Tourisme saharien et développement durable

Transcription

Tourisme saharien et développement durable
Université de Sousse
Faculté de Droit et des Sciences Economiques et Politiques de Sousse
UR Tourisme et Développement
Université de Versailles Saint Quentin en Yvelines
Institut de Recherche pour le Développement
UMR 063 C3ED
Colloque International
Tourisme saharien et développement durable
Enjeux et approches comparatives
Tozeur (Tunisie)
9 au 11 novembre 2007
Premier appel à contributions
janvier 2007
Le tourisme, avec 12 % du PIB mondial est une des premières activités économiques de la
planète. Cette activité devient particulièrement importante dans les pays du Sud qui en ont
fait un composant essentiel de leurs stratégies de développement, la Tunisie en particulier.
Dans ces pays, au-delà des aspects strictement économiques, cette activité a des
répercussions sociales, identitaires et environnementales, qui conduisent à s’interroger sur
sa compatibilité avec un développement durable.
La littérature internationale souligne qu’à un niveau global on passerait d’un tourisme « de
masse », standardisé, à des formes de tourisme alternatives, marquées par l’orientation de
la demande vers une consommation plus « authentique » et porteuse de plus de « sens ».
Même si cette proposition peut faire débat, compte tenu notamment de l’émergence continue
de nouvelles destinations de tourisme balnéaire de masse, elle est confortée notamment par
le très fort développement du tourisme dans des zones sensibles restées jusqu’alors
relativement protégées. Cependant la mise en marché à grande échelle de ce nouveau
créneau commercial par l’ensemble de la filière touristique se fait principalement sur la base
de considérations de rentabilité économique à court terme ce qui pose des questions très
aiguës sur la durabilité globale de telles trajectoires de « mise en valeur » marchande
d’aménités touristiques à caractère environnemental ou « patrimonial »..
Cette interrogation s’impose particulièrement dans le cas du développement du tourisme
saharien sur lequel seront focalisés les travaux de notre colloque. En effet, par ses
caractéristiques de distance culturelle, économique, identitaire et sociale entre touristes et
autochtones, le tourisme saharien apparaît particulièrement représentatif des risques induits
par ce tourisme des méridiens géographiques opposé au tourisme des parallèles. Au-delà
des espaces sahariens, et afin de mieux comprendre les dynamiques en cours, une
approche comparative permettra d’intégrer dans nos débats les connaissances acquises
dans l’analyse plus générale de la mise en tourisme des zones fragiles, sensibles ou
protégées, arides ou non, en différents endroits de la planète. C’est donc sur les questions
posées par la mise en tourisme de ces deux ensembles : zones sahariennes d’une
part et zones fragiles, sensibles ou protégées d’autre part, que devront porter les
communications proposées.
Ce colloque, co-organisé par l’UMR 063 C3ED de l’IRD et de l’Université de Versailles SaintQuentin en Yvelines (UVSQ) d’une part, l’Université de Sousse et l’UR Tourisme et
Développement de la Faculté de Droit et des Sciences Economiques et Politiques de Sousse
d’autre part (FDSEPS), se déroulera à Tozeur (Tunisie) du 9 au 11 novembre 2007. Outre le
débat scientifique, dont les résultats seront publiés dans différents médias (revues
scientifiques, ouvrage), il a également pour objectif de jeter les bases d’un réseau
international de chercheurs sur le tourisme saharien.
Les communications seront proposées en français ou en anglais et envoyées par mail à
l’adresse : [email protected] accompagnées du formulaire d’inscription joint en annexe.
La langue de travail sera le français. Le calendrier retenu pour les propositions de
communications est le suivant :
1e avril 2007
1e mai
15 septembre
Date limite de réception des propositions de communication : 1 page
maximum en Times New Roman 12, interligne simple
Communication aux auteurs de l’avis du Comité Scientifique
Remise des communications : 20 pages maximum en Times New
Roman 12, interligne simple
Site Web : http://www.c3ed.uvsq.fr/tozeur2007
Mail : [email protected]
Téléphone France : +33 1 39 25 53 00
Téléphone Tunisie : +216 73 23 27 69
Organisation du colloque
-
Président du colloque : Jamel Dimassi (Doyen de la FDSEPS)
Coordinateurs : Jean-Paul Minvielle (C3ED/FDSEPS), Mounir Smida (FDSEPS)
Comité d’honneur
En cours de constitution
Comité d’organisation (au 05/02/2007)
Coll Isabelle (C3ED)
Cornet Antoine (Représentant de l’IRD en Tunisie)
Hathroubi Salem (FDSEPS)
Houas Ilhem (FDSEPS)
Majdoub Wided (FDSEPS)
Mathlouti Sami (Directeur de Croisière Jaune Tunisie)
Minvielle Jean-Paul (C3ED/FDSEPS)
Sghaïer Wahid (CRTK)
Smida Mounir (FDSEPS)
Tsang King Sang Jessy (C3ED)
Comité scientifique (au 05/02/2007)
Aït Hamza Mohamed (Université Mohamed V, Rabat, Maroc)
Dalari Fiorella (Université de Bologne, Italie)
Ellouze Abderazak (Directeur UR TED, FDSEPS)
Faldini Luisa (Université de Gènes, Italie)
Froget Géraldine (C3ED)
Grellet Gérard (Université de Paris I)
Hathroubi Salem (FDSEPS)
Kassah Abdelfettah (Université de Sfax)
Majdoub Wided (FDSEPS)
Minvielle Jean-Paul (C3ED/FDSEPS)
Popp Herbert (Université de Bayreuth, Allemagne)
Quensière Jacques (Directeur UMR 063 C3ED)
Requier-Desjardins Denis (Responsable TRDD, C3ED)
Smida Mounir (FDSEPS)
Tsang King Sang Jessy (C3ED)
Vanneph Alain (C3ED)
PROBLEMATIQUE
Le but de la rencontre est de faire émerger les problématiques qui se posent dans le cadre
de la mise en tourisme des espaces sahariens et des zones fragiles, sensibles ou protégées,
et d’en identifier les convergences et divergences. Cette approche comparative devrait nous
permettre d’identifier l’utilité de la création d’un réseau international de chercheurs travaillant
sur ces thèmes. Il ne saurait donc être question de définir, a priori, des thématiques
restrictives. Cependant à titre d’orientation, quelques pistes de réflexion peuvent être
avancées qui concernent principalement les espaces sahariens.
Se pose tout d’abord la question de la spécificité du tourisme dans les zones concernées.
S’agissant du Sahara, elle pourrait être déclinée sous la forme « Tourisme au Sahara » vs
« Tourisme saharien ». A l’heure actuelle, en Tunisie par exemple, le tourisme au Sahara
s’effectue principalement sur la base de prestations génériques identiques à celles du
modèle balnéaire : grands hôtels climatisés avec piscines et, nouvellement à Tozeur, golf,
activités récréatives (quad, équitation), excursions en 4x4 et dromadaires. Parallèlement, se
développent, essentiellement du fait de petits tours-opérateurs, des produits de niche plus
ciblés vers l’ « aventure » (« raids » en 4x4, quad ou dromadaires), le sport (randonnées
pédestres, cyclistes ou équestres), le ressourcement ou l’incentive d’entreprise. Ces formes
alternatives de tourisme ne peuvent être, par essence, que limitées puisque les actifs
spécifiques sur lesquels elles reposent peuvent être assez vite mis en danger par une
augmentation du nombre de touristes au-delà de la capacité de charge liée à ce type de
tourisme.
Sur le plan environnemental, la mise en tourisme peut avoir, en même temps, des effets
négatifs et positifs. Pour ce qui concerne la gestion de l’eau par exemple, on sait que les
oasis du sud-tunisien, outre les nappes phréatiques, recourent également aux nappes
fossiles du SASS (Système Aquifère du Sahara Septentrional). D’un point de vue théorique,
ce seul recours interdirait de parler de développement durable dans la mesure où ces
dernières ne constituent pas des ressources renouvelables. Leur utilisation constitue donc
un prélèvement net et oblitère d’autant la capacité des générations futures à répondre à un
besoin vital. D’après les projections effectuées par les hydrogéologues, même en restant
dans les systèmes productifs oasiens traditionnels (palmiers dattiers et cultures « sousétage » fruitières et maraîchères, arboriculture, élevage, etc.), l’exploitation des nappes
fossiles au rythme actuel ne permettra pas le maintien de l’activité au-delà du milieu du
siècle. Le développement d’un tourisme de masse fortement consommateur d’eau (zones
hôtelières de Douz ou Tozeur par exemple) avec des équipements pas toujours adaptés à
l’environnement (piscines, golfs) est susceptible d’accélérer ce processus1. A l’inverse, le
développement d’un tourisme naturel et patrimonial peut permettre, en leur accordant une
nouvelle valeur « marchande », une protection de la biodiversité, des systèmes de
production traditionnels et de la qualité des paysages. Les oasis en particulier constituent de
véritables réservoirs génétiques dans la mesure où les espèces qui y sont cultivées
proviennent souvent de souches spécifiques, anciennes et adaptées qui ont évolué sans
influences extérieures et où elles constituent des réserves animales ainsi que des étapes
pour les oiseaux migrateurs. La valorisation par le tourisme de ces spécificités pourrait avoir
des effets bénéfiques sur la préservation de ce patrimoine. Si certains paysages peuvent
être ainsi protégés, voire valorisés (meilleure gestion des ordures ménagères par exemple)
l’introduction du tourisme peut également entraîner des dégradations importantes
accentuées par la contrainte commerciale d’une consommation « confortable » du Sahara
qui conduit à surexploiter les zones proches des hôtels à quatre ou cinq étoiles. Le résultat
est parfois préoccupant. A Douz par exemple, la « grande » dune d’Ofra située à proximité
1
De 1987 à 2003, la capacité hôtelière des oasis du sud-tunisien a triplé, passant de
3.300 à 10.300 lits, principalement dans les oasis de Tozeur, Nefta et Douz.
de la zone touristique, surpiétinée, n’est plus qu’un mamelon de sable durci par le passage
journalier des piétons, dromadaires, 4x4, motos et quads. Les dunes de Laariguet à une
vingtaine de km au nord de Nefta, connues pour avoir été le lieu de tournage du film
Starwars, ne sont plus qu’un champ labouré, surencombré de véhicules à certaines heures
de la journée. Plus au sud la petite oasis de Ksar Ghilane est vouée à la banalisation en
2007 avec l’ouverture d’une nouvelle route goudronnée, souhaitée par certains toursopérateurs afin de ménager leurs véhicules et d’en augmenter la fréquentation touristique de
masse, qui détruira par là même ce qui en faisait la spécificité et l’originalité. Hormis le lieu
où il se déroule, ce tourisme au Sahara ne ressemble en rien à ce que l’on pourrait imaginer
être un véritable tourisme saharien.
Sur le plan économique, l’évolution climatique et la raréfaction des ressources (eau en
particulier), combinées aux pressions sur les activités agricoles (impératifs d’adéquation à
l’évolution des débouchés marchands), conduisent à une fragilisation des systèmes
économiques oasiens traditionnels, à une augmentation de la pauvreté et de la vulnérabilité
et à des mouvements de populations. Face à ces difficultés, le développement du tourisme
pourrait apparaître comme une réponse adaptée. Il peut cependant revêtir des formes
tellement différenciées qu’une appréciation unique ne peut être avancée. Le tourisme de
masse, susceptible de générer le plus de valeur ajoutée, accapare des ressources rares au
détriment d’autres activités, et n’est donc pas forcément le mieux adapté en termes de
contribution au développement local. De plus, l’expérience montre que seule une très faible
partie de la valeur ainsi créée profite aux populations locales. En effet, dans le sud tunisien
par exemple, on constate que les plus grands hôtels appartiennent à des promoteurs du
littoral ou à des sociétés à forte participation bancaire et étrangère et que leur
approvisionnement s'effectue principalement à partir de Tunis et des grandes villes littorales :
Sfax, Sousse et Gabès. Concernant les emplois directs créés, l’impact est à première vue
positif : la seule zone touristique de Douz par exemple emploie 400 chameliers et 800
personnes dans l’hôtellerie. De tels effectifs ne doivent cependant pas faire illusion. En effet,
la structuration de la filière et les relations de pouvoir qui y opèrent sont telles que la majorité
de la valeur ajoutée est captée par les intermédiaires. Ainsi, qu’il s’agisse des chameliers ou
des conducteurs de calèche, les recherches de terrain montrent qu’en moyenne 70 % du
coût de la prestation est prélevé par des intermédiaires, interdisant ainsi à ces opérateurs
locaux de fournir une qualité de service correspondant à l’argent déboursé par les touristes.
Ces prélèvements, bien que variables, se retrouvent dans toutes les activités liées au
tourisme : boutiques d’artisanat, restaurants, cafés, etc. Pour ce qui concerne les emplois
salariés créés, ils sont le plus souvent précaires, saisonniers et mal rémunérés. L’impact
économique réel au niveau local est donc considérablement inférieur à celui que l’on pourrait
estimer à partir des dépenses des touristes. Se trouve ainsi posée la question de l’intégration
des activités touristiques dans les systèmes locaux d’activités et les formes de relation des
acteurs de ces territoires impliqués dans l’activité touristique avec les filières touristiques au
plan national et international.
Sur le plan culturel et social les populations vivant dans les zones sahariennes, et
particulièrement dans les oasis, ont bâti des systèmes anthropiques spécifiques. Etablis
dans un environnement « hostile », ces systèmes sont en effet de bons exemples d’un
développement durable construit en harmonie avec une nature extrêmement contraignante.
Cette construction repose sur des cultures, des identités et des relations sociales fortes,
établies au fil des siècles. Ces éléments constituent des « aménités patrimoniales » qui
viennent s’articuler aux aménités environnementales pour constituer la base de l’attraction
touristique. Le tourisme saharien s’y intéresse donc, mais de manière différente suivant son
modus operandi. Pour la masse des excursionnistes (les visiteurs à la journée venus de gros
centres balnéaires côtiers) la rentabilité conduit à une consommation culturelle rapide et
superficielle. Il existe alors un fort risque de folklorisation des cultures locales dans des
représentations marchandes souvent dévoyées. Pour les touristes venus chercher plus
d’authenticité, certains tours opérateurs proposent des contacts plus personnalisés chez
l’habitant au sein de villages ou de campements. Malgré une volonté affichée d’éthique et de
bonne pratique, il semble nécessaire de mener des investigations sur l’impact réel de cette
introduction répétée de consommateurs du nord au pouvoir d’achat considérable et à la
culture dominante au sein de communautés fragiles. Dans les deux cas, les risques résultant
de la mise en contact de cultures différentes par le biais de relations qu’il faut bien
considérer comme fondamentalement marchandes et déséquilibrées, quelle qu’en soit leur
forme, demeurent. La mise en tourisme ne peut donc être, de ce point de vue, totalement
neutre, et se pose alors la question de savoir par quelles adaptations ces cultures et ces
identités, qui représentent le véritable patrimoine humain saharien, peuvent y survivre sans
tomber dans les travers de l’acculturation, de l’assujettissement ou de la folklorisation. Par
ailleurs, l’introduction de nouvelles activités peut entraîner un bouleversement des
hiérarchies économiques et sociales, par exemple en détournant la main d’œuvre vers les
services rendus aux activités touristiques au détriment des activités traditionnelles
nécessaires à l’entretien du milieu oasien. On assisterait alors au paradoxe ultime d’oasis
périclitant par manque d’entretien, et donc perdant une grande partie de leur attractivité.
Enfin, dans les centres urbains et villageois, la mise en scène « typique » des lieux
susceptible de répondre à l’attente des touristes présente également des risques de
dérapage vers une authenticité de pacotille telle qu’on la retrouve déjà largement dans l’offre
d’artisanat.
Ces considérations montrent que le tourisme au Sahara pose des questions de recherche
qui ont été abordées dans d’autres configurations.
- Le risque d’une forme de « tragédie des communs » : l’activité touristique s’appuie
sur ’un certain nombre de biens communs, de nature environnementale ou
patrimoniale, ce qui a notamment conduit à la définition des « tourism commons ». Or
ce risque peut être renforcé par le jeu même des activités liées au tourisme. La
question des formes de propriété et d’accès à ces « tourism commons » est cruciale
du point de vue de la gestion de ce risque.
- Les formes de qualification des territoires oasiens liées à l’activité touristique : les
activités touristiques contribuent, conjointement avec d’autres activités, à la
production d’une « caractéristique de qualité territoriale », dans la mesure où les
biens et services touristiques vont s’intégrer dans un « panier de biens », qui
comprendra aussi un certain nombre de biens communs et d’autres biens privés,
comme par exemple des produits agroalimentaires de terroir, qui participeront de ce
processus de qualification. Cette caractéristique constitue un actif spécifique dont
peuvent bénéficier l’ensemble des activités concernées. Toutefois la contribution de
cette caractéristique de qualité à la génération de revenus pour les acteurs locaux
dépend largement de la structuration des activités touristiques et des formes de la
constitution du panier (panier à proprement parler ou « bundle » composé par les
« tour operators »)..
- Ces considérations débouchent sur une interrogation sur l’impact des revenus
générés par les activités touristiques valorisant les actifs environnementaux ou
patrimoniaux dans les zones concernées : sont-ils comparables à ceux obtenus par
des activités, éventuellement touristiques elles aussi, contribuant à la destruction de
ces actifs. Ce débat a notamment déjà été posé dans le cadre du transfert de gestion
aux populations locales dans les aires protégées et pourrait être étendu au cas des
oasis.
- Cela conduit à envisager le rôle du tourisme saharien dans le développement local
des zones concernées et à poser la question du rapport entre développement local et
stratégie nationale de développement.
Ces interrogations d’ordre théorique devraient notamment structurer les débats sur la
contribution du tourisme oasien et la dimension comparative avec d’autres cas de zones
fragiles.
Colloque International
Tourisme saharien et développement durable
Enjeux et approches comparatives
Tozeur (Tunisie)
9 au 11 novembre 2007
P
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poossiittiioon
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NOM : ……………………………………… Prénom : ………………………………………….
Etablissement : ……………………………Discipline : ……………………………………….
‰ Chercheur
‰ Etudiant
‰ Décideur
‰ ONG
‰ Autre (Précisez) : …………………………………………………………………………….
Adresse personnelle : …………………………………………………………………………..
……………………………………………………………………………………………………..
Tel : …………………………………………. Fax : …………………………………………….
E-mail : ……………………………………………………………………………………………
Adresse professionnelle : ………………………………………………………………………
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Tel : …………………………………………. Fax : …………………………………………….
E-mail : ……………………………………………………………………………………………
‰ Je souhaite présenter une communication :
TITRE : ……………………………………………………………………………………………..
Mots-clés : ………………………………………………………………………………………….
Joindre un résumé d’une page maximum en Times New Roman 12, interligne simple.
‰ Je souhaite assister au colloque (sans proposer de communication écrite) et recevoir le
programme définitif.
Fiche à retourner (de préférence par mail) avant le 1er avril 2007 à l’adresse suivante :
[email protected]
ou par courrier :
Colloque Tozeur - C3ED
Université de Versailles Saint Quentin en Yvelines (UVSQ)
47 Bd Vauban – 78047 Guyancourt Cedex, France
Fax : 00.33.1.39.25.53.00 / Téléphone : 00.33.1.39.25.56.04