Dossier Salon de Bruxelles 2012-embarras du
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Dossier Salon de Bruxelles 2012-embarras du
>DOSSIER S A L O N D E B R U X E L L E S L’embarras du choix CONTRAIREMENT AUX ANNEES PRECEDENTES, C’EST AU PALAIS 11 DU HEYSEL QUE NOUS VOUS DONNONS RENDEZ-VOUS POUR DECOUVRIR LES NOMBREUSES NOUVEAUTES ET VALEURS SURES DE NOS DIFFERENTES MARQUES. UN SHOWROOM GEANT DE 6.500 M² OU LE PROFESSIONNALISME FAIT LA PART BELLE A L’ACCUEIL ET LA CONVIVIALITE. 8 Fleet Magazine 01/2012 SALON DE BRUXELLES u 12 au 22 janvier, le salon de Bruxelles ouvre ses portes au public pour la 90e fois de son histoire. En 1902, il se tenait au parc du Cinquantenaire et regroupait 82 exposants, majoritairement belges. Ce n’est qu’à partir de 1937 que les palais du Heysel, construits pour l’Exposition Universelle deux ans plus tôt, ont pris le relais. Aujourd’hui, si le lieu n’a pas changé, le Salon a su évoluer avec son temps, et vous pouvez trouver toutes les informations utiles sur Internet, mais aussi Facebook et Twitter. Sur place aussi, de nombreuses nouveautés vous attendent. C’est le cas, par exemple, d’une carte magnétique personnelle que vous pouvez obtenir gratuitement sur place (moyennant votre inscription à l’entrée du Salon) et que vous pouvez ensuite scanner sur des bornes installées sur plusieurs stands. Une fois rentré chez vous, vous avez D DOSSIER < l’occasion de télécharger les informations que vous avez sélectionnées. Une solution bien utile pour ceux qui ne désirent pas s’encombrer d’un sac pendant leur visite. P l u s d ’e s p a c e Pour les marques Volkswagen, Audi, SEAT et ŠKODA, cette 90 e édition apporte son lot de nouveautés. Tout d’abord, et contrairement aux années précédentes, elles sont toutes les quatre réunies dans un seul et même palais : le 11. Situé entre le palais 7 et le palais 12 qui accueille les dreamcars, le palais 11 s’étend sur 6.500 m². Une surface d’exposition largement plus importante que par le passé, en adéquation avec la croissance de la part de marché de l’ensemble de nos marques. En outre, la concentration des quatre constructeurs en un seul et même lieu suit également la tendance imprimée dans les autres grands salons internationaux, où les différentes marques du groupe Volkswagen sont réunies. Quant à l’espace Cleaner Mobility, réservé principalement aux véhicules électriques, il se situe au palais 7, avec un accès direct à la piste d’essai extérieure. Vous pourrez entre autres y découvrir le Velosolex et le e-Solex, mais également un exemplaire de la Golf électrique, qui est en plus active sur la piste d’essais extérieure. Sur le stand CNG Drive dans l’espace Cleaner Mobility, c’est un Caddy EcoFuel (au gaz naturel CNG) que vous découvrirez. < Fleet by D’Ieteren 01/2012 9 >DOSSIER S A L O N D E B R U X E L L E S A d é co u v r i r : u p ! , B e e t l e e t CC L’augmentation de la surface disponible suit également l’évolution du nombre de modèles présents dans chaque gamme. Chez Volkswagen, la up! signe le retour de la marque dans le segment des petites citadines avec un modèle ultra-compact particulièrement UP! reine de la ville Sous le capot, c’est un trois cylindres à essence qui officie, en deux niveaux de puissance au choix : 60 ou 75 CV. D’une cylindrée de 1,0 L, il affiche une consommation respectivement 4,2 moyenne de l/100 et km innovant. Il suffit d’ouvrir les portes ou le coffre de la up! pour se rendre compte qu’elle offre une habitabilité incroyable pour ses 3,5 mètres de long. Quatre adultes y prennent place sans le moindre problème. La up! redéfinit la mobilité urbaine. De son côté, la Beetle est de retour et réinvente un design gravé dans l’inconscient collectif. Avec 21,5 millions d’exemplaires, la Coccinelle est l’une des trois voitures les plus produites de tous les temps. Véritable légende, elle a traversé les époques en marquant de nombreuses générations. Quand les enfants dessinaient une voiture, c’était une Coccinelle. Quand les Américains achetaient une Volkswagen, c’était une Beetle. Quand les Belges profitaient du miracle économique des années 50, c’était au volant d’une Coccinelle. Et l’ADN est toujours là : la Beetle se distingue toujours par ses phares ronds, ses ailes gonflées et sa ligne de toit tendue. A l’intérieur aussi, les références à l’originelle sont nombreuses : certaines versions disposent par exemple d’une boîte à gants supplémentaire dont le couvercle s’ouvre par le haut. Enfin, la nouvelle CC gagne en exclusivité avec des nouveaux phares Bi-Xenon, des feux arrière LED, ainsi qu'un détecteur de somnolence auquel, en option, 4,3 l/100 km grâce notamment au système Stop-Start de la BlueMotion Technology. En option, Volkswagen propose un système de freinage d’urgence automatique permettant de réduire le risque d'accident en dessous de 30 km/h grâce à un capteur laser. Vo l ks wa g e n u p ! 10 Fleet Magazine 01/2012 SALON DE BRUXELLES peuvent s’ajouter de nombreux autres systèmes d’assistance. M a x i - vo l u m e , m i n i - co n s o m m at i o n Le stand Volkswagen accueille également la dernière génération des Caddy (Maxi ou non), Caravelle, Multivan et California. Le nouveau pick-up Amarok, disponible en deux ou quatre roues motrices avec deux déclinaisons du moteur 2,0 L TDI, vaut également le détour. Pour 2012, l’Amarok peut en outre être équipé d’une nouvelle boîte de vitesses automatique à huit rapports qui, en combinaison avec système Stop-Start, réussit le tour de force de moins consommer que la transmission manuelle. DOSSIER < BEETLE : l’originelle réinventée Plus espiègle, plus dynamique et plus masculine que la New Beetle sortie dans les années ‘90, la Beetle affirme et revendique sa sportivité. La voiture est non seulement plus basse, mais aussi beaucoup plus large. Le capot moteur s’est allongé tandis que le pare-brise, reculé, s’est sensiblement redressé. Plus grande de 15 cm que sa devancière, la Beetle offre de la place pour quatre adultes alors que le coffre passe de 209 à 310 litres. Bien en phase avec son époque, elle est proposée exclusivement avec des moteurs suralimentés dont la puissance varie de 105 à 200 CV. Cerise sur le gâteau : la version 1,6 L TDI se contente de 4,3 l/100 km (112 g de CO2/km) grâce à la BlueMotion Technology. Clin d’œil au passé : la zone située au-dessus du combiné radio peut accueillir un indicateur de température d’huile, de pression de suralimentation et un chronomètre. Vo l ks wa g e n B e e t l e M U LT I VA N BlueMotion Avec une consommation moyenne ne dépassant pas 6,4 l/100 km, le nouveau Multivan BlueMotion réalise de véritables prouesses énergétiques. Par rapport à son prédécesseur, le maxi-monovolume de Volkswagen diminue sa consommation de 0,9 l/100 km, alors que les émissions de CO2 reculent de 24 g/km (169 g/km). Un résultat qui a pu être obtenu grâce à l’excellent rendement du moteur 2,0 L TDI quatre cylindres Common Rail, mais aussi au système Stop-Start, à la récupération d’énergie, aux pneus à très faible résistance au roulement ainsi qu’à un peaufinage aérodynamique. Vo l ks wa g e n M u l t i va n Fleet by D’Ieteren 01/2012 11 >DOSSIER S A L O N D E B R U X E L L E S Au d i A 1 S p o r t b a c k A4 : moins, c’est mieux ! La consommation de la nouvelle Audi A4 en carburant diminue de 11 % en moyenne, et la version 2,0 L TDI 136 CV se contente de 4,2 l/100 km (112 g de CO2/km). Le système de détection de fatigue est de série sur tous les modèles, et l’Audi connect inclut désormais l’accès Internet. Au d i A 4 Ava nt 12 Cinq p o r t e s p o u r l ’A1 Juste en face du stand Volkswagen, Audi vous propose de découvrir plusieurs premières, à commencer par la toute nouvelle version 5 portes de l’A1. Si sa longueur et son empattement son identiques à ceux de la version 3 portes, l’A1 Sportback gagne 6 mm en hauteur et en largeur ce qui fait progresser la garde au toit et l’aisance aux coudes. Le coffre présente le même volume que celui de la version 3 portes, et l’A1 Sportback propose quatre places de série (cinq en option). Le moteur 1,6 L TDI ne consomme que 3,8 l/100 km (99 g de CO 2/km), que ce soit dans sa version 90 ou 105 CV. Courant 2012, l’offre se complétera d’un 1,4 L TFSI de 140 CV Fleet Magazine 01/2012 SALON DE BRUXELLES capable de couper automatiquement deux de ses quatre cylindres dans certaines circonstances. Une prouesse technologique qui lui permet de ne consommer que 4,7 l/100 km en moyenne tout en faisant preuve d’un grand dynamisme. Tro i s t hèm e s m aj eurs Parallèlement à l’A1 Sportback, le stand Audi du Salon de Bruxelles met l’accent sur trois thèmes majeurs : le poids, la connectivité et la propulsion électrique. Depuis de nombreuses années, la marque met son savoir-faire technologique au service de la réduction des masses, notamment en utilisant de nombreux composants en aluminium. Aujourd’hui réunis sous l’appellation Audi Ultra, les différents procédés visant à diminuer le poids des voitures permettent non seulement de réduire la consommation, mais bénéficient également à la sécurité et au confort. En matière de connectivité, l’Internet embarqué fait son apparition dans la Q3 et l’A4. Comme dans l’A8, l’A7 et l’A6, les Q3 et A4 permettent aux passagers de surfer et de traiter leur courrier électronique grâce à une borne WLAN. L’électromobilité constitue le troisième axe fort. Enfin, le programme e-tron (une A1 e-tron et une R8 e-tron seront exposées sur le stand) vise à exploiter l’énergie avec le moins de pertes possible. L’interaction précise des composants, leur mise en œuvre intelligente et la gestion DOSSIER < efficace des flux énergétiques sont issues de la compétence que s’est forgée la marque dans ce domaine. N o u ve l l e A 4 : une première belge L’Audi A4 revisitée est présentée en première belge, tant dans sa version berline que dans sa version Avant. L’A4 bénéficie d’une série d’améliorations en ce début d’année. Pare-chocs et optiques ont été redessinés tant à l’avant qu’à l’arrière, alors que l’habitacle propose un nouveau choix de volants et de sellerie. Les commandes ont encore gagné en intuitivité, et le système de navigation MMI présente quatre touches au lieu de huit. A6 : le poids, c’est l’ennemi Parfaite illustration de la stratégie de réduction du poids visée par Audi, l’A6 Avant s’est allégée de 30 kilos par rapport à sa devancière : la version 2,0 L TDI n’affiche que 1.640 kilos sur la balance et sa consommation moyenne ne dépasse pas 5l/100 km, soit 132 g de CO2/km. Au d i A 6 Ava nt Fleet by D’Ieteren 01/2012 13 >DOSSIER S A L O N D E B R U X E L L E S M i s s i o n ré u s s i e c hez ŠKO DA A côté du stand Audi, le stand ŠKODA vous offre entre autres un espace lounge pour vous permettre de découvrir toutes les facettes de la marque. Au niveau des voitures exposées, la MissionL GREENLINE : une gamme au grand complet De la Fabia à la Superb, tous les modèles de la gamme ŠKODA sont disponibles en version GreenLine. Parmi les différents éléments qui se combinent et se complètent pour former l’appellation GreenLine, on trouve des moteurs diesel Common Rail (1,2 L CRTDI pour les Fabia et Roomster et 1,6 L CRTDI pour les Yeti, Octavia et Superb), un système Stop-Start, la récupération de l’énergie à la décélération, une gestion optimisée du moteur, des pneus à faible résistance au roulement et une aérodynamique peaufinée. Ensemble, ces mesures autorisent une diminution sensible des rejets de CO2 et de la consommation. ne passe pas inaperçue. S’il s’agit encore pour l’instant d’un prototype, cette nouvelle ŠKODA présente des lignes très proches de la version de série et préfigure clairement la nouvelle berline compacte du constructeur tchèque. Visage expressif caractérisé par des optiques high-tech et par une calandre à lamelles verticales bordée de chromes, harmonie des proportions, lignes acérées : l’avenir est prometteur, d’autant que, comme toujours chez ŠKODA, l’espace à bord et les aspects fonctionnels ont fait l’objet d’une attention particulière. ŠKO DA Ro o m s t e r ŠKO DA S u p e r b Co m b i ŠKO DA Ye t i ŠKO DA O c t av i a 14 Fleet Magazine 01/2012 SALON DE BRUXELLES DOSSIER < ŠKO DA M i s s i o n L Superb : business class Véritable success story sur le marché fleet dans sa version Combi, la ŠKODA Superb n’en finit pas d’étonner. Proportions équilibrées, élégance naturelle, habitabilité record et confort exceptionnel : autant de qualités auxquelles s’ajoute une riche dotation d’équipements. Conçue pour faciliter la vie au quotidien, elle inaugure un système d’ouverture/fermeture des portes et de démarrage sans clé. Le hayon à ouverture électrique est de la même veine, alors que les installations audio et multimédia (dont le GPS Columbus à écran tactile et disque dur intégré) permettent d’activer toutes les fonctions de manière intuitive. S AVO I R- FA I R E tchèque Au moment de concevoir l’étude « MissionL », les designers de ŠKODA ont voulu évoquer le savoir-faire artisanal des tailleurs de cristal tchèques. A l’avant, la structure cristalline des coiffes de phares est caractérisée par des lignes acérées. A l’arrière, sur les flancs, trois lignes forment un triangle finement dessiné dans la carrosserie qui fait penser à du verre taillé. Enfin, la surface lumineuse blanche des feux arrière n’est pas sans rappeler l’éclat du cristal. Fleet by D’Ieteren 01/2012 15 >DOSSIER S A L O N D E B R U X E L L E S places arrière par les portes coulissantes (à commande électrique en option). Disponible avec cinq, six ou sept places assises, l’Alhambra dispose de sièges facilement escamotables dans le plancher et des assises pour enfants intégrés sont disponibles en option. Pas de problème non plus côté bagages puisque le volume du coffre varie de 885 l en configuration cinq places à 2.297 l lorsque seuls les deux sièges avant sont utilisés. S EAT : plaisir et respec t Bien en vue sur le stand SEAT, les versions Ecomotive de la gamme démontrent qu’il est parfaitement possible de concilier plaisir de conduite, polyvalence et respect de l’environnement grâce aux étonnants progrès réalisés en matière de motorisation. L’une des démonstrations les plus étonnantes de cette combinaison d’innovation et d’intelligence est l’Alhambra. Comme pour chaque modèle de la gamme SEAT, la sportivité et le plaisir de conduite vont de pair avec un haut niveau de fonctionnalité. Raison et passion, rationalité et plaisir : une équation que l’Alhambra résout avec brio en mariant dynamisme, maniabilité et espace intérieur comme aucun autre monovolume. Grâce à son remarquable rapport encombrement extérieur/espace intérieur, l’Alhambra accueille sans problème des adultes sur les sièges de troisième rangée. Même des personnes de grandes tailles peuvent accéder facilement aux Ecomotive Technolog y Le système Stop-Start et la récupération d’énergie à la décélération font partie du programme ALHAMBRA : déductibilité optimale L’Alhambra, dans sa version 2,0 L TDI de 136 CV, ne rejette que 143 g de CO2 si vous optez pour 5 places et 145 g dans sa configuration 7 places. De quoi lui permettre, dans un cas comme dans l’autre, de bénéficier d’une déductibilité fiscale optimale pour les sociétés. S EAT A l h a m b ra 16 Fleet Magazine 01/2012 SALON DE BRUXELLES DOSSIER < S EAT Exe o Ecomotive Technology qui accompagne en série toutes les motorisations de l’Alhambra. En circulation urbaine, il permet d’économiser en moyenne 4% de carburant. L’Alhambra récupère également l’énergie cinétique au freinage et à la décélération pour recharger la batterie, ce qui contribue à réduire la consommation. La qualité comme credo Pour le millésime 2012, l’Exeo renforce sa personnalité grâce à des phares avant au design affirmé, une calandre en nid d’abeilles redessinée, de nouveaux feux arrière à LED et des jantes 17 et 18 pouces inédites. L’habitacle reflète bien la qualité de la finition et adopte, entre autres, un nouveau revêtement en tissu. Sous le capot, l’Exeo voit sa consommation encore revue à la baisse, que ce soit en version berline ou ST. Outre la sportivité, ce sont la qualité et la précision qui définissent le mieux l’Exeo. La structure de carrosserie particulièrement rigide intervient de manière déterminante dans cette sensation de qualité, de confort et de précision. L’ajustement minutieux de tous les éléments intérieurs et extérieurs témoigne du soin avec lequel l’Exeo est construite à Martorell, près de Barcelone. Fleet by D’Ieteren 01/2012 La version break Exeo ST, largement plébiscitée en Belgique, en offre encore plus avec son large hayon s’ouvrant sur un volume de chargement compris entre 442 et 1.354 litres. Longue de 4,66 mètres, elle incarne la sportivité dans le segment des breaks moyens et constitue la partenaire idéale d’une vie active, qu’elle soit privée ou professionnelle. Bien à l’abri La SEAT Exeo est également l’une des voitures les plus sûres de son segment. En plus de la structure de carrosserie à haute résistance, elle possède un équipement de sécurité complet avec sept airbags (dont un airbag protègegenoux pour le conducteur), l’ESP avec ABS et répartition électronique de la force de freinage (EBV) ainsi qu’un système de surveillance de la pression des pneus. De nombreuses options à haute valeur ajoutée, telles que la navigation par DVD, des phares bi-Xenon à éclairage dynamique ou encore le système audio BOSE figurent au catalogue. EXEO : encore moins de CO 2 Les émissions moyennes de toutes les versions animées par un moteur TDI baissent de 7 g/km, tandis que la version ECOMOTIVE se contente de 5,2 l/100 km (5,3 l/100 km pour la ST), ce qui correspond à 129 g de CO2/km (132 g/km pour la ST). D’ici peu, l’adoption du système Stop-Start permettra même de descendre sous la barre des 120 g de CO2/km. O Ù , Q UA N D, comment ? Le 90e Salon de Bruxelles ouvre ses portes au public du jeudi 12 au dimanche 22 janvier, de 10 à 19 h. • Nocturnes : vendredi 13, lundi 16 et vendredi 20 jusqu’à 22 h. • Journée professionnelle : mercredi 11, uniquement sur invitation, de 10 à 18 h (avec cérémonie officielle d’inauguration à 16 h). Rendez-vous au Salon ou chez les concessionnaires des marques Volkswagen, Audi, SEAT et ŠKODA pour découvrir et essayer les différents modèles. • Tarifs : 12,5 euros pour les adultes, 6,5 euros pour les enfants de 6 à 12 ans, gratuit pour les moins de 6 ans. 17