No Goodbye at All
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No Goodbye at All
‘No Goodbye at All’ Lady Linn and her Magnificent Seven Sortie du nouvel album le 29 avril Lady Linn and her Magnificent Seven sont de retour et cette fois plus encore qu’auparavant, avec un album de pop ! Enfin, de la pop agrémentée de cuivres étincelants et de mélodies tourbillonnantes, et avec la voix la plus émouvante de notre plat pays pour couronner le tout. ‘No Goodbye at All’ est le deuxième album de la chanteuse soul belge et ses Magnificent Seven, un groupe d’hommes en costumes, sachant manier leur instrument: que ce soit saxophone, trombone, trompette, contrebasse, piano ou encore batterie. ‘No Goodbye at All’ a été enregistré à Paris avec Renaud Letang (Jane Birkin, Feist, Manu Chao, Mocky, Gonzales…), un nom que Lady Linn a aperçu régulièrement dans les crédits de ses albums contemporains préférés. Lady Linn:‘Les albums de Feist, Jamie Lidell et surtout Mocky, sont des albums que j’aime tant pour leur soul minimale. En fait, Ils avaient tous été produits par Renaud Letang! Il fallait qu’il produise mon album suivant” Il donne suite a ‘Here We Go Again’, certifié platine en 2008 , un album qui contenait le hit single ‘I Don’t Wanna Dance’ (reprise d’Eddy Grant) et qui s’est vendu à 30.000 exemplaires en Belgique et permit à Lady Linn de remporter le prix de Meilleure Chanteuse aux The Music Industry Awards en 2009 et en 2010. ‘No Goodbye at All’ est tout aussi réussi et impressionnant que son prédécesseur. Pourtant, cette fois, Lady Linn a mis un point d’honneur à jeter à la poubelle son livre de règles qui lui avait si bien servi. Lady Linn: ‘Sur mon premier album, j’ai chanté du swing jazz parce que c’est un style qui me plait, ce n’était pas à la mode, mais ça a touché les gens. Le succès de ‘Here We Go Again’ m’a donné la confiance de toujours suivre mes instincts. Et cette fois-ci, je voulais faire un album de pop!” Ne pensez pas à la pop du style ‘electro pop’ ni ‘synth pop’. La pop de Lady Linn’s va puiser ses influences dans la soul d’Irma Thomas et dans la grandeur pop du chanteur belge des 60s Louis Neefs, en passant par la musique ‘surf’ des Beach Boys ou encore la bossa nova brésilienne. Et il y a même un peu de country bluegrass qui se cache dans les recoins… ‘No Goodbye at All’ se détache du son vintage et swing jazz proposé sur le premier album de Lady Linn, il en reste une musique chaude qui parvient à sonner moderne et authentique. Enregistré au Studio Ferber à Paris, ‘No Goodbye at All’ contient douze nouvelles compositions qui explorent diverses humeurs et styles. Fingersnaps : une petite dose de doo wop avec des paroles remplies de joie de vivre, ‘Good Morning’ quant à lui est le titre le plus joyeux de l’album. Mais si Lady Linn fait facilement quelques pirouettes la journée, elle peut aussi se parer de grâce mélancolique pour interpréter de belles compositions joliment arrangées, telles qu’ ‘Over’ et ‘Little Bird’. Cette saveur old school de swing jazz présente sur ‘Here We Go Again’n’est pas complètement oubliée, on y trouve quelques échos sur ‘Always Shine’, une chanson écrite par Lady Linn lorsque feu son grand-père se battait contre le cancer qui l’a terrassé. Avec ‘Nina’ Lady Linn rend hommage à un autre de ses anges gardiens, son héroïne musicale Nina Simone, une femme forte, et constante source d’inspiration. Le côté plus théâtral, légèrement psychédélique du morceau dream pop ‘Love Song’ fut conçut après que Lady Linn ait découvert le catalogue de the Beach Boys. Et ce petit relent de country bluegrass? ‘Good Old Sunday Blues’ n’est pas exactement une chanson country – après tout, il s’agit de Lady Linn, et pas de Loretta Lynn – mais son rythme a été inspiré par la bande originale du film des frères Coen ‘O Brother, Where Art Thou?’. La plage titulaire ‘No Goodbye at All’ est une symphonie douce amère dans laquelle Lady Linn embrasse un amant qu’elle quitte. Lady Linn: ‘Renaud Letang trouvait que c’était les paroles les plus fortes qu’il ait entendu chanter. Il a dit que c’est typique pour les femmes de creuser si loin. C’est justement ce que j’aime dans la musique soul: c'est une musique qui n'a pas peur de s'émouvoir, et en même temps, c’est une musique exaltante. C’est par ailleurs ce qui m’attire dans la musique brésilienne pour le moment: ce magnifique mélange de mélancolie et d’espoir. Je pense de toute façon que les situations tristes ont toujours un côté romantique. Quand une porte se ferme, une autre s‘ouvre” Avec ‘No Goodbye at All’, Lady Linn and her Magnificent Seven ont définitivement ouvert une nouvelle porte. Les Magnificent Seven sont Yves Fernandez, Marc De Maeseneer, Frederik Heirman, Tom Callens, Christian Mendoza, Koen Kimpe en Matthias Standaert Tracklisting: 1. Cry Baby 2. Anything For You 3. Little Bird 4. Over 5. Good Morning 6. Good Old Sunday Blues 7. Love Song 8. Nina 9. Didn’t Know What To Say 10. Always Shine 11.First Snow 12. No Goodbye at All