Festival du Film de Sarlat du 11 au 15 novembre 2014

Festival du Film de Sarlat du 11 au 15 novembre 2014
Une année de plus les élèves de TL2 de l’option Obligatoire
Cinéma-Audiovisuel ont participé au Festival de Sarlat.
Le séjour a été très riche d’émotions et de rencontres. Les échanges
avec Jacques Audiard dont le film De battre mon cœur s’est arrêté
est inscrit au programme du Bac de cinéma pour les trois années à
venir, les conférences, les débats, les ateliers autour des métiers du
cinéma, ont servi à les confronter à la réalité du métier de cinéaste.
Et, parallèlement, se déroulait la compétition des films pour
emporter la Salamandre D’Or, décernée cette année au film La
famille bélier d’ Éric Lartigau. Les jeunes ont également décerné le
Prix du Meilleur Film à The search de Michel Hazanavicious.
Enfin, bonne nouvelle : nous ne sommes pas rentrés les poches
vides, car nous avons remporté le Deuxième Prix des Lycéens grâce
au court-métrage L’essence de la vie, tourné en 2014.
Un lien pour plus d’informations:
http://www.festivaldufilmdesarlat.com/
L’équipe de CIAV
Voilà quelques impressions laissées par les
élèves :
Sans cesse dans l’obscurité
Attentifs à ce que les artistes ont à nous montrer
Respectueux et admiratifs
Le cinéma
A Sarlat nous rend
Très heureux
Jeanne P.
Journée 1:
Lever tôt, arriver tard # Audiard
Journée 2:
Trois films d’Audiard, assiduité requise #
Lellouche
Journée 3:
Excitation, “Imitation Game” # Cumberbatch
Journée 4:
Fin films d’Audiard, “Discount”# Demolon
Journée 5:
Bérénice Béjo, Hazanavicious # Départ
Charles C.
Sarlat, jeudi 13 novembre 2014
Chère Ana,
Nous sommes actuellement à Sarlat, pour le Festival du film. C’est très
fatigant car le programme est très chargé, entre les projections des films et les conférences,
mais très intéressant aussi. Le programme lycéen est très complet.
On se voit très vite pour que je te montre mes photos de Bérénice Béjo et Gilles
Lellouche.
Des gros muxu,
Marie P.
Sarlat, un Festival qui fut éprouvant émotionnellement, par ses films aux sujets très
forts et prenants. L’ambiance de l’événement fut bonne-enfant et très chaleureuse :
nous avons rencontré des personnes passionnantes, aussi bien chez les intervenants
qu’au sein même du staff.
Juliette B et Juliette M.
Si le café n’avait pas été en distribution libre
Alors nous n’aurions pas pu survivre
Rien n’aurait pu nous faire tenir les yeux ouverts
L’absence de sommeil aurait été insoutenable !
Ah Sarlat, tu nous auras fait vivre inlassablement
Toutes ces heures de grand cinéma.
Joanna M. et Patxi A.
Bayonne – Bordeaux Saint Jean
Bordeaux Saint Jean – Sarlat
Sarlat - Bordeaux Saint Jean
Bordeaux Saint Jean – Bayonne
Entre ces deux phrases une semaine s’est écoulée
En nous s’est éveillé une joie refoulée
Tom G.
19h30. Train de retour à Bayonne
Je profite de ce moment dans le train pour me remémorer le moment
convivial que nous avons partagés autour d’une passion commune.
Les rencontres, les échanges, marqueront à jamais notre vie de cinéphiles
Juliette P.
L’écran blafard brûle les
Yeux fatigués tandis que
L’esprit est vif, est euphorique
Face aux images mouvantes
Un œil qui se gorge d’images
Jusqu’à l’implosion
Sa plénitude le contente
Malgré la fatigue
Juliette A.
19h08. Retour du Festival du Film de Sarlat
Après le visionnage de ces nombreux films riches et variés, nous prenons le train du
retour vers notre quotiden. Ces cinq jous intenses nous ont fait, non pas plus matures,
mais plus armés pour l’avenir. Artistiquement et humainement. Rien ne pouvait nous
faire plus de bien qu’un peu d’air frais, très frais…. Du sarladais.
Lisa I.
Sur mes lèvres naissent déjà les sourires lorsque résonne la vois de Jacques Audiard.
Emprisonnés par la magie des salles obscures, nos cœurs battent à l’unisson, regardant
les hommes tomber, mais toujours se relever, héros en chair et en os.
Lisa B.
Dans le train en direction de Bayonne
Après une semaine passée au Festival de Sarlat à visionner des films de tous genres, bons
et mauvais, nous rentrons à Bayonne épuisés, mais très heureux d’y avoir participé.
Juliette M.
Trainant mon frigo violet me tenant lieu de valise j’avançais. Découverte.
Débarrassée de ma valise je découvrais la ville avec ma classe d’audiovisuel. Émerveillement.
Après cela il y a eu : l’amusement, l’enchantement, la fatigue, l’émotion.
Et un nombre élevé de découvertes, toujours plus plaisantes … ou pas.
Maé-Salomé S.
Qualité !
Unité !
Expériences nouvelles !
Sarlat
Tranquillité, n’était pas le mot d’ordre.
Intrigant, intéressant.
Originalité de certains films.
Nuissance de ceratines personnes irrespectueuses de cet art,
Noble.
Exaltation.
Même si parfois…
Epuisée !
Nous rentrons.
Trésor infini !
Patricia S.