ce lien - Élevage Conseil Loire Anjou
Transcription
ce lien - Élevage Conseil Loire Anjou
INFO LAIT P. 8 - 9 INFO VIANDE P. 12 - 13 INFO CAPRINE P. 11 CÉTO'DÉTECT - BIO RÉSULTATS 2012 - 2013 ACHAT REPRODUCTEUR BILAN DE REPRO LECTEUR DE PUCES ACTU’ÉLEVAGE LE MAGAZINE D’INFORMATION D’ÉLEVAGE CONSEIL LOIRE ANJOU N°8 - NOVEMBRE 2013 LE DOSSIER CAPACILAIT, SE PRÉPARER À PRODUIRE DEMAIN P4 DU CÔTÉ DE CHEZ NOUS ||| ÉLEVAGE CONSEIL LOIRE ANJOU P 2 DU CÔTÉ DE CHEZ NOUS Mon troupe@u : le pilotage WEB Mon troupe@u rassemble les logiciels utiles aux éleveurs : • SYNel pour les notifications IPG, • SYNel Plus pour la valorisation des données viande, • Osmos'Pilotage pour le pilotage du troupeau laitier et son application sur smartphone, • Osmos'Prévilait pour les prévisions de production • Osmos'Nutrition pour le rationnement. Nos relais Mon troupe@u assurent un appui à l'utilisation de ces outils ; le service informatique à la ferme de la Chambre d'Agriculture assure l'assistance informatique (numéro unique : 02 53 46 60 60). Notre service élevage associé à MSB Dominique BERNIER a cédé son entreprise Multi Services Bovin (MSB) à ses salariés qui se sont associés à ELEVAGE CONSEIL LOIRE ANJOU et EILYPS (ex Contrôle Laitier 35) sous la forme d'une SAS qui a vu le jour le 20 octobre 2013. La société MSB, implantée en Ille et Vilaine, est spécialisée dans la pédicure (bovins, caprins) et le scarainage des bétons (rainurage et scarification). Le numéro de téléphone pour commander une intervention reste le même : 02 41 33 61 42. Plus d'infos sur notre site, rubrique "Nos services / service élevage". La Newsletter Depuis septembre, une lettre d'information mensuelle est envoyée par mail aux adhérents ayant du conseil. Ceux qui ne la reçoivent pas peuvent s'abonner sur notre site. Cette newsletter permet de donner des informations techniques, des rappels, des thèmes à aborder avec son conseiller, de l'actualité,... et renvoie sur certaines pages du site. ÉLEVAGE CONSEIL LOIRE ANJOU ||| DU CÔTÉ DE CHEZ NOUS P 3 Les rendez-vous de l'élevage CAPRINS Nos rencontres annuelles avec les adhérents (nos anciennes assemblées de secteurs et assemblées de producteurs) sont programmées entre le mois de décembre 2013 et fin janvier 2014, avec la participation de GENOE. LAIT LES RENDEZ-VOUS DE L’ÉLEVAGE CAPRIN APRINS Le 12 décembre 2013 LES RENDEZ-VOUS DE L’ÉLEVAGE VIANDE BOVINS LE PROGRAMME LE PROGRAMME LAIT Le matin en salle BIO Actualités Elevage Conseil Loire Anjou Thèmes techniques : BOVINS 1. Innovations technologiques : antennes mobiles, portillons de séparation, lactocorders VHP 2. Caplait Web 3. Boîtier Agrident BIO VHP Les 3, 4 et 5 décembre 2013 L'après-midi en élevage Visite du GAEC DE LA CULIERE, à TRANS SUR ERDRE (44) Thèmes : Innovations technologiques et boîtier Agrident Le matin en salle Actualités Elevage Conseil Loire Anjou Actualités GENOE - EVOLUTION Thèmes techniques : 1. La future PAC 2. Réduire la mortalité des veaux L'après-midi en élevage Visite d’élevage Thèmes : 1. Présentation de l'élevage 2. Préparation au vêlage et mortalité 0 - 24 h 3. Génétique et renouvellement APRINS LES RENDEZ-VOUS DE L’ÉLEVAGE LAIT LAIT Du 14 au 30 janvier 2014 LE PROGRAMME BOVINS BIO Le matin en salle Actualités Elevage Conseil Loire Anjou Thème technique : Piloter son élevage dans un contexte en mouvement : a) Les réformes en cours (PAC, quotas laitiers) b) Les impacts à l'échelle de l'exploitation c) Les enjeux de la génétique dans ce contexte VHP L'après-midi en élevage Visite de l'élevage Thème : La démarche CAPACILAIT dans l'exploitation visitée + D'INFOS Toutes les dates et les lieux de nos Rendez-Vous de l'Elevage sont consultables sur notre site. LE DOSSIER ||| ÉLEVAGE CONSEIL LOIRE ANJOU P4 LE DOSSIER Producteurs laitiers : se préparer pour produire demain L'évolution du contexte laitier oblige les producteurs à raisonner autrement leur outil de production. Pour s'adapter au marché de demain et à ses fluctuations, il faut mener des réflexions dès maintenant afin d'avoir le temps de s'y préparer. LE CONTEXTE LAITIER ET LES ENJEUX Avec la fin des quotas laitiers, chaque laiterie va adopter une stratégie d'approvisionnement en fonction de ses marchés. Les producteurs vont devoir s'adapter à un contexte fluctuant aussi bien sur les prix que sur les volumes. Ils doivent dès à présent faire des choix stratégiques pour orienter leur production de demain. L'enjeu sera d'adapter les volumes de lait produits à la demande fluctuante du marché tout en sécurisant le revenu malgré des prix volatiles. Les questions que se posent les éleveurs : • Aurais-je intérêt à produire ponctuellement un volume de lait supplémentaire ? • En serais-je capable ? • Est-ce que je dois investir pour m'agrandir maintenant ? • Comment ferais-je si le prix du lait baisse fortement ? ÉVOLUTION DE LA PRODUCTION LAITIÈRE EN PAYS DE LA LOIRE Les Chambres d'Agriculture ont étudié différents scénaris. Suivant le contexte économique, la production moyenne par exploitation passerait de 367 000 litres en 2010 à 495 000 ou 600 000 litres suivant les différentes hypothèses (plus d'informations sur notre site). Production laitière / exploitation (Pays de la Loire) : Situation 2010 et évolution 2020 selon le scénario Evolution des références laitières par exploitation (en litres) Campagne laitière 2007/2008 2012/2013 Loire-Atlantique 298 000 394 000 Maine et Loire 287 000 368 000 Pays de la Loire 283 000 378 000 Source Agreste L'évolution moyenne des quotas laitiers en Pays de la Loire montre la forte restructuration du secteur. Elle laisse présager une évolution de la production par élevage. L Source : étude prospective laitière Chambre d'Agriculture des Pays de la Loire 2013 ÉLEVAGE CONSEIL LOIRE ANJOU ||| LE DOSSIER P 5 CAPACILAIT : UNE MÉTHODE EN TROIS ÉTAPES CAPACILAIT est une méthode simple et rapide, élaborée par l'Institut de l'Elevage et les Chambres d'Agriculture. Cet outil passe au crible tous les facteurs de production de l'exploitation et analyse ceux qui paraissent les plus limitants. L'objectif est de définir un projet d'adaptation de l'exploitation. Etape 1 : Evaluer la capacité productive de l'exploitation La première étape préalable à tout projet est indispensable : il faut connaître les facteurs de production les plus limitants. Cette étape permet de répondre à la question : "Quel volume de lait puis-je produire aujourd'hui avec les moyens existants (capacité de production initiale) ?" Les 7 facteurs de production qui sont évalués et analysés sont les suivants : • La main d'oeuvre et le travail, • La distribution des concentrés et des fourrages, • Le logement (vaches laitières, génisses, nurserie), • La réglementation environnementale, • Le système fourrager et le système animal, • L'installation de traite, • L'application (éventuelle) d'un cahier des charges spécifique, Etape 2 : Déterminer les leviers permettant de moduler la production L'analyse de ces différents facteurs de production permet de répondre à la question : "Quel volume pourrais-je produire en adaptant mon outil de production (capacité de production potentielle) ?" La synthèse de ce diagnostic est présentée sous forme graphique afin d'en avoir une lecture simple et rapide. VL sans modifications Nombre de vaches aujourd'hui Nombre de vaches possible avec modification VL avec modifications Nombre de vaches possible sans modification Source : Institut de l'Elevage - Chambre d'Agriculture 2013 Salle de traite Places de couchage Places à l'auge Places de Capacité Production couchage stockage des GL déjections fourragère 170 N Travail d'astreinte Le potentiel de production est exprimé en litres de lait ou en effectif de vaches laitières. Ainsi, l'éleveur visualise rapidement les facteurs limitants de son exploitation et les solutions envisageables à court et moyen termes pour moduler sa production, à la hausse ou à la baisse. LE DOSSIER ||| ÉLEVAGE CONSEIL LOIRE ANJOU P6 Etape 3 : Simulation du projet Budget partiel •Définir ses objectifs (revenu, travail, risques, coûts,...), •Déterminer ses marges de progrès, avec ou sans investissement, •Etudier les différents leviers pour adapter les volumes de production (cheptel, fourrages,...) •Chiffrer son projet et analyser sa sensibilité aux aléas conjoncturels en mesurant les impacts sur le revenu et la trésorerie. Variation des produits (+ -) Lait 6 720 € Viande 472 € Vente Fourrages 0€ Variation des charges (+ -) Charges conc 804 € Charges Fourrages 270 € Frais d'élevage 187 € Achat d'animaux Cultures de vente Aide PAC couplé DPU - 533 € Cultures de vente 0€ Mécanisation 0€ Foncière 0€ - 208 € - 27 € 0€ 1 026 € 6 659 € La démarche de simulation d'un projet se fait en plusieurs étapes. L'éleveur doit, avec l'aide de son conseiller : Variation EBE avant MO 5 633 Variation MSA (base 35 %) 1 972 Variation EBE Net 3 662 Témoignages En partenariat avec les Chambres d'Agriculture, 25 conseillers d'Elevage Conseil Loire Anjou sont formés à ce jour pour intervenir dans les élevages. L'action CAPACILAIT est proposée en groupe ou en individuel. Jean-Claude AUDRAIN, Eleveur à la Boissière du Doré (44), administrateur La restructuration laitière nous amène à réfléchir à la possibilité de produire plus. CAPACILAIT est un outil d'aide à la décision qui aborde chaque poste de l'exploitation pour en définir les limites, en intégrant les souhaits des producteurs. Le conseiller d'Elevage Conseil Loire Anjou, oeil extérieur indispensable dans nos élevages, connaît bien l'exploitation. Le bilan réalisé avec CAPACILAIT doit permettre d'aller plus loin dans la réflexion et dans les conseils de suivi de l'élevage. Une fois les données enregistrées, le projet mis en route, le conseiller peut en suivre l'évolution, relancer les discussions au fil des mois et sur le long terme. Bruno LANDIER Conseiller CAPACILAIT est un outil qui permet dans un premier temps de faire un bilan global sur l'exploitation. Il a la particularité de prendre les trois critères du bon fonctionnement d'une entreprise : les résultats techniques, économiques et travail. La prise en compte du travail est très importante dans l'évolution des entreprises. Augmenter les volumes par UMO sans cette donnée " temps " génère souvent des résultats techniques et économiques vulnérables. Avec l'arrêt des quotas en 2015, CAPACILAIT est un outil complet de projection de chaque entreprise. Jean-Yves DUPIN Responsable Economie d'exploitation Le paysage laitier change. Elevage Conseil Loire Anjou se doit d'accompagner ses adhérents dans ce contexte. L'évolution de l'Atelier Lait engendre généralement une modification des autres ateliers. C'est pour cela que le conseiller intègre les données de l'ensemble de l'exploitation. Pour être complet, il réalise une simulation, détermine, avec l'éleveur, les modifications techniques à apporter... Enfin, il effectue un chiffrage économique de la variation d'EBE dans un contexte de volatilité des prix en prenant en compte les investissements éventuels, sans négliger la charge de travail à l'échelle de l'exploitation. ÉLEVAGE CONSEIL LOIRE ANJOU ||| LE DOSSIER P7 CATHERINE ET SERGE NEAU EARL DES CHATAIGNIERS, LA POMMERAYE (49) •Eleveurs en race Prim'Holstein LA POMMERAYE NANTES Témoignage • POURQUOI AVOIR FAIT UNE ÉTUDE CAPACILAIT ? « Tout a commencé suite à l'usure de notre pompe à vide. Quand on a demandé un devis pour la changer, on a dit au vendeur "et si on passait en deux fois cinq décro ? ". Du coup, ça a amené une réflexion plus globale sur notre équipement de traite. Investir dans quoi et jusqu'où ? Sachant qu'il est difficile de se projeter avec des prix fluctuants... Bruno LANDIER, notre conseiller à Elevage Conseil Loire Anjou, nous a alors proposé l'étude CAPACILAIT. » • COMMENT S'EST DÉROULÉE LA PREMIÈRE PHASE DE CAPACILAIT ? « Tout d'abord, on a précisé ce que nous recherchions : faire évoluer notre exploitation et notre revenu tout en maîtrisant la charge de travail et avoir une exploitation rentable et reprenable. Bruno a écouté nos attentes et nos choix, sans nous influencer. Il a ensuite pris notre comptabilité pour partir de nos chiffres et a analysé nos résultats techniques et économiques. Cette étape nous a permis de faire ressortir nos points forts et nos points faibles. Elle nous a surtout permis de savoir ce que nous pouvions produire aujourd'hui, sans investir. Conclusion : on ne peut pas faire beaucoup plus que les 400 000 litres que nous produisons ! » • QUELS SONT LES PROJETS QUI EN SONT RESSORTIS ? « Nos réflexions nous ont conduits à étudier deux projets. Le premier projet est de passer la salle de traite en 2 fois 5 avec un petit agrandissement de la stabulation. Cette option nous permettrait de produire 100 000 litres de plus avec un faible investissement. Le deuxième projet est de passer TRÉLAZÉ en 2 fois 6 avec agrandissement de la stabulation sur la fumière et construction d'une nouvelle fumière. Cette option nous permettrait d'augmenter notre capacité de production de 200 000 litres. L'investissement et le temps de travail seraient plus importants. Dans ce cas, des travaux seraient délégués. » • ET LA SUITE ? « Cette démarche nous a "relancé", nous a montré qu'on pouvait continuer à évoluer, même à nos âges ! Ces réflexions en ont amené une autre : pourquoi ne pas investir dans un robot et se projeter plus loin ? Il nous faut maintenant étudier ce projet avec Bruno, avant de prendre une décision, faire des devis... A suivre ! » L’INFO LAIT ||| ÉLEVAGE CONSEIL LOIRE ANJOU CAPRINS P 8 L’INFO LAIT LAIT Céto'Détect, gérer les débuts de lactation avec sérénité Céto'Détect a été lancé il y a un an. Cette analyse sur le lait individuel des vaches contrôlées permet d'identifier rapidement leur niveau d'acétonémie en début de lactation. L'éleveur peut rapidement intervenir ou accentuer la surveillance. BOVINS PRÈS DE 30 % DE VACHES POSITIVES PAR L'ACÉTONÉMIE Effectif de vaches et notes Céto'Détect Note 0 Etat Saines Effectif 276 378 % 72,5 Note 1 Note 2 Note 3 Douteuses 60 840 23 851 Note 4 10 952 5 268 5,3 Analyses de novembre 2012 à septembre 2013 UNE BAISSE DE PRODUCTION LAITIÈRE CONFIRMÉE La perte de production constatée est élevée et est liée à la note du critère Céto'Détect. En note 4 et 5, la perte de lait est en moyenne de 5 à 6 kg de lait par rapport à la situation saine (courbe verte). La perte maximale est de 10 kg de lait pour les vaches ayant une note 5 en deuxième lactation. Production laitière (kg) Production laitière en fonction des notes Céto'Détect et selon le rang de lactation 40,0 35,0 30,0 25,0 moy rang 1 20,0 moy rang 2 moy rang 3 et + 0 1 3 2 4 Notes Céto'Détect 5 Source R&D CLASEL *Entreprise de Conseil en Elevage 53 et 72 BIO Malades 22,2 15,0 Note 5 L'hiver dernier, les taux d'acétonémie ont été supérieurs aux attentes. En effet, 22 % des vaches ont eu une note comprise entre 1 et 2, plus de 5 % entre 3 et 5. L'apparition des acétonémies est fonction des rations distribuées. Les valeurs des maïs de 2012 étaient moyennes et les prix des concentrés élevés. Ces deux critères expliquent une partie de ces résultats. 3 800 UN LIEN AVEC LES NUMÉRATIONS CELLULAIRES VHP Les données de contrôles montrent un lien étroit entre les notes d'acétonémie et les taux leucocytaires par vache. Selon une étude du CLASEL*, le taux cellulaire est de 250 000 cellules en note 0 et de plus de 600 000 en note 4 et 5. Il est, par contre, difficile d'identifier la cause et la conséquence. En effet, un animal ayant une mammite consomme un peu moins de ration et, de ce fait, a un risque d'acétonémie plus élevé. L'acétonémie provoque aussi une dépression du système immunitaire qui peut augmenter les niveaux cellulaires. UN CRITÈRE UTILE POUR RÉAGIR VITE Les valeurs des premières analyses de maïs 2013 s'annoncent moyennes à 0,90 UFL par kg de MS. Le suivi des démarrages de lactation sera important dans le contexte actuel de forte demande laitière. Il faudra donc identifier et résoudre rapidement les problèmes si on veut maximiser les quantités de lait livrées. Pierrick KERNEN Expert nutrition [email protected] L'INFO LAIT ||| ÉLEVAGE CONSEIL LOIRE ANJOU P 9 Résultats technico-économiques 2012/2013 HAUSSE DU COÛT DE L'ALIMENTATION DE 19 % PAR RAPPORT À L'ANNÉE PRÉCÉDENTE Dans un contexte de flambée de cours des matières premières, le prix moyen des concentrés utilisés s'établit à 326 € la tonne, soit une hausse de 35 % sur deux ans. Dans ce contexte, plus que jamais, une grande maîtrise technique s'impose pour limiter l'impact de ce poste sur la marge. Pour un même niveau de production pour des élevages d'un même système, on observe un écart de coût de concentré de l'ordre de 30 €/1 000 litres. CONSOMMATION DE CONCENTRÉS VL (RACE PH) : SILOS OUVERTS Les résultats techniques et la maîtrise des charges sont variables en fonction des sytèmes et des stratégies des éleveurs. Economes Concentré vaches laitières Moyenne Silos ouverts Généreux Concentrés vaches laitières 104 101 98 Lait /VL (litres) 7 710 8 260 8 240 Concentré/VL (kg/VL) 1 270 1 630 1 815 Concentré/litre (g/l) 165 195 230 Coût concentré (€/tonne) 303 332 343 Coût de concentrés (€/1 000 l) 50 65 79 Prix du lait (€/1 000 litres) 321 324 327 TB (g/l) 42,2 42,1 42,0 TP (g/l) 32,8 33,2 33,2 45 44 43 19 20 20 + 268 + 223 + 269 SYSTEME % de réalisation du quota % réussite 1 ère IA % 3 IA et plus Niveau génétique (index lait) • Les éleveurs qui n'atteignent pas leur quota sont plus généreux espérant une augmentation de la production par vache. Cette stratégie semble peu payante pour cette année. • Avec une complémentation à 195 grammes de concentrés par litre ou à 230 grammes, le niveau de production est identique : 8 250 litres / VL avec 42 de TB et 33,2 de TP. • Les élevages économes en concentrés produisent moins de lait par VL mais, avec une économie de 30 € de concentrés / 1 000 litres. • La quantité de concentré distribué n'influence pas la réussite à la reproduction. Jean-Yves DUPIN Responsable gestion d'exploitation [email protected] ÉLEVAGE CONSEIL LOIRE ANJOU ||| L’INFO LAIT P 10 BOVINS Résultats technico-économiques des élevages bio Après deux années fourragères tendues en terme de stocks, l'année 2012 a été plus clémente. Les exploitations laitières bio ont vu leur production laitière à l'hectare de SFP progresser de 700 litres, ce qui est comparable à l'évolution aux élevages conventionnels. L'augmentation des rendements en herbe (+ 0,6 T) et en maïs (+ 1,7 T) a permis d'éviter le rationnement des animaux en production sur les fourrages de meilleures qualités tout en conservant une sécurité fourragère intéressante sortie hiver. Malgré les stocks abondants, la production par vache est stable. Ceci s'explique par les moyennes valeurs alimentaires des fourrages conservés et le raccourcissement de la période de pâturage d'automne. Le plus de production de lait à l'hectare de SFP s'explique principalement par quatre vaches supplémentaires en production moyenne sur l'année. BIO 2012/2013 % maïs / SFP UTILISATION DES SURFACES Lait / ha SFP (en litres) Lait vendu (en litres) VHP PRODUCTION LAITIERE ET PRIX DU LAIT 448 900 Rdt herbe (T MS/ha) 5,9 Rdt maïs (T MS/ha) 10,3 Lait/VL (en litres) CONDUITE DU TROUPEAU 12 5 300 6 670 Concentrés/VL (en kg) 932 Coût concentrés (€/1 000 L) 54 % pâturage 47 Age au vêlage (en mois) 30 Concentrés/GL élevée (en kg) 530 % réalisation quota 94 Prix du lait (€/1 000 L) 408 TB (g/l) 41,4 TP (g/l) 32,2 Incidence qualité (€/1 000L) - 3,1 Pass bio et suivi bio Le Conseil Régional des Pays de la Loire conforte les démarches des producteurs vers l'Agriculture Biologique. Il met en place un dispositif d'appui aux producteurs qui envisagent une conversion ou qui ont converti récemment leur exploitation (subvention des interventions de conseillers agréés à hauteur de 80 %). Le choix d'engager une conversion vers le mode de production bio entraîne de profondes modifications techniques et économiques. LE PASS BIO POUR LES PROJETS DE CONVERSION Un diagnostic de conversion simple L'objectif est de prendre du recul sur les modifications impliquées par cette conversion en y incluant les points favorables et critiques du système ainsi que les réglementations techniques et administratives qui en découlent. Une étude prévisionnelle de conversion L'objectif est d'aider l'éleveur à appréhender le redimensionnement technique et l'impact économique du système à mettre en place en se projetant sur 5 ans. Nos conseillers spécialisés bio sont habilités pour accompagner les éleveurs dans ces démarches. LE SUIVI BIO POUR LES CONVERSIONS DE MOINS DE 5 ANS L'objectif est d'aider l'éleveur à stabiliser son système en mettant l'accent sur les points les plus fragiles : - Adaptation du système de production aux exigences des filières de commercialisation, - Pratiques agronomiques, - Pratiques d'élevage... Evelyne GARAUD Conseillère lait spécialisée bio [email protected] LA FERME MOYENNE BIO 2,1 UMO, 119 ha de SAU, 69 vaches laitières, 448 900 litres de lait livrés à 408 €/1 000 litres, réalisation de la référence à 94 %. ÉLEVAGE CONSEIL LOIRE ANJOU ||| L'INFO CAPRINE P 11 L’INFO CAPRINE Valoriser les identifiants électroniques en élevage caprin ? Depuis mai 2013, un lecteur de puces électroniques est à la disposition des éleveurs pour le suivi du troupeau. Roland CHEVREUIL, SOLESMES (72) témoigne sur son utilisation. • POURQUOI S'ÉQUIPER D'UN LECTEUR DE PUCES ? « Je possède CAPLAIT, le logiciel de gestion du troupeau caprin proposé par Elevage Conseil Loire Anjou, depuis 2011. L'exploitation étant sur deux sites, les saisies n'étaient pas faites régulièrement et j'avais le sentiment de mal valoriser mes données. En 2012, j'ai "électronisé" mon troupeau pour répondre aux exigences réglementaires et pour utiliser les lactocorders pour le contrôle de performances. Elevage Conseil Loire Anjou proposait un lecteur de puces en lien avec CAPLAIT : j'ai trouvé cet appareil très intéressant. » • DANS QUEL BUT AVEZ-VOUS INVESTI DANS LE LECTEUR ? « Au départ, je voulais gagner du temps au quotidien. Il suffit de biper la chèvre puis d'enregistrer les données que je souhaite pour chaque animal (mises bas, échographies, évènements sanitaires...). Je n'ai plus besoin de papier, je transfère juste les informations sur mon ordinateur et je les valide. Je voulais aussi que le lecteur m'aide à répondre aux obligations réglementaires : il enregistre les interventions sanitaires et les mouvements d'animaux. » Essayez un lecteur pendant une semaine avant d'investir. Demandez à votre conseiller d'Elevage Conseil Loire Anjou. Roland CHEVREUIL • LE GAIN DE TEMPS EST-IL UNE RÉALITÉ ? « Ce qui m'a le plus interpellé, c'est de pouvoir trier les animaux avec le lecteur. Dernièrement, j'ai effectué des inséminations en deux lots. J'ai trié mes chèvres pour gagner du temps lors de l'IA. J'en ai profité pour définir deux autres lots : chèvres en saillie naturelle et chèvres en lactation longue. Au départ, j'ai trié mes chèvres sur CAPLAIT selon les critères fixés avec ma conseillère d'Elevage Conseil Loire Anjou. J'ai transféré ces données sur le lecteur. A la traite, nous avons identifié chaque chèvre et placé un collier de couleur selon son lot. Nous les avons allotées après la traite. Avant, nous étions trois pour alloter, avec beaucoup plus de temps à la traite. Cette année, nous étions seulement deux. Le lendemain, juste pour nous rassurer, nous avons vérifié si le tri était correct, en bipant les chèvres avec le lecteur. » Virginie TARDIF Conseillère caprin [email protected] ÉLEVAGE CONSEIL LOIRE ANJOU ||| L'INFO VIANDE P 12 L’INFO VIANDE Achat de son reproducteur en quatre étapes Le choix d'un taureau reproducteur est capital pour le troupeau. Pour que son achat ne s'apparente pas à une loterie et ne soit pas qu'un coup de coeur, quatre étapes vous aideront à trouver l'animal qui convient à votre troupeau. Christophe GROSBOIS CRITERES A OBSERVER SUR L'ANIMAL Conseiller viande ÉTAPE 1 : DÉFINIR SES OBJECTIFS Pour quand ai-je besoin d'un reproducteur ? Sur quels animaux et sur combien ? La réponse à ces questions va orienter le choix vers un taureau jeune ou adulte, à destination des vaches ou des génisses. L'éleveur doit aussi définir ses objectifs de sélection et prendre en compte les deux niveaux de progrès génétique : les effets directs (morphologie, croissance, facilité de naissance) et les effets maternels : lait, aptitude au vêlage. Développement musculaire ÉTAPE 2 : PRÉPARER SON ACHAT Un achat en ferme permet de se conforter par un tour de troupeau (père, mère et animaux de même âge). Un achat sur une vente offre une comparaison rapide de plusieurs animaux provenant de différents élevages. Dans tous les cas, avant d'aller voir les animaux, il est important de prendre le temps de consulter les données disponibles (catalogues de vente ou Génival). ÉTAPE 3 : DEVANT LES ANIMAUX Le préalable est d'éliminer les risques de consanguinité et de s'informer sur le statut sanitaire de l'élevage. L'observation des animaux présélectionnés permet de vérifier que la morphologie est en adéquation aux attentes et de valider les fondamentaux morphologiques (aplombs, rectitude, bassin large). Ces critères influent notamment sur la longévité. L'acheteur s'informe aussi sur la conduite de l'animal : logement, régime alimentaire, prévention sanitaire. Développement squelettique ÉTAPE 4 : L'INTRODUCTION DANS L'ELEVAGE La livraison par le vendeur réduit les risques sanitaires de stress et de blessures. Une mise en quarantaine est préférable dans l'attente des résultats de prise de sang d'achat à compléter par des analyses complémentaires (IBR, BVD, paratuberculose,...) et du typage ADN. Le taureau peut être introduit dans un lot de vaches à l'engrais. Une transition alimentaire en lien avec la conduite du vendeur est mise en place. La réussite de l'achat sera connue deux ans après. II faut prendre le temps de choisir, mais aussi évaluer les performances des veaux qui naîtront. L'INFO VIANDE ||| ÉLEVAGE CONSEIL LOIRE ANJOU P 13 Bilan de reproduction 2012/2013 des troupeaux allaitants Les performances de reproduction sont essentielles dans les résultats économiques d'un troupeau allaitant. L'objectif est le même quelle que soit la race : un veau par vache et par an. Les résultats de reproduction présentés ci-dessous sont ceux des troupeaux engagés en contrôle de performance (VA4) dans les cinq principales races (471 élevages - 31 500 vêlages). Campagne 2012/2013 RACE Limousin 154 127 69 41 80 10 589 8 563 4 140 2 658 5 550 Nombre d'élevages Nombre de vaches vêlées La taille des troupeaux (nombre de vaches présentes) est relativement homogène (environ 65), à l'exception de la race Rouge des Prés avec 58 vaches présentes. Les taux de renouvellement varient entre les races. Un taux de renouvellement élevé permet une amélioration génétique plus importante et un produit viande qui peut potentiellement s'améliorer lui aussi. Cependant, il s'agit d'un CAMPAGNE 2012/2013 Blonde Rouge des Parthenais d'Aquitaine Prés Charolais équilibre à trouver en fonction de la stratégie des élevages. L'âge au premier vêlage avoisine les 33 mois pour l'ensemble des races. Il s'agit d'un levier très pertinent dans l'optique de réduire la phase d'improductivité des animaux. Dans la mesure du possible, le vêlage à 30 mois reste un levier envisageable pour l'ensemble des races. Les intervalles vêlagevêlage (IVV) moyens sont assez proches, à l'exception de la Blonde Rouge des Parthenais d'Aquitaine Prés Charolais Limousin Nombre moyen de vaches présentes 65,5 62,5 66,1 64,9 57,7 Nombre de veaux nés 72,4 68,9 71,5 66,9 62,8 Nombre de vêlages (vaches + génisses) 68,8 66,7 69,4 64,8 60 % de génisses sur la totalité des vêlages 31,30 27,70 34,70 33,70 33,60 Age au premier vêlages (mois) 33,5 33,7 34,7 33,7 32 IVV moyen du troupeau (jours) 378 375 388 380 380 Mortalité naissance - sevrage (%) 11,30 9,30 10,20 11,50 12,90 Vêlages difficiles (code 3) (%) 4,80 2,70 5,10 6,10 5,50 Césarienne et embryotomie (code 4 et 5) (%) 3,2 0,7 3,7 6,5 6,4 Blonde d'Aquitaine (388 jours). Ceci s'explique notamment par des durées de gestation plus longues pour cette dernière. La maîtrise de l'IVV passe par une alimentation adaptée aux besoins du troupeau, à une rigueur quant aux périodes de mise à la reproduction mais aussi, par un tri des animaux improductifs. Les problèmes de vêlage n'épargnent aucune race, à l'exception de la Limousine. MORTALITE La mortalité des veaux est un levier technique difficile à maîtriser et qui impacte fortement les résultats économiques. Ce thème sera abordé lors des RendezVous d'Elevage 2013. Julien FORTIN Chef de projet génisses [email protected] RÉGLEMENTATION ||| ÉLEVAGE CONSEIL LOIRE ANJOU P 14 RÉGLEMENTATION Conditionnalité 2013 : Protection des eaux contre la pollution par les nitrates La directive communautaire concernant la protection des eaux contre la pollution par les nitrates a pour objectif d'éviter l'excès de nitrates d'origine agricole dans les eaux de surface et les eaux souterraines. POINTS VÉRIFIÉS LORS D'UN CONTRÔLE DDT, DDPP OU ASP Huit points de contrôle sont vérifiés au titre de la conditionnalité. La campagne 2013 étant une année de transition, des remises en conformité sont possibles, uniquement pour cette année, pour les nouvelles anomalies relatives aux points de contrôle 1 et 8. Les nouveautés : POINT DE CONTRÔLE 1 : RESPECT DE L'ÉQUILIBRE DE LA FERTILISATION AZOTÉ EN ZONE VULNÉRABLE Le contrôle concerne les îlots situés en zone vulnérable, quelle que soit leur superficie. Il porte sur les points suivants : 1. La présence du plan prévisionnel de fumure et du cahier d'enregistrement des pratiques d'épandages pour la campagne culturale* en cours et pour la campagne précédente ; leur absence constitue une anomalie grave qui ne peut être remise en conformité. 2. Le raisonnement de l'équilibre de la fertilisation azotée dans le plan prévisionnel de fumure, basé sur les rendements moyens des cinq dernières années (sauf le meilleur et le plus faible). 3. La comparaison de l'apport d'azote réalisé par rapport à la dose prévisionnelle calculée dans le plan prévisionnel de fumure. Tout écart doit être justifié. * Par " campagne culturale ", il faut entendre la période allant du 1er septembre au 31 août de l'année suivante ou une période de douze mois choisie par l'exploitant. Cette période vaut pour toute l'exploitation et est identique pour le plan de fumure et le cahier d'enregistrement. POINT DE CONTRÔLE 8 : ANALYSE DE SOL Tous les agriculteurs exploitant une surface en zone vulnérable supérieure à 3 hectares sont concernés. Il faut justifier d'au moins une analyse de sol pour l'ensemble de l'exploitation qui doit concerner l'une des trois principales cultures exploitées en zone vulnérable. Les types d'analyse de sol portent soit sur : • le reliquat azoté en sortie d'hiver, • le taux de matière organique, • l'azote total présent dans les horizons de sol cultivés, • ou, le cas échéant, toute autre analyse précisée dans l'arrêté préfectoral régional. Modalités de remise en conformité : En 2013, une remise en conformité est possible. En cas de constat de non réalisation, l'agriculteur dispose d'un délai d'un mois maximum pour transmettre une copie de l'analyse de sol réalisée. Jean-Yves DUPIN Responsable Agro Environnement ÉLEVAGE CONSEIL LOIRE ANJOU ||| FOURRAGES P 15 FOURRAGES Valeurs des maïs 2013 Les premiers échantillons d'ensilage de maïs analysés par Elevage Conseil Loire Anjou donnent une première tendance. Ils concernent des maïs récoltés entre le 22 août et le 10 octobre 2013. CHAQUE ANNÉE EST DIFFÉRENTE... Si chaque année est différente, l'année 2013 a été particulièrement humide. Les semis ont été délicats, certaines installations irrégulières, nécessitant parfois un resemis. Avec un mois de juillet pluvieux, le retard physiologique pouvait aller jusqu'à 3 semaines à la floraison. Les fortes chaleurs d'août ont permis de rattraper ce retard, mais au détriment du rendement et de la qualité. LES PREMIERES VALEURS 2013 La quantité de cellulose est importante et sa digestibilité moyenne (la quantité "standard" de cellulose est d'environ 20,5 %1). Cependant, cette cellulose semble plus digestible que l'an passé avec un pourcentage d'ADF significativement inférieur. La valeur énergétique est "moyenne" (0,90 UFL au kg de MS) et la teneur en amidon est faible (26 %). Ces maïs sont généralement jeunes et riches en sucres (8 %), ce qui leur donne une dMO correcte, mais insatisfaisante. Valeurs alimentaires des 535 premiers maïs analysés de la récolte 2013 MOYENNE 2013 Mini (*) Maxi (*) MOYENNE 2012 % MS 35 28 52 32,3 dMO 71 66,6 74 70,8 % cellulose brute 22 17 26,5 21,2 MAT 6,5 4,4 8,6 7,1 ADF 238 191 290 261 % amidon 26,1 14 35 27,5 40 20 51 45 % grain 8 3 14 10 La teneur en MAT est faible car les précipitations d'hiver ont lessivé les sols et les faibles chaleurs du printemps ont limité la minéralisation. UFL 0,90 0,81 0,97 0,89 UFV 0,80 0,7 0,88 0,79 UEL 0,98 0,86 1,05 1,03 Ainsi, le maïs 2013 ne sera pas très "lactogène" avec, cependant, des valeurs très hétérogènes. PDIN 41 29 55 44 PDIE 66 60 72 66 1 Tables d'alimentation des bovins, ovins, caprins INRA 2007 Edition QUAE QUEL ENSEIGNEMENT ? Ces valeurs confirment qu'il est important d'ensiler lorsque la plante se dessèche rapidement même si le grain n'est pas au bon stade. Les sucres restent dans la tige et amènent de l'énergie. La fraction de cellulose digestible est supérieure, ce qui augmente la dMO et, par conséquent, la valeur UF. % sucres (*) sauf valeur très extrême Source : IDAC (laboratoire départemental d'analyse) et Elevage Conseil Loire Anjou Antoine WEINACHTER Référent Fourrages [email protected] ÉLEVAGE CONSEIL LOIRE ANJOU AGENDA P 16 CAPRINS CAPRINS LAIT CAPRINS RENDEZ-VOUS DE L'ÉLEVAGE Lieu : Derval (44) LAIT LAIT BOVINS RENDEZ-VOUS DE L'ÉLEVAGE BOVINS BOVINS BIO BIO 4 décembre Lieu : Vay (44) BIO VHP RENDEZ-VOUS DE L'ÉLEVAGE 12 décembre Lieu : Trans sur Erdre (44) COMPORTEMENT D'UN BOVIN ET SA MANIPULATION 3 décembre et 14 janvier Lieu : A définir (49) PRINS VHP VHP LAIT OVINS JOURNÉE LAITIÈRE DÉPARTEMENTALE 4 DÉMOS POUR 4 OUTILS (Informatique et Monitoring) 4 décembre Lieu : Baugé (49) CAPRINS TRÉLAZÉ 18 février Lieu : Orvault (44) LAIT NANTES PRINS RENDEZ-VOUS DE L'ÉLEVAGE Lieu : Chateauneuf sur Sarthe (49) CAPRINS BOVINS LAIT BIO BIO LAIT PRINS VHP OVINS LAIT BIO OVINS VHP BIO VHP MON TROUPE@AU PILOTAGE WEB 6 décembre Lieu : Sainte Pazanne (44) RENDEZ-VOUS DE L'ÉLEVAGE Lieu : Chemillé (49) BOVINS COÛT DE PRODUCTION VHP BIO CAPRINS 17 décembre et 16 janvier Lieu : Saint Philbert de Grandlieu (44) + D’INFOS VHP LAIT COÛT DE PRODUCTION 10 décembre Lieu : A définir (49) BOVINS Notre activité est chargée sur cette période, ce qui nous empêche d'afficher la totalité de nos réunions, formations et rendez-vous éleveurs. Consultez l'agenda complet sur notre site www.elevage-conseil.fr BIO TRUCS & ASTUCES SUR MESURE ! En fonction de l'âge des animaux, réglez la hauteur du cornadis grâce à une tige filetée... VHP Comité de rédaction : Magali ATHIMON, Christophe DESCUNS, Lydie PLOUZIN, Frédéric TATTEVIN Mail : [email protected] Tél. Maine-et-Loire : 02 41 33 61 00 Tél. Loire-Atlantique : 02 40 16 38 80 Site : www.elevage-conseil.fr Imprimé sur papier Eco-labellisé