Rue de l`Hôtel des Monnaies

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Rue de l`Hôtel des Monnaies
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Anc. Cénacle, vue depuis le parc Pierre Paulus vers la rue des Etudiants (photo 2004).
SAINT-GILLES
Rue de l'Hôtel des Monnaies
Région de Bruxelles-Capitale
INVENTAIRE DU PATRIMOINE
ARCHITECTURAL
Anc. dénommée ch. d'Uccle, puis ch. de Saint-Gilles, la r. de l'Hôtel
des Monnaies relie l'av. Henri Jaspar à la Barrière de Saint-Gilles.
Son alignement est fixé par l'AR du 05.12.1862, qui définit
également le plan des rues à ouvrir dans le quadrilatère compris
entre les ch. de Waterloo, de Charleroi, le quartier Louise et le bd de
Waterloo. La rue à créer devait traverser de nombreuses propriétés
privées, qui furent expropriées selon un plan du 16.10.1869.
La rue doit son nom à la présence d'un édifice aujourd'hui détruit,
l'Hôtel de la Monnaie (anc. n° 91-99), inauguré en 1880. La
construction de cet édifice industriel, non loin des grands boulevards,
fut décidée en 1871 par le Parlement, déplaçant ainsi le siège de la
Monnaie nationale alors situé pl. de la Monnaie. Conçu d'après les
plans de l'arch. A. Roussel, ce vaste complexe de style néo-Louis
XIII occupait une surface de près de 5.000 m², circonscrite dans un
îlot formé par les r. de l'Hôtel des Monnaies, de Moscou, de la
Victoire et Jourdan. La présence de l'Hôtel des Monnaies attira, dès
1880, de nombreux propriétaires aisés qui firent construire, face à
celui-ci, de belles maisons éclectiques d'inspiration néo-Renaissance
flamande (voir n° 88, 90, 92, 96, 100, 102, 106, 110, 112).
Délaissé puis temporairement occupé par une école, l'Hôtel des
Monnaies fut finalement désaffecté, puis racheté par la commune de
Saint-Gilles qui décida sa démolition en 1979. Actuellement, seul
subsiste, r. de l'Hôtel des Monnaies, à l'extrémité sud du parc qui fut
aménagé sur l'îlot, un petit édifice d'un niveau (voir n° 91 à 105).
Au n° 126-128 de la rue se dressait le Cénacle, un établissement
religieux conçu en 1899 par l'arch. Émar Collès (selon De Keyser,
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G., 1996). Ce complexe de style néogothique s'étendait sur un vaste
terrain compris entre les r. de l'Hôtel des Monnaies, de Parme et des
Étudiants. Vers la r. de l'Hôtel des Monnaies se trouvait un bâtiment
composé de quatre ailes autour d'une cour centrale, bordée sur un
côté d'une galerie ouverte par une arcade. La partie nord-est du
volume abritait une chapelle. Le bâtiment fut détruit et remplacé par
l'institut d'enseignement technique pour jeunes filles Jacques
Franck, act. École du Parvis (arch. Louis H. Kuypers, 1969). Un
second bâtiment, de plan en U, est partiellement conservé à front de
la r. des Étudiants (voir cette rue). Le reste du terrain, qui était
aménagé en jardin, correspond à l'act. Parc Pierre Paulus (voir r. de
Parme 69).
Le bâti originel de la rue, majoritairement construit entre 1870 et
1905, relève essentiellement du style néoclassique et éclectique à
façade polychrome. Un certain nombre de ces maisons fut détruit au
cours du XXe s., dont celles situées dans l'îlot compris entre les r. de
l'Hôtel des Monnaies, Jourdan, l'av. de la Toison d'Or et la r.
Bosquet. Cet îlot est actuellement occupé par un vaste complexe
immobilier comprenant des immeubles de bureaux (voir n° 4) et à
appartements, réalisés pour le groupe Caisse patronale du
Commerce et de l'Industrie, puis par la société d'assurances Drouot
et enfin par la société Axa, entre 1950 et 2000. En contrepartie de
l'extension de ses bureaux au cœur de l'îlot, la société Axa a réalisé
deux complexes résidentiels aux extrémités de celui-ci, le 1er à
l'angle des r. Bosquet et Jourdan en 1994 (voir n° 62 à 76 r.
Bosquet), le second à l'angle des r. de l'Hôtel des Monnaies et
Jourdan en 2000 (voir n° 34). Ces logements respectent en façade
l'ordonnance du bâti ancien. Les assurances Axa ont, v. 2001, cédé
leur complexe de bureaux à la Régie des Bâtiments et au Cabinet
des Classes moyennes et de l'Agriculture (voir n° 87 av. de la Toison
d'Or).
Face à la dégradation générale du secteur, un programme de
revitalisation, le contrat de quartier Métal-Monnaies (2003-2007), est
mis sur pied en vue de réhabiliter les logements existants, d'assurer
la mixité par le développement de l'activité artisanale et
commerciale, d'embellir les espaces publics et d'impliquer les
habitants.
N° ne figurant pas en notice : 4 : voir av. de la Toison d'Or 87 et r.
Bosquet 78, vaste complexe de bureaux, 1989, arch. Éric Ysebrant
de Lendonck (Assar S.C). Il remplace de nombreux bâtiments dont,
r. de l'Hôtel des Monnaies, les n° suivants : 2, maison, 1876, 4-6,
immeuble de bureaux, 1968, arch. Lucien-Jacques Baucher, Michel
Draps et Marc Libois (selon Environnement, octobre 1971, pp.
346-351), remplaçant lui-même les anc. n° 4, maison néoclassique,
et n° 6, maison éclectique conçue avant 1890, arch. Émile Thiroux
(selon L'Émulation, 1890, pl. 8). Le complexe remplace également
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les maisons n° 8, 1874 (arch. Alphonse Dumont) et 10, 1875 (arch.
De Keyser), ces deux maisons modifiées et remembrées par la
Caisse patronale en 1932, 12 de 1897 (entrepreneur Jules
Piermont), 14 et 16, de 1875 (arch. G. Segers), 18, 20, 22, trois
maisons de 1879 et 24, maison de 1875, arch. J. Ramaekers ; 11 :
garage du n° 93 av. Henri Jaspar (1951, arch. E. Meert), transformé
ultérieurement ; 15, 17 : ensemble de deux maisons néoclassiques,
1876 ; 19, 21 : ensemble de deux maisons néoclassiques, sur
schéma en miroir, 1872, le n° 19 modifié au r.d.ch. en 1980 ; 25-27 :
maison néoclassique, 1876, à r.d.ch. plusieurs fois modifié ; 34 et r.
Jourdan 121, 123, 125 : complexe résidentiel de 26 appartements,
2000, arch. Pierre Accarain et Marc Boillot, remplaçant plusieurs
maisons néoclassiques, celles vers la r. de l'Hôtel des Monnaies
pour la plupart « façadisées » : 30 à 38 et r. Jourdan 121 à 127, un
ensemble de maisons de 1875 (arch. J. Ramaekers), les 36 et 38
aménagés au r.d.ch. en station service en 1966 par l'arch. A. Vincke,
transformée en 1981, les n° 26 de 1875 (arch. Henri Jouanne) et 28
de 1875 (arch. J. Ramaekers) ; 29, 31, 33-35 : ensemble de trois
maisons néoclassiques, 1871, entrepreneur Adolphe De Baets,
modifiées au r.d.ch., le n° 33-35 act. recouvert de briquettes ; 39 :
maison néoclassique, 1881, act. recouverte de briquettes et modifiée
au r.d.ch. ; 40 : voir pl. Julien Dillens 1, r. de la Source 12-14 et r.
Berckmans 128 : vaste immeuble d'angle postmoderne (1990, arch.
Janssens et associés) en remplacement de plusieurs bâtiments
dont, au n° 40, une maison néoclassique de 1872 ; 41 : maison
néoclassique, 1884, dérochée aux étages ; 43 : maison
néoclassique, 1882 (selon De Keyser, G., 1996) ; 45 : maison
néoclassique, 1884 ; 47 : maison néoclassique, 1885, act. cimentée
et modifiée au r.d.ch. ; 49-51 : maison néoclassique, 1876, à r.d.ch.
modifié ; 54 : vaste immeuble à appartements de style postmoderne
(arch. Art & Build, 1998), remplaçant cinq maisons d'inspiration
néoclassique (N° 54 de 1894, n° 56 de 1876, n° 58 de 1873, arch.
Gustave De Man, n° 60 de 1869 et n° 62 de 1875, ingénieur L.
Chardon) ; 61-63 : maison néoclassique, 1868, arch. J. Tihon fils,
mansardée et modifiée au r.d.ch. en 1929 ; 67 : maison
néoclassique, 1876, act. recouverte de briquettes ; 68-70 : immeuble
à appartements, 1977, arch. F. J. H. De Backer et A. Vincent, en
remplacement de deux maisons d'inspiration néoclassique, de 1875
et 1871 ; 75 : maison néoclassique, 1876, munie de lucarnes en
1949 et modifiée au r.d.ch. ; 76 : maison néoclassique, 1882, décor
de façade disparu ; 79 : maison néoclassique, 1873, act. cimentée,
dotée d'un atelier en intérieur d'îlot, 1904 ; 80 : maison néoclassique,
1872, r.d.ch. transformé en commerce depuis 1925, lucarnes de
1928 ; 81 : maison néoclassique, 1872, à r.d.ch. commercial de 1929
; 83, 85-89 : deux maisons néoclassiques, le n° 85-89 de 1873,
réunies par un r.d.ch. commercial commun depuis 1972. Au n° 83,
maison exhaussée d'un niveau en 1927 et act. recouverte de
briquettes ; 84, 86 et r. de la Victoire 45 : trois maisons
néoclassiques, 1878, le n° 84 r. de l'Hôtel des Monnaies formant
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l'angle, modifié au r.d.ch. en 1931 (arch. Fernand Nève), le n° 86
doté d'une devanture Art Déco en 1936 ; 107 : maison néoclassique,
1879, act. recouverte de briquettes et modifiée au r.d.ch. ; 109 :
maison néoclassique, 1879, act. cimentée ; 111 : maison
néoclassique, 1881, act. recouverte de briquettes ; 115 : maison
néoclassique, 1884, entrepreneurs Antoine et Constant Brassine
frères ; 116 : maison néoclassique, 1891, fenêtres du r.d.ch.
transformées en vitrine commerciale et percement d'une porte de
garage en 1952 ; 120-124 : immeuble à appartements postmoderne,
englobant la station de métro « Hôtel des Monnaies », 1988 (arch.
Atelier 50), en remplacement de maisons néoclassiques, le n° 120
de 1894, les n° 122 et 124, deux vastes hôtels de maître de 1867.
Au n° 124, à l'arrière de la parcelle, fut conçue, en 1923, une vaste
chapelle d'inspiration néogothique, destinée à la communauté des
Petites Sœurs de l'Assomption ; 123 : maison néoclassique, 1884,
ultérieurement remaniée en façade ; 126-128 : immeuble moderniste
abritant l'École du Parvis (arch. Louis H. Kuypers, 1969), remplaçant
un vaste bâtiment faisant partie de l'établissement religieux du
Cénacle, conçu en 1899 par l'arch. Émar Collès (selon De Keyser,
G., 1996). Ce dernier remplaçait lui-même les n° 126 (1868) et 128
(1875) de l'arch. A. Braive (selon De Keyser, G., 1996) ainsi que
deux maisons d'inspiration néoclassique de 1874, aux n° 132 et 134
; 131 et r. Louis Coenen 30, 32 : deux maisons d'inspiration
néoclassique, 1901, arch. L. Deville ; 133 et r. Louis Coenen 33 :
immeuble d'angle néoclassique, de deux niveaux à l'origine, 1877. Il
est exhaussé d'un 3e niveau et enrichi d'une logette en 1897, puis
exhaussé d'un 4e niveau sous mansarde et agrandi vers la r. de
l'Hôtel des Monnaies en 1928 (arch. Charles De Wys) et enfin
prolongé côté r. Louis Coenen en 1930 ; 136 : maison d'inspiration
néoclassique, 1875, act. recouverte de briquettes, r.d.ch. modifié et
ajout d'un 3e étage en 1938 ; 138 : maison d'inspiration
néoclassique, 1876, mansardes remplacées par un étage
supplémentaire, r.d.ch. plusieurs fois modifié ; 139 : garage résultant
de plusieurs transformations d'un immeuble antérieur à 1907,
notamment en 1938, 1948 et 1964 ; 140 : maison d'inspiration
néoclassique, 1889 (selon De Keyser, G., 1996) ; 141 : maison
néoclassique, 1874, act. recouverte de briquettes et modifiée au
r.d.ch. ; 142 : immeuble de rapport néoclassique, 1879, façade act.
cimentée, lucarnes de 1922, r.d.ch. modifié à plusieurs reprises ; 143
: maison d'inspiration néoclassique, 1905 (selon De Keyser, G.,
1996), à r.d.ch. commercial de 1992 ; 144 : immeuble de rapport
néoclassique, à l'angle de la r. des Étudiants, 1876. R.d.ch.
commercial à revêtement de carreaux de grès émaillés de 1957 ;
145-145a : immeuble à appartements postmoderne de 1992, bureau
d'arch. Atelier du Sablon ; 149 : maison néoclassique, 1893 (selon
De Keyser, G., 1996), act. recouverte de briquettes ; 150 : immeuble
à appartements, 1953, arch. A. De Groeve, en remplacement d'une
maison de 1887, fabricant de briques Désiré Wotquenne (selon De
Keyser, G., 1996) ; 152 : maison de style éclectique, 1909,
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menuiserie remplacée à l'exception de la porte ; 153 : maison
éclectique, 1886, fabricant de briques Désiré Wotquenne (selon De
Keyser, G., 1996), probablement surhaussée d'un demi-niveau et
conservant un bel oculus en dessus de porte ; 158 : maison à
l'origine néoclassique, 1879, transformée en immeuble à
appartements et recouverte de simili-briques en 1964 ; 159 : maison
néoclassique, 1870, façade act. cimentée et surhaussée d'un
demi-niveau ; 160 : maison néoclassique, 1893. Aménagement
d'une vitrine commerciale et façade recouverte de briquettes en
1956 ; 162 : maison néoclassique, 1873, surhaussée d'un niveau.
Étages act. recouverts de briquettes, devanture commerciale Art
Déco de 1931, arch. Fernand Meert ; 163-165, 167 : ensemble de
deux maisons néoclassiques, 1873, fabricant de briques Désiré
Wotquenne (selon De Keyser, G., 1996). Façade du n° 163-165 act.
cimentée, surhaussée d'un niveau et munie de lucarnes en 1927. Au
n° 167, parement de briquettes et remplacement du balcon à
balustres en 1948 ; 164 : maison néoclassique, 1875 ; 166 : maison
néoclassique, fin XIXe s., décor des baies ajouté, vitrine
commerciale transformée en fenêtres et balcon établi en 1910,
lucarne de 1931 ; 169 : maison néoclassique, 1874, fabricant de
briques Désiré Wotquenne, exhaussée d'un demi-niveau en 1933 et
recouverte de briquettes en 1947 ; 170 : maison de style éclectique à
façade polychrome, 1889. R.d.ch. recouvert de faïence bleue et seuil
des fenêtres abaissé en 1937 ; 171 : maison néoclassique, 1875,
fabricant de briques Désiré Wotquenne, ultérieurement exhaussée
d'un demi-niveau, et recouverte de briquettes en 1960 ; 172, 174,
176 : ensemble de trois maisons néoclassiques, 1873. Au n° 172,
r.d.ch. commercial et surhausse de 1952. Au n° 174, façade
ultérieurement recouverte de briquettes et r.d.ch. actuel de 1990. Au
n° 176, façade recouverte de briquettes en 1943, lucarnes de 1950
et mise en place de la porte de garage métallique en 1986 ; 173 :
maison néoclassique, 1881, act. recouverte de briquettes ; 175-177 :
immeuble à appartements moderniste, 1959, arch. R. et A. Gevers,
en remplacement d'une maison néoclassique de 1882 ; 178 : maison
d'angle néoclassique, 1874. Devanture commerciale à revêtement
de carreaux de céramique de 1948, revêtement de briquettes aux
étages ultérieur ; 179-181, 183-185 : ensemble de deux maisons
néoclassiques, identiques, 1882 (selon De Keyser, G., 1996).
R.d.ch. commerciaux modifiés, lucarne ultérieurement ajoutée au n°
183-185 ; 180 : voir n° 182 ; 187-189, 191-193 : deux maisons
néoclassiques, la 1re conçue en 1874, la seconde en 1872 par le
maçon Jean-Baptiste Mesmaeker (selon De Keyser, G., 1996),
ultérieurement modifiées au r.d.ch. ; 188 : maison transformée en
immeuble à appartements moderniste recouvert de simili-briques en
1965 ; 190 : maison néoclassique, recouverte aux étages de
plaquettes « Vilvordite » en 1955 et modifiée au r.d.ch. ; 192 :
maison néoclassique, 1877 (selon De Keyser, G., 1996), défigurée
par l'act. r.d.ch. commercial ; 194 : maison néoclassique, 1877, act.
recouverte de briquettes et modifiée au r.d.ch. ; 195-197 : immeuble
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d'angle résultant du remembrement et de la rénovation, en 1998, de
deux maisons néoclassiques, le n° 195 de 1874, le n° 197, à l'angle
de la Barrière, de 1872 (selon De Keyser, G., 1996).
Archives
Cercle d'Histoire et de Documentation de Saint-Gilles.
Collection cartes postales Dexia banque
Fonds Paul Rubbers, AAM
Ouvrages
BERNIER, F., Monographie de Saint-Gilles-lez-Bruxelles, P. Weissenbruch, Bruxelles, 1904, pp.
295-297.
KEMPENEERS, J., Histoire d'Obbrussel-Saint-Gilles, Bruxelles, 1962, pp. 157-158.
VANDEWATTYNE, C. (dir.), Saint-Gilles : de la porte de Hal à la prison, Service des Monuments
et Sites de la Région de Bruxelles-Capitale, Bruxelles, 1997 (Bruxelles, ville d'art et d'histoire, 21)
p. 14.
Périodiques
VANDENBREEDEN, J., « Het “Munthof” te Sint-Gillis (Brussel) naar nieuwe bestemming en
behoud », Bouwkundig Erfgoed in Vlaanderen, 45, 1979, pp. 19-23.
DONS, R., « Obbrussel-st-Gilles et son réseau de communications. Des origines à 1900 environ »,
Cahiers bruxellois, t. XXVIII, 1987, pp. 5-40.
« Siège social du groupe caisse patronale », Environnement, 10, 1971, pp. 346-351.
« Projet pour un parking de dissuasion à la rue hôtel des Monnaies à Bruxelles, arch. L. Kroll », La
Maison, 11, 1969, pp. 448-449.
Archives des numéros ne figurant pas en notice
ACSG/Urb. 2 : 3449 (1876) ; 4 : voir av. de la Toison d'Or 87 : 103 (1989) ; 4-6 : 32 (1968) ; 8 :
2450 (1874) ; 10 : 3044 (1875) ; 8-10 : 96 (1932) ; 11 : 122 (1951) ; 12 : 992 (1897) ; 14, 16 : 3082
(1875) ; 14-22 : 188 (1986) ; 15, 17 : 2684 (1876) ; 18, 20, 22 : 6370 (1879) ; 19, 21 : 1539 (1872) ;
19 : 94 (1980) ; 24 : 3130 (1875) ; 25-27 : 3989 (1876) ; 26 : 2997 (1875) ; 28 : 3020 (1875), 66
(1948) ; 29, 31, 33-35 : 969 (1871) ; 30 à 38 : 2872 (1875) ; 36 : 1929 (155) ; 36, 38 : 148 (1966) ;
39 : 280 (1881) ; 40 : 1781 (1872), voir pl. Julien Dillens 1 : 1989-129 (1990) ; 41 : 381 (1884) ; 43
: 5881 (–) ; 45 : 477 (1884) ; 47 : 908 (1885) ; 49-51 : 3687 (1876) ; 54 : 3245 (1894) ; 56 : 3851
(1876) ; 58 : 1983 (1873) ; 60 : 7342 (1869) ; 62 : 3215 (1875) ; 61-63 : 6643 (1868), 473 (1929) ;
67 : 3954 (1876) ; 68 : 2911 (1875) ; 70 : 1222 (1871) ; 68-70 : 49 (1977) ; 75 : 3579 (1876), 34
(1949) ; 76 : 620 (1882) ; 79 : 2171 (1873), 55 (1904) ; 80 : 1615B2 (1872), 1465-107 (1925), 418
(1928) ; 81 : 1728 (1872), 71 (1929) ; 83 : 1252 (–), 434 (1927) ; 84 : 297 (1931) ; 85-89 : 1986
(1873) ; 83-89 : 17 (1972) ; 84, 86 : voir r. de la Victoire 45 : 2688 (1878) ; 86 : 51 (1936) ; 107 :
6104 (1879) ; 109 : 6105 (1879) ; 111 : 69 (1881) ; 115 : 629 (1884) ; 116 : 2695 (1891), 147
(1952) ; 120 : 3513 (1894) ; 122 : 5871 (1867) ; 123 : 465 (1884) ; 124 : 3872 (1867), 85 (1923) ;
120-124 : 172 (1988) ; 131 : voir r. Louis Coenen 30, 32 : 5 (1901) ; 126-128 : – (1969) ; 132 :
2555 (1874) ; 133 : 137 (1877), 195 (1897), 1928 (1928), 52 (1930) ; 134 : 2636 (1874) ; 136 :
2845B2 (1875), 132 (1938) ; 138 : 3884B2 (1876) ; 139 : 292 (1907), 15 (1938), 68 (1948), 65
(1964) ; 141 : 2563 (1874) ; 142 : 6491 (1879), 139 (1922) ; 143 : 96 (1992) ; 144 : 4069 (1876),
82 (1957) ; 145-145a : 96 (1992) ; 150 : 66 (1953) ; 152 : 70 (1909) ; 158 : 6138 (1879), 60 (1964)
; 159 : 1696 (1870) ; 160 : 3222 (1893), 70 (1956) ; 162 : 2097 (1873), 31 (1931) ; 163-165 : 1927
(1927), 210 (1927) ; 164 : 3105 (1875) ; 166 : 217 (1910), 157 (1931) ; 167 : 96 (1948) ; 169 :
2566 (1874), 75 (1933), 85 (1947) ; 170 : 2149 (1889), 286 (1937) ; 171 : 3136 (1875), 82 (1960) ;
172, 174, 176 : 1921 (1873) ; 172 : 61 (1952) ; 173 : 4664 (1881) ; 174 : 41 (1990) ; 175-177 : 380
(1882), 119 (1959) ; 176 : 865B (1943), 84 (1950), 1985-186 (1986) ; 178 : 1920B2 (1874), 82
(1948) ; 179-181, 183-185 : 135 (–) ; 187-189 : 1670 (1872) ; 188 : 77 (1965) ; 190 : 52 (1955) ;
194 : 4374 (1877) ; 195 : 2399 (1874) ; 195-197 : – (1998).
MONUMENTS & SITES
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Anc. Cénacle, vue depuis le parc Pierre Paulus (photo 2004).
Anc. Cénacle, aile ouest, arcade (photo 2004).
Barrière de Saint-Gilles, vue vers la chaussée de Waterloo et
la rue de l'Hôtel des Monnaies (CHDStG, I.55).
Plan de situation du Cénacle, ACSG/TP. (fonds non classé).
Rue de l'Hôtel des Monnaies 126-128, le Cénacle, vue depuis
le jardin (Collection de Dexia Banque, avant 1926).
Rue de l'Hôtel des Monnaies 126-128, le Cénacle, vue depuis
le jardin (Collection de Dexia Banque, avant 1931).
Rue de l'Hôtel des Monnaies 126-128, le Cénacle, arcade et
cour intérieure (Collection de Dexia Banque, avant 1930).
Le Cénacle, vue depuis le jardin (Collection de Dexia
Banque, avant 1903).
Le Cénacle, vue depuis le jardin (Collection de Dexia
Banque, avant 1914).
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Le Cénacle, aile ouest, arcade (Collection de Dexia Banque,
avant 1904).
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Le Cénacle, aile est, chapelle (Collection de Dexia Banque,
avant 1933).
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