Barbara Hendricks

Transcription

Barbara Hendricks

L’ AC T UALI T E D E S CO N C E RTS E T D E L’ OPE R A
[ n° 292 mars 2016 ]
Wagner
les Maîtres
chanteurs
de Nuremberg
Lu ca s D e bargue
© Mathias Edwall
Barbara Hendricks
soprano
Ian
Bostridge
Sofi
Jeannin
Laura Pannack / Bransch - LICENCES ES : 1-1075037, 1-1075038, 2-1075039, 3-1075040
l’Opéra n’attend que
VOUS
ABONNEMENTS SAISON
OPERADEPARIS.FR
#ONP1617
L’
édito
sommaire
DE Philippe MaiLlard
Le dossier
Wagner, Les Maîtres chanteurs
© D.R.
de Nuremberg2
8
à Paris
Portrait4
Barbara Hendricks
L’actualité des concerts6
© Bernard Bonnefon
concerto8
Copland, Concerto pour clarinette
Voix 10
Ian Bostridge
12
Piano12
Lucas Debargue
Chœur 14
© Radio France/Christophe Abramowitz
Le mois passé, le public parisien a pu
découvrir, à l’Opéra Royal de Versailles, Dante
de Benjamin Godard, opéra totalement
inconnu des mélomanes. Ce mois-ci, il pourra
entendre La Jacquerie, autre opéra méconnu,
cette fois d’Edouard Lalo. En juin prochain,
lui sera révélé Olympie de Gaspare Spontini,
encore un opéra français oublié… Derrière ces
curiosités, il y a des musicologues, des artistes
aventureux et, aussi, la formidable Fondation
Bru-Zane qui soutient depuis plusieurs années
la redécouverte du patrimoine français. Bien
évidemment tout n’est pas égal et certaines
œuvres qui dormaient depuis un siècle sur
les étagères, méritent probablement d’y
rester. Jugements de valeurs contestables ?
Probablement. Car, finalement, ce sont les
modes qui dictent le goût des mélomanes.
Ces modes constituent de véritables cycles qui,
selon les périodes, enterrent des pans entiers
de la musique pour en porter d’autres aux
nues, et vice versa. Ainsi, au début du xxe siècle,
Monteverdi était totalement inconnu du
public et il revint à Gian Francesco Malipierio
de le remettre à l’honneur. Dans les années
60, Anton Bruckner était franchement oublié
et il fallut Eugen Jochum et une intégrale au
disque de ses symphonies pour le réhabiliter.
Aujourd’hui, Richard Strauss et Mahler sont
à la mode, mais demain ? « La mode c’est ce
qui se démode », disait Cocteau. Tachons donc
d’être constants, de garder l’esprit en éveil
pour toutes ces œuvres inconnues proposées
à nos oreilles du xxie siècle. Heureuses
découvertes et bonne lecture !
Sofi Jeannin
en famille16
14
∙
CD
26
Pratique
27
Mémo
28
JEUDI 24 MARS 2016 ∙20H00
THÉÂTRE DES CHAMPS-ÉLYSÉES
∙
LAURENT PETITGIRARD ∙ D I R E C T I O N
BRAHMS ∙ SCHICKSALSLIED
PETITGIRARD ∙ GURU ET MARIE (SUITE)
TCHAÏKOVSKY ∙ SYMPHONIE N°6
« PAT H É T I Q U E »
WWW.ORCHESTRECOLONNE.FR
TEL. : 01 42 33 72 89
∙
MARDI 12 AVRIL 2016 ∙20H00
THÉÂTRE DES CHAMPS-ÉLYSÉES
∙
ROGER EPPLE ∙ D I R E C T I O N
ZYGEL ∙ LA VILLE
MAHLER ∙ SYMPHONIE N°6
«TRAGIQUE»
∙ LA MUSIQUE EST UN PARTAGE ∙
mars 2016 cadences
1
dossier
L’une des plus hautes incarnations
du génie humain, Richard Wagner
a renouvelé l’opéra et fondé
la musique de l’avenir.
dans une moindre mesure, française) et
de la prééminence qui en résultait, d’un
style musical « international », leur idéal
d’un art musical exprimant « l’âme du
peuple » a fini par rétroagir sur chacune
des trois écoles « internationales ». En
France, ce courant prendra un peu plus
tard la forme d’un retour aux richesses
du folklore et de la tradition populaire
illustré par d’Indy et ses disciples. En Allemagne (comme en Italie), la conscience
collective d’une unité nationale en train
©Franz Hanfstaengl
de se réaliser a servi de catalyseur : elle
explique certaines œuvres de Verdi (pris
d’ailleurs pour emblème de l’unité nationale) ; nul doute également qu’elle ait favorisé l’éclosion d’une partition aussi vis-
Richard Wagner
Les Maîtres chanteurs
de Nuremberg
du 1er au 28 mars – Opéra Bastille
Wagner, Der Meistersinger von Nürnberg
Orchestre & Chœurs de l'Opéra. Philippe Jordan
(direction) ; Stefan Herheim (mise en scène).
Avec Gerald Finley, Günther Groissböck, Bo Skovhus…
Cette truculente comédie lyrique est aussi un hymne à l’art
L
national allemand et un hommage à Johann Sebastian Bach.
céralement allemande que Les Maîtres.
Ainsi que l’écrit Marcel Schneider, « c’est
l’antidote au poison de Tristan. Après le
philtre de la sorcière irlandaise, Wagner
boit la bière bavaroise. Il découvre qu’il
aime aussi ses compatriotes, Hans Sachs
le cordonnier-poète et la charmante Eva
qui le délasse des exigences d’Isolde. »
Un opéra plus
allemand que nature
N
uremberg est l’un des lieux emblématiques de la germanité : l’action
se situe au
xvie
siècle, époque de l’essor de
la bourgeoisie des villes et de l’amorce du
déclin de la noblesse des campagnes. Ainsi
le jeune « junker » Walther, féru de chant
et de musique, est-il venu chercher fortune
es Maîtres chanteurs de Nu-
culente et savoureuse comédie lyrique,
à la ville. Hébergé par le riche orfèvre Po-
remberg se situent à part dans
aussi singulière par rapport à son œuvre
gner, il tombe éperdument amoureux de
l’œuvre de Wagner : après un
que Falstaff par rapport à celle de Verdi.
la fille de celui-ci, Eva, amour immédiate-
sombre drame d’amour et de
Profondément enracinée dans la terre et
ment et totalement partagé par l’intéressée.
mort (Tristan et Isolde), et en parallèle à
les traditions germaniques, cette parti-
Bienfaiteur des arts et membre influent de
son intrusion dans les mythiques tribu-
tion géniale peut être considérée comme
la toute puissante corporation des Maîtres
lations des dieux et des héros (La Tétra-
un effet en retour de l’essor des Écoles
chanteurs, Pogner n’accordera la main de
logie), il réintègre le monde des humains
nationales au cours de la seconde moitié
sa fille qu’à un membre de la confrérie :
pour chanter l’Allemagne de toujours, la
du
siècle. Si ces écoles apparaissent
tout prétendant doit donc sortir vainqueur
tradition, le patriotisme et un art jailli du
comme une réaction à l’encontre de la
de l’épreuve de chant annuel qui se tient le
sol et de l’histoire. Cela nous vaut une tru-
suprématie allemande et italienne (et,
jour de la Saint Jean – à condition, toutefois,
2
cadences mars 2016
xix
e
paris
Hans Sachs, le personnage
central de l'opéra, sera incarné
par le baryton canadien Gerald
Finley à l'Opéra Bastille.
que le prétendant soit accepté par la jeune
fille. Les chants présentés à ce concours
qui sont pour les vénérables membres les
incontournables garanties de la qualité et
de la pérennité de leur art. Le chant libre et
nouveau de Walther, qui prend sa source
dans les beautés de la nature et dans le
sentiment amoureux, est loin de satisfaire
© Sim Canetty-Clarke
doivent satisfaire à des règles très strictes,
Une miraculeuse
fusion du fond
et de la forme
à ces exigences formelles. Le personnage
P
ridicule du greffier Beckmesser repré-
torique réel), unanimement reconnu par
sente au contraire un art purement for-
les bourgeois des corporations et par le
mel, dépourvu d’inspiration véritable, sec
petit peuple comme le meilleur musicien.
et rebutant. C’est à ce vieillard grincheux
Nature encline au bien et à la générosité,
elle y est incorporée, « incluse comme le
qu’est dévolu le rôle de « marqueur » :
Hans Sachs a compris que loin d’être anti-
noyau dans le fruit » (Jules Combarieu). Le
noter sur un tableau les manquements
thétiques, l’innovation et la tradition se
chromatisme et l’harmonie romantique
aux règles commis par les candidats lors
complètent, et que l’inspiration et la tech-
font bon ménage avec le choral luthérien,
des épreuves. Beckmesser espère obtenir
nique formelle doivent faire bon ménage :
les inflexions populaires (chant du veilleur
la main d’Eva en sortant vainqueur des
une équation qui résume l’art de Wagner,
de nuit) et surtout une polyphonie ciselée,
épreuves auxquelles il compte se présenter
et, de fait, le compositeur s’est mis lui-
dans le sillage direct de Johann Sebastian
sans avoir à affronter de rival sérieux.
même en scène dans le personnage de
Bach, pour dépeindre les mœurs des habi-
Sachs. Non seulement l’art doit satisfaire
tants de l’antique cité et la vie des corpora-
aux exigences formelles réclamées par
tions avec un réalisme et une authenticité
l’élite dirigeante (la corporation), mais il
uniques. L’effusion lyrique conserve ses
doit également répondre aux besoins du
droits pour traduire avec finesse sentiment
peuple et conférer de la sorte aux mani-
amoureux et beautés de la nature (chant
festations musicales le caractère d’une
de Walther) ; ailleurs règnent une trucu-
manifestation collective : l’unité de la cité
lence et un humour dru et bon enfant ; une
réaffirmée dans la communion artistique.
richesse de formes parfois massive et une
Renonçant à Eva dont il est lui-même épris,
lourdeur voulue, à l’instar des festivités
il favorise le dessein des deux jeunes gens,
pompeuses affectionnées par nos sympa-
aide Walther à s’assimiler les règles et
thiques bourgeois, ajoutent au pittoresque
assure sa victoire sur le ridicule Beckmes-
du tableau. Wagner raille les formes com-
ser lors des épreuves solennelles. L’opéra
pliquées de la technique pédante en mon-
s’achève par un hymne à l’art national,
trant qu’il les maîtrise avec une éblouis-
Hans Sachs rendant hommage à la corpo-
sante virtuosité (fugue de l’émeute à la
ration qui a su grâce à ses règles conserver
fin de l’acte II). L’admirable ouverture,
les nobles traditions de l’art allemand, « et
construite sur les cinq motifs principaux
termine en faisant un chaud panégyrique du
de l’opéra, fait preuve d’une science du
génie et de l’art national, qu’il sent menacés
contrepoint sans égale : elle comporte une
par les vicissitudes que traverse l’Empire
section célèbre qui superpose en une ma-
et qu’il recommande au patriotisme et à la
gistrale polyphonie trois de ces thèmes. Ce
fidélité de tous. […] Toutes les mains applau-
passage peut être compris à la fois comme
dissent, les chapeaux s’agitent et le rideau
un prestigieux hommage à Bach et comme
se referme sur une véritable apothéose du
une savoureuse satire des élucubrations
poète populaire que les Maîtres chanteurs,
de certains « chiens savants » du xvie siècle.
dans un élan généreux, semblent désigner
Par son riche contenu philosophique et
comme leur chef à tous. » (Albert Lavignac).
idéologique autant que par son éblouis-
Comme son héros, Wagner se propose de
sante écriture, la comédie lyrique de Wa-
réconcilier la tradition et la nouveauté et
gner reste l’une des plus hautes manifesta-
de trouver l’idéal équilibre entre la perfec-
tions du génie allemand, et aussi l’une des
tion de la forme et la profondeur de l’ins-
plus originales.
Hans Sachs, alter ego
de Wagner
L
à intervient la figure centrale de l’opéra : le maître-cordonnier et maître-
chanteur Hans Sachs (un personnage his-
R
epères
1813 : naissance à Leipzig
1831-1833 : cours d’harmonie avec
TH. Weilig et études de philosophie
à l’université de Leipzig
1840 : Rienzi
1845 : Tannhäuser
1848 : Lohengrin
1854 : L'Or du Rhin
1856: La Walkyrie
1859 : Tristan et Isolde
1864 : est accueilli à la cour de Louis II
de Bavière à Munich
1867 : Les Maîtres chanteurs de
Nuremberg
1871 : Siegfried
1874 : Le Crépuscule des Dieux
1876 : inauguration du Festival de
Bayreuth avec La Tétralogie en
présence de Guillaume Ier
1882 : Parsifal
1883 : mort à Venise
eu d’œuvres réalisent une fusion si
intime du fond et de la forme. La mu-
sique n’est pas ici superposée à l’action ;
piration.
• Michel Fleury
mars 2016 cadences
3
PORTRAIT
Après avoir abordé le jazz, j'ai ressenti le besoin de remonter jusqu'aux racines de cette
musique, plus précisément à la partie de ces
racines que je ne connaissais pas, le blues.
Enfant, j'étais plongée dans le negro spirituals, cette musique sacrée a cappella chantée par les esclaves, que moi-même je chantais à l'église. En revanche, je ne connaissais
pas très bien le blues : mon père, qui était
pasteur, la considérait comme un peu profane et je ne l'écoutais guère à la maison.
Mon premier programme de blues, il y a dix
ans donc, m'a donné l'envie de continuer ».
La soirée de la Philharmonie représente
donc l'aboutissement d'un long processus musical : « Il y avait déjà un morceau,
Strange Fruit, que je garde au programme.
C'est autour de lui que j'ai commencé à faire
des recherches pour le concert de la Phil© Mattias Edwal
harmonie. Je me suis rendu compte que le
blues avait joué un rôle très important dans
la lutte pour les droits civiques menée aux
États-Unis par Martin Luther King, une
lutte à vrai dire commencée dès l'aboli-
Barbara Hendricks
la voix de la liberté
tion de l'esclavage, contre les lois ségrégationnistes qui séparaient les races et instituaient un système défavorisant les Noirs,
un système qui, d'une certaine manière,
persiste de nos jours ». Rappelons que ce
Strange Fruit que la grande Billie Holliday
en 1939 fut la première à chanter, évoque
le corps d'un homme pendu à un arbre et
ces lynchages commis à l'encontre des po-
Le 12 mars – Philharmonie 1
Negro spirituals & blues
Avec Mathias Algotsson (piano, orgue B3) ;
Max Schultz (guitare) ; Clas Lassbo (contrebasse) ;
Chris Montgomery (batterie)
S'il est une artiste classique ayant pris rang de véritable « icône »
auprès du grand public, c'est bien Barbara Hendricks. Elle vient à la
Philharmonie pour chanter le blues, répertoire éminemment lié à
pulations noires dans le sud des États-Unis.
Au service
de la musique
D
'autres figures et chansons mythiques
de la lutte pour les droits civiques
apparaissent dans ce concert : « Le deu-
cette lutte pour les droits humains qu'elle n'a jamais cessé de mener.
xième morceau qui s'est imposé dans ce pro-
'affection des mélomanes fran-
américaine marqua ces dernières décen-
une grande admiratrice de Ry Cooder qui a
çais à son égard n'a jamais fai-
nies par un engagement humanitaire
fait un arrangement de ce morceau. Ensuite,
bli : le 11 janvier 1996, ce fut
inlassable aux quatre coins du monde,
j'ai été très inspirée par Odetta, une femme
L
gramme, a été Down in Mississippi – je suis
son timbre cristallin qui plana
portant haut les couleurs du Haut-Com-
qui a été une grande activiste, qui faisait
sur la Place de la Bastille dans le Pie Jesu
missariat des Nations-Unies aux Réfugiés
plutôt de la musique folk – elle chantait et
du Requiem de Fauré lors de l'hommage
à partir de 1987.
jouait de la guitare –, et a marqué l'inter-
à François Mitterrand. Autant que par
Le programme qu'elle chante à la Philhar-
prétation de chansons telles que Blues eve-
sa voix, demandée en son temps par les
monie prend de ce fait une dimension his-
rywhere I go et It's hard, Oh Lord. Je peux
plus grandes maisons d'opéra et salles de
torique singulière : « J'ai décidé de me pen-
vous dire que j'aime tous les morceaux que
concert du monde, la soprano d'origine
cher sur le répertoire du blues il y a dix ans.
je chante dans le programme, mais ce sont
4
cadences mars 2016
Strange Fruit, Down the Mississippi et les
miers pas : « J'ai commencé dès l'enfance,
chansons d'Odetta qui m'ont vraiment ins-
car je n'hésitais guère à m'exprimer quand
pirée. J'ai fait tout le contraire de ce qu'on
je n'étais pas d'accord avec mon père, qui
fait habituellement dans la musique pop :
était un monsieur très strict et autoritaire
j'ai d'abord effectué mes tournées, j'ai fait
– à vrai dire, il n'appréciait pas toujours.
ensuite le disque. Ce fut au milieu de mes
Ensuite, je n'ai jamais laissé personne, hor-
tournées que j'ai décidé d'ajouter I wish I
mis mes proches, me dire comment je de-
knew how it would feel to be free, qui a
vais évoluer en tant qu'être humain ou en
été chanté notamment par Nina Simone. Il
tant qu'artiste. J'ai toujours essayé de me
y a eu aussi les chansons de Mavis Staples,
comporter comme une femme libre, d'être
la famille Staples ayant accompagné Martin
ma propre vérité. J'ai parfois annulé des
Luther King pendant des années ».
concerts, même avec des grands chefs, parce
La dimension historique d'un tel pro-
qu'en acceptant ces concerts, je n'aurais pas
gramme n'échappe pas à Barbara Hen-
été vraie envers moi-même. Cela a peut-être
dricks, même si elle ne pose guère de fron-
pu paraître naïf, mais je ne sais pas com-
tière entre les répertoires : « Je monte de la
ment me comporter autrement, de toute
même manière sur scène, qu'il s'agisse de
façon. J'ai besoin de pouvoir, à la fin de la
chanter un lied de Schubert ou du blues. Je
journée, me regarder dans le miroir et me
suis au service de la musique et la lutte pour
dire : voilà, j'ai donné le meilleur de moi-
les droits humains n'est jamais terminée.
même, sans hypocrisie ».
Elle continue non seulement aux États-Unis
La création en 2006 de son propre
mais partout dans le monde, si l'on considère
label, Arte Verum, participe aussi de
la situation de l'Europe avec les réfugiés qui
cette quête de liberté : « J'ai créé Arte
fuient la guerre. Ces principes qui doivent
Verum avant tout par envie de défendre
nous guider dans notre action pour les droits
un répertoire. Tous les grands labels
humains sont plus importants que jamais ».
cherchaient à faire du cross over parce
Le combat
pour la liberté
C
e combat pour la liberté a commencé,
3
pour Barbara Hendricks, dès ses pre-
© Mats Bäcker
couverture
Questions
que, à mon sens, ils avaient perdu confiance
1 Quel est votre bruit préféré ?
Celui de mon petit-fils.
en notre répertoire. On me disait que ni
Schubert, ni Schumann ou Brahms ne se
2 Quel est votre compositeur préféré ?
Celui du programme que je suis en
train de préparer pour le prochain
concert. Il y en a trop que j’aime pour
en préférer un.
vendaient, et c'était précisément la musique
que je chantais. Avant de penser à un label,
pendant quatre ou cinq ans, j'ai commencé
par enregistrer des archives pour moi, avec
un répertoire vivant que je chantais devant
3Quelle est l'œuvre que vous
emporteriez sur une île déserte ?
Les trios de Schubert.
4Quel est le compositeur dont vous
estimez qu'il n'est pas reconnu
à sa juste valeur ?
Hector Berlioz.
un public vivant, et non pas des projets
CD
que j'avais d'abord couchés sur le papier.
Je me suis dit que, cent ans plus tard, il y
Mozart, Airs sacrés
Academy of Saint Martin
in the Fields, Neville
Marine (direction)
1 CD Warner-Erato
aurait peut-être quelqu'un pour publier ces
archives que j'allais laisser à mes enfants.
Quand mon contrat avec Emi est arrivé à
son terme, mon producteur m'a dit qu'il était
5Quelle profession auriez-vous
épousée si vous n'étiez pas devenue
musicienne ?
Juge à la Cour suprême des états-Unis.
possible de créer un label immédiatement,
et qu'il n'était pas nécessaire d'attendre ma
Spiritual Christmas
Artistes divers
1 CD Arte Verum
mort pour que ces archives soient publiées.
Arte Verum est donc né de mon amour pour
6 V
otre livre de chevet ?
Le Livre tibétain de la vie et de la mort.
le répertoire que je chante. Mais vous savez,
qu'il s'agisse de programmes classique, jazz
ou blues, je suis le même principe : il faut
Blues everywhere I go
Max Schultz (guitare),
Mathias Algotsson (piano,
orgue), Clas Lasso (basse),
Chris Montgomery
(batterie)
1 CD Arte Verum
7 Quel est votre plat préféré ?
Une bonne omelette.
que ce soit des œuvres qui me touchent, qui
me donnent envie de les chanter ».
8Qu'emportez-vous toujours en
tournée ?
La déclaration universelle des droits
de l’homme.
Voilà sans doute le secret de l’intensité
de ses concerts et, de ce fait, de l’histoire
d’amour qu’elle partage avec ses admirateurs depuis tant d’années.
• Yutha Tep
mars 2016 cadences
5
Les concerts
à paris…
Benjamin Beilman
le 9 mars (Auditorium du Louvre)
Parmi les jeunes solistes apparus ces
dernières années, Benjamin Beilman
© Giorgia Bertazzi
figure sans conteste comme l'un des
espoirs à suivre. Après un premier
récital à l'Auditorium du Louvre en
2014, le violoniste américain apparaît
cette fois dans la série des concerts du
soir, preuve, à 27 ans, d'un talent mûr
que d'aucuns ont comparé, un peu prématurément bien sûr, à des
musiciens comme Ivry Gitlis ou Nathan Milstein. Son jeu, dans
lequel la recherche de perfection sonore ne fait jamais obstacle à
une irrésistible spontanéité, fera merveille dans un programme
entièrement mozartien aux côtés du pianiste Andrew Tyson.
Passion de Sondheim
du 16 au 24 mars (Théâtre du Châtelet)
Suite et fin du cycle Sondheim au Châtelet avec Passion, l'un des ouvrages
les plus personnels du maître amé© Y. Coupannec
ricain de la comédie musicale. Situé
dans l'Italie du
xixe
siècle, Passion re-
late l'amour obsessionnel d'un jeune
soldat pour la vieille cousine de son
colonel. Huit ans après Véronique,
c'est Fanny Ardant qui met en scène, un choix qui ne doit pas
surprendre quand on sait que Passion s'inspire d'un film d'Ettore
Scola sous la direction duquel la comédienne a joué. Casting de
luxe, Natalie Dessay en tête, et Philharmonique de Radio France
au grand complet, pour faire revivre ce magnifique ouvrage salué dès sa création par un Tony Award en 1994.
Pierre Jodlowski
le 18 mars (Maison de la Radio)
La création par l'Orchestre Philharmonique de Radio France d'Ultimatum de Pierre Jodlowski est le
© André Rau
fruit conjugué du Grand Prix Lycéen
des
Compositeurs,
indispensable
concours organisé par Musique Nouvelle en Liberté, et du travail du compositeur toulousain auprès de ces
mêmes lycéens suite à sa victoire au Grand Prix 2015. Le résultat
est une œuvre engagée, d'après un texte de Pessoa, créée la veille
en présence de 1200 lycéens, le jour même de la proclamation du
lauréat de l'édition 2016. Saluons au passage l'investissement du
directeur musical du Philharmonique, Mikko Franck, dans cette
formidable initiative de diffusion de la culture.
6
cadences mars 2016
et en île-de-france
Thierry Machuel
le 19 mars (Collège des Bernardins)
La Trilogie de la détention de Thierry
Machuel compte assurément comme
l'une des œuvres marquantes de
ces dernières années. Puissance du
texte, simplicité expressive, le compositeur français a utilisé dans Les
© D.R.
Parloirs les paroles des détenus de
Clairvaux (où il a été compositeur
en résidence), celles de leurs mères dans Les Lessiveuses puis
celles de victimes dans Les Victimes. Trois oratorios modernes
qui brossent un portrait implacable de notre époque mais dans
lequel pointe un humanisme cher à Machuel, et qui trouve
dans le Collège des Bernardins un lieu idéal de résonance.
Don Giovanni de Mozart
Versailles
les 17, 19 & 20 mars (Opéra)
Cette production du chef-d'œuvre mozartien nous vient de l'Opéra de Rouen
Normandie – ce sont les forces orchestrales de cette maison qui seront en
© Erik Berg
fosse. La mise en scène de Frédéric
Roels pourra compter sur une distribution fort homogène. Si l'on connaît
le Don Giovanni de Johannes Weisser
(il a gravé ce rôle avec René Jacobs), si le Leporello de Jean Teitgen
sera à n'en pas douter mémorable, on aura une oreille attentive
pour la Donna Anna qui s'annonce superbe de la norvégienne Birgitte Christensen, voix aussi contrôlée qu'opulente.
Chœur Aedes
Massy & Suresnes
le 23 (Opéra) & le 25 (Théâtre) mars
La musique se porte bien en France,
© Jean-Pierre Hakimian
si l'on considère la multiplication récente des nouveaux et très talentueux
ensembles. Deux parmi les plus en
vue du moment unissent leurs efforts
pour une Passion selon Saint Jean de
Bach. Les Surprises de Louis-Noël Bestion de Camboulas et le Chœur Aedes
de Matthieu Romano (c'est ce dernier qui dirige cette entreprise
commune) entourent une distribution de jeunes étoiles, autour
de l'Évangéliste de Fernando Guimaraes et du Jésus plus que prometteur de Victor Sicard (qui chante aussi les airs pour basse).
mars 2016 cadences
7
concerto
Véritable héros national, Aaron Copland
(1900-1990) a dominé la vie musicale
américaine entre les années 30 et
90, à l'instar de Leonard Bernstein.
daire clarinettiste de jazz Benny Goodman,
son dédicataire. L'idée qu'un musicien
jazz commande une œuvre à un compositeur classique n'était pas chose nouvelle
à l'époque : Woody Herman (1913-1987)
avait déjà commandé en 1945 à Stravinsky
en 1945 son Ebony Concerto. Aguerri au
répertoire classique (notamment Mozart),
Benny Goodman aura le flair de commander deux pièces appelées à rester durablement au répertoire : les Contrastes de
Bartók d'un côté, et le Concerto de Copland
de l'autre.
Il semble que la relation entre les deux
hommes n'ait pas toujours été au beau fixe
© D.R.
(même si Copland reconnut qu'il n'aurait
jamais composé de concerto pour clarinette sans la personnalité musicale de
Aaron Copland
Concerto pour clarinette
Goodman). En cause, les réticences du
clarinettiste à jouer la partition originale,
coupable selon lui d'abuser des registres
supérieurs de l'instrument dans le second
mouvement. D'abord réfractaire, Copland
allait finalement simplifier la partie soliste, comme en atteste l'enregistrement
que Goodman fit dans la foulée pour Co-
Le 15 mars – Salle Gaveau
Orchestre National d'Île-de-France, Case Scaglione
(direction) ; Jean-Claude Falietti (clarinette).
( + Tournée en Ile-de-France: Mennecy le 11, VilleneuveSaint-Georges le 12, Saint-Cloud le 13, Bagneux le 20)
Si la postérité a retenu les œuvres de Mozart et Weber, le Concerto
pour clarinette de Copland soulève toujours l'enthousiasme d'un
L
très large public, grâce à sa mélancolie et son énergie jazz
lumbia. Un second enregistrement suivra
en 1963.
Lyrisme doux-amer
L
a structure de l’œuvre est tout sauf
conventionnelle. On pourrait même
affirmer que les deux mouvements enchaînés offrent un des contrastes les plus
'éclectisme n'est pas à rejeter
style de Pierre Boulez. Ce qui lui fit dire
saisissants du répertoire concertant. Ce
dès lors qu'il s'agit de musique
dans un texte autobiographique : « J’ai
contraste poussera d'ailleurs le célèbre
classique. Prenez Aaron Co-
quelquefois eu l’étrange sensation d’être
chef d'orchestre Serge Koussevitzky à iso-
pland, compositeur américain,
divisé en deux, l’austère intellectuel mo-
ler le premier mouvement pour en faire
né d'immigrés juifs russes comme Gers-
derniste d’un côté, le compositeur acces-
une élégie à part entière, avant que Co-
hwin, formé à Paris auprès de Nadia
sible et populaire de l’autre. »
pland ne refuse, au prétexte qu'interpréter
Boulanger : s'intéressant aussi bien à
Le Concerto pour clarinette, que l'Orchestre
un seul mouvement reviendrait à « briser
la musique néo-classique de l'entre-
National d'Île-de-France emmène en tour-
l'intégrité » du Concerto.
deux-guerres qu'au be-pop et au jazz, il
née en mars, appartient délibérément à ce
Il est pourtant bien tentant d'isoler ce
deviendra l'un des rares compositeurs
second versant, même si on y décèle une
premier mouvement, l'une des musiques
classiques à remporter un Oscar (pour le
synthèse intime et très personnelle d’élé-
les plus émouvantes de la musique amé-
film L'héritière de Wyler en 1949) tout en
ments disparates. Écrit entre 1947 et 1949,
ricaine. Mêlée à une harpe envoûtante,
composant des œuvres sérielles dans le
le Concerto fut écrit à la demande du légen-
la clarinette fait entendre une douce et
8
cadences mars 2016
paris
Le clarinettiste Jean-Claude
Falietti sera accompagné
par l'Orchestre National
d'Ile-de-France.
pénétrante mélodie, dans lequel l’instrument fait valoir ses qualités lyriques et
expressives, soutenues par le balancement
vement peut également évoquer l’Adagio
du Concerto en sol de Ravel (que Copland
connut lors de ses études à Paris), il y a
quelque chose de profondément personnel
dans ce lyrisme « doux amer » que Copland
© Renaud Khann
aérien des cordes. Si le lyrisme du mou-
ment des slaps à la contrebasse, un piano
et une harpe utilisés de façon percussive
dans une course poursuite digne parfois
d'un cartoon de Tex Avery. Au pinacle éga-
décrivit lui-même comme l’expression
éventuelle d’un sentiment de solitude dû
ricaines et de jazz qui triomphent dans le
à une forme d’aliénation sociale (Copland
second mouvement. Car, et c'est l'apanage
écrivit l’œuvre en plein maccarthysme) et
des chefs-d'œuvre, le Concerto pour clari-
une homosexualité pleinement assumée.
nette de Copland brosse un large panorama
Une œuvre
panaméricaine
C
matique et ses grands sauts d'intervalle à la
clarinette, achève le concerto dans la plus
formidable brillance.Se refermant là où la
Rhapsody in blue de Gershwin débute, le
est secret et intime, autant le second ex-
Concerto de Copland offre l'un des fleurons
plose de vie et de panache. Ce final ludique
les plus achevés du répertoire concertant
et plein d'esprit présente une synthèse
habile entre une mélodie brésilienne (réa-
à la grande différence de nombreux
lisant par ce biais le désir d'une œuvre pa-
concertos où la cadence intervient à la fin
naméricaine) que Copland aurait entendue
du premier mouvement, celle de Copland
à Rio en 1947 et des éléments jazz destinés
ne permet pas seulement de montrer toute
à mettre en valeur le soliste. N'ayant pas de
la virtuosité du soliste mais introduit éga-
percussions à sa disposition, Copland mul-
lement des éléments de mélodies sud-amé-
tiplie en effet les techniques jazzy, notam-
JOYCE DIDONATO :
SPLENDEURS BAROQUES
américain.
Accueillie
fraîchement,
l'œuvre
Piper de Jérôme Robbins, le futur chorégraphe de West Side Story en 1951, et n'allait ensuite plus jamais quitter l'affiche.
• Laurent Vilarem
CONCERTS
Chapelle Royale
Bach : PASSION SELON ST MATTHIEU
Opéra Royal
9
MARS
Julian Prégardien, Stéphane Degout, Christian Immler, Sabine Devieilhe,
Maïlys de Villoutreys, Damien Guillon, Lucile Richardot, Samuel Boden,
Thomas Hobbs, Virgile Ancely, Geoffroy Buffière
25 26 MARS
Ensemble Pygmalion – Direction Raphaël Pichon
Mozart : DON GIOVANNI
OPÉRA
allait
connaître le succès grâce au ballet Pied
SEMAINE SAINTE
Airs de Haendel, Purcell, Monteverdi
Il Pomo d’Oro – Direction Maxim Emelyanychev
Joyce DiDonato © Pari Dukovic ; William Christie © Denis Rouvre ; Raphaël Pichon © Francois Sechet
cades d'accord, sa brillante gamme chro-
d'émotions : autant le premier mouvement
hangement de cap pour la cadence.
CONCERT
lement, la coda en ré majeur, avec ses cas-
Bach : MESSE EN SI MINEUR
Katherine Watson, Emmanuelle de Negri, Tim Mead,
Reinoud Van Mechelen, André Morsch
Opéra Royal
Johannes Weisser, Jean Teitgen, Birgitte Christensen, Anna Grevelius,
Marcel d’Entremont, Laura Nicorescu, Matthew Durkan, Patrick Bolleire
Les Arts Florissants – Direction William Christie
Choeur accentus / Opéra de Rouen Normandie
Orchestre de l’Opéra de Rouen Normandie
Direction Leo Hussain
Mise en scène Frédéric Roels
Mozart : REQUIEM
27 MARS
Caroline Mutel, Karine Deshayes, Mathias Vidal, Nicolas Courjal
17
19 20 MARS
Les Nouveaux Caractères – Direction Sébastien d’Hérin
2
3
AVR.
RÉSERVATIONS • 01 30 83 78 89
www.chateauversailles-spectacles.fr
chateauversailles.spectacles
mars 2016 cadences
9
voix
Réputé pour ses rôles à l'opéra
et en récital, le ténor anglais Ian
Bostridge a fait paraître plusieurs
ouvrages sur la musique.
et des textes. Parce que je vis la musique,
j'ai besoin de savoir le sens des mots et
d'étudier la façon dont ils étaient chantés
à l’époque… »
Un goût pour la recherche qui n’est pas
étranger au passé d’universitaire de celui
qui s’est décidé à l’âge tardif de 30 ans à
embrasser définitivement une carrière de
chanteur. Issu d’une famille « pas particulièrement mélomane », le jeune Bostridge
est le pur produit de ce que le système scolaire britannique fait de mieux en matière
© Ben Ealovega
d’apprentissage de la musique. En intégrant à huit ans la chorale de la petite ville
de banlieue londonienne où il grandit, puis
en découvrant Schubert ou Bach grâce à
Ian Bostridge
l’ensorceleur
Le 21 mars – Théâtre des Champs-Élysées
Lully, Purcell, Rameau, Händel
Les Talens lyriques, Christophe Rousset (direction)
zélé qui lui fera notamment chanter Le
Pâtre sur le rocher, le futur chanteur développe très tôt un appétit pour la musique
baroque et la mélodie romantique.
Un apprentissage qu’il mènera un temps
de front avec des études supérieures de
philosophie et d’histoire, le poussant
jusqu’à cet étonnant sujet de thèse sur la
sorcellerie dans l’Angleterre du xviie siècle,
avant qu'il fasse un choix : « Bizarrement,
il m’a paru plus simple de devenir chanteur,
mais ce n’était pas vraiment un plan. Je
pense que j'avais tout simplement dit tout
Le 23 mars – Théâtre des Champs-Élysées
Bach, Passion selon Saint Jean
ce que j’avais à dire sur mon sujet. Peut être,
si j’avais trouvé un autre sujet d’étude inté-
De la musique baroque à Britten, Ian Bostridge est de ces artistes
qui se construisent patiemment sans attendre d’autre retour que le
plaisir d’approfondir les œuvres et d’en détenir les clés. Rencontre.
I
un professeur de collège particulièrement
ressant, je ne serais pas devenu chanteur ! »
Puis les choses s’enchaînent très vite : un
Gramophone Award, des engagements
un peu partout en Europe et des médias
l le concède volontiers, Ian Bos-
« intellectuel », possède une intelligence
curieux d’en savoir plus sur cet interprète
tridge ne correspond pas vraiment
qu’on prête rarement à sa corporation :
hors normes.
à l’image type du ténor : « C’est vrai
« En Angleterre, on est très suspicieux
Un cheminement qui le mènera sur les
qu’on imagine plutôt un petit brun
vis-à-vis des intellectuels. L’intellectuel
scènes les plus prestigieuses du monde,
râblé, or je suis blond, grand et mince…
est synonyme de révolution. Pour un
mais ne le propulsera jamais vraiment
et je ne chante pas comme Pavarotti ! »
homme politique, il est plus valorisant
au rang de star de l’opéra : « Je n’ai ja-
Et l’on pourrait ajouter, qu’en plus d’un
de serrer la main d’une pop star ou d’un
mais fait beaucoup d’opéra, d’abord parce
répertoire opératique « qui s’arrête vers
footballeur que d’être photographié en
que je n’aime pas être loin de chez moi
1800 et reprend autour de 1900 », le chan-
sortant de l’opéra ! Plus sérieusement, je
trop longtemps. Et puis, mon répertoire à
teur, malgré une modestie toute britan-
considère qu'il est important d'avoir une
l’opéra reste limité. Mais cela me convient
nique qui le pousse à refuser le terme
approche plutôt approfondie des œuvres
très bien parce qu’il y a beaucoup d’autres
10 cadences mars 2016
paris
© Ceric Larrayadieu
Christophe
Rousset dirigera
son ensemble Les
Talens Lyriques.
choses à faire. Et je ne renonce pas pour autant à l’aspect théâtral
de mon métier. »
Peindre avec les mots
P
our son premier concert avec Christophe Rousset, le britannique s’est laissé guider par le « charismatique » chef français,
se laissant imposer avec plaisir les airs du programme, parmi lesquels, des extraits d’opéras de Lully ou Rameau qu’il confesse ne
pas avoir chanté depuis longtemps : « C’est un répertoire très difficile à aborder car il y a aujourd’hui des artistes spécialisés comme
les Arts Florissants qui ont développé un vrai style. Mais je pense
qu’il est intéressant d’avoir sa propre manière de faire. Cette musique française a une coloration et un traitement harmonique différents, dont résulte un ressenti bien plus émotionnel. Il s'agit d'une
musique très contrastée, passionnée, certes moins extravertie que la
musique italienne… »
Un amour du répertoire baroque que le chanteur ne trouve pas
incongru dans son approche de la musique, lui qui s’est surtout
distingué pour ses interprétations des lieder de Schubert : « Cette
musique ressemble beaucoup à ces lieder, car l'interprète y possède
aussi une certaine liberté. Après tout, cela revient à la même chose :
peindre avec les mots. »
Ne le dites pas au chef !
D
eux jours seulement après cette « Charming night », le chanteur reviendra sur la scène du Théâtre des Champs-Élysées
pour interpréter le rôle qu’il a sans doute le plus chanté dans sa
carrière, celui de l’Evangéliste dans la Passion selon Saint Jean de
Johann Sebastian Bach : « Ne le dites pas au chef mais c'est vraiment l'évangéliste qui a la charge de raconter l'histoire ! J’ai souvent
chanté cette Passion sous la direction de Stephen Layton qui la donne
chaque Vendredi Saint à Londres, c’est une œuvre sublimement dra-
Jeudi
3 mars
20h
matique que je ne me lasserai jamais de chanter. La manière dont les
mots et la musique, se mélangent peut se concevoir de mille façons
différentes. » En ce moment, toujours entre plusieurs répertoires,
tandis qu’il concocte un autre programme de lieder de Schubert
(« c’est un répertoire inexhaustible ! ») et qu’il se prépare à chanter Britten à La Scala, Ian Bostridge écrit un livre sur Monteverdi,
mais préfère aborder un autre sujet pour conclure : « En fait ce
dont je rêverais c’est qu’un éditeur français publie mon livre sur Le
-
Voyage d’Hiver qui a été déjà traduit en 9 langues ! Ecrivez-le ! » à
bon lecteur…
• Albina Belabiod
mars 2016 cadences
11
piano
Né en 1990, Lucas Debargue
a remporté le 4e prix à la
quinzième édition du Concours
Tchaikovski de Moscou.
hevskaya qui enseigne à l’école Normale
Alfred Cortot et au CRR de Rueil-Malmaison a été pour moi un déclic. Je continue à
travailler avec elle et on peut passer des
heures à discuter de la place de la pédale
ou de la sourdine dans le premier mouvement de la Sonate « Clair de lune » de Beethoven. Grâce à elle, j’ai pu me préparer
à la compétition internationale dans des
conditions exceptionnelles. »
Lucas Debargue ne se contente pas d’avoir
© Bernard Bonnefon
la tête dans les étoiles, il est conscient
qu’après sa récompense, de nombreuses
propositions venues du monde entier le
contraignent à un travail méthodique :
« Actuellement, j’ai à mettre au point trois
Lucas Debargue
Piano surdoué
programmes de récitals et six concertos, ce
qui est énorme, mais je suis de plus en plus
attiré par l’ordre, l’organisation, la clarté
qui sont les fondements de la musique bien
que ma personnalité reste attachée à la
liberté si présente dans l’improvisation et
dans le jazz pratiqué en autodidacte. Si je
me trouve confronté à une difficulté, rien ne
sert de s’entêter. En ce moment, je m’attelle
à la Sonate de Liszt, une œuvre redoutable
qui pose des problèmes non seulement tech-
Le 24 mars – Fondation Louis Vuitton
Mozart, Chopin, Liszt, Ravel
niques mais intellectuels. Il suffit que je
change d’air à la terrasse d’un café pour,
qu’à mon retour, tout se résolve au clavier.
Porté sur le pavois par le public moscovite, Lucas Debargue
Au demeurant, je préfère étudier les œuvres
apparaît, à vingt-six ans, comme un ovni dans le ciel pianistique.
à la table de travail plutôt que sur mon ins-
Une raison nécessaire et suffisante d’aller le découvrir
trument. »
à la Fondation Louis Vuitton pour « Piano nouvelle génération ».
Compositeur à ses heures, cet interprète
I
nconnu
ouvert à tous les arts, intéressé autant
des
mélo-
même temps le piano au Conservatoire de
par la littérature que par les expositions
Debargue,
jusqu’alors
jeune
Compiègne, mais ne pensais pas en faire
de peinture, se révèle capable de toutes
homme longiligne, prolixe et volon-
carrière. à l’Université Paris VII Diderot,
les métamorphoses. à la Fondation Louis
tiers rêveur est devenu, depuis le
j’ai obtenu un Master en Lettres et Arts
Vuitton, il présentera un programme exi-
Concours Tchaïkovski 2015, une star sans
sur la réception du Sacre du Printemps
geant avec notamment Gaspard de la nuit
qu’il y attache vraiment d’importance :
de Stravinski lors de sa création en 1913
de Ravel, une partition qui lui colle à la
« J’ai vécu un moment d’effervescence, de
au Théâtre des Champs-Élysées. » à l’âge
peau et lui a valu de remporter à Moscou
griserie ; en fait, ce que je préfère avant
de seize ans, il s’éloigne du clavier mais
le Prix spécial des critiques. « Un génie »
tout, c’est jouer devant le public. » La vie
n’abandonne pas pour autant sa passion
selon Boris Berezovski, membre du jury du
personnelle de Lucas aurait pourtant pu
pour la musique : « La rencontre quatre
Concours, et qui sait de quoi il retourne !
prendre d’autres chemins : « J’ai passé un
ans avant le Concours Tchaïkovski, avec
baccalauréat scientifique et pratiqué en
la grande pédagogue russe Rena Sheres-
manes,
Lucas
• Michel Le Naour
Croisière « Festival de piano en mer »
Alain Duault
À bord d’un luxueux yacht à taille humaine et le temps d’une croisière, Alain Duault,
animateur sur Radio Classique et directeur artistique de la croisière, vous fera partager sa
passion pour les différents univers musicaux du piano, du grand romantisme au tango ou de
la virtuosité lyrique au jazz - avec six pianistes stars qui partageront cette semaine avec vous,
de Nikolaï Lugansky à Jean-Marc Luisada, François Chaplin, Marcela Roggeri, Gent Tukiçi,
Dimitri Naïditch, et le clarinettiste Rémi Delangle.
De Rome - Civitavecchia (Italie) à Dubrovnik (Croatie), du 29 avril au 6 mai 2016
Tarif à partir 3 420 € par personne (1)
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Document et photos non contractuels.*0.09 € TTC / min. Crédits photos
: © PONANT / Fotolia / Alexis Harnichard / François Lefebvre / Corbis
www.ponant.com
chœur
Directrice musicale de la Maîtrise
de Radio France, Sofi Jeannin a
été nommée à la tête du Chœur
de Radio France en juin 2015.
tôt surprise que la présidence de Radio
France me propose la charge de cette formation. Je n'ai pas réfléchi très longtemps,
j'ai rapidement dit oui. »
Rayonnement
international
Q
ui dit double poste (Maîtrise et Chœur)
implique bien sûr une connaissance
parfaite des arcanes complexes de la Maison de la Radio, mais aussi une vision qui
excède parfois le strict domaine artistique.
Première mission, musicale d'abord :
redonner confiance au Chœur de Radio
France, trop longtemps sous-employé :
Sofi Jeannin
la passion du chœur
« Pour que le groupe se sente soutenu totalement par la maison, j'ai tout de suite eu
envie d'augmenter leur nombre de concerts.
J'ai commencé à établir des partenariats
avec les autres formations de Radio France,
comme le Philharmonique et le National,
pour renforcer les collaborations. Et pour
qu'il y ait une offre chorale importante dans
la saison de Radio France, j'ai aussi divisé
les effectifs pour multiplier les productions
Le 25 mars – Maison de la Radio
Purcell, Haydn, Martland
Philharmonique & Chœur de Radio France
(+ le 24 mars à Saint-Quentin-en-Yvelines)
et être présent sur différents répertoires,
comme le chant a cappella ou la création
contemporaine, afin d'élargir la palette d'expression du chœur. »
Directrice de la Maîtrise et du Chœur de Radio France, la cheffe
Seconde mission, plus politique celle-ci :
franco-suédoise replace la voix au centre des concerts de la
veiller à préserver la diversité et la parité,
Maison de la Radio. Rencontre avec l'une des personnalités les plus
notamment en invitant suffisamment de
attachantes du milieu musical parisien.
cheffes (la féminisation du mot est volon-
l'heure où les grandes institu-
rise, tout en effectuant une vraie action
aucune réticence lors de ma candidature, je
tions annoncent leur nouveau
de terrain dans les quartiers difficiles
pense qu'il manque encore des rendez-vous
directeur artistique à grands
de Bondy et les chorales amateurs. Sa
réguliers afin que les femmes puissent sentir
renforts de conférences de
titularisation au Chœur de Radio France
qu'une carrière est possible et s'identifier.
presse, la nomination de Sofi Jeannin à
n'aura donc surpris personne, à l'excep-
Cela est d'autant plus important qu'à Radio
la tête du Chœur de Radio France se sera
tion peut-être de la principale intéres-
France, on bénéficie d'un rayonnement na-
faite dans la continuité, comme une évi-
sée : « J'avais commencé à travailler avec
tional. Chacun de nos concerts est diffusé
dence. à la tête de la Maîtrise, la cheffe
le chœur en 2014 et j'avais beaucoup
dans le pays, ce qui crée une motivation et
franco-suédoise mène depuis 2008 un
apprécié la rencontre avec les musiciens.
une pression artistique supplémentaire. »
formidable travail avec ce mélange d'au-
Après, je n'aurai jamais imaginé que j'al-
Au cœur de la pratique de notre cheffe, on
torité et de bienveillance qui la caracté-
lais en prendre la direction. J'ai été plu-
le voit, il y a cette idée de service public à
à
taire) et de compositrices : « Si je n'ai senti
paris
Le Chœur
de Radio France
a été créé en 1975.
laquelle Sofi Jeannin est profondément attachée. N'étant pas issue
d'une famille de musiciens, Sofi (qui a grandi en Suède avant de
faire ses études à Nice) milite pour un large accès à la musique et
au chant en particulier: « Je pense qu'en France, il existe une vraie
curiosité à l'égard du chant. Le succès de films comme Les Choristes
ou La Famille Bélier le prouve ; mais je sens qu'il existe encore
quelques appréhensions. En Suède, le pays d'où je viens, les gens ne
sont pas complexés par le fait de chanter, et un dixième des Suédois
chante dans un chœur. Je pense que cette méfiance provient en partie
de la rupture du lien entre l'état et l'église en France, ainsi qu'avec
certaines traditions locales et régionales. Je ne fais que deviner, mais
en revanche j'aimerais vraiment inciter tout le monde à s'inscrire
dans un chœur ! »
Enthousiasme et transmission
O
n aura une bonne preuve de son enthousiasme et de sa soif
d'aventures musicales avec ses concerts de mars. Outre la
préparation du chœur pour une symphonie de Mahler dirigée
par Gustavo Dudamel, Sofi Jeannin dirigera également l'Orchestre
Philharmonique de Radio France. Une expérience qui, si elle n'est
pas nouvelle pour elle, reste rare : « J'ai toujours beaucoup aimé la
direction d'orchestre qui me fascine énormément, d'autant que j'ai
une double formation. Mais l'art vocal reste ma première vocation
et puis je me sens tellement bien avec les chanteurs ! Pour un programme, on bénéficie de plus de temps qu'avec un orchestre, si bien
qu'on a le temps de construire des choses, de modeler les sons. On
suit les envies et les désirs de chacun au quotidien, ce qui crée des
liens extrêmement forts. Bien sûr, il y a parfois des tensions mais la
gestion humaine est passionnante. »
Quant à son concert du 25 mars, elle nous le présente avec son
élan coutumier : « La Messe Nelson de Haydn est la pièce principale du programme. Haydn l'a sous-titrée « Missa in angustiis »,
écrite dans un temps d'angoisse. C'est une pièce avec une puissance
dramatique très forte et poignante. Et que l'on soit familier ou non
de l'œuvre, cela n'a pas d'importance car on est transportés par la
force de la musique qui est constamment surprenante. J'ai tenu également à associer la pièce avec la Music for the funeral of Queen
Mary de Purcell, qui est d'une incroyable modernité. Et puis je voulais faire découvrir un compositeur anglais disparu en 2013, très
peu joué en France, Steve Martland. Sa pièce Eternity's Sunrise offre
un beau reflet par rapport à celle de Purcell. » Pas de doute, avec un
programme aussi original, passion et transmission sont plus que
jamais les deux pôles moteurs de Sofi Jeannin.
• Laurent Vilarem
mars 2016 cadences
15
e n f a m i ll e
La musique classique à découvrir en famille
• La sélection de Paula Pichintini Chapotel
John
Williams
Ce n’est pas du cinéma, toutefois il suffit de fermer les yeux pour
revoir les scènes illustrant ces thèmes musicaux. Laurent Petitgirard est aux commandes devant l’Orchestre Colonne. Guillaume Connesson, chef du Chœur Ocup, complète l’équipe de ce
concert hommage à John Williams. Compositeur des musiques
les plus captivantes du cinéma hollywoodien, John Williams a
INVENTION
Dès 6 ans
© Maîtrise des Hauts-de-Seine
© Fondation Culture et
Action
Dès 5 ans
plupart des films tels que Harry Potter, E.T., Star Wars, Indiana
L'Enfant et les sortilèges
Jones, Superman, Jurassic Park ou encore Les Dents de la mer.
Cette fantaisie lyrique composée par Maurice Ravel avec la plume
Ces musiques qui nous font toujours rêver, voler, sursauter…
complice de Colette est un véritable bijou du répertoire pour en-
Le 20 mars (11h) – Philmarmonie 1
Orchestre Colonne, Laurent Petitgirard (direction)
8-10 €. Tél.: 01 44 84 44 84
fants et adultes. Gaël Darchen, reconnu comme l’un des meilleurs
notamment travaillé avec S. Spielberg dont il a musicalisé la
EMOTION
Dès 4 ans
spécialistes des voix d’enfants, assure la direction artistique et
la mise en scène de cet opéra avec l’ensemble Instrumental des
Hauts-de-Seine-Chœur d'enfants et chœur de chambre de la Maîtrise des Hauts-de-Seine. « Que penseriez-vous de la tasse et de la
théière chantant un ragtime ? », demande Ravel. « Qu’une terrifiante rafale de music-hall évente la poussière de l’Opéra ! Allez-y !
Je suis contente de savoir que vous pensez toujours au Divertissement pour ma fille », lui répond Colette. Et voilà que l’œuvre
© D.R.
est créée le 21 mars 1925 à l’Opéra de Monte-Carlo. Un univers
Max et les
Maximonstres
féérique, celui de l’enfance avec tout ce qu’il peut avoir d’ordinaire et de merveilleux à la fois : les devoirs à faire, les contes,
les caprices, les objets du quotidien, les animaux, les punitions, la
nature, une princesse, le réel transformé en rêve, l’innocence et
l’inconditionnel amour maternel. Tous ces éléments font partie
Un jour, Max fit une bêtise, puis encore une autre... jusqu’à ce
de la grande mosaïque de péripéties fantastiques qui composent
qu’il accosta au pays de Maximonstres ! Encore une histoire
L’enfant et les sortilèges, le premier opéra spécifiquement écrit
d’enfant, de rêves et de bêtises. Cette fois-ci, nous plongeons
pour les enfants. Fasciné par les pays exotiques, Ravel a utilisé
dans un de plus formidables livres de la littérature enfantine,
brillamment différents genres musicaux dans la composition
écrit et magnifiquement illustré par Maurice Sendak. À la
de cette pièce, comme le jazz, le ragtime, la polka, le menuet, la
barre, Richard McNicol nous raconte l’histoire tandis que les
valse ainsi que la musique orientale. Cet extraordinaire tableau
musiciens de l’Orchestre de Paris nous font naviguer parmi des
musical nous propose avant tout une magnifique réflexion sur le
extraits du Sacre du Printemps de Stravinski, d'Offenbach, de
monde de l’enfance.
Mozart et d’un Duo pour violon de Bartók. Faisons voile à nou-
Faisons-nous tout petits devant cette grande œuvre lyrique !
veau jusqu’à… la Philharmonie !
Les 19 & 30 mars – Théâtre des Champs-Élysées
Ensemble instrumental et Maîtrise des Hauts de Seine. Gaël
Därchen (direction et mise en scène)
10-15 €. Tél.: 01 49 52 50 50
Le 13 mars – Philharmonie 1 (Salle de conférence)
Musiciens de l'Orchestre de Paris. Richard McNicol (récitant)
Entrée libre. Rés. sur 01 44 84 44 84
paris
[ mars ]
1
er
mardi
Bach, Händel, Mendelssohn
Solistes de la Maîtrise Notre-Dame
de Paris ; Isabelle Savigny, soprano ;
Clotilde Cantau alto ; Damien Rivière,
ténor ; Pierre de Bucy, basse ; Yves
Castagnet orgue.
20h30. Cathédrale Notre-Dame de Paris.
15-25 €. Tél. : 01 44 41 49 99.
2 MERCREDI
Rossini, Il Barbiere di Siviglia
Orchestre & Chœurs de l'Opéra.
Dir. : Giacomo Sagripanti. Damiano
Michieletto, mise en scène. Avec
Lawrence Brownlee, Nicola Alaimo, Pretty
Yende, Alessio Arduini, Ildar Abdrazakov…
19h30. Opéra Bastille.
5-162 €. Tél. : 08 92 89 90 90.
Nielsen, Beethoven, Sibelius
Orchestre de Paris. Dir. : Paavo Järvi.
Radu Lupu, piano ; Vincent Lucas, flûte.
20h30. Philharmonie 1.
10-40 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
3 JEUDI
Verdi, Il Trovatore
Dir. : Daniele Callegari. Alex Ollé, mise
en scène. Avec Vitaliy Bilyy, Hui He,
Ekaterina Gubanova, Fabio Sartori,
Liang Li…
5-210 €. Tél. : 08 92 89 90 90.
Debussy, Ravel, Schumann
Quatuor Debussy : Marie-Josèphe Jude,
piano.
20h00. Musée de l'Armée, Cathédrale.
30 €. Tél. : 01 44 42 54 66.
Riccardo Muti, direction
Orchestre National de France. Liszt,
Du berceau à la tombe ; Hindemith,
Nobilissima Visione ; Chostakovitch,
Symphonie n°5.
20h00. Maison de la Radio.
30-85 €. Tél. : 01 56 40 15 16.
Nielsen, Beethoven, Sibelius
Voir au 2 mars.
4 VENDREDI
Rossini, Il Barbiere di Siviglia
Voir au 2 mars.
80e anniversaire d'Eliahu Inbal
Philharmonique de Radio France.
Dir. : Eliahu Inbal. Emmanuel Pahud,
flûte. Widmann, Flûte en suite ;
Bruckner, Symphonie n°9.
30-60 €. Tél. : 01 56 40 15 16.
Musique et mythologie
Musique filmée : Elvis Presley,
Stockausen, Bob Marley…
20h30. Auditorium du Louvre.
4-10 €. Tél. : 01 40 20 55 00.
5 SAMEDI
La Cantate des Muses
Violoncelle et dir. : Louise Audubert.
Ferrandini, Bach, Concerto pour
clavecin BWV1056, Messe Brève
BWV235.
16h00. Église Ste-Elisabeth-de-Hongrie.
Libre participation. Tél. : 06 60 67 57 33.
Wagner, Die Meistersinger von
Nürnberg
Dir. : Philippe Jordan. Stefan Herheim,
mise en scène. Avec Gerald Finley,
Günther Groissböck, Dietmar
Kerschbaum, Ralf Lukas, Bo Skovhus…
5-210 €. Tél. : 08 92 89 90 90.
Ghisi, Grisey, Cendo
Ensemble Court Circuit. Dir. : Jean
Deroyer. Jean-Marie Cottet, piano.
19h30. Centre Pompidou.
10-14 €. Tél. : 01 53 10 74 44.
Hommage aux Castrats
Mathieu Salama, contre-ténor ;
Ghislaine Gignoux, clavecin ; Geneviève
L'Hostis/Bruno Angé, viole de gambe.
Airs de Vivaldi, Händel, Gluck, Purcell,
Bach, Porpora…
20h00. Église Saint-Merri.
Tél. : 06 11 68 22 95.
Voir au 3 mars.
Mozart, Requiem ; Schubert,
Symphonie inachevée
Orchestre Hélios. Chœur de Paris.
Dir. : Till Aly. Avec Natalie Perez,
Camille le Bail, Yanis Benabdallah, JeanLouis Serre.
20h30. Église de la Madeleine.
20-40 €. Tél. : 01 42 64 83 16.
6 DIMANCHE
Verdi, Il Trovatore
Voir au 3 mars.
Brahms, Durand
Gilles Bertocchi, cor ; Paul Rouger,
violon ; Gaetano Pattavina, piano.
16h00. Salle Colonne.
14-20 €. Tél. : 01 42 33 72 89.
Ferrandini, Bach, Concerto pour clavecin
BWV1056, Messe Brève BWV235.
16h00. Église St-Ferdinand-des-Ternes.
7 LUNDI
Tchaikovski, Iolanta, Casse-Noisette
Orchestre & Chœurs de l'Opéra. Les
Etoiles, Premiers Danseurs & Corps
de Ballet, Chœur d'enfants. Dir. : Alain
Altinoglu. Dmitri Tcherniakov, mise en
scène. Avec Alexander Tsymbalyuk,
Sonya Yoncheva, Arnold Rutkowski,
Andrei Zhilikhovsky, Vito Priante…
19h00. Palais Garnier.
Jeunes : 10 €. Tél. : 08 92 89 90 90.
Brahms, Medtner
Florian Noack, violon.
20h00. Couvent des Récollets.
Tél. : 01 48 87 10 90.
Prades aux Champs-Élysées
Quatuor Talich ; Gary Hoffman,
violoncelle ; Michel Lethiec, clarinette.
Schubert, Brahms, Schubert.
20h00. Théâtre des Champs-Élysées.
5-55 €. Tél. : 01 49 52 50 50.
Khatia Buniatishvili, piano
Liszt, Liszt/Horowitz, Stravinski.
10-30 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
Vierne, Messe solennelle
Ensemble vocal de l'Ecole polytechnique.
Dir. : Patrice Holiner. Baptiste-Florian
Marle-Ouvrard, François Olivier, orgues.
Fauré, Cantique de Jean Racine ; pièces
pour orgue de Franck, Vierne.
20h30. Église Saint-Eustache.
10-20 €. Tél. : 06 76 04 33 66.
8 MARDI
Anne Queffélec, piano
Gaspard Dehaene, piano. Musique
d'Erik Satie.
12h30. Auditorium du Musée d'Orsay.
8-14 €. Tél. : 01 53 63 04 63.
Daria Rossi Poisa, violoncelle
Nuages, compositions de l'artiste.
12h30. Église Saint-Roch.
Entrée libre.
Le Classique selon Zygel
Jean-François Zygel joue avec
Rachmaninov.
12h30. Salle Gaveau.
12 €. Tél. : 01 49 53 05 07.
Chostakovitch, Borodine,
Mirzazadeh
Musiciens de l'Orchestre Lamoureux.
12h45. Mairie du 4e.
6 €. Tél. : 01 58 39 30 30.
Diana Damrau, soprano
Helmut Deutsch, piano.
10-95 €. Tél. : 08 92 89 90 90.
Janacek, Jenufa
Filmé à Bruxelles en 2014.
Dir. : Ludovic Morlot. Alvis Hermanis,
mise en scène.
20h00. Cinéma Le Balzac.
14-27 €. Tél. : 01 45 61 10 60.
Musique à l’écran
et accueil “Balzac” !
Mardi 8 mars à 20h
Jenufa, de Janacek. Direction L. Morlot.
La Monnaie, Bruxelles 2014.
Mardi 22 mars à 20h
Le Dialogue des Carmélites,
de Poulenc. Mise en scène Olivier Py.
Avec Sophie Koch, Patricia Petibon,
Véronique Gens, Sandrine Piau
Théâtre des Champs-Elysées 2013.
1 rue Balzac, Paris 8e www.cinemabalzac.com
www.le-balzac-tout-ouie.com
Jean-Guilhen Queyras, violoncelle
Orchestre de chambre de Paris.
Dir. : Sascha Goetzel. L.Mozart, Haydn,
Mozart, Schubert.
5-55 €. Tél. : 01 49 52 50 50.
Beethoven Héroïque
Insula Orchestra. Dir. : Laurence
Equilbey. Nicholas Angelich, piano.
Beethoven, Concerto pour piano n°4,
Symphonie n°3 Eroica.
10-40 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
Jean Rondeau, clavecin
Vertigo. Royer, Rameau.
20h30. Salle Cortot.
22-38 €. Tél. : 01 48 24 16 97.
mars 2016 cadences
17
les concerts
du mois
9 MERCREDI
Gautier Capuçon, violoncelle
Classe d'excellence de violoncelle.
Masterclasse publique.
12h30. Fondation Louis Vuitton.
10-14 €. Tél. : 01 40 69 96 00.
Gautier Capuçon, violoncelle
Classe d'excellence de violoncelle.
Concerts des lauréats.
10-14 €. Tél. : 01 40 69 96 00.
Nürnberg
Voir au 5 mars.
Voir au 7 mars.
Zimfira Poloz, direction
Chœur d'enfants de l'Orchestre de
Paris. Musique chorale sud-amércaine.
10 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
Benjamin Beilman, violon
Andrew Tyson, piano. Mozart, Sonates
pour violon et piano.
15-35 €. Tél. : 01 40 20 55 00.
Bach, La Passion selon Saint-Jean
Maîtrise Notre-Dame de Paris,
Ensemble Instrumental et vocal du
Pôle Paris-Boulogne Billancourt.
Dir. : Philippe Pierlot.
15-25 €. Tél. : 01 44 41 49 99.
François Weigel, piano
Mozart, Beethoven, Liszt.
15-35 €. Tél. : 01 49 53 05 07.
Katia & Marielle Labèque, pianos
Orchestre de Paris. Dir. : Jaap van
Zweden. Glass, Concerto pour deux
pianos ; Chostakovitch, Symphonie n°5.
10-40 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
Motets pour la Semaine Sainte
Ensemble Correspondances.
Dir. : Sébastien Daucé. Charpentier.
20h30. Oratoire du Louvre.
22-38 €. Tél. : 01 48 24 16 97.
10 JEUDI
Antoine Préat, piano
Schumann, Liszt, Ravel, Dutilleux.
12h30. Petit Palais.
Entrée libre. Tél. : 01 40 20 09 32.
Llewellyn Sanchez-Werner, piano
Bach, Ravel, Soler, Rachmaninov, Liszt,
Chopin.
5-15 €. Tél. : 01 40 20 55 00.
Verdi, Il Trovatore
Voir au 3 mars.
Chausson, Poulenc, Debussy
Orchestre National de France.
Dir. : Fabien Gabel. Olivier Latry, orgue.
25-60 €. Tél. : 01 56 40 15 16.
Ensemble 2e2m
Dir. : Pierre Roullier. Pascal Contet,
accordéon ; Youmi Kim, soprano. Lanza,
Cavanna, Kreidler, Dong-Myung Kim.
20h00. CRR de Paris.
Entrée libre. Tél. : 01 47 06 17 76.
Bach, La Passion selon Saint-Jean
Voir au 9 mars.
Katia & Marielle Labèque, pianos
Voir au 9 mars.
Orchestre de l'Alliance
Dir. : Pejman Memarzadeh. Eléonore
Darmon, violon. Beethoven, Kodaly,
Tchaikovski.
20-50 €. Tél. : 01 49 53 05 07.
11 VENDREDI
El Niño de Elche, chant flamenco
Suzy Félix, présentation. Flamenco
traditionnel.
12h15. Auditorium de La Sorbonne.
6-12 €. Tél. : 06 89 17 49 35.
Quatuor Tzigane
Airs tziganes russes, ukrainiens,
polonais, hongrois, roumains, viennois…
19h00. Musée Jacquemart-André.
45-80 €. Tél. : 01 43 71 60 71.
Voir au 7 mars.
12 SAMEDI
Devienne, Mozart, Dantin
Musiciens de l'Orchestre de chambre
de Paris.
9-15 €. Tél. : 0800 42 67 57.
Concert Raymond Salmon
Eve Gilardoni, Sylvie Plourde, flûtes ;
Li de Guernon, violoncelle ; Monique
Dupuis, piano. Haydn, Joplin, Lœuillet,
Salmon, Schubert, Telemann.
15h30. La Maison Verte (127 rue
Marcadet, 18e).
Voir au 5 mars.
16h00. Église Ste-Elisabeth-de-Hongrie.
Lucrezia Borgia
Ensemble Meduza. Chant, harpe et
Dir. : Patrizia Bovi.
18h00. Philharmonie 2, Amphithéâtre.
18 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
Saint-Saëns, Fauré, De Castillon
Musiciens de l'Orchestre National de
France. Marie-Catherine Girod, piano.
18h00. Maison de la Radio, Studio 104.
15 €. Tél. : 01 56 40 15 16.
Les Francs Bassons
Dvorak, Bach, Hummel, Vivaldi,
Ouzounoff, Audin.
19h00. Hôtel de Soubise.
8-14 €. Tél. : 01 40 20 09 32.
Yann Beuron, ténor
Billy Eidi, piano. Mélodies françaises :
Hahn, Fauré, Roussel, Poulenc.
45-80 €. Tél. : 01 43 71 60 71.
Widmann, Mozart, Schumann,
Tabea Zimmermann, alto ; Jörg Widmann,
clarinette ; Dénes Várjon, piano.
5-15 €. Tél. : 01 40 20 55 00.
Jean-Philippe Collard, piano
Récital de musique française.
15 €. Tél. : 01 56 40 15 16.
Lalo, La Jacquerie
Philharmonique de Radio France,
Chœur de Radio France. Dir. : Patrick
Davin. Avec Véronique Gens, Nora
Gubisch, Florien Sempey, Alexandre
Duhamel…
25-60 €. Tél. : 01 56 40 15 16.
Barbara Hendricks, soprano
Mathias Algotsson, piano, orgue B3 ;
Max Schultz, guitare ; Clas Lassbo,
contrebasse ; Chris Montgomery,
batterie. Negro spirituals et blues.
30-60 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
Muza Rubackyté, piano
Schumann, Ciurlionis, Prokofiev.
22-55 €. Tél. : 01 48 24 16 97.
Women in love
Les Arts Florissants. Dir. : Paul Agnew.
Monteverdi, Caccini, Pallavicino, De
Wert, Carissimi, Gesualdo.
32-41 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
Haydn, Les 7 dernières paroles du Christ
Chœur de la Trinité, Orchestre Hélios.
Dir. : Till Aly. Kristina Vahrenkamp,
soprano ; Sacha Hatala, alto ; Yanis
Benabdallah, ténor ; Christophe
Gautier, baryton.
20h45. Église de la Trinité.
15-25 €. Tél. : 08 92 68 36 22.
Jolas, Iliade L'amour
Orchestre & Chanteurs du
Conservatoire de Paris. Dir. : David
Reiland. Antoine Gindt, mise en scène.
20h30. Salle d'Art Lyrique du
Conservatoire de Paris.
18 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
Haydn, Les 7 dernières paroles du Christ
Voir au 11 mars.
20h45. Église de la Trinité.
13 DIMANCHE
Chopin, Mendelssohn
Sol Gabetta, violoncelle ; Bertrand
Chamayou, piano.
15-30 €. Tél. : 01 49 52 50 50.
Elisabeth Joyé, clavecin
Œuvres de Johann Caspar Ferdinand Fischer.
Entrée libre. Tél. : 01 40 20 09 32.
Nürnberg
Voir au 5 mars.
Little Girl Blue
Sonia Wieder-Atherton, violoncelle ; Bruno
Fontaine, piano. Autour de Nina Simone.
15h00. Philharmonie 1, Salle de répétition.
25 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
Rachmaninov, Pudeur & Passion
Récital raconté… Allicent Ratzlaff,
piano ; Patrick Laval, récitant.
15h00. Théâtre de l'Île Saint-Louis.
15 €. Tél. : 01 46 33 48 65 .
Ensemble Le Lion vert
Du Roman de la Rose au Décaméron.
16h00. Musée de Cluny.
4-6 €. Tél. : 01 53 73 78 00.
Olivier Latry, orgue
Programme communiqué
ultérieurement.
15 €. Tél. : 01 56 40 15 16.
Ravel, Messiaen
Pierre Hamel, violon ; Marie-Claude
Batingy, violoncelle ; Laurent
Boulanger, clarinette ; Carole
Villiaumey, piano.
16h00. Salle Colonne.
14-20 €. Tél. : 01 42 33 72 89.
American Dreams
Orchestre Pasdeloup. Dir. : David
Charles Abell. Liz Callaway, chant ;
Arnaud Nuvolone, violon. Gershwin,
Massenet, Mancini, Steiner, Les
Misérables…
16h30. Philharmonie 1 .
10-40 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
Byrd à Bach
Catherine Lescure, cornet, flûtes ;
Pierre Trocellier, clavecin.
17h00. Cave du 38Riv'.
15 €. Tél. : 01 48 83 60 09.
Nora Gubisch, mezzo
Alain Altinoglu, piano. Récital de
mélodies françaises.
15 €. Tél. : 01 56 40 15 16.
Gounod, Tourgueniev, Viardot
Anne Lefol, récitante ; Jean Dube, piano.
45-80 €. Tél. : 01 43 71 60 71.
14 LUNDI
Ensemble Le Lion vert
Voir au 13 mars.
Lauréats du concours Brin
d'herbe 2015
Ensemble Court Circuit. Dir. : Jean Deroyer.
15h00. Théâtre des Bouffes du Nord.
5 €. Tél. : 01 46 07 34 50.
Voir au 7 mars.
paris
Lauréats du concours de piano
d'Orléans 2015
Ensemble Court Circuit. Dir. : Jean
Deroyer. Webern, Hersant.
25 €. Tél. : 01 46 07 34 50.
Luis Fernando Perez, piano
Granados, Goyescas.
15-35 €. Tél. : 01 49 53 05 07.
Nelson Freire, piano
Bach, Brahms, Chopin, Villa-Lobos,
Strauss/Godowsky.
10-90 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
15 MARDI
David Kadouch, piano
Musique d'Erik Satie.
8-14 €. Tél. : 01 53 63 04 63.
Ensemble Carambole
Petits motets du Grand Siècle :
Couperin, Clérambault.
Entrée libre.
Voir au 13 mars.
Verdi, Il Trovatore
Voir au 3 mars.
Byrd, Janequin, Des Prés, Semisy
Chœur de garçons de la Maîtrise de Radio
France. Dir. : Marie-Noëlle Maerten.
Entrée libre. Tél. : 01 56 40 15 16.
Evgeny Kissin, piano
Mozart, Beethoven, Brahms, Chopin.
5-110 €. Tél. : 01 49 52 50 50.
Orch. National d'Île-de-France
Dir. : Case Scaglione, Jean-Claude Falietti,
clarinette. Wagner, Copland, Ravel.
15-30 €. Tél. : 01 49 53 05 07.
Airs et opéras de Mozart
Nozze di Figaro, Don Giovanni,
Zauberflöte, Clemenza di Tito, Zaide…
Véronique Housseau, Sandrine
Carpentier, soprano ; Pauline Claes,
mezzo ; Sébastien Romignon, ténor ;
l'Oiseleur, baryton ; Yuri Higushi, piano.
20h30. Temple du Luxembourg.
Telemann, musiques de table
Ensemble Ma Non Troppo. Julien
Martin, flûte ; Anna Besson, traverso ;
Louis Creac'h, Julie Friez, Camille
Rancière, violon ; Pascale Jardin, alto ;
Sarah Ledoux, violoncelle ; Olivier
Leinen, basson ; Yoann Moulin,
clavecin.
20h30. Temple Saint-Marcel (5e).
Voir au 12 mars.
Hommage à César Franck
(1er titulaire de l’orgue de Ste-Clotilde)
Franck, 3 chorals pour orgue, motets
avec chœur ; S. Delplace (création).
Chœur Basilica. Dir. : Marc Korovitch.
Olivier Penin, orgue.
20h30. Basilique Sainte-Clotilde.
Entrée libre. Tél. : 01 44 18 62 63.
Messiaen, Foison
Concert pour orgue et ondes Martenot.
Elève du Pôle Paris-Boulogne
Billancourt. Dir. : Michèle Foison.
15-25 €. Tél. : 01 44 41 49 99.
Découvrez
les stars de demain
avec Gaëlle Le Gallic
lundi 14 mars 2016 à 19h
Annelien van Wauwe, clarinette
Lucas Blondeel, piano
Anaëlle Tourret, harpe
Martin Ivanov, piano
Émission Génération jeunes interprètes
maisondelaradio.fr
Mozart, Requiem
Les Musiciens du Louvre Grenoble,
Chœur du Palau de la Musica Catalana.
Dir. : Marc Minkowski. Chiara Skerath,
soprano ; Helena Rasker, mezzo ;
Lothar Odinius, ténor ; Yorck Felix
Speer, basse.
10-50 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
16 MERCREDI
Fanny Clamagirand, violon
Etsuko Hirose, piano. Debussy,
Prokofiev, Ysaye, Franck.
18h30. Maison de la culture du Japon.
10 €. Tél. : 01 53 10 74 44.
Giulio Biddau, piano
Weber, Schumann, Chopin, Fauré.
20h00. Institut Culturel Italien.
15 €. Tél. : 01 44 39 49 27.
Haydn, Les 7 Dernières Paroles du Christ
Orchestre des Champs-Élysées,
Collegium Vocale Gent. Dir. : Philippe
Herreweghe. Avec Sara Wegener,
Maria-Henriette Reinhold, Robin
Tristschler, David Soar.
5-85 €. Tél. : 01 49 52 50 50.
Sondheim, Passion
Dir. : Andy Einhorn. Fanny Ardant, mise
en scène.
20h00. Théâtre du Châtelet.
10-89 €. Tél. : 01 40 28 28 40.
Moussorgski, Chostakovitch
Chanteurs de l'Atelier lyrique de
l'Académie de l'Opéra de Paris.
20h00. Opéra Bastille, Amphithéâtre.
25 €. Tél. : 08 92 89 90 90.
Claire-Marie Le Guay, piano
Ravel, Gaspard de la Nuit.
20-50 €. Tél. : 01 49 53 05 07.
Prokofiev, Stravinsky
Orchestre de Paris. Dir. : Yutaka Sado.
Valeriy Sokolov, violon ; Agnès Jaoui,
récitante.
10-40 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
17 JEUDI
Fiona McGown, mezzo
Bianca Chillemi, piano. Hahn, Barber,
Louati, Schumann, Korngold.
12h30. Petit Palais.
Entrée libre. Tél. : 01 40 20 09 32.
mars 2016 cadences
19
les concerts
du mois
Voir au 7 mars.
Concert EnIGma
Concert surprise conçu par JeanFrançois Zygel autour de La Guerre des
mondes de H.G. Wells.
10-30 €. Tél. : 01 40 28 28 40.
Orch. Symphonique de la Radio
Bavaroise
Dir. : Mariss Jansons. Beethoven,
Ouverture de Coriolan ; Mahler,
Symphonie n°5.
5-85 €. Tél. : 01 49 52 50 50.
Schubert, la Jeune Fille et la Mort
Orchestre à cordes de la Garde
Républicaine. Dir. : Sébastien Billart.
Soliste : violoniste lauréat(e) du Prix de la
fondation safran pour la Musique 2015.
9-15 €. Tél. : 01 44 42 54 66.
Voir au 12 mars.
Prokofiev, Rachmaninov, Stravinsky
Orchestre de Paris. Dir. : Yutaka Sado.
Andrei Korobeinikov, piano ; Agnès
Jaoui, récitante.
10-40 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
The King's Singers
Tallis, Byrd, Gibbons, Elgar, Vaughan
Williams, The Beatles…
22-55 €. Tél. : 01 48 24 16 97.
18 VENDREDI
Hervé Billaut, piano
Albéniz, Ibéria.
6-12 €. Tél. : 06 89 17 49 35.
Voir au 13 mars.
Messiaen, Debussy
Dir. : Mikko Franck.
25-60 €. Tél. : 01 56 40 15 16.
Monstres, sorcières et magiciens
Le Concert d'Astrée. Dir. : Emmanuelle
Haïm. Anne Sofie von Otter, mezzo ;
Laurent Naouri , baryton-basse.
Rameau, Lully, Charpentier, Leclair.
5-85 €. Tél. : 01 49 52 50 50.
Mozart, Bach, Strauss
Musiciens de l'Académie de l'Opéra
de Paris.
25 €. Tél. : 08 92 89 90 90.
Sondheim, Passion
Voir au 16 mars.
Junko Okazaki, piano
Fauré, Debussy, Liszt.
15-35 €. Tél. : 01 49 53 05 07.
Mozart, Il Re Pastore
Les Arts Florissants. Dir. : William
Christie. Avec Rolando Villazon…
10-120 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
19 SAMEDI
The Artist
Film de Michel Hazanavicius,
Musique de Ludovic Bource. Brussels
Philharmonic. Dir. : Ernst van Tiel.
26-32 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
Amandine Beyer, violon
Pierre Hantaï, clavecin. Bach, sonates
pour violon et clavecin.
17h00. Théâtre des Abbesses.
22-26 €. Tél. : 01 42 74 22 77.
Ensemble Les Muses Galantes.
Vivaldi ; Bach, Cantate « Himmelskönig,
sei willkommen » BWV 182.
17h00. Église des Billettes.
Machuel Trilogie de la détention
Ensemble 2e2m, Territoires du souffle.
Dir .: Pierre Roullier.
17h30. Collège des Bernardins.
20-30 €. Tél. : 01 53 10 74 44.
Quatuor Debussy
Musiques de Gabriel Kahane (voix,
piano, banjo, guitare).
18h00. Philharmonie, Salle de répétition.
18 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
Les Temperamens Variations.
Dir. : Thibault Lam Quang. Guillaume
Humbrecht, violon ; Helga Schauerte,
orgue ; Stéphane Réty, flûte. Avec Johanna
Knauth, Tobias hechler, Jan Hübner, Hans
Hermann Jansen, Daniel Eggert.
19h00. Église évangélique allemande.
15-30 €. Tél. : 06 75 32 69 36, Fnac.
20 DIMANCHE
Beethoven, Symphonie n°4
(Concertôt Concertea) Orchestre du
Conservatoire de Paris. Dir. : George
Pehlivanian.
5-10 €. Tél. : 01 40 28 28 40.
Nicolas Boyer, piano
Chopin, Barcarolle op.60, 5 Préludes,
5 Valses…
16-25 €. Tél. : 01 43 71 60 71.
Purcell, Didon et Enée
La Grande Ecurie et la Chambre du
Roy. Dir. : Jean-Claude Malgoire. Avec
Véronique Gens, Nicolas Rivenq,
Hasnaa Bennani…
15-30 €. Tél. : 01 49 52 50 50.
Opéra en 1 acte
Donizetti, L'Elixir d'amour. Compagnie
Opéra du Jour. Dir. : Isabelle du
Boucher.
11h30. Théâtre Ranelagh.
15-25 €. Tél. : 01 42 88 64 44.
The Artist
Voir au 19 mars.
Valentina Diaz-Frenot, piano
Albeniz, Ginastera, Chopin, Granados.
16-25 €. Tél. : 01 43 71 60 71.
Ensemble Les Muses Galantes.
Vivaldi ; Bach, Cantate « Himmelskönig,
sei willkommen » BWV 182.
16h00. Église Saint-Ambroise.
Puccini, Messa di Gloria
Orchestre de l'Académie de l'Île
Sainr-Louis, Maîtrise du Conservatoire
de Clamart, Chorale Ars Lyrica.
Dir. : Frédéric Loisel. Mozart,
Symphonie n°40.
16h00. Église Saint-Louis-en-l'Île.
19-30 €. Tél. : 01 44 62 00 55.
Voir au 7 mars.
Sondheim, Passion
Voir au 16 mars.
Yan Levionnois, violoncelle
Guillaume Vincent, piano. Schubert,
Mendelssohn, Strauss.
8-14 €. Tél. : 01 40 20 09 32.
Virtuosité dans l'Italie du Trecento
Axelle Bernage, chant ; Benoit Toigo,
flûtes à bec, chant.
10-12 €. Tél. : 01 53 73 78 00.
Rimski-Korsakov, Glière, Prokofiev
Orchestre National de France.
Dir. : Neeme Järvi. Hervé Joulain, cor.
25-60 €. Tél. : 01 56 40 15 16.
Mahler, Symphonie n°3
Los Angeles Philharmonic, Maîtrise et
Chœur de Radio France. Dir. : Gustavo
Dudamel. Tamara Mumford, mezzo.
10-100 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
Sondheim, Passion
Voir au 16 mars.
Williams, Ginastera, Copland
Los Angeles Philharmonic. Dir. : Gustavo
Dudamel. Sergio Tempo, piano.
10-80 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
La viole de vive voie
Ensemble Les barricades mistérieuses.
15 €. Tél. : 01 48 83 60 09.
The Artist
Voir au 19 mars.
paris
Université populaire symphonique
Orchestre Lamoureux, Chœurs
Lamoureux, Air France, des Universités
de Grenoble. Dir. : Debora Waldman.
Michel Onfray, présentation. Thilloy,
Chostakovitch, Orff.
5-40 €. Tél. : 01 49 52 50 50.
Krebs, Guastavino, De Falla
Katarina et Aram Arzumanian, danse ;
Lydie Barkef et Claudio Chaiquin,
piano.Spectacle dansé.
16-25 €. Tél. : 01 43 71 60 71.
Beethoven, Symphonie n°9
Filmé à Vienne en 2010. Orchestre
symphonique de Vienne. Dir. : Christian
Thielemann.
12-24 €. Tél. : 01 45 61 10 60.
21 LUNDI
Virtuosité dans l'Italie du Trecento
Voir au 20 mars.
Nürnberg
Voir au 5 mars.
Voir au 7 mars.
Maria-Joao Pires, piano
Master-class publique avec les étudiants
de l'Ecole Normale de Musique.
19h30. Salle Cortot
10-28 €. Rés. sur place le soir.
Ian Bostridge, ténor
Les Talens Lyriques. Dir. : Christophe
Rousset. Lully, Purcell, Rameau,
Händel.
5-85 €. Tél. : 01 49 52 50 50.
Vivaldi, Bach
Ensemble Sonatori de la Gioso Marca.
Anton Martynov, Kremena Nikolova,
Giorgia Fava, violons.
20h00. Musée de l'Armée, Grand Salon.
Le printemps du violon.
30-40 €. Tél. : 01 80 18 06 67.
22 MARDI
Amel Brahim-Djelloul, soprano
Musiciens de l'Orchestre de la Garde
Républicaine. Delage, Saint-Saëns,
Caplet, Pierné, Massenet, Pillois,
Stravinski.
8-14 €. Tél. : 01 53 63 04 63.
Ensemble Sequenza
Bach, Vivaldi, Couperin.
Entrée libre.
Voir au 13 mars.
Kreisler, Bartók, Chausson
Philippe Graffin, violon ; Claire Désert,
piano. Avec la participation d'Ivry Gitlis,
violon.
20h00. Théâtre Adyar.
20-30 €. Tél. : 01 80 18 06 67.
Poulenc, Dialogues des carmélites
Filmé à Paris en 2013. Dir. : Jérémie
Rhorer. Olivier Py, mise en scène.
Avec Sophie Koch, Patricia Petibon,
Véronique Gens, Sandrine Piau.
14-27 €. Tél. : 01 45 61 10 60.
Rossini, Petite messe solennelle
Artistes et solistes des Chœurs de
l'Opéra. Dir. : José Luis Basso.
25 €. Tél. : 08 92 89 90 90.
Sondheim, Passion
Voir au 16 mars.
Vivaldi, El Khoury, Chostakovitch
Orchestre de chambre de Paris.
Violon et Dir. : Daniel Hope. Deborah
Nemtanu, violon.
5-55 €. Tél. : 01 49 52 50 50.
Ensemble Vocal de Notre-Dame
Dir. : Sylvain Dieudonné. Chants
grégoriens et Stabat Mater
15-25 €. Tél. : 01 44 41 49 99.
Bach, Passion selon Saint Matthieu
Nieuwe Philharmonie Utrecht.
Dir. : Johannes Leertouwer.
20h30. Oratoire du Louvre.
22-38 €. Tél. : 01 48 24 16 97.
Mozart, Strauss, Fauré, Bizet
Chamber Orchestra of Europe.
Dir. : Antonio Pappano. François
Leleux, hautbois.
32-41 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
Ivo Pogorelich, piano
Beethoven, Schumann, Debussy,
Granados, Rachmaninov.
20-130 €. Tél. : 01 49 53 05 07.
Opéra en 1 acte
Mozart, Le Directeur de Théâtre.
Compagnie Opéra du Jour.
15-25 €. Tél. : 01 42 88 64 44.
Murray Perahia, piano
Haydn, Mozart, Brahms, Beethoven.
10-90 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
Quartuor Diotima, 20e anniversaire
Beethoven, Strasnoy.
25 €. Tél. : 01 46 07 34 50.
23 MERCREDI
Voir au 7 mars.
Sondheim, Passion
Voir au 16 mars.
Orchestra of the Age of Enlightenment,
Chœur Polyphony. Dir. : Stephen
Layton. Avec Ian Bostridge, Neal
Davies, Ietsyn Davies…
5-85 €. Tél. : 01 49 52 50 50.
Hasse, Vivaldi
Pulcinella Orchestra. Violoncelle et
dir. : Ophélie Gaillard. Maîtrise de
Radio France. Dir. : Sofi Jeannin et
Marie-Noëlle Maerten.
30 €. Tél. : 01 44 42 54 66.
Wieniawsky, Mozart, Brahms
Geza Hosszu-Legocky, violon ; Anton
Martynov, violon & piano.
20-30 €. Tél. : 01 80 18 06 67.
A Trois Clavecins
Les Folies Françoises. Violon et dir. :
Patrick Cohen-Akenine. Béatrice
Martin, Benjamin Alard, Jean Rondeau,
clavecins. Bach.
22-55 €. Tél. : 01 48 24 16 97.
Bach & Gospels
Chœur Paris Sciences & Lettres.
Dir. : Johan Farjot. Raphaël Imbert,
saxophone ; Arnaud Thorette, violon ;
Antoine Pierlot, violoncelle ; Johan
Farjot, piano.
20h30. Maison des Océans (5e).
Festival Paris Sciences & Lettres.
Tél. : 01 42 62 71 71.
Trojahn, Pintscher, Henze
Ensemble intercontemporain.
Dir. : Matthias Pintscher. Hae-Sun Kang,
violon ; Jérôme Comte, clarinette.
8-10 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
Viktoria Postnikova, piano
Orchestre de Paris, Chœur de
l'Orchestre de Paris. Dir. : Guennadi
Rozhdestvensky. Tatiana Fedotova,
soprano ; Igor Vyalich, ténor ; Alexander
Kasyanov, basse. Rachmaninov,
Concerto pour piano n°4, Les Cloches.
10-40 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
24 JEUDI
Callum Smart, violon
Richard Uttley, piano. Mozart,
MacMillan, Strauss.
5-15 €. Tél. : 01 40 20 55 00.
Schubert, Quatuor n°14 La jeune
fille et la mort
Musiciens de l'Orchestre de l'Opéra.
13h00. Opéra Bastille, Studio.
5 €. Tél. : 08 92 89 90 90.
musique au temps de Louis XII
Ensemble Les Jardins de Courtoisie.
Dir. : Anne Delafosse.
13-16 €. Tél. : 01 53 73 78 00.
mars 2016 cadences
21
les concerts
du mois
Brahms, Petitgirard, Tchaikovski
Orchestre Colonne, Chœur Variation,
Ensemble Allegri. Dir. : Laurent
Petitgirard. Hubert Claessens, barytonbasse ; Sonia Petrovna, comédienne.
5-30 €. Tél. : 01 49 52 50 50.
Orchestre National de France. David
Fray, piano. Schumann, Concerto pour
piano ; Strauss, Aus Italien.
30-85 €. Tél. : 01 56 40 15 16.
Roman Kim, violon
Jure GoruCan, piano. Prix Ivry Gitlis.
Paganini, Kim.
20h00. Musée Maillol.
30-40 €. Tél. : 01 80 18 06 67.
Rossini, Petite messe solennelle
Voir au 22 mars.
Sondheim, Passion
Voir au 16 mars.
Lucas Debargue, piano
Mozart, Chopin, Liszt, Ravel.
15-25 €. Tél. : 01 40 69 96 00.
Viktoria Postnikova, piano
Voir au 23 mars.
25 VENDREDI
Purcell, Martland, Haydn
Philharmonique & Chœur de Radio
France. Dir. : Sofi Jeannin.
10-60 €. Tél. : 01 56 40 15 16.
Anton Martynov, violon
Iddo Bar-Shaï, piano. Mozart,
Schumann, Bloch.
20h00. Musée Maillol.
30-40 €. Tél. : 01 80 18 06 67.
Adams, Copland, Gershwin
Orchestre National d'Île-de-France.
Dir. : Nathan Brock. Chad Hoopes, violon.
10-40 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
26 SAMEDI
Händel, La Résurrection
Le Concert des Nations. Dir. : Jordi
Savall. Hanna Bayodi-Hirt, Emöke
Barath, soprano ; Furio Zanasi, baryton.
32-41 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
Quatuor Akilone
Schubert, Dvorák, Boutry, Ravel.
8-14 €. Tél. : 01 40 20 09 32.
Voir au 7 mars.
Les Saisons
Tchaikovsky, Piazzolla. Artiom Shishkov,
violon ; Dima Tsypkin, violoncelle ;
Sergey Smirnov, piano.
19h30. Temple du Luxembourg.
15-20 €. Tél. : 06 99 64 07 55.
Raphaël Pidoux, violoncelle
Cédric Lorel, piano. Cassado, Ginestera,
Debussy.
6-12 €. Tél. : 06 89 17 49 35.
Strauss, Schumann, Tchaikovski
Trio Dorogi.
20-30 €. Tél. : 01 80 18 06 67.
Nürnberg
Voir au 5 mars.
Bach, Messe en si mineur
Christie. Katherine Watson, soprano ;
Emmanuelle De Negri, soprano ; Tim
Head, contre-ténor ; Reinoud van
Mechelen, ténor ; André Morsch, basse.
10-70 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
Voir au 13 mars.
Lidija et Sanja Bizjak, piano
Poulenc, Debussy, Stravinsky, Beffa, Ravel.
19h00. Musée de l'Orangerie.
Entrée libre. Tél. : 01 44 50 43 01.
Voir au 7 mars.
Till Fechner, baryton-basse
Fériel Kaddour, piano. Schubert, Die
Winterrereise.
19h00. Ecole Normale Supérieure.
Tél. : 01 42 62 71 71.
English Baroque Soloists, Monteverdi
Choir. Dir. : sir John Eliot Gardiner.
10-70 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
27 DIMANCHE
Un tour d’Europe à 3
Ensemble Clarinte.
15 €. Tél. : 01 48 83 60 09.
Programme surprise
Amis & invités du Festival Le Printemps
du violon. Avec la participation amicale
de Martha Argerich (sous réserve), Ivry
Gitlis, Michael Guttmann.
30-40 €. Tél. : 01 80 18 06 67.
Renée Fleming, soprano
Philippe Jordan, piano.
10-95 €. Tél. : 08 92 89 90 90.
28 LUNDI
Pâques à Saint-Pétersbourg
Voir au 27 mars.
Nürnberg
Voir au 5 mars.
Voir au 7 mars.
29 MARDI
Dominique Hofer, violon
Bach, Piazzolla, Ysaye.
Entrée libre.
Pascal Rogé, piano
Musique d'Erik Satie.
8-14 €. Tél. : 01 53 63 04 63.
Voir au 13 mars.
Elèves du Conservatoire du Paris
Musique de chambre.
20h00. Ecole Normale Supérieure.
Tél. : 01 42 62 71 71.
Milhaud, Honegger, Varèse, Roussel
Musiciens de l'Orchestre de Paris.
20h00. Musée Gustave Moreau.
15 €. Tél. : 01 48 74 38 50.
Camille Déruelle, orgue
Brahms, Rossi, Mozart…
Entrée libre. Tél. : 01 40 20 09 32.
Vestard Shimkus, piano
Vasks (création), Scriabine.
17,5 €. Rés. sur digitick.com.
Chœur des Nouvelles Voix de SaintPétersbourg. Dir. : Yulian Danshin.
Liturgies et chœurs orthodoxes russes.
14-23 €. Tél. : 01 44 62 00 55.
Be with me now
Dir. : Manoj Kamps. Julien Fisera, mise
en scène. Maartje Rammeloo, soprano ;
Rannveig Karadottir, soprano ; Kinga
Borowska, mezzo ; Gwilym Bowen,
ténor ; Tomasz Kumiega, baryton. A
partir de La Fléte enchantée…
20h30. Philharmonie 1, Salle de répétition.
32 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
Pergolesi, Stabat Mater
Akademie für Alte Musik Berlin. Dir. : René
Jacobs. Sunhae Im, soprano ; Christophe
Dumaux, contre-ténor ; Julian Prégardien,
ténor ; Johannes Weisser, basse. Pergolesi,
Les Sept Paroles du Christ en croix.
32-41 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
Improvisations Scandinaves
La Chimera. Théorbe et dir. : Eduardo
Egüez. Piae cantiones.
22-38 €. Tél. : 01 48 24 16 97.
Brahms, Un requiem allemand
La Chambre Philharmonique,
Chœur de chambre Les Eléments.
Dir. : Emmanuel Krivine. Camilla Tilling,
soprano ; Rudolf Rosen, baryton.
10-50 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
Weckmann, Buxtehude, Bach
Trio Musica Humana ; Maîtrise NotreDame de paris ; Isabelle Savigny, Eugénie
de Padirac, sopranos ; Jean-Luc Ho, orgue.
15-25 €. Tél. : 01 44 41 49 99.
30 MERCREDI
Hommage à Johann Jakob Froberger
Elèves du Conservatoire du 7e.
Entrée libre. Tél. : 01 40 20 09 32.
Voir au 7 mars.
Alessandro Delvajan, piano
Chopin, 24 Préludes.
Le club des Trouvères
Club de musique classique de l'Ecole
Normale Supérieure.
20h00. Institut Pierre-Gilles de Gennes.
Tél. : 01 42 62 71 71.
Noëmi Waysfeld, chant
Sarah Nemtanu, violon ; Guillaume
de Chassy, piano ; Thierry Bretonnet,
accordéon… Entre saudade et
nostalgia.
20h00. Musée d'art et d'histoire du Judaïsme.
20-25 €. Tél. : 01 53 01 86 48.
François-Frédéric Guy, piano
Brahms, Sonates n° 1, 2, 3.
15-50 €. Tél. : 01 49 53 05 07.
Schubert, Winterreise
Matthias Goerne, baryton ; Markus
Hinterhäuser, piano. William Kentridge,
mise en scène et création visuelle.
32-41 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
Trio SR9
Bach, Hersant, Gershwin.
20h30. Collège des Bernardins.
8 €. Tél. : 01 53 10 74 44.
31 JEUDI
Campra, Marais, Jacquet de la
Guerre
Ensemble Desmarest. Dir. : Ronan Khalil.
5-15 €. Tél. : 01 40 20 55 00.
Voir au 13 mars.
Britten, Le Songe d'une nuit d'été
Enregistré au Festival d'Aix en 2015.
Robert Carsen, mise en scène. Avec
Sandrine Piau, Lawrence Zazzo…
14-24 €. Tél. : 01 45 61 10 60.
paris
Patricia Petibon, soprano
Orchestre National de France. Dir. : Gustavo
Gimeno. Mozart, Britten, Bartók.
5-60 €. Tél. : 01 49 52 50 50.
Saimir Pirgu, ténor
Donizetti, Verdi, Puccini, Massenet, Gounod
20h00. Théâtre du Châtelet, Foyer.
20 €. Tél. : 01 49 58 17 01.
Severin von Eckardstein, piano
Fauré, Casadesus, Chopin, Schumann,
Wagner.
17,5 €. Tél. : Rés. sur digitick.com.
Soirée Cabaret
Orchestre Symphonique Paris Sciences
& Lettres, Ensemble Contraste.
Dir. : Johan Farjot. Yanowski, chanteur ;
Fabrice di Falco, soprano… Tangos,
chansons françaises, Fauré, Shaw, Farjot.
20h00. Conservatoire d'Art dramatique (9e).
Tél. : 01 42 62 71 71.
C'est la fête aux Beaux-Arts
Fanfares des établissements de Paris
Sciences et Lettres.
19h00. Ecole des Beaux-Arts.
Tél. : 01 42 62 71 71.
Beethoven, Mahler
Philharmonique de Radio France. Piano
et dir. : Myung-Whun Chung. Svetlin
Roussev, violon ; Eric Levionnois,
violoncelle.
30-85 €. Tél. : 01 56 40 15 16.
Bruckner, Symphonie n°8
Orchestre Philharmonique de
Rotterdam. Dir. : Yannick Nézet-Séguin.
5-85 €. Tél. : 01 49 52 50 50.
Ran Jia, piano
Schubert.
Carine Gutlerner, piano
Brahms, Chopin, Moussorgski
20h00. Fondation Dosne-Thiers.
16-25 €. Tél. : 01 43 71 60 71.
Marcos Madrigal, piano
Lecuona, Scriabine, Prokofiev.
Prades aux Champs-Élysées
Peter Frankl, piano ; Kyoko Takezawa,
violon ; Yuval Gotlibovich, alto ; François
Salque, violoncelle. Hommage à Pablo
Casals : Haydn, Schumann, Mozart…
5-55 €. Tél. : 01 49 52 50 50.
20h45. Église, Saint-Germain-en-Laye.
14-20 €. Tél. : 01 44 62 00 55.
3 DIMANCHE
Correspondance d'Erik Satie
Léa Trommenschlager, soprano ;
Damien Pass, baryton-basse ; Michalis
Boliakis, piano ; Jacques Hadjaje,
comédien. Jean Bellorini, mise en scène.
20h30. Philharmonie 2, Amphithéâtre.
25 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
Camille Berthollet, violon
Orchestre de Picardie. Dir. : Quentin
Hindley. Julie Berthollet, violon,
Guillaume Vincent, piano. Sarasate,
Vivaldi, Williams, Popper, Fauré, Gardel,
Brahms, Monti.
22-55 €. Tél. : 01 49 53 05 07.
Tchaikovski, Symphonie n°6
Pierre Hamel, violon ; Marie-Claude
Batingy, violoncelle ; Laurent Boulanger,
clarinette ; Carole Villiaumey, piano.
10h45. Cirque d'hiver.
8-10 €. Tél. : 01 42 33 72 89.
Joshua Bell, violon
Orchestre de Paris. Dir. : Paavo Järvi.
Sibelius, Symphonie n°4 ; Tchaikovski,
Concerto pour violon.
10-40 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
Musique à Buenos Aires
Chœur Vittoria. Palmeri, Piazzola,
Guastavino.
20h45. Église Notre-Dame du Liban.
Tél. : 01 42 65 08 02.
Opéra en 1 acte
Viardot, Cendrillon. Compagnie Opéra
du Jour. Piano et dir. : Françoise Tillard.
15-25 €. Tél. : 01 42 88 64 44.
Quatuor Akhtamar
Alécian (création) ; Komitas ; Schubert,
La Jeune fille et la mort.
15-30 €. Tél. : 08 92 68 36 22.
[ avril ]
1er VENDREDI
2 SAMEDI
Mozart, Don Giovanni
Enregistré au Festival d'Aix en 1964.
Jean Mayer, mise en scène. Avec Teresa
Stitch Randall, Gabriel Bacquier…
14-20 €. Tél. : 01 45 61 10 60.
Orch. Symphonique Paris
Sciences & Lettres
Dir. : Johan Farjot. Haydn, extrait des
Saisons.
15h00. Université Dauphine.
Tél. : 01 42 62 71 71.
SpiriTango Quartet
Tangos de Piazzolla, Pugliese, Caruana.
12h15. Université Pierre et Marie Curie.
6-12 €. Tél. : 06 89 17 49 35.
Schumann, Brahms
Musiciens de l'Orchestre de chambre
de Paris.
9-15 €. Tél. : 0800 42 67 57.
Stéphanie-Marie Degand, violon
Elèves du Conservatoire de Paris.
Mozart, Divertimenti.
12h15. Musée de l'Armée, Grand Salon.
5 €. Tél. : 01 44 42 54 66.
Alena Baeva, violon
Itamar Golan, piano. Janacek, Debussy,
Beethoven.
17h00. Théâtre de la Ville.
19 €. Tél. : 01 42 74 22 77.
Orchestre & Chœurs de l'Opéra. Les
Etoiles, Premiers Danseurs & Corps de
Ballet, Chœur d'enfants. Dir. : Marius
Stieghorst. Dmitri Tcherniakov, mise
en scène. Avec Alexander Tsymbalyuk,
Sonya Yoncheva, Arnold Rutkowski,
Andrei Zhilikhovsky, Vito Priante…
10-231 €. Tél. : 08 92 89 90 90.
Orchestre Symphonique Paris
Sciences & Lettres
Voir au 2 avril à 15h.
17h00. Université Dauphine.
Barrière, Bacri, Offenbach
Marion Oudin, Marion Platero,
violoncelles.
8-14 €. Tél. : 01 40 20 09 32.
Musique à l’écran
Trio Primavera
Beethoven, Brahms
16-25 €. Tél. : 01 43 71 60 71.
hommage
au Festival d’aix-en-Provence
Mozart, Requiem
Chœur des Nouvelles Voix de SaintPétersbourg, Chœur du Festival Musique
en l'Île, Orchestre de l'Académie de
l'Île Saint-Louis. Dir. : Yulian Danshin.
Chœurs orthodoxes russes.
19-30 €. Tél. : 01 44 62 00 55.
. . . . . . . . . Jeudi 31 mars à 19h30 . . . . . . . .
Constantin Bogdanas, violon
Monique Colonna, piano. Vitali,
Schumann, Brahms, Bloch, Saint-Saens…
25 €. Tél. : 01 43 71 60 71.
Yumeto Suenaga, piano
Chopin, Fraisse (création), Beethoven.
Benedek Horváth, piano
Beethoven, Janacek, Bart1ok, Schumann.
avec Christian Labrande
Le songe d’une nuit d’été, de Britten
Mise en scène Robert Carsen
Avec Sandrine Piau. 2015
. . . . . . . . . samedi 2 avriL à 14h . . . . . . . . .
don Giovanni, de Mozart
Avec Gabriel Bacquier, Teresa Stich-Randall
1964
. . . . . . . . . mardi 5 avriL à 19h30 . . . . . . . . .
Written on skin, de G. Benjamin. 2012
. . . . . . . . . samedi 9 avriL à 14h . . . . . . . . .
Les Noces de Figaro, de Mozart
Avec Teresa Berganza, Erich Kunz, Ilva
Ligabue. 1962
. . . . . . . . . dimaNche 10 avriL à 11h . . . . . . . . .
La Traviata, de Verdi
Avec Natalie Dessay, Ludovic Tézier. 2011
. . . . . . . . . mardi 12 avriL à 19h30 . . . . . . . .
L’enlèvement au sérail, de Mozart
Mise en scène Jean Le Poulain. Avec
Anneliese Rothenberger, Luigi Alva. 1962
. . . . . . . . . Jeudi 14 avriL à 19h30 . . . . . . . . .
elektra, de R. Strauss
Mise en scène Patrice Chéreau. Avec
Waltraud Meier, Adrianne Pieczonka. 2013
. . . . . . . . . samedi 16 avriL à 14h . . . . . . . .
4 LUNDI
Carte blanche au public
Célia Oneto-Bensaid ou Guillaume
Durand-Piketty ou Thibault Lebrun,
piano. Devenez co-producteur des
Pianissimes…
20h00. Couvent des Récollets.
Tél. : 01 48 87 10 90.
sémiramis, de Rossini
Avec Montserrat Caballé, Marilyn Horne
1980
1 rue Balzac, Paris 8e le-balzac-tout-ouie.com
mars 2016 cadences
23
les concerts
du mois
[ mars ]
8
MARDI
Händel, Tamerlano
Il Pomo d'Oro. Dir. : Maxim
Emelyanychev. Avec Max Emanuel
Cencic, Xavier Sabata, Sophie
Karthäuser, Ruxandra Donose…
20h30. Théâtre, Poissy • 78.
12-45 €. Tél. : 01 39 22 55 92.
9 MERCREDI
Joyce DiDonato, mezzo
Il Pomo d'Oro. Dir. : Riccardo Minasi.
Splendeurs baroques.
20h00. Opéra Royal, Versailles • 78.
70-130 €. Tél. : 01 30 83 78 89.
Quatuor Talich
Prague, Vienne, Paris.
20h45. Espace Carpeaux, Courbevoie • 92.
21-26 €. Tél. : 01 47 68 51 50.
11 VENDREDI
Rossini, l'Italienne à Alger
Orchestre de l’Opéra de Massy.
Dir. : Dominique Rouits. Nicola
Berloffa, mise en scène. Avec
Aude Extremo, Eduarda Melo,
Amaya Dominguez, Manuel Nuñez
Camelino, Donato Di Stefano, Giulio
Mastrototaro, Yuri Kissin.
20h00. Opéra de Massy • 91.
57-82 €. Tél. : 01 60 13 13 13.
Wagner, Copland, Ravel
Orchestre National d'Ile-de-France.
Dir. : Case Scaglione. Jean-Claude
Falietti, clarinette.
20h30. Espace Robert, Mennecy • 91.
12-16 €. Tél. : 01 69 90 04 92.
Bartók, Brahms, Franck
Jean Mouillère, violon ; Michele
Innocenti, piano.
20h30. Conservatoire, Mantes la Jolie • 78.
20 €. Tél. : 01 34 79 74 42.
12 SAMEDI
Autour du monde de l'opérette
Spectacle hommage à Francis Lopez.
Avec Danielle Gilbert…
20h00. Théâtre, Longjumeau • 91.
27-38 €. Tél. : 01 69 09 09 09.
Cavanna, Kagel
Ensemble 2e2m. Dir. : Pierre Roullier.
Pascal Contet, accordéon ; Christian
Lucas, mise en scène.
20h30. Espaces V Roger Lefort, Villepinte • 93.
6-10 €. Tél. : 01 55 85 96 10.
Grands Airs d'Opéras
Chœur & Orchestre Europa Touring
Opera. Dir. : Luciano Di Martino.
Mozart, Rossini, Bizet…
20h45. Théâtre Malraux, Rueil-Malmaison • 78.
36-40 €. Tél. : 01 47 32 24 42.
Voir au 11 mars.
21h00. Sud-Est Théâtre, Villeneuve-St-Georges • 94.
11-22 €. Tél. : 01 43 89 54 39.
24
cadences mars 2016
13 DIMANCHE
Naon, Ramirez, Castinera de Dios
Ensemble 2e2m, Chœur Gaudeamus.
Dir. : Pierre Roullier. Elise Chauvin, soprano.
16h00. Salle des Fêtes, Soisy • 95.
Entrée libre. Tél. : 01 55 85 96 10.
Rossini, l'Italienne à Alger
Voir au 11 mars.
Voir au 11 mars.
17h00. Les 3 Pierrots, Saint-Cloud • 92.
Tél. : 01 46 02 74 44.
17 JEUDI
Orchestre de l'Opéra de Rouen, Chœur
Accentus. Dir. : Leo Hussain. Frédéric
Roels, mise en scène. Avec Johannes
Weisser, Jean Teitgen, Anna Grevelius…
55-130 €. Tél. : 01 30 83 78 89.
Debussy, Ravel, Cui, De Falla,
Gaubert, Ibert
Stéphane Limonaire, flûte ; Cyrille
Sabattier, hautbois ; Vinh Pham,
violon ; Antoine Bouvy, piano.
20h30. Église protestante, Charenton • 94.
10-15 €. Tél. : 06 24 70 46 68.
18 VENDREDI
Paris – Vienne
Sophie Marin-Degor, soprano,
François-René Duchâble, piano.
16-26,5 €. Tél. : 01 60 13 13 13.
Lully/Molière, Monsieur de
Pourceaugnac
Les Arts Florissants. Clavecin et dir. :
Paolo Zanzu. Clément Hervieu-Léger,
mise en scène. Avec Erwin Aros,
Clémence Boué, Claire Debono…
20h30. Théâtre, Chelles • 77.
16-28 €. Tél. : 01 64 21 02 10.
Verdi, Falstaff
Orchestre & Troupe Opéra Eclaté.
Dir. : Dominique Trottein. Olivier Desbordes,
mise en scène (Version française).
20h30. La Grande Scène, Le Chesnay • 78.
37-41 €. Tél. : 0892 68 36 22.
Johnson, L'opéra de quatre notes
Shirley & Dino, mise en scène. Avec
Sevan Manoukian, Mélanie Boisvert,
Paul Alexandre Dubois, Christophe
Crapez…
20h45. Conservatoire, Puteaux • 92.
15-25 €. Tél. : 01 46 92 94 77.
19 SAMEDI
Voir au 17 mars.
Festival du Bruit qui Pense
Christoph Seybold, violon ; Ingmar
Lazar, piano. Ivry Gitlis, invité
d’honneur. Tanguy, Franck, Vitali,
Brahms, Debussy, Ravel, Waxman.
20h00. Église Saint-Eloi des Mesnuls • 78.
20 €. Tél. : 07 68 33 44 78.
Les grands airs d'opéra
Opera. Dir. : Dian Tchobanov. Avec Milena
Grappe, Marie-Caroline Kfoury, Stanislava
Ivanova… Mozart, Rossini, Verdi…
20h30. Théâtre, Saint-Maur-des-Fossés • 94.
20-38 €. Tél. : 01 48 89 99 10.
20 DIMANCHE
Chœur Accentus
Dir. : David Bates. So British: Vaughan
Williams, Parry, Ianotta, MacMillan, Tippett.
10h30. Vieille Église, Puteaux • 92.
Entrée libre. Tél. : 01 46 92 94 77.
Grand Gala Lyrique
Opera. Dir. : Dian Tchobanov.
15h00. Théâtre, Longjumeau • 91.
25-35 €. Tél. : 01 69 09 09 09.
Voir au 17 mars.
Musique à Buenos Aires
Chœur régional Vittoria d’Île-deFrance. Dir. : Michel Piquemal. Palmeri,
Piazzola, Guastavino.
16h00. Salle des fêtes, Soisy-sousMontmorency • 95.
Tél. : 01 42 65 08 02.
Festival du Bruit qui Pense
Ingmar Lazar, piano. Eric Tanguy,
compositeur invité. Bach/Siloti, Mozart,
Beethoven, Chopin, Ravel, Tanguy,
Rota, Liszt.
16h00. Église Saint-Eloi des Mesnuls • 78.
20 €. Tél. : 07 68 33 44 78.
Voir au 11 mars.
17h00. Théâtre Victor Hugo, Bagneux • 94.
Tél. : 01 46 63 96 66.
22 MARDI
Rameau, Ravel
Orchestre Les Siècles. Dir. : FrançoisXavier Roth.
20h30. Espace Vasarely, Antony • 92.
18 €. Tél. : 01 41 87 20 84.
23 MERCREDI
Ensemble Aedes, Ensemble Les
Surprises. Dir. : Mathieu Romano, avec
Fernando Guimaraes, Rachel Redmond,
Mélodie Ruvio, Enguerrand de Hys,
Victor Sicard, Nicolas Brooymans.
16-26,5 €. Tél. : 01 60 13 13 13.
24 JEUDI
Purcell, Haydn, Martland
Chœur de Radio France,
Dir. : Sofi Jeannin, Ida Falk-Winland,
soprano.
20h30. Théâtre, St-Quentin-en-Yvelines • 78.
30 €. Tél. : 01 30 96 99 00 .
Quatuor Béla
Britten, Combier, Debussy.
20h30. La Scène Watteau, Nogent/Marne • 94.
8-22 €. Tél. : 01 48 72 94 94.
Guastavino, Piazzola, Palmeri
Chœur régional Vittoria d'Ile-de-France.
Dir. : Michel Piquemal. Gilberto Pereyra,
bandonéon. Izabella Wnorowska, soprano.
20h45. Le Sel, Sèvres • 92.
18-33 €. Tél. : 01 41 14 32 34.
25 VENDREDI
Ensemble Pygmalion. Dir. : Raphaël
Pichon. Sabine Devieilhe, Julian
Prégardien, Stéphane Degout , Damien
Guillon, Maïlys de Villoutreys…
20h00. Chapelle Royale, Versailles • 78.
70-130 €. Tél. : 01 30 83 78 89.
Amandine Beyer, violon et direction
Gli Incogniti. Vivaldi, Concertos pour violon.
20h30. Scène nationale de Sénart • 77.
Tél. : 01 60 34 53 60.
L'Art d'aimer
Ensemble Il Festino. Dir. : Manuel de
Grange. Monteverdi, Purcell, Cavalli…
20h30. Théâtre, Chelles • 77.
12-26 €. Tél. : 01 64 21 02 10.
Bach, La Passion selon Saint Jean
Ensemble Aedes, Ensemble Les
Surprises. Dir. : Mathieu Romano. Avec
Fernando Guimaraes…
21h00. Théâtre Vilar, Suresnes • 92.
13-27 €. Tél. : 01 46 97 98 10.
26 SAMEDI
Stephan Picard, violon
Avec des élèves des conservatoires
Grand Paris Seine Ouest.
10h00. Château, Ville d'Avray • 92.
Festival Yehudi Menuhin.
Entrée libre. Tél. : 01 47 50 12 21.
Bloch, Brahms
Marie-Christine Millière, violon ; Josette
Morata, piano.
Entrée libre. Tél. : 01 47 50 12 21.
Voir au 25 mars.
Alexandra Conunova, violon
Ildiko Szabo, violoncelle ; Isabelle Cottet,
piano. Bach, Prokofiev, Ravel, Kodaly.
9-18 €. Tél. : 01 47 50 12 21.
27 DIMANCHE
Yehudi Menuhin, Le violon du siècle
Film de Bruno Monsaingon (1996).
14h00. Cinéma Le Colombier, Ville d'Avray • 92.
9-18 €. Tél. : 01 47 50 12 21.
Bach, Schumann, Mozart, Brahms
Guillaume Chilemne, violon ; Adrien
Boisseau, alto ; Gaspard Dehaene, piano.
9-18 €. Tél. : 01 47 50 12 21.
île-de-france
Bach, Messe en si mineur
Christie. Avec Katherine Watson,
Emmanuelle de Negri, Tim Mead…
50-100 €. Tél. : 01 30 83 78 89.
Franck, Tchaikovski
Bruno Monsaingeon, violon ; Aleksey
Shadrin, violoncelle ; Raùl da Costa,
piano.
9-18 €. Tél. : 01 47 50 12 21.
28 LUNDI
Bach, Beethoven, Halphen, Fauré
Alexandre Conunova, violon ; Adrien
Boisseau, alto ; Ildiko Szabo, violoncelle ;
Gaspard Dehaene, Isabelle Cottet, piano.
9-18 €. Tél. : 01 47 50 12 21.
31 JEUDI
Weill, L'opéra de quat'sous
Dir. : Christophe Sturzenneger. Joan
Mompart, mise en scène.
19h30. Théâtre 71, Malakoff • 92.
Tél. : 01 55 48 91 00.
Mozart, la Flûte Enchantée
Orchestre de l’Opéra de Massy,
Chœurs Opéra 2001. Dir. : Dominique
Rouits. Roberta Mattelli, mise en
scène. Avec Francesca Bruni/Gabrielle
Philiponet, Linda Campanella/Silja
Schindler, Violeta Todorova, Marieta
Todorova, Stanislava Martcheva…
36-53 €. Tél. : 01 60 13 13 13.
Dir. : Nathan Brock. Chad Hoopes, violon.
20h30. Théâtre, Rungis • 78.
Tél. : 01 30 07 55 50.
Zygel improvise sur Bach
Jean-François Zygel, piano.
20h30. La Scène Watteau, Nogent/Marne • 94.
15-35 €. Tél. : 01 48 72 94 94.
Natalie Dessay, soprano
Philippe Cassard, piano. Schubert,
Mendelssohn, Duparc.
20h30. Théâtre, Poissy • 78.
12-40 €. Tél. : 01 39 22 55 92.
[ avril ]
1er vendredi
Voir au 31 mars.
Voir au 31 mars.
Voir au 31 mars.
20h45. Théâtre Alexandre Dumas, StGermain-en-Laye • 78.
15-36 €. Tél. : 01 30 87 07 07.
Le Fantôme de l'Opéra
Film de Rupert Julian (1925). JeanPhilippe Le Trévou, orgue.
20h45. L'Atrium, Chaville • 92.
10 €. Tél. : 01 41 14 32 34.
2 SAMEDI
Voir au 31 mars.
Voir au 31 mars.
Voir au 31 mars.
20h30. Espace Coluche, Plaisir • 78.
28-32 €. Tél. : 01 30 07 55 50.
Quatuor Jatekok
Bartók, Bernstein.
20h30. Théâtre, Fontenay-aux-Roses • 92.
14-22 €. Tél. : 01 71 10 73 70.
Mozart, Requiem
Chœur & Orchestre Les Nouveaux
Caractères. Dir. : Sébastien d'Hérin.
Avec Caroline Mutel, Gaëlle Arquez,
Julien Behr, Nicolas Courjal.
45-85 €. Tél. : 01 30 83 78 89.
6 MERCREDI
Voir au 31 mars.
7 JEUDI
Voir au 31 mars.
8 VENDREDI
Krawczyk, Rejouer
De et avec : Franck Krawczyk, piano.
16 €. Tél. : 01 30 96 99 00 .
Voir au 31 mars.
9 SAMEDI
Krawczyk, Rejouer
Voir au 8 avril.
Voir au 31 mars.
Stravinski, Le Sacre du printemps
Dir. : Enrique Mazzola, Rex Lawson,
Pianola. Stravinski, Milhaud, Schubert.
16-26,5 €. Tél. : 01 60 13 13 13.
Reich, Music for 18 musicians
Ensemble Links. Dir. : Rémi Durupt.
Sylvain Groud, chorégraphie.
20h30. Scène nationale de Sénart • 77.
Tél. : 01 60 34 53 60.
10 DIMANCHE
Schubert, Milhaud, Stravinski
Dir. : Enrique Mazzola. Rex Lawson,
pianola.
15h30. Centre Prévert, Villeparisis • 77.
20-30 €. Tél. : 01 64 67 59 61.
16h00. Église Saint-Saturnin, Antony • 92.
14-23 €. Tél. : 01 60 46 94 35.
Voir au 31 mars.
Karine Deshayes, mezzo
Delphine Haidan, mezzo ; Thomas
Palmer, piano. Fauré, Mozart, Rossini.
17h00. Église St-Pierre St-Paul, Orgeval • 78.
15-20 €. Tél. : 06 60 90 17 23.
3 DIMANCHE
Boccherini, Stabat Mater
Le Concert de la Loge Olympique. Violon et dir. :
Julien Chauvin. Eduardo Melo, soprano.
10h30. Vieille Église, Puteaux • 92.
Entrée libre. Tél. : 01 46 92 94 77.
Voir au 31 mars.
15h00. Théâtre, Villejuif • 94.
12-18 €. Tél. : 01 49 58 17 01.
Mathieu Salama, contre-ténor ; Ghislaine
Gignoux, clavecin ; Geneviève L'Hostis/
Bruno Angé, viole de gambe. Airs de Vivaldi,
Händel, Gluck, Purcell, Bach, Porpora…
15h00. Centre Montand, Livry-Gargan • 93.
Tél. : 06 11 68 22 95.
Voir au 31 mars.
Voir au 31 mars.
Mozart, Requiem
Voir au 2 avril.
Voir au 31 mars.
5 MARDI
Voir au 31 mars.
mars 2016 cadences
25
disques
[ NOUVEL ALBUM ]
Alexander Paley, piano
Medtner, Rachmaninov
Erik Satie (1866-1925)
Edition intégrale
Avec Aldo Ciccolini, Michel Legrand,
Gabriel Tacchino, Pierre Dervaux,
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Barbara Hendricks

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