revue de presse apamad

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revue de presse apamad
REVUE DE PRESSE APAMAD
Du 1er au 15 juin 2015
Mulhouse
06/06/2015
L’interview - Mulhouse - Apalib’et Apamad
Jean-Marie Meyer, 16 ans de présidence
Figure haut-rhinoise incontournable dans le domaine de l’aide aux personnes âgées dans lequel il
s’investit depuis 40 ans, Jean-Marie Meyer vient de quitter la présidence d’Apalib et de l’Apamad,
poste qu’il a occupé pendant 16 ans. Bilan.
DNA : Quelles ont été vos implications dans l’évolution d’Apalb’, de l’Apamad et de l’APA dont
vous avez également été président ?
Jean-Marie Meyer : Il y a eu la reconnaissance et le financement global de l’accueil de jour pour les
personnes souffrant de la maladie d’Alzheimer ou de pathologies apparentées. Cela permet aux
aidants qui sont souvent au bord de l’épuisement de souffler pendant quelques jours. Nous les
portions à bout de bras avec l’aide des municipalités. Je me suis battu pour obtenir l’investissement
du Conseil départemental et de l’ARS. Depuis, nous avons démultiplié ce service. La reprise en 2008
par le Conseil général du service social gérontologique, que nous gérions depuis un quart de siècle où
nous employions 20 assistantes sociales et des secrétaires, a posé un problème d’équilibre de
fonctionnement. Il a fallu négocier pour obtenir des compensations financières. Je retiens aussi les
discussions régulières et fructueuses avec le conseil départemental pour assurer le coût horaire de
l’aide à domicile. Avec la crise ce problème a resurgi car le financement assuré par les caisses de
retraite est en baisse. Une partie est financée par l’aide à l’autonomie mais comme les interventions
ont été fractionnées en demi-heures il y a plus de frais de déplacement. Ce qui a provoqué un
nouveau déséquilibre dans l’aide à domicile.
DNA : Quelles réalisations avez-vous portées ?
J-M. M. : Une démarche importante aura été, en 2001, la création avec l’Abrapa, notre homologue
bas-rhinois, d’un groupement d’intérêt économique traitant les besoins informatiques de gestion de
plusieurs associations. Cela a très bien marché ; une dizaine d’associations nous ont rejoints. En
2013, nous avons monté le Gasal (groupement d’aide et de soins en Alsace) qui réunit l’Abrapa et le
réseau APA haut-rhinois dans une mutualisation des moyens humains, matériels et stratégiques. Il y
a enfin « Facilien » la plateforme web créée récemment pour les seniors afin de faciliter le lien
numérique avec les familles et qui a obtenu un 2e prix national dans son domaine. Sur un plan plus
large, nous avons réorganisé le réseau Apalib’et Apamad et porté la Fondation Alsace personnes
âgées sur les fonds baptismaux. Une fondation née dans l’idée de l’humanisme rhénan et destinée à
faciliter le bien vieillir en Alsace en faisant appel à la générosité du public et des entreprises pour
faire face à la baisse des subventions.
DNA : Désormais président d’honneur, vous continuez à siéger au conseil d’administration
d’Apalib. Comment se présente l’avenir ?
J-M. M. : De véritables challenges économiques se dessinent. L’un de nos objectifs aujourd’hui est de
rendre accessible l’innovation sociale pour continuer à assurer notre mission de service public. Il
faudra donc conforter Apalib’dans le domaine du numérique, expérimenter de nouveaux produits,
trouver de nouveaux bénévoles, diversifier les ressources financières en faisant appel aux dons et
aux legs et en expérimentant l’épargne solidaire, étendre et poursuivre les alliances et les
rapprochements.
DNA : Quel bilan faites-vous sur le plan personnel ?
J-M. M. : Une sortie est toujours délicate et douloureuse dans quelque domaine que ce soit, mais
tout homme raisonnable doit savoir qu’il n’est là que pour transmettre ses connaissances et ses
valeurs humaines, c’est-à-dire mettre un peu de plus-value à ce qu’ont apporté les générations
précédentes. Je retiens surtout l’enrichissement humain. Je ressens aussi une certaine fierté au vu
des compétences déployées par le personnel et les bénévoles. En s’occupant des autres on peut faire
son bonheur. Pour résumer je citerais Victor Hugo : « L’esprit s’enrichit de ce qu’il reçoit et le cœur
de ce qu’il donne. »
Mulhouse
06/06/2015
Denis Thomas, nouveau président
Denis Thomas succède à Jean-Marie Meyer à la présidence d’Apalib’. Le nouveau président
d’Apalib’est âgé de 64 ans. Retraité depuis 2012, il a fait une grande partie de sa carrière
professionnelle « dans le monde de l’hôpital, des cliniques et des personnes âgées » avant de devenir
en 2002 directeur général des Papillons blancs. De par les statuts, Denis Thomas devient également
président d’Apamad
Région
05/06/2015
Maintien à domicile Apamad : nouvelle présidence
Après Apalib’, c’était au tour de l’Apamad (Association pour l’accompagnement et le maintien à
domicile) d’organiser, hier, son assemblée générale dont l’un des points essentiels était la passation
de flambeau entre Jean-Marie Meyer et Denis Thomas.
Présent dans le réseau APA depuis 40 ans et président d’Apalib’et de l’Apamad depuis 16 ans, JeanMarie Meyer occupe par ailleurs douze autres mandats. « Je lâche le plus important pour
commencer » , a-t-il précisé. Parmi son bilan à l’Apamad, qui s’occupe notamment de l’aide à
domicile des personnes âgées et en situation de handicap, le président sortant note la récente
réorganisation des services du réseau APA en filières spécialisées. Point important également, la
mutualisation de moyens avec d’autres associations similaires, notamment dans le Bas-Rhin. Parmi
les points positifs de son bilan, Jean-Marie Meyer peut encore noter l’ouverture, il y a un mois, d’une
structure d’accueil de jour à Wittenheim pour les personnes souffrant de troubles de type Alzheimer.
Une autre structure devrait ouvrir ses portes en 2016 à Riedisheim.
Pour son successeur, Denis Thomas, l’une des priorités sera de préserver l’ensemble des services
malgré la diminution des finances publiques. « Une entrevue au conseil départemental est prévue
prochainement , a-t-il indiqué. Nous voulons leur montrer notre rôle de service public. »
« Des choix politiques »
Pour Pierre Kammerer, directeur général du réseau APA, « des choix politique s’imposent. L’une des
premières annonces du nouveau président du conseil départemental a été de financer, pour 3,2
millions d’euros, un nouvel échangeur pour l’autoroute A35... Avec quatre fois moins, nous aidons 11
000 personnes dans le Haut-Rhin ! »
Actuellement, 1 750 personnes travaillent pour l’Apamad. Les enjeux financiers pourraient peser sur
l’avenir de 200 emplois. « Nous avons aujourd’hui 250 concurrents, des acteurs privés lucratifs qui
sont souvent présentés de la même manière que nous , ajoute Denis Thomas. Mais nous, nous nous
déplaçons partout, y compris dans les petits villages éloignés. » Pour garder un service de qualité,
l’association consacre 3 % de sa masse salariale à la formation. L’an passé, 30 salariés ont obtenu le
diplôme d’auxiliaire de vie sociale.
Pour le nouveau président, les priorités sont claires : « Il faut maintenir les activités mais aussi les
partenariats avec les financeurs et renforcer le bénévolat. Il faut également poursuivre la
mutualisation, en réfléchissant aussi au nouveau paysage de la grande région. »
Région
04/06/2015
Mulhouse - Personnes âgées
Un repas étoilé
Au menu de ce jour exceptionnel : méli-mélo de crêpes d’Alsace, mais aussi risotto d’orge perlé. Et
au dessert, compotée de rhubarbe au confit de fraises et son streusel… Avec un invité exceptionnel :
Hubert Maetz venu partager un moment avec ses convives d’un jour, Eléonore et Bernard
Schwechler, à Illzach. Hier, près de 1 000 bénéficiaires du service portage de repas d’Apamad
(association pour l’accompagnement et le maintien à domicile du Haut-Rhin) ont profité d’un repas «
étoilé ». A eux se sont ajoutés les patients du centre hospitalier d’Erstein. Le menu de ce jour
particulier a été imaginé par Hubert Maetz avec les cuisiniers de l’Alsacienne de restauration à
Schiltigheim. « Pour toutes ces personnes qui ne vont plus au restaurant, c’est le chef étoilé qui vient
à eux », a expliqué Hubert Maetz.
Mulhouse/Thann
05/06/2015
Personnes âgées de l’Apamad
Avec le chef Hubert Maetz
Un repas étoilé pour 1 000 seniors
Plus de 1 000 personnes âgées ont dégusté un « repas étoilé » signé Hubert Maetz. Une initiative
de l’Apamad avec l’Alsacienne de restauration. Dégustation chez Eléonore et Bernard Schwechler à
Illzach.
Hubert Maetz arrive au moment du dessert. Sur la table, une compotée de rhubarbe au confit de
fraise avec son steussel. Pour Eleonore et Bernard Schwechler, le goût de la rhubarbe et de la fraise
font remonter les souvenirs. « De la rhubarbe, on en avait dans le jardin et il doit rester quelques
fraises. Mais nous ne faisons plus le jardin », murmure Eléonore Schwechler.
Le couple qui habite Illzach ne prépare plus ses repas depuis longtemps. « Depuis 2011, quand j’ai
été malade », confie Eléonore. C’est l’Apamad (du réseau APA, aide aux personnes âgées) qui
apporte le repas deux fois par jour. Des repas confectionnés par l’Alsacienne de restauration, le
numéro un de la restauration collective en Alsace. « C’est toujours bon », commente Bernard
Schwelcher en achevant son dessert.
«Quand les anges voyagent»
Mais ce mercredi, la journée était exceptionnelle. Le menu était étoilé, concocté par le chef Hubert
Maetz avec les chefs de la cuisine centrale de l’Alsacienne de restauration à Schiltigheim. Avec des
produits frais bien sûr, des produits de saison et connus par les personnes âgées. Mais sur une
composition plus originale grâce à la patte du chef étoilé.
« Nous voulons casser l’image du repas porté à domicile. Nous voulons faire plaisir aux personnes
âgées en leur proposant des produits qui leur parlent. Ils ont encore le plaisir du goût et c’est un
plaisir important pour eux. Par contre, nous ne nous privons pas de les surprendre avec des choses
originales », explique le nouveau président de l’Apamad Denis Thomas.
D’où ce menu composé d’un méli-mélo de crêpes au céleri d’Alsace, croquant d’amandes, vinaigrette
au curcuma, le filet de cabillaud et sa croûte d’herbes, le risotto d’orge perlé et sa trilogie de
légumes, sa compotée de rhubarbe au confit de fraise. « Avec des produits frais et de saison, on peut
faire des merveilles », ajoute Marc Nicot, responsable du service portage de repas Apamad. « Et nous
respectons les besoins nutritionnels des personnes âgées », poursuit Eric Wolff, directeur de
l’Alsacienne de restauration.
Vérification sur place à Illzach avec Hubert Maetz….qui aborde M. et Mme Schelcher avec humour en
annonçant : « Quand les anges voyagent, il fait toujours beau ».
Avec Hubert Maetz dans leur cuisine, il faisait donc beau à Illzach chez les Schwechler. Le temps de
quelques confidences, quelques propos en alsacien, une dédicace sur un livre de cuisine…
Tous les seniors de l’Apamad n’ont pas eu la joie d’accueillir Hubert Maetz chez eux, mais tous ont eu
droit au même menu. Une performance de la part de l’Alsacienne de restauration qui a dû intégrer
les contraintes et spécificités des repas livrés en liaison froide depuis Strasbourg. Et une belle rupture
dans le quotidien. « Ils ne peuvent plus aller au restaurant, c’est le restaurant qui vient à eux »,
ajoute Denis Thomas.
Prochaine opération proposée par l’Alsacienne de restauration : la semaine du goût… et ensuite le
repas de Noël.
Colmar
04/06/2015
Wintzenheim « Cultiver son jardin »
La Fondation Alsace personnes âgées a remis un chèque d’une valeur de 5 000 euros à
l’Établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes Les Magnolias, à Wintzenheim.
Ceci, dans le cadre de l’aménagement de jardins thérapeutiques.
L’Établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) Les Magnolias, de
Wintzenheim, s’est vu remettre, dernièrement, un chèque d’une valeur de 5 000 € par la Fondation
Alsace personnes âgées, dans le cadre de l’aménagement de jardins thérapeutiques.
Sandra Filleule, déléguée générale de la Fondation Alsace personnes âgées est venue remettre ce
chèque en signifiant son enthousiasme pour le projet. En effet, au-delà de cet aménagement, sa
particularité réside dans le partenariat créé pour l’occasion : ce sont les élèves de 1re du lycée
agricole du Pflixbourg qui réaliseront ces jardins au courant de cette première semaine de juin.
« Créer des synergies et optimiser le bien-être »
La directrice de l’Ehpad, Hélène Bulle, n’a pas manqué de remercier l’ensemble des acteurs du projet,
dont l’ergothérapeute et l’équipe pédagogique du lycée agricole. « L’enthousiasme et la créativité de
l’ensemble des acteurs permettent, au-delà de cet aménagement, de créer des synergies et
d’optimiser le bien-être des résidents. L’adage cher à Voltaire, “cultiver son jardin” prend sens du fait
des enseignements réciproques que pourront s’échanger anciens et futurs professionnels ».
Adeline Reno, ergothérapeute et initiatrice du projet, a insisté sur les bienfaits moteurs, sensoriels et
cognitifs des aménagements, tandis que Daniel Nussbaumer, directeur des établissements agricoles
de Wintzenheim et Rouffach, a exprimé sa satisfaction de voir que les enseignements dispensés
trouvent une concrétisation sur le territoire, et qu’un sens est donné à ce travail.
Le maire, Serge Nicole, s’est félicité du partenariat créé à Wintzenheim et a exprimé sa satisfaction
de voir que l’Ehpad continue d’avancer et d’innover via la recherche de subventions. Il a conclu la
cérémonie en adressant ses félicitations aux acteurs du projet et en remerciant la Fondation Alsace
personnes âgées pour le don accordé à l’établissement.
Le verre de l’amitié et un buffet déjeunatoire ont été offerts par l’établissement aux membres de la
Fondation, aux élèves, à l’équipe pédagogique, aux résidents et à leurs familles présentes pour
l’occasion.
Mulhouse/Thann
06/06/2015
Hospitalisation à domicile
L’histoire d’André, malade de Verneuil Une solution au cas par cas
Dans certains cas, l’hospitalisation à domicile peut être une solution plus acceptable pour des
patients. Dans le sud Alsace, Mulhouse a proposé il y a trente ans, la première HAD de France.
Aujourd’hui, la structure prend en charge plus de 50 patients par jour. Rencontre avec l’un d’eux,
André, malade de Verneuil…
Samedi 6 juin. C’est aujourd’hui la journée mondiale de la maladie de Verneuil. Une maladie
chronique très peu connue du grand public. Difficilement détectée par les généralistes, elle passe
donc à côté des quelques traitements d’appoint existants…
Après avoir travaillé pendant 20 ans comme salarié d’une grosse usine mulhousienne aujourd’hui
disparue, André reprend en 2011, un commerce à son compte. Quelques mois plus tard ce célibataire
déclare la maladie de Verneuil… Une maladie chronique de la peau se manifestant par des abcès
localisés sur des zones présentant des glandes produisant de la sueur. Elle toucherait plus d’1 % de la
population.
« Ça m’a sauvé la vie »
Seule solution au stade qui était le sien, la chirurgie, pour retirer en profondeur les lésions
suppuratives et les glandes apocrines, afin d’éviter les risques de récidive… Sauf que ce type
d’intervention nécessiterait une hospitalisation de plusieurs semaines pour faciliter la cicatrisation.
« Impossible ! », pour André qui doit encore payer son commerce… « À l’hôpital, je devenais fou ! »
Après quelques jours, son chirurgien évoque alors la possibilité d’une hospitalisation à domicile. « Ça
m’a sauvé la vie, s’enthousiasme André qui en oublie la lourdeur de sa maladie. Sinon je fermais
boutique ».
Depuis plusieurs mois, André 43 ans, reçoit donc quotidiennement la visite d’une infirmière qui passe
avec lui jusqu’à une heure, pour nettoyer les plaies, les irriguer et refaire des pansements propres au
niveau des aisselles, du bas-ventre et des fesses.
Comme il habite le Bassin potassique et que son commerce est à Mulhouse, une chambre de fortune
a été aménagée dans l’arrière-boutique, avec un lit et des rangements pour tout ce qui est nécessaire
aux infirmières. Son classeur de suivi reste sur place en cas de changement de personnel d’un jour
sur l’autre. Le dimanche, seul jour où il a accepté de ne plus travailler, l’HAD se fait à son domicile.
Projet de soins
« Le projet de soins est défini en fonction des besoins, de la pathologie, du mode de prise en charge
et de la localisation de la personne », explique le Dr Laurent Petit, médecin coordonnateur.
« L’HAD permet de limiter les risques d’infection nosocomiale et avec un coût d’environ 210 €, est
moins coûteuse pour la Sécurité sociale qu’une journée à 800 € à l’hôpital, les repas et l’entretien des
locaux étant pris en charge par les aidants naturels, autrement dit la famille », poursuit celui qui est
aussi directeur de l’HAD Sud-Alsace.
« Les patients qui sont hospitalisés à domicile, le sont pour des pathologies diverses », souligne le Dr
Laurent Petit : pathologies cancéreuses, diabète compliqué, problèmes nutritionnels, rééducation
après accident vasculaire cérébral, grosses plaies, chimiothérapie, surveillance de radiothérapie,
traitement antibiotique par perfusion, problèmes cardiaques… Dans 60 % des cas, les patients se
rétablissent ; dans 40 %, il s’agit de soins palliatifs dans des traitements de fin de vie.
Répondre à un besoin
53 patients en moyenne sont ainsi pris en charge chaque jour dans le sud Alsace, avec des pics à 70,
sur une durée moyenne de 29 jours. « Mais la volonté politique au niveau national est de développer
ce type d’hospitalisation et en 2018, l’objectif est d’atteindre 120 personnes par jour dans le sud
Haut-Rhin », annonce Pierre Kammerer, le président de l’association qui gère la structure. L’équipe
qui compte actuellement 43 personnes devrait alors être renforcée.
Une solution d’avenir, donc, mais, concède le Dr Petit, « qui ne peut être conseillée que si elle est
adaptée et répond à un besoin réel, en tenant compte de la volonté des patients et des contraintes
», qui existent quand même pour les médecins généralistes avec la paperasse supplémentaire et
pour les familles qui ont à s’occuper, à domicile d’un proche malade.