JUIN 2010 - Préfecture d`Eure-et-Loir

Transcription

JUIN 2010 - Préfecture d`Eure-et-Loir
PRÉFECTURE D’EURE-ET-LOIR
RECUEIL DES ACTES ADMINISTRATIFS DE LA
PREFECTURE D'EURE-ET-LOIR
Bulletin d'information
JUIN 2010
Les actes administratifs présentés dans ce recueil sous forme d’extraits sont consultables dans leur intégralité
dans les services les ayant émis.
Un exemplaire du recueil est disponible à l’accueil de la préfecture et des sous-préfectures du département.
Les extraits de ce recueil font aussi l’objet d’une mise en ligne sur le site Internet de la Préfecture d’Eure-et-Loir
( http://www.eure-et-loir.pref.gouv.fr - Rubrique Information Publications )
PREFECTURE D'EURE ET LOIR - PLACE DE LA RÉPUBLIQUE - 28019 CHARTRES CEDEX TEL 02 37 27 72 00
Sommaire
JUIN 2010
1. Agence Régionale d'Hospitalisation......................................................................................................................8
1.1. 24/12/2009-09-T2A-28-04C-arrêté modifiant les dotations et les forfaits annuels du centre hospitalier de
Nogent-le-Rotrou pour l'exercice 2009 (DM3) ( Médico-social ).......................................................................8
2. ARS du Centre......................................................................................................................................................8
2.1. 15/04/2010-10-VAL-28-03B-arrêté fixant le montant des recettes d'assurance maladie dues au titre de la
part tarifée à l'activité au mois de février 2010 du centre hospitalier de Châteaudun ( Médico-social ).............8
2.2. 15/04/2010-10-VAL-28-01B-arrêté fixant le montant des recettes d'assurance maladie dues au titre de la
part tarifée à l'activité au mois de février 2010 du centre hospitalier "Louis Pasteur" de Chartres ( Médicosocial )..................................................................................................................................................................9
2.3. 15/04/2010-10-VAL-28-04B-arrêté fixant le montant des recettes d'assurance maladie dues au titre de la
part tarifée à l'activité au mois de février 2010 du centre hospitalier de Nogent-le-Rotrou ( Médico-social )....9
2.4. 15/04/2010-10-VAL-28-02C-arrêté fixant le montant des recettes d'assurance maladie dues au titre de la
part tarifée à l'activité au mois de mars 2010 du centre hospitalier "Victor Jousselin" de Dreux ( Médico-social
)..............................................................................................................................................................................9
2.5. 18/05/2010-10-VAL-28-03C-arrêté fixant le montant des recettes d'assurance maladie dues au titre de la
part tarifée à l'activité au mois de mars 2010 du centre hospitalier de Châteaudun ( Médico-social )..............10
2.6. 18/05/2010-10-VAL-28-02B-arrêté fixant le montant des recettes d'assurance maladie dues au titre de la
part tarifée à l'activité au mois de février 2010 du centre hospitalier général "victor Jousselin" de Dreux
( Médico-social )................................................................................................................................................10
2.7. 18/05/2010-10-VAL-28-04C-arrêté fixant le montant des recettes d'assurance maladie dues au titre de la
part tarifée à l'activité au mois de mars 2010 du centre hospitalier de Nogent-le-Rotrou ( Médico-social ).....10
2.8. 18/05/2010-10-VAL-28-01C-arrêté fixant le montant des recettes d'assurance maladie dues au titre de la
part tarifée à l'activité au mois de mars 2010 du centre hospitalier "Louis Pasteur" de Chartres ( Médico-social
)............................................................................................................................................................................11
2.9. 02/06/2010-10-OSMS-CSU-n° 28-0002A-Arrêté fixant la composition nominative du conseil de
surveillance du centre hospitalier de Dreux dans le département d'Eure-et-Loir (Santé ).................................11
2.10. 02/06/2010-10-OSMS-CSU-n° 28-0004-Arrêté fixant la composition nominative du conseil de
surveillance du centre hospitalier de Châteaudun dans le département d'Eure-et-Loir
( Santé ).............................................................................................................................................................12
2.11. 02/06/2010-10-OSMS-CSU-n° 28-0003-Arrêté fixant la composition nominative du conseil de
surveillance du centre hospitalier de Bonneval dans le département d'Eure-et-Loir
( Santé ).............................................................................................................................................................12
2.12. 02/06/2010-10-OSMS--CSU-n° 28-0002-Arrêté fixant le nombre de membres du conseil de surveillance
du centre hospitalier de Dreux dans le département d'Eure-et-Loir
( Santé ).............................................................................................................................................................13
2.13. 02/06/2010-10-OSMS-CSU-n° 28-0001-Arrêté fixant le nombre de membres du conseil de surveillance
du centre hospitalier de Chartres dans le département d'Eure-et-Loir (Santé)...................................................13
2.14. 02/06/2010-10-OSMS-CSU-n° 28-0001A-Arrêté fixant la composition nominative du conseil de
surveillance du centre hospitalier de Chartres dans le département d'Eure-et-Loir
(Santé)................................................................................................................................................................14
2.15. 02/06/2010-10-OSMS-CSU-n° 28-0007-Arrêté fixant la composition nominative du conseil de
surveillance du centre hospitalier de Nogent le Rotrou dans le département d'Eure-et-Loir (Santé).................14
2.16. 03/06/2010-10-OSMS-CSU-n° 28-0008-Arrêté fixant la composition nominative du conseil de
surveillance du centre hospitalier de La Loupe dans le département d'Eure-et-Loir
( Santé ).............................................................................................................................................................15
2.17. 17/06/2010-10-OSMS-VAL-28-01D-arrêté fixant le montant des recettes d'Assurance Maladie dues au
titre de la part tarifée à l'activité au mois d'avril du centre hospitalier "Louis Pasteur" de Chartres ( Médicosocial )................................................................................................................................................................16
2.18. 17/06/2010-10-OSMS-VAL-28-02D-arrêté fixant le montant des recettes d'assurance maladie dues au
titre de la part tarifée à l'activité au mois d'avril du centre hospitalier général "Victor Jousselin" de Dreux
( Médico-social )................................................................................................................................................16
2.19. 17/06/2010-10-OSMS-VAL-28-03D-arrêté fixant le montant des recettes d'assurance maladie dues au
titre de la part tarifée à l'activité au mois d'avril du centre hospitalier de Châteaudun ( Médico-social ).........16
2.20. 17/06/2010-10-OSMS-VAL-28-04D-arrêté fixant le montant des recettes d'assurance maladie dues au
titre de la part tarifée à l'activité au mois d'avril du centre hospitalier de Nogent-le-Rotrou ( Médico-social ) 17
2.21. 22/06/2010-2010-0521-arrêté portant mainlevée de l'arrêté préfectoral n° 1028 du 12 juillet 2000
déclarant insalubre remédiable l'immeuble situé 2 passage des buttes à DREUX, appartenant à la SCI "LES
MIIMOSAS". (article L. 1331-28-3 du code de la santé publique) ( Santé ).....................................................17
3. DDCSPP..............................................................................................................................................................18
3.1. 03/06/2010-2010-0460-Arrêté fixant la composition nominative du Conseil Départemental Consultatif des
Personnes Handicapées (CDCPH) d'Eure-et-Loir ( Médico-social ).................................................................18
3.2. 03/06/2010-2010-0458-Arrêté nommant un agent comptable du GIP "MDPH d'Eure-et-Loir"
( Réglementation générale )...............................................................................................................................21
3.3. 10/06/2010-2010-0480-ARRETE MODIFICATIF RELATIF A L'ARRETE N°2010-0325 DU 8 AVRIL
2010 PORTANT AGREMENT DE MONSIEUR BRUNO LENOIR POUR EXERCER A TITRE
INDIVIDUEL LES FONCTIONS DE MANDATAIRE JUDICIAIRE A LA PROTECTION DES MAJEURS
( Tourisme )........................................................................................................................................................21
3.4. 22/06/2010--Subdélégation de signature de la Direction départementale de la cohésion sociale et de la
protection des populations ( Délégation de signature générale )........................................................................22
3.5. 22/06/2010--Subdélégation de signature en matiére financière au sein de la direction départementale de la
cohésion sociale et de la protection des populations ( Délégation de signature en matière financière )...........28
3.6. 29/06/2010-2010-0535-Arrêté portant extention de la capacité du centre d'accueil pour demandeur d'asile
de Chateaudun géré par le Comité d'Accueil pour les Travailleurs en Eure et Loir ( Hébergement logement )
.............................................................................................................................................................................29
4. DT........................................................................................................................................................................30
4.1. 04/06/2010-2010-0459-relatif à la composition et au fonctionnement de la sous-commission
départementale pour l'accessibilité des personnes handicapées ( Sécurité ( ERP et plans de secours) )...........30
4.2. 07/06/2010-2010-0465-Portant prescriptions particulières complémentaires pour l¿exploitation des
ouvrages prélevant de l¿eau et fixation pour l¿année 2010 du volume prélevable par chaque agriculteur dans le
complexe aquifère de BEAUCE aux fins d¿irrigation ( Environnement ).........................................................33
4.3. 08/06/2010-2010-0466-renouvellement d'agrément d'un établissement de la conduite des véhicules
terrestres à moteur "ECOLE DE CONDUITE CENTRALE", sis 16, Place de l'Etoile à NOGENT LE ROI
( Circulation routière )........................................................................................................................................35
4.4. 22/06/2010-2010-0468-Agrément de personne pour formation spécifique des conducteurs, en vue de la
reconstitution partielle du nombre de points initial de leur permis de conduire ( Circulation routière )...........36
4.5. 23/06/2010-2010-0510-Agrément d'un établissement de la conduite des véhicules terrestres à moteur,
"AUTO-ECOLE LUISANTAISE" sis 2, Rue de la République à LUCE (Circulation routière)......................37
4.6. 24/06/2010-2010-0532-Arrêté préfectoral relatif à la chasse du sanglier du 1er juin au 14 août 2010
(Environnement)..................................................................................................................................................38
4.7. 30/06/2010-2010-0536-De mesures de limitation progressive des usages de l’eau sur les rivières
( Environnement )...............................................................................................................................................39
4.8. 30/06/2010-2010-0558-Convention de transfert du Parc de l'Equipement au Conseil Général d'Eure-etLoir ( Collectivités locales ( sauf interco.) ).......................................................................................................41
5. DDTEFP..............................................................................................................................................................44
5.1. 03/06/2010-2010-0445-Portant agrément simple d'un organisme de services à la personne - "POTTIER
ISABELLE" - (Emploi).......................................................................................................................................44
5.2. 03/06/2010-2010-0442-Portant agrément simple d'un organisme de services à la personne - "VALLEE
DU LOIR SERVICES" - ( Emploi )...................................................................................................................45
5.3. 03/06/2010-2010-0444-Portant agrément simple d'un organisme de services à la personne - "DEBLANC
ISABELLE" - (Emploi).......................................................................................................................................46
5.4. 03/06/2010-2010-0443-Portant agrément simple d'un organisme de services à la personne - "LENGLART
CLAUDIE" - (Emploi )......................................................................................................................................47
5.5. 24/06/2010-2010-0519-Portant agrément qualité d'un organisme de services à la personne - "LE GOUT
DE VIVRE" - ( Emploi )....................................................................................................................................48
5.6. 24/06/2010-2010-0522-Portant agrément simple d'un organisme de services à la personne - "LOGIQUE
INFORMATIQUE" - ( Emploi ).....................................................................................................................49
5.7. 24/06/2010-2010-0518-Portant agrément qualité d'un organisme de services à la personne "HARMONIA 28" - (Emploi)............................................................................................................................50
5.8. 24/06/2010-2010-0515-Portant agrément simple d'un organisme de services à la personne - "LENGLART
SYLVAIN" - ( Emploi ).....................................................................................................................................51
5.9. 28/06/2010-2010-0511-arrêté portant fixation de la répartition des crédits d'Aide Personnalisée de Retour
à l'Emploi (Emploi).............................................................................................................................................52
5.10. 29/06/2010-2010-0529-ARRETE MODIFIANT L'ARRETE N° 2009-0925 PORTANT AGREMENT
SIMPLE D'UN ORGANISME DE SERVICES A LA PERSONNE DU 4 NOVEMBRE 2009 - Association
"COUD'POUCE" - ( Emploi )............................................................................................................................53
6. Délégation territorial d'Eure-et-Loir de l'ARS du Centre....................................................................................54
6.1. 18/12/2009-2009-1085-arrêté préfectoral modifiant le forfait global annuel de soins de la maison de
retraite du centre hospitalier de Châteaudun pour l'exercice 2009 ( Médico-social )........................................54
7. Ministère de l'Intérieur........................................................................................................................................55
7.1. 03/06/2010-N° 04/2010 -DECISION N° 04/2010 portant délégation de signature à
Monsieur Richard LAINET, Premier Surveillant ( Divers )..............................................................................55
7.2. 03/06/2010-N° 07/2010 -DECISION N° 07/2010 portant délégation de signature à
Monsieur Olivier DIOT, Premier Surveillant ( Divers )....................................................................................55
7.3. 03/06/2010-N° 03/2010 -DECISION N° 03/2010 portant délégation de signature àMadame Aurélie
PASCAL, Chef de Détention ( Divers ).............................................................................................................56
7.4. 03/06/2010-N° 06/2010 -DECISION N° 06/2010 portant délégation de signature à Monsieur Olivier
DELBENDE, Premier Surveillant ( Divers ).....................................................................................................58
7.5. 03/06/2010-N° 02/2010 -DECISION N° 02/2010 portant délégation de signature à (Divers ).................58
7.6. 03/06/2010-N° 05/2010 -DECISION N° 05/2010 portant délégation de signature à
Monsieur Patrick CUNY, Premier Surveillant ( Divers )..................................................................................61
8. Préfecture 28 ......................................................................................................................................................61
8.1. 17/05/2010-2010-0527-Etat des risques naturels et technologiques majeurs de biens immobiliers situés sur
la commune d'aunay sous crécy ( Divers ).........................................................................................................61
8.2. 18/05/2010-2010-0509-arrêté prefectoral relatif à l'information des citoyens sur les risques naturels et
technologiques majeurs ( Divers )......................................................................................................................62
8.3. 03/06/2010-2010-0455-classement du meublé de tourisme de M. et Mme LAVIER 4 La Leu - 28160
FRAZE dans la catégorie 3 étoiles ( Réglementation générale ).......................................................................62
8.4. 03/06/2010-2010-0456-arrêté préfectoral d'agrément relatif à la collecte des pneumatiques usagés (cas du
ramassage seul)
Société SEVIA située à CRUCEY-VILLAGES ( Environnement )..................................................................63
8.5. 03/06/2010-2010-0464-classement du meublé de tourisme de Mme Marie-José DUFET, 31 rue de
Reverdy - 28000 CHARTRES dans la catégorie 2 étoiles ( Réglementation générale )...................................64
8.6. 03/06/2010-06-2010-Décision portant délégation de signature à Monsieur Olivier DELBENDE
(Délégation de signature générale)......................................................................................................................64
8.7. 03/06/2010-2010-0463-Refus d'autorisation d'exercer des activités de surveillance et de gardiennage à
l'entreprise "REEL SECURITE PRIVER" située à Dreux ( Réglementation générale )...................................65
8.8. 03/06/2010-05-2010-Décision portant délégation de signature à Monsieur Patrick CUNY ( Délégation de
signature générale )............................................................................................................................................65
8.9. 03/06/2010-02-2010-Décision portant délégation de signature à Monsieur Olivier MANGEOT
(Délégation de signature générale)......................................................................................................................66
8.10. 03/06/2010-04-2010-Décision portant délégation de signature à Monsieur Richard LAINET ( Délégation
de signature générale )........................................................................................................................................68
8.11. 03/06/2010-03-2010-Décision portant délégation de signature à Madame Aurélie PASCAL (Délégation
de signature générale)..........................................................................................................................................68
8.12. 03/06/2010-07-2010-Décision portant délégation de signature à Monsieur Olivier DIOT ( Délégation de
signature générale )............................................................................................................................................70
8.13. 07/06/2010-2010-0472-VIDEOSURVEILLANCE: arrêté portant autorisation d'un système de
vidéosurveillance. (Réglementation générale)...................................................................................................71
8.14. 07/06/2010-2010-0481-VIDEOSURVEILLANCE: arrêté portant autorisation d'un système de
vidéosurveillance. (Réglementation générale )..................................................................................................72
8.15. 07/06/2010-2010-0476-VIDEOSURVEILLANCE: arrêté portant autorisation d'un système de
vidéosurveillance. (Réglementation générale)....................................................................................................73
8.16. 07/06/2010-2010-0475-VIDEOSURVEILLANCE: arrêté portant autorisation d'un système de
vidéosurveillance. (Réglementation générale)...................................................................................................74
8.17. 07/06/2010-2010-0469-VIDEOSURVEILLANCE: arrêté portant autorisation d'un système de
vidéosurveillance( (Réglementation générale)....................................................................................................76
8.18. 07/06/2010-2010-0477-VIDEOSURVEILLANCE: arrêté portant autorisation d'un système de
vidéosurveillance. (Réglementation générale)...................................................................................................77
8.19. 07/06/2010-2010-0478-VIDEOSURVEILLANCE: arrêté portant autorisation d'un système de
vidéosurveillance. (Réglementation générale)...................................................................................................78
8.20. 07/06/2010-2010-0479-VIDEOSURVEILLANCE: arrêté portant autorisation d'un système de
vidéosurveillance. (Réglementation générale)....................................................................................................79
8.21. 07/06/2010-2010-0482-VIDEOSURVEILLANCE: arrêté portant autorisation d'un système de
vidéosurveillance (Réglementation générale ).................................................................................................81
8.22. 07/06/2010-2010-0473-VIDEOSURVEILLANCE: arrêté portant autorisation d'un système de
vidéosurveillance. (Réglementation générale ).................................................................................................82
8.23. 07/06/2010-2010-0520-classement du meublé de tourisme de M. LIonel FRANCOIS, 18 route nationale
"Bois de Feugères" - 28800 BOUVILLE dans la catégorie 2 étoiles (Réglementation générale )...................83
8.24. 07/06/2010-2010-0470-VIDEOSURVEILLANCE: arrêté portant autorisation d'un système de
vidéosurveillance (Réglementation générale)....................................................................................................84
8.25. 07/06/2010-2010-0566-appellation de la caserne de la brigade de gendarmerie d'Auneau (Divers)........85
8.26. 07/06/2010-2010-0435-appellation « caserne Adjudant Maurice LEFEVRE »à la caserne de la brigade
de gendarmerie de Thivars (Divers)...................................................................................................................85
8.27. 07/06/2010-2010-0474-VIDEOSURVEILLANCE: arrêté portant autorisation d'un système de
vidéosurveillance.( (Réglementation générale)...................................................................................................85
8.28. 08/06/2010-2010-0453-VIDEOSURVEILLANCE: arrêté portant autorisation d'un système de
vidéosurveillance (Réglementation générale ).................................................................................................87
8.29. 08/06/2010-2010-0489-VIDEOSURVEILLANCE: arrêté portant autorisation d'un système de
vidéosurveillance (Réglementation générale)...................................................................................................88
8.30. 08/06/2010-2010-0488-VIDEOSURVEILLANCE: arrêté portant autorisation d'un système de
vidéosurveillance (Réglementation générale ).................................................................................................89
8.31. 08/06/2010-2010-0487-VIDEOSURVEILLANCE: arrêté portant autorisation d'un système de
vidéosurveillance (Réglementation générale)...................................................................................................91
8.32. 08/06/2010-2010-0484-VIDEOSURVEILLANCE: arrêté portant autorisation d'un système de
vidéosurveillance( (Réglementation générale )..................................................................................................92
8.33. 08/06/2010-2010-0483-VIDEOSURVEILLANCE: arrêté portant autorisation d'un système de
vidéosurveillance (Réglementation générale )..................................................................................................93
8.34. 08/06/2010-2010-0485-VIDEOSURVEILLANCE: arrêté portant autorisation d'un système de
vidéosurveillance (Réglementation générale ).................................................................................................95
8.35. 08/06/2010-2010-0486-VIDEOSURVEILLANCE: arrêté portant autorisation d'un système de
vidéosurveillance ( (Réglementation générale)...................................................................................................96
8.36. 10/06/2010-2010-0471-Arrêté portant modification des statuts du syndicat intercommunal multiservices
d'assainissement de Bû et Rouvres - Retrait des communes de Oulins et La Chaussée d'Ivry et adhésion du
syndicat intercommunal de la Vesgre Aval pour la compétence "études et traitement des boues"
( Intercommunalité )...........................................................................................................................................97
8.37. 14/06/2010-2010-0500-VIDEOSURVEILLANCE: arrêté portant autorisation d'un système de
vidéosurveillance (Banque CIC). ( Réglementation générale)............................................................................98
8.38. 14/06/2010-2010-0495-VIDEOSURVEILLANCE: arrêté portant autorisation d'un système de
vidéosurveillance (Banque CIC). (Réglementation générale)............................................................................99
8.39. 14/06/2010-2010-0497-VIDEOSURVEILLANCE: arrêté portant autorisation d'un système de
vidéosurveillance (Banque CIC). (Réglementation générale)...........................................................................101
8.40. 14/06/2010-2010-0490-Arrêté portant nouvelle répartition des sièges entre les communes membres et
modification des statuts de Dreux Agglomération ( Intercommunalité ).........................................................102
8.41. 14/06/2010-2010-0501-VIDEOSURVEILLANCE: arrêté portant autorisation d'un système de
vidéosurveillance (Banque CIC). ( Réglementation générale )........................................................................103
8.42. 14/06/2010-2010-0503-VIDEOSURVEILLANCE: arrêté portant autorisation d'un système de
vidéosurveillance (Banque CIC). ( Réglementation générale )........................................................................104
8.43. 14/06/2010-2010-0498-VIDEOSURVEILLANCE: arrêté portant autorisation d'un système de
vidéosurveillance (Banque CIC). (Réglementation générale)...........................................................................105
8.44. 14/06/2010-2010-0505-VIDEOSURVEILLANCE: arrêté portant autorisation d'un système de
vidéosurveillance (Banque CIC). (Réglementation générale)...........................................................................107
8.45. 14/06/2010-2010-0504-VIDEOSURVEILLANCE: arrêté portant autorisation d'un système de
vidéosurveillance (Banque CIC). (Réglementation générale)...........................................................................108
8.46. 14/06/2010-2010-0496-VIDEOSURVEILLANCE: arrêté portant autorisation d'un système de
vidéosurveillance (Banque CIC). (Réglementation générale)...........................................................................109
8.47. 14/06/2010-2010-0499-VIDEOSURVEILLANCE: arrêté portant autorisation d'un système de
vidéosurveillance (Banque CIC). (Réglementation générale)...........................................................................110
8.48. 14/06/2010-2010-0502-VIDEOSURVEILLANCE: arrêté portant autorisation d'un système de
vidéosurveillance (Banque CIC). (Réglementation générale)...........................................................................112
8.49. 14/06/2010-2010-0506-VIDEOSURVEILLANCE: arrêté portant autorisation d'un système de
vidéosurveillance (Banque CIC). (Réglementation générale)...........................................................................113
8.50. 15/06/2010-2010-0492-Arrêté portant nomination d'un régisseur d'Etat auprès de la police municipale de
Châteauneuf en THymerais ( Collectivités locales ( sauf interco.) )................................................................114
8.51. 15/06/2010-2010-0493-Arrêté portant modification des statuts du syndicat intercommunal de
regroupement pédagogique de Senantes, Saint-Lucien,Coulombs Lormaye
ajout de la compétence relative au fonctionnement des écoles maternelles et primaires :
- la garderie
- l'étude surveillée ( Intercommunalité )..........................................................................................................115
8.52. 16/06/2010-2010-0494-liste des personnes habilitées à venir assister sur sa demande un salarié lors de
l'entretien préalable à son licenciement ( Emploi )..........................................................................................115
8.53. 17/06/2010-2010-0534-Arrêté fixant la liste des médecins agrées chargés d'établir des avis médicaux
concernant les étrangers malades (Divers)........................................................................................................121
8.54. 18/06/2010-2010-0531-VIDEOSURVEILLANCE: Arrêté portant autorisation d’un systèmede
vidéosurveillance.
( Réglementation générale )............................................................................................................................121
8.55. 18/06/2010-2010-0530-VIDEOSURVEILLANCE: Arrêté portant autorisation d’un système de
vidéosurveillance.
( Réglementation générale )............................................................................................................................123
8.56. 23/06/2010-2010-0524-Arrêté portant modification des statuts du syndicat intercommunal à vocation
multiple des quatre communes - Chataincourt, Escorpain, Laons, Prudemanche - (SICELP) Transfert du siège
social au 2 rue de Bourgneuf - 28270 LAONS ( Intercommunalité )..............................................................124
8.57. 23/06/2010-2010-0526-HABILITATION DANS LE DOMAINE FUNERAIRE NICOLE LAVERGNE
à NEUVY EN BEAUCE (Réglementation générale )....................................................................................124
8.58. 28/06/2010-03-10-Arrêté portant création du PC Circulation de la Zone de Défense et de Sécurité Ouest
(Circulation routière).........................................................................................................................................126
8.59. 28/06/2010-2010-0528-Arrêté portant nomination d'un régisseur intérimaire pour l'encaissement des
amendes de police municipale de la commune de Gallardon ( Collectivités locales ( sauf interco.) )............127
8.60. 28/06/2010-10-10-Arrêté portant délégation de signature de Monsieur Marcel RENOUF, préfet délégué
pour la défense et la sécurité Ouest (Délégation de signature générale)...........................................................127
8.61. 28/06/2010-09-10-Arrêté portant délégation de signature à Monsieur Marcel RENOUF, Préfet délégué
pour la Défense et la Sécurité Ouest (Délégation de signature générale).........................................................128
8.62. 30/06/2010-2010-0533-Arrêté réglementant la police des débits de boissons et autres lieux ouverts au
public dans le département d'Eure-et-Loir (Réglementation générale).............................................................135
1. Agence Régionale d'Hospitalisation
1.1. 24/12/2009-09-T2A-28-04C-arrêté modifiant les dotations et
les forfaits annuels du centre hospitalier de Nogent-le-Rotrou
pour l'exercice 2009 (DM3) ( Médico-social )
Extrait de l'arrêté 09-TA-28-04C du 24 décembre 2009
Article 1er : le montant des ressources d’assurance maladie versées sous forme de dotations et de forfaits annuels
est fixé pour l’année 2009 aux articles 2 à 5 du présent arrêté.
Article 2 : le montant du (ou des) forfait(s) annuel(s) mentionné(s) à l’article L. 162-22-12 du code de la sécurité
sociale est fixé à :
 799 940 € pour le forfait annuel relatif à l’activité d’accueil et de traitement des urgences ;

€ pour le forfait annuel relatif à l’activité de prélèvement d’organe ;

€ pour le forfait annuel greffes.
Article 3 : le montant de la dotation de financement des missions d’intérêt général et d’aide à la
contractualisation mentionnée à l’article L. 162-22-14 du code de la sécurité sociale est fixé à :
1 237 862€
Article 4 : le montant de la dotation annuelle de financement mentionnée à l’article L. 174-1 du code de la
sécurité sociale est fixé à :
1 305 714 €
Article 5 : un recours contre le présent arrêté pourra être introduit devant le tribunal interrégional de la
tarification sanitaire et sociale de Nantes (à l’adresse suivante : DRASS des Pays de Loire, MAN, 6 rue René
Viviani, 44062 NANTES CEDEX), ceci dans le délai franc d’un mois à compter de sa date de publication ou de
notification à l’égard des personnes et des organismes concernés.
Article 6 : le directeur départemental des affaires sanitaires et sociales, le trésorier payeur général, le directeur de
l’établissement sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au
recueil des actes administratif de la préfecture de la région Centre et de la préfecture du département et dont une
ampliation sera adressée au trésorier payeur général, au directeur de la caisse primaire d’assurance maladie, au
directeur de la caisse de mutualité sociale agricole, au directeur régional des affaires sanitaires et sociales et au
directeur de la caisse régionale d’assurance maladie.
2. ARS du Centre
2.1. 15/04/2010-10-VAL-28-03B-arrêté fixant le montant des
recettes d'assurance maladie dues au titre de la part tarifée à
l'activité au mois de février 2010 du centre hospitalier de
Châteaudun ( Médico-social )
Extrait de l'arrêté n°10-VAL-28-03Bdu 15 avril 2010
Article 1er : La somme à verser par la caisse de mutualité sociale agricole du Loiret est arrêtée à 1 188 228,35 €
soit :
1 000 963,90 € au titre de l’activité d’hospitalisation,
168 296,43 € au titre de l’activité externe (y compris ATU, FFM, et SE),
17 568,02 € au titre des spécialités pharmaceutiques,
1 400,00 € au titre des produits et prestations,
Article 2 : Le présent arrêté est notifié au centre hospitalier de Châteaudun et la caisse de mutualité sociale
agricole du Loiret pour exécution.
Le présent arrêté est publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du département concerné et de la
région Centre.
2.2. 15/04/2010-10-VAL-28-01B-arrêté fixant le montant des
recettes d'assurance maladie dues au titre de la part tarifée à
l'activité au mois de février 2010 du centre hospitalier "Louis
Pasteur" de Chartres ( Médico-social )
Extrait de l'arrêté n°10-VAL-28-01B du 15 avril 2010
Article 1er : La somme à verser par la caisse primaire d'assurance maladie de l' Eure et Loir est arrêtée à 7 749
328,18 € soit :
6 659 286,35 € au titre de l’activité d’hospitalisation,
508 163,94 € au titre de l’activité externe (y compris ATU, FFM, et SE),
390 826,80 € au titre des spécialités pharmaceutiques,
191 051,09 € au titre des produits et prestations,
Article 2 : Le présent arrêté est notifié au centre hospitalier "Louis Pasteur" de Chartres et la caisse primaire
d'assurance maladie de l'Eure et Loir pour exécution.
Le présent arrêté est publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du département concerné et de la
région Centre.
2.3. 15/04/2010-10-VAL-28-04B-arrêté fixant le montant des
recettes d'assurance maladie dues au titre de la part tarifée à
l'activité au mois de février 2010 du centre hospitalier de
Nogent-le-Rotrou ( Médico-social )
Extrait de l'arrêté n°10-VAL-28-04B du 15 avril 2010
Article 1er : La somme à verser par la caisse primaire d'assurance maladie de l' Eure et Loir est arrêtée à
733
698,06 € soit :
600 315,69 € au titre de l’activité d’hospitalisation,
119 831,84 € au titre de l’activité externe (y compris ATU, FFM, et SE),
13 550,53 € au titre des spécialités pharmaceutiques,
Article 2 : Le présent arrêté est notifié au centre hospitalier de Nogent le Rotrou et la caisse primaire d'assurance
maladie de l'Eure et Loir pour exécution.
Le présent arrêté est publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du département concerné et de la
région Centre.
2.4. 15/04/2010-10-VAL-28-02C-arrêté fixant le montant des
recettes d'assurance maladie dues au titre de la part tarifée à
l'activité au mois de mars 2010 du centre hospitalier "Victor
Jousselin" de Dreux ( Médico-social )
Extrait de l'arrêté n°10-VAL-28-02B du 15 avril 2010
Article 1er : La somme à verser par la caisse primaire d'assurance maladie de l'Eure et Loir est arrêtée à 5 593
062,79 € soit :
4 746 337,87 € au titre de l’activité d’hospitalisation,
561 986,43 € au titre de l’activité externe (y compris ATU, FFM, et SE),
226 543,82 € au titre des spécialités pharmaceutiques,
58 194,67 € au titre des produits et prestations,
Article 2 : Le présent arrêté est notifié au centre hospitalier général "Victor Jousselin" de Dreux et la caisse
primaire d'assurance maladie de l Eure et Loir pour exécution.
Le présent arrêté est publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du département concerné et de la
région Centre.
2.5. 18/05/2010-10-VAL-28-03C-arrêté fixant le montant des
recettes d'assurance maladie dues au titre de la part tarifée à
l'activité au mois de mars 2010 du centre hospitalier de
Châteaudun ( Médico-social )
Extrait de l'arrêté 10-VAL-28-03C du 18 mai 2010
Article 1er : La somme à verser par la caisse de mutualité sociale agricole de l' Loiret est arrêtée à 1 467 367,19
€ soit :
1 261 106,28 € au titre de l’activité d’hospitalisation,
195 735,13 € au titre de l’activité externe (y compris ATU, FFM, et SE),
10 525,78 € au titre des spécialités pharmaceutiques,
Article 2 : Le présent arrêté est notifié au centre hospitalier de Châteaudun et la caisse de mutualité sociale
agricole du Loiret pour exécution.
Le présent arrêté est publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du département concerné et de la
région Centre.
2.6. 18/05/2010-10-VAL-28-02B-arrêté fixant le montant des
recettes d'assurance maladie dues au titre de la part tarifée à
l'activité au mois de février 2010 du centre hospitalier général
"victor Jousselin" de Dreux ( Médico-social )
Extrait de l'arrêté n°10-VAL-28-02C du 18 mai 2010
Article 1er : La somme à verser par la caisse primaire d'assurance maladie de l'Eure et Loir est arrêtée à 6 326
356,43 € soit :
5 277 744,09 € au titre de l’activité d’hospitalisation,
712 674,28 € au titre de l’activité externe (y compris ATU, FFM, et SE),
270 235,75 € au titre des spécialités pharmaceutiques,
65 702,31 € au titre des produits et prestations,
Article 2 : Le présent arrêté est notifié au centre hospitalier général "Victor Jousselin" de Dreux et la caisse
primaire d'assurance maladie de l'Eure et Loir pour exécution.
Le présent arrêté est publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du département concerné et de la
région Centre.
2.7. 18/05/2010-10-VAL-28-04C-arrêté fixant le montant des
recettes d'assurance maladie dues au titre de la part tarifée à
l'activité au mois de mars 2010 du centre hospitalier de
Nogent-le-Rotrou ( Médico-social )
Extrait de l'arrêté n°10-VAL-28-04C du 18 mai 2010
Article 1er : La somme à verser par la caisse primaire d'assurance maladie de l' Eure et Loir est arrêtée à
927
583,10 € soit :
775 820,89 € au titre de l’activité d’hospitalisation,
140 954,78 € au titre de l’activité externe (y compris ATU, FFM, et SE),
10 807,43 € au titre des spécialités pharmaceutiques,
Article 2 : Le présent arrêté est notifié au centre hospitalier de Nogent le Rotrou et la caisse primaire d'assurance
maladie de l'Eure et Loir pour exécution.
Le présent arrêté est publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du département concerné et de la
région Centre.
2.8. 18/05/2010-10-VAL-28-01C-arrêté fixant le montant des
recettes d'assurance maladie dues au titre de la part tarifée à
l'activité au mois de mars 2010 du centre hospitalier "Louis
Pasteur" de Chartres ( Médico-social )
Extrait de l'arrêté n°10-VAL-28-01C du 18 mai 2010
Article 1er : La somme à verser par la caisse primaire d'assurance maladie de l' Eure et Loir est arrêtée à 7 925
652,52 € soit :
6 696 688,96 € au titre de l’activité d’hospitalisation,
551 143,85 € au titre de l’activité externe (y compris ATU, FFM, et SE),
432 898,76 € au titre des spécialités pharmaceutiques,
244 920,95 € au titre des produits et prestations,
Article 2 : Le présent arrêté est notifié au centre hospitalier "Louis Pasteur" de Chartres et la caisse primaire
d'assurance maladie de l' Eure et Loir pour exécution.
Le présent arrêté est publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du département concerné et de la
région Centre.
2.9. 02/06/2010-10-OSMS-CSU-n° 28-0002A-Arrêté fixant la
composition nominative du conseil de surveillance du centre
hospitalier de Dreux dans le département d'Eure-et-Loir
(Santé )
Extrait de l’arrêté n° 10-OSMS-CSU-n° 28-0002A du 2 juin 2010
Article 1 : Le conseil de surveillance du centre hospitalier de Dreux, sis 44, avenue du président J. F.
KENNEDY 28100 Dreux (Eure-et-Loir), établissement public de santé de ressort communal est composé des
membres ci-après :
I Sont membres du conseil de surveillance avec voix délibérative :
1° en qualité de représentant des collectivités territoriales
monsieur Gérard Hamel , maire, et madame Catherine Rault, 1er Adjoint , représentants de la ville de Dreux ;
monsieur Pascal Rossion et monsieur André Cochelin, représentants de Dreux agglomération;
monsieur Jacques LEMAIRE, représentant du conseil général d'Eure-et-Loir ;
2° en qualité de représentant du personnel médical et non médical
madame Sylvie LE MORVAN, représentante de la commission de soins infirmiers, de rééducation et médicotechniques ;
Dr François DELEFOSSE et Dr Bruno GUTHAUSER, représentants de la commission médicale
d’établissement ;
madame Marie-Thérèse GRAS et madame Josiane MARTIN, représentantes désignées par les organisations
syndicales ;
3° en qualité de personnalité qualifiées
Dr Benoist JANVIER et madame Marie AMOURETTE PELAT, personnalités qualifiées désignées par le
Directeur Général de l’agence régionale de santé ;
madame Geneviève GUITTARD (ADMD), madame Odile CARPENTIER ( AFTC) et madame Ghislaine
NIQUE (AFTC) , représentantes des usagers désignées par le Préfet de d'Eure-et-Loir ;
II Sont membres du conseil de surveillance avec voix consultative
Le vice président du directoire du centre hospitalier de Chartres
Le directeur général de l’Agence régionale de Santé du Centre ou son représentant
Le représentant de la structure chargée de la réflexion d'éthique au sein du centre hospitalier de Dreux
Le directeur de la caisse primaire d’assurance maladie de Chartres
(Siège vacant ) , représentant des familles de personnes accueillies en unité de soins de longue durée
Article 4 : Le Directeur du centre hospitalier de Dreux, le Directeur Général et la Déléguée Territoriale d'Eureet-Loir de l'Agence régionale de santé du Centre sont chargés de l'exécution du présent arrêté, qui sera publié au
recueil des actes administratifs du Centre et au recueil des actes administratifs du département d'Eure-et-Loir.
2.10. 02/06/2010-10-OSMS-CSU-n° 28-0004-Arrêté fixant la
composition nominative du conseil de surveillance du centre
hospitalier de Châteaudun dans le département d'Eure-et-Loir
( Santé )
Extrait de l’ARRETE N° 10-OSMS-CSU-n° 28-0006 du 2 juin 2010
Article 1 : Le conseil de surveillance du centre hospitalier de Châteaudun, sis Route de Jallans 28200
Châteaudun (Eure-et-Loir), établissement public de santé de ressort communal est composé des membres ciaprès :
I Sont membres du conseil de surveillance avec voix délibérative :
1° en qualité de représentants des collectivités territoriales
monsieur Didier Huguet, maire de Châteaudun ;
monsieur Alain Rousseau, représentant de la communauté de communes du Dunois ;
monsieur Serge FAUVE, représentant du conseil général du département d'Eure-et-Loir
2° en qualité de représentant du personnel médical et non médical
madame Chantal JOURDAIN, représentante de la commission de soins infirmiers, de rééducation et médicotechniques ;
Dr Cédric PRADIER, représentant de la commission médicale d’établissement ;
madame Marie-Claude LEMAIRE, représentante désignée par les organisations syndicales ;
3° en qualité de personnalités qualifiées
Dr Bertrand JOSEPH, personnalité qualifiée désignée par le directeur général de l’agence régionale de santé ;
madame Christelle ROUIDI ( UDAF) et siège à pourvoir, représentants des usagers désignés par le Préfet de
d'Eure et Loir ;
II Sont membres du conseil de surveillance avec voix consultative
Le vice président du directoire du centre hospitalier de Châteaudun
Le directeur général de l’Agence régionale de Santé du Centre ou son représentant
Le directeur de la mutualité sociale agricole d'Orléans
siège vacant , représentant des familles de personnes accueillies en unité de soins de longue durée
Article 4 : Le Directeur du centre hospitalier de Châteaudun, le Directeur Général et la Déléguée Territoriale
d'Eure et Loir de l'Agence régionale de santé du Centre sont chargés de l'exécution du présent arrêté, qui sera
publié au recueil des actes administratifs du Centre et au recueil des actes administratifs du département d'Eure
et Loir.
2.11. 02/06/2010-10-OSMS-CSU-n° 28-0003-Arrêté fixant la
composition nominative du conseil de surveillance du centre
hospitalier de Bonneval dans le département d'Eure-et-Loir
( Santé )
Extrait de l’ARRETE N° 10-OSMS-CSU-n° 28-0003 du 2 juin 2010
Article 1 : Le conseil de surveillance du centre hospitalier de Bonneval, sis 32, rue de la Grève 28800 Bonneval
(Eure-et-Loir), établissement public de santé de ressort départemental est composé des membres ci-après :
I Sont membres du conseil de surveillance avec voix délibérative :
1° en qualité de représentants des collectivités
siège vacant, représentant de la commune de Bonneval ;
messieurs Joël BILLARD et Bernard GOUIN, représentants de la communauté de communes du Bonnevalais ;
monsieur Albéric de MONTGOLFIER, président du conseil général d'Eure-et-Loir et monsieur Michel
BOISARD représentant du conseil général d'Eure-et-Loir ;
2° en qualité de représentant du personnel médical et non médical
monsieur Franck ROGER, représentant de la commission de soins infirmiers, de rééducation et médicotechniques ;
Dr Catherine REMY et Dr Svetlana VINCENT, représentantes de la commission médicale d’établissement ;
monsieur Pascal LUCAS et madame Marie-Christine PAUTONNIER, représentants désignés par les
organisations syndicales ;
3° en qualité de personnalité qualifiée
madame Michelle DAWSON et madame Francine WATTIAUX, personnalités qualifiées désignées par le
Directeur Général de l’agence régionale de santé ;
monsieur Michel PASQUER ( UDAF), mesdames Robert CHARBONNIER
( UNAFAM) et Colette GAILLARD (UFC – Que Choisir) , représentants des usagers désignés par le Préfet
d'Eure-et-Loir;
II Sont membres du conseil de surveillance avec voix consultative
Le vice président du directoire du centre hospitalier de Bonneval
Le directeur général de l’Agence régionale de Santé du Centre ou son représentant
Le directeur de la caisse primaire d’assurance maladie d’Eure-et-Loir
(siège vacant) , représentant des familles de personnes accueillies en EHPAD
Article 4 : Le Directeur du centre hospitalier de Bonneval, le Directeur Général et la Déléguée Territoriale
d'Eure-et-Loir de l'Agence régionale de santé du Centre sont chargés de l'exécution du présent arrêté, qui sera
publié au recueil des actes administratifs du Centre et au recueil des actes administratifs du département d'Eureet-Loir.
2.12. 02/06/2010-10-OSMS--CSU-n° 28-0002-Arrêté fixant le
nombre de membres du conseil de surveillance du centre
hospitalier de Dreux dans le département d'Eure-et-Loir
( Santé )
Extrait de l’ARRETE N° 10-OSMS-CSU-n° 28-0002 du 2 juin 2010
Article 1 : Le nombre de membres du conseil de surveillance du centre hospitalier de Dreux, sis 44, avenue du
président J. F. KENNEDY 28100 Dreux (Eure-et-Loir) est fixé à quinze.
Article 2 : Le directeur général de l'Agence régionale de santé du Centre est chargé de l'exécution du présent
arrêté, qui sera publié au recueil des actes administratifs du Centre et au recueil des actes administratifs du
département d'Eure-et-Loir.
2.13. 02/06/2010-10-OSMS-CSU-n° 28-0001-Arrêté fixant le
nombre de membres du conseil de surveillance du centre
hospitalier de Chartres dans le département d'Eure-et-Loir
(Santé)
Extrait de l’ARRETE N° 10-OSMS-CSU-n° 28-0001 du 2 juin 2010
Article 1 : Le nombre de membres du conseil de surveillance du centre hospitalier de Chartres, sis 34, rue du Dr
Maunoury 28000 Chartres (Eure-et-Loir) est fixé à quinze.
Article 2 : Le directeur général de l'Agence régionale de santé du Centre est chargé de l'exécution du présent
arrêté, qui sera publié au recueil des actes administratifs du Centre et au recueil des actes administratifs du
département d'Eure-et-Loir.
2.14. 02/06/2010-10-OSMS-CSU-n° 28-0001A-Arrêté fixant la
composition nominative du conseil de surveillance du centre
hospitalier de Chartres dans le département d'Eure-et-Loir
(Santé)
Extrait de l’ARRETE N° 10-OSMS-CSU-n° 28-0001A du 2 juin 2010
Article 1 : Le conseil de surveillance du centre hospitalier de Chartres, sis 34, rue du Dr Maunoury 28000
Chartres (Eure-et-Loir), établissement public de santé de ressort communal est composé des membres ci-après :
I Sont membres du conseil de surveillance avec voix délibérative :
1° en qualité de représentant des collectivités territoriales
monsieur Jean-Pierre GORGES, maire et monsieur Franck MASSELUS représentant de la ville de Chartres ;
messieurs Dominique SOULET et Wilson VALOR, représentants de Chartres métropole ;
madame Elisabeth FROMONT, représentante du conseil général d'Eure-et-Loir ;
2° en qualité de représentant du personnel médical et non médical
madame Francine DARDE, représentante de la commission de soins infirmiers, de rééducation et médicotechniques ;
Dr Jean-Pierre DURAND et Dr Jérôme GRIMAUD, représentants de la commission médicale d’établissement ;
monsieur Rémy DELEPINE et madame Corinne LEGEAY, représentants désignés par les organisations
syndicales ;
3° en qualité de personnalités qualifiées
messieurs Michel DUPONT et Denis BRIAND, personnalités qualifiées désignées par le Directeur Général de
l’agence régionale de santé ;
messieurs Rémi LEGENDRE ( UDAF), Yvan KUNTZ ( UDAF) et Claude DORNIER
( ADMD) représentants des usagers désignés par le Préfet de d'Eure-et-Loir ;
II Sont membres du conseil de surveillance avec voix consultative
Le vice président du directoire du centre hospitalier de Chartres
Le directeur général de l’Agence régionale de Santé du Centre ou son représentant
Le directeur de la caisse primaire d’assurance maladie de Chartres
(Siège vacant ), représentant des familles de personnes accueillies en unité de soins de longue durée
Article 4 : Le Directeur du centre hospitalier de Chartres, le Directeur Général et la Déléguée Territoriale d'Eureet-Loir de l'Agence régionale de santé du Centre sont chargés de l'exécution du présent arrêté, qui sera publié au
recueil des actes administratifs du Centre et au recueil des actes administratifs du département d'Eure-et-Loir.
2.15. 02/06/2010-10-OSMS-CSU-n° 28-0007-Arrêté fixant la
composition nominative du conseil de surveillance du centre
hospitalier de Nogent le Rotrou dans le département d'Eureet-Loir (Santé)
Extrait de l’ARRETE N° 10-OSMS-CSU-n° 28-0008 du 2 juin 2010
Article 1 : Le conseil de surveillance du centre hospitalier de La Loupe sis rue Dr Edmond MORCHOISNE
28240 La Loupe (Eure-et-Loir), établissement public de santé de ressort communal est composé des membres ciaprès :
I Sont membres du conseil de surveillance avec voix délibérative :
1° en qualité de représentants des collectivités territoriales
Madame Josette Varenne, adjointe au maire, représentante de la commune de La Loupe ;
Madame Charline THOMAS, représentante de la Communauté de communes des Portes du Perche ;
monsieur Eric GERARD, représentant du conseil général du département d'Eure-et-Loir
2° en qualité de représentants du personnel médical et non médical
madame Blandine MACIOCIA, représentante de la commission de soins infirmiers, de rééducation et médicotechniques ;
Dr Sophie GUERIN, représentante de la commission médicale d’établissement ;
madame Isabelle TOMBLAINE, représentante désignée par les organisations syndicales ;
3° en qualité de personnalité qualifiée
madame Michèle MERLIO, personnalité qualifiée désignée par le directeur général de l’agence régionale de
santé ;
mesdames Michèle BRULE (ADMD 28) et Danielle DROUET (UDAF), représentantes des usagers désignées
par le Préfet de d'Eure et Loir ;
II Sont membres du conseil de surveillance avec voix consultative
Le vice président du directoire du centre hospitalier de La Loupe
Le directeur général de l’Agence régionale de Santé du Centre ou son représentant
Le directeur de la mutualité sociale agricole Beauce Cœur de Loire
( siège vacant) , représentant des familles de personnes accueillies en unité de soins de longue durée
Article 4 : Le Directeur de centre hosiptalier de La Loupe, le Directeur Général et la Déléguée Territoriale d'Eure
et Loir de l'Agence régionale de santé du Centre sont chargés de l'exécution du présent arrêté, qui sera publié au
recueil des actes administratifs du Centre et au recueil des actes administratifs du département d'Eure et Loir.
2.16. 03/06/2010-10-OSMS-CSU-n° 28-0008-Arrêté fixant la
composition nominative du conseil de surveillance du centre
hospitalier de La Loupe dans le département d'Eure-et-Loir
( Santé )
Extrait de l’ARRETE N° 10-OSMS-CSU-n° 28-0008 du 3 juin 2010
Article 1 : Le conseil de surveillance du centre hospitalier de La Loupe sis rue Dr Edmond MORCHOISNE
28240 La Loupe (Eure-et-Loir), établissement public de santé de ressort communal est composé des membres ciaprès :
I Sont membres du conseil de surveillance avec voix délibérative :
1° en qualité de représentants des collectivités territoriales
Madame Josette Varenne, adjointe au maire, représentante de la commune de La Loupe ;
Madame Charline THOMAS, représentante de la Communauté de communes des Portes du Perche ;
monsieur Eric GERARD, représentant du conseil général du département d'Eure-et-Loir
2° en qualité de représentants du personnel médical et non médical
madame Blandine MACIOCIA, représentante de la commission de soins infirmiers, de rééducation et médicotechniques ;
Dr Sophie GUERIN, représentante de la commission médicale d’établissement ;
madame Isabelle TOMBLAINE, représentante désignée par les organisations syndicales ;
3° en qualité de personnalité qualifiée
madame Michèle MERLIO, personnalité qualifiée désignée par le directeur général de l’agence régionale de
santé ;
mesdames Michèle BRULE (ADMD 28) et Danielle DROUET (UDAF), représentantes des usagers désignées
par le Préfet de d'Eure et Loir ;
II Sont membres du conseil de surveillance avec voix consultative
Le vice président du directoire du centre hospitalier de La Loupe
Le directeur général de l’Agence régionale de Santé du Centre ou son représentant
Le directeur de la mutualité sociale agricole Beauce Cœur de Loire
( siège vacant) , représentant des familles de personnes accueillies en unité de soins de longue durée
Article 4 : Le Directeur de centre hosiptalier de La Loupe, le Directeur Général et la Déléguée Territoriale d'Eure
et Loir de l'Agence régionale de santé du Centre sont chargés de l'exécution du présent arrêté, qui sera publié au
recueil des actes administratifs du Centre et au recueil des actes administratifs du département d'Eure et Loir.
2.17. 17/06/2010-10-OSMS-VAL-28-01D-arrêté fixant le montant
des recettes d'Assurance Maladie dues au titre de la part
tarifée à l'activité au mois d'avril du centre hospitalier "Louis
Pasteur" de Chartres ( Médico-social )
Extrait de l'arrêté n°10-OSMS-VAL-28-01D du 17 juin 2010
ARRÊTE
Article 1er : La somme à verser par la caisse primaire d'assurance maladie de l'Eure et Loir est arrêtée à 7 476
834,94 € soit :
6 381 780,93 € au titre de l’activité d’hospitalisation,
540 192,55 € au titre de l’activité externe (y compris ATU, FFM, et SE),
370 020,12 € au titre des spécialités pharmaceutiques,
184 841,34 € au titre des produits et prestations,
Article 2 : Le présent arrêté est notifié au centre hospitalier "Louis Pasteur" de Chartres et la caisse primaire
d'assurance maladie de l'Eure et Loir pour exécution.
Le présent arrêté est publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du département concerné et de la
région Centre.
2.18. 17/06/2010-10-OSMS-VAL-28-02D-arrêté fixant le montant
des recettes d'assurance maladie dues au titre de la part
tarifée à l'activité au mois d'avril du centre hospitalier général
"Victor Jousselin" de Dreux ( Médico-social )
Extrait de l'arrêté n°10-OSMS-VAL-28-02D du 17 juin 2010
Article 1er : La somme à verser par la caisse primaire d'assurance maladie de l'Eure et Loir est arrêtée à 5 763
992,68 € soit :
4 841 268,62 € au titre de l’activité d’hospitalisation,
632 607,85 € au titre de l’activité externe (y compris ATU, FFM, et SE),
237 191,66 € au titre des spécialités pharmaceutiques,
52 924,55 € au titre des produits et prestations,
Article 2 : Le présent arrêté est notifié au centre hospitalier général "Victor Jousselin" de Dreux et la caisse
primaire d'assurance maladie de l' Eure et Loir pour exécution.
Le présent arrêté est publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du département concerné et de la
région Centre.
2.19. 17/06/2010-10-OSMS-VAL-28-03D-arrêté fixant le montant
des recettes d'assurance maladie dues au titre de la part
tarifée à l'activité au mois d'avril du centre hospitalier de
Châteaudun ( Médico-social )
Extrait de l'arrêté n°10-OSMS-VAL-28-03D du 17 juin 2010
Article 1er : La somme à verser par la caisse de mutualité sociale agricole du Loiret est arrêtée à 1 299 456,51
€ soit :
1 103 398,96 € au titre de l’activité d’hospitalisation,
183 044,61 € au titre de l’activité externe (y compris ATU, FFM, et SE),
13 012,94 € au titre des spécialités pharmaceutiques,
Article 2 : Le présent arrêté est notifié au centre hospitalier de Châteaudun et la caisse de mutualité sociale
agricole du Loiret pour exécution.
Le présent arrêté est publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du département concerné et de la
région Centre.
2.20. 17/06/2010-10-OSMS-VAL-28-04D-arrêté fixant le montant
des recettes d'assurance maladie dues au titre de la part
tarifée à l'activité au mois d'avril du centre hospitalier de
Nogent-le-Rotrou ( Médico-social )
Extrait de l'arrêté n°10-OSMS-VAL-28-04D du 17 juin 2010
Article 1er : La somme à verser par la caisse primaire d'assurance maladie de l'Eure et Loir est arrêtée à
697
431,94 € soit :
548 995,74 € au titre de l’activité d’hospitalisation,
130 891,32 € au titre de l’activité externe (y compris ATU, FFM, SE et IVG),
17 544,88 € au titre des spécialités pharmaceutiques,
Article 2 : Le présent arrêté est notifié au centre hospitalier de Nogent le Rotrou et la caisse primaire d'assurance
maladie de l'Eure et Loir pour exécution.
Le présent arrêté est publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du département concerné et de la
région Centre.
2.21. 22/06/2010-2010-0521-arrêté portant mainlevée de l'arrêté
préfectoral n° 1028 du 12 juillet 2000 déclarant insalubre
remédiable l'immeuble situé 2 passage des buttes à DREUX,
appartenant à la SCI "LES MIIMOSAS". (article L. 1331-28-3 du
code de la santé publique) ( Santé )
Extrait de l’ARRETE N°2010-0521 du 22 juin 2010
Article 1er :
L’arrêté préfectoral n° 1028 du 12 juillet 2000, déclarant insalubre remédiable l'immeuble situé 2, Passage des
Buttes - 28000 Dreux et portant interdiction d’habiter, est abrogé.
Article 2 :
La présente décision est établie en deux exemplaires ; l'un qui est notifié à SCI "Les Mimosas" représenté par M
Sitki AKBAS demeurant 15 rue des Oriels – 28100 Dreux, le second est conservé dans le service émetteur.
Une copie est transmise au maire de la commune de Dreux, au président de l'établissement public de coopération
intercommunale compétent en matière de logement ou d'urbanisme, au procureur de la République, aux
organismes payeurs des allocations de logement et de l'aide personnalisé au logement, aux gestionnaires du
fonds de solidarité pour le logement du département, à la Direction départementale des térritoires/Agence
nationale de l'habitat.
Article 3 :
A compter de la notification du présent arrêté, l’immeuble visé à l'article 1er peut à nouveau être utilisé aux fins
d’habitation.
Les loyers ou indemnités d’occupation sont dus à compter du premier jour du mois qui suit la notification ou
l’affichage du présent arrêté.
Article 4 :
La présente décision peut faire l’objet d’un recours administratif, soit gracieux auprès de Monsieur le Préfet
d'Eure et Loir, soit hiérarchique auprès du Ministre chargé de la Santé (Direction générale de la santé-SD7C-8,
av. de Ségur, 75350 Paris 07 SP) dans les deux mois suivant la notification. Concernant le recours gracieux,
l’absence de réponse au terme d’un délai de deux mois vaut rejet implicite. En matière de recours hiérarchique,
l’absence de réponse au terme d’un délai de quatre mois vaut rejet implicite.
Un recours contentieux peut également être déposé auprès du Tribunal Administratif d’Orléans (28 rue de la
Bretonnerie – 45057 Orléans Cedex 1), dans le délai de deux mois à compter de la notification, ou dans le délai
de deux mois à partir de la réponse écrite de l’administration si un recours administratif a été déposé.
Article 5 :
Le Secrétaire Général de la Préfecture d'Eure et Loir, le Sous-Préfet de l'arrondissement de Dreux, le Délégué
territorial d'Eure et Loir de l'Agence régionale de santé, le Directeur départemental des territoires, le Maire de
Dreux, sont chargés chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un extrait sera publié au
recueil des actes administratifs.
3. DDCSPP
3.1. 03/06/2010-2010-0460-Arrêté fixant la composition
nominative du Conseil Départemental Consultatif des
Personnes Handicapées (CDCPH) d'Eure-et-Loir ( Médicosocial )
Extrait de l’ARRETE N°2010-0460 du 3 juin 2010
ARTICLE 1er
L'arrêté n°2010-0294 du 31 mars 2010 fixant la composition nominative du CDCPH d'Eure-et-Loir est abrogé.
ARTICLE 2 :
Sont nommés membres du Conseil Départemental Consultatif des Personnes Handicapées d'Eure-et-Loir en
qualité de représentants de l'Etat, des collectivités territoriales et des principaux organismes qui, par leurs
interventions ou leurs concours financiers, apportent une contribution significative à l'action en faveur des
personnes handicapées du département :
a) Représentants de l'Etat
Monsieur le Préfet d'Eure et Loir ou son représentant,
Monsieur l'Inspecteur d'Académie ou son représentant
Madame la Directrice de la Cohésion Sociale et de la Protection de la Population ou son représentant,
Monsieur le Directeur de l'unité territoriale de la DIRECCTE,
b) Représentants des collectivités territoriales
Représentants du Conseil Général :
Titulaire : Monsieur NICOLAS Xavier
Titulaire:
Monsieur GABORIAU J. Pierre
Suppléant : Monsieur MANCEAU J. Pierre
Suppléant : Monsieur DEPREZ Michel
Représentants de l'Association des Maires d'Eure-et-Loir ( AMEL) :
Titulaire : Monsieur HERIOT Hubert
Suppléant :Monsieur ROUSSEAU Alain
Titulaire: Monsieur GOUIN Bernard
c) Représentants des organismes qui apportent une contribution significative à l'action en faveur des personnes
handicapées du département
Sur proposition de Monsieur le Président de la Caisse Régionale d'Assurance Maladie du Centre
Madame la Directrice de la Caisse Régionale d'Assurance Maladie du Centre ou son représentant
Sur proposition de Madame la Présidente de la Mutualité Sociale Agricole Beauce Cœur de Loire :
Titulaire : Madame la Présidente ou son représentant
Suppléant : Monsieur le Directeur ou son représentant
ARTICLE 3 :
Sont nommés membres du Conseil Départemental Consultatif des Personnes Handicapées d'Eure-et-Loir en
qualité de représentants dans le département des associations de personnes handicapées et de leurs familles :
Association Française contre les Myopathies (AFM) :
Titulaire : Monsieur Jackie DIEU
Suppléant: Madame Marylise MADEC
Association des Paralysés de France (A.P.F.):
Titulaire : Monsieur PRIER Gérard
Suppléant : Monsieur VALLET Patrick
Association Départementale des Amis et Parents d'Enfants Inadaptés (ADAPEI 28) :
Titulaire : Monsieur Robert THEBAULT
Suppléant : Monsieur Georges BESUCCO
Association des Familles de Traumatisés Crâniens d'Eure-et-Loir (AFTC 28):
Titulaire: Madame Odile CARPENTIER
Suppléant : Monsieur Christian LEON
Association Autisme Eure-et-Loir:
Titulaire: Madame Martine VANDERMEERSH
Suppléant : Monsieur Philippe MOULIN
Association Voir Ensemble:
Titulaire : Monsieur Jean MONCHATRE
Suppléant : Madame Martine HERPEUX
Association Départementale des Parents d'Enfants Déficients Auditifs (ADPEDA):
Titulaire: Monsieur Eric ALVES
Suppléant : Madame Christine URIE
Fédération Nationale des Accidentés du Travail (FNAT):
Titulaire : Monsieur Michel TOIN
Suppléant : Monsieur Serge MAUGUIN
Association Elan 28:
Titulaire: Madame Jacqueline BANCAUT
Suppléant : Madame Danièle BARBREL
Association Trisomie 21 Eure-et-Loir
Titulaire : Madame Pascaline GRANGIER
Suppléant : Madame Linda DESMOULINS
ARTICLE 4 :
Sont nommés membres du Conseil Départemental Consultatif des Personnes Handicapées d'Eure-et-Loir en
qualité d'une part, de représentants, des personnes en activité au sein des principales professions de l'action
sanitaire et sociale et de l'insertion professionnelle en direction des personnes handicapées et d'autre part, de
personnalités qualifiées :
a) Représentants des personnes en activité
Force Ouvrière (FO)
Monsieur le Délégué Départemental ou son représentant;
Confédération Générale du Travail (CGT):
Titulaire: : Monsieur Jean Pierre PREVOT ou son représentant
Confédération Française Démocratique du Travail (CFDT):
Titulaire : Monsieur Alain ELIE
Suppléant : Madame Catherine BAZIN
UNSA 28-Education (ex FEN)
Titulaire : Monsieur Jean Michel ROBILLARD
Suppléant : Monsieur David COCHENNEC
Association des Directeurs et Responsables des Etablissements et Services pour l'enfance, l'Adolescence et les
Adultes Handicapés:
Titulaire : Monsieur le Président ou son représentant
b) Personnalités qualifiées
Titulaire : Monsieur Pierre DUPONT Conseiller Technique au CREAI
Suppléante : Madame Aurélie NEON, Conseillère Technique au CREAI
Titulaire : Madame Sylvie BLOTTIN, Directrice du Foyer d'Accueil Médicalisé "Les Tilleuls" Courville sur
Eure
Suppléant : Monsieur Jean-Marc ZORZI, Directeur de la Maison d'Accueil Spécialisée de Senonches
Titulaire : Monsieur Alain BANNIER, Ex-secrétaire de la Commission Départementale de l'Education
Spécialisée
Suppléant : Madame Patricia DOUANE, Directrice Générale de l'association "Les Papillons Blancs d'Eure et
Loir"
Titulaire : Monsieur le Docteur Jacques CONSTANT, Pédopsychiatre
Suppléant : Monsieur le Docteur NASRY, Médecin Hospitalier
Titulaire : Monsieur LEGRAND, Directeur Général de l'Association A.N.A.I.S. Espoir et Vie
Suppléant : Monsieur Luc QUEDEC, Directeur de l'Institut Médico–Educatif "Léopold Bellan" de Châteaudun
ARTICLE 5 :
Monsieur le Secrétaire Général de la Préfecture d'Eure-et-Loir et Madame la Directrice Départementale de la
Cohésion Sociale et de la Protection des Populations sont chargés de l'application du présent arrêté qui sera
publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture d'Eure-et-Loir.
3.2. 03/06/2010-2010-0458-Arrêté nommant un agent comptable
du GIP "MDPH d'Eure-et-Loir" ( Réglementation générale )
Extrait de l’ARRETE N°2010-0458 du 3 juin 2010
ARTICLE 1er
Monsieur Jean-François CASADEI, Payeur départemental de l'Eure-et-Loir, est nommé agent comptable du
groupement d'intérêt public (G.I.P) "Maison départementale des personnes handicapées".
ARTICLE 2 :
Le cautionnement que Monsieur Jean-François CASADEI a constitué en qualité de comptable public sera affecté
solidairement à la gestion du G.I.P.
ARTICLE 3 :
Monsieur le Secrétaire Général de la Préfecture d'Eure-et-Loir et Madame la Directrice Départementale de la
Cohésion Sociale et de la Protection des Populations sont chargés de l'application du présent arrêté qui sera
publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture d'Eure-et-Loir.
3.3. 10/06/2010-2010-0480-ARRETE MODIFICATIF RELATIF A
L'ARRETE N°2010-0325 DU 8 AVRIL 2010 PORTANT
AGREMENT DE MONSIEUR BRUNO LENOIR POUR EXERCER
A TITRE INDIVIDUEL LES FONCTIONS DE MANDATAIRE
JUDICIAIRE A LA PROTECTION DES MAJEURS ( Tourisme )
Extrait de l’arrêté modificatif n° 2010-0480 du 10 juin 2010
Article 1er:
Conformément à l’article L. 471-2 du code de l’action sociale et des familles, Monsieur Bruno LENOIR, né le
27 mai 1965 à BAGNEAUX SUR LOING, département 77, domicilié 61 chemin de la Mare, Le Baudry, 27 130
VERNEUIL SUR AVRE est agréé pour exercer des mesures de protection des majeurs au titre de la tutelle, de la
curatelle ou du mandat spécial auquel il peut être recouru dans le cadre de la sauvegarde pour le Département
d’Eure-et-Loir.
Article 2 :
Monsieur Bruno LENOIR sera inscrit sur la liste départementale des mandataires judiciaires à la protection des
majeurs et des délégués aux prestations familiales dressée et tenue à jour par le représentant de l’Etat dans le
Département d’Eure-et-Loir conformément à l’article L. 471-2 du code de l’action sociale et des familles.
Article 3 :
Une copie du présent arrêté sera notifiée :
- à l’intéressé ;
- au président du tribunal de grande instance de Chartres ;
- au procureur de la République près le tribunal de grande instance de Chartres ;
- au juge des tutelles du tribunal d’instance de Chartres ;
- au juge des tutelles du tribunal d’instance de Dreux ;
- au juge des enfants du tribunal de grande instance de Chartres.
- à la Direction Départementale de la Cohésion Sociale et de la Protection des Populations du Département de
l’EURE.
Article 4 :
Le présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture d'Eure-et-Loir.
Article 5 :
Le secrétaire général de la préfecture et la Directrice Départementale de la Cohésion Sociale et de la Protection
des Populations sont chargés, chacun en ce qui les concerne, de l'exécution du présent arrêté.
3.4. 22/06/2010--Subdélégation de signature de la Direction
départementale de la cohésion sociale et de la protection des
populations ( Délégation de signature générale )
Subdélégation de signature au sein de la Direction départementale de la cohésion sociale et de la
protection des populations.
LA DIRECTICE DEPARTEMENTALE DE LA COHESION SOCIALE
ET DE LA PROTECTION DES POPULATIONS d’EURE-et-LOIR,
DECIDE :
de subdéléguer, dans le cadre de leurs attributions et compétences, sa signature aux personnes suivantes :
Subdélégation générale :
En cas d’absence ou d’empêchement de Madame BORDERON, Monsieur Pierre LECOULS, Directeur adjoint
est habilité à intervenir dans tous les domaines qui ont été définis dans l’arrêté préfectoral du 22 juin 2010
portant délégation de signature.
Administration générale :
Madame Deschamps-Rak, chef du service gestion des activités supports de proximité, est habilitée à signer les
actes suivants :
- les ordres de service et toutes pièces contractuelles relatives aux travaux d'aménagement et d'entretien des
biens immobiliers,
2
- décisions en matière de recours gracieux,
- les bons de commande et les visas de facture.
- les correspondances administratives avec les administrations régionales.
- les actes et pièces relatives à la gestion de proximité des fonctionnaires et agents de l’Etat dépendant de la
direction départementale de la cohésion sociale et de la protection des populations,
- les contrats d'embauche et toutes pièces relatives à l'emploi d'agents contractuels recrutés en CDD et rémunérés
sur crédits de vacations.
SOUS-DIRECTION DE LA COHESION SOCIALE
Madame Brigitte SIPERT, sous-directrice de la cohésion sociale, est habilitée à signer les actes suivants :
- les procès-verbaux et comptes-rendus de réunions,
- les copies conformes des pièces administratives établies dans le cadre de la mission,
- les correspondances administratives avec les particuliers, les administrations centrales et régionales, les
collectivités territoriales, les services de l’Etat dans le département, à l’exclusion des lettres aux parlementaires,
conseillers régionaux et généraux,
- les conventions relatives à l'allocation de logement temporaire.
Commission départementale des aides publiques au logement (C.D.A.P.L.) :
-
assurer la présidence de la CDAPL.
-
les décisions de maintien ou de suspension de l’APL.
-
les décisions relatives aux remises de dettes.
-
les avis relatifs aux changements de statuts (circulaire 87-61 du 10 juillet 1987 relative au rachat par les
bailleurs sociaux de logements bénéficiant de P.A.P. et occupés par des emprunteurs en difficulté grave)
-
les décisions sur les contestations soumises à la C.D.A.P.L.
- la représentation du préfet aux commissions d’attribution des logements.
- les actes relatifs à la gestion du quota de réservation du préfet au profit des personnes prioritaires.
- les actes relatifs aux Conseils de famille.
- les actes relatifs aux pupilles de l’Etat.
- les actes relatifs aux tutelles et curatelles aux incapables majeurs.
- les actes relatifs à l’aide médicale de l’Etat et à l’aide sociale de l’Etat.
- les actes concernant l’attribution, la suspension, le montant de l’allocation différentielle.
- les décisions concernant les demandes d’attribution du droit à stationner sur les emplacements réservés aux
personnes handicapées.
- les actes concernant les recours devant la commission départementale et centrale d’aide sociale et la saisine des
juridictions judiciaires.
- les actes notifiant les jugements de la commission centrale d’aide sociale.
-
les actes relatifs aux indus RMI et primes de Noël RMI et RSA
3
Comité médial et commission de réforme.
-
Etablissement de la liste des médecins agréés pour l'examen médical des fonctionnaires (décret N° 86 442
du 14 mars 1986 modifié),
Fixation de la composition nominative du comité médical départemental,
Présidence de la commission de réforme des fonctionnaires de l'Etat et de la commission compétence pour
les agents de la fonction publique hospitalière.
Désignation des membres du comité médical compétent à l'égard des praticiens hospitaliers.
Actes concernant les aides accordées aux rapatriés (à l’exclusion des aides au logement et des aides de
formation)
Politique de la ville.
-
décisions attributives de subvention.
Actes relatifs à la gestion de la dotation de développement urbain (DDU)
Service politiques jeunesse – sport – vie associative.
- Délivrance de récépissé de déclaration d’un accueil collectif de mineurs mentionné à l’article L227-4 du code
de l’action sociale et des familles,
- Délivrance de récépissé de déclaration des locaux permettant l’organisation d’un accueil collectif de mineurs
mentionné à l’article L227-4 du code de l’action sociale et des familles,
- Opposition à l’organisation d’un accueil collectif de mineurs mentionné à l’article L227-4 du code de l’action
sociale et des familles en cas de risques pour la santé ou la sécurité physique ou morale des mineurs,
- Mesure de suspension d’urgence à l’encontre des personnes dont la participation à un accueil collectif de
mineurs mentionné à l’article L227-4 du code de l’action sociale et des familles, ou l’organisation d’un tel
accueil, présenterait des risques pour la santé ou la sécurité physique ou morale des mineurs,
- Mesure d’interdiction ou d’interruption d’urgence d’un accueil collectif de mineurs dont les conditions
d’organisation présenteraient des risques pour la santé ou la sécurité physique ou morale des mineurs,
- Accusé de réception de la déclaration d’ouverture d’un établissement dans lequel sont pratiquées des activités
physiques et sportives,
- Opposition à l’ouverture d’un établissement dans lequel sont pratiquées des activités physiques et sportives et
la sécurité de ces activités en cas de risques pour la santé ou la sécurité physique ou morale des pratiquants,
- Mesure de fermeture temporaire d’urgence d’un établissement dans lequel sont pratiquées des activités
physiques et sportives et la sécurité de ces activités en cas de risques pour la santé ou la sécurité physique ou
morale des pratiquants,
- Accusé de réception de la déclaration d’une personne exerçant contre rémunération l’enseignement,
l’animation ou l’encadrement d’une activité physique ou sportive ou l’entraînement de ses pratiquants et
délivrance de la carte professionnelle,
- Retrait temporaire ou permanent de la carte professionnelle pour toute personne ayant fait l’objet d’une mesure
mentionnée à l'article L. 212-13 du code du sport ou d'une condamnation mentionnée à l'article L. 212-9 du
même code,
- Autorisation d’exercice de la surveillance d’une baignade d’accès payant par un personnel titulaire du brevet
national de sécurité et de sauvetage aquatique,
- Délivrance ou retrait d’agrément d’un groupement sportif ou d’une association de jeunesse et d’éducation
populaire,
- Récépissés de déclarations d’associations (loi 1901),
-
Décisions relatives aux dons et legs, aux fondations et aux associations reconnues d’utilité publique.
4
Madame COLLET-CHARPENTIER, déléguée aux droits des femmes, Monsieur Philippe LAPERLE, chef du
service hébergement-logement, Monsieur Serge WEILAND, chef du service prévention – insertion – protection
des populations vulnérables, Monsieur Lionel DUFOUR, chef du service politiques jeunesse – sport – vie
associative, sont également habilités dans la limite de leurs attributions exercées au sein du service dont ils ont
la charge, à présider les commissions, à signer les actes pour lesquels une subdélégation a été accordée à Brigitte
SIPERT.
Monsieur Jacques BAUDOUIN, secrétaire administratif au service hébergement-logement est habilité à présider
les commissions et à signer les actes concernant la CDAPL, à savoir :
- assurer la présidence de la CDAPL
- les décisions de maintien ou de suspension de l’APL.
- les décisions relatives aux remises de dettes.
- les avis relatifs aux changements de statuts.
- les décisions sur les contestations soumises à la CDAPL.
Monsieur Daniel CHAFFANEL, secrétaire administratif au service hébergement - logement est habilité à assurer
les représentations de l’Etat au sein des commissions d’attribution des logements.
Madame Sabine HIRIGOYEN, secrétaire administratif au service prévention – insertion – protection des
populations vulnérables, est habilitée à présider les commissions et à signer les actes concernant le comité
médical et la commission de réforme.
SOUS-DIRECTION DE LA VEILLE SANITAIRE, DE LA SECURITE ALIMENTAIRE ET DE LA
PROTECTION DU CONSOMMATEUR
Monsieur Pierre LECOULS, sous-directeur de la veille sanitaire, de la sécurité alimentaire et de la protection du
consommateur, est habilité à signer les actes suivants :
-
-
les procès-verbaux et comptes-rendus de réunions,
les copies conformes des pièces administratives établies dans le cadre de la mission,
les correspondances administratives avec les particuliers, les administrations centrales et régionales, les
collectivités territoriales, les services de l’Etat dans le département à l’exclusion des lettres aux
parlementaires, conseillers régionaux et généraux.
le commissionnement des agents des services vétérinaires.
- les actes concernant la qualification de vétérinaire officiel (article L 221-13 du code rural et textes pris pour
leur application).
- les actes relatifs à l’attribution du mandat sanitaire aux vétérinaires et au contrôle de l’exercice de ce mandat
(articles L 221-11, L221-13, et R 221-4 à R 221-20-1 du code rural et textes pris pour leur application).
- les actes relatifs aux mesures applicables aux maladies animales (articles L221-1, L221-2, L 224-1, L225-1 du
code rural et textes pris pour leur application).
- les actes concernant les mesures à prendre en cas de maladies animales réputées contagieuses (articles L223-6
à L 223-8, D223-1 à D 223-21 du code rural et textes pris pour leur application).
- les agréments des négociants et centres de rassemblement (article L 233-3 du code rural et textes pris pour son
application).
- les actes concernant le contrôle sanitaire des reproducteurs, des centres d’insémination artificielle ou de
transplantation embryonnaire et de la monte publique (article L 222-1 du code rural et textes pris pour son
application).
- l'organisation et la présidence du comité consultatif de la santé et de la protection animale (articles R 221-1 et
R221-1 du code rural).
- les actes relatifs à la traçabilité et l'identification des animaux et produits animaux (articles L 212-6 à L 212-14,
D 212-36, R 212-40, D 212-65 et textes pris pour leur application).
- les actes concernant le bien-être et la protection des animaux :
5
. par application des articles L 211-6, L 214-1 à L 214-25, du code rural et des textes pris pour leur
application;
. l’exécution des mesures d’urgence pour abréger la souffrance d’animaux (articles R 214-17 et R 21458 du code rural et textes pris pour leur application)
. les actes portant sur les conditions de détention des chiens et chats (R 214-28 et R 214-33 du code
rural et textes pris pour leur application).
-
les actes concernant les animaux dangereux et errants (articles L 211-11 à L 211-28 et R 211-3 à R 211-12
du code rural et textes pris pour leur application).
- les actes relatifs aux certificats de capacité destinés à l'exercice des activités liées aux animaux de compagnie
et d'espèces domestiques (articles R 214-25 à R 214-27 du code rural et textes pris pour leur application).
-
les actes relatifs à l'enregistrement, l'agrément et le contrôle des établissements préparant, manipulant,
entreposant
ou cédant des substances et des produits destinés à l'alimentation des animaux (articles L 235-1 et L 235-2 du
code rural et textes pris pour leur application).
- les actes concernant la fabrication et l’utilisation d'aliments médicamenteux vétérinaires à la ferme (articles
L5143-3 et R 5143-2 du code de la santé publique et des textes pris pour leur application).
- les actes concernant l’hygiène et la sécurité sanitaire des aliments, l’inspection sanitaire et qualitative des
animaux vivants et des denrées animales ou d’origine animale.
- les actes relatifs à l’agrément sanitaire des établissements préparant, traitant, transformant, manipulant ou
entreposant des denrées animales ou d'origine animale destinées à la consommation humaine (article L 233-2 et
L 233-3 du code rural et textes pris pour leur application Les actes, notamment d'enregistrement, d'autorisation,
de dérogation, découlant des textes pris pour application des articles R 231-1 à R 231-59-7 du code rural portant
sur les conditions d'hygiène applicables aux animaux et aux denrées d'origine animales destinées à la
consommation humaine ou animale.
- les décisions, notamment d'agrément, d'attribution de marque de salubrité, découlant des règlements (CE) n
°178/2002, 852/2004, 853/2004, 854/2004 et 882/2004 du Parlement européen et du Conseil (dits du « paquet
hygiène ») et leurs textes pris en application, portant sur l'hygiène des denrées alimentaires destinées à la
consommation humaine et les aliments pour animaux.
- les actes concernant les mesures de destruction, retrait, consignation ou rappel des lots de denrées alimentaires
(article L 232-1 du code rural et L 218-4 et L 218-5 du code de la consommation et textes pris pour leur
application).
- les actes concernant la livraison à l’état cru, pour la nourriture des animaux, de certaines viandes saisies dans
les abattoirs.
- les actes relatifs à l'attribution des patentes pour les étables officiellement indemnes de tuberculose (articles R
224-58 à R 224-65 du code rural).
- les actes concernant les conditions d’élimination des cadavres d’animaux et sous produits animaux tels que
définis dans le règlement CE n° 1774/2002 ainsi que les agréments et autorisations des établissements détenant,
éliminant ou valorisant ces sous-produits non destinés à la consommation humaine (articles L226-1 à L226-9 du
code rural et textes pris pour leur application).
- les actes concernant le contrôle des échanges intracommunautaires et avec les pays tiers des animaux et
aliments, la certification de leur qualité sanitaire, l’agrément des opérateurs et de leurs installations (articles L
236-1, L 236-2, L 236-8 du code rural et textes pris pour leur application).
Concernant les installations classées pour la protection de l’environnement (ICPE) :
. les récépissés de déclarations des installations classées pour la protection de l’environnement ;
. les actes relatifs à l’instruction administrative des dossiers concernant les ICPE, les plans de
prévention des risques technologiques (PPRT) ;
. la présidence des commissions locales d’information et de surveillance créées dans le domaine du
traitement des déchets ;
. les décisions concernant l’inspection des ICPE relevant d'une partie des domaines agricole et
agroalimentaire.
- les actes concernant les conditions d'autorisation de détention d'animaux d'espèces non domestiques et les
conditions de fonctionnement des installations détenant ces animaux (articles L 411-1 à L 411-3, L 412-1, L 4131 à L413-5 du code de l’environnement et textes pris pour leur application).
6
-
la gestion administrative et la présidence de la commission départementale de la nature, des paysages et des
sites (CDNPS) en formation « faune sauvage captive »
Sécurité des produits industriels, protection du consommateur.
-
la présidence de la commission de surendettement des particuliers.
-
les actes administratifs dans les domaines de :
-
-
la protection économique du consommateur relevant des dispositions du code de la consommation :
lettres d'observations, rappels de réglementation …
-
la loyauté des transactions et de la conformité des produits et services mis sur le marché relevant des
dispositions du code de la consommation : lettres d'observations, rappels de réglementation …
tous actes, décisions, arrêtés, documents pris en matière de police administrative visant à :
•
obtenir la mise en conformité par :
- la rectification d'un contrat non-conforme,
- le remboursement de sommes indûment perçues,
- la cessation de pratiques illicites (élaboration d'assignation),
•
contrôler l'application par les professionnels des dispositions législatives, des règlements, des décisions
communautaires ou ministérielles ayant pour objet la protection de la santé ou de la sécurité des
consommateurs, en procédant au besoin à des prélèvements d'enquête,
•
en cas de manquement à la réglementation ou de danger pour la santé publique ou de la sécurité des
consommateurs :
ordonner toutes mesures correctives, notamment le renforcement des autocontrôles, des actions de
formation du personnel, la réalisation de travaux ou d'opérations de nettoyage,
ordonner la suspension de la mise sur le marché, le retrait, le rappel ou la destruction d'un lot de
produits,
ordonner la mise en conformité d'un lot de produits ou d'une prestation de services,
si la mise en conformité d'un lot de produits n'est pas possible, ordonner l'utilisation à d'autres fins, la
réexpédition vers le pays d'origine ou la destruction des marchandises dans un délai fixé,
enjoindre au responsable de la mise sur le marché national de faire procéder, dans un délai fixé, à des
contrôles à ses frais lorsque ce dernier n'est pas en mesure de justifier des vérifications et des
contrôles effectués conformément à l'article L.212-1 du code de la consommation et qu'il existe des
éléments de nature à mettre en doute la conformité d'un produit aux prescriptions relatives à la
sécurité et à la santé des personnes,
procéder d'office, en lieu et place du responsable de la mise sur le marché et à ses frais, à la
réalisation d'un contrôle, lorsqu'un produit n'a pas été soumis au contrôle prescrit,
-
-
•
en cas de danger grave ou immédiat, suspendre la prestation de services réglementée jusqu’à sa mise en
conformité avec la réglementation en vigueur ou pour une durée n'excédant pas 2 mois pour la
prestation de services non-réglementée.
Madame Pauline ANDRIEUX, chef du service santé et protection animales, Monsieur Jean-Paul GERNOUX,
chef du service qualité et sécurité des aliments, Madame Camille DRONNE, chef du service environnement –
nature, Monsieur Pierre AUGIER de LAJALLET, chef du service sécurité des produits industriels – protection
du consommateur, sont également habilités dans la limite de leurs attributions exercées au sein du service dont
ils ont la charge, à présider les commissions, à signer les actes pour lesquels une subdélégation à été accordée à
Monsieur Pierre LECOULS en sa qualité de sous-directeur de la veille sanitaire, de la sécurité alimentaire et de
la protection du consommateur.
En cas d’absence concomitante de Monsieur Pierre LECOULS et de Monsieur Pierre AUGIER de LAJALLET,
la subdélégation est accordée à Monsieur Jean-Paul GERNOUX.
En cas d’absence concomitante de Monsieur Pierre LECOULS et de Monsieur Jean-Paul GERNOUX , la
subdélégation est accordée à Monsieur Pierre AUGIER DE LAJALLET.
7
En cas d’absence concomitante de Monsieur Pierre LECOULS et de Madame Camille DRONNE
subdélégation est accordée à Madame Pauline ANDRIEUX.
,
la
En cas d’absence concomitante de Monsieur Pierre LECOULS et de Madame Pauline ANDRIEUX, la
subdélégation est accordée à Madame Camille DRONNE.
Monsieur Philippe GALBRUN , en cas d’absence des personnes ayant subdélégation pour les actes relevant du
service sécurité des produits industriels, protection du consommateur est habilité à signer ces documents.
Madame Carole DEVOUGE, en sa qualité de responsable de l’assurance qualité est habilitée à signer toutes les
pièces relevant de la démarche qualité.
Monsieur Stéphane FEVRIER, en sa qualité de responsable du contentieux civil et pénal, est habilité à signer
toutes les pièces relevant de ce contentieux. Les notes de présentation et réponses aux demandes du Parquet
seront prélablement visées par le chef de service concerné.
Une copie de la présente décision sera transmise à Monsieur le Préfet d’Eure-et-Loir et sera publiée au Recueil
des Actes Administratifs.
3.5. 22/06/2010--Subdélégation de signature en matiére
financière au sein de la direction départementale de la
cohésion sociale et de la protection des populations
( Délégation de signature en matière financière )
Subdélégation de signature en matière financière au sein de la direction départementale de la
cohésion sociale et de la protection des populations
La directrice départementale de la cohésion sociale
et de la protection des populations,
DECIDE
Monsieur Pierre LECOULS, Directeur adjoint, et Madame Catherine DESCHAMPS-RAK, chef du service des
fonctions supports sont habilités à signer toutes les pièces administratives de gestion concernant les BOP visés
dans l’arrêté préfectoral du 15 février 2010 portant délégation de signature
.
Une copie de la présente décision sera transmise à Monsieur le Préfet d’Eure-et-Loir et publiée au recueil des
actes administratifs.
3.6. 29/06/2010-2010-0535-Arrêté portant extention de la
capacité du centre d'accueil pour demandeur d'asile de
Chateaudun géré par le Comité d'Accueil pour les
Travailleurs en Eure et Loir ( Hébergement logement )
Extrait de l’ARRÊTÉ N°2010-0535 du 29 juin 2010
Article 1er :
Le Comité d’Accueil pour les Travailleurs en Eure et Loir est autorisé à créer 10
places supplémentaires au Centre d’Accueil pour Demandeurs d’Asile de Châteaudun
dont il assure la gestion.
La capacité du Centre d’Accueil pour Demandeurs d’Asile de Châteaudun est ainsi
portée de 40 places à 50 places.
Article 2 :
Un arrêté préfectoral fixe annuellement la dotation globale de financement allouée au
Centre d'Accueil pour Demandeurs d’Asile de Châteaudun géré par le Comité
d’Accueil pour les Travailleurs en Eure et Loir.
Article 3 :
Les règles de fonctionnement du Centre d'Accueil pour Demandeurs d’Asile de
Châteaudun géré par le Comité d’Accueil pour les Travailleurs en Eure et Loir sont
définies par la convention conclue entre l'association gestionnaire et le préfet de
département en date du 24 novembre 2009.
Article 4 :
Une copie du présent arrêté sera notifiée au Comité d’Accueil pour les Travailleurs en
Eure et Loir.
Article 5 :
Le présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs.
Article 6 :
Le présent arrêté peut être contesté dans le délai de deux mois à compter de la
réception de sa publication ou, pour les personnes auxquelles il a été notifié, à compter
de sa notification en formulant :
- un recours gracieux auprès de Monsieur le Préfet d'Eure-et-Loir ;
- un recours hiérarchique auprès de Monsieur le Ministre de l’immigration, de
l’intégration, de l’identité nationale et du développement solidaire;
- un recours contentieux devant le tribunal administratif d'Orléans, 28 rue de la
Bretonnerie – 45 057 ORLEANS.
Article 7 :
Le Secrétaire Général de la préfecture, la Directrice générale des finances publiques et
la Directrice Départementale de la Cohésion Sociale et de la Protection des
Populations sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent
arrêté.
4. DT
4.1. 04/06/2010-2010-0459-relatif à la composition et au
fonctionnement de la sous-commission départementale pour
l'accessibilité des personnes handicapées ( Sécurité ( ERP et
plans de secours) )
Extrait de l'arrêté N° 2010-0459 du 4 juin 2010
Article 1er - La Sous-Commission Départementale pour l'Accessibilité des Personnes handicapées est présidée
par un membre du corps préfectoral. Il peut se faire représenter par le Directeur Départemental des Territoires ou
par la Directrice Départementale de la Cohésion Sociale et de la Protection des Populations ou son suppléant, ou
par leurs suppléants qui dispose alors de sa voix.
Article 2 - Elle est composée comme suit :
Membres à voix délibérative :
a) Pour toutes les attributions de la commission :
−
−
−
−
le Directeur Départemental des Territoires ou son suppléant ;
la Directrice Départementale de la Cohésion Sociale et de la Protection des Populations ou son
suppléant ;
le Maire de la commune concernée ou un Adjoint ou un Conseiller Municipal ;
quatre représentants des associations de personnes handicapées
Titulaires
Monsieur Roland DUVAL – ADAPEI – Les Papillons Blancs d'Eure-et-Loir
Madame Catherine LABBEY – Association des Paralysés de France
Monsieur Jean MONCHATRE – Président de "Voir Ensemble"
Monsieur Michel TROUILLARD – Association André Beulé
−
−
−
−
−
−
−
−
−
−
−
−
−
−
−
−
−
−
−
−
−
−
−
−
−
Suppléants
Monsieur Guy ALLICO – Association des Paralysés de France
Madame Christiane ARRONDEAU – Fédération des Clubs Ruraux des Ainés d'Eure-et-Loir
Monsieur BARTHELEMY – Association "Vers l'autonomie"
Madame Brigitte BESNARD – Association "Autisme Eure et Loir"
Monsieur BONNET – Association "Anaïs Espoir et Vie"
Monsieur Christophe CHARMOIS – Association des Paralysés de France
Monsieur André DURAND – Association "Vers l'autonomie"
Monsieur Jean-François DUTHIL – ADAPEI
Monsieur EMERAUX – "Voir ensemble"
Monsieur Christian HARDY – ADAPEI
Monsieur Yves JOUVE – Université Chartraine du Temps Libre
Monsieur Vincent LECUYER – Association "Autisme Eure et Loir"
Monsieur Yves LEGRAND – Université du Temps Libre de Maintenon
Monsieur Serge MAUGUIN – Fédération Nationale des Accidentés du Travail et des Handicapés
Madame Martine MANDEGOU - "Voir Ensemble"
Monsieur Guy MELEARD – "Voir ensemble"
Monsieur ORTET – Association "Anaïs Espoir et Vie"
Monsieur Bertrand PAICHOUX – Institut des jeunes sourds André Beulé
Madame Cécile PEAN-PEDROSA – Association "Autisme Eure et Loir"
Madame Chantal ROSIER – Association des Paralysés de France
Monsieur Hervé SOLA – Association "Autisme Eure et Loir"
Monsieur Patrick VALLET – Association des Paralysés de France
Monsieur Jean-Marie VOECKER – ADAPEI
Monsieur Thierry VOGEL – Association des Paralysés de France
Monsieur JM ZORZI – Association Notre Dame – Directeur de la Maison d'accueil spécialisée
-
b) En fonction des affaires traitées :
trois représentants des propriétaires et gestionnaires de logements
Titulaires
− Monsieur Guy AUBERT – Association de défense des propriétaires de la Villette et St-Prest
− Madame Elisabeth FROMONT – Chartres Habitat
− Monsieur Christian GIGON – Conseiller général - Maire de CHAMPHOL

Suppléants
− Madame Janine MILON – Chartres Habitat
trois représentants des propriétaires et exploitants d'établissements recevant du public
Titulaires
− Monsieur Jean-Marc JUILLARD – CG / Direction du Patrimoine et de la logistique
• Monsieur Pascal NOYON – Chambre des Métiers
− Monsieur Bernard GOUIN – Maire de FLACEY

−
−
−
−
−
−
−
Suppléants
Monsieur Frédéric GIROUX – CG / Direction du Patrimoine et de la logistique
Monsieur Eric GOURON – CG / Direction du Patrimoine et de la logistique
Monsieur Dominique VAN DER STUYFT - Chambre des Métiers
Madame Evelyne LEFEBVRE – Maire de BÛ
Monsieur Roger BOYER – Maire de SAINT-MARTIN DE NIGELLES
Monsieur André BRAULT- Maire de Dampierre sous Brou
Madame Chantal BERNIER- Maire de Chartainvilliers
trois représentants des maîtres d'ouvrages et gestionnaires de voiries ou d'espace public
Titulaires
− Monsieur Denis SAUTEREY – CG / Direction des infrastructures routières
− Monsieur Gilles ROUSSELET – Maire de MONTHARVILLE
− Monsieur Gérard FOURRE – Maire de VER LES CHARTRES

Suppléants
− Monsieur Michel ROTAT – CG / Direction des services routiers
− Monsieur François DAGRON – Maire de GAS
Membres avec voix consultative :


le Chef de l'unité territoriale de la direction régionale des affaires culturelles (ex-SDAP) ;
les autres représentants des services de l'Etat, membres à voix délibérative de la Commission
Consultative Départementale de Sécurité et d'Accessibilité dont la présence s'avère nécessaire pour
l'examen des dossiers inscrits à l'ordre du jour.
Le Président peut appeler à siéger, à titre consultatif, les administrations intéressées ainsi que tout expert
susceptible, en raison de sa compétence technique, d'être associé aux travaux de la commission.
Pour la profession d'architecte, il s'agira de ceux désignés pour siéger à la Commission Consultative
Départementale de Sécurité et d'Accessibilité.
Article 3 - En cas d'absence des représentants des services de l'Etat ou de leur suppléants, du maire de la
commune concernée ou de son suppléant, ou faute de leur avis écrit motivé, la sous commission ne peut
délibérer.
En cas d'avis écrit et motivé, la présence effective de la moitié des membres ayant voix délibérative dont l'avis
est sollicité, y compris les membres ayant donné mandat, est requise afin que la sous commission délibère
valablement.
Article 4 - Les décisions sont prises à la majorité des membres présents ayant voix délibérative. En cas de
partage des voix, la voix du président est prépondérante. Les avis écrits et motivés sont pris en compte lors du
vote.
Article 5 - La Sous-Commission est chargée pour l’ensemble du département :
- d'examiner les projets de travaux conduisant à la création, l'aménagement ou la modification
des Etablissements Recevant du Public du département que l'exécution de ces travaux soit ou
ne soit pas subordonnée à la délivrance d'un permis de construire ;
- d'examiner les demandes de dérogations aux dispositions relatives à l'accessibilité aux
personnes handicapées des établissements et installations recevant du public ;
- d'examiner les demandes de dérogations aux dispositions relatives à l'accessibilité aux
personnes handicapées des logements ;
- d'examiner les demandes de dérogations aux dispositions relatives à l'accessibilité aux
personnes handicapées des lieux de travail ;
- d'examiner les demandes de dérogations aux dispositions relatives à l'accessibilité aux
personnes handicapées ou à mobilité réduite de la voirie et des espaces publics ;
- de procéder à l'issue de la réalisation des travaux, aux visites d'ouverture des Etablissements
Recevant du Public à l'exception des établissements pour lesquels l'attestation prévue à
l'article L.111.7.4 du code de la construction et de l'habitation doit être fournie et des
établissements de 5ème catégorie ne disposant pas de locaux d'hébergement pour le public.
Article 6 - Le Directeur Départemental des Territoires ou son représentant rapporte, en qualité de conseiller
technique, les dossiers devant la Sous-Commission sauf en ce qui concerne les dossiers relatifs aux lieux de
travail pour lesquels le Directeur Départemental du Travail et de l'Emploi ou son représentant rapporte les
affaires examinées.
Article 7 - Le secrétariat de la Sous-Commission est assuré par la Direction Départementale des Territoires.
Toutefois, lorsque cette instance doit se joindre à la Sous-Commission départementale pour la sécurité contre
les risques d'incendie et de panique dans les Etablissements Recevant du public et les Immeubles de Grande
Hauteur pour les visites d'ouverture, le secrétariat de la Sous-Commission est assuré par le Service
Interministériel de Défense et de Protection Civile en liaison avec la Direction Départementale des
Territoires.
Article 8 - Il est institué auprès de la sous-commission départementale d’accessibilité un groupe de visite
comprenant :
− le Directeur Départemental des Territoires ou l’un de ses suppléants, rapporteur,
− le maire de la commune concernée ou son représentant,
− un représentant des associations de personnes handicapées.
Le groupe se réunit valablement si son quorum est vérifié.
Le groupe de visite établit un rapport à l'issue de chaque visite. Le rapport est signé par l'ensemble des
membres présents en faisant apparaître la position de chacun. Ce rapport est conclu par une proposition
d'avis.
L’avis proposé par le rapporteur du groupe de visite ne peut être que favorable ou défavorable.
En cas d'avis favorable, il peut être assorti de recommandations.
En cas d'avis défavorable, il doit être motivé.
Ce rapport permettra à la sous-commission départementale de délibérer et valider.
Article 9 - L'arrêté préfectoral n° 2009-0218 du 9 mars 2010 relatif à la composition et au fonctionnement de
la sous-commission départementale pour l'accessibilité des personnes handicapées est abrogé.
Article 10 - M. le Secrétaire Général de la Préfecture, Messieurs et Madame le Sous-Préfet, Monsieur le
Directeur de Cabinet, M. le Directeur Départemental des Territoires, Mme la Directrice Départementale de la
Cohésion Sociale et de la Protection des Populations, M. le Chef de l'unité territoriale de la Direction
Régionale des Affaires Culturelles sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté
qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.
4.2. 07/06/2010-2010-0465-Portant prescriptions particulières
complémentaires pour l¿exploitation des ouvrages prélevant
de l¿eau et fixation pour l¿année 2010 du volume prélevable
par chaque agriculteur dans le complexe aquifère de
BEAUCE aux fins d¿irrigation ( Environnement )
Extrait de l’arrêté n° 2010 – 0465 du 7 juin 2010
ARTICLE 1 – Il est fixé pour chaque irrigant qui exploite un ou plusieurs forages dans le complexe aquifère de
Beauce pour l’irrigation de ses cultures, un volume maximal prélevable annuellement, en moyenne et en
situation de nappe haute, appelé volume de référence individuel. Ce volume de référence a été ajusté cette
année par application d'un coefficient de 0,80 pour tenir compte du volume maximal prélevable pour l'irrigation
à partir de la nappe de Beauce fixé par les SDAGE Loire-Bretagne et Seine-Normandie. Ce volume de référence
individuel attribué à chaque exploitant figure en annexe 1 de l’arrêté.
ARTICLE 2 – Le volume de référence individuel défini à l’article 1 fait l’objet d’une réduction de 0,71
annoncée par les arrêtés cadre régionaux des bassins Seine -Normandie et Loire -Bretagne du 9 avril
2010. Ce volume de référence réduit est le produit du volume de référence individuel par le coefficient
attribution annuel de 0,71.
A ce volume de référence réduit est déduit lorsqu'il existe le dépassement du volume de référence
annuel 2009. Le résultat donne le volume de référence annuel de l’année 2010. Les calculs pour chaque
exploitant et par unité de prélèvement sont définis en annexe 1. Cette réduction ne donne pas droit à
une indemnisation.
ARTICLE 3 – Le volume de référence annuel est strictement respecté sans tolérance de dépassement
-- PRESCRIPTIONS SPECIFIQUES-ARTICLE 4 - Les installations, ouvrages et travaux sont situés, installés et exploités conformément à la
réglementation existante notamment :
- Chaque point de prélèvement est équipé d’un compteur volumétrique plombé agréé par
l’administration,
- L’ouvrage est protégé de toute source de pollution,
ARTICLE 5 - Toute modification des ouvrages, de l’installation ou de leur mode d’exploitation, et de nature à
entraîner un changement notable des éléments du dossier de demande d’autorisation, est portée, avant sa
réalisation, à la connaissance du Préfet avec tous les éléments d’appréciation de son incidence sur le milieu
aquatique.
ARTICLE 6 - Le déclarant est tenu de noter sur un registre spécial fourni en annexe 2, ouvert à cet effet, mois
par mois, les consommations pour chacun des ouvrages.
Ces informations sont tenues à la disposition des agents de l’administration et envoyées avant le
15 novembre de l’année sur demande expresse de Monsieur le Préfet.
-- CLAUSE DE PRECARITE -ARTICLE 7 – Les prélèvements, déversements ou tout usage de l’eau peuvent être suspendus ou limités
provisoirement par arrêté préfectoral pour faire face aux situations ou aux menaces d’accidents, de sécheresse,
d’inondations ou risque de pénurie sans que le pétitionnaire puisse prétendre à aucune indemnité ni
dédommagement quelconque. Les mesures de restriction sont définies par l’arrêté préfectoral définissant le cadre
des mesures de restriction pour la nappe de BEAUCE.
Le déclenchement de ces mesures est constaté par arrêté préfectoral qui sera notifié et affiché en mairie.
Ces données sont également consultables sur le site internet de la DDT. - http://www.ddaf28.agriculture.gouv.fr/.
1. - DISPOSITIONS ADMINISTRATIVES ARTICLE 8 - La présente autorisation est accordée pour l’année 2010, à compter de la date de notification au
bénéficiaire.
ARTICLE 9 - En cas d'incidents ou de pollutions accidentelles, le bénéficiaire de l’autorisation en avertira
immédiatement le Préfet, Service chargé de la Police de l’Eau. Sans préjudice des mesures que pourra prescrire
le Préfet, il prendra toutes les mesures utiles pour mettre fin à la cause de l’incident ou de l’accident portant
atteinte au milieu aquatique, pour évaluer leurs conséquences et y remédier et adressera sous 15 jours un compterendu sur l'origine, la nature et les conséquences de l'accident ainsi que les mesures qui auront été prises pour y
remédier et éviter qu'il ne se reproduise.
ARTICLE 10 - Les agents des services publics, notamment ceux du service chargé de la Police de l’Eau,
doivent constamment avoir libre accès aux installations autorisées.
Le permissionnaire doit, sur leur réquisition, mettre les fonctionnaires chargés du contrôle à même de
procéder à toutes les mesures de vérification et expériences utiles pour constater l'exécution du présent
arrêté.
Les mesures doivent pouvoir être faites dans de bonnes conditions de précision.
ARTICLE 11 - L’autorisation faisant l’objet du présent arrêté est donnée sans préjudice de l’application de
toutes autres réglementations générales ou particulières dont les travaux ou aménagements prévus pourraient
relever, notamment des dispositions relatives aux codes de l'urbanisme, de la santé publique. Le bénéficiaire
devra se conformer également à toutes prescriptions qui pourraient lui être ultérieurement imposées dans l'intérêt
de l'hygiène et de la salubrité publique.
ARTICLE 12 - Les droits des tiers sont et demeurent expressément réservés.
ARTICLE 13 - La présente décision peut faire l'objet d'un recours gracieux auprès du Préfet ou d'un recours
hiérarchique auprès du Ministre compétent. Elle ne peut, en vertu de l'article L. 214-10 du Code de
l'Environnement être déférée qu’auprès du Tribunal Administratif compétent. Le délai de recours contentieux est
de deux mois pour le demandeur ou l'exploitant et commence à courir du jour où la présente décision est notifiée.
Pour les tiers, le délai de recours contentieux est de 4 ans à compter de la publication ou de l'affichage de la
présente décision.
ARTICLE 14 – Monsieur le Secrétaire Général de la préfecture d’Eure et Loir, Monsieur le Sous Préfet,
Monsieur le Maire de la commune concernée, Monsieur le Directeur Départemental des Territoires, les agents
de l’Office National de l’eau et des Milieux Aquatiques, le Colonel, commandant le Groupement de
Gendarmerie de L’Eure et Loir sont chargés chacun en ce qui le concerne de l’exécution du présent arrêté qui
sera publié au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture et qui sera notifié au pétitionnaire
4.3. 08/06/2010-2010-0466-renouvellement d'agrément d'un
établissement de la conduite des véhicules terrestres à
moteur "ECOLE DE CONDUITE CENTRALE", sis 16, Place de
l'Etoile à NOGENT LE ROI ( Circulation routière )
Extrait de l'arrêté N° 2010-0466 du 8 JUIN 2010
ARTICLE 1er : L'agrément N° E 05 028 0303 0 est renouvelé pour une période de 5 ans à compter du 1er Juillet
2010.
ARTICLE 2 : Madame Francesca PEZZANO-ORDIONI est la gérante et la responsable pédagogique de
l'établissement de la conduite des véhicules terrestres à moteur et de la sécurité routière, sis 16, Place de l'Etoile
à NOGENT le ROI .
ARTICLE 3 : L'établissement "ECOLE DE CONDUITE CENTRALE" est agréé pour :
-l'apprentissage traditionnel de la conduite des véhicules de la catégories B
-l'apprentissage anticipé de la conduite (A.A.C.)
pour une durée de cinq ans renouvelable à l'initiative de la bénéficiaire.
ARTICLE 4 : Le gérant désigné à l'article 2 devra afficher dans les locaux de l'établissement :
- le ou les programmes de formation conformes aux objectifs pédagogiques retenus par le programme national de
formation à la conduite, définis par l'arrêté du 23 janvier 1989 ;
- le numéro de l'agrément mentionné à l'article 1 du présent arrêté ;
- le nom et qualité du responsable pédagogique de l'établissement ;
- la liste détaillée des prestations proposées et leurs tarifs ;
- le nombre théorique du public admissible dans l'établissement au regard de la réglementation des
Etablissements Recevant du Public (capacité inférieure à 20 personnes si le local ne dispose que d'une seule
issue).
ARTICLE 5 : Le gérant devra se conformer également à toutes les autres dispositions des arrêtés ministériels du
8 janvier 2001 et du 17 décembre 2003 déjà cités.
ARTICLE 6 : Il devra signaler à la Direction Départementale des Territoires d'Eure et Loir tout changement qui
pourrait intervenir dans le fonctionnement de son établissement :
- changement de statut juridique ;
- modification des locaux ;
- changement, extension à d'autres catégories, des types de formation dispensés dans l'établissement ;
- changement du responsable pédagogique ;
- conventions d'utilisation de ressources matérielles et humaines passées avec d'autres établissements
d'enseignement de la conduite des véhicules terrestres à moteur et de la Sécurité Routière
ARTICLE 7 : Le présent renouvellement d'agrément est accordé sous réserve du respect des règles de sécurité
prévues par le Code de la Construction et de l'Habitation pour ce genre d'établissement.
ARTICLE 8 : L'agrément renouvelé par le présent arrêté en faveur de l'établissement "ECOLE DE CONDUITE
CENTRALE", sis à NOGENT LE ROI peut être retiré dans les conditions énoncées par les articles 12 et suivants
de l'arrêté ministériel du 8 janvier 2001 déjà cité.
ARTICLE 9 : Le Directeur Départemental des Territoires d'Eure-et-Loir est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture d'Eure et Loir et dont un exemplaire sera
transmis Madame Francesca PEZZANO-ORDIONI.
Une copie de cet arrêté sera adressée à :
MM. les membres de la Commission Départementale de la Sécurité Routière (section spécialisée "conduite
et enseignement de la conduite")
M. le Directeur Départemental du Travail et de l'Emploi ;
M. le Directeur des Services Fiscaux
M. le Directeur de l'U.R.S.S.A.F. ;
Monsieur le Maire de NOGENT LE ROI
4.4. 22/06/2010-2010-0468-Agrément de personne pour
formation spécifique des conducteurs, en vue de la
reconstitution partielle du nombre de points initial de leur
permis de conduire ( Circulation routière )
Extrait de l'arrêté N° 2010-0468 du 22 juin 2010
Article 1er : Monsieur Bruno TRIQUET est agréé et donne délégations de signatures à Monsieur Raphael
DIEUMEGARD, responsable du Centre d’Education Routière «FORGET Formation» dans le département
d'Eure et Loir afin d’organiser la formation spécifique destinée aux conducteurs responsables d’infractions,
dispensée dans les locaux du Centre d’Education Routière FORGET Formation 6, rue Georges CHARPAK à
MAINVILLIERS, en application des décret et arrêté du 25 juin 1992.
Article 2 : M. Bruno TRIQUET ou son représentant M. Raphael DIEUMEGARD, sont chargés de délivrer
les attestations de suivi de stage prévues par les textes.
Article 3: M. Bruno TRIQUET ou son représentant M. Raphael DIEUMEGARD, doivent transmettre à
l'issue de chaque séance de formation, dans un délai de 15 jours, (art R 223-8 du Code de la Route) aux adresses
suivantes :
1) Préfecture d'Eure et Loir place de la République 28000 CHARTRES – Bureau des usagers de la route
- Copie de chacune des attestations individuelles.
2) Direction Départementale des Territoires d'Eure et Loir (service SERBÂ/BRRT) 17, place de la
République 28019 - CHARTRES Cedex
- Les effectifs des stagiaires accueillis, selon le type de stage (cas n°1 à cas n°4), en utilisant l'imprimé annexe I.
Article 4: Le responsable du centre de formation agrée transmettra avant le 31 janvier de chaque année à la
Direction Départementale des Territoires d'Eure et Loir (R223-9 du Code de la Route) :
- Pour l'année écoulée; - le programme, le contenu et le calendrier des stages réalisés, les effectifs des stagiaires
accueillis et la liste des formateurs employés en utilisant l'imprimé annexe II.
- Pour l'année en cours, le programme, le contenu et le calendrier prévisionnel des stages et la liste des
formateurs pressentis
Article 5: L'agrément pourra être retiré s'il apparaît que les obligations mises à la charge du titulaire de
l'agrément ont été méconnues.
Article 6: Le titulaire du présent agrément ou son représentant devra signaler le plus rapidement possible toutes
modifications relatives à son dossier d'agrément ainsi que toute annulation de stage.
Article 7: L’arrêté Préfectoral n° 2009-0907 du 2 décembre 2009 est abrogé
Article 8: Monsieur le Directeur Départemental des Territoires d'Eure et Loir est chargé de l'exécution du
Présent arrêté qui sera publié au recueil des Actes Administratifs de la Préfecture d'Eure et Loir et transmis à
Messieurs Bruno TRIQUET et Raphael DIEUMEGARD, de «FORGET Formation» dont le siège social est situé
26, Boulevard des Bretonnières PB 246 – 37302 JOUE-LES-TOURS Cedex.
Une copie de cet arrêté sera adressée à :
- Monsieur le Préfet d'Eure et Loir
- M le Directeur Départemental du Travail et de l’Emploi ;
- M le Directeur des Services Fiscaux ;
- M le Directeur de l’URSSAF ;
- M le Maire de MAINVILLIERS.
4.5. 23/06/2010-2010-0510-Agrément d'un établissement de la
conduite des véhicules terrestres à moteur, "AUTO-ECOLE
LUISANTAISE" sis 2, Rue de la République à LUCE
(Circulation routière)
Extrait de l'arrêté N° 2010-0510 du 23 juin 2010
ARRETE:
ARTICLE 1er : Monsieur Patrice FOURNIER, est autorisé à exploiter l'établissement d'enseignement de la
conduite des véhicules terrestres à moteur sis 2, rue de la République à LUCE et dénommé “AUTO-ECOLE
LUISANTAISE” à compter du 22 Juin 2010. ..
ARTICLE 2 : L'établissement « AUTO-ECOLE LUISANTAISE » sis à LUCE est agréé sous le numéro E10
028 0340 0 pour :
- l'apprentissage anticipé de la conduite (A.A.C.)
-l'apprentissage traditionnel de la conduite des véhicules des catégories A-A1- B-B1-EB
-La formation au Brevet de Sécurité Routière (B.S.R.)
-Le Permis à 1 Euro
pour une durée de cinq ans renouvelable à l'initiative du bénéficiaire, dans les délais et sous la forme prescrits
par les textes
ARTICLE 3 : Monsieur Patrice FOURNIER est nommé gérant et responsable pédagogique de l'établissement.
ARTICLE 4 : Le gérant désigné à l'article 3 devra afficher dans les locaux de l'établissement :
- le ou les programmes de formation conformes aux objectifs pédagogiques retenus par le programme national de
formation à la conduite, définis par l'arrêté du 23 janvier 1989 ;
- le numéro de l'agrément mentionné à l'article 2 du présent arrêté ;
- le nom et qualité du responsable pédagogique de l'établissement ;
- la liste détaillée des prestations proposées et leurs tarifs ;
- le nombre théorique du public adminissible dans l'établissement au regard de la réglementation des
Etablissements Recevant du Public (capacité inférieure à 20 personnes si le local ne dispose que d'une seule
issue).
ARTICLE 5 : Le gérant devra se conformer également à toutes les autres dispositions des arrêtés ministériels du
8 janvier 2001 et du 17 décembre 2003 déjà cités.
ARTICLE 6 : Il devra signaler à la Direction Départementale des Territoires de l'Eure et Loir tout changement
qui pourrait intervenir dans le fonctionnement de son établissement, notamment :
- changement de statut juridique ;
- modification des locaux ;
- changement, extension à d'autres catégories, des types de formation dispensés dans l'établissement ;
- changement dans l'équipe pédagogique ;
- conventions d'utilisation de ressources matérielles et humaines passées avec d'autres établissements
d'enseignement de la conduite des véhicules terrestres à moteur et de la Sécurité Routière
ARTICLE 7 : Le présent agrément est accordé sous réserve du respect des règles de sécurité prévues par le
Code de la Construction et de l'Habitation pour ce genre d'établissement.
ARTICLE 8 : L'agrément octroyé à l'établissement « Auto-Ecole LUISANTAISE» sis à LUCE, par le présent
arrêté, peut être retiré dans les conditions énoncées par les articles 12 et suivants de l'arrêté ministériel du 8
janvier 2001 déjà cité.
ARTICLE 9 : Le Directeur Départemental des Territoires de l'Eure-et-Loir est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture et dont un exemplaire sera transmis à
Monsieur Patrice FOURNIER.
Une copie de cet arrêté sera adressée à :
- MM. les membres de la Commission Départementale de la Sécurité Routière (section spécialisée "conduite et
enseignement de la conduite") ;
- M. le Directeur Départemental du Travail et de l'Emploi ;
- M. le Directeur des Services Fiscaux ;
- M. le Directeur de l'U.R.S.S.A.F. ;
- Monsieur le Maire de LUCE.
4.6. 24/06/2010-2010-0532-Arrêté préfectoral relatif à la chasse
du sanglier du 1er juin au 14 août 2010 (Environnement)
Extrait de l'arrêté N° 2010-0532 du 24 juin 2010
"
Article 1er : La chasse du sanglier peut être pratiquée à l’approche ou à l’affût, sur autorisation préfectorale
individuelle du 1er juin au 14 août 2010 sur les territoires à vocation agricole.
Article 2 : Les autorisations individuelles sont accordées selon les critères suivants :
1) Critères d’autorisation


présence avérée de sangliers et ou de dégâts,
après consultation de la Fédération Départementale des Chasseurs.
2) Autorisation






autorisation délivrée au détenteur du droit de chasse, ou au fermier, ou à toute personne désignée par
l’un ou l’autre,
autorisation de ne prélever que les animaux de moins de 60 kilos,
Interdiction de prélever les laies suitées,
permis de chasser obligatoire,
imprimé à demander à la D.D.T.,
retour de la carte de prélèvement à la Fédération des Chasseurs dans les 72 heures suivant le tir.
Article 3 - M. le Secrétaire Général de la Préfecture, M. le Directeur Départemental des Territoires, M. le
Lieutenant-Colonel, commandant le Groupement de Gendarmerie d’Eure et Loir, M. le Chef du Service
Départemental de l’Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage, sont chargés, chacun en ce qui le
concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs et affiché dans
toutes les communes.
4.7. 30/06/2010-2010-0536-De mesures de limitation progressive
des usages de l’eau sur les rivières ( Environnement )
Extrait de l’arrêté N° 2010 – 0536 en date du 30 juin 2010
Article 1 :-
La situation des bassins hydrographiques concernés par des mesures de limitation est la
suivante :
Sont en situation d'alerte, les bassins hydrographiques suivants :
-
l'Aigre,
le Loir, de l'aval de Saint-Maur-sur-le-Loir à la sortie du département,
l'Ozanne, de la source jusqu'à Brou inclus,
la Roguenette,
la Voise, de l'aval de Oinville-sous-Auneau jusqu'à l'Eure.
a) irrigation
Les prélèvements pour l’irrigation sont autorisés trois jours par semaine conformément au calendrier joint aux
arrêtés d’autorisation lorsqu’ils existent, ou adressé par courrier dans le cas contraire. A défaut de calendrier, ils
sont autorisés les lundis, mercredis et vendredis.
Sont en situation de crise, les bassins hydrographiques suivants :
- le Loir, de l'aval de Saumeray jusqu'à Saint-Maur-sur-le-Loir inclus,
- la Voise de la source jusqu'à Oinville-sous-Auneau inclus.
a) irrigation
Les prélèvements pour l’irrigation sont autorisés un jour par semaine et peuvent être mutualisés conformément
au calendrier joint aux arrêtés d’autorisation lorsqu’ils existent, ou adressé par courrier dans le cas contraire. A
défaut de calendrier, ils sont autorisés les lundis.
b) autres usages par prélèvement direct dans les cours d'eau mentionnés ci-dessus
Le lavage des véhicules est interdit.
L’arrosage des espaces verts, des terrains de sport et des golfs est interdit entre 10 heures et 20 heures.
L’arrosage des jardins privés est interdit entre 10h00 et 20h00.
Le remplissage des piscines est interdit sauf si chantier en cours
L’alimentation des plans d’eau à partir des cours d’eau, y compris par dérivation, est interdite.
Sont en situation de crise renforcée, les bassins hydrographiques suivants :
-
l'Egvonne,
le ruisseau de Vacheresse.
a)irrigation
Les prélèvements pour l’irrigation sont interdits.
b) autres usages par prélèvement direct dans les cours d'eau mentionnés ci-dessus
Le lavage des véhicules est interdit.
Le lavage des voiries, sauf impératif sanitaire, l’écoulement permanent des bassins et fontaines à jet d’eau,
sauf fonctionnement en circuit fermé, l’arrosage des espaces verts, des terrains de sport, des jardins privés,
des pelouses et des golfs, à l’exception des « greens et départs », ainsi que le remplissage des piscines, à
l’exception des bassins en construction, est interdit. L’arrosage des « greens et départs » est interdit entre 10
heures et 20 heures.
L’alimentation des plans d’eau à partir des cours d’eau, y compris par dérivation, est interdite.
Les prélèvements d’eau pour des usages industriels et commerciaux sont limités au strict nécessaires. Les
Installations Classées pour l’Environnement se conforment à leur arrêté.
Des dérogations aux dispositions du présent article pourront être accordées par le service de police de l'eau sur
demande écrite préalable dûment motivée conformément à l'arrêté cadre du 28 mai 2010.
Article 2 Les restrictions sont applicables dès le lendemain 8 h qui suit le jour de réception en mairie du présent
arrêté.
Article 3
Dès le franchissement du seuil de vigilance, toute manœuvre d’ouvrage (vannage, barrage)
situé sur le cours d’eau et ses affluents naturels ou artificiels (biefs de moulin), conduisant, en phase de
remplissage de la retenue, à limiter le débit écoulé en aval, est interdite, sauf si elle est nécessaire au non
dépassement de la cote légale de retenue, ou à la lutte contre l’inondation des terrains riverains en amont. Des
dérogations à cette disposition pourront être accordées par le service en charge de la police de l’eau sur demande
écrite préalable dûment justifiée.
Article 4 Les mesures de limitation progressive des usages de l’eau mentionnées à l’article 1 du présent arrêté
prennent fin au plus tard le 15 octobre 2010.
Article 5 - Monsieur le Secrétaire Général de la Préfecture, Mesdames et Messieurs les Sous-préfets, Monsieur
le Directeur Départemental des Territoires, Mesdames et Messieurs les Maires, le Colonel Commandant le
Groupement de la Gendarmerie d'Eure-et-Loir sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du
présent arrêté qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture et affiché dans toutes les
communes concernées.
4.8. 30/06/2010-2010-0558-Convention de transfert du Parc de
l'Equipement au Conseil Général d'Eure-et-Loir ( Collectivités
locales ( sauf interco.) )
Extrait de la décision N° 2010-0558 du 30 juin 2010
Article 1 : Consistance du service à transférer
En application de l'article 1 de la loi n° 2009-1291 du 26 octobre 2009 relative au transfert aux départements des
Parcs de l’équipement et à l’évolution de la situation des ouvriers des parcs et ateliers, le service du Parc
départemental de l'équipement est transféré globalement au Département d’Eure-et-Loir à la date du 1er janvier
2011.
Article 2 : Emplois à transférer
Dans le cadre du transfert du service visé à l'article 1 de la présente convention, 59 emplois physiques
(équivalents à 58,70 ETP) sont transférables au Département d’Eure-et-Loir. Ils se répartissent ainsi :
Emplois rémunérés sur le compte de commerce :
48 ouvriers des parcs et ateliers, répartis en :
11 OPA pour la maîtrise (de chefs d’équipes à responsables de section) et 37 OPA pour le
personnel ouvrier, soit un effectif de 48 personnes au 31/12/2010, représentant 48 ETP (Equivalent
Temps Plein).
-
1 agent non titulaire :
1 agent de droit privé, Contrat « Berkani », à raison de 100 h de travail/mois, soit 0,60 ETP
Emplois non rémunérés sur le compte de commerce :
9 agents fonctionnaires titulaires :
Chef de Parc, pour mémoire - Poste vacant, de catégorie « A Tech. » ;
1 Chef de Parc adjoint, Technicien Supérieur en Chef des TPE de catégorie « B Tech. » ;
2 Secrétaires Administratifs, agents titulaires de catégorie « B Adm. » ;
6 Adjoints Administratifs, agents titulaires de catégorie « C Adm. ».
Soit un total de 9 personnes au 31/12/2010, correspondant à 8,3 ETP (Equivalent Temps Plein).
-
Emplois activité support (hors parc) équivalent à 0,7 ETP (*).
Emplois activité support (hors parc) par application de la clause de sauvegarde équivalent à 1,1 ETP
(*).
(*) Avant reventilation par macro grade.
Un premier état prévisionnel des agents affectés, à la date du transfert, dans le service à transférer est joint en
annexe (annexe n° 1).
Un état prévisionnel actualisé sera, si besoin, transmis au Président du Conseil Général d’Eure-et-Loir au plus
tard un mois avant la date du transfert mentionnée à l'article 1.
Article 3 : Transfert des biens immobiliers
Les biens immobiliers appartenant à l'État ou à une autre collectivité, permettant d'assurer les missions du
service transféré à l'article 1, dont la liste est annexée (annexe n° 2) à la présente convention, sont mis à
disposition du département d’Eure-et-Loir à la date du transfert du service précisée à l'article 1.
Le procès verbal de mise à disposition, prévu à l'article 14.1 de la loi n° 2009-1291 du 26 octobre 2009 relative
au transfert aux départements des Parcs de l’équipement et à l’évolution de la situation des ouvriers des parcs
et ateliers, qui doit préciser la consistance, la situation juridique, le mode d'évaluation, l'état des biens et
l'évaluation de la remise en état de ceux-ci, est annexé à la présente convention (annexe n° 3).
Si besoin, les listes de biens immobiliers sont actualisées et visées par les signataires de la présente convention
au plus tard un mois après la date du transfert mentionnée à l'article 1er.
Il est procédé à la substitution du titulaire des baux et des contrats dont la liste est annexée (annexe n° 2) à la
présente convention, tel que prévu à l'article 14 de la loi n° 2009-1291 du 26 octobre 2009 relative au transfert
aux départements des Parcs de l’équipement et à l’évolution de la situation des ouvriers des parcs et ateliers.
Article 4 : Transfert des biens meubles
4.1 - Biens meubles figurant aux immobilisations
Les biens meubles appartenant à l'Etat, dont la liste prévisionnelle est annexée (annexe n° 4) à la présente
convention, sont transférés à titre gratuit et en pleine propriété au département d’Eure-et-Loir à la date du
transfert de service précisée à l'article 1.
Les services locaux des Domaines établiront les actes de transfert de propriété. Ceux ci ne donneront pas lieu
au versement de droits, taxes ou honoraires.
Les biens meubles appartenant au département d’Eure-et-Loir, dont la liste prévisionnelle est annexée (annexe
n° 5) à la présente convention, sont remis à l'Etat à titre gratuit et en pleine propriété à la date du transfert de
service précisée à l'article 1.
Les biens meubles appartenant à l'Etat, dont la liste prévisionnelle est annexée (annexe n° 6) à la présente
convention, lui demeurent affectés.
Les biens meubles appartenant au département d’Eure-et-Loir, dont la liste prévisionnelle est annexée (annexe
n° 7) à la présente convention, lui demeurent affectés.
Ces annexes sont actualisées et visées par les signataires de la présente convention au plus tard un mois après la
date du transfert mentionnée à l'article 1.
4.2 - Biens meubles figurant aux stocks
Les inventaires prévisionnels des biens stockés dont la liste est annexée (annexe N° 8) à la présente convention,
sont transférés à titre gratuit et en pleine propriété au département d’Eure-et-Loir.
Cette annexe sera actualisée et visée par les signataires de la présente convention au plus tard un mois après la
validation du bilan de clôture de l’année 2010.
4.3 - Autres biens
Les autres biens, non immobilisés et non stockés, sont transférés en totalité et à titre gratuit au département
d’Eure-et-Loir.
Article 5 : Transfert des marchés
Conformément à l'article 17 de la loi n° 2009-1291 du 26 octobre 2009 relative au transfert aux départements
des Parcs de l’équipement et à l’évolution de la situation des ouvriers des parcs et ateliers, les marchés, dont la
liste est annexée (annexe n° 9) à la présente convention, sont transférés au Département d’Eure-et-Loir.
Article 6 : Transfert du réseau de communication radioélectrique
En application de l'article 20 de la loi n° 2009-1291 du 26 octobre 2009 relative au transfert aux départements
des Parcs de l’équipement et à l’évolution de la situation des ouvriers des parcs et ateliers, le Département
d’Eure-et-Loir demande à ne pas bénéficier de la prestation de fourniture de télécommunications entre les
installations radioélectriques pour les besoins du réseau routier dont elle assure l'entretien et l'exploitation
(annexe n° 10).
Pour les installations radioélectriques constituant l'infrastructure, mises à sa disposition ou dont il est
propriétaire, l'Etat :
• assure, par ses propres moyens ou des moyens externes, l'ensemble des prestations de maintenance
préventive et curative ;
• prend en charge la totalité des dépenses de fonctionnement y compris les loyers dus en cas
d'hébergement sur le site "relais" d'un organisme public ou privé et les redevances des lignes
téléphoniques raccordant les relais au réseau téléphonique public ;
• programme les équipements radioélectriques en conformité avec le plan de fréquences ;
• procède à tous les travaux pour maintenir les installations en conformité avec la réglementation d'une
part et les exigences des gestionnaires des sites d'autre part.
Article 7 : Période transitoire post-transfert
En application de l'article 21 de la loi n° 2009-1291 du 26 octobre 2009 relative au transfert aux
départements des Parcs de l’équipement et à l’évolution de la situation des ouvriers des parcs et
ateliers, le Département d’Eure-et-Loir accepte de fournir à l'État des prestations de viabilité hivernale
sur le réseau routier national.
Le Département d’Eure-et-Loir fournira ces prestations pendant une durée de trois années à compter du transfert
du service mentionné à l'article 1 de la présente convention.
La liste des prestations fournies, le barème de rémunération, ainsi que les modalités de mise en œuvre de cette
période transitoire post-transfert font l'objet d'une convention spécifique (annexe n° 11).
Article 8 : Concours des services transférés
En application de l'article 24 de la loi n° 2009-1291 du 26 octobre 2009 relative au transfert aux départements
des Parcs de l’équipement et à l’évolution de la situation des ouvriers des parcs et ateliers, les agents, chargés des
fonctions de support, apporteront leur concours aux services de l'Etat pour la mise en œuvre du transfert.
Les modalités de ces interventions (notamment pour les opérations comptables), le nombre d'agents en
équivalent temps plein et la liste des agents concernés sont annexés à la présente convention (annexe n° 12).
Article 9 : Mise à disposition des ouvriers des parcs et ateliers
En application de l'article 10 de la loi n° 2009-1291 du 26 octobre 2009 relative au transfert aux départements
des Parcs de l’équipement et à l’évolution de la situation des ouvriers des parcs et ateliers, une convention
précise les modalités de la mise à disposition sans limitation de durée des ouvriers des parcs et ateliers.
Ces modalités sont annexées à la présente convention (annexe n° 13).
5. DDTEFP
5.1. 03/06/2010-2010-0445-Portant agrément simple d'un
organisme de services à la personne - "POTTIER ISABELLE"
- (Emploi)
Extrait de l’arrêté N° 2010-040 du 03 juin 2010
Article 1er :
L’Auto-Entrepreneur Isabelle POTTIER est agréé pour la fourniture de services aux personnes à
leur domicile. Cet agrément a une validité nationale.
Article 2 :
Le présent agrément est valable cinq ans. La demande de renouvellement doit être déposée au
plus tard trois mois avant le terme de la période d’agrément.
Article 3 :
L’Auto-Entrepreneur Isabelle POTTIER est agréé pour effectuer l’activité suivante :
- Service prestataire.
Article 4 :
L’Auto-Entrepreneur Isabelle POTTIER est agréé pour la fourniture des services suivants :
-
Entretien de la maison et travaux ménagers,
Collecte et livraison à domicile de linge repassé,
Petit jardinage, y compris les travaux de débroussaillage,
Assistance administrative à domicile,
Garde d’enfants de plus de 3 ans,
Accompagnement d’enfants de plus de 3 ans dans leurs déplacements,
Soutien scolaire à domicile,
Soins et promenades d’animaux domestiques, pour les personnes dépendantes,
Livraison de courses à domicile
Maintenance, entretien et vigilance temporaires à domicile, de la résidence principale ou
secondaire.
Article 5 :
L’agrément pourra être retiré ou suspendu dans les conditions prévues à l’article R 7232-11 à
17 du code du travail.
Article 6 :
Les obligations de l’Auto-Entrepreneur Isabelle POTTIER au regard de la réglementation sont
précisées dans la lettre d’engagement jointe à la demande.
Article 7 :
Le Directeur du Travail est chargé de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil
des Actes Administratifs de la Préfecture d’Eure et Loir.
5.2. 03/06/2010-2010-0442-Portant agrément simple d'un
organisme de services à la personne - "VALLEE DU LOIR
SERVICES" - ( Emploi )
Extrait de l’arrêté N° 2010-0442 du 03 juin 2010
Article 1er :
L’Auto-Entrepreneur Céline CARION est agréé pour la fourniture de services aux
personnes à leur domicile. Cet agrément a une validité nationale.
Article 2 :
Le présent agrément est valable cinq ans. La demande de renouvellement doit être
déposée au plus tard trois mois avant le terme de la période d’agrément.
Article 3 :
L’Auto-Entrepreneur Céline CARION est agréé pour effectuer l’activité suivante :
- Service prestataire.
Article 4 :
L’Auto-Entrepreneur Céline CARION est agréé pour la fourniture des services
suivants :
-
Entretien de la maison et travaux ménagers,
Collecte et livraison à domicile de linge repassé,
Assistance administrative à domicile,
Garde d’enfants de plus de 3 ans,
Accompagnement d’enfants de plus de 3 ans dans leurs déplacements,
Soutien scolaire à domicile,
Préparation des repas à domicile, y compris le temps passé aux commissions,
Livraison de repas à domicile,
Soins et promenades d’animaux domestiques, pour les personnes dépendantes,
Livraison de courses à domicile
Maintenance, entretien et vigilance temporaires à domicile, de la résidence
principale ou secondaire.
Article 5 :
L’agrément pourra être retiré ou suspendu dans les conditions prévues à l’article R
7232-11 à 17 du code du travail.
Article 6 :
Les obligations de l’Auto-Entrepreneur Céline CARION au regard de la réglementation
sont précisées dans la lettre d’engagement jointe à la demande.
Article 7 :
Le Directeur du Travail est chargé de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au
Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture d’Eure et Loir.
5.3. 03/06/2010-2010-0444-Portant agrément simple d'un
organisme de services à la personne - "DEBLANC ISABELLE"
- (Emploi)
Extrait de l’arrêté N° 2010-040 du 03 juin 2010
Article 1er :
L’Auto-Entrepreneur Isabelle LEBLANC est agréé pour la fourniture de services aux personnes
à leur domicile. Cet agrément a une validité nationale.
Article 2 :
Le présent agrément est valable cinq ans. La demande de renouvellement doit être déposée au
plus tard trois mois avant le terme de la période d’agrément.
Article 3 :
L’Auto-Entrepreneur Isabelle LEBLANC est agréé pour effectuer l’activité suivante :
- Service prestataire.
Article 4 :
L’Auto-Entrepreneur Isabelle LEBLANC est agréé pour la fourniture des services suivants :
-
Entretien de la maison et travaux ménagers,
Garde d’enfants de plus de 3 ans,
Accompagnement d’enfants de plus de 3 ans dans leurs déplacements.
Article 5 :
L’agrément pourra être retiré ou suspendu dans les conditions prévues à l’article R 7232-11 à
17 du code du travail.
Article 6 :
Les obligations de l’Auto-Entrepreneur Isabelle DEBLANC au regard de la réglementation
sont précisées dans la lettre d’engagement jointe à la demande.
Article 7 :
Le Directeur du Travail est chargé de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil
des Actes Administratifs de la Préfecture d’Eure et Loir.
5.4. 03/06/2010-2010-0443-Portant agrément simple d'un
organisme de services à la personne - "LENGLART
CLAUDIE" - (Emploi )
Extrait de l’arrêté N° 2010-0443 du 03 juin 2010
Article 1er :
L’Auto-Entrepreneur Claudie LENGLART est agréé pour la fourniture de services aux
personnes à leur domicile. Cet agrément a une validité nationale.
Article 2 :
Le présent agrément est valable cinq ans. La demande de renouvellement doit être déposée au
plus tard trois mois avant le terme de la période d’agrément.
Article 3 :
L’Auto-Entrepreneur Claudie LENGLART est agréé pour effectuer l’activité suivante :
- Service prestataire.
Article 4 :
L’Auto-Entrepreneur Claudie LENGLART est agréé pour la fourniture des services suivants :
-
Entretien de la maison et travaux ménagers,
Garde d’enfants de plus de 3 ans,
Article 5 :
L’agrément pourra être retiré ou suspendu dans les conditions prévues à l’article R 7232-11 à
17 du code du travail.
Article 6 :
Les obligations de l’Auto-Entrepreneur Claudie LENGLART au regard de la réglementation
sont précisées dans la lettre d’engagement jointe à la demande.
Article 7 :
Le Directeur du Travail est chargé de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil
des Actes Administratifs de la Préfecture d’Eure et Loir.
5.5. 24/06/2010-2010-0519-Portant agrément qualité d'un
organisme de services à la personne - "LE GOUT DE VIVRE" ( Emploi )
Extrait de l’arrêté N° 2010-0519 du 24 juin 2010
Article 1ER : La Sarl LE GOUT DE VIVRE est agréée, pour la fourniture de services aux personnes, à ses seuls
locataires, à leur domicile. Cet agrément est valable pour le département d’Eure et Loir.
Article 2 :
Le présent agrément est valable cinq ans. La demande de renouvellement doit être déposée au
plus tard trois mois avant le terme de la période d’agrément.
Article 3 :
La Sarl LE GOUT DE VIVRE est agréée pour effectuer les activités suivantes:
- service prestataire,
- service mandataire.
Article 4 :
La Sarl LE GOUT DE VIVRE est agréée pour la fourniture des services suivants :
-
Entretien de la maison et travaux ménagers,
Livraison de courses à domicile,
Préparation des repas à domicile, y compris le temps passé aux commissions,
Assistance administrative à domicile,
Garde d’enfants de plus de 3 ans,
Accompagnement d’enfants de plus de 3 ans dans leurs déplacements,
Soutien scolaire à domicile,
Soins et promenades d’animaux de compagnie, à l’exclusion des soins vétérinaires et du
toilettage, pour les personnes dépendantes,
Télé-assistance.
Aide à la mobilité et transport de personnes ayant des difficultés de déplacement,
Assistance aux personnes âgées ou aux autres personnes qui ont besoin d’une aide
personnelle à leur domicile, à l’exception d’actes de soins relevant d’actes médicaux,
Assistance aux personnes handicapées y compris les activités d’interprète en langue des
signes de techniciens de l’écrit et de codeur en langage parlé complété,
Garde malade à l’exclusion des soins,
Accompagnement des personnes âgées ou handicapées en dehors de leur domicile
(promenades, transports, actes de la vie courante),
Prestation de conduite du véhicule personnel des personnes dépendantes, du domicile au
travail, sur le lieu de vacances, pour les démarches administratives.
Article 5 :
L’agrément pourra être retiré ou suspendu dans les conditions prévues à l’article R 7232-11 à
17 du code du travail.
Article 6 :
Les obligations de la Sarl LE GOUT DE VIVRE, au regard de la réglementation, sont
précisées dans la lettre d’engagement jointe à la demande.
Article 7 :
Le Directeur du Travail est chargé de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au
Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture d’Eure et Loir.
5.6. 24/06/2010-2010-0522-Portant agrément simple d'un
organisme de services à la personne - "LOGIQUE
INFORMATIQUE" - ( Emploi )
Extrait de l’arrêté N° 2010-0522 du 24 juin 2010
Article 1er :
L’Eurl LOGIQUE INFORMATIQUE est agréé pour la fourniture de services aux personnes à
leur domicile. Cet agrément a une validité nationale.
Article 2 :
Le présent agrément est valable cinq ans. La demande de renouvellement doit être déposée au
plus tard trois mois avant le terme de la période d’agrément.
Article 3 :
L’Eurl LOGIQUE INFORMATIQUE est agréé pour effectuer l’activité suivante :
- Service prestataire.
Article 4 :
L’Eurl LOGIQUE INFORMATIQUE est agréé pour la fourniture des services suivants :
-
Assistance informatique et internet à domicile.
Article 5 :
L’agrément pourra être retiré ou suspendu dans les conditions prévues à l’article R 7232-11 à
17 du code du travail.
Article 6 :
Les obligations de l’Eurl LOGIQUE INFORMATIQUE au regard de la réglementation sont
précisées dans la lettre d’engagement jointe à la demande.
Article 7 :
Le Directeur du Travail est chargé de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil
des Actes Administratifs de la Préfecture d’Eure et Loir.
5.7. 24/06/2010-2010-0518-Portant agrément qualité d'un
organisme de services à la personne - "HARMONIA 28" (Emploi)
Extrait de l’arrêté N° 2010-0518 du 24 juin 2010
Article 1ER : La Sarl HARMONIA 28 est agréée, pour la fourniture de services aux personnes, à ses
seuls locataires, à leur domicile. Cet agrément est valable pour le département d’Eure
et Loir.
Article 2 :
Le présent agrément est valable cinq ans. La demande de renouvellement doit être
déposée au plus tard trois mois avant le terme de la période d’agrément.
Article 3 :
La Sarl HARMONIA 28 est agréée pour effectuer l’activité suivante :
- service prestataire.
Article 4 :
La Sarl HARMONIA 28 est agréée pour la fourniture des services suivants :
-
Entretien de la maison et travaux ménagers,
Petits travaux de jardinage, y compris débroussaillage,
Prestations de petit bricolage dites « hommes toutes mains »,
Livraison de courses à domicile, à condition que cette prestation soit comprise
dans une offre de services incluant un ensemble d’activités effectuées à domicile,
Préparation des repas à domicile, y compris le temps passé aux commissions,
Assistance administrative à domicile,
Garde d’enfants de plus de 3 ans,
Accompagnement d’enfants de plus de 3 ans dans leurs déplacements.
Aide à la mobilité et transport de personnes ayant des difficultés de déplacement
lorsque cette activité est incluse dans une offre de service d’assistance à domicile,
Assistance aux personnes âgées ou aux autres personnes qui ont besoin d’une
aide personnelle à leur domicile, à l’exception d’actes de soins relevant d’actes
médicaux,
Assistance aux personnes handicapées y compris les activités d’interprète en
langue des signes de techniciens de l’écrit et de codeur en langage parlé
complété,
Garde malade à l’exclusion des soins,
Accompagnement des personnes âgées ou handicapées en dehors de leur
domicile (promenades, transports, actes de la vie courante), à condition que cette
prestation soit comprise dans une offre de services incluant un ensemble
d’activités effectuées à domicile.
Article 5 :
L’agrément pourra être retiré ou suspendu dans les conditions prévues à l’article R
7232-11 à 17 du code du travail.
Article 6 :
Les obligations de la Sarl HARMONIA 28, au regard de la réglementation, sont
précisées dans la lettre d’engagement jointe à la demande.
Article 7 :
Le Directeur du Travail est chargé de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au
Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture d’Eure et Loir.
5.8. 24/06/2010-2010-0515-Portant agrément simple d'un
organisme de services à la personne - "LENGLART SYLVAIN"
- ( Emploi )
Extrait de l’arrêté N° 2010-0515 du 24 juin 2010
Article 1er :
L’Auto-Entrepreneur Sylvain LENGLART est agréé pour la fourniture de services aux
personnes à leur domicile. Cet agrément a une validité nationale.
Article 2 :
Le présent agrément est valable cinq ans. La demande de renouvellement doit être déposée au
plus tard trois mois avant le terme de la période d’agrément.
Article 3 :
L’Auto-Entrepreneur Sylvain LENGLART est agréé pour effectuer l’activité suivante :
- Service prestataire.
Article 4 :
L’Auto-Entrepreneur Sylvain LENGLART est agréé pour la fourniture des services suivants :
-
Prestations de petit bricolage dites « homme toutes mains »,
Garde d’enfants de plus de 3 ans,
Article 5 :
L’agrément pourra être retiré ou suspendu dans les conditions prévues à l’article R 7232-11 à
17 du code du travail.
Article 6 :
Les obligations de l’Auto-Entrepreneur Sylvain LENGLART au regard de la réglementation
sont précisées dans la lettre d’engagement jointe à la demande.
Article 7 :
Le Directeur du Travail est chargé de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil
des Actes Administratifs de la Préfecture d’Eure et Loir.
5.9. 28/06/2010-2010-0511-arrêté portant fixation de la
répartition des crédits d'Aide Personnalisée de Retour à
l'Emploi (Emploi)
Extrait de l’Arrêté n° 2010-0511 du 28 juin 2010
Article premier :
Le montant des crédits d’aide personnalisée au retour à l’emploi au niveau départemental pour l’année 2010 est
de 599.771€ - cinq cent quatre vingt dix-neuf mille sept cent soixante et onze euros. Ce montant est réparti
comme suit :
a.
Les organismes en charge de l’accompagnement des bénéficiaires et de la prescription des aides:
- Pôle Emploi, pour un montant de 398.847,72€
- Autres prescripteurs, définis à l’annexe 4 de la convention relative au dispositif départemental
d’orientation et au droit à l’accompagnement des bénéficiaires du RSA, pour un montant de
170.934,74€
b.
La Caisse d’allocations familiales d’Eure et Loir, organisme en charge du paiement sur la base de la
prescription des référents reçoit un montant de 29.988,55 euros € en rémunération de sa charge de
gestion.
Répartition de l'enveloppe APRE Eure et Loir 2010
montant
Organisme payeur de l'APRE
Caisse d'allocations familiales
29 988,55 €
Pôle Emploi Eure et Loir
398 847,72 €
Autres prescripteurs
170 934,74 €
Total Crédits APRE Eure et Loir 2010
599 771,00 €
Organismes prescripteurs de l'APRE
Article deux :
Ces crédits sont à verser par le FNSA à la caisse d’allocation Familiale d’Eure et Loir, organisme payeur de
l’APRE en Eure et Loir, qui en assurera la gestion dans les conditions prévues par convention.
Article trois :
Pour l’année 2010 le versement par la Caisse des dépôts et consignations de la dotation à l’organismes payeur de
l’APRE – la CAF d’Eure et loir- se fera en trois fois :
- un acompte prévisionnel d'un tiers suivant la notification de l'arrête et du formulaire destiné à la CDC
(annexe 1)
- les deux autres versements, chacun d’un tiers, interviendront automatiquement le 15 juillet et le 25
novembre 2010 sur la base de l’arrêté initial
Modalités de versement de l'enveloppe APRE Eure et Loir 2010
montant
à la notification de l'arrêté à la CDC
premier versement
199 923,67 €
au 15 juillet 2010
second versement
199 923,67 €
au 25 novembre 2010
dernier versement
199 923,67 €
Total Crédits APRE Eure et Loir 2010
599 771,00 €
Article quatre :
Les organismes mentionnés à l’article 1 transmettent 15 jours à la fin de chaque trimestre les indicateurs de suivi
et d’évaluation suivants :
- nombre de bénéficiaires du revenu de solidarité active suivis par l’organisme,
- nombre de bénéficiaires de l’APRE,
- montant des aides attribuées,
- détail des aides attribuées selon la typologie mentionnée dans la convention d’orientation et
d’accompagnement (dès lors qu’elle existe au plan local)
Article cinq :
M. le Secrétaire Général de la Préfecture d’Eure-et-Loir, M. le directeur de l’unité territoriale d’Eure et Loir de
la Direction régionale des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l’Emploi de la
région Centre sont chargés de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de
la préfecture d’Eure et Loir.
5.10. 29/06/2010-2010-0529-ARRETE MODIFIANT L'ARRETE N°
2009-0925 PORTANT AGREMENT SIMPLE D'UN ORGANISME
DE SERVICES A LA PERSONNE DU 4 NOVEMBRE 2009 Association "COUD'POUCE" - ( Emploi )
Extrait de l’arrêté N° 2010-0529 du 29 juin 2010
Article 1er :
L’association COUD’POUCE est agréée pour la fourniture de services aux personnes à leur
domicile. Cet agrément a une validité nationale.
Article 2 :
Le présent agrément est valable cinq ans à compter du 4 novembre 2009. La demande de
renouvellement doit être déposée au plus tard trois mois avant le terme de la période
d’agrément.
Article 3 :
L’association COUD’POUCE est agréée pour effectuer les activités suivantes :
- Service prestataire,
- Service mandataire.
Article 4 :
L’association COUD’POUCE est agréée pour la fourniture des services suivants :
-
Entretien de la maison et travaux ménagers,
Prestations de petit bricolage dites « homme toutes mains »,
Garde d’enfants de plus de 3 ans à domicile,
Petits travaux de jardinage, y compris débroussaillage.
Article 5 :
L’agrément pourra être retiré ou suspendu dans les conditions prévues à l’article R 7232-11 à
17 du code du travail.
Article 6 :
Les obligations de l’association COUD’POUCE au regard de la réglementation sont précisées
dans la lettre d’engagement jointe à la demande.
Article 7 :
Le Directeur du Travail est chargé de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil
des Actes Administratifs de la Préfecture d’Eure et Loir.
6. Délégation territorial d'Eure-et-Loir de l'ARS du Centre
6.1. 18/12/2009-2009-1085-arrêté préfectoral modifiant le forfait
global annuel de soins de la maison de retraite du centre
hospitalier de Châteaudun pour l'exercice 2009 ( Médicosocial )
Extrait de l'arrêté n° 2009-1085 du 16 décembre 2009
Article 1er : Le forfait global annuel de soins applicable à la Maison de Retraite du centre hospitalier de
Châteaudun ( N°FINESS 280 500 083) pour l'exercice 2009 est modifié et porté à :
- 2 128 037 €
Article 2 : Les tarifs journaliers de la Section Soins sont :
- GIR 1 et 2 :43,65 €
- GIR 3 et 4 :35,04 €
- GIR 5 et 6 :26,83 €
Article 3 : Les recours dirigés contre le présent arrêté doivent être portés devant le Tribunal Interrégional de la
Tarification Sanitaire et Sociale de NANTES - D.R.A.S.S. des Pays de la Loire, M.A.N., - 6 rue René Viviani 44262 NANTES CEDEX 02 - dans le délai d'un mois à compter de sa publication ou, pour les personnes
auxquelles il sera notifié, à compter de sa notification.
Article 4 : M. le Secrétaire Général de la Préfecture d'Eure-et-Loir, Mme la Directrice Départementale des
Affaires Sanitaires et Sociales, M. le Président du Conseil d'Administration et M. le Directeur du centre
hospitalier de Châteaudun sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'application du présent arrêté qui sera
par ailleurs notifié à Mme la Trésorière Payeuse Générale et M. le Directeur de la Caisse de la Mutualité
Agricole, affiché à la préfecture et inséré au recueil des actes administratifs de la Préfecture.
7. Ministère de l'Intérieur
7.1. 03/06/2010-N° 04/2010 -DECISION N° 04/2010 portant
délégation de signature à
Monsieur Richard LAINET, Premier Surveillant ( Divers )
Extrait de la décision n° 04/2010 du 03/06/2010
Le Chef d’établissement de la Maison d’Arrêt de Chartres Monsieur Jean-Marc PROUZET
décide
1 - de donner délégation permanente de signature à
Monsieur Richard LAINET
Premier Surveillant
pour les décisions suivantes
désigner les détenus à placer ensemble en cellule (cf art. D 85 du CPP)
décider du choix des détenus placés en cellule (cf art. D 91 du CPP)
retrait à un détenu pour des raisons de sécurité de médicaments, matériels et appareillages médicaux lui
appartenant (cf art. D 273 du CPP)
décider de la fréquence des fouilles des détenus (cf art. D 275 du CPP)
emploi des moyens de contrainte à l’encontre d’un détenu (cf art. D 283-3).
2 - de donner délégation de compétence en cas d’empêchement à
Monsieur Richard LAINET
Premier Surveillant
pour la décision suivante
décider d’un placement à titre préventif en cellule disciplinaire (art. D 250-3 du CPP).
7.2. 03/06/2010-N° 07/2010 -DECISION N° 07/2010 portant
délégation de signature à
Monsieur Olivier DIOT, Premier Surveillant ( Divers )
Extrait de la décision n° 07/2010 du 03/06/2010
Le Chef d’établissement de la Maison d’Arrêt de Chartres Monsieur Jean-Marc PROUZET
décide
1 - de donner délégation permanente de signature à
Monsieur Olivier DIOT
Premier Surveillant
pour les décisions suivantes
désigner les détenus à placer ensemble en cellule (cf art. D 85 du CPP)
décider du choix des détenus placés en cellule (cf art. D 91 du CPP)
retrait à un détenu pour des raisons de sécurité de médicaments, matériels et appareillages médicaux lui
appartenant (cf art. D 273 du CPP)
décider de la fréquence des fouilles des détenus (cf art. D 275 du CPP)
emploi des moyens de contrainte à l’encontre d’un détenu (cf art. D 283-3).
2 - de donner délégation de compétence en cas d’empêchement à
Monsieur Olivier DIOT
Premier Surveillant
pour la décision suivante
-
décider d’un placement à titre préventif en cellule disciplinaire (art. D 250-3 du CPP).
7.3. 03/06/2010-N° 03/2010 -DECISION N° 03/2010 portant
délégation de signature àMadame Aurélie PASCAL, Chef de
Détention ( Divers )
Extrait de la décision n° 03/2010 du 03/06/2010 portant délégation de signature à Madame Aurélie PASCAL,
Chef de Détention
Le Chef d’établissement de la Maison d’Arrêt de Chartres Monsieur Jean-Marc PROUZET
décide
1 - de donner délégation permanente de signature à Madame Aurélie PASCAL Lieutenant Pénitentiaire, Chef de
Détention
pour les décisions suivantes
-
Suspension de l’agrément d’un mandataire agréé (cf art R57-9-8 du CPP)
-
Suspension de l’emprisonnement individuel d’un détenu sur avis médical (MA cellulaire) (cf art D84)
-
Désignation des condamnés à placer ensemble en cellule (MA cellulaire) (cf art D85)
-
Répartition des détenus en MA (cellule, quartier) (cf D91)
-
Autorisation pour les détenus de travailler pour leur propre compte, ou pour des associations (cf art
D101)
-
Fixation de la somme que les détenus placés en semi-liberté, bénéficiant d’un placement extérieur ou
d’une permission de sortir sont autorisés à détenir (cf art D122)
-
Réintégration immédiate en cas d’urgence de condamnés se trouvant à l’extérieur (cf art D124)
-
Engagement de poursuites disciplinaires (cf art D250-1)
-
Désignation d’un interprète lors de la commission de discipline pour les détenus qui ne comprennent
pas ou ne parlent pas la langue française (cf art D250-4)
-
Dispense d’exécution, suspension ou fractionnement des sanctions disciplinaires (cf art D251-8)
-
Demande de modification du régime d’un détenu, demande de grâce (cf art D258)
-
Décision en cas de recours gracieux des détenus (cf art D259)
-
Retrait à un détenu pour des raisons de sécurité de médicaments, matériels et appareillages médicaux lui
appartenant (cf art D273)
-
Autorisation d’entrée ou de sortie d’argent, correspondance ou objets en détention (cf art D274)
-
Décision des fouilles des détenus (cf art D275)
-
Autorisation d’accès à l’établissement (cf art R57-8-1 et D277)
-
Emploi des moyens de contrainte à l’encontre d’un détenu (cf art D283-3)
-
Autorisation pour les condamnés d’opérer un versement à l’extérieur à partir de la part disponible de
leur compte nominatif (cf art D330)
-
Autorisation pour un détenu de retirer des sommes de son livret de caisse d’épargne (cf art D331)
-
Retenue sur part disponible du compte nominatif des détenus en réparation de dommages matériels
causés (cf art D332)
-
Refus de prise en charge d’objets ou de bijoux dont sont porteurs les détenus à leur entrée dans un
établissement pénitentiaire (cf art D336, D337)
-
Autorisation de remise à un tiers par le détenu d’objets appartenant au détenu qui ne peuvent être
transférés en raison de leur volume ou de leur poids (cf art D340)
-
Affectation des détenus malades dans des cellules situées à proximité de l’UCSA (cf art D370)
-
Suspension de l’habilitation d’un praticien hospitalier exerçant à temps partiel et des autres personnels
hospitaliers (cf art D388)
-
Autorisation d’accès à l’établissement pénitentiaire des personnels hospitaliers non titulaires d’une
habilitation (cf art D389)
-
Autorisation d’accès à l’établissement pénitentiaire aux personnes intervenant dans le cadre d’actions
de prévention et d’éducation pour la santé (cf art D390)
-
Autorisation d’accès à l’établissement pénitentiaire aux personnels des structures spécialisées de soins
intervenant dans le cadre de la prise en charge globale des personnes présentant une dépendance à un
produit licite ou illicite (cf art D390-1)
-
Autorisation pour un détenu hospitalisé de détenir une somme d’argent provenant de la part disponible
de son compte nominatif (cf art D394)
-
Délivrance des permis de visite des condamnés, y compris lorsque le visiteur est un avocat, un
auxiliaire de justice ou un officier ministériel (octroi et retrait) (cf art D401, D403, D411)
-
Décision que les visites auront lieu dans un parloir avec dispositif de séparation (cf art D405)
-
Autorisation pour un détenu condamné et son visiteur de bénéficier d’une visite dans un local
spécialement aménagé (sans contrôle) (cf art D406)
-
Refus temporaire de visiter un détenu titulaire d’un permis (cf art 409)
-
Interdiction pour des détenus condamnés de correspondre avec des personnes autres que leur conjoint
ou leur famille (cf art D414)
-
Autorisation pour les détenus d’envoyer de l’argent à leur famille (cf art D421)
-
Autorisation pour les détenus de recevoir des subsides de personnes non titulaires d’un permis
permanent de visite (cf art D422)
-
Autorisation pour un détenu de recevoir des colis de linge et de livres brochés (cf art D423)
-
Autorisation pour des ministres de culte extérieurs de célébrer des offices ou prêches (cf art D435)
-
Autorisation d’animation d’activités organisées pour les détenus par des personnes extérieures (cf art
446)
-
Désignation des détenus autorisés à participer à des activités (cf art D446)
-
Autorisation pour un détenu de participer à des activités culturelles ou socio-culturelles ou à des jeux
excluant toute idée de gain (cf art D448)
-
Destination à donner aux aménagements faits par un détenu dans sa cellule, encas de changement de
cellule, de transfert ou de libération (cf art D449)
-
Autorisation de recevoir des cours par correspondance autres que ceux qui sont organisés par
l’éducation nationale (cf art D454)
-
Refus opposé à un détenu de se présenter aux épreuves écrites ou orales d’un examen dans
l’établissement (cf art D455)
-
Interdiction à un détenu de participer aux activités sportives pour des raisons d’ordre et de sécurité (cf
art 459-3)
-
Suspension de l’agrément d’un visiteur de prison (cf art D473).
2 - de donner délégation de compétence en cas d’empêchement à Madame Aurélie PASCAL Lieutenant
Pénitentiaire, Chef de Détention
pour les décisions suivantes
-
Présidence de la commission de discipline et pouvoir de prononcer une sanction disciplinaire en
commission de discipline ainsi que de prononcer un sursis en cours d’exécution de la sanction (cf art
D250, D251-6)
-
Placement à titre préventif en cellule disciplinaire (cf art R57-9-10, 250-3).
7.4. 03/06/2010-N° 06/2010 -DECISION N° 06/2010 portant
délégation de signature à Monsieur Olivier DELBENDE,
Premier Surveillant ( Divers )
Extrait de la décision n° 06/2010 du 03/06/2010
Le Chef d’établissement de la Maison d’Arrêt de Chartres Monsieur Jean-Marc PROUZET
décide
1 - de donner délégation permanente de signature à
Monsieur Olivier DELBENDE
Premier Surveillant
pour les décisions suivantes
-
désigner les détenus à placer ensemble en cellule (cf art. D 85 du CPP)
décider du choix des détenus placés en cellule (cf art. D 91 du CPP)
retrait à un détenu pour des raisons de sécurité de médicaments, matériels et appareillages médicaux lui
appartenant (cf art. D 273 du CPP)
décider de la fréquence des fouilles des détenus (cf art. D 275 du CPP)
emploi des moyens de contrainte à l’encontre d’un détenu (cf art. D 283-3).
2 - de donner délégation de compétence en cas d’empêchement à
Monsieur Olivier DELBENDE
Premier Surveillant
pour la décision suivante
-
décider d’un placement à titre préventif en cellule disciplinaire (art. D 250-3 du CPP).
7.5. 03/06/2010-N° 02/2010 -DECISION N° 02/2010 portant
délégation de signature à (Divers )
Extrait de la décision n° 02/2010 du 03/06/2010
Le Chef d’établissement de la Maison d’Arrêt de Chartres Monsieur Jean-Marc PROUZET
décide
1 - de donner délégation permanente de signature à Monsieur Olivier MANGEOT, Capitaine Pénitentiaire,
Adjoint au Chef d’Etablissement
pour les décisions suivantes
-
Suspension de l’agrément d’un mandataire agréé (cf art R57-9-8 du CPP)
-
Suspension de l’emprisonnement individuel d’un détenu sur avis médical (MA cellulaire) (cf art D84)
-
Désignation des condamnés à placer ensemble en cellule (MA cellulaire) (cf art D85)
-
Répartition des détenus en MA (cellule, quartier) (cf D91)
-
Autorisation pour les détenus de travailler pour leur propre compte, ou pour des associations (cf art
D101)
-
Fixation de la somme que les détenus placés en semi-liberté, bénéficiant d’un placement extérieur ou
d’une permission de sortir sont autorisés à détenir (cf art D122)
-
Réintégration immédiate en cas d’urgence de condamnés se trouvant à l’extérieur (cf art D124)
-
Engagement de poursuites disciplinaires (cf art D250-1)
-
Désignation d’un interprète lors de la commission de discipline pour les détenus qui ne comprennent
pas ou ne parlent pas la langue française (cf art D250-4)
-
Dispense d’exécution, suspension ou fractionnement des sanctions disciplinaires (cf art D251-8)
-
Demande de modification du régime d’un détenu, demande de grâce (cf art D258)
-
Décision en cas de recours gracieux des détenus (cf art D259)
-
Retrait à un détenu pour des raisons de sécurité de médicaments, matériels et appareillages médicaux lui
appartenant (cf art D273)
-
Autorisation d’entrée ou de sortie d’argent, correspondance ou objets en détention (cf art D274)
-
Décision des fouilles des détenus (cf art D275)
-
Autorisation d’accès à l’établissement (cf art R57-8-1 et D277)
-
Emploi des moyens de contrainte à l’encontre d’un détenu (cf art D283-3)
-
Autorisation pour les condamnés d’opérer un versement à l’extérieur à partir de la part disponible de
leur compte nominatif (cf art D330)
-
Autorisation pour un détenu de retirer des sommes de son livret de caisse d’épargne (cf art D331)
-
Retenue sur part disponible du compte nominatif des détenus en réparation de dommages matériels
causés (cf art D332)
-
Refus de prise en charge d’objets ou de bijoux dont sont porteurs les détenus à leur entrée dans un
établissement pénitentiaire (cf art D336, D337)
-
Autorisation de remise à un tiers par le détenu d’objets appartenant au détenu qui ne peuvent être
transférés en raison de leur volume ou de leur poids (cf art D340)
-
Affectation des détenus malades dans des cellules situées à proximité de l’UCSA (cf art D370)
-
Suspension de l’habilitation d’un praticien hospitalier exerçant à temps partiel et des autres personnels
hospitaliers (cf art D388)
-
Autorisation d’accès à l’établissement pénitentiaire des personnels hospitaliers non titulaires d’une
habilitation (cf art D389)
-
Autorisation d’accès à l’établissement pénitentiaire aux personnes intervenant dans le cadre d’actions
de prévention et d’éducation pour la santé (cf art D390)
-
Autorisation d’accès à l’établissement pénitentiaire aux personnels des structures spécialisées de soins
intervenant dans le cadre de la prise en charge globale des personnes présentant une dépendance à un
produit licite ou illicite (cf art D390-1)
-
Autorisation pour un détenu hospitalisé de détenir une somme d’argent provenant de la part disponible
de son compte nominatif (cf art D394)
-
Délivrance des permis de visite des condamnés, y compris lorsque le visiteur est un avocat, un
auxiliaire de justice ou un officier ministériel (octroi et retrait) (cf art D401, D403, D411)
-
Décision que les visites auront lieu dans un parloir avec dispositif de séparation (cf art D405)
-
Autorisation pour un détenu condamné et son visiteur de bénéficier d’une visite dans un local
spécialement aménagé (sans contrôle) (cf art D406)
-
Refus temporaire de visiter un détenu titulaire d’un permis (cf art 409)
-
Interdiction pour des détenus condamnés de correspondre avec des personnes autres que leur conjoint
ou leur famille (cf art D414)
-
Autorisation pour les détenus d’envoyer de l’argent à leur famille (cf art D421)
-
Autorisation pour les détenus de recevoir des subsides de personnes non titulaires d’un permis
permanent de visite (cf art D422)
-
Autorisation pour un détenu de recevoir des colis de linge et de livres brochés (cf art D423)
-
Autorisation pour des ministres de culte extérieurs de célébrer des offices ou prêches (cf art D435)
-
Autorisation d’animation d’activités organisées pour les détenus par des personnes extérieures (cf art
446)
-
Désignation des détenus autorisés à participer à des activités (cf art D446)
-
Autorisation pour un détenu de participer à des activités culturelles ou socio-culturelles ou à des jeux
excluant toute idée de gain (cf art D448)
-
Destination à donner aux aménagements faits par un détenu dans sa cellule, encas de changement de
cellule, de transfert ou de libération (cf art D449)
-
Autorisation de recevoir des cours par correspondance autres que ceux qui sont organisés par
l’éducation nationale (cf art D454)
-
Refus opposé à un détenu de se présenter aux épreuves écrites ou orales d’un examen dans
l’établissement (cf art D455)
-
Interdiction à un détenu de participer aux activités sportives pour des raisons d’ordre et de sécurité (cf
art 459-3)
-
Suspension de l’agrément d’un visiteur de prison (cf art D473).
2 - de donner délégation de compétence en cas d’empêchement à Monsieur Olivier MANGEOT, Capitaine
Pénitentiaire, Adjoint au Chef d’Etablissement
pour les décisions suivantes
-
Présidence de la commission de discipline et pouvoir de prononcer une sanction disciplinaire en
commission de discipline ainsi que de prononcer un sursis en cours d’exécution de la sanction (cf art
D250, D251-6)
-
Placement à titre préventif en cellule disciplinaire (cf art R57-9-10, 250-3).
7.6. 03/06/2010-N° 05/2010 -DECISION N° 05/2010 portant
délégation de signature à
Monsieur Patrick CUNY, Premier Surveillant ( Divers )
Extrait de la décision n° 05/2010 du 03/06/2010 portant délégation de signature à Monsieur Patrick CUNY,
Premier Surveillant
Le Chef d’établissement de la Maison d’Arrêt de Chartres Monsieur Jean-Marc PROUZET
décide
1 - de donner délégation permanente de signature à
Monsieur Patrick CUNY
Premier Surveillant
pour les décisions suivantes
-
désigner les détenus à placer ensemble en cellule (cf art. D 85 du CPP)
décider du choix des détenus placés en cellule (cf art. D 91 du CPP)
retrait à un détenu pour des raisons de sécurité de médicaments, matériels et appareillages médicaux lui
appartenant (cf art. D 273 du CPP)
décider de la fréquence des fouilles des détenus (cf art. D 275 du CPP)
emploi des moyens de contrainte à l’encontre d’un détenu (cf art. D 283-3).
2 - de donner délégation de compétence en cas d’empêchement à
Monsieur Patrick CUNY
Premier Surveillant
pour la décision suivante
-
décider d’un placement à titre préventif en cellule disciplinaire (art. D 250-3 du CPP).
8. Préfecture 28
8.1. 17/05/2010-2010-0527-Etat des risques naturels et
technologiques majeurs de biens immobiliers situés sur la
commune d'aunay sous crécy ( Divers )
Extrait de l'ARRETE N°2010 - 0527 DU 17 MAI 2010
ARTICLE 1er : les éléments nécessaires à l’élaboration de l’état des risques pour l’information des
acquéreurs et des locataires de biens immobiliers situés sur la commune d’Aunay-sous-Crécy sont consignés
dans le dossier d’information annexé au présent arrêté.
Ce dossier comprend :
- la mention des risques naturels et technologiques pris en compte
- la cartographie des zones exposées / réglementées
- l’intitulé des documents auxquels le vendeur ou le bailleur peut se référer
Ce dossier et les documents de référence sont librement consultables en mairie, préfecture et souspréfecture.
ARTICLE 2 : ces informations sont mises à jour au regard des conditions mentionnées à l’article R.
125-25 du code de l’environnement.
ARTICLE 3 : le présent arrêté et le dossier d’information sont adressés au maire de la commune
d’Aunay-sous-Crécy et à la chambre départementale des notaires.
Le présent arrêté sera affiché en mairie et publié au recueil des actes administratifs de l’Etat dans le
département.
ARTICLE 4 : le Secrétaire Général de la préfecture, le Sous-préfet - Directeur de Cabinet, madame et
messieurs les sous-préfets d’arrondissement, mesdames et messieurs les maires des communes concernées, sont
chargés chacun en ce qui le concerne de l’application du présent arrêté.
8.2. 18/05/2010-2010-0509-arrêté prefectoral relatif à
l'information des citoyens sur les risques naturels et
technologiques majeurs ( Divers )
Extrait de l' ARRETE N°2010- 0509 DU 18 MAI 2010
Article 1er - L’information des citoyens sur les risques naturels et technologiques majeurs auxquels ils
sont susceptibles d’être exposés dans le département, est consignée dans le Dossier Départemental des Risques
Majeurs (DDRM) annexé au présent arrêté (annexe 1).
Article 2 - Cette information est complétée dans les communes listées en annexe 2 du présent arrêté,
par le Document d’Information Communal sur les Risques Majeurs (DICRIM) et l’affichage des risques pris en
compte, la fréquence radio à écouter et les consignes de sécurité à respecter en cas de danger ou d’alerte.
Article 3 - La liste des communes concernées est mise à jour annuellement.
Article 4 - Le dossier départemental sur les risques majeurs et, le cas échéant, les informations
complémentaires sont consultables en préfecture, sous-préfecture et mairie.
Article 5 : L’arrêté préfectoral 2008-121 du 14 avril 2008 relatif au droit à l’information des citoyens
sur les risques naturels et technologiques majeurs est abrogé.
Article 6 : M. le Secrétaire Général de la préfecture, M. le Sous-préfet - Directeur de Cabinet,
Mme et M. les Sous-préfets d’arrondissement, les chefs de services régionaux et départementaux de l’Etat et les
maires du département, sont chargés chacun en ce qui le concerne de l’exécution du présent arrêté qui sera publié
au recueil des actes administratifs de l’Etat dans le département.
8.3. 03/06/2010-2010-0455-classement du meublé de tourisme
de M. et Mme LAVIER 4 La Leu - 28160 FRAZE dans la
catégorie 3 étoiles ( Réglementation générale )
Extrait de l’arrêté n°2010-0455 du 3 juin 2010
Article ler : est classé "meublé de tourisme" dans la catégorie "3 étoiles", le meublé situé 4 La leu - 28160
FRAZE appartenant à M. et Mme LAVIE.
Le Classement dans cette catégorie est attribué pour une durée de 5 ans. Il expirera d'office à la fin de cette
période.
Article 2 : M. le Secrétaire Général de la Préfecture d'Eure et Loir, Mme la Sous-Préfète de CHATEAUDUN, M.
le Maire de Frazé, M. le receveur principal des Douanes et Droits Indirects, Mme la Directrice Départementale
de la Cohésion Sociale et de la Protection des Populations sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de
l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture d'Eure et Loir.
8.4. 03/06/2010-2010-0456-arrêté préfectoral d'agrément relatif à
la collecte des pneumatiques usagés (cas du ramassage
seul)
Société SEVIA située à CRUCEY-VILLAGES
( Environnement )
Extrait de l’arrêté n° 2010-0456 du 3 juin 2010
Article 1.
La société SEVIA dont le siège social est situé à Courbevoie (92400), Energy Park IV - 162/166 boulevard de
Verdun est agréée pour effectuer le ramassage des pneumatiques usagés dans le département d'Eure-et-Loir,
L'agrément est délivré pour une durée de CINQ ANS à compter de la date de notification du présent arrêté.
Article 2.
La société SEVIA est tenue, dans les activités pour lesquelles elle est agréée, de satisfaire à toutes les obligations
mentionnées dans le cahier des charges annexé au présent arrêté sous peine de suspension ou de retrait de
l'agrément selon les modalités prévues à l'article 8 de l'arrêté du 8 décembre 2003.
Article 3.
La société SEVIA doit faire parvenir au préfet les engagements confirmant les promesses d'engagements des
producteurs ou des organismes créés conformément aux dispositions de l'article R543-149 du code de
l'environnement dans un délai de deux mois à compter de la date de notification de l'agrément.
Article 4.
La société SEVIA doit aviser dans les meilleurs délais le préfet des modifications notables apportées aux
éléments du dossier de demande d'agrément. Notamment, elle transmet au préfet les nouveaux contrats ou les
avenants aux contrats la liant aux producteurs de pneumatiques ou aux organismes mentionnés ci-dessus, ou à
des tiers pour l'exécution des opérations de collecte, notamment aux exploitants d'installations dans lesquelles
sont triés et regroupés les pneumatiques après ramassage.
Article 5.
Le présent agrément ne se substitue pas aux autorisations administratives dont la société SEVIA doit être
pourvue dans le cadre des réglementations existantes. Le titulaire de l'agrément reste pleinement responsable de
son exploitation dans les conditions définies par les lois et réglementations en vigueur.
Article 6.
S'il souhaite en obtenir le renouvellement et trois mois au moins avant l'expiration de la validité de l'agrément, le
collecteur transmet, dans les formes prévues aux articles 4 et 5 de l'arrêté du 8 décembre 2003 susvisé un
nouveau dossier de demande d'agrément.
Article 7.
Monsieur le secrétaire général de la préfecture d'Eure-et-Loir, Monsieur le directeur régional de l'environnement,
de l'aménagement et du logement centre sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent
arrêté qui sera notifié au demandeur, publié au recueil des actes administratifs de la préfecture d'Eure-et-Loir.
8.5. 03/06/2010-2010-0464-classement du meublé de tourisme
de Mme Marie-José DUFET, 31 rue de Reverdy - 28000
CHARTRES dans la catégorie 2 étoiles ( Réglementation
générale )
Extrait de l’arrêté n°2010-0464 du 3 juin 2010
Article ler : est classé "meublé de tourisme" dans la catégorie " 2 étoiles" situé 31, rue de Reverdy - 28000
CHARTRES appartenant à Mme Marie-José DUFET.
Le Classement dans cette catégorie est attribué pour une durée de 5 ans. Il expirera d'office à la fin de cette
période.
Article 2 : M. le Secrétaire Général de la Préfecture d'Eure et Loir, M. le Maire de Chartres, M. le receveur
principal des Douanes et Droits Indirects, Mme la Directrice Départementale de la Cohésion Sociale et de la
Protection des Populations sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera
publié au recueil des actes administratifs de la préfecture d'Eure et Loir.
8.6. 03/06/2010-06-2010-Décision portant délégation de
signature à Monsieur Olivier DELBENDE (Délégation de
signature générale)
Extrait de la décision n° 06/2010 du 03/06/2010
1 - de donner délégation permanente de signature à
Monsieur Olivier DELBENDE
Premier Surveillant
pour les décisions suivantes
-
désigner les détenus à placer ensemble en cellule (cf art. D 85 du CPP)
décider du choix des détenus placés en cellule (cf art. D 91 du CPP)
retrait à un détenu pour des raisons de sécurité de médicaments, matériels et appareillages médicaux lui
appartenant (cf art. D 273 du CPP)
décider de la fréquence des fouilles des détenus (cf art. D 275 du CPP)
emploi des moyens de contrainte à l’encontre d’un détenu (cf art. D 283-3).
2 - de donner délégation de compétence en cas d’empêchement à
Monsieur Olivier DELBENDE
Premier Surveillant
pour la décision suivante
-
décider d’un placement à titre préventif en cellule disciplinaire (art. D 250-3 du CPP).
8.7. 03/06/2010-2010-0463-Refus d'autorisation d'exercer des
activités de surveillance et de gardiennage à l'entreprise
"REEL SECURITE PRIVER" située à Dreux ( Réglementation
générale )
Extrait de l'arrêté n° 2010-0463 du 3 juin 2010
ARTICLE 1er :- L'autorisation pour exercer des activités de surveillance et de gardiennage est refusée à
l’entreprise "REEL SECURITE PRIVER" située 11 rue des Oriels à Dreux (28100).
ARTICLE 2 :- La présente décision peut faire l’objet, dans un délai de deux mois à compter de sa notification :
- d’un recours gracieux auprès de mes services ;
- d’un recours hiérarchique auprès de Madame la Ministre de l’Intérieur, de l’Outre-Mer et des Collectivités
Territoriales, Direction des de la Modernisation et de l’Action territoriale, Bureau des Polices Administratives,
11 rue des Saussaies, 75800 Paris Cedex 08
- d’un recours contentieux devant le Tribunal Administratif d’Orléans.
ARTICLE 3 :- M. le Secrétaire Général de la Préfecture d’Eure-et-Loir, M. le Sous-Préfet de Dreux et M. le
Commissaire Divisionnaire, Directeur de la Sécurité Publique d'Eure-et-Loir sont chargés, chacun en ce qui le
concerne, de l’exécution du présent arrêté dont un extrait sera publié au Recueil des Actes Administratifs de la
Préfecture d’Eure-et-Loir.
8.8. 03/06/2010-05-2010-Décision portant délégation de
signature à Monsieur Patrick CUNY ( Délégation de signature
générale )
Extrait de la décision n° 05/2010 du 03/06/2010
1 - de donner délégation permanente de signature à
Monsieur Patrick CUNY
Premier Surveillant
pour les décisions suivantes
-
désigner les détenus à placer ensemble en cellule (cf art. D 85 du CPP)
décider du choix des détenus placés en cellule (cf art. D 91 du CPP)
retrait à un détenu pour des raisons de sécurité de médicaments, matériels et appareillages médicaux lui
appartenant (cf art. D 273 du CPP)
décider de la fréquence des fouilles des détenus (cf art. D 275 du CPP)
emploi des moyens de contrainte à l’encontre d’un détenu (cf art. D 283-3).
2 - de donner délégation de compétence en cas d’empêchement à
Monsieur Patrick CUNY
Premier Surveillant
pour la décision suivante
-
décider d’un placement à titre préventif en cellule disciplinaire (art. D 250-3 du CPP).
8.9. 03/06/2010-02-2010-Décision portant délégation de
signature à Monsieur Olivier MANGEOT (Délégation de
signature générale)
Extrait de la décision n° 02/2010 du 03/06/2010
1 - de donner délégation permanente de signature à Monsieur Olivier MANGEOT, Capitaine Pénitentiaire,
Adjoint au Chef d’Etablissement
pour les décisions suivantes
-
Suspension de l’agrément d’un mandataire agréé (cf art R57-9-8 du CPP)
-
Suspension de l’emprisonnement individuel d’un détenu sur avis médical (MA cellulaire) (cf art D84)
-
Désignation des condamnés à placer ensemble en cellule (MA cellulaire) (cf art D85)
-
Répartition des détenus en MA (cellule, quartier) (cf D91)
-
Autorisation pour les détenus de travailler pour leur propre compte, ou pour des associations (cf art
D101)
-
Fixation de la somme que les détenus placés en semi-liberté, bénéficiant d’un placement extérieur ou
d’une permission de sortir sont autorisés à détenir (cf art D122)
-
Réintégration immédiate en cas d’urgence de condamnés se trouvant à l’extérieur (cf art D124)
-
Engagement de poursuites disciplinaires (cf art D250-1)
-
Désignation d’un interprète lors de la commission de discipline pour les détenus qui ne comprennent
pas ou ne parlent pas la langue française (cf art D250-4)
-
Dispense d’exécution, suspension ou fractionnement des sanctions disciplinaires (cf art D251-8)
-
Demande de modification du régime d’un détenu, demande de grâce (cf art D258)
-
Décision en cas de recours gracieux des détenus (cf art D259)
-
Retrait à un détenu pour des raisons de sécurité de médicaments, matériels et appareillages médicaux lui
appartenant (cf art D273)
-
Autorisation d’entrée ou de sortie d’argent, correspondance ou objets en détention (cf art D274)
-
Décision des fouilles des détenus (cf art D275)
-
Autorisation d’accès à l’établissement (cf art R57-8-1 et D277)
-
Emploi des moyens de contrainte à l’encontre d’un détenu (cf art D283-3)
-
Autorisation pour les condamnés d’opérer un versement à l’extérieur à partir de la part disponible de
leur compte nominatif (cf art D330)
-
Autorisation pour un détenu de retirer des sommes de son livret de caisse d’épargne (cf art D331)
-
Retenue sur part disponible du compte nominatif des détenus en réparation de dommages matériels
causés (cf art D332)
-
Refus de prise en charge d’objets ou de bijoux dont sont porteurs les détenus à leur entrée dans un
établissement pénitentiaire (cf art D336, D337)
-
Autorisation de remise à un tiers par le détenu d’objets appartenant au détenu qui ne peuvent être
transférés en raison de leur volume ou de leur poids (cf art D340)
-
Affectation des détenus malades dans des cellules situées à proximité de l’UCSA (cf art D370)
-
Suspension de l’habilitation d’un praticien hospitalier exerçant à temps partiel et des autres personnels
hospitaliers (cf art D388)
-
Autorisation d’accès à l’établissement pénitentiaire des personnels hospitaliers non titulaires d’une
habilitation (cf art D389)
-
Autorisation d’accès à l’établissement pénitentiaire aux personnes intervenant dans le cadre d’actions
de prévention et d’éducation pour la santé (cf art D390)
-
Autorisation d’accès à l’établissement pénitentiaire aux personnels des structures spécialisées de soins
intervenant dans le cadre de la prise en charge globale des personnes présentant une dépendance à un
produit licite ou illicite (cf art D390-1)
-
Autorisation pour un détenu hospitalisé de détenir une somme d’argent provenant de la part disponible
de son compte nominatif (cf art D394)
-
Délivrance des permis de visite des condamnés, y compris lorsque le visiteur est un avocat, un
auxiliaire de justice ou un officier ministériel (octroi et retrait) (cf art D401, D403, D411)
-
Décision que les visites auront lieu dans un parloir avec dispositif de séparation (cf art D405)
-
Autorisation pour un détenu condamné et son visiteur de bénéficier d’une visite dans un local
spécialement aménagé (sans contrôle) (cf art D406)
-
Refus temporaire de visiter un détenu titulaire d’un permis (cf art 409)
-
Interdiction pour des détenus condamnés de correspondre avec des personnes autres que leur conjoint
ou leur famille (cf art D414)
-
Autorisation pour les détenus d’envoyer de l’argent à leur famille (cf art D421)
-
Autorisation pour les détenus de recevoir des subsides de personnes non titulaires d’un permis
permanent de visite (cf art D422)
-
Autorisation pour un détenu de recevoir des colis de linge et de livres brochés (cf art D423)
-
Autorisation pour des ministres de culte extérieurs de célébrer des offices ou prêches (cf art D435)
-
Autorisation d’animation d’activités organisées pour les détenus par des personnes extérieures (cf art
446)
-
Désignation des détenus autorisés à participer à des activités (cf art D446)
-
Autorisation pour un détenu de participer à des activités culturelles ou socio-culturelles ou à des jeux
excluant toute idée de gain (cf art D448)
-
Destination à donner aux aménagements faits par un détenu dans sa cellule, encas de changement de
cellule, de transfert ou de libération (cf art D449)
-
Autorisation de recevoir des cours par correspondance autres que ceux qui sont organisés par
l’éducation nationale (cf art D454)
-
Refus opposé à un détenu de se présenter aux épreuves écrites ou orales d’un examen dans
l’établissement (cf art D455)
-
Interdiction à un détenu de participer aux activités sportives pour des raisons d’ordre et de sécurité (cf
art 459-3)
-
Suspension de l’agrément d’un visiteur de prison (cf art D473).
2 - de donner délégation de compétence en cas d’empêchement à Monsieur Olivier MANGEOT, Capitaine
Pénitentiaire, Adjoint au Chef d’Etablissement
pour les décisions suivantes
-
Présidence de la commission de discipline et pouvoir de prononcer une sanction disciplinaire en
commission de discipline ainsi que de prononcer un sursis en cours d’exécution de la sanction (cf art
D250, D251-6)
-
Placement à titre préventif en cellule disciplinaire (cf art R57-9-10, 250-3).
8.10. 03/06/2010-04-2010-Décision portant délégation de
signature à Monsieur Richard LAINET ( Délégation de
signature générale )
Extrait de la décision n° 04/2010 du 03/06/2010
1 - de donner délégation permanente de signature à
Monsieur Richard LAINET
Premier Surveillant
pour les décisions suivantes
-
désigner les détenus à placer ensemble en cellule (cf art. D 85 du CPP)
décider du choix des détenus placés en cellule (cf art. D 91 du CPP)
retrait à un détenu pour des raisons de sécurité de médicaments, matériels et appareillages médicaux lui
appartenant (cf art. D 273 du CPP)
décider de la fréquence des fouilles des détenus (cf art. D 275 du CPP)
emploi des moyens de contrainte à l’encontre d’un détenu (cf art. D 283-3).
2 - de donner délégation de compétence en cas d’empêchement à
Monsieur Richard LAINET
Premier Surveillant
pour la décision suivante
-
décider d’un placement à titre préventif en cellule disciplinaire (art. D 250-3 du CPP).
8.11. 03/06/2010-03-2010-Décision portant délégation de
signature à Madame Aurélie PASCAL (Délégation de
signature générale)
Extrait de la décision n° 03/2010 du 03/06/2010
1 - de donner délégation permanente de signature à Madame Aurélie PASCAL Lieutenant Pénitentiaire, Chef de
Détention
pour les décisions suivantes
-
Suspension de l’agrément d’un mandataire agréé (cf art R57-9-8 du CPP)
-
Suspension de l’emprisonnement individuel d’un détenu sur avis médical (MA cellulaire) (cf art D84)
-
Désignation des condamnés à placer ensemble en cellule (MA cellulaire) (cf art D85)
-
Répartition des détenus en MA (cellule, quartier) (cf D91)
-
Autorisation pour les détenus de travailler pour leur propre compte, ou pour des associations (cf art
D101)
-
Fixation de la somme que les détenus placés en semi-liberté, bénéficiant d’un placement extérieur ou
d’une permission de sortir sont autorisés à détenir (cf art D122)
-
Réintégration immédiate en cas d’urgence de condamnés se trouvant à l’extérieur (cf art D124)
-
Engagement de poursuites disciplinaires (cf art D250-1)
-
Désignation d’un interprète lors de la commission de discipline pour les détenus qui ne comprennent
pas ou ne parlent pas la langue française (cf art D250-4)
-
Dispense d’exécution, suspension ou fractionnement des sanctions disciplinaires (cf art D251-8)
-
Demande de modification du régime d’un détenu, demande de grâce (cf art D258)
-
Décision en cas de recours gracieux des détenus (cf art D259)
-
Retrait à un détenu pour des raisons de sécurité de médicaments, matériels et appareillages médicaux lui
appartenant (cf art D273)
-
Autorisation d’entrée ou de sortie d’argent, correspondance ou objets en détention (cf art D274)
-
Décision des fouilles des détenus (cf art D275)
-
Autorisation d’accès à l’établissement (cf art R57-8-1 et D277)
-
Emploi des moyens de contrainte à l’encontre d’un détenu (cf art D283-3)
-
Autorisation pour les condamnés d’opérer un versement à l’extérieur à partir de la part disponible de
leur compte nominatif (cf art D330)
-
Autorisation pour un détenu de retirer des sommes de son livret de caisse d’épargne (cf art D331)
-
Retenue sur part disponible du compte nominatif des détenus en réparation de dommages matériels
causés (cf art D332)
-
Refus de prise en charge d’objets ou de bijoux dont sont porteurs les détenus à leur entrée dans un
établissement pénitentiaire (cf art D336, D337)
-
Autorisation de remise à un tiers par le détenu d’objets appartenant au détenu qui ne peuvent être
transférés en raison de leur volume ou de leur poids (cf art D340)
-
Affectation des détenus malades dans des cellules situées à proximité de l’UCSA (cf art D370)
-
Suspension de l’habilitation d’un praticien hospitalier exerçant à temps partiel et des autres personnels
hospitaliers (cf art D388)
-
Autorisation d’accès à l’établissement pénitentiaire des personnels hospitaliers non titulaires d’une
habilitation (cf art D389)
-
Autorisation d’accès à l’établissement pénitentiaire aux personnes intervenant dans le cadre d’actions
de prévention et d’éducation pour la santé (cf art D390)
-
Autorisation d’accès à l’établissement pénitentiaire aux personnels des structures spécialisées de soins
intervenant dans le cadre de la prise en charge globale des personnes présentant une dépendance à un
produit licite ou illicite (cf art D390-1)
-
Autorisation pour un détenu hospitalisé de détenir une somme d’argent provenant de la part disponible
de son compte nominatif (cf art D394)
-
Délivrance des permis de visite des condamnés, y compris lorsque le visiteur est un avocat, un
auxiliaire de justice ou un officier ministériel (octroi et retrait) (cf art D401, D403, D411)
-
Décision que les visites auront lieu dans un parloir avec dispositif de séparation (cf art D405)
-
Autorisation pour un détenu condamné et son visiteur de bénéficier d’une visite dans un local
spécialement aménagé (sans contrôle) (cf art D406)
-
Refus temporaire de visiter un détenu titulaire d’un permis (cf art 409)
-
Interdiction pour des détenus condamnés de correspondre avec des personnes autres que leur conjoint
ou leur famille (cf art D414)
-
Autorisation pour les détenus d’envoyer de l’argent à leur famille (cf art D421)
-
Autorisation pour les détenus de recevoir des subsides de personnes non titulaires d’un permis
permanent de visite (cf art D422)
-
Autorisation pour un détenu de recevoir des colis de linge et de livres brochés (cf art D423)
-
Autorisation pour des ministres de culte extérieurs de célébrer des offices ou prêches (cf art D435)
-
Autorisation d’animation d’activités organisées pour les détenus par des personnes extérieures (cf art
446)
-
Désignation des détenus autorisés à participer à des activités (cf art D446)
-
Autorisation pour un détenu de participer à des activités culturelles ou socio-culturelles ou à des jeux
excluant toute idée de gain (cf art D448)
-
Destination à donner aux aménagements faits par un détenu dans sa cellule, encas de changement de
cellule, de transfert ou de libération (cf art D449)
-
Autorisation de recevoir des cours par correspondance autres que ceux qui sont organisés par
l’éducation nationale (cf art D454)
-
Refus opposé à un détenu de se présenter aux épreuves écrites ou orales d’un examen dans
l’établissement (cf art D455)
-
Interdiction à un détenu de participer aux activités sportives pour des raisons d’ordre et de sécurité (cf
art 459-3)
-
Suspension de l’agrément d’un visiteur de prison (cf art D473).
2 - de donner délégation de compétence en cas d’empêchement à Madame Aurélie PASCAL Lieutenant
Pénitentiaire, Chef de Détention
pour les décisions suivantes
-
Présidence de la commission de discipline et pouvoir de prononcer une sanction disciplinaire en
commission de discipline ainsi que de prononcer un sursis en cours d’exécution de la sanction (cf art
D250, D251-6)
-
Placement à titre préventif en cellule disciplinaire (cf art R57-9-10, 250-3).
8.12. 03/06/2010-07-2010-Décision portant délégation de
signature à Monsieur Olivier DIOT ( Délégation de signature
générale )
Extrait de la décision n° 07/2010 du 03/06/2010
1 - de donner délégation permanente de signature à
Monsieur Olivier DIOT
Premier Surveillant
pour les décisions suivantes
-
désigner les détenus à placer ensemble en cellule (cf art. D 85 du CPP)
décider du choix des détenus placés en cellule (cf art. D 91 du CPP)
retrait à un détenu pour des raisons de sécurité de médicaments, matériels et appareillages médicaux lui
appartenant (cf art. D 273 du CPP)
décider de la fréquence des fouilles des détenus (cf art. D 275 du CPP)
emploi des moyens de contrainte à l’encontre d’un détenu (cf art. D 283-3).
2 - de donner délégation de compétence en cas d’empêchement à
Monsieur Olivier DIOT
Premier Surveillant
pour la décision suivante
-
décider d’un placement à titre préventif en cellule disciplinaire (art. D 250-3 du CPP).
8.13. 07/06/2010-2010-0472-VIDEOSURVEILLANCE: arrêté
portant autorisation d'un système de vidéosurveillance.
(Réglementation générale)
Extrait de l’arrêté n° 2010-0472 du 7 juin 2010
VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéosurveillance situé SNC PAUVERT ET
WANKIN, Pharmacie du Vieux Marché 3 rue du Voisin, 28150 VOVES présentée par Monsieur Jean-Luc
WANKIN ;
Article 1er – Monsieur Jean-Luc WANKIN est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les
conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéosurveillance
conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2010/0094.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue.
Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.
Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :
de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de
vidéosurveillance et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des
conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.
l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction
du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
s’agissant d’un système filmant la voie publique, l’information sera apportée au moyen de panonceaux
comportant un pictogramme représentant une caméra.
Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 15 jours.
Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date
de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Article 5 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et
autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de
la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé
aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des
articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée
sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture d'Eure-etLoir.
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif d'Orléans dans un délai de deux mois à
compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.
Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au
terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant
l’échéance de ce délai.
Article 12 – M. le Secrétaire Général est chargé de l’exécution du présent arrêté.
8.14. 07/06/2010-2010-0481-VIDEOSURVEILLANCE: arrêté
portant autorisation d'un système de vidéosurveillance.
(Réglementation générale )
Extrait de l’arrêté n° 2010-0481 du 7 juin 2010
VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéosurveillance urbaine pour la ville de Chartres
(28000) présentée par Madame Elisabeth BARRAULT ;
Article 1er – Madame Elisabeth BARRAULT est autorisée, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans
les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de
vidéosurveillance conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro
2010/0099.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Protection des bâtiments publics, Régulation du trafic
routier.
Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.
Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique
appropriée :
de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de
vidéosurveillance et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des
conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.
l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction
du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
s’agissant d’un système filmant la voie publique, l’information sera apportée au moyen de panonceaux
comportant un pictogramme représentant une caméra.
Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date
de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Article 5 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et
autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de
la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé
aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des
articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée
sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture d'Eure-etLoir.
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif d'Orléans dans un délai de deux mois
à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.
Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au
terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant
l’échéance de ce délai.
Article 12 – M. le Secrétaire Général est chargé de l’exécution du présent arrêté.
8.15. 07/06/2010-2010-0476-VIDEOSURVEILLANCE: arrêté
portant autorisation d'un système de vidéosurveillance.
(Réglementation générale)
Extrait de l’arrêté n° 2010-0476 du 7 juin 2010
VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéosurveillance situé BULLITT AUTO, Casse
automobiles 2 rue Monjude, RN10 28700 LE GUE DE LONGROI présentée par Madame Delphine LESUEUR
épouse LETORT ;
Article 1er – Madame Delphine LESUEUR épouse LETORT est autorisée, pour une durée de cinq ans
renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système
de vidéosurveillance conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro
2010/0147.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens.
Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.
Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :
de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de
vidéosurveillance et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des
conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.
l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction
du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
s’agissant d’un système filmant la voie publique, l’information sera apportée au moyen de panonceaux
comportant un pictogramme représentant une caméra.
Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 15 jours.
Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date
de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Article 5 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et
autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de
la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé
aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des
articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée
sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture d'Eure-etLoir.
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif d'Orléans dans un délai de deux mois à
compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.
Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au
terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant
l’échéance de ce délai.
Article 12 – M. le Secrétaire Général est chargé de l’exécution du présent arrêté.
8.16. 07/06/2010-2010-0475-VIDEOSURVEILLANCE: arrêté
portant autorisation d'un système de vidéosurveillance.
(Réglementation générale)
Extrait de l’arrêté n° 2010-0475 du 7 juin 2010
VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéosurveillance situé CESR B. COUTURIER,
Centre de formation et d'hébergement 11 route de Nogent le Roi 28500 SAINTE GEMME MORONVAL
présentée par Madame Cécile COUTURIER;
Article 1er – Madame Cécile COUTURIER est autorisée, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les
conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéosurveillance
conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2010/0130.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Sécurité des personnes, Protection Incendie/Accidents, Prévention des atteintes aux biens, Autres (Lutte contre
la consommation de stupéfiants).
Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.
Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :
de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de
vidéosurveillance et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des
conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.
l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction
du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
s’agissant d’un système filmant la voie publique, l’information sera apportée au moyen de panonceaux
comportant un pictogramme représentant une caméra.
Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 15 jours.
Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date
de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Article 5 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et
autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de
la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé
aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des
articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée
sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture d'Eure-etLoir.
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif d'Orléans dans un délai de deux mois
à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.
Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au
terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant
l’échéance de ce délai.
Article 12 – M. le Secrétaire Général est chargé de l’exécution du présent arrêté.
8.17. 07/06/2010-2010-0469-VIDEOSURVEILLANCE: arrêté
portant autorisation d'un système de
vidéosurveillance( (Réglementation générale)
Extrait de l’arrêté n° 2010-0469 du 7 juin 2010
VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéosurveillance situé SAS Les Terres Fortes
avenue du Président Kennedy, 28400 NOGENT LE ROTROU présentée par Monsieur Pascal RICHEZ ;
Article 1er – Monsieur Pascal RICHEZ est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions
fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéosurveillance
conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2010/0092.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Sécurité des personnes, Protection Incendie/Accidents, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la
démarque inconnue.
Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.
Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :
de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de
vidéosurveillance et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des
conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.
l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction
du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
s’agissant d’un système filmant la voie publique, l’information sera apportée au moyen de panonceaux
comportant un pictogramme représentant une caméra.
Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 15 jours.
Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date
de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Article 5 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et
autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de
la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé
aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des
articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée
sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture d'Eure-etLoir.
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif d'Orléans dans un délai de deux mois à
compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.
Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au
terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant
l’échéance de ce délai.
Article 12 – M. le Secrétaire Général est chargé de l’exécution du présent arrêté.
8.18. 07/06/2010-2010-0477-VIDEOSURVEILLANCE: arrêté
portant autorisation d'un système de vidéosurveillance.
(Réglementation générale)
Extrait de l’arrêté n° 2010-0477 du 7 juin 2010
VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéosurveillance situé SARL LAVERIE DU MAIL
pour la "Laverie Quality Wash" 33 Mail Jean de Dunois 28000 CHARTRES présentée par Monsieur Jérôme
MONNIER ;
Article 1er – Monsieur Jérôme MONNIER est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les
conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéosurveillance
conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2010/0148.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Sécurité des personnes, Protection Incendie/Accidents, Prévention des atteintes aux biens.
Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.
Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :
de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de
vidéosurveillance et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des
conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.
l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction
du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
s’agissant d’un système filmant la voie publique, l’information sera apportée au moyen de panonceaux
comportant un pictogramme représentant une caméra.
Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 15 jours.
Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date
de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Article 5 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et
autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de
la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé
aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des
articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée
sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture d'Eure-etLoir.
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif d'Orléans dans un délai de deux mois à
compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.
Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au
terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant
l’échéance de ce délai.
Article 12 – M. le Secrétaire Général est chargé de l’exécution du présent arrêté.
8.19. 07/06/2010-2010-0478-VIDEOSURVEILLANCE: arrêté
portant autorisation d'un système de vidéosurveillance.
(Réglementation générale)
Extrait de l’arrêté n° 2010-0478 du 7 juin 2010
VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéosurveillance situé VINOGOURMETS SARL
- "Les Caves de Dianes" route d'Oulins 28260 ANET présentée par Monsieur Philippe CHRETIEN ;
Article 1er – Monsieur Philippe CHRETIEN est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les
conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéosurveillance
conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2010/0154.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens.
Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.
Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique
appropriée :
de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de
vidéosurveillance et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des
conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.
l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction
du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
s’agissant d’un système filmant la voie publique, l’information sera apportée au moyen de panonceaux
comportant un pictogramme représentant une caméra.
Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 15 jours.
Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date
de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Article 5 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et
autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de
la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé
aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des
articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée
sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture d'Eure-etLoir.
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif d'Orléans dans un délai de deux mois
à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.
Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au
terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant
l’échéance de ce délai.
Article 12 – M. le Secrétaire Général est chargé de l’exécution du présent arrêté.
8.20. 07/06/2010-2010-0479-VIDEOSURVEILLANCE: arrêté
portant autorisation d'un système de vidéosurveillance.
(Réglementation générale)
Extrait de l’arrêté n° 2010-0479 du 7 juin 2010
VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéosurveillance situé TRANSPORTS D'EURE ET
LOIR pour la Gare Routière Transbeauce 10 place Pierre Semard 28000 CHARTRES présentée par Monsieur
Patrick CUMANT ;
Article 1er – Monsieur Patrick CUMANT est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les
conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéosurveillance
conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2010/0156.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Protection des bâtiments publics.
Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.
Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :
de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de
vidéosurveillance et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des
conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.
l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction
du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
s’agissant d’un système filmant la voie publique, l’information sera apportée au moyen de panonceaux
comportant un pictogramme représentant une caméra.
Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date
de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Article 5 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et
autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de
la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé
aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des
articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée
sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture d'Eure-etLoir.
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif d'Orléans dans un délai de deux mois à
compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.
Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au
terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant
l’échéance de ce délai.
Article 12 – M. le Secrétaire Général est chargé de l’exécution du présent arrêté.
8.21. 07/06/2010-2010-0482-VIDEOSURVEILLANCE: arrêté
portant autorisation d'un système de vidéosurveillance
(Réglementation générale )
Extrait de l’arrêté n° 2010-0482 du 7 juin 2010
VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéosurveillance situé W.P.H HOLDING 8 -12
allée Prométhée 28011 CHARTRES présentée par Monsieur William HOUVET ;
Article 1er – Monsieur William HOUVET est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les
conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéosurveillance
conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2010/0096.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens.
Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.
Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique
appropriée :
de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de
vidéosurveillance et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des
conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.
l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction
du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
s’agissant d’un système filmant la voie publique, l’information sera apportée au moyen de panonceaux
comportant un pictogramme représentant une caméra.
Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 15 jours.
Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date
de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Article 5 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et
autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de
la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé
aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des
articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée
sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture d'Eure-etLoir.
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif d'Orléans dans un délai de deux mois
à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.
Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au
terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant
l’échéance de ce délai.
Article 12 – M. le Secrétaire Général est chargé de l’exécution du présent arrêté.
8.22. 07/06/2010-2010-0473-VIDEOSURVEILLANCE: arrêté
portant autorisation d'un système de vidéosurveillance.
(Réglementation générale )
Extrait de l’arrêté n° 2010-0473 du 7 juin 2010
VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéosurveillance situé Communauté de Communes
du Val Drouette pour le parking de La Meulière 51 rue Saint Denis 28230 EPERNON présentée par Madame
Françoise GANAIRE épouse RAMOND ;
Article 1er – Madame Françoise GANAIRE épouse RAMOND est autorisée, pour une durée de cinq ans
renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système
de vidéosurveillance conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro
2010/0101.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Prévention des atteintes aux biens.
Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.
Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :
de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de
vidéosurveillance et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des
conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.
l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction
du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
s’agissant d’un système filmant la voie publique, l’information sera apportée au moyen de panonceaux
comportant un pictogramme représentant une caméra.
Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date
de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Article 5 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et
autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de
la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé
aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des
articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée
sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture d'Eure-etLoir.
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif d'Orléans dans un délai de deux mois à
compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.
Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au
terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant
l’échéance de ce délai.
Article 12 – M. le Secrétaire Général est chargé de l’exécution du présent arrêté.
8.23. 07/06/2010-2010-0520-classement du meublé de tourisme
de M. LIonel FRANCOIS, 18 route nationale "Bois de
Feugères" - 28800 BOUVILLE dans la catégorie 2 étoiles
(Réglementation générale )
Extrait de l’arrêté n°2010-0520 du 7 juin 2010
Article ler : est classé "meublé de tourisme" dans la catégorie " 2 étoiles" situé 18 route nationale "Bois de
Feugères" - rez de chaussée - 28800 BOUVILLE appartenant à M. Lionel FRANCOIS.
Le Classement dans cette catégorie est attribué pour une durée de 5 ans. Il expirera d'office à la fin de cette
période.
Article 2 : M. le Secrétaire Général de la Préfecture d'Eure et Loir, M. le Maire de BOUVILLE, M. le receveur
principal des Douanes et Droits Indirects, Mme la Directrice Départementale de la Cohésion Sociale et de la
Protection des Populations sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera
publié au recueil des actes administratifs de la préfecture d'Eure et Loir. 8.24. 07/06/2010-2010-0470-VIDEOSURVEILLANCE: arrêté
portant autorisation d'un système de vidéosurveillance
(Réglementation générale)
Extrait de l’arrêté n° 2010-0470 du 7 juin 2010
VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéosurveillance situé SAS EGELEC28, PRO et
CIE ZA du Moulin Geargeot, 28150 VOVES présentée par Monsieur Eric GREAU ;
Article 1er – Monsieur Eric GREAU est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les
conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéosurveillance
conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2010/0093.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens.
Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.
Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique
appropriée :
de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de
vidéosurveillance et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des
conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.
l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction
du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
s’agissant d’un système filmant la voie publique, l’information sera apportée au moyen de panonceaux
comportant un pictogramme représentant une caméra.
Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 15 jours.
Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date
de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Article 5 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et
autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de
la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé
aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des
articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée
sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture d'Eure-etLoir.
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif d'Orléans dans un délai de deux mois
à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.
Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au
terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant
l’échéance de ce délai.
Article 12 – M. le Secrétaire Général est chargé de l’exécution du présent arrêté.
8.25. 07/06/2010-2010-0566-appellation de la caserne de la
brigade de gendarmerie d'Auneau (Divers)
Extrait de l’Arrêté n°2010-435 du 7 juin 2010
Article 1 - La caserne de la brigade de gendarmerie d’Auneau est autorisée à prendre l’appellation « caserne
Gendarme SIMON ».
Article 2 - Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie sont
chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté.
8.26. 07/06/2010-2010-0435-appellation « caserne Adjudant
Maurice LEFEVRE Ȉ la caserne de la brigade de gendarmerie
de Thivars (Divers)
Extrait de l’Arrêté n°2010-435 du 7 juin 2010
Article 1 - La caserne de la brigade de gendarmerie de Thivars est autorisée à prendre l’appellation « caserne
Adjudant Maurice LEFEVRE ».
Article 2 - Le Sous Préfet, Directeur de Cabinet, le Colonel, Commandant le Groupement de Gendarmerie sont
chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté.
8.27. 07/06/2010-2010-0474-VIDEOSURVEILLANCE: arrêté
portant autorisation d'un système de vidéosurveillance.
( (Réglementation générale)
Extrait de l’arrêté n° 2010-0474 du 7 juin 2010
VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéosurveillance situé CEC pour le magasin "La
Halle aux Chaussures" 1 rue de Rome, Zac Plein Sud 28500 VERNOUILLET présentée par Monsieur
Christophe PETAIN ;
Article 1er – Monsieur Christophe PETAIN est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les
conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéosurveillance
conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2010/0102.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue.
Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.
Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :
de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de
vidéosurveillance et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des
conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.
l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction
du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
s’agissant d’un système filmant la voie publique, l’information sera apportée au moyen de panonceaux
comportant un pictogramme représentant une caméra.
Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 15 jours.
Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date
de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Article 5 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et
autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de
la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé
aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des
articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée
sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture d'Eure-etLoir.
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif d'Orléans dans un délai de deux mois à
compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.
Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au
terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant
l’échéance de ce délai.
Article 12 – M. le Secrétaire Général est chargé de l’exécution du présent arrêté.
8.28. 08/06/2010-2010-0453-VIDEOSURVEILLANCE: arrêté
portant autorisation d'un système de vidéosurveillance
(Réglementation générale )
Extrait de l’arrêté n° 2010-0453 du 8 juin 2010
VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéosurveillance situé SOCIETE GENERALE,
AGENCE DE BROU 38 rue des Changes 28160 BROU présentée par Madame Véronique DE
BELLEFON ;
Article 1er – Madame Véronique DE BELLEFON est autorisée, pour une durée de cinq ans renouvelable,
dans les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de
vidéosurveillance conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro
2010/0149.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens.
Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.
Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique
appropriée :
de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de
vidéosurveillance et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des
conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.
l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction
du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
s’agissant d’un système filmant la voie publique, l’information sera apportée au moyen de panonceaux
comportant un pictogramme représentant une caméra.
Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date
de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Article 5 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et
autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de
la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé
aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des
articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée
sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture d'Eure-etLoir.
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif d'Orléans dans un délai de deux mois
à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.
Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au
terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant
l’échéance de ce délai.
Article 12 – M. le Secrétaire Général est chargé de l’exécution du présent arrêté.
8.29. 08/06/2010-2010-0489-VIDEOSURVEILLANCE: arrêté
portant autorisation d'un système de vidéosurveillance
(Réglementation générale)
Extrait de l’arrêté n° 2010-0489 du 8 juin 2010
VU
la demande de renouvellement d'un système de vidéosurveillance autorisé situé LE CREDIT
LYONNAIS, 49 rue VILLETTE GATE, 28400 NOGENT LE ROTROU, présentée par Monsieur FRANCOIS
MELON ;
Article 1er – Monsieur François MELON est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les
conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée, un système de vidéosurveillance
conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le n° 2010/0042.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Protection des bâtiments publics.
Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.
Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :
de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de
vidéosurveillance et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des
conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.
l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction
du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
s’agissant d’un système filmant la voie publique, l’information sera apportée au moyen de panonceaux
comportant un pictogramme représentant une caméra.
Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date
de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Article 5 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et
autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de
la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé
aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des
articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée
sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture d'Eure-etLoir.
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif d'Orléans dans un délai de deux mois à
compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.
Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au
terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant
l’échéance de ce délai.
Article 12 – M. le Secrétaire Général est chargé de l’exécution du présent arrêté.
8.30. 08/06/2010-2010-0488-VIDEOSURVEILLANCE: arrêté
portant autorisation d'un système de vidéosurveillance
(Réglementation générale )
Extrait de l’arrêté n° 2010-0488 du 8 juin 2010
VU
la demande de renouvellement d'un système de vidéosurveillance autorisé situé LE CREDIT
LYONNAIS, 13 rue COLIN D'HARLEVILLE, 28130 MAINTENON, présentée par Monsieur François
MELON ;
Article 1er – Monsieur François MELON est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les
conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée, un système de vidéosurveillance
conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le n° 2010/0098.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Protection des bâtiments publics.
Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.
Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique
appropriée :
de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de
vidéosurveillance et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des
conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.
l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction
du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
s’agissant d’un système filmant la voie publique, l’information sera apportée au moyen de panonceaux
comportant un pictogramme représentant une caméra.
Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date
de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Article 5 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et
autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de
la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé
aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des
articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée
sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture d'Eure-etLoir.
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif d'Orléans dans un délai de deux mois
à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.
Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au
terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant
l’échéance de ce délai.
Article 12 – M. le Secrétaire Général est chargé de l’exécution du présent arrêté.
8.31. 08/06/2010-2010-0487-VIDEOSURVEILLANCE: arrêté
portant autorisation d'un système de vidéosurveillance
(Réglementation générale)
Extrait de l’arrêté n° 2010-0487 du 8 juin 2010
VU
la demande de renouvellement d'un système de vidéosurveillance autorisé situé LE CREDIT
LYONNAIS, 71 rue DE LA REPUBLIQUE, 28110 LUCE, présentée par Monsieur François MELON ;
Article 1er – Monsieur François MELON est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les
conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée, un système de vidéosurveillance
conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le n° 2010/0041.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Protection des bâtiments publics.
Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.
Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique
appropriée :
de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de
vidéosurveillance et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des
conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.
l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction
du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
s’agissant d’un système filmant la voie publique, l’information sera apportée au moyen de panonceaux
comportant un pictogramme représentant une caméra.
Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date
de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Article 5 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et
autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de
la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé
aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des
articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée
sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture d'Eure-etLoir.
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif d'Orléans dans un délai de deux mois
à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.
Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au
terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant
l’échéance de ce délai.
Article 12 – M. le Secrétaire Général est chargé de l’exécution du présent arrêté.
8.32. 08/06/2010-2010-0484-VIDEOSURVEILLANCE: arrêté
portant autorisation d'un système de
vidéosurveillance( (Réglementation générale )
Extrait de l’arrêté n° 2010-0484 du 8 juin 2010
VU
la demande de renouvellement d'un système de vidéosurveillance autorisé situé LE CREDIT
LYONNAIS, 1 place DES EPARS, 28000 CHARTRES, présentée par Monsieur François MELON ;
Article 1er – Monsieur François MELON est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les
conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée, un système de vidéosurveillance
conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le n° 2010/0038.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Protection des bâtiments publics.
Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.
Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique
appropriée :
de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de
vidéosurveillance et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des
conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.
l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction
du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
s’agissant d’un système filmant la voie publique, l’information sera apportée au moyen de panonceaux
comportant un pictogramme représentant une caméra.
Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date
de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Article 5 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et
autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de
la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé
aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des
articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée
sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture d'Eure-etLoir.
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif d'Orléans dans un délai de deux mois
à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.
Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au
terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant
l’échéance de ce délai.
Article 12 – M. le Secrétaire Général est chargé de l’exécution du présent arrêté.
8.33. 08/06/2010-2010-0483-VIDEOSURVEILLANCE: arrêté
portant autorisation d'un système de vidéosurveillance
(Réglementation générale )
Extrait de l’arrêté n° 2010-0483 du 8 juin 2010
VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéosurveillance situé SOCIETE GENERALE,
AGENCE DE CHARTRES LA MADELEINE 21 avenue des Sablons 28000 CHARTRES présentée par
Madame Véronique DE BELLEFON;
Article 1er – Madame Véronique DE BELLEFON est autorisée, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans
les conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de
vidéosurveillance conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro
2010/0150.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens.
Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.
Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :
de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de
vidéosurveillance et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des
conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.
l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction
du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
s’agissant d’un système filmant la voie publique, l’information sera apportée au moyen de panonceaux
comportant un pictogramme représentant une caméra.
Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date
de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Article 5 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et
autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de
la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé
aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des
articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée
sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture d'Eure-etLoir.
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif d'Orléans dans un délai de deux mois à
compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.
Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au
terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant
l’échéance de ce délai.
Article 12 – M. le Secrétaire Général est chargé de l’exécution du présent arrêté.
8.34. 08/06/2010-2010-0485-VIDEOSURVEILLANCE: arrêté
portant autorisation d'un système de vidéosurveillance
(Réglementation générale )
Extrait de l’arrêté n° 2010-0485 du 8 juin 2010
VU
la demande de renouvellement d'un système de vidéosurveillance autorisé situé LE CREDIT
LYONNAIS, 24TER place DU 18 OCTOBRE, 28200 CHATEAUDUN, présentée par Monsieur François
MELON ;
Article 1er – Monsieur François MELON est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les
conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée, un système de vidéosurveillance
conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le n° 2010/0105.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Protection des bâtiments publics.
Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.
Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :
de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de
vidéosurveillance et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des
conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.
l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction
du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
s’agissant d’un système filmant la voie publique, l’information sera apportée au moyen de panonceaux
comportant un pictogramme représentant une caméra.
Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date
de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Article 5 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et
autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de
la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé
aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des
articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée
sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture d'Eure-etLoir.
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif d'Orléans dans un délai de deux mois à
compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.
Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au
terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant
l’échéance de ce délai.
Article 12 – M. le Secrétaire Général est chargé de l’exécution du présent arrêté.
8.35. 08/06/2010-2010-0486-VIDEOSURVEILLANCE: arrêté
portant autorisation d'un système de vidéosurveillance
( (Réglementation générale)
Extrait de l’arrêté n° 2010-0486 du 8 juin 2010
VU
la demande de renouvellement d'un système de vidéosurveillance autorisé situé LE CREDIT
LYONNAIS, 6 place MEZIRARD, 28100 DREUX, présentée par Monsieur François MELON ;
Article 1er – Monsieur François MELON est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les
conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l’adresse sus-indiquée, un système de vidéosurveillance
conformément au dossier annexé à la demande enregistrée sous le n° 2010/0040.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Protection des bâtiments publics.
Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.
Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique
appropriée :
de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de
vidéosurveillance et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des
conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.
l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction
du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
s’agissant d’un système filmant la voie publique, l’information sera apportée au moyen de panonceaux
comportant un pictogramme représentant une caméra.
Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date
de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Article 5 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et
autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de
la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé
aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des
articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée
sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture d'Eure-etLoir.
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif d'Orléans dans un délai de deux mois
à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.
Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au
terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant
l’échéance de ce délai.
Article 12 – M. le Secrétaire Général est chargé de l’exécution du présent arrêté.
8.36. 10/06/2010-2010-0471-Arrêté portant modification des
statuts du syndicat intercommunal multiservices
d'assainissement de Bû et Rouvres - Retrait des communes
de Oulins et La Chaussée d'Ivry et adhésion du syndicat
intercommunal de la Vesgre Aval pour la compétence "études
et traitement des boues" ( Intercommunalité )
Extrait de l'arrêté n° 2010 - 0471 du 10 juin 2010
Article 1er: Le retrait des communes d'Oulins et de La Chaussée d'Ivry du syndicat intercommunal multiservices
d'assainissement de Bû et Rouvres (SIMABR) est accordé.
Article 2: Les conditions financières liées à ces retraits sont acceptées; le remboursement par anticipation des
annuités d'emprunts restant dues au SIMABR s'élève à 10 174.22€ pour Oulins et 11 216.70€ pour La Chaussée
d'Ivry.
Article 3 : Les articles 1er, 8-1, 9 et 11-6 des statuts du syndicat annexés à mon arrêté n° 1881 du 21 août 1996
sont modifiés et rédigés comme suit:
"- Article 1er: En application des articles L.5711-1 et suivants du code général des collectivités territoriales, il est
formé entre les communes d'Anet, Bû et Rouvres et le syndicat intercommunal d'assainissement de la Vesgre
Aval, un syndicat intercommunal mixte qui prend la dénomination de "syndicat intercommunal mixte
d'assainissement de Bû et Rouvres" (SIMABR);
- Article 8-1: Chaque commune ou EPCI est représentée au sein du comité syndical de la façon suivante:
Communes de Bû et Rouvres: 3 délégués titulaires par commune
Commune d'Anet: 1 délégué titulaire
SIAVA: 2 délégués titulaires
- Article 9: Le bureau est composé d'un président, d'un ou plusieurs vice-présidents et éventuellement d'autres
membres élus par le comité syndical parmi les délégués des communes ou EPCI.
- Article 11-6: Dans le tableau correspondant à l'article 11-6, conformément au renvoi (3) de la colonne
compétence 3, le prorata de la compétence 3 est modifié comme suit: Annuités d'emprunts (Cap+Int) propres à
chaque commune et EPCI (ouvrages communs au prorata du nombre de raccordables) (2)
Le renvoi (3) sus mentionné est, de ce fait, supprimé."
Article 4: Les statuts annexés au présent arrêté se substituent aux précédents.
Article 5: En application des dispositions des articles R 421-1 et R 421-5 du code de justice administrative, le
présent arrêté peut faire l'objet d'un recours contentieux devant le tribunal administratif d'Orléans, dans le délai
de deux mois à compter de sa notification.
Article 6 : Monsieur Le Secrétaire Général de la Préfecture d'Eure-et-Loir, Monsieur le Sous-Préfet de Dreux,
Madame la Directrice départementale des finances publiques et Monsieur le Président du syndicat
intercommunal multiservices d'assainissement de Bû et Rouvres sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de
l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture d'Eure-et-Loir.
8.37. 14/06/2010-2010-0500-VIDEOSURVEILLANCE: arrêté
portant autorisation d'un système de vidéosurveillance
(Banque CIC). ( Réglementation générale)
Extrait de l’arrêté n° 2010-0500 du 14 juin 2010
VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéosurveillance situé CM CIC SERVICES 6bis
place Mésirard 28100 DREUX présentée par Monsieur Guy SINIC;
Article 1er – Monsieur Guy SINIC est autorisé(e), pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les
conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéosurveillance
conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2010/0047.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Autres (aider les forces de l'ordre).
Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.
Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique
appropriée :
de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de
vidéosurveillance et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des
conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.
l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction
du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
s’agissant d’un système filmant la voie publique, l’information sera apportée au moyen de panonceaux
comportant un pictogramme représentant une caméra.
Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date
de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Article 5 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et
autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de
la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé
aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des
articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée
sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture d'Eure-etLoir.
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif d'Orléans dans un délai de deux mois
à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.
Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au
terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant
l’échéance de ce délai.
Article 12 – M. le Secrétaire Général est chargé de l’exécution du présent arrêté.
8.38. 14/06/2010-2010-0495-VIDEOSURVEILLANCE: arrêté
portant autorisation d'un système de vidéosurveillance
(Banque CIC). (Réglementation générale)
Extrait de l’arrêté n° 2010-0495 du 14 juin 2010
VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéosurveillance situé CM CIC SERVICES 10
rue Diane de Poitiers 28260 ANET présentée par Monsieur GUY SINIC ;
Article 1er – Monsieur GUY SINIC est autorisé(e), pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les
conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéosurveillance
conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2010/0034.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Autres (aider les forces de l'ordre).
Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.
Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique
appropriée :
de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de
vidéosurveillance et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des
conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.
l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction
du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
s’agissant d’un système filmant la voie publique, l’information sera apportée au moyen de panonceaux
comportant un pictogramme représentant une caméra.
Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date
de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Article 5 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et
autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de
la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé
aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des
articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée
sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture d'Eure-etLoir.
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif d'Orléans dans un délai de deux mois
à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.
Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au
terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant
l’échéance de ce délai.
Article 12 – M. le Secrétaire Général est chargé de l’exécution du présent arrêté.
8.39. 14/06/2010-2010-0497-VIDEOSURVEILLANCE: arrêté
portant autorisation d'un système de vidéosurveillance
(Banque CIC). (Réglementation générale)
Extrait de l’arrêté n° 2010-0497 du 14 juin 2010
VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéosurveillance situé CM CIC SERVICES 25
rue de la Chevalerie 28160 BROU présentée par Monsieur Guy SINIC ;
Article 1er – Monsieur Guy SINIC est autorisé(e), pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les
conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéosurveillance
conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2010/0045.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens.
Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.
Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique
appropriée :
de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de
vidéosurveillance et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des
conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.
l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction
du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
s’agissant d’un système filmant la voie publique, l’information sera apportée au moyen de panonceaux
comportant un pictogramme représentant une caméra.
Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date
de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Article 5 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et
autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de
la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé
aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des
articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée
sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture d'Eure-etLoir.
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif d'Orléans dans un délai de deux mois
à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.
Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au
terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant
l’échéance de ce délai.
Article 12 – M. le Secrétaire Général est chargé de l’exécution du présent arrêté.
8.40. 14/06/2010-2010-0490-Arrêté portant nouvelle répartition
des sièges entre les communes membres et modification des
statuts de Dreux Agglomération ( Intercommunalité )
Extrait de l'arrêté n° 2010 - 0490 du 14 juin 2010
Article 1er: La commune de Luray dispose d'un siège de délégué titulaire supplémentaire au conseil
communautaire de Dreux Agglomération.
Article 2: L'alinéa 4 de l'article 1 des statuts de Dreux Agglomération est supprimé.
Article 3: Le terme "dreux agglomération" est substitué au terme "CAdD" dans l'intégralité des statuts.
Article 4: Les statuts annexés au présent arrêté se substituent aux statuts annexés à l'arrêté
n° 2010-0314 du 7 avril 2010.
Article 5 : En application des dispositions des articles R 421-1 et R 421-5 du code de justice administrative, le
présent arrêté peut faire l'objet d'un recours contentieux devant le tribunal administratif d'Orléans, dans le délai
de deux mois à compter de sa notification.
Article 6 : Monsieur le Secrétaire Général de la Préfecture d'Eure-et-Loir, Monsieur le Sous-Préfet de Dreux,
Madame la Directrice départementale des finances publiques et Monsieur le Président de la Communauté
d'agglomération "Dreux Agglomération" sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture d'Eure-et-Loir.
8.41. 14/06/2010-2010-0501-VIDEOSURVEILLANCE: arrêté
portant autorisation d'un système de vidéosurveillance
(Banque CIC). ( Réglementation générale )
Extrait de l’arrêté n° 2010-0501 du 14 juin 2010
VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéosurveillance situé CM CIC SERVICES 1 rue
Bourgeoise 28230 EPERNON présentée par Monsieur Guy SINIC;
1er – Monsieur Guy SINIC est autorisé(e), pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions
fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéosurveillance
conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2010/0048.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens.
Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.
Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique
appropriée :
de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de
vidéosurveillance et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des
conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.
l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction
du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
s’agissant d’un système filmant la voie publique, l’information sera apportée au moyen de panonceaux
comportant un pictogramme représentant une caméra.
Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date
de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Article 5 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et
autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de
la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé
aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des
articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée
sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture d'Eure-etLoir.
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif d'Orléans dans un délai de deux mois
à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.
Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au
terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant
l’échéance de ce délai.
Article 12 – M. le Secrétaire Général est chargé de l’exécution du présent arrêté.
8.42. 14/06/2010-2010-0503-VIDEOSURVEILLANCE: arrêté
portant autorisation d'un système de vidéosurveillance
(Banque CIC). ( Réglementation générale )
Extrait de l’arrêté n° 2010-0503 du 14 juin 2010
VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéosurveillance situé CM CIC SERVICES 96
rue de la République 28110 LUCE présentée par Monsieur Guy SINIC ;
Article 1er – Monsieur Guy SINIC est autorisé(e), pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les
conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéosurveillance
conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2010/0050.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Autres (aider les forces de police).
Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.
Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique
appropriée :
de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de
vidéosurveillance et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des
conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.
l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction
du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
s’agissant d’un système filmant la voie publique, l’information sera apportée au moyen de panonceaux
comportant un pictogramme représentant une caméra.
Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date
de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Article 5 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et
autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de
la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé
aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des
articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée
sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture d'Eure-etLoir.
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif d'Orléans dans un délai de deux mois
à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.
Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au
terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant
l’échéance de ce délai.
Article 12 – M. le Secrétaire Général est chargé de l’exécution du présent arrêté.
8.43. 14/06/2010-2010-0498-VIDEOSURVEILLANCE: arrêté
portant autorisation d'un système de vidéosurveillance
(Banque CIC). (Réglementation générale)
Extrait de l’arrêté n° 2010-0498 du 14 juin 2010
VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéosurveillance situé CM CIC SERVICES 9
place Marceau 28000 CHARTRES présentée par Monsieur Guy SINIC ;
Article 1er – Monsieur Guy SINIC est autorisé(e), pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les
conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéosurveillance
conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2010/0053.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens.
Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.
Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique
appropriée :
de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de
vidéosurveillance et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des
conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.
l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction
du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
s’agissant d’un système filmant la voie publique, l’information sera apportée au moyen de panonceaux
comportant un pictogramme représentant une caméra.
Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date
de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et
autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de
la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé
aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des
articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée
sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture d'Eure-etLoir.
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif d'Orléans dans un délai de deux mois
à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.
Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au
terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant
l’échéance de ce délai.
Article 12 – M. le Secrétaire Général est chargé de l’exécution du présent arrêté.
8.44. 14/06/2010-2010-0505-VIDEOSURVEILLANCE: arrêté
portant autorisation d'un système de vidéosurveillance
(Banque CIC). (Réglementation générale)
Extrait de l’arrêté n° 2010-0505 du 14 juin 2010
VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéosurveillance situé CM CIC SERVICES 3 rue
de la Volaille 28210 NOGENT LE ROI présentée par Monsieur Guy SINIC ;
Article 1er – Monsieur Guy SINIC est autorisé(e), pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les
conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéosurveillance
conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2010/0051.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Autres (aider les forces de l'ordre).
Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.
Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique
appropriée :
de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de
vidéosurveillance et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des
conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.
l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction
du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
s’agissant d’un système filmant la voie publique, l’information sera apportée au moyen de panonceaux
comportant un pictogramme représentant une caméra.
Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date
de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Article 5 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et
autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de
la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé
aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des
articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée
sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture d'Eure-etLoir.
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif d'Orléans dans un délai de deux mois
à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.
Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au
terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant
l’échéance de ce délai.
Article 12 – M. le Secrétaire Général est chargé de l’exécution du présent arrêté.
8.45. 14/06/2010-2010-0504-VIDEOSURVEILLANCE: arrêté
portant autorisation d'un système de vidéosurveillance
(Banque CIC). (Réglementation générale)
Extrait de l’arrêté n° 2010-0504 du 14 juin 2010
VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéosurveillance situé CM CIC SERVICES 23
avenue de la République 28600 LUISANT présentée par Monsieur GUY SINIC ;
Article 1er – Monsieur GUY SINIC est autorisé(e), pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les
conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéosurveillance
conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2010/0036.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Autres (aider les forces de l'ordre).
Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.
Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique
appropriée :
de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de
vidéosurveillance et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des
conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.
l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction
du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
s’agissant d’un système filmant la voie publique, l’information sera apportée au moyen de panonceaux
comportant un pictogramme représentant une caméra.
Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date
de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Article 5 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et
autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de
la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé
aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des
articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée
sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture d'Eure-etLoir.
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif d'Orléans dans un délai de deux mois
à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.
Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au
terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant
l’échéance de ce délai.
Article 12 – M. le Secrétaire Général est chargé de l’exécution du présent arrêté.
8.46. 14/06/2010-2010-0496-VIDEOSURVEILLANCE: arrêté
portant autorisation d'un système de vidéosurveillance
(Banque CIC). (Réglementation générale)
Extrait de l’arrêté n° 2010-0496 du 14 juin 2010
VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéosurveillance situé CM CIC SERVICES 22
avenue de Chartres 28800 BONNEVAL présentée par Monsieur Guy SINIC ;
Article 1er – Monsieur Guy SINIC est autorisé(e), pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les
conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéosurveillance
conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2010/0044.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens.
Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.
Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique
appropriée :
de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de
vidéosurveillance et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des
conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.
l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction
du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
s’agissant d’un système filmant la voie publique, l’information sera apportée au moyen de panonceaux
comportant un pictogramme représentant une caméra.
Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date
de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Article 5 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et
autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de
la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé
aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des
articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée
sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture d'Eure-etLoir.
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif d'Orléans dans un délai de deux mois
à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.
Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au
terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant
l’échéance de ce délai.
Article 12 – M. le Secrétaire Général est chargé de l’exécution du présent arrêté.
8.47. 14/06/2010-2010-0499-VIDEOSURVEILLANCE: arrêté
portant autorisation d'un système de vidéosurveillance
(Banque CIC). (Réglementation générale)
Extrait de l’arrêté n° 2010-0499 du 14 juin 2010
VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéosurveillance situé CM CIC SERVICES 19
place de la République 28200 CHATEAUDUN présentée par Monsieur Guy SINIC ;
Article 1er – Monsieur Guy SINIC est autorisé(e), pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les
conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéosurveillance
conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2010/0046.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens.
Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.
Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique
appropriée :
de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de
vidéosurveillance et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des
conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.
l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction
du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
s’agissant d’un système filmant la voie publique, l’information sera apportée au moyen de panonceaux
comportant un pictogramme représentant une caméra.
Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date
de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Article 5 – Le responsable de la mise en oeuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et
autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de
la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé
aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des
articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée
sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture d'Eure-etLoir.
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif d'Orléans dans un délai de deux mois
à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.
Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au
terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant
l’échéance de ce délai.
Article 12 – M. le Secrétaire Général est chargé de l’exécution du présent arrêté.
8.48. 14/06/2010-2010-0502-VIDEOSURVEILLANCE: arrêté
portant autorisation d'un système de vidéosurveillance
(Banque CIC). (Réglementation générale)
Extrait de l’arrêté n° 2010-0502 du 14 juin 2010
VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéosurveillance situé CM CIC SERVICES 2 rue
de la Mairie 28120 ILLIERS COMBRAY présentée par Monsieur Guy SINIC ;
Article 1er – Monsieur Guy SINIC est autorisé(e), pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les
conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéosurveillance
conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2010/0049.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens.
Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.
Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique
appropriée :
de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de
vidéosurveillance et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des
conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.
l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction
du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
s’agissant d’un système filmant la voie publique, l’information sera apportée au moyen de panonceaux
comportant un pictogramme représentant une caméra.
Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date
de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Article 5 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et
autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de
la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé
aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des
articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée
sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture d'Eure-etLoir.
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif d'Orléans dans un délai de deux mois
à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.
Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au
terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant
l’échéance de ce délai.
Article 12 – M. le Secrétaire Général est chargé de l’exécution du présent arrêté.
8.49. 14/06/2010-2010-0506-VIDEOSURVEILLANCE: arrêté
portant autorisation d'un système de vidéosurveillance
(Banque CIC). (Réglementation générale)
Extrait de l’arrêté n° 2010-0506 du 14 juin 2010
VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéosurveillance situé CM CIC SERVICES 112
rue Saint Hilaire 28400 NOGENT LE ROTROU présentée par Monsieur Guy SINIC ;
Article 1er – Monsieur Guy SINIC est autorisé(e), pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les
conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéosurveillance
conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2010/0052.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens.
Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.
Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique
appropriée :
de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de
vidéosurveillance et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des
conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.
l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction
du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
s’agissant d’un système filmant la voie publique, l’information sera apportée au moyen de panonceaux
comportant un pictogramme représentant une caméra.
Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 0 jours.
Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date
de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Article 5 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et
autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de
la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé
aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des
articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée
sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture d'Eure-etLoir.
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif d'Orléans dans un délai de deux mois
à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.
Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au
terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant
l’échéance de ce délai.
Article 12 – M. le Secrétaire Général est chargé de l’exécution du présent arrêté.
8.50. 15/06/2010-2010-0492-Arrêté portant nomination d'un
régisseur d'Etat auprès de la police municipale de
Châteauneuf en THymerais ( Collectivités locales ( sauf
interco.) )
Extrait de l'arrêté n° 2010-0492 du 15 juin 2010
Article 1er : M. Nouredine BELKHIRI, agent de police sur la commune de Châteauneuf en Thymerais, est
nommé régisseur pour percevoir le produit des amendes forfaitaires de la police de la circulation, en application
de l’article L. 2212-5 du code général des collectivités territoriales, et le produit des consignations prévues par
l’article L 121-4 du code de la route, en remplacement de M. Le Floch.
Article 2 : Melle Mélina LEBOULENGER, adjoint administratif, est désignée suppléante.
Article 3 : M. le Secrétaire général est chargé de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes
administratifs.
8.51. 15/06/2010-2010-0493-Arrêté portant modification des
statuts du syndicat intercommunal de regroupement
pédagogique de Senantes, Saint-Lucien,Coulombs Lormaye
ajout de la compétence relative au fonctionnement des écoles
maternelles et primaires :
- la garderie
- l'étude surveillée ( Intercommunalité )
Extrait de l'arrêté n° 2010-0493 du 15 juin 2010
Article 1er : L'article 2 des statuts du SIRP de Senantes, Saint-Lucien, Coulombs, Lormaye tels qu'ils étaient
rédigés à l'arrêté n°2527 du 18 octobre 1999 sont modifiés comme suit :
"Le syndicat a pour objet :
- la construction, l'acquisition de terrains, l'entretien et le fonctionnement des écoles maternelles et élémentaires
et la gestion des moyens nécessaires à la scolarisation des enfants des communes adhérentes ;
- l'organisation et la gestion des serices périscolaires : le transport, la cantine, la garderie, l'étude surveillée ;"
Article 2 : Les statuts ci-annexés sont substitués aux statuts précédents.
Article 3: En application des dispositions des articles R 421-1 et R 421-5 du code de justice administrative, le
présent arrêté peut faire l'objet d'un recours contentieux devant le tribunal administratif d'Orléans, dans le délai
de deux mois à compter de sa notification.
Article 4 Monsieur Le Secrétaire Général de la Préfecture d'Eure-et-Loir, Monsieur le Sous-Préfet de Dreux,
Madame la Directrice départementale des finances publiques et Monsieur le Président du syndicat
intercommunal d'assainissement de la Vesgre Aval sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du
présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture d'Eure-et-Loir.
8.52. 16/06/2010-2010-0494-liste des personnes habilitées à venir
assister sur sa demande un salarié lors de l'entretien
préalable à son licenciement ( Emploi )
Extrait de l’arrêté N° 2010-0494 du 16 juin 2010
Article 1er : L'article 1er de l'arrêté préfectoral n° 2008-582 du 30 mai 2008 fixant la liste des personnes habilitées
à venir assister sur sa demande, à titre gratuit, un salarié lors de l’entretien préalable à son licenciement, en
l’absence d’institution représentative du personnel dans l’entreprise, dans l’ensemble du département, est
modifié ainsi qu'il suit :
Monsieur François NORMAND
5 Hameau d'Oslo
28110 LUCE
Tél personnel : 06 63 28 93 55
02 37 28 59 56
Monsieur Jean-Claude LEFEVRE
9 rue des Guêrets
28360 BARJOUVILLE
Tél personnel : 06 83 45 36 55
Monsieur Alain ELIE
CFDT
Retraité
CFDT
Educateur
CFDT
56 rue Jean Moulin
28300 CHAMPHOL
Tél personnel : 06 21 14 28 61
Tél prof. : 02 37 33 80 12
Monsieur Emmanuel DUBOIS
3 impasse des Pommiers
28630 LE COUDRAY
Tél personnel : 02 37 28 59 00
Tél prof. : 06 09 85 84 73
Monsieur Didier BAYON
22 C rue de la Liberté - Apt 7
28600 LUISANT
Tél perso : 06 19 17 97 03 / 02 37 35 71 85
Tél prof. : 02 37 91 71 49
Monsieur Jean-François LEDUC
8 RUE DE LA Cloche
28400 MARGON
Tél Personnel : 06 75 10 83 45
Tél prof. : 02 37 29 63 00
Monsieur Fabrice PICHEREAU
8 rue des Tilleuils
28480 THIRON GARDAIS
Tél personnel : 02 37 49 49 96
Monsieur Xavier WYON
29 rue Louise Koppe
28240 MANOU
Tél perso : 06 11 90 38 42 / 02 37 37 05 75
Tél prof. : 02 37 88 40 23
Salarié Assurance
Monsieur Philippe BUR
2 place de l'église
28270 LAONS
Tél personnel : 02 37 38 16 85
Tél prof. : 02 37 46 89 24
Monsieur Laurent ROY
12 bis rue du Chêne de Lorette
28170 CHATEAUNEUF EN THYMERAIS
Tél personnel : 06 11 27 73 67
Tél prof. : 02 37 38 95 95
Madame Valérie FILIAL
36 avenue Aristide Briand
28000 CHARTRES
Tél personnel : 06 84 25 16 98
Tél prof. : 02 37 84 13 20
Madame Carole ESCOLAN
12 rue Roger Calbris
61110 BRETONCELLES
Tél personnel : 02 37 37 24 40
Tél prof. : 02 37 53 75 75
Madame Jacqueline FIDELIN
6 rue saint Chéron
28150 LOUVILLE LA CHENARD
Tél personnel : 06 63 95 31 68
Tél prof. : 02 37 99 00 98
Monsieur Claude HUET
18 rue de la République
Rés Thierry de Chartres Apt 22 Bat D
28110 LUCE
Tél personnel : 06 99 60 86 84
Monsieur Robert JACQUET
2 rue de l'Orléanais
28110 LUCE
CFDT
Educateur Spécialisé
CFDT
Technicien
CFDT
Gestionnaire magasin
CFDT
Technicien méthode
CFDT
Aide soignant
CFDT
Educateur
CFDT
Electromécanicien
CFDT
Aide médico psychologique
CFDT
Aide soignant
CFDT
Agent de service
FO
Technicien de Methode
FO
Peintre batiment
Tél personnel : 02 37 35 63 46
Monsieur Maurice BERO
76 rue Saint Hilaire
28400 NOGENT LE ROTROU
Tél personnel : 02 37 52 92 30
Monsieur Eric BOUVIER
55 rue René Langlois
28110 LUCE
Tél personnel : 02 37 35 05 01
06 23 91 96 99
Monsieur Michel CHAUVEAU
46 rue de Vienne
28110 LUCE
Tél personnel : 02 37 34 93 85
Madame Soumaya DARDABA
28190 FONTAINE LA GUYON
Tél personnel : 06 18 55 40 25
Madame Patricia GUY
Le Bois Rouvray
28170 FAVIERES
Tél personnel: 06 83 05 18 11
Madame Cindy ROGER
19 La Brosse
28160 DANGEAU
Tél personnel : 02 37 98 90 32
06 25 44 71 51
Monsieur Jean-Luc LARONCHE
3 Route de la Mare aux Biches
78113 CONDE DUR VESGRE
Tél personnel : 06 61 30 97 69
Monsieur Philippe AUGER
2 Chemin du Roy
28500 CHARPON
Tél personnel : 02 37 43 79 75
Monsieur Franck BAZILE
8 rue du Vieux Formeau
28250 SENONCHES
Tél personnel : 06 64 46 37 90
Monsieur Alain DOMALAIN
5 rue Henri Dourdoigne
28400 NOGENT LE ROTROU
Tél personnel : 06 17 18 17 15
Monsieur Didier LEPORT
22 rue du Verger
61340 BERD'HUIS
Tél personnel : 06 07 82 43 64
Madame Maryline BERGERE
8 rue Marin du Dubuard
28400 NOGENT LE ROTROU
Tél personnel : 02 37 52 62 10
06 74 78 38 43
Monsieur Lucien BOSSEAU
16 rue Joliot Curie
72400 CHERRE
Tél personnel : 06 28 04 40 94
Madame Mireille TURPEAU
3 rue Marcel Proust - CHAZAY
28320 SAINT AUBIN DES BOIS
Tél personnel : 02 37 32 86 32
06 78 90 76 40
Monsieur Bruno COUPEL
106 avenue du Général Leclerc
FO
Retraité métallurgie
FO
Convoyeur de fonds
FO
Chauffeur
FO
Agent de placement
FO
Hôtesse d'accueil
FO
Hôtesse de vente
FO
Chauffeur
FO
Adjoint d'agence
FO
Chef de cuisine
FO
Magasinier Préleveur
FO
Retraité
métallurgie
FO
Agent Qualité
FO
Salarié
FO
salariée
CFTC
Cariste magasinier
entrée 4 Appt 33
28100 DREUX
tél personnel : 06 01 42 64 72
Monsieur Christian CERNIACK
14 rue de Vlaminck
28110 LUCE
Tél personnel : 06 24 35 39 94
Monsieur Jean-Philippe SUCHY
3 Allée Jules Massenet
78590 NOISY LE ROI
Tél personnel : 06 03 42 73 89
Monsieur José GUITTARD
16 rue des Champs Coquilles
28210 CHAUDON
Tél personnel : 06 07 27 71 33
Monsieur Yvon MAKOSSO
20 rue Marcel Pagnol
28110 LUCE
Tél peronnel : 06 10 56 16 96
Monsieur Daniel MORAZZONI
15 bis rue de Cady
28230 EPERNON
Tél personnel : 06 25 09 54 43
Monsieur Alain MISTIAM
2 rue du Centre
28630 MORANCEZ
Tél personnel : 06.88 57.56.58
Monsieur Patrick LAMBERT
7 rue René Le Gall
28130 HANCHES
Tél personnel : 06.29.56.00.26
Monsieur Pascal CHERON
20 rue de la Chênaie
28500 CHERISY
Tél personnel : 06.10.30.63.88
Monieur Adolphe DELOURME
6 Lieu dit l’Orme Sec
28200 OZOIR LE BREUIL
Tél personnel : 02.37.98.75.74
Monsieur René GIBRALTA
20 rue de l'Eglise
28130 YERMENONVILLE
Tél personnel : 02 37 32 44 94
Madame Sonia CHARTRIN
2 rue des Marnières
28190 CHUISNES
Tél personnel : 06 78 14 58 08
02 37 23 88 48
CFTC
Formateur sénior en électrique
CFTC
Adjoint responsable affaire
CFTC
Chef d'équipe
CFTC
Technicien formulation
CFTC
Technicien d'atelier
CFTC
Magasinier
CFTC
Agent Administratif
CFTC
Sapeur pompier professionnel
CFTC
Retraité
CGT
privé d'emploi
CGT
Employée
Madame Guylaine RAFFIN
1 place Anatole France
28300 MAINVILLIERS
Tél personnel : 06 47 20 68 20
CGT
Secrétaire
Monsieur Bruno BODENAN
12 rue de la Chesnaie
28200 LOGRON
Tél personnel : 06 67 58 86 91
CGT
Employé
Madame Isabelle HACAULT
4 Lieu dit La Tremblaye
28160 BULLOU
CGT
Employée
Tél personnel : 02 37 47 37 41
06 23 95 79 42
Monsieur Christian LANGELLIER
Place de la Gare
78550 HOUDAN
Tél personnel : 01 30 59 76 70
Monsieur Bouchaïb CHADY
17 rue le Haut Bois
28410 BU
Tél personnel : 02 37 82 15 84
CGT
retraité SNCF
Monsieur Jacky LE CALVEZ
Lieu dit Le Four Gauthier
28400 NOGENT LE ROTROU
Tél personnel : 02 37 52 58 81
Monsieur Louis DAVID
Les Bordes
28400 TRIZAY COUTRETOT
Tél personnel : 02 37 52 03 35
Monsieur Jean-Pierre PREVOT
17 rue Tronchet
28190 COURVILLE SUR EURE
Tél personnel : 06 09 79 34 18
Monsieur Willy POUX
12 rue des Lavandes
28160 UNVERRE
Madame Monique FURTAK
134 Route de Maintenon
28320 GALLARDON
Tél personnel : 02 37 31 41 86
Madame Saïda GAUDEMER
8 rue des Acacias
Rosay au Val
28360 THEUVILLE
Tél personnel : 02 37 25 92 39
06 50 84 10 25
Monsieur Patrick COLAS
38 rue d'Hauville
28120 BAILLEAU LE PIN
Tél personnel : 02 37 25 41 74
Monsieur David FOHR
12 BChemin Pierru
28500 VERT EN DROUAIS
Tél personnel : 02 37 82 88 93
06 24 07 15 72
Monsieur Didier LE POULLEN
3 rue de la Haie Verte
28630 FONTENAY SUR EURE
Tél personnel : 06 86 52 35 12
CGT
Commerce
Monsieur José CUNHA DA FONTE
2 impasse des Frenets
BOIS LE ROI
28500 VERNOUILLET
Tél personnel : 02 37 50 19 08
06 80 99 56 39
CGT
Employé
Madame Sylvie GOHIER
5 rue de la Gare
MAROLLES
CGT
Employée
CGT
Transport
CGT
Retraité PTT
CGT
Moniteur Atelier
CGT
Employé
CGT
AMP
CGT
Employée
CGT
Employé
CGT
Employé
CGT
Employé
28410 BROUE
Tél personnel : 06 79 32 65 70
Monsieur Frédéric PELLE
5 rue de la Croix Blanche
28200 CIVRY
Tél personnel : 02 37 96 93 01
Monsieur Patrick CAO
28 rue de la Croix Blanche
28200 CIVRY
Tél personnel : 06 03 36 98 77
Monsieur François GAUTHIER
6 rue du Château
28300 SAINT PREST
Tél personnel : 02 37 22 42 94
Tél prof. : 02 37 91 78 28
Monsieur Gérard ROULLEAU
4 impasse St Maurice
28000 CHARTRES
Tél personnel : 02 37 21 58 47
06 81 55 13 62
Monsieur Jean-Paul DORGOIGNE
2 rue Texier Gallas
28480 THIRON GARDAIS
Tél personnel : 02 37 37 35 59
Monsieur Yves SEGARD
4 rue du Lavoir
28220 ROMILLY SUR AIGRE
Tél personnel : 02 37 98 57 81
Monsieur Jean-Pierre CHRISTOPHE
8 rue Louis Houde
28240 MANOU
Tél personnel : 06.20.68.56.38
02.37.81.82.83
Tél prof : 01.53.98.15.32
Monsieur Frédéric SILLY
13 rue des Guérets
28630 BARJOUVILLE
Tél personnel : 06 27 75 67 83
Monsieur Arnaud BUHLER
17 lieu dit Anouillet
28200 MARBOUE
Tél personnel :02 37 98 92 24 /06 13 11 35 66
Monsieur Stanislas CHAILLOU
1 rue Joseph Wrésinski
28000 CHARTRES
Tél personnel : 02 37 28 73 89
Monsieur David VEDIE
7 rue Roger Calbris
61110 BRETONCELLES
Tél personnel : 02 37 37 22 98 / 06 31 79 29 41
CGT
Employé
CGT
Employé
CFE-CGC
ingénieur Chimiste
CFE-CGC
Retraité
CFE-CGC
Retraité
CFE-CGC
Retraité
CFE-CGC
Responsable d’exploitation
Conducteur receveur
Soudeur
Conducteur receveur
Imprimeur
Article 2 : le reste des articles de l’arrêté n° 2008-582 du 30 mai 2008 reste sans changement.
Article 3 : M. le Secrétaire Général de la Préfecture d’Eure-et-Loir et M. le Directeur de l’Unité Territoriale
d’Eure-et-Loir de la DIRECCTE Centre sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture.
8.53. 17/06/2010-2010-0534-Arrêté fixant la liste des médecins
agrées chargés d'établir des avis médicaux concernant les
étrangers malades (Divers)
Extrait de l’arrêté n°2010-0534 en data du 17 juin 2010
Article 1 :
Les médecins ci après désignés sont agrées pour établir un rapport médical relatif à l’état de santé
des malades étrangers en application de l’article L 313-11 alinéa 11 du Code de l'Entrée et du
Séjour des Etrangers et du Droit d' Asile :
- Monsieur le Docteur Dominique MICHAUD
6, rue du Docteur Michel Gibert - 28000 CHARTRES
- Monsieur le Docteur Lap PHAN
17 B, place du Vieux Pré - 28100 DREUX
- Monsieur le Docteur Yves CAUVIN
10 rue Jean Chauveau - 28220 CLOYES SUR LE LOIR
Article 2 : Monsieur le Secrétaire Général de la Préfecture d'Eure-et-Loir, Madame la Déléguée Territoriale de
l’Agence Régionale de Santé, Monsieur le Médecin Inspecteur de l’Agence Régionale de Santé
et Messieurs les Médecins agrées sont chargés, chacun en ce qui les concerne, de
l’execution du présent arrêté.
8.54. 18/06/2010-2010-0531-VIDEOSURVEILLANCE: Arrêté
portant autorisation d’un systèmede vidéosurveillance.
( Réglementation générale )
Extrait de l’arrêté n° 2010-0531 du 18 juin 2010
VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéosurveillance pour la Pizzéria "La
Passacaille" SARL LMVP située 30-32 rue Sainte-Même, 28000 CHARTRES présentée par Monsieur
Pascal COLLET ;
Article 1er – Monsieur Pascal COLLET est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les
conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéosurveillance
conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2010/0155.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Sécurité des personnes, Autres (prévenir le risque d'effraction par dissuasion et le vol ou consommation du
personnel et clients).
Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.
Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique
appropriée :
de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de
vidéosurveillance et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des
conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.
l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction
du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
s’agissant d’un système filmant la voie publique, l’information sera apportée au moyen de panonceaux
comportant un pictogramme représentant une caméra.
Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 15 jours.
Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date
de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Article 5 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et
autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de
la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé
aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des
articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée
sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture d'Eure-etLoir.
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif d'Orléans dans un délai de deux mois
à compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.
Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au
terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant
l’échéance de ce délai.
Article 12 – M. le Secrétaire Général est chargé de l’exécution du présent arrêté.
8.55. 18/06/2010-2010-0530-VIDEOSURVEILLANCE: Arrêté
portant autorisation d’un système de vidéosurveillance.
( Réglementation générale )
Extrait de l’arrêté n° 2010-0531 du 18 juin 2010
VU la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéosurveillance dans la Boulangerie Pâtisserie
« Au Bon Croissant » située 1 rue du Bois Merrain, 28000 CHARTRES présentée par Monsieur Yannick
POIRIER ;
Article 1er – Monsieur Yannick POIRIER est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les
conditions fixées au présent arrêté à mettre en œuvre à l'adresse sus-indiquée, un système de vidéosurveillance
conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2010/0097.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
Sécurité des personnes, Prévention des atteintes aux biens, Lutte contre la démarque inconnue.
Il ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif.
Le système doit être conforme aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 2 – Le public devra être informé dans l’établissement cité à l’article 1er, par une signalétique appropriée :
de manière claire, permanente et significative, à chaque point d’accès du public, de l'existence du système de
vidéosurveillance et de l'autorité ou de la personne responsable, notamment pour le droit d'accès aux images des
conditions dans lesquelles il peut exercer son droit d'accès aux enregistrements.
l’affichette mentionnera les références de la loi et du décret susvisés et les références du service et de la fonction
du titulaire du droit d’accès ainsi que le numéro de téléphone auquel celui-ci sera joignable.
s’agissant d’un système filmant la voie publique, l’information sera apportée au moyen de panonceaux
comportant un pictogramme représentant une caméra.
Article 3 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 15 jours.
Article 4 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date
de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Article 5 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et
autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 7 – Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions des articles 10 et 10-1 de
la loi du 21 janvier 1995 et les articles 14 et 15 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que l'intéressé
aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux dispositions des
articles 10 et 10-1 de la loi du 21 janvier 1995 et de l'article 13 du décret du 17 octobre 1996 modifiés susvisés,
et en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard de la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée susvisée. Elle est délivrée
sans préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal...).
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture d'Eure-etLoir.
Elle pourra faire l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif d'Orléans dans un délai de deux mois à
compter de la date de sa notification à l'intéressé(e) ou de sa publication au document précité.
Article 11 – Le système concerné devra faire l’objet d’une nouvelle autorisation administrative préalable au
terme du délai des cinq ans : une nouvelle demande devra être présentée à la Préfecture quatre mois avant
l’échéance de ce délai.
Article 12 – M. le Secrétaire Général est chargé de l’exécution du présent arrêté.
8.56. 23/06/2010-2010-0524-Arrêté portant modification des
statuts du syndicat intercommunal à vocation multiple des
quatre communes - Chataincourt, Escorpain, Laons,
Prudemanche - (SICELP) Transfert du siège social au 2 rue de
Bourgneuf - 28270 LAONS ( Intercommunalité )
Extrait de l'arrêté n° 2010-0524 du 23 juin 2010
Article 1er : L'article 3 des statuts du SICELP est modifié comme suit :
Article 3 : Le siége du syndicat est situé au 2 rue de Bourgneuf - 28270 LAONS - ;
Article : 2 : Les articles 1-2-3-4-5-6-7-8-9- sont inchangés ;
Article 3 : Les statuts ci-annexés sont substitués aux statuts précédents.
Article 4: En application des dispositions des articles R 421-1 et R 421-5 du code de justice administrative, le
présent arrêté peut faire l'objet d'un recours contentieux devant le tribunal administratif d'Orléans, dans le délai
de deux mois à compter de sa notification.
Article 5 : Monsieur Le Secrétaire Général de la Préfecture d'Eure-et-Loir, Monsieur le Sous-Préfet de Dreux,
Madame la Directrice départementale des finances publiques et Monsieur le Président du syndicat
intercommunal de Regroupement Pédagogique de Senantes, Saint-Lucien, Coulombs, Lormaye, sont chargés,
chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs
de la Préfecture d'Eure-et-Loir.
8.57. 23/06/2010-2010-0526-HABILITATION DANS LE DOMAINE
FUNERAIRE NICOLE LAVERGNE à NEUVY EN BEAUCE
(Réglementation générale )
Extrait de l’arrêté n° 2010-0526 du 23 juin 2010
Article 1er – Madame Nicole LAVERGNE, thanatopracteur sise 12, rue Rousseau Peschard à Neuvy en Beauce
(28130), est habilitée pour exercer sur l’ensemble du territoire national les activités funéraires suivantes :
- Transport de corps avant et après mise en bière ;
- Soins de conservation ;
Article 2. – Le numéro d’habilitation est 10.28.083 ;
Article 3. – la durée de la présente habilitation est valable jusqu’au 27 avril 2014. Le renouvellement devra être
demandé deux mois avant cette date.
Article 4. – Tout changement dans les indications prévues à l’article L 2223-57 du Code Général des
Collectivités territoriales doit être déclaré en préfecture dans un délai de deux mois.
Article 5. – les dispositions de l’arrêté préfectoral n° 2009-0536 du 03 juillet 2009 sont abrogées.
Article 6. – Monsieur le Secrétaire Général de la Préfecture d’Eure-et-Loir, Monsieur le Maire de
NEUVY en BEAUCE, Monsieur le Colonel Commandant le Groupement de Gendarmerie d’Eure et Loir,
Madame la Déléguée Territoriale de l’Agence Régionale de Santé sont chargés, chacun en ce qui le concerne,
de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture.
8.58. 28/06/2010-03-10-Arrêté portant création du PC Circulation
de la Zone de Défense et de Sécurité Ouest (Circulation
routière)
Extrait de l’arrêté N° 03 du 28 juin 2010
Article 1 : Un poste de commandement et de coordination zonal en matière de circulation routière est créé sous
la dénomination suivante : PC Circulation de la Zone de défense et de sécurité Ouest (PCCZO).
Article 2 : Le PCCZO est dirigé par le préfet délégué pour la défense et la sécurité. Il est assisté par le
codirecteur de permanence du Centre régional d'information et de coordination routières Ouest (CRICR Ouest).
En cas d’empêchement, le préfet délégué pour la défense et la sécurité est représenté par le chef de l’état-major
interministériel de zone (EMIZ).
Article 3 : Le PCCZO est situé dans les locaux du Centre régional d’information et de coordination routières de
l’Ouest (CRICR Ouest) implanté à Saint-Grégoire (Ille-et-Vilaine).
Article 4 : Le PCCZO est activé par le préfet de la zone de défense et de sécurité Ouest ou son représentant sur
proposition du codirecteur de permanence du CRICR Ouest :
- à partir du niveau 4 du plan intempéries de la zone Ouest (PIZO)
- à partir du niveau 3 des plans de gestion de trafic en vigueur (PGT)
- en l’absence de plan, en fonction de la nature et de l’importance d’un événement susceptible
d’engendrer une crise routière interdépartementale
- dès qu’une zone de défense ou de sécurité limitrophe sollicite la zone de défense et de sécurité Ouest
pour mettre en œuvre des mesures de gestion de trafic interzonales.
Article 5 : La constitution, le fonctionnement et l’organisation du PCCZO sont précisés dans l’annexe au présent
arrêté.
Article 6 : MM. les Préfets de région et de département de la zone de défense et de sécurité Ouest, M. le Préfet
délégué pour la défense et la sécurité auprès du préfet de zone de défense et de sécurité Ouest, M. l'officier
général de la zone de défense Ouest, M. le général de division, commandant la région de Gendarmerie de
Bretagne et la gendarmerie pour la zone de défense Ouest, Mme la directrice régionale de l'environnement, de
l’aménagement et du logement de la zone Ouest, M. le chef de l'état-major interministériel de zone, M. le
directeur départemental de la sécurité publique du département chef lieu de la zone de défense, Mme la
Directrice de la Direction Interrégionale pour Météo France Ouest, M. le Directeur de la Direction
Interdépartementale des Routes Ouest, directeur interdépartemental des routes de la zone Ouest, MM. les
codirecteurs du CRICR Ouest, sont chargés chacun en ce qui les concernent, de l'exécution du présent arrêté qui
sera publié au recueil des actes administratifs des préfectures des départements de la zone de défense Ouest.
8.59. 28/06/2010-2010-0528-Arrêté portant nomination d'un
régisseur intérimaire pour l'encaissement des amendes de
police municipale de la commune de Gallardon ( Collectivités
locales ( sauf interco.) )
Extrait de l'arrêté n° 2010-0528 du 28 juin 2010
Article 1er : Monsieur Philippe DESJARDINS, agent de police judiciaire adjoint, est désigné comme régisseur
intérimaire en remplacement de Mme Thérèse Bétron, régisseur de recettes, pour percevoir le produit des
amendes forfaitaires de la police de la circulation, en application de l’article L. 2212-5 du code général des
collectivités territoriales, et le produit des consignations prévues par l’article L 121-4 du code de la route en
l'absence du régisseur titulaire POUR UNE PERIODE DE TROIS MOIS A COMPTER DU 1er JUILLET 2010.
Article 2 : M. le Secrétaire général d'Eure et Loir est chargé de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au
recueil des actes administratifs.
8.60. 28/06/2010-10-10-Arrêté portant délégation de signature de
Monsieur Marcel RENOUF, préfet délégué pour la défense et
la sécurité Ouest (Délégation de signature générale)
Extrait de l’arrêté N° 10-10 du 28 juin 2010
ARTICLE 1er - Délégation de signature est donnée à M. Marcel RENOUF, préfet délégué pour la défense et la
sécurité, auprès du préfet de la région de Bretagne, préfet de la zone de défense et de sécurité Ouest, préfet
d’Ille-et-Vilaine, pour tous arrêtés, décisions et actes relevant des missions de sécurité civile et des missions de
la défense de caractère non militaire, y compris les réquisitions d’emploi d’un peloton de véhicules blindés à
roues de la Gendarmerie, les réquisitions et demandes de concours des armées, de même que pour toutes
décisions concernant le fonctionnement de la zone de défense et sécurité Ouest.
ARTICLE 2 - En cas d’absence ou d’empêchement de M. Marcel RENOUF, délégation de signature est donnée
à M. Daniel HAUTEMANIERE, colonel de sapeurs-pompiers professionnels, chef de l’état-major
interministériel de zone, pour les affaires suivantes :
toutes correspondances courantes, à l’exception des courriers adressés aux autorités préfectorales et aux élus ;
demandes de concours des armées ;
ampliations d’arrêtés ;
certification et visa de pièces et documents ;
ordres de mission des cadres et agents affectés à l’état-major interministériel de zone, à l'exception des missions
par voie aérienne ;
demandes de congés dans le cadre des droits ouverts, à l’exception de ceux de l’intéressé.
ARTICLE 3 - En cas d'absence ou d'empêchement de M. Marcel RENOUF et de M. Daniel HAUTEMANIERE,
délégation est donnée à Mme Anne MONTJOIE, inspectrice régionale des douanes, adjoint au chef d’état major
interministériel de zone, pour les affaires visées à l'article 2 du présent arrêté
ARTICLE 4 - En cas d'absence ou d'empêchement de M. Marcel RENOUF, de M. Daniel HAUTEMANIERE et
de Mme Anne MONTJOIE, délégation de signature est donnée à M. Gérard MARTIN, chef du bureau de la
planification et de la préparation à la gestion de crise et à M. Jean-Paul BLOAS, commissaire divisionnaire de
police, chef du bureau zonal de l’ordre public et du renseignement, pour les affaires relevant de leurs
compétences respectives.
ARTICLE 5– Délégation de signature est donnée à M. Marcel RENOUF, pour l’exécution des crédits délégués
sur le programme 307 (Unité opérationnelle départementale de la préfecture d’Ille –et- Vilaine ), ainsi qu’à M.
Eric GERVAIS, chef de cabinet.
En cas d'absence ou d'empêchement de M. Éric GERVAIS, délégation de signature est donnée à Mme Guylaine
JOUNEAU pour signer les factures et les bons de commande relatifs à des dépenses n’excédant pas 1500 €.
ARTICLE 6 - Délégation de signature est en outre donnée à M. Éric Gervais, chef de cabinet, et en cas
d’absence à Mme Guylaine Jouneau, son adjointe, pour les affaires relevant du cabinet du préfet délégué pour la
défense et la sécurité :
- correspondances courantes,
- accusés de réception,
- certificats et visas de pièces et documents.
- certification du service fait.
ARTICLE 7- Les dispositions de l’arrêté n° 10-05 du 15 février 2010 sont abrogées.
ARTICLE 8 - Le préfet délégué pour la défense et la sécurité auprès du préfet de la zone de défense et de
sécurité Ouest est chargé de l’exécution du présent arrêté qui sera inséré au recueil des actes administratifs des
vingt départements correspondants.
8.61. 28/06/2010-09-10-Arrêté portant délégation de signature à
Monsieur Marcel RENOUF, Préfet délégué pour la Défense et
la Sécurité Ouest (Délégation de signature générale)
Extrait de l’arrêté N°10-09 du 28 juin 2010
ARTICLE 1er –
Délégation de signature est donnée à M. Marcel Renouf, préfet délégué pour la défense et la sécurité, dans la
limite des attributions conférées au préfet de la région Bretagne, préfet de la zone de défense et de sécurité
Ouest, préfet d'Ille-et-Vilaine, par les décrets susvisés pour tous actes, arrêtés, décisions ou tous documents
concernant le S.G.A.P Ouest et relatifs notamment :
- à la gestion administrative et financière des personnels de la police nationale, des transmissions, des services
techniques du matériel, des ouvriers d’État et contractuels ;
- à l’instruction, au règlement amiable ou au contentieux des affaires relevant de la compétence du préfet de la
zone de défense et de sécurité Ouest. Dans les mêmes limites, il est habilité à correspondre directement avec
l'agent judiciaire du Trésor Public dans les actions portées devant les tribunaux judiciaires et à signer les
mémoires en réponse devant les juridictions administratives ;
- à la gestion administrative et financière du matériel et des locaux de la police nationale et de la gendarmerie
nationale, notamment :
les actes de location, d’acquisition ou d’échange de propriété passés par les directions départementales des
services fiscaux pour les besoins des services de la police nationale et de la gendarmerie nationale ;
l’approbation des conventions portant règlement d’indemnités de remise en état d’immeubles, quel que soit le
montant de ces indemnités ;
les concessions de logement au profit de personnels relevant de la direction générale de la police nationale et de
la gendarmerie nationale et les baux y afférant ;
l’approbation des procès-verbaux de perte ou de réforme des matériels autres que les matériels des transmissions
et de l’informatique quelle qu’en soit la valeur.
à la signature, au titre de pouvoir adjudicateur, dans les limites arrêtées en application du décret du 7 décembre
2004, de tous marchés de travaux, de fournitures, ou de services - ou des avenants à ces marchés – dits
« formalisés » ou « adaptés », passés par le S.G.A.P Ouest pour son compte ou pour celui des services de police
et de gendarmerie.
- à l’ordonnancement et à l’exécution des opérations de dépenses et de recettes relevant de la compétence du
secrétariat général pour l’administration de la police, agissant pour son propre compte ou pour celui des services
de police de la gendarmerie et du service zonal des transmissions et de l’informatique.
- aux décisions rendant exécutoires les titres de perception de régularisation, de réduction et d’annulation qu’il
émet et d’admettre en non-valeur les créances irrécouvrables.
- dans le cadre de l’exercice du contrôle financier déconcentré, sont soumis au visa du préfet délégué pour la
sécurité et la défense :
- les demandes d'autorisation de procéder à un engagement global non ventilé de chaque budget de service ou
des dépenses de fonctionnement assimilables,
- les observations formulées par le contrôleur financier déconcentré,
- le compte rendu d’utilisation de ces crédits transmis au contrôleur financier.
ARTICLE 2 –
Demeurent soumis à ma signature :
- les ordres de réquisition de paiement prévus par l’article 66 alinéa 2 du décret du 29 décembre 1962,
- les demandes et les décisions de passer outre les refus de visas à l’engagement de dépenses émis par le
Trésorier-payeur général, contrôleur financier déconcentré.
ARTICLE 3 –
En cas d’absence ou d’empêchement de M. Marcel Renouf, délégation de signature est donnée à M. Frédéric
Carre, adjoint au secrétaire général pour l’administration de la police, pour tout ce qui concerne l’article 1er ;
ARTICLE 4 Délégation de signature est en outre donnée à M. Frédéric Carre pour toutes les affaires courantes relevant de
l’administration de la police à l’exception de :
- la signature, au titre de « personne responsable de marché », dans les limites arrêtées en application du décret
du 7 décembre 2004, de tous marchés de travaux, de fournitures, ou de services - ou des avenants à ces marchés
–dits « formalisés » ou « adaptés », passés par le S.G.A.P Ouest, pour son compte ou pour celui des services de
police.
les décisions d’ester en justice.
ARTICLE 5
Délégation de signature est en outre donnée à M. Joël Montagne, attaché d’administration de l’Intérieur et de
l’Outre-mer, chargé du contrôle de gestion du SGAP Ouest pour signer les correspondances courantes relevant
de ses attributions.
ARTICLE 6
Délégation de signature est en outre donnée à Mme Brigitte Legonnin, directrice des services de préfecture,
directrice des ressources humaines, pour les affaires ci-après relevant de sa direction :
- correspondances courantes,
- accusés de réception,
- arrêtés et documents à caractère individuel relatifs à la gestion administrative des personnels relevant du SGAP
Ouest,
- arrêtés portant octroi de congés de maladie et de mise en disponibilité d’office pour raison médicale,
- arrêtés portant reconnaissance de l’imputabilité au service des accidents, sauf en cas d’avis divergents ou
défavorables,
- attestations de l’employeur et relevés destinés aux personnels ou aux organismes sociaux et bancaires (sécurité
sociale, instituts de retraite complémentaire, caisses de prêts, etc.),
- demandes de congé dans le cadre des droits ouverts et les autorisations d'absences, à l’exclusion de celles du
directeur,
- ordres de mission, réservation, certification des états déclaratifs de frais de déplacement des personnels de la
DRH,
- engagements juridiques pour des dépenses n’excédant pas 10000 €,
- certification ou la mention du service fait,
- états liquidatifs de traitements, salaires, prestations familiales.
ARTICLE 7
Délégation de signature est par ailleurs donnée à :
M. Jean-Yves Merienne, attaché, chef du bureau du recrutement
Mme Gaëlle Hervé, attachée, chef du bureau du personnel
Mme Diane Biet, attachée, chef du bureau du personnel à la délégation régionale
Mme Claire Genest, attachée, chef du bureau des rémunérations
Mme Francine Mallet, attachée principale, chef du bureau des rémunérations à la délégation régionale
M. Bertrand Quero, attaché, chef du bureau des affaires médicales
pour les affaires ci-après, relevant de leurs compétences respectives :
- correspondances courantes, à l’exception des actes faisant grief,
- correspondances préparatoires des commissions de réforme,
- ampliations d’arrêtés, copies, extraits de documents, accusés de réception,
- demandes de congé dans le cadre des droits ouverts et les autorisations d'absences, à l'exclusion de ceux du
chef de bureau,
- ordres de mission, réservation, certification des états déclaratifs de frais de déplacement des personnels de son
bureau,
- états liquidatifs des traitements, salaires, prestations sociales et familiales, vacations et frais de mission et de
déplacement dus aux personnels rémunérés sur le budget de l’État et gérés par le secrétariat général pour
l’administration de la police, ou à leurs ayants-droit,
- attestation de l’employeur et relevés destinés au personnel ou aux organismes sociaux et bancaires (sécurité
sociale, instituts de retraite complémentaire, caisse de prêts, etc.).
- liquidation et visa des factures relatives à la prise en charge par l’administration, à la suite d’un accident
reconnu imputable au service ou d’une maladie, de tout agent relevant de la compétence du bureau des affaires
médicales,
- certification ou mention de service fait,
- bon de commande n'excédant pas 1500€.
ARTICLE 8 –
En cas d'absence ou d'empêchement, la délégation consentie aux chefs de bureau de la direction des ressources
humaines par l'article 7 est exercée pour les affaires relevant de leurs compétences respectives par :
Mme Cristina Guillaume, attachée, adjointe au chef de bureau du recrutement
M. Jean Potdevin, secrétaire administrative de classe normale, chef de section au bureau du recrutement
Mme Marie-Odile Gorin, secrétaire administrative de classe normale, chef de section au bureau du recrutement
Mme Fabienne Gautier, attachée, adjointe au chef du bureau du personnel
Mme Sabrina Rouxel-Martin, secrétaire administrative de classe supérieure, chef de section au bureau du
personnel
Mme Nadège Brasselet, secrétaire administrative de classe normale, chef de section au bureau du personnel
Mme Marie Hélène Gouriou, secrétaire administrative de classe normale, chef de section au bureau du personnel
Mme Joëlle Mingret, secrétaire administrative de classe normale, adjointe au chef du bureau du personnel à la
délégation régionale
Mme Nadège Bennoin, secrétaire administrative de classe supérieure, chef de section au bureau du personnel à la
délégation régionale
Mme Sylvie Marcais, secrétaire administrative de classe normale, chef de section au bureau du personnel à la
délégation régionale
Mme Anne-Marie Bourdinière, attachée principale, adjointe au chef du bureau des rémunérations
Mme Nicole Vautrin, secrétaire administrative de classe exceptionnelle, chef de section au bureau des
rémunérations
Mme Bernadette Le Priol, secrétaire administrative de classe normale, au bureau des rémunérations
M Philippe Dagobert, secrétaire administratif de classe exceptionnelle, adjoint au chef de bureau des
rémunérations à la délégation régionale à compter du 1er juillet 2010
Mme Marie-Christine Bruneau adjoint administratif 1ère classe au bureau des rémunérations à la délégation
régionale
Mme Claire Mouazé, secrétaire administrative de classe normale au bureau des rémunérations à la délégation
régionale
Mme Françoise Friscourt, secrétaire administrative de classe exceptionnelle, adjointe au chef de bureau des
affaires médicales
Mme Irène Deneuville, secrétaire administrative de classe exceptionnelle au bureau des affaires médicales
Mme Sylvie Mahé-Beillard, secrétaire administrative de classe exceptionnelle, adjointe au chef de bureau des
affaires médicales à la délégation régionale
Mme Cécilia Rivet, secrétaire administrative de classe exceptionnelle, responsable de la cellule du personnel
administratif du SGAP Ouest.
Mme Christine Mimoso secrétaire administrative, animatrice de formation
ARTICLE 9 –
Délégation de signature est donnée à Émile Le Tallec, directeur de l’administration et des finances, pour les
affaires ci-après relevant de sa direction :
correspondances courantes,
accusés de réception,
l’ordonnancement et l’exécution des opérations de dépenses et de recettes relevant de la compétence du
secrétariat général pour l’administration de la police, agissant pour son propre compte ou pour celui des services
de police et du service zonal des transmissions et de l’informatique,
décisions rendant exécutoires les titres de perception de régularisation, de réduction et d’annulation qu’il émet et
d’admettre en non-valeur les créances irrécouvrables,
demandes de congés dans le cadre des droits ouverts et les autorisations d’absences à l’exclusion de ceux du
directeur,
arrêté portant reconnaissance de l'imputabilité du service des accidents, sauf en cas d'avis divergents ou
défavorables,
toute demande d'assistance juridique présentée par des fonctionnaires ou leurs ayants droits victimes de menaces,
de violence, de voies de fait, d'injures, de diffamations ou d'outrages, à l'exception de celles mettant en cause les
fonctionnaires de police,
actes préparatoires au règlement amiable des affaires en réparation civile de l'État, à l'exclusion des décisions
supérieures à 1500 €,
en matière d'indemnisation des victimes d'accident de la circulation pour toute offre inférieure à 3000 €,
en matière d’indemnisation des fonctionnaires de police victimes dans le cadre de l’article 11 de la loi du 13
juillet 1983 pour tout règlement inférieur à 1500€,
ordres de mission, réservation, certification des états déclaratifs de frais de déplacement des personnels de la
direction,
états de frais de mission et de déplacement dus aux personnels rémunérés sur le budget de l’État et gérés par le
secrétariat général pour l’administration de la police, ou à leurs ayants-droit,
engagements juridiques relatifs aux dépenses n'excédant pas 20000 €,
tous documents courants relatifs à la gestion des crédits de fonctionnement et d'équipement du SGAP,
engagements comptables et retrait d'engagement, mandats de paiement, ordres de paiement, pièces comptables
de tous ordres,
conventions avec les sociétés privées dans le cadre de l'externalisation après accord du préfet délégué à la
sécurité et à la défense.
- l’exécution financière du contentieux gendarmerie
- frais de changement de résidence des personnels civils de la gendarmerie
- frais médicaux des personnels civils de la gendarmerie
- service d’ordre indemnisé police et gendarmerie
ARTICLE 10
- En cas d’absence ou d’empêchement de M. Émile Le Tallec la délégation qui lui est conférée par l’article 9
sera exercée par l'un des chefs de bureau désigné.
ARTICLE 11
Délégation de signature est par ailleurs donnée à :
M. Gérard Chapalain, attaché principal, chef du bureau des budgets globaux
Mme CatherineVaubert, attachée, chef du bureau du mandatement et de la plate-forme en « cible CHORUS »
M. Alain Rouby, attaché, chef du bureau du contentieux
M. Christophe Schoen, attaché principal, chef du bureau des achats et des marchés publics
M. Dominique Bourbillières, attaché principal, chef du bureau des moyens
pour les affaires ci-après, relevant de leurs compétences respectives :
correspondances courantes,
accusés de réception,
ampliations d’arrêtés, copies, extraits de documents,
congés du personnel,
la certification ou la mention « service fait » par référence aux factures correspondantes
tous documents relatifs à la gestion des droits de tirage centraux et des droits de tirage du SGAP Ouest
la notification des délégations de crédit aux services de police,
les certificats de paiement relatifs aux factures consécutives à l’exécution des marchés publics,
les engagements comptables et retraits d’engagements, mandats de paiement, ordres de paiement, pièces
comptables de tous ordres, établissement et transformation en état exécutoire des ordres de reversement et de
titres de perception conformément à l’article 85 du décret 62-1587 du 29 décembre 1962,
la liquidation des frais de mission et de déplacement,
certificats et visas de pièces et documents relatifs à la préparation, à l’exécution, et au suivi des marchés publics
ou aux avenants à ces marchés,
les actes préparatoires au règlement amiable des affaires en réparation civile de l’État et en matière
d’indemnisation des victimes des accidents de la circulation, à l’exclusion des décisions supérieures à 1000 €,
les bons de commande n'excédant pas 2 000 € se rapportant à la gestion des crédits d'équipement de la délégation
régionale.
les bons de commande n’excédant pas 2 000 € se rapportant à la gestion des crédits d’équipement et de
fonctionnement du SGAP Ouest.
ordres de mission, réservation, certification des états déclaratifs de frais de déplacement des personnels de son
bureau,
- En outre, dans le cadre de la mise en place de la plate-forme « cible CHORUS », délégation de signature est
donnée à Mme Vaubert Catherine, attachée d’administration de l’Intérieur et de l’Outre-mer, Chef du bureau du
mandatement et de la plate-forme « cible CHORUS » et à M. Chapalain Gérard, attaché principal, chef du
bureau des budgets globaux, en ce qui concerne l’engagement juridique et la liquidation des dépenses des
programmes 176 et 216 de l’ensemble des services de la Zone de défense Ouest dans la limite n’excédant pas
23.920 € TTC (20 000 € HT).
ARTICLE 12 –
En cas d'absence ou d'empêchement, la délégation consentie aux chefs de bureau de la direction de
l’administration et des finances par l'article 11 est exercée pour les affaires relevant de leurs compétences
respectives par :
Mme Françoise Even, secrétaire administrative de classe exceptionnelle, adjointe au chef de bureau des budgets
globaux, responsable des engagements juridiques et des demandes de paiement, dans la limite de dépenses
n’excédant pas 5000 €,
Mme Sophie Auffret, secrétaire administrative de classe normale, pour la section exécution budgétaire - site de
la Pilate, responsable des engagements juridiques et des demandes de paiement, dans la limite de dépenses
n’excédant pas 5000 €,
Mme Françoise Tumelin, secrétaire administrative de classe exceptionnelle, adjointe au chef de bureau du
mandatement, responsable des engagements juridiques et des demandes de paiement, dans la limite de dépenses
n’excédant pas 5000 €,
Mme Sylvie Gilbert, attachée, adjointe au chef de bureau du contentieux, responsable du contentieux
administratif à Rennes
M. Gilles Dourlens, secrétaire administratif de classe exceptionnelle, adjoint au chef du bureau du contentieux à
la délégation régionale.
M. Philippe Dagobert, secrétaire administratif de classe exceptionnelle, au contentieux de la délégation
régionale,
Mme Catherine Guillard, secrétaire administrative de classe exceptionnelle, en ce qui concerne le
fonctionnement du bureau zonal des achats et des marchés publics,
Mme Miguy Lecerf, secrétaire administrative de classe exceptionnelle, en ce qui concerne le fonctionnement du
bureau zonal des achats et des marchés publics.
M. Jean Luc Larent, secrétaire administratif de classe exceptionnelle, adjoint au chef du bureau des moyens à la
délégation régionale.
M. Dominique Dupuy, contrôleur de classe supérieure des services techniques du matériel, adjoint au chef du
bureau des moyens.
ARTICLE 13 :
Délégation de signature est donnée à M. François–Emmanuel Gillet, directeur de l’équipement et de la
logistique, pour les affaires relevant de la direction, à l’effet de signer les documents relatifs :
à la gestion administrative et financière des personnels de la direction de l’équipement et de la logistique (DEL) :
les ordres de mission et les réservations correspondantes,
les états déclaratifs de frais de déplacement des personnels,
les demandes de congés et les autorisations d’absence,
les états relatifs aux éléments variables de paie (heures supplémentaires, travaux insalubres, etc.),
les conventions de stage.
à la gestion administrative et technique des opérations de la compétence de la direction de l’équipement et de la
logistique du SGAP :
la validation des expressions de besoins des spécifications techniques des achats et des cahiers de clauses
techniques particulières de la direction de l’équipement et de la logistique,
les bons de commande et engagements juridiques relatifs aux missions de la direction de l’équipement et de la
logistique n’excédant pas 10000€,
les déclarations de sous-traitant,
la réception des fournitures, des prestations ou des services et la certification du service fait par référence aux
commandes correspondantes y compris les procès-verbaux de réception et les décomptes généraux définitifs,
à la gestion administrative et technique du matériel de la police nationale :
l’approbation de procès-verbaux de perte ou de réforme de matériels, y compris les armes et véhicules dès lors
que ceux-ci sont inscrits à un plan de renouvellement approuvé,
les ordres d’entrée et de sortie des matériels détenus en magasin.
à la gestion administrative et technique des locaux de la police nationale et de la gendarmerie nationale et
notamment les conventions avec France domaine
aux traitements des dossiers confiés à la direction de l’équipement et de la logistique :
la correspondance courante avec les différents services du ministère,
les échanges techniques avec les fournisseurs sans incidence contractuelle,
les ordres de service effectués dans le cadre des marchés de travaux ou de service,
les fiches techniques de modification.
ARTICLE 14
La délégation qui est conférée à M. François-Emmanuel Gillet par l’article 13 sera exercée notamment en cas
d’absence ou d’empêchement par
Fabien Le Strat pour ce qui concerne les dossiers immobiliers,
Pascal Raoult pour ce qui concerne les dossiers logistiques
ARTICLE 15 :
Délégation de signature est donnée à :
M. Bernard Boivin, responsable du secteur Bretagne,
Mme Annie Caillabet, responsable du secteur Haute-normandie
M. Denis Didelot, responsable du secteur Pays de la Loire et Basse-Normandie,
M. Martial Guichoux, chef du bureau zonal des Systèmes d’information,
M. Alain Hatier, adjoint au responsable des services logistiques de la délégation régionale de Tours,
M. François Jouannet, responsable du secteur Centre,
M. Laurent Lafaye, adjoint au chef du bureau des moyens mobiles
M. Gauthier Léonetti, chef de l’antenne logistique de la DEL à Oissel
M. Didier Portal, responsable des services logistiques de la délégation régionale de Tours,
M. Eric Rivron, responsable du pôle étude et méthodes
M.. Didier Stien, chef du bureau logistique,
pour signer les documents cités à l’article 13 dans la limite des attributions définies dans leur fiche de poste.
Délégation de signature est donnée à Nathalie Henrio-Couvrand, responsable du pôle gestion de patrimoine pour
signer les documents relatifs à la gestion administrative et technique des locaux de la gendarmerie nationale et de
la police nationale et notamment les conventions avec France Domaine.
Demeurent soumis à la signature du directeur de l’équipement et de la logistique et à ses adjoints :
les engagements juridiques supérieurs à 2 000 €,
l’approbation de procès-verbaux de perte ou de réforme de matériels, y compris les armes et véhicules dès lors
que ceux-ci sont inscrits à un plan de renouvellement approuvé,
les états relatifs aux éléments variables de paie (heures supplémentaires, travaux insalubres, etc.),
les conventions de stage.
En cas d’absence ou d’empêchement, la délégation qui leur est consentie est exercée par le suppléant désigné.
ARTICLE 16 :
Délégation de signature est donnée à :
M. J. Beigneux, chef de l’atelier automobile de Tours
M. R. Dollet, chef de l’atelier automobile de Nantes
M. F. Guegeais, chef de l’atelier automobile de Bourges
M. B. Le Clech, chef de l’atelier automobile de Oissel
M. J.-C. Leberre, chef de l’atelier automobile d’Angers
M. G. Lefeuvre, chef de l’atelier automobile de Rennes
M. S. Rebeyrol, chef de l’atelier automobile de Caen
M. F. Roussel, chef de l’atelier automobile de Saran
M. Y. Tremblais, chef de l’atelier automobile de Brest
dans les limites des attributions de leur atelier, pour signer :
les bons de commande sur les marchés de pièces automobiles liés à la gestion des droits de tirage et n’excédant
pas 2 000 €,
les marchés et les bons de commande relatifs à des dépenses de fonctionnement présentant un caractère
d'urgence, dans la limite maximale de 200 € par bon de commande et de 500 € à l'année.
Délégation de signature est donnée à M. Alain Turquety responsable zonal de la cellule suivi des commandes
pour signer les bons de commande sur les marchés logistiques et armements liés à la gestion des droits de tirage
et n’excédant pas 2000 €.
Délégation de signature est donnée par ailleurs à :
M. P. Briant, chef de l’atelier immobilier de Rennes,
M. D. Fayet, chef de l’atelier immobilier de Tours,
dans les limites des attributions de leur atelier, pour signer :
les bons de commande sur les marchés de fournitures liés à la gestion des droits de tirage et n’excédant pas 500
€,
les achats relatifs à des dépenses de fonctionnement présentant un caractère d'urgence, dans la limite maximale
de 200 € par bon de commande et de 500 € à l'année.
Délégation de signature est donnée à Mme Béatrice Flandrin, Mme Marie-Anne Gueneuguès, Mme Sabine
Vieren pour signer les bons de commande relatifs aux frais de fonctionnement et les états de frais de mission en
métropole dans la limite de 500 €.
Délégation de signature est donnée à A. Caillabet, D. Didelot, F. Jouannet, E. Rivron, S. Beigneux, D. Courteau,
S. Bulard, M. Cloteaux, JP Sevin pour valider les situations de travaux et les procès-verbaux de réception et le
service fait des dossiers de leur responsabilité.
Délégation de signature est donnée à S.Beigneux, B. Boivin, P. Briant, S. Bulard, A. Caillabet, E.Camerlynck,
M. Cloteaux, D. Courteau, D.Didelot, D. Fayet, F. Jouannet, B. Jouquand, F. Lepesant, E. Rivron, JF. Royan, JP.
Sevin pour valider les situations de travaux et les procès verbaux de réception et le service fait des dossiers de
leur responsabilité.
Par ailleurs, les agents cités à l’alinéa 1 de l’article 16, ainsi que les responsables des plates-formes logistiques
de Rennes (M. P Godest) de Oissel (M. J.-Y. Arlot) et de Tours (M. T. Fauché) ont délégation de signature pour
valider le service fait des livraisons de matériels et bons de commande.
Il en est de même pour les personnes chargées des dépenses de fonctionnement et des achats de fournitures de
bureau :
Martine Macé,
Anne Lenoël,
Philippe Padellec,
Béatrice Flandrin,
Bérénice Perret,
Sabine Vieren
ARTICLE 17 : Les dispositions de l’arrêté préfectoral n° 10-04 du 15 février 2010 sont abrogées.
ARTICLE 18 : Le préfet délégué pour la défense et la sécurité auprès du préfet de la zone de défense et de
sécurité Ouest est chargé de l’exécution du présent arrêté qui sera inséré au recueil des actes administratifs des
vingt départements correspondants.
8.62. 30/06/2010-2010-0533-Arrêté réglementant la police des
débits de boissons et autres lieux ouverts au public dans le
département d'Eure-et-Loir (Réglementation générale)
Extrait de l’arrêté n°2010-0533 du 30 juin 2010
Titre I : Horaires d’ouverture et de fermeture
Article 1er - Dans toute l’étendue du département d’Eure-et-Loir, l’heure de fermeture des débits de boissons
permanents ou temporaires, des bals, restaurants et autres établissements ouverts au public, à l’exception de ceux
ayant pour objet principal l’exploitation d’une piste de danse, est fixée ainsi qu’il suit :
-
à 1H00 dans les chefs-lieux de canton, les communes de plus de 5000 habitants et les
communes de LÈVES et LUISANT,
-
minuit dans les autres communes.
Ces mêmes établissements ne pourront être ouverts avant 5 heures.
Article 2 - Dans les nuits du vendredi au samedi, du samedi au dimanche ainsi que les veilles de fêtes locales,
patronales et légales, les établissements visés ci-dessus pourront bénéficier d’une heure supplémentaire
d’ouverture. Ils pourront, en outre, rester ouverts pendant les nuits du 13 au 14 et du 14 au 15 juillet et celles du
24 au 25 décembre et du 31 décembre au 1er janvier.
L’ensemble des horaires prévus aux articles 1 et 2 du présent arrêté sont récapitulés dans le tableau
suivant :
Chefs lieux de cantons,
communes de plus de
5 000
habitants,
communes de LEVES et
LUISANT
Autres communes
Nuits du
dimanche au lundi,
lundi au mardi,
mardi au mercredi,
mercredi au jeudi
et jeudi au vendredi
Nuits du
vendredi au samedi,
samedi au dimanche,
et veilles de fêtes locales,
patronales et légales
Nuits du
13 au 14 juillet,
14 au 15 juillet,
24 au 25 décembre
et 31 décembre au 1er
janvier
1 heure
2 heures
Toute la nuit
Minuit
1 heures
Toute la nuit
Article 3 - L’heure limite de fermeture des débits de boissons ayant pour objet principal l’exploitation d’une
piste de danse est fixée à 7 heures du matin.
La vente de boissons alcooliques est interdite dans les débits mentionnés au premier alinéa pendant
l’heure et demie précédant leur fermeture.
Article 4 - Par mesures générales, les maires pourront autoriser les établissements de leur commune à rester
ouverts tout ou partie de la nuit, à l’occasion des fêtes locales, patronales ou nationales.
Article 5 - Par mesures particulières, les maires pourront accorder des dérogations individuelles, sur demande
présentée trois jours ouvrables à l’avance par le débitant, pour une nuit déterminée, à l’occasion de mariages,
réunions de sociétés, banquets ou autres fêtes privées, pour les invités et les personnels de service, à l’exclusion
de tout autre personne.
Article 6 - Les autorisations générales et particulières seront portées en temps utile, et en tout cas avant 17 heures
le jour de la manifestation, par les organisateurs, à la connaissance des services de police et de gendarmerie
compétents.
Article 8 - Les maires ont le droit de fixer par arrêté motivé des horaires moins tardifs de fermeture des débits de
boissons de leur commune, en vertu de leurs pouvoirs de police, en application de l’article L.2212-2 du Code
Général des Collectivités Territoriales.
Des horaires moins tardifs pourront également être fixés par décision préfectorale, en application de
l’article L.2215-1 du Code Général des Collectivités Territoriales.
Article 9 - Tant pour l’heure d’ouverture que pour les heures de fermeture, des dérogations individuelles mais
toujours révocables pourront être accordées par le Préfet ou les Sous-préfets, aux débits de boissons visés à
l’article 1er après avis des maires et examen des motifs spécifiques invoqués par les débitants.
L’heure limite de fermeture ainsi accordée par dérogation ne pourra excéder 5 heures du matin.
Sous réserve des exigences de la sécurité, de la sauvegarde de l’ordre et de la tranquillité publics,
ces dérogations seront accordées pour une durée limitée et renouvelable par arrêté préfectoral. Avant sa
réouverture, l’établissement bénéficiaire de la dérogation devra avoir été fermé pendant une durée minimale
d’une heure. Cette obligation ne s’applique pas sur décision expresse du Préfet ou des Sous-préfets compétents,
aux établissements qui seraient autorisés à ouvrir 24 heures sur 24.
Titre II : Dispositions générales relatives aux établissements soumis au régime des débits de boissons permanents
ou temporaires, bals, restaurants, autres établissements ouverts au public, y compris ceux ayant pour activité
principale l’exploitation d’une piste de danse.
Article 10 - Il est interdit à tout particulier, d’entrer ou de demeurer dans les cafés, cabarets, bals, restaurants, et
autres établissements ouverts au public, y compris ceux ayant pour activité principale l’exploitation d’une piste
de danse en dehors des heures prescrites. Les propriétaires ou exploitants devront informer immédiatement les
autorités des scènes de désordres que pourrait amener l’insistance des clients à pénétrer ou à demeurer dans
l’établissement.
Article 11 - Défense est faite aux exploitants de débits de boissons permanents et temporaires, cafés, cabarets,
bals, restaurants, et autres établissements ouverts au public, y compris ceux ayant pour activité principale
l’exploitation d’une piste de danse :
1) de recevoir ou de conserver une personne étrangère à leur habitation, en dehors des heures d’ouverture, à
l’exception des voyageurs ou pensionnaires descendus dans leurs établissements ;
2) de recevoir dans lesdits établissements, des personnes notoirement connues pour se livrer à la prostitution, des
personnes en état d’ivresse, des mineurs de moins de 16 ans qui ne seraient pas accompagnés de leur père, mère,
tuteur ou toute autre personne chargée de les remplacer ;
3) de recevoir ou de tolérer dans leurs établissements pour exercer leur profession, des bateleurs, escamoteurs ou
autres industriels ambulants qui ne seraient pas munis d’une autorisation municipale ;
4) de tolérer dans leurs établissements des cris et des chants de nature à troubler l’ordre et le repos publics ;
5) de proposer ou de mettre en vente des boissons interdites par la loi ;
6) de permettre la consommation ou la vente de stupéfiants de toutes natures ;
7) Conformément à l’article L.3336-4 du Code de la Santé Publique, il est interdit d'employer ou de recevoir en
stage des mineurs dans les débits de boissons à consommer sur place, à l'exception du conjoint du débitant et de
ses parents ou alliés jusqu'au quatrième degré inclusivement.
Dans les débits de boissons ayant fait l'objet d'un agrément, cette interdiction ne s'applique pas aux mineurs
de plus de seize ans bénéficiaires d'une formation comportant une ou plusieurs périodes accomplies en entreprise
leur permettant d'acquérir une qualification professionnelle sanctionnée par un diplôme ou un titre homologué
dans les conditions prévues aux articles L. 335-5 et L. 335-6 du code de l'éducation.
Article 11 – Tout débitant est tenu de prévenir immédiatement le maire, les services de gendarmerie ou de
police, de toutes atteintes à l’ordre, la santé, la moralité ou la tranquillité publiques qui viendraient à se produire
dans son établissement ou aux abords, ou du refus fait par des personnes étrangères à son établissement de se
retirer à l’heure de fermeture.
Article 12 - Toute personne qui, à l’occasion d’une foire, d’une vente ou d’une fête publique, voudra établir un
débit de boissons temporaire, ne pourra le faire qu’après avoir obtenu l’autorisation du maire.
Article 13 - Aucun bal public ne pourra être ouvert sans l’autorisation du maire. Les danses en dehors des
habitations seront soumises à la même autorisation.
Article 14 - Nul entrepreneur de bals publics ne pourra ouvrir une salle sans avoir préalablement obtenu
l’autorisation de la Commission Départementale de Sécurité et d’Accessibilité pour des raisons de protection du
public.
Article 15 - Lorsqu'ils diffusent, à titre habituel, de la musique amplifiée, les débits de boissons
permanents et temporaires, cafés, cabarets, bals, restaurants, et autres établissements ouverts au public, y
compris ceux ayant pour activité principale l’exploitation d’une piste de danse s'engagent à respecter les
dispositions prévues par les articles R 571-25 à R 571-30 du code de l'environnement et l'arrêté du 15
décembre 1998, ainsi que toutes les dispositions actuelles ou ultérieures relatives à la lutte contre le bruit.
L'exploitant devra notamment être titulaire de l'étude de l'impact des nuisances sonores établie par un
organisme agréé et produire les justificatifs attestant de la mise en conformité de son établissement. En cas de
travaux ou de modifications susceptibles d'avoir des conséquences sur les nuisances sonores, l'exploitant
s'engage à fournir une mise à jour de l'étude de l'impact des nuisances sonores.
Les émissions sonores ne devront en aucun cas être audibles à l'extérieur des locaux de l'établissement, ce
qui implique de maintenir en position fermée toutes les portes et les fenêtres de l'établissement pendant les
heures d'ouverture, et de disposer d’un système mécanique de renouvellement de l’air intérieur.
Article 16 - Le présent arrêté devra rester affiché dans les établissements concernés.
Article 17 - Les contraventions au présent arrêté seront constatées par procès-verbal et poursuivies
conformément aux lois et règlements en vigueur. Elles seront susceptibles d’entraîner une fermeture
administrative d’une durée pouvant aller jusqu’à 6 mois sur décision préfectorale et jusqu’à 1 an sur décision du
Ministre de l’Intérieur, de l’Outre-mer et des Collectivités Territoriales.
Article 18 - L’arrêté préfectoral du 15 septembre 1997 est abrogé.
Article 19 - Monsieur le Secrétaire Général de la Préfecture d’Eure-et-Loir, Madame et Messieurs les Souspréfets d’arrondissement, Mesdames et Messieurs les Maires, Monsieur le Commissaire Divisionnaire, Directeur
Départemental de la Sécurité Publique, Monsieur le Colonel, commandant le Groupement de Gendarmerie, et
tous agents de la force publique, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui
sera inséré au Recueil des Actes Administratifs de la Préfecture d’Eure-et-Loir.