0 - chansons-paillardes.fr

Transcription

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Numérisé pour l'association des
salles de garde des internes des
hopitaux de Paris.
Chanson paillarde breviaire carabin
etudiant
parole, disque, mp3
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Depuis des siècles la chanson étudiante se perpétue,
variable dans sa forme, mais toujours fidèle au même
esprit.
En voici quelques-unes que nos Pères ont chantées 1

et d'année en année, les anciens nous les ont trans
mises; c'est à nous de les Iransmettre maintenant, de

maintenir la tradition paillarde de la Médecine fran
çaise.
Ce recueil dOIt y contribuer, Il s'adntsse à Tous:
A Toi, petit Bizuth horrifié par l'étendue et le nom.
bre de chansons à savoir;
A Toi, Etudiant déjà blasé par 2 ou 3 ans de Fac.
el qui ne salt que querquü$ COUprU!s ;
-
-\
....
2
A Toi enfin, allal/lard au répertoire fourni et abon.
dent, pour que tu ne chantes plus de t'a voix pro.
fonde et tonitruante, les derniers couplets dans un
silence prOlqU8 total.
Ce recueil présente des lacunes mais elles sont dues
li l'impossibilité prellClua absolua da trouvar les textas
manquants.
If est bien évident que ce petit livret ne doit pas
être abandonné entre toutes les mains; la truculence
des chansons estudiantines est bIen connue et nous
aurions eu mauvaise grace à manquer à la tradition .
http://www.leplaisirdesdieux.com3
LES COUillES A MON GRAND·PERE
REFRAIN
la bite,
C'est la
La bite,
Qui fait
la bite (bis)
bite à mon père
la bite (bis)
plaisir à ma maman.
les couilles à mon grand·père
Sont pendues dans t'escalier
Et ma grand·mère se désespère
De les voir se dessécher.
Car c'est la plus belle paire
De toutes les paires du quartier
On peut venir les admirer
Tous les anS au 14 juillet.
MARCHE AMERICAINE
Oui, oui, je le sens bien que tu me l'as mis.
Ce n'est plus ton petit doigt qui me chatouille,
Je sens tOn nombril contre le mien
Et la chaleur de tes couilles.
Tan doigt n'était pas si mouillé
Il entrait et sortait sans cadence,
Maintenant, c'est bien plus régulier:
Et youp là là, et youp là là,
Quelle jouissance !Il
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LA BRABANÇONNE D'UNE PUTAIN
(Chanson belge)
AIR: c la Brabançonlle
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Je me souviens, lorsque j'étais jeune-fille
Qu'un jeune garçon, qui passait par bonheur,
Me trouva si jeune et si gentille,
Qu'il me fit voir sa grosse pine en chaleur;
Et tout à coup, sous mes jupons s'élance,
l'énorme queue qu'il tenait à la main,
Il déchira mon voile d'innocence :
Voilà pourquoi je me suis fait putain!
Nom d'un chien 1
-';-,
Je ne sais pas si j'étais un peu coquine,
J'aimais déjà qu'on me chatouillat le bouton,
J'avais goOté de ce bon jus de pine,
J'avais reçu du foutre dans le con;
J'avais baisé, je n'étais plus pucelle,
Je chérissais le métier de putain,
Plus je baisais, plus Je devenais belle
Voilà pourquoi je me suis fait putain 1
Nom d'un chien!
,
Quoique je ne sois qU'une fille publique
J'ai de l'amour et de l'humanité,
Tout citoyen dans notre libre Belgique
Doit baiser et jouir en liberté:
Pour de l'argent, le riche a ma fente,
le pauvre, lui, peut en jouir pour rien,
Pour soulager l'humanité souffrante,
Voilà pourquoi je me suis fait putain!
Nom d'Un chien 1
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1
MÉRÉPRINE ~"P
enfants souffrants
nuas agitées
PHOLCO-MÉRÉPRINE ~"P
12 heuresd'ection antitussive
12 heures de tranquillité
Actif sur tous les fecteurs
de /a tusslgtJm!sB
sédatif
anlllussif
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spéCifiquement ant'tusslf
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LES TROIS ORFEVRES
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Trois orfèvres à la saint-Eloi
S'en allèrent dlner chez un autre orfè....re.
Trois orfèvres. la Salnt·Eloi
S'en allèrent dlner chez un bon bourgeois.
Ils ont baisé toute la faml1le.
La mère aux nichons,
le père au cul, la fille 8U con.
évitent...
les appels de nuit
REFRAIN
Relevez,
Qu'on y
Relevez,
Qu'on y
MEREPRINE
PHOLCO
MEREPRINE
Lebo<atout. TorelJCle • 2. pl. Mla 5O<1IOM8 • Pan. 6· . ODE 73·92
8
les
voie
les
vole
belles,
le cul,
belles,
le cul,
votre
qu'on
votre
qu'on
blanc Jupon,
y vole les fesses
blanc jupon,
y vole le con.
les orfèvres, non contents de ça,
Montèrent sur te toit embrasser Minette,
les orfèvres, non contents de ça,
Montèrent sur le toit enculer le chat.
• Chat. petit chat, chat tu m'égratignes,
Fals donc attention, tu m'égratignes les roustons a.
La p'tite bonne qui avait tout vu,
leur dit c Foutez·mol votre pine aux fesses _
la p'tite bonne qui avait tout vu,
leur dit c Foutez·moi votre plne au cul_.
Ils la baisèrent assis sur une chaise,
la chaise a cassé, Ils sont tombés sans débander.
CAROLINE LA PUTAIN
Les orfèvres chez le pâtissier,
Allèrent déguster quelques friandises,
les orfèvres chez le pâtissier,
Enculèrent le mitron en train de chier,
Puis, retirant leurs pines pleines de merde,
Ils ont sucé ça comme des éclairs au chocolat.
les orfèvres au son du canon,
Se retrouveront tous à la frontière,
les orfèvres au son du canon,
Bombarderont l'ennemi à grands coups d'étrons.
En bandant comme des cannes à pêche,
A grands coups de vit repousseront les ennemis.
Amis, amis, versez à boire,
Versez à boire du bon vin
Tonton, tonton, tontalne et tonton.
Je m'en vals vous raconter l'histoire
De Caroline la putain.
Ton, ton, tontalne et tonton.
Son père était
Au théâtre de
sa mère était
Qui vendait sa
un machiniste,
l'Odéon...
une fleuriste.
fleur en bouton.
Elle perdit son pucelage
le jour d'sa premlèr' communion...
Avec un garçon de son âge,
Derrière les fortifications ...
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A quatorze ans, suçant les pines,
Elle fit son éducation...
A dlll:·huit ans, dans la débine,
Elle s'engagea dans un boll:on ...
A vingt·quatre ans, sur ma parole,
C'était une fière putain ...
Elle avait foutu la vérole,
AUll: trois quarts du QuartIer latin.
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Le marquis de la Couillemolle
Lui fit bâtir une maison...
A l'enseigne du morpion qui vole,
La belle enseigne pour un boxon...
Elle voulut aller à Rome,
Pour recevoir l'absolution ...
Le Pape était fort bien à Rome,
Mais Il était dans un boxon...
Et s'adressant au grand vicaire,
Elle dit: c J'ai trop prêté mon con...
Si tu l'as tant prêté, ma chère,
Eh bien, reprête.le moi donc...
Q
adultes:
3 suppositoires par Jour
enfants.
3 supposltolres par Jour
nourrissons: avanl6 mols: 1/2 SUpp08. Il 2 ou 3
jusqu" 3 an. : 2' 3 suppositoires
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c=C-r..::r;::",=-_~_
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infections des voies respiratoires
1
Et la serrant entre ses cuisses,
Il lui donna l'absolution...
Il attrapa la chaude·pisse,
Et trente· six douzaines de morpions.,.
Elle finit cette
Entre les bras
Etle mou rut la
Le con fendu
tourmente,
d'un marmiton ...
pine au ventre,
jusqu'au menton...
Et Quand on la mit en bière,
On vit pleurer tous les morpions...
Et quand on la mit dans la terre,
Its arrachèrent les poils du con...
_ _ _ _ _ _ toraude
"
13
V
Un vétérinaire, praticien habne,
fut appelé. qui lui fit bien du mal.
Mais par malheur, la carotte indocile
Ne put sortir du conduit vaginal.
CHARlonE
Branle
Branle
Branle
Branle
(ter)
(bis)
(ter)
(bis)
VI
Mesdemoiselles, que Je sort de Charlotte
Puisse longtemps vous servir de leçon.
Charlotte
ça fait du bien
ma chère
Jusqu'à demain.
Ah 1 croyez·moi, lalssez·là la carotte,
Préférez-lui le vit d'un beau garçon.
1
Dans son boudoir, la petite Charlotte
Chaude du con faute d'avoir un vit
Se masturbait avec une caroUe
Et jouissait étendue sur son lit.
Il
c Ah ! disait·elle, en ce siècle où nous sommes
,
Il faut savoir se passer des garçons.
Moi, pour ma part, je me fous bien des hommes:
Avec ardeur, je m'astique le con ~.
IV
•
~,
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III
Alors, sa main n'étant plus paresseuse,
Allait, venait comme un petit ressort
Et faisait jouir la petite vicieuse:
Aussi, ce jeu lui plaisait· il bien fort.
Mais. Ô malheur. Ô fatale disgrace,
la jouissance lui fit faire un brusque saut
Du contre·coup la carotte se casse,
Et dans le con il en reste un morceau.
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3':11;
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15!
AH! LA SALOPE
JEAN GillES
Suzon était servante,
servante dans un boxon
Et elle aimait à rire
Avec les garçons.
Refrain
Ah! la salope
Va laver ton cul malpropre
Car il n'est pas propre.
Et elle aimait à rire
Avec les garçons
Mais à force de rire
Son ventre devint rond.
Mais à force de rire
Son ventre devint rond.
_
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"
_
_
-
Sa mère lui demande:
c Qui t'a fait ça, Suzon?»
Sa mère lui demande:
c Qui t'a fait ça, SUlon?»
C'est le garde-champêtre,
Derrière la maison.
Il a sorti de sa poche
Un long bâton tout rond.
Il a sorti de sa poche
Un long bâton tout rond
Au bout y avait de la crème
Maman que c'était bon.
-
_
_
_
_
_
Beau-père, mon beaU-père
Je viens me pl!llndre à vous (bis)
De quoi vous plaignez-vous 1
Jean Gilles, mon gendre!
De quoi vous plaignez-vous ?
Ma fille est toute à vous.
Oui, mais que faut·i1 faire
Quand nous sommes entre nous 1 (bis)
Que ne la baisez-vous 1 etc...
Oui, mais si je la baise
Des enfants elle me fout! (bis)
Que ne la pelotez-vous 1 etc...
Oui, mals si je la pelote
lei seins deviendront mous 1 (bis)
Que ne la gougnottez-vous ? etc...
Oui, mals si j'la gougnotte,
Ça m'laisse un mauvais goOt ! (bis)
Que ne la branlez·vous ? etc...
Oui, mals si je la branle,
On se foutra de nous 1 (bis)
Que ne l'enculez-vous 1 etc...
Oui, mals 51 Je l'encule,
Elle chiera partout! (bis)
C'est vous qui me faites chier
Jean Gi11es, mon gendre !
C'est vous qui me faites chier,
Zut, merde et branlez-vous! (bis).
~ \,/~
~) /1\ ~
"
STANCES A SOPHIE
Et puis tu avals des passions honteuses
J'en rougis encore rien que d'y songer
Et pour apaiser ta chair luxurieuse
A tous tes caprices, m'a fallu céder.
Tu m'demandes tes lettres, ta photographie
Ton éponge à cul, ton bidet d'métal
Je m'en fous pas mal ingrate Sophie
Et j'te renvoie l'tout par colis postal.
N'as-tu pas voulu que ma langue se perde
Dans les plis profonds de ton trou du cul
Je l'al retirée toute pleine de merde
J'en ai dégueulé, tu n'en as rien su.
Tu veux faire la peau, un métier d'grenouille
Et me remplacer par d'autres amants
Mais vois·tu, j'm'en fous comme d'la peau d'mes
[couilles)
Car tu pues du bec et t'as le con trop grand,
Adieu pour toujours va, tu me dégoOtes
De toi Je m'en fous, le sais me branler:
Je ferai gicler mon sperme goutte à goutte
Plutôt que d'revenir te caramboler.
Je t'ai rencontrée un soir dans la rue
Que tu dégueulais tripes et boyaux
Ah! si j'avais su que tu fusses une grue
J't'aurais balancée par l'trou des gogu'nots.
Je t'ai recueillie, Dieu que j'étais bête
Car le lendemain, je m'suis aper(;u
Qu' j'avais des morpions des pieds à la tête
Des poils du nombril, jusqu'au trou du cul.
Puis. te lendemain t'avais tes affaires
le sang inondait la chambre à coucher
Et j'ai consenti pour te satisfaire
A te sucer l'con pour mieux le sécher.
Tout est bien fini, }e te l'dis, sans clause
N'ayant plus d'putaIn, je n's'rai plus cocu
Et 51 par hasard je t'remets quéqu'chose
Ce n'sera Jamais que mon pied au cul.
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J'ai même aspiré de tes pertes blanches
Mais quand j'ai voulu tirer un bon coup
Tu ne gogotais pas plus qu'une planche
Et je m'esquintais sans rien faire du tout.
"
19
BICETRE
On n'peut pas bander toujours,
Il faut jouir de ses roupettes;
On n'peut pas bander toujours.
Il faut jouir de ses amours.
1
Bans ce Bicêtre où l'on s'embête,
V
Quand la vieillesse triste et caduque
VOliS foutra son pied sur la nuque.
Quand votre vit à lamais désossé,
Sur vos roustons pendra flasque et glacé,
Allez crier à ta face du prêtre
Ce vieux refrain, ce refrain de BIcêtre...
•
loin de Paris que je regrette,
J'ai bien souvent et longtemps médité
SUr la vieillesse et la caducité,
Amis, amis, apprenez à connattre,
Ce vieux refrain. ce refrain de Bicêtre...
Il
D'un vieux, un jour, j'tenais la quéquette,
la sonde en main, de l'autre la cuvette,
Pendant ce temps mon esprit méditait
Ce que tout bas le vieillard me disait:
• Prenez bien soin de ces pauvres gogottes.
Un jour viendra vous pisserez sur vos bottes.
III
Idiots, fous, épileptiques,
Sont des arguments sans réplique;
Tout dépérit, le pauvre genre humain
N'a plus d'espoir que dans le carabin,
Or, pour créer une race nouvelle
Jamais, enfants, ne mouchez la chandelle...
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IV
A l'œuvre donc jeunes athlètes,
Gaillardement, engrossez les fillettes,
Baisez, foutez, ne craignez nul écueil :
Quand on est jeune, il faut baiser à l'œil,
Avec le temps, Vénus devient rare,
Aux pauvres vieux, le coup est cher et I1lre.
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21
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LA DIGUE DU CUL
La digue du cul en revenant de Nantes (bis)
De Nant's à Montaigu
La Digue, La Digue,
De Nant's à Montaigu
la Digue du cul.
La Digue du cul je rencontre une belle (bis)
Qui dormait le cul nu
La Digue, La Digue,
Qui dormait le cul nu
la Digue du cuL
la Digue du cul je bande mon arbalète (bis)
Et lui fous droit dans l'cul
elc... , etc...
La Digue du cul, la garce se réveille
Et dil j'ai l'diable au cul
la DIgue...
La Digue du cul, non ce n'est pas le Diable (bis)
Mais un beau dard poilu
la Digue...
la Digue du cul qui band' et qui décharge
Et qui t'en fout plein l'cul
la Digue...
la Digue du cul, puisqu'il y est qu'il y reste (bis)
qu'il n'en sorte olus
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Digue, la Digue
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qu'il n'en sorte plus
Digue du cul.
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EN REVENANT DU CAMP D'CHALONS
évitent...
les appels de nuit
Refrain
Vinaigre, moutarde•
Chapeau de cocu,
Fous ton nez, fous ta barbe,
Et ton doigt dans mon cul. Ah ...
Tape ton cul contre le mien.
Va t'faire foutre, mol j'en reviens.
Bringue de zingue, la farldondalne.
Bringue de zingue, la fllridondon.
En revenant du camp de Châlons,
Bringue de zingue, bringue dondon,
J'al rencontré Marle·Suzon .
J'ai rencontré Marle-Suzon .
MEREPRINE
PHOLCO
Je l'al foutue sur le gazon ..
En la foutant, l'al vu son con ..
Il était couvert de morpions...
Qui défilaient en bataillons ..
Comme les soldais de Napoléon...
QuI était un fameux cochon .
Et qui baisait Marie·Suzon .
Sur les marches du Panthéon ..
Qu'il avait pris pour un boxon ..
MEREPRINE
,.
laberaIOl... TOf'audll • 2. pl de la Saobonne - Pari. 5' • OOE.. 73.92
"
LE PLAISIR DES DIEUX
Du Dieu Vulcain, quand l'épouse frivole
Va boxonner loin de son vieux sournois,
le noir époux que l'amour aiguillonne
Tranquillement se polit le chinois.
Va·t-en, dit·il à sa foutue femelle
Je me fous bien de ton con chassieux:
De mes cinq doigts je fais une pucelle.
Masturbons·nous, c'est le plaisir des Dieux.
Bah! laissons· lui ce plaisir ridicule,
Chacun d'ailleurs s'amuse à sa façon:
Moi, je préfère la manière d'Hercule,
Jamais sa main ne lui servit de con:
le plus sale trou, la plus vieille conasse,
Rien n'échappait à son vit glorieux
Nous serons fiers de marcher sur ses traces,
Baisons, baisons, c'est le plaisir des Dieux.
Ou Dieu Bacchus, quand accablé d'ivresse,
le vit mollit et sur le con s'endort,
69 et le vit se redresse:
69 ferait bander un mort
o clitoris, ton parfum de fromage
Fait regimber nos engins glorieux
A sa vertu flOUS rendons tous hommage
Gamahuchons! c'est le plaisir des Dieux.
26
De Jupiter, façon vraiment divine
le con lui pue, li aime le goudron:
D'un nid de merde il fait un moule à pine,
Et bat le beurre au milieu de l'étron.
Cette façon est divinement bonne;
Pour terminer un gueuleton joyeux
Après l'dessert on s'encule en couronne:
Enculons-nous, c'est le plaisir des Dieux.
Quant à Pluton, le Dieu à lerge panse
le moindre effort lui semble fatigant;
Aussi, veut-il sans craindre la dépense
Faire sucer son Pénis arrogant:
Et nous, rêvant aux extases passées
Tout languissant, nous réjouissons nos yeux
Et laissant faire une amante empressée
laissons sucer, c'est le plaisir des Dieux.
Du reste, amis, que l'on fasse à sa tête
Main, con, cul, bouche, au plaisir tout est bon
Sur quelque autel qu'on célèbre la fête
Toujours là·haut on est sOr du pardon:
Foutre et louir, voilà l'unique affaire.
Foutre et Jouir, voilà quels sont nos vœux.
Foutons, amis, quelle que salt la manière,
Foutons, foutons, c'est le plaisir des Dieux.
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27
LA CAPOTE ANGLAISE
Air: c Ma Paimpolaise
Dans la chambrett' d'un' petit' femme
Un bleu allait perdr' sa vertu,
Quand, pris de remords, dans son âme,
De sa famille, il s'est souvenu.
Quand il est parti
Son vieux père lui dit:
Refrain
Mon cher fils, chaque fois que tu baises,
C'qui arrive, étant étudiant,
N'oublie pas ta capote anglaise,
Ça t'évitera bien des accidents.
Il
Ecoutant ce qu'lui dit son père,
le bleu met un préservatif,
Mais la bell' ne l'laissant pas faire,
les seins gonflés, les yeux lascifs,
Dans ses bras le prend
Et lui dit doucement:
Refrain
Ne mets pas de capote anglaise,
Dans mon con, fourr' ton vit tout nu,
C'est bien meilleur lorsque l'on baise
De sentir couler le bon jus.
"'
Ecoutant ce qu'lui dit la belle,
le bleu l'étendit sur le lit,
Et se couchant tout nu sur elle,
Dans son p'tit trou, il mit SOn vit
le bleu déchargeant
Dit en jouissant:
28
~
Refrain
Au diable la capote anglaise
Et tous les conseils de papa,
C'est bien mieult lorsque l'on baise
Enlacé dans d'aussi beaux bras.
'V
Huit Jours après cette aventure,
le pauv'bleu dans un urinoir,
$entit tout'" coup un' brOlure,
l'matheureult pissait des rasoirs.
En r'gardant son vit
Tristement Il dit:
Refrain
Que n'ai·je mis une capote anglaise,
J' n'en serais pas Il c' point·llI
Pour la première fois que je baise
De chanc' vraiment Je n'ai pas.
V
Moralité
Quand on emploie l'permanganate,
Ou qu'on se fiche des injections,
On peut s'enflammer la prostate,
Ou bien se fiche un gros couillon.
Donc, mes bons amIs
Ecoutez ceci:
Refrain
Pour être sOr que lol'$qu'on baise,
Huit Jours après on n'coulera pas,
11 faut mettre un' capote anglaise,
Jamais nul ne s'en r'panUra.
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29
ELEGIE AU CON
Refrain
Qu'on apporte, qu'on apporte
Une femme et qu'on la déshabille.
Qu'on apporte, qu'on apporte
Une femme et nous la baiserons.
Le Père Adam, huit jours avant sa faute
Dans l'Paradis bandait comme un cochon
C'est pourquoi Dieu lui Ota une cOte
Avec laquelle il fit le premier con.
Comment Noé repeupla-t-il la terre?
Avec sa femme dans leur unique maison
V en a qui disent que c'est par la prière
Moi, le prétends que c'est à coups de con.
Pourquoi David prit-il une pucelle
Dans ses vieux jours et froid comme un glaçon
C'est pour avoir en dormant allec elle
le doux plasir de lui tlUer le con.
Pourquoi Priam du haut d'une tourelle
Se branlait·il comme un foutu cochon
C'est que d'en haut il vit une pucelle
Qui se fourrait les dix doigts dans le con.
Quand Ménélas eut retrouvé Hélène
Dans un boxon de l'antique Ilion
Pour s'assurer qu'elle lui serait fidèle
D'un cadenas il lui boucha le con.
Pourquoi Paris en jugeant les déesses
Dédaigna-t-i1 et Pallas et Junon
C'est que des deux il ne vit que les fesses
Et que Vénus lui présenta le con.
Le Père Enée avant d'quitter Carthage
Fit ses paquets sans prévenir Didon
C'est qU'i! savait par un secret message
Que Savinie avait un plus beau con.
Semlramls, la reine aux seins 51 raides
Semlramis, la reine aux blancs nichons
Dans son palais, fit venir Archimède
Pour mesurer la longueur de son con.
Pourquoi Plalon n'avait·il qu'une coull1e ?
Pourquoi Platon n'avait·1I qu'un roustOfl ?
C'est que la mère de cet Illustre andouille
Avait oublié l'autre dans son con.
Pourquoi César a·t·11 quitté la Grèce?
Pourquoi César franchit·il le Rubicon?
C'est qu'si les Grecques avaient de belles fesses,
Les Italiennes ont de plus jolis cons.
Napoléon, homme de renommée
Conquit l'Europe à grands COllpS de canon
On lui offrit couronnes et trophées
Marle·Loulse ne lui offrit qu' son con.
Allons, vieux frère, encore une bouteille
De ce bon vin qui fait perdre la raison
SI l'on en boit on peut faire des merveilles
SI l'on boit trop, on s'endort sur le con.
~
'.\
31
30
L'ARTILLERIE DE MARINE
J'ai fait trois fois
Jamais j' n'al YU,
Jamais J' n'al YU
Que l'trou d'mon
le tour du monde
jamais j' n'al vu
chose aussI ronde
cul (ter).
Refrain
Equigyne
(D.
traitement physiologique de tous les états
de carence œstrogénique :
• lent chez la femme ménopausée ou apres
castratiOn.
. que chez la femme réglée, mais porteuse d'un
syndrome attribuable à l'insuffisance œstrogénlque
(période folliculaire 0lI1utéale)
(6). atoxicité remarquable.
Q)- haute tolérance
G). grande maniablblé, en raison de la
faible ~inertJe thérapeutique.
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32
.. TOAAUDI •• _
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L'artillerie de marine voilà mes amours
Oui je l'aimerai, Je l'aimerai. sans cesse
l'artillerie de marine voilà mes amours
Oui Je l'aimerai je l'aimerai toujours.
Dans mon dernier voyage en Chine
Un mandarin doux et dodu
Voulait me mettre sa grosse machine
Dans l'trou d'mon cul (ter).
De Singapour jusqu'Il Formose
Jamais j' n'al vu, Jamais J' n'al vu
Jamais j' n'al vu chose aussi rose
Que l'trou d'mon cul (ter),
J'al visité des capitales
Jamais J' n'ai vu, Jamais l' n'ai vu
Jamais j' n'al vu chose aussi sale
Que l'troU d'mon cul (ter),
Tous les obus de la marine
Sont si pointus, sont si pointus
Qu'Ils entreraient sans vaseline
Oans l'trou d'mon cul (ter).
SI j'suis entré dans la médecine
C'est qu' les clystères sonl si pointus
Qu'ils entreraient comme une pine
Dans l'trou d'mon cul (ter),
L'adjudant·chef qu'est de service
33
A une sale gueule si mal foutue
Qu'on la prendrait sans plus d'malice
Pour l'trou d'mon cul (ter).
J'ai fait trois ans de gymnastique
Et non jamais, j' n'ai jamais pu
Poser un baiser sympathique
Sur l'trou d'mon cul (ter).
Quand j' s'rai un vieux qu'a la tremblotte
Et que d'baiser je n'pourrai plus
J'irai chez Jeanne et chez Charlotte
M·faire faire des langues dans l'cul (ter).
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LE PERE DUPANLOUP
Refrain
Ah! ah 1 ah 1 oui vraiment
L'Pare Dupanloup est un cochon 1
l'Père Dupanloup dans l'utérus
Etait déjà si plein d'astuce
Que dans le vagin de sa mère
Il suçait ta plne de son père.
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34
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L'Père Dupanloup dans son berceau
Bandait déjà comme un taureau
Carambolant Sa Jeune nourrice
Il lui flanqua la chaude·plsse,
l'Père Dupanloup monte en ballon
Mals Il avait l'système si long
Qu'à trois mille mètres dans l'atmosphère
la peau d'ses couilles tralnait par terre.
l'Père Dupanloup monte en vélo
Mais Il avait l'système si gros
Qu'en pédalant à perdre haleine
la peau d'ses couilles s'prit dans sa chaine.
l'Père Dupanloup à l'Opéra
Se conduisit comme un goujat
Malgré les efforts d'la police
Il encula l'pompier d'service,
http://www.leplaisirdesdieux.com35
L'Père Dupanloup dans sa cuisine
Battait les œufs avec sa pine
Sa p'tite bonne lui dit: c Gros cochon 1
Tu frai bien mieux d' m'la foutre dans l'con 1 s
L'Père Dupanloup devenue vieux
ne bandait plus qu'une fols sur deux.
S'arrachant la pine avec rage
\1 s'en fit une canne de voyage.
L'Père Dupanloup en chemin de fer
Désire mettre ses couilles à l'air,
Passant sa pine par la portière
Il creva l'œil du garde·barrière.
L'Père Dupanloup dans son cercueil
Bandait encore comme un chevreuil
Avec sa pine en arc de cercle
Il essayait d'soulever l'couvercle.
L'Père Dupanloup à Saint·Malo
Confesse les femmes dans un tonneau,
Passant sa pine par l'trou d'la bonde,
It s'écrit c V'là l'sauveur du monde! s.
A la bataille d'la Moscova
L'Père Dupanloup n'était pas là
Il était resté en arrière
Pour pilonner la cantinière
Au passage d'la Bérésina.
L'Père Dupanloup était bien là,
Lançant sa pine sur la rivière,
1\ fit passer l'armée entière.
L'Père Dupanloup à l'Odéon
Se conduisit comme un cochon,
Avec la peau de ses roupettes
\1 bouchait l'trou des clarinettes.
BAL
3 poils de cul, crasseux et sales
On avait décoré la saUe
De guirlandes de morpions
Et la Maltresse Maquerelle
Gueulait dans l'escalier
Entrez, entrez,
48 heures, sans débander.
Parce que c'6talt un bal
De polis, de cons, de plnes et de roupettes
Parce que c'I/tait un bal
De polis, de cons, de culs, de pines, de roustons.
L'Père Dupanloup 1'14 juillet
Alla s'promener à dos d'mulet
Pour que la fête soit complète
Il encula la pauvre bête.
36
le roy Dagobert a une plne en fer
le bon Saint Eloi lui dit: c 0 mon roi,
SI vous m'enculez, vous m'écorcherez t
c C'est vrai, dit le roi, j'en ferai faire une de bois
LE DUC DE BORDEAUX
t.
Si les femmes pissaient du vinaigre
Et chiaient du poivre moulu,
la salade serait bientôt faite,
Avec le cresson qui leur pousse au cul.
Talaut 1 Talaut! Talaut!
Des prunes, des prunes, des prunes.
le duc de Bordeaux ressemble à son frère,
Son frère à son père et son père à mon cul;
De là je conclus qu' l'duc de Bordeaux
Ressemble à mon cul comme deux gouttes d'eau.
c Nom de Dieu, disait la princesse
En voyant la pi ne du baron,
J'aimerais mieux l'avoir dans les fesses
Que de la voir dans son pantalon.
LA PUTAIN DE NANCY
Chasseur, as·tu YU l'troU d'mon cul?
Si tu veux le voir, tu reviendras ce soir.
Moi. j'ai vu le tien, je n'en ai rien dit;
Si tu vois le mien, tu n'en diras rien t.
Connaissez·yous la putain de Nancy
Qu'a foutu la vérole à tout' la cavalerie.
La cavalerie qu'était pas dégourdie
S'6tait pas aperçu, qu'elle avait mal au cul.
Mals les huissards qu'Maient pas des batards
S'en étaient aperçu, mais Il 'tait trop tard.
le duc de Chevreuse ayant déclaré
Que tous les cocus devaient être noyés
Madame de Chevreuse lui a demandé,
S'il était bien sûr de sayoir nager.
la duchesse de la Trémouille
Malgré sa très grande piété,
A patiné plus de paire de coul1les,
Que la Grande Armée n'a usé de souliers.
38
1
anti~~~ tique
des voies respiratoires
LE CURE DE SAINT·SAUVEUR
(A chanter avec l'accent de ch'Nord)
Refrain
Trou la trou la trou la la
Trou la trou la trou la la
Monsieur le curé d'salnt·Sauveur
Quand il est mort, Il s'est pendu.
les oiseaux n'ont pas eu peur
De taire leur nid dans le trou d'son cul.
•
•
posologie
umque
sirop :g:/X 2 ou 3
suppositoires:
2 formes, 3 dosages
sirop:
r........ pu cuillof.......-:
0x 2 ou 3 ou 4
~ {A.
no .... ·!!.
100 .... • 1'1,50 ....1.
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GlI~ do Na (A. )J " " • E. tl,J lI'C • N.Ol. S<alfoplCOl f
I!. O,
N. 5O"'Il.~te. N.C.... 50 .... - E. Il .., . N. ", 1· ~\.I.
,..... : Adut\l!s , ftocoo ... 160 ...1 fi' _rc<). I"ri~ c~ 14. IIl11lbou" S.S.
EJ>laJIIS : ftac:ool. de: llllm! (U _ru). Prill c. . . 16. R boo.IrM 5.5, • 1'01011''''
...... : _
de 120 ml (2.4 _ru). l'rix da.- 7, RHnbou
s.s,
L'lut'Jour en passant place Verte
J'entendis un chien péter,
Çe prouvions que c'tte pauvr' bête
N'a point le trou du cul bouché.
Le curé de Saint-Martin,
Qui salt tout et qui n'sait rien,
A cou~ la queue de son Ane
Pour la mettre à son peUt chien.
Monsieur l'curé, c'est un bon zouille ;
Il aime tout, Il laIsse rien,
y s'est cou~ la peau des couilles
Pour faire une niche à son chien.
suppositoires :
...,..,..lOitr. :
(_Ille, PO•
~ae 1.... j(lO..... • e,)()O.... • N. 100 llId.
~ (.... 10 .... _ E.40",,- N, lOmal- """"lyplol(A.120 .... • E. ""'"
N )0 Md. 011. d'''1tIJ'1aJle tA, 10 .... • E. , ..... N. Ol - """'1111I0Il • bolllO'" 6
~loin:s • Ad"'l" : P1U'- Il • Enr.nla : PriJ..aa- Il • Nowrlo_ •
hl. daae' _ Rembouroés Skurit/; Soclak
TORAUDE Pl. de 10
40
So<bo:>nne· .... iI)O· oDe.
7J.91
A Paris, les vieilles bigottes,
Marchent toujours les yeux baissés,
C'est pour voir dans not' culotte
Si l'chinois n'est pas relevé.
41
Mon grand·père et ma grand·mère
Ont l'habitude de coucher nus,
L'aut'jour, grand·père en colère
A mordu ma grand-mère au cul.
Si mon père couche avec ma mère,
Ce n'est point par amusement,
C'est pour me faire un petit frère,
Qui mènera la vache aux champs.
J'aime bien mon père, j'aime bien ma mère,
Mais j'aime aussi mon bourricot,
Mon bourricot, je peux monter dessus,
Mais sur ma mère, c'est défendu.
Monsieur le curé de saint-Viau
Qu'a une vache et point de taureau,
Il fait le taureau lui· même,
Ça fait des p'Uts vlaux quand même.
Ils étaient quatre pauvres diables
Qui n'avaient pas de quoi se chauffer.
Ils ont tous chié sur la table.
Et se sont chauffés à la fumée.
En Afrique les dromadaires
Ont la peau qu'est si tendue
Que pour fermer les paupières
y doivent ouvrir leur trou du cul.
Tête à gauche, tête à droite,
Gueulait not' sous-officier,
Tais ta gueule, répondit l'autre,
Tu commences à nous faire chier...
"
KYRIE DES MOINES
Kyrie, Kyrie,
Oans les chambres de nos abbés
De nos abbés (bis)
On n'y mange (bis)
Que des mets fort bien préparés
Bien préparés
Tandis que nous autres
Pauvres apOtres
Pauvres moInes
Tripaillons de moines
Sacré nom de Dieu de religieux
Nous ne bouffons que des mets frelAtés
E.E.E.E.E. lelson
Kyrie, Kyrie,
Dans les chambres de nos abbés (bis)
On n'y baIse (bis)
Que des femmes de qualités
Tandis que nous autres ... , etc...
Nous ne suçons que des culs vérolés.
Kyrie, Kyrie,
On n'encule (bis)
Que Jeunes gens fort bien tournés, etc...
Tandis que nous autres.... etc...
Nous ne pouvons que nous enculer...
Kyrie, Kyrie,
43
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•
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PERE
-
THuis
LES BIROUTES
On a formé une société
~i11
~
~
.
On 58 couche (bis)
Sur des matelas bien douillets (bis)
Tandis que nous autres (bis)
Nous couchons sur la paille de blé.
Kyrie. Kyrie,
On n'y boit (bis)
Que des vins fort bien cachetés (bis)
Tandis que nous autres... , etc...
Nous ne buvons que des vins frelatés.
w
""
On a formé une société
Une société
Où sont admis tous les jeunes gens
De 18 à 60 ans, de 18 à 60 ans
Suffit d'avoir une bonne biroute
Sur l'air du tra, la, la
Voltigez, les biroutes
Ah qu'c'est bon, qu'c'est bon,
Qu'c'est bon, qu'c'est bon 1
Ah qu'c'est bon, qu'c'est bon
D'avoir une bonne biroute
Ah qu'c'est bon, qu'c'est bon
De savoir s'en servir.
"
Quand l'soci#lté elle s'ra prospère
Quand l'société elle s'ra prospère
Elle s'ra prospère
On fera faire un beau drapeau
Avec une biroute en haut
Et tout autour des p'Uts biroutes
Sur l'air du tra la la
Voltigez les biroutes
Ah qu'c'est bon, etc ...
45
III
Quand l'Président y s'mariera (bis)
y s'mariera
On ira tous à son mariage
Avec une boite de cirage.
Avec une bolte de cirage.
Et on astiqu'ra les biroutes
Astiquez les biroutes
Sur l'air du tra la la
Ah qu'c'est bon, etc...
,V
V,
Quand on déclar'(8 la guerre (bIs)
Déctar'ra la guerre
On ira tous à la frontière
Avee s'biroute a l'air
Avec s'biroute à l'air
Et on s'battra à coup d'biroute
Sur l'aIr du tra la la
Battez·vous à coup d'biroute
Ah qu'c'est bon, etc ...
Quand l'Président y s'ra papa (bis)
y s'ra papa
A son p'lit gosse on achètera
Une biroute en chocolat
Une biroute en chocolat
Et il sucera la belle biroute
Sur l'air du tra, la, la
Sucez la belte biroute
Ah qu'c'est bon, etc... etc...
V
Quand l'Président y mourira (bis)
y mou rira
On ira tous à l'enterrement
Avec s'biroute dans s'main
Avec s'biroute dans s'main
Et on bénira les biroutes
Sur l'air du lra la la
Bénissez les biroutes
Ah qu'c'est bon... , etc... etc...
46
"
Par so. double action de normalisateur du miüeu
intelltinll.l et de régulateur du comportement colique.
BACTISUBTIL
fait
d'une
•
pierre
deux;
coups,
EN DESCENDANT LA RUE D'ALGER
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--c",~:t~
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dans les colopathies Chroniqu08 il selles molles. dans
les épil30dos dIarrhéiques de la constipation chronique,
dans les troubles dyspéptiqu88 illOlée avec transit.
normal.
Utiliaë il dOBes faibles <2 il. 3 golulee ou ampoulee quoti.
diennes) mais de façon prolongée CplU8Î9un sem&inee
con&éoutiv9fÙ. il a rait la preuve cl une efficacité auAtli
constante que dans 868 indication. cl6eormais <:1888Î·
ques ; entériW18 et entérocolites aiguh de l'enfant, du
nourrisson et de l'adulte, incidents digestifs de l'anti·
biothérapie per os.
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lAbo..lOl_ TORAUDE . 2 _4. Place dd. SorbonD•• PARIS IV» -033 73=
En descendant la rue d'Alger (bis)
Par une putain ïfus racolé (bis)
Elle me dit d'un air tendre
«Ehbien?J
«Monte dedans ma chambre 1 J
Et vous m'entendez bien? (bis)
Mol qui suis d'l'Université (bis)
J'aime Il savoir oô J'mets les pieds
J'achète cent sous d'chandelle
.Ehbienl •
Pour monter chez la belle
Et vous m'entendez bIen 1
Mol quI n'suis qu'un grand dégoOtanl (bis)
Je monte l'escalier en m'branlant (bis)
••
En haut j'la carambole...
EHe avait la vérole...
Quand la vérole fut attrapée (bis)
A l'hôpital fallut aller (bis)
A l'hôpital maritime...
Me faire soigner la pine...
Un vieux toubib, quatre infirmiers (bis)
Furent désignés poür me soigner (bis)
Mais cette bande d'andouilles...
Ils m'ont coupé les couilles...
Quand on n'a plus ni couilles, ni vit (bis)
Rien ne vous plaît, ni vous sourit (bis)
On s'en va au bordel...
Faire minette aux maquerelles...
Depuis ce Jour, soir et matin (bis)
Je maudis toutes les putains (bis)
Car elles me rappellent
«Eh bien? J
Mes couilles qui étaient si belles
Et qui rrarchaient si bien J.
---
,
'8è
-
LA MUSE D'ATHENES
Visitez le Musée d'Athènes (bis)
Vous y verrez ré, ré, bien conservés (bis)
Ohé! ohé 1
Trois poils du cul de Démosthène (bis)
Et les roustons, to, ton, du pèr' Platon (bis)
Ohé 1 ohé!
Vous y verrez la chaste Diane
le con bouché par une banane,
Et les roustons, ton, ton, du pèr' Platon.
Ohé 1 ohé!
Vous y verrez les fils d'Hercule
Photographiés quand Ils s'enculent
..............................
Vous y verrez les fill's d'Ulysse
Photographiées pendant qu'elles pissent.
....................................
Vous y verrez la Il'lère Egée
carambolée par le Pirée.
...........................
.
Vous y verrez le cul d'Diogène
Divérolé à l'hydrogène.
. . . . . . . . . . . . . . .. ..............•...
Vous y verrez dans une vitrine
Trois poils du cul à Proserpine.
.
50
5>
Vous y verrez le Discobole
La queue rongée par ta vérole.
M!R!PRINE
Vous y verrez la Belle Hélène
Quand elle en a la bouche pleine
enitlnts souffrants
nuits agit6as
12 heures da tranquillité
Vous y verrez l'bel Alcibiade
Qui tire son coup en cinq saccades.
sédeli!
anlHussl!
_ _doUlt
• _et
_
1.'. . . .
_._
. . _.lM. _,..
..__.r
, ••
Et l'idyllique Théocrite
Dans l'cul d'un bouc poussant sa bite.
PHOlCO-M!R!PRINE ~r.p
~r.p
. . . jO _ _
I__
~.ca.
r............... _
.
12 heuras rfaction antitussive
Actif sur tous les (ecteurs
de la tUls/géMse
._
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spéciliquemenl anlJlu5Si!
1 •• _ . _
,.
. _ . ' _ _ ."0
...
. . . __
....
_
.
Vous y verrez s'cochon d'Socrate
La main dans la poche
qui s'la gratte
.
,
~"(t
Vous y verrez un pucelage
Momifié dans un sarcophage.
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Lu'Vtp
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MEREPRINE
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MEREPRINE
LlbOr.'alr•• TOl&udl • 2. pt de Il SofboMl • P.". li" • ODE. 13·92
52
"
LA FEMME DU VIDANGEUR
L'autre soir l'envie m'est venue
Cré nom de Dieu d'enculer un pendu.
Le vent souHlait dans la potence
Voilà mon pendu qui s'balance
Il m'a fallu l'enculer en courant.
Cré nom de Dieu, j'n'ai jamais couru tant.
Refrain
La femme du vidangeur
Préfère à son odeu r
L'odeur de son amant
Qu'elle aIme éperdument.
En arrivant au Paradis
Voilà qu' j'sentis saillir mon vit,
J'enculai Saint Michel Archange
La Sainte·Vierge et tous les anges
Et sI l'Bon Dieu n' s'était pas débiné
Cré nom de Dieu, j'l'aurais bien enculé.
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54
LE BORDEL A FERME SES VOLETS
Air: & la guinguette a fermé ses volets_
Le bordel a fermé ses volets:
Elles sont toutes vérolées,
y a plus moyen qu'oo baise;
Le dernier qui y est allé
Pour se faire faire un pompier
Est r'venu avec la pine enflée, ohé!
le toubib qui les a visitées
A tout de suite déclaré:
y faut plus qu'on les baise!
la maréchaussée les a toutes bouclées,
Et le bordel a fermé ses volets!
Totor qu'est uo habitué
A voulu y ailer
Disant: & C'est d'la foutaise 1 _
Mais trois jours après, y n'pouvait plus marcher
Tant sa pine était délabrée, ohé 1
A l'hosto, 00 l'a transporté
lui laissant supposer
Que ce léger malaise
Ne l'empêcherait pas d'revenir baiser
Quand l'bordel rouvrirait ses volets.
le toubib lui ayant conseillé
De oe plus coiter
Sans uoe capote angleise,
Aussitôt s'mit sur pied, il en a commandé
Douze douzaines avec bout renforcé, ohé 1
Au premier coup qu'il a tiré,
C'est ses couilles qu'ont lâché,
Pas la capote anglaise ;
On les a r'trouvées aux quat'coins du quartier.
Air: & Marche fun~bre_
56
Totor n'est plus
les putains l'ont descendu 1
Un Français de plus
Que les Anglais auront foutu 1
Et sa plne
Qu·a....alt belle mine
Ne bandera plus 1
Ainsi triomphe la vertu.
Air: II: la Guinguette...
le bordel a rouvert ses volets
Par un beau matin de mal,
Au temps des premIères fraises,
l'personnel était entl~rement renouvelé
Et la tOIl~re étaIt toute en beauté 1 ohé!
la foule se pressait et riaIt.
Elle a....alt oublié qu' l'danger
Quand on baise,
Etait d'se confier aux machins anglaIs
Et l'bordel s'est payé des bidets,
57
VIVENT LES ETUDIANTS...
Et l'on s'en fout d'attraper la vérole 1
Et l'on s'en fout, pourvu qu'on tire un coup,
Avec, avec du poil sur les roses.
Vivent
Vivent
Ils ont
Vivent
les étudiants, ma mère,
les étudiants 1
des femmes et pas d'enfants!
les étudiants!
Vivent les aviateurs...
Ils lèvent la queue tous les quarts d'heure.
Vivent les aviatrices..,
Elles ont le manche entre les cuisses.
Vive tout l'quartier latin...
Car toutes les filles '1 sont putains...
Vivent les étudiantes, ma mère,
Elles aiment avoir la pine au ventre.
Vivent les vétérinaires, ma mere,
Ils ont toujours la queue en l'air.
Vivent les avocats...
Ils ont les couilles en chocolat.
Vivent les carabins...
Ils ont des femmes qui baisent bien.
Vivent les carabines...
Elles adorent vous sucer la pine.
PARIS, NANTES
En revenant de Paris jusqu'à Nantes,
Oh 1 lala, oh, lala, lala, lala, lala,
En revenant de Paris jusqu'à Nantes,
TIens, voilà mon zob, zob, zob,
Tiens, voilà mon zob, zob, zabi 1
J'al rencontré trois jeunes filles charmantes,
, . . , . . , , . . , . . . . . . ..
......',..
J'al pas choisi, mals l'ai pris la plus grande,
. . . , . . . . . , . . . . . . . , . . . . . . . . . . . , , . . . .
Je lui ai dit de monter dans ma chambre.
.
,
.
"
Je lui al foutu cinq à six coups dans l'ventre,
Vivent les pharmaciens...
Ils ont l'permanganate pour rien.
Vivent les parmaciennes...
Elles sont putains ou lesbiennes.
"
".
Quand j'eus fini, elle me dit: « Recommence 1 J
.
..
« Y a pas mO)'en, '1 a plus d'huile dans la lampe
..........
.
J.
.
« Si c'est comme celà, tu reviendras dimanche J
..
Vivent les p.e.s...
Ils ont les couilles galvanisées.
..
,
..
"
« Et s'il en reste, ce sera pour la servante
.
J.
59
L'HaTEL·DIEU
Sacré nom de Dieu, quelle allure, nom de Dieu 1 (bis)
Sacré nom de Dieu, quelle allure.
Au fond de l'Hôtel· Dieu, nom de Dieu 1 (bis)
y avait une surveillante,
Qu'avait tant d'amoureux, nom de Dieu 1 (bis)
Qu'ell' n' s'avait lequel prendre,
Ah! nom de Dieu!
Qu'avait tant d'amOUreux, nom de Dieu 1 (bis)
Qu'ell' n'savait lequel prendre,
l'intern' de garde, un jour, nom de Dieu J (bis)
En mariage la demande,
Ah! nom de Dieu 1
l'intern' de garde, un jour, nom de Dieu 1(bis)
En mariage la demande
le pèr' ne d'mand' pas mieux, nom de Dieu 1
la mère est consentante,
Ah 1 nom de Dieu 1
le pèr' ne d'mand' pas mieux, nom de Dieu 1 (bis)
la mère est consentante,
Malgré les envieux, nom de Dieu 1
Ah ! nom de Dieu 1
Malgré les envieux, nom de Dieu 1
Ils coucheront ensemble (bis)
Dans un grand lit d'milieu, nom de Dieu 1
Tout garni de guirlandes,
Ah! nom de Dieu!
Dans un grand lit d'milieu, nom de Dieu 1
Tout garni de guirlandes (bis)
Aux quatre coins du pieu, nom de Dieu 1
Quatr' pharmaciens qui bandent,
Ah! nom de Dieu t
60
Aux quatre coins du pieu, nom de Dieu 1 (bis)
Quatr' pharmaciens qui bandent (bis)
La belle est dans le pieu, nom de Dieu 1
Elle écarte les jambes,
Ah 1 nom de Dieu!
La belle est dans le pieu, nom de Dieu! (bis)
Elle écarte les jambes,
les règles lui sortent du cul, nom de Dieu 1
Encore toutes fumantes,
Ah! nom de Dieu 1
les règles lui sortent du cul, nom de Dieu! (bis)
Encore toutes fumantes,
Vous tous qui m'écoutet, nom de Dieu 1
Vous y foutrez 18 langue,
Ah 1 nom de Dieu!
Cl
••
Par 8ll. double action de normalisateur du miliou
intestinal et de rêgulateur dU'comportement colique.
LE TROU NORMAND
BACTISUBTIL
fait
d'une
pierre
deux
coups,
dans lee colopathies chroniques il S01l08 molles, dan8
les épisodes dlarrhéiquce de la.conlJtipation chronique,
dans les troubles dyspeptiques isolés avec transit
normal.
Utilisé il doses faibles
œ
il 3 gélules ou ampoules quoti
diennes) mais de fBOOn prolongœ (plusieurs INlmainOI
consécutives), il a fait la preuve d'une (lfficacité aU88i
constante que dans ses indication8 déllormais c.Iaui
ques : entérites (lt entêrocolitell aigu6s do l'enfant. du
nourrisson et de l'adulte, incidents digeetifs do l'anti·
biothérapie par os.
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1 Qoloog.o
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P~de .Sorboruloo
. PAlUS (V'l·lm 73llll
Amis, Il existe un moment
Où les femmes, les filles et les mères,
Amis, il ex1ste un moment
Où les femmes ont besoin d'un amant
Qui les chatouille
Jusqu'à ce qu'elles mouillent
Et qui les baise,
le cul sur une chaise.
Mes amis, pour bien chanter l'amour,
Il faut boire (ter)
II faut boire, la nuit, le Jour,
A la santé du petit conduit
Par où Margot fait pipi.
Margot leit pipi par son petit concon,
par son petit duit, duit. par son petit conduit.
A la santé du peUt conduit
Par où Margot fait pipI.
Il est en face du trou
laT trou laT trou laT trou la 1ère
Il est en lace du trou
laT trou laT trou laT trou la 1ère.
il est en haut du trou, etc.. ,
li est en bas du trou, etc.. ,
11 est à gauche du trou, etc ..
Il est à droite du trou, etc ..
Il est très loin du trou, etc ..
Il est tout près du trou, etc.. ,
Il passera par le trou, etc...
63
Parlé: Attention! verre aux lèvres!
Un instant de silence!
Une minute de recueillement!
Une seconde d'abnégation!
Verre aux lèvres!
Cul sec!
Il est passé par le trou, etc ..
Il descendra par le trou, etc ..
Il sortira par le trou, etc...
---- ...
-
(j))
T/O~
\?'.
//
~
..
{(
FRERE GUILLAUMETTE
Quand tu rencontres une fillette,
Fr"re Guillaumette que tais-tu 1
Je !'emm"ne dans ma chambrette
domlnomlno dominominette
Je l'emm6ne dans ma chambrette
domino
Et quand tu j'u amente dans ta chambrette,
Frère dominominette, que fais-tu 1
AMEN
Je lui r'Ure sa chemisette
J'la renverse sur ma couchette
J'commence par 11.11 faIre minette
Je déboutonne ma braguette
Je sors ma grosse bistrouquette
Je l'enfonce dans sa craquette
J'joue du cul et J'bande jes fesses
Je décharee dans sa craquette
Je retire ma p'Ute blstrouquette
Je la lave dans une cuvette
Je l'essuie 1 ta serviette
J'fous ta poule par la fenAtre
A coup d'pieds dans le cul.
65
LA·HAUT, SUR LA COLLINE...
Air: c Malborough S'81'\ va·t·en guerre:t
.
là·haut sur la colline,
Les deull pieds, les deull mains dans
là-haut sur la colline,
Il y avait un gros cu (bis)
Un gros curé de campagne,
Les deull pieds, les deull mains dans
Un gros curé de campagne,
Qu'astiquait son gos bou (bis)
Son gros bouquin de prières,
Les deUll pieds, les deuK mains dans
Son gros bouquin de prières,
Pour entrer dans un con (bis)
Dans un confessionnal,
les deuK pieds, les deull mains dans
Dans un confessionnal,
Pour y tirer un cou (bis)
Un coupable de l'enfer,
les deuK pieds, les deux mains dans
Un coupable de l'enfer,
Qui avait fait un pros pé (bIs)
Un gros péché mortel,
les deuK pieds, les deuK mains dans
Un gros péché mortel,
Et avait trop été (bis)
Trop été au bordel,
les deuK pieds, les deux mains dans
Trop été au bordel,
Où il allait quêter (bis)
Quêteur l'aumône des pauvres,
les deuK pieds, les deuK mains dans
Quêteur l'aumône des pauvres,
Qui en avaient besoin (bis)
la merde,
la merde,
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67
Eh bien r beau grenadier
Fous·le mol donc dans l'ventre.
LE GRENADIER DES FLANDRES
C'était un grenadier (bis)
Qui revenait de Flandre (bis)
Qu'était si court vêtu
Qu'on y voyait son membre.
Refrain
Tambours battaient, la Générale
Tambours battaient toujours
La nuit comme le jour
La Générale bat ne l'entendez·vous pas 1
Qu'était si court vêtu (bis)
Qu'on y voyait son membre (bis)
Une dame de charité
L'fit monter dans sa chambre.
.. .
.
fI
.
.......
Alluma un bon feu
Pour réchauffer le membre.
.. ..
Et s'il en reste un peu
Ce s'ra pour ta servante.
. . , .. , .. .. . .. , . . ... .. .. . .. .
Il n'en restera pas
Madame est trop gourmande.
. . . . ..
.•........
.
. . . . . .. . . . . .
.J_
Il fallut cent fagots
Pour réchauffer ce membre.
Quand le membre fut chaud
Il se mit à s'étendre
. . . ..
.. .. .
Dis·moi beau grenadier
A quoi te sert ce membre
..
..... . .. .
..........................
Il me sert à pisser
Quand l'envie vient m'en prendre.
. . . .. ...............•.....
Et aussi à baiser
Quand l'occasion s'présente.
-0
50
69
ALLONS A LORIENT
Equigyne
(D-
traitement physiologique de tous les étals
de' carence œstrogénlque :
_ tant chez la femme ménopausée Ou après
castration.
_ que chez la femme réglée. mals porteuse d'un
syndrome attribuable è l'insuffisance œstrogénlque
(période folliculaire ou lutéale),
(î)- alOl\lcité remarquable.
~- haute tolérance.
@_ grande maniabilité. en raison de le
-_
.. _.\._ . - .
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..... 1
_ _..
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Je lierai le grand mât
Qu'on plante dedans 1
70
1Q1U.U1)1 • 1. _
....
....
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Olltoo "....
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Mon rouston de gauche
Sera lieutenant.
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Mon rouston de droIte
Sera commandant.
?'-1)
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S~~~"':::-h
-'- ...

--.....
Et les morpions
Grimperont dedans.
VIII

_
.. R ........ '_C. _ _ ,•. _
.... _ _ eoro..
~
>
VII
.. _ . - , _ .
- _
'y
Mals ne savaient comment
Le vit dit au con
c Tu seras bAtiment 1 •
les poils de mon cul
Seront les haubans.
faible Mlnertie" thérapeutique
......
Il était deux amants
Qui s'aimaient tendrement
Qui voulaient voyager
Mais ne savaient comment.
Refrain
Allons à Messine
Pêcher la sardine
Allons • Lorient
Pêcher le hareng.
Il
Qui voulaient voyager
la peau de mes couilles
Fera valle au vent.
71
LA P'TlTE HUGUETTE
Chanson du Droit
(Tous les couplets sont sur le type du premier)
Refrain
Un jour, la p'tite Huguette,
Frise ton poil, comme on attrape ça
Un jour, la p'tite Huguette
S'en revenait du bois (bis)
En chemin, ell' rencontre...
Un Etudiant en Droit (bis)
Il la prend, il la baise...
Sur du foin qu'était là (bis)
le foin était si sec...
Qu'il en faisait c fla-fla» (bis)
La mère d'la p'tite Huguette...
Vint à passer par là (bis)
Elle dit: c Baise, ma fille...
On n'en meurt pas pour ça 1 » (bis)
Car si on en mourait...
Je ne serais pas là (bis)
Et si tu en mourais...
Sur ta tombe, on mettrait: (bis)
Ci gft, la p'tite Huguette...
Qu'est morte en faisant ça! (bis)
En faisant sa prière...
Au grand Saint-Nicolas (bis)
~
le grand Saint que les hommes
'\
MAMAN QU'EST·CE QU'UN PUCELAGE?
Maman, qu'est-ce qu'un pucelage?
la allah la allah la allah
tri'",J)U 11;
Portent la tête en bas (bis)
Quand ils la portent en l'air...
Ils inondent les draps (bis)
12
1
(
~'
./~
-
Û
\ ....
!i' \
~
Maman, qu'est·ce qu'un pucelage?
C'est un oiseau mon enfant (bis)
Un oiseau qu'on met en cage
Depuis l'age de 15 ans.
Ma p'tit' sœur qui en a 13
L'e perdu depuis longtemps
Avec un chasseur d'Afrique
Derrière les murs du Couvent.
L'curé qui les a vu faire
A voulu en faire autant.
Avec sœur Marie·Thérèse
Derrière les murs du Couvent.
Mais comme 11 ne savait s'y prendre,
lui a mis entre les dents (bis)
la petite sœur fort en colère
La lui mordit jusqu'au sang (bis)
La morale de cette histoire:
C'est qu'il l' plus courte qu'avant.
\
73
DANS UNE TOUR DE LONDRES
,,/.
',.,
r" ' ;/1
.,
Dans une tour de Londres:
y a des morpions qui m'emmerdent la nuit
Sans bruit,
Dans une tour de Londres, y avait un prisonnier,
y avait un prisonnier, la pine au cul,
les couilles pendantes
y avait un prisonnier la pine au cul
Bien enfoncée.
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1
,
1
Il ne voyait personne que la fille du geôlier
Il
Un jour il lui demande la clef pour aller chier.
f
III
Quand il fut sur le trône
Il n'avait pas de papier.
IV
En attendant qu'ça sèche,
11 se mit à chanter.
V
J'emmerde les gendarmes
Et la Maréchaussée.
VI
les gendarmes l'entendirent, le prirent, et le pendirent.
VII
la morale de l'histoire
C'est qu'il ne faut jamais chier
Sans avoir de papier.
74
75
SI J' rENCUlE
broncl,ites cl,roniqucs
o
1+1>2
soufre alltiné
+
antibiotique
thioncJcliDe
comp ..hnl!1l dn/féltl#."
En entrant dans l'église
Je ne vis d'abord rien
Qu'un vieux cochon de moine
Qui s'branlait dans un coin.
Refrain
Si i' t'encule. cute, cule
SI j' t'encule, Jusqu'au matin,
Si J' t'encule. cule. cule
Si l' t'encule, c'est pour ton bien,
n vieux cochon de moine
s'branlait dans un coin
nfessa'
soir jusqu'
-y-::FJ.f1.~
Jet~/n
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1JfJtjologie type:
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.'1ljo.",.
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St"","" SocI.l..
L.bor'loir•• TORAUDE· 2, place df! le Sorbonr'le. Parl. 5' . OO~. 73·92
7'
ensemble
apucin .
r_.
C_~.,<~.d·~~250"'V:N_~Dl~
_""
'~'.,
Aux couilles tricolores
Aux polis du cul chatain.
Il ira au bordel,
Son père y allait bien.
Enculer les maquerelles
Et baiser les putains,
Il chop'ra la vérole,
77
Des chancres et des poulains.
LES POILS DU CUL
faut·il avoir du poil au cul?
Comment résoudre cette affaire?
Les uns disent que c'est nécessaire,
Les autres qu' c'est superflu.
Dans ce débat contradIctoire
Où rien encor' n'est résolu.
la Bible, la fable et l'histoIre
Vont vous parler des poils du cul (bis).
c faut·il avoir du poil au cul? s
Disait Hercule aux pieds d'Omphale,
c Et que t'Importe, 0 ma vestale,
Un rouston plus ou moins velu? s
Dit·il. Et découvrant ses couilles,
De poils lustrés, fins et touffus
Il enroula sur la quenouille
Cent écheveaux de poils de cul (bis).
c faut·i1 avoir du poil .au cul? s
Disait Thésée aux Amazones,
Quand à trois cents de ces personnes
Sa pine au cul 11 eut foutu,
Bandant encore à la dernière
Il dit: c Ma belle, qu'en penses-tu? s
_ c Cré nom de Zeus! dit la guerrière,
Il faut avoir du poil au cul s. (bis)
78
Adam sans doute était velu,
Car cet insecte parasite
Qui sur nos couilles fait son gîte,
Par un froid vif est morfondu;
Et Dieu qui donne la pâture
A l'oiseau faible et peu vêtu,
Aux morpions pour couverture.
Donna les poils de notre cuL (bis)
Ce fut par un poil de son cul
D'une longueur phénoménale,
Qu'au bout de la branche fatale,
Absalon resta suspendu 1
Depuis ce trépas mémorable,
Tous les Hébreux ont résolu,
Pour éviter un sort semblable,
De se raser les poils du cul! (bis)
Ce fut David, sans poil au cul
Qui, armé d'une sImple fronde,
Mais d'une main que Dieu seconde,
Tua Goliath au cul velu.
Ceci vous prouve bien, je pense,
Que tout Hébreu bien résolu
Doit compter sur la Providence,
Plus que sur les poils de mon cul. (bis)
Samson qui, certes, était velu,
A vu, par une me ln treltresse,
Avec le poil noir de sa fesse
Tomber sa force et sa vertu
Sous le ciseau qui le dépeuple,
Quand le poil tomb' tout est foutu,
C'est ainsi que le sort des peuples
Tient, dit la Bible, aux poils du cul. (bis)
Aux temps de nos rois chevelus
Et de l'antique loi saHque,
C'était un titre honorifique
Que de porter du poli au cul,
Mais notre slkle égalitaire
A réformé tous ces abus,
Et maintenant le prolétaire
Peut se payer du poil au cul. (bis)
"
EN REVENANT DE PIEMONT
Avaient·ils donc du poil au cul
Quand, pris d'une valeur antique,
A l'appel de la République,
Femmes et vieillards sont accourus?
Remplis d'une erdeur sans pareille,
Jusqu'aux enfants, tous s'sont battus,
Car la valeur, a dit Corneille,
N'a pas besoin de poils au cul. (bis)
1
En revenant de Piémont (bis)
Nous étionl troll jeunes garçons (bis)
Oui mals de l'argent nous n'en avions guère
A nous trois noos n'avions qu'un sou
Sens devant derrière et sens dessus dessous (bis).
Il
Faut·il avoir du poil au cul?
Disait aux pieds des Pyramides.
A ses bataillons intrépides,
Un général fort connu,
N'importe, mais dans la bataille,
FOt-il vainqueur, fût-il vaincu,
Jamais Français sous la mitraille
N'a montré les poils de son cul. (bis)
Ce fut par un poil de son cul
Dégrllissé pour la circonstance
Que l'hygromètre fut en France
Par De Saussure suspendu.
Ceci prouve avec évidence,
Que tout Français., chauve ou poilu,
Coit réserver pour la science,
le plus long des poils de son cul. (bis)
Nous arrivâmes dans un logis (bis)
HOtesse, qu'avez·vous de cult? (biS)
J'al du bon civet de couilles de lièvre
Et de la bonne soupe aux choux.
'"
Et quand nous eOmes bien dlné (bis)
HOtesse nous voudrions coucher (bis)
Je n'ai que ma chambre sur le derrière
Et la petite bonne qui couche en dessous.
IV
.,
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H,
"
tlJ,
',\
FauNI avoir du poil au Cul?
Nous avons en cette rencontre
Pesé le pour. pese le contre.
Et rien encor' n'est résolu.
Mais un avis que je crois sage
Que nul encor' n'a combattu,
C'est qu'il vaut mieux pour son usage:
Un cul sans poil, qu'un poil sans cul. (bis)
1h
" /1
Sur tes onze heures en entendit (bis)
L'hOtesse pousser un grand crI (bis)
Eh III 1 vous allez m'péter la charnière
Atlez·y donc un peu plus doux 1
V
Et puis sur le coup de minuit (bis)
Il $8 fit un bien plus srand bruit (bis)
C'ftait l'lit du d'ssous qui s'fichait par terre
Et 1. petite bonne qui baisait d'ssoos.
VI
QuarK! "Ouse repasserez par ici (bis)
SouV'8nez-vous du bon logis (bis)
Et souvenez-vous de III bonne hôteu.
Qui remue le cul sans remuer les fesses
Et de la petite bonne qui remue tout
Sens devant derrière et sens dessous dessoos.
80
"
anti~~~ tique
EN DESCENDANT DE MONTMARTRE
des voies respiratoires
posologie unique
sirop :~x 2 ou 3
suppositoires:
Qx 2 ou 3 ou 4
2 formes, 3 dosages
sirop:
formule, ~r tulllc<·"""ute : <hyIllrxyd
(A. lSOm•. E. 100 .... - N. 'lI .... I,
N. (A, )5 ml • E. lU
N. 01. s..JfgplDl;>l (A.
I!. O,
N. 50",.), Comp/>œUlronal~ do Na (A. 'li
_ E. Ilm•• N. Um.l
nl.·
110<1 : Adut ... , l\acoIl <10 160mI (16
utu). Pri. N ... l', R...._
S.S••
!!.nflnll : l\Itl:oIl de 120ml /24 mesures). Pri. çlapo 16, Rom_'" S.S.• Nourri••
101I1: n_a <10 120ml (204 mesures), Pri. cIuK 1. Rembou'" S.S.
o.'_ral)ocolm Ik
IV
La mère Jules qui m'voit faire
Me crie: «Voleur de prunes
J'lui tire mon pantalon
Et j'lui fais voir la lune.
formul•• l'Ir lupposiU>i", O.)'léuacy(01oDe (A XMl m•• .B :lOO m•• N. 200 m.),
ClIo,phr. (A. 10"'i _ E. 40 ml • N 20 m.) I!ueolyplol (A. 120 m, • 2. 6' m••
N. JO ....l. ChI. d"Amyk!l"" (A. tO"'f; . E. l ml • N. 0) - ',,*,nlliion - boIl. do 6
'uPPOIj(ol~ • Aduha : hi>: d ..... 17 _ Eoronts : Pri. 01_ Il : Nou,ri'tOn. :
Pris ç ...... 8 • Rombounés StcuriJt S«:ialo.
TORAUDE Pl. de Ilo Sotboon. _ hrio 50 _oolt 1).92
J
1
V
o·
suppositoires :
"
1
En descendant d'Montmartre
Par une nuit sans lune
J'aperçois un prunier qui était couvert de prunes.
Refrain
V'la l'printemps, 1·2
V'la 'l'printemps tire·lire·lire
V'la l'printemps pour les satyres
V'la l'printemps pour les amants.
Il
J'aperçois un prunier
Qui était couvert de prunes
J'y grimpe 4 à 4
Pour en cueillir quequ's·unes.
III
J'y grimpe 4 à 4
Pour en cueillir quequ's·unes
La mère Jules qui m'voit faire
Me crie: «Voleur de prunes J 1
J'lui tire mon pantalon
Et j'lui fais voir la lUne.
Elle avait la vue basse
Elle a cru voir ses prunes.
VI
Elle avait la vue basse
Elle a cru voir ses prunes.
Elle prend ses grands ciseaux
Et veux m'en couper une.
63
•
L
LA CEINTURE
Partant pour la croisade un seigneur fort jaloux
De l'honneur de sa dame et de ses droits d'époux.
Fit faire une ceinture à Quadruple fermoir
Qu'il enfila lui·même à la belle un beau soir.
Puis croyant son honneur solidement gardé
Il partit pour la guerre en emportant la clé
•
Et depuis ce jour soupire la belle Yseult
.:$...
";';;{i 5
$,~~~
-" <.
VII
Elle prend ses grands ciseaux
Et veux m'en couper une.
c Halte·là t La mère Jules,
Ce ne sont pas là vos prunes 1•
VIII
• Halte·là 1 La mère Jules,
Ce ne sont pas là vos prunes 1 •
A gauche, c'est Jupiter
Et à droite, c'est Neptune •.
IX
c A gauche, c'est Jupiter
Et à droite, c'est Neptune,
Au milieu, la comète
Qui tait mOrir les prunes •.
Quand donc t'ouvriras·tu prison de mes amours.
Elle fit la rencontre un soir au fond d'Un bols
D'un jeune Troubadour, poète montmartrois
Et c'est là qu'en pleurant elle lui a demandé
Si l'amour d'un poète peut faire un serrurier.
La dame était si belle tant et tant
Que la ceinture céda, elle belle en fIt autant.
Depuis près de 20 ans durait ce arand amour,
Quand le Seigneur revint avec cors et tambours.
La dame était enceinte depuIs blentOt 9 mols,
Hélas, s'écria·t·elle. quel malheur j'entrevois.
Remettons la ceinture en la serrant un peu
Notre Seigneur Cornard n'y verra que du feu.
le sire s'en aperçut et se mit en courroux
Seigneur s'é<;rla-t·elle cet enfant est de nous.
Depuis près de 20 ans, fermé il double tour,
Ce fils respectueux attend votre retour.
Miracle, s'écria-t·il, femme au corps vertueux,
Ouvrons donc vite la porte au fils respectueux.
l'enfant nalt aussltOt. A l'avenir méfiez-vous
as
De ces serrures qu'on ouvre avec un passe· partout.
LES MOINES DE SAINT·BERNARDIN
Nous sommes les moines de Saint·Bernardin (bis)
Qui nous levons tard et nous couchons matin (bis)
Le Prieur nous engueule, mais nous nous en foutons 1
Refrain
Voilà qu'est bon, qu'est bon, qu'est bon
Et voilà la vie, voilà la vie, la vie chérie, ah 1 ah 1 (bis)
Et voilà que tous les moines font (bis)
Pour notre dlner de bons petits oiseaux (bis)
Que l'on nomme cailles, bécass's ou perdreaux (bis)
De t'andouillette de Vire et du p'tit vin d'MAcon.
Pour notre coucher dans des lits aux draps blancs (bis)
Une jeune nonne de quinze à vingt ans (bis)
Qui a la taille bien faite et les nichons bien ronds.
La nuit tous ensemble, nous nous enculons (bis)
Jusqu'au jour, ensemble, nous buvons, buvons (bis)
Puis après sous ra table nous roulons et dormons.
Si c'est là la vie que tous les moines font (bis)
Je me ferai moine avec ma Jeanneton (bis)
Le soir dans ma chambrette, l'lui chatouillerai l'bouton,
M!R!PRINE ~r.p
PHOLCO-M!R!PRINE ~r.p
en/enlS souffrants
nuits agitlfes
12 heures de tranquillit6
12 heures d'lIction antitussive
Actif sur tous les fllcteurs
de la tussiglfnêse
&édllllf
lit llnlJluasif
_ _doux
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MEREPRINE
PHOLCO
MEREPRINE
.
tabor.IOt'" Tor.ucs. . 2. pl. M It ~ • Pin. 5' • OOE 13·92
87
LEON ET VALERIE
LE CURE DE POMPONNE
Me confesser, je suis allé (bis)
Au curé de Pomponne (bis)
Le curé de Pomponne m'a dit:
c Qu'avez·vous fait mignonne?
Ah 1 tu t'en souviendras ma mignonne
Du curé de Pomponne.
Le curée de Pomponne m'a dit: (bis)
Qu'avez·vous fait mignonne? (bis)
Mon Père, le seul péché que j'ai falt
C'est d'embrasser un homme...
Ma fille, pour ce péché·là
Il faut aller à Rome.
Mon père, pour ce péché·là
Faut·il qu' J'emmène mon homme...
Ah 1 taisez·vous, taisez-vous mignonne
Vous n'êtes qu'une friponne .
Embrassez-moi 5 ou 6 fois .
Et je vous pardonne...
Mais de cette pénitence là
Ne parlez à personne.
Tout's les filles de Pomponne viendraient
Et j'aurais trop d'besogne...
88
Et autre chose aussi
Que
je n'ose pas dire,
Refrain
Et autre chose aussi
Que Je n'dis pas Ici 1
Sur l'herbe fleurie
Au fond du jardinet,
Léon et Valérie
Faisaient des cumulets,•.
U la prend, il la baise
la coucha sur le gazon,
Et là tout à son aise,
Lui caresse la menton...
Valérie enflammée,
Lui dit d'un ton charmant:
Dieu 1 Que le suis aimée,
Que ton amour est grand ...
Mais Léon bien peu sage,
Enivré par l'ardeur,
LuI montre qu'à son age,
On a toujours du cœur, ..
la belle toute émue,
Se redressant soudain,
lui dit: c Léon, Je sue,
Retire donc ta main ....
le curé du village,
les voyant si heureux,
Sentit malgré son âge,
dresser ses cheveux ...
Et depuis l'aventure,
Savez·vous ce qu'on dit 1
On dit que la ceinture
De Valérie grossit...
Jeunes gens un peu lurons,
Ecoutez bien ceci 1
Les filles de mon pays
89
Ont le cœur très profond ...
se
Il est minuit,
La femme du roulier.
S'en va de porte en porte,
De tavern's en tavernes.
Elle cherche son mari,
Tireli,
Avec une lanterne.
Madam' l'hôtesse,
Où donc est mon mari.
Non, il n'est pas ici,
11 est dans la soupente,
A prendre ses ébats.
Tireta,
Avec notre servante.
Cochon d'mari,
Pilier de cabaret.
Ainsi, tu fais la noce,
Ainsi, tu fais ripaille,
Pendant que tes enfants,
Tirelan.
Sont couchés sur la paille.
Et toi, la belle,
Aux yeux de merlans frits,
Tu m'as pris mon mari,
Je te prendrai mesure,
D'une bell' culott' de peau
Tirelo,
Qui ne craint pas l'usure.
Tais-toi ma femme,
Tais-toi. tu me fais chier,
Dans la bonne société,
Est·ce ainsi qu'on s'comporte,
J'vais t'fout' mon pied au cul.
Tirelu,
90
chanson paillarde, breviaire,
carabin, etudiant
parole, disque, mp3
Internat des Hopitaux de Paris
LA FEMME DU ROULIER
Si tu ne prends pas la porte.
Pauvres enfants,
Mes pauvres chérubins,
Plaignez votre destin,
Vous n'avez plus de père,
Je l'ai trouvé couché.
Tirelé,
Avec une autre mère,
Il a raison.
Il a cent fois raison,
D'aller tirer un coup,
Avec celle qu'il aime,
Et quand nous serons grands.
Tirelan.
Nous ferons tous de même.
Cochons d'enfants.
Vil produit d'adultère
Voulez.vouS taire vos gueules,
Vos propoS m'exaspèrent,
Vous serez tous cocue,
Tirelu,
Comm' le furent vos pères.
.,
LE FilS DU MAIRE
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L.boratolre. TORAUDE· 2. pla<:e de r. Sorbonne _P.rl. 5" • ool 13.~
92
Le fils du Maire de mon pays
Oui, oui, oui, oui
N'est pas le plus bête du canton
Non, non, non, non
Seules les mauvaises langues dit-on
Prétendent qu'il a l'air d'un
Ouvre la fanêle qu'on respire un peu
Qu'II a l'air d'un orgueilleux.
Toutes les fllles en pincent pour luI
Oui, oui, oui, oui
Mals il n'est pas po11sson
Non, non, non, non
Mals sans être cénobite
Il a une toute petite
Ouvre la fenêtre qu'on respire un peu
Une petite mOme aux yeux bleus.
Il parait même qu'aujourd'hui
Oui, oui, ouI, oui
A la bordure du canton
Non, non, non, non
A la lisière du village
Il lui ravit son plus
OU'lre la fenêtre qu'on respire un peu
Son plus Innocent aveu .
Elle lui dit j'm'étonnons
Oui, oui, oui, oui
C'est le moment vite profitons
Non, non, non, non
Dis·moi pourquoi tu dffalsses
Mais écarte donc les
Ouvre la fenêtre mon Dieu qu'il fait chaud
Les scrupules de ton cerveau.
93
LES
ao
CHASSEURS
aD, aD, aD, 80, 80 chasseurs (bis)
Qui n'avaient pas peur! (bis)
..
A l'ouverture de la chasse
Dans un pays riche en gibier
Riche en gibier
Une marquise, aux fins limiers,
Dont l'esprit égalait la grace
Invita ses amis chasseurs
Mals qu'elle ne fut pas notre surprise :
Au rendez·vous de la marquise (bis)
Nous étions 80 chasseurs (bis).
Allons, Messieurs, vite en campagne
Dit la marquise il faut partir
11 faut partir
Que chacun songe à son plaisir
Le son du cor vous accompagne
Aussitôt des cris de clameur,
Plus d'une biche fut surprise
CIr dans les bois de la marquise (bis)
Nous étions aD chasseurs (bis),
A l'issus de cette journée,
La marquise en ses plus beaux Jours
Ses plus beaux jours
Parée de merveilleux atours
Par chacun d'eux fut convoitée,
Et chacun obtint ses faveurs
Mais grande fut notre surprise
Car dans te lit de la marquise (bis)
Nous êtions 80 chasseurs (bis).
Après cette Journée mémorable
la marquise neuf mois plus tard
Neuf mois plus tard
Accoucha d'un 1011 poupard
Aujourd'hui tireur redoutable
De ses jours ignorant l'auteur
Il demanda qu'on l'instruise.
e Vous êtes, lui dit la marquise, (bis)
L'enfant de 80 chasseurs 1:t (bis).
LE GRAND METINGE DU METROPOLITAIN
Samedi dernier, c'était lour de la paye,
Et le soleil brillait il l'horizon,
J'avais déjà bu cinq il silt bouteilles (bis)
J'crois bien qu'jamais j'n'avail été aussi rond (bis).
V'là ma bourgeoise, qui s'ramène sur le zinc,
Et m'dit: e Cochon, t'a quitté ton turbin:t,
e Oui, qu'j'y répond, je m'en vals au Métinge (bis)
Au grand Métinge du Métropolitain (bis).
Les prolétaires, d'un élan unanime,
y sont venus, guidés par la raison,
En apportant chacun cinquante centimes (bis)
Pour obtenir les grévistes de Vierzon (bIs).
95
y avait Basile, le mineur indomptable,
Karmellno, qu'est l'honneur du parti,
y sont montés tous deux sur une table (bis)
Pour exposer la question sur le tapis (bis)
Quand tout à coup, on entend du bastringue,
C'est un quidam qui veut faire son malin,
Il est venu pour saboter l'Métinge (bis)
Le grand Métinge du Métropolitain (bis).
J'y bondis d'ssus et avant qu'il rouspète,
J'y enfonçais jusqu'aux yeux son chapeau,
Il est parti sans demander son reste (bis)
En faisant signe aux gardes municipaux (bis)
Qui, profitant de c'que j'étais brindezingue.
M'ont emmené au poste le plus voisin,
Et c'est ainsi qu'c'est terminé le Métlnge (bis)
Le grand Métinge du Métropolitain (bis)
(Couplet patriotique) :
Peuple français, la Bastille est détruite,
Mais y a encore des prisons pour tes IlIs,
Souviens.toi bien des géants d'quarants-huit) (bis)
Qu'étaient plus grands que les ceusses d'aujourd'hui
(bis)
Equigyne
0). traitement phyalologlque de tous les états
de coronce oostrogénlque:
• tont che~ 10 femme ménopausee ou après
castrstlon,
• que che~ la femme règlée, mois porteuse d'un
Iyndrome attribuable aflnsuFllstlOce œstrogénlque
(période folliculaIre ou lutéale)
etoxlcilé remarquable
CD· haule tolérance.
(!). grande manlablhte. en raison de la
faIble "Inertie" thérepeutique.
(Couplet social):
Car c'est toujours l'pauvre ouvrier qui trinque,
C'est lui qu'on met en prison pour des riens,
C'était quand même un bien joli Métlnge (bis)
Le grand Métinge du Métropolitain (bis).
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La Femme du Vidangeur ...............•..... ,. ...
Le Bordel • fermé ses voleta .•......•...........
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Vivent le. Etudiant.... .
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Perl.·Nantes .........................•... ,.......
L·Hôtel·Dleu ..•.....•................•.. ,........
Le Trou Normand .•............•.••..•...........
Frtre GuUleumette ........•....•....•....•.......
Lê-heut, eur la CoUIne... ................•.•....•..
Le Grenadier de. Aandres
Allona • lorient
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La p'me Huguetta
Meman, qu'ut-ce qu'un Pucelage? ....•..•........
O.na une Toor de Londres......
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SI J't'encule ....................•.......•........
Lea Polle du Cul ..................•....•........
En revenant de PIemont ..•••..........•..........
En deecendent de Montmartre ..................•.
La Ceinture . . . . . . . . . .. .. . . . . . . . .. . . . .. . •. . .. . . .• .
Lee Moine. de Salnt-Bemardln ......•.•... :.....
Le Curé de Pomponna ..................•.........
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Le Al, du Maire .......................•....•....
Lee 80 Ch"a~r8 .....................••....•....
Le Grand Metlnge du Métropolitain ...•.••.........
TABLE DES MAllERES
Pegee
Note de 1'6dlteur .......•........................•
lei Coulll••• mon Grand-Père. Marcha am6r1c.lne ..
le brabençonne d'une puttlln ...............•.......
lea Troie Orfèvres ...............................•
Cerollne 1. Putain ..........•........•............
Charlotte ••.•••••.....•....•••••.••••••••••.•..••
Ah 1 la Salope ...........•......••...•.... o· ••••••••
Jean Gill••..........................••........•.
Slancea • Sophie .....................•.....•....
Blcltr. . ..............................•..........
La Digue du cul ...........................•• , ....
En Revlnent du Camp d'ChIIons .......••.•.....
La Plololr de. DIeux .....................•••......
La Capota Anglal'. . .................••..•••.....
Elegie
Con .........................•........
L'ArtIllerie de Marine .......•.•.....•...•.•.•....
Le Pére Dupanloup ..........•.....•...•...•.....
Bal ...........•..................•••..• ·.,······
Le Duc de Bord.au)( ................•...•......•..
La Putain de Nancy ...............••...•.........
La Curé d. Saint-Sauveur .........•....•... " ....
Kyrie de. Moln.. . •....................•.........
Le. Blrovtee ...•........•.........•.........•....
En descendent le Ne d'Ailler
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Léon ot Volêrlo
Le Femme du Roulier ..................•...•.. ,..
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