Nouveau téléroman Québécois boudé par le public

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Nouveau téléroman Québécois boudé par le public
Nouveau téléroman Québécois
boudé par le public
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Soli
Syndicat canadien de la fonction publique, section locale 301, 8455, Avenue Papineau, Montréal, H2M 2G2
3
« Le faux-fuyant» de Montréal
Mot du président
4
Le combat de la base
vice-président
5
Le syndrome du messie
secrétaire trésorier
6
Gouvern... Qui
Secrétaire-archiviste
27
Fort et humain
Conseiller au président
8
Le temps est venu...
Attaché politique
10
Gagnant(e)s
du concours-photo
12
Votre réseau d’entraide est là pour vous
P.A.E.
13
Votre départ à la retraite
Régime de retraite
14-15 Gestion des matières résiduelles
Environnement
16
Le 6 mars 2004
Condition féminine
17
Pensionné(e)s
18-19 Calendrier 2004
Publié par
le comité d'éducation
et d'action politique
Regroupement des retraité(e)s
Christian Dufresne
Jean-Paul Lahaie
Daniel Young
Norman Weaner
20-21 Sortir du carcan par l’autogestion
La guerre à la diversité et à la rentabilité
CERVM
22-23
24
25
27
À TOUS ET À TOUTES, UN GROS MERCI!!!
En collaboration avec les
employées de bureau du SCFP,
section locale 301,
affiliées au SEPB-574.
Les petites annonces
Sports et loisirs
Tirage: 12000 copies
Participez aux «Mardis sombre»
2
Depuis la rupture à la table de
négociation, le 16 septembre dernier,
nous avons entrepris divers moyens de
sensibilisation auprès du maire Gérald
Tremblay et de son équipe de
conseillers, pour tenter de les amener
à conclure la convention collective.
Nous
avons
fait
plusieurs
manifestations, que ce soit à leur
résidence personnelle ou au conseil
d’arrondissement où ils siègent, afin de
les interpeller pour leur demander de
négocier de bonne foi. À chaque
occasion où nous avons interpellé un
membre du comité exécutif de la Ville,
que ce soit MM. Alan DeSousa à
l’arrondissement Saint-Laurent,
Cosmo Maciocia à l’arrondissement
Rivière-des-Prairies/Pointe-auxTrembles/Montréal-Est, Georges
Bossé à l’arrondissement Verdun, Ivon
Le Duc à l’arrondissement Mercier/
Hochelaga/Maisonneuve ou Mme
Louise O’Sullivan Boyne à
l’arrondissement Ville-Marie, ils nous
ont tous dit que c’était le directeur
général, M. Robert Abdallah, qui avait
ce dossier en main. Pourtant, le 6
novembre, quand nous l’avons rencontré
pour lui déposer une offre qui rencontrait
les critères établis par la Ville (11,7 %
sur 5 ans), il l’a refusée, prétextant que
le comité exécutif ne voulait que
l’arbitrage. Suite à ce refus, nous avons
fait une conférence de presse afin de
démontrer la mauvaise foi de la Ville et
alerter la population.
Dernièrement, nous sommes allés
questionner le maire Tremblay en plein
conseil municipal afin de savoir qui
disait vrai, soit le directeur général ou
les membres de l’exécutif. Sa réponse
fut des plus nébuleuses. Ce faux-fuyant
ne répond jamais clairement à nos
questions. Il prétend vouloir que l’on
dépose notre position au directeur
général de la Ville, M. Abdallah, mais
ce dernier n’est pas disponible. Depuis
le début des négociations, la Ville étire
le processus indûment pour ne pas en
3
arriver à un règlement, et ceci, afin que
l’arbitrage se termine par une décision
qui permettrait à la Ville de sous-traiter
nos travaux à moindre coût (cheap
labor) et de réduire nos conditions de
travail. S’il pense que nous allons nous
laisser faire ainsi, c’est bien mal nous
connaître.
Jamais nous ne laisserons ce fauxfuyant se défiler ainsi de ses
responsabilités et jamais nous ne
tolèrerons autant de mépris et de
discrimination envers les travailleurs et
travailleuses Cols bleus. Nous
exigerons l’équité envers les autres
employé(e)s de la Ville et rien de
moins, sinon, le faux-fuyant va en
payer le prix politique.
Ne lâchez pas, notre détermination
nous donnera raison!
Michel Parent
Président
Vice-président
P
remièrement, je tiens à remercier
l’ensemble des membres Cols bleus de
toutes nos accréditations confondues qui
sont venus manifester les 11 et 12 décembre
2003, au Port de Montréal, devant les portes
de la compagnie Cast, à l’angle de la rue
Notre-Dame et de l’autoroute 25.
Malgré le temps exécrable que l’on a connu,
la pluie diluvienne et le froid intense, ceci
a été une des expériences les plus
enrichissantes que j’ai connues depuis que
je milite au sein du 301. Cela m’a permis
de tisser des liens d’amitié avec certains
d’entres vous et avec des personnes
provenant de divers syndicats affiliés à la
FTQ. Je vous dis merci et à la prochaine...
On a tous entendu la déclaration du
président de la FTQ, Henri Massé, disant
que l’article 45 ainsi que l’ensemble des lois
rétrogrades sont maintenant adoptés par
l’Assemblée nationale et qu’il faut
maintenant passer à autre chose…
Effectivement, il a raison! Comme un bon
vieux dicton qui dit qu’on n’est jamais si
bien servi que par soi-même, il faudra se
mobiliser encore plus pour faire modifier
l’ensemble de ces lois anti-sociales. Il
faudra continuer et accentuer les moyens
d’action que nous avons entrepris, et ce,
malgré les discours syndicaux corporatistes
de certains de nos grands dirigeants.
Soyez assurés que votre exécutif syndical
fait tout en son pouvoir pour transmettre
l’ensemble de vos doléances à nos
dirigeants syndicaux. Ce n’est pas vrai que
nous allons laisser ce gouvernement antidémocrate nous mater et, par le fait même,
donner raison à nos détracteurs qui nous
traitent de gros gras de la société et qui
pensent seulement à leur nombril.
Malgré certains discours, nous, les
militants de la base, allons leur démontrer
que nous sommes les artisans de cette force
syndicale!
Je suis outré d’entendre une dirigeante d’une
autre centrale condamner la FTQ pour
quelques supposés bris de mobilier de bureau
lors de manifestations. Ce qui m’horripile le
plus, c’est que je n’entends pas cette dernière
dénoncer les drames humains qui se
produisent lorsque des travailleurs voient
leurs conditions de travail diminuer quand
une entreprise transfère ses responsabilités au
privé. Que vaut une vie humaine
comparativement à un bureau égratigné ou
un autocollant apposé pour contester
l’ensemble de ces lois qui nous font prendre
un recul de plus de cinquante années.
4
Messieurs, mesdames, grands dirigeants
de nos centrales syndicales, écoutez ce cri
du cœur de vos militants de la base qui
font la force de nos centrales!
Nous sommes à un tournant historique.
Rarement ai-je vu une telle motivation et
une telle détermination de nos troupes.
Servez-vous du momentum qui vous est
offert sur un plateau d’argent par le même
gouvernement qui veut écraser la classe
moyenne, afin de pouvoir le battre à son
propre jeu.
En terminant, je suis heureux de voir que
tout ce que le gouvernement a réussi à faire,
c’est de nous motiver et créer des alliances
syndicales à l’intérieur même du SCFP : on
a qu’à parler des affaires sociales, du
transport, de diverses municipalités,
d’Hydro-Québec, du secteur universitaire,
etc.
À bientôt, en espérant fraterniser avec vous
à l’une des nombreuses manifestations.
Merci monsieur Charest!
Serge Lapointe
Vice-président
Secrétaire trésorier
L’année des décisions
B
onne année 2004; année de défis, face
à l’administration du maire Tremblay
et guerre contre le gouvernement Charest,
guerre qui ne sera pas de tout repos pour
nous et pour le pour… à Charest.
Jean Charest est née le 24 juin 1958 (baptisé
John James), à Sherbrooke. Le 21 juin 1980,
en l’église Notre-Dame du Perpétuel
Secours à Sherbrooke, il prend pour épouse
Mme Michelle Dionne. Il poursuit des
études en droit à l’université de Sherbrooke.
En 1981, il travaille pour la firme
Beauchemin, Dussault, avocats. En 1984,
il se porte candidat conservateur aux
élections fédérales du 4 septembre,
formation dirigée par Brian Mulroney. Il
occupe plusieurs postes de ministre. Le 23
janvier 1990, il est obligé de démissionner
de son poste de ministre parce qu’il a tenté
de téléphoner à un juge quelques minutes
avant que celui-ci ne rende son jugement
(débat de la chambre des communes du 24
janvier 1990). En juin 1993, il se porte
candidat à la direction de son parti. Il
termine second, derrière Kim Campbell.
Élection du 25 octobre 1994, le Parti
conservateur est presque rayé de la carte au
Québec; seuls deux députés conservateurs
sont élus et Jean Charest devient chef du
Parti, à la suite de la démission de Mme
Campbell. En 1997, il est réélu à
Sherbrooke. Au cours des mois qui suivent,
le camp des fédéralistes étant inquiet de
la possibilité d’élection d’un gouvernement
souverainiste sous la direction de Lucien
Bouchard, des jeux de coulisses
s’exercèrent afin que Jean Charest quitte la
scène fédérale pour devenir le chef du Parti
libéral du Québec.
Un des ministres fédéraux, André Ouellet,
suggéra au PLQ de changer de chef et de
nommer Jean Charest. Plus tard, Daniel
Johnson fut effectivement convaincu de
démissionner. Pierre Paradis, un libéral de
souche (il a été soustrait des nominations
de ministres sous l’actuel gouvernement
Charest), et Liza Frulla (actuelle députée
libérale au fédéral) ont choisi de se retirer
de la course au leadership du PLQ.
Le syndrome du messie, 4 mars 1998 : Le
Devoir cite : «Ça y est, la chasse au messie
est repartie de plus belle au Québec. Depuis
la démission surprise de Daniel Johnson,
le PLQ se cherche un sauveur, un leader
charismatique pouvant rivaliser avec
Lucien Bouchard». Autres citations : «Le
chef actuel du Parti conservateur est par
nombre de fédéralistes comme le Moïse de
l’unité canadienne, celui qui saura libérer
les québécois de leurs chaînes séparatistes»,
«Le départ de Charest peut entraîner la
disparition des tories à Ottawa», opine The
times-transcript à Moncton, mais «s’il veut
être utile à son pays, il doit faire face à
Lucien Bouchard».
De plus, Charest a été élu chef du Parti, sans
siéger au parlement pendant 7 mois. Il était
aux frais du Parti libéral du Québec et de
leurs riches contributeurs, c’est-à-dire le
patronat et le reste du Canada anglais.
Donc, l’arrivée de Jean Charest parachève
le recentrage du PLQ sur la droite
économique et sur l’accommodement aux
positions constitutionnelles développées
par le Parti libéral du Canada. Sur le plan
de la philosophie économique, le PLQ est
passé d’une tendance sociale-démocrate
fort modérée, avec Robert Bourassa, à un
conservatisme encore marqué par la socialedémocratie, sous Daniel Johnson. Jean
Charest reflète davantage le conservatisme
traditionnel de la droite nord-américaine.
Lors de sa dernière campagne électorale
fédérale du 2 juin 1997, avant de devenir
chef du PLQ, il promettait de réduire de
10% les impôts des particuliers dès le
premier budget, ainsi que des compressions
massives dans les dépenses de l’État, s’il
était élu premier ministre du Canada. La
philosophie qui nourrit son discours depuis
son arrivée à la tête du PLQ en 1998 puise
aux mêmes sources. S’agissant des
arrangements constitutionnels, le nouveau
chef du PLQ est moins autonomiste que ne
l’était Daniel Johnson, qui lui-même l’était
moins que Robert Bourassa. De
«souveraineté culturelle» de Robert
Bourassa à la «société distincte» du tandem
Bourassa-Johnson, on passe, avec Jean
Charest, à l’intégration à la société
canadienne.
Richard Imbeault
Secrétaire trésorier
P.S. Au plaisir de vous rencontrer à la prochaine assemblée du 28 février 2004
5
Secrétaire-archiviste
Et voilà! Nous sommes
en plein dedans!
L
e gouvernement (conseil du patro
nat), s’est empressé de faire passer
ses lois avant Noël, avec l’aide du bâillon
et de Mario Dumont. Eh oui! Dumont a
voté «Pour» sur presque tous les projets
de lois, malgré qu’il fût bâillonné! Pauvre Mario! Il doit sûrement crier au vol
car le Parti libéral, qui n’en porte que le
nom (ultraconservateur), lui a volé la majeure partie de son programme électoral.
L’usurpateur libéral s’est approprié du
pouvoir pour mieux anéantir la classe
ouvrière. Des lois sont tombées comme
des bombes sont tombées sur l’Irak. Qui
a été touché? La majorité de la population en général. Une petite loi pour abolir les accréditations ( # 30 : Loi concernant les unités de négociation dans le
secteur des affaires sociales et modifiant
la Loi sur le régime de négociation des
conventions collectives dans les secteurs
public et parapublic), une autre pour augmenter la sous-traitance (# 31 : Loi modifiant le Code du travail, instituant la
Commission des relations du travail et
modifiant d’autres dispositions législatives) une petite vite (# 35 : Loi modifiant la Loi sur la justice administrative
et d’autres dispositions législatives) pour
abolir la Commission des lésions professionnelles (accidentés), une pour affaiblir
la loi 90 (formation), deux autres (# 7 et
8 sur la syndicalisation en hébergement
en milieu familial et modifiant la Loi sur
les services de santé et les services sociaux) pour empêcher la syndicalisation,
celle-ci : # 33 - Loi modifiant la Charte
de la Ville de Montréal, pour modifier la
façon de négocier à Montréal. En voulezvous d’autres lois? Une pour augmenter
les tarifs de 2 $ par jour dans les garderies
(environ 500 $ annuellement par enfant),
sans oublier les hausses de 3 % (impôt
déguisé) d’Hydro-Québec, tabac, etc.
Charest est prêt à tout pour démolir le
Québec. Il nous en veut pour lui avoir fait
rater son trip politique fédéraliste; faut se
rappeler qu’il avait été obligé de s’en venir sur la scène provinciale en tant que
sauveur du fédéralisme.
Durant ce temps, le conseil du patronat, le
vrai gouvernement du Québec, s’indigne
sur toutes les tribunes pour tenter de faire
avaler à la population que le gouvernement
n’est pas allé assez loin, que c’est juste un
minimum afin de rattraper le retard sur les
autres provinces. Wow! Rattraper quoi au
juste? Le massacre de Mike Harris en
Ontario, de Campbell en Colombie-Britannique ou de Ralf Klein au Manitoba? De
quoi au juste?
Ils nous disent vaguement que des emplois vont être créés grâce à la soustraitance. Merveilleux! Des compagnies américaines vont venir s’installer ici avec des emplois... ou plutôt,
c’est avec nos jobs déjà existantes
qu’on va créer les emplois afin que ces
mêmes multinationales, voraces et avides de gains, viennent s’établir ici. Des
compagnies spécialisées dans la soustraitance, telles que Compass (britannique), Sodexho (française) et Aramark
(américaine), qui gèrent près de
800 000 employés sur l’ensemble de la
planète, des dizaines de milliards en
chiffre d’affaire, mais des employés
écrasés, rémunérés avec un salaire
moyen entre 6 et 8 $ de l’heure, des
conditions misérables, de la pauvreté
garantie mur à mur.
Allons-nous les laisser faire? Allonsnous les laisser démolir ce que nos parents et grands-parents ont bâti depuis
des décennies, durement arraché à force
de travail et de volonté? Leur seul souhait était de laisser à leur descendance
de meilleures conditions de vie. Alors,
pourquoi aujourd’hui, et ce, au nom de
la mondialisation, des politiciens de
tout acabit viendraient mettre en péril
cet avenir... pourtant si fragile?
Daniel Gaucher
6
Secrétaire-archiviste
N
ous avons construit et développé
un syndicat qui reflète ces deux
qualités, parce que nous avons agi,
pensé et adopté notre Syndicat comme
étant notre deuxième famille ou une
extension de notre famille. Nous
l’avons fait naturellement, sans
complaisance ni prétention.
Nous avons maintes fois démontré
notre capacité d’entraide et de solidarité
qui ont depuis renforci notre lien de
confiance. Notre ténacité, notre
persévérance, notre ingéniosité, notre
créativité et notre sang froid sont une
réalité avec laquelle quiconque se frotte
à nous doit composer.
Nous savons tous, hommes ou
femmes, actifs ou retraités, qu’en tant
que membres de notre groupe et en
vertu de notre engagement d’honneur,
nous pourrons compter sur les autres
en cas de coup dur.
C’est pourquoi qui que ce soit tentera
de diviser, d’affaiblir ou de confronter
notre « famille », nos « leaders » ou l’un
de nos membres, doit s’attendre à une
riposte « sans merci ».
Nous ne tolérerons pas non plus, à nos
dépens, ni le mépris, ni l’inéquité. Et
face à ceux qui encore et encore nous
sous-estimeront, on se serrera les
coudes sous notre bouclier aussi
longtemps que nécessaire.
Tant qu’à moi, n’ayez crainte, je
continuerai fidèlement à « veiller au
grain ».
Syndicalement,
Jean Lapierre
Conseiller au président
7
Le temps est venu…
Mettons la
«Charest »
devant les bœufs
Qu’il est brave notre gentil premier
ministre, caché derrière ses bœufs,
dans son bureau de la colline
parlementaire, pendant que la
population démontre avec ferveur son
mécontentement, pendant que les
syndiqué(e)s brandissent haut et fort
leurs pancartes! Du jamais vu depuis
1972. Notre brave premier ministre
continue de prétendre qu’il a l’appui
de la population et qu’il agit avec un
mandat clair, qui lui a été donné lors
des dernières élections provinciales.
Qui vous a donné le mandat
d’augmenter les frais de garderie de
2 dollars par jour? Qui vous a donné
le mandat d’appuyer de façon
unilatérale la hausse des prix de
l’électricité? Ah! C’est vrai!
Comment justifier autrement
l’allégement fiscal « promis » lors des
dernières élections! C’est ça votre
façon de faire Monsieur le premier
ministre: diminuer les services
essentiels à une population qui en a
drôlement besoin et ainsi pouvoir
justifier la baisse d’impôts?
Mais dites-nous Monsieur le premier
ministre; à qui cela profite-t-il
vraiment? Lors des dernières
élections, vous parliez avec
compassion de la pauvreté.
Maintenant que la langue vous a
fourchu, est-ce avec le mot
compression que vous nous parlez de
pauvreté?
En 2004, on devrait mettre le
« Charest » devant les bœufs et non
derrière. Comme ça, vous pourrez
voir de vos propres yeux si vous avez
vraiment le mandat, lorsque vous
verrez la masse de travailleurs et de
travailleuses qui démontrent leur
mécontentement à un gouvernement
vendu à l’establishment et qui ne tient
aucunement compte du message de
l’ensemble des travailleurs et des
travailleuses des différents secteurs
du Québec.
André Lepage
Attaché politique
Ils s’étaient entendus, ils avaient réussi à
faire une grande ville de cette île. Ils se
sont parlés des vraies choses: de l’organisation du travail demandée depuis si
longtemps par les Cols bleus. Maintenant, on demande l’avis de celui ou celle
qui exécute le travail pour organiser efficacement, avoir un suivi et intervenir à
la bonne place, au bon moment. Le « je
m’en foutisme » n’est plus qu’un mauvais souvenir ayant fait place au dynamisme, à l’engagement réel et volontaire
de démontrer d’abord aux citoyen(ne)s
et à ceux qui observent des rives tout
autour, que oui, avec de la bonne volonté
et de la bonne foi, on peut arriver à faire
de cette « île-ville » le joyau qu’elle mérite d’être. Les femmes et les hommes qui
donnent les services auxquels les gens ont
droit le font avec enthousiasme, respect
et cela a créé un effet d’entraînement nécessaire au polissage d’un tel joyau.
Fini les conflits d’intérêts, les jeux de
coulisses, les fantasmes « privativismes », les dettes politiques et la grande
noirceur.
D’ailleurs, ils servent maintenant ensemble; les uns dans la rue, les parcs, les édifices et ateliers, les autres dans les bureaux et à l’hôtel de la grande ville, mais
toujours selon leurs compétences.
Fini le gérant d’un magasin de bonbons
qui « dirige » des éboueurs, des égoutiers
et des gens de toutes sortes de métiers
qu’il ignore. Bref, les gens ne sont plus
frappés du « principe de Peter »; ils sont
à leur place.
Ça travaille rondement et sûrement pas
avec l’ancienne formule du « n’importe
qui décide n’importe quoi, oups! on arrête tout, on recommence autre chose à
l’envers, on envoie dix personnes où ça
n’en prend que deux et deux où ça en
prend dix, ou encore, on change de maire et on rebrasse toute cette merde ».
8
NON! C’est en se donnant de l’expertise
et de la compétence des employé(e)s municipaux et avec une gestion claire que l’on
peut y arriver. Fini la camionnette louée à
1 800 $ par mois pour promener les fesses
du gérant du magasin de bonbons.
Bref, ce qu’ils ont accompli, ils l’ont fait
en s’assoyant face à face et de bonne foi,
dans le respect mutuel. Et l’effet a été que
maintenant, c’est un « plus » que d’habiter, travailler, visiter ou simplement entendre parler de cette « île-ville » qui avait
grandement besoin qu’on fasse ressurgir
la compétence, qu’on se serve et se dote
des outils adéquats. Nous, gestionnaires,
employé(e)s et élu(e)s, devions donner
l’exemple par devoir et volonté de
réussite.Dring….Dring…. 5 heures du
matin, je me réveille et prends une douche d’eau froide en voyant dans mon jour-
nal qu’on veut briser le joyau et en faire
des petits morceaux pour plaire aux « petits chefs » qui veulent leurs petits pouvoirs, appuyés par un premier ministre qui
lui, a promis non seulement le joyau, mais
le royaume au grand complet, au profit de
ceux à qui il doit beaucoup de faveurs, sans
penser qu’il veut démolir le plus rapidement possible ce que son peuple a bâti si
durement en cinquante ans. Mais ce peuple n’est pas dupe; il le voit bien ce petit
qui veut se coller sur les grands et sur les
puissants et tout leur donner. Ils veulent
nos emplois pour les donner à d’autres
pour moins cher, sans conditions, sans un
mot à dire; « travaille, ferme ta gueule pis
si t’es pas content, on va en mettre un autre
encore moins cher, moins équipé, pis on
va faire la piastre ». Un travailleur qui
gagne sa vie avec un salaire et des condi-
tions dignes, ça n’a pas de bon sens, mais
des gros cochons qui veulent tout posséder sans payer et t’écraser, c’est correct
ça?
6 h 30, j’arrive au travail : « qu’est-ce
qu’on fait aujourd’hui boss? » Je l’sais tu
moé? Ahhhh! Je dormais si bien!
Serge Bouchard
Col bleu du grand joyau en péril
p.s. : Je ne sais pas si un gros diamant vaut
plus que plusieurs petits. Il n’y a pas de
bijoutier dans nos rangs, mais plusieurs
voleurs de diamants avec le petit ministre. 24 juin : jamais je n’aurais pensé avoir
aussi honte d’être québécois un jour….
Bonne fête petit Jean, petit ministre.
COURS SANTÉ-SÉCURITÉ
TRAVAUX PUBLICS ET CONSTRUCTION (T.P.C.)
«COURS OBLIGATOIRE POUR TRAVAILLER À LA VILLE DE MONTRÉAL»
Si vous êtes intéressé, veuillez remplir le coupon-réponse ci-joint et le faire
parvenir à l’attention de Jean-Denis Potvin ou Guylaine St-Onge,
au bureau du Syndicat au 8455 papineau, Montréal, H2M 2G2 .
FORMULAIRE D’INSCRIPTION
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Êtes-vous disponible de :
ADRESSE :
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Êtes-vous sur les listes d’attente de la Ville ?
Fin de semaine
Oui
En tout temps
Non
9
VOICI
LES GA
GN
ANT(E)S
GAGN
GNANT
DU CONCOURS-PHO
TOS
PHOT
/
ÉDITION 2003
Le grand gagnant du
concours de l’année:
ALAIN TESSIER
E25577
prix $1500
Coté
Desalliers
Ouaniche
Boissy
Beausoleil
Hamelin
Shaughnessy
Cloutier
Longpré
Poirier
Clermont
Montfils
Turcotte
Dupont
Senécal
Brosseau
Gagnon
Millar
Légaré
Spino
Rodriguez
Normand
Céline
Pierre
Karim
Yves
Daniel
Conrad
Michael
Robert
Christiane
Marc
Julie
Diane
Russell
Pascale
Sylvie
Marc
Jacqueline
Gaston
Michel
Stéphane
Eddie
Michel
545947
557327
561038
485984
548426
275855
F150111
347987
554660
F150100
E21981
558371
573158
560760
558754
565154
560957
531516
566460
F121342
539543
561545
$500
$301
$100
$100
$100
$100
$100
$50
$50
$50
$50
$50
$25
$25
$25
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$25
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Merc i à
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s
e
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u
o
t
de votre
participation
Le concours 2004 est commencé
Participez en grand nombre !
10
Jusqu’au 24 septembre 2004
en prix à gagner!
Bonne chance à tous
et à toutes!
Le but du concours est d’enrayer les préjugés
véhiculés par les médias sur les cols bleus.Nous
voulons utiliser les photos pour faire notre
promotion. Photographiez-vous au travail! Faitesnous parvenir des scènes qui vous valorise et
montrez nous votre savoir-faire!
Prenez une photo et courez
la chance de gagner un
des nombreux prix !
-Pour être admissible au concours de photos toutes
les photographies produites à l’aide d’un appareil
numérique devront être imprimées sur du papier photo
pour imprimante.De plus, il serait grandement
apprécié que vous nous fournissiez vos fichiers
numériques sur disquette ou CD-Rom.
CONCOURS PHOTOS 2004
CONCOURS PHOTOS 2004
$3,301
-Tous les types d’appareils-photos sont acceptés.
-Les photos deviendront la propriété du 301.
-Le conseil syndical sera le grand jury de sélection.
Les Cols bleus sont nécessaires et surtout très doués
11
Bonjour,
Une autre année qui commence.
J’espère que vous avez fait le plein
d’énergie pendant la trêve du temps
des fêtes, que vous avez festoyé et
avez vu parents et amis que vous
n’avez pas toujours le temps de voir
dans le tourbillon de la vie
quotidienne. Il faut également prendre
le temps de faire le bilan de l’année
qui vient de se terminer et se donner
des objectifs, si minimes soient-ils,
afin d’améliorer notre vie (santé
physique, mentale, spirituelle et
matérielle). En tout cas, nous vous en
souhaitons une à la mesure de vos
attentes.
syndicat, soit Diane Tremblay, Lise
Lachapelle et moi-même, Jean-Luc
Pagé.
Notre mandat est de vous recevoir,
vous écouter et vous diriger vers des
ressources compétentes, triées sur le
volet, avec comme seul but de vous
faire cheminer. Dans la convention
collective depuis 1985, notre PAE a
aidé des milliers de personnes, autant
nos travailleurs et travailleuses Cols
bleus, que leur famille et amis. Afin de
faire le lien avec le PAE, nous avons
une équipe de plus de 100 délégués
sociaux et déléguées sociales, formés
eux aussi dans les différents milieux de
travail.
que par notre comité régional
Montréal métropolitain, afin qu’elles
soient les plus adéquates pour vous.
Peu importe la problématique, nous
pouvons vous aider :
Toxicomanie;
Santé physique et mentale;
Croissance personnelle;
Affectivité;
Jeu compulsif;
Problèmes familiaux (enfants,
séparation, deuil);
Problèmes au travail;
Problèmes financiers;
Problèmes juridiques;
Retraite;
Etc.
Je voudrais, en ce début d’année, vous
dire que vous avez tout un joyau au
syndicat qui pourrait, on ne sait
jamais, vous aider à continuer, à
grandir ou à vous donner les outils
pour vous sortir d’une situation
fâcheuse. Votre réseau d’entraide est
là pour vous. Que ce soit votre réseau
de délégué(e)s sociaux ou votre
programme d’aide aux employé(e)s,
nous avons l’expertise nécessaire pour
vous donner un bon coup de main.
Notre code d’éthique est basé sur :
N’hésitez pas à nous contacter par le
biais de votre délégué(e) social(e) ou
au PAE. Nous sommes là et fiers de
vous tendre la main. L’entraide
humaine est la base de la solidarité.
Et n’oubliez jamais qu’au-delà des
droits, il y a de l’aide !
Au PAE, nous sommes trois
délégué(e)s sociaux à temps plein au
La confidentialité;
L’aide d’égal à égal;
Le non jugement;
Libre et volontaire.
Nos ressources se situent à trois
niveaux, soit :
Public;
Communautaire;
Privé.
Nos ressources sont scrutées à la loupe,
autant par notre comité provincial FTQ,
12
A
vis important à tous ceux et celles
qui ont quitté pour la retraite
depuis le 1er janvier 2001
Lors de votre départ à la retraite, que
ce soit de la ville de Montréal ou de
toutes les anciennes municipalités
fusionnées, l’administrateur du régime
de retraite aurait dû vous proposer
deux options que la Loi sur les régimes
complémentaires de retraite vous
donne, soit :
1. L’option de nivellement de votre
rente de retraite (aucun coût pour
cette option);
2. L’option d’une garantie de rente
10 ans ou plus et réversible au
conjoint survivant (un coût en
fonction de votre situation
personnelle devra être assumé par
vous).
Si cela n’a pas été le cas, ou si vous
avez des questions, communiquez
avec le comité du régime de retraite
au (514) 384-7730.
DOSSIER CCQ (Commission de la
construction du Québec)
Plusieurs anciens travailleurs et
anciennes travailleuses de la CCQ,
détenant des droits dans le régime de
retraite de la CCQ, ont demandé à ce
que le comité du régime de retraite
initie une entente de transfert entre le
régime de retraite des employé(e)s
manuel(le)s de la ville de Montréal et
le comité de retraite de la CCQ, pour
permettre le transfert des sommes
accumulées.
Plusieurs demandes ont été acheminées
dans le passé à la CCQ et celle-ci a
toujours refusé. Par contre, il est
toujours possible pour ceux et celles
détenant des sommes dans le régime
de la CCQ de transférer leurs valeurs
dans un CRI (compte de retraite
immobilisé ou contrat de rente
admissible). Par la suite, il est possible
de racheter des périodes de service
passé à la ville de Montréal avec ces
sommes ainsi transférées. Mais ces
sommes ne peuvent servir à faire
créditer de la participation nouvelle au
régime de retraite de la ville de
Montréal. Seules des pressions auprès
de la CCQ de la part des travailleurs et
travailleuses pourront la faire changer
d’idée.
Employé(e)s de Pointe-aux-Trembles
Mauvaise nouvelle pour les exemployé(e)s de Pointe-aux-Trembles
concernant votre dossier. Après que la
13
Cour eu rejeté la requête avec dépens,
le 24 septembre 2001, le Syndicat
avait décidé d’aller en appel. La cause
entendue le 24 novembre 2003 a été
rejetée par la Cour d’appel, le 15
décembre 2003.
À la suite de l’annexion de la ville de
Pointe-aux-Trembles à la ville de
Montréal, en 1982, deux protocoles
d’entente intervenaient le 11 avril
1983, pour assurer l’intégration au
sein de la ville de Montréal, de deux
groupes d’employés manuels de la
ville de Pointe-aux-Trembles.
Nous considérons qu’en qualité de
participants actifs, les ex-employés de
Pointe-aux-Trembles auraient dû
avoir droit au rachat d’années pour
service passé, mais la ville refusait ce
droit à ce groupe d’employés.
Le Syndicat est allé en Cour
supérieure et celle-ci ne nous a pas
accordé raison. Nous sommes allés
en appel mais sans succès, puisque la
cause qui fut entendue le 24 novembre
2003 a été rejetée. La cause est donc
finale et sans appel.
I
l y a eu dernièrement des consultations
publiques sur un projet de plan de gestion
des matières résiduelles sur le territoire de
la Communauté métropolitaine de Montréal
(CMM).
Le but ultime de ces consultations est d’atteindre un taux de récupération de 60 %,
d’ici 2013. On compte aussi instaurer la
collecte « à 3 voies », c’est-à-dire la collecte
sélective, la collecte de déchets de table et
la collecte ultime (collecte traditionnelle
restante).
Plusieurs groupes ont exprimé leur point de
vue là-dessus.
Par le passé, le comité de l’environnement
a déjà démontré l’universalité de ses préoccupations en participant à toutes les commissions de l’environnement de l’hôtel de
Ville de Montréal, dans les années 90, ainsi
qu’à plusieurs audiences du BAPE, sans
compter d’innombrables forums, congrès ou
symposiums ayant l’environnement local,
national ou mondial comme thème, sans
oublier notre participation, en 1995, devant
la Commission sur l’avenir du Québec, au
débat public de la Commission sur l’énergie au Québec et, plus récemment, au Sommet de Montréal.
Voici un extrait du mémoire que l’on a déposé et défendu devant les commissaires de
la Communauté métropolitaine de Montréal
lors de ces audiences et la liste de nos recommandations :
«(…) Secteur public versus secteur privé.
Historiquement, depuis la fin du 19e et le
début du 20e siècle, ce qui était privé fut
municipalisé pour différentes raisons, malversations et autres. Lentement, petit à petit, le secteur privé est revenu gruger patiemment et inexorablement dans les acquis du
secteur public, particulièrement les années
récentes, dans le domaine des déchets et
ailleurs, on voit le secteur privé donner de
grands coups de boutoir à la faveur du vent
de privatisation, une mode devenue religion,
pour tenter de s’accaparer tout ce qui reste
du secteur public ».
l’intérêt public. Le Syndicat canadien de la
fonction publique (SCFP) a remporté à travers le Canada, à l’occasion, des succès considérables en matière de prévention de la
privatisation de ces services et établissements qui appartiennent actuellement au secteur public.
Nous aimerions citer ici l’historien PaulAndré Linteau. Dans son «Histoire de Montréal», au chapitre 10, intitulé: «La lutte pour
le contrôle de la ville et des services publics», M. Linteau termine ainsi: «(...) c’est
parce qu’ils sont devenus indispensables à
la vie urbaine que les services publics suscitent tant de controverse. Leur exploitation
par les entreprises privées sert bien les intérêts de grands financiers et de bon nombre de politiciens, dont l’alliance bloque
toute remise en question. Le contrôle de ces
services restera encore longtemps un enjeu
politique important à Montréal». Ce commentaire de M. Linteau s’appliquait pour
la période 1896-1914.
Nous croyons depuis toujours à l’imputabilité sociale; nous croyons au maintien et à
l’amélioration d’un savoir-faire typiquement
service public. Par exemple, dans le cas des
déchets, il nous faut conserver la capacité
d’effectuer un contrôle serré, même pour des
opérations relativement routinières comme
la collecte traditionnelle des déchets en bordure de rue. Le cas le plus patent est cité
dans une étude de l’INRS-urbanisation(*),
à l’effet que depuis qu’une municipalité de
la couronne nord de Montréal a décidé de
reprendre la collecte des ordures en régie
interne, les Cols bleus municipaux ramassent 30 % de moins que le tonnage qui
était facturé par le privé.
L’histoire est-elle en train de se réécrire?
Afin de bien protéger notre environnement
et afin de s’assurer une bonne gestion des
déchets, il est essentiel que le secteur public demeure propriétaire du système de
collecte (traditionnelle et sélective), éventuellement de centre de tri et de site d’enfouissement, le cas échéant. Ceci assurera
que l’intérêt financier des contribuables
municipaux sera protégé et que les collectivités locales auront leur mot à dire lors de
la prise de décisions qui les touchent. Cette
industrie du déchet est malheureusement,
en Amérique du Nord, monopolistique et
oligopolistique, car il s’agit bien d’un domaine des plus profitables. C’est une industrie ouverte aux abus et les gouvernements
ont dans le passé et ont souvent encore des
«difficultés» à réglementer afin de protéger
Toujours selon cette étude de J.-P. Hamel et
de N. Guénette de INRS- urbanisation portant sur les travaux publics de Hull, cette fois,
en répondant à des appels d’offres, les travaux publics ont réussi deux fois sur trois
à faire mieux et moins cher que leurs concurrents privés et ce, sur une période de
16 ans.
14
(*) source: Harold Crooks «Les géants des
déchets», édition Boréal.
(**) source: INRS-URBANISATION 1993.
Pour une collecte sélective en régie
interne.
L
e comité de l’environnement du local
301 estime que le temps est maintenant
venu pour les Cols bleus d’accéder à la
collecte sélective à Montréal.
En toute justice et en toute équité, nous
croyons que, compte tenu de tout ce que
nous venons de dire au chapitre de la gestion publique précédemment et compte tenu
que les objectifs de la CMM sont maintenant de détourner 60% des matières résiduelles de l’enfouissement vers la collecte sélective, il faut donc présumer que le tonnage de la collecte traditionnelle des déchets
domestiques sera diminué au profit de la
collecte sélective à plus grande échelle, ce
qui devrait impliquer une plus grande participation des employés de la Ville dans la
collecte sélective.
Suite à tout cela, nous croyons donc légitime de réclamer notre juste part de la collecte sélective qui nous a toujours échappé
totalement jusqu’ici. Un peu à la manière
des vases communicants, nous réclamons
que dorénavant, chaque fois qu’une collecte
en bordure de rue sera annulée au profit
d’une collecte sélective, que nous ayons
accès à cette collecte sélective.
Comme dans le cas de la collecte de déchets
par camions-tasseurs où nous partageons les
contrats avec le privé dans l’optique de
maintenir une concurrence, de conserver un
savoir-faire et de conserver un secteur-témoin, il faut qu’une partie de la collecte sélective se fasse en régie interne par les Cols
bleus de Montréal.
Un réseau de ressourceries
I
l s’agit d’une des idées les plus brillantes
des dernières années dans le merveilleux
monde du déchet. Un réseau de
ressourceries à la grandeur du Québec et sur
toute l’île de Montréal nous semble une alternative des plus prometteuses à l’enfouissement pêle-mêle et à l’incinération.
Par exemple, à Montréal, une ressourcerie
au coeur de chaque quartier transformerait
des déchets en ressources en intégrant à
l’échelle communautaire les 3-R. Imaginons
l’île de Montréal dotée de tout un réseau de
ressourceries communautaires: une convivialité nouvelle surgirait (les jardins communautaires nous donnent une petite idée
de ce que cela pourrait être).
De plus, le potentiel de création d’emplois
des ressourceries est plus élevé que la construction d’un méga-incinérateur ou d’un
méga-site d’enfouissement.
Selon Action Re-buts, sur la base de l’expérience de la 1ère ressourcerie à Montréal
(district Laurier), un réseau de ressourceries
rien qu’à Montréal créerait plus de 1 000
emplois sur une période de 3 ans.
Il existe des possibilités de partenariat entre
la Ville et ses employé(e)s et les
ressourceries. La gestion communautaire et
la gestion publique se complètent et s’harmonisent naturellement. Le comité de l’environnement rêve du jour où nos équipes de
ramassage des encombrants récupérables
prendront le chemin des ressourceries les
plus proches plutôt que les clos de voirie,
où le tout est détruit et compacté pour un
enterrement de classe dans les sites d’enfouissements environnants.
RECOMMANDATIONS :
1)
Nous recommandons l’adoption
par la CMM de ces quatre grands principes: hiérarchie des 3R, démocratisation de la gestion des déchets, la régionalisation, la responsabilisation des producteurs de déchets.
2)
Nous recommandons que tout ce
qui se fait déjà en régie interne dans les
villes du Québec et particulièrement à
Montréal, se poursuive dans le domaine
des déchets et s’étende éventuellement.
3)
Nous recommandons que les employés Cols bleus de Montréal aient accès à la collecte sélective dans une proportion pouvant aller jusqu’à 50/50 (réduction à la source, récupération, recyclage).
15
4)
Nous recommandons que le gouvernement mette en place des programmes de soutien afin de favoriser l’émergence d’un réseau de ressourceries en
milieu communautaire et que la CMM
oblige les municipalités à intégrer ces
ressourceries dans leur plan de gestion
des déchets.
5) Nous recommandons que le gouvernement exige que l’administration municipale mette sur pied dans chaque secteur le service de collecte à domicile des
RDD par taxi-toxique municipal et nous
recommandons que les services municipaux tels le SPIM et les travaux publics
et propreté soient harmonisés pour la
collecte des RDD lors des tournées de
prévention des incendies.
6) Nous recommandons que le gouvernement rappelle à l’administration municipale ses responsabilités dans le cadre du «Protocole de Montréal» de 1987
au chapitre des CFC et des halons. Nous
croyons qu’il serait important que la
CMM exige de l’administration municipale que celle-ci assure une formation
appropriée à tous les employés impliqués
de près ou de loin dans la manipulation
de réfrigérateurs et autres réfrigérants.
Comité de l’environnement
Ce document est réalisé par le comité de
l’environnement du SCFP, section locale
301.
p.s. : Collaboration spéciale: Jacques Cordeau, président-fondateur (retraité)
Consoeurs, Confrères,
Nous sommes à l’écoute et travaillons sur différents dossiers. Si vous
avez des idées ou des nouvelles, n’hésitez pas à nous contacter. Il nous
fera plaisir de prendre vos suggestions.
Le 6 mars 2004 à 19 h 30 au Cégep Ahuntsic au 9155, rue Saint-Hubert.
Le prix d’entrée est de 6 $ et nous ferons tirer de nombreux prix de
présence.
Boissons alcoolisées et non alcoolisées vendues sur place.
Arrivez tôt! Places non réservées!
Bienvenue à notre activité pour la Journée internationale des femmes.
Méga spectacle, musiciens en direct ainsi que plusieurs artistes Cols
bleus. Tous les profits seront versés à la Fondation Jacques-Forest.
Pour obtenir des billets, contactez
Madame Diane Tousselle.
Téléavertisseur : 859-7256
Comité de la condition féminine
VÉRIFIONS NOS CONNAISSANCES – QUIZ
1. En quelle année a été créé le comité de la conditio féminine
de la FTQ?
a) 1957
b) 1975
c) 1973
d) 1940
10. Actuellement, les employeurs au Québec ont tous réalisé
l’équité salariale dans leur entreprise selon les exigences de la
loi adoptée en 1996.
VRAI _______
FAUX _______
2. Combien y a-t-il de femmes dans le membership de laFTQ?
a) plus de 500 000
b) plus de 150 000
c) 100 000
d) 50 000
11. En moyenne, les travailleuses syndiquées gagnent combien
de plus que les travailleuses non syndiquées?
a) le 1/5
b) le 1/4
c) le 1/3
d) le 1/2
3. Quelle a été la première femme élue à la vice-présidence de la
FTQ?
a) Lise Payette
b) Marie Pinsonneault
c) Huguette Plamondon
d) Léa Roback
12. Selon les données colligées par le Conseil du statut de la
femme, en 1997, quel pourcentage de femmes seules de 65 ans +
sont pauvres?
a) 40 %
b) 50 %
c) 60 %
d) 70 %
4. Pour bien fonctionner, un comité de la condition féminine
doit compter combien de membres?
a) 20 membres
b) 1 membre
c) 12 membres
d) 4 membres
13. En 1999 au Canada, les femmes se sont absentées du travail
en moyenne 4 jours à cause de leurs responsabilités
personnelles ou familiales.
VRAI _______
FAUX _______
5. Quelle date célèbre-t-on la Journée internationale des
femmes?
a) 6 décembre
b) 24 juin
c) 8 mars
d) 21 novembre
6. Au Canada, les immigrantes, même celles qui ont un diplôme,
gagnent moins que les autres travailleuses.
VRAI _______
FAUX _______
7. Les femmes occupent près de deux tiers de tous les emplois à
temps partiel.
VRAI _______
FAUX _______
8. Deux tiers des jeunes de 15 à 24 ans occupent un emploi
rémunéré tout en étudiant.
VRAI _______
FAUX _______
9. En 2000, y a-t-il encore un écart salarial entre les femmes et
les hommes?
OUI _______
NON _______
14. Pourquoi, comme femmes et travailleuses, devons-nous nous
préoccuper de mondialisation? Parce qu’à certains égards,
elle…
a) fragilise trop souvent nos emplois, nos conditions de travail,
notre santé et nos rapports humains?
b) met en péril nos droits, notamment le droit à l’égalité?
c) remet en question tant les politiques et services publics que les
emplois dans ces services?
d) augmente la pauvreté et le chômage?
15. Chez vous, à quel niveau des priorités syndicales se situe le
dossier de la condition féminine?
a) en tête de liste
b) à la fin de la liste
c) on continue de le chercher d) on s’en occupe!
réponses page 24
16
NOUVELLEMENT
PENSIONNÉ(E)S
UNE ERREUR S’EST GLISSÉE POUR LE JOURNAL DE DÉCEMBRE 2003
LAPIERRE, Jean
377192
27.09.2003
BERTHIAUME, Lucille
542317
28.06.2003
MEMBRES PENSIONNÉ(E)S
POUR LE MOIS DE NOVEMBRE 2003
MEMBRES PENSIONNÉ(E)S
POUR LE MOIS DE JUILLET 2003
MEMBRES PENSIONNÉ(E)S
POUR LE MOIS D’AOÛT 2003
NOM
MAT.
PENSION
NOM
MAT.
PENSION
NOM
MAT.
PENSION
BOLDUC, Claude
480072
19.07.2003
ASSELIN, Aurèle
541914
23.08.2003
ALLARD, Thérèse
555303
01.11.2003
BOUTHILLIER, Daniel 465213
26.07.2003
BEAULIEU, Jean-Louis 482043
23.08.2003
BERNIER, Claude
533834
29.11.2003
DAIGNEAULT, Pierre
477271
18.07.2003
BELAND, Fernand
532489
02.08.2003
FAUCHER, Denis
534352
08.11.2003
DEMERS, Robert
531123
26.07.2003
BELISLE, Réjean
479830
09.08.2003
LEDUC, Wilfrid
531034
01.11.2003
DUCAS, Patrice
390373
02.07.2003
BONNEVILLE, Edward 530918
09.08.2003
MIGNACA, Benedetto
534815
01.11.2003
ESCOBAR, Fernando
477468
25.07.2003
BROEKAERT, Maurice 533754
02.08.2003
PETROFF, Pierre
534888
29.11.2003
FISET, Pierre
534157
26.07.2003
CABANA, Michel
533932
02.08.2003
ROBIDAS, Andrée
477351
15.11.2003
FRAPPIER, Richard
485217
05.07.2003
CLERMONT, Raymond 480419
30.08.2003
LEVEQUE, Réjeanne
484754
26.07.2003
COMEAU, André
544020
09.08.2003
DAIGNEAULT,
Jean-Claude
(Montréal-Nord)
F120880 30.11.2003
MOORE, Allen-Clifford 541852
19.07.2003
DE FREITAS, Alcino
530999
09.08.2003
MURRAY, Robert
469628
12.07.2003
DESJARDINS, Marcel
543245
30.08.2003
NADEAU, André
486467
01.07.2003
DESPAROIS, Claude
534441
02.08.2003
PAPINEAU, Serge
534913
06.07.2003
GAGNE, Jean-Paul
531676
09.08.2003
PELLETIER, Guy
531471
26.07.2003
GAGNON, Gaétan
481926
30.08.2003
ST-AUBIN, Yves
471223
12.07.2003
GUILLEMETTE, André 532159
09.08.2003
SACCHETTI, Luigi
480063
05.07.2003
LAMORTE, Pasquale
532684
02.08.2003
VEILLETTE, Jacques
533843
26.07.2003
MINOT, Didier
532140
23.08.2003
TREMBLAY, Lucien
348108
30.08.2003
VEZEAU, Denis
533781
02.08.2003
17
MEMBRES PENSIONNÉ(E)S
POUR LE MOIS DE DÉCEMBRE 2003
NOM
MAT.
PENSION
LAPOINTE, Noëllin
(St-Léonard)
F233119 31.12.2003
HONDRAS, Daniel
532648
27.12.2003
LEHOUX, Michel
387378
13.12.2003
Carnaval de Québec
Cabane à sucre
Jeudi le 12 février, sortie d’un jour au
Carnaval de Québec (il fête ses 50 ans!).
Programme de la journée : départ du 9650
Papineau en autocar de luxe en direction
de Québec. Pause-café libre en route.
Arrivée dans la vieille capitale. Dîner au
restaurant Loews Le Concorde. En aprèsmidi, nous profitons des différentes activités
et installations de cet événement haut en
couleurs. Souper dans un bon restaurant de
la ville. Retour à la maison en fin de soirée.
Prix : 79 $ par personne. Ce prix comprend
le transport en autocar de luxe, les 2 repas,
le guide-accompagnateur, les activités
inscrites au programme, les taxes et frais
de service, les pourboires au guide et au
chauffeur.
Venez manger et danser avec nous le 15 avril
prochain! Départ en autobus à 15 h 30.
Retour en soirée à 22 h 30.
12 $ par personne retraitée membre qui
voyage en autobus ou par ses propres
moyens.
12 $ par personne retraitée non membre qui
voyage par ses propres moyens.
26 $ par personne retraitée non membre qui
voyage en autobus.
Capitole de Québec – Sous les ponts de
Paris
Banquet de fin d’année
Il aura lieu le 29 mai au Buffet Durante
(9899, boul. Saint-Michel). Souper et danse.
Plusieurs prix de présence durant la soirée.
Prix : 7,50 $ par personne retraitée membre
et 36 $ par personne non membre.
Tournoi de golf
Le clair de lune aura lieu le 14 février, de
18 h 30 à 22 h 15, au Salon de Quilles
Moderne (3115, boul. de L’Assomption, à
Montréal). Plusieurs prix de présence. La
couleur de l’événement est rouge.
Prix : 10 $ par personne.
Ce spectacle réunit sur une même scène 7
chanteurs et 5 musiciens qui interprèteront
une cinquantaine des plus grandes chansons
qui ont marqué l’histoire de la musique et
de la chanson françaises. De plus, visite du
Musée de la civilisation et 2 repas à Québec.
Retour à la maison en fin de soirée. Prix :
129 $ par personne. Ce prix comprend le
transport en autocar de luxe, les 2 repas, le
guide-accompagnateur, le spectacle, le
pourboire au chauffeur, les taxes et frais de
service.
Clair de lune – Pâques
Pièce de théâtre
Le clair de lune aura lieu le 3 avril, de 18 h
30 à 22 h 15, au Salon de Quilles Moderne
(3115, boul. de L’Assomption, à Montréal).
Plusieurs prix de présence. Les couleurs de
l’événement sont jaune et rose.
Prix : 10 $ par personne.
Du 13 au 22 mai, le Théâtre lyrique de la
Montérégie présente la Grande duchesse de
Gérolstein, de J. Offenbach. Quelque 50
chanteurs-comédiens-danseurs, dirigés par
des professionnels de l’art lyrique, seront de
Clair de lune – Saint-Valentin
la partie. Les représentations auront lieu au
Cégep Édouard-Montpetit à Longueuil
(salle Jean-Louis Millette). Les personnes
intéressées doivent communiquer avec
Michel Allard au (514) 389-0749 avant la
fin février. Prix : 24 $ par personne.
18
Le tournoi de golf a lieu le 8 juin au terrain
Golf Acton-Vale. Souper et plusieurs prix
de présence. Les prix sont :
60 $ par personne membre (golf et souper)
70 $ par personne non membre (golf et
souper)
36 $ par personne membre (golf seulement)
40 $ par personne non membre (golf
seulement)
26 $ par personne membre (souper
seulement)
30 $ par personne non membre (souper
seulement)
Croisière aux feux d’artifice de Montréal
Le 10 juillet, départ de Montréal en autocar
de luxe en direction de Trois-Rivières.
Arrivée au quai et embarquement à bord du
M/S Jacques-Cartier. Croissants et café
servis à bord. Une panoplie de
divertissements est prévue lors de cette
croisière : danse, chants et découverte de
notre majestueux Saint-Laurent. Dîner et
souper servis à bord. Arrivée à Montréal et
positionnement devant La Ronde pour
assister aux feux d’artifice du Montréal
SAQ. Débarquement et retour. Prix : 159 $
par personne. Ce prix comprend le transport
en autocar de luxe, la croisière animée, les
2 repas et les pourboires au guide et au
chauffeur.
Souper-théâtre
Le 15 juillet, au théâtre Hector-Charland,
sera présentée la pièce «Langue de vipère»,
comédie de Pierre-Yves Lemieux et mise en
scène par Reynald Robinson, avec Pierrette
Robitaille, Michèle Deslauriers, Jacques
Girard et Caroline Dardenne. Assistez en
direct au procès de la pire commère jamais
vue : médisance, diffamation, atteinte à la
réputation...plaidera-t-elle coupable ou non
coupable?
Prix : 41 $ par personne membre (avec
autocar)
56 $ par personne non membre (avec
autocar)
20 $ par personne pour la pièce de théâtre
Voyage – Auberge Le Cabanon (4 jours)
Ce voyage aura lieu du 6 au 9 août. Activités
intérieures (cartes, jeux de groupe, etc.) et
extérieures (pétanque, galet américain,
piscine, etc.). Prix : 225 $ par personne en
occupation double. Ce prix comprend
l’hébergement, les 12 repas et les taxes.
Voyage dans la région de Québec (2 jours)
Jour 1 : Départ en autocar de luxe pour
Chicoutimi, pause-café en route. Dîner dans
un excellent restaurant de la région. En
après-midi, visite guidée de Chicoutimi, de
La Baie et de Jonquière. Visite au Musée et
pulperie, à la Maison Arthur-Villeneuve.
Installation à notre hôtel en fin d’après-midi.
Souper dans un excellent restaurant. En
soirée, spectacle de deux heures de Ecce
Mundo (danse, chants, gymnastique, cirque,
etc.). Retour à l’hôtel après le spectacle.
Jour 2 : Déjeuner à la salle à manger de
l’hôtel. Départ en direction de l’Île
d’Orléans. Pause-café en route. Arrivée à
Saint-François. Visite du nouveau parc de
bisons. Plus de 400 bisons sont en liberté
sur plus de 120 acres de terrain. Centre
d’interprétation sur le site. Par ailleurs, dans
le cadre de Fêtes champêtres de Québec,
méchoui sur le site, suivi de jeux extérieurs
en groupe. À 16 h 00, départ pour la ville
de Québec pour un souper dans un excellent
restaurant. Retour à Montréal en soirée.
Prix : 279 $ par personne en occupation
double. Ce prix comprend le transport en
autocar de luxe, les 5 repas, les visites et
activités au programme, le guideaccompagnateur, les taxes et pourboires au
guide et au chauffeur.
Épluchette de blé d’Inde
Cette belle journée de plein air aura lieu le
19 août, au Camping La Liberté. Il y aura
durant la journée des activités comme la
pétanque, le chealeborde et autres jeux.
Souper de hot dogs et blé d’Inde. Se
terminera vers 22 h 00. Prix : 5 $ par
personne membre et 8 $ par personne non
membre.
Saison de quilles – début le lundi 13
septembre. Ceux et celles qui désirent jouer
doivent s’inscrire avant le 5 août.
Comité amitié – début le mercredi 15
septembre de 13 h à 16 h 30. Danse, cartes,
dames et autres jeux. 9650, Papineau (ancien
bureau du Syndicat).
Assemblée annuelle le jeudi 16 septembre.
Endroit à être déterminé (voir prochain
journal).
19
Voyage en Estrie - L’automne et ses
couleurs
Jeudi le 7 octobre. Départ vers 8 h en
direction des Cantons-de-l’Est. Arrivée à
Georgesville et visite du magasin général
d’autrefois. Autres lieux et maisons à visiter.
Villes de Beebee Plain et Stanstead à visiter.
Dîner dans une auberge à Ste-Catherine-deHatley, petit coin de la Nouvelle-France,
visite du musée Beaulne de Coaticook, situé
dans le superbe château Norton. Souper dans
la région et retour à Montréal en soirée.
Prix : 89 $ par personne. Ce prix comprend
le transport en autocar de luxe, les 2 repas,
les visites inscrites au programme, le guideaccompagnateur, taxes et frais de service et
pourboires au guide et au chauffeur.
Clair de lune – Halloween
Le clair de lune aura lieu le 30 octobre, de
18 h 30 à 22 h 15, au Salon de Quilles
Moderne (3115, boul. de L’Assomption, à
Montréal). Prix de costumes pour les
femmes et pour les hommes. Plusieurs prix
de présence et de couleur. La couleur de
l’événement est orange. Prix : 10 $ par
personne.
Banquet de Noël
Le banquet aura lieu le 18 décembre au
Buffet Durante (9899, boul. Saint-Michel à
Montréal). Souper, danse et plusieurs prix
de présence. Prix : 7,50 $ par personne
retraitée membre et 36 $ par personne non
membre.
Pour vous inscrire aux activités,
communiquez avec :
Michel Allard (514) 389-0749
Noël Hamel (514) 722-9524
Jean-Pierre Richelieu (514) 328-9343
J
’écris ceci dans l’intention de provoquer
un débat : voilà la seule façon de faire
bouger les choses. J’ai l’impression, en observant autour de moi, que notre société
dégénère et s’enlise dans un trou sans fond,
duquel nous ne pourrons bientôt plus ressortir.
Il faut d’abord reconnaître que celle-ci est
gravement malade; il suffit d’observer les
gens qui la constituent pour le comprendre, à commencer par soi-même. Il est évidemment facile de rejeter la faute sur la
mauvaise gestion du gouvernement,
interchangeant le Parti québécois et le Parti
libéral, en espérant une amélioration qui
ne vient, pour ainsi dire, jamais. Cette façon de faire témoigne de notre somnolence.
En effet, nous avons oublié que ce ne sont
ni les industries, ni les banques qui constituent la société, mais plutôt les humains.
En ce sens, je crois qu’un changement
majeur concernant notre conception du travail réside dans le chèque qui vient à la fin
de la semaine. Voilà une affreuse déformation qui nuit énormément à la société, puisqu’elle offre une motivation purement individualiste alors que celle-ci devrait être
collective. Comprenons bien une chose;
nous travaillons pour faire fonctionner la
société et non pour faire rouler l’économie. Le travail ne devrait donc pas être une
corvée dont nous nous rendons esclave,
mais plutôt une contribution physique et
mentale au monde que nous constituons.
En ce sens, nous devrions être fiers d’exercer notre métier et lui porter la plus grande
attention. De plus, il faut se questionner à
chaque instant sur ce que nous faisons, évaluant ainsi les répercussions et les éventuels changements à apporter. De cette façon, notre emploi prend un sens beaucoup
plus large que la simple assurance de no-
tre subsistance, il constitue une augmentation constante de notre conscience humaine
et donc, une amélioration de notre société.
Toutefois, il faut reconnaître que le présent
système nous limite dans notre devoir d’être
humain. L’administration de notre employeur
n’est qu’un exemple aberrant de cette situation qui gruge notre société. En effet, nous
avons fait collectivement évoluer le travail
de façon à ce que le travail physique soit séparé du travail intellectuel. Cette erreur monumentale est en fait la cause de notre lacune première, soit notre manque de motivation général et notre désintéressement total aux problèmes humains. En effet, après
avoir observé ma propre situation et celle de
plusieurs de mes consoeurs et confrères, je
crois que la présence de supérieurs nous limite grandement dans l’exercice de nos fonctions. Je considère que nous sommes des êtres
humains à part entière, peu importe notre
emploi et que nous avons instinctivement la
nécessité de penser. Pourtant, ce que j’affirme
vient en contradiction avec la façon dont mes
supérieurs m’ont appris à agir, soit le fait que
je ne suis pas payée pour penser. Ainsi, puisque les besoins de mon intellect sont bafoués
par mon statut d’ouvrière, deux choix s’offrent à moi : je peux d’abord combler cette
lacune monumentale par mon implication
syndicale, qui me permet de rester alerte aux
événements qui surviennent sur les lieux de
travail et de réfléchir à chaque situation douteuse. Je peux également oublier mon sens
de l’initiative et obéir de façon mécanique à
ce qu’on me dit. Dans les deux cas, je suis
condamnée à être malheureuse dans mon
emploi car la première option oblige une
implication en dehors des heures de travail,
ce qui, ajouté aux autres obligations de la vie,
peut engendrer une surcharge de travail et
20
possiblement un épuisement professionnel
(burn-out). Également, si j’adopte la
deuxième option, je perds une partie de mon
intégrité humaine en enfouissant l’instinct
qui nous différencie des animaux, soit notre esprit critique et notre besoin de réfléchir. De plus, en ne faisant que le strict
minimum, on finit par offrir une moins
bonne contribution collective et toute la
société s’en trouve pénalisée, moi y compris. C’est ainsi que pour bâtir une société
moins individualiste, plus vivable et surtout en santé, la seule solution possible et
efficace à long terme semble le jumelage
du travail physique et mental.
J’entends d’ici vos objections et vos commentaires. Je sais ce que vous pensez parce
que j’ai déjà eu cette même réaction. On
me dit que ça ne peut fonctionner car chacun a son opinion sur la gestion de la ville.
À grande échelle peut-être, mais en décentralisant la gestion afin que chaque « clos »
puisse prendre ses propres décisions, il est
possible d’arriver à un consensus respectant les travailleurs(euses) et les
citoyen(ne)s. On me dit également que les
humains sont de nature paresseuse et bornée et qu’il est, par conséquent, impossible de s’entendre. Voilà une conception plutôt insultante causée par des observations
basées sur le monde présent, dominée par
un système qui encourage la somnolence
intellectuelle. Je vous propose de voir plus
loin, plus en profondeur. Je vous propose
de nous réveiller et de reprendre notre dignité d’être humain. Si notre société est
malade, il n’en tient qu’à nous de réfléchir
au remède arrêtant la contagion
intergénérationnelle qui causera notre perte.
Catherine Labrie
Membre du CERVM
S
i vous êtes l’heureux parent d’un enfant qui joue au hockey à
Montréal, vous êtes probablement déjà au fait du sujet de cet
article.
Vous avez sûrement eu la désagréable surprise de constater que,
dans les restaurants d’arénas gérés par la Ville de Montréal, les
citoyen(ne)s doivent se contenter du minimum : un seul format
de café, seulement cinq ou six sortes de chocolat, peu de choix
dans nos variétés de boissons, etc. Vous vous rendez aussi sûrement
compte que les prix ont subtilement augmenté et que cette
augmentation, la ville a maladroitement tenté de la cacher en
soustrayant la taxe des prix. Maintenant, à chaque fois qu’un
membre vous remet votre monnaie, vous sacrez car il ne vous
revient qu’une poignée de change, dû au fait que les prix gonflés
n’arrivent jamais à des montants ronds.
Voici en quelques mots la nouvelle philosophie de gestion qui
semble animer le patronat des restaurants de la Ville de Montréal :
Il y a quelques mois, nous avions vu d’un bon œil le fait que la
Ville ait décidé d’engager deux nouvelles contremaîtresses qui
gagnent dix fois le salaire moyen d’un étudiant de restaurant
(918A). Mais, après une saison, nous sommes amèrement déçus.
Le service offert aux citoyens sombre dans le « misérabilisme »
et la Ville fait tout pour couper le moindre dollar aux membres
qui travaillent dans ses restaurants. Il semble donc que notre
employeur ait déclaré la guerre à la diversité, à la rentabilité et au
service à la clientèle.
C’est à n’y rien comprendre car c’est immanquable, à chaque
pré-étape de grief, à chaque rencontre avec n’importe lequel des
gestionnaires, on se fait supplier d’être raisonnables et on se fait
brailler dans les oreilles que nous devons faire des sacrifices et
mettre la main à la pâte pour aider la Ville à tout faire pour rendre
les restaurants municipaux rentables. On pousse même l’audace
jusqu’à nous affirmer qu’il faut tolérer la sous-traitance car il s’agit
de partenaires essentiels à la survie de la division et de nos emplois.
Où l’insulte et l’illogisme s’arrêteront-ils?
Consoeurs, confrères, nous sollicitons donc votre appui. À chaque
fois que vous trouverez que le choix de denrées offertes dans un
restaurant municipal est trop pauvre à votre goût, à chaque fois
que vous trouverez que votre restaurant ouvre trop tôt ou à chaque
fois que vous constaterez que la consoeur ou le confrère au
comptoir est débordé(e) de clients et qu’il ou elle aurait besoin
d’aide, appelez au (514) 872-3434 et plaignez-vous de la situation
en tant que citoyen(ne)-client(e) brimé(e) dans ses droits de
recevoir un service convenable. Ainsi vous nous aiderez à mettre
de la pression sur la Ville, afin d’améliorer le service.
Benoît Demuy
Membre du CERVM
Ensemble, nous vaincrons! Merci de votre appui
solidaire!
21
P.S. : nous avons reçu des cartes et de très beaux messages suite aux donations
Sensibles à la cause humaine et parlant avec
le cœur, les Cols bleus sont solidaires
jusqu’au fond de leur âme. En voici un
exemple typique.
Merci de tout cœur!
Félicitations! Réussite totale!
Grâce aux tirelires et aux denrées amassées
par les délégué(e)s, nous avons distribué
près de 200 paniers de Noël et nous avons
également donné à des organismes qui
avaient besoin des surplus que nous avions.
Aux confrères, consoeurs et à tous les autres
qui ont contribué au grand travail acharné,
ardu et sans relâche pour la cueillette des
paniers de Noël, le remplissage des paniers,
l’emballage et la distribution dans quelque
185 familles qui, encore une fois cette année,
ont eu le cœur heureux et rempli d’amour et
ce, grâce à la générosité de tous et chacun.
Bravo à tous les bénévoles qui, pendant un
mois, se sont acharnés à cette activité, en
plus de leur travail quotidien, à donner du
fond du cœur du temps gratuit. Ce geste vaut
la peine d’être véritablement reconnu et
mentionné.
Encore une fois merci!!!!!
La générosité n’a pas de prix, elle prend la
première place et gagne une valeur
inestimable pour nous, la grande équipe,
dans notre intérieur. Un jour, un petit prince
a dit : « On ne voit bien qu’avec le cœur,
l’essentiel est invisible pour les yeux ».
Bravo mille fois! Je vous aime! xxxx
Gi (Col bleu)
Jean-Denis Séguin
Alain Desrosiers
Jessica Andrews
Hubert Fortin
P.S. : Merci Jessica, Alain et Danielle son
épouse, Jean-Denis, Alain Hébert, Clarence
Miner, Yves, Diane Tremblay, Jean Olivier
et les autres qui ont travaillé dans l’ombre
sans arrêt afin que tout le monde soit heureux
en cette période de l’année.
22
Bonjour,
Je tiens à remercier la Fondation JacquesForest pour le panier de Noël que j’ai
reçu, grâce à une personne qui a donné
mon nom.
Je suis sûr que cette personne se
reconnaîtra car elle a collaboré à cette
belle générosité et cette belle preuve de
solidarité de l’équipe des Cols bleus de
Montréal à répondre aux besoins des
gens.
À mon tour maintenant de prendre le
temps de vous dire merci du fond du cœur
car j’aurai le plaisir de partager un bon
repas avec ma famille.
Merci également à tous ceux qui se sont
impliqués à donner du temps pour rendre
les gens heureux et que l’an 2004 amène
une société d’amour, de paix et de
sérénité.
Incognito
N.B. : Joyeuses fêtes à toute l’équipe
sensationnelle du syndicat « 301 ».
Lâchez pas, on vous aime! xxxxxxxx
Grâce à vos dons et à votre générosité, nous avons remis près de 200
paniers de Noël. Un merci tout particulier aux commanditaires et
bénévoles
CHORALE FAMILIALE
À l’an prochain pour un nouveau défi!
Éric Bédard, Germain Bédard
AGROPUR
Pietro Di Pilato
UNILIVER BEST FOOD
André Guindon
VERGER ANDRÉ GUINDON
Sophie Guindon
PROCTER & GAMBLE
François Bergeron, Rick Lawend, Caroline Lawend
CARAVANE CONCESSION INC.
Michel Houle, Claude Valade
SAPUTO BOULANGERIE
Guylaine Gaudet
SIFTO CANADA
Denis Lavoie
BOÎTES CARTON KRUGER
Suzanne DesCent
KRAFT CANADA
Suzanne DesCent
BOULANGERIE PAIN WESTON
Martin Provost
BOULANGERIE PAIN GADOUA
Denis Carl
SUCRE LANTIC
Éric Barré
ORANGE MAISON
Fadi Bassé
NOIX VARIÉES BASSÉ
Rolland Lachance
MÉTRO LACHANCE INC.
Jean-François Chenail
CHENAIL FRUITS ET LÉGUMES
Nathalie Émard
CAISSE D’ÉCONOMIE DES EMPLOYÉS MUNICIPAUX
André Guité, Éola Pinna, Daniel Dufour
VILLE DE MONTRÉAL
tous les membres
actifs(ves),
retraité(e)s et leur famille.
Venez nous rencontrer pour
vous inscrire avec vos proches,
ami(e)s
et enfants de 16 ans et plus.
À
Pour informations, contactez
le responsable de cette
chorale,
Raymond Murray :
(514) 205-8230 ou (514) 3847730.
MERCI AUX BÉNÉVOLES!!!
Danielle Séguin
Marie-Claude Gagnon-Maynard
Jean-Sébastien Andrews
Sophie Guindon
Daniel Rochon
Michel Breton
Marcel Lévesque
Jean-Denis Potvin
Alain Bédard
Paul Guertin
Jean Delisle
Manon Ouellette
Jacques Leduc
Yves Doutre
Lynn St-Onge
Serge Lapointe
Jessica Andrews
Sylvain Papineau
Joanne Poulin
Jacques Bertrand
Ginette Henrichon
Nicolas Farhood
Serge De La Fontaine
Robert Morin
Guylain St-Onge
Carol-Lynn Blair
Jean Hurtubise
Claude Sullivan
Véronique Nault
Anna Messina
Jacques Rochon
Maude Lepage
Alain Messina
Michel Lacroix
Hubert Fortin
Rosaire Brault
Charence Miner
Alain Hébert
Daniel Andrews
Claude Thériault
Richard Groleau
Gaétan Simard
Lorraine Richard
Maude Lepage
Johan Deschamps
Jean-Denis Séguin
Yvon Fortin
Alain Leclerc
Patrick Blair
André Lepage
Alain Desrosiers
Denis Boissonnault
23
Les membres de la chorale
se rencontrent tous
les lundis de 19 h à 21 h,
au 9650 av. Papineau
c vous!
e
v
a
r
e
t
de chan
r
i
s
i
a
l
Au p
Avis
Voici les réponses au quiz
« vérifions nos connaissances »
aux
pensionné(e)s
1. c)
2. b)
3. b)
4. C’est le soutien adéquat qui compte, peu importe le
nombre de membres.
5. c)
6. vrai
7. faux
8. faux
9. oui
10. faux
11. c)
12. c)
13. faux
14. toutes ces réponses
15. d)
Trois (3) mois avant l’âge de 65 ans, vous devez
communiquer avec Mme Alice Leclerc, au bureau, pour
votre assurance groupe, étant donné que le plan change
après cet âge.
Alice Leclerc
Préposée à l’assurance groupe
À vendre
Laveuse et sécheuse blanches de marque Kenmore. 6 ans
d’usure. Prix 450 $.
Cuisinière 30¨ General Electric de couleur amande. Prix : 250 $.
Réfrigérateur Kelvinator de couleur amande. Prix 450 $.
Veuillez vous adresser à André Raymond au (514) 453-8903 ou
(514) 428-4510.
24
MEMBRES ACTIFS DÉCÉDÉ(E)S
BALLE MOLLE
La saison de balle molle 2004 débutera bientôt. Les parties se
tiendront tous les mercredis. Si vous désirez vous inscrire,
veuillez communiquer le plus tôt possible avec Alain
Desrosiers au (514) 859-7243 ou Jean-Denis Séguin au (514)
859-7301.
GOLF
MAT
DATE DU DÉCÈS
PELOQUIN, Régent
485833
22.10.2003
MEMBRES PENSIONNÉ(E)S DÉCÉDÉ(E)S
À tous les amateurs de golf, hommes et femmes, c’est au club
de golf le Manoir des Sables, à Magog, que se tiendra la 12e
édition du tournoi Gilles Dorais, le 17 juillet 2004. Réservez
vite auprès de votre comité sports et loisirs.
Alain Desrosiers (514) 859-7243
Robert Gagnon (514) 859-7242
Lynda Latendresse (514) 859-7203
Guy Lagacé (514) 859-5874
CABANE À SUCRE
Le 27 mars 2004 à Saint-Roch-de-Richelieu, à l’Érablière aux
Délices des saisons. De la bonne bouffe vous sera offerte ainsi
qu’une exclusivité pour les Cols bleus et leur famille. Faites
vite, nous avons 200 billets à vendre.
Prix :
NOM
17,50 $ pour les adultes
12,00 $ pour les enfants de 6 à 11 ans
7,00$ pour les 4 à 5 ans
gratuit pour les 3 ans et moins
Alain Desrosiers (514) 859-7243
Robert Gagnon (514) 859-7242
Lynda Latendresse (514) 859-7203
Guy Lagacé (514) 859-5874
Comité sports et loisirs
25
NOM
MAT.
DATE DU DÉCÈS
BERNARD, Claude
121415
08.11.2003
BERTRAND, Robert
122413
10.11.2003
BOISVERT, Guy
296992
04.11.2003
BOIVIN, Jules
301220
09.10.2003
BOUTIN, Jean-Paul
320129
03.11.2003
DANNA, Antonino
345654
14.10.2003
FOURNIER, Laurent
160105
13.10.2003
GAGNON, Claude
530562
17.11.2003
LAJEUNESSE, Jacques
389384
03.11.2003
MASELLA, Saverio
460637
08.10.2003
MIGNACCA, Domenico
285273
10.11.2003
PAGEAU, Armand
188664
28.11.2003
PERRON, Réginald
159490
29.10.2003
RACICOT, Hervé
179691
13.11.2003
SAVARD, Luc
320770
08.11.2003
4E ÉCOLE SYNDICALE DES JEUNES
DU 21 AU 24 AOÛT 2004
Dépêche-toi,
car les places sont limitées !
Tu as moins de 35 ans ? Tu as suivi la
formation « Mon syndicat » (ou tu t’y
inscriras avant la tenue de cette école) ?
Alors tu es admissible pour participer à
cette formation unique en son genre.
D’une durée de 4 jours, des sujets variés
y seront discutés et débattus : l’histoire
syndicale locale et mondiale, nos statuts
et règlements, la concentration des
médias et ses effets sur l’information, la
mondialisation, etc.
Viens nous faire part de ton point de vue
sur ce que devrait être la société de
demain. Syndicalement, que peut-on faire
pour avoir un monde égalitaire et sans
discrimination ?
Des membres lors d’une formation sur
l’histoire du syndicalisme
Tant de sujets et bien d’autres débats
d’idées t’y seront présentés.
La fin de semaine comprend le transport,
le coucher, la bouffe, la documentation,
beaucoup d’informations et de divertissements dans le cadre agréable d’une
base de plein air dans le Nord.
Deux journées de libérations syndicales
vous seront allouées pour combler vos
absences au travail.
Un comité de sélection choisira parmi les
candidat(e)s selon des critères d’équité
entre tous et toutes qui auront soumis
leur candidature. Les membres seront
informés vers le 21 juin 2004 si leur
candidature a été retenue.
Alors, inscris-toi ! On t’attend !
26
« Enfin une école faite pour
nous! Je recommande à
tous les jeunes d’y participer, l’expérience est formidable »
PARTICIPEZ
AUX
« MARDIS SOMBRES » !
NOS ACTIONS PACIFIQUES :
Les journées et les horaires sont variables, alors
vérifiez auprès de vos délégué(e)s. Les rendez-vous
sont au bureau du Syndicat, au 8455, avenue
Papineau (près du métropolitain). Des autobus sont
sur place pour assurer votre transport. Un lunch
est servi sur place à tous les participants et à toutes
les participantes.
Au plaisir de vous voir à la prochaine manif!
27
SERVICE TÉLÉPHONIQUE
Poste-publication
Numéro de convention
DÈS 7H DU LUNDI AU VENDREDI
514-384-7730
40009175
Adresse de retour:
SERVICE INTERURBAIN SANS FRAIS!
1-877-384-7736
8455, Avenue Papineau, Montréal, H2M 2G2
Message du président soir / nuit / congés 514-384-7730
ASSEMBLÉE GÉNÉRALE
SOYONS PRÉSENT(E)S, C’EST ÇA LA SOLIDARITÉ !
ORDRE DU JOUR
- LECTURE DU PROCÈS-VERBAL
- RAPPORT DU PRÉSIDENT
- ÉTATS FINANCIERS 2003
-ÉLECTION COMITÉ FORMATION ET PERFECTIONNEMENT
- AFFAIRES NOUVELLES
- AJOURNEMENT
Gratu
HALTE-G it
ARDE
Réserve
z 2 jours RIE
(N’OUB
d’avanc
LIEZ PA
e!
S LES J
OUETS)
Samedi
le 28 février 2004 à 9 heures
Paroisse Notre Dame du Rosaire
800, du Rosaire ( coin St-Hubert )
DATE DE TOMBÉE DU PROCHAIN JOURNAL : 5 MARS 2004
ENVOYEZ-NOUS VOS TEXTES !
http://www.scfp301.qc.ca