Lynn Briggs. Bonnie
s’est éteinte le 18 novembre 2013
après un long combat contre un
cancer virulent.
Elle laisse derrière elle une
famille et des amis qu’elle a inspirés par son exemple de force,
de courage, de foi et d’endurance. Pendant sa maladie, elle
n’a jamais perdu de vue son
appel et la vision du Royaume
Bonnie Briggs
de Dieu.
Assistant aux assemblées
pendant qu’elle recevait des traitements douloureux, elle avait toujours le sourire, et étreignait et encourageait tout le monde. Elle
voulait être avec le peuple de Dieu et ne voulait pas se prendre en
pitié ou craindre quoi que ce soit ; elle savait que Dieu était avec elle
Chant’a Collier
Stephen Forrest Haley de
Corydon, dans l’Indiana, est
décédé le vendredi 27 décembre
dernier.
Une cérémonie célébrant
sa vie a eu lieu le dimanche 5
janvier dans le hall de l’Église
à Jeffersonville, dans l’Indiana,
dirigée par M. Mark Winner.
Steve était né le 8 juin 1943
à Indianapolis, dans l’Indiana,
de Forest et de Thelma Haley.
Le 17 juillet 1982, il avait épousé
Stephen
Dolores Satterfield, à Louisville
Haley
(dans le Kentucky). Il aimait
collectionner les vieux objets,
les vieux outils et des objets intéressants. Il aimait lire la Bible et
prendre le temps d’admirer le panorama.
Steve laisse derrière lui son épouse Dolores ; ses trois filles –
Melody Moss et son mari Zack (de Cincinnati, dans l’Ohio) ; Holly
Jines et son mari Nathan (de Lynnville, dans l’Indiana) ; Amanda
Tibbs et son mari Ben (de Pekin, dans l’Indiana) ; et une petite fille,
Addison Sue Jines. Il avait été précédé dans la mort par ses parents
Forrest et Thelma, et par son fils Stephen Levy Haley.
Melody Moss
Les jeunes chantent et dansent lors de la soirée spectacle
à la Fête des Tabernacles 2013 au Togo
février 2014
15
Time
After
time
Adolescents, vous
êtes invités à la fin de
semaine de Pittsburgh, en
Pennsylvanie !
Le coût par personnee eest
st de $32 , prix
prix qui
qui
comprend le dîner, lee bal,
bal, et lee pique-nique qui y
donnera suite.
3 et 4 Mai, 2014
Comfort Inn Conference
nce C
Center
enter P
Pittsburgh
ittsburgh E
East
ast
Tarif spécial : $79 plus taxe.
axe. Indiquez
Indiquez que
que vous
vous êtes
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éservations.
Appeler le 11-412-244-1600.
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