Le mariage au Moyen-Âge - Page personnelle de David Laplante
Transcription
Le mariage au Moyen-Âge - Page personnelle de David Laplante
Maude Bouthillier Carolyn Dingman Félix Langlois Groupe : 01 Sexualité : Du passé à nos jours Travail de session Travail présenté à Monsieur David Laplante Programme de techniques de gestion hôtelière Séminaire de Sherbrooke 21 novembre 2010 2 Table des matières Chapitre 1 : La mariage au moyen-âge ……………………………………………….. 3 Déroulement du mariage ……………………………………………………… 3 La nuit de noce ………………………………………………………………... 4 Droits réclamés aux jeunes mariés ……………………………………………. 5 La sexualité suite au mariage ………………………………………………….. 6 Conclusion ……………………………………………………………………... 7 Chapitre 2 : La polygamie ……………………………………………………………... 7 Amérique ………………………………………………………………………. 8 Europe ………………………………………………………………………….. 9 Afrique du Nord et Moyen-Orient …………………………………………….. 9 Afrique subsaharienne ………………………………………………………… 10 Asie ……………………………………………………………………………. 11 Océanie ………………………………………………………………………... 11 Conclusion …………………………………………………………………….. 12 Bibliographie ………………………………………………………………………….. 12 3 Chapitre 1 : L’histoire de la sexualité Le mariage au Moyen-âge À travers les époques, les gens ont voulu s’unir entre eux soit par union civil, mariage ou autres cérémonies du genre. Les gens du Moyen-âge ne font pas exception à ce fait. Tout comme les personnes de notre société contemporaine le font de nos jours, la population du Moyen-âge a procédé à la célébration de plusieurs mariages. Même qu’il était mal vu, à cet époque, de ne pas se marier. Toutefois, on ne procédait pas de la même façon à cette époque. Certains points du mariage étaient vus différemment. Ce présent texte décrira l’institution du mariage durant le Moyen-âge, principalement en France. On commencera par décrire le déroulement à suivre pour en arriver à un mariage. Ensuite, on expliquera le déroulement de la nuit de noce. Puis, on exposera certains droits que les gens réclamaient aux jeunes mariés. Pour terminer on parlera de la sexualité des deux mariés suite à leur mariage. Au Moyen-âge, les mariages étaient des évènements qui monopolisaient toute l’attention dans les villages et les villes. Ils s’agissaient souvent d’alliances ou de pactes entre familles rivales. Il est intéressant de savoir comment deux personnes en arrivaient à se marier. L’enchaînement des étapes du mariage était très important à l’époque. On devait d’abord commencer par des fréquentations. Les fréquentations se faisaient généralement durant les fêtes et les veillées. Les promis se rencontraient par l’entremise d’un ami ou le prétendant allait directement voir le père de la jeune fille pour lui demander sa main. On 4 voyait plutôt le mariage comme une affaire de parent ou de famille, car cet acte augmentait le prestige de la famille tout entière. Dans tous les cas, la jeune fille avait rarement, voire jamais, son mot à dire. On accordait au vin une grande importance. Dans certains villages, boire du vin avec une jeune fille était une promesse de mariage pour épater les jeunes filles, les jeunes hommes effectuaient souvent des concerts sous les fenêtres de ces dernières. On nommait ces concerts aubades. Les fréquentations étaient la plupart du temps, voire toujours, faites chez les parents de la jeune fille, car celle-ci ne vivait pas en appartement. Puis, quand les fréquentations étaient rendues à un stade qu’on pouvait qualifier d’intéressant, on procédait aux fiançailles. Suivront ensuite les noces où les deux promis procèderont à l’échange des « oui ». Un rituel cocasse de l’époque voulait qu’on célèbre le mariage à jeun, avant midi et en public. Les filles aristocrates étaient fréquemment mariées dès l’âge de 14 ans, alors que les filles issues de classes populaires étaient mariées plus tardivement. En revanche, à la même époque, les garçons se marient plutôt vers 25 ans. Auparavant, la seule fin possible du mariage était la mort de l’un ou l’autre des mariés, voire les deux. Cependant, quelques annulations de mariage on commencé à apparaître, choses qui était impensable avant. D’autre part, les gens de l’époque n’aimaient pas trop que les filles de leur village soient mariées à des hommes vivant à l’extérieur. Ils voyaient cela comme un vol d’épouse éventuelle. Pour ce qui est de la nuit de noce, le déroulement de la bénédiction de celle-ci était différent d’une région à l’autre. Toutefois, l’église était très présente ce qui donnait au mariage un phénomène très religieux. La jeune mariée était conduite au lit nuptial par les femmes ayant participées aux noces. On doit mentionner que le lit nuptial était béni par le 5 curé local. Les jeunes hommes, en attendant leur femme, étaient aspergés d’eau bénite et encenser en signe de bénédiction. On exécutait également des prières dans le but de chasser les mauvais sorts. Celui que le mari craignait le plus était d’être impuissant. Si l’on voulait rendre l’homme impuissant, on devait, pendant la cérémonie, faire un nœud avec une corde, un ruban ou un cheveu tout en récitant un verset du psaume Miserere mei, Deus. Pour conjurer ce sort, l’homme devait uriner dans la bague de fiançailles de sa femme ou dans le trou de serrure de l’église où le mariage s’était déroulé. L’homme pouvait éviter ce sort en mettant du sel dans les poches de son pantalon. La jeune fille se faisait déshabiller par les femmes qui l’avaient accompagnée. La mère de la mariée utilisait ce moment pour donner quelques conseils sexuels de dernière minute à sa fille, puisqu’en principe, cette dernière est dépourvue d’expériences sexuelles. Le jeune homme, quant à lui, n’en était probablement pas à sa première expérience sexuelle. Même que les jeunes maris étaient incités par une croyance populaire à ne pas se présenter à la chambre nuptiale sans avoir d’expériences sexuelles. Pendant la nuit, des témoins se tiennent près de la chambre nuptiale puisque la nuit de noce est quasiment un acte public. Tout le monde veut savoir ce qui s’est passé. Après les ébats amoureux, les garçons de la noce offre au marié un verre de chaudeau, un vin épicé. Puis, tout le monde mange et boit en l’honneur du marié et de la mariée. Par la suite, l’union charnelle ne pouvait se faire que dans l’intention de procréer. Autrement, c’était vu comme un péché. De plus, la seule position possible aux yeux des clercs est celle de l’homme sur la femme. Le temps pour s’embrasser était également très limité. 6 Les nouveaux mariés se faisaient souvent demander des droits par des gens. Les droits étaient des dons que l’époux devait donner. C’était soit du vin, de l’argent ou de la nourriture. Si l’époux ne donnait pas de droits, les gens l’importunaient gentiment. On appelait ces droits de plusieurs façons : droit de ban, droit de cochet, droit de culage, droit de cuissage ou encore droit de jambage. Un des droits qui a une grande réputation est le droit de cuissage, aussi appelé droit du seigneur. Ce droit permettait au seigneur de coucher avec les jeunes mariées le soir de leur mariage. Cependant, certaines personnes croient qu’il n’a jamais vraiment existé. Quand il y avait des gens qui en étaient à leur deuxième ou à leur troisième mariage, les jeunes célibataires du village faisaient des charivaris. Il s’agissait de concerts nocturnes bruyants. Les jeunes célibataires se déguisaient de façon excentrique et apportaient n’importe quel objet pour faire du bruit à la maison des gens qui s’étaient remariés dans le but de protester contre ce remariage. On peut comparer ce phénomène à lorsqu’on est à table, une personne polie attendra que tout le monde ait été servi une première fois avant de se resservir. Bien que cette société soit dite monogame en soi, elle ne l’est pas totalement en vertu de plusieurs aspects. Il faut cependant bien préciser qu’à cette époque, les hommes ne peuvent qu’avoir une seule épouse à la fois. On commença déjà à voir à cette époque le pouvoir au mari ou au groupe familial le pouvoir de rompre comme ils voulaient l’union, de renvoyer la femme pour en chercher une autre, et de relancer par la suite une autre recherche de femme. Tous les engagements reliés au mariage avaient donc principalement pour but de protéger les femmes au niveau matériel pour elle et son lignage. Le champ de la sexualité masculine était très diverse également. Bien sûr, il était 7 loin d’être mal vu pour l’homme d’avoir des relations sexuelles avec plusieurs femmes avant son mariage. Après celui-ci, il est certain que l’homme devait se satisfaire de son épouse, mais par la suite, on suggère l’idée par de nombreux indices qui démontrent que plusieurs hommes aient eu des rapports sexuels avec d’autres femmes suite au mariage dont, les prostitués. En ce qui a trait à la fille, c’est tout le contraire. Un tas d’interdit lui est suggéré. Elle devait donc, avant le mariage, bien sûr avoir la virginité, mais après celui-ci, on lui exigeait la constance. Toute cette pensé et façon de faire face aux femmes dans la peur qu’elles aient un enfant né d’un autre père qui n’auraient pas la même ligné. Ce qui dérange beaucoup moins pour les hommes d’enfanter des femmes de plus base destinées. En conclusion, le mariage est quelque chose de très important au Moyen-âge qui se doit d’être soulevé. Bien que ce soit très différent d’aujourd’hui, plusieurs aspects ont restés et sont encore pratiqués ou pensés de nos jours. Il aurait été également possible et intéressant de parler des prêtes de cette époque qui se doivent d’appliquer plusieurs règles face au mariage d’autrui et d’eux-mêmes. Chapitre 2 : La sexualité de nos jours La polygamie Dans notre société nord-américaine, la plupart des mariages se font entre deux personnes. Cependant, il n’en est pas de même partout dans le monde. Certaines régions du monde tolèrent les mariages entre plus de deux personnes. Ce mode de vie se nomme la polygamie. On peut définir la polygamie comme suit : 8 La polygamie désigne la situation dans laquelle une personne dispose au même moment de plusieurs conjoints de même sexe : pour une femme ayant plusieurs maris on parle de polyandrie, pour un homme ayant plusieurs femmes de polygynie.1 On peut rencontrer certaines familles où les épouses cohabitent ensembles tandis que d’autres habitent à des kilomètres l’une de l’autre. Ces deux situations comportent autant d’inconvénients. Dans la première, il est nécessaire que les coépouses aient de bonnes relations entre elles, sinon il se crée une atmosphère très tendue. Dans la seconde situation, l’homme doit voyager entre les différentes demeures pour entretenir ses relations. La polygamie est une forme de relation humaine qui n’est pas traitée de la même façon à travers les continents. Elle n’est tolérée que dans soixante-dix pays. En effet, l’Amérique, l’Europe, l’Afrique du Nord et le Moyen-Orient, l’Afrique subsaharienne, l’Asie ainsi que l’Océanie ont des manières bien différentes de voir le sujet de la polygamie. Amérique Au Canada, il existe, dans le Code Criminel, deux lois interdisant la polygamie. Premièrement, l’article 293 interdit une personne de se marier si elle est déjà mariée avec quelqu’un d’autre. Une peine de prison peut aller jusqu’à cinq ans pour les personnes adeptes de la polygamie. Toutefois, certains juristes croient que cet article contrevient au droit à la liberté religieuse qui est assuré par la Charte Canadienne des Droits et Libertés. Deuxièmement, le Code Criminel bannit le fait d’avoir plus d’un conjoint ou d’une conjointe ou le fait de vivre en union conjugale avec plusieurs personnes simultanément, même si ces personnes ne sont pas mariées. En Ontario, malgré la prohibition du mariage polygame, la loi sur les droits de la famille reconnaît les épouses de ces mariages comme conjointes légales lorsque le mariage a été célébré dans un pays où les unions polygames sont légales. 1 fr.wikipedia.org/wiki/Polygamie 9 Au États-Unis, la polygamie est interdite dans tous les États. Cependant, une étude démontre qu’il y aurait un minimum de 30 000 personnes polygames dans tout le pays. Malgré l’illégalité de ce mode de vie, plusieurs le pratiquent et réussissent à contourner la loi. En effet, il est très difficile pour les autorités de prouver que quelqu’un pratique la polygamie puisque même si celui-ci entretien des relations avec plusieurs femmes et a plusieurs enfants de mère différente cela peut être vu comme un mari infidèle. Un homme polygame ne peut épouser plusieurs femmes puisque la loi l’interdit. Donc, il se marie légalement avec la première épouse et les autres sont ensuite unies par des cérémonies religieuses non officielles face à la loi. Elles deviennent alors des «sisters-wives». La polygamie en Amérique à beaucoup fait parlé puisqu’en 2002, la capitale de l’Utah soit Salt Lake City a accueilli les 19ème Jeux olympiques d’hiver. L’Utah est considéré comme l’un des États les plus conservateur et celui ou la présence d’une communauté polygame est la plus forte. L’Utah ne légalise pas plus que les autres États la polygamie mais, une étude démontre que 2% de sa population pratique ce mode de vie. Europe En France, la polygamie est prohibée depuis peu, soit depuis 1945. L’article 147 du Code Civil stipule qu’une personne peut obtenir une peine de prison d’un an ainsi qu’une amende de 45 000 euros si elle pratique la polygamie. Malgré ces interdictions, une étude de la Commission Nationale Consultative des Droits de l’Homme indique qu’il y aurait de 16 000 à 20 000 familles polygames en France, soit environ 180 000 personnes, qui vivraient en état polygame. Depuis 1993, les étrangers ne peuvent pas décrocher le titre de résident s’ils vivent en situation polygamique. Le gouvernement Français oblige le divorce ou la déportation aux immigrants polygames. Sensiblement comme en Australie, la France permet à seulement une des femmes de l’homme polygame d’obtenir un visa, un permis de travail et une allocation familiale. Afrique du ord et Moyen-Orient Sur les 22 pays que comprend l’Afrique du Nord et le Moyen-Orient, seulement trois interdisent la pratique de la polygamie : la Tunisie, la Turquie et Israël. En effet, même si 10 la religion principale de la Tunisie est l’Islam, la polygamie est interdite depuis 1956. Pour la Turquie, ce mode de vie est illégal depuis 1926, soit depuis l’adoption du Code civil laïque. Quant aux autres pays, certains la légalisent tout simplement tandis que d’autres l’autorisent avec quelques restrictions. Par exemple, en Libye, l’époux doit démontrer à la cour qu’il est assez aisé financièrement pour soutenir une famille multiple. Au Maroc, la fiancée peut exiger une union monogame. Si l’époux ne respecte pas ce contrat, la femme peut divorcer de son plein gré. Cette loi n’existe que depuis 2004 et déjà nous pouvons observer des changements. Seulement un an suivant la création de cette loi, le pays enregistrait 6,9% moins de nouveaux mariages polygames. Cependant, cela implique que la femme doit avoir les ressources financières nécessaires afin de subvenir elle-même à ses besoins. Le choix est donc très limité puisqu’il est rare de rencontrer une femme avec de bonnes ressources financières car elle ne travaille habituellement pas. Elle doit rester à la maison pour s’occuper des enfants. Afrique subsaharienne L’Afrique subsaharienne, également appelé Afrique noire, comprend tous les pays du centre et du sud de l’Afrique. La polygamie est un mode de vie très rependu en Afrique, principalement dans les pays francophones tel que la Cote d’Ivoire, le Mali et le Sénégal. En effet, le Sénégal serait le pays ayant la plus forte société polygame dans le monde. Il semble que les pays pauvres ou dits en voie de développement constituent un terrain particulièrement favorable à la pratique de la polygamie en dépit de l’influence du christianisme et du modernisme. En Afrique noire la polygamie est quasi généralisée en dépit des variations géographiques liées aux spécificités locales.2 De plus, le célibat de la femme en Afrique noire est très mal perçu. Les jeunes femmes célibataires ou les veuves doivent donc se marier très rapidement. La polygamie est vue comme la mise de la femme à l’abri de la débauche. 2 http://afrikibouge.com/chronique-de-societe/1089-la-polygamie-dans-la-societe-moderne 11 Asie L’Asie est un continent comprenant plusieurs pays, plusieurs cultures et plusieurs religions. Les opinions sur la polygamie sont donc très diversifiées. Tout d’abord, plus de 9 pays d’Asie ont adoptés des lois interdisant ce mode de vie tel que la Thaïlande et la Chine. Ensuite, il y a les pays qui la légalisent comme le Pakistan et le Bhoutan. D’autres l’autorisent mais avec certaines restrictions. En Jordanie, par exemple, un mari peut pratiquer la polygamie, mais il ne peut obliger ses coépouses à vivre ensemble. De plus, en Irak, le mari doit demander une permission spécial à l’État pour pouvoir marier plus d’une femme sauf si la nouvelle femme est veuve. Certains autres pays interdisent cette pratique avec exceptions. En effet, les gouvernements de l’Inde et des Philippines traitent ce mode de vie selon les religions. Seuls les hommes musulmans peuvent pratiquer la polygamie. Au Népal, il est interdit pour un homme de marier plus d’une femme sauf si son épouse ne peut donner naissance à un enfant dans un délai de 10 ans, si elle devient aveugle ou paralysée, etc. Océanie En Australie la polygamie est mal vue. En effet, selon la loi australienne, les pratiquants de ce type d’union peuvent être condamnés à des peines d’emprisonnement pouvant aller jusqu’à sept ans. Toutefois, le gouvernement australien tolère et reconnaît les mariages polygames qui se sont contractés à l’extérieur du pays. Il les reconnaît en vertu du droit de la famille aux fins de la répartition des biens. Cependant, pour être reconnus en Australie, les mariages polygames doivent être conformes aux lois des pays où ils ont été célébrés. De plus, aucunes des parties inclues dans ces mariages ne doivent être engagées dans un mariage en Australie. Aussi, un homme polygame est contraint à ne faire immigrer qu’une seule de ses femmes. 12 En conclusion, les opinions sur la polygamie sont différentes selon la région du monde où nous sommes, mais également dépendamment des religions. Les polygames n’ont pas tous la même motivation. Certains décident de marier une nouvelle femme plus jeune puisque leur première femme est rendu à un âge avancé et ne peut plus procréer, d’autres peuvent tout simplement en aimer plus d’une, d’autres veulent plusieurs femmes pour pouvoir avoir de nombreux enfants et ainsi avoir une bonne main d’œuvre, certains ont une religion qui leur impose d’avoir plus d’une femme sinon ils n’iront pas au paradis, etc. Cependant, certains féministes croient que ce mode de vie nui complètement aux femmes. Elles ne sont pas libres, elles vivent dans la pauvreté car leur mari doit faire vivre plusieurs familles, elles doivent se marier à un très jeune âge sinon elles seront mal vue, etc. Bibliographie Mariage au Moyen-âge BLAIS, Martin. Sacré Moyen Âge, Montréal, Fides, 1997, 224 p. « Costume et coutumes, le mariage », Histoire médiévale, nº 1 (décembre 2000), Marseille, Harnois, 2000, 83 p. DUBY, Georges. Le mariage au début du Moyen-âge, [En ligne], http : medieval.mrugala.net/Mariage/Mariage.htm (Page consultée du 14 au 25 novembre 2010) Le mariage au Moyen-âge,[En ligne], http : vivre-au-moyen-age.over-blog.com/article13177727.html (Page consultée du 14 au 25 novembre 2010) Mariage, [En ligne], http : fr.wikipedia.org/wiki/Mariage (Page consultée du 14 au 25 novembre 2010) 13 La polygamie ASCHA, Ghassan. Mariage, polygamie et répudiation Islam, Paris, Éditions de l’Harmattan, 1998, 240p. BOICEL, Doudou. Si la polygamie m’était contée…, Montréal, 2003,140p. Éditions Lanctot, YAMBANGBA SAWADOGO, Alfred. La polygamie en question, Paris, Éditions de l’Harmattan, 2006, 144p. CAMPBELL, Angela. La polygamie au Canada, [En ligne], http : www.creum.umontreal.ca/IMG/pdf/rapports_condition_feminine.pdf (Page consultée du 7 au 13 novembre 2010) MARCEAU, Karina et Julie PAQUIN. Planète polygamie, [En ligne], http: www.csf.gouv.qc.ca/gazette/article.php?article=3832&recherche=&auteure=0&the me=5 (Page consultée du 7 au 13 novembre 2010)