dossier de presse - Théâtre de Lenche
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dossier de presse - Théâtre de Lenche
1 < Théâtre – CREATION > 12> 30 avril 2011 Théâtre de Lenche UNE SI LONGUE NUIT Phèdre - Dalida Création Cie L‘Egrégore Ecriture, mise en scène Ivan Romeuf Création sonore, arrangements Wilfrid Rapanakis-Bourg Lumière Marie Lefèvre Costumes Joëlle Brover Avec Anne Lévy Production : Cie L’Egrégore / Coproduction : Théâtre de Lenche Rencontre avec l’équipe artistique du spectacle jeudi 21 avril à la suite de la représentation de 19h00. CONTACT PRESSE : Sylvia Duranton – Théâtre de Lenche - 4, place de Lenche - 13002 04 91 91 52 22 / [email protected] / www.theatredelenche.info 2 LA PIECE Il arrive parfois qu’un soir, en entrant dans notre loge, nous sommes habités par une chanson. Elle nous a accompagnés, poursuivis, pendant toute une journée et le soir venu quand nous nous retrouvons seuls dans cette loge, face à nous même avant de servir un texte et un auteur, nous sommes envahis par cette musique qui a trotté à nos côtés pendant notre voyage de la journée. Le chant de Racine se mélange aux chansons populaires de la célèbre chanteuse. “L’actrice“ s’installe devant la glace de sa loge, tandis qu’autour la vie s’active et se concentre, se délite et s’inquiète, l’actrice chante d’abord doucement puis petit à petit à pleine voix les paroles d’une chanson qui l’accompagne depuis son réveil. Les paroles se mélangent à la scène, se mélangent à la vie, se mélangent aux histoires. La vie tourmentée de l’artiste « Dalida », la vie du personnage « Phèdre » envahissent la vie de l’actrice avant la représentation. Nous pouvons alors refermer la porte de la loge, tout doucement, ces loges qui restent les seuls témoins des bruits et des cris, des tragédies qui se nouent dans ces quelques instants où l’actrice est seule en attendant l’explosion des phrases répétées et qui seront restituées une nouvelle fois, mais comme une dernière à des inconnus attentifs. Chaque rôle mythique se construit avec des bribes de vie et de musique. Chaque personnage qui entre en scène est accompagné par la réalité d’une tragédie. “L’actrice“ n’entre jamais seule en scène. 3 POURQUOI DALIDA ? L’envie d’un spectacle sur Dalida remonte à très loin : Quand j’ai osé m’avouer que sa mort m’a choquée, m’a peinée et que l’amour qu’elle avait tant chanté - ou le manque d’amour - n’était pas simplement du spectacle, du show biz… Derrière l’icône, la personne. Il a fallu le suicide de Dalida pour réaliser à rebours, la vérité intime contenue dans ses chansons. J’ai aussi aimé - et moqué - dans mon enfance Dalida, pour sa féminité exacerbée, ses toilettes extraordinaires, ses strass, ses paillettes, son accent, son strabisme…..son Kitch ! Il n’y aura pas trace de tout ceci dans le spectacle, à moins d’une transposition poétique…. J’ai aussi éprouvé en tant que comédienne le plein et la chaleur des salles combles et des succès puis le vide, le silence, la grande solitude du retour à la maison. Et tout bonnement mon goût pour la variété, la chanson d’amour populaire, celles qui dépassent les générations…. Puis vient « Phèdre », sur proposition du metteur en scène, qui marque mon goût premier pour l’écriture de Racine, un des grands poètes de l’amour au féminin. L’alexandrin avec le souffle et l’engagement émotionnel que cela demande comme la chanson. Tresser ensemble ses deux fils (et d’autres) de culture populaire et classique fait naître en moi la joie d’une réconciliation autour de « la femme amoureuse ». Elles disent, elles chantent, elles pleurent, elles sont malades, folles, abandonnées, honteuses, glorieuses, provocantes, mais elles parlent, elles sont vivantes…. Jusqu'à ce qu’à bout de force, ne trouvant plus d’issue à ce besoin vital devenue une souffrance trop grande …elles se donnent la mort, la délivrance. Pulsion de vie, pulsion de mort. Eros et Thanatos. Chanson d’amour et tragédie. Plonger dans une histoire d’amour. Se jeter sur scène. Sauter dans l’inconnu de la mort. Mais « Une si longue nuit », c’est juste une actrice qui se prépare dans sa loge avant de jouer « Phèdre » et qui est traversée par tellement de voix. Tant d’autres voix entendues et écrites par Ivan Romeuf, qui tisse par son écriture, des bribes, des fragments, des échos, des éclats de voix. Anne Lévy 4 UNE ETRANGE RENCONTRE Je n’ai jamais été attiré par les chansons de Dalida, pas plus que par le personnage qu’elle incarnait, et c’est la lecture d’une biographie qui m’a fait découvrir sa vie, ce qui m’a amené par la suite à découvrir ses chansons. Si l’on survole une vie, sans entrer dans les détails, quelle que soit sa durée, on se fait toujours une impression d’ensemble. Et l’impression que j’ai eu à cette première lecture c’est celle d’une tragédie. De ses opérations multiples aux yeux, son obligation, enfant, de rester dans le noir, ses premiers cabarets, son arrivée à Paris, sa rencontre et sa séparation avec Lucien, son amour d’Italien et son suicide, tout cela me laissait une impression de souffrance, de difficulté à être aimée. Le rapprochement avec la tragédie de Racine « Phèdre » était pour moi alors évident : Deux femmes bouleversées par l’amour jusqu’à la mort. La première difficulté que je rencontrais était donc de trouver un lien qui pourrait me permettre de lier ces deux parcours. Je ne voulais pas tomber dans un cours, dans une conférence, dans un travail pédagogique, je voulais absolument rester dans quelque chose qui pourrait s’apparenter, dans l’art pictural, à de l’impressionnisme. Construire par touches des sensations, des sentiments, des bouleversements sans jamais donner à voir une construction historique. Pour être comédien moi-même, je sais ce qu’on éprouve quand on entre dans sa loge et qu’on se prépare à une représentation. Dans notre tête, en même temps que le texte que l’on doit jouer, qu’on tente de se répéter en boucle, jaillissent des bribes d’histoires lues, des chansons qui viennent perturber ce que l’on appelle entre nous « une italienne » (travail qui consiste à dire son texte très vite sans réfléchir). Alors tout se mélange, les mots, les sentiments, les émotions. C’est ce travail que je me suis appliqué à tenter dans cette pièce. Mélanger les vers de Racine à des bribes d’histoire de la vie de Dalida, et donner à entendre des chansons qui racontent autrement des morceaux de son histoire. Tout se passe dans la tête encombrée d’une actrice qui va jouer Phèdre après s’être préparée dans sa loge. Tout se joue en temps réel. De « Soleil je te viens voir pour la dernière fois » à « Je suis toutes les femmes » aux « Hommes de ma vie » en passant par « Je gravis chaque pierre l’une après l’autre, je choisis chaque caillou et l’observe, je regarde du haut de chaque motte de terre le chemin parcouru, je suis chacun de mes pieds, chacun de mes pas, je ne perds jamais de vue ma marche ou ma démarche, je m’observe de chaque instant, et j’avance, je gravis, je crapahute, je m’anéantis dans la montée, je ne peux pas m’arrêter, je ne peux qu’avancer sans regarder en arrière, on ne regarde jamais en arrière… avance, avance… Parfois envie de m’arrêter, parfois envie d’une main qui se pose, qui se trépose sur mon épaule, voilà qui l’effleure, qui me guide, qui m’accompagne… Mais non, solitude est ma compagne, je n’ai pas, ni béquille, ni canne, ni main, ni regard, la compassion c’est la vertu de l’espoir… Mais non… » Ce spectacle est un voyage dans le sensible, l’humour, la violence des sentiments, l’amour qui conduit parfois à la mort. 5 TRAVAILLER SUR L’ESPACE Depuis longtemps, L’Egrégore travaille dans ses créations sur la relation de l’acteur avec l’espace. Les premiers spectacles se sont essayés sur des espaces parfaitement vides, et un nombre important de pièces de théâtre a été présenté dans des théâtres dont on avait ôté jusqu’aux manteaux d’arrièrescène qui cachaient bien souvent la misère des murs de nos lieux. (cf. : Toi et tes nuages de Eric Westphal – La ronde de Schnitzler…). La présentation de plusieurs spectacles en plein air nous a permis de symboliser les espaces théâtraux et de réfléchir sur l’utilisation de quelques éléments symboliques qui pourraient suffire à une évocation réaliste qui laisserait s’exprimer la poésie du texte qui nous semblait l’essentiel du théâtre que nous voulions aborder (La mouette de Tchékhov – La Locandiera de Goldoni – Paroles du silence rouge de Claudine Galéa et Claude Ber…). L’évolution logique de nos espaces théâtraux, et cette évolution n’est évidemment pas terminée, nous pousse aujourd’hui à travailler toujours sur des espaces symboliques avec quelques éléments de décor en prenant en charge, le plus souvent possible, le lieu dans lequel nous présentons nos créations, et en inscrivant notre espace en relation avec son esthétique. (La présentation des pièces de Tchékhov à la Friche du Panier et au Mini théâtre, et plus récemment La station Champbaudet de Labiche…). Pour « Une si longue nuit », le même travail sur l’espace est proposé. Quelques panneaux qui permettent de diviser l’espace, un sol traité et quelques meubles qui symbolisent une loge de théâtre. L’acteur doit faire le reste. Ivan Romeuf 6 L’EGREGORE – EN RESIDENCE PERMANENTE AU THEATRE DE LENCHE Depuis plusieurs années l'Egrégore a inscrit son travail de recherche et de création dans la durée : chaque projet artistique a fait l'objet d'un temps très important de répétitions ainsi que d’une longue exploitation en représentations. En outre, la réflexion a souvent été menée en terme de cycle, de projet artistique (« Le théâtre et la guerre », « L’Amour est une région bien intéressante »… ). Chacune des créations est le fruit d'une réflexion sur le lien avec notre monde contemporain. Si, au travers de pièces contemporaines et classiques, les premières saisons ont été consacrées à l’interrogation de l’humain dans son environnement intime (Toi et tes nuages, La ronde, La mouette, La Locandiera…), depuis plusieurs années la compagnie l’interroge dans son environnement social donc « politique » (Grand’Peur et misère du IIIème Reich / Jours tranquilles au Panier / La Trilogie de la Villégiature / Ca va bien !…). En 2003, le projet « Le Théâtre et la Guerre » avec la création de L’Etincelle, pièce contemporaine sur la guerre civile ; en 2004, le projet « La folie et le pouvoir » avec la création de Egregore’s Macbeth d’après Shakespeare, Balèze (théâtre d’ombre). Depuis 2005, la compagnie a choisi de mener un projet artistique autour de toute l’œuvre d’Anton Tchekhov, projet qui ne peut être considéré comme une unique mise en scène mais plutôt comme un ensemble de créations singulières. La volonté est également de décliner diverses formes théâtrales autour d’un même auteur ou d’un même thème. Visant à explorer l’œuvre et l’univers d’Anton Tchekhov, ce projet baptisé « L’Amour est une région bien intéressante » réunit peu ou prou douze artistes-interprètes. Parallèlement à ce projet de longue haleine, l’Egrégore entend également continuer son travail de recherche et de création autour du théâtre contemporain. Pour la Compagnie, chercher à définir la place de l'artiste dans la cité est indissociable de son travail de création. Ce sont les deux grandes composantes de sa recherche. Ainsi elle poursuit un travail pédagogique et politique (politique étant toujours entendu dans son sens littéral « vie de la cité ») : stages, ateliers, lectures-débat, conférences, répétitions publiques… En favorisant ces rencontres avec le public, il s’agit de s’interroger ensemble, public et artistes, sur les résonances des actes artistiques dans le monde social et politique d’aujourd’hui. Par ailleurs, une collaboration s’est mise en place entre les deux structures et le Théâtre National Algérien : Ivan Romeuf intervient régulièrement auprès de comédiens algériens confirmés ou en formation et des projets communs de création ont déjà vue le jour. Il a déjà mis en scène « Arrêt fixe » avec des acteurs algériens et a joué dans « La Répétition » mis en scène par M’Hamed Benguettaf, deux textes écrits par M’hamed Benguettaf, directeur du TNA. Depuis plusieurs saisons, la compagnie l’Egrégore et le Théâtre de Lenche travaillent de concert, cette entente artistique et humaine a conduit tout naturellement à ce que l’Egrégore devienne en 2007 l’une des deux compagnies en résidence permanente au théâtre. 7 IVAN ROMEUF Comédien – metteur en scène directeur artistique du Théâtre de Lenche et de la compagnie L’Egrégore [Marseille]. Depuis 1968, son parcours théâtral est riche de plus de cent cinquante pièces du répertoire classique et contemporain qu'il a jouées, mises en scène, écrites ou pour lesquelles il a conçu décor et éclairage. Après des rencontres à Châtillon sur Chalaronne, la participation au Théâtre du Cri (Michel Véricel) des études entre 70 et 72 au conservatoire de Lyon (classe Jeannine Berdin) des études à la rue Blanche (Classe de Michel Favory) et au Conservatoire (classe A. Vitez) a travaillé à la Comédie Française (Jean Laurent Cochet), avec Robert Hossein sur plusieurs spectacles (Crime et Châtiment - Potemkine - Le procès de Jeanne d'Arc - Manon Lescaut - Notre Dame de Paris – à la Maison de la Culture A. Malraux de Reims - Théâtre de Paris - Palais des sports). Comédien permanent de la compagnie P. Della Torre où il joue Apollinaire - Tzara... au Grand Palais - Théâtre du Lucernaire – Poche Montparnasse.... Il participe à la construction et à la direction du Théâtre de la Mer (Cité InternationaleParis et au Théâtre des Deschargeurs - Paris) À Marseille où il vit depuis 1983 - il joue dans divers théâtres - Théâtre de Lenche - Théâtre Massalia Théâtre Toursky - Théâtre Off - Théâtre Bompard - Maison de l'Étranger - Théâtre de la Minoterie (il participe à sa construction et à sa direction) Théâtre Gyptis - Théâtre "le Sémaphore" où L’Égrégore reste en résidence pendant 9 ans. Il joue ou met en scène diverses créations dont : Les Joyeuses Commères de Windsor de Shakespeare ; En attendant Godot de S. Beckett, Oncle Vania de Tchékhov, Le Journal d'un Fou de Gogol, Antigone, Œdipe Roi de Sophocle, La trilogie de la Villégiature de C. Goldoni...au Théâtre du Gyptis ; Maître Puntilla et son Valet Matti de Brecht, Est-ce ma faute s'il pleut, Woyzeck de Büchner... au Théâtre de la Minoterie ; L'homme qui rit de V. Hugo au Théâtre OFF ; Les aventures du Brave Soldat Sveik au Festival de Valréas... ; Paroles du Silence Rouge de C. Galéa et C. Ber, au Festival des Iles. La Mouette de Tchékhov au Château d'if et au Gymnase...Il met en scène Grand’ Peur et Misère du Troisième Reich de B. Brecht, Jours tranquilles au Panier de D. Cier. Passez à la Caisse, Comédie Musicale de Philippe et Anne Gastine, … A partir de 2005, avec la compagnie L’Egrégore, il entame un projet artistique autour de l’œuvre d’Anton Tchekhov « L’Amour est une région bien intéressante », projet qui verra la création des grandes pièces (La Mouette, Oncle Vania, Les Trois Sœurs, La Cerisaie, La Mouette) comme axe principal, mais aussi des pièces courtes, des lectures, la création de spectacles-cabaret mêlant les nouvelles de Tchekhov à la chanson française sur un mode burlesque et plus récemment et guidé par la même démarche “La Station Champbaudet “ de Labiche. Depuis 2007 il travaille régulièrement en Algérie où il collabore avec le Théâtre National Algérien, le Festival de Mostaganem... . Il joue joue à Alger et ailleurs les spectacles Karl Marx le retour de Howard Zinn, Le métier de vivre d’après Pavese, La mouette et Il n’a été heureux qu’une fois sous un parapluie . Il participe à plusieurs conférences, animes des stages et crée avec des acteurs algériens : Arrêt Fixe de M’Hamed Benguettaf, Escurial de Ghelderode à Tamanrasset, Le dernier désert de Rabah el Hassan dans le cadre du Festival Pan-Africa. 8 ANNE LEVY Après une formation au Conservatoire National Supérieur d'Art Dramatique de Paris, Anne Lévy alterne avec bonheur répertoire classique, théâtre musical et créations contemporaines. Elle travaille notamment avec Agathe Alexis, puis Gloria Paris sur des œuvres de Marivaux ; avec Jérôme Savary (Théâtre National de Chaillot) sur "Chantecler" d'Edmond Rostand ; avec Laurent Pelly sur "Des héros et des dieux" d'après Homère (Festival d'Avignon) ; avec Luca Ronconi sur "Obéron" de Weber (Scala de Milan)… et joue Racine, Shakespeare, Goldoni… Elle chante dans des pièces de théâtre musical, de genres très différents comme : "Les Troyennes" d'Euripide ; musique Giovanna Marini – mise en scène T. Salmon (Festival d'Avignon, Festival de Gibellina…) "Ste Jeanne des Abattoirs" de Brecht ; mise en scène M. N. Rio "Les Z'accoustiques" spectacle de music hall ; mise en scène Alain Maratrat Elle mène une collaboration régulière avec Baroques-Graffiti où musique baroque et textes modernes se répondent. Elle participe enfin à de nombreuses créations de pièces contemporaines, avec notamment Pierre Pradinas, Jean-Claude Penchenat, Pascal Papini, Jeanne Champagne, A. A. Barsacq, Hubert Colas… Elle obtient en 2001 le prix "Étudiant et Théâtre" du meilleur second rôle féminin pour "L'éveil du printemps" de Wédékind, mise en scène Paul Desveaux. Dernièrement elle crée en Suisse "Nous ne tiendrons pas nos promesses" de Marielle Pinsard, mise en scène de l'auteur. Après "Chroniques d’un K.O. debout " de Lise Martin créé la saison dernière, "Une si longue nuit" est son second solo en collaboration avec Ivan Romeuf. WILFRID RAPANAKIS-BOURG Wilfrid Rapanakis-Bourg né en 1971 commence par étudier la Batterie Jazz à l'âge de 8 ans au J.U.P.O, l’école de Jazz du HAVRE et y reste jusqu’en 1986. Après un déménagement familial, il s’inscrit en 1987 au conservatoire de Cannes où il étudie la percussion classique et le solfège où il y rencontre Jean-Michel Bossini, compositeur contemporain reconnu qui lui ouvrera les portes de la composition classique et minimaliste. Il étudiera l’harmonie Classique et l’analyse musicale avec Pierre-Philippe Bauzin, organiste, arrangeur et compositeur classique reconnu. A partir de 1993, et parallèlement à son parcours de batteur auprès de différentes formations rock et jazz des Alpes Maritimes, il compose et arrange des oeuvres musicales pour des compagnies de théâtre et de danse, et composera notamment «Les portes du marais d’automne» pour la scénariste Armelle Cloche. 9 EN PRATIQUE • Renseignements et réservations : I 04 91 91 52 22 I www.theatredelenche.info • Horaires : I Mardi, vendredi et samedi : 20h30 I Mercredi, jeudi : 19h I Dimanche 24 avril à 16h • Tarifs: I Général : 12 € I Réduit : 7 € I Bénéficiaire du RSA : 2 € • Accès : I Métro Vieux-Port (ligne 1) ou Joliette (ligne 2) I Tramway T2 arrêt Sadi Carnot I Bus 49 arrêt Place de Lenche I Parking jules Verne 10