pour le logement - Clamart
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Clamartinfos N°97 mars 2011 le magazine de la ville et de ses habitant-e-s • www.clamart.fr Quinzaine culturelle : la fête sera caribéenne ! Page 17 10e anniversaire de la Journée des Femmes à Clamart page 17 Artisanat local : rencontre avec un luthier Page 35 > page 10 La Ville s’engage pour le logement édito // Le 12 juin 2010, le Maire Philippe Kaltenbach a inauguré dans le quartier Gare la nouvelle résidence du Hêtre, composée de 22 logements à loyer modéré. Des logements pour tous L ’explosion des dépenses liées au logement a considérablement contribué à la dégradation du pouvoir d’achat des Français. En dix ans, la part moyenne du budget des ménages consacrée au logement est passée de 20 à 25 %. Les plus fragilisés, mais aussi désormais une part croissante des classes moyennes, ne parviennent plus à se loger. Cette forte hausse des loyers s’explique par la pénurie de logements abordables. Les logements à loyers modérés, s’ils permettent avant tout à des personnes qui ont des revenus modestes et moyens de se loger dans de bonnes conditions, contribuent aussi, en diversifiant l’offre de logements, à freiner la hausse des loyers dans le parc privé. Je ne peux pas accepter que des Clamartois, notamment les jeunes, soient contraints de quitter notre ville faute de pouvoir se loger. Depuis 2001, nous réalisons donc des logements à destination de tous. Notre Plan Local de l’Habitat a fixé un objectif de réalisation de 200 logements annuels pour stabiliser la population autour de 50 000 habitants. Soucieux de disposer d’une offre diversifiée, j’ai voulu que ces logements soient pour moitié privés et pour moitié sociaux. Nous menons aussi des programmes d’accession sociale à la propriété, avec des prix de vente inférieurs de 40 % à ceux du marché. Nous œuvrons pour que nos aînés disposent de structures d’accueil adaptées. Des logements pour les étudiants et les jeunes travailleurs sont aussi réalisés. La Ville soutient enfin des projets associatifs de maisons-relais comme celles construites en centre-ville à destination des personnes en situation de handicap ou en réinsertion sociale. Cette politique équilibrée au service du logement pour tous est un choix de l’équipe municipale. Je regrette qu’il ne soit pas partagé par toutes les villes du département où, bien souvent, seul le logement privé de standing a le droit de cité. Dans les Hauts-de-Seine, 14 villes sur 36 ne respectent toujours pas les 20 % de logements sociaux imposés par la loi SRU et mettent en avant le prix élevé des terrains pour justifier la pénurie de logements à loyers modérés. Pourtant, dans notre ville, le foncier est aussi cher. Pourquoi ce qui est possible à Clamart ne pourrait pas l’être aussi dans les autres communes ? Je suis particulièrement fier que Madame Aubry et plusieurs autres Maires de grandes villes françaises aient choisi Clamart, en raison de sa politique exemplaire, pour lancer un appel national en faveur du logement le 16 février dernier. Cet appel vise à interpeller l’État dont les aides à la construction ne cessent de diminuer. Il faut donc rebâtir une politique du logement ambitieuse au bénéfice de tous nos concitoyens. À Clamart, nous maintiendrons le cap, mais nous avons besoin de pouvoir nous appuyer sur un État volontariste qui aide les communes et fait respecter la loi. Philippe KALTENBACH, Votre Maire Vice-Président du Conseil Régional N°97 • mars 2011 • Clamartinfos 3 à la une // Agir pour Clamart Logement : une politique volontaris •Le chiffre• 220 nouveaux logements sont construits chaque année à Clamart, pour moitié en logement social et pour moitié dans le parc privé. > Depuis 2001, la municipalité a développé sur l’ensemble de la ville une offre de logements abordables et de qualité en direction des Clamartois. Levier majeur de cohésion sociale et d’épanouissement familial, le logement demeure la priorité de l’équipe municipale, qui favorise avant tout la mixité sociale dans les quartiers et l’intégration à l’environnement. L a construction de nouveaux logements est intervenue dans tous les quartiers de la ville ces dix dernières années. Tous les nouveaux programmes sont élaborés dans le respect des normes de Haute Qualité Environnementale les plus exigeantes. Dans le cadre du PLU (plan local d’urbanisme), les immeubles qui voient le jour à Clamart sont de petits ensembles de logements à taille humaine, qui s’intègrent parfaitement au patrimoine architectural. Cet effort de construction vise à répondre à la demande des Clamartois, qui souhaitent pouvoir 10 Clamartinfos • mars 2011 • N°97 demeurer dans leur quartier tout en accédant à un loyer abordable. Rendre le logement accessible Le prix des loyers à Clamart ayant doublé en dix ans, les besoins en logements à loyers modérés n’ont jamais été aussi importants ; ainsi 60 % des Clamartois ont des revenus leur permettant d’accéder au logement social. Pour répondre à ce besoin, la municipalité a mis en place deux dispositifs : 1/ Lors de toute transaction immobilière, la Mairie peut faire valoir son droit de préemption au profit de Clamart Habitat, pour acheter des immeubles ou des terrains. 2/ Un minimum de 30 % de logements accessibles à tous est exigé dans toutes les nouvelles opérations immobilières de plus de 1 000 m². Ces deux règles sont inscrites dans le Plan Local d’Urbanisme (PLU) et le Plan Local de l’Habitat (PLH). Favoriser la mixité sociale Les conclusions du Plan Local de l’Habitat (PLH), voté en 2004, ont établi que 220 nouveaux logements par an étaient nécessaires – logements privés et sociaux confondus – pour maintenir la population de Clamart autour des 50 000 habitants. Aujourd’hui, avec 50 % de loge- +net Retrouvez toutes les infos sur www.clamart.fr à la une 1 Agir pour Clamart // •Le point de vue• ste et réaliste Les nouveaux logements de la place Aimé Césaire. ments sociaux sur le Haut Clamart et seulement 10 % sur le bas, il était important de développer la mixité sociale en rééquilibrant l’offre de logements sociaux sur l’ensemble du territoire. Sur le Bas Clamart, de petites opérations bien intégrées à l’habitat existant ont vu le jour, chaque opération ayant fait l’objet d’une concertation avec les habitants. Sur le Haut Clamart, la cité Bourgogne a laissé place en 2002 à un quartier mixte où se mêlent copropriétés et résidences à loyers modérés. Plus récemment, le nouveau quartier commercial Les Hauts de Clamart a ajouté à cette mixité des services et des commerces. La Ville mène actuellement une opération d’accession sociale à la propriété dans le neuf sur le site de l’ancien centre commercial de la Plaine. Des logements prioritaires La Ville développe également des modes d’hébergement prioritaires : – Pour les personnes en réinsertion, les adultes en situation de handicap ou les jeunes travailleurs, des structures existent sur la ville pour les accueillir (voir page 15). – Pour les étudiants, nombreuses sont les opérations immobilières qui intègrent à leur projet des logements qui leur sont destinés. À travers le développement d’une offre locative diversifiée, Clamart ouvre son cadre de vie privilégié au plus grand nombre de familles, pour demeurer une ville solidaire à taille humaine. // Georges KEHYAYAN, adjoint au Maire chargé du logement Quelle est la situation du logement en France aujourd’hui ? Malgré l’effort de certaines collectivités locales et de nombreux bailleurs sociaux, le nombre de logements produits, même s’il a progressé ces dernières années, reste encore insuffisant pour répondre à la forte demande. En dépit des besoins flagrants, les aides de l’État diminuent et, plus grave, cette année les organismes HLM ont été prélevés d’une nouvelle taxe à hauteur de 245 millions d’euros. Dans ce contexte, quelle est la politique du logement menée par la Ville de Clamart ? Depuis l’arrivée de Philippe Kaltenbach, il y a dix ans, la politique municipale n’a pas varié. Elle part d’un constat simple. Pour que la ville se développe harmonieusement, il faut que les Clamartois, et surtout les jeunes et les personnes à revenus modestes et moyens, puissent continuer à se loger sur la commune. Aujourd’hui, avec la création de 220 logements par an, privés comme publics et dans tous les quartiers, cette politique est devenue concrète. Certains quartiers renaissent, d’autres se diversifient. Cette mixité des publics dans l’habitat est un signe de bonne santé pour notre ville. La municipalité a choisi de développer une offre de logements pour tous les Clamartois : comment y réussit-elle ? Tout d’abord, et c’est le plus important, il faut une réelle volonté politique. Afin de poursuivre son effort de construction, la municipalité utilise l’ensemble des moyens réglementaires mis à sa disposition par l’État pour construire des logements sociaux et des logements en accession sociale à la propriété. Clamart Habitat, après avoir réalisé 595 nouveaux logements depuis 2001, a en projet la construction de près de 600 logements d’ici à 2016. Cet effort, s’il était réalisé par toutes les villes dans les mêmes proportions, créerait au total près de 290 000 logements en Île-deFrance. De quoi répondre, en grande partie, aux 400 000 demandeurs actuels. En dépit de ces efforts, à Clamart le nombre de demandeurs a doublé en dix ans, en parallèle avec le prix des loyers privés. N°97 • mars 2011 • Clamartinfos 11 1 à la une // logement pour tous Agir pour Clamart •Le chiffre• 25,51 % Il y a de logements sociaux à Clamart. La Ville a pour objectif d’atteindre 30 % en 2025. En effet, le Schéma Directeur de la Région Île-de-France a donné cet objectif à l’horizon 2025 (une obligation pour toutes les villes d’Île-de-France, la région où la crise du logement est la plus forte). Dans les Hauts-de-Seine, 14 villes sur 36 ne respectent déjà pas le minimum légal de 20 %, fixé par la loi SRU en 2000. Le chantier de construction de la future résidence au 141/149, avenue du Général de Gaulle. Logement social : un développement responsable Depuis sa création en 1949, l’Office Public de l’Habitat (OPH) Clamart Habitat répond aux besoins en logements à loyer modéré sur la ville. L’OPH a ainsi vu naître les quartiers de La Plaine et de Trivaux, au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. En partenariat étroit avec la Mairie, Clamart Habitat conserve toute son ambition au service du logement accessible à tous, alors que les crédits alloués par l’État au logement social ne cessent de décliner. D ès 2001, l’équipe municipale a affirmé sa volonté de ne pas laisser faire uniquement le marché en matière de logement à Clamart. Afin de lutter contre la gentrification* de la En 2009, 96 % des commune, la Mairie attributions de logements* favorise le développement de projets immoont été réalisées en biliers qui prennent en direction de familles compte le logement à clamartoises. loyer modéré. * Sur le contingent géré par la Mairie. Dans le respect de (soit les deux tiers des logements) l’environnement et de la mixité sociale, les projets de la Ville en matière de * Gentrification : phénomène urbain logement accessible vont de la répar lequel le profil économique et social des habitants d’un quartier se habilitation à la construction, dans transforme au profit exclusif d’une tous les quartiers de la ville. couche sociale supérieure. 12 Clamartinfos • mars 2011 • N°97 Un patrimoine préservé L’effort de réhabilitation et de rénovation des résidences existantes est l’un des piliers assurant la pérennité du parc de logements sociaux sur la commune. Cela contribue au confort et à la sérénité des habitants. Chaque année l’OPH réalise des travaux de modernisation. En 2010, Clamart Habitat a lancé notamment la seconde tranche de réfection des pièces d’eau de la cité Trivaux, l’aménagement d’espaces extérieurs et le ravalement de plusieurs façades à La Plaine et à Trivaux. Rapporté au nombre de logements, Clamart Habitat est l’OPH des Hauts-de-Seine qui in- vestit actuellement le plus dans l’amélioration de son patrimoine. La Mairie veille également au maintien de l’entretien du patrimoine par les autres bailleurs sociaux présents à Clamart. Le Maire, Philippe Kaltenbach, a ainsi alerté en mai 2010 le président de l’Immobilière 3F, Yves Laffoucrière, sur l’état de délabrement de la Cité des 3F. Le bailleur s’était alors engagé à réaliser l’ensemble des travaux de rénovation, notamment des espaces extérieurs à l’abandon. Un effort de construction durable Clamart Habitat poursuit une démarche volontariste visant à placer logement pour tous à la une 1 Agir pour Clamart // Clamart Habitat veille à entretenir son patrimoine, comme ici en rénovant les espaces extérieurs à La Plaine. faut que ces logements en vente viennent s’ajouter au parc de logements déjà proposé. Deux projets de création de logements en accession à la propriété sont actuellement en cours à Clamart : l’un, sur l’îlot Péri, l’autre en bordure du parc Auzelle (à l’emplacement de l’ancien centre commercial de la Plaine). // le développement durable dans ses priorités. Depuis 2005, l’OPH s’investit dans la démarche Haute Qualité Environnementale pour la construction de ses logements neufs. C’est ainsi le premier OPH des Hauts-de-Seine à s’être engagé dans les certifications « Habitat et Environnement » et « Haute Performance Énergétique ». Ainsi, depuis fin 2007 toutes les opérations sont pourvues de panneaux solaires et de toitures végétalisées. Sur certains programmes, l’eau de pluie est récupérée pour permettre l’arrosage des espaces verts. À chaque consultation d’architecte, l’OPH donne la priorité aux économies d’énergie, grâce à des principes environnementaux qui assurent aux logements un confort d’hiver comme d’été. Faciliter l’accession à la propriété L’aspiration des ménages à la propriété reste une tendance forte, mais qui est freinée par les difficultés financières et les prix exorbitants de l’immobilier en Île-de-France. Dans les programmes d’accession sociale à la propriété, les prix sont 30 à 40 % inférieurs au prix du marché. Pour l’accession sociale à la propriété comme pour l’attribution des logements sociaux, la priorité est donnée aux familles habitant déjà à Clamart. La Ville s’attache à faire de l’accession sociale à la propriété uniquement sur des programmes neufs car elle ne veut pas vendre le patrimoine existant comme le font d’autres villes. En effet, le nombre de logements sociaux étant déjà insuffisant (2 000 demandeurs en attente), il En matière d’urbanisme, la Ville dispose de plusieurs outils réglementaires, lui permettant de mettre en œuvre sa politique de logement social. Le Plan Local d’Urbanisme (PLU), voté en 2005, inclut certaines de ces règles : • Part minimum imposée de 30 % de logements sociaux dans chaque nouveau programme de plus de 1 000 m² (PLU) ; • Terrains réservés spécifiquement pour la construction de logements sociaux (PLU) ; • Bonus de COS (Coefficient d’Occupation des Sols) attribué pour les programmes de logements sociaux ; • Exercice du droit de préemption lors des transactions immobilières (PLU) ; • Versement d’une surcharge foncière de 5 000 à 8 000 € par logement pour les programmes de logements sociaux. Martine Aubry visite les logements à Clamart M ercredi 16 février, Martine Aubry a choisi Clamart pour lancer un appel pour une autre politique du logement en France. Elle a d’abord visité des programmes construits récemment sur la ville, saluant l’exemplarité des opérations menées par le Maire, Philippe Kaltenbach. Toutes les personnalités présentes, dont plusieurs maires de grandes villes (Paris, Reims, Toulouse…), ont pu échanger sur les enjeux de la crise du logement en France. Ils ont également tous signé l’appel. // Salle Hunebelle à Clamart, Bertrand Delanoë, Maire de Paris, Marie-Noëlle Lienemann, ancienne Ministre du Logement, Philippe Kaltenbach, Maire de Clamart, et Pierre Cohen, Maire de Toulouse, ont signé l’appel lancé par la Maire de Lille Martine Aubry pour une autre politique du logement. N°97 • mars 2011 • Clamartinfos 13 à la une 1 logement pour tous Agir pour Clamart // Un logement pour chaque étape de la vie La crise du logement touche en premier les personnes déjà confrontées aux difficultés de la vie : étudiants et jeunes travailleurs, personnes âgées, adultes handicapés ou personnes en réinsertion. À Clamart, différentes structures d’accueil adaptées existent pour ces demandeurs. Q ue ce soit pour des raisons de santé, de difficultés économiques et sociales ou liées aux aléas de la vie, trouver un logement peut devenir un obstacle insurmontable pour certaines catégories de la population. À Clamart, établissements spécialisés et résidences services permettent de répondre à ces besoins particuliers. Hébergements pour les aînés La commune de Clamart accueille sept EHPAD, établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes. Dans ces maisons de retraite, les pensionnaires bénéficient au quotidien d’un service de restauration et d’un suivi de soins. Un autre type d’hébergement est proposé aux aînés à Clamart : le foyerlogement Morambert (voir page 32). Cette structure municipale s’adresse aux personnes âgées indépendantes, qui souhaitent pouvoir partager certains moments de convivialité avec leurs voisins. À Morambert, les résidents occupent un appartement individuel tout équipé, et profitent également de pièces à vivre communes, pour échanger et organiser des animations. Jeune cherche logement La proximité de Paris et du Plateau de Saclay, le « Plateau des Grandes Écoles », pose la question du logement étudiant à Clamart. La première résidence dédiée aux étudiants a vu le jour dans le Haut Clamart. Cette structure de 110 chambres accueille également des jeunes travailleurs. La demande demeurant forte en la matière, deux projets à l’étude prévoient la création de nouveaux logements étudiants : deux résidences de 100 chambres chacune sont au programme de l’avenue de Verdun et de l’écoquartier Gare. De son côté, le foyer de jeunes travailleurs du Moulin de Pierre étudie la possibilité d’agrandissement de sa capacité d’accueil. Enfin, un nouveau programme sur l’avenue du Général de Gaulle envisage la création de 183 chambres destinées à de jeunes travailleurs. Loger les adultes en difficultés La maison-relais de l’association Les Amis de l’Atelier a ouvert ses portes le 23 novembre dernier. Cette structure permet aux personnes en situation de handicap d’acquérir l’autonomie nécessaire pour développer leur projet de vie. Un second établissement accueillera des personnes handicapées sur la ville : l’opération de l’avenue de Verdun prévoit la création d’un Foyer d’accueil médicalisé pour adultes handicapés. Une maison relais d’un autre genre ouvrira également bientôt ses portes : Habitat et Humanisme construit des logements pour personnes en situation de réinsertion (adultes isolés, en souffrance psychologique ou familles en difficultés économiques et sociales). Cet hébergement leur offrira la possibilité de trouver un logement auquel ils n’auraient pas accès sans cette aide. // La maison-relais des Amis de l’Atelier permet à des adultes handicapés de vivre en autonomie dans des studios de 30 m², tout en partageant des parties communes. Contacts • CLIC - Centre Local d’Information et de Coordination (pour personnes âgées) > 01 41 23 05 82 • Coordination Handicap > 01 41 23 05 11 • Foyer logement Morambert > 01 46 45 38 46 N°97 • mars 2011 • Clamartinfos 15
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