Édition du 25 octobre 2014
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Édition du 25 octobre 2014
N°1 - Samedi 25 octobre 2014 Un vent de jeunesse souffle sur le point du jour Cinemed Le palmarès du 5e Festival de films lycéens Depuis hier, le Cinemed accueille comme chaque année plus de 250 lycéens venus de la France entière qui préparent le bac cinéma-audiovisuel. Au programme, De battre mon cœur s’est arrêté (2005), l’œuvre de Jacques Audiard sélectionnée pour le baccalauréat 2015. Dans le cadre de ce stage pédagogique de trois jours proposé aux lycéens et enseignants, le Cinemed organise également le 5e Festival de films lycéens. Parmi les huit films courts sélectionnés et projetés hier en Salle Pasteur, le jury a choisi de récompenser deux d’entre eux : Horoscope de Marie Bouadjenak du lycée Jean-Monnet de Montpellier et Susi réalisé par les élèves du lycée Louis-Feuillade de Lunel. Félicitation aux lauréats ! ■ Ce soir, Cinemed ne retient plus son souffle et offre une grande bouffée d’adolescence lors de l’ouverture de sa 36e édition. Un vent de jeunesse pour marquer un renouveau et faire la part belle aux nouvelles générations de cinéastes. ■ Respire lique et la fragilité qui s’en dégage. Mélanie Laurent trouve une photo de Lou de Laâge sur internet et elle est attirée par son air « dur et inquiétant ». Elle allait donc logiquement incarner le démon de l’histoire, la créature qui envoûte. Respire est le récit de cette apparente fusion qui lie deux jeunes filles de 17 ans, Charlie (Joséphine Japy) et Sarah (Lou de Laâge), dans le monde clos du lycée. Charlie délaisse sa confidente Victoire (Roxane Duran) pour vouer un culte sans limite à Sarah. La mère incarnée par Isabelle Carré s’éprend elle aussi d’admiration pour la nouvelle copine de classe de sa fille, alors que la tante de Charlie (Claire Keim), s’en méfie scrupuleusement. Ces deux autres personnages féminins complètent un tableau où les relations psychologiques complexes s’entremêlent et conduisent au drame affectif. Mélanie Laurent excelle alors à faire monter la tension, et l’affrontement qui atteint un crescendo dans la seconde partie du film et fait glisser l’histoire sur la pente du polar. Le film évoque avec puissance le pouvoir de la manipulation et démontre comment la fascination d’un être peut conduire à la perte de soi. Respire est adapté du roman éponyme d'AnneSophie Brasme. Si cette libre adaptation frappe par autant de justesse et de vitalité, c’est aussi parce que la réalisatrice s’est inspirée de son histoire personnelle. Révélée en 2006 grâce à son rôle dans Je vais bien, ne t’en fais pas de Philippe Lioret, Mélanie Laurent ajoute une corde à son arc et passe à la réalisation en 2011 avec Les Adoptés. Cinemed met en lumière cette œuvre vertigineuse, sublimée par deux actrices, presque tout juste sorties du nid, et pourtant d’une maturité époustouflante. Avec en avant-programme, Miami, un court métrage portugais de Simão Cayatte, Cinemed s’ouvre résolument sur une page imprégnée de l’âge “immature” et nous berce dans le monde des rêves, des passions déchirantes et des obsessions affectives. Samedi 25 octobre à 20 h 30, Le Corum, Opéra Berlioz, soirée d’ouverture complète en présence de l’équipe du film Respire de Mélanie Laurent. La rencontre avec Mélanie Laurent prévue dimanche 26 octobre à 12 h est annulée. Leïla Bekhti : une carrière qui brille ■ © Leïla Bekhti pour L’Oréal Paris Le visage de Leïla Bekhti n’est plus inconnu du grand public, surtout depuis qu’elle figure parmi les égéries de L’Oréal. Mais Cinemed s’intéresse plutôt à sa jeune et glorieuse filmographie. La comédienne est présente ce week-end pour l’évoquer. Tombée dans le cinéma un peu “par hasard”, Leïla Bekhti s’affiche déjà dans une vingtaine de longs métrages dont huit sont programmés au Cinemed. C’est en 2005, poussée par ses amis à participer à un casting, qu’elle décroche un rôle dans le film noir et grinçant de Kim Chapiron, Sheïtan. Le film rencontre un étonnant succès en salle. Dans le téléfilm Harkis d’Alain Tasma, Leïla s’illustre dans un très beau rôle qui lui permet d’approcher de plus près l’histoire de ses parents. De là, elle chemine vers de diverses expériences cinématographiques. De Yasmine elle incarne Zarka dans Paris je t’aime, puis Mounia dans Mauvaise Foi de Roschdy Zem, ou encore Djamila en 2008 dans le magnifique long métrage de Jacques Audiard, Un Prophète. Cette dernière apparition vaut à Leïla Bekhti un tournant significatif pour sa carrière et une notoriété assurée. Elle commence à étinceler sous les feux des projecteurs et excelle l’année suivante dans un duo avec Géraldine Nakache, dans Tout ce qui brille. Un film pétillant qui la propulse sur le devant de la scène et lui vaut le César du Meilleur espoir féminin. D’origine algérienne et née en région parisienne, Leïla Bekhti enchaîne les rôles métissés. Dans ses pérégrinations cinématographiques, l’actrice se trouve confrontée à une quête complexe qui consiste à assumer son histoire tout en cherchant des rôles où ses origines ne lui collent pas à la peau. Enrichie par cette double appartenance, nourrie de belles rencontres et poussée par l’envie de se parfaire, cette comédienne vibrante affiche un très beau parcours. On peut compter à son palmarès déjà une vingtaine de films pour le cinéma et une dizaine de téléfilms. Ces multiples expériences lui ont permis de se faire repérer, il y a trois ans, par la grande firme internationale L’Oréal. Mais nous tâcherons de rendre hommage à sa carrière, qui derrière le maquillage, ne cesse de briller. C’est finalement dans ce dernier film de Serge Frydman, Maintenant ou jamais, sorti en septembre dernier, qu’elle révèle une autre facette. Elle ne joue plus, comme elle le dit elle-même « l’arabe de service », mais une jeune maman prénommée Juliette, prête à tout pour sauver sa famille. Dans ce rôle moins “stéréotypé,” elle dit s’être inspirée de son vécu, et plus particulièrement celui de sa mère. Leïla Bekhti est aujourd’hui au seuil d’un nouveau champ. Celui des possibles. Séances présentées par Leïla Bekhti : Un Prophète de Jacques Audiard (samedi 25 octobre à 14 h, Corum - Opéra Berlioz), Tout ce qui brille de Géraldine Nakache et Hervé Mimran (dimanche 26 octobre à 14 h, Corum - Opéra Berlioz) et La Source des Femmes de Radu Mihaileanu (dimanche 26 octobre à 18 h, Corum - Opéra Berlioz). Rencontre avec Leïla Bekhti dimanche 26 octobre à 16 h, Corum, espace Joffre 1. ■ Photo © E. Catarina. Mélanie Laurent nous fait grand honneur de sa présence alors qu’elle tourne actuellement sous le soleil de l’île maltaise, dans le nouveau film d’Angelina Jolie, By the Sea où elle retrouve Brad Pitt quelques années après leur première rencontre sur Inglorious Basterds de Quentin Tarantino. Respire est le deuxième long métrage de cette jeune comédienne de trente et un ans. Il est projeté en avant-première pour la soirée d’ouverture, en sa présence et celle des deux actrices principales, Lou de Laâge et Joséphine Japy. Filmé dans la région Languedoc-Roussillon, à Béziers et sur le Mont Saint-Clair notamment, le film déjà ovationné à Cannes lors de la Semaine de la critique, dresse un portrait de l’adolescence tout en contrastes autour d’une chronique cruelle mais authentique sur l’amitié. Sur un rythme haletant, Mélanie Laurent nous emmène dans les tréfonds de la perversion narcissique. Avec subtilité et audace, elle transforme un conte sentimental en fable monstrueuse. Construit sur l’idée de la dualité, le film décortique le mécanisme d’une amitié à la fois fragile et passionnée, qui oscille entre amour et haine, fascination et répulsion. « Tout est parti de deux photos », explique la réalisatrice. Elle a choisi Joséphine Japy, repérée dans le film Cloclo, pour son visage angé- La 4e Journée des métiers du cinéma et de l’audiovisuel Destiné à informer sur les métiers du cinéma et les filières de formation pour y accéder, ce salon d’information se déroulera toute la journée de 10 h à 17 h, dans le hall 0 du Corum. Il s’adresse aux élèves des lycées des régions Languedoc-Roussillon et PACA, aux étudiants en cinéma, aux professionnels du cinéma et aux 250 lycéens préparant le bac cinéma-audiovisuel en stage au Cinemed jusqu’à demain. ■ L’Atelier cinéma ArtFx De 10 h à 17 h, ArtFx, l’école supérieure des effets spéciaux et d’animation 3D de Montpellier, animera pour la 2e année consécutive un atelier cinéma dans le hall 0 du Corum. Les élèves de 4e année, invités par Cinemed, animeront un atelier de prises de vues sur fond vert ainsi que des démonstrations de travaux numériques en post-production. Cette année, en hommage au cinéma méditerranéen classique, ArtFx propose un voyage au pays des péplums et de leurs modernités. ■ Filmer en région : début des projections ■ Une contrebasse en Méditerranée Cinemed accorde une place de choix aux films tournés en région, à ces coups de cœur narratifs, tant la qualité de production est repérable sur le territoire. Une sélection de cinq documentaires et trois courts métrages figurent dans la section “Filmer en région”. Aujourd’hui, deux documentaires et un court métrage sont au programme. Tout d’abord, c’est un périple dans l’univers du fanzine qui s’offre au spectateur avec le documentaire Undergronde de Francis Vadillo, à 12 h (deuxième passage vendredi 31 octobre à 16 h). Le réalisateur est présent à la projection. À 16 h, rendez-vous pour deux films. Le court métrage Dolça, de la Montpelliéraine Laure Bourdon-Zarader, sera projeté en sa présence. Le public pourra découvrir le voyage d’Alain Guyard, Le Philosophe à bras-le-corps, en compagnie du producteur du documentaire Michel Coquelin, de Yannick Dumas (image) et du protagoniste du film. ■ 1, 2, 3, votez ! Public, c’est parti ! Vous avez jusqu’à samedi 1er novembre pour élire votre film préféré parmi tous les 26 longs métrages et les 40 courts métrages confondus dans les catégories compétition et panorama. Une grande responsabilité est entre vos mains, puisque pour le “Prix du public Midi Libre” (longs métrages), une dotation de 4000€ sera remise au réalisateur. Et pour le “Prix du public Midi Libre-Titra Film” réservé aux courts métrages, 1000€ seront remis au réalisateur et 500€ en prestation DCP (Digital Cinema Package). À chaque séance de projection, des hôtesses vous remettront des bulletins de vote à déposer dans des urnes disposées dans le hall du Corum. Regardez, choisissez, votez ! ■ Stella, femme libre ouvre la danse des copies restaurées ■ Stella femme libre Cinemed a toujours plaisir de (re)montrer des bijoux du cinéma en version restaurée. Pour ouvrir le bal, c’est un trésor du 7e art grec qui est projeté à 18 h au Centre Rabelais. Sur la piste de danse, une femme libre, Melina Mercouri dans le film de Michael Cacoyannis. Stella femme libre, sorti en 1955, est un film méditerranéen par excellence et l’un des plus connus du réalisateur d’Electre (1960) et Zorba le Grec (1964). Disparu en 2011, Michael Cacoyannis, signe une œuvre rejetée par la quasi totalité de la presse nationale de l’époque. Les critiques déplorent la vulgarité et le libertinage mis au rang de l’héroïsme. Rares sont les journalistes qui osent défendre la qualité de la mise en scène et cette incroyable présence physique naturelle de Melina Mercouri. C’est à Cannes que le film trouve une certaine reconnaissance internationale. Il est considéré aujourd’hui comme l’un des meilleurs films grecs. Il se rattache à la rétrospective que Cinemed consacre au cinéma grec parce qu’il marque toute une nouvelle vague de réalisateurs. Stella femme libre offre son premier rôle à Melina Mercouri. Étonnante chanteuse à la voix rauque, magnifique danseuse et fervente militante politique, elle illumine ce film en noir et blanc. Elle lui donne une impression quasi solaire, typique de la lumière méditerranéenne. Lors de la scène du pique-nique sous les pins, Cacoyannis nous plonge dans la Grèce typique des années 50, au cœur de la Méditerranée. Ce film conte les aventures fougueuses de Stella, une chanteuse populaire de cabaret. Il s’articule autour d’une idole séduisante, symbole de la femme fatale, de l’exaltation de l’amour et de la passion. Au fil de ses chansons, Melina Mercouri célèbre la joie de vivre. Elle incarne l’affranchissement féminin face à “l’esclavage familial et social” dont les femmes sont victimes à cette époque. Mais l’univers sombre et glauque du “Paradis”, la taverne où la chanteuse se donne en spectacle tous les soirs, vient contrebalancer cette odeur de liberté, notamment avec l’utilisation du “rebetiko”, le “blues” grec. Melina Mercouri excelle dans ce rôle de danseuse fascinante et obsédante. Stella est l’illustration parfaite du mélodrame : un drame avec du chant. « Je veux chanter, danser et faire flamber tous les hommes ! », s’exclame-t-elle. ■ Un Antigone d’or pour 12 longs métrages Ce ne sont pas moins de douze longs métrages qui se lancent dans la grande course de la compétition. Et pas moins de six prix et un jury de cinq personnalités pour les récompenser. La sélection officielle représente à elle seule quinze nationalités différentes : l’Algérie, la Croatie, la Serbie, la Macédoine, l’Espagne, la France, la Géorgie, la Grèce, Israël, l’Italie, le Maroc, la Belgique, les Émirats Arabes Unis, la Tunisie et la Turquie. Embarquez pour un nouveau périple autour de la Méditerranée avec la compétition longs métrages. Cette année, douze films concourent pour l’Antigone d’Or de l’Agglomération de Montpellier, et cinq autres prix. Parmi eux, un petit nouveau : le prix Nova, soutenu par la radio éponyme. Le film lauréat sera récompensé par une campagne de spots sur les ondes nationales pour sa sortie. La plupart des longs métrages sont des premiers ou seconds films d’auteurs. Ils partici- pent donc de la démarche de Cinemed qui tend à offrir un bel espace de visibilité pour les nouvelles générations de cinéastes. Le public pourra découvrir Atlit de Shirel Amitay, Chelli d’Asaf Korman, Fidelio, L’Odysée d’Alice de Lucie Borleteau, Adios Carmen de Mohamed Amin Benamraoui, et Bastardo de Najip Belkadhi. L’Espagnole Belén Macías revient six ans après au Cinemed avec son deuxième long métrage Marseille, un drame familial autour de la garde partagée d’une petite fille de cinq ans. Les auteurs à la filmographie plus étoffée ne sont toutefois pas en reste. En lice également, Fish d’un réalisateur turc bien connu des festivaliers, Dervis Zaim. Il présente son premier long métrage de fiction Soubresaut dans un cercueil en 1997, et il revient avec Dot en 2008. S’ajoutent à la liste des longs métrages en course, un film grec Standing Aside, Watching de Yorgos Servetas, un franco-géorgien, La Terre éphémère de George Ovashvili, et These Are the Rules de Ogjen Svilicic, une coproduction franco-croate. Cette journée s’ouvre avec une véritable comédie, une satire sur ce que sont les Algériens eux-mêmes : Certifiée Halal. Kenza, personnage principal, est interprétée par Hafsia Herzi, découver te dans La Graine et le mulet d’Abdellatif Kechiche, puis aux côtés de Leïla Bekhti dans La Source des Femmes. Mahmoud Zemmouri, le réalisateur est présent pour la séance de 14 h. À suivre ce samedi à 16 h, une production israélienne, Chelli d’Asaf Korman. À 18 h, rendez-vous pour Adios Carmen, un film métissé, tourné au Maroc, produit par la Belgique et les Émirats Arabes Unis. Mohamed Amin Benamraoui, le réalisateur, est présent. Samedi 25 octobre, Certifiée Halal de Mahmoud Zemmouri à 14 h, Chelli d’Asaf Korman à 16 h et Adios Carmen de Mohamed Amin Benamraoui à 18 h. Tous les films de la compétition sont présentés salle Pasteur. ■ Certifiée Halal Samedi 25 octobre COPIE RESTAURÉE berlioz pasteur 11 h 00 Plácido de Luis García Berlanga (Espagne, 1961), 1 h 25 VOSTF 14 h 00 Certifiée Halal de Mahmoud Zemmouri (Algérie/France, 2013), 1 h 25 VOSTF 14 h 00 Un prophète de Jacques Audiard (France, 2009), 2 h 35 VOFR 17 h 00 In grazia di Dio de Edoardo Winspeare (Italie, 2014), 2 h 08 VOSTF ET VOGUE LE NAVIRE de Federico Fellini PRÉSENTÉ PAR DOUX, NICOLAS SEY aumont président de G e - 21 h Dimanche 26 octobr oz Corum - Opéra Berli 20 h 30 Soirée d'ouverture Respire de Mélanie Laurent (France, 2014), 1 h 31 VOFR en avant-programme : Miami de Simão Cayatte (Portugal, 2014), 15 mn VOSTF 16 h 00 Chelli de Asaf Korman (Israël, 2014), 1 h 30 VOSTF 18 h 00 Adios Carmen de Mohamed Amin Benamraoui (Maroc/Belgique/Émirats Arabes Unis, 2013), 1 h 43 VOSTF einstein Free Range de Bass Breche (Liban/Allemagne, 2014), 18 mn VOSTA Repose en paix de Dina Abd Elsalam (Égypte, 2014), 15 mn - VOSTF En dehors de la ville de Rim Mejdi (Maroc, 2014), 18 mn - VOSTF Relocation de Yair Fridman (Israël, 2014), 11 mn - VOSTF Molii de Mourad Boudaoud, Carine May, Yassine Qnia, Hakim Zouhani (France, 2014), 14 mn - VOFR 14 h 00 Il sud è niente de Fabio Mollo (Italie/France, 2013), 1 h 30 VOSTF 10 h 00 Inferno de Vinko Möderndorfer (Slovénie, 2014), 1 h 53 - VOSTF 16 h 00 Étoile filante de Lluís Miñarro (Espagne, 2013), 1 h 51 - VOSTF 12 h 00 Courts métrages Panorama n° 3 Passage à niveau de Anis Djaad (Algérie, 2014), 23 mn - VOSTF 18 h 00 A Praga, la plaie de Hélène Robert, Jeremy Perrin (France/Portugal, 2013), 1 h 12 VOSTF rabelais 12 h 00 Filmer en région Programme 4 UnderGronde de Francis Vadillo (France, 2014), 1 h 16 - VOFR 14 h 00 Annonces matrimoniales d'Antonio Pietrangeli (Italie/France, 1964), 1 h 40 - VOSTF 16 h 00 Filmer en région Programme 2 Dolça de Laure Bourdon-Zarader (France, 2014), 30 mn - VOSTF La Philo à bras-le-corps de Yohan Laffort (France, 2014), 52 mn - VOFR 18 h 00 Stella femme libre de Michael Cacoyannis (Grèce, 1955), 1 h 30 - VOSTF corum hall 0 10 h 00 4e journée des métiers du cinéma et de l'audiovisuel de 10 h à 17 h 10 h 00 L’Atelier cinéma ArtFx VOFR = version originale en français; VF = version doublée en français; VOSTF = version originale sous-titrée français; VOSTA = version originale sous-titrée anglais (traduction simultanée); VOSST = version originale sans sous-titres (traduction simultanée); VOSD = version originale sans dialogues Flash Festival - Quotidien d’information édité par le Festival International du Cinéma Méditerranéen de Montpellier. Tél. 04 99 13 73 73 - Distribué exclusivement sur les lieux du festival. Direction : Jean-François Bourgeot - Rédaction : Margot Valeur et Marie Savoldelli - Fabrication : Imprimerie du Midi, 34438 Saint-Jean-de-Védas cedex
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