LeS FoUrberieS de Scapin

Saison 2014-2015
les fourberies de scapin
© philippe bertheau
MOLIÈRE MISE EN SCÈNE LAURENT BRETHOME
Avec (sous réserve) Morgane
Arbez, Florian Bardet, Cécile
Bournay, Yann Garnier, Benoit
Guibert, Thierry Jolivet, Jérémy
Lopez (de la Comédie française),
Anne-Lise Redais, Philippe Sire
Le Grand T
nov
MA18 20:00
ME19 20:00
JE20 20:00
VE21 20:30
SA22 19:00
DI23 15:00
Durée : (en cours de création)
Tarif : 9 € ou un pass spectacle
Public : à partir de la 6 e
rencontre de scénographie
Avec Gabriel Burnod, scénographe
JE 20 NOV – 10:00 / 17:00
ENSA NANTES
rencontre
Avec Gabriel Burnod, scénographe
VE 21 NOV – 18:30
LE GRAND T - LA YOURTE
Bord de scène
À l’issue de la représentation
VE 21 NOV – LE GRAND T
Contacts pôle
public & médiation Manon Albert
[email protected]
02 28 24 28 08
Florence Danveau
[email protected]
02 28 24 28 16
Un grand classique présenté par l’un des jeunes metteurs en scène prometteurs du théâtre
français.
Les Fourberies de Scapin, lues par Laurent Brethome
C’est l’envie d’un théâtre populaire, festif et exigeant qui anime depuis toujours Laurent Brethome. L’envie aussi - et
plus que jamais après plus d’une décennie à s’atteler à des auteurs aussi différents que Levin, Racine, Tchekhov, Copi,
Minyana, Tsvetaieva, Maupassant ou Feydeau - de faire entendre un texte et de raconter une histoire. Alors ce Molièrelà s’impose, comme une évidence.
« Les Fourberies de Scapin ramènent le théâtre à sa plus simple expression : le langage. Les mots suffisent à mettre
le monde en critique. Cette pièce à l’écriture épurée est une magnifique machine de théâtre. […] Monter Scapin c’est
trouver cet équilibre entre légèreté, comédie et gravité. Les scènes les plus drôles n’en sont pas moins des drames
possibles. Rouer avec fureur et avec bâton un homme dans un sac ça peut être drôle… mais ça doit aussi faire peur…
"Mon dieu mais s’il continue il va finir par le tuer". Monter Scapin donc évidemment pour faire rire et réutiliser ce mot à
l’endroit même de son étymologie, rire : " Qui nous donne à voir. " »
Scapin, vu par Laurent Brethome
Scapin, redresseur de tort
« La force de Scapin est de toucher les riches au portefeuille. Il rejoint dans la légende les Robin des Bois, Till Eulenspegel, Arsène Lupin et autres redresseurs de torts. Il invente, raisonne, improvise, ment, flagorne, bastonne, enseigne, fait
le beau, fait le mort, ressuscite et disparaît. »
Scapin, maître de cérémonie et metteur en scène
« Scapin est cette figure de grand faiseur qui claque des doigts en enchainant les fourberies. Qui fait intrigue et théâtre
de tout : rien dans les mains, rien dans les poches, tout dans les jambes et dans la bouche ! Qui démultiplie ses rôles ou
se fait directeur de troupe ! Du théâtre à cent à l’heure ! Du théâtre comme un hommage au langage et au comédien ! »
Laurent Brethome et la Compagnie du menteur volontaire
Metteur en scène, comédien et professeur au Conservatoire de Lyon, Laurent Brethome est aujourd’hui un artiste dont
l’écriture ne laisse personne indifférent. Formé à la Comédie de Saint-Etienne et assistant de François Rancillac, il
dirige aujourd’hui Le menteur volontaire, une compagnie conventionnée en Pays de la Loire. Boulimique de plateau et
hyperactif, il a signé à ce jour une trentaine de mises en scène dans des domaines très éclectiques : théâtre, opéra,
performance, petites formes en dehors des théâtres, etc.
Artiste fidèle au Grand T, Laurent Brethome y a notamment présenté Popper d’Anokh Levin en 2007, Bérénice de Racine
en 2011 et TAC de Philippe Minyana en 2014.