De l`Or dans les Mains

Transcription

De l`Or dans les Mains
En Chantier(S) présente
De l’Or dans les Mains
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Synopsis
Victor, enduiseur, construit des maisons tel que lui a appris son grand-père.
Un jour il découvre un clandestin, dans son chantier !
OUST, FICHE-MOI LE CAMP ! Pas moyen de s’en défaire.
L’homme s’appelle Mandino Patchaï Branko Gabor Ciccio…Junior !
Les deux hommes ne sont pas faits pour se comprendre, quoique.
Ciccio, oiseau migrateur, s’adapte à chaque situation.
Ici se joue la fin de deux solitudes et peut-être la survie d’une petite entreprise.
Sur un terrain de jeux burlesques et émouvants, deux personnages hors du temps : un
Auguste et un clown Blanc construisent…une amitié !
Paroles en action, ce sont les images qui vous emmènent.
De l’Or dans les Mains se lit comme une bande dessinée, se danse comme un tango.
François BERARDINO
&
Olivier LUPPENS
Sous le regard de
Hugues DELFORGE
(Cie Les Sanglés)
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Le duo, c’est…
MONTRER…
De l’Or dans les Mains utilise les codes d’un vrai chantier de construction : les retards, les
succès et les échecs, mais aussi les rires, les gueulantes, la solidarité.
Pour montrer que derrière le monde des matières et de leur mise en oeuvre, il y a des
hommes.
Des hommes au travail.
Qui vivent le travail.
Différemment.
Ce peut être le quotidien de l’un et le but inaccessible de l’autre...
Sur ce petit chantier, les mains sont tout : elles miment, travaillent, indiquent, se serrent,
soignent même.
… et TRANSMETTRE
Au milieu des matériaux et d’une vie qui semble vide de sens, se dégage une idée simple et
forte : la transmission d’un geste, d’une façon.
- Comment transmettre quand on ne parle pas la même langue ?
- Quelles frontières s’abolissent quand les hommes sont au travail ?
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Une histoire familiale en mouvement
Faire se rencontrer un homme qui a priori n’a que le travail pour langage, et un émigré
« volubile » qui cherche à s’intégrer à tout prix est un choix inspiré de nos histoires
personnelles : celle du grand-père belge carreleur et du père italien enduiseur.
C’est le sédentaire face au nomade, le travailleur officiel face à celui qui squatte les
chantiers, le choc de deux mondes qui n’ont pour langue commune que le travail et l’action.
Nous choisissons de faire résonner nos origines en ouvrant nos boîtes à outil familiales…
pour creuser ce qui fait du belge et de l’italien des frères de maçonnerie et des bâtisseurs
dans l’âme.
Il s’agit donc de repasser sur nos propres traces…
Ici on travaille en parallèle à la construction d’un lien -invisible mais fort- entre deux
hommes, et à celle, concrète, d’un échafaudage comme « maison éphémère ».
Ici le clandestin essaye obstinément de trouver sa place sur le chantier.
Mais la langue fait barrage.
Comment transmettre quand il n’y a plus personne pour recevoir le savoir, le comprendre ?
Quand même celui qui est censé transmettre est un ours mal léché, habitué à sa solitude ?
C’est une danse d’approche dans le temps.
Et avec le jeu clownesque, il s’agit de questionner celui qui construit, le pas-bavard, le
taiseux, celui qui parle par onomatopées, par habitude, en observant dans son monde si
réglé la naissance d’un électron libre, bruyant et indiscipliné, mais avide d’apprendre.
Pourquoi un chantier dans la rue ?
Partant d’un espace où celui qui « habite » le chantier serait plus légitime que l’autre qui le
squatte, nous cherchons à questionner les espaces qui existent entre les hommes, ce qui
les rapproche, les éloigne, et surtout, de ce qui les lie l’un à l’autre, avec le temps.
D’une frontière géographique, qui pourrait se résumer à l’espace qui borde le chantier
- un « 10 par 8 » - nous passons à la frontière du travail qui, dans sa hiérarchie et son
apprentissage, abolit parfois la distance entre les hommes qui façonnent et se découvrent
dans l’action.
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C’est un chantier : le carrefour de ceux qui savent et dirigent et de ceux qui apprennent et
font, jour et nuit, sous 40° ou proche du zéro.
Qu’il neige ou qu’il vente, c’est le règne des outils et des matériaux.
Le travail s’articule sur les rapports clownesques entre les personnages et les situations
visuelles fortes qui découlent de l’utilisation détournée des objets de chantier.
Les partenaires / soutiens
Subventionné “Tournées Art et Vie” par le Service de la Diffusion de la Fédération
Wallonie-Bruxelles.
Accueil en répétition, présentation d’étapes de travail et programmation :
Le Moulin Fondu, Centre National des Arts de la Rue à Noisy-le-Sec
CAR / Centre des Arts de la Rue (Ath, BE)
Les Noctambules (Nanterre, FR)
ANIMAKT (Saulx-les-Chartreux, FR)
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Contact(s)
Diffusion
BeauregART Productions - Samuel BAEMS
00 32 (0) 477 56 03 67
[email protected]
Production et administration
En Chantier(S) asbl
00 33 (0)6 24 63 88 25
[email protected]
Durée : 50 minutes
Genre : 2 clowns au travail
Public : de 7 à 77 ans
Jauge : 300 personnes
Les fondations du spectacle sont posées : un jeu visuel soutenu par un gromelot en action.
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